La courte opinion du jour:Des grandes fortunes perdent plusieurs milliards à cause du krach boursier

Depuis fin 2021, la Bourse est frappée par les conséquences de la hausse des taux d’intérêt due à l’inflation. Les grands groupes technologiques comme Apple, Amazon ou Netflix sont affectés en premier lieu. Selon Forbes, le classement des plus grandes fortunes et capitalisations du monde a été modifié par ce krach.

en baisse de 23, 9 milliards d’euros, le fondateur de Tesla Elon Musk néanmoins se trouve toujours à la tête des dix personnes les plus riches du monde.

Bernard Arnault prend la deuxième place du classement

Les actions technologiques sont volatiles et posent des problèmes aux investisseurs pour évaluer l’impact d’une inflation élevée et de la hausse des taux d’intérêt. Suite à des fortes évolutions à la baisse de l’ensemble des entreprises des nouvelles technologies, le fondateur de LVMH Bernard Arnault se trouve maintenant à la deuxième place de la liste des hommes les plus riches du monde. Avec 4,5 milliards de dollars de gains, le français est propulsé devant Jeff Bezos dans le classement. Alors que Mark Zuckerberg et les cofondateurs de Google, Larry Page et Sergey Brin ont perdu au moins trois milliards de dollars. Mark Zuckerberg, comme Tesla, ont perdu jusqu’à 29 milliards de dollars de valeur nette jeudi dernier. En baisse de 23, 9 milliards d’euros, le fondateur de Tesla Elon Musk se trouve néanmoins toujours à la tête des dix personnes les plus riches du monde.

photo d’archives du 11 avril 2018, le président de Facebook, Mark Zuckerberg, témoigne devant une audience de la House Energy et du Commerce à Capitol Hill, à Washington, sur l’utilisation des données de Facebook pour cibler les électeurs américains lors de l’élection de 2016

Meta et Amazon essaient de faire face aux pertes

Jeff Bezos, malgré les pertes, est maintenant le troisième homme le plus riche du monde. Son maintien en bonne position pourrait s’expliquer par le “boom” d’Amazon pendant la pandémie, lorsque les gens dépendaient fortement des achats en ligne. De son côté, Mark Zuckerberg (Meta) se trouve en neuvième position du classement, après Bill Gates, Larry Ellison (Oracle), Larry Page (Google), Warren Buffet de la société d’investissement Berkshire Hathaway, et Sergey Brin (Google). Les actions de Meta ont chuté de 26 %, faisant baisser la fortune de Mark Zuckerberg à 85 milliards de dollars. Selon les spécialistes, les actions Meta pourraient très bien se redresser très prochainement. Certains commentateurs de la Bourse se sont moqués des pertes de Zuckerberg sur Twitter.

Des entreprises d’autres secteurs ont aussi beaucoup perdu cette semaine

Les cours de l’action Netflix, Peloton et Beachbody (société concurrente de Peloton) se sont également effondrés la semaine passée, selon Forbes. D’autres entreprises de la biotechnologie comme Moderna, ont été touchées par le manque d’efficacité des vaccins face à Omicron. Stéphane Bancel, PDG de Moderna, notamment, a vu ses actions biotech baisser pendant six jours consécutifs. Sa fortune a chuté de 22 %, à 5,2 milliards de dollars en moins d’une semaine.

 

 

 

 

 

 

 

 


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Rien ne va plus chez Facebook, « Meta » perd près de 200 milliards de dollars en Bourse

Les actions de Meta, la société mère de Facebook, ont chuté de plus de 25% jeudi,le 3 février 2022, anéantissant plus de 230 milliards de dollars de valeur marchande. Il y a quelques jours, la firme de Mark Zuckerberg jetait aussi l’éponge sur son projet de monnaie numérique, après des années de recherche et développement.

Meta perd près de 200 milliards de dollars en Bourse

A Wall Street, la réaction est forte, très forte. Dans les premières cotations, l’action de l’ex-Facebook plonge de plus de 25%. C’est plus de 230 milliards de dollars de capitalisation boursière qui s’envolent et la plus lourde sanction jamais accusée par le groupe de Mark Zuckerberg ou, plus largement par une société cotée à New York, souligne Bloomberg,

Le 03 février, à 15h15 GMT (16h15 en Suisse), le titre de Meta Platforms, maison mère de Facebook, dégringolait de 24% à 245 dollars, entraînant l’indice Nasdaq (-2,14%) dans sa chute.

La fortune du patron de Facebook, Mark Zuckerberg, estimée à 113 milliards de dollars à la clôture hier selon des documents de la SEC, subissait aussi une coupe sévère. Le co-fondateur du réseau social perdait virtuellement presque 28 milliards de dollars.

Les actions de Meta ont plongé à la suite d’un rapport sur les résultats trimestriels lamentable dans lequel la société a publié des prévisions de revenus plus faibles que prévu et a mis en garde contre plusieurs défis pour son activité cette année.

Les investisseurs ont abandonné les actions du géant de la technologie après avoir été alarmés à la fois par la baisse de la croissance des utilisateurs et la hausse des dépenses liées au projet de « métaverse » de la société. Facebook a dépensé plus de 10 milliards de dollars dans ce sens l’année dernière et s’attend à une “augmentation significative” des dépenses similaires pour 2022.

Le nombre d’utilisateurs, surtout, a déçu. Le revenu moyen par utilisateur (Arpu) est, certes, un peu plus élevé qu’attendu, à 11,57 dollars, contre 11,38 dollars visés par les analystes, mais ils sont moins nombreux : 1,93 milliard d’utilisateurs actifs quotidiens en décembre, contre 1,95 milliard anticipé, et 2,91 milliards d’actifs mensuels (2,95 milliards). C’est la première fois, dans l’histoire de l’entreprise, que le nombre d’utilisateurs actifs quotidiens s’inscrit en baisse par rapport au précédent.

 

Meta cède aussi sur la cryptomonnaie et abandonne le Diem

Février est décidément un mois compliqué pour Facebook, rebaptisé Meta. Après le projet avorté en 2019 du Libra, cette cryptomonnaie qui réunissait d’autres acteurs d’Internet et des paiements (PayPal, Visa, Mastercard) autour du réseau social, c’est au tour de son successeur, le Diem, d’être enterré.

Le diem n’aura pas réussi à faire oublier le « libra », nom du projet initial, qui avait, déjà, créé un véritable séisme dans la sphère bancaire mondiale il y a un peu plus de deux ans. Cette monnaie virtuelle décentralisée devait être lancée mi-2020, mais elle avait immédiatement déclenché une fronde internationale à son égard.

Le projet de monnaie numérique de Meta (Facebook), ne verra, donc, pas le jour. Elle a annoncé son démantèlement, ainsi que la vente des droits de propriété intellectuelle et d’autres actifs à la banque Silvergate Capital pour 182 millions de dollars.

Selon Bloomberg, le coup d’épée fatal a été porté par la Réserve fédérale des États-Unis qui aurait exercé sa pression sur le partenaire banquier du diem, Silvergate.

Le recul de Meta s’expliquerait par la dissuasion des autorités centrales qui n’entendent pas perdre aussi facilement le contrôle de la monnaie. Le pari était aussi prometteur puisqu’il surfait – comme les autres GAFA – sur l’explosion des cryptomonnaies, au nombre de 12.000 selon CoinGecko, et qui se sont bâties une véritable notoriété en pleine pandémie de Covid et face aux incertitudes liées à l’inflation sur les Bourses traditionnelles.

Amazon, Google, Apple, PayPal, mais aussi Tesla du côté des Américains… les géants de la Tech se penchent sur ces nouveaux moyens d’échanges, en dehors des circuits bancaires traditionnels, sur tous les continents. Mais dans les pays où un pouvoir central contrôle l’économie, comme en Chine ou en Inde, l’activité des cryptomonnaies est pratiquement bannie.

Le projet était d’autant plus stratégique qu’il promettait potentiellement d’échanger des biens et d’acheter des services dans le futur « métaverse » de la firme de Mark Zuckerberg

Avec ce projet de « monde virtuel » Zuckerberg révèle ainsi son objectif final, qui n’est pas seulement de dominer l’internet d’aujourd’hui, mais de contrôler et de définir l’internet que nous laisserons à nos enfants et aux enfants de nos enfants. Un internet de surveillance toujours plus invasif où la parole dissidente est bannie.

Source

Fb spie
Un document interne à Facebook révèle que le géant des médias sociaux surveille le comportement hors ligne de ses utilisateurs afin de déterminer si une personne doit être classée dans la catégorie «agent de la haine», comme l’a signalé le Washington Pundit .

 

 

 

 

 

 

 

 

 


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Nous sommes tous des Truckers canadiens,québécois et américains !

Chacun se souvient de ce qu’il faisait le jour où le Mur de Berlin est tombé. Alors que tout indiquait que le joug communiste ne prendrait jamais fin, lorsque le peuple a décidé qu’il en avait assez, le mur est subitement tombé. Tout simplement.
C’est ainsi, après deux années d’autoritarisme covidiste, qu’au Canada, le plus grand convoi de camions de toute l’histoire est venu fracasser le Mur de Berlin de la tyrannie. J’ai suivi cet événement car le Canada, que j’avais par le passé respecté comme refuge pour les Étasuniens opposés à la guerre au cours des années 1960, s’était transformé en l’un des pays les plus répressifs au monde. Je me suis interrogé : comment un peuple épris de liberté a-t-il pu se laisser faire par ces mini-Staline sans broncher.

 

Et puis, le Canada s’est levé, et a montré au reste du monde que la liberté peut triompher sur la tyrannie, si le peuple l’exige. Comme je l’ai dit, aucune armée ne peut arrêter une idée dont l’heure est arrivée.

Justin Trudeau, le premier ministre canadien, s’est vautré dans son pouvoir de terroriser la population, au nom du combat contre un virus. Il avait tellement confiance en son propre pouvoir, apparemment illimité, qu’il s’est cru en mesure de pouvoir tourner en ridicule tout canadien montrant des idées différentes. Le premier ministre a affirmé au cours d’une interview récente que les Canadiens non-vaccinés sont « des extrémistes »« des misogynes » et « des racistes. »

Lorsque les truckers canadiens se sont levés face à sa tyrannie, et ont entamé leur convoi historique vers Ottawa, il a pensé pouvoir continuer à tourner le peuple en ridicule. Les camionneurs et leurs soutiens n’étaient guère qu’une « petite minorité à la marge », qui entretenait « des idées inacceptables », a-t-il alors affirmé avec aplomb. Pour Trudeau, l’amour de la liberté n’est guère qu’une « idée inacceptable. »

Moins d’une semaine plus tard, alors que des dizaines de milliers de camions commençait à entrer dans Ottawa, la capitale du pays, avec derrière eux des millions de soutiens [et ce, par -25°C, NdSF], le « brave » premier ministre canadien a pris la poudre d’escampette, et s’est évaporé, destination inconnue.

Comme l’a tweeté Elon Musk, « Il semblerait que la ‘minorité à la marge’ soit en réalité le gouvernement. »

Les médias dominants canadiens se montrent évidement tout aussi obéissants à leur régime que les nôtres. Ils ont ignoré le Freedom Convoy aussi longtemps qu’ils l’ont pu. Il n’en a été fait mention quasiment nulle part. Puis, lorsqu’il est devenu impossible de l’ignorer, ils se sont mis à l’attaquer et à le tourner en ridicule, au lieu d’essayer d’en faire mention avec honnêteté. On a eu le dégoût, et cela a été presque comique, de voir un « reporter » de la Canadian Broadcasting Corporation suggérer que le Canadian Freedom Convoy était un coup de Poutine et des Russes !

Des milliers de truckers sont arrivés à Ottawa. Ils ont exigé la fin de la tyrannie du Covid. Ils sont soutenus par des millions de citoyens, qui ont bravé la nuit hivernale pour soutenir les routiers.

 

Cette manifestation est très importante, car elle ne se limite pas au Canada. Les truckers reçoivent du soutien depuis le monde entier, et un convoi semblable se prépare, depuis la Californie jusque Washington DC. Aux États-Unis, où les étals des supermarchés sont de moins en moins bien achalandés, les routiers ont plus de poids que les pouvoirs en place n’aimeraient le reconnaître.

Si j’étais le premier ministre des pays totalitaires que sont l’Australie et la Nouvelle-Zélande — ou de n’importe quel pays d’Europe — je commencerais à avoir des sueurs froides. Comme la tyrannie covidienne est descendue sur le globe d’une manière apparemment coordonnée, à présent que le Mur de Berlin des tyrans est percé, il suffit de laisser le temps passer et les ondes de choc vont se propager, loin et puissamment.

Nous devons faire preuve de gratitude envers les routiers canadiens. Faisons tout notre possible pour aider le mouvement de la liberté à se poursuivre !

Ron Paul

Note du Saker Francophone

En France, un convoi est en cours d’organisation, semble-t-il pour converger à Paris à partir du 12 février, puis à Bruxelles le 14 février en ralliant des convois d’autres pays. Les camionneurs français et européens ne sont en général pas propriétaires de leur propre camion, contrairement au Canada, si bien que la structure du mouvement en France et en Europe promet d’être assez différente, et d’impliquer des voitures particulières ainsi que des non-camionneurs. Le mouvement s’organise sur Telegram, avec le canal convoyFrance, et semble-t-il également sur Facebook. et Vkontakt.

 le Saker Francophone

 

 

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La vaccination COVID-19 de Justin Trudeau est bidon

Une infirmière diplômée formée à l’administration d’injections intramusculaires a créé une vidéo expliquant pourquoi elle pense que le premier ministre canadien Justin Trudeau et son épouse Sophie n’ont pas réellement reçu de vaccins contre la COVID-19. En fait, elle a dit qu’elle “pouvait repérer cela à un kilomètre de distance” simplement en regardant les images diffusées à la télévision en direct.

Le 23 avril, Trudeau et sa femme ont été enregistrés en train de recevoir leurs premières doses du vaccin AstraZeneca COVID-19 dans une pharmacie Rexall. Dans la vidéo, on peut voir Trudeau retrousser sa manche et tendre la main vers sa femme et lui demander de lui tenir la main avant qu’un pharmacien injecte la dose dans son bras gauche à l’endroit de son tatouage.

Dans la vidéo de l’infirmière, elle a partagé plusieurs raisons pour lesquelles elle pense que les coups étaient “évidemment faux”. Sa principale critique était le fait que le travailleur qui a administré les injections au couple n’utilisait qu’une seule main.

« Personne ne fait ça. Vous ne faites pas d’injections IM de cette façon », a-t-elle souligné, en utilisant l’abréviation IM pour « intramusculaire ».

La méthode traditionnelle d’administration des injections intramusculaires comme les vaccins COVID-19 consiste à utiliser une main pour localiser le muscle deltoïde tandis que l’autre main injecte le vaccin dans le muscle dans une procédure connue sous le nom de repère. Les directives du gouvernement canadien stipulent que la peau du bras “doit être étirée à plat (entre le pouce et l’index) au moment de l’administration”.

Pour les Trudeau, elle a déclaré: «L’injecteur s’est assis sur sa chaise et a jeté cette aiguille comme si c’était une fléchette, d’une main, ne les a même pas touchés de l’autre main, n’a pas touché l’aiguille de l’autre part, c’était très inhabituel.

Source

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 


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La Gigantesque Arnaque du COVID-19:Les laboratoires américains n’ont pas trouvé de Covid-19 dans 1.500 tests positifs analysés

Le CDC poursuivi pour fraude massive : des tests dans 7 universités de TOUTES les personnes examinées ont montré qu’elles n’avaient pas de Covid, mais seulement la grippe A ou B – Statistiques de l’UE : « Corona » a pratiquement disparu, même en cas de mortalité.

Un scientifique clinicien et immunologiste-virologue d’un laboratoire du sud de la Californie affirme que lui et ses collègues de 7 universités poursuivent le CDC pour fraude massive. La raison : pas un seul des 1.500 échantillons de personnes testées « positives » n’a pu trouver le Covid-19. Il a été découvert que TOUTES les personnes étaient simplement atteintes de la grippe A et, dans une moindre mesure, de la grippe B. Ceci est cohérent avec les découvertes précédentes d’autres scientifiques, dont nous avons fait état à plusieurs reprises. Dr Derek Knauss : « Lorsque mon équipe de laboratoire et moi avons soumis les 1.500 échantillons de Covid-19 supposés positifs aux postulats de Koch et les avons placés sous un SEM (microscope électronique), nous n’avons trouvé AUCUN Covid dans les 1.500 échantillons. Nous avons constaté que les 1.500 échantillons étaient principalement de la grippe A et de la grippe B, mais aucun cas de Covid. Nous n’avons pas utilisé le test PCR des taureaux***.

Dans 7 universités, pas une seule fois le COVID détecté

«Lorsque nous avons envoyé le reste des échantillons à Stanford, Cornell et quelques laboratoires de l’Université de Californie, ils sont arrivés au même résultat: PAS de COVID. Ils ont trouvé la grippe A et B. Ensuite, nous avons tous demandé au CDC des échantillons viables de Covid. Le CDC a dit qu’ils ne pouvaient pas les donner, car ils n’avaient pas ces échantillons. «Nous sommes donc arrivés à la dure conclusion de toutes nos recherches et travaux de laboratoire que Covid-19 était imaginaire et fictif. La grippe ne s’appelait que « Covid », et la plupart des 225.000 décès étaient dus à des comorbidités telles que les maladies cardiaques, le cancer, le diabète, l’emphysème pulmonaire, etc. Ils ont attrapé la grippe qui a encore affaibli leur système immunitaire, et ils sont morts.”

« Ce virus est fictif »

«Je dois encore trouver un échantillon viable avec Covid-19 avec lequel travailler. Nous qui avons effectué le test de laboratoire avec ces 1.500 échantillons dans les 7 universités poursuivons maintenant le CDC pour fraude au Covid-19. Le CDC ne nous a toujours pas envoyé d’échantillon viable, isolé et purifié de Covid-19. S’ils ne peuvent pas ou ne veulent pas, alors je dis qu’il n’y a pas de Covid-19. C’est fictif. «Les quatre articles de recherche décrivant les extraits du génome du virus Covid-19 n’ont jamais réussi à isoler et à purifier les échantillons. Les quatre articles ne décrivent que de petits morceaux d’ARN qui ne font que 37 à 40 paires de bases. Ce n’est PAS un VIRUS. Un génome viral compte normalement entre 30 000 et 40 000 paires de bases. «Maintenant que Covid-19 est censé être si mauvais partout, comment se fait-il qu’aucun laboratoire au monde n’ait complètement isolé et purifié ce virus? C’est parce qu’ils n’ont jamais vraiment trouvé le virus. Tout ce qu’ils ont découvert, ce sont de petits morceaux d’ARN qui n’ont de toute façon pas été identifiés comme étant le virus. Nous n’avons donc affaire qu’à une autre souche de grippe, comme chaque année. Le Covid-19 n’existe pas et est fictif .’ «Je crois que la Chine et les mondialistes ont mis en place ce canular Covid (la grippe déguisée en nouveau virus) pour établir une tyrannie mondiale et un État policier de contrôle totalitaire. Cette intrigue comprenait (également) une fraude électorale massive pour renverser Trump.

Le CDC lui-même admet n’avoir aucun virus identifiable

Profondément dissimulé dans un document officiel sur le Covid-19, le CDC admettait avec regret dès l’été 2020 qu’il n’avait pas de virus mesurable : ‘Comme aucun objet viral isolé quantifié (= mesuré) du 2019-nCoV n’est disponible à l’heure actuelle… ‘ (page 39 du ‘CDC 2019-Novel Coronavirus (2019-nCoV) Real-Time RT-PCR Diagnostic Panel’ (13 juillet) En d’autres termes, le CDC, en tant que l’une des principales autorités médicales au monde, ne pouvait pas , et ne peut toujours pas , démontrer un virus. À propos du test PCR à cette fin scientifiquement totalement démystifié, mais toujours abusé sans vergogne, le CDC a écrit sous la rubrique « limites » : “La détection de l’ARN viral ne peut pas démontrer la présence d’un virus infectieux, ni que le 2019-nCoV est l’agent causal. des symptômes cliniques.” Et en plus: « Ce test ne peut pas exclure d’autres maladies causées par d’autres pathogènes bactériens ou viraux. » En d’autres termes, nous ne pouvons pas prouver que les personnes qui tombent malades et sont hospitalisées, et meurent très occasionnellement, ont été rendues malades par un nouveau coronavirus appelé SARS-CoV-2, et nous ne pouvons pas non plus prouver qu’il les a amenées à développer une nouvelle maladie appelée “Covid19”. Il pourrait tout aussi bien s’agir d’un virus différent et d’une maladie différente. (Et puisque tous les symptômes, y compris les pneumonies sévères, correspondent parfaitement à ce que la grippe peut provoquer historiquement chez les personnes vulnérables… « si ça ressemble à un canard et marche comme un canard, c’est un canard ».

Récompense de 1.800.000 $ pour avoir démontré le coronavirus

L’année dernière, l’équipe allemande de Samuel Eckert et le Isolate Truth Fund ont promis une récompense d’au moins 265.000 $ pour tout scientifique qui peut fournir une preuve irréfutable que le virus SARS-CoV-2 a été isolé et existe donc. Ils ont également souligné qu’aucun laboratoire au monde n’a encore été en mesure d’isoler ce virus corona. Ce montant est passé à 1.800.000 $ . Oui, les scientifiques des systèmes prétendent qu’ils l’ont fait, mais cet « isolement » ne consiste qu’en un échantillon du corps humain, qui est une « soupe » pleine de différents types de cellules, de restes de virus, de bactéries, etc. À l’aide de produits chimiques (toxiques), on recherche ensuite des particules (résiduelles) qui peuvent indiquer un virus qui a existé ou peut encore exister, après quoi cela est désigné comme «preuve».

L’équipe canadienne n’a également reçu aucune preuve malgré 40 demandes de loi sur l’accès public

Fin décembre 2020, il y avait une initiative similaire à celle en Allemagne. Une équipe autour de la journaliste d’investigation canadienne Christine Massey a soumis pas moins de 40 demandes de loi sur l’accès public aux autorités médicales du monde entier avec la simple demande de preuve que le virus SARS-CoV-2 a été isolé et que son existence peut donc être objectivement prouvée. Aucune des agences et autorités auxquelles nous avons écrit n’a été en mesure de fournir cette preuve.

« Impossible de démontrer que le SRAS-CoV-2 provoque une maladie appelée Covid-19 »

Le Dr Tom Cowan, le Dr Andrew Kaufman et Sally Fallon Morell ont récemment publié une déclaration sur « la controverse persistante sur la question de savoir si le virus SARS-CoV-2 est isolé ou purifié. Mais sur la base de la définition officielle d’ »isolement » d’Oxford (« le fait ou la condition d’être isolé ou isolé, une séparation d’avec d’autres choses ou personnes, debout seul »), le bon sens, les lois de la logique et les règles de la science dictent que toute personne impartiale doit arriver à la conclusion que le virus SARS-CoV-2 n’a jamais été isolé ou purifié. En conséquence, aucune confirmation de l’existence du virus ne peut être donnée. «Les implications logiques et scientifiques de ce fait sont que la structure et la composition de quelque chose dont l’existence ne peut être prouvée ne peuvent pas être connues, y compris la présence, la structure et la fonction d’un pic hypothétique ou d’autres protéines. La séquence génétique de quelque chose qui n’a jamais été trouvé ne peut pas être connue, ni les « variantes » (mutations) de quelque chose dont l’existence n’a pas été démontrée. Il est donc impossible de démontrer que le SRAS-CoV-2 provoque une maladie appelée Covid-19.’

Un test PCR combiné pour corona et grippe « parce qu’il n’y a pratiquement aucune différence »

Sans surprise, la plus grande société de biotechnologie au monde, la chinoise BGI, a récemment lancé un nouveau test PCR qui peut tester simultanément la grippe A, B et corona. Outre le fait avéré, reconnu par divers procès, qu’un test PCR ne peut pas prouver l’infection par quelque virus que ce soit, l’explication de BGI selon laquelle les deux maladies sont si difficiles à distinguer l’une de l’autre et qu’ils n’ont donc fait qu’un seul test, en dit plus que suffisant . Peut-être qu’il n’y a aucune différence, « Covid » n’est qu’un autre nom pour les virus de la grippe « vieux familiers », et c’est juste une autre astuce marketing intelligente ?

La plupart des gens ont été trompés par la propagande de la peur

Avec la propagande mondiale de la peur contrôlée par le gouvernement 24 heures sur 24, 7 jours sur 7, par les médias de masse, la plupart des gens en sont venus à croire qu’il existe en effet un virus potentiellement mortel qui rend les gens malades beaucoup plus rapidement et plus gravement que la grippe saisonnière. Cependant, même ce dernier n’est manifestement pas le cas. La grippe A est depuis des années la principale cause de décès par pneumonie dans le monde développé. Mais envoyez des personnes désignées comme des patients atteints de Covid sévères dans quelques unités de soins intensifs, mettez constamment des caméras dessus, dites à quelques médecins qu’ils ne doivent discuter que des pires cas, et vous avez votre « pandémie télévisée ». L’argument « nous le faisons parce que sinon les soins seront surchargés » a été sapé par les gouvernements eux-mêmes il y a quelque temps, en rejetant les offres de lits ou de personnel de soins intensifs supplémentaires, car « ce n’est pas nécessaire ». (Était-ce peut-être la première et la seule fois où la vérité était dite ?)

Chiffres officiels : rien d’inquiétant (mais ça ne revient jamais à la normale)

Maintenant que les chiffres officiels montrent également qu’après la saison normale de la grippe traditionnelle, tout va bien, et selon les statistiques de l’UE (EuroMOMO), il y a même une baisse significative de la mortalité, la société – s’il s’agissait vraiment d’un virus et de la santé publique – devrait revenir immédiatement à la normale pour commencer à réparer les énormes dégâts causés par les politiques gouvernementales. Cependant, comme vous le savez, cela ne se fera jamais, et c’est parce que ce canular pandémique soigneusement planifié poursuit un programme idéologique, le « Grand Reset », qui vise à démolir en grande partie la société et l’économie de l’Occident, puis à soumettre à une dictature technocratique communiste mondiale des vaccins climatiques, dans laquelle toutes nos libertés, droits civils et droits à l’autodétermination seront supprimés une fois pour toutes. C’était du moins leur plan.


EN COMPLÉMENTAIRE

 

Mais où est ce satané virus ? Personne ne l’a vu ou isolé !

L’appel à l’autorité est une erreur logique. Pourtant, au cours de cette longue simulation Covid-19 de l’autoritarisme mondial, on nous dit encore et encore de faire confiance au CDC, qui s’est trompé tout au long du chemin. La clé d’une république saine est de remettre continuellement en question l’autorité. Et la question la plus importante à poser à cette autorité autocratique est la suivante : le virus Sars-CoV-2 a-t-il déjà été vraiment isolé ? Et si oui, montrez-nous la preuve.

Les Centers for Disease Control (CDC) des États-Unis à Atlanta ont confirmé par écrit qu’ils n’avaient aucun échantillon réel, isolé et purifié du virus SARS-CoV-2 et ne pouvaient fournir aucun enregistrement sur ce virus, qui aurait causé COVID-19.
Au cours des derniers mois, des demandes de Freedom of Information Act (FOIA) ont été adressées aux Centers for Disease Control (CDC) pour demander des preuves que le CDC a isolé ou purifié le virus SARS-CoV-2.
Le 7 juin 2021, le CDC a confirmé (à nouveau) par écrit qu’il n’avait aucun dossier montrant qu’il avait déjà isolé ou purifié le virus qui serait à l’origine de la maladie appelée COVID-19.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Ces demandes écrites ont été faites par Mme Christine Massey au directeur général du CDC/ATSDR FOIA, M. Robert Andoh, pour localiser et fournir TOUS les enregistrements, recherches et/ou résultats pour TOUT isolement et purification « virale » (par quiconque, n’importe où, n’importe quand dans le Monde) à partir d’un échantillon de patient, par macération, filtration et/ou l’utilisation d’une ultracentrifugeuse . . . ce qu’on appelle le « Gold Standard » pour isoler et identifier un micro-organisme pathologique ou nana organisme.
Le « Gold Standard » pour l’isolement et l’identification des microbes sont appelés postulats de Koch et Rivers, qui ont été établis il y a de nombreuses années pour isoler les postulats de bactéries (Koch) ou de virus (Rivers).
Voici une comparaison côte à côte des postulats de Koch et des postulats de Rivers :

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Statement On Virus Isolation (SOVI)

Isolation: The action of isolating; the fact or condition of being isolated or standing alone; separation from other things or persons; solitariness.

– Oxford English Dictionary

La controverse sur la question de savoir si le virus du SRAS-CoV-2 a déjà été isolé ou purifié se poursuit. Cependant, en utilisant la définition ci-dessus, le bon sens, les lois de la logique et les préceptes de la science, toute personne impartiale doit arriver à la conclusion que le virus SARS-CoV-2 n’a jamais été isolé ou purifié. En conséquence, aucune confirmation de l’existence du virus ne peut être trouvée. Les conséquences logiques, de bon sens et scientifiques de ce fait sont :

  • la structure et la composition de quelque chose dont l’existence n’a pas été démontrée ne peuvent pas être connues, y compris la présence, la structure et la fonction de tout spike hypothétique ou d’autres protéines ;
  • la séquence génétique de quelque chose qui n’a jamais été trouvée ne peut pas être connue ;
  • les « variantes » de quelque chose dont l’existence n’a pas été démontrée ne peuvent pas être connues ;
  • il est impossible de démontrer que le SARS-CoV-2 provoque une maladie appelée Covid-19.

En termes aussi concis que possible, voici la bonne façon d’isoler, de caractériser et de démontrer un nouveau virus. Tout d’abord, on prélève des échantillons (sang, crachats, sécrétions) de nombreuses personnes (par exemple 500) présentant des symptômes suffisamment uniques et spécifiques pour caractériser une maladie. Sans mélanger ces échantillons avec AUCUN tissu ou produit contenant également du matériel génétique, le virologue macère, filtre et ultra-centrifuge, c’est-à-dire purifie l’échantillon. Cette technique de virologie courante, utilisée depuis des décennies pour isoler les bactériophages1 et les virus dits géants dans chaque laboratoire de virologie, permet ensuite au virologue de démontrer en microscopie électronique des milliers de particules de taille et de forme identiques. Ces particules sont le virus isolé et purifié.

L’uniformité de ces particules identiques est ensuite vérifiée par des techniques physiques et/ou microscopiques. Une fois la pureté déterminée, les particules peuvent être davantage caractérisées. Cela comprendrait l’examen de la structure, de la morphologie et de la composition chimique des particules. Ensuite, leur constitution génétique se caractérise par l’extraction du matériel génétique directement des particules purifiées et l’utilisation de techniques de séquençage génétique, telles que le séquençage de Sanger, qui existent également depuis des décennies. Ensuite, on fait une analyse pour confirmer que ces particules uniformes sont d’origine exogène (extérieure) conformément au concept de virus, et non les produits de dégradation normaux des tissus morts et mourants.2 (En mai 2020, nous savons que les virologues ont aucun moyen de déterminer si les particules qu’ils voient sont des virus ou simplement des produits de décomposition normaux de tissus morts et mourants.)3

Si nous sommes arrivés jusqu’ici, nous avons complètement isolé, caractérisé et séquencé génétiquement une particule virale exogène. Cependant, nous devons encore montrer qu’il est causalement lié à une maladie. Ceci est réalisé en exposant un groupe de sujets sains (des animaux sont généralement utilisés) à ce virus isolé et purifié de la manière dont la maladie est supposée se transmettre. Si les animaux tombent malades avec la même maladie, comme le confirment les résultats cliniques et d’autopsie, on a maintenant montré que le virus provoque en fait une maladie. Cela démontre l’infectiosité et la transmission d’un agent infectieux.

Aucune de ces étapes n’a même été tentée avec le virus SARS-CoV-2, et toutes ces étapes n’ont pas été non plus réalisées avec succès pour un virus dit pathogène. Notre recherche indique qu’aucune étude montrant ces étapes n’existe dans la littérature médicale.

Au lieu de cela, depuis 1954, les virologues ont prélevé des échantillons non purifiés sur un nombre relativement restreint de personnes, souvent moins de dix, atteintes d’une maladie similaire. Ils traitent ensuite cet échantillon de manière minimale et inoculent cet échantillon non purifié sur une culture tissulaire contenant généralement quatre à six autres types de matériel – qui contiennent tous un matériel génétique identique à ce qu’on appelle un “virus”. La culture tissulaire est affamée et empoisonnée et se désintègre naturellement en de nombreux types de particules, dont certaines contiennent du matériel génétique. Contre tout bon sens, logique, utilisation de la langue anglaise et intégrité scientifique, ce processus est appelé « isolement du virus ». Ce breuvage contenant des fragments de matériel génétique provenant de nombreuses sources est ensuite soumis à une analyse génétique, qui crée ensuite dans un processus de simulation informatique la séquence présumée du virus présumé, un soi-disant génome in silico. A aucun moment un virus réel n’est confirmé par microscopie électronique. A aucun moment un génome n’est extrait et séquencé d’un virus réel. C’est de la fraude scientifique.

L’observation que l’échantillon non purifié – inoculé sur une culture tissulaire avec des antibiotiques toxiques, du tissu fœtal bovin, du liquide amniotique et d’autres tissus – détruit le tissu rénal sur lequel il est inoculé est donnée comme preuve de l’existence et de la pathogénicité du virus. C’est de la fraude scientifique.

À partir de maintenant, lorsque quelqu’un vous remet un article suggérant que le virus SARS-CoV-2 a été isolé, veuillez consulter les sections méthodes. Si les chercheurs ont utilisé des cellules Vero ou toute autre méthode de culture, vous savez que leur processus n’était pas l’isolement. Vous entendrez les excuses suivantes pour lesquelles l’isolement réel n’est pas fait :

  1. Il n’y avait pas assez de particules virales trouvées dans les échantillons de patients pour être analysées.
  2. Les virus sont des parasites intracellulaires ; ils ne peuvent pas être trouvés en dehors de la cellule de cette manière.

Si le numéro 1 est vrai et que nous ne pouvons pas trouver le virus dans les crachats des personnes malades, alors sur quelles preuves pensons-nous que le virus est dangereux ou même mortel ? Si le numéro 2 est correct, alors comment le virus se transmet-il d’une personne à l’autre ? On nous dit qu’il sort de la cellule pour infecter les autres. Alors pourquoi n’est-il pas possible de le trouver?

Enfin, remettre en question ces techniques et conclusions de virologie n’est pas un problème de distraction ou de division. Faire la lumière sur cette vérité est essentiel pour arrêter cette terrible fraude à laquelle l’humanité est confrontée. Car, comme nous le savons maintenant, si le virus n’a jamais été isolé, séquencé ou montré comme provoquant une maladie, si le virus est imaginaire, alors pourquoi portons-nous des masques, prenons-nous des distances sociales et mettons-nous le monde entier en prison ?

Enfin, si les virus pathogènes n’existent pas, alors qu’est-ce qui se passe dans ces dispositifs injectables appelés à tort « vaccins », et à quoi servent-ils ? Cette question scientifique est la plus urgente et la plus pertinente de notre époque.

1 Isolement, caractérisation et analyse des bactériophages du lac halo-alcalin Elmenteita, KenyaJuliah Khayeli Akhwale et al, PLOS One, publié le 25 avril 2019. https://journals.plos.org/plosone/article?id=10.1371/journal. pone.0215734 — consulté le 15/02/21

2 « Vésicules extracellulaires dérivées de cellules apoptotiques : un lien essentiel entre la mort et la régénération », Maojiao Li1 et al, Frontiers in Cell and Developmental Biology, 2 octobre 2020. https://www.frontiersin.org/articles/10.3389/fcell. 2020.573511/complet — consulté le 15/02/21

3 « Le rôle des vésicules extracellulaires en tant qu’alliés des virus du VIH, du VHC et du SRAS », Flavia Giannessi, et al, Virus, 2020 mai

Source : Has the Sars-CoV-2 Virus Ever Really Been Isolated?


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