Important video in english: UFO the NASA secret communication part 1 and 2

It’s  one of the  most  censored  video on the beginning the  Third Millenium and I  pick these today for your   interest in that matter.

 

 

[videopress 2uymUiCU]

 

[videopress PMkOMPSM]

 


IN COMPLEMENT:

[videopress VqkQyRJP]

« Also, notice the two brighter UFOs get frightened by his sudden movement and they both make a 135 degree sharp turn, and head downward. 

 


SOME PICTURES

 

 

 

 

 

 

 

 

Astronomie:Vénus aurait été habitable pendant des milliards d’années

Le climat de la planète Vénus aurait été stable et tempéré pendant pratiquement trois milliards d’années, ce qui aurait permis à la vie de s’y développer, affirment des planétologues américains.

Un événement planétaire mystérieux a ensuite redessiné 80 % de sa surface, montrent des modèles climatiques créés par l’astrophysicien Michael Way et ses collègues de l’Institut d’études spatiales Goddard affilié à la NASA.

La planète voisine de la Terre aurait-elle pu abriter la vie? Fort probablement, si on se fie aux simulations de l’équipe américaine qui laissent à penser que des températures entre 20 et 50 degrés Celsius auraient prévalu sur la deuxième planète du système solaire pendant environ trois milliards d’années.

De nos jours, elle est considérée comme la planète la plus chaude du système, avec une température moyenne à sa surface avoisinant les 460 °C.

Les sondes américaines Pionner-Vénus 1 et 2 ont détecté dans les années 1970 les premiers indices selon lesquels la planète aurait peut-être déjà eu un océan peu profond.

Selon les chercheurs, un climat tempéré y serait encore observé de nos jours si l’événement cataclysmique, survenu il y a environ 700 ou 750 millions d’années, n’avait pas provoqué un rejet massif de dioxyde de carbone dans l’atmosphère. Ce gaz était jusque-là emprisonné dans les roches de la planète.

Une planète volcanique

L’explication pourrait bien être liée à l’intense activité volcanique de la planète. Il est fort possible que de grandes quantités de magma s’y soient accumulées, libérant dans l’atmosphère une énorme quantité de dioxyde de carbone qui n’aurait pas été réabsorbée dans sa surface au fil du temps pour une raison toujours inconnue.

Topographie de Vénus:on y distingue des continents.

Cet apport massif de CO2 dans l’atmosphère aurait déclenché un intense effet de serre, qui a entraîné les températures vers le haut.

Si la vie a pu y exister par le passé, elle aurait disparu à la suite de l’événement. De nos jours, Vénus reste un monde improbable pour la présence de la vie, non seulement à cause de la température élevée, mais aussi en raison de la pression à sa surface.

Des volcans seraient toujours actifs sur la planète.

Notre fiche descriptive de la planète : Vénus, la jumelle si différente

Les principale missions vers Vénus

  • En 1961, Vénéra-1 devient le premier vaisseau spatial à visiter Vénus. Malheureusement, le contact avec cette sonde soviétique est perdu lorsqu’elle se trouve à 100 000 km de Vénus.
  • En 1964, la sonde soviétique Zond 1 passe à 100 000 km de Vénus, mais ne transmet aucune donnée.
  • En 1965, Vénéra-3 réussit la première entrée dans l’atmosphère de la planète, mais, encore une fois, aucune information n’est transmise.
  • En 1967, Vénéra-4 pénètre dans l’atmosphère de Vénus et envoie des informations jusqu’à environ 25 km de sa surface.
  • La même année, la sonde américaine Mariner 5 effectue un vol rapproché jusqu’à 4000 km de la surface.
  • En 1970, la sonde Vénéra-7 réussit un premier atterrissage.
  • Deux ans plus tard, Vénéra-8 envoie des informations sur la surface de la planète et sa composition atmosphérique.
  • En 1975, la sonde Vénéra-9 retransmet les premières images de sa surface.
  • Plusieurs sondes seront par la suite envoyées, dont les américaines Pionner-Vénus 1 et 2, et transmettront des informations sur son atmosphère.
  • En 1982, la sonde Vénéra 13 envoie les premières photos en couleur de la surface et les premières analyses de son site d’atterrissage.
  • Entre 1989 et 1994, la sonde américaine Magellan permet de cartographier 98 % de la surface de Vénus. Cette sonde observe le sol de Vénus par radar. En effet, les nuages empêchent de voir le sol. Les images sont reconstituées à partir des données radar.
  • En 2005, la sonde Venus Express est lancée par l’Agence spatiale européenne. Cette mission, qui s’est achevée en 2014, a permis de récolter de nombreuses informations sur la planète.
  • En 2010, la sonde spatiale japonaise Akatsuki se place en orbite autour de Vénus, mais cette orbite est toutefois beaucoup plus élevée que celle visée, ce qui ne lui permet pas de remplir tous ses objectifs.
Photo de Vénus par Venera 3.

 

 

 

Les démocrates ouvrent la procédure de destitution à l’endroit de Donald Trump

 

La présidente de la Chambre des représentants annonce une enquête sur la destitution de Donald Trump.

La présidente de la Chambre des représentants, Nancy Pelosi, qui avait jusqu’ici servi de pare-feu à cette démarche en raison des risques électoraux qu’elle pose, a fini par annoncer, mardi après-midi, l’ouverture de l’enquête, aussitôt dénoncée par Donald Trump.

Cette démarche exceptionnelle de la politique américaine est réservée pour les actes de trahison, corruption ou autres crimes et délits majeurs.

 

Au cours d’un point de presse de six minutes, la démocrate la plus puissante du Congrès a accusé le président d’avoir violé la loi et ses responsabilités constitutionnelles pour faire des gains politiques.

Invoquant le système de contrepoids du système politique américain, elle a exposé les motifs de sa décision. L’administration Trump a refusé de remettre la plainte d’un lanceur d’alerte au Congrès, comme la loi l’exige, et le président lui-même a admis avoir demandé au président de l’Ukraine de poser des actions qui lui seraient bénéfiques [au président Trump] sur le plan politique, a-t-elle martelé.

Les démocrates soupçonnent Donald Trump d’avoir fait pression sur son homologue ukrainien, Volodymyr Zelensky, au cours d’un entretien téléphonique ayant eu lieu en juillet dernier pour qu’il relance une enquête sur une société gazière qui comptait le fils de son rival démocrate Joe Biden au sein de son conseil d’administration. Ils croient que le président pourrait l’avoir menacé, directement ou implicitement, de bloquer l’aide financière de près de 400 millions de dollars destinée à la défense du pays dans son conflit avec des autonomistes soutenus par la Russie.

Le président Trump a récemment admis avoir demandé à son homologue ukrainien d’enquêter sur Hunter Biden, mais a nié toute forme de pression.

« Le président doit rendre des comptes »

La présidente de la Chambre semble faire le pari que l’électorat, en majorité opposé à une procédure de destitution, atteindra à son tour le point de non-retour. Le rapport du procureur spécial Robert Mueller, qui avait relevé des exemples d’entraves à la justice de la part du président, n’avait pas fait bouger l’aiguille.

Le président doit rendre des comptes. Personne n’est au-dessus de la loi, a martelé Mme Pelosi.

«Les actions de la présidence Trump ont révélé le fait déshonorant selon lequel le président a trahi son serment de fonction, trahi notre sécurité nationale et trahi l’intégritéde nos élections.»

-Nancy Pelosi, présidente de la Chambre des démocrates

Dans les minutes qui ont suivi l’allocution de Mme Pelosi, le président Trump, qui était à l’Assemblée générale de l’ONU, à New York, a dénoncé dans une série de tweets une saleté de chasse aux sorcières et s’est dit victime d’harcèlement présidentiel.

L’annonce de Nancy Pelosi survient quelques heures après que Donald Trump eut accepté de rendre publique la transcription de son entretien avec le président ukrainien, qui selon plusieurs médias américains, est au centre de la plainte du lanceur d’alerte, qui travaillerait pour la communauté du renseignement.

Elle devance aussi de deux jours le témoignage du directeur du renseignement national (DNI) par intérim, Joseph Maguire, devant le Comité du renseignement de la Chambre. Celui-ci devra expliquer pourquoi il a refusé de transmettre à la commission la plainte du lanceur d’alerte mystère, pourtant jugée crédible par l’inspecteur général de la communauté du renseignement, Michael Atkinson, nommé par M. Trump.

Au cours de son allocution, Mme Pelosi a d’ailleurs sommé M. Maguire de partager la plainte du lanceur d’alerte lors de sa comparution devant le comité.

Il devra choisir entre violer la loi ou honorer sa responsabilité envers la Constitution, a-t-elle averti.

L’enquête sur la destitution n’incombera pas à un comité spécial, comme cela avait été le cas lors de l’enquête sur le Watergate visant le président républicain Richard Nixon, en 1974. Mme Pelosi a précisé que les six comités investiguant déjà sur divers sujets liés à Donald Trump et à son administration poursuivront leurs enquêtes sous le parapluie de l’enquête sur la destitution.

La carte de la transparence abattue sur le tard

En après-midi, avant l’annonce des démocrates, le président a joué la carte de la transparence, mais c’était trop peu trop tard.

Le président Donald Trump a indiqué qu’il avait autorisé la publication de la transcription de sa conversation avec son homologue ukrainien.

J’ai autorisé la publication demain de la transcription complète, entièrement déclassifiée et non censurée de ma conversation téléphonique avec le président Zelensky d’Ukraine, a-t-il déclaré sur Twitter.

Vous verrez que c’était un appel très amical et tout à fait approprié, a-t-il soutenu.

La Maison-Blanche avait déjà refusé de rendre publique la transcription de conversations avec le président russe, Vladimir Poutine, invoquant l’absence de précédent.

Selon plusieurs médias, la conversation avec le président ukrainien n’est cependant pas la seule au cœur de la plainte du lanceur d’alerte.

Le président du Comité du renseignement de la Chambre, Adam Schiff, a indiqué en cours de journée que le lanceur d’alerte était pour sa part prêt à témoigner devant la commission et son pendant au Sénat. Il a dit espérer qu’il comparaîtrait cette semaine.

Avant son discours devant l’Assemblée générale des Nations unies, à New York, Donald Trump a encore nié avoir fait pression sur l’Ukraine afin de tenter de nuire à son rival démocrate Joe Biden.

Je mène dans les sondages. Ils ne savent pas comment m’arrêter, a-t-il déclaré, même si les principaux candidats à l’investiture démocrate le devancent dans les intentions de vote.

M. Trump a cette fois affirmé qu’il avait retardé l’aide américaine à l’Ukraine parce que les pays européens n’avaient pas payé leur juste part pour soutenir le pays. La veille, il avait pourtant lié sa décision à des préoccupations concernant la corruption en Ukraine.

Selon le Washington Post, le président avait pris cette décision au moins une semaine avant la conversation controversée avec le président ukrainien.

L’aide financière à l’Ukraine a finalement été autorisée la semaine dernière.

Républicains et candidats démocrates sur le pied de guerre

Les alliés républicains du président n’ont pas manqué de dénoncer le fait que les démocrates n’aient pas attendu la publication de la transcription de l’entretien téléphonique entre les présidents américain et ukrainien avant d’annoncer la procédure de destitution.

Le leader de la majorité républicaine au Sénat, Mitch McConnell, a déploré dans un communiqué l’obsession vieille de trois ans des démocrates pour la destitution .

Ils n’arrivent pas à accepter les résultats de l’élection de 2016, a pour sa part affirmé sur Twitter le leader de la minorité républicaine à la Chambre, Kevin McCarthy.

Les démocrates ne cherchent pas à aider les Américains, a soutenu le camp républicain, qui a prédit que leurs adversaires en paieraient le prix aux urnes.

Plusieurs candidats à l’investiture démocrate ont pour leur part applaudi à la décision de Mme Pelosi. C’est le cas de la sénatrice Elizabeth Warren, qui avait lancé un appel pour cette procédure dès le mois d’avril, du sénateur Bernie Sanders, de leur collègue Kamala Harris et de l’ex-représentant Beto O’Rourke.

En après-midi, le meneur de la course, Joe Biden, avait appelé à lancer la procédure de destitution si le président refusait de coopérer avec les enquêtes du Congrès, notamment sur l’affaire ukrainienne qui le concerne malgré lui.

La pression montait dans les rangs démocrates

Nancy Pelosi a procédé à son annonce nucléaire après avoir rencontré les leaders démocrates et l’ensemble de son caucus.

Outrés par l’affaire ukrainienne, plusieurs élus modérés ou représentants des districts qui ne sont pas acquis à leur formation ont changé de cap au cours des derniers jours, ce qui a fait augmenter la pression sur les leaders démocrates, qui avaient jusqu’ici joué de prudence.

Les démocrates de la Chambre ont ravi 43 sièges aux républicains lors des élections de mi-mandat de 2018; 21 d’entre eux l’ont fait avec des marges inférieures à 5 %, ce que gardait en tête la meneuse des troupes démocrates.

Une trentaine d’élus démocrates a rejoint les rangs des partisans d’une procédure de destitution dans la foulée du témoignage de l’ex-procureur spécial Robert Mueller devant la Chambre cet été.

L’affaire ukrainienne a fait céder plusieurs digues, et les plus progressistes ne se sont pas gênés pour interpeller directement leurs leaders.

La Chambre, présentement dominée par les démocrates, n’a pas encore le nombre d’appuis requis pour lancer la mise en accusation, qui nécessite la majorité simple des élus qui votent. Si l’ensemble des 435 représentants se prononçaient, le chiffre magique serait alors de 218, mais il serait moins élevé si les élus votaient en moins grand nombre.

Selon le décompte du New York Times, 202 représentants démocrates (sur un total de 235) soutiennent désormais cette option, et ce nombre croît d’heure en heure. Un ex-républicain devenu indépendant s’est joint à eux.

Si la procédure aboutit à une mise en accusation, le procès proprement dit relèverait du Sénat, sous contrôle républicain, où le scénario d’une destitution a peu de chances de se réaliser. À travers toutes les tempêtes, les républicains sont restés loyaux au président Trump.

Une procédure de destitution est exceptionnelle. Seuls deux présidents ont été mis en accusation – Andrew Johnson en 1868, puis Bill Clinton en 1998 – mais ont été acquittés, et un autre, Richard Nixon, a démissionné en 1974 avant d’être mis en accusation.

 

 

Il y a 70 ans,l’empire anglo-américain planifiait de détruire l’URSS avec 300 bombes atomiques

Des papiers secrets révèlent que des scientifiques russes ont empêché le plan fou de l’Amérique de larguer 300 bombes nucléaires et 20.000 de bombes classiques sur l’URSS après la Seconde guerre mondiale

La nouvelle image technologique de la civilisation – smartphones et superordinateurs – ne serait pas apparue sans la bombe atomique. Le président de l’Institut Kurchatov, Mikhail Kovalchuk, a parlé aujourd’hui de cette relation, ce qui est assez inattendu à première vue. Des archives du service de renseignement étranger, documents précédemment classés, sur les développements qui ont joué un rôle clé il y a 70 ans ont été confiés au Centre national de recherche. Cependant, ce n’était pas seulement les smartphones et les superordinateurs qui sont apparus à la suite. C’était aussi l’avenir de la Russie (et du monde). Juste après la fin de la Seconde guerre mondiale, l’Empire anglo-américain  voulait affirmer sa domination sur le monde et éliminer toute opposition possible. Et l’URSS était la première cible. Une douzaine de plans ont été conçus. Le plan le plus important, baptisé Operation Unthinkable ( Opération Impensable), avait pour objectif principal «d’imposer à la Russie la volonté des États-Unis et l’empire britannique. « 

Les noms donnés aux autres plans à  but offensif: Bushwhacker, Broiler, Sizzle, Shakedown, Offtackle, Dropshot, Trojan, Pincher et Frolic. Le plan Dropshot de 1949 prévoyait que les États-Unis attaqueraient la Russie et largueraient au moins 300 bombes nucléaires   et 20.000 tonnes de bombes conventionnelles sur 200 cibles dans 100 zones urbaines, y compris Moscou et Saint-Pétersbourg (connue sous le nom de Leningrad à l’époque). En outre, les planificateurs envisageaient également de lancer une grande offensive contre la Russie pour remporter une « victoire complète » sur   l’Union soviétique avec les alliés européens. Selon le plan, Washington commencerait la guerre le 1 er janvier 1957. Cependant, la Russie a rapidement testé sa propre arme nucléaire, mettant ainsi le plan en suspens. 

[videopress 9MVkd1kG]

A quel point une guerre nucléaire serait-elle destructive? ce qui a amené les États-Unis à «repenser» leur stratégie. La Vidéo montre comment et pourquoi le MAD (destruction mutuellement assurée) fonctionne.

 

Sources:

[videopress dbfzR5LA]

 

 

 

 

Le scandale tenu secret de la Maison Blanche:L’Opération Fast and Furious

Des missiles américains capturés au camp de rebelles islamiques libyens –

Les souvenirs de l’attaque du 11 septembre à Benghazi resurgissent

Joe Hoft par Joe Hoft 30 juin 2019

 

Le New York Times ( extrême gauche) rapporte que des armes américaines ont été trouvées en Libye –

 

Des combattants du gouvernement libyen ont découvert cette semaine une cache de puissants missiles américains, généralement vendus uniquement à des alliés proches des américains, dans une base rebelle capturée dans les montagnes au sud de Tripoli.

 

 

Les quatre missiles antichars Javelin, qui coûtent plus de 170 000 dollars chacun, ont fini par renforcer l’arsenal du général Khalifa Hifter, dont les forces mènent une campagne militaire pour conquérir la Libye et renverser un gouvernement soutenu par les États-Unis.

 

Les marquages ​​figurant sur les conteneurs d’expédition des missiles indiquent qu’ils avaient été vendus aux Émirats arabes unis, un partenaire américain important, en 2008.

 

Les infos auraient été retrouvés sur un tweet sur Twitter –

 

 

Le problème avec les missiles pour la plupart des Américains est qu’ils raménent des souvenirs de Benghazi.

 

Barack Obama était au courant des attentats terroristes du consulat à Benghazi 90 minutes après le début des attentats du 11 septembre.

 

L’attaque à Benghazi s’est déroulée en deux vagues au consulat et a duré plus de dix heures.


L’attaque de Bengazi

L’attaque de Benghazi de 2012, parfois désignée comme la bataille de Benghazi, a eu lieu le soir du 11 septembre 2012, dans un contexte post-première guerre civile libyenne, lorsque des militants islamiquesl’enceinte ont attaqué diplomatique américaine de Benghazi, en Libye, tuant l’ambassadeur américainJ. Christopher Stevens, et le fonctionnaire Sean Smith. Stevens est alors le premier ambassadeur américain tué dans l’exercice de ses fonctions depuis 1979.

Plusieurs heures plus tard, une seconde attaque a visé un autre site de la ville, tuant notamment deux contractants de la CIA (Tyrone S. Woods et Glen Doherty). Une dizaine d’autres personnes ont également été blessées dans les attaques.
Les États-Unis ont immédiatement augmenté le niveau de sécurité des installations diplomatiques et militaires dans le monde. À la suite d’une enquête, en tant que secrétaire d’ÉtatHillary Clinton, a ensuite pris la responsabilité des manquements à la sécurité sur ces sites.


 

Des «pilleurs» libyens (terroristes) ont retrouvé le corps de l’ambassadeur Chris Stevens quelques heures après le début de l’attaque.

FOX News Special Report a déclaré que le président était au courant des attaques trois heures après le début de leurs attaques.

 

Obama est allé au lit.

L’ancien membre du Congrès, Jason Chaffetz, a raconté à Sean Hannity le reste de l’histoire. Chaffetz fut le premier législateur américain à arriver à Benghazi après les attaques.

 

Mardi, à l’occasion du sixième anniversaire des attaques terroristes à Benghazi, Chaffetz a déclaré à Sean Hannity que les héros de Benghazi avaient été licenciés après leur arrivée en Allemagne après les attentats. Obama-Hillary les a virés et ils ont dû trouver leur propre chemin de retour en Amérique.

 

Et ensuite, l’administrateur Obama leur a retiré leurs autorisations de sécurité afin qu’ils ne puissent plus travailler au sein du gouvernement.

 

C’est ainsi qu’Obama et Clinton ont traité les survivants de Benghazi. Nous découvrons maintenant que des armes américaines ont été retrouvées en Libye. Étaient-ils utilisés pour attaquer les États-Unis à Benghazi?

 

US Missiles Captured at Libyan Islamic Rebel Camp – Memories of Benghazi 9-11 Attack Resurface

Read more at http://avisdetempete.e-monsite.com/pages/latempete-thestorm/trahison-treason.html#F279JomqTwHABSfS.99

Le scandale à Washington dont personne ne parle 

Un article et des informations fournies Par Paul Sperry

 

 Le président Obama et son ancien procureur général Eric Holder discutent du scandale des armes à feu Fast and Furious – mais un juge a ordonné la publication de 20 000 pages d’e-mails et de mémos enfouis.AP (2)

Le scandale meurtrier mais oublié du gouvernement, connu sous le nom de «Fast and Furious», est en sommeil depuis des années, grâce au mur de pierres de la Maison Blanche et au respect des médias. Mais des courriels récemment découverts ont rouvert le dossier, révélant l’anatomie d’une dissimulation par une administration promettant d’être la plus transparente de l’histoire.

Au moins 20 autres morts ou crimes violents ont été liés à des armes à feu  » Fast and Furious « .

Un juge fédéral a forcé la publication de plus de 20 000 pages de courriels et de mémos précédemment enfermés sous la fausse revendication du président Obama. Un examen préliminaire montre que les plus hauts responsables du gouvernement Obama ont délibérément bloqué les enquête du Congrès dans le cadre de l’opération des armes à la frontière.

Fast and Furious était un programme du ministère de la Justice qui permettait que des armes d’assaut, y compris des fusils de calibre .50 suffisamment puissants pour descendre un hélicoptère, soient vendues à des cartels de la drogue mexicains, prétendument comme moyen de les retrouver. Mais des documents internes ont plus tard révélé que le véritable objectif était de créer une crise exigeant une répression des armes à feu en Amérique. Fast and Furious n’était qu’un prétexte pour imposer des lois plus strictes sur les armes à feu.

Le stratagème s’est retourné lorsque les agents de la Justice ont perdu la trace des quelque 2 000 armes vendues dans le cadre du programme et qu’elles ont commencé à apparaître sur des lieux de meurtre des deux côtés de la frontière – y compris un attentat qui aurait coûté la vie à l’agent de patrouille des frontières des États-Unis, Brian Terry.

Alors que le procureur général Eric Holder était concentré sur la politique, les gens mouraient. Au moins 20 autres morts ou crimes violents ont été liés à des armes à feu à trafic rapide et à trafic furieux.

Le programme n’a été mis au jour qu’après la mort de Terry, en 2010, par des bandits mexicains, qui lui ont tiré dans le dos avec des armes semi-automatiques émises par le gouvernement (américain – NdT). Pris au piège, «l’administration la plus transparente de l’histoire», a carrément menti au sujet du programme devant le Congrès,  niant même qu’il ait jamais existé.

Ensuite, l’Equipe Obama a conspiré pour faire échouer les enquêtes sur les responsables en retenant d’abord des documents faisant l’objet d’une citation à comparaître – pour laquelle Holder avait obtenu une citation pour outrage au Congrès – et en invoquant par la suite le privilège du pouvoir exécutif de garder des preuves scellées.

Mais grâce à l’ordonnance du tribunal, la justice doit cracher les documents «sensibles». Jusqu’à présent, elle a produit 20 500 pages légèrement rédigées, bien que les enquêteurs du Congrès disent qu’elles couvrent à peine toutes les communications internes du département faisant l’objet d’une assignation à comparaître. Ils maintiennent que l’administration continue à «retenir des milliers de documents».

Malgré tout, le lot en main révèle à quel point les hauts responsables d’Obama sont allés garder les informations du Congrès.

Le degré d’obstruction était « du jamas-vu », a déclaré dans une récente note de service, Jason Chaffetz, président du Comité de la réforme du gouvernement et de la réforme du gouvernement, aux autres membres de son panel.

« Les documents révèlent comment des hauts fonctionnaires du ministère de la Justice – y compris le procureur général Holder – ont suivi et géré intensément un effort visant à limiter et à obstruer soigneusement les informations fournies au Congrès », a-t-il affirmé.

Ils accusent également le député titulaire, Lanny Breuer, un vieil homme de Clinton, qui a dû démissionner en 2013 après avoir nié à tort autoriser Fast and Furious.

Leurs efforts pour empêcher les enquêtes comprenaient:

  • Concevoir des stratégies pour supprimer ou autrement dissimuler les informations pertinentes;
  • Manipuler la couverture médiatique pour contrôler les retombées;
  • Accuser le Bureau de l’alcool, du tabac, des armes à feu et des explosifs (ATF) pour le scandale.

Par exemple, un courriel de juin 2011 parle de la rétention des rapports de laboratoire d’ATF du Congrès, et un courriel de juillet 2011 détaille les hauts responsables de la justice qui acceptent de «rester à l’écart d’une déclaration selon laquelle nous coopérerons pleinement».

Bien qu’Obama soit fier de l’ouverture, de la transparence et de la responsabilité, le comportement de son administration contredit de tels principes élevés.

Le mois suivant, ils sont passés en mode de contrôle total des dégâts, et le sous-procureur général adjoint, Matt Axelrod, a averti un responsable de l’ATF que le fait de fournir des détails sur Fast and Furious «nous semble imprudent».

Puis, fin août 2011, un autre courrier électronique révèle que Holder avait ordonné à son personnel de demander à un responsable d’ATF de «fermer la porte de son bureau» afin d’empêcher toute fuite d’informations sur le scandale proliférant.

Les points de discussion rédigés pour Holder et les autres responsables lors des audiences devant le Congrès ont clairement indiqué que la justice avait l’intention de faire des responsables déchus de l’ATF les responsables du scandale.

«Ces changements (de personnel) nous aideront à surmonter la controverse qui a entouré Fast et Furious», a déclaré le procureur général adjoint Ron Weich en août 2011.

En outre, dans un courriel adressé à son chef de cabinet en octobre 2011, M. Holder a déclaré qu’il souscrivait à une stratégie consistant à communiquer d’abord les documents à des médias amis « avec une explication qui étouffe l’affaire » au lieu de « les remettre ». Congrès.

« Les hauts fonctionnaires ont fait des efforts calculés pour obstruer le Congrès », a fulminé Chaffetz.

«Au cours de l’enquête, a-t-il raconté, le ministère de la Justice a fourni de fausses informations, à paralysé des demandes de documents irréprochables, produit de très nombreuses pages noircies et produit des documents en double et a refusé de se conformer à deux assignations à comparaître du Congrès.

Bien qu’Obama soit fier de l’ouverture, de sa transparence et de sa responsabilité, le comportement de son administration contredit de tels principes élevés. «La transparence ne devrait pas nécessiter des années de litige et une ordonnance du tribunal», a souligné Chaffetz.

Obama insiste sur le fait que Fast and Furious est juste un autre scandale «bidon» poussé par les républicains pour faire chuter sa présidence. Que pense son héritière apparente Hillary Clinton?

La fanatique anti-armes a gardé le silence sur le scandale de la prolifération des armes à feu. Mais ensuite, elle a été occupée à balayer les courriels d’assignations sous le couvert de son propre scandale.


SOURCES:

 

Paul Sperry est l’ancien chef du bureau de Washington pour Investor’s Business Daily et auteur des ouvrages « Infiltration » et « Mafia musulmane ». 

https://nypost.com/2016/05/21/the-scandal-in-washington-no-one-is-talking-about/?fbclid=IwAR0nQPpAStsTYZYOJdwr7GBODyegfdi-Fpp33h5ozBgHkgu96pWoQ4VVGlE

image: http://avisdetempete.e-monsite.com/medias/static/fileicon/jpg.png

52825785 1501545606645958 6564387024038526976 n 152825785 1501545606645958 6564387024038526976 n 1 (114.3 Ko)
Read more at http://avisdetempete.e-monsite.com/pages/latempete-thestorm/fast-and-furious.html?fbclid=IwAR1UMqOEsUkarSkm94s-IWOG8_7EqziidZ8t53WUUMGxcBWBQ-LYNtCN7qY#8juOmUWJYO3pKySl.99


 

 

 

 

 

 

 

Vidéo et article:L’Homme, destructeur de la Terre

De la révolution industrielle à aujourd’hui, un décryptage minutieux de la course au développement qui a marqué le point de départ de l’ère de l’anthropocène (ou l’ère de l’Homme) et de la déterioration continue de la planète. Quelque 1 400 milliards de tonnes de CO2 sont aujourd’hui prisonnières de la basse atmosphère. Réchauffement climatique, déforestation, inondations, épuisement des ressources, pollutions, déchets radioactifs… : en deux siècles, la course au progrès et à la croissance a durablement altéré la planète, la crise environnementale se doublant d’une rupture géologique, avec l’avènement de l’ère anthropocène. Portée par l’exploitation des énergies fossiles – du charbon de la révolution industrielle en Angleterre au tout-pétrole de la domination économique des États-Unis –, l’industrialisation et ses corollaires, taylorisme et colonialisme, entraînent une exponentielle production de masse. Un processus qu’accélère la Première Guerre mondiale, les firmes chimiques mobilisées pour tuer l’ennemi se reconvertissant dans la destruction du vivant avec les herbicides, insecticides et fertilisants de l’agriculture intensive. Alors que l’urbanisation s’étend, la voiture, qui sonne le glas du tramway, se généralise, et l’Amérique s’inspire du modèle autoroutier nazi. La Seconde Guerre mondiale engendre une nouvelle organisation du travail, laquelle devient la norme, et annonce l’ère nucléaire de la guerre froide. Dans sa démesure, l’homme rêve déjà d’usages civils de l’atome (y compris pour l’abattement de montagnes et la dissolution des calottes glaciaires !). Le plastique et le béton deviennent les piliers de la consommation de masse, dévoreuse de matières premières et antidote à la contestation sociale, jusqu’à la révolution numérique.

[videopress h15GvdSk]

 

L’homme ne serait pas issu de la planète Terre…!

 

Tout un faisceau d’indices, plus pertinents et convaiquant, les uns que les autres, semblent en effet, démontrer, sinon prouver, que l’homme, en tant qu’espèce, n’est pas issue de cette planète.

 

Plusieurs sujets et articles vont en ce sens, commençons par le commencement..

La nature est représentée par des processus géologiques, physiques, chimiques, biologiques et écologiques qui ont lieu sur la planète, qui régulent son fonctionnement et assurent la vie et l’Évolution. La matière vivante et la matière abiotique suivent des cycles de vie en circuit fermé puisque, sur la planète de même qu’en chimie, « rien ne se crée, rien ne se perd, tout ce transforme ».

 

 

Mais ce qui caractérise la nature, c’est que les éléments qui la composent sont, par définition, adaptés à leur milieu, biodégradables et/ou intégrés aux différents processus terrestres. La nature, en fait, s’adapte à ses propres changements, à sa propre évolution. Et si on considère l’histoire de la planète dans sa globalité, la vie s’y épanouit et se diversifie avec le temps.

 

 

Or, si la civilisation actuelle obéit évidemment aux principes de la chimie et de la physique, elle suit par contre des lois écologiques différentes : elle épuise progressivement les ressources, pollue et détruit les habitats. Cette différence est due à un impact de grande ampleur et rapide, qui bouleverse « l’équilibre » de la planète, allant jusqu’à réduire la richesse biologique terrestre.

 

Or, l’être humain est le fruit de l’Évolution et à ce titre il fait de facto partie de la nature. Alors, cet impact écologique majeur, inextinguible, celui dû à une espèce qui est issue de la nature, peut-il être considéré comme « normal », comme naturel ?

 

 

Devant l’ambivalence qui existe entre, d’une part la confrontation être humain/nature, son « insoutenabilité », et d’autre part le fait qu’Homo sapiens est une espèce vivante de la planète Terre au même titre que toutes les autres, il apparaît légitime de se demander si, finalement, l’être humain « est naturel ».

 

Certains indices, s’ils ne répondent pas tout à fait à la question, montrent tout au moins que l’être humain lui-même ne se considère pas tout à fait comme faisant partie de la nature : le fait de confronter la nature, ce sentiment de supériorité du genre humain qui règne au sein de notre civilisation, le fait d’utiliser des termes comme matériaux « synthétiques », d’intelligence « artificielle », tous ces indices laissent supposer que ni notre technologie ni l’être humain lui-même ne sont considérés comme faisant partie de la nature.

 

Source : http://planeteviable.org/etre-humain-naturel/

 

Les arguments et explications ci-dessus sont plutôt pertinent, et l’on peut adhérer à ces écrits, sans pour autant croire aux extraterrestres, ou à Dieu, ou même à la théorie de l’évolution.

 

D’autres, n’hésitent pas à tenter d’aller encore plus loin (en étant moins convainquant pour certains) pour démontrer que nous ne sommes pas originaire de la Terre…

Source du sujet ci-dessous : http://www.7sur7.be/7s7/fr/

 

« La preuve que les humains ne viennent pas de la Terre »

Un écologiste américain affirme que les humains ne proviennent pas de la terre. Selon lui, plusieurs éléments prouvent que l’Homme n’est pas adapté à sa planète et qu’il aurait donc été amené par des aliens, il y a des millénaires.

 

Dans son ouvrage intitulé « L’Homme n’est pas issu de la Terre: évaluation scientifique de la preuve », le Dr Ellis Silver aborde un certain nombre de caractéristiques humaines, qui selon lui prouvent que contrairement aux autres espèces terriennes, l’homme n’est absolument pas adapté à son environnement.

Iceberg à la dérive. Selon un explorateur britanique, les températures printanières et estivales dans l’Arctique sont montées d’une façon incroyable au cours des trois dernières années et de vastes zones maritimes qui étaient naguère couvertes par la banquise en été sont désormais en eau libre. /Photo d’archives/REUTERS/Fabian Marelli/La Nacion

Douleurs dorsales

Selon lui, si l’Homme souffre de problèmes de dos ce n’est pas innocent. « C’est parce que nous avons évolué dans un monde avec une gravité inférieure », explique-t-il à Yahoo en affirmant que si la Terre rencontre la plupart de nos besoins, il y a de trop nombreuses lacunes.

 

Peau inadaptée

Pour Silver, la peau de l’Homme prouve également que nous ne sommes pas faits pour vivre ici. « Les humains ne sont pas conçus pour être aussi exposés au soleil », dit-il.  « Contrairement aux lézards, nous ne pouvons pas être exposés au soleil tous les jours sans problème ». « Alors pourquoi sommes-nous sur Terre? », s’interroge-t-il.

 

« L’humain est soi-disant l’espèce la plus développée de la planète, mais il est étonnamment inadapté et mal équipé pour l’environnement de la Terre », dit-il. « Il est lésé par la lumière du soleil, a une forte aversion pour les aliments d’origine naturelle et a des  taux ridiculement élevés de maladies chroniques ».

 

Anatomie inappropriée des bébés

L’écologiste poursuit son argumentaire en prenant l’exemple de nos bébés. Selon lui, les nouveaux-nés ont une tête beaucoup trop grosse. « Il est difficile pour les femmes de donner naissance », explique-t-il. « Cela peut entraîner le décès de la mère et de l’enfant. Aucune autre espèce sur Terre n’a ce problème ».

 

Pour le Dr Ellis Silver, il n’y a pas de doute: « Nous ne sommes pas d’ici ». « Cela suggère que l’humanité peut avoir évolué sur une autre planète », dit-il en expliquant que des extraterrestres auraient pu nous amener ici comme une espèce hautement développée.

 

Et l’écologiste va plus loin. « La Terre pourrait être une planète-prison », avance-t-il. « Puisqu’il semble que nous soyons une espèce naturellement violente, nous sommes probablement ici  jusqu’à ce que nous apprenions à mieux nous comporter ».

J’avoue que sur l’idée et la théorie de la planète « prison » je suis plutôt preneur, et en accord, mais j’y reviendrai plus tard, dans un autre sujet.

 

Pour un autre scientifique, l’homme viendrait et serait originaire de la planète Mars !

 

L’Homme pourrait venir de Mars, selon un chercheur américain. Ainsi, le molybdène, un métal présent actuellement sur Terre serait originaire de la planète rouge. Pour le chercheur de l’Institut Westheimer, une météorite aurait fait le lien entre les deux astres.

 

Life from Mars. Et si la vie sur Terre était venue de Mars par météorite? C’est la théorie d’un chercheur de l’Institut Westheimer pour la science et la technologie de Gainesville, aux Etats-Unis. A l’origine de révélation: une forme oxydée de molybdène, un métal utilisé de nos jours dans des alliages pour les outils de bricolage ou les couronnes dentaires.

A l’époque reculée où la vie est apparue sur Terre, ce molybdène oxydé a servi à empêcher les molécules de carbone (briques élémentaires de toute forme de vie) de se dégrader et de finir en goudron, estime Steven Brenner, enseignant à l’Institut Westheimer.

 

« C’est seulement lorsque le molybdène est très fortement oxydé qu’il devient capable d’influencer la formation d’une vie primitive », précise l’enseignant chercheur, qui a présenté sa théorie lors d’une conférence internationale consacrée à la géochimie à Florence, en Italie.

 

La Terre bombardée par des comètes et astéroïdes…

 

« Cette forme de molybdène ne pouvait pas être présente sur Terre à l’époque où les premiers éléments de la vie sont apparus, parce qu’il y a trois milliards d’années, la surface de la Terre ne contenait que très peu d’oxygène, contrairement à Mars », explique Steven Brenner.

 

A l’époque, le système solaire était particulièrement agité et la Terre était sans cesse bombardée par des comètes et astéroïdes. Notre voisine Mars également, ce qui explique comment des débris martiens ont pu se retrouver projetés dans l’espace pour finir leur course sur notre planète, piégés par son champ de gravité.

 

Des analyses récemment effectuées sur une météorite martienne y ont montré la présence de molybdène ainsi que de bore, un métalloïde qui aurait contribué à protéger l’ARN, un précurseur primitif de l’ADN, de la corrosion.

 

Sommes-nous tous des Martiens ?

 

« Il semble qu’on accumule les preuves selon lesquelles nous sommes en réalité tous des Martiens et que la vie a débuté sur Mars avant de venir sur Terre à bord d’un rocher », résume l’enseignant-chercheur américain.

 

« C’est un coup de chance, car la Terre est de loin la meilleure des deux planètes pour héberger de la vie. Si nos hypothétiques ancêtres martiens étaient restés sur Mars, on ne serait peut-être pas là pour en parler », conclut Steven Brenner.

 

D’autres théories expliquent l’apparition de la vie sur Terre par de l’eau apportée sur la planète bleue par des comètes, composées de glace et de poussières cosmiques héritées de la formation du système solaire.

 

Une autre hypothèse, baptisée « panspermie », suggère que des bactéries embarquées comme passagers clandestins sur des astéroïdes aient fini par s’écraser sur Terre pour y proliférer dans ses océans chauds et accueillants.

 

Cette théorie, comme quoi l’Homme vient de Mars pourra être confirmé ou infirmé par le robot qui succèdera à Curiosity. La Nasa prévoit de l’envoyer dès 2020 avec pour objectif de découvrir la vie sur Mars. Mais si les hommes viennent de Mars, les femmes viennent-elles vraiment de Vénus ?

 

Source : http://www.bfmtv.com/planete/vie-humaine-venait-mars-591444.html

 

 

Terminons ce petit tour d’horizon, avec un autre excellent article du site cité en référence au départ de ce sujet : http://planeteviable.org/fracture-etre-humain-nature/

Il suffit de regarder le monde autour de nous pour constater qu’il existe une fracture entre d’une part la nature, la façon dont elle fonctionne et dont elle est constituée, et d’autre part la sphère humaine. La fracture est d’abord physique et matérielle : nous ne vivons plus au sein de la nature même si nous en dépendons fortement, et nous avons de moins en moins de contact avec elle dans notre vie quotidienne.

 

 

Notre environnement est davantage humanisé, synthétique. Cette situation a pour origine une civilisation fortement industrialisée, marquée par la prédominance de la technologie, et une société également très urbanisée, suivant un mode de vie qui fait que les individus sont constamment pressés par le temps. Autant de caractéristiques qui nous éloignent, qui nous extirpent de la nature, de son rythme et de ses effets bénéfiques, et qui nous désensibilisent face aux prérogatives nécessaires à sa protection.

 

 

La fracture est également culturelle. Du haut de sa froide rationalité et de ses impressionnantes réalisations techniques, l’être humain contemporain, entretient un rapport de domination vis-à-vis de la nature.

 

Notre civilisation considère la nature comme un marché gratuit et abondant, sur lequel nous avons droits et pouvoirs pour assouvir nos besoins, nos envies et assurer notre confort, et dans lequel on peut puiser des ressources à l’envi. Dans la civilisation actuelle, on considère que la nature se doit d’être à notre entière disposition et à celle de l’économie, alors que nous devrions la considérer comme une alliée qui peut subvenir à nos besoins dans la mesure où nous sachons nous adapter et composer avec elle.

 

 

La vision actuelle du monde et de la nature de la civilisation occidentale remonte à l’origine au siècle des lumières, une période au cours de laquelle le développement des connaissances laissait d’aucuns penser que nous aurions la maîtrise de la nature et de notre destinée en tant que société. Cette vision s’est progressivement renforcée, et ce surtout depuis le dernier siècle.

 

Les Occidentaux ont cru alors détenir un pouvoir sans limite grâce à ses « exploits » technoscientifiques les plus modernes comme l’exploration de l’espace, la « conquête » de la Lune, l’exploration du monde interstellaire, l’exploitation de l’énergie contenue dans la matière (l’énergie nucléaire), et une compréhension fine de l’infiniment petit (la nature intime de la matière) et de l’infiniment grand (la structure, le fonctionnement et l’origine de l’univers).

 

Et c’est sans parler des progrès de la médecine, du recul de certaines maladies autrefois meurtrières, conjugués à l’allongement de l’espérance de vie.

 

D’autres réalisations technologiques semblent montrer que notre civilisation maîtrise la nature et est capable de se soustraire aux contraintes qu’elle nous impose. Les technologies nous servent à mettre la nature « à notre main ». Nous avons ainsi érigé de gigantesques barrages hydroélectriques permettant de maîtriser le flux des cours d’eau et de produire de l’énergie.

 

La maîtrise de l’atome nous permet également de produire des quantités d’énergie inégalées. Les méthodes de l’agriculture industrielle (monocultures, fertilisation et épandage de pesticides abondants) et l’irrigation ont permis de décupler les rendements des cultures par rapport à ce qu’offre le sol naturellement et de cultiver à des endroits peu propices aux plantations.

 

C’est jusqu’à la neige artificielle qui nous permet de compenser partiellement le manque de neige sur les pentes de ski tandis que les terrains de nos maisons sont dénaturés pour ressembler à des greens de golf. Dans le domaine de la biologie, des naissances autrefois impossibles peuvent dorénavant être envisagées grâce à la procréation assistée, assurant ainsi le bonheur de couples infertiles.

 

Les biotechnologies permettent par ailleurs de donner l’existence à des organismes, animaux et plantes (organismes génétiquement modifiés (OGM)) ayant des propriétés spécifiques et auxquels la nature n’avait jamais prêté vie.

 

Ces exemples montrent que non content d’être déconnectés et de soumettre la nature à nos désirs et à notre volonté, nous la modifions, nous la confrontons même. Il est paradoxal que ces modifications soient tout à fait conscientes mais que les crises écologiques majeures qui en résultent soient involontaires (du moins, elles l’étaient jusqu’à récemment).

 

 

Cette maîtrise apparente sur la nature sous tous ses aspects, qui dans les faits s’oppose aux règles naturelles, se déploie conjointement avec l’utilisation d’un ensemble de technologies sophistiquées et qu’elles nous font paraître la nature remplaçable, tout au moins pour certains d’entre nous et notamment pour les partisans d’une économie orthodoxe.

 

Pourtant, ce pseudo-contrôle de la nature se réalise au dépend de profondes transformations des écosystèmes et de l’écosphère, des mutations qui aujourd’hui menacent les sociétés.

 

Depuis peu, ce faux sentiment de contrôle de la nature nous incite même à envisager la géoingénierie pour contrer cette menace écologique qui frappe à nos portes.

 

Au fond, cette vaste et continuelle détérioration de notre environnement et dont nous sommes les seuls responsables apparaît comme la démonstration ultime de la fracture entre l’être humain et la nature.

 

Nous ne pouvons que nous incliner, et admettre cette réalité…

Comme toujours, c’est à vous de juger…

 

 

 

 

 

 

 

Reprise d’une expérience allemande:des branchies en 3D pour permettre à l’homme de respirer en continu sous l’eau

Au beau milieu de la Seconde Guerre Mondiale,de grands scientifiques allemands  avaient rêvé de fabriquer une armée de soldats capable de  franchir des mers,voire des océans  par leurs propres moyens,sans  scaphandres autonomes!Ils pensaient à développer  une nouvelle race d’humains  hybrides:moitié homme,moitié poisson!

Regardez maintenant ou l’on est rendu en 2019:

 

Grâce au designer et chercheur en biomimétisme japonais Jun Kamei on entre dans une ère sous marine nouvelle. Ce dernier a en effet créé un équipement bien utile aux amateurs de plongée. Plus précisément, il s’agit des branchies artificielles en 3D qui devraient nous aider à continuer de respirer sous l’eau.

Comme le rythme de vie terrestre peut être assez lassant à la longue, on a tous rêvé a un moment ou à un autre de vivre sous l’eau comme les poissons; dans une « dimension » sans bruits et sans stress.

On pense d’ailleurs que Jun Kamei, qui travaille actuellement à l’université de Tokyo s’est inspiré de cette idée pour faire aboutir sa création. Le mois dernier, le chercheur a dévoilé son invention à l’Imperial College de Londres.

 

Jun Kamei a nommé son invention Amphibio. Selon le créateur, il s’agit d’un couplage entre un concept et un prototype de travail. L’équipement a été obtenu par impression 3D et est destiné à fonctionner de la même manière que la branchie des poissons. En d’autres termes, c’est un équipement qui va emprisonner l’oxygène et qui permettra à son utilisateur de respirer sous l’eau. Selon Jun Kamei, ce dispositif sera très utile lorsque la température mondiale atteindra un niveau invivable et que le niveau de la mer aura considérablement augmenté.

 

Selon les tests, le dispositif permettrait effectivement d’avoir un niveau d’oxygène plus important  que celui prodigué par le tuba ou la bonbonne d’oxygène. Il est donc plus pratique pour la plongée. Cette invention s’appuie totalement sur le mécanisme des branchies des poissons. En d’autres termes, amphibio va extraire de l’oxygène dans l’eau. La bonne nouvelle est que, ces branchies artificielles sont produites par impression 3D. Au niveau du design, elles sont proposées sous forme de combinaisons.

 

 

Alors, Amphibio est proposé en trois modules à enfiler qui vont être connectés à un masque en forme de coquille. Le combinaison va aspirer l’eau et retiendra ensuite l’oxygène pour l’acheminer vers le masque. Ensuite, le même masque va rejeter le CO2.

Outre, grâce à son système de surveillance de niveau d’oxygène, le combinaison n’expose en aucun cas son porteur aux risques de noyade. Aussi, le renouvellement de l’oxygène se fait  travers de la membrane des branchies qui va permettre l’infiltration de l’eau environnante.

 

 

Actuellement, cet équipement subit encore quelques modifications comme il présente certains limites. Jun Kamei estime que ces soucis pourront être corrigés très prochainement. D’ailleurs, jusqu’à l’aboutissement total du projet, l’inventeur compte le tester en aquarium avec des cobayes humains. Le but de Jun Kamei est notamment d’évaluer les points qu’il faut encore améliorer sur l’équipement.

[videopress jaq5w6EM]


EN COMPLÉMENT

L’origine de ce vieux rêve :Les Chevaliers de Poséïdon  et le projet Homo Aquaticus

LES CHEVALIERS DE POSEIDON .
En 1950, du moins en France, les hitlériens, dispersés, tenus à l’écart des fonctions publiques, paraissaient avoir usé leurs forces vives. Soudain, dans le monde entier, la 3e Force Noire resurgissait, et son noyau le plus virulent se constituait en société secrète, Les Chevaliers de Poséidon, cachant ses

desseins occultes sous une activité sportive, celle des plongeurs sous-marins
L’existence des maquis communistes du Sud-Ouest et de la 3e Force Noire ne trouve pas grand crédit auprès des milieux gouvernementaux. Il ne nous appartient pas de forcer les réserves, mais nous signalons toutefois qu’en 1948 l’hebdomadaire France-Hebdo. En marge des clubs, s’entraînant de façon intensive sur les côtes américaines, espagnoles et africaines, la 3e Force Noire regroupait ses éléments sur le principe des maquis communistes clandestins du capitaine El Sol qui, de nos jours, tiennent solidement position dans le Midi et le Sud-Ouest, notamment le long de la frontière espagnole. Les effectifs des deux groupements politiques, fondamentalement opposés, sont à peu près les mêmes : 15 000 hommes dans les rangs des Chevaliers de Poséidon, autant pour les communistes : bûcherons, ouvriers agricoles et maçons qui contrôlent les passages pyrénéens.

Quant à la 3e Force Noire, France-Dimanche, malgré des réticences avouées, dut convenir de l’authenticité du groupement devant le témoignage que vint apporter à Guy Goujon, rédacteur en chef, et au secrétaire de rédaction, un collaborateur condamné à mort, publiant une relation détaillée sur les effectifs, l’armement et les positions clefs tenues par les trois maquis communistes dans les Landes, dans les Pyrénées et dans la région de Montpellier, reçut la visite du capitaine El Sol (Coustellier), bien connu des maquis F.T.P. de 1944, qui reconnut volontiers le bien-fondé de cette information.

Une aventure attire vers les fonds marins des personnages mystérieux. En Europe, un grand nombre de plongeurs célèbres étaient, en 1940, des partisans politiques des régimes totalitaires.

Une enquête sur le trésor – contesté ― de Rommel .

 La société secrète – non déclarée évidemment – des Chevaliers de Poséidon n’a rien de commun ni aucune relation avec les Clubs et sociétés de pêche et de chasse sous-marines légalement constitués, tant en France qu’à l’étranger. Nous espérons qu’aucune association connue n’existe sous ce nom. 224 France-Hebdo, avril 1949, n° 264-265-266. 225 Voir France-Dimanche, n° 149, 10 juillet 1949.

 

C’est dans les eaux côtières de la Corse que l’on nous a confirmé l’existence d’un véritable Ordre Teutonique sous-marin. L’ex-condamné à mort, qui avait rencontré le rédacteur en chef de France-Dimanche, nous a fait à ce sujet de surprenantes confidences : Si le trésor existait, il y a belle lurette que nous l’aurions récupéré. Mais peut-être avons-nous la garde d’autres trésors, authentiques ceux-là, vous pouvez me croire… L’Ere du Verseau est arrivée, c’est-à-dire l’ère du Trident, de Poséidon, du Cheval Marin et du Cheval du Chevalier…

Sans doute le savez-vous : à l’extrême pointe occidentale des Açores, il existait encore, au XVIe siècle, une statue équestre, celle du Chevalier Noir.
Presque inconsciemment, les rescapés de la dernière guerre se sont rassemblés pour une nouvelle aventure. Vous avez dû le remarquer, la conquête du fond des mers est, en certains cas, le fait d’hommes très particuliers, qui ont été . Elle regardait l’océan Atlantique, le Nouveau Monde qui était ancien et Atlantis immergée et émergée. En 1949, vous avez, avec notre autorisation, publié un reportage sur cette jeunesse d’après la défaite, qui jouait aux SS à Ozoir-la-Ferrière. Je puis donc vous faire encore certaines confidences. Nous faisions alors un baroud d’honneur, histoire de ne pas perdre la face et de nous persuader de quelque confuse certitude. Bref, tout cela s’est dilué dans des magmas d’indifférence et de veulerie et seuls ont subsisté les plus tenaces, la meilleure trempe : les fils et les filles des Hyperboréens. Ceux-là ont réfléchi, refait les calculs et réalisé en partie le grotesque et le primaire de certaines conceptions hitlériennes (sic). Oui, avec son sens du grand-guiqnolesque et avec sa folie, Hitler a mené les Hyperboréens à la mort. Sans doute même est-il le plus grand criminel du siècle, car il a fait massacrer la véritable élite, celle qui aurait mérité de survivre et de repeupler le troisième millénaire.

Presque inconsciemment, les rescapés de la dernière guerre se sont rassemblés pour une nouvelle aventure. Vous avez dû le remarquer, la conquête du fond des mers est, en certains cas, le fait d’hommes très particuliers, qui ont été amenés là par leur dynamisme et la nécessité de cacher une activité répréhensible. Seule l’élite est agréée dans notre section, laquelle est très exactement un Ordre de Chevalerie – adapté aux temps nouveaux – avec des rites d’initiation.
Toute formation politique ouvertement déclarée, fasciste, hitlérienne ou nazie, est absolument étrangère à notre bord.
En tout cas, l’aspect sérieux de l’opération Homo Aquaticus est en partie accrédité par l’intérêt que les gouvernements portent aux questions sous-marines. En 1961, écrivant au . Si nous effleurons cette déplaisante question politique, c’est parce qu’elle revêt soudain un caractère fantastique assez inattendu, qui surgit au-dessus de l’habituel fatras. Incapables de participer à la grande aventure cosmique qui s’annonce, ils ont voulu affirmer leur présence. Il s’agit de créer un homme nouveau – l’Homo Aquaticus – artificiellement apparenté aux poissons et capable, comme eux, de vivre dans le milieu marin. Brutalement exprimé, si invraisemblable que cela puisse paraître, les Chevaliers de Poséidon veulent devenir des poissons et constituer un Empire sous-marin. De prime abord, un pareil projet, même étalé sur des millénaires, semble chimérique, pour ne pas dire démentiel. La mutation prévue pour l’Homo Aquaticus vise à le faire nager, respirer, se nourrir et procréer exactement comme les poissons, et sans le secours de scaphandres. Ce projet, très sérieux, n’appartient pas en propre aux anciens nazis. Ils l’ont emprunté à des organismes officiels absolument étrangers à leur idéologie politique. Il est vrai que même si les Chevaliers de Poséidon ont eu l’idée les premiers, ils n’avaient pas la possibilité de l’exprimer publiquement.

Homo aquaticus
De nombreuses expériences furent menées sur l’être humain par le Troisième Reich.

En tout cas, l’aspect sérieux de l’opération Homo Aquaticus est en partie accrédité par l’intérêt que les gouvernements portent aux questions sous-marines. En 1961, écrivant au président du Sénat américain, le Président Kennedy s’exprimait ainsi : La connaissance des océans est plus que de la simple curiosité. Notre survivance même en dépend peut-être. Au deuxième Congrès Mondial Subaquatique qui se tint à Londres en octobre 1962, sir Wavelle Wakefield, membre du Parlement, a repris l’idée d’un projet qui avait mystérieusement échoué en 1960. A cette époque, des plongeurs français et l’Anglais Oscar Gugen, vice-président de la Confédération Mondiale des Activités Subaquatiques (CMAS), voulaient prendre place comme passagers à bord d’un transatlantique effectuant la traversée Le Havre-New York. Arrivés au milieu de l’Océan, ces hommes devaient prier le commandant de réduire la vitesse, puis, solennellement, ils auraient immergé un grand drapeau bleu foncé marqué aux initiales CMAS, en déclarant qu’ils prenaient possession du fond des mers au nom de leur groupement. Il devenait alors obligatoire pour le commandant de faire un constat de l’incident sur son registre de bord, ce qui, dans l’immédiat, n’avait aucune répercussion, mais pouvait acquérir plus tard, en droit international, une importance encore imprévisible. Or, ce projet ne fut pas mis à exécution pour des raisons mal définies, et certains y voient maintenant une manoeuvre des Chevaliers de Poséidon peu enclins à se laisser devancer dans cette entreprise. Quant à l’opération Homo Aquaticus, elle fut rendue publique au cours du Congrès d’octobre 1962 par le commandant Cousteau qui avait déjà expérimenté sur les côtes méditerranéennes un système de stations sous-marines.
L’opération Homo Aquaticus consiste dans l’étude de la possibilité, pour l’homme, de s’intégrer définitivement au milieu marin. En bref, le commandant Cousteau, représentant officiel de groupements apolitiques et agréés par le gouvernement français, préconisait de remplir la cavité thoracique des plongeurs avec une matière plastique et de remplacer le complexe poumons-coeur par un système pseudo-branchial auquel seraient branchées les veines et les artères. Ainsi, l’homme ne pourrait plus vivre à l’air libre, mais aurait les fonctions respiratoires des poissons en attendant d’acquérir, sur le plan morphologique, un hydrodynamisme défini par le milieu marin. On nous a certifié qu’en 1962 des hommes-grenouilles allemands et japonais avaient subi volontairement des interventions chirurgicales. Nous pouvons rappeler à ce propos les expériences chirurgicales réalisées en 1937-1938, au laboratoire de Physiologie de Berlin, sur des SS taillés en athlètes qui avaient accepté de se faire castrer et de subir des interventions sur le coeur, les glandes et le cerveau, dans le seul but d’études scientifiques, pour préparer l’avènement de l’Aryen nouveau. Un grand nombre de ces opérations eurent des issues mortelles. Les documents et le dossier photographique de ces expériences sont la propriété du professeur Lecerf, l’éminent expert graphologue de l’Isle-sur-Tarn. La mutation artificielle qui annoncerait l’ère de l’Homo Aquaticus apparaît pourtant très improbable, sinon impossible dans l’absolu, mais elle entraînera très certainement une révolution dans la plongée sous-marine ; en particulier, elle conduira à une plus longue immersion. Automatiquement, ce progrès sera utilisé à des fins militaires. Il entrerait dans les vues des Chevaliers de Poséidon de créer une véritable cité sous la mer, pratiquement invulnérable, d’où ils pourraient lancer des raids et contrôler de vastes espaces marins. S’ils parvenaient un jour à couler un sous-marin atomique russe, américain ou français – ce qui n’est pas exclu de leur programme – ils auraient alors à leur disposition, et pour un temps pratiquement illimité (5 000 ans), une centrale capable d’alimenter toute leur cité.
On distingue mal encore ce qu’il y a d’hypothétique et de réalisable dans ce projet, mais on ne saurait le classer a priori dans l’impossible, attendu qu’il correspond, point par point, au problème de la colonisation des planètes et principalement de la Lune. L’informateur, de qui nous tenons ces révélations, laisse paraître son pessimisme : Cette épopée sous-marine que nous sommes contraints de vivre est malgré tout une véritable évasion valable. Il est certain que nombre d’entre nous accepteraient de faire plastifier leur cage thoracique, par solution de désespoir ou par défit. En fait, nous n’avons plus d’ambitions politiques et beaucoup pensent que notre défaite de 1945 est irrémédiable. Si vous voulez une image historique, je vous dirai que cette fois, Charles Martel a été vaincu à Poitiers. Il n’y a guère d’espoir et nous le savons. Cependant, nous possédons une arme décisive et nulle puissance humaine ne peut y faire échec. Nous mourrons avec le reste des hommes. Cette arme irrésistible sortira de la mer. On peut rapprocher cette menace de deux faits connus : 1° Les services français de renseignements pensent qu’une puissance (qui n’est ni l’U.R.S.S. ni les U.S.A.) possède actuellement une arme secrète supérieure à l’arme atomique. 2° Les Allemands, en 1940, avaient mis au point une arme bactériologique d’une virulence telle qu’Adolf Hitler l’avait déclarée inutilisable. Les Français possédaient eux aussi des obus à virus qui, éventuellement, pouvaient être employés dans une guerre bactériologique. Ni les Allemands ni les Français n’engagèrent les hostilités sur ce terrain, fort heureusement, mais il se produisit un événement extraordinaire dont le public n’eut pas connaissance.
Vers mars 1940, les Français firent prisonnier – assez aisément du reste – un commando allemand dont chaque homme portait sur la bouche et sur le nez une sorte de masque de ouate imbibé d’une solution à base de sulfate de cuivre. Aussitôt, les masques à gaz français furent pourvus d’un tampon additionnel au sulfate de cuivre, de manière à établir une protection identique à celle des Allemands contre un gaz qu’on ne connaissait pas mais qu’on avait tout lieu de croire inopérant dans ces conditions. Le résultat fut sensationnel : en quelques jours, les masques à gaz de l’armée française étaient inutilisables, leurs capsules filtrantes ayant été détruites par le sulfate de cuivre. Ce n’était là qu’un épisode de la guerre psychologique. Toutefois, une arme bactériologique non mortelle, mais frappant de parésie durant plusieurs semaines, avait été inventée par les chimistes d’outre-Rhin. Les bouillons de culture existeraient encore, avec d’autres armes bactériologiques plus terribles, dans une usine souterraine dont les murs sont tapissés de plomb, à Spala et à Kouweka en Pologne. L’usine est engloutie sous plusieurs mètres d’eau dans les fortifications du blockhaus Hermann Goering. Ces révélations ont été publiées par le journal communiste polonais Trybuna Ludu, d’après les déclarations d’un ingénieur qui a transmis aux autorités le plan détaillé des souterrains inondés en 1945 lors de la retraite allemande. On pense qu’un échantillonnage de virus est entre les mains de l’Ordre Teutonique Sous-Marin. Un authentique nazi a fait la déclaration suivante : Un espion porteur de deux douzaines d’ampoules pourrait – si ce n’est déjà fait – se rendre en Russie Soviétique. Deux ampoules seraient brisées à Moscou, une à Stalingrad, une à Karkov, et 120 millions de Russes se trouveraient frappés de stupeur ou d’hystérie. Des milliards et des milliards de virus paralyseraient immédiatement la nation soviétique. Il ne s’agit pas de guerre microbienne. C’est mieux et plus facile (sic). Le métro, les wagons de chemins de fer, les places publiques, les cinémas, les stades, les fleuves, les brouillards, les vents saisonniers seraient les auxiliaires tout-puissants du contaminateur.

Ces virus ont été préférés aux microbes des maladies contagieuses parce que leur action est spontanée et localisée. Avec le prix d’une B.A. on peut paralyser le globe tout entier. Les fusées, rampes de lancement, avions stratosphériques, sont déjà dépassés. Un seul espion ferait le travail de 2 000 fusées. Cette déclaration a été faite en 1952, neuf ans avant l’apparition des psycho-drogues.
Depuis, il y a eu les expériences du Maryland, les assassinats de chercheurs de trésors à Ausse et à Rastenbourg.
Les trésors nazis enterrés sur l’ordre d’Adolf Hitler pour subventionner « le futur Grand Reich Allemand » se situent dans le Tyrol et en Prusse. Quiconque les recherche est assassiné par les SS gardiens des cachettes. , les événements raciaux du Katanga et du Mississippi, les meetings internationaux nazis de 1962 à Dead and Bury Hollow et à Narford en Angleterre. De nouvelles sociétés secrètes sont là.


Il y a 54 ans : les maisons sous la mer

L’expérience Précontinent 3 est le point d’orgue des expériences de maisons sous la mer menées par Jacques-Yves Cousteau et son équipe au début des années 60. A cette époque, Cousteau, qui a consacré 20 ans de sa vie à la pénétration du monde sous-marin, est au plus fort d’une action de visionnaire et de défricheur. La conquête spatiale bat son plein, les projets technologiques les plus fous germent dans les esprits d’ingénieurs audacieux. En 1962, porté par l’élan de sa soucoupe plongeante, Cousteau rêve à des villes sous-marines, à l’homme-Neptune, au « cybernaute », à « homo aquaticus » auquel on pourra un jour greffer des branchies. Lui et son équipe réalisent 3 expériences de maison sous la mer :

  • Précontinent 1 : Du 14 au 21 septembre 1962, au Frioul, près de Marseille, la première maison sous la mer, un gros cylindre lesté surnommé Diogène, est immergée à -10 mètres de profondeur et permet à deux hommes (Albert Falco, Claude Wesly ), pendant huit jours, d’y séjourner et d’effectuer des plongées quotidiennes à -25 mètres.
  • Précontinent 2 : Du 15 juin au 14 juillet 1963, sur le récif de Shab Rumi près de Port Soudan en mer Rouge. Une base sous-marine, constituée d’une maison centrale installée à -11 mètres, à proximité d’un hangar immergé pour garer et reconditionner la soucoupe plongeante, d’une seconde maison installée à -26 mètres, d’un garage pour le matériel annexe et de plusieurs abris à requins à -50 mètres le long du tombant, permet à 7 hommes (Claude Wesly, Raymond Vaissière, Pierre Guilbert, Pierre Vannoni, André Folco, Raymond Kientzy, André Portelatine), respirant un mélange gazeux constitué de 96 % d’hélium et de 4 % d’oxygène, de vivre un mois d’une authentique vie d’océanaute.
  • Précontinent 3 : Du 17 septembre au 17 octobre 1965, au large de Saint-Jean-Cap-Ferrat, 6 hommes (André Laban, Philippe Cousteau, Christian Bonnici, Yves Omer, Raymond Coll, Jacques Rollet) vivent dans une maison sphérique à – 100 mètres, respirent un mélange gazeux constitué de 98 % d’hélium et de 2 % d’oxygène, et travaillent quotidiennement à -120 mètres sur une tête de puits factice.

Ces expériences constituent un feuilleton ambitieux et lyrique de l’exploration des profondeurs, où les ingénieurs mettaient en acte les fictions de Jules Verne. Jacques-Yves Cousteau, génial rassembleur et catalyseur d’énergie, avait su rassembler autour de lui une équipe de pionniers astucieux et passionnés qui carburait au rêve. Bien avant de devenir les pionniers de l’écologie et de la protection des océans, cette équipe a fait faire des bonds fantastiques en matière de techniques et de matériels de plongée, de sous-marins d’exploration, de caméras étanches, d’éclairages amphibies, de télévision immergée, de téléphonie subaquatique, avancées techniques qui ont précipité l’archéologie sous-marine, la spéléologie subaquatique, fait progresser de manière irréversible la médecine hyperbare, l’océanographie, le cinéma, la photographie et la télévision sous la mer.

 


 

*Cet article sera surement censuré,s’il-vous-plait  partagez mes ami(e)s!

 

La région de la Zone 51 attend une horde de touristes dans les prochains jours

 

Les visiteurs commencent à arriver sur la Zone 51!

 

Les visiteurs qui se rendront prochainement dans le désert reculé du Nevada pour «envahir» la Zone 51 viendront de la Terre, et non de l’espace.

Personne ne sait à quoi s’attendre, mais les deux villes minuscules de Rachel et Hiko, situées près du site de recherches militaires jadis secret, se préparent à un afflux de visiteurs au cours des prochains jours.

«Ça se passe actuellement. Nous avons déjà des gens du monde entier», a déclaré mercredi la propriétaire de l’auberge Little A’Le’Inn, Connie West, depuis son établissement rempli de gens venus de Pologne, d’Écosse, d’Australie, de Floride, de l’Idaho et de l’Oklahoma.

Des résidants, des élus et des organisateurs d’événements ont déclaré que l’engouement suscité par une blague sur internet invitant les gens à «aller voir les extraterrestres» dans les prochains jours pourrait devenir un grand événement culturel, un échec monumental ou quelque chose entre les deux.

Le secret de la Zone 51 a longtemps alimenté la fascination pour la vie extraterrestre, les ovnis et les théories du complot, donnant lieu aux événements de cette semaine et incitant l’armée à aviser les gens de ne pas s’approcher du site protégé.

«Ce phénomène est vraiment un mélange parfait des intérêts pour les extraterrestres le surnaturel, les complots gouvernementaux et le désir de savoir ce que nous ne savons pas», a expliqué Michael Ian Borer, un sociologue qui étudie la culture pop et les activités paranormales à l’Université du Nevada.

Certains résidants et responsables de deux comtés proches de la Zone 51 sont nerveux. La région pittoresque compte 50 000 résidants et sa taille est comparable à celle de la Nouvelle-Angleterre.

Des élus ont signé des déclarations d’urgence après que des millions de personnes eurent répondu au message de Facebook cet été.

«Nous nous préparons au pire», a déclaré Joerg Arnu, un résidant de Rachel qui peut voir de chez lui une scène artisanale et des toilettes portables installées dans une zone poussiéreuse autour du petit motel et café de Mme West.

M. Arnu a déclaré avoir installé des projecteurs extérieurs, des clôtures et des panneaux «Défense d’entrer» sur sa propriété de 10 hectares. Il a également organisé une surveillance nocturne du voisinage, craignant qu’il n’y ait pas assez d’eau, de nourriture, de poubelles ou de toilettes pour les visiteurs.

«Ceux qui savent à quoi s’attendre lorsqu’on campe dans le désert vont passer un bon moment», a prédit M. Arnu. «Ceux qui cherchent une grande fête vont être déçus.»

Il s’attend à voir des gens se présenter dans le désert en short et en sandales.

«Cela ne vous protège pas contre les bestioles, les serpents et les scorpions», a noté M. Arnu. «Il fera froid la nuit. Ils ne vont pas trouver ce qu’ils cherchent, et ils vont se mettre en colère.»

Les responsables s’attendent à ce que le service cellulaire soit débordé. La station-service la plus proche est à 72 km. Les campeurs pourraient être exposés à des températures allant jusqu’à 5 degrés Celsius la nuit.

«Nous n’avons vraiment pas demandé cela», a rappelé Varlin Higbee, commissaire du comté de Lincoln, qui a voté en faveur d’un budget de 250 000 $ destiné à gérer les foules attendues.

«Nous avons planifié et organisé suffisamment pour accueillir de 30 000 à 40 000 personnes», a expliqué M. Higbee. «Nous ne pouvons être certains du nombre de personnes qui viendront.»

Bien que le créateur de l’événement sur Facebook ait par la suite déclaré qu’il s’agissait d’un canular, la forte réaction a poussé les autorités locales, nationales et militaires à s’activer. Des promoteurs ont commencé à explorer des sites. Une compagnie de bière a produit des canettes sur le thème des extraterrestres. Un bordel du Nevada offre des rabais aux «amateurs d’extraterrestres».

La Federal Aviation Administration a fermé l’espace aérien à proximité du secteur cette semaine.

«Les gens souhaitent faire partie de quelque chose, avoir une longueur d’avance», a noté le sociologue Michael Ian Borer. «La Zone 51 est un endroit où les citoyens ordinaires ne peuvent pas aller. Lorsque vous dites aux gens qu’ils ne peuvent pas faire quelque chose, ils veulent simplement le faire encore plus.»


L’homme qui a parti le raid!

 

Si vous n’avez pas encore entendu toutes ces nouvelles ces derniers mois, c’est aujourd’hui la journée emblématique du « Raid Area 51 » de 2019. Sans surprise, le mec qui a tout lancé est un fan de Slayer .

Matty Roberts a créé en juin un événement sur Facebook intitulé « Storm Area 51, ils ne peuvent pas nous arrêter tous ». L’événement satirique est devenu instantanément un message Internet viral, en particulier parce que la US Navy avait diffusé une séquence vidéo d’objets volants non identifiables (OVNI). Lorsque la situation a commencé à déraper, l’armée de l’air a menacé de sécuriser la zone, ce qui a intensifié le désir des populations d’organiser encore plus de raids.

« C’était complètement destiné à être une blague, je ne m’attendais pas à ce que ça aille n’importe où », a déclaré Roberts à CNN . Il a eu l’idée de l’événement après avoir écouté l’interview de Joe Rogan, le physicien Bob Lazar, qui a annoncé l’actualité de Area 51 sur son podcast. Selon le reportage de CNN, deux millions de personnes ont affirmé qu’elles participeraient à l’événement. Les hôtels de la région sont complets, et les habitants sont inquiets, surtout parce que deux personnes ont déjà essayé de se rendre à la base.

Roberts a tenté de transformer le « raid » en un festival musical appelé « Alienstock », qui devait avoir lieu ce week-end au Nevada, mais a depuis été annulé. Au moins, nous savons qu’il a bon goût en musique.

 

 

 

Poésie : La lumière de l’amour,oeuvre de

Affiche retouvée dans un local Vril

La lumière de l’amour


sentez-vous en vous une douleur profonde
que vous croyez qu’il déchire votre coeur
vous préféreriez mourir que vivre sur
vous espérez que la grâce vous est donnée
comme une roue de moulin si lente et dure
rien ne vous est épargné la misère
rien n’est ce que votre souffrance
ne soulage rien de heureux fin indique que
personne ne vous aide à moins que vous seul
et une petite lueur
des lumières à l’ intérieur vous
et votre esprit hydrate
si ce monde peut vous donner rien
et vous tombez presque dans la folie
, l’étincelle est allumée en vous
qui vous annonce maintenant de près du salut qui
vous dit et seulement vous,
peu importe comment vous êtes inquiet
pour la vie, peu importe si personne ne se tient à vos côtés

peu importe à quel point êtes – vous maintenant
et votre chemin de marcher seul
quand il ne reste rien, donc alors
à allumer cette petite lumière sur
le vous aide à transporter votre douleur
que vous éclaire avec un certain désespoir
que simplement arrêté juste à l’ intérieur vous brûlez
et connaît tous vos besoins
ce L’amour léger signifie
que vit toujours dans ton esprit
qui est toujours éternel pour toi
et traverse ta souffrance avec toi

de l’amour avec toute splendeur dans sa divinité faite
même dans la plus grande angoisse

n’abandonne jamais ton apparence

la lumière de l’amour

– sans limites,
c’est probablement sur les genoux de DIEU


L’AUTEURE:

 

L’article a été relié à une amie de Maria Orsic…Brigitte  Helm

Brigitte Helm,vers 1928

 

 

Particratie, la Pieuvre Mondialiste !,article de Louis de Jonghe D’Ardoye

Prologue
L’excellent article paru dans « Natural news » nous démontre que partout les mondialistes sont infiltrés dans toutes les familles politiques qui se sont laissés asservir par la cupidité, méprisant et trahissant en fin de compte les intérêts des populations.
L’exemple parfait de ce qui c’est passé au USA depuis WW2 jusqu’au 11 septembre est bien clair, nous avons le même scénario en Belgique, en France et en Angleterre, plus ailleurs… Nous sommes infiltrés par des créatures hideuses au service du mondialisme.
Il est grand temps d’ouvrir les yeux…. Louis De Jonghe d’Ardoye
 https://www.naturalnews.com/2019-09-11-remembering-911-and-the-criminal-neocons.html ( traduction )

Larry Silverstein en achetant le WTC quelque temps avant,réalisa un profit de $4,7 milliards lors du 9/11.

Les criminels néo-conservateurs qui ont conçu le 11 septembre pour détruire les preuves de la grande criminalité de l’État et du vol de milliards de dollars

Nous voici de nouveau au 11 septembre et la plupart des Américains ne savent toujours pas la vérité sur le 11 septembre, pour la simple raison que le marais de l’État profond a contribué à sa réalisation, alors que la fausseté des médias malhonnêtes l’a couverte.
Ce que nous pouvons dire avec confiance maintenant, 18 ans après cet événement horrible, est que le 11 septembre a été conçu afin de créer une panique sur la sécurité nationale, ce qui permettrait de facilement adopter les lois de surveillance de l’État Profond qui ont récemment été utilisées pour espionner illégalement le président Trump. Les attaques terroristes du 11 septembre n’ont pas été commises par le personnel américain, mais il a été demandé au personnel américain de se retirer (y compris les défenses militaires telles que les patrouilles aériennes de routine) afin que la catastrophe artificielle puisse réussir.
Voici quelques faits supplémentaires sur le 11 septembre qui sont apparus lentement au cours des 18 dernières années. Les médias traditionnels menteurs – y compris Fox News – continuent d’occulter la vérité sur toutes ces choses :
1) Le troisième bâtiment effondré tout seul le 11 septembre – le WTC 7 – a été détruit par démolition contrôlée.
Il est douloureusement évident pour quiconque comprend l’ingénierie structurelle que le WTC 7, qui n’a pas été touché par un avion, a été détruit par des charges de démolition soigneusement placées qui ont entraîné la défaillance simultanée de toutes les colonnes de support structurel du bâtiment. En fait, ceci est la conclusion d’une nouvelle étude sur le sujet qui vient d’être publiée. Tel que rapporté par le projet Free Thought:  https://thefreethoughtproject.com/tower-7-office-fires-study-collapse/

Cette semaine, Architects & Engineers for 9/11 Truth a annoncé son partenariat avec l’Université de l’Alaska Fairbanks (UAF) en publiant un projet de rapport d’une étude approfondie de quatre ans sur ce qui a réellement entraîné la chute du WTC 7. Selon le communiqué de presse, la publication du projet de rapport marque le début d’une période de deux mois au cours de laquelle le public est invité à soumettre des commentaires. Le rapport final sera publié plus tard cette année.

Après avoir effectué une modélisation complète et étudié d’innombrables scénarios, les auteurs de l’étude, J. Leroy Hulsey, Ph.D., PE, SE, UAF, Zhili Quan, Ph.D., ingénieur des ponts au département des transports de la Caroline du Sud et Feng Xiao, Ph. .D., Professeur agrégé Département de génie civil de l’Université des sciences et technologies de Nanjing, a conclu ce qui suit:
L’incendie n’a pas causé l’effondrement du WTC 7 le 11 septembre, contrairement aux conclusions du NIST et des sociétés d’ingénierie privées qui ont étudié cet effondrement. La conclusion secondaire de notre étude est que l’effondrement du WTC 7 était un échec mondial impliquant la défaillance quasi simultanée de toutes les colonnes du bâtiment.
Vous pouvez vous inscrire pour recevoir une copie du rapport complet via ce lien. https://salsa3.salsalabs.com/o/50694/signup_page/uaf-wtc7-draft-report

Lisez davantage d’informations sur le 11/9 sur le site Web AE911truth.org, présentées par des architectes et des ingénieurs. http://ae911truth.org/
2) Les décombres ont été rapidement retirés afin de faire disparaitre les preuves matérielles de la destruction des bâtiments.
C’était la plus grande dissimulation criminelle de l’histoire de l’Amérique. Après avoir organisé la manifestation et utilisé des explosifs contrôlés pour faire tomber le WTC 7, les traces de la puissance qui a été utilisée ont été détruites avec toutes les preuves physiques sous les yeux de l’Amérique, toujours sous le choc de l’audace et de la violence de l’attaque.
Cela ne fait que vous montrer que l’État profond peut faire presque tout ce qu’il veut, y compris commettre des meurtres de masse contre des Américains, à condition qu’il contrôle le récit. Les moutons vont croire absolument n’importe quoi… ou du moins ils le faisaient avant que Trump remporte les élections de 2016 et la confiance du public dans les faux médias s’est effondrée.
Maintenant, nous réalisons tous que le même FBI qui opérait en 2001 était dirigé par le même genre de créatures traîtres et visqueuses qui le dirigeaient après sous Obama (et qui le contrôlaient toujours sous Trump, car le marais n’a pas été drainé complètement après l’exclusion de Comey et Wray)
3) Le Pentagone n’a pas été touché par un avion à réaction.
C’est pourquoi le FBI – le même cartel criminel corrompu et profond qui a organisé un coup d’Etat illégal contre Trump – a confisqué toutes les bandes vidéo de sécurité se trouvant à proximité du Pentagone et a depuis refusé de les libérer. À ce jour, il n’ya pas un extrait de vidéo montrant un avion heurtant le Pentagone. Oui, le même établissement qui a diffusé des millions de fois la vidéo de la tour jumelle dans l’esprit des Américains nous a dit qu’ils ne pouvaient pas nous montrer la vidéo de la grève du Pentagone pour des raisons de «sécurité nationale».
En d’autres termes, l’histoire officielle est complètement fausse, comme c’est toujours le cas.
4) Le cocktail extrêmement toxique de métaux lourds, d’amiante et de poussières de construction, qui a provoqué un cancer généralisé et le décès chez les premiers intervenants, continue d’être dissimulé, même à ce jour. Les mêmes hommes et femmes qui ont risqué leur vie pour tenter de sauver des victimes innocentes à la suite de l’attaque, en d’autres termes, ont été sacrifiés par l’État afin de maintenir le faux récit selon lequel personne n’a été blessé par des substances toxiques libérées par l’effondrement artificiel des bâtiments.
Soit dit en passant, le gouvernement américain aime vraiment beaucoup les citoyens. Vous n’êtes rien d’autre qu’une nuisance consommable pour les pouvoirs en place, et ils n’hésitent pas à causer des milliers de cas de cancer et de décès tant qu’ils disposent des pouvoirs de surveillance qu’ils souhaitent pour pouvoir espionner (et contrôler) chaque sénateur, procureur général et juge de la Cour suprême des États-Unis qu’ils souhaitent.
Vous êtes-vous déjà rendu compte que les hideux de l’État profond avait déjà accumulé des charges sur le juge en chef Roberts ainsi que sur l’ancien AG Jeff Sessions ? Comment ont ils contrôlé ces individus pour les forcer à abandonner leurs principes?
5) L’explication officielle du gouvernement sur ce qui s’est passé dans le 11/9 se lit maintenant presque exactement comme dans le rapport Mueller
– un amalgame désespéré de fictions, de mensonges et de théories fantaisistes qui n’ont aucun sens dans le monde réel. La plus grande vérité sur le 11/9 était dissimulée, tout comme la vérité sur l’assassinat de JFK. L’état profond opère tout cela depuis des décennies, et ils contrôlent les récits en contrôlant les médias (tout en interdisant à tous les médias indépendants ces trois dernières années de faire taire les voix divergentes).
Oh, au fait, le FBI était également complice de l’assassinat du sénateur Robert F. Kennedy et du docteur Martin Luther King, Jr. Ce n’est pas juste JFK et le 9/11… l’état profond et voyou assassine des gens et le couvre pour les générations. Lisez  http://fbicorruption.news/ pour plus de précision.
6) À la surprise de personne, des milliards de dollars et des millions de pages de documents secrets du gouvernement ont tous disparu le 11 septembre
Ils auraient été détruits dans les décombres. À bien des égards, l’événement sous faux drapeau du 11 septembre a été mis en scène pour détruire des preuves, effacer les traces de blanchiment d’argent et créer une excuse pour la «disparition» par l’État profond de documents et de traînées d’argent incriminants.
Tel que rapporté  reported by Big League Politics :
Le 10 septembre 2001, le secrétaire à la Défense de l’époque, Donald Rumsfeld, annonçait que 2,3 billions de dollars avaient disparu au Pentagone. Il a fait une déclaration blâmant la bureaucratie corrompue et inefficace pour ces fonds disparaissant pour l’essentiel dans le vide. CBS News a publié un article faisant partie de sa série «Eye on America» sur la perte de fonds et sur la perte commode de ce scandale un jour seulement après sa publication…
Quelle coïncidence incroyable.
Un État profond criminel qui tuerait des milliers d’Américains pour adopter une loi sur la surveillance n’hésiterait pas à en tuer des milliers d’autres pour passer le contrôle des armes à feu ou éliminer Trump
Le résultat important dans tout cela est la prise de conscience que si l’Etat profond américain tuait des milliers d’Américains afin de faire avancer la législation en matière de surveillance, d’enterrer les preuves et de mener à bien le vol de billions de dollars, que ne feraient-ils pas?
C’est le même État profond criminel qui n’hésiterait même pas à tenter d’assassiner le président Trump, de tuer des militants populaires pour la liberté ou de criminaliser le Deuxième amendement.
En passant, bon nombre de ces créatures nauséabondes sont des républicains de base. Ce sont des créatures perfides à l’esprit criminel, telles que John McCain et George Bush Sr. Aujourd’hui, ces scélérats se positionne en « Anti-Trump  » qui ont travaillé aux côtés des démocrates pour tenter de démettre Trump de ses fonctions dès le premier jour.
Il ne s’agit pas de partis politiques; il s’agit de l’établissement contre le peuple. Les néo-conservateurs, les démocrates et les élitistes veulent tous que la population soit asservie, désemparée, désarmée et frappée psychologiquement à mort avec de fausses nouvelles de CNN. Toute différence entre les républicains de base et les démocrates de base n’est que fumée et miroirs. En réalité, ils veulent tous les deux la même chose: un pouvoir brut, absolu, autoritaire sur tout. Expansion massive du gouvernement. Augmentation des dépenses pour tous leurs amis et industries connectés. Expansion accélérée de la surveillance des citoyens américains. Et ils sont prêts à tuer pour obtenir tout cela.
C’est la raison pour laquelle nous devons tous être reconnaissants au fait que le président Trump se bat encore contre ces criminels de guerre. Il vient de renvoyer Bolton. Trump n’est pas parfait, et il est totalement indifférent aux grands problèmes comme l’enlèvement médical d’enfants et les mandats de vaccination, mais c’est un outsider politique qui voit à quel point le gouvernement est véritablement corrompu, tordu et pervers. Après le départ de Trump, en 2021 ou 2025, c’est fini pour l’Amérique. L’empire a atteint le sommet de la corruption et de la criminalité. Bientôt, il ne reste plus qu’à savoir quand et comment l’effondrement aura lieu… et qui y survivra.
Le 11 septembre aurait dû réveiller tous les Américains au sujet de la corruption et de la malhonnêteté de leur propre gouvernement. Au lieu de cela, il est devenu un cri de ralliement pour un gouvernement plus grand et plus dangereux. Aujourd’hui, nous voyons les effets désastreux de cette poursuite en tant qu’État profond corrompu et criminel – Obama, Clinton, Comey, Brennan, McCabe, etc. – tente de renverser la démocratie, d’annihiler la volonté des électeurs et d’introduire un État policier autoritaire. où personne n’est autorisé à parler sauf si vous vous alignez parfaitement avec tous les mensonges officiels.