Malgré l’entrée en guerre des États-Unis au printemps 1917, les forces alliées doivent débourser des sommes considérables pour continuer la guerre qui fait rage depuis 1914. Cette situation draine les ressources financières canadiennes. La Grande-Bretagne et les États-Unis disposent déjà de lois permettant de taxer les revenus à cette fin. Le gouvernement conservateur de Robert Borden va s’en inspirer pour taxer les revenus au Canada.
La Loi de l’impôt de guerre sur le revenu entre en vigueur le 28 février 1918. Cette mesure doit être temporaire et disparaître après la guerre! Qu’importe : l’impôt sur le revenu des particuliers est perçu depuis cette époque au Canada.
L’officier Bootsmann de la Kriegsmarine posant avec son couteau bolo à côté d’un char lourd Churchill « OKE » équipé de lance-flammes … abandonné, après l’échec du commando allié sur Dieppe.
Le raid de Dieppe était un assaut des Alliés contre le port de Dieppe, occupé par les Allemands, le 19 août 1942, au cours de la Seconde Guerre mondiale. L’assaut principal a duré moins de six heures avant que les fortes défenses allemandes et les pertes croissantes des Alliés forcent leurs commandants à faire retraite.
Plus de 6 000 fantassins, principalement canadiens, ont été appuyés par le Calgary Regiment de la 1re brigade de chars canadiens et par une puissante force de la Royal Navy et des contingents aéroportés plus petits de la Royal Air Force. Cela impliquait 5 000 Canadiens, 1 000 soldats britanniques et 50 rangers de l’armée américaine.
Le 11 novembre 2018 marque le centième anniversaire de la signature de l’Armistice ayant mis fin à la Première Guerre mondiale. Une guerre encore gravée dans les esprits : quelque 10 millions de militaires morts, presque autant de civils, des combats sanglants et des conséquences qui se font sentir encore aujourd’hui.
C’était aussi la première guerre à mobiliser autant de pays. Les Européens d’abord, mais également leurs alliés ailleurs dans le monde, ainsi que leurs colonies.
D’où venaient les soldats de la Première Guerre mondiale?
Sources : La documentation française, ministère de la Défense de la France, The rise and fall of the British empire – Lawrence James.
Notes : Le nombre exact de mobilisés et de morts est impossible à établir avec exactitude.La dénomination des colonies africaines et indochinoises reprend les termes utilisés à l’époque. Les frontières sont celles d’aujourd’hui.
« Des millions d’individus sont enrôlés », raconte Martin Laberge, professeur d’histoire au Département des sciences sociales de l’Université du Québec en Outaouais.
En France et en Allemagne, c’est 80 % de la population masculine en âge de porter les armes qui est recrutée.
Martin Laberge, professeur d’histoire au Département des sciences sociales de l’Université du Québec en Outaouais
« On a une extension du conflit sans commune mesure avec ce qu’on a connu auparavant », ajoute Carl Bouchard, professeur au département d’histoire de l’Université de Montréal.
« D’une part, il n’y a jamais eu autant d’États et de nations qui ont participé à une guerre, d’autre part, les empires qui y participent s’étendent sur l’ensemble de la planète, enfin, les zones de combat sont extrêmement vastes et débordent du continent européen. »
Une guerre mondiale donc, se déroulant en grande partie dans le nord-est de la France, mais aussi dans les Alpes, dans les Balkans, en Afrique et au Moyen-Orient.
Le Canada, tout comme les autres dominions britanniques (l’Australie, la Nouvelle-Zélande et l’Afrique du Sud), n’est pas intervenu comme État indépendant, mais plutôt en tant que sujet de la Grande-Bretagne. La déclaration de guerre de cette dernière le liait inexorablement, rappelle M. Bouchard.
« On n’était pas en contrôle de notre politique étrangère. À partir du moment où le Royaume-Uni est entré en guerre, le Canada est entré automatiquement en guerre lui aussi. »
Carl Bouchard, professeur au département d’histoire de l’Université de Montréal
Des changements sociaux au Canada
Le Canada était encore très britannique au début du 20e siècle. Il recevait des dizaines de milliers d’immigrants du Royaume-Uni annuellement, rappelle Serge Durflinger, professeur d’histoire à l’Université d’Ottawa.
Très attachés à leur mère patrie, ces nouveaux immigrants étaient disposés à se battre pour elle ou à payer pour sa défense.
Lors du recensement de 1911, un peu plus de la moitié de la population avait déclaré des origines britanniques, dont environ 11 % de personnes nées en Angleterre, en Irlande, en Écosse ou dans d’autres possessions britanniques.
Dans l’Ouest cependant, on trouvait aussi des dizaines de milliers d’immigrants allemands et russes, qui, tout comme les francophones dans l’Est, n’avaient aucune attache sentimentale envers l’empire, précise M. Durflinger.
La guerre a donc créé beaucoup de divisions au pays entre ceux qui se sentaient interpellés et ceux qui pensaient que le conflit ne les concernait pas. La décision du gouvernement fédéral de conscrire les hommes pour le service militaire, en 1917, puisque le recrutement volontaire ne suffisait pas, a entraîné de violents débats, ainsi que des émeutes, et marqué la vie politique au pays pour de nombreuses années.
La guerre a été un point tournant pour notre participation continue comme colonie au sein de l’empire.
Serge Durflinger, professeur d’histoire à l’Université d’Ottawa
À la fin de la guerre, souligne M. Durflinger, on entend deux discours différents, mais qui mènent cependant à la même conclusion : l’indépendance s’impose.
Certains soutiennent que le Canada, par son sacrifice et sa victoire aux côtés des Alliés, mérite d’être reconnu comme une nation souveraine. D’autres estiment que les Canadiens auraient dû devoir prendre par eux-mêmes la décision de participer à la guerre plutôt que d’y être entraînés par leur appartenance à l’Empire britannique.
Ce n’est cependant pas avant l’adoption du statut de Westminster, en 1931, que le Canada obtient l’indépendance.
Le lent début de la décolonisation
À la suite du conflit, plusieurs colonies en sont arrivées au même constat et revendiquent, elles aussi, le droit de se gouverner.
D’autant plus qu’on a fait miroiter aux peuples colonisés la possibilité d’une certaine autonomie en échange de leur implication dans la guerre.
« C’est un peu le premier pas de la décolonisation », croit Carl Bouchard.
L’idée du droit à l’autodétermination commence à faire son chemin, en partie grâce aux bolcheviks, qui le proclament après la révolution de 1917, et au président américain Woodrow Wilson, qui l’inclut dans ses Quatorze Points, la base de la feuille de route des négociations de l’après-guerre, soutient Carl Bouchard.
Mais, il y a loin de la parole aux actes.
« Les nationalistes, dans les nations colonisées, vont être déçus par les traités de paix [conclus après la guerre], en s’apercevant que finalement les choses ne changent pas », précise M. Bouchard.
Ho-Chi Minh acclamé!
C’est notamment le cas du leader vietnamien Ho Chi Minh, qui avait fait des demandes pour une reconnaissance de l’autonomie du peuple vietnamien et la création d’un gouvernement indépendant lors de la conférence de paix qui a mené au traité de Versailles, en 1919. Ses revendications ont alors été ignorées.
La déception a également été vive en Inde, où les espoirs d’obtenir une autonomie accrue après la guerre ont rapidement été déçus, alors que les Britanniques, au contraire, ont intensifié la répression.
« Ils s’aperçoivent que l’autodétermination, ça marche juste pour les Européens, notamment pour les peuples qui faisaient partie de l’empire austro-hongrois. Il n’y a aucune colonie de la France ou de la Grande-Bretagne qui disparaît après la guerre. »
Carl Bouchard, professeur au département d’histoire de l’Université de Montréal
Cela va radicaliser le discours anticolonial, croit-il, qui ne trouvera son aboutissement qu’après la Deuxième Guerre mondiale.
La reconfiguration des frontières
Pour les peuples européens, toutefois, l’implosion des empires russe, austro-hongrois, allemand et ottoman permettra la survenue de nouvelles nations.
« On a critiqué les décideurs, à la suite des traités de paix, pour avoir reconfiguré la carte de l’Europe, souligne Martin Laberge. Mais, dès l’automne 1918, les blocs ont déjà émergé et les décideurs sont coincés avec ces États qui réclament leur autonomie. »
On voit ainsi renaître la Pologne, tandis qu’apparaissent la Tchécoslovaquie, la Yougoslavie, la Roumanie, mais aussi la Finlande et les pays baltes.
En Afrique, par contre, le démantèlement des empires allemand et ottoman n’entraîne pas l’indépendance des pays concernés, mais plutôt la création de nouveaux mandats coloniaux.
Les anciennes colonies allemandes sont maintenant administrées par la France, la Belgique et la Grande-Bretagne. « C’est une poursuite de l’impérialisme », croit M. Bouchard.
Ailleurs aussi, les décisions prises après le conflit ont toujours des impacts aujourd’hui.
« Au Proche-Orient, les frontières qu’on a tracées en 1919 sont encore les lignes de tension aujourd’hui, 100 ans plus tard », poursuit M. Bouchard.
« Une guerre catastrophique »
Maintenant que les vétérans de la Grande Guerre sont morts, ne risque-t-elle pas de sombrer dans l’oubli?
C’est peu probable, croit l’historien Carl Bouchard, dans la mesure où elle a vraiment représenté une rupture avec le passé.
« Jamais on n’avait connu de telles pertes », affirme-t-il.
Après la guerre, les États ont décidé d’établir un ensemble de pratiques pour s’assurer qu’on ne l’oublie jamais.
On trouve ainsi des monuments aux morts dans bien des villes et villages d’où étaient originaires les combattants. L’idée de ces monuments collectifs naît d’ailleurs avec cette guerre, afin d’essayer de mettre en lumière l’ampleur en vies humaines du sacrifice.
Le coquelicot est la fleur du Souvenir!
C’est aussi après 1918 que commence la tradition de la tombe du Soldat inconnu, symbolisant tous les morts dont les restes n’ont pas été identifiés.
« La Première Guerre mondiale a une dimension mémorielle et physique que n’ont pas les autres guerres », estime M. Bouchard.
C’est aussi à la suite de cette guerre « catastrophique » que les États ont décidé « d’éliminer la guerre comme outil de régulation des relations internationales », croit pour sa part Martin Laberge. Leur souhait est d’utiliser plutôt le droit international et la négociation, ce qui a conduit à une certaine stabilisation et à un esprit de coopération européen.
Un système qui volera cependant en éclats en 1939.
1 er juillet 1916,au premier jour de la bataille de la Somme,le Royal Irish Rifle attend dans une tranchée de communication.
Une photo colorisée contemporaine nous montre un ballon d’observation allemand au moment de son lancement.
Cette guerre aura été l’un des pires cauchemards de l’humanité!
Tout a commencé par l’assassinat de l’archiduc François-Ferdinand à Sarajevo par une société secrète liée aux illuminati!
Time : 9 mn 29 Time : 15 mn 13 Histoire cachée Les origines secrètes de la Première Guerre mondiale Parmi les nombreux mythes qui embrouillent l’esprit politique moderne, aucun ne corrompt la compréhension ou ne maquille autant les faits historiques que le mythe voulant que les riches […]
Parmi les nombreux mythes qui embrouillent l’esprit politique moderne, aucun ne corrompt la compréhension ou ne maquille autant les faits historiques que le mythe voulant que les riches et les puissants de ce monde ne conspirent pas. C’est totalement faux.
Le mensonge de la Grande Guerre
Ils conspirent continuellement, couramment, effectivement et diaboliquement, à une échelle qui dépasse l’entendement. Nier cette conspiration, c’est nier des preuves empiriques irréfutables et le bon sens le plus élémentaire.
Il n’en demeure pas moins que pour l’observateur averti du « grand jeu » politique, c’est une source inépuisable d’étonnement que de tomber sur des exemples toujours plus stupéfiants de machinations monstrueuses que les élites riches et puissantes sont capables d’échafauder. C’est ce à quoi s’emploient les auteurs Docherty et Macgregor, dans un livre qui nous couple le souffle.
Ainsi, l’histoire officielle et sacralisée des origines de la Première Guerre mondiale, nous disent les auteurs des livres d’histoire « anti-système », ne serait qu’un seul et même tissu de mensonges du début à la fin. Plus à propos encore est la thèse des auteurs voulant que – pour paraphraser ce qu’a dit plus tard Churchill, qui occupe d’ailleurs une place de choix dans cet article :
« jamais autant de personnes ont été tuées, de façon si injuste, pour assouvir les ambitions et la soif de profit d’un si petit nombre. »
En démolissant les nombreuses antiennes à propos des origines de la « Grande Guerre » (y compris la « responsabilité allemande », les « efforts de paix britanniques », la « neutralité de la Belgique » et « l’inévitabilité » de la guerre), les écrivains Docherty et Macgregor pointent du doigt ceux qui sont vraiment à l’origine du conflit : des impérialistes britanniques formant une cabale plus ou moins secrète, dont les visées politiques pendant une quinzaine d’années consistaient à préparer une guerre européenne afin de détruire le nouveau concurrent commercial, industriel et militaire de la Grande-Bretagne qu’était l’Allemagne.
Pour résumer, Docherty et Macgregor(1) soutiennent que « loin de se diriger aveuglément vers une tragédie mondiale, le monde qui ne se doutait de rien est tombé dans une embuscade tendue par une cabale secrète de bellicistes » qui ne se trouvaient pas à Berlin, mais bien « à Londres ».
J’avoue ici abonder dans le sens de cette thèse, aussi frappante soit-elle, ne serait-ce que pour le principe général. Après tout, il suffit de regarder la réalité politique d’aujourd’hui pour constater que nous nageons en plein délire orwellien. De plus, mes nombreuses années de recherches m’ont amené non seulement à conclure que ce qu’on nous sert comme « nouvelles » n’a rien à voir avec la réalité, mais aussi que les écrits et les présentations historiques sont aussi bidons qu’un billet de trois dollars. Il faut tout de même que la thèse défendue repose sur un ou deux arguments crédibles. Voyons voir :
AVANT PROPOS IMPORTANT
L’Empire Britannique est infiltré et contrôlé par la Mafia Khazare donc pour comprendre l’article ,il faut savoir qu’une puissante mafia contrôle le crime organisé,les banques et plusieurs sociétés secrètes dont:les franc maçons et les Illuminati.
Voici un bref historique de cette mafia:
L’histoire du royaume des Khazars, en particulier l’histoire de la mafia Khazare (KM), le plus grand syndicat du crime du monde, qui détient le pouvoir sur notre monde avec de l’ argent issu de la « magie babylonienne » , est presque complètement supprimé des livres d’histoire.
Le Royaume de Khazaria est un morceau de terre qui se trouve entre la mer Noire et la mer Caspienne, qui est aujourd’hui le sud de la Russie, l’ouest du Kazakhstan, est de l’Ukraine, l’Azerbaïdjan, de grandes parties du Caucase (y compris des parties de la Géorgie) et la Crimée.L’origine des Khazars et leur conversion au judaïsme est l’objet d’un désaccord entre les historiens.
La Mafia Khazare sait maintenant qu’elle ne peut pas fonctionner ou exister sans le plus grand secret et a donc beaucoup d’argent pour enlever toutes les références vers leur nom ,des livres d’histoire, de sorte que rien ne peut trouver le «mal inimaginable» . Les auteurs (à l’origine )de ce bref résumé ont fait de leur mieux pour tenter de récupérer les fonds qu’ils ont perdu en recherches, soit l’histoire secrète des Khazars et leur grand syndicat international du crime organisé, mieux connu sous le nom Khazar Mafia « (KM).Ils ont utilisé l’internet pour mettre l’information à la disposition du monde .
Il a été extrêmement difficile de reconstituer cette histoire, donc des excuses à l’avance pour de petites erreurs ou des erreurs commises par inadvertance, en raison de la difficulté de déterrer la véritable histoire des Khazars et sa mafia. Mike Harris est celui qui sert de référence.
L’arrière – plan de ce travail lors de la Conférence syrienne contre le terrorisme et l’ extrémisme religieux , le 1er Décembre 2014 , le rédacteur Gordon Duff, s’est exprimé pour la première fois ouvertement ( ici ) sur le fait que , à la racine du terrorisme dans le monde ,on trouve un grand syndicat du crime organisé qui est associée à Israël.Cette révélation a provoqué une onde de choc ( ICI ) dans le monde parce que presque tous les leaders politiques du monde reçoivent des rapports sur les sujets traités par Gordon Duff . Ces ondes de choc sont toujours en mouvement,encore aujourd’hui ..!
La Mafia Khazare utilise également la Réserve fédérale, l’IRS système illégal et inconstitutionnel (Internal Revenue Service, l’Administration fédérale des Etats-Unis), le FBI, la FEMA (Federal Emergency Management Agency, Agence fédérale pour la gestion des catastrophes), la sécurité intérieure et la TSA ( Transportation Security administration). Certes, nous savons que la Mafia Khazare est responsable de l’opération de faux drapeau (False flag) du 9/11 (l’attentat du 11 septembre 2001) et pour l’attentat d’Oklahoma City, une attaque contre un bâtiment du gouvernement avec une voiture piégée en Avril 1995, sur l’ « immeuble Alfred P. Murrah Federal. »
L’histoire gardé secrète de la mafia des Khazars
100-600 AD. – Une puissance société criminelle se développe dans la Khazaria Les habitants de Khazaria sont contrôlés par un roi pernicieux: un dangereux roi qui est compétent dans la magie noire babylonienne. En ce temps-là , les Khazars sont associés aux voleurs, aux meurtriers et aux agresseurs qui attaquent les voyageurs qui traversent le pays.Aussi se sont des voleurs d’identité .Ils osent même assumer l’identité de ces personnes qu’ils ont volé.
600 AD. – La Russie et d’ autres pays qui entourent Khazaria lui lancent un ultimatum Cette année-là, les dirigeants de leurs pays voisins, en particulier la Russie, ont dû entendre tant de plaintes de leur peuple qu’ils en tant que groupe un ultimatum au roi des Khazars. Il doit faire un choix de trois des religions abrahamiques, le judaïsme, le christianisme et l’ islam. Le roi choisit le judaïsme. Il promet de respecter les règles fixées par les nations environnantes, dirigées par le tsar russe lui-même.
Mais il (le roi des Khazars) garde en secret avec ses oligarques le fait de pratiquer la magie noire, aussi appelé ‘Satanisme Secret ». Les cérémonies occultes sataniques secrètes comprennent des rituels avec les enfants, les saignées et les assassinats. Les cérémonies occultes sont basées sur l’ancien culte de Baal, aussi appelé Owl culte (Culte de la Chouette). Pour propager la pratique juive luciférienne ,on y mélangeat la magie noire ,jetant de la poudre aux yeux de la confédération des nations.
La création d’une religion satanique secrète hybride, est connu sous le nom de planification Talmudiste Babylonienne. Elle est la religion nationale de l’Etat et nourrit le même mal qui florissait avant dans Khazaria. Les Khazars continueront, avec des personnes voyageant à travers leur pays pour les voler et les assassiner. Les voleurs sont passés maîtres dans l’hypothèse de l’identité de leurs victimes. Cette pratique est aujourd’hui en Khazaria toujours en vogue, et les cérémonies occultes et de l’enfant sacrifice, sont resté associé au culte de Baal.
1000 AD. – La Russie et d’ autres nations en ont eu assez et l’ action commence autour d’ environ 1000 AD. Un certain nombre de pays, avec la Russie en tête, dans le royaume des Khazars. Ils veulent mettre un terme aux crimes des Khazars contre leurs ressortissants, y compris l’enlèvement des enfants. Le roi des Khazars et son cercle de confidents, des criminels et des assassins, sont largement appelés Mafia Khazare (KM). Les dirigeants de Khazaria ont un réseau d’espionnage efficace.
La Mafia Khazare est averti d’une attaque imminente et ces criminels s’échappèrent en emportant avec eux un important trésor en or et en argent hors de Khazaria,plus à l’Ouest. Ils se cachent, se regroupent et prennent de nouvelles identités. Les Khazars continuent le culte de Baal, les sacrifices de sang, en espérant que Baal fournira la puissance et la richesse promise s’ils ont laissé saigner en contrepartie des enfants et des sacrifices dédiés à lui. Le roi des Khazars et ses courtisans promettent honneur contre les Russes et les pays voisins. L’invasion de leur pays d’origine et l’expulsion du tsar de la position de pouvoir pour se venger.
La Mafia Khazare tombe dans l’ Angleterre après des centaines d’années en exil. Afin de réussir l’invasion de l’ Angleterre , ils embauchent pour assassiner le roi Charles I, l’impitoyable Oliver Cromwell qui leur permit l’accessibilité au système bancaire. Cromwell les conduit aux forces républicaines dans les guerres civiles anglaises durant près de dix ans. Ceci conduit finalement à l’abolition de la monarchie britannique et de la condamnation de centaines de gens de la noblesse britannique. Par exemple, la ville de Londres est devenu la capitale bancaire de l’ Europe et en même temps, le grand Empire britannique est lancé.
La Mafia Khazare décide d’infiltrer toutes les banques dans le monde et le détournement par l’utilisation de la Magie Noire babylonienne , aussi connu comme Money Magic ou l’art secret de faire de l’argent à partir de rien. Cela se fait au moyen d’accumulation d’usure pernicieuse.
La Mafia Khazare a utilisé sa vaste fortune pour créer un nouveau système bancaire, sur la base secrète babylonienne magique de pouvoir sur l’argent. Ils affirment que cela a appris des mauvais esprits de Baal, en échange pour le sacrifice de l’enfant.Ils fabriquent des certificats de crédit de papier pour les dépôts d’or et d’argent. Un certificat facilement remplaçable, qui est offert aux personnes qui ont besoin de voyager.Lorsqu’une licence est volé pendant le voyage , puis on remplace ce certificat .
Intéressant, comment un problème qui a été créé par le comportement des Khazars est également résolu par eux. Finalement infiltrer le roi des Khazars et un petit groupe de confidents, en adoptant le nom de «Bauer»,en Allemagne. Les Bauers représentent la Mafia Khazare et mettre en œuvre le système pernicieux entraîné par Baal, en Allemagne. Le Red Shield des Bauers d’Allemagne ( Bouclier Rouge) vont changer leur nom en Rothschild (ou enfant de la roche, enfant de Satan).
Prenant le monde bancaire ..
Les Rothschilds ,par descendance,vont devenir pour la Mafia Khazare le premiers banquiers du monde criminel en Grande – Bretagne, puis toute la nation va passer sous leur coupe.
Mayer Amschel Bauer Rothschild (1744 à 1812) aura cinq fils. Son empire se développe rapidement dans toute l’Europe à travers ses cinq fils, qui sont envoyés à cinq grandes villes européennes. Ils installent pour former un réseau financier très unie à Francfort, Londres, Paris, Vienne et Naples. Les frères sont en raison de leurs mérites bientôt élevé à la pairie.
Amschel Rothschild Mayer obtient la banque britannique et européenne a eu lieu à travers diverses ruses. Les Rothschilds font la fausse déclaration que Napoléon a gagné la bataille de Waterloo les Britanniques. Son Nathan mérite une puissance fabuleuse, parce que les fonds de l’Etat britannique qui était alors (pas cher) peut imposer à la main, après la divulgation de la vérité, grandement augmenté en valeur. Les Rothschilds donc utiliser la fraude et la tromperie à la richesse de la noblesse, par les investissements réalisés dans la ville de Londres bancaire pour voler.
Les Rothschilds mis en place leur propre système fiat bancaire, spécialisée dans la fabrication de l’argent « à partir de rien ». Ils estiment l’usure pernicieuse. Ceci est l’art noir de l’argent-magie babylonienne; ils disent initiés qu’ils ont reçu ce pouvoir secret de l’argent par des rituels et des sacrifices de Baal sang pédiatriques. Une fois que le système bancaire britannique a été détourné, elle a épousé Royals britanniques et infiltrer toutes les grandes institutions de la Grande-Bretagne. Certains experts estiment que les Rothschilds ont remplacé les membres de la famille royale de laisser leurs propres hommes avec Khazar-établir des relations adultères de sang avec la royauté. Alors, les enfants des Rothschilds se sont assis sur le trône.
La baronne Philippine Mathilde Camille de Rotschild porte un pendatif de cou …satanique. Elle est la seule fille du Baron Philippe de Rotschild,membre de la célèbre famille de banquier sioniste . Photo de droite,elle est accompagné de Christine Lagarde,directrice du Fond Monétaire International. Le pendatif satanique en or massif montre le visage de Lucifer au dessus de la croix inversée…C’est le symbole d’un Grand Prêtre (Grande Prêtresse de la magie Noire Satanique).
La Mafia Khazare prend un pouvoir international et prétend avoir un partenariat personnel avec Baal (ou le diable, Lucifer, Satan), à cause de leurs sacrifices pour lui. Ils détestent chaque roi qui honore l’autorité de Dieu Tout – Puissant, parce qu’un tel roi se sent responsable et sa protection des personnes contre les infiltrés et les «ennemis perfides dans ses murs. »
Dans les années 1600,les meurtres de britanniques associés à la monarchie se multiplient et la Mafia Khazare les remplace par leurs propres «faux princes». Dans les années 1700, ils assassinent la famille royale française. Juste avant la Première Guerre mondiale, ils assassinent l’archiduc autrichien Ferdinand afin de commencer la guerre. En 1917, ils recueillent leur parrainé par l’armée KM: les bolcheviks et infiltrent et détournent la Russie, assassiner le tsar et sa famille de sang-froid, sa fille préférée poignardant une baïonnette à travers la poitrine et voler tous russes or, d’argent et de trésors.
Juste avant la Seconde Guerre mondiale, ils assassinent les monarques autrichiens et allemands. Ils se débarrasser de la dynastie chinoise et nient la règle japonaise. La haine intense de la Mafia Khazare contre quiconque croit en un autre Dieu que Baal motive à assassiner des rois, veiller à ce que la famille royale ne puisse jamais plus se reproduire. Ils font la même chose avec les présidents américains. McKinley, Lincoln et JFK tués. La Mafia Khazare éliminera toute règle forte ou officielle qui osent résister à leur pouvoir secret.
Les Rothschilds vont créer un réseau de contrebande de drogue international en leur faveur afin contrôler les coulisses de l’Empire britannique et de mettre au point un plan pour détourner des quantités massives d’or et d’argent, que paient,alors, les Britanniques à la Chine pour la soie et des épices. Grâce à leur réseau international d’espions qu’ils entendent sur les propriétés addictives de l’ opium turc. Ils mettent en place une opération d’infiltration pour acheter l’ opium, puis l’amener à la disposition de la Chine . Des millions de personnes sont devenu accros, ce qui pourvoie au maintient du rendement de la trésorerie des Rothschilds.
La dépendance à l’opium des territoires créés par les Rothschilds en Chine, a nuit suffisamment pour qu’une guerre échoue à deux reprises pour tenter de mettre un terme au commerce de l’opium. Ces guerres sont connus comme le soulèvement des Boxers ou les guerres de l’opium. Les Rothschilds sont exploitent les financiers derrière la mise en place des nouvelles colonies américaines par la Compagnie de la Baie d’Hudson et d’autres entreprises commerciales. Ils donnent l’ordre à l’extermination et le génocide des peuples autochtones d’Amérique du Nord. Les Rothschilds utilisent le même modèle d’affaires dans les Caraïbes et dans le sous-continent asiatique de l’Inde, ce qui entraînera l’assassinat de millions de personnes innocentes.
Les joueurs
Avant de nous lancer tête première dans le vif du sujet, commençons par esquisser le portrait des principaux protagonistes de cette sombre histoire.
Cecil Rhodes ( 1853-1902 )
Au commencement, il y avait Cecil Rhodes, le premier ministre de la colonie du Cap qui, nous rappellent les auteurs, était « en réalité un opportuniste s’accaparant des terres », dont la fortune a été assurée à parts égales « en réprimant brutalement les habitants locaux et en veillant aux intérêts miniers de la maison des Rothschild ». Apparemment, Rhodes parlait depuis longtemps de créer une « société comme celle des Jésuites » au service des ambitions mondiales de l’Empire britannique. En février 1891, il est passé aux actes en s’adjoignant les services de ses proches associés William Stead, un journaliste bien connu, et Lord Esher, un proche conseiller de la monarchie britannique.
Deux autres personnes se sont jointes peu après au cercle restreint du groupe clandestin : Lord Nathaniel (Natty) Rothschild, de la fameuse dynastie de banquiers britanniques et européens, et Alfred Milner, un érudit administrateur colonial brillant qui deviendra rapidement l’infatigable génie organisateur et maître des cérémonies du groupe.
Lord Nathaniel Rotschild 1840-1915 Les Rotschild sont de plus en plus anobli depuis la victoire sur Napoléon!
À ces quatre personnalités centrales se sont joints par la suite Lord Northcliffe, le propriétaire du « Times », qui épaulera Stead dans sa propagande visant à préparer le public britannique à une guerre contre l’Allemagne, Arthur Balfour et Herbert Asquith, deux futurs premiers ministres britanniques qui joueront de leur influence parlementaire, Lord Salisbury et Lord Rosebery, qui apporteront un lot additionnel de connections politiques, et Lord Edward Grey qui aura l’honneur, en sa capacité de ministre britannique des Affaires étrangères en 1914, d’enfoncer le dernier clou dans le cercueil de la paix européenne.
Le prince Édouard,futur roi Édouard VII
Le prince Édouard (qui deviendra peu après le roi Édouard VII) était aussi un ajout important qui, malgré son image de séducteur, était en fait un acteur politique astucieux, dont les fréquentes incursions sociales à l’échelle internationale constituaient une couverture idéale pour contribuer à forger, souvent secrètement, des alliances militaires et politiques entre la Russie, la France, la Grande-Bretagne et la Belgique.
Cette garde prétorienne a ensuite étendu ses tentacules à toutes les sphères de la hiérarchie du pouvoir britannique ( puis du monde ) en recrutant activement dans son « Association of Helpers » toute une myriade de bureaucrates, banquiers, officiers militaires, universitaires, journalistes et hauts fonctionnaires plus bas dans l’échelle, dont bon nombre, il s’est avéré, provenaient des collèges Balliol et All Souls, à Oxford.
Enfin, le légendaire Churchill, gonflé à bloc par sa propre grandiloquence bien lubrifiée avec l’argent des Rothschild, allait finir par occuper la place sacrée qui lui revenait parmi les avides de guerre élus secrètement.
Premières aventures
La première incursion de cette cabale élitiste a eu lieu en Afrique du Sud, avec la fomentation délibérée de la (2e) guerre des Boers (1899-1902). On avait découvert de l’or dans la région du Transvaal en 1886 et les impérialistes britanniques étaient déterminés à s’en emparer. Après un certain nombre de machinations ratées de Rhodes visant à faire tomber les Boers, l’élite secrète a obtenu un as dans son jeu quand Alfred Milner a été nommé haut commissaire de l’Afrique du Sud. Milner a aussitôt saisi le moment, sans passer Go, pour déclencher la guerre, imposer sa tristement célèbre politique de la terre brûlée et exiger une reddition sans condition, faisant ainsi valoir la philosophie martiale générale qui prévaudra plus tard contre l’Allemagne.
Carte de l’Empire britannique en 1898, avant la Seconde guerre des Boers (1899-1902).
Après la défaite des Boers, Milner et ses acolytes ( Rhodes est mort pendant les « négociations de paix » ) ont rapidement investi les principaux organes de la gouvernance impériale britannique, dont les bureaux responsables des affaires étrangères, des colonies et de la guerre. Arthur Balfour est allé encore plus loin en créant, en 1902, le « Comité pour la défense impériale ».
Ce dernier a joué un rôle considérable en court-circuitant presque entièrement le cabinet britannique dans les années, les mois et les jours précédant août 1914. Balfour était en fait l’un des deux
Sir John French 1852-1925
seuls membres permanents de cette institution impériale d’importance majeure, l’autre étant Lord Fredrick Roberts, commandant en chef des forces armées et ami proche de Milner. C’est ce même Roberts qui, plus tard, nommera à leurs postes respectifs pendant la Première Guerre mondiale deux suivistes incompétents, Sir John French et Douglas Haig, qui mèneront des combats conduisant au massacre de centaines de milliers de soldats alliés.
Sir Douglas Haig 1861-1928
L’année 1902 marquait aussi par l’établissement du traité anglo-japonais. La Grande-Bretagne craignait depuis longtemps que son empire en Extrême-Orient passe aux mains de la Russie et cherchait à amener le Japon à faire contrepoids. L’alliance a porté fruit lors du conflit russo-japonais de 1904-1905, au cours duquel la Russie a subi une défaite décisive.
Sans jamais perdre de vue l’objectif à long terme(une guerre contre l’Allemagne), Milner et ses acolytes ont changé d’appât adroitement en courtisant aussitôt le czar Nicolas II, ce qui a abouti à la signature de la Convention anglo-russe de 1907.
À la même période (1904), la Grande-Bretagne, avec l’aide cruciale d’Édouard VII, a mis fin à près de mille ans d’inimité avec la France en signant l’Entente cordiale avec son ancien rival. À la même période (1905), un accord plus ou moins secret a été conclu avec le roi Léopold II, qui autorisait la Belgique à annexer l’État indépendant du Congo.
Il s’agissait, à toutes fins utiles, d’une alliance entre la Grande-Bretagne et la Belgique qui, dans la décennie qui a suivi, s’est continuellement approfondie avec la conclusion de nombreux accords militaires bilatéraux ( secrets pour la plupart, donc soustraits au regard du Parlement britannique ) et de « protocoles d’entente », qui mettaient sans équivoque l’accent sur le fait que la Belgique formerait une sorte de partie « neutre » dans le conflit à venir avec l’Allemagne.
Affiche de propagande pour recruter des soldats pour l’Empire Britannique à l’intention des jeunes canadiens et québécois francophones.
L’alliance principale était dorénavant chose faite entre la Grande-Bretagne,
la Russie, la France et la Belgique. Il ne restait plus qu’à obtenir la fidélité et l’obéissance des colonies britanniques.
Pour y parvenir, Milner a organisé la conférence de presse impériale de 1909, qui réunissait une soixantaine de propriétaires de journaux, journalistes et rédacteurs provenant de l’ensemble de l’Empire, qui ont côtoyé 600 autres journalistes, politiciens et militaires britanniques dans une grande orgie de propagande guerrière.
Le message martial a été ensuite dûment transmis aux multitudes coloniales inconscientes. Le succès de la conférence était particulièrement visible au Canada où, malgré les divisions extrêmes sur la question, plus de 640 000 soldats canadiens ont été envoyés dans les champs de la mort au nom d’une poignée d’impérialistes britanniques.
La « crise » marocaine
Docherty et Macgregor nous rappellent que l’historienne de renom Barbara Tuchman, dans son livre Août 14, The Guns of August, qui a reçu le prix Pulitzer, « a précisé très clairement que la Grande-Bretagne était résolue à faire la guerre en 1911 et même avant. » En effet, les préparatifs de guerre étaient en cours depuis au moins 1906.
Raymond Poincaré se promenant avec le roi George V
N’empêche que 1911 marque un tournant, lorsque l’élite secrète a tenté une première fois de déclencher une guerre contre l’Allemagne. Le prétexte était le Maroc. La Grande-Bretagne n’avait pas d’intérêts coloniaux directs au Maroc, mais la France et l’Allemagne en avaient. C’est alors que la cabale de Londres, avec Edward Grey au poste de ministre des Affaires étrangères, a mis dans le secret des dieux un ministre français clé, Théophile Delcassé, ce qui lui a permis de monter ce qui était essentiellement une opération sous fausse bannière à Fez.
La France a alors réagi en imposant une armée d’occupation. L’Allemagne s’est contentée de n’envoyer qu’une petite canonnière à Agadir, sauf que l’ensemble de la presse britannique, qui représentait les intérêts de « l’État profond » de la Grande-Bretagne, est tombée dans l’hystérie en condamnant les « menaces allemandes contre les voies maritimes britanniques », etc. Cette étincelle de guerre s’est éteinte à la dernière heure lorsque le premier ministre socialiste de la France ( récemment élu ), Joseph Caillaux, a entamé des pourparlers de paix avec le Kaiser.
Le croiseur Berlin devant la casbah d’Agadir, 1911
La guerre contre l’Allemagne devait donc être reportée.
Dans l’intervalle, la Grande-Bretagne, sous la direction de ses mandarins de l’ombre (presque toujours sans examen ou approbation du Parlement), poursuivait ses préparatifs de guerre. Par exemple, c’est à cette fin que Churchill, qui avait été nommé premier lord de l’Amirauté britannique en 1911, a redéployé sa flotte atlantique de Gibraltar à la mer du Nord et sa flotte méditerranéenne à Gibraltar.
La flotte française a été redéployée simultanément de l’Atlantique à la Méditerranée pour couvrir le retrait de la flotte britannique. Ces manœuvres visaient stratégiquement la flotte allemande en mer du Nord.
Les pions se mettaient en place sur l’échiquier.En France, le premier ministre de gauche et partisan de la paix Caillaux a été remplacé en 1913 par l’un des « assistants » des élites britanniques, en la personne de Raymond Poincaré, un germanophobe enragé d’extrême-droite. Poincaré a eu tôt fait de remplacer l’ambassadeur de France en Russie George Louis,qui ne prônait pas la guerre, par le revanchiste Delcassé.
Pendant ce temps aux États-Unis, la cabale secrète poursuivait ses manigances, surtout par l’intermédiaire de la Pilgrims Society et des maisons Morgan et Rockefeller, afin d’assurer l’élection d’un démocrate inconnu mais malléable, Woodrow Wilson , contre le président Taft, qui était partisan d’une banque centrale sous contrôle public.
L’« État profond » anglo-américain a ainsi pu créer la Réserve fédérale américaine, une banque centrale privée qui s’est consacrée dès le départ au financement de la guerre contre l’Allemagne.
L’éperon balkan(3)
Selon Docherty et Macgregor, le conte d’une simplicité trompeuse répété ad nauseam sur les circonstances entourant l’assassinat de l’archiduc François-Ferdinand, le 28 juin 1914, serait aussi douteux que la version officielle de l’assassinat de JFK deux générations plus tard. En effet, les similitudes structurelles entre les deux – de l’absence flagrante de sécurité à la preuve manifeste de complicité de l’État ( dans le cas qui nous intéresse, à partir de la Serbie, mais menant directement à Londres ) – sont remarquables. L’assassinat a bel et bien causé un effet domino, sauf que les événements qui ont suivi n’étaient pas dus aux bas instincts des gens et à des forces inéluctables hors de tout contrôle humain, mais plutôt aux manigances conspiratrices d’esprits calculateurs.
Assassinat de l’archiduc François-Ferdinand à Sarajevo.
Ainsi, tout de suite après l’assassinat, l’Autriche-Hongrie a bénéficié d’un soutien international généralisé, car elle était largement perçue comme la partie lésée. Mais les suspects habituels, après avoir aidé à mettre en scène le meurtre, ont réussi à renverser la vapeur de la propagande en défaveur de l’Autriche et de l’Allemagne en recourant à une ruse ingénieuse.
Après avoir obtenu secrètement le contenu de la « note », qui énonçait les demandes de l’Autriche ( raisonnables dans les circonstances ) à l’endroit de la Serbie, la cabale secrète est arrivée à participer directement à la rédaction de la « réplique serbe ». La « réplique » devait bien sûr être inacceptable pour l’Autriche. Au même moment, le président français Poincaré s’est précipité à Moscou pour rassurer le czar et ses généraux que si l’Allemagne allait assumer ses responsabilités conformément à son alliance avec l’Autriche, la France soutiendrait la Russie dans le déclenchement d’une guerre généralisée en Europe. La France savait évidemment que l’Angleterre, ou plutôt sa clique impérialiste élitiste, souhaitait tout autant la guerre. C’est d’ailleurs à ce moment opportun que Grey et Churchill se sont ligués pour acheter la Anglo-Persian Oil Company, assurant ainsi les approvisionnements pétroliers nécessaires à la marine britannique.
Pendant tout ce temps, le kaiser Guillaume et le chancelier Bethmann étaient les seuls hommes d’État qui aspiraient sincèrement à la paix. Leur diffamation subséquente par des hordes d’historiens pas très propres ont retenti dans les mêmes tons orwelliens que la diabolisation en cours par l’establishment des pays et des particuliers qui résistent à l’empire américain.
Grey gagne son pari
Après avoir attisé les flammes du feu allumé dans les Balkans de façon à ce qu’il embrase toute l’Europe, le ministre des Affaires étrangères britannique Grey et le premier ministre Asquith se sont employés à porter tous les sales coups possibles sur le plan diplomatique pour saboter toute possibilité de paix et rendre la guerre inévitable.
Par exemple, le 9 juillet, l’ambassadeur allemand à Londres, le prince Lichnowsky, a été rassuré à maintes reprises par Grey que la Grande-Bretagne n’était engagée dans aucune négociation secrète qui mènerait à la guerre. C’était évidemment un mensonge éhonté. Le 10 juillet, Grey a fait croire au Parlement que la Grande-Bretagne n’avait pas la moindre crainte que les événements de Sarajevo conduiraient à une guerre continentale. Au même moment, le premier ministre autrichien Berchtold était trompé de la même manière par les trois gouvernements de l’Entente, qui prétendaient que leur réaction à la « note » n’irait pas plus loin qu’une protestation diplomatique. Sauf que pendant la troisième semaine de juillet, ces mêmes gouvernements ont fait volte-face en disant qu’ils rejetaient entièrement la réponse de l’Autriche.
Le 20 juillet, comme il a été rapporté, le premier ministre français Poincaré s’est rendu à Saint-Pétersbourg pour réaffirmer les accords militaires respectifs de la France et de la Russie. Le 25 juillet, Lichnowsky s’est présenté sans être annoncé au ministère des Affaires étrangères britanniques pour relayer l’appel désespéré du gouvernement allemand implorant Grey d’user de son influence pour stopper la mobilisation russe. Ce qui est incroyable, c’est que personne n’était disposé à le recevoir. De toute façon, la Russie avait secrètement commencé à mobiliser ses forces armées le 23 juillet, pendant que Churchill faisait de même le 26 juillet avec la flotte britannique à Spithead.
Le Tsar Nicolas II présentant une icône à la dévotion de ses soldats.
Bien entendu, rien de ce qui précède ne s’est fait dans le cadre d’un processus démocratique. Pour reprendre les propos de Docherty et Macgregor :
« Pour ce qui était de la population [britannique], rien de fâcheux ne se passait. C’était juste un autre week-end d’été. »
Le 28 juillet, l’Autriche a déclaré la guerre à la Serbie, même si elle n’était pas en mesure de l’envahir avant une quinzaine de jours. Pendant ce temps, le ministère des Affaires étrangères britannique commençait à faire circuler des rumeurs voulant que les préparatifs de guerre de l’Allemagne étaient plus avancés que ceux de la France et de la Russie, alors qu’en réalité, c’était exactement le contraire. Les choses se précipitaient dangereusement hors du contrôle de Guillaume.
Le dandy psychopathe nommé Winston Churchill
Le 29, Lichnowsky a de nouveau imploré Grey d’empêcher la mobilisation russe à la frontière de l’Allemagne. Grey a répondu qu’il allait écrire quatre dépêches à Berlin qui, à la lumière des analyses d’après-guerre, n’ont jamais été transmises. Les dépêches ne faisaient partie que d’une mascarade pour faire croire que la Grande-Bretagne ( et surtout lui, Grey ) faisait tout en son pouvoir pour éviter la guerre. C’est aussi le 29 en soirée que Grey, Asquith, Churchill et Richard Haldane se sont réunis pour discuter de ce qu’Asquith appelait « la prochaine guerre ». Docherty et Macgregor soulignent de nouveau que ces quatre hommes étaient pratiquement les seuls en Grande-Bretagne au courant de la calamité qui s’annonçait, à l’insu des autres membres du Cabinet, des députés du Parlement et des citoyens britanniques. Ils en étaient en fait les architectes.
Le 30, le Kaiser a transmis au czar Nicolas un appel vibrant à une négociation de la prévention des hostilités. Touché par ce plaidoyer, Nicolas a dépêché à Berlin son émissaire personnel, le général Tatishchev, pour négocier la paix. Malheureusement, Tatishchev ne s’est jamais rendu à Berlin, car il a été arrêté et emprisonné cette nuit-là par le ministre des Affaires étrangères russe Sazonov qui, comme les auteurs l’expliquent de façon convaincante, constituait depuis longtemps un atout dans le jeu de la cabale de Londres. Sous la pression constante des hauts gradés de son armée, Nicolas a fini par céder et a ordonné la mobilisation générale dans l’après-midi du 30 juillet.
L’annonce officielle de la mobilisation russe a sonné le glas à toute possibilité de paix. Se rendant compte qu’elle avait été bernée et qu’elle allait être attaquée sur deux fronts, soit à l’ouest par la France et à l’est par la Russie, l’Allemagne a ordonné la mobilisation générale à son tour le 1er août. C’était la dernière puissance occidentale à le faire, ce qui en dit long. Mais l’Allemagne a commis alors une erreur tactique cruciale après l’annonce de la mobilisation générale, en prononçant une déclaration de guerre officielle et tenue par l’honneur contre la France. Ce faisant, elle sautait à deux pieds dans le piège tendu par Grey et compagnie, qui n’avaient cessé de manigancer pour que la guerre se déclenche sans être perçus comme en étant les instigateurs officiels.
Mais il restait une dernière carte dans le jeu de Grey, qu’il devait jouer pour amener un cabinet et une Chambre des communes pas très portés à la guerre d’abandonner leur bon sens et de foncer tête première dans une guerre totale paneuropéenne. Tout comme le mythe des « armes de destruction massive » a servi de prétexte à l’agression impérialiste étasunienne, le mythe de la pauvre et inoffensive « Belgique neutre » a servi de porte-étendard aux visées de l’impérialisme britannique.
Le discours qui a scellé le sort de millions de gens
Le premier-ministre Asquith en 1908.
Le 2 août 1914, le premier ministre Asquith a convoqué une réunion du cabinet spéciale pour discuter de la crise ( montée de toutes pièces ). Bien que les membres du cabinet étaient peu enclins à approuver la participation britannique à une guerre continentale, ils ont tôt fait de subir des pressions et d’obtenir des révélations à propos d’un « ensemble complexe d’obligations [militaires et politiques] qu’on leur avait déjà garanti comme n’étant pas des obligations, [et] qui s’étaient tissées autour d’eux pendant qu’ils dormaient ». Fait crucial, Grey s’est gardé de leur dire que l’ambassadeur allemand Lichnowsky avait, la veille même ( 1er août ), proposé de garantir la neutralité belge. D’ailleurs, la supercherie de Grey n’aurait jamais été connue si le chancelier Bethmann n’avait pas fait état de la proposition au Reichstag le 4 août.
Une fois le cabinet suffisamment confondu, trompé et dupé ( Asquith avait déjà donné des ordres de mobilisation à l’armée et à la marine sans que le cabinet ne l’approuve ou ne le sache ), il ne restait plus qu’à berner le Parlement. Ainsi, le 3 août, Sir Edward Grey a pris la parole pour entamer ce qui allait être un panégyrique épique sur les folies de la paix et les vertus de la guerre. L’auditoire n’était pas particulièrement réceptif là non plus, mais le sermon a réussi à gagner en force.
Sir Edward Grey, juillet 1914
En commençant par dire que la paix en Europe « ne peut être préservée », Grey s’est lancé dans une litanie incroyable de mensonges et de déformation des faits à propos des accords militaires complexes en vigueur depuis longtemps entre l’Angleterre, la France, la Russie et la Belgique. Grey niait leur existence. Qu’en était-il de l’écheveau complexe des accords diplomatiques? Il n’y avait pas d’accords, pareils enchevêtrements n’existaient pas. Le Parlement était « libre » de voter en pleine conscience, d’exercer son mandat démocratique, tant qu’il ne vote pas en faveur de la paix bien sûr.
Tout ce qui précède n’était que le préambule de la pièce maîtresse du discours de Grey : la neutralité de la Belgique. Cette imposture flagrante n’a été surpassée en duplicité que par l’omission volontaire de Grey de parler au cabinet, puis au Parlement, de la garantie offerte par l’Allemagne concernant le point litigieux qu’était la neutralité de la Belgique. Grey a préféré montrer, pour faire plus d’effet, un télégramme émouvant du roi de Belgique implorant de l’aide au roi Georges. Il ne pouvait y avoir de moment mieux choisi pour qui l’aurait rédigé délibérément pour l’occasion, ce qui était d’ailleurs le cas. Les appels en faveur de la guerre des chefs des partis d’opposition qui ont suivi ce sermon étaient eux aussi prévus. Churchill les avait tous sondés et ralliés à la cause avant la session du jour. Seul Ramsay MacDonald, le chef du Parti travailliste, a nagé à contre-courant de la vague bien orchestrée « d’inévitabilité » qui revenait constamment dans la péroraison martiale de Grey.
La session du jour s’est terminée sans débat. Asquith ne l’avait pas permis, bien que le président de la Chambre l’ait pressé d’autoriser la reprise les travaux en soirée. Entre-temps, Grey a scellé le sort, c.-à-d. la guerre, en lançant un ultimatum à l’Allemagne, la sommant de ne pas envahir la Belgique, tout en sachant que l’invasion avait déjà commencé. Pour reprendre les mots de Docherty et MacGregor, c’était un « coup de maître ». La guerre était dorénavant inévitable. La session du Parlement tenue en soirée a eu beau faire l’objet d’un débat vigoureux et substantiel qui a démoli en grande partie la position de Grey, les jeux étaient faits. Au moment opportun, Arthur Balfour, « ancien premier ministre conservateur et membre du cercle restreint de l’élite secrète, s’est levé, menaçant. Il en avait assez. » Jetant tout le poids de son autorité de magistrat, il a condamné, ridiculisé et rejeté les arguments contre la guerre, les qualifiant de « lie du débat ». La Chambre des communes ayant ainsi été muselée, la dernière chance de paix en Europe était perdue.
Plus ça change…
Ce qui frappe encore et encore en lisant « Histoire cachée », c’est le son de la vérité qui retentit de chaque page, de chaque révélation. Apprendre qu’un groupe si restreint de membres d’une élite, faisant fi de tout contrôle démocratique, puisse sceller le sort – et la mort – de millions de personnes, a de quoi nous révolter. C’est vrai, mais cela ne nous surprend pas, parce que le même phénomène est en train de se produire sous nos propres yeux. En effet, l’état actuel de la « guerre permanente » est ni plus ni moins la condition inconsciente de la modernité même.
LA LEÇON À RETENIR DE CE TEXTE
Docherty et Macgregor apportent une belle contribution ici. Ils vont beaucoup plus loin que ceux que David Irving a si justement qualifiés « d’historiens de cour », en parlant des historiens prostitués de l’élite et de l’establishment qui reprennent le consensus établi. Docherty et Macgregor nous donnent un aperçu de ce que signifie vraiment écrire l’histoire. S’il y a une leçon – ou plutôt une contre-leçon – à tirer de cet ouvrage, c’est que nous serons condamnés à répéter l’histoire aussi longtemps que nous écouterons ceux qui se consacrent à l’obscurcir et à la fausser, autrement dit, ceux qui nous mentent.
Légende
(1)Docherty et Macgregor: Les origines secrètes de la Première Guerre Mondiale
Les soldats américains qui ont combattu pendant la Seconde Guerre mondiale ont souvent été décrits comme des guerriers citoyens honorables de la «plus grande génération».
Mais un nouveau livre révèle le côté sombre de certaines indications géographiques dans la France libérée, où les vols, les viols et les prostitutions étaient monnaie courante.
Les libérateurs ont fait beaucoup de bruit et ont trop bu.
Ils ont couru dans leurs jeeps, se sont battus dans les rues et ont volé. Mais le pire était leur obsession pour les femmes françaises. Ils voulaient du sexe – certains gratuitement, d’autres pour de l’argent et d’autres de force.
Après quatre années d’occupation allemande, les Français accueillent les soldats américains débarquant en Normandie le 6 juin 1944 en libérateurs. Le pays entier délirait de joie. Mais après seulement quelques mois, une ombre a été jetée sur l’image des nouveaux maîtres parmi les Français.
Les exactions,les viols et actes violents envers les femmes,les enfants et les garçons d’âge mineure ont commencé avant même l’arrivée des troupes alliés,à Paris et le départ des soldats allemands.
À la fin de l’été 1944, un grand nombre de femmes en Normandie se plaignaient de viols commis par des soldats américains. La peur s’est répandue parmi la population, tout comme une plaisanterie amère: «Nos hommes devaient se déguiser sous les Allemands, mais quand les Américains sont venus, nous avons dû cacher les femmes.
Avec le débarquement allié sur Omaha Beach, « un véritable tsuna
mi de luxure masculine » a balayé la France, écrit Mary Louise Roberts, professeur d’histoire à l’Université du Wisconsin, dans son nouveau livre « What Soldiers Do: Sex and the American GI in World War II France. » Roberts enlève l’image idéalisée des héros de guerre. Bien que les soldats aient eu la réputation d’avoir commis des viols dans de nombreuses guerres, les GI américains ont été largement exclus de ce stéréotype. La recherche historique a porté très peu d’attention à ce côté obscur de la libération de l’Europe, longtemps considérée comme un sujet tabou aux États-Unis et en France.
La propagande américaine n’a pas vendu la guerre aux soldats comme une lutte pour la liberté, écrit Roberts, mais comme une «aventure sexuelle». La France était «un bordel formidable», la revue Life fantasmée à l’époque, «habitée par 40 000 000 hédonistes qui passent tout leur temps à manger, boire et faire l’amour». The Stars and Stripes, le journal officiel des forces armées américaines, a enseigné aux soldats des phrases allemandes comme: « Waffen niederlegen! » (« Jetez vos bras! »). Mais les phrases françaises recommandées aux soldats étaient différentes: «Vous avez des yeux charmants», «Je ne suis pas marié» et «Vos parents sont-ils à la maison?
Les pseudo procès d’après la libération.
Après leur victoire, les soldats ont estimé qu’il était temps pour une récompense. Et lorsqu’ils se sont amusés avec les femmes françaises, ils ne validaient pas seulement leur propre masculinité, mais aussi, métaphoriquement, le nouveau statut des États-Unis en tant que superpuissance, écrit Roberts. La libération de la France a été vendue au public américain comme une histoire d’amour entre des soldats américains et des femmes françaises reconnaissantes.
D’autre part, à la suite de leur défaite par les Allemands, de nombreux Français ont perçu les activités désinhibées des Américains dans leur propre pays comme une nouvelle humiliation. Bien que les Français étaient officiellement parmi les puissances victorieuses, les Américains étaient maintenant en charge.
Le sujet du sexe a joué un rôle central dans la relation entre les Français et leurs libérateurs. La prostitution était la source de conflits constants entre les autorités militaires américaines et les autorités locales.
Certains des reportages les plus spectaculaires proviennent de la ville portuaire du Havre, envahie par des soldats rentrant chez eux à l’été 1945. Dans une lettre adressée à un colonel Weed, le commandant régional américain, le maire Pierre Voisin se plaint que ses citoyens « Ne vont même pas faire une promenade dans le parc ou visiter le cimetière sans rencontrer des GI ayant des rapports sexuels en public avec des prostituées. »
« Des scènes contraires à la décence » se déroulaient jour et nuit dans sa ville, écrivait Voisin. Il était « non seulement scandaleux mais intolérable » que « les yeux de la jeunesse soient exposés à de tels spectacles publics ». Le maire a suggéré que les Américains installent un bordel à l’extérieur de la ville afin que l’activité sexuelle soit discrète et que la propagation des maladies sexuellement transmissibles puisse être combattue par le personnel médical.
Aucun respect pour le corps des femmes…Ici on force une femme à marcher nue devant une foule!
Mais les Américains ne pouvaient pas faire fonctionner les maisons closes parce qu’ils craignaient que les histoires sur la promiscuité des soldats reviennent à leurs femmes à la maison. En outre, écrit Roberts, de nombreux responsables militaires américains n’ont pas pris les plaintes au sérieux en raison de leur conviction qu’il était normal que les Français aient des relations sexuelles en public.
Mais les citoyens du Havre ont écrit des lettres de protestation à leur maire, et pas seulement en ce qui concerne la prostitution. Nous sommes « attaqués, volés, écrasés dans la rue et dans nos maisons », écrivait un citoyen en octobre 1945. « C’est un régime de terreur, imposé par des bandits en uniforme ».
Il y avait des témoignages similaires de partout dans le pays, avec des rapports de police énumérant holdups, vol et viols. En Bretagne, des soldats saouls ont détruit des bars quand ils n’ont plus de cognac. Les agressions sexuelles étaient monnaie courante à Marseille. A Rouen, un soldat s’est frayé un chemin dans une maison, a brandi son arme et a exigé des rapports sexuels.
Femme tondue pour avoir eu un ami allemand durant l’occupation!
Les autorités militaires ont généralement pris au sérieux les plaintes concernant le viol. Cependant, les soldats qui ont été condamnés étaient presque exclusivement afro-américains, certains d’entre eux apparemment sur la base de fausses accusations, parce que le racisme était également profondément enraciné dans la société française.
Autres femmes tondues pour avoir eu des rapports avec des soldats allemands.
Un cafetier du Havre a exprimé la profonde désillusion française sur le comportement des Américains quand il a déclaré: «Nous nous attendions à des amis qui ne nous auraient pas fait honte de notre défaite, mais à l’incompréhension, à l’arrogance, aux manières incroyablement mauvaises et à l’élan des conquérants. «
Combien d’Allemandes violées par les Alliés à la Libération ?
Un livre très bien élaboré:« Als die Soldaten kamen » (Quand les soldats sont arrivés).
Comme les soldats de l’Armée rouge, les Occidentaux se sont aussi rendu coupables de viols de masse après la défaite allemande.
Un million ? Deux millions ? Il a toujours été très difficile de donner des chiffres exacts sur le nombre de viols en Allemagne après la défaite de 1945. « À l’époque, l’administration était incapable de relever ce genre de données », explique Miriam Gebhard, auteur d’un livre [1] remarquable sur le sujet paru au début du mois de mars, à l’approche des 70 ans de la fin de la Seconde Guerre mondiale.
Avec ce best-seller, l’historienne a réussi à tordre le cou à une légende : celle du violeur russe. « C’est une image véhiculée pendant la guerre froide par la propagande occidentale contre l’Union soviétique », dit-elle. Or, selon elle, sur les 860 000 viols perpétrés par les « libérateurs », 500 000 ont été commis par les soldats de l’Armée rouge mais aussi 190 000 par les Américains, 50 000 par les Français et 30 000 par les Britanniques. « J’ai été surprise par l’ampleur des viols commis par les Occidentaux », lâche-t-elle.
Femme allemande dénudée et battue devant un groupe de personnes.
Archives paroissiales
Faute de données officielles, Miriam Gebhard est allée puiser ses informations dans les archives des paroisses. Les curés des petits villages notaient minutieusement tous les événements de leur commune après la défaite. À Mossburg an der Isar (nord de Munich), par exemple, le curé Alois Schiml décrit des « viols systématiques » de la part des Américains. Les GI entraient dans les maisons et forçaient les hommes à quitter le logement. « Prises de panique, des femmes sautaient par les fenêtres », écrit-il dans son journal. « Dix-sept jeunes filles, abusées une ou plusieurs fois par des Noirs, ont été emmenées à l’hôpital », poursuit-il.
Les Afro-Américains n’étaient pas les seuls violeurs de l’armée américaine, insiste Miriam Gebhard. « Le racisme était encore très présent dans la société américaine. Les états-majors condamnaient donc surtout des Noirs », explique-t-elle. « Il était officiellement défendu de violer les Allemandes. Du côté russe, il y a même eu des exécutions », ajoute-t-elle.
Femmes tondues pour collaboration
Français logés chez l’habitant
Pour les soldats français, la situation était différente. « Ils logeaient chez l’habitant. On avait donc du mal à parler de viol parce que certains y voyaient des relations consenties », explique l’historienne. L’administration française n’ignorait pourtant pas le problème puisque ses fonctionnaires venaient en Allemagne pour annoncer que la France, qui avait besoin de main-d’œuvre, était prête à accueillir tous les enfants nés de ces viols.
L’historienne a également découvert que les Russes et les Américains avaient violé dans toute l’Europe pendant les campagnes de libération, les premiers en Pologne, en Hongrie et en Slovaquie, les autres en France.
Abusée pendant un mois
Pourquoi toutes ces années de silence ? « Après la guerre, il était difficile de parler des victimes allemandes. On risquait de passer pour quelqu’un qui cherchait à relativiser l’Holocauste. Par ailleurs, le viol n’avait pas encore clairement le caractère d’un crime dans notre société. Enfin, les victimes avaient honte », explique Miriam Gebhard. Pour en finir avec ce lourd silence, elle est allée écouter celles qui ont accepté de parler 70 ans après les faits.
Elfriede Seltenheim, par exemple, était âgée de 14 ans à la fin de la guerre lorsque les soldats soviétiques sont entrés dans son village à l’est de Berlin. Elle a été abusée pendant un mois par les Russes. Aujourd’hui, à 84 ans, elle veut que les jeunes générations sachent ce que cela signifie. « J’ai d’abord désappris à rire. Longtemps après, j’ai désappris à pleurer. Mais c’était impossible car si on peut vivre sans rire, on ne peut pas vivre sans pleurer. »
Dernier tabou
En Allemagne, aucune personnalité politique n’a encore osé parler du sujet. Il n’y a eu aucune indemnisation, le viol des femmes est ignoré dans les musées consacrés à la guerre et aucun représentant de l’Etat n’a encore évoqué dans un discours la douleur de ces victimes oubliées par l’Histoire. A l’occasion des 70 ans de la défaite allemande, Miriam Gebhard tente de briser avec ce livre l’un des derniers tabous de la Seconde Guerre mondiale.
MMe Polge
Madame polge.
Le procès de Mme Polge est un épisode culminant des journées nîmoises. Cette jeune femme très belle était devenue l’amie du commandant allemand de la place. Beaucoup de Nîmois eurent recours à elle pour arranger nombre d’affaires. Son procès est attendu par la population avec autant d’impatience qu’une corrida. L’accusée est condamnée à être tondue et promenée dans la ville avant d’être fusillée. La foule s’acharnera plusieurs heures sur son cadavre qui sera transpercé, de la manière qu’on imagine, avec un manche à balai.
La Première Guerre mondiale n’a pas fini de livrer ses secrets. Cette fois, un sous-marin a été découvert en mer du Nord, au large d’Ostende. Thomas Temore, un chercheur et plongeur belge, l’aurait trouvé cet été alors qu’il gisait toujours au fond de la mer sur sa cabine de pilotage. Afin de protéger au mieux cette découverte et de dissuader les éventuels pilleurs d’épaves, la localisation exacte n’a pas été communiquée.
Un sous-marin allemand dans le port d’Ostende, en 1916.
Des corps à l’intérieur
Comme les écoutilles du sous-marin sont toutes closes, les chercheurs estiment que l’embarcation n’a jamais été découverte. Les corps des 23 membres d’équipage, dont un commandant, se trouvent donc toujours à l’intérieur. Une première en mer du Nord! Selon le média belge Le Soir, la liste d’équipage a été demandée et l’identification va bientôt commencer. L’ambassade d’Allemagne a été informée et un dossier a été constitué afin de protéger la découverte. La cause de l’échouage n’est pas connue, mais compte tenu des dégâts à la proue, le sous-marin a probablement percuté une mine. «L’hypothèse est que la mine était stabilisée entre deux eaux, à l’aide d’un câble ancré au sol», rapporte RTBF.
Les capitaines et l,équipage devaient faire preuve d’un grand courage.
Parfaitement conservé
Les lieux ont été sondés et les recherches ont finalement permis d’établir qu’il s’agissait d’un bâtiment allemand de type UB-II, écrit Le Soir. Les chercheurs ne peuvent toujours pas déterminer s’il s’agit d’un sous-marin UB-27, UB-29 ou UB-32. À l’époque, la Flandern Flotille allemande était composée de 19 sous-marins similaires. 15 ont coulé. Il s’agirait donc de la onzième découverte en mer du Nord. L’épave de 27 mètres de long et 6 mètres de large est presque intacte. Il manque seulement une partie de la proue, le lance-torpilles lui, est toujours parfaitement conservé. Lors de sa première plongée, Thomas Termote a pu constater que «le sous-marin est très intact, tout est encore fermé», assure Jan Mees, directeur de l’Institut flamand de la mer, qui accueillait la conférence de presse.
C’est ce type de sous-marin qui a été retrouvé.
Pendant le conflit mondial, la marine allemande a utilisé le port de Zeebruges (Zeebrugge en flamand) comme base de stationnement pour ses «U-boots». Pour bloquer la flotte allemande dans le port et la neutraliser, les Britanniques avaient décidé en avril 1918 de saborder certains de leurs navires de guerre à l’entrée du chenal, ce qui est resté comme un épisode célèbre du conflit en Belgique. 375 U-Boot (abréviation de «Unterseeboot», sous-marin en allemand) étaient en activité pendant la Première guerre mondiale. 229 ont été perdus dont 178 pendant une mission.
Nakam…ou le secret bien gardé d’un petit groupe d’assassins sans scrupules.
Les origines de Nakam, ou vengeance en hébreu, viennent de l’Organisation des Partisans Unis qui a été fondée dans le ghetto de Vilna, en Lituanie, au cours de la Seconde Guerre mondiale. Créé en janvier 1942, elle a également été la première organisation de résistance clandestine, dans un ghetto juif en Europe occupé par les forces du Troisième Reich .
Leur devise était: « Nous ne permettrons pas qu’ils nous prennent pour des moutons à l’abattoir », qui est devenu la base de leur lutte contre l’élimination systématique des Juifs en Lituanie et en Europe. La figure de proue du mouvement était un poète juif et écrivain, Abba Kovner. Ses premiers lieutenants étaient Rozska Korczak et Vitka Kempner.
L’Organisation des Partisans Unis prévoyait de déstabiliser les installations industrielles allemandes à Vilna en utilisant le sabotage, comme ils se disaient eux-mêmes faire partie de la lutte partisane plus large en territoire soviétique occupée . L’organisation a été dissoute et a rétablie plusieurs fois pendant la guerre jusqu’à ce que la défaite allemande à Vilna en Juillet 1944.
Un membre de la Brigade juive servant dans l’armée britannique . Sur la coque de l’obus,il est écrit en hébreux: Un cadeau pour Hitler. Wikimedia Commons / Public Domain
À la fin de la guerre, les restes du Front des Partisans Unis ont créé Nokmim (les Avengers en anglais ). L’idée était d’organiser un groupe d’assassins qui ferait en sorte d’éliminer de notables prisonniers de guerre nazis qui ont échappé à la justice.L’organisation unie avec les anciens combattants de la Brigade juive dans le mandat britannique de la Palestine se sont rebaptisé simplement Nakam –Vengeance .
Elle a également été appelé Dam Yisrael Noter – La vengeance du sang d’ Israël .L’abréviation de cette phrase était DIN, ce qui est un mot hébreu pour le jugement. Sa direction est restée la même que celle de l’Organisation des Partisans Unis – Kovner et Kempner (qui se sont mariés en 1946) avec l’ajout de Yitzhak Avidav et Bezalel Michaeli. Même si un certain nombre de groupes qui cherchent vengeance ,ont émergé à la fin de la guerre, le Nakam a prouvé son extrêmisme.
Le groupe comptait environ 60 membres, et il était composé d’anciens combattants et survivants du pseudo Holocauste,selon la propagande sioniste américaine. Pour eux, la guerre était pas encore terminée. Leur plan était d’infiltrer l’Allemagne et de mener des assassinats et des opérations complexes. Alors que la poussière était encore installée dans une Allemagne vaincue et dévastée, une partie du groupe a réussi à arriver en Allemagne et concevoir un plan audacieux, comme pour dire …au moins.
Selon une interview réalisée par The Observer avec Joseph Harmatz, qui était proche de l’organisation, Kovner a acquis de grandes quantités de poison et prévu de le disperser dans les réserves d’eau de Berlin, Munich, Francfort, Nuremberg et Hambourg, tuant de nombreux civils. Le plan a suscité beaucoup de controverse parmi les organisations juives qui préparaient les bases d’un Israël indépendant.
Partisans juifs dans le ghetto de Vilnius. Abba Kovner est debout au centre.
D’une part, la Haganahun groupe terroriste , qui deviendra le noyau fort de la défense israélienne, remis à Kovner de faux documents qui lui ont permis de voyager à travers l’Europe, mais d’autre part, certains membres de la Haganah ont rejeté l’idée de la vengeance de masse sur les Allemands. Harmatz a affirmé que Chaim Weizmann, qui allait devenir le premier président d’Israël, a soutenu les actions de Kovner et a aidé à acquérir le poison dont il avait besoin. Les historiens américains qui protègent le sionisme d’Israel, rejettent cette allégation comme hautement improbable.
Leur intention initiale était de provoquer la mort de six millions d’Allemands, ce qui était l’équivalent du nombre de Juifs qui sont prétendus morts dans la fable de l’Holocauste.Kovner a quitté Haïfa, sur un navire à destination de France. Il avait des documents affirmant qu’il était membre de la Brigade juive.
A Toulon, en France, les Britanniques ont découvert que ses documents étaient faux et il a été arrêté et envoyé à une prison égyptienne sous contrôle britannique. Le poison destiné à l’action a été jeté dans la mer. Harmatz a déclaré dans son interview que Kovner et Nakam ont été trahis par les sionistes qui craignaient que l’événement pourrait mettre en péril la proclamation légitime de l’Etat d’Israël. Au moment de l’arrestation, les agents de avaient déjà infiltré les égouts de plusieurs grandes villes allemandes.
Ils n’attendaient que le poison arrive lorsque l’opération a été annulée.Il est également prévu de quitter les zones résidentielles américaines sans poison de telle sorte que le poison ne pouvait atteindre que la population allemande.
Pendant ce temps, ses complices ont réussi à introduire clandestinement un poison en Allemagne. Le Plan B était en vigueur – l’empoisonnement de 3000 pains dans le camp de prisonniers de guerre américains Stalag 13. Le commandement de l’opération a été donné à l’adjoint de Kovner, Yitzhak Avidav.
Le 14 Avril 1946, le Nakam fait irruption dans une boulangerie qui fournissait du pain au camp et empoisonné 3000 miches de pain destinées aux anciens soldats allemands et ex-officiers SS. Le poison a été dilué à l’arsenic. Les prisonniers étaient gardés dans un camp de prisonniers près de Nuremberg.
Le 23 Avril, un rapport a été publié dans la presse que 2.283 prisonniers allemands sont tombés malades d’une intoxication, avec 207 d’entre eux hospitalisés. Joseph Harmatz a affirmé que 300-400 prisonniers de guerre allemands sont morts des conséquences de l’empoisonnement, même si un rapport officiel n’a déclaré qu’aucun décès n’a survenu suite à cet événement.
Kovner a été libéré quelques mois après son emprisonnement. Il est retourné en Palestine après qu’Israël a été proclamé indépendant en 1948 et il est devenu un capitaine de l’armée sioniste. Il a poursuivi son approche de la ligne dure face à ceux qu’il accusait d’avoir provoqué le pseudo-Holocauste juif.Je vous propose de lire au moins cet article (cliquez ici) ou je prouve l’absurdité et l’impossibilité de cette fable sioniste.
Il a également écrit de nombreux articles de journaux qui semblaient inciter à la haine des Egyptiens dans ses «pages de bataille » intitulées « Mort aux envahisseurs! » Le ton des articles, qui ont appelé à se venger de l’Holocauste et fait référence à l’ennemi égyptien (en tant que vipères et chiens), avaient bouleversé de nombreux dirigeants politiques et militaires israéliens.
Abba Kovner témoignant (mentant) au procès d’Adolph Eichman,en 1961.
Kovner a témoigné de ses expériences pendant la guerre dans un procès contre Adolf Eichmann. Il a également joué un rôle majeur dans la conception et la construction de plusieurs musées de l’Holocauste, parmi lesquels se trouve le Musée de la Diaspora à Tel Aviv.
Abba Kovner est mort en 1987, d’ un cancer. L’intérêt dans l’affaire concernant l’empoisonnement des prisonniers de guerre allemands a été relancé en mai 2000, à Nuremberg, lorsque deux membres du Nakamgroupe ont avoué qu’ils ont pris part à l’événement. Le bureau de procureur à Nuremberg a abandonné l’affaire, » en raison de circonstances inhabituelles» comme la raison de la suspension de l’enquête.
Il y a 100 ans, le 1er juillet 1916, les Français et les Britanniques donnaient l’assaut contre les Allemands sur les bords de la Somme, débutant une bataille qui allait devenir la plus sanglante de la Première Guerre mondiale, avec plus de 1,2 million de morts, blessés et disparus. Voici quelques images d’archives de cet épisode dramatique.
Première Guerre Mondiale:Sur cette photo, des hommes du Royal Irish Rifles dans une tranchée.C’était le 1 er juillet 1916. First World War : Royal Irish Rifles in a communication trench on the first day of the Battle of the Somme, l July 1916
Cette photo a été prise le 1er juillet 1916 à La Boisselle, où des explosifs posés par les Britanniques ont créé un trou gigantesque et marqué le début de l’offensive terrestre, après une semaine de bombardements intensifs. British Artillery bombarding the German trenches prior to the attack on La Boisselle on the opening day of the Battle of Albert, first day of the Somme offensive. Date: 1 July 1916
Dans une tranchée, un soldat gallois appartenant au régiment Cheshire. Lors de la première journée de la bataille de la Somme, les Britanniques paient un tribut tragique : près de 20.000 soldats sont tués et 40.000 sont blessés en une demi-journée, fauchés par les mitrailleuses de l’ennemi. Aujourd’hui, le 1er juillet 1916 est considéré comme l’un des jours les plus sombres de l’histoire britannique. World war I : Cheshire Regiment in a trench at the Battle of the Somme World History Archive
Un soldat britannique blessé est installé sur une civière, près de Carnoy, au lendemain du début des combats à La Boisselle, le 2 juillet 1916. A wounded British soldier on a stretcher, injured during an attack near the village of Carnoy, part of the battle for La Boisselle, which which was taken on 4 July Date: 2 July 1916
Des combattants britanniques du 13th Royal Fusiliers posent pour le photographe sur la route reliant Albert à Bapaume, après les affrontements à La Boisselle, le 7 juillet 1916. Men of the 13th Royal Fusiliers respond cheerfully to the photographer as they rest near Albert on the Albert-Bapaume Road after the attack on La Boisselle Date: 7 July 1916
Les Français, quant à eux, ont lancé l’offensive plus au sud, où ils ont subi des pertes moins importantes. Ici, deux « Poilus » dans le secteur de Curlu, le 30 juillet 1916, un mois après le début de la bataille. A French soldier rolls a cigarette in a trench prior to an attack in Curlu, during the Somme offensive, northern France, on July 30, 1916, during World War 1. The Great War started in 1914 with the assassination of Archduke Franz Ferdinand and was ended with an armistice between the Allied powers and defeated Germany on November 11, 1918. Over 60 million European soldiers were mobilized from 1914 to 1918 and some 20 million military and civilian deaths resulted. The Treaty of Versailles was signed on June 28, 1919. AFP PHOTO FRANTZ ADAM
Tir de canon de 400 mm. Après l’échec de l’offensive initiale, la bataille s’enlise. Bataille de la Somme (01/07/1916 – 18/11/1916). Tir de canon de 400mm. FRANCE – Premiere Guerre Mondiale (1914-1918)
À Albert, une commune de la Somme, la basilique de Notre-Dame de Brebières apparaît détruite par les combats, en 1916. The Basilica of Notre-Dame de Brebières in Albert, northern France, in ruins after the city was stormed by German troops during the Battle of the Somme in 1916. Photo: Berliner Verlag/Archiv
Un char britannique capturé par les Allemands près d’Albert, en 1916. A British tank was captured by German troops on the battlefield near Albert (Somme), France, in 1916. Photo: Berliner Verlag/Archiv
Un dirigeable allemand sur une photo de propagande colorisée. The contemporary colorized German propaganda photo shows the take off of a German moored balloon for field reconnaissance at the Battle of the Somme 1916. Photo: Neumann Archive – NO WIRE SERVICE
Des Français du 23e régiment d’infanterie. La bataille, qui dure jusqu’au 18 novembre, se soldera par des résultats minimes (une poignée de kilomètres gagnés par les Alliés) et un bilan effroyable : 1,2 million d’hommes mis hors de combat en moins de cinq mois, parmi lesquels 450.000 Allemands, 420.000 Britanniques et 200.000 Français. During the Somme Battle, the French 23RI soldiers are gathered for a parade. A group of them are resting beside the flag of their unit.
Deux Britanniques transportent un camarade blessé à La Boisselle, sur la route d’Amiens, en juillet 1916. 100 ans plus tard, en pleine période post-brexit, la famille royale britannique est en France pour assister avec François Hollande aux commémorations de la bataille de la Somme. . Two British soldiers bring back a wounded colleague on a wheeled stretcher on the La Boisselle to Amiens road, during the Battle of the Somme, July 1916. Date: July 1916
CONCLUSION
Chaplin a la fin de Mr Verdoux fait dire à ce tueur de dames qu’il se voit comme un amateur par rapport aux grands despotes et aux marchands de canons. Songe t il à un complot de leur part pour péréniser leur pouvoir, par l’affaiblissement des peuples à qui l’on demande des impots pour construire des armes, et à qui on demande des fils pour aller se battre ? 1418 dont c’est le centenaire, 10 millions de morts et des fortunes considérables pour le comité des forges Renault Thyssen Krupp …
Thyssen a fait connaitre Hitler qui n’avait pas un rond, a entretenu sa troupe de SA briseurs de grève … Le comité des forges a livré les matière premières permettant son réarmement à l’Allemagne qui en a été privée par la défaite de 1918. Ces gens ont ils eu à se défendre devant des tribunaux ?
Combien de morts ont ils sur la conscience ?
Et les médias aujourd’hui, comment peuvent ils couvrir de tels agissements ?
Comment être aussi lache et servile lors des commémorations de 1914-1918 ?
A part Collon , qui a une sale petite odeur comme l’a dit Riché sur ce site , odeur déjà détectée sur l’argent dette de Grignon , quel journaliste a eu le courage de citer Anatole France :
On croit mourir pour la patrie , on meurt pour des industriels ?
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