La Criminelle Arnaque du COVID-19:L’Autriche déclare la guerre aux non-vaccinés quelques jours seulement après la visite de Soros

Le chancelier autrichien Schallenberg a été le dernier dirigeant autrichien à accueillir chaleureusement un membre de la famille Soros. La famille Soros a toujours apprécié de se rendre en Autriche et de serrer la main des principaux responsables politiques du SPÖ et de l’ÖVP – et plus particulièrement, ces jours-ci, de ceux qui sont chargés de la politique vaccinale.

Alexander, le fils de George Soros, dirige aujourd’hui la Fondation Open Society. Il a récemment rencontré le chancelier autrichien Alexander Schallenberg (ÖVP) et le nouveau ministre des affaires étrangères Michael Linhart (ÖVP).

 

 

 

 

 

 

 

 

Ces dernières années, la famille Soros a compté parmi ses amis spéciaux l’ex-chancelier fédéral Christian Kern (SPÖ), l’ex-chancelier fédéral Sebastian Kurz (ÖVP), l’ex-maire de la ville de Vienne Michael Häupl (SPÖ) et, enfin, le maire en exercice de Vienne Michael Ludwig (SPÖ). Ce dernier a même remis à George Soros la médaille d’or de l’Ordre du Mérite pour services rendus à l’État de Vienne en 2019.

Le 8 novembre, Alexander Soros a rencontré le chancelier fédéral et selon Soros Junior, sur son profil Twitter, les deux hommes ont discuté de la détérioration de la situation dans les Balkans occidentaux et de l’avenir de l’UEC – l’Université d’Europe centrale.

En 2017- après que la Hongrie a banni l’UEC de Soros du pays en raison de ses constantes intentions de déstabilisation (il a déjà plongé plusieurs États dans des crises profondes et en a souvent profité économiquement) – l’ex-chancelier Christian Kern (SPÖ) a plaidé pour la relocalisation de l’UEC à Vienne.

Le contrat a été conclu avec l’ex-maire Michael Häupl. Aux frais des contribuables, l’hôpital Otto Wagner a également été reconstruit à cette fin. Les universitaires de Soros ont désormais accès à une université privée luxueuse et coûteuse à Vienne.

 

 

 

 

 

L’ex-chancelier Sebastian Kurz et patron de l’ÖVP, ne communique plus depuis quelque temps qu’en anglais sur Twitter, peu importe si le public autrichien y comprend quoi que ce soit ou non. Il a été « formidable » de « reprendre contact » avec son « ami de longue date » Alexander Soros. D’après les images de la rencontre, les deux hommes se sont rencontrés dans une chambre d’hôtel confortable. Les Autrichiens doivent se demander pourquoi leur « vie académique » sera désormais en anglais, d’autant plus que leur propre langue leur a déjà bien servi pendant plusieurs siècles.

Si les Autrichiens ne savent pas grand-chose de leur nouveau ministre des affaires étrangères, Michael Linhart (ÖVP), celui-ci connaît bien Alexander Soros. Il est « bon » de rencontrer le nouveau ministre autrichien des Affaires étrangères, a expliqué Alex Soros sur Instagram.

Un mauvais timing pour un nouveau confinement ?

Quelques jours seulement après cette visite prétendument destinée à discuter de « questions frontalières », le gouvernement autrichien a annoncé son intention d’appliquer un confinement strict aux 3,1 millions d’Autrichiens qui ne sont pas entièrement vaccinés. Le chancelier Alexander Schallenberg s’est plaint du taux de vaccination « honteusement bas ». Le Covid-19 est en effet devenu la pandémie des coïncidences.

« Selon le plan progressif, nous n’avons en fait que quelques jours avant de devoir introduire le verrouillage pour les personnes non vaccinées », a annoncé M. Schallenberg lors d’une conférence de presse jeudi. Ces restrictions signifient « qu’on ne peut pas quitter son domicile, sauf pour aller travailler, faire des courses (pour les produits de première nécessité), se dégourdir les jambes – à savoir exactement ce que nous avons tous dû subir en 2020. »

Mais l’Autriche a un taux de vaccination plus élevé que celui des États-Unis. « Avec un taux de vaccination de 62,7 %, l’Autriche a non seulement un taux plus élevé que les États-Unis, mais la plupart de la population a été vaccinée relativement récemment, ce qui devrait donner à ces personnes une meilleure protection. Pourtant, le pays connaît l’épidémie la plus prolifique de son histoire, comme nous le constatons dans le monde entier, avec une relation inverse quasi parfaite entre les taux de vaccination et les taux de cas de Covid« , note Daniel Horowitz.

Mais au lieu de remettre en cause la vaccination, les dirigeants autrichiens redoublent d’efforts.

À partir de lundi, le gouvernement de Haute-Autriche prévoit un confinement pour les personnes non vaccinées, y compris celles qui ne sont que partiellement vaccinées. Le gouverneur de Haute-Autriche, Thomas Stelzer (ÖVP), a qualifié la situation de « dramatique ».

Le ministre de la Santé, Wolfgang Mückstein (Verts), a également demandé le confinement des personnes non vaccinées en Haute-Autriche. Les déclarations de la ministre du Tourisme Elisabeth Köstinger (ÖVP) sont également claires et parlent d’un verrouillage des personnes non vaccinées : « Le temps de la solidarité avec ceux qui ne veulent pas se faire vacciner pour des raisons futiles est révolu. Nous ne pouvons pas et les personnes vaccinées ne vont pas renoncer à leurs libertés parce qu’une minorité refuse systématiquement et sans raison médicale les mesures de protection et les vaccinations. Ce serait injuste et manquerait également de solidarité avec tous les autres. »

Les piqûres expérimentales enfreignent le code de Nuremberg

Ces dernières semaines, le président du FPÖ, Herbert Kickl, s’est montré de plus en plus critique à l’égard des mesures Corona, notamment en ce qui concerne le confinement des personnes non vaccinées. Michael Schnedlitz, membre du FPÖ, a même appelé à un soulèvement contre les mesures prévues dans une vidéo. Sous le slogan « Bienvenue dans la dictature », il s’oppose aux restrictions et qualifie le gouvernement de dictatorial. La vaccination reste un choix personnel, a-t-il déclaré.

Les détracteurs de la politique de vaccination obligatoire du gouvernement affirment régulièrement qu’elle viole le code de Nuremberg. En août 1947, le tribunal militaire américain a énuméré dix points dans son jugement sur les médecins nazis allemands, dans la section intitulée « Tentatives médicales autorisées », qui sera plus tard connue sous le nom de « Code de Nuremberg ».

Alors que les partisans de la politique de vaccination affirment que les vaccins sont des préparations approuvées et qu’il ne s’agit donc pas d’une expérience, les critiques ont souligné que même le futur chancelier allemand Olaf Scholz ou des virologues pro-gouvernementaux comme Alexander Kekulé ont parlé d’une « expérience » mondiale.

 


EN COMPLÉMENTAIRE

« Le gouvernement autrichien manipule les mots pour reconfiner » selon le Dr Christian Fiala

Au moment même où se déroulait une manifestation devant l’ambassade d’Autriche à Paris, jeudi 18 novembre, notre invité était le Dr Christian Fiala, vice-président de MFG-Österreich (Menschen Freiheit Grundrechte). Ce nouveau parti politique autrichien vient d’obtenir plus de 6 % des voix et de faire élire des représentants au Parlement régional en Haute-Autriche.

Médecin généraliste et obstétricien, Christian Fiala détient un doctorat de la Karolinska en Suède, en méthodologie de travaux scientifiques dans le domaine médical. Pour lui, il n’existe aucune justification médicale ou scientifique pour les mesures prises par les différents gouvernements occidentaux, telles que le confinement des non-vaccinés ou le premier confinement. Tout ce qui a été fait – masques, distanciation sociale, campagnes de vaccination – est délétère et il faut y mettre fin tout de suite.

Dr Christian Fiala

Le but inavoué serait de diviser la société : « la monarchie, les dictatures doivent nécessairement diviser la société. La « crise » est un prétexte pour soumettre la population à une vie digitalisée », dont les livreurs à bicyclette des plateformes digitales, les nouveaux esclaves, sont l’emblème.

Diplômé en médecine tropicale de l’IFRSS Houphouët Boigny Marseille, il a 30 ans d’expérience clinique, et a exercé en Guadeloupe, en Afrique et en Asie avant d’ouvrir son cabinet à Vienne. Selon Christian Fiala, il n’y a plus de « crise sanitaire » et tout ce dispositif liberticide n’a rien à voir avec la santé publique. C’est par la seule propagande que l’on a créé de toutes pièces une « crise”.

Qui plus est, le Covid-19 est désormais une maladie rare en Autriche. La prévalence de tests positifs est désormais dix fois moindre qu’il y a un an. Pour arriver à faire peur, on pratique en novembre 2021 un nombre inouï de tests (jusqu’à 440 000 par jour pour une population d’environ 9 millions d’habitants), entre 10 et 20 plus de tests qu’en novembre 2020, ce qui permet de présenter des chiffres absolus et d’arriver à 10 à 15 000 tests « positifs ».

Quant aux unités de soins intensifs, elles sont tout sauf surchargées – entre 30 et 36 % des lits sont libres ; pour voiler cette réalité, le gouvernement ne souhaite plus publier les statistiques journalières de l’AGES (Agence pour la sécurité sanitaire et alimentaire).

Pour le Dr Fiala, les gouvernements devraient arrêter de s’immiscer dans une affaire aussi personnelle que la santé. Si la santé publique était vraiment leur souci, il y a belle lurette que l’on aurait interdit la cigarette. Or, dans l’affaire Covid-19, il y a des arrière-pensées que l’on comprendra mieux en suivant les flux d’argent. Pourquoi ces mesures telles le confinement, qui ne peuvent que ruiner les PME et qui sont de fait une campagne en faveur des GAFAM ? Pourquoi les autorités ne parlent-ils que d’un virus depuis 18 mois plutôt que de l’intérêt fondamental des populations, de leurs besoins ?

Au sujet des nouvelles injections, le Dr Fiala revient sur son article publié dans France Soir « Friendly Fire ». Dès qu’il a entendu parler de ces produits, il s’est posé les mêmes questions qu’il se poserait concernant tout traitement ou acte médical qu’il pourrait proposer à ses patients. Il est arrivé à la conclusion que la nouvelle plateforme technologique utilisée par les fabricants pour ces injections est programmée pour déclencher un processus d’autodestruction de nos cellules qui, porteuses désormais de la protéine Spike, seront attaquées comme corps étranger.

« Ce n’est pas compatible avec la vie », dit-il, en donnant l’exemple de l’impact de la troisième dose en Israël, où la mortalité des anciens repart en flèche depuis le mois d’août. Il faut s’attendre au même phénomène partout et à une explosion d’effets secondaires.

Allant plus loin, le Dr Fiala considère qu’il est permis de s’interroger sur les motifs qui ont poussé les autorités politiques à sciemment choisir d’imposer une technologie « vaccinale » dont l’effet primaire – et il souligne que c’est bien l’effet primaire et non secondaire – est l’autodestruction des cellules du corps, plutôt que d’opter pour une ancienne technologie de virus désactivé. « C’est comme si à l’armée, pour s’entraîner, on s’amusait à tirer sur nos propres soldats » pour voir si nous savons faire.

Christian Fiala s’interroge aussi sur l’état d’esprit des peuples européens face à leur intégrité physique : si les autorités avaient cherché à vendre des voitures utilisant les méthodes coercitives mises en œuvre actuellement pour « vendre » ces injections, personne n’en aurait acheté, car ils auraient compris qu’il y a anguille sous roche.

Avec près de 6 % des voix le 25 septembre en Haute-Autriche, le phénomène électoral qu’est devenu MFG-Österreich en quelques petites semaines est indépendant, dit-il, de questions de financement : il estime que MFG aurait obtenu 10% des voix s’ils avaient eu quelques semaines de plus pour faire campagne. L’exemple des Gilets jaunes en France a été une inspiration pour nombre d’électeurs MFG, qui disent « jamais je n’aurais pensé faire de la politique » ; ces gens paient le prix très lourd de toutes ces mesures et ont compris qu’il faut un changement profond dans la société. Il espère qu’il y aura très rapidement des élections anticipées, ce qui est tout à fait possible, car le gouvernement de Von Schallenberg est très faible.

Quant à la transformation temporaire, cet été, de la Cathédrale Saint-Etienne à Vienne, symbole de l’Autriche, en vaccinodrome, avec la bénédiction des hauts dignitaires ecclésiastiques, le Dr Fiala regrette que l’Église catholique en Autriche se soit toujours rangée du côté de la monarchie pour laquelle elle a bien voulu contrôler la population. Elle a su s’arranger plus ou moins avec le NSDAP après l’annexion de l’Autriche par Hitler – quoique certains religieux se distinguent en ce moment par leur opposition aux mesures liberticides.

Ce n’est donc pas là qu’il faille chercher le salut. Pour le Dr Fiala, la « crise » est un prétexte pour soumettre la population à une vie digitalisée qui sera une vie d’esclave. Il nous faut revenir à une vie analogue ; l’homme est une créature de l’analogue. Il lui faut parler avec les autres, les toucher, les voir dans la vraie vie. Pour l’instant, les gens s’imaginent encore que le digital est positif.

Parole d’obstétricien dans la mission est de mettre au monde nos semblables : « arrêtons d’imaginer que c’est en jouant avec des gadgets électroniques que l’on arrêtera le fascisme et revenons à la vie réelle. »


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