Réécrire l’histoire:devant la découverte de Glozel,les scientifiques refusent l’idée de la « primhistoire »

Glozel, petit hameau de la montagne Bourbonnaise, est situé sur la commune de Ferrières/Sichon dans l’Allier à une vingtaine de kilomètres au sud-est de Vichy.

Les fouilles débutèrent il y a presque 100 ans.

Le 1er mars 1924, dans le champ Duranthon ( rebaptisé plus tard le champ des morts ), un jeune agriculteur de 17 ans, Emile, et son grand-père, Claude Fradin, font une découverte impossible qui déclenche l’une des plus violentes controverses archéologiques du XXe siècle car elle remet en cause ce que l’on savait sur les origines de l’écriture.

En défrichant un morceau de terrain, l’une des vaches tirant la charrue tombe dans un trou, à l’intérieur duquel Emile trouve des ossements humains. Avec la découverte de ce tombeau, ils pensent avoir mis la main sur un trésor, les premières fouilles se font à coups de pelle et de pioche. Ils trouvent divers objets, des urnes, des vases, des haches et des tablettes gravées. Ils brisent les urnes mais elles ne contiennent que de la terre, déception, le trou est rebouché et l’avoine est semée.

Au cours de l’été, la Société d’Emulation du Bourbonnais se déplace, recueille des échantillons et les envoie au Dr Capitan des Beaux-Arts.
A l’époque, le Dr Capitan, l’abbé Breuil et le conservateur du musée des Eyzies, M. Peyroni, composaient le triumvirat incontournable de la préhistoire.

Émile Fradin nous présente une formidable tablette gravée en 1976.

Entre temps, en 1925, Antonin Morlet, médecin à Vichy, passionné d’archéologie, entend parler de la découverte et se rend sur place avec son épouse. Fasciné par ce qu’il trouve, il obtient le droit de publication sur les objets qui restent la propriété de M. Emile Fradin.

13 mois après avoir reçu les premières pièces, le Dr Capitan se rend sur place. « Vous avez là un gisement merveilleux..« , il demande au Dr Morlet un rapport détaillé.

Mais au lieu d’envoyer son rapport, le Dr Morlet le publie le 23 septembre 1925 sous le titre « Nouvelle station néolithique« . Morlet est convoqué par Capitan, furieux, « …mettez mon nom à la place de celui d’Emile Fradin..« , ( fait rapporté et publié par le chanoine Cote, « Glozel, 30 ans après« , 1959 ; toutes les personnes « baignant » dans le milieu scientifique savent l’importance d’avoir son nom au sein d’une publication ) ; Morlet refuse.
Puis l’abbé Breuil écrit un article en faveur de Glozel mais sans citer le nom du Dr Morlet, qui à son tour s’insurge et accuse l’abbé de vouloir s’approprier la découverte. L’abbé se retournera alors lui aussi contre Glozel.
On est bien loin des argumentations scientifiques !

Les grands pontes de la préhistoire, tout d’abord très favorables à Glozel, pris de court par cette fabuleuse découverte, se retrouvant « hors jeu« , prennent alors position contre Glozel.
D’autant plus qu’à cette même période un éminent épigraphiste, René Dussaud, vient de publier officiellement que l’écriture est née en Phénicie, 1 600 ans av. J.C. ( après la mise à jour du sarcophage du roi Ahiram de Byblos, recouvert d’inscriptions ).
Or le Dr Morlet estime les tablettes gravées à 5 ou 6 000 ans av. J.C..

Les deux découvertes sont contradictoires et cela va déclencher une véritable guerre chez les hommes de science. Les glozeliens et les anti-glozeliens s’affrontent, Glozel devient l’affaire Dreyfus de l’archéologie.

L’artéfact le plus médiatisé depuis les années 1960.

Et dans cette guerre, tous les coups ( bas ) sont permis, lettres anonymes, injures, etc. ; un jour le Dr Morlet surprend même miss Garrod, secrétaire de l’abbé Breuil, en flagrant délit de truquage lors d’une enquête sur place de la Commission des fouilles ( nommée par le Dr. Capitan, impartialité quand tu nous tiens !!! ).
Le Dr Morlet, Emile Fradin sont traînés dans la boue, tout est mis en oeuvre pour les déshonorer, « calomniez, calomniez, il en restera toujours quelque chose« .

Le Président de la Société Préhistorique de France se rend à Glozel, il paye 4 francs pour entrer dans le musée ( mis en place sommairement par Emile Fradin pour satisfaire le nombre croissant de visiteurs, curieux de voir ces fantastiques objets si controversés ), puis il prétend qu’on lui montre des choses fausses. Il porte plainte contre X pour « entreprise pécuniaire pour montrer les produits d’une mystification« .

Le 25 février 1928, la police de Clermond-Ferrand fait une descente pour perquisitionner chez les Fradin ; leur but, trouver l’atelier où Emile fabrique ses objets. Ils brisent les vitrines, certains objets, ils molestent le pauvre Emile et emportent plus de 200 objets, soit disant pour les faire dater mais à l’époque il n’y a aucun moyen pour faire cela.

Le 4 juin 1929, Emile Fradin est inculpé d’escroquerie, le juge d’instruction va le cuisiner pendant les 63 heures de l’interrogatoire.
On veut qu’il avoue avoir fabriqué ces objets, mais ce jeune paysan du Bourbonnais, ignorant tout de la préhistoire, a sa conscience pour lui, il n’a pas fabriqué ces objets surgis de la nuit des temps.

Son courrier est ouvert, il est constamment surveillé par la police qui veut le surprendre en flagrant délit de fabrication et vérifier s’il enterre lui-même les objets.

Finalement, deux ans plus tard, l’inculpation finit par un non-lieu.
Emile Fradin peut enfin profiter de la vie, il se marie et a des enfants.
Le Dr Morlet continue ses fouilles, toujours à ses frais, pendant 16 ans. Il trouvera plus de 3000 objets, jusqu’en 1941 où la loi Carcopino est votée. Il est désormais interdit de fouiller le sol français sans l’autorisation de l’Etat. Ceci met fin au fouilles de Glozel.
Le Dr Morlet meurt en 1966, il ne verra pas la reconnaissance de Glozel.

En 1972, Henri François, ingénieur au Commissariat à l’Energie Atomique, en visite à Glozel, fait des prélèvements et les envoie à 3 laboratoires étrangers pour datation. On utilisera la méthode de datation au carbone 14 pour les os gravés et la thermoluminescence pour les céramiques et la terre cuite.
Pour les trois laboratoires indépendants ,les résultats sont clairs et irréfutables, Glozel est ancien !
Henri François écrira à Emile Fradin :
« …Seuls quelques attardés mal informés pourront encore prétendre que vous êtes un faussaire, les regroupements des mesures faites indépendamment dans chaque laboratoire sont parfaits et indiscutables…« 

Les résultats sont les suivants :

  • les ossements ont entre 15 000 et 17 000 ans,
  • les céramiques ont 5 000 ans,
  • les tablettes gravées ont 2 500 ans.

En 1974, une équipe du Centre de Recherche Nucléaire de Grenoble passe le site au magnétomètre, montrant qu’il existerait encore des objets enfouis.

En 1975, après un congrès d’archéométrie tenu à Oxford, la lumière est enfin faite sur l’authenticité du site. L’Etat reconnaît l’authenticité de Glozel, mais la communauté scientifique continue de douter.

De 1983 à 1990, de nouvelles fouilles sont entreprises, bizarrement, à plusieurs kilomètres du champ des morts, ensuite, aucun résultat n’est publié (?).

Alors pourquoi ?
Je cite M. Remy Chauvin, biologiste, « père spirituel des hérétiques en France » :
« …S’ils ne publient pas c’est qu’ils ont probablement trouvé des choses qui les ennuient, alors pourquoi ?
De quoi a-t-on peur ?
On a peur de contrarier quelques vieux professeurs, on a peur de démolir les théories en cours ?
Mais, est-ce que les théories scientifiques sont des monuments religieux ?
Qu’y a-t-il donc à Glozel qui soit responsable d’une telle levée de boucliers ?
Faisons donc des fouilles méthodiques et raisonnées à l’endroit où Emile Fradin les fit ! …
« 

M. Emile Fradin s’est vu proposé des sommes fabuleuses pour ses découvertes mais il n’a cédé aucun objet. Le 16 juin 1990, il reçut les Palmes Académiques.

En 1995, suite à la diffusion d’une émission télévisée,  le résumé provisoire des recherches précédentes est enfin publié mais ne révèle rien, si ce n’est ce que l’on savait déjà, qu’il y a une grande disparité dans l’âge des objets de Glozel.


Plus de 3000 objets ont été retrouvés, des poteries, des tablettes gravées, des pierres polies, des bijoux en os, des têtes de flèches, des aiguilles, et il ne semble pas que les signes écrits aient été superposés à des gravures animalières antérieures.

Tous les ossements, humains ( n’appartenant pas à des squelettes d’homme moderne ), et d’animaux ( ayant été transformés en outils, bijoux, certains portant des signes d’écriture ), tous, présentent une fossilisation avancée.

Les haches en pierre polie ont leur tranchant trop peu usé et sont donc certainement votives.

Les galets, gravés notamment de splendides rennes, ont soulevé l’admiration des spécialistes en art préhistorique.

Les objets en céramique, idoles, vases mortuaires aux masques étranges dépourvus de bouche et les fameuses tablettes couvertes d’inscriptions toujours inconnues, ont été fabriqués dans un four ovale qui fut tout d’abord pris pour une tombe. 

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Même s’il n’y a plus de doute sur l’authenticité du site, Glozel conserve encore de nombreux mystères.

En effet, sans doute à cause de la très forte radioactivité naturelle de la région, les datations sont extrêmement disparates, et on a du mal à comprendre et à fortiori à expliquer la présence sur le même lieu, d’objets âgés de 17 000 ans, de 5 000 ans, de 2 500 ans, de 1 500 ans, et même du moyen âge !

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Reste également l’énigme de l’écriture que l’on retrouve sur des os gravés de 17 000 ans, toujours non déchiffrée…
Elle présente de grandes ressemblances avec :

  • des formes très anciennes de l’écriture phénicienne.
  • Mais aussi avec un certain nombre d’inscriptions alphabétiformes retrouvées dans des sites magdaléniens, au Portugal, en Roumanie et en France.

Glozel serait peut-être un ancien lieu de culte, magique, où auraient été regroupés des objets de diverses provenances ? …

On ne pourra lever le voile du mystère que si l’on étudie sérieusement et systématiquement ce site exceptionnel.


 

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Réécrire L’histoire « effacée » par les médias de la lutte du Führer Adolph Hitler pour la Paix

Manifestation à New York durant la Deuxième Guerre Mondiale!

 

Le 3 septembre 1939, les Alliés déclarent la guerre à l’Allemagne, entraînant une guerre mondiale d’une demi-décennie.

Pendant ce temps, Hitler supplie les Alliés de retirer leurs déclarations de guerre. Les appels à la paix d’Hitler sont ignorés alors que les alliés amassent 600 000 soldats dans le nord de la France. Des plans sont ouvertement discutés pour avancer vers l’est sur l’Allemagne, via la Belgique et la Hollande, ainsi que pour établir des opérations en Norvège et au Danemark neutres, avec ou sans leur consentement.

« J’ai toujours exprimé à la France mon désir d’enterrer à jamais notre ancienne inimitié et de rapprocher ces deux nations au passé si glorieux. Je n’ai pas consacré moins d’efforts à la réalisation d’une entente anglo-allemande, pas plus que cela d’une amitié anglo-allemande. A aucun moment et en aucun endroit je n’ai agi contrairement aux intérêts britanniques… « Pourquoi cette guerre en Occident devrait-elle être menée ? – Adolf Hitler – Reichstag OCTOBRE 1939

Avant la mort de Chamberlain, il révéla que l’Amérique et les Juifs du monde avaient forcé la Grande-Bretagne à entrer en guerre contre l’Allemagne (mentionné dans The Forrestal Diaries de 1945.)

Sachant que les Allemands ne toléreraient pas les persécutions ethniques contre leur peuple dans les territoires perdus donnés à la Pologne par le honteux traité de Versailles (qui, soit dit en passant, étaient dirigés par des Juifs), les sionistes ont très probablement promu ces pogroms absurdes en utilisant leur les médias, financés par les puissants banksters, comme une manœuvre pour provoquer les Allemands, les attirant à une action militaire contre la Pologne, créant alors un prétexte pour déclencher une guerre de plus fructueuse, qui aurait un rôle décisif dans leur contrôle des finances mondiales, qui était menacé par les progrès créés par l’Allemagne NS.

Les historiens alliés négligent si duplicieusement de reconnaître l’appel incessant à la guerre lancé par l’Angleterre, la France et l’Amérique de 1934 à 1939 tandis que les nombreux appels de l’Allemagne nationale-socialiste pour comprendre et empêcher une guerre mondiale. Ces offres de paix aux puissances alliées sont un dossier historique incontestable. Les « historiens des tribunaux » de l’establishment ne peuvent pas nier la réalité de ces offres raisonnables, alors ils choisissent simplement de les ignorer à la place.

Le général Robert Wood a témoigné qu’en 1936, Churchill lui avait dit que l’Allemagne devenait trop forte et devait être anéantie. (p. 130). Pour quelle raison? …questionna Bernard Baruch . Après une interview avec Roosevelt en septembre 1939, Baruch publia un rapport à la presse dans lequel il déclarait :

« Hitler n’aura pas de guerre, mais il y sera contraint, pas cette année mais plus tard.Emil Ludwig Cohn dans Les Annales, juin 1934, également cité dans son livre « La Nouvelle Sainte Alliance ». L’Allemagne est notre ennemi public numéro un. « Notre but est de lui déclarer la guerre sans pitié. On peut en être sûr : nous mènerons cette guerre ! – Bernard Lecache, président de la « Ligue internationale contre le racisme et l’antisémitisme », dans son journal « Droit de vivre », 9 novembre 1938.

« Les millions de Juifs qui vivent en Amérique, en Angleterre et La France, l’Afrique du Nord et du Sud et, sans oublier ceux de Palestine, sont déterminés à mettre un terme définitif à la guerre d’anéantissement contre l’Allemagne. – Le journal juif Central Blad Voor Israelieten aux Pays-Bas, le 13 septembre 1939

« J’ai souligné que la défaite de l’Allemagne et du Japon et leur élimination du commerce mondial donneraient à la Grande-Bretagne une formidable opportunité de gonfler son commerce extérieur en volume et en profit. » – Samuel Untermeyer, Les années publiques, p.347.

En avril 1939, (quatre mois avant le déclenchement de la guerre), l’ambassadeur William C. Bullitt, que je connaissais depuis vingt ans, m’appela à l’ambassade américaine à Paris. Il n’a pas dit, et je n’ai pas demandé, par qui. Il m’a laissé le déduire. … Quand j’ai dit qu’à la fin l’Allemagne serait poussée dans les bras de la Russie soviétique et du bolchevisme, l’ambassadeur a répondu : « Qu’en est-il ? Il n’y aura plus assez d’Allemands quand la guerre sera finie pour qu’il vaudrait la peine d’être bolchévisé. – Karl von Wiegand, 23 avril 1944, Chicago Herald American

Chaque appel à la paix a été rejeté.


EN COMPLÉMENTAIRE

Tout ce que les gens croyaient sur les intentions d’Hitler envers la Grande-Bretagne était un mythe créé par Churchill

Rudolph Hess et Adolph Hitler

 

Hitler ne voulait pas envahir la Grande-Bretagne. Il admirait en fait l’Empire britannique, avec sa présomption inhérente de supériorité raciale.

Il est bon que le gouvernement britannique pardonne aux milliers de déserteurs de l’armée qui se sont enrôlés dans les forces britanniques pendant la Seconde Guerre mondiale.

Bien entendu, aucune armée ne peut permettre la désertion ; cependant, ces hommes n’ont pas été traduits en cour martiale, mais ont fait l’objet d’une interdiction générale d’emploi dans l’État qui les a privés de leur droit constitutionnel à une procédure régulière.

La grande majorité d’entre eux désertèrent à partir de juin 1941, lorsque la possibilité théorique d’une invasion allemande avait pratiquement disparu.

Les hommes qui ont déserté l’ont fait après avoir été effectivement trompés pour devenir des soldats-serfs, coupant le gazon sur la tourbière d’Allen.

C’était le deuxième grand mensonge de leur jeune vie. Le premier était que l’Irlande a jamais été confrontée à une grave menace d’invasion par l’Allemagne, ce qui était l’engendrement d’un mensonge encore plus vaste – qu’en 1940, Hitler voulait envahir la Grande-Bretagne. Mais il ne l’a pas fait. Il admirait en fait l’Empire britannique, avec sa présomption inhérente de supériorité raciale. Nous savons d’après les journaux de Lord Halifax, le ministre britannique des Affaires étrangères, qu’Hitler a proposé des conditions qui n’impliquaient pas le contrôle allemand de la Grande-Bretagne. Churchill a refusé de permettre que ces termes soient lus au cabinet, et ils restent prudemment cachés sous la règle des 100 ans.

Au lieu de cela, la détermination de Churchill à maintenir la Grande-Bretagne en guerre a transformé ce qui n’avait été qu’une défaite continentale de son armée en un mythe persistant selon lequel, en 1940, la Grande-Bretagne était confrontée à une guerre pour la survie nationale.

Mais le chef de la marine allemande, Raeder, avait à plusieurs reprises interdit à son état-major de planifier une invasion de la Grande-Bretagne. Et loin de vouloir continuer la guerre, en juin 1940, Hitler ordonna la démobilisation de 20 % de son armée, afin de relancer l’économie allemande. La « flotte d’invasion » que les nazis ont commencé à rassembler cet été-là n’était pas plus capable d’envahir la Grande-Bretagne qu’elle ne l’était à Hawaï. C’était la guerre par illusion : son but était d’amener les Britanniques à la table des négociations.

Barges destinées à l'opération Sea Lion
Des barges d’invasion assemblées dans le port allemand de Wilhelmshaven. Deutsches Bundesarchiv

Cette « flotte » se composait de 1 900 barges fluviales, dont un tiers seulement était motorisé, à remorquer transmanche, par groupes de trois, par seulement 380 remorqueurs. Ces barges avaient de minuscules quilles, des proues émoussées et de petits gouvernails, avec seulement deux pieds de franc-bord : la distance entre l’eau et le haut de la coque. Ils auraient été submergés même lors d’une traversée directe de la Manche, une voie navigable peu profonde et violente reliant la mer du Nord déchaînée et l’Atlantique. Mais une invasion ne serait pas directe. Les barges, avec leurs équipages non entraînés, ne pourraient faire que trois nœuds environ, depuis les trois centres « d’invasion » : Rotterdam, Le Havre et Boulogne. Ces ports sont, respectivement, de toutes les plages du débarquement de la côte sud, au mieux, 200 milles et 60 heures, 100 milles et 30 heures, et 50 milles et 15 heures, avec des soldats souffrant du mal de mer entassés dans des barges sans quille et sans eau ni toilettes. Quelle armée serait apte à combattre après un voyage comme celui-là ? Et puis il y a les 55 000 chevaux dont la Wehrmacht aurait besoin : son transport n’était toujours pas mécanisé.

Le Führer accueuilli par des femmes slaves lors d’un arrêt sur le front de l’est.

Tout va bien, et c’est vraiment un terme relatif, la première « vague » mettrait 10 jours à débarquer, les barges faisant la navette vers et depuis ces trois ports éloignés, nécessitant des marées qui devraient obéir aux exigences du Führer plutôt que les plus âgés de la mer, en convoi, souvent de nuit, et toujours sans feux de navigation.

Pourquoi pas de lumières ? Ah : la Royal Navy. C’est là que les choses deviennent assez fantasmagoriques. En août 1940, la Home Fleet britannique SEULE se composait de 140 destroyers, 40 croiseurs et frégates, cinq cuirassés et deux porte-avions.

L’ensemble de la marine allemande, le Kriegsmarin, se composait de seulement sept destroyers, d’un croiseur avec des moteurs peu fiables, de deux croiseurs en état de marche, pas de porte-avions, et pas de cuirassés ni de croiseurs de bataille : le Bismarck et le Tirpitz étaient encore en construction, et le Gneisenau et le Scharnhorst ont été endommagés. et hors de service jusqu’à l’hiver suivant.

Et la Luftwaffe ? Eh bien, il n’y avait pas d’avions porte-torpilles, alors que les Britanniques en avaient deux (le Beaufort et le Swordfish, qui devaient tous deux montrer plus tard leur courage en mettant hors d’état de nuire les navires de guerre allemands), et les bombardements aériens défendaient vigoureusement les navires de guerre au-dessus d’une mer ouverte. est incroyablement difficile, même pour les bombardiers en piqué : les viseurs de bombe Stuka ont été calibrés pour des cibles fixes. D’accord, mais les côtes britanniques n’étaient-elles pas sans défense en 1940 ? Non – à part une armée britannique en grande partie intacte, deux divisions canadiennes entièrement équipées sont arrivées cet été-là, tout comme 200 000 fusils américains à bord du « SS Britannic ».

Cela ne diminue en rien la validité de la cause alliée, ni la décision ultérieure des près de 7 000 déserteurs de l’armée qui s’y sont enrôlés, car ils prenaient les armes contre l’un des régimes les plus pervers de l’histoire du monde.

Néanmoins, à peu près tout ce que les gens croyaient sur les intentions d’Hitler envers la Grande-Bretagne en 1940 – et croient encore aujourd’hui – était un mythe créé par Churchill, auquel il en est probablement venu à croire lui-même. Considérez tous les faits ci-dessus, puis considérez comment ce mythe a perduré, malgré eux. On se demande, non ?

(Source: Irlandais indépendant )

Déja lors de la rencontre de Téhéran,Churchill réfléchissait a une Troisième Guerre Mondiale!

 

 

 

 

 

 

 

 


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Réécrire l’histoire de la conspiration de la gauche sioniste:Le 4 septembre 1923,le Fûhrer remportait une importante victoire en cours

Nous entendons celui-ci tout le temps ; mais combien peu de gens qui répètent ce mensonge concocté, transmis et vieux de 100 ans se rendent compte que la première diffamation de ce type contre Hitler est venue d’un journal ouvertement pro-marxiste ? C’est vrai.

Photo du Fûhrer en 1923.

 

Co-fondé en 1876 par le communiste allemand Wilhelm Liebknecht –  Vorwarts  ( Forward ), en 1923 – dans un effort intelligent pour séparer Hitler de sa base, a affirmé que Henry Ford (qui a tenté d’exposer les banquiers juifs) et les banquiers juifs américains finançaient Hitler .

Hitler a intenté une action en diffamation contre  Vorwarts  pour cette affirmation absurde – et il a gagné devant le tribunal parce que Fake News Marxist  Vorwarts  n’a pu produire aucune preuve pour étayer leur mensonge fabriqué. Et ni les marxistes ni les fausses taupes et dupes anti-hitlériens « de droite » d’aujourd’hui.

Le premier NSDAP a peut-être collecté une somme d’argent négligeable auprès de Juifs qui sont connus pour « couvrir leurs paris » – mais l’argent réel provenait de quelques émigrés russes qui avaient échappé à la révolution bolchevique, certains propriétaires d’entreprises préoccupés par la menace très réelle de une prise de contrôle communiste en Allemagne – et un  grand nombre  de petits donateurs qui croyaient en Hitler et sa révolution.

annexe

Hitler gagne en diffamation
le 4 septembre 1923

Berlin Vorwaerts paiera 6 000 000 de marks de dommages et intérêts pour avoir dit qu’Hitler avait « de l’argent juif et de Ford ».

Adolph Hitler, leader des fascistes bavarois, s’est vu octroyer hier 6 000 000 de marks de dommages et intérêts dans son procès en diffamation contre le rédacteur en chef du Vorwaerts, le quotidien socialiste de Berlin.

Les poursuites en diffamation contre le rédacteur en chef socialiste ont été engagées par le dirigeant réactionnaire de Bavière à la suite de la publication par les Vorwaerts d’un rapport selon lequel l’Organisation hitlérienne recevait une aide financière de « Juifs américains et d’Henry Ford ».

* * *

Source : William Leone et Agence télégraphique juive


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Réécrire l’histoire:Les Vikings étaient-ils en Amérique du Sud plus de 400 ans avant Colomb ?

 

Ici est présenté le récit largement rejeté selon lequel probablement au milieu du XIe siècle, des Vikings danois du Schleswig et du Danelaw (comme le prouvent les inscriptions rupestres runiques) sont arrivés à Santos au Brésil et se sont rendus à l’intérieur des terres jusqu’au Paraguay.

Depuis une colline fortifiée près de la frontière brésilienne, ils ont occupé une position défensive pendant une partie de deux siècles, surveillant une petite montagne voisine. Il a été rapporté qu’au 20ème siècle, sous la montagne sous observation, a été découvert une vaste zone dont les murs et le toit sont construits en béton inconnu de la science et ne peuvent pas être ouverts mais sont censés cacher un réseau de tunnels. Ce qui suit dévoile l’histoire présentée par quelques défenseurs des Vikings en Amérique du Sud. Comme tant de ces histoires, elle nécessite une enquête plus approfondie pour permettre la vérification, mais néanmoins, elle donne matière à réflexion.

Les Vikings en Amérique du Sud

Les historiens universitaires n’admettent généralement la présence de visiteurs européens en Amérique du Sud qu’après l’arrivée de Christophe Colomb. Par conséquent, pour eux, toute discussion sur les Vikings voyageant n’importe où au sud de la Nouvelle-Écosse avant 1492 après JC n’est même pas hypothétique mais pure fiction. Afin de maintenir ce prétexte, les historiens ont jugé nécessaire de rejeter ce qui pourrait être pour d’autres du bon sens et de le remplacer par une théorie absurde. Le meilleur exemple en est le cas des chiens de berger du Bundsö.

C’était la coutume des Incas d’avant la conquête d’être momifiés avec leurs chiens. Une variété de chiens trouvée dans des tombes à Ancon, au Chili, par le professeur Nehring en 1885 a été analysée par deux zoologistes français dans les années 1950 qui ont déterminé que cette variété ne pouvait pas être descendue des chiens sauvages d’Amérique du Sud. Ils les ont associés à Canis familiaris L.patustris Rut dont de nombreux restes squelettiques ont été découverts, tous à Bundsö sur l’île danoise d’Als/Jutland.

La coïncidence anatomique étant jugée parfaite, la difficulté résidait alors dans l’explication de l’arrivée de ces chiens danois en Amérique du Sud avant la conquête espagnole. Les scientifiques français se sont concertés et ont décidé que : « les Vikings danois ont dû donner certains de leurs chiens de berger du Bundsö à des Vikings norvégiens qui les ont emmenés au Vinland. Lorsque les Norvégiens ont été expulsés du Vinland par les indigènes, les chiens ont dû être transportés de du Vinland au Canada moderne où ils ont dû être passés de main en main toujours vers le sud par des tribus qui n’en voulaient pas, impliquant des voyages par terre et par mer, puis l’ascension de montagnes jusqu’au Pérou où ils ont été adoptés par les Incas. »

Cette explication absurde était la seule théorie scientifique disponible, c’est-à-dire qui correspondrait à l’histoire acceptée de la découverte des Amériques. Mais si ce récit était faux, une explication plus logique pourrait être que les Vikings danois ont amené les chiens avec eux lorsqu’ils ont navigué vers l’Amérique du Sud depuis l’Europe au XIe siècle.

 

Le protectorat viking au Paraguay ?

En 1085 après JC, le roi Knut II avait 1700 navires pour « l’expansion vers l’ouest ». Pour les distances plus importantes, un type spécial de voile en laine, qui avait été développé pour une plus grande vitesse et une navigation beaucoup plus près du vent, comme le prouvent les expériences d’Amy Lightfoot avec le Viking Ship Museum, Roskilde. Étrangement pour les Européens si loin de chez eux au 11ème siècle, les Vikings du Danemark-Schleswig dans ce récit semblaient savoir exactement où ils se dirigeaient.

Ils débarquèrent à Santos, au Brésil, trouvèrent le chemin qui avait été préparé depuis longtemps et se dirigèrent à pied vers les hautes terres situées à Amambay, à 25 kilomètres (16 mi) au sud-est de la ville moderne de Pedro Juan Caballero au Paraguay.

Le Cerro Corá est un anneau de trois petites montagnes de cinq kilomètres de diamètre. À trois kilomètres au nord de cet anneau se trouve la montagne Itaguambype, qui signifie « forteresse ». Bien avant l’arrivée supposée des Vikings, il avait été creusé pour en faire un, d’où son nom.

L’anthropologue qui a enquêté sur la région dans les années 1970, Jacques de Mahieu, était un anthropologue franco-argentin et chef du groupe néo-nazi espagnol CEDADE, qui a proposé diverses théories de contact précolombiennes et affirmé que certains groupes autochtones d’Amérique du Sud descendent des Vikings. Grâce à ses observations, il a décidé qu’à un moment indéterminé dans le passé, le but de la construction devait être une sorte de poste d’observation militaire assez grand pour une colonie ou un refuge.

La basse montagne Itaguambype s’étend sur un axe nord-sud. Il mesure deux kilomètres de long et cent mètres de haut. L’ex-forteresse est une section coupée à l’extrémité sud, longue de 300 mètres (984 pieds) avec une ouverture d’accès de 20 mètres de large (66 pieds). Les parois sont en roche naturelle, à un quart de la hauteur du sol avec au-dessus des blocs de pierre de taille inégale taillés sur mesure pour s’emboîter parfaitement à la manière des murs anti-séisme au Pérou et en Bolivie.

Le long de la crête, un chemin plat de 3 mètres de large (10 pieds) s’étend; à l’extrémité sud se trouve une plate-forme avec les ruines d’une tour de guet ronde élevée à 5 mètres au-dessus de la crête pour un panorama sur l’ensemble du territoire mais particulièrement sur Cerro Corá. La forteresse aurait été abandonnée soit vers 1250 après JC, lorsqu’une rébellion indigène a réussi à expulser les Vikings, soit plus tôt, une fois qu’elle avait atteint son véritable objectif.

Le temple nordique de Tacuati mis au jour dans les années 1970 présente un intérêt supplémentaire dans la région et le fait que le total des inscriptions runiques gravées au Paraguay se compte par milliers et dépasse celui de toute la Scandinavie : 71 ont été traduits du dialecte sud-américain de Futhorc. . Une inscription runique de 5 lettres a été trouvée à l’intérieur d’Itaguambype mais a défié la traduction.

700 ans plus tard – Fritz Berger enquête

Fritz Berger était un ingénieur mécanicien de 50 ans, originaire de ce qui était alors les Sudètes. Il a admis qu’il souffrait de troubles mentaux de temps à autre. Il a erré en Amérique du Sud en faisant des petits boulots, et pendant la guerre du Chaco entre le Paraguay et le Brésil en 1932-1935 a servi l’armée paraguayenne dans l’un de leurs ateliers en reconditionnant les armes ennemies capturées. De 1935 à 1940, il a déclaré qu’il avait prospecté sans succès pour des gisements de pétrole dans l’État brésilien du Paraná, mais plus probablement au cours de cette période, il a recueilli les informations menant à l’enquête qui a suivi.

En février 1940, Berger a traversé le Paraguay au poste frontière de Pedro Juan Caballero et a contacté l’armée du Paraguay. Simplement à la suite de ce qu’il leur a dit, ils ont accepté de former avec lui une société connue sous le nom d’Agrupación Geológica y Archaeológica (AGA). Une clause de l’accord stipulait que le trésor appartenait au Paraguay. Le signataire paraguayen était le major Samaniego, plus tard le ministre paraguayen de la Défense.

Représentation d’un chef Viking et de ses hommes se dirigeant vers la terre

Au cœur de ce contrat se trouvait la Légende du Roi Blanc d’Amambay. La tradition raconte :

« A cette époque régnait dans cette région un roi puissant et sage appelé Ipir. Il était blanc et portait une longue barbe blonde. Avec des hommes de sa race et des guerriers indiens qui lui étaient fidèles, il vivait dans une communauté située sur la crête d’un montagne. Il possédait des armes redoutables et possédait d’immenses richesses en or et en argent. Un jour pourtant, il fut attaqué par des tribus sauvages et disparut à jamais. C’est ce que m’a dit mon père, qui l’avait entendu de son père.

Le lecteur doit noter ici que le roi Ipir n’a jamais été identifié et que ses partisans ont « disparu » et rien n’indique qu’ils ont été massacrés.

Berger avait une correspondante à Munich à qui il écrivait occasionnellement pour décrire les développements au Paraguay, peut-être pour les transmettre au gouvernement allemand, et des copies de ces lettres passèrent en possession de de Mahieu beaucoup plus tard pour être incluses dans son livre. En mai 1940, Berger a écrit à Munich en mentionnant qu’il connaissait des tunnels dans la région de Cerro Corá « 130 kilomètres de long » (81 mi). En octobre 1941, il avait dressé un plan des installations souterraines et des croquis de quatre tunnels, comprenant des mesures minutieuses mais des informations insuffisantes pour identifier les emplacements des différentes entrées.

La mystérieuse montagne chauve et la dalle impénétrable

Un autre jour de 1940, sur la base d’informations mystérieuses qu’il a probablement apportées avec lui du Brésil, Berger « a remarqué » un grand rocher de quarante mètres (131 pieds) de hauteur dans la direction de dix kilomètres (6 mi) au sud-sud-est de Cerro Cora. Le rocher était en deux parties et recouvert d’une végétation dense à mi-hauteur. Pour cette raison, les indigènes l’appelaient Yvyty Pero – « Montagne chauve ».

Les raisons secrètes de Berger pour vouloir creuser là-bas ont convaincu le major Samaniego d’installer un campement militaire permanent avec des maisons en bois à moins de vingt mètres (66 pieds) du mont Chauve, et il a également rebaptisé la chaîne de collines « Cerro Ipir ». Une fois que ses sapeurs ont commencé à creuser, à leur grande surprise, ils auraient trouvé « un morceau d’or de forme triangulaire, qui semblait être le coin cassé d’une table » et « un bâton de marche avec une tête en or ».

Ensuite, la saison des pluies s’installe, entravant la progression par les inondations : l’excavation est suspendue une fois que tous les explosifs disponibles n’ont pas pu endommager une grande dalle de béton armé rencontrée au niveau du sol de la montagne à dix-huit mètres (59 pieds) de profondeur. À ce stade, de Mahieu nous laisse deviner ce qui s’est passé ensuite dans l’année allant de « fin 1941 » à « fin 1942 », au cours de laquelle le Troisième Reich s’est impliqué et semble avoir accepté d’envoyer au Paraguay un type spécial de perceuse pneumatique. Nous le savons parce qu’en novembre 1942, des agents américains ont signalé à leur attaché naval à Montevideo l’arrivée d’un sous-marin allemand à la base navale argentine de Bahia Blanca et cela a coïncidé avec la visite inexpliquée du major Pablo Stagni, commandant en Chef de l’armée de l’air paraguayenne,

Suite à cette « coïncidence », selon Berger, en décembre 1942, les travaux à Bald Mountain ont repris. Les sapeurs paraguayens ont travaillé obliquement dans le flanc de la montagne pour se connecter au puits vertical. À 23 mètres (75 pieds), ils ont de nouveau rencontré l’énorme dalle de béton, qui ne pouvait même pas être rayée par la perceuse ou les explosifs et était maintenant décrite comme « un matériau définitivement artificiel plus dur que le béton armé et inconnu de la science ». Après que d’autres tentatives en 1944 aient été déjouées pour la même raison, les fouilles ont été abandonnées. Fritz Berger est mort au Brésil en 1949. Cette partie d’Amambay est aujourd’hui inaccessible en tant que zone militaire.

Conclusion

Ainsi, pour lier cette théorie, en utilisant la légende, les preuves runiques possibles et l’implication nazie, bien avant le 11ème siècle, le riche et puissant roi blanc Ipir et ses disciples, inconnus des historiens du monde, habitaient la crête de la forteresse de montagne Itaguambype . Lorsqu’ils ont été attaqués par une force écrasante d’indigènes, Ipir et sa cour se sont retirés en sécurité sous le mont Chauve. Peut-être que les Vikings ont été envoyés à Amambay plus tard pour protéger et superviser l’installation du toit et des côtés en béton impénétrables au-dessus du portail sous le mont Chauve.

Ce qui est intéressant dans cette histoire, c’est que tous les acteurs principaux cachent quelque chose. Tous les historiens et scientifiques universitaires, certains sciemment, adhèrent au mensonge apparent selon lequel aucun Européen n’a atteint l’Amérique du Sud avant Colomb en 1492. Par conséquent, « aucun Viking n’aurait pu être là ». Fritz Berger n’a jamais révélé la source de ses informations sur le mont Chauve et le réseau de tunnels s’étendant à travers le pays, mais lorsqu’il est entré au Paraguay depuis le Brésil, il savait exactement où il allait, tout comme l’armée paraguayenne.

Représentation des premiers Vikings arrivant dans les Amériques

L’auteur, l’anthropologue/archéologue Jacques de Mahieu, un hors-caste de la fraternité scientifique pour avoir été officier dans la division française Waffen-SS, a peut-être révélé beaucoup d' »histoire cachée », ils préféreraient qu’il ne l’ait pas mentionné. Des décennies après la guerre, le serment SS qu’il avait prêté le liait, et il y avait encore des secrets officiels allemands sur lesquels il était obligé de garder le silence. Par conséquent, dans son livre, il a omis toute mention de l’année 1942 et des détails sur l’origine du marteau pneumatique.

Le Troisième Reich était au milieu d’une guerre majeure, qu’il risquait déjà de perdre. Son issue dépendait de la bataille de l’Atlantique, mais ils pouvaient épargner un sous-marin pour faire un détour par l’Argentine avec un marteau pneumatique pour une fouille archéologique au Paraguay. Probablement qu’ils ne se souciaient pas de deux huées pour le roi Ipir et donc leur intérêt était dans deux choses :

(i) Ils avaient besoin de la plus petite puce du toit et des murs en béton réputés impénétrables du refuge souterrain pour une analyse scientifique afin d’obtenir la formule.

(ii) Ils avaient besoin de savoir où menait le tunnel sous Bald Mountain ? La montagne était-elle l’un des portails du monde Vril ou similaire ?


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Réécrire l’histoire d’un héro méconnu :le lieutenant Saburo Sakai,le dernier vrai samuraï

Une pause caractéristique du grand samouraï Sabuto Sakai.

 

Saburo Sakai est né le 16 août 1916 dans le village agricole de Nishiyoka dans la préfecture de Saga sur l’île de Kyushu, au Japon. Il venait d’une famille issue d’une longue lignée de samouraïs, l’ancienne classe de guerriers du Japon. Enseigné à vivre selon le code du Bushido (Hagakure – le code du samouraï), qui signifiait servir les seigneurs de Saga et vivre votre vie prêt à mourir. Sakai, le troisième né de quatre fils, avait 3 sœurs. Son père est mort quand il avait onze ans, laissant sa mère seule pour élever sept enfants dans une ferme d’un acre. Il avait un oncle qui travaillait pour le ministère des Communications qui lui proposa de l’adopter et de lui offrir une meilleure éducation. Sakai n’était cependant pas préparé au changement car bien qu’il soit toujours au sommet de sa classe à la maison, sa nouvelle école s’est avérée être hors de sa ligue. L’éducation étant toujours prise très au sérieux au Japon, il est rapidement devenu le «mouton noir» de sa nouvelle classe. Cela a fait honte à la famille et son oncle a été très déçu. Saburo a passé tout l’été à étudier à essayer de rattraper son retard, mais c’était futile. Il a commencé à traîner avec des enfants que son oncle n’approuvait pas et à se battre avec des garçons plus grands. L’éducation étant toujours prise très au sérieux au Japon, il est rapidement devenu le «mouton noir» de sa nouvelle classe. Cela a fait honte à la famille et son oncle a été très déçu. Saburo a passé tout l’été à étudier à essayer de rattraper son retard, mais c’était futile. Il a commencé à traîner avec des enfants que son oncle n’approuvait pas et à se battre avec des garçons plus grands. L’éducation étant toujours prise très au sérieux au Japon, il est rapidement devenu le «mouton noir» de sa nouvelle classe. Cela a fait honte à la famille et son oncle a été très déçu. Saburo a passé tout l’été à étudier à essayer de rattraper son retard, mais c’était futile. Il a commencé à traîner avec des enfants que son oncle n’approuvait pas et à se battre avec des garçons plus grands que lui.
Soleil levant par Robert Taylor

 

Oui, le jeune Saburo Sakai commençait à faire sa marque en tant que combattant. Malheureusement, son école n’a pas été aussi impressionnée que moi et ils ont envoyé un mot à son oncle qui l’a rapidement renvoyé chez lui en disgrâce. Cela a fait une grande honte non seulement à Saburo et à sa famille, mais aussi à tout le village. «Je savais que je devais quitter mon village. Je ne pouvais plus y rester, alors je me suis enrôlé dans la marine à l’âge de seize ans. C’était en mai 1933. Je me suis présenté à la base navale de Sasebo pour l’entraînement, qui était à environ 90 kilomètres de mon village, mais assez loin pour moi. « 

Aussi difficile que la vie ait été de grandir sans père sous le code de Hagakure, ce n’était pas assez difficile de le préparer à la brutalité de sa formation de base. Les recrues ont été sévèrement battues avec des bâtons de rotin pour la moindre infraction perçue. « Je me souviens parfois de m’évanouir à cause des coups. Le corps et l’esprit ne peuvent supporter que tant de punitions ». Quand une recrue s’évanouissait, ils lui jetaient de l’eau froide pour le ranimer. Il n’était pas rare que les sous-officiers tirent un homme de sa couchette au milieu de la nuit et lui lancent des coups. Si un homme criait, on lui donnait plus de «discipline». Dit Sakai – « Nous devions souffrir en silence. Période ». La pression des pairs était considérée comme le meilleur remède pour corriger les «erreurs». Ainsi, lorsqu’une recrue se trompait, elle payait toutes. «Bien qu’il y en ait eu qui étaient sadiques, il y avait une méthode dans toute cette folie. Cela nous a rendus durs comme des clous, et au combat c’est souvent le facteur décisif. Après les six premiers mois, nous avons été complètement automatisés à notre manière. Nous n’avons pas osé, ou même pensé à remettre en question les ordres ou l’autorité, aussi ridicule que soit l’ordre.  » Voulant améliorer son statut dans la vie, Saburo étudia longuement et durement et, en 1935, il réussit l’examen d’entrée à la Naval Gunnery School.


Aussi,les jeunes hommes recrutés dans les écoles qui commenceraient leur carrière en tant que pilotes, semblable à votre programme ROTC aujourd’hui. La sélection des pilotes était très stricte; les hommes choisis en 1937 lors de ma sélection étaient d’une race différente. Les hommes sélectionnés pour voler en 1944-1945 n’auraient même pas été qualifiés pour pomper du carburant dans mon avion à ce moment-là, si cela vous montre à quel point le programme était sélectionné. Je me souviens que 1 500 hommes avaient postulé pour une formation, et soixante-dix avaient été sélectionnés cette année-là. J’étais l’un d’entre eux et tous étaient des sous-officiers de la flotte. Cela n’inclut pas les enseignes provenant de l’académie; ils avaient leur propre processus de sélection. Cette année-là, je ne pense pas que des recrues civiles aient été choisies, mais cela changerait à mesure que la guerre avec l’Amérique se poursuivrait. J’avais vingt ans; Je savais que mon acceptation à l’école de pilotage rejetait mon déshonneur précédent, et mon oncle et ma famille étaient si fiers de moi. Le village tout entier était fier de moi. Je savais que c’était ma plus grande et dernière chance, et quand j’ai fait rapport à Tsuchiura, j’ai su que c’était un monde complètement différent. « 

« En 1936, il a commencé la formation au pilotage. Après l’obtention de notre diplôme, «Nous avons suivi une formation supplémentaire sur les atterrissages de porte-avions terrestres et aériens dans les bases navales d’Oita et d’Omura à Kyushu, et le vol aux instruments était fortement sollicité. Cela ne peut être sous-estimé, car cela m’a sauvé la vie en 1942, je peux vous le dire. l’entraînement a duré trois mois, même si je n’ai jamais volé d’un porte-avions pendant la guerre. Ensuite, j’ai été envoyé à Formose (Taiwan) où nous avions une base à Kaohsiung. Ensuite, j’ai été envoyé dans le sud-est de la Chine et en mai 1938 j’ai eu mon premier combat. « 

Le 8 décembre 1941, quelques heures seulement après Pearl Harbor, Sakai a piloté l’un des 45 Zero de l’escadron Tainan qui a attaqué l’aérodrome de Clark aux Philippines. «Nous avons commencé notre journée à 2 h 00. Notre décollage a été ordonné par le commandant Saito, mais un brouillard est arrivé et nous avons été retardés. Nous sommes restés avec nos avions en attente et avons pris le petit déjeuner. Nous avons reçu la nouvelle de l’attaque de Pearl Harbor. et les Aléoutiennes, et nous nous demandions si les Américains allaient nous attendre lors de notre attaque. »Finalement, à 10 h, nous avons reçu l’ordre de décoller. La mission a mal commencé lorsqu’un bombardier s’est écrasé au décollage, tuant tout l’équipage. Nous avons décollé et avons atteint 19 000 pieds lorsque j’ai vu une formation de bombardiers américains se diriger vers notre aérodrome. Les Américains ont toujours eu une grande reconnaissance et savaient où nous étions. Nos ordres en tant que couverture supérieure des chasseurs étaient d’attaquer tout avion venant vers la base, nous avons donc attaqué et permis aux autres de continuer. Puis nous avons vu que ces avions étaient des bombardiers de l’armée japonaise sur un vol de routage, et personne n’avait informé la marine qu’ils venaient ou même dans la région. C’était presque tragique. Nous nous sommes réformés et avons continué. Lorsque nous sommes arrivés au-dessus de Clark Field, nous avons été étonnés de ne pas avoir été interceptés, même s’il y avait cinq combattants américains en dessous de nous qui n’ont pas attaqué, et nous n’avons pas pu; nos ordres étaient de ne pas engager jusqu’à ce que tous nos bombardiers soient dans la région. et nous ne pouvions pas; nos ordres étaient de ne pas engager jusqu’à ce que tous nos bombardiers soient dans la région. et nous ne pouvions pas; nos ordres étaient de ne pas engager jusqu’à ce que tous nos bombardiers soient dans la région.
J’ai également été étonné que tous les avions américains soient parfaitement alignés pour une attaque, et nous avons mitraillé et bombardé, et avons complètement détruit tout.
Après que les bombardiers aient détruit la base, j’ai vu deux B-17 et je me suis lancé dans une attaque au mitraillage.

La légende de Colin Kelly par Robert Taylor

Nous avions déjà largué nos réservoirs de carburant externes vides, et nous sommes entrés avec des canons enflammés. Mes deux escadrons et moi les avons abattus, et alors que nous sortions les cinq P-40 que nous avions vus, nous avons sauté. C’était mon premier combat contre les Américains, et j’en ai abattu un. Nous en avions détruit quatre en l’air et trente-cinq au sol. C’était ma troisième victoire aérienne, et la première américaine, mais pas la dernière. J’ai volé en mission le lendemain, et le temps était terrible, une tempête de pluie qui nous a aveuglés. Le troisième jour était le 10 décembre et nous avions vingt-sept combattants sur ce balayage, et c’est à ce moment-là que j’ai attrapé un B-17 piloté par le capitaine Colin P. Kelly. C’était le premier B-17 abattu pendant la guerre. « 

Blessé et de retour de mission …réussie,Sabuto Sakai devient un héro national.

Le Japon a détruit la plupart des forces aériennes alliées dans le Pacifique en quelques mois seulement et l’escadron Tainan de Sakai est devenu connu pour avoir détruit le plus d’avions alliés de l’histoire de l’aviation militaire japonaise.

Surprise de Saburo par Marii Chernev

Le 7 août 1942, 18 Zeroes reçurent l’ordre d’attaquer Guadalcanal (voir bas de page). La portée de Rabaul était de 560 miles, à peine à portée des chasseurs Zero.Sakai a abattu 3 F4F dans cette bataille, puis a trouvé 8 avions ennemis au loin, qu’il présumait également être des F4F … il avait tort.
C’étaient des bombardiers en piqué SBD Dauntless, avec des mitrailleurs arrières enthousiastes. Le Zero de Sakai est devenu la cible de 16 armes à feu. Néanmoins, Sakai a abattu 3 SBD avant d’être touché au front par une balle qui a presque aveuglé son œil droit et l’a laissé quelque peu paralysé. Il a survécu, volant 4 heures et près de 600 milles de retour à Rabaul. Il avait à peine la vue mais a pu faire atterrir son avion. Au moment où il a atterri, son réservoir d’essence était vide.

Sakai a repris le combat aérien, mais sa mauvaise vue lui a causé des ennuis. Le 24 juin 1944, il s’approche de 15 avions qu’il pensait être des Zéros, mais qui étaient des chasseurs Grumman F6F Hellcat de l’US Navy. Dans une poursuite de haut vol devenue légendaire, Sakai a échappé à toutes les attaques de 15 Hellcats pendant plus de 20 minutes, retournant à la base intacte.

Un sourire contagieux.

 

 

Voici une histoire intéressante …
Il y a plusieurs années, une ancienne infirmière militaire néerlandaise a contacté l’armée japonaise, tentant de localiser un pilote de chasse japonais qui lui avait épargné la vie au-dessus de la Nouvelle-Guinée en 1942. Elle volait dans un C-47 militaire néerlandais à basse altitude au-dessus d’une jungle dense. À bord se trouvaient 11 soldats blessés et 6 enfants évacués d’une zone de combat. Soudain, un Zero japonais est apparu à côté de l’avion. Il n’est pas difficile d’imaginer leur panique alors qu’elle et les enfants ont commencé à agiter frénétiquement, dans l’espoir de conjurer une attaque. Après quelques instants de terreur, le pilote du Zero a fait un signe de la main en arrière, a fait un rapide vacillement de l’aile et s’est envolé. Le C-47 a éclaté de joie.
Depuis plus de cinquante ans, cette infirmière hollandaise a voulu rencontrer le pilote qui avait épargné leur vie. L’armée japonaise a localisé ce pilote et ce n’était nul autre que Saburo Sakai, qui avait effectué une patrouille aérienne de combat ce jour-là. Sakai avait pensé à abattre le C-47 pendant un moment, comme c’était à l’ordre du jour, mais en voyant les mains agitées et les visages terrifiés, il fut ému de miséricorde.
Voici comment Saburo le raconte dans l’une de ses dernières interviews réalisées pour le jeu vidéo « Combat Flight Simulator 2 » de Microsoft:

À travers l’une des fenêtres rondes, j’ai vu une femme blonde, une mère avec un enfant d’environ trois ans. Alors j’ai pensé que je ne devais pas les tuer. Enfant, je suis allé dans un collège pendant deux ans, une école dont j’ai été expulsé plus tard. Pendant que j’étais là-bas, un Américain, M. Martin, m’a enseigné et sa femme est venue dans la classe pour nous enseigner pendant que son mari ou les autres professeurs étaient absents. Elle était gentille avec moi. Et cette femme dans l’avion ressemblait à Mme Martin. Alors j’ai pensé que je ne devais pas les tuer. J’ai donc volé devant le pilote et lui ai fait signe d’aller de l’avant. Puis les gens dans l’avion ont salué. Le pilote m’a salué ainsi que les passagers. Je ne savais pas où cela allait: soit aux États-Unis, soit en Australie. Je n’ai pas pu le découvrir. Mais il y a quelques années, je suis venu pour savoir où cet avion était allé – de retour en Hollande. Des journalistes de Hollande sont venus me rendre visite pour savoir si c’était vrai. Bon, de toute façon, je n’ai pas respecté mes ordres ce jour-là mais je pense toujours que j’ai fait la bonne chose. On m’a ordonné d’abattre n’importe quel avion, mais je ne pouvais pas vivre avec moi-même en faisant cela. Je croyais que nous devions mener une guerre contre les soldats; pas des civils.  » Je ne sais pas où il est allé: soit aux États-Unis, soit en Australie. Je n’ai pas pu le découvrir. Mais il y a quelques années, je suis venu pour savoir où cet avion était allé – de retour en Hollande. Des journalistes de Hollande sont venus me rendre visite pour savoir si c’était vrai. Bon, de toute façon, je n’ai pas respecté mes ordres ce jour-là mais je pense toujours que j’ai fait la bonne chose. On m’a ordonné d’abattre n’importe quel avion, mais je ne pouvais pas vivre avec moi-même en faisant cela. Je croyais que nous devions mener une guerre contre les soldats; pas des civils.  » Je ne sais pas où il est allé: soit aux États-Unis, soit en Australie. Je n’ai pas pu le découvrir. Mais il y a quelques années, je suis venu pour savoir où cet avion était allé – de retour en Hollande. Des journalistes de Hollande sont venus me rendre visite pour savoir si c’était vrai. Bon, de toute façon, je n’ai pas respecté mes ordres ce jour-là mais je pense toujours que j’ai fait la bonne chose. On m’a ordonné d’abattre n’importe quel avion, mais je ne pouvais pas vivre avec moi-même en faisant cela. Je croyais que nous devions mener une guerre contre les soldats; pas des civils.  » Mais il y a quelques années, je suis venu pour savoir où cet avion était allé – de retour en Hollande. Des journalistes de Hollande sont venus me rendre visite pour savoir si c’était vrai. Bon, de toute façon, je n’ai pas respecté mes ordres ce jour-là mais je pense toujours que j’ai fait la bonne chose. On m’a ordonné d’abattre n’importe quel avion, mais je ne pouvais pas vivre avec moi-même en faisant cela. Je croyais que nous devions mener une guerre contre les soldats; pas des civils.  » Mais il y a quelques années, je suis venu pour savoir où cet avion était allé – de retour en Hollande. Des journalistes de Hollande sont venus me rendre visite pour savoir si c’était vrai. Bon, de toute façon, je n’ai pas respecté mes ordres ce jour-là mais je pense toujours que j’ai fait la bonne chose. On m’a ordonné d’abattre n’importe quel avion, mais je ne pouvais pas vivre avec moi-même en faisant cela. Je croyais que nous devions mener une guerre contre les soldats; pas des civils.  » t respecter mes commandes ce jour-là mais je pense toujours que j’ai fait la bonne chose. On m’a ordonné d’abattre n’importe quel avion, mais je ne pouvais pas vivre avec moi-même en faisant cela. Je croyais que nous devions mener une guerre contre les soldats; pas des civils.
6M2 Zero de Saburo Sakai par Benjamin Freudenthal *
Le 7 août 1942, Sakaï quitte Rabaul (arrière-plan) pour une longue mission à Guadalcanal

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Après 7 ans et quelque 200 missions de combat entraînant environ 64 (certaines sources vont aussi bas que 20) tués, Saburo Sakai a volé sa dernière le 17 août 1945 (le Japon s’est rendu le 14 août 1945, annoncé publiquement le 15). «J’ai eu une chance de combattre les formations B-29, et je dois dire que leur vitesse et leur altitude étaient incroyables, et leur tir défensif était très précis et lourd. J’ai aidé à la destruction d’un bombardier qui s’est écrasé dans l’océan. La mission a été lancée après qu’on nous ait ordonné de nous retirer et de nous rendre, donc cela n’est jamais entré dans les registres officiels, mais les registres de l’USAF ont enregistré la perte sur la baie de Tokyo.

Saburo Sakai était en effet un As, abattant 64 avions alliés, et surtout, ne perdant jamais un ailier dans plus de 200 missions. Il a subi des blessures, mais a toujours ramené son avion à la maison. Après la Seconde Guerre mondiale, les écrits de Sakai décrivaient la cruelle réalité de la guerre et du combat. À partir de son livre « Samurai », il a continué à écrire et à donner des conférences sur le leadership en se basant sur son expérience.

Le 22 septembre 2000, il a assisté à une fête à la base militaire américaine d’Atsugi. Il a dîné, mais s’est senti malade et a été emmené à l’hôpital. Au cours de divers examens, Sakai a demandé au Docteur « Puis-je dormir maintenant? » et son docteur a répondu « Oui, vous pouvez dormir pendant que nous procédons ». Saburo Sakai ferma les yeux et ne les rouvrit plus jamais. Le légendaire As des as du Japon était décédé à l’âge de 84 ans.

l’autographe de Saburo (côté gauche de l’image) et la devise (à droite) peints par lui. La devise se lit à peu près – « Ne jamais abandonner »

Photo prise lors d’un retour de mission…Saburo n’était pas trop amusé…peut-être !

Saburo Sakai – 16 août 1916 – 22 septembre 2000

 

 

 

 

Réécrire l’histoire:L’expulsion des Allemands ethniques …un génocide tenu secret

La photo de la honte raciste
14 décembre 1945: Blottis dans des couvertures, les seuls survivants des 150 Polonais d’origine qui ont marché de Lodz en Pologne à Berlin dans l’espoir de trouver de la nourriture et un abri. Ils attendent sur une voie ferrée dans l’espoir d’être pris en charge par un train de l’armée britannique et d’être aidés.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

En cette année 2021,nous venons d’assister à la plus frauduleuse élection de l’histoire américaine et avec l’arrivée du candidat-marionnette  qu’est Joe Biden,le pédophile,il faudra un jour,dans le futur,réécrire aussi cette histoire empreinte de fourberies,de mensonges et de fraudes politiques.

Cette histoire corrompue et manipulée:c’est la nôtre!Sachez bien  mes ami(e)s que je ne cautionne pas du tout  et pour  aucune raison,le « meilleur ami qu’Israël n’aura jamais eu »!

Donald Trump est un juif ,politiquement à droite, d’origine allemande (dont l’ancêtre était un juif khazare) et Joe Biden est un juif  de gauche,un pédophile confirmé (ainsi que son fils Hunter),associé aux satanistes,aux Clinton et aux Obama.

Pendant  qu’en France,Emmanuel Macron,le petit banquier des Rothschild,essaie de modifier le paysage politique vers la dictature,au Québec,nous croupissons sous les ordonnances de confinements sanitaires  qui sont illégitimes et qui ont des odeurs de totalitarisme certain…j’en profite pour vous montrer comment on démonise un peuple pour pouvoir plus facilement l’éliminer.Au Canada,on a ,depuis des générations. démonisé le peuple québécois pour tenter de le noyer par la suite,dans une vague d’immigration  anglophone et musulmane.

Je vous présente aujourd’hui ,la méthode archaïque mais très performente utilisé par les pseudo-vainqueurs de la Deuxième Guerre Mondiale pour éliminer le peuple allemand de la surface de cette planète:

Zones peuplées par les germanophones en Europe centrale et orientale dans la première moitié du xxe siècle.

 

 

 

En 1914, 2.416.290 civils allemands vivaient en Russie. Au début de la Première Guerre mondiale, une vague d’hostilité a commencé, surtout après l’adoption des lois de liquidation en 1915.

Après la révolution bolchevique du 25 octobre 1917, les Allemands de souche de l’ancien empire tsariste ont été soumis à une campagne organisée de terreur: viols, noyades, tortures, incendies, mutilations, fusillades de masse et extermination.

Entre 1930 et 1937, les Allemands russes ont perdu un autre quart de leur population par meurtre, famine ou déportation. En 1941, Moscou a annoncé «l’évacuation» massive d’environ 440 000 agriculteurs allemands de la Volga vers les régions reculées de la Sibérie. La République allemande de la Volga a été dissoute et toute la population allemande a été déportée en Sibérie dans les camps de l’armée Trud, mais les plans génocidaires de Staline ont été presque applaudis dans le New York Times.

Avant la Seconde Guerre mondiale, environ 1,5 million de «Souabes du Danube» vivaient en Hongrie, en Roumanie et en Yougoslavie. Le résultat des morts de guerre, des expulsions, des meurtres, des décès dans les camps de travail et de l’émigration a entraîné une réduction des deux tiers de ce nombre. Sur plus d’un million de réfugiés qui se sont rendus en Allemagne et en Autriche, environ 250 000 ont émigré plus tard vers d’autres pays, notamment les États-Unis, le Canada, l’Australie, la France et les pays d’Amérique du Sud.

Réfugiés de Haute-Silésie, janvier 1945

Après la Seconde Guerre mondiale, l’importante population de souche allemande a été assassinée et expulsée lorsque, une fois rétabli à la direction par les Alliés, les programmes de «re-slovaque» de Benes ont commencé en 1945. Benes avait commencé à publier des décrets meurtriers depuis son exil sur la Tchécoslovaquie d’après-guerre dès Le 28 mars 1946, le Parlement tchèque provisoire a donné sa bénédiction post-facto à ces décrets où tous les civils allemands étaient présumés collectivement coupables et déchus de leur citoyenneté, leurs biens volés. Ils comprenaient la persécution et l’oppression les plus inhumaines et barbares des minorités humainement imaginables: déportations, expulsions, internements, verdicts des tribunaux kangourous, confiscation de biens et utilisation de camps de travaux forcés. Plus de trois millions et demi d’Allemands des Sudètes ont été brutalement expulsés de leurs maisons. Benes et ses cohortes,

Pratiquement tous les demi-millions d’Allemands en Yougoslavie ont fui, ont été assassinés ou expulsés en 1945, et des milliers ont été envoyés dans des camps d’esclaves. La violence contre les Allemands était probablement plus impitoyable que dans tout autre pays. Des villages entiers ont été incendiés et les Allemands massacrés. Il y avait 8 camps de la mort séparés où le génocide contre des civils allemands a eu lieu.

Le Traité de Versailles à la fin de la Première Guerre mondiale avait déjà préparé le terrain pour des violences qui ont gravement touché les communautés minoritaires allemandes d’Europe de l’Est. Même avant la fin de la Première Guerre mondiale, les nationalités en Autriche-Hongrie étaient avides d’indépendance et la France, la Grande-Bretagne et les États-Unis ont commencé à investir et à inciter. Avec la victoire alliée, l’Europe de l’Est a été découpée dans le but principal de détruire toute prospérité et croissance allemandes futures et d’empêcher l’Allemagne / l’Autriche de redevenir trop puissante.

Allemands expulsés du nord-ouest  de l’Allemagne en 1948

 

Les réfugiés allemands, 1946
Expulsés allemands à la gare de marchandises de Berlin-Pankow, 1946

 

Cette «réinstallation» de plus de 1,5 million de personnes pendant et après la Seconde Guerre mondiale équivaut au meurtre des Allemands de souche. De plus, l’Accord de Potsdam de 1945 autorisait chaque puissance d’occupation à rapatrier «ses propres citoyens» dans son pays. Cela a conduit à l’esclavage et au massacre massif par l’Armée rouge contre les Allemands de souche rapatriés de force de Russie qui avaient auparavant fui vers les régions allemandes pour se protéger. En 1949, plus d’un million d’Allemands de souche avaient péri en Russie.

Le dictateur communiste Staline et Khrouhtchev …durant un défilé militaire après la Deuxième Guerre Mondiale.

Khrouchtchev lui-même a admis plus tard que la famine de 1933 était «un acte de meurtre» de la part du gouvernement, et même en 1990, le Comité central du Parti communiste d’Ukraine a avoué que la famine avait été délibérément créée.

Les religieux allemands de la Volga ont été sévèrement persécutés. En 1918, il y avait à peine 1 621 000 Allemands vivants en Russie et en 1919, leurs pasteurs étaient envoyés dans des camps d’esclaves. Les réquisitions de 1917-1921 ont menacé l’existence des villages ukraino-allemands. À Kandel, Großliebental, Franzfeld, Josephtal et Landua, des centaines de personnes sont mortes de faim causée par la famine provoquée par l’homme et conçue par les bolcheviks pour les exterminer. Entre 1921 et 1923, la famine orchestrée a créé une grande émigration et la population allemande a diminué d’un autre quart. Au cours de cette famine massive, environ 10 000 enfants allemands de la Volga ont été enlevés de force à leurs parents avec des promesses de nourriture alors qu’en réalité ils ont été enlevés et envoyés à la mort. 350 000 Allemands en Russie et en Ukraine ont péri dans la prochaine famine arrangée de 1932-1933.

Entre 1945 et 1950, 11 730 000 à 15 000 000 Allemands ont fui et ont été expulsés de ces territoires orientaux de l’Allemagne, de la Tchécoslovaquie et d’autres pays d’Europe orientale; plus précisément, plus de 6,9 ​​millions des territoires orientaux de l’Allemagne, plus de 2,9 millions d’Allemands de la Tchécoslovaquie et plus de 1,8 à 4 millions d’autres parties de l’Europe de l’Est. Et en plus de l’expulsion forcée de ces 11,7 millions de personnes, 3,1 millions supplémentaires sont mortes ou «ont disparu» au cours du processus d’expulsion / liquidation. Il existe des charniers dans diverses régions qui, encore aujourd’hui, ne reçoivent aucune publicité. À l’été 1945, 20000 personnes faibles, confuses, affamées et sans-abri moururent chaque jour en Allemagne, et un an plus tard, au plus fort des expulsions en juillet 1946, 14 400 personnes par jour étaient encore déversées sur la frontière dévastée et affamée dans une Allemagne qui avait été réduite à une taille plus petite qu’elle ne l’était au 11e siècle. En URSS, plus de 75% des esclaves civils allemands travaillaient dans le secteur minier ukrainien et 11% dans l’Oural. En 1946, sur les «internés arrêtés» allemands, 39% sont morts et sur 875 000 civils allemands supplémentaires enlevés et transportés vers les camps, près de 50% ont péri.

L’évacuation des Allemands de Bessarabie en août 1940, conformément au pacte Hitler-Staline, après l’annexion de la Bessarabie par l’URSS.

 

En Slovaquie, les principales colonies allemandes étaient la région de Zips et la ville de Preßburg. En 1910, les Slovaques ne représentaient que 14,8% de sa population et Preßburg avait une ancienne histoire germanique et magyare et a été construit et rendu prospère au cours des siècles en grande partie par les Autrichiens. Commerçants et universitaires hongrois et allemands. Du jour au lendemain, il devint « Bratislava », un nom suggéré par Woodrow Wilson lui-même en mars 1919 après que l’Allemagne et l’Autriche aient perdu la Première Guerre mondiale. Alors que la « Slovaquie » devint semi-indépendante en 1919, les 180 000 Allemands des Carpates devinrent des citoyens de seconde zone du jour au lendemain, mais ils avaient au moins quelques droits minoritaires. Même les écoles allemandes ont été autorisées à rouvrir. En 1930, même après avoir tenté de «réapprovisionner» artificiellement la région en Slovaques, il y avait encore une population allemande de 31 000 habitants à Pressburg même et de 19 000 dans les environs. Le recensement tchécoslovaque de 1930 citait 154 821 Allemands de souche en Slovaquie. La plupart étaient alors des citoyens tchécoslovaques.

Quelques-uns sont restés, malgré tous les obstacles, et d’autres sont revenus après avoir été libérés de Sibérie. La relation entre la minorité d’Allemands survivants et de Slovaques s’est légèrement améliorée depuis. Certains Allemands des Carpates ont même récupéré 20% de leurs biens confisqués. La majorité, cependant, s’est réinstallée en Allemagne après la chute de l’Union soviétique.

Les civils allemands expulsés ont été internés dans des camps de concentration où beaucoup ont été assassinés par la famine intentionnelle et une maladie ignorée et incontrôlée. Le décret Benes n ° 115 du 8 mai 1946, toujours en vigueur, a déclaré que tous les actes contre les Allemands, jusqu’au viol et au meurtre d’enfants, étaient des «actes de représailles justifiés» qui ne pouvaient pas être poursuivis.

Les Allemands locaux des Carpates ont fui ou ont été tués dans des camps de la mort tels que Svaljava. Quelques 700 civils en  résidence ont été emmenés pour le travail d’esclave en Sibérie, les derniers n’ayant été libérés qu’en 1969. À la fin de 1946, après «évacuation», environ 24 000 Allemands de souche restaient encore en Slovaquie. Bien que la plupart des violences contre les civils allemands aient pris fin à la fin des années 40, la discrimination a abouti à l’assimilation.

Dans les régions d’Allemagne prises pour la Pologne en 1945, toute la population allemande de souche a été soit assassinée, expulsée, soit soumise à de sévères représailles à la fin de la guerre. Comme en Prusse orientale, dans toute la Poméranie, de Dantzig à Stettin en passant par Elbing et toutes les anciennes villes baltes allemandes, les bombardements catastrophiques alliés ont été suivis par la Terreur rouge. Les quelques Allemands survivants dans ces régions furent placés devant de violents comités de «vérification» dirigés par les communistes qui décidèrent de leur sort. Leur langue et leurs droits civils ont été immédiatement suspendus et de nombreux innocents ont subi des châtiments horribles. Des milliers sont morts en fuyant. Outre les camps polonais, au début de 1945, on estimait qu’environ 165 000 Allemands avaient été déportés vers l’Union soviétique à partir des territoires allemands annexés de facto par la Pologne.

Les Allemands de Silésie, dont certains avaient des racines dans ces régions remontant à des siècles, et qui avant la Seconde Guerre mondiale s’élevaient à environ 4 millions, ont été collectivement étiquetés partisans allemands et ont fui ou ont été assassinés, mis dans des camps, envoyés aux Goulags ou expulsés. Les Allemands ont été contraints de présenter des excuses publiques pour leur «culpabilité collective» lors de rassemblements sociaux et gouvernementaux. D’autres ont été envoyés dans des camps dans des conditions insupportables. Sur 8 064 Allemands du Camp Lamsdorf en Haute-Silésie, 6 488, dont des centaines d’enfants, sont morts de faim, de maladie, de travaux forcés et de mauvais traitements physiques, y compris la torture. Cela s’est répété par milliers. On estime que 90 000 civils sont morts lors de leur fuite de Breslau alors que l’Armée rouge envahissait la ville. Ceux qui ont été arrêtés ont été assassinés, envoyés au Goulag ou placés dans des camps de concentration.

La première et la deuxième «Yougoslavie» furent la création des dirigeants français, britanniques et américains victorieux en 1919 à Versailles. Dans le premier État yougoslave de 1919-1941, environ un demi-million d’Allemands de souche vivaient parmi 14 millions de personnes. Après l’éclatement de la Yougoslavie en avril 1941, environ 200 000 Allemands de souche devinrent citoyens du nouvel État de Croatie, tandis que la plupart des quelque 300 000 Allemands de souche restants dans d’autres régions relevaient de la juridiction de la Hongrie.

À la fin de la guerre en mai 1945, les autorités allemandes avaient évacué 220 000 Allemands de souche yougoslave vers l’Allemagne et l’Autriche. Les quelque 200 000 Allemands de souche laissés dans leur patrie ancestrale sont devenus les captifs des communistes. Après Noël 1944, entre 27 000 et 30 000 Allemands de souche (âgés de 18 à 40 ans) ont été envoyés en URSS depuis la Yougoslavie, les hommes constituant 90% du groupe. La plupart ont été envoyés dans des camps de travail dans le Donbass où 16% d’entre eux sont morts. Quelque 63 635 civils allemands de souche yougoslave ont péri sous le règne de terreur brutal yougoslave entre 1945 et 1950, la plupart à la suite de travaux forcés, de purges ethniques ou de maladies et de malnutrition sévère.

Les communistes yougoslaves ont confisqué ce qui se traduirait aujourd’hui par douze milliards de dollars de propriétés allemandes (97 490 fermes, magasins, usines) et un million d’acres de terres allemandes.

Parmi les Allemands de souche danubienne qui ont servi dans l’armée allemande (beaucoup n’avaient pas le choix), plus de la moitié ont péri après la fin de la guerre dans les camps yougoslaves, y compris environ 150000 des soldats qui s’étaient rendus aux autorités militaires britanniques lors de l’armistice du 8 mai 1945 et ont été livrés aux partisans communistes yougoslaves! Plus de 7 000 soldats allemands capturés sont morts dans des «marches d’expiation» de 800 milles commandées par les communistes depuis la frontière sud de l’Autriche jusqu’à la frontière nord de la Grèce et de nombreux soldats allemands en captivité à la fin de l’été 1945 ont été jetés vivants dans de grandes fosses et exécutés. Enfin, dans les dix années qui suivirent 1945, 50 000 autres périrent de malnutrition et d’épuisement, travaillèrent à mort comme esclaves de la Yougoslavie.

 

Le territoire des Sudètes

À la fin de la Grande Guerre, l’Autriche-Hongrie a été dissoute, les limites finales révisées de la Hongrie ont été formées en juin 1920. La Tchécoslovaquie est devenue un nouveau pays découpé dans l’ancien territoire hongrois et dans les zones historiques allemandes des Sudètes, où la colonisation allemande avait commencé avant le 13ème siècle. La nouvelle Yougoslavie a gagné des terres dans le sud de la Hongrie, y compris une bande du Banat occidental. La Roumanie a déclaré l’unité avec une partie du Banat et de la Transylvanie. Le démembrement du Royaume hongrois vieux de 1 000 ans a fait perdre à la Hongrie 71,5% de son territoire et 63,6% de sa population lors du « Traité de paix » de Trianon en 1920. En vertu de ce traité, trois millions et demi de Hongrois ont été forcés, sans droit à l’autodétermination, de vivre avec des Serbes, Croates, Slovènes et Roumains dans certaines régions et dans la nouvelle Tchécoslovaquie.

Tous ont hérité d’un grand nombre d’Allemands de souche. Des millions d’Allemands qui ont pu partir. Les villageois souabes dont les familles vivaient en Hongrie depuis 200 ans se sont soudainement retrouvés dans trois pays différents. Entre les guerres, le mode de vie des Allemands ruraux est resté quelque peu normal, mais cela a radicalement changé après la Seconde Guerre mondiale.

La Hongrie et la Roumanie se sont d’abord rangées du côté de l’Allemagne, puis ont changé de camp. Des milliers d’Allemands se sont échappés immédiatement dans des convois tirés par des chevaux alors que les Soviétiques prenaient le contrôle de ces pays. En Hongrie, les terres appartenant aux Allemands ont été immédiatement saisies par le gouvernement et les Allemands «non magyarisés» ont été exécutés ou expulsés comme traîtres. Les expulsions ont eu lieu en 1946 et 170 000 Allemands ont été envoyés dans la zone américaine de l’Allemagne de l’Ouest et des milliers  sont portés disparus depuis lors.

La Tchécoslovaquie, bien qu’elle ait promis de garantir les droits des minorités nationales sous la protection de la Société des Nations en 1918, ne l’a jamais fait au cours de ses vingt premières années. Au lieu de cela, des millions d’Allemands et de Hongrois de souche ont été victimes, harcelés, outrageusement taxés et privés de leurs droits civils. Les terres allemandes et hongroises ont été confisquées par le gouvernement tchèque sans compensation et réparties entre les colons tchèques et slovaques et les recensements ont été truqués pour assurer une majorité. L’intolérance tchèque sous cette première « République » tchécoslovaque avait fait de la vie une misère infernale pour ses minorités et ces conflits astucieusement créés ont conduit directement à la Seconde Guerre mondiale

La deuxième « République » tchécoslovaque, construite artificiellement, a été encouragée par l’assistance et l’approbation étrangères qu’elle a reçues malgré les décrets mégalomane et xénophobe de Benes qui ont substitué à la coexistence autrefois harmonieuse des peuples tchèque, allemand, slovaque et hongrois la brutalité, le déni des droits fondamentaux de l’homme , vol et meurtre.

Les premiers Allemands de Transylvanie, les « Sasi », étaient venus en Roumanie au XIIe siècle. En janvier 1945, 100 000 Allemands de souche (femmes âgées de 18 à 30 ans et hommes âgés de 17 à 45 ans) ont été envoyés en esclavage en Union soviétique depuis la Roumanie. 10% sont morts dans les camps ou dans les transports. Sur 298 000 Allemands de souche à Siebenbuergen en 1941, 50 000 ont tout simplement disparu. En 1945, 30 000 personnes ont été envoyées aux travaux forcés en Ukraine et dans d’autres régions. Les civils allemands restants ont été dépouillés de toutes les usines, machines, entreprises, banques, fermes, champs, forêts, vignobles et propriétés. Ils ont été victimes de discrimination, violemment réprimés, privés du droit de vote et privés de leurs biens, églises et droits de vote.

L’ordonnance secrète 7161 (décembre 1944) du Comité de défense de l’État de l’URSS a rendu possible l’internement de tous les Allemands adultes de Roumanie, de Yougoslavie, de Hongrie, de Tchécoslovaquie et de Bulgarie. Mis à part l’expulsion et le nettoyage ethnique sans précédent de millions de Prussiens, dont 3 millions sont morts dans le processus, entre 1944 et 1947, tous les autres Allemands de souche d’Europe de l’Est ont été expulsés. Avec le début de la guerre entre l’Allemagne et l’Union soviétique, au moins 900 000 Allemands de souche ont été expulsés de la République allemande autonome de la Volga et d’autres régions de l’Union soviétique. La Sibérie, l’Oural et le Kazakhstan étaient les zones d’expulsion. En outre, environ 300 000 réfugiés ont été « rapatriés » de force après la guerre.

Plus de 500 000 civils allemands des régions de l’Oder-Neiße (Silésie, Haute-Silésie, Poméranie orientale, Brandebourg oriental, Prusse orientale et occidentale) et Pologne, quelque 10 000 du centre de l’Allemagne, 30 000 Allemands des Sudètes et 16 000 civils du sud-est L’Europe a perdu ses maisons et a été expulsée pour travaux forcés en URSS dès 1944. Environ 10 pour cent des victimes sont mortes pendant le transport vers la Russie des suites d’homicides, de faim et de froid. Près de la moitié des soi-disant déplacés rapatriés sont morts dans les camps, l’un des pires étant le camp de Kolyma.

Les camps de travail pour Allemands n’existaient pas seulement en Union soviétique, mais dans presque toutes les régions d’où les Allemands étaient déplacés. Les derniers n’ont été fermés qu’en 1950. En Pologne, en Tchécoslovaquie et en Yougoslavie, il y avait des camps de la mort. 2 061 camps existaient en Tchécoslovaquie. Dans le camp de Mährisch-Ostrau, environ 350 personnes ont été torturées à mort au début de juillet 1945. En Pologne et dans les régions sous administration polonaise, il y avait 1 255 camps. 6 048 personnes sur environ 8 000 sont mortes dans le seul camp de Lamsdorf (Haute-Silésie). Pour la zone yougoslave, la Croix-Rouge a trouvé 1 562 camps et prisons. En mai 1945, pratiquement tous les Allemands yougoslaves vivaient et mouraient dans des camps.

La plupart des pays qui avaient autrefois une présence ethnique allemande substantielle ne le font plus. Que ce soit à cause de guerres, de bouleversements gouvernementaux, de délocalisations ou de meurtres, des villes et des régions entièrement d’origine ethnique allemande ont disparu.

Au cours des derniers mois de la Seconde Guerre mondiale, en particulier après la fondation de la deuxième Yougoslavie, la vie des Allemands de souche sous l’État communiste de Josip Broz Tito est devenue périlleuse et la majorité d’entre eux ont été forcés de fuir. Tito, qui a régné de 1945 à 1980, a procédé à un «nettoyage ethnique» et à des meurtres de masse avec la sanction des gouvernements britannique et américain. L’un de ses premiers actes a été un décret transférant les «biens ennemis» dans la propriété de l’État, confisquant ainsi tous les biens des Allemands de souche sans compensation, et déclarant ceux d’origine allemande comme «ennemis du peuple» sans droits civils. Ensuite, leur citoyenneté yougoslave a été annulée.

Si les expulsions en Europe de l’Est sont plus connues, il y a eu d’autres cas de nettoyage ethnique, bien qu’à une échelle beaucoup plus petite. Après la fin de la guerre, par exemple, les Néerlandais ont décidé d’expulser 25 000 Allemands vivant aux Pays-Bas, les qualifiant de «sujets hostiles». À partir du 10 septembre 1946 à Amsterdam, les Allemands et leurs familles ont été emmenés de chez eux au milieu de la nuit et ont reçu une heure pour récupérer 50 kg de bagages. Ils ont été autorisés à emmener 100 florins avec eux, mais leurs autres biens sont allés à l’État néerlandais. Ils ont été emmenés dans des camps d’internement près de la frontière allemande, dont le plus grand était Mariënbosch près de Nimègue. Au total, environ 3 691 Allemands ont été expulsés. L’opération a pris fin en 1948. Les Allemands n’étaient plus considérés comme des ennemis de l’État après juillet 1951.

retraite de la wehrmacht, de la Hongrie, Mars 1945

 

 

 

L’évacuation des civils et des troupes allemandes de Courlande, octobre 1944

 

 

 

 

 

Réécrire l’histoire vraie d’Haïti – et le meurtre de masse des Blancs après la révolte des esclaves

L’État caribéen d’Haïti rappelle de manière frappante à quel point la pratique de l’esclavage pourrait être mortelle. En 1804, l’effet combiné de treize ans de soulèvements, de meurtres et de terrorisme avait détruit la population blanche d’Haïti, ainsi que toute la production agricole et l’économie de ce qui était autrefois la colonie la plus prospère de l’hémisphère occidental.

La description présumée d’Haïti comme un «trou de merde» par le président sortant des États-Unis, Donald Trump, rend instructif de revoir l’histoire de cette nation insulaire des Caraïbes – et comment sa naissance a été baignée de sang alors que tous les Blancs et les métis ont été massacrés pendant la série tumultueuse des événements qui ont donné naissance à cet état défaillant.

Haïti et le massacre des blancs

L’État caribéen d’Haïti rappelle de manière frappante à quel point la pratique de l’esclavage pourrait être mortelle. En 1804, l’effet combiné de treize ans de soulèvements, de meurtres et de terrorisme avait détruit la population blanche d’Haïti, ainsi que toute la production agricole et l’économie de ce qui était autrefois la colonie la plus prospère de l’hémisphère occidental.

L’île, à l’origine nommée San Domingo, était devenue un centre d’activité espagnole à l’époque du conquistador Hernando Cortes. Les Espagnols ont conservé une petite présence sur le côté est de l’île, aujourd’hui connue sous le nom de République dominicaine. La partie occidentale de l’île a été colonisée par les commerçants français en 1697 et rebaptisée Saint-Domingue, et c’est ici que s’est déroulée la féroce guerre raciale.

Les Amérindiens locaux, appelés Canibales par les Espagnols en raison de leurs habitudes cannibales, avaient été réduits à l’insignifiance par une combinaison de la force espagnole des armes, de l’esclavage et des maladies européennes contre lesquelles ils n’avaient aucune immunité. En conséquence, les Français ont commencé à importer des esclaves africains pour travailler dans la colonie.

«Le joyau de la couronne» – répond à la moitié des besoins en sucre de l’Europe

En 1789, San Domingue était le joyau de la couronne coloniale française. Son climat idéal et son sol naturellement riche produisaient plus de sucre, de café et de coton que toutes les colonies alors existantes en Amérique du Nord réunies. La production de sucre de San Domingue a fourni non seulement l’ensemble des besoins de la France, mais également la moitié des besoins du continent européen.

La richesse de San Domingue était légendaire et au moment de la Révolution française, quelque 40 000 Blancs s’étaient installés dans la colonie. Cependant, à ce stade, il y avait au moins 450 000 esclaves noirs travaillant dans les champs pour maintenir la production agricole prodigieuse de l’île, et en plus il y avait environ 27 000 mulâtres. Cette énorme population non blanche, principalement maintenue dans des conditions d’esclavage, a fourni la bombe à retardement démographique qui a complètement détruit la colonie blanche.

Révolution française – Passez à donner la franchise aux non-blancs

La Révolution française de 1789 a servi d’étincelle qui a enflammé les pressions raciales qui mijotaient depuis longtemps à San Domingue. Un décret de l’Assemblée nationale française du 15 mai 1791 donna le droit de vote à la population blanche et métisse de l’île.

Les colons blancs de l’île ont immédiatement protesté. Le bien nommé gouverneur général de l’île, Blanchelande, a envoyé un message à Paris avertissant que la mise en place d’une telle forme de gouvernement entraînerait «une terrible guerre civile» et la perte de la colonie pour la France.

L’Assemblée nationale française a ensuite annulé le décret précédent et en a publié un nouveau disant que les colons eux-mêmes pouvaient décider de la forme de gouvernement la mieux adaptée à leur situation particulière. Lorsque cette nouvelle a été portée à la connaissance de San Domingue, elle a accru les tensions. La population métisse en particulier était dans un tollé après avoir été informée qu’elle avait le droit de vote, puis seulement quelques mois plus tard, a dit le contraire.

«Amis des Noirs» – Révolutionnaires français

Un puissant lobby anti-esclavagiste, les Amis des Noirs , s’est développé en France et s’est développé de plus en plus au cours de la révolution. Ce groupe abolitionniste s’est constamment battu pour l’émancipation et les pleins droits politiques des mulâtres et des noirs à San Domingue, et a réagi avec indignation au deuxième décret qui lui enlevait le droit de vote pour l’élément métis.

À la suite des efforts des Amis des Noirs , l’assemblée nationale française a publié un troisième décret qui redonnait le droit de vote aux mulâtres et aux «noirs libres», c’est-à-dire à ces Noirs qui ne sont soumis à aucune forme de travail sous contrat.

Lorsque cette nouvelle a été reçue à San Domingue, la population noire désormais armée a lancé une violente rébellion. Les Blancs ont été attaqués au hasard, les plantations brûlées et l’île plongée dans le chaos. La population métisse s’est d’abord rangée du côté des Blancs, mais a ensuite changé d’allégeance aux Noirs.

Les Noirs éliminent tous les Blancs en Haïti

À la fin du soulèvement en Haïti, tous les hommes, femmes et enfants blancs avaient été assassinés. Une fois les Blancs exterminés, la population noire s’est retournée contre la population métisse et l’a également anéantie.

Le chaos règne pendant dix ans

Le chaos se prolongea jusqu’en 1802, lorsqu’un détachement de vingt mille soldats français fut envoyé par Napoléon Bonaparte pour rétablir l’ordre sur l’île. Les forces françaises, sous le commandement du beau-frère de Napoléon, le général Leclerc, écrasent la rébellion. Les insurgés ont été impitoyablement pourchassés et les principaux chefs rebelles ont été contraints de prêter allégeance au nouveau gouvernement français.

 

Juste au moment où la situation semblait s’être stabilisée, deux événements désastreux se sont produits. Le premier était la nouvelle que le gouvernement napoléonien avait donné l’autorisation de rétablir l’esclavage, et le second était une épidémie de fièvre jaune à San Domingue. La possibilité que l’institution de l’esclavage puisse renvoyer des troubles noirs a ravivé sur l’île. Pendant ce temps, les forces françaises déjà peu sollicitées ont été décimées par la maladie, qui a tué jusqu’à 160 soldats par jour. En août 1802, quatre cinquièmes des troupes françaises arrivées plus tôt dans l’année étaient décédées.

Napoléon a envoyé dix mille troupes fraîches pour soutenir la garnison française assiégée. Les nouvelles troupes ont également été étouffées par la fièvre jaune, et les noirs rebelles, largement immunisés contre la maladie, ont intensifié leurs attaques. La situation sécuritaire sur l’île s’est à nouveau détériorée.

Le conflit a alors pris une tournure encore plus désagréable. Les autorités françaises ont décidé que le seul moyen de mettre fin à la guerre raciale vieille de douze ans était de tuer tous les habitants noirs de plus de douze ans. Le raisonnement en était que tout Noir adulte qui avait, au moins au cours de la décennie précédente, mené une guerre raciale contre les Blancs, ne retournerait jamais docilement travailler dans les champs. La même chose s’appliquait aux femmes noires, décident les Français, car les femmes de cette race s’étaient révélées encore plus vicieuses et cruelles envers les Blancs capturés que leurs hommes. Avec une énergie impitoyable, les troupes françaises survivantes ont poursuivi leurs nouveaux ordres et de nombreux Noirs ont été tués de cette manière arbitraire. Les deux camps étaient plongés dans une spirale d’atrocités qui semblaient sans fin.

Retrait français et règle des noirs

Le déclenchement des guerres napoléoniennes est intervenu dans les développements sur l’île. La France est devenue impliquée dans une guerre avec la Grande-Bretagne en mer, et la possession coloniale française de San Domingue a été attaquée. La marine britannique a bloqué l’île, a coupé les approvisionnements à la garnison française et a fourni aux rebelles noirs des fusils et des munitions.

Le plus important des chefs rebelles noirs, Dessalines, a lancé un certain nombre d’attaques contre les garnisons françaises de plus en plus isolées dans les villes côtières. Dessalines prit ville après ville des forces françaises affaiblies et extermina systématiquement tous les Blancs faits prisonniers. Le 10 novembre 1803, les Français ne pouvaient plus tenir et se rendirent à la flotte britannique au large des côtes. Sur les cinquante mille soldats français envoyés sur l’île, seuls quelques milliers sont revenus en France.

Le massacre des derniers blancs

Avec le départ des Français, le chef noir Dessalines avait les mains libres pour instituer son propre règne de terreur contre tous les Blancs encore assez malheureux pour être sur l’île. San Domingue a été rebaptisé Haïti en décembre 1803 et déclaré indépendant.

Le pays parce que la deuxième nation indépendante de l’hémisphère occidental (après les États-Unis d’Amérique) et la première nation indépendante dirigée par des Noirs dans les Caraïbes.

Après avoir éliminé les Blancs, les Noirs et la population métisse se sont retournés les uns contre les autres dans une autre guerre raciale. Cela se termina par l’anéantissement presque complet de la population mulâtre et, en octobre 1804, Dessalines déclara son peuple vainqueur. Pour marquer l’occasion, il s’est déclaré «empereur à vie» d’Haïti.

La même année, Dessalines a demandé à ces Blancs qui avaient fui, de revenir et de contribuer à la reconstruction de l’économie. Un nombre étonnamment élevé de colons ont accepté son offre, mais ont rapidement découvert la nature de leur erreur.

Au début de 1805, la population noire s’est à nouveau soulevée contre les colons blancs revenus. Dessalines était impuissant à contrôler les foules, malgré les appels des colons blancs. Les Européens ont été traqués et, le 18 mars 1805, le tout dernier Blanc d’Haïti a été tué.

«Armée» haïtienne comique 1899. L’armée haïtienne en parade en 1899: une collection comique de «généraux» sans presque aucun soldat, comme le montre le livre Where Black Rules White (HH Prichard).

 

San Domingue, qui sous la domination française était autrefois la terre la plus riche de toutes les Caraïbes, est aujourd’hui une pagaille de pauvreté, d’anarchie et de chaos du tiers monde. Cet état de fait est encore plus significatif quand on considère que l’État indépendant d’Haïti n’a que trente-cinq ans de moins que les États-Unis d’Amérique.

C’est un contre-argument dévastateur à la théorie «environnementale» du développement – parce que si le temps et l’environnement étaient les seuls facteurs influençant la civilisation, Haïti, en théorie, devrait être aussi avancée que l’Amérique.

Haïti – Une nation du tiers monde. Une scène de rue en Haïti, 2009. Bien qu’elle n’ait que quelques années de moins que les États-Unis, Haïti est une nation du tiers monde. C’est parce que sa population est d’origine du tiers monde.

 

 

 

 

 

 

Réécrire l’histoire:Selon Alexandre Soljenitsyne : Les Protocoles de Sion se réalisent sous nos yeux

 

 

Les protocoles de Sion sont nécessaires pour ceux qui souhaitent comprendre le monde dans lequel nous vivons. Ils présentent une haine pathologique pour les non-juifs (et en particulier les chrétiens et les musulmans) et un désir de les saper et de les exploiter. Les protocoles faisaient partie d’une «initiation» pour les juifs maçonniques de 33 degrés. La plupart des Juifs ignorent ce programme et sont donc facilement manipulés. «L’antisémitisme nous est indispensable dans la gestion de nos petits frères». 

Selon ces protocoles : « Il reste un petit espace à traverser avant que tous les états d’Europe ne soient enfermés dans les serpentins du serpent symbolique, par lequel nous symbolisons notre peuple, comme dans un puissant vice« .

La preuve que les Protocoles de Sion sont authentiques est que la plupart d’entre eux sont devenus réalité.

Le gouvernement mondial est leur « Super État ».

 

Le prix Nobel Alexandre Soljenitsyne a écrit, à propos de ces protocoles  :

 « Les officiers exécutés (durant la Révolution) étaient Russes, comme étaient Russes les nobles, les prêtres, les moines, les députés – assassinés. Dans les années 1920, les ingénieurs et les savants d’avant la Révolution furent exilés ou tués. Ils étaient Russes : des Juifs prirent leur place. Dans le meilleur Institut Psychiatrique de Moscou, les membres dirigeants furent exilés ou arrêtés – leurs places furent prises par des Juifs. Des médecins juifs influents bloquèrent l’avancement de la carrière de chercheurs russes en sciences médicales. Les meilleurs éléments des élites intellectuelles et artistiques du peuple russe furent assassinés, tandis que les Juifs croissaient et embellissaient, dans ces années terribles (pour les Russes…) ».

Alexandre Soljenitsyne a analysé les Protocoles des Sages de Sion. Il produisit cette analyse en 1966. Il n’a pas publié sa recherche sur les Protocoles des Sages de Sion. Il a demandé que cette étude ne soit publiée qu’après sa mort. C’est contre sa volonté qu’elle fut imprimée en un nombre très réduit d’exemplaires, en 2001.

Voici ce qu’écrit Soljenitsyne :
« Les Protocoles exposent le plan d’un (nouveau) système social. Son dessein se situe bien au-dessus des capacités d’une âme ordinaire, y compris celle de son auteur. Il s’agit d’un processus dynamique en deux étapes, de déstabilisation, d’augmentation des libertés et du libéralisme, qui trouve son apogée dans un cataclysme social, au premier stade ; la seconde étape voyant se mettre en place une nouvelle hiérarchisation de la société. Ce qui est décrit est plus complexe qu’une bombe nucléaire. Il pourrait s’agir d’un plan volé et gauchi, formé par un esprit de génie. Son style putride de brochure antisémite cauteleuse en obscurci(rai)t (intentionnellement) la grande force de pensée et la vision pénétrante ».

Il poursuit « Le texte démontre une clarté de vision impressionnante en ce qui concerne les deux systèmes sociétaux : le système occidental et le système soviétique. Si un puissant penseur, en 1901, pouvait prédire le développement de l’Occident avec quelque vraisemblance, comment aurait-il pu entrevoir le futur soviétique ?»

Voici quelques extraits des protocoles, très troublants d’actualité, tels que les relate Alexandre Soljenitsyne :

« Les esprits des gens doivent être détournés (de la contemplation) vers l’industrie et le commerce : dès lors, (les gens) n’auront plus le temps de penser. Les gens se consumeront à la poursuite de l’argent. Ce sera une poursuite vaine, car nous bâtirons l’industrie sur une base spéculative : les richesses tirées de la terre par l’industrie glisseront entre les mains des travailleurs et des industriels et se retrouveront entre celles des financiers ».

« La lutte – intensifiée – pour la survie et la supériorité, accompagnée de crises et de chocs, créera des communautés froides et sans cœur, avec une forte aversion envers la religion. Leur seul guide sera celui de Mammon, auquel ils voueront un véritable culte ».

« Il est une puissante force qui crée le mouvement de la pensée, dans le peuple : cette force, ce sont les journaux. C’est dans les journaux que le triomphe de la liberté de parole trouve son incarnation. Au moyen de la Presse nous avons conquis le pouvoir d’influencer les esprits tout en demeurant inaperçus. Nous éradiquerons de la mémoire des Hommes les faits historiques dont nous ne désirons pas qu’ils les connaissent, et nous ne laisserons perdurer que ceux qui nous conviennent. »

Or que s’est-il passé un siècle après la publication de ce document ? Comme le dit Soljenitsyne: « Il faudra que quatre-vingts ans se passent, avant que Milton Friedman et son École de Chicago n’intronisent les dieux Marché et Profit en seuls flambeaux guidant le monde ».

Alexandre Soljenitsyne note également qu’un «siècle avant l’avènement de la Banque Mondiale et du Fonds Monétaire International, les Protocoles notaient que les prêts sont le meilleur moyen pour déposséder des pays de leurs richesses ; que les marchés financiers, avec leurs multiples produits dérivés, ponctionnent la richesse et l’accumulent entre les mains des prêtres de Mammon ; que le gain (les forces du marché) est la seule mesure du succès de toute stratégie ».

Le passage le plus époustouflant est celui où Soljenitsyne montre qu’il a parfaitement compris la logique dévastatrice qui anime la pensée moderne: « Les Protocoles prédisent l’apogée de la Nouvelle Bourgeoisie – l’apogée des adorateurs de Mammon, partisans de la mondialisation, viscéralement hostiles aux Anciennes Élites, à l’Esprit, à la religion, aux gens ordinaires. Très longtemps, ils furent les moteurs de la gauche, des mouvements aspirant à la démocratie : jusqu’à ce que leur objectif soit atteint – après quoi, ils négocièrent leur grand virage en épingle à cheveux, direction : l’oligarchie ».

Nous lisons bien : « Ils furent les moteurs de la gauche » et « ils négocièrent leur grand virage en épingle à cheveux, direction : l’oligarchie »¨.

Voici un autre extrait que rapporte Alexandre Soljenitsyne des protocoles « Tant que les emprunts étaient nationaux, on assistait à un déplacement d’argent de la poche de leurs sujets pauvres dans celles des riches. Mais à partir du moment où nous eûmes acheté les hommes nécessaires pour qu’on ait recours aux emprunts étrangers, toutes les richesses des États affluèrent dans nos caisses… » « Ils périront immanquablement de la saignée qu’ils s’imposent ».

Alexandre Soljenitsyne présente alors la conclusion de l’auteur des Protocoles des Sages de Sion : « Les États recourront de plus en plus à l’emprunt ruinant les populations » et, souligne le document analysée par Alexandre Soljenitsyne : « la vénalité de leurs ministres ou leur ignorance des questions financières nous ont asservi les peuples en leur faisant contracter envers nous des dettes dont ils ne pourront jamais s’acquitter, ce qui a placé toutes les questions financières sous notre direction… »

Mais le meilleur est pour la fin, puisque Alexandre Soljenitsyne dévoile le projet de réforme des institutions financières mondiales. Alexandre Soljenitsyne relate en effet : « La période des emprunts qui vint ensuite mangea les restes, et la banqueroute s’ensuivit pour tous ces États. Vous comprenez bien qu’un tel système de gestion financière, inspiré par nous, ne saurait nous convenir. Quand nous serons en possession du pouvoir, nous déguiserons la réforme des bases financières… que nous projetons sous un aspect qui n’éveillera les soupçons de personne. Nous démontrerons la nécessité de ces réformes en divulguant l’état chaotique des finances (des États) ».

En définitive Alexandre Soljenitsyne conclut « C’est un compte rendu parodique d’un plan satanique, subtil et très bien conçu ».

Ainsi l’analyse que fit en 1966 Alexandre Soljenitsyne des Protocoles des Sages de Sion nous présente presque trait pour trait notre situation actuelle. 
Mais « motus et bouche cousue », il ne faut surtout pas en parler, ce serait faire le jeu des antisémites. Le chantage à l’antisémitisme est décidément devenu le grand verrou qui empêche tout exercice de la pensée.


EN COMPLÉMENTAIRE

Voici ce qu’écrit henrymakow.com :

 Les protocoles sont authentiques. Ce sont des conférences adressées aux francs-maçons juifs (probablement à la Loge de Mizraim à Paris) détaillant un plan incroyable pour renverser la civilisation occidentale, subjuguer l’humanité et « concentrer toute la richesse du monde … entre nos mains« . Ils ont été donnés comme une série régulière d’ateliers à ces Maçons à Paris. L’auteur les décrit comme une «exposition de notre programme» et commence souvent par dire: «Aujourd’hui, nous discuterons …»

THEODOR HERZL au premier congès sioniste de Bale – 1897.8.25

 

Ceux qui pensent que les protocoles ont été prononcés lors du premier Congrès sioniste à Bâle en 1897 se sont malheureusement trompés. Le Juif moyen n’était pas au courant de ce genre d’informations. Il y avait plus de 200 délégués à cette conférence et 26 membres de la presse.

Programme du premier congrès sioniste de Bale
Le Premier Congrès Sioniste adopta le Programme de Bâle déclarant : « Le sionisme vise à établir pour le Peuple juif une patrie en Palestine qui soit garantie par le droit public. » (Le terme « Palestine » était à cette époque purement géographique, et ses habitants, y compris les Juifs, étaient appelés les Palestiniens. La région était alors sous contrôle Ottoman). Le Programme se poursuit en délimitant les moyens suivants pour accomplir cet objectif : La promotion de l’établissement en Palestine d’agriculteurs, artisans et marchands juifs ; La fédération de tous les juifs, en groupes locaux ou nationaux, en fonction des lois de leurs différents pays d’origine ; Le renforcement du sentiment national juif et de la conscience juive ; Toute mesure préparatoire à l’obtention des accords gouvernementaux qui sont nécessaires à la réalisation de l’objectif sioniste.

Rabbi Ehrenpries (1869-1951), le Rabbin en chef de Suède, de 1910 à 1951, écrit en 1924: «Depuis longtemps, j’ai bien compris le contenu des Protocoles, des années avant leur publication dans la presse chrétienne Les Protocoles des Sages de Sion n’étaient en fait pas les Protocoles originaux, mais un extrait comprimé de ceux-ci. Des 70 Sages de Sion, en matière d’origine et de l’existence des Protocoles originaux, il n’y a que dix hommes dans le monde entier qui savent. » (Cité dans « 1001 citations sur les juifs »)

https://en.wikipedia.org/wiki/Mordecai_Ehrenpreis

Cet «extrait comprimé» est confirmé par l’utilisation généralisée des ellipses – indiquant que des mots ont été laissés de côté. Les chercheurs ont spéculé que Adam Weishaupt, Theodore Herzl ou Asher Ginzberg ont écrit les Protocoles. Au début, je pensais que c’était Meyer Amschel Rothschild (1744-1844) lui-même. Plus tard, j’ai pensé que ce serait Lionel Nathan Rothschild (1809-1959) ou James de Rothschild (1792-1868) ou Adolphe Cremieux (1796-1880). Il est difficile de déterminer parce que je pense que ce document a été révisé par différentes mains.

Billet d'entrée au premier congrès sioniste de Bale
Billet d’entrée au premier congrès sioniste de Bale,en 1897

Les protocoles 20-23, le «programme financier … le couronnement et le point décisif de nos plans» sont la raison pour laquelle je pense que l’auteur était un banquier et probablement un Rothschild. Ces conférences nécessitent une connaissance approfondie des finances et une profonde perspicacité psychologique. De plus, l’auteur déclare que tout le pouvoir ira finalement au «Roi des Juifs», c’est ainsi que les Rothschild étaient connus. Lorsque vous lisez ce qui suit, vous serez convaincus qu’une grande partie de ce programme s’est effectivement réalisée.

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Voici un résumé de 12 protocoles sur 24.

1- Le contrôle de l’argent

    (….) « Le contrôle des nations sera assuré par la création de gigantesques monopoles privés qui seront les dépositaires d’immenses richesses dont dépendront même les Goyim (les non-juifs). (….)

    (….) C’est ainsi que le jour qui suivra l’effondrement politique verra leur anéantissement en même temps que celui du crédit accordé aux États. (….)

    (….) Des crises économiques porteront atteinte aux États ennemis en leur soustrayant l’argent mis en circulation. En accumulant de grands capitaux privés qui sont ainsi soustraits à l’État, ce dernier va être obligé de s’adresser à nous pour emprunter ces mêmes capitaux. Ces emprunts consentis avec des intérêts seront une charge pour les États qui en deviendront les esclaves, sans volonté propre. Ils s’adresseront à nos banquiers pour leur demander l’aumône au lieu d’exiger des impôts du peuple. Des emprunts étrangers sont comme des sangsues, il n’y a aucune possibilité de les éloigner du corps d’État, car elles ne peuvent que se détacher d’elles-mêmes ou être rejetées par l’État. Cependant, les États Goyim ne les rejetteront pas, ils s’en attireront sans cesse d’autres, ce qui les conduira à une fin inexorable.

    Les dettes de l’État rendront les hommes d’État corruptibles, ce qui les mettra encore plus à notre merci. (….) »

2- Le contrôle de la presse

    (….) « Nous procéderons de la façon suivante avec la presse :

    Son rôle est d’exciter et d’enflammer les passions chez le peuple (…) et le public est tellement loin de pouvoir imaginer qui est le premier bénéficiaire de la presse (….) Parmi tous les journaux, il y en aura aussi qui nous attaqueront mais comme nous sommes les fondateurs de ses journaux, leurs attaques porteront exclusivement sur des points que nous leur aurons précisés auparavant. (….)

    (…) Aucune nouvelle ne sera publiée sans avoir reçu notre accord. C’est déjà le cas maintenant, car toutes les nouvelles du monde sont regroupées dans seulement quelques agences. Ces agences étant sous notre contrôle, elles ne publient que ce que nous avons approuvé. (…)

    (…) Nos journaux seront de toutes les tendances, aristocratique, socialiste, républicaine, voire même anarchiste, tant qu’existera la Constitution. (….)

    (…) Ces idiots qui croiront que le texte d’un journal reflète leur propre opinion n’auront fait, en réalité, que répéter notre opinion ou celle que nous souhaitons voir exprimée. (…)

3- L’extension du pouvoir

    (….) « Nous serons pour le public l’ami de tous. (…)

    (…) Nous les soutiendrons tous, les anarchistes, les communistes, les fascistes (…) et particulièrement les ouvriers. Nous gagnerons leur confiance et ils deviendront ainsi, pour nous, un instrument très approprié. (…)

4- Le contrôle de la foi

    (…) « Nous ôterons aux hommes leur vraie foi. Nous modifierons ou supprimerons les principes des lois spirituelles. (…) L’absence de ces lois affaiblira la foi des hommes puisque les religions ne seront plus capables de donner quelconque explication. (…)

    (…) Nous comblerons ces lacunes en introduisant une pensée matérialiste et des supputations mathématiques. (…) »

5- Le moyen d’amener la confusion dans les esprits

    (…)  » Pour avoir la mainmise sur l’opinion publique, il nous faut les amener à un certain niveau de confusion. (…)

    (…) La presse nous sera un bon outil pour offrir aux hommes tant d’opinions différentes qu’ils en perdront toute vue globale et s’égareront dans le labyrinthe des informations. (…)

    (…) ainsi, ils en viendront à la conclusion que le mieux est de ne pas avoir d’Opinion (politique). (…)

6- L’aspiration au luxe

    (…) « Pour accélérer la ruine de l’industrie des Goyim (non-juifs), nous susciterons chez eux une soif de luxe. Le commun des mortels n’en aura, cependant, pas jouissance, car nous ferons en sorte que les prix soient toujours en hausse. Ainsi, les travailleurs devront autant travailler qu’auparavant pour satisfaire leurs désirs. (…)

    (…) Ils seront piégés dans le système avant d’avoir pu l’identifier. »

7- La politique utilisée comme instrument

 

Donald Trump et Benjamin Netanyahu :une amitié sioniste et khazare qui remonte à des décennies.

    (…) « En distillant un souffle de libéralisme dans les organismes d’État, nous modifierons tout leur aspect politique. (…)

    (…) Une Constitution n’est rien d’autre qu’une grande école de discordes, de malentendus, de querelles, en un mot une école de tout ce qui sert à fausser les rouages de l’État. (..)

    (…) À « l’époque des républiques », nous remplacerons les dirigeants par une caricature de gouvernement avec un président élu par nos marionnettes, nos esclaves que sont le peuple. (…)

    (…) Les élections seront, pour nous, un moyen d’accéder au trône du monde tout en faisant croire au modeste citoyen qu’il contribue à façonner l’État par sa participation à des réunions et par son adhésion è des associations. (…)

    (…) Dans le même temps, nous réduirons à néant l’impact de la famille et son pouvoir éducatif. Nous empêcherons aussi l’émergence de personnalités indépendantes. (…)

    (…) Il suffit de laisser un peuple se gouverner lui-même un certain temps (la démocratie) pour qu’il se transforme en une populace où règne le chaos.

    (…) La puissance de la populace est une force aveugle, absurde, irraisonnée, ballotée sans cesse de droite ou de gauche. Mais un aveugle ne peut pas en conduire un autre sans tomber dans le précipice. Seul celui qui, dès sa naissance, est éduqué pour devenir un souverain indépendant a la compréhension de la politique. (…)

    (…) Notre succès, en traitant avec les hommes dont nous avons besoin, sera facilité par notre façon de toucher toujours le côté le plus sensible de la nature humaine, c’est-à-dire la cupidité, la passion et la soif insatiable de biens humains et matériels. (…) »

8- Le contrôle de la nourriture

    (…) « Notre puissance réside aussi dans la pénurie permanente de nourriture. Le droit du capital, en affamant les travailleurs, permet sur eux une mainmise plus que ne pouvait le faire la noblesse avec son roi. (…)

    (…) Nous agirons sur les masses par le manque, l’envie et la haine qui en résulte. (…)

    (…) mais tout propriétaire rural peut être un danger pour nous puisqu’il peut vivre en autarcie. C’est la raison pour laquelle il nous faut à tout prix le priver de ses terres. Le moyen le plus sûr pour y arriver est d’augmenter les charges foncières, (…) d’accabler de dettes les propriétaires rurales (…) »

9- Le rôle de la guerre

    (…) « Nous mettrons en rivalité toutes les forces pour amener ceux qui ont soif de pouvoir à abuser de leur pouvoir. Il nous faut fomenter des dissensions, des inimitiés dans toute l’Europe et par l’intermédiaire de l’Europe dans d’autres parties de la Terre. (…)

    (…) Il faut que nous soyons capables d’anéantir toute opposition provoquant des guerres avec les pays voisins. Au cas où ces voisins oseraient nous tenir tête, il nous faut leur répondre par une guerre mondiale. (…) »

10- Le contrôle au moyen de l’éducation

    (…) « On n’incitera pas les Goyim à tirer une application pratique de leur observation impartiale de l’histoire mais on les invitera à des réflexions théoriques, sans faire de relations critiques avec les événements qui vont suivre. (…)

    (…) Dans ce jeu, sachez que la chose principale est de les avoir convaincus d’accepter les nécessités de la science. (…)

    (…) Tenant compte de ce fait, nous n’aurons de cesse de créer une confiance aveugle en ces théories (scientifiques) et les journaux nous y aideront bien. Les intellectuels parmi les Goyim se vanteront de leurs connaissances. (…)

    (…) Le peuple perdra, de plus en plus, l’habitude de penser par lui-même et de se forger sa propre opinion, il en viendra à prononcer les mots que nous désirons entendre prononcer. (…) »

11- Le contrôle des loges franc-maçonniques

    (…) « Nous créerons dans tous les pays de la Terre des loges franc-maçonniques, nous les multiplierons et y attirerons des personnalités qui sortent des rangs. (…)

    (…) Nous mettrons toutes ces loges sous la domination de notre administration centrale que nous serons seuls à connaître et que les autres ignoreront complètement.

    (…) Qui ou qu’est-ce qui peut vaincre une puissance invisible? Voilà où se trouve notre pouvoir. La franc-maçonnerie non juive nous sert de couverture à leur insu. Mais le plan d’action de notre puissance reste pour tout le peuple et même pour le reste de la confrérie un secret. (…) »

12- La mort

    (…) « La mort est la fin inévitable pour tous, par conséquent, il est préférable d’y conduire tous ceux qui nous font obstacle. »


AUTRES COMPLÉMENTAIRES

Le général de l’«armée blanche » Anton Dénikine accueilli par sa garde d’officiers à Rostov-sur-le-Don, 1919

Tandis qu’éclate la guerre civile à la suite de la Révolution d’Octobre, nombre de Russes tsaristes se réfugient en Europe de l’Ouest. Ces « Russes Blancs » antibolchéviques vont alors participer activement à la propagation du célèbre pamphlet .

Avec la Révolution d’Octobre et le début de la guerre civile en Russie, les opposants au nouveau régime bolchévique, monarchistes connus sous l’expression de « Russes Blancs » – indépendamment du fait qu’ils aient ou non participé activement aux armées blanches ou à la guerre civile russe – fuient le conflit et se réfugient en Occident, emmenant dans leurs bagages le célèbre  pamphlet: Les Protocoles des Sages de Sion.

Ce texte, écrit en 1901 par Mathieu Golovinski, un informateur de l’Okhrana, la police secrète tsariste, est supposé être la publication d’un programme conçu par des « sages juifs » en vue de détruire les nations et la chrétienté et dominer le monde.

Les Protocoles des Sages de Sion furent édités en 1905 par un mystique orthodoxe russe, Serge Nilus (qui le réédita en 1911 et en 1917), qui voyait dans ce plan une action de l’Antéchrist. Henri Ford et le comte völkisch Ernst Zu Reventlow, nazi historique et militant païen, admiraient Serge Nilus. Le premier envoya des livres au mystique tandis que le second a aidé son fils à fuir la Russie en guerre et à s’installer en Allemagne,sous la protection du Führer Adolph Hitler.

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Des participants au premier congrès sioniste de Bale.
Theodore Hertzl en 1897.
Août 1897. A l’appel de Theodor Herzl, des juifs du monde entier se donnèrent rendez-vous à Bâle, afin de trouver une solution durable et définitive à « la question juive ».

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Nakba : mai 1948, l’avènement d’Israël, catastrophe des Palestiniens

Jours de fête pour Israël qui célèbre sa naissance, les 14 et 15 mai ont une résonance inverse pour les Palestiniens qui commémorent dans la douleur la Nakba : la catastrophe.

Le mot même est tabou en Israël : Nakba. En arabe « la catastrophe », « le désastre ». Sa commémoration le 15 mai, proscrite dans l’État hébreu, suit d’un jour la célébration par ce dernier de sa fondation, il y a juste 70 ans.

14 mai 1948 : dernier jour du mandat britannique sur la Palestine, établi vingt-cinq ans plus tôt sur les décombres de l’Empire Ottoman. Premier jour officiel d’Israël.

Depuis la fin du XIXème siècle s’est affirmée, dans l’ébullition des nationalismes, le rêve d’une refondation sur son lieu antique d’une patrie juive perdue aux débuts de l’Empire romain.

Le rêve sioniste

A partir de 1870, les implantations s’y multiplient. Souvent empreintes d’utopisme, elles sont aidées par des personnalités du monde de la finance. Le mouvement « sioniste » naît officiellement dans les années 1890. En 1897 se tient à Bâle le premier Congrès sioniste mondial, avec pour but la création d’un foyer national juif en Palestine. Un fonds national est créé pour l’achat de terres.

En novembre 1917, la « déclaration Balfour » (du nom du ministre des affaires étrangères britannique) affirme le gouvernement de Sa Majesté favorable à la création d’un foyer juif en Palestine sous condition … de ne pas y causer préjudice aux non-juifs.

Résumé de l’écrivain Arthur Koestler : « une nation promettait solennellement à une seconde nation le pays d’une troisième ».

Le mandat accordé par la SDN (Société des Nations, ancêtre de l’ONU) aux Royaume-Uni sur la région confirme implicitement cette voie, le chargeant entre autres de faciliter l’immigration des juifs et leur organisation politique.

Le temps du mandat

Une Agence juive est créée. A la fois instance politique et administrative, elle joue un rôle important dans l’immigration. Elle dispose d’un bras militaire : l’Hagganah qui deviendra, plus offensive, l’Irgoun.

La partie arabe, qui ne reconnaît pas le mandat britannique, refuse en revanche de se doter d’institutions équivalentes. La coexistence des communautés est très loin d’être pacifique : révoltes arabes contre l’autorité, émeutes anti-juives, opérations terroristes de l’Irgoun contre les arabes.

La population de Palestine évolue fortement durant le mandat. En 1918, la communauté juive est évaluée à environ 80 000 personnes – pour près de 660 000 arabes – , possédant 5 % des terres.

Accroissement naturel, mouvement sioniste mais surtout flux de réfugiés fuyant les persécutions nazies et les drames de l’Europe : ils sont 630 000 au lendemain de la Seconde Guerre mondiale pour environ 1. 200.000 arabes (principalement musulmans, une petite minorité chrétienne).

La propagande sioniste parle de 250 000 survivants d’une fausse holocauste fabriquée par les médias américains qui  attendent en Europe dans des camps de réfugiés.

L’urgence d’un Etat

L’horreur de celui-ci a renforcé aux yeux du monde la revendication par les juifs d’un État. Pourtant, la situation en Palestine est plus tendue que jamais.

Chacune des deux communautés refuse de se fondre dans un État binational et le partage s’annonce périlleux. Impuissante à l’imposer, la Grande-Bretagne s’en remet début 1947 à la jeune ONU, qui désigne une Commission spéciale internationale.

Celle-ci propose un plan de partition : un État juif, un État arabe, Jérusalem sous contrôle international. L’URSS, d’abord réticente mais désireuse de voir les Britanniques quitter la région, finit par s’y rallier, à la surprise générale. Il est voté par l’Assemblée générale de l’ONU le 29 novembre 1947.

Sur le terrain, la partie juive y adhère malgré l’opposition de l’Irgoun. La partie arabe, se jugeant spoliée, le refuse résolument. La guerre commence, meurtrière .

Volontaires arabes en Palestine 194

 

Guerre de 47-48

Elle est d’abord civile : affrontement des organisations armées juives et des palestiniens soutenus par des volontaires arabes.

A partir du 15 mai 1948, avec le départ des Britanniques à l’expiration de leur mandat et la naissance officielle de l’État d’Israël , elle s’internationalise et devient guerre israélo-arabe.

Les opérations militaires se prolongent jusqu’en 1949. Dans leurs différentes phases, elles se traduisent, malgré des revers, par le succès des forces juives.

Plusieurs centaines de milliers de palestiniens sont amenés à quitter leurs maisons durant l’ensemble de l’année 1948. D’autres les suivront durant les années suivantes. La plupart prennent la direction de pays ou territoires voisins – Liban, Jordanie, Syrie, bande de Gaza – où ils sont parqués dans des camps théoriquement provisoires, dont beaucoup demeurent d’actualité.

Cet exode, dans les faits le plus souvent sans retour, reste l’un des drames majeurs qui continue de nourrir, 70 ans plus tard, le conflit israélo-arabe. Les deux camps s’opposent radicalement sur ses causes, ses circonstances et de ce fait sur le droit des populations et leurs descendants à regagner leurs terres et leurs foyers.

Lectures

Selon l’approche israélienne, les Palestiniens n’ont été nullement contraints de partir, le jeune État hébreu étant même disposé à leur accorder les mêmes droits civiques qu’aux juifs. Ce sont les chefs arabes qui ont, selon cette thèse, exhorté leurs populations civiles au départ pour des raisons à la fois militaires et de propagande.

Quartier de Jérusalem Avant Nakba 1948

 

Même quartier Après Nakba 1948

 

A l’inverse, la plupart des palestiniens estiment avoir été, eux-même ou leurs ascendants de 1948, chassés par la force ou contraints au départ.

Beaucoup considèrent l’idée du transfert comme un pilier de l’idéologie sioniste. Ils voient dans le Plan Daleth, établi par la Hagannah en mars 1948 et prévoyant des opérations dures sur les populations civiles et les territoires conquis, la preuve d’une volonté d’expulsion.

Nouvelles approches

Depuis la fin des années 1980, une nouvelle génération d’historiens israéliens s’appuyant sur des documents longtemps inédits est venue, dans l’ensemble et malgré des nuances, renforcer la vision palestinienne d’un exode aucunement choisi. Ils divergent cependant sur le rôle précis du vainqueur et ses intentions.

Longtemps proche du Parti communiste israélien, l’historien Ilan Pappé voit dans l’exode palestinien une sorte de nettoyage ethnique planifié. Son confrère Benny Morris ne le suit pas dans cette qualification mais il remet également en cause la thèse d’un départ massif dicté par les dirigeants arabes.

Selon sa recherche portant sur près de 400 localités, cette explication ne s’applique qu’à un très petit nombre de cas. L’expulsion, elle, aurait été commandée par l’occupant dans environ 15 % des départs. Dans leur majorité, ces derniers ont été motivés par la crainte des combats et d’exactions, voire l’écho de massacres tel celui de Deir Yassin perpétré en avril 48 par l’Irgoun.

Une société vulnérable

Une première vague d’environ 100 000 palestiniens, en majorité des classes moyennes urbaines, aurait ainsi quitté ses foyers entre décembre 1947 et mars 1948, espérant souvent un retour après l’apaisement espéré des violences. 300 000 autres les auraient suivis à partir du durcissement des combats – offensive de la Hagannah, destructions de villages – , vers le mois d’avril.

Une trêve survient en juin mais une reprise des opérations militaires lui succède durant les six derniers mois de l’année, entraînant un troisième mouvement de fuites. Une dernière vague émigre après la fin des combats, de 1949 à 1950.

Benny Morris et d’autres chercheurs s’accordent sur un point : l’état de faiblesse de la société palestinienne. Celle-ci, fragilisée à la fois par la disparition des structures administratives britanniques – fussent-elles haïes – et le départ de ses élites dans les premiers mois du conflit, n’aurait pas résisté aux conditions induites par la guerre.

Une question actuelle

Le nombre total de palestiniens ayant, de gré ou de force, pris le chemin de l’exil entre fin 1947 et 1950 est estimé à près de 800 000.

En 2020,le nettoyage ethnique continue grâce à Theodore Hetzrl,à Ben Gourion,à Moshe Dayan,à Golda Meir et à …Donald Trump!

70 ans après leur exode, leurs descendants réclament encore l’application de la Résolution 194 votée le 11 décembre 1948 par les Nations -Unies, fondant ce qu’ils nomment le « droit au retour » : « il y a lieu de permettre aux réfugiés qui le désirent de rentrer dans leurs foyers le plus tôt possible et de vivre en paix avec leurs voisins ». Ceux qui ne désirent pas rentrer devaient être dédommagés.

Selon des organisations pro-palestiniennes actuelle, « La Nakba (catastrophe) n’est pas un évènement, mais un processus qui continue aujourd’hui : l’expulsion des Palestiniens de leur terre. ». Accusation fermement démentie par les autorités israéliennes.

La question des réfugiés, leur descendance et leurs droits n’en reste pas moins, en tout état de cause une question d’actualité toujours brûlante, d’autant que les guerres ultérieures ont multiplié leur nombre.

Selon un sondage récent, près de la moitié des juifs d’Israël pensent aujourd’hui que les arabes d’Israël ou de Cisjordanie devraient en être expulsés.

 

 

 

 

 

 

Document le plus controversé de l’histoire d’Internet: L’histoire cachée de la mafia khazare incroyablement perverse

Entre l’an 100 à l’an 800 après JC – une société incroyablement perverse émerge en Khazarie:
Les Khazars se transforment en une nation dirigée par un roi maléfique, qui pratiquait d’anciennes magies noires babyloniennes, des oligarques occultes lui servaient de cour. Pendant ce temps, les Khazars sont devenus connus par les pays voisins comme des voleurs, des meurtriers, des bandits de grand chemin, qui, après avoir dépouillé et assassiné les voyageurs, prenaient leur  identité, et considéraient cela  comme une pratique professionnelle et un mode de vie normal.
Carte de la Khazarie vers 800.
An 800  – L’ultimatum est livré par la Russie et d’autres pays voisins:
Les dirigeants des nations environnantes, en particulier la Russie, ont eu tant d’années de plaintes de la part de leurs citoyens que, en tant que groupe, ils lancent un ultimatum au roi khazar. Ils envoient un communiqué au roi khazar selon lequel il doit choisir l’une des trois religions abrahamiques pour son peuple, en faire sa religion officielle d’État et exiger que tous les citoyens khazars la pratiquent et doivent socialiser tous les enfants khazars pour qu’ils pratiquent cette foi.
Stèle de Baal au foudre,
trouvée à Ras Shamra (Ougarit)

Le roi khazar a eu le choix entre l’islam, le christianisme et le judaïsme. Le roi khazar a choisi le judaïsme et a promis de respecter les exigences énoncées par la confédération environnante des nations dirigée par le tsar russe. Malgré son accord et sa promesse, le roi Khazar et son cercle restreint d’oligarques ont continué à pratiquer l’ancienne magie noire babylonienne, également connue sous le nom de satanisme secret. Ce satanisme secret impliquait des cérémonies occultes comportant des sacrifices d’enfants, après les avoir «saigné», ils buvaient leur sang et mangeaient leur cœur.

Le secret profond et sombre des cérémonies occultes était qu’elles étaient toutes basées sur l’ancien culte de Baal, également connu sous le nom de culte du hibou. Afin de tromper la confédération des nations dirigées par la Russie qui surveillaient la Khazarie, le roi Khazar a fusionné ces pratiques de magie noire luciférienne avec le judaïsme et a créé une religion hybride satanique secrète, connue sous le nom de talmudisme babylonien.  Cela a constitué la religion nationale de la Khazarie et a nourri le même mal pour lequel la Khazarie était connue auparavant.

Malheureusement, les Khazars ont continué leurs mauvaises voies, volant et assassinant tous les voyageurs des pays voisins qui traversaient la Khazarie. Les voleurs khazars ont souvent tenté d’assumer l’identité de leurs victimes après avoir assassiné ces visiteurs et sont devenus maîtres des déguisements et des fausses identités – une pratique qu’ils ont continué jusqu’à ce jour, ainsi que leurs cérémonies occultes de sacrifice d’enfants, qui sont en fait l’ancien culte de Baal.

 

1200 après JC – La Russie et les nations environnantes en ont assez et agissent:

Vers 1200 après JC, les Russes ont dirigé un groupe de nations entourant la Khazarie et l’ont envahie, afin de mettre fin aux crimes Khazars contre leurs peuples, qui comprenaient l’enlèvement de leurs jeunes enfants et nourrissons pour leurs cérémonies de sacrifice de sang à Baal. Le roi khazar et sa cour intérieure de criminels et de meurtriers sont connus sous le nom de mafia khazare (MK) par les pays voisins.

Les dirigeants khazars avaient un réseau d’espionnage bien développé grâce auquel ils avaient obtenu un avertissement préalable et se sont échappés de Khazarie vers les nations européennes de l’ouest, emportant avec eux leur vaste fortune en or et en argent. Ils se sont regroupés tout en assumant de nouvelles identités. En secret, ils ont continué leur sacrifice satanique de sang d’enfant et leurs rituels de sacrifice et ont fait confiance à Baal pour leur donner le monde entier et toutes ses richesses, comme ils prétendaient qu’il leur avait promis, tant qu’ils continuaient à saigner et à sacrifier des enfants et des nourrissons pour lui.

Le roi Khazar et sa mafia de cour ont comploté une vengeance éternelle contre les Russes et les nations environnantes qui ont envahi la Khazarie et les ont chassés du pouvoir. 

 

La mafia khazar envahit l’Angleterre après avoir été expulsée pendant des centaines d’années:

Pour accomplir leur invasion, ils ont engagé Oliver Cromwell pour assassiner le roi Charles-1 et rendre à nouveau l’Angleterre sûre pour leurs opérations bancaires. Cela a commencé les guerres civiles anglaises qui ont fait rage pendant près d’une décennie, entraînant un régicide de la famille royale et des centaines de personnes de la véritable noblesse anglaise. C’est ainsi que la City de Londres a été érigée en capitale bancaire de l’Europe et a lancé le début de l’Empire britannique.

Sur le site Web de David Icke http://www.davidicke.com. David Icke a été le premier à exposer courageusement les Rothschild publiquement devant des centaines. Cela, bien sûr, fait de lui un héros international et nous avons besoin de plus avec son genre de courage pour briser la dissimulation cachant la mafia khazar et mettre fin à leur pouvoir illégitime dans le monde. 

La mafia khazar (MK) décide d’infiltrer et de détourner toutes les banques mondiales en utilisant la magie noire babylonienne, également connue sous le nom de magie-argent babylonienne ou l’art secret de gagner de l’argent à partir de rien, en utilisant également le pouvoir de l’usure pernicieuse pour accumuler des intérêts:

La MK a utilisé sa vaste fortune pour entrer dans un nouveau système bancaire, basé sur la magie noire secrète de la magie noire de Babylone qu’ils prétendaient avoir apprise des mauvais esprits de Baal, en échange de leurs nombreux sacrifices d’enfants.

Cette magie de l’argent babylonienne impliquait la substitution de certificats de crédit papier aux dépôts d’or et d’argent, ce qui permettait aux voyageurs de voyager avec leur argent sous une forme qui offrait un remplacement facile s’ils perdaient les certificats ou les faisaient voler.

Il est intéressant de voir comment le problème même qui a été lancé par les Khazars avait également une solution fournie par eux. Finalement, le roi khazar et sa petite cour environnante ont infiltré l’Allemagne avec un groupe qui a choisi le nom «les Bauers» de l’Allemagne pour les représenter et poursuivre leur système du mal alimenté par Baal. Les Bauers du Bouclier Rouge, qui représentaient leurs sacrifices d’enfants secrets à base de sang, ont changé leur nom en Rothschild (alias «l’enfant du rocher, Satan»).

 

Les Rothschild en tant que pionniers de la mafia khazar (MK) s’infiltrent et détournent les banques britanniques, puis détournent toute la nation anglaise:

Bauer / Rothschild a eu cinq fils qui se sont infiltrés et ont pris le contrôle des banques européennes et du système bancaire central de la ville de Londres par le biais de diverses opérations secrètes astucieuses, y compris un faux rapport de Napoléon gagnant contre les Britanniques, alors qu’il a perdu. Cela a permis aux Rothschild d’utiliser la fraude et la tromperie pour voler la richesse de la noblesse anglaise et de la noblesse foncière, qui avait fait des investissements commerciaux avec les institutions bancaires de la City de Londres.

Les Rothschild ont mis en place un système bancaire privé Fiat spécialisé dans la fabrication de monnaie contrefaite à partir de rien – facturant une usure pernicieuse pour le peuple britannique, en utilisant ce qui aurait dû être son propre argent.

C’était l’art noir de la magie de l’argent babylonienne; ils ont affirmé aux initiés que cette technologie et ce pouvoir d’argent secret leur avaient été fournis par Baal, en raison de leurs fréquentes saignements d’enfants et de leurs sacrifices rituels à Baal.

Une fois qu’ils ont infiltré et détourné le système bancaire britannique, ils se sont croisés avec les Royals britanniques et ont infiltré et complètement détourné toute l’Angleterre et toutes ses grandes institutions. Certains experts pensent que les Rothschild ont génocidé les membres de la famille royale en organisant des reproductions illicites et adultères gérées secrètement avec leurs propres hommes Khazars afin de remplacer les Royals par leurs propres prétendants au trône.

 

La mafia khazar (MK) mène un effort international pour éradiquer les rois qui gouvernent par le droit divin :

Parce que la MK prétend avoir un partenariat personnel avec Baal (alias le Diable, Lucifer, Satan) en raison de leurs sacrifices envers lui. Ils détestent tous les rois qui gouvernent sous l’autorité de Dieu Tout-Puissant parce que la plupart se sentent responsables de s’assurer que leur propre peuple est protégé contre les infiltrés et les «ennemis traîtres dans les portes».

Dans les années 1600, la MK assassine les Royals britanniques et les remplace par leurs propres faux. Dans les années 1700, ils assassinent les Royals français. Juste avant la Première Guerre mondiale, ils assassinent l’archiduc autrichien Ferdinand pour lancer la Première Guerre mondiale. En 1917, ils ont rassemblé leur armée de la MK, les bolcheviks, et infiltré et détourné la Russie, assassinent le tsar et sa famille de sang-froid, baïonnette sa fille préférée à travers la poitrine et volent tous les trésors russes d’or, d’argent et d’art. Juste avant la Seconde Guerre mondiale, ils assassinent les Royals autrichiens et allemands. Ensuite, ils se débarrassent des Royals chinois et affaiblissent le dirigeant japonais.

La haine intense de la mafia khazar pour quiconque professait la foi en un Dieu autre que leur dieu Baal les a motivés à assassiner les rois et la royauté et à s’assurer qu’ils ne pourront jamais régner. Ils ont fait la même chose avec les présidents américains – en menant des opérations secrètes sophistiquées pour les affaiblir.

Si cela ne fonctionne pas, la MK les assassine, comme ils l’ont fait pour McKinley, Lincoln et JFK. La MK veut éliminer tous les dirigeants forts ou les élus qui osent résister à leur pouvoir babylonien de la magie de l’argent ou à leur pouvoir secret obtenu grâce au déploiement de leur réseau de compromis humain.

 

Les Rothschild créent le trafic international de stupéfiants pour le compte de la MK:

Les Rothschild dirigèrent alors secrètement l’Empire britannique et élaborèrent un plan diabolique pour récupérer les immenses quantités d’or et d’argent que les Britanniques avaient payées à la Chine pour sa soie et ses épices de haute qualité qui n’étaient disponibles nulle part ailleurs.

Les Rothschild, par le biais de leur réseau d’espionnage international, avaient entendu parler de l’opium turc et de ses caractéristiques d’accoutumance. Ils ont déployé une opération secrète pour acheter de l’opium turc et le vendre en Chine, infectant des millions de personnes avec une mauvaise habitude de l’opium qui a ramené de l’or et de l’argent dans les coffres des Rothschild, mais pas au peuple britannique.

Les addictions à l’opium créées par les ventes d’opium des Rothschild à la Chine ont tellement nui à la Chine que la Chine est entrée en guerre à deux reprises pour l’arrêter. Ces guerres étaient connues sous le nom de rébellions des boxeurs ou de guerres de l’opium.

L’argent que les Rothschild gagnaient de la vente d’opium était si vaste qu’ils devinrent encore plus dépendants de l’argent facile que les opiacés ne l’étaient à l’opium.

Les Rothschild étaient la source de financement derrière l’établissement des colonies américaines, en incorporant la Compagnie de la Baie d’Hudson et d’autres sociétés commerciales pour exploiter le Nouveau Monde des Amériques. Ce sont les Rothschild qui ont ordonné l’extermination et le génocide massifs des peuples indigènes d’Amérique du Nord pour permettre l’exploitation des vastes ressources naturelles du continent.

Les Rothschild ont également suivi le même modèle commercial dans les Caraïbes et dans le sous-continent asiatique de l’Inde, entraînant le meurtre de millions d’innocents.

Les Rothschild lancent la traite internationale des esclaves, une entreprise qui considérait ces humains kidnappés comme de simples animaux – une vision que les Khazars imposeraient à tous les peuples du monde qui ne faisaient pas partie de leur cercle pervers, que certains appelaient la «vieille noblesse noire». »:

Le prochain grand projet des Rothschild était de lancer la traite mondiale des esclaves, en achetant des esclaves à des chefs de tribus tordus en Afrique qui ont travaillé avec eux pour kidnapper des membres de tribus concurrentes pour les vendre comme esclaves.

Les marchands d’esclaves Rothschild ont ensuite emmené ces esclaves kidnappés sur leurs navires dans des cellules exiguës en Amérique et dans les Caraïbes où ils ont été vendus. Beaucoup sont morts en mer à cause de mauvaises conditions. 

Les banquiers Rothschild ont appris très tôt que la guerre était un excellent moyen de doubler leur argent en peu de temps en prêtant de l’argent aux deux parties en guerre. Mais pour être garantis des recouvrements, ils devaient faire adopter des lois fiscales qui pouvaient être utilisées pour forcer le paiement.

Les Fiat Counterfeit Banksters privés de la MK Rothschild complotent une vengeance éternelle contre les colons américains et la Russie qui les ont aidés à perdre la guerre révolutionnaire:

Lorsque les Rothschild ont perdu la Révolution américaine, ils ont blâmé le tsar russe et les Russes pour avoir aidé les colons en bloquant les navires britanniques.

Ils ont juré de se venger éternellement des colons américains, tout comme ils l’avaient fait lorsque les Russes et leurs alliés ont écrasé la Khazarie en 1000 après JC.

Les Rothschild et l’oligarchie anglaise qui les entouraient ont tracé des moyens de reprendre l’Amérique, et cela est devenu leur principale obsession.

Leur plan préféré est de créer une banque centrale américaine, mettant en vedette la magie de l’argent babylonienne et la contrefaçon secrète.

La MK Rothschild tente de reprendre l’Amérique en 1812 au nom de la mafia khazar mais échoue, encore une fois à cause de l’ingérence russe:

Cet échec a rendu furieux la MK Rothschild, et ils complotent une fois de plus une vengeance éternelle contre les Russes et les colons américains et prévoient d’infiltrer et de détourner les nations et la bande d’actifs, tyranniser puis assassiner en masse les deux nations et leur population.

Les tentatives de la MK de créer une banque centrale américaine privée sont bloquées par le président Andrew Jackson, qui les a qualifiées de sataniques et a juré de les expulser par la grâce et la puissance du Dieu Tout-Puissant.

Les banksters Rothschild se regroupent et poursuivent leurs tentatives secrètes d’installer leur propre banque babylonienne de magie de l’argent en Amérique.

Enfin, en 1913, la Rothschild MK réussit à établir une tête de pont majeure en Amérique – et un ennemi maléfique de tous les Américains entre par les portes de l’Amérique:

En 1913, le Rothschild MK a réussi à établir une tête de pont en soudoyant des membres tordus et traîtres du Congrès pour qu’ils adoptent la loi illégale et inconstitutionnelle de la Réserve fédérale la veille de Noël sans quorum requis. La loi a ensuite été signée par un président tordu, racheté, qui était un traître à l’Amérique, comme les membres du Congrès qui ont voté pour.

La MK Rothschild crée alors un système fiscal illégal en Amérique:

La MK a mis en place un système fiscal illégal et inconstitutionnel, afin de s’assurer que les Américains devraient payer pour des dépenses de haut niveau du gouvernement américain, approuvées par un Congrès et des marionnettes présidentielles tordus et rachetés, mis en place par une campagne corrompue de la MK la finance.

Il est facile pour la MK de recueillir suffisamment d’argent pour élire qui il veut parce que lorsque vous contrôlez une banque qui est un contrefacteur majeur secret, vous avez tout l’argent que vous désirez. À peu près au moment où ils ont créé leur système fiscal illégal en Amérique, ils ont également soudoyé des membres du Congrès pour qu’ils approuvent l’Internal Revenue Service, qui est leur agence de recouvrement privée constituée à Porto Rico.

Peu de temps après, ils ont créé le Federal Bureau of Investigation pour protéger leurs banquiers, répondre à leurs besoins de camouflage et les empêcher d’être poursuivis pour leurs rituels de sacrifices d’enfants, leurs réseaux de pédophiles; et pour servir également d’opération secrète d’Intel en leur nom.

Notez que le FBI n’a pas de charte officielle, selon la Bibliothèque du Congrès, et n’a pas le droit d’exister ou d’émettre des chèques de paie.

La MK Rothschild a déployé la révolution bolchevique en Russie pour imposer une vengeance incroyablement sauvage et sanglante sur des Russes innocents, qu’ils avaient planifiée pendant de nombreuses années, depuis la destruction de la Khazarie: 

La MK Rothschild a pré-organisé et conçu la Révolution russe en utilisant ses banques centrales pour payer l’infiltration bolchevique de la Russie et leur révolution au nom de la mafia Khazar (MK).

Les bolcheviks ont en fait été créés et déployés par la mafia khazar (MK) comme la partie essentielle de leur vengeance planifiée depuis longtemps sur le tsar russe et le peuple russe innocent pour avoir brisé la Khazarie en environ 1000 après JC pour ses vols, meurtres et vols d’identité répétés. des voyageurs des pays entourant la Khazarie. Ce fait peu connu explique l’extrême violence exercée contre la Russie comme une vengeance de longue date par la mafia khazarienne contrôlée par les Rothschild (MK). [/ Caption]

Dans une effusion de sang sauvage et inhumaine bien planifiée qui a assommé le monde, les bolcheviks se sont déchaînés en pleine fureur au nom de la MK pour se venger des Russes. Cela avait été planifié depuis la destruction de la Khazarie.

Les bolcheviks, sous la direction de la MK Rothschild, ont violé, torturé et assassiné en masse environ 100 millions de Russes, dont des femmes, des enfants et des nourrissons. Certaines des tortures et effusions de sang étaient si extrêmes que nous n’allons pas les mentionner ici dans cet article.

Mais les lecteurs qui veulent savoir peuvent faire des recherches approfondies sur Internet sur la «Terreur rouge» ou le «Bolchevik Cheka» ou regarder le film classique « The Checkist (1992) »».

La mafia khazarienne Rothschild (MK) a une fois de plus infiltré et détourné tout le judaïsme:

La MK Rothschild a créé un plan directeur pour contrôler tout le judaïsme et la maîtrise de l’esprit judaïque. La MK Rothschild a détourné le judaïsme, l’a modelé sur le talmudisme babylonien (luciférisme ou satanisme), et a pris le contrôle des professions bancaires et de Wall Street en général, le Congrès, les principaux médias de masse; avec la plupart des richesses et des moyens économiques de succès.

Ainsi, la MK Rothschild pourrait distribuer la richesse et le succès aux judaïques qui buvaient leur Kool-aide et les utilisaient comme découpages, actifs et Sayanims. De cette manière, les Rothschild ont détourné le judaïsme.

Leur financement de la Knesset israélienne et sa construction en utilisant l’architecture occulte franc-maçonne ont montré leur engagement envers le talmudisme occulte et babylonien et tout le mal qui l’accompagne, y compris le sacrifice d’enfants à leur dieu secret Baal. Ils ont mis en place un système du NOM appelé le sionisme mondial qui a enseigné et inculqué aux judaïques sensibles une illusion de groupe paranoïaque de supériorité raciale, qui supposait que tous les Gentils avaient l’intention d’assassiner en masse tous les judaïques.

L’architecture de la franc-maçonnerie a été utilisée dans le bâtiment de la Knesset et de la Cour suprême israélienne vue à travers les fenêtres. [/ Caption]

Ils ont appelé cette illusion judaïque de masse racialement paranoïaque de conquête du monde, «le sionisme mondial», qui est en réalité une forme de talmudisme babylonien ou de luciférisme secret qui était inconnue des judaïques traditionnels. Le système a été conçu pour utiliser les judaïques comme couverture, mais aussi pour les oindre avec le pouvoir de l’argent babylonien, afin de les utiliser comme découpages, et pour être plus tard sacrifié à Lucifer en deux étapes.

La première étape serait la Seconde Guerre mondiale prévue dans les camps de travail nazis, coupés des fournitures, entraînant la mort d’environ 200000 judaïques de faim et de maladie, ainsi que d’environ 90000 détenus non judaïques des mêmes causes, selon un responsable respecté de la Croix-Rouge. Les figures. Ce nombre représente 5% de ce que prétend la mafia khazar (alias les sionistes du monde).

Le deuxième grand sacrifice serait un dernier, lorsque leur roi luciférien du Nouvel Ordre Mondial serait placé au pouvoir, et lorsque les trois religions abrahamiques seraient éradiquées – en particulier le judaïsme, qui serait blâmé pour toutes les guerres et la destruction du monde.

D’ici là, les Rothschild se transformeraient à nouveau en une nouvelle identité complète non associée au judaïsme sous aucune forme, pas même au sionisme mondial.

Il est important de réaliser que la MK Rothschild a réduit l’Allemagne à néant après la Première Guerre mondiale, a créé un vide pour le fascisme, puis l’a reconstruit, créant le nazisme et installant Hitler comme une contre-force à leur bolchevisme russe.

Hitler est devenu un problème pour la MK quand il s’est libéré et a commencé à agir dans l’intérêt du peuple allemand et du peuple libre du monde, et a développé son propre système bancaire libre des Rothschild.

Hitler a introduit un système financier exempt d’usure et bénéfique pour la classe ouvrière. Cela exigeait la destruction totale de l’Allemagne et du peuple allemand parce que les Rothschild et les Khazars ne pouvaient jamais permettre à un système économique qui ne dépendait pas de l’usure d’exister.

On voit la même chose aujourd’hui avec la guerre des Khazars contre l’Islam parce que l’Islam interdit l’usure. C’est pourquoi Israël est si vocal et agressif pour détruire le peuple islamique du monde.

La MK s’attendait à ce que ce soit une grande Seconde Guerre mondiale et quand ils soutenaient les deux côtés, cela pourrait être utilisé pour industrialiser le monde entier et maximiser leur pouvoir monétaire de banquier.

La MK Rothschild a ensuite soudoyé et incité les membres du Congrès à envoyer des soldats américains à leur stade préparatoire et a conçu la Première Guerre mondiale:

Dans le prolongement de leur modèle éprouvé de financement des deux côtés dans toute guerre pour maximiser les profits, de l’acquisition de plus de fonds fiscaux fédéraux et d’un pouvoir international accru, les Khazars Rothschild ont une fois de plus soudoyé, fait chanter et incité les membres du Congrès à déclarer la guerre à l’Allemagne. en 1917.

Cela a été facilité par une attaque sous fausse bannière de la MK avec le naufrage du Lusitania.

La MK Rothschild a depuis développé le modèle habituel de mise en scène secrète d’attaques sous faux drapeau comme procédure opérationnelle standard pour inciter les Américains à mener des guerres pour la mafia khazar.

Après la fin de la Seconde Guerre mondiale, le Rothschild MK a déployé la guerre froide et l’a utilisé comme excuse pour amener des scientifiques nazis et des experts du contrôle de l’esprit en Amérique dans le cadre de l’opération Paperclip.

Cela leur a permis de mettre en place un système mondial d’espionnage et d’espionnage qui dépassait de loin tous leurs efforts antérieurs.

Dans le cadre de ce nouveau système, ils continuent d’infiltrer et de détourner toutes les institutions américaines, y compris les divers systèmes religieux américains, la franc-maçonnerie (en particulier le rite écossais et le rite York), l’armée américaine, Intel américain et la plupart des entrepreneurs privés de défense, le pouvoir judiciaire et la plupart agences du gouvernement américain, y compris la plupart des gouvernements des États, ainsi que les deux principaux partis politiques.

La MK Rothschild installe des camps de travail nazis comme prétexte pour manipuler plus tard les Alliés afin qu’ils leur accordent leur propre colonie privée en Palestine, en utilisant des terres volées aux Palestiniens:

La MK Rothschild a pu utiliser son soi-disant « holocauste » mal étiqueté pour servir de déclencheur de contrôle mental pour contrecarrer et résister à toute critique de leurs manières sionistes.

La vérité est que la MK Rothschild a mis en place les camps de travail nazis pour faire d’énormes profits pour leurs entreprises qui géraient leurs camps de travail et fournissaient leur machine de guerre nazie.

Une fois que les Rothschild MK ont gagné leur propre patrie privée en Israël en 1947 grâce à leurs manipulations politiques secrètes, ils ont commencé à voir secrètement toute la Palestine comme leur nouvelle Khazarie et ont commencé à comploter comment génocide tous les Palestiniens et voler toute la Palestine pour eux-mêmes. Leurs plans incluent leur fantasme de construire un «grand Israël» en prenant le contrôle de tout le Moyen-Orient et en manipulant les stupides Goyim américains pour qu’ils se battent et meurent en leur nom, prenant toutes les terres arabes pour Israël et la mafia Khazar (MK), afin qu’ils puissent des actifs dépouillent leur richesse et leurs ressources naturelles, en particulier leur pétrole brut.

Une récente recherche génétique de Johns Hopkins, revue par des pairs, menée par un médecin judaïque respecté montre que 97,5% des judaïques vivant en Israël n’ont absolument aucun ADN hébreu ancien, ne sont donc pas des Sémites et n’ont aucun lien de sang ancien avec la terre de Palestine. En revanche, 80% des Palestiniens portent un ancien ADN hébreu et sont donc de vrais Sémites, et ont d’anciens liens de sang avec la Terre palestinienne. Cela signifie que les véritables antisémites sont les Israéliens qui volent les terres palestiniennes pour construire des colonies israéliennes, et ce sont les Israéliens qui tyrannisent et assassinent en masse des Palestiniens innocents.

Rothschild passe sa dynastie à la 7e génération, marquant 200 ans de règle de la famille des banquiers

La MK Rothschild décide de se métamorphoser à nouveau et d’élargir ses rangs:

Entre-temps, les Rothschild MK ont réalisé qu’ils ne pourraient pas rester cachés plus longtemps du public à moins qu’ils ne se métamorphosent à nouveau et élargissent leur leadership secret.

Ils ont donc travaillé dur pour infiltrer et détourner davantage la franc-maçonnerie et ses ramifications secrètes et ont intronisé les principaux membres dans leur réseau pédophile et leurs rituels de sacrifice d’enfants.

En outre, des membres clés du Congrès ont été intronisés dans leur réseau satanique secret en leur donnant un pouvoir spécial, des positions élevées au sein du gouvernement américain, de l’armée et d’Intel, accompagnées de grandes récompenses monétaires et d’un statut élevé. Des fronts d’espionnage massifs de la MK utilisant la double nationalité israélo-américaine «israélienne d’abord» comme découpages ont été mis en place en Amérique pour canaliser la fausse monnaie des banquiers khazars vers les politiciens pour leurs campagnes électorales, afin de les posséder et de les contrôler lorsqu’ils sont élus.

La MK Rothschild décide de Mind-kontrôler les masses américaines pour qu’il soit beaucoup plus facile de les manipuler afin qu’elles approuvent leurs guerres perpétuelles illégales, inconstitutionnelles, non déclarées, non gagnables et nécessaires pour faire d’énormes profits et gagner plus de puissance mondiale:

La MK Rothschild a décidé de prendre le contrôle complet de toute l’éducation publique en créant le ministère de l’Éducation et en créant des programmes mondialistes et socialistes basés sur le politiquement correct, la diversité et les enseignements «perversion est normal». Du fluor est ajouté à l’eau et au dentifrice publics, et les dentistes sont convaincus que le fluor empêche les caries et n’est pas nocif pour le fonctionnement du cerveau ou de la thyroïde, ce qu’il est.

L’ajout de fluorure à l’approvisionnement public en eau et au dentifrice a pour effet d’alourdir les Américains en abaissant en moyenne le QI opérationnel et en rendant les gens beaucoup plus dociles qu’ils ne le seraient normalement. Des programmes visant à développer et à déployer des vaccins pour les enfants stupides et à créer un grand nombre de futurs problèmes de santé chroniques ont été lancés.

Les médecins ont été contrôlés par l’esprit et induits en erreur par des recherches biaisées qui ont été triées sur le volet, ignorant toutes les études qui étaient négatives – et qui incluaient la plupart d’entre elles. Toutes les lignées cellulaires du vaccin sont contaminées par le SV-40, un virus cancérigène à action lente connu.

La MK a utilisé son pouvoir monétaire pour prendre le contrôle de  toutes les écoles de médecine allopathiques, et a créé et contrôlé l’American Medical Association et d’autres sociétés médicales, afin de s’assurer que leur programme basé sur le mensonge et la tromperie était poursuivi.

Une partie de ce plan massif pour abattre et contrôler l’esprit des masses américaines était le rachat par la MK et la consolidation de tous les médias de masse américains en six grands médias contrôlés (CMMM), détenus et contrôlés par leurs découpages en leur nom. La CMMM fonctionne comme un cartel d’information illégal, et elle devrait être démantelée en vertu des lois antitrust et pour avoir infligé l’espionnage et la propagande illégale comme arme de guerre contre le peuple américain.

Les chefs de la MK Rothschild décident qu’il est temps d’utiliser l’Amérique pour achever leur démantèlement final et leur occupation du monde entier en instituant une attaque majeure sous faux drapeau en Amérique pour blâmer les islamiques qu’ils veulent que l’Amérique attaque à tort en leur nom. :

Ainsi, les Chefs de la MK utilisent leurs meilleurs citoyens binationaux israélo-américains «Israéliens d’abord» vivant en Amérique (alias les PNACers et les meilleurs NeoCon Cutouts) pour planifier une attaque nucléaire majeure sur l’Amérique le 11 septembre 2001.

Bibi Netanyahu, le chef opérationnel de la MK, a  déployé le Mossad et ces doubles citoyens pour mettre en place et instituer cette attaque contre l’Amérique  qui devait être imputée par la CMMM aux musulmans.

Ils ont informé leurs principaux rabbins et «Amis du sionisme mondial» de ne pas voler ce jour-là et de rester en dehors de New York, tout comme «Larry Silverfish», l’un des principaux hommes impliqués dans l’opération.

Ils ont utilisé leur découpe principale dans le DOD pour attirer les enquêteurs de Able Danger vers la salle de réunion Pentagon Naval Intel, où ils seraient assassinés par un missile de croisière Tomahawk tiré d’un sous-marin diesel de classe Dolphin israélien acheté à l’Allemagne.

Trente-cinq des enquêteurs Able Danger qui enquêtaient et suivaient le vol israélien de 350 puits nucléaires désaffectés W-54 Davy Crockett hors de la porte dérobée à Pantex au Texas ont été assassinés par ce coup de Tomahawk, qui a été chronométré avec l’explosion de bombes pré -planté dans l’aile Naval Intel, qui a été récemment durcie en vain.

La société écran du Mossad israélien, Urban Moving Systems, a été utilisée pour transporter les mini-armes nucléaires fabriquées à partir des puits nucléaires volés W-54 de Pantex (et fabriquées à l’origine à l’usine de traitement de Hanford), où elles étaient stockées à l’ambassade d’Israël à New York. et transporté aux tours jumelles pour la détonation le 9-11-01.

Baal alias Moloch, Lucifer, Satan. Faites votre choix, c’est le même esprit pervers qui veut assassiner en masse tous les humains. En échange de son «sale boulot», il récompense ceux qui lui permettent d’arracher leur âme en leur donnant des richesses, une renommée et un pouvoir incroyables. C’est le contrat de sang secret appelé «vendre son âme».

Le programme secret incroyablement maléfique de la mafia khazarienne (MK) est maintenant révélé publiquement pour la toute première fois par Gordon Duff, de Veterans Today. Nous savons maintenant que Bibi Netanyahu a mené l’attaque nucléaire contre l’Amérique le 11 septembre 2001 et l’a fait comme un agenda global de la mafia khazar (MK).

Accrochez-vous à votre chaise, c’est un très grand secret et explique une grande partie de ce qui se passe en Amérique, le tout causé par Israël et la mafia Khazariane (MK) qui a infiltré presque toutes les institutions gouvernementales et sociales américaines.

Maintenant, pour la toute première fois, le secret très spécifique de l’Agenda incroyablement maléfique de la mafia khazarienne (MK) va être révélé, grâce à une interview que Mike Harris a eue avec le rédacteur en chef et directeur de Veterans Today, Gordon Duff, dans son émission-débat «The Extrémité courte du bâton »sur 3-10-15.

J’ai entendu beaucoup de secrets d’initiés choquants au fil des ans, mais celui-ci prend vraiment le gâteau et explique exactement ce qu’Israël et ses serviteurs en Amérique ont été pour nous au nom de la mafia Rothschild Khazarian (MK) qui a foiré presque tous les aspects de nos vies à créer une économie pauvre, beaucoup de chômage et de sous-emploi, des crimes massifs, de l’alcoolisme et de la drogue, des écoles foutues qui abasourdissent les enfants, divers programmes d’eugénisme comme le fluorure dans l’eau publique et le dentifrice, et le mercure dans les vaccins qui sont un gros fraude et corruption politique endémique.

Cette interview envoie maintenant des ondes de choc dans le monde entier et lorsque vous considérez le contenu que Gordon Duff a divulgué pour la première fois publiquement, vous serez choqué. Et vous comprendrez que Bibi Netanyahu est le chef opérationnel de la mafia khazar (MK) et a été celui qui a ordonné et supervisé l’attaque nucléaire israélienne sur l’Amérique le 9-11-01.

Dans cette interview, Gordon Duff a révélé à partir d’une transcription écrite de ce qui a été dit lors d’une réunion entre Bibi Netanyahu et un traître américain et d’autres espions en 1990. Gordon Duff a révélé que Netanyahu était un espion du KGB comme Jonathan Pollard. Et nous savons maintenant qu’Israël a commencé comme un satellite de la Russie bolchevique et qu’il était assez mécontent de la chute de l’Union soviétique.

Benjamin Netanyahu se réunissait au bar Finks à Jérusalem, un abreuvoir bien connu du Mossad. Voici ce qu’il a dit  tiré directement de la transcription de l’enregistrement  qui a été témoin et qui a été entièrement authentifié à 100%:

 » Si nous nous faisons prendre, ils nous remplaceront simplement par des personnes du même tissu. Donc, peu importe ce que vous faites, l’Amérique est un veau d’or et nous le sucerons, le hacherons et le vendrons pièce par pièce jusqu’à ce qu’il ne reste plus que le plus grand État providence du monde que nous créerons et contrôlerons. . Pourquoi? Parce que c’est la volonté de Dieu et que l’Amérique est assez grande pour prendre sans broncher tous nos coups afin que nous puissions le faire encore, encore et encore. C’est ce que nous faisons aux pays que nous détestons. Nous les détruisons très lentement et les faisons souffrir pour avoir refusé d’être nos esclaves . »

C’est exactement ce que la mafia Rothschild Khazarian (MK) fait à l’Amérique depuis qu’elle a réussi à infiltrer et à détourner l’Amérique en 1913. La connaissance de ce que Bibi a dit au nom de la Mafia Rothschild Khazarian (MK) devrait nous rendre tous furieux et motivés à chasser ces créatures maléfiques d’Amérique et reprendre notre grande République.

Lorsque Bibi Netanyahu mentionne la volonté de Dieu, le dieu auquel il faisait allusion est Baal (également connu sous le nom de Grand Hibou ou Moloch), le dieu que ces Khazariens croient les oblige à l’adorer par des effusions de sang constantes et des sacrifices humains douloureux et des meurtres de masse et que si ils «vendent leurs âmes» à Baal (alias Lucifer ou Satan). Ils seront récompensés par des richesses incroyables, une renommée et une grande puissance. Lorsqu’ils «vendent leurs âmes», ce qui se passe réellement, c’est que leurs âmes sont arrachées et qu’ils deviennent inhumains ou sans âme et prennent les caractéristiques de Baal, c’est-à-dire qu’ils deviennent de plus en plus psychopathes et méchants.

Ce dont parlait Bibi Netanyahu était la prochaine attaque nucléaire contre l’Amérique le 11 septembre 2001, et quand il a mentionné «ils vont simplement nous remplacer», il faisait référence au Cercle des Douze supérieur, le groupe auquel il répond au propre chroniqueur de Veterans Today. et l’animateur de talk-show Stew Webb a révélé au monde en identifiant 11 des 12 qui se disent les «Illuminati» ou «Disciples de Satan». Ces hommes font des sacrifices d’enfants semi-annuels à Denver et mangent le cœur des enfants, boivent leur sang après les avoir pédophiles.

Folks, nous devons transmettre cette information à tous ceux que nous pouvons, puis unir et chasser ces écumes adoratrices de Baal sans âme de tous les coins et recoins de l’Amérique et les traduire en justice et en jugement final pour tout leur mal incroyable.

Quiconque comprend ce que Bibi Netanyahu pense des Américains comme un veau d’or à la dépouille des actifs et au massacre devrait être enragé et conduit à l’organisation communautaire et à l’action politique contre l’espionnage israélien en Amérique par le biais du système de réserve fédérale, de l’AIPAC, de la JINSA, du Defense Policy Board, le CFR et autres.

La MK Rothschild planté a 25 armes nucléaires dans les grandes villes américaines et d’autres grandes villes d’Europe afin de faire chanter les gouvernements « associés ». Cette opération de chantage nucléaire est appelé leur option Samson, et a été découverte et divulguée pour la première fois par Seymour Hersh:

La MK Rothschild a également obtenu des ogives S-19 et S-20 d’un membre corrompu du Congrès chargé d’acheter des Mirv ukrainiens au nom de l’USG afin de les mettre hors service. Au lieu de cela, il les a vendus aux Israéliens et a partagé l’argent avec d’autres membres clés du Congrès impliqués.

Il s’agit d’une haute trahison et d’une infraction capitale passible de peine de mort. Juste après leur attaque contre l’Amérique, la MK Rothschild a déclaré à l’administration américaine qu’ils feraient exploser des armes nucléaires de la taille d’un buster dans certaines villes américaines, y compris Washington DC, si l’administration refusait d’autoriser Israël à créer sa propre force d’occupation policière en Amérique, basé sur la consolidation de toutes les forces de l’ordre  américains sous un contrôle central israélien.

Cette nouvelle force d’occupation israélienne appelée Homeland Security (DHS) était initialement dirigée par des doubles citoyens et des pervers. L’ancienne directrice du DHS, Janet Napolitano est poursuivie pour harcèlement sexuel d’hommes travaillant au DHS à qui elle a ordonné de déplacer leurs bureaux dans les toilettes pour hommes.

Le traître à double nationalité Michael Chertoff, (un nom traduit du russe par «fils du diable»), était le cerveau criminel qui a créé le DHS, avec l’ancien chef de la Stasi est-allemande, Marcus Wolfe, qui a été embauché comme consultant spécial et mourut mystérieusement dès que sa mission fut accomplie.

Les Rothschild MK n’ont jamais pensé qu’ils seraient exposés pour leur attaque nucléaire contre l’Amérique du 11 sept 2001, mais ils ont commis l’une des plus grandes erreurs tactiques de l’histoire et ont surjoué  d’un excès d’orgueil, basé sur un succès trop facile en raison de leur pouvoir monétaire extrême .

Bientôt toute l’Amérique saura que Bibi Netanyahu et son parti crypto-nazi, le Likoud ont organisé l’attaque contre l’Amérique le 11 septembre 2001 au nom de la MK Rothschild:

Ils pensaient qu’ils avaient un contrôle total sur tous les médias et qu’ils pouvaient empêcher que l’enquête secrète de l’AIEA et de Sandia Labs ne soit jamais rendue publique.

Ils ont commis une grave erreur tactique parce que maintenant la vérité sur leur rôle dans l’attaque du 11 septembre 2001 contre l’Amérique est publiée sur l’Internet mondial , la nouvelle presse mondiale Gutenberg. Ce que la MK Rothschild n’a pas compris, c’est la puissance d’Internet et comment les pépites de vérité publiées et diffusées sur celui-ci résonnent avec les peuples du monde et se propagent comme une traînée de poudre, à la vitesse de la lumière. La vérité est diffusée partout dans les masses.

Cette incroyable erreur tactique de la MK est si grande qu’elle les condamnera en fait à l’exposition complète et à la destruction complète qu’ils méritent. L’ordre de Bibi Netanyahu de poursuivre et de lancer l’attaque nucléaire contre l’Amérique le 11 septembre 2001 restera dans l’histoire comme l’une des plus grandes erreurs de la MK, et celle qui sera blâmée pour leur dénonciation et destruction par le monde qui est maintenant en gangs contre eux.

Les Russes ont maintenant divulgué les fichiers de l’AIEA et de Sandia Labs et Able Danger qui leur ont été remis par Edward Snowden. Bientôt, tous ces fichiers seront fournis à tous les Américains et dans le monde via Internet, et cela ne peut pas être arrêté.

Un certain nombre de Russes au haut commandement militaire en Russie et aux plus hautes positions de direction du gouvernement russe se rendent compte que c’est la même Cabale du crime organisé qui a organisé les Khazars en bolcheviks pour assassiner en masse 100 millions de Russes innocents – et ces hommes veulent un remboursement.

C’est pourquoi ils s’assurent que les banquiers Rothschild seront mis à la faillite, ce qui décapitera la mafia Khazariane de sa masse monétaire illimitée et sans fin. C’est pourquoi la BRICS Development Bank a été créée – pour remplacer le Petro Dollar américain en tant que monnaie de réserve mondiale, mais celui-ci, contrairement au Petro Dollar américain, est soutenu par de l’or, de l’argent et des matières premières réelles, sans contrefaçon autorisée.

La CMMM échoue, et la plupart des Américains ne croient plus à aucune de leurs histoires nationales aux heures de grande écoute, en particulier les moins de trente ans, qui choisissent des faits sur Internet et construisent leurs propres croyances.

Tant d’internautes rejettent maintenant la CMMM que la vérité sur l’attaque des Israéliens contre l’Amérique le 11 septembre 2001 devient de plus en plus facile à croire chaque jour. Bientôt, toute l’Amérique dominante saura que Bibi Netanyahu, son Mossad et sa double nationalité ont commis l’attaque du 11 septembre 2001 contre l’Amérique.

Le haut commandement militaire américain sait que Bibi Netanyahu a ordonné à son Mossad et aux Américano-israéliens  d’attaquer l’Amérique à l’aide d’armes nucléaires le 11 septembre 2001 au nom de la mafia Rothschild Khazarian (MK):

Diverses opérations secrètes de couverture profonde sont actuellement déployées dans le monde entier pour exposer et décapiter la MK Rothschild de leur masse monétaire sans fin et élastique.

Leurs jours de pouvoir anti-humain sont désormais limités. L’équipe américaine secrète, incroyablement bien entraînée, appelée les «Nuclear Snake-Eaters», travaille désormais d’arrache-pied pour rechercher toutes les valises diplomatiques et expéditions israéliennes entrantes; conduire et survoler les synagogues et les ambassades israéliennes et les refuges du Mossad avec des détecteurs de neutrons gamma et hélium-3 de haute technologie; et utiliser des satellites ultra-high-tech réglés et focalisés sur mesure pour rechercher les puits nucléaires stockés, ainsi que travailler dur pour récupérer tous les puits nucléaires volés par les Israéliens partout dans le monde en dehors d’Israël.

Cette équipe de super-élite a été alertée par l’appel téléphonique de Michael Shrimpton au MI-6 pour les informer qu’un «City Buster» israélien a été planté près du stade olympique. Cet appel l’a conduit à tort en prison. Le City Buster a été récupéré par les «Nuclear Snake-eaters», qui sont entrés en Angleterre et ont récupéré et désarmé un grand buster urbain. Malheureusement, le MI-6 voulait que cette arme nucléaire fasse exploser afin de gagner plus de pouvoir pour la mafia khazar en Angleterre – leur port d’attache dans le quartier financier de la ville de Londres – car elle perd rapidement du pouvoir.

Un nom secret pour ces chefs de la MK qui dirigent une grande partie du monde hors de la ville de Londres est Gog et Magog, malgré ce que tant d’historiens pensent être le nom secret de la Russie, ce qu’elle n’est pas. C’est le nom secret du top MK, et représente apparemment d’où ils venaient.

L’équipe secrète de super-élites «mangeurs de serpents nucléaires» est prête à être déployée en Israël à tout moment, si la nation s’effondre après que la plupart des entreprises européennes se sont désinvesties d’Israël, et que les États-Unis coupent toute aide, afin de se conformer à la loi américaine. Il est illégal d’aider une nation qui possède des armes nucléaires et qui n’a pas signé l’accord de non-prolifération nucléaire. Israël possède des armes nucléaires détectables à partir de capteurs d’hélium-3 satellitaires et ne l’a jamais admis, ni signé l’accord de non-prolifération nucléaire. Nous devons tous exiger que notre Congrès et notre Administration obéissent à la loi et interrompent immédiatement toute aide monétaire et militaire à Israël, et arrêtent tous les directeurs du front d’espionnage israélien de l’AIPAC, de la JINSA, du Defense Policy Board, du «Joint» à New York, et l’ADL, etc.

On ne sait pas mais on soupçonne qu’un nombre important de ces armes nucléaires volées ont déjà été récupérées. Il a été rapporté par des initiés qu’un message très solennel a été communiqué à Bibi Netanyahu et à ses Likudistes, ainsi qu’à tous les principaux membres des fronts d’espionnage israéliens en Amérique, comme l’AIPAC, la JINSA, le Defense Policy Board, l’ADL et autres.

Quel était cet avertissement sérieux? Si les rapports d’initiés sont exacts, on a dit à ces gens que s’il y avait une autre attaque sous faux drapeau israélienne, ceux qui l’ont ordonnée ou ont été impliqués seront traqués par la sécurité nationale américaine et éliminés, et les structures de défense israéliennes associées à une telle volonté être transformé en poussière.

Le reste de l’histoire de Rothschild MK sera probablement déterminé par VOUS:

L’avenir de la MK Rothschild sera probablement déterminé par les lecteurs de Veterans Today et par We The People, qui apprenons l’histoire secrète et interdite de la mafia Khazar qui a été excisée des livres d’histoire et des bibliothèques par la MK pour protéger leur histoire perverse que personne ne le ferait. accepter s’il était connu.

Alors partagez cette histoire avec votre famille, vos amis et vos associés et prenez-la virale. Soyez clair à ce sujet – à moins que la MK ne puisse opérer dans le plus grand secret, il sera attaqué de toutes parts et détruit à jamais. Alors emportez leur secret en exposant leur histoire cachée pour que tous les Américains la connaissent et la comprennent.

C’est pourquoi ils ont travaillé si dur pour acheter et contrôler tous les grands médias et l’éducation de masse publique, y compris les collèges et les universités, pour s’assurer que les peuples du monde ne découvriraient jamais leur mal secret, qui est si inhumain, si meurtrier que le le monde entier se liguerait contre eux et les attaquerait de tous côtés à tous les niveaux où ils existent.

La grande question demeure: la véritable cause des dirigeants de l’incroyable mal et de la sauvagerie de la mafia khazar à l’égard de la race humaine était-elle un sous-produit, une nature ou une culture? Certains pensent que ce parasitisme flagrant et cette tendance au meurtre de masse, à la pédophilie, à la saignée et au sacrifice d’enfants sont dus à une culture toxique, mieux décrite comme un tribalisme malin, caractérisé par une illusion de supériorité raciale de groupe paranoïaque. D’autres pensent que les dirigeants de la MK sont la lignée de Caïn, c’est-à-dire les «enfants de Caïn», qui appartiennent au diable et n’ont absolument aucune âme ou conscience humaine, mais sont de purs prédateurs comme une bête sauvage – tout en même temps être  incroyablement double , qui est capable de mettre  un bon con et un joli visage dehors. Cela pourrait peut-être être les deux facteurs. Dans tous les cas, il est temps d’exposer ce mal, le plus grand mal que le monde ait jamais connu. Il est temps que le monde travaille ensemble pour éradiquer ce problème maintenant et pour toujours, par tous les moyens nécessaires.

L’attaque du navire USS Liberty:l’histoire d’un crime de guerre planifié par Israël

Si le président américain D. Trump (Make America Great Again) veut vraiment honorer les militaires américains, qu’il commence par ceux de l’U.S.S. Liberty.

Le 8 juin 1967 , un navire de la marine américaine, l’ USS Liberty , naviguait en Méditerranée, lorsque l’armée israélienne l’a délibérément attaqué.

Le drapeau américain à bord à l’époque était bien en vue lorsque cette attaque ignoble par trois avions israéliens banalisés s’est produite. Trois torpilleurs ont rejoint la sauvagerie en commençant par des roquettes, puis ont napalonné nos troupes utilisées au Vietnam, ce qui a provoqué de nombreuses protestations en raison de son effet sur la peau brûlante. Comme si ce n’était pas assez brutal, les soldats américains à bord du Liberty ont été bombardés de mitrailleuses alors qu’ils tentaient d’éteindre les incendies que ces assaillants avaient déclenchés et trois attaques de torpilles ont terminé l’assaut pour faire bonne mesure! De plus, les Israéliens ont tiré sur tous les radeaux de sauvetage du navire américain, ce qui était un crime de guerre pour un navire en détresse extrême. 

 

Imaginez que vous embarquiez sur un navire d’une nation qui n’est pas en guerre avec une autre, et que votre navire qui naviguait tranquillement dans les eaux internationales par une belle journée de juin, soit soudainement attaqué par des avions de guerre et des lanceurs de torpilles non identifiés, leurs marques étant dissimulées pour cacher leur pays d’origine.

Le navire attaqué avait peu de moyens pour se défendre, mais son équipage s’est assuré héroïquement qu’un grand drapeau national était hissé pour démontrer qu’il n’était belligérant dans aucun conflit. Les assaillants ont noté la nationalité du navire, mais ont persisté dans leur agression dans une tentative claire de couler le navire et de tuer tout son équipage. Les officiers à bord du navire ont annoncé par radio qu’ils étaient attaqués et ont demandé de l’aide. Promptement, des avions de chasse amis venaient à la rescousse lorsque, brusquement, ils ont été mystérieusement rappelés et ordre leur fut donné de ne pas intervenir. Les attaques contre le Liberty ont duré deux heures, plus longtemps que l’attaque de Pearl Harbor qui a provoqué l’entrée américaine dans la Seconde Guerre mondiale, tuant et blessant plus de deux cents membres d’équipage. Les radeaux de sauvetage descendus dans l’eau alors que le navire semblait couler étaient mitraillés par l’aviation attaquante et par les torpilleurs pour rendre impossible l’évacuation des blessés, mais le capitaine et les survivants ont travaillé héroïquement et avec succès pour maintenir le navire à flot. Lorsque le navire a finalement regagné le port de Malte, les survivants (officiers et équipage) ont été obligés, par leur propre gouvernement, de prêter serment de garder le silence. Puis une opération de camouflage a été lancée et a persisté jusqu’à ce jour. De nombreux survivants du navire sont décédés depuis ce jour, il y a 53 ans, et les tentatives des autres de voir la justice les assister avant leur disparition ont été ignorées.

Soldat blessé lors de l’attaque israélienne.

Je fais bien sûr référence à l’attaque israélienne contre l’U.S.S. Liberty, qui a eu lieu le 8 juin 1967, il y a près de 53 ans. L’anniversaire de l’attaque approche dans un mois et les officiers et l’équipage restants organiseront une cérémonie au mémorial de la Marine à Washington D.C. pour honorer la mémoire de leurs trente-quatre compagnons de bord tués et des 172 blessés. Soixante-dix pour cent de l’équipage ont donc été des victimes, le pourcentage le plus élevé de victimes sur un navire resté à flot dans l’histoire de la marine américaine. Le vaisseau de collecte de renseignements légèrement armé Liberty et son équipage héroïque qui ont émergé de la quasi-destruction est considéré comme le navire le plus décoré dans la marine américaine.

 

La volonté israélienne d’attaquer et de tuer inutilement des Américains, apparemment pour envoyer un message, a déjà été notée [1]. Il y a le cas de achel Corrie écrasée par un bulldozer israélien et de Furkan Dogan, un Turco-américain qui a été, comme l’équipage du Liberty, tué dans les eaux internationales lorsqu’il a navigué sur le navire de secours pour Gaza, Mavi Marmara. Mais malgré cela, la tentative délibérée de détruire le Liberty, qui, selon l’ancien secrétaire d’État américain Dean Rusk, a été clairement approuvée au plus haut niveau du gouvernement de l’État juif, a toujours une valeur de choc.

Les apologistes d’Israël (un dispositif accroché comme des tiques à tous les niveaux du gouvernement américain ainsi que dans le monde universitaire et les médias) ont longtemps fait valoir que l’attaque contre le Liberty était une sorte d’accident de « tir ami ». Mais la découverte relativement récente qu’un avion espion de la Marine a intercepté et enregistré des pilotes d’hélicoptères et de chasseurs israéliens mentionnant le drapeau américain affiché par le navire pendant l’attaque suggère le contraire. D’autres enregistrements des communications israéliennes ont révélé que certains pilotes ne voulaient pas attaquer. Un pilote a déclaré: “Il s’agit d’un navire américain. Je peux voir le drapeau. Voulez-vous toujours que nous attaquions? ” Le contrôle terrestre israélien a répondu: “Oui, exécutez les ordres. Frappez-le! » avant d’avertir les pilotes de «Finissez le travail».

Mais alors que l’on s’attend à ce soit les Israéliens qui se sont  comporté de manière abominable, sur la base de leurs crimes de guerre commis, depuis de longues années, dans des endroits comme le Liban et ce qui reste de la Palestine, le plus grand crime contre l’équipage du Liberty a été commis par le gouvernement américain lui-même. Le président Lyndon B. Johnson (LBJ) et le secrétaire à la Défense Robert McNamara auraient été informés de l’attaque dès son début et c’est Johnson qui a personnellement ordonné à deux reprises le rappel des avions de chasse américains qui allaient sauver le Liberty de l’attaque juive. L’amiral Lawrence Geis, commandant du groupe de porte-avions en Méditerranée à partir duquel les avions avaient décollé, s’y est opposé et McNamara a répondu avec colère que «le président Johnson ne va pas faire la guerre ni embarrasser un allié américain pour quelques marins». C’est McNamara, qui a de nouveau agi sur ordre de LBJ, qui a ensuite séquestré l’équipage après que le navire est arrivé à Malte, émettant un «ordre de silence» sur l’incident, étant entendu que toute personne qui en parlerait serait secrètement soumise à la cour martiale et emprisonnée.

 

Vétérans de l’USS Liberty

Pour maintenir la dissimulation, le capitaine William McGonagle, qui a reçu la médaille d’honneur du Congrès pour son rôle dans la sauvegarde du navire, a vu sa médaille décernée sans aucune publicité lors d’une cérémonie privée au Washington Naval Yard plutôt qu’à la Maison Blanche comme c’était la tradition. Le président des États-Unis n’a pas non plus participé à la décoration, encore une fois le refus de la valeur de l’équipage du Liberty.

Normalement, une attaque contre un navire de la marine américaine aurait entraîné une enquête officielle, mais dans le cas du Liberty, une équipe improvisée composée de l’amiral juif Isaac Kidd et du chef du conseil Ward Boston a été réunie en Méditerranée sous les ordres de l’amiral John S. McCain, père du sénateur John McCain [2], qui était basé à Londres. La «  Cour d’enquête  » officielle de la Marine consistait donc en réalité à ce que Kidd et Boston se rendent rapidement au Liberty en mer, puis se précipitent à Washington via Londres, où McCain approuve le projet de document de 700 pages sans le lire. Le rapport préparé à la hâte a contourné toutes les procédures ordinaires d’établissement des faits et de révision juridique et personne ne sait par quels canaux les «conclusions de la Cour d’enquête» ont suivi à Washington.

Agissant sur ordre de la Maison Blanche, l’enquête n’avait eu qu’une semaine pour préparer son rapport, une procédure qui prend normalement six mois. Le résultat a également été prédéterminé par McNamara agissant pour LBJ, qui a ordonné que la conclusion serait que l’attaque contre le Liberty avait été un «cas d’identité erronée».

Aucun membre d’équipage du Liberty n’a même été autorisé à témoigner officiellement pendant l’enquête. Néanmoins, l’avocat en chef de l’enquête, Ward Boston, a par la suite confirmé dans un affidavit sous serment que lui et Kidd étaient fortement en désaccord avec les conclusions forcées, estimant plutôt qu’Israël avait organisé une attaque non provoquée dans le but de couler le navire et de tuer tout l’équipage. L’amiral Kidd a qualifié les Israéliens de «salauds meurtriers». Boston a également observé que la transcription de la cour d’enquête qui avait été publiée par la suite avait été modifiée, vraisemblablement par une personne agissant au nom de la Maison Blanche, pour supprimer et modifier les témoignages préjudiciables à Israël.

Comme c’est souvent le cas, il y a une histoire derrière ce qui est arrivé au Liberty. Dans les années précédant l’attaque contre le Liberty, le président John F.Kennedy était préoccupé par les Juifs américains puissants et riches qui tentaient de détourner la politique étrangère américaine pour favoriser Israël. Il a également pris des mesures pour empêcher le développement israélien d’armes nucléaires. Après avoir été assassiné, son successeur à la présidence, Lyndon B. Johnson, qui a été décrit comme ayant une carrière politique «entrelacée avec des Juifs», a vu les choses très différemment. Il a fermé les yeux sur le programme nucléaire israélien et s’est entouré d’amis et de conseillers juifs qui étaient activement engagés dans la promotion de l’agenda sioniste, certains d’entre eux étant vraisemblablement des agents du Mossad.

Les plus éminents de ce groupe étaient les Krim, (Arthur et Mathilde), lui un éminent avocat des médias et chef de studio qui était un collecteur de fonds du Parti démocrate et elle une généticienne, née en Suisse et convertie au judaïsme qui avait vécu en Palestine sous mandat britannique avec son premier mari, un terroriste d’Irgun. La terreur juive était une cause qu’elle soutenait activement. Les Krims étaient des compagnons réguliers de LBJ tout au long de sa présidence, avec une chambre réservée à la Maison Blanche et une maison près de son ranch à Stonewall au Texas quand il était en vacances là-bas. Johnson a également séjourné dans leur manoir à New York.

Le président Johnson et sa maîtresse,
l’agent du Mossad, Mathilde Krim

Au moment de la guerre des Six jours lorsque le Liberty a été attaqué, les Krims étaient constamment aux côtés de LBJ et il est généralement admis qu’ils travaillaient tous les deux au nom du gouvernement israélien pour cultiver une inclinaison présidentielle décisive vers Israël. Johnson, en fait, a été informé à l’avance de l’intention israélienne de faire la guerre à ses voisins et a donné son feu vert, acceptant même de venir en aide à l’État juif en cas de problème. Pour sceller l’accord, Mathilde avait même forniqué avec LBJ, une situation bien connue du personnel de la Maison Blanche et des services secrets.


EN COMPLÉMENTAIRE

La fraude dans le rapport historique des Forces de défense israéliennes de 1982-Le rapport de Tsahal


K. J. Halliwell (10 décembre 2004 – Révisé le 3 juin 2013)
En 1982, le Département d’histoire de Tsahal (Forces de défense israéliennes), la Direction de la recherche et de l’instruction
rapport complet sur l’attaque de Tsahal le 8 juin 1967 contre l’USS Liberty. Le rapport est intitulé, l’attaque
sur l’incident «Liberty».
Dans le rapport d’historique de Tsahal (IDFHR), à la page 18, il y a deux prétendues images de caméra de pistolet avec un
description qui prétend que les images montrent l’USS Liberty attaqué et identifie les principales caractéristiques du navire.
Ces prétendues images de caméra de pistolet sont de très mauvaise qualité. (Si une copie de meilleure qualité du rapport peut
être trouvée, elle sera remplacée par la copie actuelle de faible qualité, et cette analyse sera mise à jour en conséquence.)
Vous trouverez ci-dessous l’une des prétendues images photographiques de la caméra des armes à feu contenues dans l’édition anglaise du rapport.

Prétendue vraie image de très faible qualité.

 

 

 

 

 

 

Heureusement, il existe de meilleures copies des prétendues images de la caméra des armes à feu de Tsahal . En 1986, Thames Ltd. a sorti un film intitulé « Attack on the Liberty ». Dans ce film, il y a deux ensembles de prétendues images de caméras de pistolet qui montrent deux navires apparaissant distinctement différents – chacun étant supposé être des images de l’USS Liberty attaqué. [1]   Un ensemble d’images apparaît comme l’image du navire publiée dans l’IDFHR . L’autre ensemble d’images apparaît comme l’image du navire publiée dans le livre de A. Jay Cristol, « The Liberty Incident ». [2]  Les images de qualité supérieure IDFHR / Thames sont présentées ci-dessous.

 

Vous trouverez ci-dessous une comparaison de l’une de ces prétendues images de caméra avec une véritable image photographique de l’USS Liberty . (Remarque: l’image de la « caméra du pistolet » a été légèrement tournée dans le sens des aiguilles d’une montre pour se rapprocher de la perspective photographique de l’ image de l’ USS Liberty .)

 

Les innocents n’ont pas besoin de fabriquer des preuves. S’il s’agissait d’un procès criminel, ces criminels seraient en prison.

Si vous étudiez attentivement et objectivement les images IDFHR / Thames, vous devriez bientôt vous rendre compte que le navire montré dans les « photos de la caméra des armes à feu » IDFHR / Thames n’est pas l’USS Liberty . Vous devriez voir de nombreuses fonctionnalités clés manquantes ou différentes sur le navire IDFHR / Thames par rapport à l’USS Liberty .

Caractéristiques manquantes et différences sur le navire IDFHR / Thames (voir les images ci-dessous):

    • Les mâts d’antenne avant et arrière et le mât central du radar sont manquants.
    • Les bases d’antenne à manchon unipolaire cylindrique sur le pont avant sont manquantes.
    • L’antenne TRSSCOMM derrière la superstructure est manquante.
    • Les roufs avant et arrière sont manquants.
    • La grande cheminée cylindrique de fumée est manquante. Au lieu de cela, des structures rectangulaires apparaissent au-dessus de la superstructure.
    • La forme et la disposition générales de la superstructure ne correspondent pas.

 

 

 


Depuis 1967, il y a eu un certain nombre de documentaires, de livres et d’enquêtes officieuses concernant l’attaque contre le Liberty, mais la résistance des suspects habituels a fait que l’histoire n’est pas devenue plus connue. Pendant ce temps, le Congrès, le Pentagone et la Maison Blanche ont refusé d’autoriser des audiences formelles équitables et impartiales qui reconnaîtraient les lacunes de l’enquête de 1967 et qui comprendraient les témoignages des survivants de Liberty restants. Le sénateur John McCain était connu pour son traitement désinvolte des supplications des survivants, tout comme était alors membre du Congrès et maintenant gouverneur Ron DeSantis de Floride, un ancien Navy Seal. DeSantis se considère désormais comme le gouverneur le plus pro-israélien des États-Unis .

Les enquêtes officieuses les plus sérieuses ont concerné d’anciens officiers militaires. En 2003, l’amiral Thomas Moorer, ancien président des chefs d’état-major interarmées, a formé une commission d’enquête indépendante pour enquêter sur l’attaque. Il a produit Loss of Liberty, un documentaire qui comprenait des entretiens avec des survivants. La commission, qui comprenait le contre-amiral Merlin Staring, le général de marine Ray Davis et l’ambassadeur James Akins, a examiné toutes les preuves documentaires de l’affaire et interrogé à la fois les survivants et d’autres officiers de marine impliqués indirectement. Ils ont appris que le Liberty avait été surveillé par les Israéliens pendant au moins huit heures avant l’attaque et que le navire était à la fois clairement marqué comme étant américain et était indubitable en tant que navire de collecte de renseignements à configuration unique et immédiatement reconnaissable, pas même proche du profil d’un transporteur égyptien de chevaux, comme Israël l’a ensuite affirmé. Au cours de l’attaque soigneusement planifiée, Israël a utilisé le brouillage radio pour tenter d’empêcher le Liberty de transmettre par radio sa situation.

La commission Moorer a conclu qu’Israël avait délibérément attaqué le Liberty et tenté de le couler et de tuer tout son équipage. Les membres d’équipage qui ont été tués ont été «assassinés» par Israël alors que les États-Unis auraient dû considérer l’attaque comme un acte de guerre et aurait du y répondre de manière appropriée. La dissimulation de ce qui s’est passé a été ordonnée par la Maison Blanche et le fait que la vérité sur l’incident continue d’être cachée est une «honte nationale». Dans un éditorial que Moorer a écrit en 2004, il a conclu en demandant: «Notre gouvernement a-t-il fait passer l’intérêt d’Israël avant le nôtre? Si oui, pourquoi? »

En octobre 2003, la commission Moorer a présenté son rapport sur Capitol Hill, même si son public était souvent limité aux membres du personnel du Congrès plutôt qu’aux membres naturellement craintifs (ceux qui avaient quelque chose à se reprocher). Un an plus tard, le représentant John Conyers du Michigan a surmonté une résistance considérable à ce que le rapport et certaines informations d’accompagnement soient consignés dans le registre du Congrès. Moorer et l’amiral Staring, un ancien juge-avocat général de la Marine, qui avait été l’avocat du bureau McCain à Londres et qui n’avait pas été autorisé à examiner attentivement le rapport de la Cour d’enquête, a continué de plaider pour une enquête honnête sur l’attaque. sur le Liberty jusqu’à leur mort en 2004 et 2013 respectivement.

Ce qui nous amène au présent à la question de la justice pour les survivants du Liberty qui se réuniront le mois prochain. L’histoire du Liberty montre qu’il y a encore cinquante-trois ans, le gouvernement des États-Unis trahissait son propre peuple par soumission au pouvoir juif et à l’État d’Israël. Si quelque chose d’aussi horrible que le meurtre de 34 personnes à bord du Liberty a eu lieu, la situation s’est encore aggravée car Washington envoie des milliards de dollars à l’État juif chaque année tout en donnant à son gouvernement kleptocratique le feu vert pour commettre des crimes de guerre et d’autres agressions qui finiront par attirer les États-Unis dans la guerre et pourraient vraisemblablement entraîner notre ruine. Il est pour le moins désagréable de voir un État voyou, sans aucune restriction ni retenue et sans principes, faire de terribles dommages son plus grand patron, grâce aux machinations d’une cinquième colonne à double loyauté, mais c’est ce que nous constatons tous les jours.

Et cette véritable pourriture a vraiment commencé avec l’attaque de l’U.S.S. Liberty, quand des Américains patriotes sont morts au gré d’un président aussi inepte qu’incompétent, et qui aimait un pays étranger plus que le sien. On espère qu’il pourrit en enfer. Aujourd’hui, peu d’Américains connaissent même le nom du  Liberty, même s’ils sont actuellement confrontés à une élection au cours de laquelle deux candidats à la présidence chercheront à se surpasser pour exprimer leur amour pour Israël. Trump et Biden devraient plutôt prendre une pause ; et faire en sorte que la justice soit rendue pour les victimes, mortes et survivantes, de l’USS Liberty, condition sine qua non de leur candidature.


MYSTÈRE RÉSOLU

Page originale montrant la fraude du Thames pour le compte des sionistes

Pendant des années, les survivants de Liberty et les chercheurs ont cherché à savoir pourquoi la photographie de caméra israélienne présentée par Thames, Ltd., la télévision et apologiste Jay Cristol sur la couverture de son livre est floue avec la plupart des détails obscurcis. En fait, les photos typiques de la caméra des armes à feu ont tendance à être assez nettes. Pourquoi celui-ci est-il si flou et quelle est la grande zone blanche près de la proue tribord? Le vaisseau n’a pas subi de gros coups dans cette zone, donc cela ne peut pas être expliqué comme une explosion.

Ken Halliwell a répondu aux questions. La photo affichée par Cristol et d’autres comme «preuve que le navire ne battait pas de pavillon» est en fait une vue trafiquée du navire au moment où elle s’est amarrée à l’embarcadère de Little Creek, en Virginie, en juillet 1967, à son retour des réparations. à Malte.

Un examen attentif des deux photos, avec les points correspondants encerclés par Halliwell, révèle qu’ils sont en fait presque la même image – mais la vue de la « caméra du pistolet » a été falsifiée pour cacher le drapeau et d’autres marques d’identification. Si un spectateur regarde attentivement, le drapeau américain flotte de la poupe sur les deux images. Les drapeaux ne volent de la poupe d’un navire de la Marine qu’au port; le drapeau vole du grand mât en mer. Il s’agit d’une photo prise au port en juillet, non prise lors de l’attaque comme le prétendent les Israéliens. Il ne peut pas s’agir d’une photo prise par une caméra prise pendant l’attaque, comme le prétendent les Israéliens. Si vous regardez attentivement, des groupes identiques d’hommes peuvent être vus debout à des endroits identiques sur le navire sur les deux images. Le « splash » blanc sur la proue tribord est une image trafiquée du remorqueur qui a aidé Liberty passez à l’embarcadère de Little Creek.

 

Après une inspection minutieuse, on peut également voir sur la fausse photo de la caméra du pistolet que le navire flotte haut dans l’eau. Lorsque le navire a été attaqué, il était lourdement chargé et flottait très bas dans l’eau. La photo d’amarrage montre le navire légèrement chargé et flottant haut après avoir juste terminé une traversée de l’océan Atlantique et de la mer Méditerranée – à la même hauteur que celle indiquée sur la fausse photo de la caméra.

 

 

Un examen attentif de la vague d’étrave montre que cela est également truqué. Puisque l’image utilisée comme « photographie de caméra de canon » était en fait le navire le long de la jetée de Little Creek, il était nécessaire de créer une fausse vague d’étrave pour maintenir l’illusion du mouvement. Cela peut être vu clairement si l’on compare la fausse vague d’étrave avec une vague d’étrave d’un navire similaire en cours.

 


Pourtant, leur faux ne connaît pas de limites. Un examen attentif de la « fumée » dans leurs images de caméra de pistolet simulées révèle que la fumée est en fait représentée se déplaçant transversalement au vent, et en fait il n’y a pas eu d’incendies dans cette zone.

 

 

Ils ont même simulé la fumée dans leurs fausses images de « caméra de pistolet ». Les photos de la « caméra à canon » révèlent une épaisse fumée noire (mise en évidence ici) provenant d’un incendie sur le pont principal, côté tribord, dans la zone du concert du capitaine (bateau) et obscurcissant l’antenne TRSSCOMM Moon Bounce. Selon les hommes qui se trouvaient dans cette zone à l’époque, et vérifiés par des photographies prises peu de temps après l’arrêt du tournage, il n’y a eu aucun incendie dans cette zone et la photographie ne révèle aucun dégât de fumée ou d’incendie. Même s’il y avait eu un feu enfumé dans cette zone, le vent venait de plein air et la fumée aurait dérivé vers l’arrière, pas de gauche à droite, puis vers l’arrière comme on le voit faussement ici. Les dommages causés par la fumée et le feu seraient visibles sur l’image du bas, le concert serait endommagé et l’antenne TRSSCOMM serait certainement noircie par la fumée.

Aucune incendie ni dégât de fumée ici.

 


 

Une analyse plus approfondie des quatre photographies, supposément prises par un jet Mirage lors de la deuxième attaque de la journée, révèle que les quatre photos sont prises à partir d’une position identique, ce qui ne serait pas le cas si elles étaient effectivement prises à partir d’un rapide- avion à réaction en mouvement. Les faussaires ont placé l’anneau de tir supposé, le cercle de points, sur les photographies pour simuler une image de caméra de pistolet, en déplaçant l’anneau d’une image à l’autre. Mais la falsification est révélée par le fait que les quatre photos sont prises à partir d’une position identique, et non à partir d’un avion à réaction à grande vitesse s’approchant du navire lors d’une attaque.

 

Source : Israel’s War Crimes Have Killed Americans


HISTOIRE D’UN SURVIVANT

 

Chip s’est marié pour la première fois dans la classe d’Annapolis en 1960 avec Pat Replogle en juin 1960

 

 

Dan entrant dans RA5C Sanford NAS Fla.1965

 

Ltjg. Dan avec le nez cassé et les yeux noirs après 3 passes TD pour RVAH3 Sanford, Fl 1965

 

 

 

Dan au rassemblement pour la paix à San Francisco jette des médailles dans un cercueil après une déclaration anti-guerre 1970

ET MAINTENANT EN 2020:

La vérité est sortie…toute grande sur le « False Flag » sioniste d’Israël.