Recette autochtone:Sirop contre la toux et la grippe

Le fruit du vinaigrier.

 

Sirop pour la toux, recette autochtone

Problème de toux persistante qui empêche les enfants ou vous-même de dormir, voici une recette qui était utilisé dans notre famille pour contrer la toux
Faire mijoter dans de l’eau les fruits du vinaigrier pendant 20 minutes, ensuite garder le liquide et y ajouter 500g de miel, continuer de mijoter jusqu’à ce que l’eau s’évapore assez pour qu’il devienne un sirop épais( pour vérifier la consistance, en mettre un peut sur une assiette froide et il refroidira et vous verrez la consistance) ensuite servir une cuillère à thé froide saupoudré de poivre noir, soulagement instantanée, «Avertissement» je dois vous avertir cependant qu’il faut faire attention au latex qu’il y a dans les branches du vinaigrier, s’il y a contact avec la peau, une dermite grave est possible, et l’usage des feuilles est très toxique, utilisez uniquement les fruits.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Disposer d’un jardin où passer du temps est une habitude très répandue qui offre de nombreux avantages. Mais, créer un jardin chez soi n’est pas une tâche facile. En plus d’avoir un plan pour le côté esthétique de cet espace vert, il faut choisir les différentes plantes à mettre dans le jardin. Pourquoi ne pas opter pour le vinaigrier ? C’est l’une des plantes qui apportent de la beauté et de l’esthétique dans un jardin particulier ou public. Comment cultiver et entretenir le vinaigrier ? Pourquoi le planter dans son jardin ? 

Appartenant à la famille des Anarcardiaceae, le vinaigrier est un arbuste dont les feuilles sont caduques et très longues. Cette plante est originaire de l’Amérique du Nord et dispose de plusieurs particularités. L’une de ses plus grandes particularités est son acidité qui lui a valu le nom de vinaigrier. Mais, de nombreux autres éléments en font une plante unique en son genre. Il s’agit par exemple de :

  • Ses couleurs changeantes au gré des saisons ;
  • Son fruit disposant de nombreux bienfaits ;
  • Ses fleurs qui captivent le regard.

Cette plante est souvent qualifiée d’exotique du fait de ses caractéristiques. Par ailleurs, le vinaigrier peut facilement atteindre une hauteur de 5 ou 6 m en fonction de l’entretien qu’on lui apporte.

Les différentes variétés de vinaigriers

 

 

Le vinaigrier est une plante que l’on appelle aussi sumac vinaigrier, sumac de Virginie, sumac amaranthe, sumac à queue de renard ou Rhus typhina. Il existe plusieurs variétés de l’arbuste. Elles se différencient par leur taille et leur feuillage. De plus, certaines variétés ne drageonnent pas. On peut citer :

  • Sumac de Virginie Œil de tigre (Rhus typhina « Tiger Eyes ») ;
  • Rhus typhina (Laciniata) ;
  • Sumac amarante (Rhus typhina « Dissecta »).

Le Sumac de Virginie Œil de tigre ou Sumac doré est un arbuste qui a une croissance rapide. Il peut atteindre 3 m de haut pour 4 m de large. Il présente un port érigé avec des branches peu ramifiées et une cime arrondie, compacte.

LE SUMAC « DORÉ » DOIT SON NOM À SON MAGNIFIQUE FEUILLAGE.

 

 

Les feuilles ont une couleur vert jaune acide lorsqu’elles naissent au printemps. Puis, elles deviennent au fil du temps jaune, orange et rouge à l’automne. En forme de panicules coniques, la floraison se déroule en juillet-août. Les fruits pourpres et ronds apparaissent sur les arbustes femelles. Ces fruits sont des grappes coniques qui mesurent 15 cm de long et persistent tout l’hiver. C’est un arbuste rustique qui résiste à des températures négatives de -20 degrés Celsius. Rhus typhina « Tiger Eyes ») ne drageonne pas et peut être planté en isolé ou en groupe.

Originaire de l’Est de l’Amérique du Nord, Rhus typhina (Laciniata) est un petit arbre qui atteint 2 m de haut pour 3 m de large. Il présente un port évasé, et un feuillage magnifique aux multiples couleurs. Vertes au-dessus, ses grandes feuilles de 30 à 50 cm ont un aspect bleuté en dessous. Puis, à l’automne, elles virent au rouge après avoir pris des teintes jaune et orange. De juin à août, les fleurs vertes sont groupées en panicules de 10 à 20 cm. Elles donnent plus tard des fruits sous forme de drupes couvertes de poils rouges. Rustique, Rhus typhina (Laciniata) peut être plantée en isolé, en groupe ou en association dans les haies libres.

Le Sumac amarante (Rhus typhina « Dissecta ») est un arbuste à port touffu étalé. Il est originaire de l’Est de l’Amérique et présente un feuillage caduc, très décoratif. Les feuilles vertes au départ deviennent rouge orangé en automne. Elles mesurent 50 cm de long et sont composées de nombreuses folioles. Les panicules de fleurs jaune-vert apparaissent en automne. Et les fruits rouge amarante, recouverts de poils rouges, persistent sur l’arbuste une partie de l’hiver. C’est une plante qui peut devenir envahissante si l’on ne contrôle pas sa croissance. Elle résiste aux températures négatives jusqu’à -20 °C.

Quelle est l’utilité du vinaigrier ?

à l’automne au Québec.

 

Le vinaigrier est une plante très utile en ce sens qu’on peut s’en servir dans différents buts. En effet, de nombreuses personnes utilisent cette plante pour la cuisine ou des soins de santé. Cependant, c’est surtout pour son esthétique qu’il convient de l’avoir chez soi. Le vinaigrier apporte de la beauté au jardin tout au long de l’année.

À LA FLORAISON, LA BELLE COULEUR DES FLEURS APPORTE DE LA GAIETÉ ET DU CHARME AUX JARDINS. À L’AUTOMNE, LES FEUILLES SE TEINTENT DE ROSE ET DE ROUGE, CE QUI EN FAIT L’UNE DES PLUS BELLES PLANTES DE CETTE SAISON.

Le vinaigrier ou sumac de Virginie est donc utile pour :

  • Sa magnifique floraison ;
  • Ses vertus thérapeutiques ;
  • Son utilisation en cuisine.

Le vinaigrier est une plante qui dispose de nombreuses vertus. Ses fruits sont utilisés pour la fabrication d’une boisson de couleur rose utilisée comme un jus. Dans de nombreux pays, on écrase ses feuilles pour en faire des épices et assaisonner certains plats. C’est une plante riche en tanins et en vitamines C. Elle dispose de propriétés antispasmodiques, diurétiques, et vulnéraires. Par ailleurs, les Amérindiens et les Algonquins lui attribuent la capacité de soigner certains maux dont :

  • L’arthrite ;
  • Le manque d’appétit ;
  • La diarrhée.

Ainsi, ce n’est pas uniquement sa beauté qu’il faut prendre en compte pour décider si l’on veut l’installer dans son jardin.

Le vinaigrier : plantation et culture

 

La procédure pour la plantation et la culture du vinaigrier est aisée à suivre.

À quel moment faut-il planter le vinaigrier ?

LA PÉRIODE IDÉALE POUR COMMENCER UNE CULTURE DE VINAIGRIER EST L’AUTOMNE OU LE PRINTEMPS.

En effet, ce sont les saisons les plus clémentes de l’année et elles se prêtent bien à une plantation. En choisissant l’une de ces saisons, vous êtes sûr que le sumac de Virginie ne subira pas d’attaque trop tôt. Du moins, pas d’attaques dues aux conditions climatiques.

L’emplacement idéal pour une plantation de vinaigrier

Si vous voulez planter un vinaigrier, cherchez un endroit avec une bonne exposition au soleil. En effet, rien ne fait plus de bien à un vinaigrier que les rayons du soleil. Cependant, à défaut de lui offrir tous les rayons du soleil, il est possible de lui trouver un emplacement à mi-ombre. Le vinaigrier est une plante que l’on peut installer sur une pente ou sur un terrain plat. Dans de nombreux pays, la culture de cette plante permet de lutter contre l’érosion côtière.

Sur quel sol est-il possible de cultiver le vinaigrier ?

La culture du sumac de Virginie étant relativement facile, il n’est pas nécessaire d’utiliser un sol avec des caractéristiques particulières. Ainsi, un sol normal fera parfaitement l’affaire s’il est bien drainé. Mais, il faut bien que le sol soit bien riche pour le développement de la plante. Pour cela, il est possible de mélanger du sable et du compost pour favoriser le bon développement de cette plante. Durant les premiers mois, la plante aura besoin de ce type de sol.

La méthode pour bien cultiver le vinaigrier

Pour cultiver le sumac vinaigrier, il existe deux options disponibles. Il s’agit de l’utilisation :

  • Des graines ;
  • Des jeunes plants.

Pour utiliser un jeune plant, il suffit de le mettre en terre et de l’arroser régulièrement pour qu’il s’adapte à son environnement. Quant aux graines, il faut juste creuser un peu le sol et y mettre la graine. La profondeur du trou peut être de 6 cm ou plus. Là aussi, il faudra arroser régulièrement la plante durant les premiers mois. Il faut éviter de mettre un sumac de Virginie dans un petit jardin. En effet, cette plante se développe très rapidement et sera perçue comme envahissante dans un espace réduit. Elle se multiplie grâce à ses racines qui peuvent apparaître très loin de la tige d’origine.

L’on peut aussi utiliser des boutures pour la multiplication du sumac de Virginie. De préférence, l’on choisira les boutures semi-ligneuses en été et les boutures de racines en hiver.

Quel est le coût d’une culture de vinaigrier ?

La culture d’un vinaigrier ne nécessite pas un gros investissement.

En Europe

Pour une culture par graines, il faut compter entre 5 et 15 euros à consacrer à l’achat des semences. Pour l’achat de jeunes plants, un budget compris entre 10 et 20 euros est suffisant. Cependant, le prix varie en fonction de la hauteur choisie pour le jeune plant. En fonction de cette hauteur, le prix peut monter jusqu’à 100 euros.

Au Québec et en Amérique

On peut facilement le trouver à l’état sauvage.

On peut aussi se le procurer pour environ $10 canadiens.

Quel entretien pour un vinaigrier ?

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

L’entretien à apporter à un vinaigrier dépend de plusieurs éléments. Ce sont principalement :

  • Les nuisibles et insectes ;
  • Les maladies ;
  • Les particularités du jardin ;
  • La saison.

En effet, en fonction de ces éléments, un vinaigrier en croissance peut nécessiter beaucoup de soins ou non.

Quel arrosage pour un bon développement du vinaigrier ?

Le développement du vinaigrier peut varier en fonction de l’arrosage qu’on lui apporte. En effet, après la période d’adaptation de la plante, celle-ci n’a pas réellement besoin qu’on l’arrose. Le vinaigrier est une plante qui s’adapte parfaitement bien à un sol sec. Il est donc possible de ne pas l’arroser du tout. Cependant, en période de sécheresse, arroser le vinaigrier deux à trois fois par semaine lui permet de rester en bonne santé. C’est essentiel si l’on veut éviter d’avoir une plante de 3 m au lieu d’une plante de 5 m après une croissance normale.

Quels soins doit-on apporter au vinaigrier ?

Les soins qu’il est possible d’apporter au vinaigrier ne sont pas très nombreux. On peut simplement laisser la nature faire son œuvre, si l’on a la chance de posséder un grand jardin. Cependant, dans un grand jardin, la plante va s’étendre et peut-être envahir un grand espace. Pour éviter cela, il faut de temps à autre :

  • Tailler la plante ;
  • Retirer les drageons créés par les racines.

Tailler la plante n’est pas forcément une nécessité, mais cela permet de lui donner une belle forme. Il suffit d’élaguer les branches du bas et de laisser celles du haut. Ainsi, l’on peut donner une forme de couronne à la plante.

ENLEVER LES DRAGEONS CRÉÉS PAR LES RACINES QUI S’ÉTENDENT VOUS ÉVITE D’AVOIR DE NOMBREUSES PETITES POUSSES QUI ENTRERONT EN COMPÉTITION AVEC LA PLANTE MÈRE.

 

De plus, à la fin de l’hiver, vous pourrez couper les pousses florifères à moitié. Le but de l’opération est de conserver une charpente équilibrée pour la plante et de favoriser ainsi de nouvelles pousses.

Protéger et soigner un vinaigrier

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Protéger et soigner un vinaigrier est la bonne formule pour la garder longtemps.

Insectes, nuisibles et maladies

Les insectes et les nuisibles sont généralement les principales menaces contre lesquelles il faut lutter pour garder une plante en vie. Cependant, le sumac de Virginie est assez résistant contre de nombreuses phytopathologies. Cependant, il est important de craindre principalement deux maladies : la maladie du corail et la verticilliose. Il est possible de se débarrasser des insectes et autres parasites du vinaigrier en utilisant des produits chimiques spéciaux.

La maladie du corail est due à un champignon microscopique. Elle se manifeste par le dépérissement de branches entières de l’arbre ou un flétrissement subit du feuillage. Pour la prévention, il est conseillé de désinfecter les outils que l’on utilise pour tailler le vinaigrier. On peut aussi traiter ce dernier avec de la bouillie bordelaise. Pour le traitement, il est recommandé de couper les parties atteintes et de les brûler sans lambiner.  Le même principe doit être suivi lors d’une épisode de verticilliose.

Quelques astuces pour le bien-être du vinaigrier

Pour le bien-être du vinaigrier,

  • Évitez de le mettre ensemble avec une autre plante, lors de la plantation (elle pourra bien s’épanouir et ne portera pas préjudice à l’autre plante);
  • Évitez de tailler le sumac de Virginie trop souvent;

Vous pouvez aussi limiter le champ d’action de la plante avec un seau. Pour cela, il faut enterrer un seau dont le fond est découpé autour de la plante. La hauteur du seau doit pouvoir empêcher le développement des drageons tout en permettant un bon drainage du sol.

Les précautions à observer en manipulant le vinaigrier

Le sumac de Virginie n’est pas une plante toxique à proprement parler. Cependant, le latex de la plante est toxique. De plus, son contact avec la peau peut être à l’origine d’allergies et de dermatoses. Vous devez donc en somme :

  • Éviter les espèces toxiques du genre Rhus ;
  • Éviter le contact entre la sève du vinaigrier et la peau.

Dans le genre Rhus, d’autres espèces sont à manipuler avec précaution. Par exemple Rhus toxicodendron possède une sève très corrosive et Rhus vernicifera une sève toxique. Cette dernière est utilisée dans la production de la laque du Japon. De plus, certaines espèces du genre Rhus possèdent des baies toxiques.

Que retenir sur le sumac de Virginie ? Le vinaigrier est une plante pas comme les autres, mais d’une grande beauté. Elle ne nécessite pas des soins d’entretien intensifs et tombe rarement malade. Une fois la plantation réussie, il vaut mieux laisser la plante s’épanouir. Il faut également prendre certaines mesures pour ne pas tomber malade soi-même. Malgré ses nombreux bienfaits, le vinaigrier est une plante à manipuler avec précaution.

 

 

 

 

 

 

Les fausses maladies que les laboratoires inventent pour s’enrichir sur les gens en bonne santé

Leur stratégie est la suivante : les laboratoires se saisissent de troubles légers, de symptômes communs ou de petits désordres de la vie de tous les jours et en fabriquent des maladies de toutes pièces, à grand renfort d’études, de publications et d’arguments cliniques. Miracle : avant que la maladie ne soit découverte, ils disposent déjà du médicament !

Le sujet peut prêter à rire, mais c’est pourtant une réalité : les laboratoires pharmaceutiques inventent sans cesse de nouvelles maladies, dans l’unique but d’élargir leurs parts de marché et de nous vendre davantage de médicaments. Jouant sur un détournement pernicieux du lien de confiance (et de dépendance) qui unit le patient à son médecin, manipulant bien souvent le monde médical lui-même, les vendeurs de molécules, pour continuer à s’enrichir, n’ont plus d’autre choix aujourd’hui que d’étendre à l’infini le périmètre des maladies et des malades, faute de nouvelles inventions lucratives comme le furent en leur temps les génériques ou les antibiotiques.

Leur stratégie est la suivante : les laboratoires se saisissent de troubles légers, de symptômes communs ou de petits désordres de la vie de tous les jours et en fabriquent des maladies de toutes pièces, à grand renfort d’études, de publications et d’arguments cliniques. Miracle : avant que la maladie ne soit découverte, ils disposent déjà du médicament ! C’est ainsi que les nouvelles pathologies fleurissent de nos jours un peu partout, alors qu’elles ne sont parfois que des sommes de symptômes isolés qui existaient auparavant, véritables cadavres exquis.

Dans l’univers médical, on appelle ce type d’escroquerie le « façonnage de maladies » et plusieurs chaînes de télévision lui ont déjà consacré des documentaires, peut-être trop vite tombés dans l’oubli.

Ainsi, le reportage de Cash investigation intitulé « Les vendeurs de maladies » est consacré à deux fausses maladies qui ont fait relativement scandale dans la première décennie de notre siècle : le « syndrome métabolique », alias le « syndrome de la bedaine » et l’ostéoporose. Le premier aurait été découvert en 1995 et concernerait une personne sur quatre (sic). Tous les médias en ont parlé au moment où, en 2007, le géant Sanofi a prétendu avoir trouvé la solution : l’Acomplia, une molécule de son cru, évidemment. Mais qu’est-ce que le syndrome de la bedaine ?

En réalité, de l’hypertension, du cholestérol, du diabète et du surpoids qui, collés tous ensemble, ont donné naissance à un nouvel emballage capable de décimer des populations entières à coups d’infarctus, d’AVC, de kystes et d’hépatites. Enfin sur le papier.

 

En 2007, l’Acomplia est immédiatement mis sur le marché et les médecins, désinformés, se poussent pour le prescrire, alors que tous les outils pour soigner chaque symptôme existent déjà et ont prouvé leur efficacité. Vous vous en souvenez peut-être, de gigantesques campagnes de communication sont lancées, des dizaines de milliers de médecins sont démarchés, des fausses études, des articles trompeurs, des livres sont publiés à tout-va, relayés par les médias qui croient accomplir leur devoir d’information et d’intérêt général. C’est toute une machinerie de manipulation qui se met en route et tourne alors à plein régime. L’Acomplia engrange des millions. 

Mais au bout d’un an et demi, on s’aperçoit que le médicament a produit des effets secondaires graves chez un millier de patients en France, les médecins sonnent l’alerte. Troubles psychiatriques, délire, panique, agressions, insomnies, angoisses, tendances suicidaires, la molécule est devenue incontrôlable et fait dix morts, dont quatre par suicide. Le ministère suspend alors la vente du médicament. Le reportage nous apprend ensuite que Sanofi connaissait dès les essais cliniques les effets secondaires du médicament, mais que ceux-ci avaient été minorés par le laboratoire et ignorés par les autorités sanitaires qui, dans le doute, avaient agi en faveur du médicament.

Pour l’ostéoporose, à savoir la « détérioration des os à cause de la vieillesse », l’histoire est la même. D’immenses campagnes de contrôle des individus sont financées par des fondations ou des associations derrière lesquelles on retrouve toujours de grands laboratoires pharmaceutiques. Sur la base d’examens ultra-rapides et douteux, des équipes déterminent si la densité de vos os est égale ou inférieure celle d’une femme de trente ans, qui fixe la norme en vigueur.

 

Vous n’avez pas cette densité ? Vous êtes malade, vous avez l’ostéoporose, même si vous vous sentez en parfaite santé. Seulement, le médicament commercialisé par l’entreprise Merck ne réduit le risque de fracture brutale des os que chez une personne sur cent ; parallèlement, on découvre que quatre personnes sur cent sont susceptibles, au bout de quatre ans de traitement, de développer une nécrose de la mâchoire. Au lieu d’être utile, le médicament s’avère dangereux. 

Mais l’arnaque ne s’arrête pas à ces maladies. Elle touche tous les domaines de la santé, avec une prédilection pour le sexe et les maladies chroniques. Prenez le diabète et le cholestérol. Il y a trente ans, on était diagnostiqué diabétique quand notre glycémie dépassait les 140 milligrammes par décilitre de sang ; sauf qu’en 1997, un comité d’experts de l’OMS (qu’on sait très proche des laboratoires) décide de baisser le seuil à 126 milligrammes.

Résultat : des dizaines de millions de personnes à travers le monde deviennent tout à coup diabétiques. Idem pour le cholestérol : en 1998, le seuil est abaissé de 240 milligrammes à 200, projetant par là même 43 millions d’Américains dans la catégorie des malades et faisant augmenter les clients des laboratoires de 86 % aux États-Unis.

En France, il y avait en 1985 un million de personnes concernées par le cholestérol ; aujourd’hui, depuis que le seuil est passé de trois à deux grammes par litre de sang, il y en a sept millions. C’est une épidémie sur mesure, programmée pour vendre davantage de médicaments, avec la bénédiction des autorités sanitaires.

Dans le domaine du sexe, tout est désormais médicalisé. L’impuissance féminine, les difficultés d’érection, l’éjaculation précoce, la ménopause, l’andropause, la sécheresse vaginale et des milliers d’autres symptômes sont de plus en plus en voie d’intégrer les grandes classifications des maladies, à l’égal d’Alzheimer, des allergies, de la fatigue chronique, de la spasmophilie, de la dépression…

Pour chacune de ces fausses pathologies, les laboratoires possèdent un traitement ; et plus la maladie est nouvelle, plus le traitement est coûteux. La chute naturelle des cheveux chez les hommes, vieille comme le monde si l’on peut dire, est elle-même en passe de devenir une pathologie. De nos jours, 43 % des femmes de 18 à 59 ans souffriraient de dysfonctionnements sexuels, aurait révélé une étude menée par des experts aux conflits d’intérêt évidents. Voilà à quoi ressemble l’avenir : bientôt, nous serons tous malades de quelque chose et nous aurons tous besoin de médicaments.

C’est ce que montre un reportage de Sophie Bonnet : « Maladies imaginaires : le nouveau jackpot pour les labos ? » En vingt ans, depuis les années 2000, des centaines de nouvelles maladies ont été ajoutées aux anciennes dans le monde. Pour vous donner une idée, dans les années 1950, le Manuel diagnostique et statistique des troubles mentaux (DSM) comportait 60 maladies ; aujourd’hui, ses 500 pages en comptent plus de 400, de la schizophrénie à la « phobie sociale », c’est-à-dire la timidité, considérée dès lors comme une maladie qu’on peut guérir par des antidépresseurs.

 

Encore une fois, on part d’une réalité somme toute normale et on fabrique une maladie, sans penser aux conséquences de cette médicalisation outrancière des individus, que l’on maintient dans une anxiété vertigineuse d’eux-mêmes, qu’on pousse à devenir hypocondriaques, parce que cet état est propice à la consommation de médicaments. Pire, c’est tout un système institutionnel de santé qui corrobore cette pathologisation des individus : quand un médecin ou un psychiatre prétend qu’on est malade, comment nous opposer ?

En France, 20 000 visiteurs médicaux écument en permanence les cabinets des médecins, s’immisçant dans tous les hôpitaux, dans les médias, les revues spécialisées, les pharmacies… Ce monde hautement lucratif de la santé est monopolisé par une bonne dizaine d’entreprises multinationales, qui déversent dans notre pays quelque 300 nouveaux médicaments par an.

Selon l’Inspection générale des affaires sociales, les laboratoires dépenseraient 25 000 euros par an et par médecin pour la promotion des médicaments, c’est-à-dire en trafic d’influence. Ils organisent des congrès, défraient les médecins qui y sont invités, financent certains d’entre eux pour gagner leur zèle, font courir des bruits sur les vertus d’une nouvelle molécule, le miracle d’un nouveau médicament, s’accaparent des revues scientifiques honorables, montent des fondations, font du mécénat, débloquent des opportunités…

Et même si les médecins sont de bonne foi, ils sont manipulés de toute part. Pour les autres, l’argent est le meilleur argument. 

 

En permettant que des mastodontes de la pharmacie existent, en les finançant grâce à l’argent public, en les laissant s’introduire dans toutes les institutions, nous avons donné naissance à un système monstrueux qui n’a plus rien à voir avec la noble cause de la santé. Les scandales du Mediator ou de la grippe A en 2009 nous l’ont montré : le corruption occupe tous les milieux, des laboratoires aux politiques en passant par les spécialistes, déterminés de concert à médicaliser le plus grand nombre d’individus, pourvu que la santé reste profitable.

Aujourd’hui qu’il existe une pilule ou une perfusion pour chaque chose, même pour les petits désordres de la vie courante qui ont toujours existé et qui devraient être réglés par le corps lui-même ou l’esprit, nous avons oublié que les médicaments sont dangereux, que s’ils tuent 18 000 personnes chaque année, c’est parce qu’ils consistent à modifier l’équilibre chimique de notre corps. De ce fait, ils doivent être utilisés avec le plus grand soin et ne jamais faire l’objet d’aucun compromis, d’aucun détournement.

En médicalisant le monde entier, les laboratoires espèrent s’enrichir sur les personnes en bonne santé. Dans ce chaos moléculaire, il n’existera bientôt plus que deux types de patients, comme le rappelle le reportage de Cash Investigation : ceux qui sont bel et bien malades et ceux qui ne le savent pas encore. Pour aller jusqu’au bout de leur stratégie, les firmes pharmaceutiques nous font peur, elles nous rendent étrangers à notre propre corps, craintifs de notre propre esprit.

Crainte du vieillissement, du suicide, de l’infarctus, peur de l’échec scolaire ou professionnel, de la solitude, de la tristesse, ce sont autant de terrains présents en chacun de nous et sur lesquels raffinent effrontément ces entreprises. Mais les aléas de la vie, les pannes sexuelles, le passage de la jeunesse à la vieillesse ne sont pas des symptômes et ne font pas de nous des malades : au contraire, c’est l’être humain tout entier, c’est notre humanité elle-même. La véritable maladie, ne serait-ce pas plutôt la voracité et le gigantisme de ces titans de la pharmacie ?

– Source : La Relève et La Peste

 

 

 

 

 

 

Survivre au Nouvel Ordre Mondial:Contrôler et abolir la consommation de ces aliments qui vous tuent chaque jour

Saviez vous que certains aliments que vous mangez quotidiennement vous tuent chaque jour un peu plus ?  Alors, analysez ce que vous mangez et commencez à faire les bons choix dès aujourd’hui. Essayez d’éviter ou de limiter la consommation de ces aliments autant que possible. Ils entraînent l’hypertension artérielle, l’hypercholestérolémie, les maladies cardiaques, le diabète, la maladie d’Alzheimer et même le cancer., sans oublier l’obésité et toute l’anxiété et la dépression qui peuvent l’accompagner.

Les gouvernements néolibéraux ,à la solde du Nouvel Ordre Mondial, ne limiteront  jamais ces aliments toxiques car ils en  récupèrent des taxes et qui plus est,permettent de limiter la population en général!Le Canada et ses gouvernements provinciaux  n’interdiront jamais la consommation de gras saturé,ni certaines variétés de viandes dont on a injecté divers éléments chimiques afin de grossir le volume …et les profits!


Sauce tomate en conserve

La sauce tomate en conserve est un tueur déguisé. C’est une source cachée de sucre et il ne vous viendrait même pas à l’esprit que cela pourrait entraîner un risque accru d’obésité, de diabète, de maladie cardiaque et même de carie dentaire. Pour éviter ces problèmes, utilisez des tomates fraîches pour préparer la sauce vous-même, ou optez pour des tomates en purée sans sucre ni sel supplémentaires et ajoutez vos propres épices. Ou du moins, optez pour des marques qui contiennent moins de sucre et de sodium.

Les sodas

Les boissons gazeuses ou sodas sont vos pires ennemis. Ils peuvent tout gâcher, qu’il s’agisse de votre peau, de votre glycémie, de vos hormones ou de votre humeur. Oubliez le marketing et les étiquettes qui disent que c’est bon pour vous ou qu’il contient des nutriments ou des vitamines. Tout ce qu’il contient, c’est du sucre, des colorants alimentaires et des conservateurs. Et les versions sans sucre ne sont pas meilleures car elles sont remplies d’édulcorants artificiels nocifs. Achetez un mixeur ou un fabricant de jus et faites votre propre jus, s’il vous plaît. Et si les bulles vous manquent, vous pouvez toujours ajouter votre jus de fruits maison à de l’eau pétillante, et voilà

 


Le sucre

Si vous aimez le sucre, il existe des moyens beaucoup plus sains de satisfaire vos envies. Le sucre crée une forte dépendance et, outre le fait d’augmenter votre glycémie et de créer de la graisse, il peut entraîner des maladies cardiaques. Évitez le sucre autant que possible pour réduire le risque de diabète, de cancer, d’obésité, de maladie cardiaque et bien plus encore. Savourez un bol de fruits ou ajoutez du miel à vos recettes au lieu de sucre.

Les charcuteries

Les charcuteries comme le salami, le jambon, le saucisson, etc. sont pleines de nitrates, de sodium, d’agents de conservation et d’additifs. Toutes ces substances peuvent augmenter le risque de cancer, de maladies cardiaques, de diabète et même de problèmes de comportement et d’apprentissage chez les enfants. Pour diminuer les effets négatifs, optez pour les charcuteries de votre boucherie locale plutôt que celles des supermarchés. Ou mieux encore, apprenez à les éviter tout court.

Les huiles végétales

L’huile végétale fait partie de la cuisine et nous n’y pensons même pas à deux fois. Mais certaines de ces huiles sont des OGM et nous n’avons encore aucune idée des effets à long terme que ces produits peuvent avoir. De plus, les huiles végétales contiennent des gras trans dangereux qui peuvent déclencher des maladies cardiovasculaires, l’obésité, le cancer et la maladie d’Alzheimer. Vérifiez l’étiquette et si l’huile est raffinée, évitez-la car elle contient des radicaux libres qui peuvent favoriser la croissance du cancer, accélérer le vieillissement et causer toutes sortes de problèmes. Optez pour des alternatives saines comme l’huile d’olive, l’huile de noix de coco ou l’huile d’avocat.

La margarine

Encore une fois, la publicité est à blamer pour les GRANDES idées fausses sur la margarine. Ce n’est pas sain ! C’est l’un des aliments les plus malsains de votre alimentation. Alors, arrêtez ça ! La margarine est comme une version très mauvaise du beurre fait d’huiles végétales hydrogénées et c’est plus contre nature que vous ne le pensez. C’est de la chimie pure. Alors qu’est-ce qu’il y a de si mauvais là-dedans ? Ce sont les gras trans qui peuvent endommager votre cœur, vos vaisseaux sanguins et altérer votre taux de cholestérol. Passez au beurre pour une alternative plus saine. D’autres alternatives saines sont l’huile d’olive et l’huile d’avocat que vous pouvez étaler sur votre pain. Évitez la margarine, s’il vous plaît !

Hot-dogs

Les hot-dogs et les autres viandes fumées et salées contiennent beaucoup d’agents de conservation qui sont mauvais pour la santé. Le Physicians Committee for Responsible Medicine a comparé les effets de la consommation de hot-dogs aux effets de la cigarette. Si vous n’êtes pas encore convaincu, sachez que les hot-dogs sont riches en sodium et en toxines qui augmentent votre risque de cancer. Si vous ne pouvez pas résister, assurez-vous au moins que vos hot-dogs sont sans produits chimiques et la fameuse saucisse issue de vraies boucheries.

Les chips

Tous les aliments frits contiennent une substance dangereuse appelée acrylamide. Les chips ne font pas exception. L’acrylamide augmente le risque de cancer du côlon, du sein, de la prostate et du rectum. Évitez donc les chips ou faites-en une version plus saine à la maison. Mettez un peu d’huile d’olive sur les pommes de terre tranchées, saupoudrez d’une pincée de sel, et faites cuire au four. Nous vous promettons qu’elles seront délicieuses.

Les vinaigrettes en bouteille

Les vinaigrettes en bouteille sont pleines de sucre, de couleurs artificielles et de sirop de maïs à haute teneur en fructose. Une fois que vous avez noyé votre salade dans ce désastre nutritionnel, vous pourriez aussi bien manger un paquet de chips ou un hot dog à la place. Laissez tomber les vinaigrettes en bouteille et utilisez du jus de citron, du vinaigre de cidre de pomme ou du vinaigre balsamique avec de l’huile d’olive pour une vinaigrette saine.

Les sucres artificiels

Non, ce n’est pas mieux que du sucre. En fait, ils sont souvent pires. Les édulcorants artificiels comme l’aspartame, le néotame, l’acésulfame, le potassium, etc. peuvent contenir moins de calories, mais ils peuvent quand même augmenter le risque de diabète, d’hypertension, de maladie cardiaque et de syndrome métabolique. Vous ne l’avez peut-être pas remarqué, mais de nombreuses gommes sans sucre contiennent de l’aspartame, qui est considéré comme la substance la plus dangereuse au monde. Le sucre a des substituts sains comme le miel, le sirop d’érable et le sirop d’agave, pour n’en nommer que quelques-uns.



L’alcool

Nous sommes désolés de vous l’annoncer, et encore une fois, beaucoup ne seront pas d’accord, mais l’alcool n’a aucun effet bénéfique sur la santé. Il est extrêmement riche en calories, peut causer de la déshydratation, des dommages au foie, un gain de poids, la dépression et des problèmes de peau. Sans parler des mauvaises décisions que vous prenez sous l’influence de l’alcool. Donc, si vous voulez endommager tous vos systèmes, du cerveau au foie en passant par la peau, buvez les paroles des publicitaires et buvez de l’alcool quotidiennement. Sinon, évitez-le définitivement.

Le pain blanc et les farines raffinées

Les céréales sont bonnes, non ? Le pain doit être bon aussi ? Pas si c’est du pain blanc fait avec des farines raffinées. La farine blanche est dépouillée de toutes les fibres nutritives, minéraux et vitamines, et tout ce que vous obtenez, c’est des déchets de céréales mélangés à des produits chimiques pour obtenir la belle couleur blanche. Mais derrière, il y a le risque de prise de poids, de lésions thyroïdiennes et de lésions d’organes. Optez plutôt pour les grains entiers et complets !

Les produits laitiers

Oui, le lait est la première nourriture que nous mangeons dès notre venue au monde. Mais le lait maternel est très différent du lait maternel d’une vache. De plus, en vieillissant, nous développons une intolérance au lactose. Les produits laitiers sont liés à une faible absorption de nutriments, aux migraines, à l’arthrite, au cancer, aux allergies et à l’asthme. Encore une fois, oubliez la publicité et passez au lait de coco ou au lait d’amande, ça a bon goût et ça ne vous tuera pas lentement comme du lait de vache.

Les viandes grillées au barbecue

L’odeur du barbecue est peut être une des plus difficile à laquelle résister, mais vraiment essayez. Les produits chimiques qui pénètrent dans la viande pendant le processus sont associés au risque de cancer du pancréas et du sein. Si vous ne pouvez pas résister, essayez de limiter la consommation de viande cuite au barbecue et pensez à ajouter du romarin à votre hamburger pour réduire la quantité et le nombre de carcinogènes.

Les barres de céréales énergétiques

Les barres énergétiques peuvent être nécessaires pour les athlètes qui ont besoin d’un coup d’énergie rapide, mais si ce n’est pas votre cas, essayez de résister à ces savoureuses bombes caloriques. Les barres énergétiques contiennent beaucoup de sucre, du sirop de maïs à haute teneur en fructose, des agents de conservation et peuvent contenir des gras trans. C’est donc essentiellement des bonbons pleins de calories, de sucre et d’ingrédients artificiels. En d’autres termes, c’est une bombe à retardement.

Les fast-food

Bien sûr, la restauration rapide a bon goût, c’est assez bon marché et c’est partout et bien pratique parfois. Mais qu’est-ce qui le rend si bon ? Ce sont les mêmes choses qui vous tuent lentement : les gras trans, le sucre, le sel, les agents de conservation, les additifs, les colorants et autres produits chimiques qui rehaussent l’apparence et le goût de ces aliments. La restauration rapide peut affecter votre risque de diabète, de maladies cardiovasculaires, de cancer, de troubles de l’humeur, de prise de poids, de troubles métaboliques, etc. Essayez au moins de réduire les fast-foods à une fois par mois.

Le blé

Le blé contient un glucide qui augmente soudainement et considérablement votre glycémie. Cela déclenche une production élevée d’insuline et une prise de poids. Avec le temps, votre pancréas deviendra surmené et vous deviendrez résistant à l’insuline, et vous pourrez alors devenir diabétique. L’hyperglycémie déclenche la production de composés qui accélèrent le processus de vieillissement et vous donnent une peau ridée. Ainsi, vous vieillirez plus rapidement et serez sujet au diabète, ce qui est en soi un gros problème donc limitez là aussi.

Les céréales au petit déjeuner

Encore une fois, il faut blâmer la publicité. Les céréales pour petit-déjeuner ne sont pas inoffensives comme leurs couleurs joyeuses et joyeuses et les jouets à l’intérieur de la boîte pourraient le suggérer. En fait, ils contiennent du sucre, des colorants artificiels, des agents de conservation, des produits à base d’OGM, et ils sont souvent dépouillés des éléments nutritifs qu’ils avaient avant leur transformation. Essayez plutôt des flocons d’avoine avec des fruits frais ou séchés. C’est délicieux, et c’est bon pour vous.

Les jus de fruits dans les grandes surfaces

Ne croyez pas les grosses étiquettes flashy qui font croire que le jus est fait de 100% fruits. La plupart du temps, le secret est dans les petits caractères. Les jus de fruits commerciaux contiennent souvent du sucre ajouté, des colorants, des agents de conservation et peuvent perdre leurs nutriments pendant la pasteurisation. Votre meilleur choix est de trouver un bar à jus local de confiance ou de faire votre propre jus de fruits à la maison. Nous opterions pour cette dernière solution. Amusez-vous et explorez de nouveaux goûts.

Le sel

Le sel joue un rôle important dans la régulation de notre tension artérielle. Si vous mangez trop de sel, vous souffrirez d’hypertension artérielle et serez exposé à un risque accru de maladie cardiovasculaire, qui est l’une des principales causes de décès dans le monde. Alors, n’éliminez pas tout le sel, car votre corps en a encore besoin mais limitez-en la quantité et faites attention à la teneur en sodium des aliments transformés. Seulement 3,75 grammes de sodium par jour est une quantité suffisante et sûre. Tout ce qui comporte plus de 6 grammes pose un risque sérieux pour la santé.

 

Vie humaine:Les 7 choses qui se passent dans le corps lorsqu’on meurt

Le corps fonctionne grâce à un équilibre précis. Quand le cœur s’arrête, tout cesse de fonctionner progressivement. Avec le Dr Michel Sapanet, médecin légiste, Medisite part à la découverte de la dégradation du corps humain.

Quand est-on mort ?

La mort n’est pas un mécanisme immédiat, la durée du processus varie de quelques secondes à plusieurs heures. Dans le sens commun, la mort arrive quand le cœur arrête de battre. La réalité peut être toute autre. Par exemple, en réanimation, la mort du cerveau peut être constatée alors que le cœur et les poumons peuvent continuer de fonctionner plusieurs jours. Le prélèvement d’organe, à part celui de la cornée, se réalise d’ailleurs avant la mort totale. Une fois que le cœur cesse de fonctionner, beaucoup de phénomènes se produisent dans le corps.

Ce qu’il se passe dans le corps après la mort

Le corps change de température

 

Dans son fonctionnement normal, la température corporelle s’équilibre. Mais, quand le cœur s’arrête, des phénomènes cadavériques interviennent. « Plusieurs phénomènes de régulation permettent à la température du corps de se maintenir à 37 degrés. Une fois mort, la température baisse progressivement et tend à rejoindre celle de l’environnement. En moyenne, le corps perd un degré par heure », décrit le Dr Michel Sapanet, médecin légiste et directeur de l’Institut médico-légal de la région Poitou-Charentes. C’est d’ailleurs cette évolution de la température qui permet au médecin légiste de dater la mort.

 

Le corps se rigidifie

 

Toutes les cellules du corps s’oxygènent grâce à la respiration et à la circulation sanguine. Quand le cœur cesse de battre, les cellules ne sont plus alimentées en oxygène et s’autodétruisent. Ce phénomène cause une rigidité cadavérique et débute environ deux heures après le décès. « Le corps devient acide à l’intérieur, toutes les fibres musculaires se contractent, à commencer par la nuque et les muscles masticateurs », souligne le Dr Sapanet, auteur des « Chroniques d’un médecin légiste ».

 

Le corps se colore

Le sang se compose de sérum et de globules rouges. Après l’arrêt cardiaque, les globules rouges se déposent sur les parties basses du corps entrainant une coloration lie de vin. « Ces lividités cadavériques n’existent pas là où il y a des points de pression comme celle du soutien-gorge. Elles permettent au médecin légiste de définir la position du corps lors de la mort », détaille le Dr Sapanet.

 

Le corps se déshydrate

Rapidement après la mort, le corps se déshydrate. Premier marqueur de ce phénomène, la cornée qui se dessèche et devient trouble. Les doigts et les orteils sont également rapidement touchés par la déshydratation.

 

L’odeur se modifie

24 heures après la mort, une tache verte apparaît sur l’abdomen, dans la région de l’appendice. « Cette tache résulte des pigments de la matière fécale. Ces pigments migrent à travers la paroi et sont le premier signe de la putréfaction abdominale », illustre le médecin légiste. De plus, l’odeur du corps se modifie. Avec les heures, l’odeur tend vers celle de la viande froide. « Lors de la putréfaction, le corps émet des odeurs, en particulier de certains fromages ».

Le corps gonfle

Au fil des jours, le corps se dilate sous l’effet des gaz de putréfaction et gonfle. Il devient noir, des bulles apparaissent sur la peau. Elles se remplissent d’un liquide jaune résultant de la fonte de la graisse. Puis la dégradation tend vers une liquéfaction progressive.

Le squelette se désunit

La peau se met à suinter, les cheveux tombent, les parties molles et le corps s’affaissent. Ensuite, arrive le moment de la désunion. Cette étape n’est pas immédiate et prend du temps. Peu à peu, le corps se désunit jusqu’à former un squelette disloqué. Ce sont les doigts qui tombent les premiers alors que les grosses articulations restent connectées plus longtemps.

 

L’esprit  se tiendrait pendant trois jours et plus …près du corps,mais ceci les médecins n’osent pas en parler.Nous vivons une période axée sur le matérialisme.

 

 

 

 

Le chef hamburger Jamie Oliver prouve que les hamburgers de McDonalds sont « impropres à la consommation »

Jamie Oliver a remporté son long combat contre l’une des plus grandes chaînes de fast food au monde, McDonald’s.

 

Après qu’Oliver ait montré comment les hamburgers McDo étaient fabriqués, la chaîne franchisée a finalement annoncé qu’elle changera ses recettes, annonce à peine reprise dans les médias. Oliver ne cesse d’expliquer, depuis des années, dans des documentaires, des émissions de télé et des interviews, que les parties grasses de la viande de bœuf sont « lavées » dans de l’hydroxyde d’ammonium et utilisées pour les hamburgers. Avant ce procédé de « lavage », selon Oliver, la viande est réputée impropre à la consommation humaine. Il explique que « fondamentalement, nous prenons un produit qui serait vendu dans des filières discount pour chiens, et qui, après ce procédé, est donné aux êtres humains ».

Outre la faible qualité de la viande, l’hydroxyde d’ammonium est dangereux pour la . Oliver parle du fameux « procédé pink slime ».
Qu’est-ce que le « pink slime » ? C’est un additif bon marché à base de viande de bœuf qui peut être ajouté à de la viande hachée ou transformée et servant ainsi d’agent de remplissage. Il se compose de morceaux de bœuf haché finement, de tendons, de graisse, de tissus conjonctifs qui ont été retirés mécaniquement dans une centrifugeuse chauffée à 38 °C afin d’en produire une pâte. Cette dernière est traitée à l’ammoniac ou à l’acide citrique pour l’élimination des bactéries, puis est finement broyée, pressée en blocs et surgelée pour son utilisation industrielle. Créé par Eldon Roth, le pink slime a été autorisé pour la nourriture des animaux autres que l’homme avant d’être, en 2001, autorisé pour la consommation humaine aux États-Unis.

Dans l’une de ses démonstrations hautes en couleur, Oliver montre aux enfants comment sont faits les nuggets. Après avoir mis de côté les meilleures parties du poulet, les restes (la graisse, la peau et les organes internes) sont traités pour devenir des nuggets.

En réponse à la mauvaise presse dont ce procédé a souffert grâce à Oliver, l’entreprise Arcos Dorados, le directeur de la franchise McDonalds en Amérique Latine, a dit qu’un tel procédé n’était pas pratiqué dans leur région. A noter qu’il en serait de même en Irlande et en Grande Bretagne où la viande provient de fournisseurs locaux.

Aux Etats-Unis, Burger King et Taco Bell avaient déjà abandonné l’utilisation de l’ammoniac dans leurs produits. L’industrie alimentaire utilise l’hydroxyde d’ammonium comme agent antimicrobien dans les viandes, ce qui a permis à McDonalds de détourner la « viande non comestible » et de l’utiliser autrement.

Le plus inquiétant est surtout le fait que, sous prétexte que l’hydroxyde d’ammonium est autorisé, par l’USDA (Département de l’Agriculture des Etats-Unis), comme composant dans la procédure de fabrication, les consommateurs ne savent pas quand ce produit chimique se retrouve dans leur nourriture.

Sur le site officiel de McDonalds, la société affirme que leur viande n’est pas chère parce que, le fait de servir chaque jour autant de personnes, leur permet d’acheter à bas prix à leurs fournisseurs et d’offrir ainsi des produits de la meilleure qualité.

Mais si le « pink slime » était vraiment la « meilleure qualité » que McDonald’s puisse trouver aux Etats-Unis, alors pourquoi ont-ils pu faire mieux en Amérique Latine et en Europe ? Plus précisément, pourquoi ne peuvent-ils apparemment pas faire mieux aux Etats-Unis ?

Toutes ces questions sont restées sans réponse de la part de McDonalds qui a nié que la décision de changer leur recette était liée à la campagne de Jamie Oliver.

Sur son site, McDonalds a admis qu’ils avaient abandonné le procédé.

 

source:http://lesmoutonsrebelles.com/le-chef-hamburger-jamie-oliver-prouve-que-les-hamburgers-de-mcdonalds-sont-impropres-a-la-consommation/

 

Pourquoi il ne faut pas boire l’eau du robinet

 

 

« Le plastique est partout : il est le produit le plus durable, insidieux et intime du monde. De la semelle de vos chaussures aux lentilles de contact dans vos yeux, du téléphone dans votre poche à la nourriture dans votre réfrigérateur, les preuves sont indéniables : nous vivons à l’ère du plastique. » Partant du constat simple que « si ce dernier améliore grandement notre quotidien, il est aussi à l’origine de déchets et de pollution microscopique ».

Orb Media s’est intéressé à sa présence dans l’eau potable – des études récentes ont déjà démontré qu’il avait envahi les océans et les lacs du monde entier. Des recherches menées par l’organisation et des chercheurs de l’University of Minnesota – School of Public Health, et relayées par The Guardian, ont prouvé que des fibres microscopiques en plastique coulent dans nos robinets.

Lors de l’enquête, 83% des échantillons prélevés dans une douzaine de pays ont été testés positifs à la présence de ces fibres (72% pour l’Europe, et la France). Ainsi, on consommerait du plastique à chaque fois qu’on boirait un verre d’eau (potable). Ces micro-plastiques contiendraient des produits chimiques toxiques liés au cancer et à d’autres maladies qu’ils libéreraient lors de la consommation par les poissons et les mammifères.

Si les scientifiques ne sont pas sûrs de leur provenance, ces fibres microscopiques pourraient être issues de l’abrasion quotidienne des vêtements, tissus d’ameublement et tapis, et atteindraient nos robinets après avoir contaminé les systèmes de traitement et de distribution de l’eau environnants. On notera par ailleurs que des particules de cette taille peuvent facilement migrer à travers la paroi intestinale et se déplacer vers les ganglions lymphatiques ou d’autres organes corporels.


En complément:une étude française

Deux millions de Français, sans le savoir, consomment de l’eau chargée en aluminium, pesticides, médicaments, produits radioactifs, anticancéreux…

Pesticides et nitrates

L’agriculture est largement mise en cause par l’association UFC-Que Choisir dans la pollution de l’eau du robinet par les pesticides et les nitrates. C’est une réalité, depuis 10 ans l’utilisation des pesticides n’a pas diminué. Si les agriculteurs persistent dans les pesticides et les nitrates, c’est pour éviter une baisse de rendement de leur production qui les obligeraient à mettre la clé sous la porte.

Mais les agriculteurs ne sont pas les seuls à être responsables de cette pollution.Régulièrement des dérogations sont délivrées par les autorités pour continuer à distribuer une eau non conforme.  Parfois les taux dépassent de 6 % la norme acceptable.

Peu de communes informent sa population sur la pollution de l’eau du robinet.

Le documentaire de Sophie Le Gall diffusé sur France 2 au début de mars 2012 explique que les autorités sanitaires se cachent derrières des chiffres pour ne pas affoler les populations.

En Eure et Loire l’État interdit aux communes de construire de nouveaux lotissements tant que l’eau du robinet est pollué. En attendant le reste de la pollution est toujours alimentée par une eau polluée.

Ailleurs comme en Seine et Marne des dérogations sont délivrées jusqu’à la mise en place d’un projet pour dépolluer l’eau du robinet. Les maires peuvent demander des dérogations pendant 9 années consécutives. En attendant l’eau est dite « conforme par dérogation ». La population ou les maires sont convaincus de la sincérité de l’État sur la conformité de cette eau. Pourtant, cette eau est dangereuse pour les femmes enceintes et les enfants.

Les entreprises en profitent pour proposer aux particuliers des solutions miraculeuses qui purifient l’eau. Le coût est de 3000 euros.

 

 Une directive du ministère de santé très discrète.

Le 22 février 2012, l’association Générations Futures révèle l’existence d’une directive du ministère de la Santé, discrètement entrée en vigueur il y a plus d’un an, et qui revoit à la hausse les concentrations autorisées de pesticides dans l’eau potable.

Instruction émise par la Direction générale de la santé le 9 décembre 2010 :

« Pour répondre aux exigences dans la lutte contre la pollution de l’eau, soit on met tout en œuvre pour réduire la présence des substances nocives, soit on préfère remonter les taux et prétendre à une amélioration de la situation. C’est un peu comme si on changeait les degrés sur un thermomètre pour faire croire qu’il fait moins chaud.«

Vu sur Owni

La France est actuellement  poursuivie par Bruxelles pour ne pas respecter la législation européenne de 1991 sur la pollution des eaux aux nitrates.

 

L’aluminium 

sulfate aluminiumL’eau du robinet peut avoir une teinte jaunâtre suite à des intempéries. Cette couleur ne satisfait pas les consommateurs même si l’eau est pure. Pour rendre l’eau du robinet plus limpide, certaines stations d’épuration utilisent la floculation au sulfate d’aluminium. Depuis 35 ans de nombreuses études affirment qu’au-dessus de 100 mg d’aluminium par litre c’est un risque pour la santé humaine (démences et déclenchement de la maladie d’Alzheimer).

Pourtant, en Europe la norme tolérée est de 200 mg/l. Cette norme est souvent dépassée grâce à un joli détournement des chiffres.

Les autorités se cachent derrière les chiffres de « la référence de qualité » qui lui permet de rendre une eau non conforme, en eau conforme. Cette référence de qualité ne traduit pas un risque sanitaire direct. Si la DASS, en charge du contrôle de la conformité de l’eau dans chaque département, se base sur le chiffre de la « limite de qualité », l’eau serait considérée non conforme à la consommation.

L’État joue avec les chiffres, et les grands groupes de distribution tel que Véolia gère le risque médiatique. Le risque sanitaire est minimisé car les coûts de réhabilitations sont trop onéreux.

 

Résidus de médicaments

D’autres polluants tout aussi dangereux circulent dans l’eau du robinet : les résidus de médicaments issus des urines et de nos selles humaines et animales. L’industrie chimique et pharmaceutique, les élevages industriels qui bourrent les animaux d’antibiotiques… sont  responsables de cette pollution.

Les rejets des hôpitaux sont tout aussi préoccupants : anticancéreux, radioactifs, molécules toxiques…

Les stations d’épuration n’ont pas été prévues pour retenir les résidus médicamenteux. 70 à 80 % des résidus trouvés à l’entrée de la station réapparaissent après épuration.

Depuis 2009, l’Afssaps et l’Anses  ont commencé à analyser les eaux à la recherche de résidus de médicaments. En 2011 les premiers résultats tombent. Sur 45 molécules recherchées 19 ont été détectées (anti-épileptique, anxiolytique…). Pour le moment  ni la France ni l’Europe n’ont fixé de normes réglementaires.

40 millions de français boivent de l’eau du robinet.

 « Il y a près de deux millions de consommateurs qui paient pour de l’eau significativement polluée même si pour 97,5 % de la population globalement, l’eau est de bonne qualité grâce à la réglementation. » Sylvie Pradelle, administratrice nationale de l’association Que Choisir.

Les communes et les grands de la distribution de l’eau préfèrent laisser courir une eau non conforme plutôt que d’investir dans des usines trop coûteuses.

L’association Que Choisir dans sa dernière enquête sur la qualité sur l’eau du robinet fait un appel au secours. Elle est intervenue auprès des communes concernées pour qu’elles informent les consommateurs sur la pollution de l’eau.

« Elle demande aussi aux pouvoirs publics nationaux et européens :

– Une protection efficace de tous les captages ;

– Une application du principe constitutionnel pollueur-payeur dans le domaine des pollutions agricoles pour dissuader les pratiques agricoles polluantes ;

– Que les aides de la Politique Agricole Commune (PAC) soient réservées aux modes de production s’inspirant des principes des agricultures intégrées et biologiques. »

 

L’association a mis à disposition sur son site les résultats de ses analyses commune par commune

 Sophie Le Gall vu sur cdurable

« Autant de questions légitimes mais complexes qui méritent des informations détaillées et multiples… La gestion et le traitement de l’eau nécessitent la mise en oeuvre de technologies et de savoir-faire spécifiques pour garantir la qualité de l’eau distribuée, mais aussi la gestion durable de la ressource en eau et la préservation de l’environnement… Autant d’actions préventives de long terme pour limiter la pollution des milieux aquatiques.

 

Tous les résultats d’analyse sur la qualité de l’eau du robinet que boivent les français sont publics et consultables auprès de leur mairie ou de leur distributeur d’eau et sur Internet.

 

Quand un dépassement des limites définies par la réglementation est enregistré, les autorités sanitaires sont immédiatement averties afin qu’elles définissent si ce dépassement implique ou non un risque pour la santé publique. S’il n’y a pas de risque, elles peuvent délivrer une dérogation. S’il existe un risque, elles imposent une restriction d’usage adaptée. Dans les deux cas, la collectivité concernée doit s’engager dans un plan d’actions permettant le retour à la conformité dans les meilleurs délais. Les clients-consommateurs peuvent également contacter leur distributeur d’eau à tout moment en composant le numéro qui figure en haut à gauche de sa facture ».

 

Sources :
Documentaire de Sophie Le Gall
Que Choisir
Owni
Anses
cdurable

 

 

 

 

 

Génétique : un chercheur pirate son propre ADN dans l’espoir de rajeunir

Le chercheur en génétique américain Brian Hanley, 60 ans, teste une méthode assez étrange pour tenter de rajeunir. Véritable pirate de la biologie, il a modifié son propre ADN et commandé des copies, qu’il s’injecte depuis dans la jambe. Puis subit un protocole qui consiste à électrocuter la zone de l’injection afin de permettre aux brins d’ADN de pénétrer les cellules de son corps. Reste que cette auto-expérimentation soulève de nombreuses questions éthiques. 

 

 

Brian Hanley, 60 ans, est un généticien un peu particulier. Il souhaite être le premier être humain à parvenir à rajeunir en s’injectant de l’ADN modifié par ses soins. Il utilise pour cela une méthode expérimentale, dite d’électroporation. Son ADN, qu’il a en quelque sorte piraté, est répliqué selon MIT Technology Review grâce à une entreprise tierce qui propose ce service pour la somme de 10.000 dollars. Son espoir ? Rajeunir !

Un chercheur en génétique s’injecte de l’ADN modifié dans l’espoir de rajeunir

Normalement les recherches actuelles sur les thérapies géniques se concentrent sur l’utilisation d’un vaisseau, généralement un virus, pour insérer voire remplacer les nouveaux gènes directement dans la cellule. Cette méthode, plutôt couteuse, est encore à un stade hautement expérimental. Alors il a opté pour un autre protocole, à la fois plus simple et surtout beaucoup plus douloureux.

Un médecin lui injecte son ADN, une substance visqueuse, directement dans la cuisse. Ensuite, on lui plante deux électrodes tout autour de la zone de l’injection et un courant électrique est appliqué. Cela a pour effet d’ouvrir brièvement la membrane cellulaire, permettant en théorie aux brins d’ADN de pénétrer. Toujours en théorie, cet ADN ne va pas remplacer celui de la cellule.

Mais à l’intérieur, il peut néanmoins commencer à produire des protéines. Celle qu’il recherche, c’est le régulateur de l’hormone de croissance, GHRH qui est normalement sécrété par le cerveau. Sa sécrétion diminue avec l’âge et elle est impliquée dans le système immunitaire, et régule comme son nom l’indique la production d’hormone de croissance. On lui prête aussi des effets sur le vieillissement.

L’effet de cet ADN est temporaire – il finit par être éliminé. Pour vérifier si ça fonctionne son sang est ensuite étudié par des chercheurs de l’université de Harvard. Pour son expérience Brian Hanley a brulé quelques étapes : il est directement passé à l’expérimentation sur lui même, sans même tester la chose sur des cobayes animaux.

La Food And Drugs Administration ne lui a pour cela pas donné d’autorisation. Et s’il a obtenu le soutien de l’Insitute of Regenerative and Cellular Médecine, une institution qui fournit un encadrement éthique aux expérimentations sur l’Homme. Le problème, c’est qu’il précise lui-même avoir menti, en ne précisant pas qu’il allait s’auto-administrer son propre traitement.

Evidemment l’un des risques c’est que l’objectivité de l’étude en soit affectée. Renforcé par un conflit d’intérêt : Brian Hanley est désormais financièrement dépendant des conclusions de son expérience – il n’a pas droit à l’échec, même si celui-ci s’avérait inéluctable. Pour l’instant, les résultats montrent effectivement des niveaux de GHRH élevés suggérant que le traitement a bien eu un effet.

Mais les résultats restent partiels, selon MIT Technology Review. En outre, en l’absence d’une étude scientifique détaillée, il reste difficile d’apprécier l’authenticité des résultats. Nous vous proposons néanmoins de lire l’intégralité de l’article du MIT Technology Review sur le sujet (en Anglais) si vous souhaitez en savoir plus.

 

 

 

Des chercheurs vont tenter de ramener des morts à la vie

Des chercheurs américains vont tenter de ramener des morts à la vie. Ira Pastor, PDG de BioQuark, a indiqué vouloir faire des tests en Amérique latine, afin de « réveiller » des patients en état de mort cérébrale. Le but de la manœuvre est de les faire passer à un état « de conscience minimale ». Un projet qui soulève de nombreuses questions éthiques.

 

La science continue encore et toujours de progresser. Des projets sérieux de greffe de têtesont à l’étude et nous sommes déjà parvenus à reconnecter la moelle épinière de rats. Et il est même possible de modifier le code génétique d’enfants pas encore nés… Ici, l’idée deschercheurs de BioQuark serait de ramener des personnes en état de mort cérébrale à la vie, dans un état de « conscience minimale ».

Les chercheur de la société BioQuark vont essayer de ramener des morts à la vie

C’est le patron de cette société américaine, Ira Pastor, qui a indiqué dans une interview de la revue STAT que des essais seront effectués dans « un pays d’Amérique latine ». Pour parvenir au résultat escompté qu’est l’ « état de conscience minimale », plusieurs techniques seront utilisées en simultané :

  • Une stimulation du nerf médian situé le long du bras (méthode permettant déjà de faire sortir les gens du coma).
  • L’introduction de cellules souches (issues de la graisse du patient) dans le cerveau.
  • L’injection dans la moelle épinière de protéines chimiques créées en laboratoire.
  • Un traitement au laser transcranien (qui en temps normal a des effets neuroprotecteurs sur les personnes ayant fait un AVC)

Ira souligne :

Si une récupération complète des patients en état de mort cérébrale est bien l’objectif à long terme, ce n’est pas l’objectif principal de ce premier protocole.

Un projet qui semble fou, et, qui l’est vraiment ? Ce n’est pas pour rien si les tests seront effectués en Amérique latine : les faire aux USA est interdit. Des questions éthiques sont donc à soulever : les personnes en état de mort cérébrale ne peuvent donner leur consentement, et risqueraient bien de se retrouver dans un état végétatif…

De plus, comment justifier à ces personnes leur « retour » ? La morale risque bien d’en prendre un coup avec ce genre d’expériences, qui, même si elles apportent des résultats, semblent aller au-delà de ce que l’Homme devrait être capable de faire…


DÉVELOPPEMENT:

Greffe de la tête

 

Valery Spiridonovce, jeune milliardaire va se faire greffer la tête sur un autre corps. Le tout grâce aux efforts et aux recherches de Sergio Canavero, un neurochirurgien italien qui depuis des années est un spécialiste du sujet. Le destin de ces deux hommes était fait pour se croiser.

Rappelez vous, l’année dernière, nous avions déjà parlé de Valery Spiridonovce, un richissime russe âgé de 31 ans qui voulait se faire greffer la tête. Car souffrant d’une maladie rare, la maladie de Werdnig-Hoffman, très proche de celle qui touche malheureusement aussi le célèbre astrophysicien Stephen Hawking. Cette maladie dégénérative atrophie tous les muscles au fur et à mesure du temps, au point de devenir complétement paralysé.

Un milliardaire russe va se faire greffer la tête sur un autre corps en 2017

Puisqu’aucun remède n’existe à ce jour, et désespéré de se voir mourir ainsi,  il avait émis le souhait de se proposer comme cobaye afin d’utiliser sa propre tête sur un autre corps. Comme l’on greffe aujourd’hui certaines parties du corps comme un cœur, un poumon, un rein, etc.

Et il est persuadé que la technologie d’aujourd’hui permettrait ce genre de greffe impossible digne du roman fantastique Frankenstein. Le tout en se basant sur les recherches Docteur Canavero ainsi que sur ses multiples expérimentations déjà pratiquées sur des animaux.

Cette fameuse opération longuement préparée depuis des mois aura finalement bien lieu cette année, en décembre. Elle réunira pas moins de 150 spécialistes du monde médical.

Cet exploit incroyable devrait être réalisé dès 2017. Il soulève beaucoup de questions quant aux conséquences néfastes sur la santé des futurs patients. Mais cette opération chirurgicale d’un nouveau genre soulève également des questions d’ordre éthique que les monde médical devra peut être répondre dans un futur proche.

 

 


DÉVELOPPEMENT:

Deux chirurgiens parviennent à reconnecter la moelle épinière de rats

 

Pourra-t-on bientôt faire greffer la tête sur un autre corps ? Le chirurgien italien Sergio Canavero, y croit. Il se prépare à une opération sur un patient russe qui sera, si elle réussit, une première mondiale. Et une première étape décisive vient d’être franchie : Sergio Canavero et Xiao-Ping Ren, son homologue chinois, sont parvenu à reconnecter la moelle épinière de rats. 

 

Cela fait plusieurs mois que l’on vous parle de Valery Spiridonov, un russe de 31 ans qui souffre d’une grave maladie génétique qui se caractérise par une dégénérescence des neurones moteur. Une affection qui le condamne à plus ou moins long terme, et qui l’a motivé à envisager une solution radicale : faire greffer sa tête sur un autre corps.

Greffe de la tête : la moelle épinière de rats reconnectée par des chirurgiens

C’est justement le projet fou de deux chirurgiens Italien et Chinois, Sergio Canavero et Xiao-Ping Ren. Pour cette opération hors-normes d’un coût de 10 millions de dollars, il prévoit une équipe de 80 chirurgiens. Reste que ce la greffe de la tête représente un problème majeur : comment reconnecter la moelle épinière permettant la communication des signaux nerveux entre la tête et le reste du corps ?

Xiao-Ping Ren et Sergio Canavero viennent de publier une étude dans CNS Neuroscience dans laquelle ils décrivent une procédure qui les rapproche de la fameuse opération. Ils seraient déjà parvenu à reconnecter la moelle épinière sur des rats. Ils utilisent pour cela du polyéthylène glycol, une substance qui fait fusionné la membrane des cellules. Et selon leurs conclusions le résultat est impressionnant.

Au bout de 4 semaines, les rats dont la moelle épinière avait été sectionnée puis reconnectée avec du polyéthylène glycol, ont retrouvé leurs fonctions motrices. Les chercheurs en concluent que la paralysie résultant d’une section de la moelle épinière est bel et bien réversible.

Au-delà de la greffe d’une tête sur le corps d’un autre, cette découverte est en-effet un espoir formidable pour tous ceux qui sont paralysés à cause d’une moelle épinière endommagée.

 


…à suivre mes ami(e)s!

 

 

 

Les 10 aliments les plus cancérigènes

Le cancer ne se cache pas uniquement dans la cigarette, il peut être présent dans beaucoup d’autres substances. Même lorsqu’on pense avoir une alimentation saine, il faut quand même se méfier de certains aliments très courants. En effet, beaucoup d’entre eux peuvent être porteur de mauvaises substances qui risquent d’accroitre les risques de développer le cancer. En règle général et pour être certain de manger le plus sainement possible, il est conseillé de ne pas manger d’aliments transformés ou de plat préparés. Il est également primordial de se tourner plutôt vers des aliments bios qui sont garantis comme étant bons pour l’organisme. Soyez attentif.

 


1. Farines et céréales raffinées

 

 

La farine est l’un des ingrédients de base de notre alimentation quotidienne, or il est important de savoir que ce n’est pas ce qu’il y a de mieux pour notre organisme. La farine raffinée est la farine la plus blanche que vous puissiez trouver sur le marché et c’est également la plus utilisée. La farine raffinée est mauvaise pour vous à cause du traitement qu’elle a subit. Cela signifie que le son et le germe rempli d’éléments nutritifs sont séparés du reste, perdant ainsi beaucoup d’éléments nutritifs.

Cette farine est donc beaucoup plus calorique que les autres et elle fait monter le taux de sucre dans le sang et l’insuline ce qui encourage les cellules, y compris cancéreuses, à se multiplier. Les céréales contiennent énormément d’acides gras oméga 6 qui favorisent les inflammations et favorisent donc l’apparition et le développement du cancer.


2. Le sucre

 

 

 

On le sait, le sucre est mauvais pour la santé parce qu’il a un fort apport calorique, ce n’est pas la seule raison. Les sucres rapides ont tendances à augmenter le niveau d’insuline dans votre organisme, ce qui peut entrainer l’apparition d’un diabète, mais favorise également la croissance des cellules cancéreuses.

La consommation régulière de sucre serait à mettre en rapport avec l’apparition du cancer du sein et du pancréas. Le glucose n’est pas le seul concerné, ses cousins comme le fructose et le gluco-fructose seraient aussi pointés du doigt. Vous pouvez quand même continuer à en consommer dans des proportions raisonnables et contrôlées, le meilleur moyen de faire attention est de consommer le moins possible d’aliments transformés.


3. L’aspartame

 

 

À côté de l’aspartame, le sucre parait être un aliment sain, à tel point que les aliments diététiques seraient en réalité très mauvais pour votre santé et favoriserait l’apparition et le développement de certaines formes de cancer.

L’aspartame est l’un des édulcorants artificiels les plus couramment utilisés dans l’industrie agro-alimentaire. Il serait responsable de toute une série de maladies, y compris des anomalies congénitales et de plusieurs cancers. L’aspartame n’est pas le seul édulcorant à blâmer, la sucralose et la saccharine sont également présents dans la liste dans produits alimentaires favorisant l’apparition et le développement des cancers.


4. Le sel

 

 

 

 

Tout comme le sucre,  il est de notoriété publique que le sel n’est pas bon pour la santé. Il est responsable d’énormément de maladies cardio-vasculaires, de rétention d’eau et d’hypertension artérielle mais ce n’est pas son seul domaine d’activité.

Une consommation excessive de sel augmenterait le risque de développer des cancers touchants les organes du tube digestif et en particulier l’estomac. Tout comme pour le sucre, il est recommandé d’éviter la consommation de plats préparés et de produits transformés pour limiter une consommation excessive de sel.


5. Les huiles hydrogénées

 

 

 

Depuis plusieurs années on entend tout le temps que les huiles hydrogénées sont très dangereuses mais on n’en sait pas forcément plus.

Si elles sont mauvaises pour notre organisme c’est parce qu’elles modifient la structure des membranes cellulaires. Cette modification peut entrainer un grand nombre de troubles et de maladies y compris des cancers.Elles sont beaucoup utilisées dans la confection de produits préparés ou transformés et servent à améliorer la conservation des aliments et à améliorer leur  tenue.


6. La friture

 

 

Est-il vraiment nécessaire de dire que les aliments frits sont mauvais pour la santé ? En plus d’être très gras et d’entrainer une prise de poids et d’être à l’origine de maladies cardio-vasculaires, la friture est responsables d’autres méfaits.

Elle renferme des produits de la dégradation des graisses comme de très mauvais acides gras qui ajoutent une charge toxique à l’organisme. La friture est faite avec des huiles contenants des acides gras trans qui sont responsables de cancers. Les aliments frits sont également très riches en glucose, ceux contenus dans les féculents qui vont se transformer en composés cancérigènes lorsqu’ils vont être plongés dans l’huile pour être frits.


7. Les viandes rouges et transformées

 

 

 

Les viandes rouges et transformées comme la charcuterie, le bacon ou les saucisses, contiennent des conservateurs chimiques qui donnent un bel aspect aux produits mais qui peuvent aussi être responsables de cancers.

L’un de ces produits est le nitrine de sodium ou le nitrate de sodium qui serait responsable de nombreux cancers du colon. La sur-consommation de viande rouge peut se traduire par un excès de fer dans l’organisme ce qui peut être la cause du cancer. La cuisson à une température très élevée ou au barbecue entrainerait le développement de substances cancérigènes. Les personnes qui mangent leur viande rôtie, très cuite ou roussie sont plus susceptibles que les autres de contracter un cancer du côlon, du sein, de la prostate ou du pancréas. Si vous désirez continuer à manger de la viande, évitez celles qui sont transformées comme la charcuterie et ne la faite pas trop cuire.


8. Les boissons gazeuses

 

 

 

Les sodas regroupent tout ce qui se fait de pire pour l’organisme. Les risques de développer un cancer sont d’abord liés soit à leur teneur en sucre ou en aspartame.

La consommation de soda favorise l’apparition du cancer du pancréas due à la concentration en sucre de ces boissons et donc à l’augmentation du taux d’insuline dans le sang. Ce cancer est l’un des plus rares mais aussi l’un des plus mortels. Le fait qu’ils contiennent énormément de produits chimiques et de colorants empirerait le possibilité de développer des cellules cancéreuses.


9. L’alcool

 

 

Tout comme plusieurs aliments cités précédemment, ce n’est pas une surprise que l’alcool n’est pas spécialement bon pour la santé.

Il faut savoir que lorsqu’on ingère de l’alcool, notre organisme le transforme en acétaldéhyde. Cette molécule augmente les risques de développer un cancer qui sera principalement ciblé sur le foie, le pharynx mais qui sera aussi susceptible de toucher les muqueuses. Soyez raisonnable et consommez de l’alcool en toute sécurité : un verre par jour pour une femme et deux pour un homme au maximum.


10. Le pop corn

 

 

 

 

S’il y a bien un aliment auquel on porte peu d’intérêt y compris pour la santé c’est bien le pop corn au micro-ondes. C’est vrai on n’en mange pas souvent, c’est très rapide et pratique à préparer, pourquoi s’en passer ?

La raison est très simple. Les préparations de pop corn qui sont faites pour cuire au micro-ondes sont conditionnées dans des sachets qui sont doublés avec une pellicule contenant de nombreux produits chimiques dont un en particulier qui serait cancérigène et s’attaquerait au foie et au pancréas. Il est donc préférable de préparer son pop corn avec la bonne vieille méthode de la poêle, au moins vous aurez moins de risques de ruiner votre santé.