Importante découverte en paléontologie:La plupart des dinosaures avaient le sang chaud, comme les oiseaux

La majorité des dinosaures étaient des animaux à sang chaud, comme les oiseaux et les mammifères, plutôt qu’à sang froid comme les reptiles, révèle une étude qui apporte une première mesure directe de leur métabolisme.

Quetzalcoatlus flying reptiles join Tenontosaurus and Argentinosaurus dinosaurs on a migration in search of water.

 

Cette recherche s’appuie sur une nouvelle technique mesurant le taux métabolique des dinosaures, c’est-à-dire leur capacité plus ou moins grande à convertir l’oxygène en énergie pour vivre, selon les scientifiques menés par la paléobiologiste Jasmina Wiemann, du California Institute of Technology.

Les animaux à sang chaud, comme les oiseaux ou les humains, ont un métabolisme élevé. Ils absorbent beaucoup d’oxygène nécessaire à la production de calories, ce qui leur permet de maintenir leur température et de rester actifs.

À l’inverse, ceux à sang froid, comme les reptiles, ont une activité plus modérée et dépendent des conditions externes pour maintenir leur température corporelle. En bref, ils ne lézardent pas au soleil par plaisir, mais par nécessité.

Cette dichotomie a posé un problème aux naturalistes pour les dinosaures. Car une de leurs branches descendantes, les oiseaux, est à sang chaud, alors que leurs plus proches cousins à l’époque, comme les crocodiles, étaient des reptiles à sang froid.

Tyrannosaure

Au point qu’une étude retentissante de 2014 a même attribué aux dinosaures un système… à sang tiède. Mais toujours en estimant leur métabolisme par des méthodes indirectes et peu fiables, tenant compte de la température de formation de minéraux dans leurs os ou de leur vitesse de croissance osseuse.

L’étude publiée dans Nature se penche sur l’élément clé du métabolisme, l’utilisation de l’oxygène, et plus particulièrement l’étude de ses traces sous forme de restes» dans les os.

Cela laisse un enregistrement de la quantité d’oxygène qu’un dinosaure respirait, et donc de son taux de métabolisme», a expliqué Jasmina Wiemann dans un communiqué.

Son équipe a appliqué cette méthode non destructive, basée sur la spectroscopie infrarouge, à des fémurs de 55 groupes d’animaux, dont des dinosaures, pour y mesurer les marqueurs moléculaires (des restes) qui sont liés au taux métabolique», selon la chercheuse.

Résultat : dans les deux grands groupes de dinosaures, celui des ornithischiens comptait des spécimens à sang froid, comme le tricératops, avec sa grande collerette et deux cornes imposantes, ou le stégosaure, avec son épine dorsale. Des herbivores massifs, mais lents.

En revanche, l’autre groupe, celui des saurischiens, le plus nombreux en termes d’espèces et surtout de descendance, était essentiellement à sang chaud. Avec des herbivores géants, comme les sauropodes, et des carnivores iconiques, comme le tyrannosaure, ou le bien nommé vélociraptor, popularisé par le film Parc jurassique.

Vélociraptor

Ce groupe est surtout célèbre pour abriter toutes les lignées d’oiseaux, les uniques descendants des dinosaures à avoir survécu à la grande extinction des espèces survenue il y a 65 millions d’années.

On a pu croire que le sang chaud et le métabolisme élevé des oiseaux leur avaient permis de survivre à cette catastrophe, due au bouleversement climatique provoqué par une gigantesque météorite.

Dans le cas des dinosaures, le sang chaud ne les en a pas protégés, remarque l’étude.

Nous vivons une sixième extinction des espèces», selon Mme Wiemann, il est donc important de comprendre comment les animaux actuels et éteints ont répondu aux précédents changements climatiques et perturbations environnementales pour mieux saisir les enjeux à venir de la biodiversité».


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La Criminelle Arnaque du COVID 19:Suite à la découverte d’un insecte dans un flacon, Moderna retire près de 800 000 doses de vaccin

Un moustique a été découvert à l’intérieur d’un flacon dans un centre de vaccination de Malaga, en Espagne. Invoquant la « présence d’un corps étranger », l’Agence espagnole des médicaments et des produits de santé (AEMPS) a annoncé le retrait, le 8 avril, de lots du vaccin Moderna, rapporte le quotidien El Pais. Le laboratoire Moderna a dû procéder au rappel de 764 900 doses de vaccin.

Le lot dont était issu le flacon avait été produit dans une usine située à San Sebastian de los Reyes, près de Madrid, où sont réalisés le remplissage des flacons et leur conditionnement. Le contenant est, lui, produit en Suisse.

Moderna fait face à un autre problème : depuis la mi-janvier 2022, les fioles ont été distribuées dans plusieurs pays en dehors de l’Espagne : la Norvège, la Suède, la Pologne et le Portugal. Tous sont concernés par le rappel annoncé par le laboratoire. Les autorités norvégiennes sont d’ailleurs à l’origine du dévoilement de la raison de ce retrait.

Pour autant, le laboratoire a voulu se montrer rassurant en publiant un communiqué commun avec l’entreprise responsable de la fabrication (Rovi) : « Le flacon impacté […] n’a pas été administré », assurent-ils, ajoutant qu’une enquête est en cours. Moderna soutient par ailleurs qu’« aucun problème de sécurité n’a été signalé chez les personnes ayant reçu un vaccin […] de ce lot », faisant valoir les 900 millions de doses de leur vaccin injectées à travers le monde.


EN COMPLÉMENTAIRE

Au Japon,en 2021, Moderna était contraint de retirer 1,63 million de doses de vaccins

Août 2021-Le Japon a retiré du marché 1,63 million de doses du vaccin Moderna après qu’une alerte venue de plusieurs centres de vaccination a signalé des lots contenant des impuretés. Après consultation avec le ministère de la Santé japonais, le groupe pharmaceutique nippon Takeda qui distribue le vaccin au Japon a décidé de suspendre l’utilisation des doses et demandé à Moderna de mener l’enquête.

La production du vaccin Moderna s’inscrit dans une longue chaîne de fabrication, une chose qui ne lui est pas propre puisque tous les fabricants de vaccins ont fait appel à des sous-traitants pour produire en quantité et répondre le plus rapidement possible à une demande mondiale très élevée.

Concernant le vaccin Moderna et les lots défectueux japonais, le principe actif composé d’ARN messager est fabriqué en Suisse tandis que son conditionnement est sous-traité en Espagne, près de Madrid par la société Rovi. Le problème viendrait du conditionnement et la société Rovi aurait, selon le quotidien El Pais « reconnu dans une lettre que le problème a pu survenir dans une de ses lignes de production et qu’il ne concerne qu’un lot, bien que les autres lots soient analysés à titre préventif ».

Ce problème sanitaire vient s’ajouter à une situation sanitaire déjà critique dans un pays, qui malgré le programme de vaccination de masse mis en place depuis mai, connaît un taux d’infections record depuis l’arrivée du variant Delta, plus contagieux.


une plainte pour crime d’empoisonnement déposée au Tribunal judiciaire de Paris

 

Une plainte criminelle contre X pour crime contre l’humanité, empoisonnement et tentative d’empoisonnement, rédigée par un collectif de juristes et d’avocats, est envoyée cette semaine au Tribunal judiciaire de Paris par l’association BonSens.org, l’Association internationale pour une médecine scientifique indépendante et bienveillante (AIMSIB) et des citoyens victimes d’effets secondaires des vaccins contre le Covid-19.

Au cours des dernières semaines, la campagne présidentielle et la guerre en Ukraine ont subitement puis totalement pris le pas sur la politique sanitaire du gouvernement, qui avait envahi nuit et jour l’espace médiatique au cours des deux dernières années. Marquée par l’obligation indirecte de prendre un vaccin à l’efficacité contestée et aux effets secondaires de plus en plus avérés (Voir : Le Sénat à l’écoute des victimes présumées d’effets secondaires graves du vaccin et “Il y a une volonté de ne pas savoir” : le collectif “Où est mon cycle” au Parlement européen), la crise du Covid-19 a jeté le doute sinon franchement mis en cause dans les esprits des Français, la probité de l’action du gouvernement et de son chef. Dernièrement, les affaires McKinsey et du Rothschild Gate sont venus renforcer au sein de la population ce sentiment de dichotomie entre l’intérêt général et les intérêts privés de la caste dirigeante. C’est pourquoi des associations poursuivent, malgré les embûches, la bataille judiciaire en vue d’obtenir au pénal réparation pour les victimes des conséquences de la politique vaccinale. C’est dans ce cadre que nous avons interviewé Maître Jean-Pierre Joseph, avocat au barreau de Grenoble, qui représente les plaignants.

Pourraient être impliqués, et par la suite, mis en examen : Jean Castex, Premier ministre ; Edouard Philippe, ancien Premier ministre ; Olivier Véran, ministre des Solidarités et de la Santé ; Frédérique Vidal, ministre déléguée à l’Enseignement supérieur et à la Recherche et membre de la « task force » vaccin ; Agnès Pannier-Runacher, ministre déléguée à l’Industrie, responsable de la « task force » vaccin ; Jérôme Salomon, directeur général de la santé ; Alain Fischer, coordonnateur de la stratégie vaccinale de l’État ; Louis-Charles Viossat, ancien responsable de la « task force » interministérielle vaccination Covid-19  ; Laetitia Buffet, responsable de la « task force » interministérielle vaccination covid-19  ; Bernard Celli, responsable de la « task force » interministérielle vaccination Covid-19  ; Patrick Bouet, président du Conseil national de l’Ordre des médecins.

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Les membres du conseil scientifique constitué à titre de l’urgence sanitaire en application de la loi n°2020-290 du 23 mars 2020 d’urgence pour faire face à l’épidémie de Covid-19 (ci-après conseil scientifique, créé par le décret du 3 avril 2020) : Jean-François Delfraissy, président du Conseil scientifique Covid-19 ; Laetitia Atlani-Duault, anthropologue ; Daniel Benamouzig, sociologue ; Lila Bouadma, réanimatrice ; Simon Cauchemez, modélisateur ; Catherine Chirouze, infectiologue ; Angèle Consoli, pédopsychiatre ; Pierre Louis Druais, médecine de ville ; Arnaud Fontanet, épidémiologiste ; Marie-Aleth Grard, milieu associatif ; Olivier Guérin, gériatre ; Aymeril Hoang, spécialiste des nouvelles technologies ; Bruno Lina, virologue ; Denis Malvy, infectiologue ; Yazdan Yazdanpanah, infectiologue ; la Haute Autorité de santé (HAS) ; Dominique Le Guludec, directrice générale de la HAS ; l’Agence nationale de sécurité du médicament (ANSM) ; Christelle Ratignier-Carbonneil, directrice générale de l’ANSM ; l’Agence européenne du médicament ; Emer Cooke, directrice de l’Agence européenne du médicament ; la Commission européenne ; Ursula van der Leyen, présidente de la Commission européenne ; la société Pfizer SAS ; Henriette Rosenquist, présidente de la société Pfizer SAS ; Franck Le Breguero, pharmacien responsable et directeur général de la société Pfizer SAS ; la société Pfizer Holding ; Florence Petelet, gérante de la société Pfizer Holding ; Marie-Gabrielle Laborde-Rayna, pharmacien responsable et gérante non-associée de la société Pfizer Holding ; la société Pfizer inc. ; Albert Bourla, PDG de la société Pfizer inc. ; la société BioNtech AG ; Helmut Jeggle, président de la société BioNtech AG.

Et toutes autres personnes à déterminer.

FranceSoir : Me Joseph, quel est l’intérêt de cette plainte pour les victimes des conséquences des injections ?

Me Joseph : Pour les victimes et les proches de victimes, l’intérêt est double. D’une part, il est de se voir reconnues comme victimes d’un acte que le juge qualifiera, mais qui, selon les plaignants, réunit les conditions du crime d’empoisonnement.

Ainsi, les fabricants doivent répondre des substances qu’ils ont conçues et mises sur le marché, nous y reviendrons. Les ministres en charge et les différentes agences et commissions qui sont intervenues pour administrer ces substances aux Français (HAS, ANSM, Conseil scientifique) engagent également leur responsabilité. Tout comme la Commission européenne, sa présidente et l’Agence européenne du médicament, ils ne pouvaient ignorer que tout indiquait, avant leur mise sur le marché, qu’elles étaient mal évaluées, donc potentiellement dangereuses. Ceci, d’autant plus que depuis près d’un an, de nombreux scientifiques les en informent et que de nombreux citoyens ont attiré leur attention sur une des dispositions du contrat signé entre la Commission européenne et Pfizer, précisant (p. 48 et 49) que les parties au contrat reconnaissent ignorer l’efficacité et les effets indésirables du “vaccin” et trouvent étranges que ces “vaccins” ne protègent soi-disant que pendant 4 mois, n’empêchent pas de contracter la maladie et rendent les “vaccinés” potentiellement contagieux, ce qui a justifié que l’on oblige pendant plusieurs mois, les “vaccinés” à porter le masque, qui reste obligatoire, même pour eux, dans les transports.

J’ajouterai qu’à un tel niveau de responsabilité, il est impossible de se prévaloir de son ignorance, surtout si, au lieu de vérifier ce que leur expliquaient de nombreux médecins, biologistes, virologues, statisticiens de renommée internationale, ils ont dénigré ces derniers, se campant dans une certitude méprisante et suffisante, les qualifiant de “complotistes”, plutôt que de “lanceurs d’alerte”. Dans ce cas, les responsables publics sont tenus de s’informer de la façon la plus précise, surtout s’agissant de la santé de la population. Si, malgré tout, on ne sait pas, le simple bon sens ou même l’application du principe de précaution doivent conduire à ne pas faire prendre un risque aussi inconsidéré aux Français, femmes enceintes et enfants compris, pour une maladie dont on sait qu’elle tue peu, qu’elle tue essentiellement les personnes les plus âgées et, surtout, que de nombreux traitements existent pour la combattre. Malheureusement, tous les traitements prescrits par des médecins, faisaient l’objet de poursuites de la part du Conseil de l’Ordre pour qui “Il n’y avait pas de traitement…”

D’autre part, les victimes, fortes de la faute pénale ainsi reconnue pourront se tourner vers les responsables et, singulièrement les fabricants, pour voir les préjudices qu’ils ont subis indemnisés. Ces derniers espéraient probablement, de ce que l’on sait des contrats d’achat avec la Commission européenne, échapper à leur responsabilité civile en incluant dans ces contrats des clauses exonératoires. En d’autres termes, les fabricants et la Commission européenne, représentée par sa présidente, Ursula von der Leyen, auraient convenu que ni la Commission ni les États membres ne pourraient se retourner contre les fabricants.

La loi du 25 juillet 2021 sur la gestion de la crise sanitaire a d’ailleurs choisi d’intégrer la vaccination contre le Covid-19 au dispositif de l’Office national d’indemnisation des accidents médicaux, des affections iatrogènes et des infections nosocomiales (ONIAM), qui propose une indemnisation amiable des victimes d’accidents médicaux et se charge, le cas échéant, de poursuivre le responsable en remboursement. Mais cela signifie aussi que, s’agissant d’une procédure amiable, l’intégralité des préjudices ne sera pas réparée. Et, surtout, l’indemnisation des victimes relèvera de la Solidarité nationale. Si ce financement est, en soi, défendable, il l’est moins dans le contexte actuel.

En effet, le contribuable qui aura financé la recherche, avec les fonds d’urgences attribués par la Commission européenne aux fabricants, puis l’achat de ces substances doit maintenant assumer l’indemnisation des conséquences des injections… Pendant le même temps, le groupe Pfizer, par exemple, annonce un chiffre d’affaires, pour 2021, de 81,3 milliards de dollars, en augmentation de 95% par rapport à l’année précédente et un bénéfice record de 22 milliards de dollars.

Toutefois, on peut penser que la reconnaissance par la justice de la faute pénale des fabricants permettra, ensuite, aux victimes de se retourner directement contre eux pour obtenir l’indemnisation de leur préjudice, puisque la voie de l’ONIAM n’est qu’optionnelle et ne ferme pas la voie juridictionnelle aux victimes.

Cette plainte peut être téléchargée en fin d’article afin d’être communiquée par les victimes à leurs avocats.

FS : En quoi consiste l’empoisonnement qui fait l’objet de cette plainte ?

JPJ : Dans cette affaire, l’empoisonnement, qui est un crime consistant à donner la mort par administration d’une substance mortelle, prend plusieurs formes.

D’abord, le professeur Jean-Michel Claverie, professeur émérite de médecine, PU-PH de l’université d’Aix-Marseille, a récemment évalué la quantité d’ARNm de la protéine Spike qui pénètre le corps humain à chaque injection de l’une des substances géniques expérimentales, abusivement nommées « vaccin ». Il est parvenu à la conclusion suivante :

– Une dose du produit Pfizer délivre autant d’ARNm de la protéine Spike que ce qui est contenu dans 6,75 m³ de fluide nasal infecté par le virus.
– Le même constat peut être fait à propos du produit Moderna, qui délivre autant d’ARNm de la protéine Spike que ce qui est contenu dans 23 m³ de fluide nasal infecté par le virus.

Le professeur Claverie évoque une quantité « véritablement astronomique » d’ARNm de la protéine Spike ainsi injectée dans le corps humain.

Une de ses conclusions est que « l’injection de ces vaccins ne mime absolument pas le processus d’infection naturel par le SARS-CoV2, mais constitue une modification locale de la concentration en ARNm totalement non-physiologique pour les cellules qui l’incorporent. Même au cours d’une infection virale très virulente, on estime que le nombre de molécules d’ARN messager ne dépasse pas une centaine d’exemplaires par cellule infectée, pour les gènes viraux les plus fortement exprimés ».

L’inquiétude augmente encore lorsqu’on lit, toujours d’après le professeur Claverie, que ces produits contiennent des « impuretés totalement inattendues ».

Ainsi, « une publication récente, par le laboratoire Moderna lui-même, décrit la présence d’impuretés totalement inattendues dans le principe actif même du vaccin, dans lequel une partie de l’ARNm injecté est modifiée par une réaction chimique avec l’enveloppe lipidique des nanoparticules chargées de le véhiculer à l’intérieur des cellules. S’agissant d’une modification chimique inconnue à ce jour, dont la toxicité éventuelle n’a pas été évaluée, cette découverte aurait dû poser la question de la suspension éventuelle de l’autorisation conditionnelle de mise sur le marché, ce qui n’a pas été fait. La même modification chimique a probablement lieu également dans le vaccin BNT-162b2 de BioNTech/Pfizer (dont la composition est proche de celle de la préparation de Moderna), mais à ma connaissance, aucune vérification n’a été publiée ».

Le rapport du professeur Claverie est en téléchargement avec la plainte, au pied de l’article.

Ensuite, et c’est une information particulièrement inquiétante révélée par des travaux de recherche de mai 2021, confirmés en février 2022 : les cellules humaines auraient la capacité de transformer l’ARNm des substances géniques expérimentales en ADN et, donc, de l’intégrer à leur propre génome, entraînant des modifications du génome humain. Bien entendu, les conséquences de telles modifications, qui auront nécessairement des effets sur la descendance des personnes concernées, sont à ce jour totalement imprévisibles.

Cette découverte est d’autant plus choquante que le mécanisme de la transcriptase inverse (qui permet la transformation d’un ARNm en ADN) au sein des cellules humaines est connu depuis 1970. Les derniers travaux de 2021 et de 2022 ne font que confirmer la possibilité d’intégration de l’information délivrée par l’ARNm vaccinal injecté, dans le génome humain. Il n’y a donc plus de doute possible : les substances géniques expérimentales peuvent modifier, voire endommager le génome humain.

Que doit-on penser, lorsque le professeur Claverie ajoute que « la possibilité d’une intégration génomique, longtemps considérée comme improbable vient d’être démontrée (…) avec des quantités expérimentales d’ARNm largement inférieures à celles (…) découvertes dans les injections ARNm » ? On ne peut qu’en déduire que le risque de modification du génome est d’autant plus considérable, vu les quantités injectées aux Français.

Enfin, les travaux de Christine Cotton, biostatisticienne pour l’industrie pharmaceutique pendant 23 ans, ont révélé un autre fait scandaleux. Les essais cliniques préalables comportent d’importants biais méthodologiques, rendant peu fiables les conclusions d’efficacité. Il apparaît également que la baisse de l’immunité et les effets secondaires potentiellement dangereux pouvaient être anticipés. Ces faits étaient connus des fabricants, tout comme les autorités européennes et françaises au moment de l’autorisation en vie réelle.

Malheureusement, les chiffres vertigineux des décès et des blessures consécutifs à l’injection provenant des organismes de pharmacovigilance des pays concernés sont la preuve de cette désinvolture criminelle.

Par ailleurs, avec maintenant une année de recul, les chercheurs observent, dans tous les pays qui ont eu recours aux injections, une surmortalité inexpliquée, spécialement marquée chez les personnes de 15 à 44 ans. Or, la courbe de la surmortalité épouse parfaitement celle des campagnes vaccinales. La corrélation est telle que l’hypothèse d’une surmortalité de la population due à la vaccination est désormais avancée.

Ces éléments sont d’une extrême gravité, puisqu’ils touchent à la santé des Français, mais aussi à celle des enfants à naître, pour les femmes enceintes qui auraient reçu l’injection, et à l’espèce humaine, elle-même, dont le génome pourrait être modifié de façon aléatoire, inconnue et incontrôlée. Or, les autorités françaises ne peuvent ignorer les informations que je viens d’exposer et qui sont consignées dans la plainte.

Pourtant, les campagnes de vaccination se poursuivent aveuglément. Le chantage à l’emploi continue, la ségrégation et la discrimination sont toujours d’actualité (on rappellera qu’un passe sanitaire est toujours exigé pour entrer à l’hôpital), les menaces et les insultes ne sont qu’en sourdine. Doit-on rappeler que de nombreux responsables publics et personnalités médiatiques n’ont pas été en reste pour proférer insultes et menaces publiques contre les personnes non-injectées. Ainsi, Laurent Alexandre ou Gilbert Deray voient en elles « des criminels », à qui, renchérissent Christian Estrosi ou François Sauvadet, il faut supprimer chômage et aides sociales. Olivier Véran impute lui, sans autre procès, la responsabilité du Covid dans un Ehpad à une soignante non-injectée. Emmanuel Lechypre déclare vouloir les faire « emmener de force par des policiers », tandis que Gabriel Attal n’y voit qu’une « frange capricieuse », à qui le gouvernement promet une « vie de merde ». Dans cette ambiance délétère, CNews a dû trouver vendeur de titrer « Antivax : comment s’en débarrasser ? »

C’est pourquoi, face à des constats aussi alarmants, BonSens.org, l’AIMSIB et les autres plaignants ont décidé de déposer une plainte criminelle pour les chefs d’accusation d’empoisonnement, de complicité d’empoisonnement et de crime contre l’humanité contre tous ceux qui ont incité ou forcé, selon les cas, les Français à se faire injecter une substance, toujours au stade de l’essai clinique, mal évaluée, dont la dangerosité pouvait être anticipée et qui continue à tuer et à blesser chaque jour. Il s’agit donc d’actes criminels.

FS : Pensez-vous que les faits soient suffisamment graves pour que l’on puisse parler de crime contre l’humanité ?

JPJ : Oui. Le crime contre l’humanité est rarement invoqué devant les juridictions françaises. Il l’a été pour des crimes commis sous l’occupation nazie (Touvier, Barbie) ou pour des crimes commis à l’étranger pour lesquels la juridiction française est compétente (par exemple, le juge pénal peut poursuivre les crimes commis au Rwanda et en ex-Yougoslavie, si les responsables vivent en France).

Cependant, les faits sont là et les qualifications pénales également. Or, il ne fait pas de doute que la campagne de vaccination que nous subissons, relève de la définition du crime contre l’humanité, spécialement maintenant qu’on en mesure mieux les conséquences psychologiques, sociales, économiques et en termes de santé.

Ce qu’il importe de comprendre, c’est que le crime contre l’humanité, ce ne sont pas seulement des actes criminels isolés (forcer les Français à se faire injecter une substance potentiellement mortelle). Ce sont des actes criminels, commis de façon coordonnée par un groupe criminel, contre une population ou un groupe de population, inscrits dans un plan exécuté au nom d’un « État pratiquant une politique d’hégémonie idéologique », pour reprendre les termes de la Cour de cassation.

Ces actes, et c’est ce qui caractérise un crime aussi terrible que le crime contre l’humanité, dépassent la simple intention de tuer. Ils visent à déshumaniser les victimes, à nier leur nature humaine, à les rejeter en dehors de la communauté des Hommes, ceci, pour des motifs purement idéologiques.

Or, nous sommes bien, avec « l’idéologie vaccinale » actuelle, dans le cadre d’une politique d’hégémonie idéologique. En effet, la finalité des politiques discriminatoires, de ségrégation, de persécution et, finalement, d’empoisonnement, pratiquées depuis plus de deux ans est bien de dénier leur humanité aux personnes réfractaires. Elle a, d’ailleurs, trouvé sa synthèse dans les propos du président de la République, selon lequel, un « irresponsable », ce terme désignant une personne non-injectée, « n’est plus un citoyen ».

Comment mieux dire qu’il s’agit de retirer à cette partie de la population ce qui est le plus intimement attaché à sa personne, au sens juridique comme au sens politique : sa citoyenneté, son appartenance à la nation française, laquelle constitue son identité et, non, un artefact dont on pourrait se débarrasser. Porter atteinte à la qualité de citoyen revient ainsi à porter atteinte à la personne même, dans son identité et dans sa dignité. On rappellera, à cet égard, dans un domaine très proche, que la perte de nationalité est une sanction infamante, réservée à certaines infractions particulièrement graves.

Il y a pire encore. Nous savons désormais que les substances géniques expérimentales pourront avoir des effets sur la descendance des personnes injectées dont l’ADN aura été endommagé. En d’autres termes, les faits que dénoncent les plaignants sont, non seulement une attaque généralisée et systématique contre une population, pour reprendre les termes du code pénal, mais ils constituent également une attaque contre l’espèce humaine, elle-même, dès lors qu’existe la possibilité de modification du génome humain.

FS : Cette plainte intervient dans un contexte particulier ?

JPJ : En effet. La question des effets indésirables de ces substances a, enfin, été saisie par le Parlement, dont l’Office parlementaire d’évaluation des choix scientifiques et technologiques (Opecst) a été chargé, selon son vice-président, Gérard Longuet, de « rassembl(er) les éléments techniques et scientifiques sur les effets du vaccin ».

On remarquera d’emblée que la création de cette commission d’enquête est due à l’initiative des citoyens et non à celle des parlementaires ou d’autres responsables publics. C’est ainsi une pétition citoyenne, déposée par le docteur Devilleger, cardiologue, sur le site du Sénat qui, ayant recueilli plus de 33 600 signatures en quelques semaines, a incité les sénateurs à saisir l’Opecst. Ainsi, « constatant la forte dynamique des signatures », le Sénat « a décidé d’y donner suite sans attendre » pour « répondre aux inquiétudes qui s’expriment ». Le cycle d’auditions, qui a débuté le 28 mars, est prévu pour durer trois mois. Souhaitons que, comme l’annonce Gérard Longuet, les parlementaires « prendront (leurs) responsabilités » sur une question aussi importante pour les Français.

Par ailleurs, un colloque scientifique international s’est tenu à l’Institut hospitalo-universitaire Méditerranée, dirigé par le Pr Didier Raoult, les 30 et le 31 mars dernier et à Massy, les 1er et 2 avril, l’International Covid Summit (ICS), intitulé « Covid-19, premier bilan des connaissances et controverses scientifiques », qui a réuni de nombreux experts du monde entier. La science progresse donc, envers et contre tout a-t-on envie de dire, sur la maladie, son traitement et sur les effets des « vaccins ».

Dans ce sens, on ne peut qu’espérer que l’épisode dramatique que nous vivons nous ramènera à ce qu’est la science : le doute, la controverse, la remise en question. Lorsqu’on entre dans le monde des certitudes, comme nous l’observons avec le tout vaccinal que l’on tente d’imposer aux Français, on est dans l’idéologie, plus dans la science. Malmener la science, l’instrumentaliser ne peut, l’histoire nous l’avait pourtant déjà enseigné, que mener à des catastrophes, telle celle que nous expérimentons. Et, face à l’incurie, pour le moins, de nos responsables politiques, sourds aux souffrances que leurs politiques ont créées, la seule arme qui reste au citoyen pour mettre un terme à cette situation et pour rendre justice aux victimes, est la juridiction pénale. Nous ne doutons pas de la diligence du juge pénal, car, dans le droit humaniste qui était le nôtre avant la crise sanitaire, de tels actes sont des crimes.

La plainte avec ses pièces peut être téléchargée sur ce lien :
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Troisième Guerre Mondiale en préparation:Les Américains ont coulé le navire amiral russe Moskva et les représailles russes sont inévitables

La vengeance trop faible attire un second crime. Jean Racine

Pour comprendre le naufrage du Moskva et les représailles imminentes russes contre les États-Unis, il faut d’abord savoir que tout dirigeant national désireux de prendre des mesures militaires audacieuses a d’abord besoin du soutien de son propre peuple. En 1941, le gouvernement américain  a laissé Pearl Harbor se produire (le gouvernement américain était au courant et l’a même provoqué) afin de créer le soutien émotionnel nécessaire à l’entrée des États-Unis sur le théâtre de guerre du Pacifique).

L’attaque de Pearl Harbor a été le 1er “11 septembre” de la Seconde Guerre mondiale. Et tout comme pour le “11 septembre”, le gouvernement américain était parfaitement informé de cette attaque et a permis qu’elle ait lieu afin de faire de provoquer ce drame et de susciter une réaction émotionnelle forte du peuple américain qui l’amènerait à exiger des représailles immédiates et féroces contre le Japon.

 

Il a désormais été révélé que l’armée américaine a dirigé toute l’opération visant à couler le Moskva, y compris la position du navire par un avion de surveillance P-8 Poseidon, qui a ensuite transmis les informations et informations de tir aux Ukrainiens, tous formés par l’armée américaine.vidéo

Ainsi, les États-Unis ont fourni les armes, la formation, le suivi et la solution de tir pour couler le Moskva.

Tout ce que l’Ukraine a fait, c’est essentiellement d’appuyer sur le bouton de tir. C’est tellement évident que l’information est même rapportée par le UK Daily Mail :

Un avion de surveillance maritime américain survolait la mer Noire quelques minutes avant que le navire amiral russe Moskva ne soit “touché par des missiles ukrainiens”.

Un avion de surveillance P-8 Poseidon patrouillait la côte avant l’attaque.

L’avion de haute technologie peut repérer les navires au radar à une distance de plus de 100 miles…

La marine américaine a utilisé son nouvel avion de surveillance pour fournir des données de ciblage précises aux forces ukrainiennes afin de couler le navire amiral russe dans la mer Noire, le Moskva, le 13 avril 2022.

En coulant le Moskva, les États-Unis ont offert à Poutine quelque chose qui s’apparente au “moment Pearl Harbor de la Russie” :

Poutine peut affirmer à son peuple que les États-Unis ont lancé une attaque contre la marine russe, coulant l’un de ses navires et tuant des centaines de personnes. Cette nouvelle a, bien entendu, été diffusée dans tous les médias russes, ce qui a renforcé le soutien national à Poutine.

Tout comme pour Pearl Harbor aux États-Unis, le peuple russe exige désormais une “revanche” sur ses agresseurs, les États-Unis. En effet, les États-Unis viennent de donner à Poutine la dernière pièce du puzzle dont il avait besoin pour lancer des frappes nucléaires de représailles contre l’Occident.

La Russie dévoile l’imparable ICBM RS-28 Sarmat (Satan 2) pouvant transporter jusqu’à 15 têtes nucléaires MIRV.

 

Les russes développent aussi de nombreux missiles.

Ce n’est pas une coïncidence si la Russie vient de procéder au lancement d’essai de son ICBM RS-28 Sarmat (Satan 2), qui peut transporter jusqu’à 15 têtes nucléaires MIRV. Il s’agit de véhicules de rentrée indépendants, chacun transportant une ogive nucléaire des centaines de fois plus grosse que les bombes atomiques utilisées sur le Japon pendant la Seconde Guerre mondiale.

Le RS-28 transporte également des missiles hypersoniques (HGV) qui planent à des vitesses extrêmes tout en manœuvrant vers leurs cibles, échappant ainsi à tous les systèmes défensifs des États-Unis. En d’autres termes, les États-Unis sont totalement sans défense pour empêcher les armes nucléaires russes de frapper des cibles basées aux États-Unis.

Il faut environ 30 minutes à l’un de ces ICBM pour se rendre de Moscou à New York. Si Poutine en lançait un, les habitants de New York n’auraient aucun avertissement, puisque le gouvernement américain, traître et occupant, ne prendrait certainement pas la peine de prévenir qui que ce soit s’il ne lui reste que quelques minutes pour évacuer.

Ainsi, à tout moment, des millions d’Américains ne sont qu’à 30 minutes de l’anéantissement total.

La Russie pourrait même, théoriquement, lancer un missile doté d’une détonation EMP à haute altitude, plongeant les États-Unis dans une existence de l’âge des ténèbres du XIXe siècle, dans laquelle environ 90 % de la population mourrait en l’espace d’un an environ à cause de la famine de masse, de l’effondrement, de la violence, des maladies, etc.

Le RS-28 Sarmat est capable de transporter environ 10 tonnes de charge utile pour 10 ogives MIRV lourdes ou 15 ogives MIRV légères, ainsi qu’un nombre non spécifié de missiles hypersoniques Avangard (HGV) ou une combinaison d’ogives. Il transporte également plusieurs contre-mesures contre les systèmes de missiles antibalistiques.

 

Le ministère russe de la Défense a déclaré que ce missile était la réponse de la Russie au système américain Prompt Global Strike.

Alors que le Pentagone s’est concentré sur la création d’équipages d’hélicoptères gays et de soldats transgenres, la Russie a conçu des systèmes de livraison d’armes hautement efficaces et detrès haute technologie, tels que des missiles hypersoniques et des ICBM avancés.

Alors que les traîtres dirigeants américains démantèlent l’infrastructure énergétique et le système de transport de l’Amérique (voir le récent démantèlement des livraisons ferroviaires de l’Union Pacific), la Russie engrange des bénéfices records sur les ventes d’énergie tout en convainquant de nombreux pays du monde d’acheter de l’énergie en roubles plutôt qu’en dollars.

L’empire américain, gangréné par la corruption, la pédophilie, la criminalité et la folie, est terminé.

Ce n’est plus qu’une question de temps pour voir cette auto-immolation des États-Unis d’Amérique s’accélérer de jour en jour.

Retenez bien mes mots : Avant la fin de cette année, les villes d’Amérique seront en flammes à cause des émeutes de la faim.

Imaginez que ce sera la même chose avec la destruction au millimètre de la France par E. Macron (cogiito.com)

La tyrannie du gouvernement sera hors de contrôle, et nous serons témoins des premiers chapitres d’un soulèvement de masse ou d’une guerre civile (ou peut-être des éléments des deux).

La famine de masse s’abat sournoisement sur l’Occident, et ce sont les sanctions économiques follement stupides contre la Russie qui ont déclenché toute la réaction en chaîne catastrophique qui conduira à la chute de l’Amérique telle que nous la connaissons.

 

jeudi 21 avril 2022 par : Mike Adams


EN COMPLÉMENTAIRE

Opération spéciale russe en Ukraine. Jour 58

Le refus de Vladimir Poutine de prendre d’assaut les donjons d’Azovstal, où jusqu’à 2 000 combattants ukrainiens sont bloqués pour sauver la vie de nos militaires, a permis de libérer des forces pour la libération définitive du Donbass. Le bataillon somalien est déjà revenu à Donetsk. Les nazis d'”Azov”  espéraient un déblocage de la mer par les forces de l’Occident, mais le Pentagone a déclaré que la marine américaine n’accepterait pas cela.
Des témoins oculaires notent un changement dans la tactique de nos troupes. Tout d’abord, la suppression des feux de l’ennemi avec de l’artillerie, des lance-flammes lourds, des avions, et ensuite seulement l’offensive. Dans le cas où l’ennemi est couvert de civils, il est encerclé et on lui propose de se rendre. Ainsi, les forces armées ukrainiennes elles-mêmes sont prises en otage par leur comportement. Il y avait également des preuves que les forces armées russes ont commencé à détruire des ponts sur le Dniepr, empêchant la livraison de fret militaire.

***

19h00 Au moins les deux tiers des habitants du sud de l’Ukraine, en particulier la région de Kherson, certaines parties de la région de Mykolaïv et Zaporozhye voteront pour l’adhésion à la Russie si un référendum correspondant est organisé – le sénateur de Crimée Sergey Tsekov .
18.50 Le district fédéral de Crimée peut être formé après une opération spéciale en Ukraine, les citoyens des territoires libérés deviendront ses résidents – le député de la Douma d’État Dmitry Belik .

18.45 Ancien chef d’état-major du groupe anti-terroriste “Alpha” Sergey Polyakov :
L’anneau de blocus autour de l’usine [Azovstal] est maintenant saturé d’équipements de renseignement technique, les drones sont constamment dans les airs. Si quelqu’un se penche hors du sol par les sorties des bunkers ou des égouts pluviaux, et même avec un mortier, des tirs d’artillerie s’ouvrent sur lui. Au moins le jour, au moins la nuit… Aujourd’hui, ils ont repris la direction de l’usine d’Azovstal. Et ainsi de suite : les positions de l’ennemi seront rongées mètre par mètre.

18h40 Ministère de la Défense de la Fédération de Russie à propos des héros russes :
Pendant la bataille, des carabiniers motorisés sous la direction du capitaine Nikolai Zubets ont détruit 4 chars ennemis, 6 véhicules de combat d’infanterie et 2 points de mitrailleuses équipés, et la colonie a été libérée. Plus tard, Zubets a personnellement détruit l’escouade de main-d’œuvre ennemie et 3 véhicules blindés de transport de troupes au combat, et a également organisé l’évacuation des blessés.
À 18 h 35, les forces armées ukrainiennes ont bombardé Horlivka trois fois en quatre heures, ainsi que la colonie Shirokaya Balka en RPD, tirant cinq grenades AGS, quatre mines de calibre 82 mm, trois grenades RPG et des armes légères ont également été utilisées.

18h30 Correspondant militaire  :
Un détachement de volontaires de Kalmoukie est arrivé sur le territoire ukrainien pour participer à une opération militaire spéciale de dénazification. L’équipe a des combattants expérimentés. Parmi eux se trouve le député de l’Assemblée de la ville d’Elista Chimid Dzhangaev , qui a traversé de nombreux points chauds dans le cadre des forces spéciales des Forces aéroportées.
18.25 Les lettres sur le danger de la circulation sur le pont de Crimée sont fausses, les informations ne correspondent pas à la réalité et sont lancées par les services spéciaux ukrainiens – les autorités.
18.20 La commission d’enquête de la Fédération de Russie a ouvert un dossier contre la direction des centres de détention de Kiev, Poltava, Kropyvnytskyi sur les faits de mauvais traitements infligés aux militaires russes capturés.
18.10 Readovka : Les Américains ont annoncé une semaine de rassemblements contre le plus grand fabricant d’armes au monde, Lockheed Martin, qui profite le plus de la guerre et des effusions de sang. Les militants exigent de rediriger la production vers une industrie plus pacifique et plus utile, ainsi que d’arrêter l’injection sans fin de l’argent du budget américain dans la production d’armes pour l’Ukraine et les guerres dans d’autres pays.
18.00 Les États-Unis sont prêts à toute mesure pour « tenir la Russie responsable » de la situation autour de l’Ukraine, à l’exception d’une confrontation militaire directe – la Maison Blanche.
17h50 La station de base de l’Internet mobile et des communications mobiles a été lancée à Marioupol du ministère des Communications de la RPD.
17h40 Des chartes secrètes et des manuels de formation de l’armée américaine ont été trouvés à la base d’Azov près de Marioupol, en particulier pour les unités de renseignement – RIA Novosti.
17.30 Une affaire pénale a été ouverte sur le fait de l’exploitation minière par l’armée ukrainienne de la bande côtière de la mer d’Azov en RPD, à partir de laquelle six personnes ont été tuées – Comité d’enquête de la Fédération de Russie.
17h20 Dans la ville libérée de Berdyansk, la vie politique se réveille : les habitants, drapeaux rouges à la main, organisent un rassemblement dans le centre-ville en l’honneur de l’anniversaire de Vladimir Lénine.
17.10 Le chef de la Tchétchénie, Ramzan Kadyrov, a publié une vidéo dans laquelle un habitant âgé du village de Staraya Krasnyanka de la LPR demande de lui donner un drapeau tchétchène avec l’image du premier président de la Tchétchénie, Akhmat-Kh Adji Kadyrov, promet de le « conserver dignement » et de le transmettre aux « enfants ».
17h00 Le porte-parole du ministère chinois des Affaires étrangères Zhao Lijian a répondu à une question de la presse sur le programme biologique américain :

Les États-Unis n’ont pas encore fourni d’explication convaincante pour leur guerre biologique. Il y a beaucoup de points flous et contradictoires dans les discours américains, ce qui accroît encore l’inquiétude de la communauté internationale. Par exemple, combien de centres de collaboration biologique américains existe-t-il dans le monde ? Combien d’échantillons biologiques les États-Unis ont-ils prélevés dans le cadre de l’accord avec l’Ukraine ? Quel en est l’usage? Quel type d’informations secrètes la partie ouzbèke ne doit-elle pas divulguer dans le cadre de l’accord ? Les États-Unis ont-ils effectué des recherches dangereuses à l’étranger qui sont interdites aux États-Unis ?

16h50 Lavrov : déclarations de représentants ukrainiens de toutes sortes, dont le président et ses conseillers, qui laissent entendre qu’ils n’ont pas du tout besoin de  négociations, qu’ils se sont résignés à leur sort.
16h40 À Nova Kakhovka (région de Kherson), la bannière de la victoire, les drapeaux de la Russie et de l’URSS ont été hissés. La région est sous le contrôle total de la Fédération de Russie. Plus tôt, la bannière de la victoire a été installée sur le Walk of Fame à Kherson.
16h30 Dans l’un des plus grands arsenaux des forces armées ukrainiennes en Europe, qui est passé aux troupes russes dans la zone NVO, à Balakliya, des mines de l’OTAN de 60 mm ont été trouvées – le commandant militaire Alexander Kots.
16.20 Environ 3 000 prisonniers de guerre des Forces armées ukrainiennes sont actuellement détenus en RPD – ministre de la Justice de la République Yuri Sirovatko .
16.10 Le régime de Kiev a distribué 300 000 armes légères à la population civile, cela pourrait conduire à un chaos incontrôlable – porte-parole du ministère russe des Affaires étrangères, Maria Zakharova.
16h00 Au cours de la semaine, la Garde nationale du sud de l’Ukraine a arrêté 91 membres du mouvement nationaliste.
15h50 Toutes les chaînes de télévision incluses dans les premier et deuxième bouquets du multiplex russe sont devenues disponibles à Kherson le 22 avril. En particulier, Channel One, toutes les chaînes du VGTRK (Rossiya 1, Rossiya 24, Kultura), Match-TV, NTV, Channel Five, Karusel, OTR et TVC ont été lancés à partir du premier multiplex, ainsi que REN-TV, Spas, STS, Domashny, TV-3, Friday, Zvezda, Mir, TNT, Muz-TV – à partir du deuxième bouquet. De plus, la radio “Vesti FM” fonctionne.
15h40 La 36e brigade de marine d’Ukraine a perdu plus de 700 personnes tuées, blessées et portées disparues à Marioupol, a déclaré à RIA Novosti le chef du service médical de la brigade, qui a décidé de déposer les armes.
15h35 Poutine, dans une conversation avec le président du Conseil européen Charles Michel, a attiré son attention sur les actions des dirigeants de la plupart des pays de l’UE, qui se livrent à la russophobie, y compris dans la culture et le sport.
15h30 The Guardian, citant le Premier ministre britannique Johnson :
Des dizaines de soldats ukrainiens suivent une formation militaire au Royaume-Uni et apprennent à utiliser les véhicules blindés de transport de troupes britanniques. En outre, des instructeurs britanniques ont commencé à former des Ukrainiens en Pologne sur l’utilisation du système de défense aérienne Starstreak, qui devrait être remis à l’Ukraine dans un proche avenir.
15.20 La commission d’enquête de la Fédération de Russie enquête sur le fait que Tochka-U a été bombardé par les forces armées ukrainiennes dans un hôpital de campagne du Donbass.
15.10 Loukachenka a déclaré qu’à son avis, les sanctions de l’Occident contre la partie biélorusse seraient renforcées.
15h00 Le ministère de la Défense de la Fédération de Russie a publié une vidéo du lancement de missiles Kalibr de haute précision sur l’infrastructure militaire de l’Ukraine. L’armée a lancé une frappe de haute précision avec quatre missiles de croisière depuis une frégate en mer Noire.
14.55 L’aspect historique de la Place Rouge doit être préservé. Déclaration des organisations patriotiques populaires de Russie :

Le but des actions de la Russie est de protéger les citoyens des Républiques populaires de Donetsk et de Lougansk et de libérer l’Ukraine du joug de Bandera. En fait, l’opération spéciale de l’armée russe en Ukraine peut être considérée comme une continuation des événements de la Grande Guerre patriotique…La tombe du commandant suprême de l’Armée rouge victorieuse  Staline,  les lieux de sépulture près du mur du Kremlin de généraux soviétiques exceptionnels, de grands scientifiques, des premiers cosmonautes et d’organisateurs remarquables de l’économie nationale sont cachés. Nous appelons le président de la Fédération de Russie V.V. Poutine pour préserver l’aspect historique de la Place Rouge lors de la célébration du Jour de la Victoire du peuple soviétique dans la Grande Guerre patriotique.

14h50 Le sénateur Kosachev n’exclut pas que les Russes doivent être évacués des pays occidentaux face à la montée de la russophobie.
14h40 L’une des mines posées par les forces de sécurité ukrainiennes dans la mer Noire s’est avérée clouée par les vagues sur la côte de la ville de Yuzhnoye, région d’Odessa n – médias.
14h30 Macron : La France enverra des montures d’artillerie automotrices Caesar de 155 mm en Ukraine.
14.20 Les réfugiés d’Ukraine à Varsovie se sont vu proposer de donner un faux témoignage sur les crimes du personnel militaire russe à Bucha, dans la région de Kiev, pour un séjour confortable dans l’Union européenne, a déclaré le citoyen tadjik Timur Khagainazarov, qui a quitté l’Ukraine pour Varsovie.
14.15 À Gostomel, le temple de l’UOC du Patriarcat de Moscou a été incendié – le commandant militaire Kots.
14h10 Ministère de la Défense de la Fédération de Russie à propos des héros russes :
Une brigade de fusiliers motorisés distincte sous le commandement du colonel Azatbek Omurbekov a vaincu l’ennemi et occupé la ligne de défense. En trois semaines, sous la direction d’Omurbekov, plus de 50 attaques ennemies ont été repoussées sur la ligne occupée à l’aide de chars, de véhicules de combat d’infanterie et d’artillerie lourde.
14h00 Environ 15% du parc de logements de Marioupol, qui a été endommagé pendant les hostilités, ne peut pas être restauré – le maire de la ville Konstantin Ivashchenko . Le ministère de la Construction de la RPD a commencé à évaluer l’état des maisons et des infrastructures civiles. Le premier sera de restaurer les maisons avec un minimum de dégâts.
13.50 Un employé de l’OSCE détenu dans la RPL a avoué avoir transféré des informations classifiées à des services de renseignement étrangers, une affaire de trahison a été engagée – le ministère de la Sécurité d’État de la RPL.
13.45 La Fédération de Russie est prête à tout moment à introduire un régime de silence pour l’évacuation des citoyens, s’ils sont à Azovstal, le début d’une pause humanitaire sera la levée de drapeaux blancs par des formations ukrainiennes – le ministère de la Défense de la Fédération Russe.
13.40 Poutine a discuté avec les membres permanents du Conseil de sécurité de la Fédération de Russie des questions de coopération dans l’espace post-soviétique.
13h30 Voenkor Kotenok à propos d’une tentative de percer les chars des Forces armées ukrainiennes : l’Ukraine tente de contre-attaquer dans la direction Kharkiv-Belgorod, agissant en petits groupes selon des tactiques et des stratégies développées par le Pentagone spécifiquement pour l’Ukraine. De petits groupes mécanisés autonomes renforcés par des véhicules blindés disposent de communications par satellite, des drones liés à l’artillerie pour corriger les coupe-feu et fonctionner de manière autonome.
13h20 Borrell : Poutine dit non aux pourparlers sur l’Ukraine.
13.10 Une affaire pénale a été ouverte contre l’opposant libéral Vladimir Kara-Murza pour diffusion de fausses informations sur l’armée russe.
13h00 Ministère des Communications de la RPD : une station de base de l’opérateur “Phoenix” a été installée à Marioupol, des améliorations des communications dans la ville sont attendues dans les semaines à venir.
  12h55 , les Forces armées ukrainiennes à 12h00. et 12h15 tiré sur le district Kuibyshevsky de Donetsk et Yasinovataya, tirant cinq mines de calibre 120 mm et cinq roquettes du Grad MLRS.
12h50 Commandant adjoint du district militaire central, le général de division Rustam Minnekaev :
Les médias parlent maintenant beaucoup de certains échecs de nos forces armées. Mais ce n’est pas. Dans les premiers jours de la guerre, la tactique des unités ukrainiennes était calculée sur le fait qu’après avoir avancé, des groupes séparés de troupes russes tombent dans des embuscades préparées à l’avance et subissent des pertes. Mais les forces armées russes s’y sont très vite adaptées et ont changé de tactique.
12h40 Voenkor Kotenok publie les premiers détails sur la tentative de percer la colonne de chars des forces armées ukrainiennes sur le territoire de la Russie :
Aujourd’hui à 6 h 30, les forces armées ukrainiennes ont tenté de percer dans la région de Goptovka. L’équipement a été déplacé de la colonie. Svetlichnoye vers Kazachya Lopan. Les forces armées de la Fédération de Russie ont enregistré une colonne de jusqu’à 15 véhicules blindés. Le feu a été ouvert, à la suite de quoi 6 unités ont été touchées et détruites par des systèmes de missiles antichars, les autres étant visées par le MLRS.
12h30 Les forces de la RPD ont pris le contrôle du centre de télévision de Marioupol, la diffusion sera conduite vers le sud de la république et vers le territoire de Zaporozhye.
12h20 Chef de l’autonomie nationale-culturelle régionale des Tatars de Crimée Eyvaz Umerov :
Les habitants des régions de Kherson et d’Azov des régions de Zaporozhye en Ukraine, qui appartenaient autrefois à la province de Taurida avec la Crimée, et plus tôt au khanat de Crimée, déclarent leur désir de retourner en Russie, car ils ne veulent plus être sous le joug des nationalistes ukrainiens. La Crimée joue un rôle central dans l’intégration économique et juridique des régions du sud de l’Ukraine. Par conséquent, je vois qu’il est nécessaire de restaurer le district fédéral de Crimée, qui pourrait à l’avenir inclure les régions du sud de l’Ukraine.
12.10 Commandant adjoint du district militaire central, le général de division Rustam Minnekaev : « Apparemment, nous sommes maintenant en guerre avec le monde entier, comme ce fut le cas lors de la Grande Guerre patriotique, toute l’Europe, le monde entier était contre nous. Et maintenant c’est pareil, ils n’ont jamais aimé la Russie. 12h00 Voenkor Kotenok : des informations sont reçues sur une tentative d’effraction en Russie par des chars ukrainiens. L’incident s’est produit dans la région de Goptovka (un poste de contrôle frontalier à la frontière ukraino-russe dans le district de Dergachev de la région de Kharkiv). 10 chars ukrainiens ont été impliqués, 8 ont été détruits, 2 refoulés.
 11 h 50, les forces armées ukrainiennes ont bombardé la zone du village de la mine Komsomolets à Gorlovka, tirant six mines d’un calibre de 120 mm – le bureau de représentation de la DPR au JCCC.
11.40 Le contrôle du sud de l’Ukraine donnera aux forces armées russes un débouché supplémentaire vers la Transnistrie, où “il y a des faits d’oppression de la population russophone” – Commandant adjoint du district militaire central Rustam Minnekaev.
11 h 35 DPR NM : Au cours des dernières 24 heures, les militaires de la DPR ont détruit 59 nationalistes ukrainiens, un lance-roquettes multiple BM-21 Grad 122 mm, un BMP et un véhicule blindé de transport de troupes. Un char, deux mortiers de 120 mm, un véhicule blindé et un véhicule cargo ont été capturés.
11h30 Le fondateur d’Azov, Andriy Biletsky, menace de tuer des civils qui se rendront le 9 mai au rassemblement du Régiment immortel à Marioupol : « Des missiles ukrainiens à longue portée, tels que Tochka-U, y parviennent parfois. Par conséquent, je ne risquerais pas de détenir des «régiments immortels» et autres.
11h30 FOM : La majorité des Russes (81%) évaluent positivement le travail du président Vladimir Poutine, 10% évaluent négativement le travail du président, à peu près le même nombre a du mal à répondre. Une semaine plus tôt, 77 % évaluaient positivement le travail du président, 12 % négativement. 79% des Russes font confiance à Poutine (76% une semaine plus tôt), 12% de la population ne lui font plutôt pas confiance (14% la semaine dernière), 9% ont eu du mal à répondre.
11.20 Les forces armées russes au cours de la deuxième phase de l’opération spéciale prévoient d’établir un contrôle total sur le Donbass et le sud de l’Ukraine, afin de fournir un couloir vers la Crimée – Commandant adjoint du district militaire central, le général de division Rustam Minnekaev.
11h15 Ministère russe de la Défense : L’aviation opérationnelle et tactique a frappé 58 installations militaires de l’Ukraine, dont 4 postes de commandement.
11.05 L’ex-président du Parlement de Novorossia Oleg Tsarev à propos des menaces de Kiev de frapper le pont de Crimée :
S’ils en ont l’occasion, ils appliqueront ces systèmes sans hésitation. Et pas seulement le long du pont de Crimée, mais aussi sur le territoire de la Crimée elle-même, ainsi que dans les régions intérieures de la Russie, jusqu’aux grandes villes. Optimal pour Kiev, en termes de création d’un effet de propagande et de satisfaction maximale des sponsors – dans les deux capitales, principalement à Moscou et dans la région de Moscou. Loin, mais cela aura l’air très symbolique.
11h00 Dans la région d’Aleksandrovka, le poste de commandement et la zone de concentration de la main-d’œuvre et de l’équipement militaire ukrainien ont été vaincus, jusqu’à 80 nationalistes ont été détruits, 23 unités de véhicules blindés et de véhicules – Konashenkov.
10.55 Les universités russes ont accepté plus de 400 étudiants d’universités étrangères qui ont abandonné en raison de « pressions à motivation politique ». La plupart des étudiants sont rentrés dans leur pays d’origine depuis la République tchèque, l’Ukraine, la Pologne, la Grande-Bretagne et les États-Unis.
10h50 Ministère de la Défense de la Fédération de Russie : Un S-300 ukrainien est détruit près de Novoselka.
10h45 Le correspondant militaire de RT Murad Gazdiev à propos des nationalistes bloqués à Marioupol :
Maintenant ils [les nationalistes] sont assis dans le périmètre, à l’intérieur d’Azovstal, ils n’ont nulle part où aller. Ils n’ont plus la force, les ressources, l’eau ou les munitions pour tenter une percée. Ils comprennent que leur situation est sans espoir… La question est de savoir combien de temps encore ils pourront et voudront tenir le coup.
10.40 Missiles de haute précision “Calibre” dans la zone de la gare Meliorativnoye détruit jusqu’à un bataillon de personnel ennemi avec des armes et du matériel – le ministère de la Défense de la Fédération de Russie.
10h35 Un avion de transport militaire ukrainien An-26 s’est écrasé dans la région de Zaporozhye.
10h30 Ministère de la Défense de la Fédération de Russie à propos des héros russes :
Le lieutenant Oleksiy Zelensky, avec son équipage, a lancé une attaque au missile sur les positions des militants ukrainiens, détruisant jusqu’à 50 pièces d’équipements militaires et spéciaux ennemis, ainsi que jusqu’à 200 nationalistes. La frappe suivante a détruit 2 hélicoptères ennemis, 8 pétroliers et 23 nationalistes.
10h20 APU lors d’affrontements avec des unités de la LPR a perdu 12 personnes et 3 véhicules blindés de transport de troupes par jour – NM LPR.
10.15 Il n’y a pas d’unité parmi les États membres de l’UE sur la question de l’imposition d’un embargo sur les importations de vecteurs énergétiques russes – Borrell dans une interview au journal El País.
10.10 Les forces du DPR ont été évacuées de Marioupol vers N. p. au cours de la journée écoulée. Sans nom 547 personnes dont 91 enfants – Quartier général de la défense de la république.

10.05 Gazprom continue de fournir du gaz russe pour le transit vers l’Europe via le territoire de l’Ukraine en mode régulier – Sergey Kupriyanov, représentant officiel de l’exploitation.
A 10h00, le FSB de Russie, lors d’une opération spéciale, a empêché une attaque terroriste par des saboteurs ukrainiens contre un convoi humanitaire russe, qui se préparait sur les instructions du SBU, une voiture piégée, un arsenal d’explosifs, une grenade des lanceurs, des MANPADS et d’autres armes ont été saisis.
9h55 Les autorités ukrainiennes refusent d’ouvrir le 22 avril des couloirs humanitaires pour l’évacuation des civils.
9.50 Une discussion a commencé dans la société russe sur la possible mobilisation de soldats civils contractuels pour le service à l’arrière et les unités de soutien de l’armée opérant en Ukraine, par analogie avec les actions américaines en Irak et en Afghanistan, où le nombre de ces « sous-traitants » était comparable aux unités de combat.
9.45 Mercredi dernier, les représentants des banques centrales de Russie et d’Inde ont discuté des options de paiement dans la monnaie nationale – RIA Novosti.
9 h 40 Les plus grands arsenaux d’Ukraine à Balakleya, dans la région de Kharkiv, ont été transférés à la disposition des forces du NVO – le commandant militaire Alexander Kots .
9h30 RT : l’armée russe évacue les familles nombreuses de la région de Kharkov vers la région de Belgorod. Au cours des deux derniers mois, seule la Russie les a aidés.
9h20 Les UAF ont bombardé la RPD plus de 20 fois en une journée, 4 civils ont été blessés – le bureau de représentation de la république au JCCC.
9.15 Moscou est ouvert à un dialogue honnête et mutuellement respectueux avec les États-Unis, les canaux de communication sont préservés même dans les conditions actuelles – directeur adjoint du département Amérique du Nord du ministère russe des Affaires étrangères Sergey Koshelev .
9.10 Le ministère russe de la Défense a publié une vidéo de la zone fortifiée laissée par les forces armées ukrainiennes avec des armes abandonnées là-bas et les corps des militaires ukrainiens morts.
9.05 L’ancien rédacteur en chef d’Ekho Moskvy, Alexei Venediktov, a refusé d’être nommé à la nouvelle composition de la Chambre publique de Moscou – TASS.
9h00 Josep Borrell a déclaré qu’il serait prêt à s’asseoir à la table des négociations avec Vladimir Poutine sur l’Ukraine “même demain”.
8.50 La Grande-Bretagne a délivré une licence pour les paiements de gaz à Gazprombank et ses “filles” pour une période allant jusqu’au 31 mai.
8.40 Après un grave incendie à l’Institut des troupes de la région du Kazakhstan oriental à Tver, à la suite duquel au moins 7 personnes sont mortes, une affaire pénale a été ouverte.
8h30 Député de la Douma d’Etat de Crimée Sheremet : désormais nous conseillons au régime de Kiev de ne pas bégayer sur les frappes sur le territoire de la Russie, et plus encore sur le pont de Crimée, une telle provocation de leur part entraînera des mesures de rétorsion au centre de décision à Kiev, alors que ces mesures seront à une échelle des centaines de fois pire.
8.00 Plus de 6 000 résidents des territoires libérés de l’Ukraine ont reçu des paiements forfaitaires. Parmi eux se trouvent des retraités, des employés du secteur public et des personnes âgées, dont les paiements sont effectués à domicile.
7.30 Chef de la Tchétchénie Ramzan Kadyrov : Maintenant je mens et je lis de telles bêtises. Que j’ai entrepris de tuer Zelensky. Moi ou mon groupe, donc ils écrivent. Zelensky, cours, cours. Ils font cela © matériel gâté. Vous n’avez pas justifié la confiance, vous êtes fini. Tu vas bientôt être empoisonné par les tiens… Mais tu ne nous déranges pas, tu es juste un bon joueur de l’équipe KVN… Allez, cours où tes yeux se tournent.

07h00 Les forces de sécurité russes ont reçu des informations complètes sur l’ensemble du personnel du département SBU dans la région de Kherson, y compris les forces spéciales qui commettent des sabotages – RIA Novosti.
6.00 Les autorités de Kiev éprouvent une peur panique de l’intégration des régions libérées du sud de l’Ukraine avec la Russie – Vice-président du Conseil des ministres de la République de Crimée Georgy Muradov.
5.00 L’ancien président américain Donald Trump : En ce moment, à mon avis, la période la plus dangereuse de l’histoire de notre pays. Jamais auparavant notre monde n’avait été aussi en danger.
4.00 Rosaviatsia a recommandé aux compagnies aériennes de se préparer pour les vols sans GPS – Izvestia.

3.00 Les dépenses allemandes en gaz en 2022 pourraient doubler, passant de 8,8 milliards à 17,6 milliards d’euros par rapport à l’année dernière.

SOURCE: SVPressa


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