Selon les services de renseignement russes, les États-Unis ont déplacé al-Baghdadi de Syrie vers l’Irak, puis ont simulé sa mort. Ou est-ce qu’al-Baghdadi a rejoint son coreligionnaire et concitoyen Epstein en Israël [1]?
En juillet 2014,Edward Snowden, l’ancien consultant et informaticien de l’Agence américaine de sécurité (NSA), a révélé que les services de renseignement britannique et américain, ainsi que le Mossad, ont collaboré ensemble pour la création du groupe djihadiste Daech ou l’État islamique en Irak et au Levant. Snowden a indiqué que les services de renseignement des États-Unis de la Grande-Bretagne et de l’entité sioniste ont collaboré ensemble afin de créer une organisation terroriste qui soit capable d’attirer tous les extrémistes du monde vers un seul endroit, selon une stratégie baptisée « le nid de frelons ». Les documents de la NSA évoquent « la mise en place récente d’un vieux plan britannique connu sous le nom de « nid de frelons » pour protéger l’entité sioniste, et ce en créant une religion comprenant des slogans islamiques qui rejettent toute autre religion ou confession ». Selon les documents de Snowden, « la seule solution pour la protection de l’État hébreu est de créer un ennemi près de ses frontières, mais de le dresser contre les États islamiques qui s’opposent à sa présence ». Les fuites ont révélé également que l’autoproclamé calife de « l’Etat Islamique », Abou Bakr Al-Baghdadi, a suivi une formation militaire intensive durant une année entière entre les mains du Mossad, sans compter des cours en théologie et pour maîtriser l’art du discours ».
« Le ministère russe de la Défense ne dispose d’aucune information fiable sur des soldats américains menant une opération visant à « éliminer encore une fois » l’ex-dirigeant de Daech, Abou Bakr al-Baghdadi, dans la partie de la zone de désescalade d’Idlib contrôlée par la Turquie », a déclaré le porte-parole du ministère, le Maj.Gen. Igor Konashenkov a déclaré.
Il a également rejeté les affirmations de Trump selon lesquelles les forces russes auraient ouvert l’espace aérien sous son contrôle en Syrie aux avions américains afin de faciliter l’opération contre le dirigeant de l’EI. Moscou a fait savoir qu’il n’avait enregistré aucune frappe aérienne de la coalition américaine dans la région d’Idlib, dans le nord-ouest de la Syrie, samedi.
Le ministère a mis en doute la possibilité même de la présence d’Al-Baghdadi à Idlib, la zone étant détenue par Al-Qaïda et Jabhat al-Nusra, qui ont toujours été un ennemi mortel de l’État islamique.
Trump avait fait une allocution dimanche de la Maison-Blanche pour informer le monde que al-Baghdadi avait été éliminé dans le nord-ouest de la Syrie lors d’un «raid nocturne audacieux» avec la participation de forces spéciales américaines, d’avions, d’hélicoptères et de drones. Le dirigeant de l’Etat islamique (ISIS/EI) n’a pas arrêté « de pleurer et de crier » face à la puissance américaine, a-t-il déclaré.
Les services de renseignement russes à l’intérieur de la Syrie ont indiqué que leurs systèmes radar S400 couvrant Idlib n’ont détecté aucun avion américain survolant la zone où le raid sur al Baghdadi est supposé avoir lieu.
Les Russes sont très déçus par Trump et affirment que les États-Unis placent l’énorme force Al-Qaïda d’Idlib sous commandement conjoint avec un État islamique nouvellement reconstitué sous protection américaine en Irak et dans les zones syriennes nouvellement réoccupées, où les forces américaines viennent d’acquérir encore plus d’actifs de pétrole syriens.
Selon une source privée: «L’Amérique voit son gros échec en Irak car lorsque les États-Unis, Israël et l’Arabie saoudite ont créé Daech/ISIS, ils l’ont fait alors que la Syrie, à l’exception du Kurdistan, était unie. Maintenant, ils encouragent d’abord une guerre civile, puis soutiennent un nouvel État islamique ainsi que la région kurde d’Irak, qui est sous contrôle quasi total d’Israël. Baghdadi [1] fait partie de ce processus, utilisant son influence personnelle dans la communauté sunnite irakienne. «
Moscou nous a dit il y a quelques instants qu’al-Baghdadi est en vie, en bonne santé et travaille avec les États-Unis en Irak. Ces informations sont exclusives et proviennent directement de sources de renseignement de haut niveau qui ont toujours raison, et Veterans Today a prouvé à maintes reprises.
Ce que nous ne savons pas, c’est si Trump a menti en connaissance de cause, quelque chose qu’il fait tout le temps de toute façon ou s’il est simplement manipulé. Maintenant que le retrait de Trump de la Syrie a été annulé et que toutes les troupes envoyées en Irak sont maintenant revenues en Syrie, 100% d’entre elles venant d’être redéployées à Deir Ezzor depuis Hasakah, son «mouvement pour la paix» est maintenant présenté comme un FAKE total.
De la même manière, l’ancien homme le plus recherché du monde, le chef d’Al-Qaïda Oussama Ben Laden, avait été annoncé mort plusieurs dizaines de fois. Ce qui ne sera officiel que le 1er mai 2011, lors d’une opération américaine menée au Pakistan. A l’époque supervisée par Barack Obama.
Je ne vous ferai pas regarder la marionnette Obama reproduire un faux texte mémorisé, mais plutôt vous donner une phrase de sa déclaration mensongère:
«Aujourd’hui, sous ma direction, les États-Unis ont lancé une opération ciblée […]. Ils ont tué Oussama ben Laden et pris la garde de son corps.»
Je veux vous prouver que Barack Hussein Obama ment et qu’Oussama Ben Laden est mort depuis 2001. Mais avant d’aller plus loin, permettez-moi de vous présenter le véritable Oussama ben Laden et ses relations avec la CIA et la famille Bush.
Que cherche le Deep State ?
Le Deep State lance une attaque sur quatre fronts, débutant à Hong Kong, pour faire pression sur la Chine afin qu’elle fasse des concessions, non pas sur le commerce mais sur les devises et les banques. La Chine, avec d’autres partenaires non alignés, menace le système bancaire mondial de Rothschild via système de commerce secondaire et de nouvelles monnaies, y compris la crypto, contestant l’interminable fausse crypto «pompe et vidage» qui a déjà versé des milliards dans les coffres du crime organisé.
La planification ici est laissée à Google Corporation et à Facebook, le cœur organisationnel de facto du Deep State et à leurs capacités en matière d’intelligence artificielle.
Depuis Hong Kong, le mécanisme qui organisait jadis les révolutions de couleur et les imputait à George Soros a lancé la répression indienne (israélienne) contre les musulmans au Cachemire et les attaques contre le Pakistan. Les passages frontaliers du Pakistan au nord du Cachemire ont également été attaqués, mais ce projet est une provocation contre Imran Khan, qui tente d’affaiblir son mouvement de réforme.
Des milliers de soldats indiens sont introduits au Cachemire, où des personnes sont traînées hors de chez elles et battues dans les rues, comme vengeance de l’Inde contre des siècles de règne musulman et britannique. Derrière cela, cependant, se cache une course aux armements entre la Chine et l’Inde.
Le problème derrière tout cela est qu’Israël fabrique des ICBM en Inde, en les installant dans des installations construites par les États-Unis en Israël, des ICBM capables de frapper l’Amérique du Nord, inutiles contre l’Iran.
Ce sont des missiles qui pourraient simuler une première frappe nucléaire de la Russie contre les États-Unis, tout comme le 11 septembre simulait un attentat terroriste islamiste aux États-Unis. Tout cela est une création de l’esprit tortueux de Benjamin Netanyahu.
Donald Trump et Benjamin Netanyahu :une amitié sioniste et khazare qui remonte à des décennies.
La prochaine étape s’est déroulée au Liban, où de véritables manifestations contre un gouvernement faible sont en train de se produire, comme en Ukraine, où des agents provocateurs payés par l’Arabie saoudite ont ajouté à la violence
Les services de renseignement du Hezbollah ont retracé tout cela et vont probablement exercer des représailles contre ceux qui sont impliqués dans le complot israélo-saoudien. Le Hezbollah, après des années de lutte contre la tentative de l’État profond de renverser la Syrie et de détruire l’Irak et l’Iran, constitue aujourd’hui l’une des forces militaires les plus redoutables du monde, entraînée et armée par l’Iran et la Russie et dotée d’une grande expérience.
Tout cela est coordonné avec les récents mouvements à Bagdad [2], des émeutes qui ont tué près de 100 personnes, qui, en réalité, devraient manifester contre le vol par le quarteron de voleurs ISIS-USA-Kurdes-Turcs de près de la moitié des revenus pétroliers irakiens depuis 2014 et de près de 1,5 milliards de dollars d’or irakien. L’occupation américaine a entraîné des catastrophes économiques en cascade et un chômage généralisé pendant des années.
Un gouvernement fantoche soutenu par les États-Unis continue de régner sur l’Irak, tandis que la vie commerciale et économique de ce pays l’a laissé une coquille vide avec toutes les liquidités transférées vers les banques de Dubaï pendant que l’Irak pourrit.
Le déplacement d’al-Baghdadi est coordonné avec les soulèvements du Liban et de Bagdad, désormais ensemencés et contrôlés par Deep State, et la montée d’un nouvel État islamique alimenté par les revenus du pétrole volé en Syrie et en Irak.
Trump menteur ou dupé? Al-Baghdadi n’aurait jamais pu être dans la zone d’Al-Qaïda dans Idlib
IL N’Y A ABSOLUMENT AUCUN TERRORISTE D’ISIS À IDLIB … PAS D’ISIS, PAS DE BAGHDADI, PAS DE CHIENS MECHANTS, PAS DE BAGHDADI QUI PLEURE … QUE DES CONNERIES BOITEUSES
Pas d’Isis à Idlib, pas de Baghdadi à Idlib, pas d’Isis à Deir Ezzor avec le pétrole syrien. Par contre, ui, il y a des djihadistes d’ISIS au sein et près des bases américaines en Syrie et en Irak.
Pire encore, VT, la Maison Blanche, tout le monde est inondé, même les médias russes (ils ont aussi de faux médias) avec une nouvelle histoire, selon laquelle ISIS et al-Nosra / al Qaïda ont toujours été les mêmes, même s’ils se sont combattus les uns contre les autres depuis des années. Pourquoi?
La réponse est simple, Trump a été pris dans une erreur puérile, tuant un faux Baghdadi au milieu d’une zone contrôlée à 100% par les ennemis de ce dernier.
Pire encore, dans une zone contrôlée par les milices turques (i.e. véritables services de renseignement turcs) et al Nosra. Les deux organisations, les services de renseignement turcs et Al-Qaïda, sont sur la liste de paye de l’Arabie saoudite.
Trump, qui ne sait vraiment pas lire et dont l’attention ne dépasse pas celle d’un moucheron, a organisé un autre enterrement factice en mer. Cette fois-ci, Trump est dans un sac lourd avec les chaînes, les boîtes de conserve et les déchets qui composent ces enterrements factices.
Attendons des témoins, des navires sans personne à bord, ou pire encore, nous pouvons nommer l’unité responsable, puis les tuer tous dans un accident d’hélicoptère, comme ce fut le cas après la mort du faux Ben Laden.
De Spoutnik News:
Dans une allocution inhabituelle, le président des États-Unis, Donald Trump, a eu beaucoup à dire sur le décès d’Abou Bakr al-Baghdadi à la suite d’une opération des forces spéciales qui a eu lieu samedi soir. Bien que des tests ADN aient été utilisés pour identifier le corps du dirigeant de Daech, les questions concernant à la fois l’opération et le lieu de détention de Baghdadi en général doivent encore être examinées.
Après avoir passé sa matinée au Trump National Golf Club, le président est retourné à la Maison Blanche dimanche après-midi et a posé pour quelques photos avec son personnel dans la salle de crise avant de prononcer un discours à la population américaine sur la récente opération de l’armée américaine et la mort de Baghdadi.
Mark Sleboda, un analyste des affaires internationales et de la sécurité, a rejoint lundi à Loud and Clear Radio Sputnik pour disséquer le récit de la mort du chef de Daech par Trump et approfondir les détails de l’opération des forces spéciales.
«Il a manifestement l’intention de s’asseoir sur le pétrole syrien après les multiples promesses de retirer les forces d’occupation de la Syrie», a déclaré Sleboda à ses hôtes Brian Becker et John Kiriakou. « Il a maintenant l’intention de s’asseoir sur le pétrole syrien et le ministère russe de la Défense a été jusqu’à dire que les États-Unis étaient déjà impliqués dans la contrebande de pétrole. »
S’exprimant sur les images satellites publiées samedi par le ministère russe de la Défense, le major-général Igor Konashenkov a qualifié de « banditisme international » la présence persistante des États-Unis en Syrie et son réaménagement autour des gisements riches en pétrole du gouvernorat d’Al-Hasakah.
L’une des compagnies visées par Konashenkov est «Sadcab» (également appelée «Sedcab»), contrôlée par les États-Unis. Bien que créée avec le soutien de la communauté kurde locale, ses profit remplissent les poches des services de renseignement et des sous-traitants militaires des États-Unis.
Sleboda a expliqué le point de vue du responsable de la défense, soulignant que les produits américains provenant de la contrebande de pétrole étaient utilisés pour soutenir les « opérations clandestines militaires … de Washington dans la région ».
Le pétrole mis à part, l’analyste a comparé le discours embelli de Trump et ses affirmations d’un Baghdadi gémissant et pleurant à la déclaration cynique de l’ancienne Secrétaire d’État Hillary Clinton en 2011, devant le cadavre violé et mutilé du leader libyen Kadhafi, : «Nous sommes venus, nous avons vu, il est mort».
En ce qui concerne le raid lui-même, Sleboda a trouvé un certain nombre de choses intéressantes liées aux détails bruts de l’opération nocturne.
Il a d’abord souligné que Baghdadi avait été tué à Idlib, dans le nord-ouest de la Syrie – «un territoire que même la presse occidentale reconnaît être contrôlé presque entièrement par Al-Qaïda», une entité historiquement hostile à Daesh.
« C’est étrange que Baghdadi s’enfuie vers Idlib, [contrôlé] par ceux qui sont maintenant ses ennemis« , a-t-il affirmé, voyant qu’il y avait là une sorte de compétition pour être le « maître incontesté des groupes djihadistes« .
En outre, le chef de Daech a été tué à cinq kilomètres seulement de la frontière entre la Syrie et la Turquie.
«Pour y arriver, Baghdadi aurait dû traverser beaucoup de territoires hostiles, contrôlés par les Kurdes, par les Américains, par des proxies mercenaires de la Turquie, par le gouvernement syrien et la Russie », a déclaré Sleboda. « Alors que, bien sûr, il aurait pu simplement prendre un bus pour aller en Turquie et y revenir, compte tenu de la nature poreuse de la frontière turque, car le président Recep Tayyip Erdogan a déménagé tout ce qu’il a pu voler en Syrie de la trégion d’Idlib : usines, machines, pétrole, d’autres Ressources. »
Il a poursuivi en soulignant que l’on peut présumer que Washington n’avait pas confiance en Erdogan, l’opération militaire ayant été menée non pas par la Turquie, alliée des États-Unis à l’OTAN, mais à partie d’Erbil, en Irak, ce qui aurait forcé ses troupes américaines à traverser le territoire et l’espace aérien en Syrie. «
D’ici 2050, des zones côtières abritant 300 millions de personnes pourraient être menacées par la montée des océans liée au changement climatique, selon une étude parue mardi.
Des zones côtières abritant 300 millions de personnes pourraient être menacées par la montée des océans liée au changement climatique d’ici 2050.
La région la plus exposée est l’Asie, selon cette étude parue dansNature Communications. Plus des deux-tiers des populations concernées se trouveront en Chine, au Bangladesh, en Inde, au Vietnam, en Indonésie et en Thaïlande.
Utilisant une forme d’intelligence artificielle, les chercheurs ont corrigé des données existantes concernant l’altitude des terres dans les zones côtières, qui pouvait être erronée, conduisant à largement sous-estimer l’étendue des zones touchées lors des marées hautes ou de fortes tempêtes.
« Les projections de l’élévation du niveau des océans n’ont pas changé », explique Ben Strauss, co-auteur de l’étude et président-directeur de Climate Central, un institut de recherches aux Etats-Unis. « Mais lorsque nous utilisons nos nouvelles données concernant le relief, nous trouvons beaucoup plus de gens vivant dans des régions vulnérables que ce que nous estimions jusqu’à présent », poursuit-il.
Les données gratuites fournies par la NASA, avec son programme SRTM qui a permis de cartographier 95% de la Terre, peuvent comporter une marge d’erreur. Mais il y a environ cinq ans, Ben Strauss et Scott Kulp ont réalisé, en comparant ces éléments à des données plus fines, que le système SRTM surestimait systématiquement l’altitude des bords de mer, confondant des toits et des arbres avec le niveau du sol. « Pour la majorité des zones côtières à travers le globe, nous ne connaissions pas la hauteur du sol sous nos pieds », explique Ben Strauss.
Combinaison de menaces
La population mondiale, estimée à 7,7 milliards d’individus aujourd’hui, pourrait s’accroître de deux milliards d’ici 2050 et d’un milliard supplémentaires d’ici la fin du siècle, dont une grande partie résidant dans des mégalopoles en bord de mer.
Actuellement, environ 100 millions de personnes habitent dans des zones situées sous le niveau de la mer, selon cette étude. Certains sont protégés par des digues, mais la plupart ne bénéficient d’aucune protection.
« Le changement climatique a le potentiel de remodeler des villes, des économies, des rivages et des régions entières du globe », souligne Scott Kulp, auteur principal de l’étude et scientifique chez Climate Central, soulevant la question de savoir « dans quelle mesure et combien de temps les protections côtières peuvent les préserver ».
Plusieurs menaces pèsent sur les populations des littoraux: l’une d’elle est l’élévation du niveau des océans causée par la dilatation de l’eau sous l’effet du réchauffement climatique et la fonte des glaces au Groenland et en Antarctique.
« Un progrès significatif »
Depuis 2006, les océans montent d’environ quatre millimètres par an, un rythme qui pourrait être multiplié par 100 si les émissions de gaz à effet de serre restent inchangées, a averti le mois dernier le groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat (Giec) dans un rapport sur les océans.
Si le réchauffement climatique est limité sous 2°C, comme prévu par l’Accord de Paris, la hausse des océans devrait atteindre environ 50 centimètres d’ici 2100. Si les émissions de gaz à effet de serre se poursuivent à leur rythme actuel, l’élévation pourrait être presque deux fois plus importante. Une autre menace est constituée par les typhons, cyclones et ouragans violents qui vont devenir plus fréquents.
« Il n’est pas nécessaire d’avoir une augmentation importante du niveau des mer pour causer des problèmes catastrophiques », commente Bruce Glavovic, professeur à l’université Massey en Nouvelle-Zélande, qui n’a pas pris part à l’étude.
Le nouveau système mis au point par les chercheurs, nommé CoastalDEM, et présenté dans des revues scientifiques, constitue « un progrès significatif pour comprendre les risques pour des centaines de millions de personnes, inhérents à l’élévation des océans liée au changement climatique, d’ici la fin du siècle », estime le climatologue belge Jean-Pascal van Ypersele, ancien vice-président du Giec.
Plus que l’appellation de la déesse de l’hygiène (hygie, en français), c’est aussi le nom de l’astéroïde qui pourrait être classée comme la plus petite planète naine du Système solaire, annoncent les experts de l’Observatoire européen austral (ESO) ce lundi 28 octobre. À l’aide de l’instrument SPHERE, équipant le Very Large Telescope (VLT), les astronomes ont pu observer plus précisément cet astre. Ils ont étudié sa surface, sa forme et sa taille, pour finalement arriver à cette découverte. Leurs résultats sont publiés dans Nature Astronomy.
Quatre conditions
Il existe plusieurs conditions pour qu’un objet céleste soit défini comme une planète naine. Tout d’abord, il doit tourner autour du Soleil. Il ne doit pas être une lune, ce qui exclut les satellites naturels tournant autour d’autres planètes. Il ne doit pas avoir fait place nette dans son orbite, c’est-à-dire qu’il est entouré d’objets plus petits, solides ou gazeux. Et enfin, il doit posséder une masse suffisante pour que sa force de gravitation le maintienne en équilibre et dans une formesphérique.
Hygiea rassemblait jusque là les trois premières caractéristiques. Mais “grâce à la capacité unique de l’instrument SPHERE sur le VLT, l’un des systèmes d’imagerie les plus puissants au monde, nous avons pu résoudre la forme d’Hygiea : elle s’avère presque sphérique”, assure dans un communiqué Pierre Vernazza, chercheur au Laboratoire d’astrophysique de Marseille.
Un phénomène unique
Hygiea se trouve dans la principale ceinture d’astéroïdes, avec Cérès — qui était alors désignée comme la plus petite planète naine du système solaire —et les corps célestes Vesta et Pallas. À l’aide des nouvelles données, les chercheurs ont défini le diamètre de ce nouvelle objet à un peu plus de 430 km. Pluton, la plus célèbre des planètes naines, a un diamètre proche de 2.400 km. Cérès mesure elle près de 950 km.
Contrairement à ce que pensaient les scientifiques, l’événement qui a mené à sa formation n’a pas laissé de marque profonde sur la planète — comme il existe des grands cratères sur d’autres. À l’aide de simulations numériques, ils en ont déduit que sa forme sphérique est le résultat d’une collision avec un grand projectile. Un impact violent, vieux de 2 milliards d’années. Le corps parent brisé, les morceaux restants se seraient rassemblés pour former Hygiea et ses milliers d’astéroïdes compagnons.
“Une telle collision entre deux grands corps de la ceinture d’astéroïdes est unique depuis 3 à 4 milliards d’années”, s’enthousiasme Pavel Ševeček, de l’Institut de recherche en astronomie de l’Université Charles de Prague (République tchèque), qui a également participé à l’étude.
Michael Berg, 32 ans, membre dévoué de la secte Chabad [1] depuis quatre ans, croit que la vision démente de ce culte de l’hégémonie juive mondiale est derrière le Nouvel Ordre Mondial. Avec Trump et les membres de Chabad, Jered et Ivanka Kushner, à la Maison Blanche, Chabad est en mesure de provoquer le cataclysme prophétisé par cette secte qui marquera le début de leur domination messianique. La récente livraison par Trump d’armes nucléaires à Israël [2], ainsi que sa reconnaissance de Jérusalem comme la capitale des Juifs n’en sont que les prémisses.
Laissons parler cet homme:
Je suis né en Israël en 1985. Mes parents sont des juifs européens (les ancêtres de mes parents avaient une histoire en Allemagne depuis le Moyen Âge.)
Physiquement, ma famille et moi ne ressemblons pas à des juifs «typiques» – je ressemble à une ethnie allemande, c’est-à-dire une peau blanche, des yeux bleus, des cheveux blonds. Physiquement, je ressemble à une personne blanche normale d’origine nord-européenne («aryenne»).
à droite : Le soutien de Trump, le milliardaire Sheldon Adelson
Pourquoi c’est important? C’est important car le racisme juif contre les gentils ne concerne pas tellement le racisme biologique (la haine des Gentils parce qu’ils sont physiquement différents des Juifs). Il y a des Juifs de toutes les formes et de toutes les couleurs. Le racisme juif est un racisme d’ordre spirituel : une croyance que les juifs ont une âme supérieure à celle des non-juifs et que les non-juifs ont des âmes sataniques. Cela signifie que tous les Juifs religieux, indépendamment de leurs couleurs et de leur pays d’origine, considèrent les non-Juifs comme «inférieurs» simplement parce qu’ils ont fini par croire que les non-Juifs ont des âmes sataniques.
Les membres de la secte juive Chabad croisent leurs mains de la même manières que les dirigeants d’autres sectes sataniques illuminati.
Dans cet article je veux vous parler de mon expérience et de ma compréhension de la religion juive en général et du culte raciste « Chabad » en particulier.
COMMENT j’ai fait partie de CHABAD
Tout a commencé à l’âge de 20 ans. À l’époque j’étais un Juif religieux mais je ne faisais pas partie de Chabad. Puis en 2005, lors d’une visite à New York, j’ai rencontré un émissaire de Chabad qui m’avait présenté au mouvement. Il m’a demandé si je pouvais visiter le « 770 » à Brooklyn NY. Je l’ai fait. J’ai pris part dans leurs rituels et réunions et au cours des 4 prochaines années, je suis devenu un adepte fanatique de Chabad.
Nous avions l’habitude d’avoir des réunions dans lesquelles nous avions discuté de la venue du Messie Juif et du monde futur comme envisagé par Chabad et la religion juive – un monde où les Juifs sont les maîtres suprêmes de la Terre et où chaque Juif individuel a jusqu’à 2.800 des esclaves gentils (i.e. non juifs), un monde où la seule raison d’être des non-Juifs est de SERVIR les Juifs. D’un autre côté, les Juifs sont considérés comme le «Siège de Dieu».
C’est quoi CHABAD ?
– A mon avis, non, il y a quelqu’un au-dessus d’eux. Tout comme les communistes, capitalistes. Soviétiques et Américains. Ils travaillent pour la même équipe. Chabad est juste un autre instrument utilisé par le sionisme international et le illuminati NWO pour faire avancer le programme du NWO. Ils servent de pont entre les Juifs et leurs alliés non juifs du monde entier pour faire avancer le programme de la NWO. Ils travaillent pour les Rotschild et les banquiers internationaux. Le Chabad est utilisé comme instrument par le NWO. Un instrument qui ressemble beaucoup à la franc-maçonnerie. Ils répondent tous aux Rotschilds et à la mafia illuminati mondialiste. Voici la famille chabad de Donald Trump.
Je vais décrire Chabad de la façon dont je le vois compte tenu de mon appartenance passée. Chabad est une organisation raciste – un culte missionnaire suprématiste juif dont le but principal est la supériorité totale juive sur les «Goyim» (i.e. les Gentils, les non-juifs) et leur asservissement.
Son commandement central accomplit le « Breaking Through », c’est-à-dire percer avec des découvertes importantes afin d’assoir la domination des sionistes sur le monde .
Les Chabad forment leurs jeunes à être des émissaires quand ils grandissent. « Être un émissaire» dans la terminologie de Chabad signifie diffuser et inculquer leur idéologie raciste aux juifs du monde entier, en particulier à ceux qui ne pratiquent pas le judaïsme. Ils apportent un soutien idéologique et moral à l’Agenda mondialiste sioniste.
Ils voient l’asservissement des «Goyim» à travers les banques juives internationales et la politique internationale comme servant leurs prophéties messianiques – un monde futur où le NWO (New World Order, Nouvel Ordre Mondial) juif contrôle toutes les nations du monde.
Sous la direction de leur chef, le rabbin Menachem Mendel (1902-1994), le mouvement établit un réseau de près de 4.000 institutions qui fournissent un soutien religieux, social et idéologique aux juifs dans plus de 1.000 villes couvrant 100 pays, y compris tous les États américains.
LES JUIFS SONT DIEU. LES GENTILS SONT DES INSECTES DONT LA SEULE RAISON D’ÊTRE EST DE SERVIR LES JUIFS OU DE MOURIR
Selon Chabad, les Juifs eux-mêmes sont « Dieu ». L’usure est autorisée et encouragée contre les non-Juifs (c’est le motif des banquiers du NWO). Le livre du mouvement de Chabad « The Tania » parle des Juifs étant Dieu sur Terre et des non-Juifs comme n’étant rien d’autre que des animaux inférieurs sans âmes. S’ils ont des âmes, leurs âmes sont démoniaques et sataniques et proviennent du « Klipot A’thmeot », c’est-à-dire des sphères impies ou du « Sitrha Achra ». [3]
Aux yeux des Chabad, les gentils sont des animaux sans âmes. L’Âme Juive est Dieu incarné. Chaque Juif est un « Dieu » en chair.
L’univers entier comprenant les milliards de galaxies, étoiles et planètes a été créé uniquement pour les Juifs et par le dieu juif YHVH qui est en fait une manifestation du peuple juif lui-même. Un ongle du doigt d’un Juif vaut plus que l’ensemble des populations non-juives du monde entier (ce qui inclut les Européens, les Musulmans, les Asiatiques et les Africains) selon Chabad …
L’AGENDA DU NWO
Chabad n’est rien de plus qu’une manifestation du racisme juif qui alimente le programme du NWO.
Le fondateur et ancien Premier ministre israélien, David Ben Gourion, envisageait les Juifs comme étant au centre du rêve du gouvernement unique mondial (Illuminati Satanique NWO). Ce sera l’accomplissement des promesses de la Bible où les Juifs seront les contrôleurs et les dirigeants de toutes les nations du monde dans le temps à venir.
La Cour Suprême de Jérusalem avec la pyramide des Illuminati et la marque de « l’œil qui voit tout » a été construite pour soutenir ce programme tel que Ben Gourion l’avait envisagé:
« A Jérusalem, les Nations Unies (les vrais Nations Unies, et non pas l’ONU actuelle) construiront un sanctuaire des prophètes au service de l’union fédérée de tous les continents, ce sera le siège de la Cour suprême de l’humanité, pour régler toutes les controverses entre les continents fédérés, comme prophétisé par Isaïe … «
Devinez qui a financé et construit la » Cour suprême « ? Les contrôleurs des banques du monde, c’est-à-dire les Rothschild bien sûr!
L’ordre du jour raciste et suprématiste juif est flagrant devant vous … C’est aussi simple que 2 + 2 = 4.
La cabale et le satanisme sont des moyens d’affaiblir leurs pays hôtes afin qu’ils puissent plus facilement contrôler ces nations en les avilissant. C’est ainsi qu’ils maintiennent leur monopole de l’argent – en brisant la race, la nation, la famille (hétérosexualité) et la croyance en un but spirituel supérieur à la vie (c’est-à-dire Dieu – pas la religion!). Ainsi nous devenons plus matérialistes et moins spirituels (regardons l’art moderne par exemple) et sommes alors plus facilement contrôlés et réduits en esclavage par eux comme les gens qui ont une vie dépourvue de sens ne se défendent pas et ne ripostent pas. C’est l’Œil de Sauron. L’œil qui voit tout. « Un réseau pour les gouverner tous » …
POURQUOI J’AI QUITTÉ CHABAD ET LAISSÉ LE JUDAÏSME DERRIÈRE MOI ?
J’ai quitté Chabad parce que j’avais une expérience qui me faisait sentir au cœur de mon être cette haine du Chabad et du Judaïsme (ou l’Islam et ISIS pour cela aussi) Cela ne vient pas de Dieu mais de l’ego et des peurs de l’homme.
J’ai quitté Chabad à cause d’un éveil spirituel que j’exposerai dans mon prochain article. En attendant, j’espère que les Européens blancs et ceux qui sont contre le génocide par les Blancs comprennent que la seule raison pour laquelle la race blanche est attaquée aujourd’hui est qu’elle développe et diffuse la seule et ultime idéologie raciste sur la planète: le Judaïsme.
Le hassidisme H’abad ou Chabad ou de Loubavitch est l’une des branches principales du hassidisme contemporain.
Le hassidisme Habad acquiert sous l’impulsion de Menachem Mendel Schneerson, le septième et dernier rebbe de la dynastie, une importance sans précédent au sein du judaïsme orthodoxe : Habad développe des institutions dans environ 950 villes à travers le monde et, au début du XXIe siècle, on estime le nombre de ces institutions à 3.300. Réparties dans 75 pays. En 2007, 1.350 établissements ont été répertoriés dans l’annuaire Habad.
« Ayant passé de nombreuses années au sein de la communauté Loubavitch, je peux objectivement affirmer que Loubavitch est une secte. Non seulement cela, mais c’est également la plus dangereuse des communautés hassidiques au niveau idéologique. Comme le disait le Rov Elazar Shach, qui fut un rabbin Litvaq qui combattit Loubavitch toute sa vie, « Quelle est la religion la plus proche du Judaïsme, qui ressemble au Judaïsme, mais n’est pas du Judaïsme ? Loubavitch ! ». Restez bien loin de cette secte ! » Méqor Hayîm
[2]USA. La panne gigantesque d’Atlanta Airport a été provoquée pour dissimuler la livraison d’armes nucléiares à Israêl
[3] Qliphoth, kliffoth, klippot ou kellipot (Heb. קליפות qelippot; littéralement pelures, coquilles, enveloppes 1), sont des forces maléfiques mises en relation et en opposition par rapport aux sephirots dans la kabbale. L’ensemble des Qliphoth est aussi nommé arbre de mort par opposition à l’arbre de vie. Dans certains traités kabbalistiques, cet ensemble de représentations spirituelles impures est également appelé Sitra Ahra (Araméen סטרא אחרא, littéralement l’« Autre Côté » opposé à la sainteté représentée par les Sephiroth).
EN COMPLÉMENTAIRE
USA,le 17 décembre 2017: La « fausse panne » gigantesque d’Atlanta Airport a été provoquée pour dissimuler la livraison d’armes nucléaires à Israël
L’aéroport international Hartsfield-Jackson d’Atlanta (ATL) a été complètement fermé pendant 11 heures ce dimanche 17 décembre laissant des dizaines de milliers de passagers à l’aéroport le plus fréquenté au monde. Pourtant, au cours de cette fermeture, la piste 9R-27L de 2743 mètres de catégorie III a été ouverte à l’atterrissage d’un Boeing 747-412F appartenant à Cal Cargo Airlines, filiale du MOSSAD israélien. Ensuite, un convoi de 3 gros véhicules fortement gardés ont monté à bord de cet avion, qui a été autorisé à décoller. C’était le SEUL avion à atterrir et à décoller pendant cet arrêt total de l’aéroport. Il transportait une livraison d’ogives nucléaires, cadeau de fin d’année de Trump à Netanyahou, après celui de Jérusalem. Jusqu’où ira-t-il ?
Or le Boeing 747-412F appartenant à Cal Cargo Airlines a déposé un itinéraire de vol international de Tel-Aviv à Mexico, puis de Mexico à Atlanta. Cal Cargo Airlines est une compagnie de transport aérien israélienne spécialisée dans le transport de marchandises non standard telles que les marchandises dangereuses. Le leadership de l’entreprise a également des liens clairs avec le gouvernement israélien. Cela inclut son vice-président, M. Muli Ravini, qui était auparavant assistant du directeur général du ministère des Finances en Israël.
Encore plus suspect, Cal Airlines possède une autre entreprise connue sous le nom de LACHS (Liège Air Cargo Handling Services), qui est basée à Liège en Belgique. D’anciens responsables du gouvernement israélien siègent au conseil d’administration de LACHS. (Source: “Board of Directors“, Liege Air Cargo Handling Services, December 20, 2017.). Plus important encore, LACHS se targue de pouvoir charger et décharger des avions sans la présence d’un agent américain des douanes. En d’autres termes, personne en dehors des employés de l’entreprise n’était au courant de ce qu’il y avait à l’intérieur de l’avion au moment où il atterrissait ou décollait de l’aéroport.
Or, dix jours auparavant, c’est-à-dire le 7 décembre, un vol exactement similaire, le Flight 4X-ICB de Cal Cargo Airlines a quitté Tel-Aviv, a atterri à Mexico, puis s’est envolé vers Atlanta. Lors de son atterrissage, un «feu d’essai» a éclaté à l’aéroport international Hartsfield-Jackson d’Atlanta, et les autorités ont déclaré que c’était «seulement un exercice» car la fumée avait noirci la ligne d’horizon des villes avoisinantes.
La fumée s’élève de l’aéroport international Hartsfield-Jackson Atlanta lors d’un exercice, le jeudi 7 décembre 2017. Les autorités affirment qu’un exercice d’entraînement de routine près de l’aéroport le plus achalandé du monde, à Atlanta, a produit un panache de fumée noire et lourd s’élevant au-dessus de la ville et visible sur des kilomètres. L’aéroport est le plus achalandé au monde dessert plus de 104 millions de passagers par an.
Donc, le 17 décembre, le vol 4X-ICB de Cal Cargo Airlines atterrit à nouveau à l’aéroport international Hartsfield-Jackson d’Atlanta vers 13h00, heure locale. Immédiatement après, un «vrai feu» a éclaté, noircissant les toits des villes voisines, comme 10 jours plus tôt – mais cette fois-ci, toute l’électricité de l’aéroport était coupée, aucun avion ne décollait ou n’atterrissait.
En l’absence de décollage ou d’atterrissage, l’avion du vol 400x-ICB de Cal Cargo Airlines a été dirigé vers la piste 9R-27L et un convoi lourdement gardé rejoint la piste 9R-27L et a été chargé sur l’avion grâce aux agents de LACHS.
Vers 18h00. L’avion du Flight 400x-ICB a terminé le chargement de sa cargaison secrète, et environ une demi-heure plus tard, à 18h27, il s’est envolé de l’aéroport d’Atlanta, alors que tous les autres les vols n’ont été autorisés qu’à partir du lendemain matin 12h56, le 18 décembre.
En quittant Atlanta, le vol 400x-ICB s’est envolé vers Liège Flexport (LGG), en Belgique, après quoi il a fait un arrêt imprévu à l’aéroport international de Larnaca, à Chypre, où il » a pris en charge » deux voitures blindées appartenant à la Banque de Cypress -qui était autrefois gérée par Wilber Ross, l’actuel Secrétaire au Commerce du président Trump.
Après avoir quitté Chypre, le vol 400x-ICB est retourné à Tel-Aviv où il a été accueilli par un important contingent MOSSAD qui a déchargé le cargo et a transporté le contenu vers un endroit secret.
Le black-out de l’aéroport d’Atlanta était leurre pour transporter des armes nucléaires en Israël
Donc, résumons.
1- Une panne d’électricité sans précédent survient à l’aéroport le plus fréquenté du monde. Malgré le fait que l‘aéroport avait des générateurs de secours pour ce genre d’incident, ces derniers seraient miraculeusement tombés en panne en même temps.
2- Quelques minutes avant la panne d’électricité, un avion cargo spécial israélien arrive d’Israël via Mexico. En raison d’un arrangement douanier spécial, il n’est pas contrôlé par les agents américains de sécurité ou de douane.
3- Environ 5 heures plus tard, bien que tout le vol ait été interdit par le maire de la ville et par la FAA, l’avion repart vers Tel-Aviv lourdement et secrètement chargé.
Bien sûr, il est intéressant de noter que n’est pas le premier avion cargo israélien à avoir des circonstances mystérieuses qui l’entourent. En 1992, l’accident de vol El-Al Flight 1862 a fait beaucoup de bruit quand il a été révélé qu’il transportait secrètement les ingrédients pour le gaz neurotoxique sarin. Il a été utilisé comme arme chimique, avant d’être considéré comme une arme de destruction massive par les Nations unies (résolution 687). À ce titre, sa production et sa conservation sont interdites depuis 1993. Mais Israël et les États-Unis ne se considèrent pas soumis au droit international : ce sont deux États Voyous.
De loin, la suggestion la plus populaire est que cette panne faisait partie d’une opération visant à déplacer discrètement des ogives nucléaires à rendement variable W80 hors du pays et pour les mettre entre les mains des Israéliens.
La panne de courant est une partie nécessaire de la ruse pour aveugler les dispositifs de détection nucléaire qui sont standard dans tous les grands aéroports.
Ce scénario complet, qui s’apparente aux attentats sous faux drapeau, nous rappelle également l’Incident de Bent Spear 2007 [1].
Il n’est toutefois ni intrigant ni troublant qu’aucun média grand public ne se penche sur la question de savoir pourquoi cet avion a été autorisé à quitter l’aéroport pendant « la panne ». Même s’il y a une explication parfaitement raisonnable, nous vivons maintenant dans un monde où l’on ne peut pas faire confiance aux journalistes de l’establishment pour enquêter sur une piste possible, qui démente les histoires officielles, même si celles-ci sont parfaitement abracadabrantesques. Surtout quand vous considérez les autres éléments bizarres, comme le fait qu’un exercice d’incendie étrangement similaire a dérapé il y a une dizaine de jours dans le même aéroport.
NOTES
[1] L’incident des armes nucléaires de l’US Air Force a eu lieu sur les bases militaires aériennes de Minot et Barksdale les 29 et 30 août 2007. Six missiles de croisièreAGM-129 ACM, munis chacun d’une tête nucléaireW80 à rendement variable, auraient été chargés par erreur dans un bombardier lourdB-52H de l’United States Air Force (USAF) à Minot et transportés à Barksdale. Les têtes nucléaires des missiles auraient dû être retirées avant de sortir ceux-ci de leur bunker de stockage. Aucun rapport n’a signalé la disparition des ogives nucléaires, qui sont restées montées sur l’appareil, à Minot et à Barksdale, pendant une durée de 36 heures. Pendant cette période, les têtes nucléaires n’ont pas fait l’objet des mesures de sécurité obligatoires pour les armes nucléaires.
L’incident a été signalé aux plus hauts niveaux de l’armée des États-Unis et désigné par les observateurs comme « Bent Spear » (lance pliée), ce qui indique un incident d’arme nucléaire de niveau significatif, mais n’implique pas la menace immédiate d’une guerre nucléaire.
EN DEUXIÈME COMPLÉMENTAIRE
Juste après cette affaire ,Trump gracie un criminel juif, raciste et fanatique (23 décembre 2017)
Comme je viens de vous expliquer que la famille de Trump (les Kushner) appartient à Chabad, un culte juif suprématiste blanc, raciste et criminel. Comme pour ne pas me démentir, après avoir livré des ogives nucléaires à Israël et décidé que Jérusalem est la capitale exclusive des Juifs, Trump vient aussi de commuer la condamnation à 27 ans de prison du « criminel-casher », le chabadiste [1] Rabbi Sholom Rabashkin, âgé de 57 ans, un donateur GOP (Parti Républicain de Trump). Il n’avait effectué que huit ans.
Rabbi Shalom Rabushkin, un leader du syndicat du crime Chabad
« Rabushkin, en tant que gérant de l’usine familiale de viande Agriprocessors (300 millions de dollars de revenus annuels) à Postville, Iowa, a été condamné en 2009 pour fraude financière pour avoir présenté de fausses factures à la banque de l’usine qui a fait paraître les finances de la compagnie plus saines qu’elles ne l’étaient pour qu’elle puisse emprunter plus. La faillite a révélé un stratagème frauduleux de 26 millions de dollars.
En outre, dans l’un des plus gros cas de travailleurs illégaux des États-Unis, les autorités fédérales ont perquisitionné l’usine et arrêté 389 immigrants illégaux en 2008. L’ICE (Immigration and Customs Enforcement , agence fédérale de police aux frontières des États-Unis) a déterminé qu’au moment de leur raid, les deux tiers des travailleurs de l’usine étaient sans papiers. Il s’est avéré que la société elle-même créait de fausses cartes de sécurité sociale.
Il y a eu également 9.311 chefs d’accusation pour violation de la loi du travail des enfants, ainsi que d’horribles violations de la sécurité.
Les superviseurs d’usine dans cet enfer étaient impliqués dans le viol et l’abus sexuel sur des travailleuses et des travailleurs. PETA (People for the Ethical Treatment of Animals , l’équivalent de la SPA) a également documenté et filmé ce qu’ils ont appelé les pires abus et la cruauté extrême qu’ils avaient jamais vu contre des animaux.
Les exploits criminels Rubashkin et les méthodes ont été documentés dans la série CNBC « American Greed – The Slaughterhouse ». La vidéo a maintenant été effacée du site de CNBC. Mais elle est disponible ailleurs, mais cela peut ne pas durer en ligne longtemps. » Source
Juifbilation à Brooklyn à l’annonce de Trump graciant le criminel Chabad
Sholom Rubashkin est accueilli chez lui après que sa peine pour fraude ait été commuée par le président Trump
La déclaration de la Maison Blanche a cité des lettres de soutien au réexamen de l’affaire Rubashkin par plus de 30 membres du Congrès des deux partis, y compris le leader démocrate de la Chambre des représentants Nancy Pelosi et le sénateur républicain chevronné Orrin Hatch.
Trump a également souligné les manifestations bipartites de soutien à l’examen de l’affaire de plus de (((100 anciens hauts fonctionnaires du ministère de la Justice des États-Unis, de procureurs, de juges et de juristes.))) Source
Pour la première commutation criminelle de Trump, Les Juifs doivent faire face au côté obscur du judaïsme. Le professeur de journalisme Stephen Bloom était un libéral juif américain typique qui voulait explorer ses racines juives en rejoignant la colonie Chabad à Postville IA. Il a trouvé que pour ses disciples les plus ardents, le Judaïsme est basé sur la haine et l’exploitation des non-Juifs. Il apprend que les Juifs sont involontairement liés à une conspiration satanique contre Dieu et contre l’homme, et c’est cela qui est la véritable cause de l’antisémitisme.
« Ils ne voulaient rien avoir à faire avec leurs voisins chrétiens. ils étaient là pour gagner de l’argent et les non-juifs (goyim), que ce soit les marchands de Postville ou les travailleurs migrants, se distinguaient à peine du bétail de leur chaîne d’abattage. «
———————————————————————
Les Juifs doivent faire face au « côté sombre » du judaïsme
Par Henry Makow Ph.D.
Stephen Bloom a un amour de l’équité et de la justice typiques de nombreux Juifs libéraux américains. Professeur de journalisme, il a vu l’ouverture en 1987 d’un emballeur de viande kascher par les juifs hassidiques de Postville Iowa comme une opportunité d’étudier la dynamique judéo-goy en microcosme.
Il découvrit beaucoup plus de choses sur le judaïsme et les causes de l’antisémitisme qu’il ne voulait savoir. Sa conclusion de « Postville: Un choc des cultures dans le cœur de l’Amérique » publié en 2000:
«Au départ, j’étais allé à Postville pour apprendre des hassidim (juifs orthodoxes), pour partager avec eux un sentiment d’identité et d’appartenance, mais ce que les hassidim de Postville m’avaient finalement offert était un aperçu du côté sombre de ma propre foi, regardez les extrémistes juifs dont le comportement n’a pas seulement fait grimacer les locaux de Postville, mais m’a fait grimacer aussi.
« Je ne voulais pas participer à la vision des Hassidims qui appelaient les Juifs à s’unir contre les goyim et contre l’assimilation. Le monde, même en Iowa, était trop généreux pour que je fonde mes goûts et mes aversions uniquement en fonction de la religion. Le mot Hassid signifie «le pieux», mais les hassidim de Postville … étaient tout sauf pieux. Vous ne pouviez pas devenir des amis occasionnels avec eux …. Ils exigeaient une soumission totale à leur schéma du bien et du mal (Juif vs Chrétien) ou vous étiez alors l’ennemi. » (291)
En d’autres termes, si vous êtes un juif mais n’achetez pas leur haine folle, alors vous n’êtes pas meilleur qu’un goyim. Malheureusement, leur attitude caractérise la communauté juive dans son ensemble.
ROCKY RIDE
L’afflux de centaines de familles juives orthodoxes dans une petite communauté agricole chrétienne du nord-est de l’Iowa (1465 habitants) était rocailleux depuis le début. Oui les Juifs avaient une vie de famille en apparence saine et une apparence pieuse. Mais ils ne voulaient rien avoir à faire avec leurs voisins chrétiens. Ils étaient là pour gagner de l’argent et les non-juifs, (goyim), que les marchands de Postville ou les travailleurs migrants, se distinguaient à peine du bétail de leur chaîne de montage.
Enfin, l’usine de conditionnement de la viande, Agriprocessors, a déposé son bilan en octobre 2008 après que le propriétaire Sholom Rubashkin ait été arrêté pour avoir fraudé une banque concernant un prêt de 35 millions de dollars. Ceci après que l’État de l’Iowa a imposé 10 millions de dollars d’amendes pour 9. 000 violations impliquant des retenues salariales illégales et le travail des enfants. Puis, en juin, la société a été accusée de falsification de documents pour des étrangers illégaux. Quatre cents malheureux travailleurs du Guatemala à Palau ont été arrêtés et emprisonnés. Lorsque l’usine a fermé ses portes, des centaines de travailleurs ont été laissés sans ressources alors que les dindes languissaient sans être nourries dans des roulottes devant les portes de l’usine. La ville a lutté pour regagner son pied, probablement soulagée de se débarrasser de cette bénédiction mélangée. En août, une délégation de rabbins distingués et de fonctionnaires communaux a passé trois heures à visiter l’usine, a rencontré brièvement le clergé chrétien local et les activistes sociaux, et a donné à l’opération un état de santé propre. Ils n’ont trouvé aucune preuve suggérant que «quelqu’un ne devrait pas acheter des choses à Agriprocessors.» Une tournée de trois heures n’a pas permis de découvrir les violations flagrantes du travail des enfants que le commissaire du travail de l’Iowa a signalées … Les rabbins ont quitté la ville Le commissaire du travail a dit qu’il n’avait « jamais vu quelque chose comme ça » dans ses 30 ans sur le terrain … « a écrit le Jewish Daily Forward dans un éditorial du 7 août. » Trois heures ne suffiraient pas. Nous avons trouvé des indices convaincants de harcèlement sexuel, de salaires insuffisants, de favoritisme et de pots-de-vin dans les affectations de travail, d’une formation inadéquate en matière de sécurité et d’horribles accidents de travail dans le lieu que nous appelions «casher». Jungle.' »
DANS LE DÉNI
Cet éditorial suggère que les rabbins ignoraient les préceptes du «Talmud babylonien». Cela reflète la naïveté des juifs assimilés à propos de la vraie nature du Talmud, qui est un document central du judaïsme. Le Talmud considère les Gentils comme du bétail et prêche la haine contre les chrétiens.
ÉDUCATION D’UN JUIF ASSIMILÉ
Ceci est confirmé par le comportement des hassidim de Postville. Stephen Bloom a été mis sous la tutelle d’un « Lazar », un « modèle Lubavitcher, un mensch ainsi qu’un tsadik » (homme sage.)
« Je suis raciste », a déclaré Lazar à Bloom dès le départ. Les Juifs ont persisté à travers l’histoire parce que « nous sommes meilleurs et plus intelligents ». (192)
« Partout où nous allons, nous ne nous adaptons pas à l’endroit ou au peuple, a prêché Lazar … » Cela a toujours été comme ça et sera toujours comme ça. C’est l’endroit et les gens qui doivent nous adapter. «
Stephen Bloom
Bloom a reflété: « Le commentaire de Lazar a souligné le mépris des Hasidim pour les non-juifs, qui ne se limitait pas aux gentils de Postville mais à tous les chrétiens … Les hassidim comme Lazar ont un désintérêt total pour tout ce qui n’est pas juif … Les hassidim menaient une guerre sainte culturelle … Leur monde était juif contre non-juif … Si vous n’étiez pas d’accord, vous étiez en faute, une partie du problème, vous prépariez le terrain pour la destruction finale du Juif, le peuple élu du monde, il n’y avait pas de place pour le compromis … pas de place pour autre chose qu’une soumission totale et complète. (196-198)
Cette inimitié s’étend aux affaires, ce qui est une forme d’agression contre les gentils. « Je ne me sens pas comme un Juif à moins que je ne négocie« , lui dit Lazar. « Un Juif doit sentir qu’il a quelque chose pour le prix le plus bas ou il se sent volé. » Après avoir conclu un accord avec un Gentil, le Hasid se vantait de ne pas respecter les conditions ou de prendre son temps pour payer.
Évidemment, la tolérance, l’œcuménisme, l’antiracisme, la diversité, etc., affaiblissent et diluent les goyim et non les talmudistes.
CONCLUSION
Il ne faut pas un génie pour reconnaître que le comportement talmudique est la véritable cause de l’antisémitisme.
Mais les implications sont beaucoup plus graves. Meyer Amschel Rothschild était un talmudiste. Cette haine satanique de l’humanité, et en particulier du christianisme, est le moteur du Nouvel Ordre Mondial.
Il y a une ligne directe entre la Crucifixion du Christ, qui représentait le Dieu de l’Amour, 9-11 et le Nouvel Ordre Mondial en termes de dégradation de l’humanité à travers la guerre et la dépression. Si cette logique est correcte, le destin de l’humanité doit être crucifié comme le Christ ou autrement massacré ou asservi.
Comme Stephen Bloom et moi-même, 90% des Juifs américains sont laïques et ignorants du Talmud. Nous trouvons ses vues odieuses. Mais ces attitudes sont l’agenda caché du sionisme et de la communauté juive organisée. Une élite Gentille composée de francs-maçons (l’Ordre des Illuminati) a été installée par les banquiers juifs pour faire avancer ce programme. Barack Obama et la plupart des «leaders» occidentaux en font partie.
Le Nouvel Ordre Mondial met en péril l’humanité et les Juifs assimilés. Comme les conditions se détériorent, l’antisémitisme peut devenir endémique. Les juifs doivent reconnaître que le judaïsme n’est pas une religion mais une conspiration contre l’humanité. C’est aussi une conspiration contre les Juifs, dont la sécurité est mise en danger par son agenda secret. Le sionisme, le communisme, le socialisme, le libéralisme, le néo-conservatisme, le féminisme sont tous des moyens trompeurs pour établir les banquiers maçonniques / talmudiques / cabalistiques dans une tyrannie du gouvernement mondial à peine voilée.
La société a été soumise à un lavage de cerveau pour rejeter les Protocoles des Sages de Sion qui expliquent la méthodologie en détail. Ce document n’est pas antisémite, il est satanique. J’ai d’abord reconnu qu’il était authentique quand l’auteur a célébré qu’un «froid et désespéré» s’était emparé des villes européennes. C’est quelque chose qu’aucun « faussaire » ne penserait.
Les Juifs assimilés doivent se désassocier des Juifs organisés et se réinventer en tant que peuple, reconnaissant que, comme les autres peuples, ils ont été trompés et exploités par leurs soi-disant leaders. Comme Stephen Bloom, de nombreux Juifs assimilés ont un fort sens de la vérité, de la justice et de l’abondance de Dieu et doivent se joindre à leurs voisins chrétiens pour remettre l’Amérique sur les rails.
—-
Note: Lemilliardaire canadien Hershey Friedman, de Montréal, a acheté l’usine d’emballage de viande casher en 2009 et l’a rebaptisée Agri Star Meat and Poultry. Agri Star emploie maintenant la grande majorité des Juifs restants de Postville, avec la plupart d’entre eux servant comme des abatteurs rituels juifs.
Le hassidisme H’abad ou Chabad ou de Loubavitch est l’une des branches principales du hassidisme contemporain.
Le hassidisme Habad acquiert sous l’impulsion de Menachem Mendel Schneerson, le septième et dernier rebbe de la dynastie, une importance sans précédent au sein du judaïsme orthodoxe : Habad développe des institutions dans environ 950 villes à travers le monde et, au début du XXIe siècle, on estime le nombre de ces institutions à 3.300. Réparties dans 75 pays. En 2007, 1.350 établissements ont été répertoriés dans l’annuaire Habad.
« Ayant passé de nombreuses années au sein de la communauté Loubavitch, je peux objectivement affirmer que Loubavitch est une secte. Non seulement cela, mais c’est également la plus dangereuse des communautés hassidiques au niveau idéologique. Comme le disait le Rov Elazar Shach, qui fut un rabbin Litvaq qui combattit Loubavitch toute sa vie, « Quelle est la religion la plus proche du Judaïsme, qui ressemble au Judaïsme, mais n’est pas du Judaïsme ? Loubavitch ! ». Restez bien loin de cette secte ! » Méqor Hayîm
Donald Trump,ce matin du 27 octobre 2019 ,à la conférence de presse ou il annonce la mort du calife autoproclamé.
Pour la enième fois:
Abou Bakr Al-Baghdadi a été tué au cours d’une opération menée dans la province d’Idlib, en Syrie.
Il est mort comme un chien. Il est mort comme un lâche, a lancé Donald Trump, lors de son allocution depuis la Maison-Blanche dimanche matin, avant de préciser qu’un « grand nombre de combattants djihadistes » ont péri au cours de l’attaque.
Traqué par les forces spéciales aidées de chiens, Abou Bakr Al-Baghdadi s’est réfugié dans un tunnel avec trois de ses enfants et a déclenché sa veste d’explosifs, se tuant ainsi que [ses] trois enfants, a précisé le président américain. L’identité d’Al-Baghdadi a pu être confirmée par un test d’ADN réalisé sur place.
Il est mort après avoir couru dans un tunnel sans issue, gémissant, pleurant et criant, a affirmé le président républicain. Son corps a été mutilé par l’explosion, a-t-il précisé.
L’homme le plus recherché du monde, considéré comme responsable de multiples exactions et atrocités en Irak et en Syrie et d’attentats sanglants dans plusieurs pays, avait été plusieurs fois annoncé mort ces dernières années.
Donald Trump, qui a assisté à l’assaut en direct de la Maison-Blanche, a insisté sur le « succès incroyable » de cette mission, qui constituait la priorité de son administration en matière de sécurité nationale. Il a également avancé qu’il s’agissait d’une nouvelle de « plus grande envergure » que la mort d’Oussama ben Laden en 2011 sous l’administration de Barack Obama.
Aucun militaire américain n’aurait perdu la vie dans le cadre de l’opération, a précisé M. Trump.
La planification du raid a débuté il y a deux semaines, a ajouté le président, après l’obtention d’informations sur la localisation du chef terroriste. Le président américain a expliqué avoir approuvé cette attaque presque une semaine avant qu’elle n’ait lieu.
Huit hélicoptères militaires ont survolé pendant plus d’une heure la zone contrôlée par les forces russes et syriennes avant de se poser au sol, en essuyant des tirs. Lors de son allocution télévisée, il a notamment remercié la Russie, la Turquie, la Syrie, l’Irak et les Kurdes.
Tout d’abord lancée par Newsweek, la nouvelle avait été rapportée samedi soir par plusieurs médias américains, dont CNN, ABC News et NBC News. Samedi soir, le président avait d’ailleurs tweeté que quelque chose de majeur venait de se passer sans toutefois donner plus de détails.
Image de Abou Bakr Al-Baghdadi tirée de la vidéo diffusée sur un site lié à l’État islamique.
Par ailleurs, bien que les principaux élus démocrates n’aient pas été informés de la tenue de cette opération par Donald Trump, la présidente de la Chambre des représentants et figure de proue du Parti démocrate, Nancy Pelosi, a tenu à saluer dimanche « l’héroïsme, le dévouement et les compétences » des militaires et professionnels du renseignement américain.
Le bureau de Nancy Pelosi avait notamment confirmé à CNN qu’« aucun avis n’avait été donné avant l’attaque ».
L’annonce de la mort d’Abou Bakr Al-Baghdadi pourrait bien donner un nouvel élan à la popularité de Donald Trump, embourbé dans des procédures de destitution. Sa décision de retirer les troupes américaines du nord-est de la Syrie avait été critiquée tant par des démocrates que des républicains, craignant que le groupe armé État islamique ne regagne du terrain.
Un travail conjoint avec le renseignement américain
Les autorités irakiennes ont confirmé dimanche avoir fourni la localisation du chef du groupe djihadiste aux troupes américaines.
Une section spécialisée a travaillé pendant un an et le renseignement national a pu localiser le repaire d’Al-Baghdadi, indique un communiqué du commandement militaire irakien.
Samedi soir, une vidéo de l’opération a été diffusée sur la chaîne de télévision d’État irakienne.
Le président turc Tayyip Ergodan a également réagi dimanche à la mort du chef de l’El, en indiquant qu’elle marquait un tournant décisif dans la lutte conjointe contre le terrorisme.
Du côté des forces kurdes, partenaires de Washington dans la lutte contre l’EI, le commandant des Forces démocratiques syriennes (FDS), Mazloum Abdi, a salué sur Twitter une « opération historique réussie », résultant d’un travail conjoint avec les services d’intelligence américains. Mais il a toutefois mentionné redouter des représailles de la part du groupe armé État islamique.
Les cellules dormantes vont venger Al-Baghdadi. Donc, on s’attend à tout, y compris des attaques contre les prisons gérées par les forces kurdes, où sont détenus des milliers de djihadistes, a-t-il illustré.
Des réactions internationales unanimes, sauf du côté russe
Les réactions à l’international ne se sont pas fait attendre, notamment en Israël, où le premier ministre Benyamin Nétanyahou a félicité un allié clé du pays.
Donald Trump et Benjamin Netanyahu :une amitié sioniste et khazare qui remonte à des décennies.
«Je veux féliciter le président Trump pour cet accomplissement impressionnant ayant mené à la mort du chef de l’EI. Cette réussite est une étape importante, mais la bataille continue», a-t-il déclaré, alors qu’il était en visite dans une base militaire israélienne.
Le premier ministre britannique, Boris Johnson, a quant à lui souligné qu’il s’agissait d’un moment important dans le combat contre la terreur, mais que la guerre contre le groupe armé État islamique n’est pas encore terminée. «Nous travaillerons avec nos partenaires de la coalition pour mettre un terme aux activités meurtrières, barbares de Daech (El) une bonne fois pour toute»s, a-t-il mentionné.
Le président français Emmanuel Macron a joint sa voix aux autres dirigeants en déclarant que la mort d’Al-Baghdadi était « un coup dur porté contre Daech (El) ».
«Le combat continue avec nos partenaires de la coalition internationale pour que l’organisation terroriste soit définitivement défaite. C’est notre priorité au Levant», a-t-il écrit sur son compte Twitter.
Mais tandis que les réactions se multiplient pour saluer l’opération américaine, Moscou reste quant à elle sur sa réserve et met en doute l’annonce présidentielle.
Le porte-parole du ministère de la Défense russe, Igor Konachenkov, a notamment déclaré dimanche ne pas avoir « d’informations fiables » sur une énième mort d’Abou Bakr Al-Baghdadi, faisant par ailleurs état de détails contradictoires qui soulèvent des doutes sur la réalité et, surtout, le succès de l’opération américaine.
Une première apparition en cinq ans
Fin avril, l’EI a diffusé une première vidéo en cinq ans d’Abou Bakr Al-Baghdadi, un peu plus d’un mois après la chute de son « califat » autoproclamé.
La vidéo n’était pas datée et le lieu de tournage était inconnu, mais Al-Baghdadi y évoquait les attentats de la Pâque catholique contre des églises et des hôtels au Sri Lanka, survenus un peu plus tôt en avril.
Al-Baghdadi, de nationalité irakienne, était un ultraconservateur devenu actif dans l’insurrection islamiste contre les forces américaines à la suite de l’intervention en 2003 qui a renversé le président Saddam Hussein.
Il a notamment été détenu par les forces américaines à la prison irakienne d’Abou Graïb, qui a été connue en raison des abus commis par des soldats américains à l’égard de ses prisonniers.
Par la suite, Al-Baghdadi a joint les rangs d’Al-Qaïda, où il a pris du galon. Ce groupe a fini par rejoindre l’organisation armée État islamique et Al-Baghdadi en est devenu le chef en 2010, à la suite de l’assassinat de son prédécesseur lors d’une opération militaire conjointe américano-irakienne.
L’EI a rapidement pris de l’expansion et, en 2014, Abou Bakr Al-Baghdadi a autoproclamé son « califat » sur de vastes territoires en Irak et en Syrie, au terme d’une offensive de combattants arabes et kurdes soutenus par la coalition internationale.
Déclenchée en 2011, la guerre civile en Syrie a fait plus de 370 000 morts, selon l’ONU.
Raid contre al-Baghdadi : Donald Trump était dans la Situation Room…Une belle mise en scène
Donald Trump dans le Situation Room
«C’était comme de regarder un film», a assuré dimanche Donald Trump. Le président américain a confirmé qu’Abou Bakr al-Baghdadi, le fondateur et dirigeant du groupe terroriste Etat islamique, était décédé lors d’un raid mené par les forces américaines dans la nuit de samedi à dimanche. Il a suivi l’opération des militaires depuis la Situation Room de la Maison-Blanche. Sur l’image publiée dans un premier temps par le directeur des réseaux sociaux de la Maison-Blanche Dan Scavino, on voit le milliardaire entouré, de gauche à droite, du Conseiller à la sécurité nationale Robert O’Brien, du vice-président Mike Pence, du secrétaire à la Défense Mark Esper, du président du Comité des chefs d’état-major interarmées le général Mark Milley et du directeur adjoint des opérations spéciales le brigadier général Marcus Evans.
«C’est un coup dévastateur» porté au groupe terroriste, a assuré Mark Esper à l’antenne de CNN peu après l’intervention de Donald Trump. «Ce n’est pas seulement leur dirigeant, c’est leur fondateur. C’était un dirigeant qui les inspirait de bien des façons. Il a formé l’EI en 2014, il a mené à la création du califat physique à travers la région, donc c’est un coup majeur contre eux.» Il a donné quelques informations sur les heures précédant le raid et insisté sur le rôle de Donald Trump : «Le président a approuvé un raid contre la cible, Abou Bakr al-Baghdadi, et si nous ne le capturions pas, bien sûr, nous allions le tuer. Il a étudié, a posé quelques questions géniales, a choisi l’option qui nous donnait les plus grandes chances de réussir et la confirmation que la tête de l’EI serait là et soit capturé ou tué, puis nous avons agi à partir de là. Le président a eu une action décisive et nos troupes et nos partenaires inter-agences l’ont mise en oeuvre brillamment.»
« Il est mort comme un lâche »
Lors d’une allocution suivie d’une conférence de presse, Donald Trump est entré dans les détails des derniers instants d’Abou Bakr al-Baghdadi, qu’il a suivis en direct : «Il n’est pas mort comme un héros, il est mort comme un lâche», a-t-il assuré, décrivant un homme «gémissant et pleurant et criant tout du long» en tentant d’échapper aux militaires américains qui le traquaient dans le bâtiment où il se trouvait. Abou Bakr al-Baghdadi a, a précisé le président américain, emmené avec lui dans un tunnel qu’il savait sans issue trois de ses jeunes enfants, avant de déclencher une ceinture explosive qui l’a tué, ainsi que les trois enfants. «Beaucoup de morts» ont été causés par le raid dont au moins deux épouses du calife autoproclamé, mais le président américain n’a pas voulu préciser combien de personnes avaient été interpellées. Aucun militaire américain n’a été blessé ou tué, a insisté Donald Trump, précisant qu’un chien avait été blessé : «Un « canin », comme ils les appellent. J’appelle ça un chien. Un beau chien, un chien talentueux a été blessé et ramené.»
Avant de répondre aux questions des journalistes, Donald Trump a conclu ainsi sa prise parole : «La nuit dernière a été une grande nuit pour les Etats-Unis et pour le monde. Un tueur brutal, qui a causé tant de douleur et de morts, a été violemment éliminé -il ne fera plus de mal à un enfant, une femme ou un homme innocent. Il est mort comme un chien. Il est mort comme un lâche. Le monde est maintenant un endroit plus sûr.»
Mais qui était Abou Bakr al-Baghdadi, le calife autoproclamé de l’État Islamique, supposément tué dimanche,le 27 octobre 2019, par l’armée américaine?
Pendant que ses sbires djihadistes ont le ventre creux,Abou Bakr al-Baghdadi,le calife autoproclamé de tous les musulmans aurait une Rolex pour tenir l’heure.
Voici tout d’abord les « fausses informations » comprenant quelques vérités…véhiculées par les médias « officiels »:
Le chef autoproclamé de Daesh, Abou Bakr al-Baghdadi,supposément tué dimanche dans une opération américaine en Syrie (selon Donald Trump), aura toujours vécu terré dans l’ombre, même lorsque, autoproclamé « calife », il présidait aux destinées de sept millions de personnes en Syrie et en Irak.
Surnommé le « fantôme », il a d’abord été un étudiant en religion timide puis un combattant jihadiste de second rang. Mais cet Irakien de 48 ans est parvenu à réaliser l’alliance entre jihadistes convaincus venus du monde entier et anciens militaires de l’armée de Saddam Hussein, laïque et socialiste, atout clé pour conquérir en 2014 un territoire grand comme la Grande-Bretagne.
S’il a été le premier chef jihadiste à instaurer un proto-Etat, son « califat » autoproclamé a aujourd’hui fait long feu. Le dernier réduit de Daesh est tombé en mars à Baghouz, en Syrie, et des dizaines de milliers de ses jihadistes sont désormais dans les prisons des Kurdes de Syrie ou de l’Etat irakien.
Diabétique et blessé au moins une fois, Ibrahim Awad al-Badri de son vrai nom, montrait rarement son visage. Du temps du « califat », il n’a fait qu’une seule apparition publique, en juin 2014. Du haut de la chaire de la célèbre mosquée al-Nouri de Mossoul, la « capitale » de Daesh en Irak reprise à l’été 2017, il avait prononcé un sermon devant ses partisans. Son visage à la barbe poivre et sel teintée de henné rouge n’est reparu qu’une autre fois, sur une vidéo diffusée en avril. Il s’est par ailleurs exprimé via des enregistrements sonores.
Sa discrétion en a fait pour officiels et militaires occidentaux l’antithèse d’Oussama Ben Laden, qui diffusait régulièrement des cassettes vidéos avec mise en scène au combat ou à la mosquée. Le chef d’Al-Qaïda avait été traqué des années et tué en 2011 par les forces spéciales américaines au Pakistan.
Préférant l’ombre et les avancées à petits pas, Baghdadi, un passionné de football au destin d’avocat ou de militaire contrarié par des résultats scolaires insuffisants et une mauvaise vue, a, lui, longtemps attendu son heure. Prêchant dans une mosquée peu fréquentée de l’Irak alors sous la dictature de Saddam Hussein, il a développé « une vision assez claire de là où il voulait aller et de l’organisation qu’il voulait créer », explique la journaliste Sofia Amara.
« C’est un planificateur secret », explique celle qui a réalisé un documentaire sur Baghdadi. Et, s’il « donne l’impression d’un homme pas brillant », il est « patient et bosseur ».
Après avoir créé lors de l’invasion américaine de l’Irak en 2003 un groupuscule jihadiste sans grand rayonnement, ce père de cinq enfants issus de deux mariages, est arrêté en février 2004 et emprisonné au camp Bucca. Cette immense prison installée par les Américains à l’extrême sud de l’Irak, où se côtoient dignitaires déchus du régime de Saddam Hussein et nébuleuse jihadiste, sera surnommée « l’université du jihad ».
Là, peu à peu, « tout le monde s’est rendu compte que ce type timide était un fin stratège », affirme Sofia Amara.
Traversée du désert
D’ailleurs, dix ans plus tard, lors de la percée fulgurante de Daesh, l’armée irakienne comprendra qu’elle a face à elle ses ex-commandants, de l’époque de l’ancien régime, passés dans le groupe islamiste.
Libéré faute de preuves de Bucca après 10 mois, Baghdadi prête allégeance à Abou Moussaab al-Zarqaoui, sous tutelle d’Al-Qaïda, puis devient l’homme de confiance de son successeur Abou Omar al-Baghdadi. Il prendra sa relève à sa mort en 2010 sous le nom d’Abou Bakr al-Baghdadi, en référence au premier calife successeur du prophète Mahomet.
Celui qui s’était un temps posé en chef suprême des musulmans du monde, réactivant le « califat » des premiers siècles de l’islam, aura finalement trouvé la mort à Idleb, dernier carré jihadiste de Syrie. Là, il avait dû trouver refuge parmi les groupuscules liés à al-Qaïda, le groupe de ses débuts.
Maintenant pour avoir la « vraie vérité » sur le calife autoproclamé » de l’État Islamique,voici le lien vers mon article antérieur écrit sur ce sujet:
Le 7 septembre 2014,le gouvernement américain (par l’intermédiaire d’une agence irakienne de nouvelles) annonçait la mort du calife Bagndady par cette photo mal truquée!
LES ENFANTS DE L’ÉTAT ISLAMIQUE ONT DU GRANDIR (photos)
Voici des images horribles qui nous montrent que les forces armées de nombreux pays pourraient se battre pendant des décennies pour éliminer la menace des enfants-soldats endoctrinés par le faux calife al-Baghdady et l’État Islamique:
Nota Bene
L’État Islamique n’a jamais tiré une seule balle de pistolet contre Israël …coïncidence vous direz?
Il s’avère que les projets de contrôle des inondations massifs sont un excellent moyen de trouver des dinosaures.
Une statue de bronze de T. Rex, appartenant à l’armée surnommée affectueusement «Big Mike», garde le musée des Rocheuses. GREG GOEBEL / CC PAR 2.0
EN 1993, LA MER SEMBLAIT retourner à Coralville, Iowa. Pendant 28 jours de pluie, 17 000 pieds cubes d’eau ont coulé sur l’évacuateur de crue du barrage, détruisant les routes et détruisant efficacement les récoltes annuelles de maïs et de soja de l’État. Le barrage de Coralville, construit dans les années 1950 par le US Army Corps of Engineers pour protéger la vallée de l’Iowa au sud contre les inondations, a été nommé en l’honneur de la ville, qui tire son surnom étrangement maritime des anciens récifs fossilisés calcaire. Une fois que les pluies ont cessé, le corps d’armée est retourné sur les lieux pour découvrir que les inondations avaient érodé environ cinq pieds de calcaire du bord de l’évacuateur de crues, scindant la gorge en une succession de couches de fossiles vieilles de 375 millions d’années créatures qui avaient autrefois élu domicile dans la mer qui est devenue l’Iowa.
Un peu involontairement, l’US Army Corps of Engineers possède une énorme collection de fossiles qui feraient pâlir d’envie tout paléontologue. «Le corps de l’armée américaine a des collections qui couvrent tous les registres paléontologiques», explique Nancy Brighton, archéologue en chef du Corps. «Essentiellement, tout ce qui avait trait aux animaux et à la nature avant que les humains ne se manifestent. Les fossiles – des trilobites aux dinosaures, en passant par tout le reste – étaient une sorte de sous-produit loin du but réel et plus logistique du Corps d’armée: le contrôle des inondations (entre autres projets de génie civil de grande envergure).
Le barrage et le réservoir de Coralville, un soupçon de la mer préhistorique qui est devenue l’Iowa. US ARMY CORPS OF ENGINEERS / DOMAINE PUBLIC
L’agence a été créée pendant la guerre d’indépendance, selon le site du corps d’armée . Le général George Washington venait d’ordonner à l’un de ses colonels de construire des fortifications à Bunker Hill lorsque le Congrès continental s’est rendu compte que la tâche était impossible, car ils ne faisaient appel à aucun ingénieur formé aux fortifications militaires. Ils ont donc engagé plusieurs anciens officiers français, ayant l’expérience appropriée, pour servir dans l’armée continentale. En 1802, le Corps of Engineers est devenu une branche permanente de l’armée américaine et, depuis lors, a géré de nombreux projets publics de gestion de l’ingénierie et de la construction, qui n’étaient pas si éclatants. Dans leur portefeuille, il y a beaucoup de barrages.
La collecte accidentelle de fossiles par le Corps a commencé sérieusement pendant la Grande Dépression, après que le Président Franklin Delano Roosevelt eut voté le Flood Control Act de 1936. Ce projet de construction de génie civil monumental conduisit à la construction d’innombrables barrages et digues. L’ampleur des travaux a obligé le corps à effectuer des relevés du terrain désigné pour s’assurer qu’aucune ressource archéologique ou paléontologique ne serait détruite ou perturbée. Le corps d’armée gère environ 8 000 000 acres de terres, ce qui a conduit à la découverte de nombreux artefacts et fossiles.
Les gorges fossilifères du Dévonien à Coralville, dans l’Iowa, après une inondation en 2008. ALAN LIGHT / CC PAR 2.0
«Je dirais que la majorité de nos collections archéologiques [et paléontologiques] proviennent de la construction de projets d’hydroélectricité et de contrôle des inondations dans les années 50, 60 et 70», explique Jen Reardon, archéologue au Corps. Dans les années 70, par exemple, le Corps a explosé à travers la terre et la roche pour construire un déversoir d’urgence pour le barrage de Caesar Creek Lake dans l’Ohio. Le travail a brisé des couches de schiste et de calcaire pour exposer un ancien fond marin âgé d’environ 438 millions d’années, parsemé de brachiopodes, de bryozoaires et de crinoïdes.
Alors que beaucoup de ces fossiles sont laissés in situ, comme à Coralville, le Corps a pris la peine de fouiller certains spécimens, des superstar. En 1988, dans la réserve de Fort Peck, dans le Montana, Kathy Wankel, une chasseuse de fossiles amateure, a vu quelque chose sortir de la pente de la formation Hell Creek, un site fossilique d’une richesse spectaculaire . Wankel se souvient de la façon fortuite dont la lumière s’est allumée sur la corniche de pierre, éclairant un motif de moelle osseuse, a-t-elle déclaré au Washington Post . C’était la terre des corps, alors dans les années qui ont suivi, l’armée a balayé la terre pour révéler un squelette de Tyrannosaurus Rex de 30 mètres de long, presque à 90 pour cent intact. Connu scientifiquement sous le nom de MOR555 et avec le surnom de «T. Rex de Wankel», le squelette était une mine d’or paléontologique – le premier tyrannosaure découvert avec un bras minuscule et risible.
Une rive semée de fossiles près du barrage de Caesar Creek Lake, avec des spécimens datant de plus de 400 millions d’années. JAMES ST. JOHN / CC PAR 2.0
Le T. Rex de Wankel, également connu sous le nom de «T. Rex de la nation», était exposé dans son État de Montana, au Museum of the Rockies, jusqu’en 2014, date à laquelle il a été expédié dans 16 caisses dans un camion FedEx personnalisé. au Musée national d’histoire naturelle Smithsonian, après que le musée eut consenti un prêt de 50 ans au Corps. Dans le Montana, le T. Rex de Wankel était exposé dans une posture de mort, ses os arrangés pour montrer aux visiteurs ce qui venait réellement de sortir de la terre. Mais au Smithsonian, le tyrannosaure se lèvera pour la première fois, tranchant sur un tricératops fossilisé.
Comme T. Rex de Wankel, la majeure partie de la collection du Corps qui n’est plus dans le sol ne se trouve pas réellement dans un bâtiment militaire. La plupart des pièces résident dans les musées ou les universités locales. Reardon indique qu’une minorité d’objets sont actuellement exposés, tels que la collection de traces de dinosaures fossilisées de l’Université du Colorado à Denver. Le Corps encourage toutes les institutions respectant certaines normes de détention à exposer leurs spécimens, mais il y en a trop pour tout afficher en même temps, ajoute-t-elle. Le Corps travaille actuellement à photographier et à numériser ses collections paléontologiques et archéologiques afin que les personnes qui ne peuvent pas voyager puissent toujours les voir. Mais les spécimens de célébrités tels que T. Rex et «Peck’s Rex» de Wankel – un autre retrouvé à Fort Peck qui prendra la place de Wankel au Museum of the Rockies – n’ont jamais été exposés.
The U.S. Army Corps of Engineers and the Smithsonian National Museum of Natural History welcomed the arrival of a nearly complete T. rex skeleton on April 15, 2014 in Washington, D.C. (U.S. Army Corps of Engineers Photo by Ashley Roberts)/ Une des 16 caisses contenant le T. Rex de Wankel, non emballée au Smithsonian. US ARMY CORPS OF ENGINEERS / DOMAINE PUBLIC
Lorsqu’on lui demande si elle a un spécimen préféré appartenant au Corps, Brighton se marre. Elle dit que la collection est trop vaste pour qu’une seule personne puisse tout comprendre. Reardon a remarqué un tricératops partiel et un hadrosaure, ainsi qu’un ancien homard trouvé dans les schistes de Bear Paw à Fort Peck, sa coquille de crevette encore rouge dans la roche. Parmi toutes les terres contrôlées par le Corps, du moins en ce qui concerne les fossiles, «Fort Peck semble vraiment être la vedette», déclare Brighton.
La construction de barrages à grande échelle par le Corps d’armée est en grande partie révolue, en partie à cause des coûts croissants requis pour les enquêtes de grande envergure requises qui révéleraient sans aucun doute des vestiges historiques et scientifiques significatifs. Aujourd’hui, les principaux projets de l’agence consistent à fournir une assistance en cas de catastrophe, la construction de fortifications militaires et la construction occasionnelle et peu invasive d’une zone de loisirs pour le public. En tant que tels, ils rencontrent moins de fossiles aujourd’hui. À présent, le corps doit également consulter plusieurs archéologues pour des travaux importants, ainsi que pour toutes les tribus et les communautés locales reconnues par le gouvernement fédéral.
Après tout, la collection du Corps ne se limite pas au Jurassique. Une grande partie des archives est en fait archéologique et se rapporte à l’histoire humaine américaine, préhistorique et assez récente. «Il existe une règle empirique très informelle qui spécifie 50 ans, il y a environ une génération», dit Brighton, en référence à l’âge d’un objet pour être considéré comme de nature archéologique. «L’idée, c’est qu’en tant que chercheur, vous êtes suffisamment éloigné de l’événement et de l’objet pour le regarder objectivement. Tribu amérindienne, dont Brighton se souvient comme étant particulièrement moderne. «La personne qui a fabriqué [le couteau] était extrêmement habile», dit-elle. « Comme si vous pouviez sortir et écorcher un cerf avec tout de suite. »
Le tyrannosaure exposé au Museum of the Rockies a été retrouvé à Fort Peck dans le Montana. TIM EVANSON / CC PAR 2.0
Tous les artefacts appartenant à des tribus reconnues par le gouvernement fédéral font l’objet d’un processus de consultation avec les chefs de tribus, mais beaucoup restent dans les collections du Corps pour être préservés. Les objets visés par la loi sur la protection et le rapatriement des sépultures amérindiennes, y compris les biens culturels mis au jour ou découverts sur des terres tribales après 1990, sont restitués. «Cela protège les objets funéraires, les objets sacrés et les restes humains», explique Reardon. « Et nous travaillons avec les tribus pour identifier les éléments de notre collection qui conviennent le mieux pour nous assurer de les restituer. » Les dinosaures, cependant, n’ont pas de telles questions.
Bien qu’il possède toutes les traces de la vie ancienne qui se trouvent sur ses terres, le Corps n’a plus besoin de plus de fossiles. Mais dans certains endroits, les personnes dûment autorisées peuvent aller les chercher. Au Caesar Creek State Park, avec un permis et après avoir écouté un court extrait sur la collecte des règles, vous pouvez vous rendre à l’évacuateur de crue pour jeter un coup d’œil sur le monde antique. Au début du printemps, la saison de chasse aux fossiles est primordiale, juste après que les cycles de gel et de dégel de l’hiver aient brisé les roches et exposé davantage de fossiles. Aucun outil n’est autorisé, mais vous êtes autorisé à rapporter à la maison tout spécimen qui rentre dans un rocher plus petit que votre paume. Surveillez donc la découverte de petits fossiles (ou amenez quelqu’un avec de grosses mains).
C’est en analysant les sédiments géologiques marins de la côte ouest de la Nouvelle-Zélande, ainsi que les particules qui ont voyagé par les courants, que des chercheurs de l’université Victoria, en Australie, en sont venu à une conclusion plutôt alarmante. En effet, si la fonte du Groenland ferait augmenter le niveau de la mer de 5 mètres, celle de l’Antarctique le ferait passer à 25 mètres. Il s’agit donc d’une hausse de 20 mètres seulement à cause de ce continent de glace.
Une histoire qui pourrait se répéter
Ces sédiments analysés ont permis de remonter à un épisode de réchauffement planétaire antérieur, qui s’est déroulé au Pliocène, il y a de cela 3 millions d’années. À ce moment, il y avait pratiquement la même quantité de CO2 dans l’atmosphère qu’on en trouve aujourd’hui, soit environ 400 ppm. Cela dit, la température de notre planète était entre 2 et 3 °C plus élevée qu’à notre époque. Au Pliocène, l’Antarctique avait effectivement fondu et fait grimper le niveau de la mer de 20 mètres, alors que la fonte des glaces du Groenland en avait ajouté cinq, pour un total de 25 mètres. Selon Georgia Grant, chercheure à l’université Victoria, il est important d’atteindre les cibles fixées par l’accord de Paris. Si les températures globales augmentent de plus de 2 °C, la situation vécue au Pliocène pourrait survenir à nouveau.
Les conséquences d’une telle hausse
On se souviendra de la fameuse découverte par la NASA d’un énorme point chaud sous la banquise Antartique qui s’est révélé être un immense lac de lave…suite à une forte éruption volcanique.
Une hausse du niveau de la mer de 25 mètres est énorme et aurait des conséquences mondiales, bien entendu. Selon les prédictions de l’Agence américaine d’observation océanique et atmosphérique, la NOAA, une telle augmentation inonderait plusieurs villes en importance, dont Copenhague, le Caire, Bangkok et Rio de Janeiro, mais aussi des pays entiers comme les Pays-Bas. Si un tel scénario survenait, ce serait dans plusieurs années, c’est-à-dire au-delà de 2200. Au Canada, les Maritimes seraient les principales victimes de la montée des eaux, surtout l’Île-du-Prince-Édouard. Au Québec, ce sont les villes côtières du fleuve Saint-Laurent qui sont à risque. Le Lac-Saint-Pierre devrait absorber une bonne quantitée d’eau, ce qui engloutirait Trois-Rivières, Sorel-Tracy et les villes voisines. Le sud et l’est de l’île de Montréal ainsi que les Îles-de-la-Madeleine seraient aussi sous les eaux.
La civilisation centrée sur les énergies fossiles va s’effondrer d’ici à 2028 pour être remplacée par une nouvelle économie basée sur le solaire, l’éolien, le numérique, et sans nucléaire, prédit l’essayiste et économiste américain Jeremy Rifkin.
« La civilisation des carburants fossiles, qui est à la base des deux premières révolutions industrielles, s’effondre en temps réel », estime-t-il dans un entretien à l’AFP à l’occasion de la parution en français de son dernier ouvrage, « Le New Deal vert mondial » (éditions Les liens qui libèrent).
Jeremy Rifkin, qui a conseillé des responsables européens et des dirigeants chinois, part du constat que « le solaire et l’éolien deviennent si bon marché que leur coût moyen est désormais moindre que celui de l’énergie nucléaire, du pétrole, du charbon ou même du gaz naturel ».
« C’est un tournant majeur et nous commençons à voir des milliers de milliards de dollars d’actifs perdus dans le complexe mondial des énergies fossiles », souligne-t-il.
« Les actifs perdus, ce sont les droits d’exploration (pétrolière et gazière) qui resteront inutilisés, tous les hydrocarbures qui ne seront jamais extraits, tous les pipelines qui seront abandonnés, les centrales électriques qui ne seront pas utilisées parce qu’elles ne seront jamais amorties. »
Pour lui, le marché agit comme « une force puissante » dans cette évolution: « 11.000 milliards de dollars se sont déjà rapidement détournés des énergies fossiles, les investisseurs ne voulant pas perdre leur mise », indique-t-il, relevant: la banque américaine « Citigroup estime que nous pourrions voir 100.000 milliards d’actif perdus. C’est la plus grosse bulle de l’histoire économique ».
– « Pas besoin de nouvelles taxes » –
Pour l’essayiste, convaincu de l’avènement d’une nouvelle forme de capitalisme, c’est « la nature de l’infrastructure qui détermine la nature du système économique ».
Il imagine ainsi un monde futur reposant sur trois grands types d’infrastructures, réunissant les populations au niveau local comme mondial dans ce qu’il appelle la « glocalisation »: des réseaux de communication par smartphones; de l’énergie renouvelable, produite de manière décentralisée et distribuée par des réseaux intelligents; et enfin des transports électriques ou à pile à combustible, intégrés dans des chaînes logistiques intelligentes.
Cela nécessitera de gérer beaucoup de données. Elle ne seront toutefois plus contrôlées par les Google, Facebook et autres Amazon, mais stockées dans de petits centres reliés entre eux et contrôlés par des « assemblées de pairs » (des experts nommés par des responsables locaux ou régionaux).
Des projets pilotes existent aujourd’hui, avec quelques autobus à hydrogène ou bâtiments à énergie positive. Dans le nord de la France, Jeremy Rifkin a conseillé en la matière le président de région Daniel Percheron et continue de collaborer avec son successeur Xavier Bertrand.
Mais il plaide pour un changement d’échelle, où les décideurs politiques auront un rôle important à jouer.
« Ce sont les gouvernements qui créent l’infrastructure pour la révolution industrielle du XXIe siècle. Les Etats doivent créer des banques vertes, les régions françaises doivent mettre sur pied leurs propres banques vertes et émettre des obligations vertes » qui séduiront les fonds d’investissements recherchant « des rendements à long terme, stables, qui sont ceux que fournissent les infrastructures », détaille M. Rifkin.
En revanche, « vous n’avez pas besoin de nouvelles taxes », assure-t-il, un peu moins d’un an après le début de la crise des « gilets jaunes ».
– Le nucléaire condamné –
Avec ces infrastructures, des millions de personnes, d’associations, de petites entreprises pourront « créer des coopératives pour leur énergie solaire et éolienne et réinjecter ce qu’elles n’utilisent pas dans un internet de l’énergie renouvelable de plus en plus numérisé qui pourra traverser les pays et même les continents ».
Exit donc la production d’énergie centralisée qui domine aujourd’hui.
« Construire une nouvelle centrale électrique est complètement absurde », affirme-t-il, « le prix réel de l’énergie nucléaire sur la durée de vie d’une centrale est de 112 dollars par mégawatt », contre « entre 29 et 40 dollars par mégawatt » pour le solaire et l’éolien.
Et « il y a un autre problème: le manque d’eau », prévient-il. « Une part importante de l’eau douce sert à refroidir les réacteurs. Mais avec le changement climatique, l’eau des rivières et des lacs se réchauffe » et deviendra inutilisable l’été pour refroidir les centrales. Cela s’est déjà produit dans le sud de la France.
Le «bacha bazi» est une coutume pédophile afghane, qui remonte au XIXe siècle. Toujours tolérée, elle est très répandue au sein des forces afghanes soutenues par l’Occident. C’est aussi une arme utilisée par les talibans pour piéger et commettre des attaques contre des policiers et des militaires.
Le commandant de la police afghane, Seddiqullah, 30 ans, se dit préoccupé par ces attaques de Talibans qui font appel à des bachas.
La loi afghane punit le viol et criminalise l’homosexualité. Mais elle n’interdit pas le «bacha bazi», qui signifie littéralement «jouer avec les garçons» en dari, l’une des deux langues officielles afghanes.
En Afghanistan, les bachas sont souvent des enfants issus de milieux très pauvres et vendus à un tiers par leur propre famille pour de l’argent ou des cadeaux. Certains sont même kidnappés. Lors de soirées réservées aux hommes, ces enfants sont contraints de danser habillés en femme et sont victimes de rapports sexuels forcés.
Car, selon la tradition, avoir à sa disposition, sous son toit, un bacha est un symbole de pouvoir et d’influence pour un chef de guerre, un policier ou un militaire, dans les régions pachtounes d’Afghanistan et du Pakistan.
Un «mort-vivant» Les témoignages de familles de victimes sont rares car ces personnes sont souvent accablées par la honte et le chagrin. L’AFP est parvenue à retrouver un jeune Afghan réchappé des griffes d’un policier. Traumatisé, il lui a été impossible de raconter ce qui lui était arrivé deux ans plus tôt. Le regard fixe, voûté au-dessus de sa tasse de thé, il est décrit par son père comme un «mort-vivant». «Ses cicatrices vont mettre du temps à guérir», admet-il à propos de son fils qui a réussi à échapper à son agresseur grâce à l’intervention d’une personne de pouvoir.
Cette coutume semble assez ancienne si l’on en juge par cette photo du 19 ième siècle (vers 1890 environ)…on y voit de jeunes garçons au milieu de ce groupe.
Une arme pour les talibans Il arrive aussi que ces mineurs soient recrutés par des rebelles talibans pour approcher des policiers ou des gradés militaires qu’ils sont chargés de tuer en les empoisonnant ou les droguant.
Le président afghan Ashraf Ghani a promis une «enquête approfondie» sur ces pratiques qui se perpétuent dans les hautes sphères de la police et de l’armée. Des membres du Congrès américain ont estimé que ces abus pourraient compromettre les aides financière et militaire des Etats-Unis. Du côté de l’ONU, un protocole de 2011 pour mettre fin à ces abus sexuels n’a pas abouti.
Le «bacha bazi» s’est intensifié depuis deux ans. Il était interdit sous le régime taliban, entre 1996 et 2001.
EN COMPLÉMENT
Des soldats américains censés ignorer le viol de petits garçons par des alliés afghans
Les soldats américains ont dit de protéger et d’ignorer les pires terroristes (= pédophiles).
Probablement juste une coïncidence que TPTB sont des satanistes et des pédophiles.
Sgt. 1re classe Charles Martland, récipiendaire de son béret vert et de l’étoile de bronze pour ses actions héroïques lors d’un déploiement en Afghanistan, est mis à la porte de l’armée après une carrière de 11 ans bien décorée.
Sgt. 1re classe Charles Martland, récipiendaire de son béret vert et de l’étoile de bronze pour ses actions héroïques lors d’un déploiement en Afghanistan, est mis à la porte de l’armée après une carrière de 11 ans bien décorée.
La raison est sûre de vous laisser en colère.
Martland, semble-t-il, a affronté un officier de police afghan formé par les États-Unis après avoir appris qu’il avait violé un jeune garçon et battu sa mère sévèrement.
…
L’Armée a-t-elle été justifiée dans sa réaction au fait que Charles Martland ait bousculé un violeur et une batteuse?
KABOUL, Afghanistan – Lors de son dernier appel téléphonique à la maison, le cap. Gregory Buckley Jr. a expliqué à son père ce qui le troublait: depuis sa banlieue dans le sud de l’Afghanistan, il pouvait entendre des policiers afghans abuser sexuellement de garçons qu’ils avaient emmenés à la base.
«La nuit, nous pouvons les entendre crier, mais nous ne sommes pas autorisés à faire quoi que ce soit», a déclaré le père de la Marine, Gregory Buckley, père, avant de l’avoir tué avant d’être abattu à la base en 2012. Il a exhorté son fils à dire à ses supérieurs. « Mon fils a dit que ses officiers lui avaient dit de détourner les yeux parce que c’était leur culture. »
Les abus sexuels généralisés à l’encontre d’enfants ont longtemps été un problème en Afghanistan, en particulier parmi les commandants armés qui dominent une grande partie du paysage rural et peuvent harceler la population. La pratique s’appelle bacha bazi , littéralement «jeu de garçon», et les soldats américains et les marines ont pour instruction de ne pas intervenir – dans certains cas, même lorsque leurs alliés afghans ont maltraité des garçons sur des bases militaires, selon des entretiens et des archives judiciaires.
La politique a perduré alors que les forces américaines ont recruté et organisé des milices afghanes pour aider à maintenir un territoire contre les talibans. Les soldats et les marines sont de plus en plus troublés par le fait qu’au lieu de se débarrasser des pédophiles, l’armée américaine les armait parfois et les plaçait comme les commandants de villages – et ne faisait rien quand ils ont commencé à maltraiter des enfants.
«Si nous étions ici, c’est parce que nous avons appris les terribles actes des talibans auprès des populations, à savoir comment ils enlèvaient les droits humains», a déclaré Dan Quinn, ancien capitaine de forces spéciales qui avait tabassé un commandant de la milice soutenu par les Américains à cause de la découverte d’un garçon enchaîné à son lit comme un esclave sexuel. « Mais nous allions au pouvoir avec des gens qui feraient des choses pires que les talibans – c’est ce que les anciens du village m’ont dit. »
La politique consistant à enjoindre aux soldats d’ignorer les abus sexuels commis sur leurs enfants par leurs alliés afghans fait l’objet d’un nouvel examen minutieux, en particulier au moment où il apparaît que des militaires tels que le capitaine Quinn ont été victimes de sanctions disciplinaires, voire de ruines dans leur carrière, pour y avoir désobéi.
Après le passage à tabac, l’armée a relevé le capitaine Quinn de son commandement et l’a retiré de l’Afghanistan. Il a depuis quitté l’armée.
«L’Armée affirme que Martland et d’autres auraient dû détourner le regard (une affirmation que je trouve absurde)», a déclaré la semaine dernière le représentant Duncan Hunter, un républicain californien qui espère sauver la carrière du sergent Martland, à l’inspecteur général du Pentagone.
Dans le cas du sergent Martland, l’armée a déclaré qu’elle ne pouvait faire de commentaire en raison de la Loi sur la protection des renseignements personnels.
Interrogé sur la politique militaire américaine, le porte-parole du commandement américain en Afghanistan, le colonel Brian Tribus, a écrit dans un courrier électronique: «En règle générale, les allégations d’abus sexuels sur des enfants par des militaires ou des policiers afghans relèvent du droit pénal afghan. « Il a ajouté qu ‘ » il n’y aurait pas d’exigence expresse que les militaires américains en Afghanistan le signalent « . Une exception, a-t-il dit, concerne les cas où le viol est utilisé comme une arme de guerre.
La politique américaine de non-intervention vise à maintenir de bonnes relations avec la police afghane et les unités de milice que les États-Unis ont formées à la lutte contre les Taliban. Cela reflète également une réticence à imposer des valeurs culturelles dans un pays où règne la pédérastie , en particulier parmi les hommes puissants, pour qui le fait d’être entouré de jeunes adolescents peut être une marque de statut social.
Certains soldats pensaient que la politique avait du sens, même s’ils étaient personnellement bouleversés par la prédation sexuelle dont ils avaient été témoins ou dont ils avaient entendu parler.
«La situation dans son ensemble visait à combattre les talibans», a déclaré un ancien caporal de la Marine. « Ce n’était pas pour arrêter la molestation. »
L’ancien caporal, qui parlait sous le couvert de l’anonymat pour ne pas offenser d’autres marines, se souvint avoir eu le mal du cœur le jour où il entra dans une pièce sur un socle et vit trois ou quatre hommes allongés sur le sol, séparés par des enfants. « Je ne suis pas sûr à cent pour cent de ce qui se passait sous la feuille, mais j’ai une assez bonne idée de ce qui se passait », a-t-il déclaré.
Mais la politique américaine consistant à traiter les abus sexuels contre des enfants comme un problème culturel a souvent aliéné les villages dont les enfants sont la proie. Les pièges de la politique sont apparus clairement lorsque des soldats des forces spéciales américaines ont commencé à former des milices de la police locale afghane pour occuper des villages que les forces américaines avaient repris aux Taliban en 2010 et 2011.
À l’été 2011, le capitaine Quinn et le sergent Martland, deux bérets verts lors de leur deuxième voyage dans la province de Kunduz, dans le nord du pays, ont commencé à recevoir de vives plaintes concernant les unités de la police locale afghane qu’ils formaient et soutenaient.
On leur a d’abord appris que l’un des commandants de la milice avait violé une fille de 14 ou 15 ans qu’il avait vue travailler dans les champs. Le capitaine Quinn a informé le chef de la police provinciale, qui a rapidement infligé une peine. « Il a passé un jour en prison, puis elle a été forcée de l’épouser », a déclaré M. Quinn.
Un cas type de « garçon danceur » en Afghanistan.
Lorsqu’il a demandé à un officier supérieur ce qu’il pouvait faire de plus, on lui a dit qu’il avait bien fait d’en parler aux autorités locales, mais qu’il ne restait plus rien à faire. « Nous sommes félicités pour avoir fait la bonne chose, et un gars vient de s’en tirer en violant une jeune fille de 14 ans », a déclaré M. Quinn.
Les anciens du village étaient de plus en plus mécontents du comportement prédateur des commandants soutenus par les Américains. Après chaque cas, le capitaine Quinn rassemblerait les commandants afghans et leur donnerait des conférences sur les droits de l’homme.
Bientôt, un autre commandant s’est échappé avec le salaire de ses hommes. M. Quinn a déclaré par la suite avoir entendu dire que le commandant avait dépensé l’argent pour danser des garçons. Un autre commandant a assassiné sa fille de 12 ans dans un prétendu crime d’honneur pour avoir embrassé un garçon. « Il n’y a pas eu de répercussions », a rappelé M. Quinn.
En septembre 2011, une femme afghane, visiblement meurtrie, s’est présentée à une base américaine avec son fils qui boitait. Abdul Rahman, l’un des commandants de la police afghane dans la région, a enlevé le garçon et l’a forcé à devenir un esclave sexuel, enchaîné à son lit, a expliqué la femme. Quand elle a cherché le retour de son fils, elle a été battue elle-même. Son fils avait finalement été libéré, mais elle craignait que cela ne se reproduise, a-t-elle dit aux Américains sur la base.
Elle a expliqué que parce que « son fils était un si beau garçon, il était un symbole de statut » convoité par les commandants locaux, a rappelé M. Quinn, qui n’a pas parlé directement à la femme, mais a été informé de sa visite à son retour à la base d’une mission plus tard ce jour-là.
Le capitaine Quinn a donc convoqué Abdul Rahman et l’a confronté à propos de ce qu’il avait fait. Le commandant de la police a reconnu que c’était vrai, mais il l’a écartée. Lorsque l’officier américain a commencé à donner des conférences sur «comment vous êtes tenu à une norme plus élevée si vous travaillez avec les forces américaines et que les gens attendent plus de vous», le commandant a commencé à rire.
« Je l’ai pris et je l’ai jeté à terre », a déclaré M. Quinn. Le sergent Martland a rejoint, a-t-il dit. «Je l’ai fait pour m’assurer que le message était bien compris: s’il retournait vers le garçon, il ne serait pas toléré», a rappelé M. Quinn.
Il y a désaccord sur l’étendue des blessures du commandant. M. Quinn a déclaré qu’elles n’étaient pas sérieuses, ce qui a été corroboré par un responsable afghan qui a ensuite revu le commandant.
(Le commandant, Abdul Rahman, a été tué il y a deux ans dans une embuscade tendue par les talibans. Son frère a déclaré lors d’une interview que son frère n’avait jamais violé le garçon, mais avait été victime d’une fausse accusation gérée par ses ennemis.)
Le sergent Martland, récipiendaire d’une étoile de bronze pour ses actions lors d’une embuscade des talibans, a écrit dans une lettre à l’armée cette année que lui et M. Quinn «estimaient que moralement, nous ne pouvions plus rester inactifs et permettre à notre ALP de commettre des atrocités. , ”Faisant référence à la police locale afghane.
Le père du caporal suppléant Buckley pense que la politique consistant à écarter les agressions sexuelles a été un facteur déterminant dans le décès de son fils.
Le Caporal suppléant Buckley et deux autres Marines ont été tués en 2012 par l’un des nombreux hommes vivant à leur base, aux côtés d’un commandant de la police afghane nommé Sarwar Jan.
M. Jan avait longtemps eu une mauvaise réputation; en 2010, deux officiers de la marine ont réussi à convaincre les autorités afghanes de l’arrêter à la suite d’une litanie d’abus, y compris de corruption, de soutien aux Taliban et d’enlèvements d’enfants. Deux ans plus tard à peine, le commandant de la police était de retour dans une autre unité, au poste de caporal suppléant Buckley, de la base d’opérations avancée de Delhi, dans la province d’Helmand.
Avant de danser ,les garçons doivent se maquiller comme une femme.
Le Caporal suppléant Buckley avait remarqué qu’un grand groupe de «garçons de thé» – des domestiques parfois forcés de faire de l’esclavage sexuel – était arrivé avec M. Jan et s’était installé dans la même caserne, à un étage sous les Marines. Il en a parlé à son père lors de son dernier appel à la maison.
La nouvelle du poste de M. Jan a également été portée à la connaissance des officiers de la marine qui l’avaient fait arrêter en 2010. L’un d’entre eux, le major Jason Brezler, a envoyé un courrier électronique aux officiers de la marine à la BOA à Delhi pour les avertir de l’existence de M. Jan et joindre un dossier. à propos de lui.
L’avertissement n’a jamais été entendu. Environ deux semaines plus tard, l’un des garçons plus âgés de M. Jan – environ 17 ans – a pris un fusil et a tué le caporal suppléant Buckley et les autres Marines.
Le père du caporal suppléant Buckley s’interroge toujours sur le point de savoir si le meurtre a eu lieu à cause d’abus sexuel commis par un allié américain. « En ce qui concerne les jeunes garçons, les Marines permettent que cela se produise et ils sont donc coupables par association », a déclaré M. Buckley. « Ils ne savent pas que nos Marines sont malades au ventre. »
Le seul membre du service militaire américain à avoir été puni dans l’enquête qui a suivi était le major Brezler, qui avait envoyé un courriel d’avertissement concernant M. Jan, ont déclaré ses avocats. Lors d’une des audiences du major Brezler, des avocats du Corps de la marine ont averti que des informations sur le penchant du commandant de la police pour abuser de garçons pourraient être classées. Le Corps des marines a entamé des procédures en vue de la libération du major Brezler.
Il semble que M. Jan soit passé à un poste de commandement supérieur dans la même province. Dans une interview, il a nié le fait de garder des garçons esclaves sexuels ou d’avoir des relations avec le garçon qui a tué les trois Marines. « Non, tout est faux », a déclaré M. Jan. Mais les personnes qui le connaissent disent qu’il souffre toujours d’un «problème de maux de dents», un euphémisme pour abus sexuel sur un enfant.
Des conditions météorologiques extrêmes, l’isolement, et l’arrivée d’humains seraient les facteurs responsables de la disparition des derniers mammouths laineux, montre un scénario élaboré par une équipe internationale de scientifiques.
Les derniers représentants de ces herbivores préhistoriques ont vécu sur l’île Wrangel, dans l’océan Arctique en Russie, pas moins de 7000 ans après ceux des autres populations continentales. Toutefois, ils se seraient rapidement éteints il y a environ 4000 ans.
De géants à fantômes des plaines
Durant la dernière période glaciaire, il y a environ 100 000 à 15 000 ans, les mammouths étaient très répandus dans l’hémisphère nord.
Puis, en raison du réchauffement climatique, ces bêtes géantes ont peu à peu disparu d’Europe et d’Amérique pour se retrouver uniquement en Sibérie du Nord et en Alaska avant d’y disparaître également, à l’exception d’une population de mammouths de l’île Wrangel qui a vécu isolée du continent en raison de l’élévation du niveau de la mer.
Faire parler les os
Dent de mammouth.
Dans les présents travaux, les scientifiques ont examiné la composition isotopique d’ossements de mammouths datant de 4000 à 40 000 ans retrouvés en Sibérie, en Alaska, au Yukon et sur l’île Wrangel.
Leur objectif était de connaître les changements possibles dans leur régime alimentaire et leur habitat, mais aussi de trouver des preuves d’une perturbation dans leur environnement.
Les résultats ont montré que les teneurs en carbone-13 et d’azote du collagène des mammouths de l’île Wrangel n’avaient pas changé avec le réchauffement climatique survenu il y a 10 000 ans.
Les valeurs sont restées inchangées jusqu’à ce que les mammouths disparaissent, apparemment au milieu de conditions de vie stables et favorables.
Auteurs
Ce résultat contraste avec ceux obtenus sur les mammouths laineux des plaines ukraino-russes, qui ont disparu il y a 15 000 ans, et sur les mammouths de l’île Saint-Paul en Alaska, qui ont disparu depuis 5600 ans.
Dans ces deux cas, les derniers représentants de ces populations ont montré des transformations significatives dans leur composition isotopique, indiquant des changements dans leur environnement peu avant leur extinction locale.
«Nous pensons que cela reflète la tendance des mammouths sibériens à compter sur leurs réserves de graisse pour survivre aux hivers extrêmement rigoureux de l’ère glaciaire, alors que les mammouths de Wrangel, vivant dans des conditions plus douces, n’en avaient tout simplement pas besoin.» – Laura Arppe Université d’Helsinki
Événement catastrophique
Qu’est-ce qui a mené à la disparition de la population de l’île Wrangel qui avait pourtant survécu des milliers d’années après les autres populations continentales?
Les chercheurs soupçonnent que des événements météo à court terme en seraient responsables.
Par exemple, un épisode catastrophique de verglas recouvrant le sol d’une épaisse couche de glace aurait pu empêcher les animaux de trouver suffisamment de nourriture pendant une courte période et ainsi conduire à un déclin dramatique de la population et finalement à son extinction.
«Il est facile d’imaginer que la population, affaiblie par une détérioration génétique et des problèmes d’accès à de l’eau potable de qualité, aurait pu succomber après quelque chose comme un événement climatique extrême.» – Hervé Bocherens, Université de Tübingen
L’arrivée des humains sur l’île aurait également pu jouer un rôle. Les premiers vestiges archéologiques sur l’île Wrangel sont datés à quelques centaines d’années seulement après les plus récents ossements de mammouths mis au jour.
S’il n’existe toujours pas de preuves que les humains chassaient le mammouth de l’île Wrangel, une contribution humaine à l’extinction ne peut être exclue.
Le détail de ces travaux est publié dans les Quaternary Science Reviews(en anglais).
Voici où vivaient les mammouths laineux… avant de disparaître pour toujours
Les mammouths laineux se sont éteints il y a 4.000 ans sur une période remarquablement courte. Une nouvelle analyse de leurs dents et de leurs os nous a permis de mieux comprendre leur rapide disparition.
Il y a 4.000 ans, le mammouth laineux disparaissait
Tout commence il y a 11.700 ans. La Terre connaît alors la fin de sa période glaciaire, marquant également le début de la fin pour le mammouth laineux. Le climat se réchauffe et l’Homme chasse de plus en plus, ce qui provoque une disparition progressive du mammouth de son vaste habitat continental en Eurasie et en Amérique du Nord. Ce, 10.000 ans avant notre ère.
Passé cette période, le mammouth nous a laissé quelques traces de son existence découvertes en 2004 sur l’île St Paul dans les eaux d’Alaska. Ces dernières découvertes nous laissaient entrevoir que l’animal aurait subsisté dans ces régions il y a 5.700 ans. Mais une autre étude nous révèle que les mammouths se seraient réellement éteint sur l’île Wrangel, nettement plus au nord.
Ile Wrangel
Comment sait-on que les mammouths se sont éteints là-bas ?
Une équipe de chercheurs a entrepris d’analyser les isotopes d’un grand nombre de dents et d’os de mammouth laineux du monde entier pour en apprendre davantage sur les changements environnementaux que ces animaux ont pu subir.
Les paysages de l’île Wrangle furent les derniers paysages contemplés par les yeux d’un mammouth
En effet de manière générale, les isotopes présents dans le sol peuvent être absorbés par les plantes, qui sont à leur tour consommées par l’Homme et les animaux. Les isotopes remplacent ensuite une partie du calcium contenu dans les dents et les os. C’est en les analysant que l’on peut dater et mettre en correspondance les isotopes avec des emplacements géographiques et divers changements climatiques.
En outre ce type d’observation permet de glaner énormément d’informations sur le régime du mammouth et ses différents modes de vie jusqu’à son extinction.
Le mammouth laineux a muté avant de disparaître
Lors d’analyses ADN réalisées en 2017, les scientifiques avaient constaté chez les mammouths de l’île Wrangel des mutations génétiques, provoquant des troubles cognitifs, modifiant leurs poils et surtout affectant la façon dont leur corps gérait les graisses.
En étudiant les isotopes du carbone, de l’azote, du soufre et du strontium, les chercheurs, ont également pu constater un changement radical dans l’environnement et le régime alimentaire de ces mammouths. Ces deux découvertes mènent à la même conclusion comme l’explique Laura Arppe, géochimiste du Musée d’histoire naturelle finlandais dirigeant l’étude :
Nos découvertes démontrent que les mammouths sibériens comptaient sur leurs réserves de graisse pour survivre pendant les hivers de la période glaciaire, alors que les mammouths Wrangel vivant dans des conditions climatiques plus clémentes, n’avaient plus besoin de cette faculté
Cote de l’ile Wrangel
Une extinction inévitable
Une dent de mammouth laineux
Si le climat était plus doux, et s’ils se trouvaient sur des îles, comment les mammouths ont-ils alors bien pu disparaître, et qui plus est si soudainement ?Plusieurs théories sont avancées par les chercheurs, comme par exemple une activité humaine intense qui aurait décimé les dernières populations, ou un évènement météorologique ponctuel comme des pluies hivernales, qui auraient gelé le sol et rendu la nourriture inaccessible.
Une observation approfondie des isotopes du substrat rocheux de l’île de Wrangel suggérait également un déclin de la qualité de l’eau potable sur l’île créant possiblement des maladies voir des morts multiples liées à la déshydratation des animaux comme l’explique Hervé Bocherens, géoscientifique de l’université de Tübingen :
« Il est facile d’imaginer que la population, peut-être déjà affaiblie par des problèmes de détérioration génétique et de qualité de l’eau potable, aurait succombé après un événement météorologique extrême. »
Un jeune mammouth laineux préservé dans la glace…on peux le faire renaître grâce à son ADN.
Bienvenue à tous et à toutes:Nous venons de lancer une nouvelle boutique indépendante du site afin de nous aider à rentabiliser notre site Michelduchaine.com
Vous trouverez de nombreux articles vintage et de collection diverses au fil des jours.
Elle vous permettra d'acquérir des articles venant directement de Michel...D'aille elle s'appelle "Vintage par Michel que vous trouverez sur ce lien:https://www.etsy.com/ca-fr/shop/VintageParMichel?ref=seller-platform-mcnav Ignorer