Vidéo et article historique:L’affaire Sacco et Vanzetti : quand la justice américaine faisait le crime

Bartolomeo Sacco (à gauche) et Nicola Vanzetti (à droite), à la Cour Suprême de l’État du Massaschussets, en 1923. Sacco en était à son 23e jour de grève de la faim.

 

 

 

 

 

 

 

   IIl y a plus de 95 ans maintenant,le 23 août 1927, au terme d’une bataille juridique de sept ans, deux anarchistes italiens sont exécutés aux Etats-Unis malgré une mobilisation internationale. L’occasion, pour les auteurs du Figaro, d’une réflexion féconde sur le temps de la justice.

Moins célèbres que les époux Rosenberg, Sacco et Vanzetti forment un autre duo emblématique de «l’hystérie rouge» dont l’Amérique fut régulièrement saisie au cours du XXème siècle. Condamnés à mort en 1921 au terme d’une procédure judiciaire hasardeuse, les deux anarchistes passeront sur la chaise électrique six ans après, dans la stupeur générale. Quatre-vingt-dix ans plus tard, retour sur cette insurrection internationale de l’été 1927.

Des individus douteux…

L’histoire commence en décembre 1919, à Bridgewater, et se poursuit en avril 1920, à South-Braintree. Dans ces deux villes du Massachussets ont lieu des braquages à main armée, dont le second se solde par la mort de deux hommes.

Nicola Sacco et Bartolomeo Vanzetti se rendant à leur exécution, à Boston (Massachusetts), en 1926.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Le 5 mai 1920, deux Italiens sont interpelés par la police. Il s’agit de Nicola Sacco, 29 ans, ouvrier cordonnier, et de Bartolomeo Vanzetti, 32 ans, vendeur de poisson ambulant. Convaincus qu’on les arrête pour des raisons politiques, les deux activistes produisent des témoignages évasifs et inexacts pour protéger leurs camarades anarchistes. La police ne tardera pas à faire le lien entre ces individus douteux (suspicious characters) et les attentats non élucidés.

…Dans une Amérique paranoïaque

S’ensuit alors une première juridiction, à Plymouth, qui innocente Sacco et condamne Vanzetti à quinze ans d’emprisonnement. Un second procès a lieu à Dedham au printemps 1920, dans une Amérique en proie aux psychoses xénophobe et antirévolutionnaire (c’est la période de la Red Scare, la «peur rouge»). Dans ce contexte, Sacco et Vanzetti sont les coupables idéaux. Immigrés, anarchistes et favorables au terrorisme révolutionnaire, «ils font partie de ces rats moraux (moral-rats) qui grignotent les fondements de l’ordre établi» (Henri Guernut).

« Ils font partie de ces rats moraux qui grignotent les fondements de l’ordre établi »

Henri Guernut, Secrétaire général de la Ligue de Droits de l’Homme, le 10 août 1927.

Malgré les fausses déclarations et les conclusions hâtives que comporte le dossier, les suspects sont déclarés coupables en juillet 1921. La défense demande un sursis et des comités de soutien se mobilisent un peu partout dans le monde. Six ans plus tard, le 9 avril 1927, après cinq pourvois rejetés et un refus de révision de la Cour suprême de l’État du Massachussets, Sacco et Vanzetti sont condamnés à la peine capitale.

L’embrasement de l’été 1927

À l’annonce du verdict, les manifestations et les grèves se multiplient à Berlin, Sydney, Moscou, Londres, Amsterdam, Bruxelles, Stockholm, Saint-Domingue… À Johannesburg, on brûle même un drapeau américain sur le parvis de l’hôtel de ville. L’activité terroriste s’intensifie dans plusieurs villes des États-Unis et des bombes éclatent à Buenos Aires et à Montevideo, en août 1927.

Manifestation en faveur de Sacco et Vanzetti, à Londres, en 1921.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

En France, l’été 1927 est marqué par de nombreuses manifestations de soutien à Sacco et Vanzetti. Les deux hommes sont exécutés dans la nuit du 22 au 23 août, entraînant de violentes émeutes sur tout le territoire. Si L’Humanité se félicite d’un «Paris ouvrier maître du pavé», proclamant «Montmartre et le centre en état de siège», Le Figaro s’inquiète, dans son édition du 25 août, de ce qui ressemble à une «répétition du Grand Soir».

Dans ses colonnes politiques, en revanche, cette condamnation tardive amène certains éditorialistes à solliciter la clémence à l’égard des deux condamnés. Pour preuve cette tribune du juriste Henri Vonoven…


Le temps et la justice

En France,le gouvernement a décidé d’interdire, aujourd’hui, toute manifestation sur la voie publique à l’occasion de l’affaire de Sacco et Vanzetti. Il serait, en effet, inouï de permettre aux anarchistes et aux communistes de se réconcilier, pendant un jour, pour soulever l’émeute à Paris sous prétexte que le gouverneur de Massachussetts a refusé leur grâce aux condamnés. Il y a d’autres moyens de protester contre une décision de justice. Les cortèges à hurlements et à placards injurieux, les bousculades et les bagarres, en attendant les bombes comme à New-York, sont des procédés intolérables en un pays où la presse jouit d’une liberté sans limite et où l’opinion, par tous les moyens légitimes, fait connaître son sentiment et poursuit son effort.

Ces deux hommes sont-ils coupables? La ligue des Droits de l’Homme va jusqu’à jurer qu’ils sont innocents. Pousser jusqu’au serment l’expression de la certitude née de l’étude d’un dossier, c’est beaucoup… Mais l’affaire dépasse la question de fait.

Supposons les deux anarchistes coupables. Voilà près de sept ans qu’ils sont condamnés, sept ans que la justice laisse traîner ses procédures et recommence ses enquêtes. Elle a dépassé les bornes de la boiterie permise. Tant pis pour elle si elle s’est laissée manœuvrer par la défense. Elle a trop tardé. Ce n’est point là principe nouveau. Beccaria l’a formulé dans son traité des Délits et des peines: «le châtiment doit suivre de près le crime si l’on veut qu’il soit un frein utile contre les scélérats». Et Faustin Hélie, commentant le passage, ajoutait que l’horreur du crime paraît s’affaiblir en même temps que le temps amène avec lui l’oubli et la miséricorde. Il ajoutait que la peine trop longtemps attendue, prend quelque chose de cruel, et même d’injuste. C’est une des raisons d’être de la prescription pénale. Sept années d’attente, c’est ce chiffre biblique qui, dans le crime de South Brainttree, d’abord frappe la foule et la prévient en faveur des condamnés. La justice du Massachusetts, par sa lenteur, a dressé contre elle le sentiment mondial et le droit de punir, de punir de mort surtout, n’est point tel qu’il puisse se dispenser de l’appui du consentement général.

Ces raisons font, peut-être du cas de Sacco et Vanzetti, «une affaire de tous les honnêtes gens». Mais elles ne justifient pas du tout la promenade révolutionnaire à travers nos rues, des admirateurs de la justice russe et de ses assassinats.



Sacco et Vanzetti (le film)

Sacco et Vanzetti (Sacco e Vanzetti) est un film francoitalien, réalisé par Giuliano Montaldo, et sorti en 1971. Il retrace l’histoire de l’affaire Sacco et Vanzetti survenue dans les années 1920.

Le film a été présenté en  au Festival de Cannes.

C’est avec plaisir que je vous l’offre aujourd’hui,car pour moi,c’est un chef-d’oeuvre important!

 


UNE INVITATION À VISITER NOS BOUTIQUES EN LIGNE

Passez une bonne journée,mes ami(e)s!

 

 

 

Risques accrus à la sécurité nucléaire:Trois douzaines de démocrates de la Chambre demandent à Biden de renoncer au contrôle des codes nucléaires

Joe Biden, imposé par le président, est déjà miné par les démocrates qui veulent qu’il soit mis à l’écart et remplacé par un individu qui n’a pas de troubles cognitifs graves. 

Trois douzaines de démocrates de la Chambre ont signé une lettre demandant instamment que les codes nucléaires soient supprimés de Biden alors qu’ils tentent de stériliser le commandant en chef illégitime avant que sa démence ne conduise à une catastrophe potentielle.

Dans leur lettre, les démocrates malhonnêtes l’ont présenté comme si Trump, qui a retiré des troupes de nombreux pays différents, était la raison pour laquelle ils prenaient cet ordre alors qu’il venait juste d’être démis de ses fonctions.

«Le fait de confier à une personne cette autorité comporte de réels risques», indique la lettre, qui était dirigée par le représentant Jimmy Panetta (D-CA). «Les anciens présidents ont menacé d’attaquer d’autres pays avec des armes nucléaires ou ont montré un comportement qui a amené d’autres responsables à exprimer leur inquiétude quant au jugement du président.

«Alors que n’importe quel président consulterait vraisemblablement des conseillers avant d’ordonner une attaque nucléaire, il n’est pas nécessaire de le faire», poursuit la lettre. «Les militaires sont obligés d’exécuter l’ordre s’ils jugent qu’il est légal en vertu des lois de la guerre. Dans la posture actuelle des forces nucléaires américaines, cette attaque aurait lieu en quelques minutes. »

Les démocrates de la Chambre proposent de subordonner le lancement des missiles nucléaires à l’approbation du vice-président et du président de la Chambre, «aucun d’entre eux ne pouvant être révoqué par le président s’ils ne sont pas d’accord – pour accepter un ordre de lancement.»

Une source sure a rapporté que les démocrates avaient préparé le terrain, avant même son installation en tant que président, pour que Biden soit retiré du pouvoir en raison de la détérioration de ses capacitées mentales:

Briahna Joy Gray, qui était le chef de presse de la campagne présidentielle du sénateur Bernie Sanders avant de se retirer après plusieurs apparitions décevantes aux primaires, estime que l’ancien vice-président Joe Biden ne durera pas avant les élections générales de novembre.

«Bernie était trop gentil pour s’en prendre à Biden, mais ça s’en vient», a-t-elle  écrit dans un tweet en  réponse à un clip de l’animateur de Fox News Tucker Carlson remettant en question la santé mentale de Biden.

«Soit les dirigeants de la Démologie se soucient plus de maintenir un statu quo d’entreprise que de se débarrasser de Trump, soit ils prévoient de remplacer Joe – en adoptant une relation assez rapide et lâche avec la démocratie représentative. Perdez perdez », a-t-elle ajouté.

Les démocrates préparent  (en sous-mains)le vice-président Kamala Harris à usurper le pouvoir. Cela a peut-être été le plan depuis le début, Harris devenant la première femme présidente malgré son manque de qualifications et son extrême impopularité. C’est le privilège féminin à son pire.


EN COMPLÉMENTAIRE

L’ancien chef de presse de Bernie Sanders expose le plan démocrate: «  Ils prévoient de remplacer Joe  »

Briahna Joy Gray, qui était le chef de presse de la campagne présidentielle du sénateur Bernie Sanders avant de se retirer après plusieurs apparitions décevantes aux primaires, estime que l’ancien vice-président Joe Biden ne durera pas avant les élections générales de novembre.

«Bernie était trop gentil pour s’en prendre à Biden, mais ça s’en vient», a-t-elle écrit dans un tweet en réponse à un clip de l’animateur de Fox News Tucker Carlson remettant en question la santé mentale de Biden.

«Soit les dirigeants de la Démologie se soucient plus de maintenir un statu quo d’entreprise que de se débarrasser de Trump, soit ils prévoient de remplacer Joe – en adoptant une relation assez rapide et lâche avec la démocratie représentative. Perdez perdez », a-t-elle ajouté.

Gray fait écho à une théorie qui a été lancée par Carlson lui-même. Il ne pense pas que Biden durera jusqu’en novembre et il n’est qu’un espace réservé pour empêcher Sanders de prendre la nomination.

« Je crois sincèrement et totalement que Joe Biden ne sera pas le candidat démocrate le jour des élections », a déclaré Carlson le mois dernier sur son programme éponyme aux heures de grande écoute.

«Il ne devrait pas travailler encore. Je ne suis pas méchant. Je le connais. Je l’ai toujours aimé. Mais c’est vrai. Et donc, ce sont deux trains qui se rapprochent à grande vitesse. Deux impératifs concurrents. Nous devons gagner, mais nous avons un gars qui ne peut pas gagner. Par conséquent, ils vont le remplacer. Si je devais parier, je penserais qu’Andrew Cuomo serait le plus susceptible de remplacer Biden », a-t-il ajouté.

Big League Politics a beaucoup parlé des flubs de Biden , qui vont du comique au déprimant:

L’ancien vice-président Joe Biden est devenu le favori de la nomination présidentielle démocrate, malgré le fait que ses facultés mentales diminuent rapidement à un rythme effrayant.

Biden a été largement silencieux pendant la pandémie de coronavirus, mais il est finalement sorti de l’ombre cette semaine pour une course médiatique alors qu’il tente de critiquer le président Donald Trump pour sa réponse à la crise. Les résultats n’étaient pas jolis, car Biden avait du mal à rassembler des pensées de base sous un léger questionnement.

Dimanche, Biden a publié une déclaration préparée dans laquelle il a commis des erreurs en tentant de lire les mots d’un prompteur.

Biden est apparu lundi sur « The View » d’ABC où il a dit des choses sur la pandémie de coronavirus qui n’avaient aucun sens.

«Nous devons prendre soin de la guérison. Cela aggravera le problème quoi qu’il arrive. Peu importe ce que. Nous savons ce qu’il faut faire », a déclaré Biden, luttant pour maintenir la cohérence…

Il était encore moins lucide lors d’une apparition sur MSNBC alors que l’animatrice Nicole Wallace tentait de faire comme si de rien n’était, Biden perdant complètement le fil de ses pensées.

« Je vous dis ce que. Je suis tellement fier de ces pauvres gens qui, de toute façon, ont perdu », a déclaré Biden en gémissant de manière exacerbée.

Gray pourrait être sur quelque chose. Les démocrates se préparent peut-être à rejeter Biden dans une démonstration de maltraitance insensible et grotesque envers les aînés.

Hunter Biden photographié avec le père Joe Biden ci-dessus…

 

 

 

 

 

 

 

Si vous pensiez que les élections américaines de 2020 étaient chaotiques, attendez vous n’avez rien vu

HR1 regroupe dans un projet de loi de 791 pages toutes les mauvaises idées sur la façon d’organiser les élections et les mandats que les États doivent adopter – les choses mêmes qui ont fait de l’élection de 2020 un tel gâchis. Il comprend tous les plus grands succès de 2020: les bulletins de vote obligatoires, les bulletins de vote sans cachet de la poste, les bulletins de vote tardifs et le vote dans les circonscriptions où vous ne vivez pas. Il contient tellement de mauvaises idées qu’aucune publication ne dispose d’un espace suffisant pour les couvrir toutes. Le projet de loi d’accompagnement du Sénat, S.1, pourrait être encore pire.

Voting suppression destruction of votes and electoral fraud or election crime or vote tampering and rigging as a hand crushing a ballot paper as an illegal electoral scheme with 3D illustration elements.

Ces projets de loi réorganisent les relations entre les États et le gouvernement fédéral. La Constitution suppose que les États réglementent leurs propres élections, mais la Constitution a un gros «mais» dans ce qu’on appelle la clause électorale. La Constitution dit, « mais le Congrès peut à tout moment par la loi établir ou modifier de tels règlements. » Pendant plus de 200 ans, le Congrès a rarement utilisé ce pouvoir. Après tout, le pouvoir a été mis dans la Constitution uniquement pour empêcher les États d’étouffer le gouvernement fédéral en ne tenant jamais d’élections fédérales.

Ne supposez pas que les factures vont caler et se faner au cours du processus. Ils sont nommés HR1 et S.1 pour une raison. Les projets de loi sont la priorité absolue des démocrates nouvellement habilités au Congrès.

Insatisfait de l’efficacité du dernier mandat fédéral – la loi sur les électeurs automobiles de 1993 – HR1 se dispense de l’idée qu’un Américain devrait s’inscrire par l’affirmative pour voter.

En 2020, des États tels que le Nevada et le New Jersey ont envoyé des bulletins de vote par courrier à toute personne inscrite sur leurs listes d’inscription malgré des listes électorales pleines d’erreurs. La Public Interest Legal Foundation a documenté des milliers d’inscriptions inadmissibles dans le Nevada seulement qui ont reçu des bulletins de vote par correspondance. Certains ont été envoyés dans des terrains vagues, des mines abandonnées, des casinos et même des magasins d’alcool.

Les États seraient également bloqués par HR1 des procédures de vérification des signatures.

HR1 truque le système pour tout procès contestant la constitutionnalité de la loi. Toutes les poursuites ne peuvent être déposées que devant un seul tribunal – le tribunal fédéral du district de Columbia. Et toute opposition doit être regroupée en un seul mémoire, un seul avocat étant en mesure de faire valoir le bien-fondé. Il accorde également une intervention automatique à tout législateur qui souhaite se joindre à la lutte contre la seule opposition.

Il interdit aux États de procéder à la mise à jour des listes sur les listes électorales. Cela signifie que le bois mort et les enregistrements obsolètes vont s’empiler.

HR.1 et S.1 sont des projets de loi omnibus qui changeraient la relation de chaque citoyen américain – et étranger – avec l’inscription des électeurs.

L’enregistrement automatique universel des électeurs est, depuis des années, une priorité absolue de la gauche institutionnelle. En fait, HR1 supprimerait l’inscription réelle des électeurs et ferait plutôt des listes électorales une simple copie de toute personne déjà inscrite sur une liste gouvernementale – comme les bénéficiaires de l’aide sociale et d’autres bénéficiaires des services sociaux. Les projets de loi s’étendraient bien au-delà des entités fédérales comme l’Administration de la sécurité sociale, le ministère de la Défense, des douanes et de l’immigration et des éléments de la santé et des services sociaux.

Naturellement, une base de données fédérale géante servirait de foyer à cette liste de personnes qui doivent être automatiquement inscrites pour voter, qu’elles le sachent ou non.

Imaginez le nombre de bases de données gouvernementales dans lesquelles vos informations sont contenues. Vos noms et adresses correspondent-ils tous? La sécurité sociale sait-elle que vous avez quitté votre état de naissance? Vos noms de mariée et de jeune fille sont-ils différents? Avez-vous obtenu un permis de conduire avant d’obtenir la citoyenneté américaine?

Vous pouvez voir les pièges. Une personne sera «inscrite» pour voter plusieurs fois, avec de légères variations dans les noms et peut-être plus dans les adresses de résidence.

Il peut être «plus facile» de s’inscrire pour voter grâce à l’inscription automatique à partir de listes gouvernementales peut sembler attrayant, jusqu’à ce que vous envisagiez le désastre du vote universel par courrier automatique comme nous l’avons vu en 2020.

HR1 et S.1 obligeront les États à envoyer les bulletins de vote par la poste. Cela crée du mou dans le système électoral. Les élections de courrier décentralisées introduisent une erreur en raison de listes remplies d’erreurs. Les bulletins de vote par la poste retardent les résultats, créent de l’incertitude et poussent les élections dans les cuisines et les chambres à coucher où les responsables électoraux ne peuvent pas observer le processus de vote et ne peuvent pas protéger l’électeur de la contrainte.

HR1 prend les pires changements de règles d’urgence absolus de 2020 et les consacre en tant que loi fédérale. Finies les exigences relatives aux témoins d’État et aux notaires lors du processus de demande de vote par correspondance. Les États ne peuvent pas non plus édicter des exigences d’identification de «quelque forme que ce soit» pour ceux qui demandent un scrutin. Cela signifie qu’il n’y a plus d’identification des électeurs en vertu de la loi fédérale.

Les États seraient également bloqués par HR1 des procédures de vérification des signatures.

Ça s’empire. La facture de 791 pages comprend également:

  • « Le Congrès peut réduire la représentation d’un État au Congrès lorsque le droit de vote est refusé. » Sans qualification ni définition, le Congrès pourrait s’appuyer unilatéralement sur cette phrase pour réduire le nombre de membres de la Chambre de tout État qui, selon lui, refuse le droit de vote.
  • Il criminalise quiconque utilise les lois de contestation des États pour remettre en question à tort l’éligibilité des inscrits. La peine peut aller jusqu’à un an de prison par instance.
  • Il interdit aux États de procéder à la mise à jour des listes sur les listes électorales. Cela signifie que le bois mort et les enregistrements obsolètes vont s’empiler.
  • Il criminalise la publication de « fausses déclarations » sur les qualifications requises pour voter et de « fausses déclarations » sur les groupes qui ont approuvé quels candidats. Les informations interdites de publication comprennent de fausses qualifications pour voter et les sanctions pour le faire. Ce qui est une fausse déclaration sera apparemment dans l’esprit des avocats du ministère de la Justice qui portent les accusations. Et s’ils n’agissent pas, la loi accorde un droit privé d’action aux plaignants individuels de traîner les orateurs devant le tribunal. Vous pouvez être sûr que cette disposition serait utilisée comme une arme impitoyable contre les opposants politiques.
  • Et au cas où il n’était pas clair que HR1 démantelait le pouvoir de l’État de tenir ses propres élections, le projet de loi le précise: « L’absence de norme uniforme pour voter aux élections fédérales conduit à une disparité injuste et à une participation inégale aux élections fédérales basées uniquement sur où vit une personne.  » En d’autres termes, les lois des États qui ont le pouvoir constitutionnel de déterminer l’éligibilité au vote de ses résidents, seront préemptées par une norme uniforme fédérale.

Ce n’est pas tout. Dans tout le pays, les États doivent accepter les bulletins de vote par correspondance le jour du scrutin plus 10 jours plus tard. Les États sont autorisés à ajouter du temps supplémentaire à la fenêtre. Plus de jour d’élection. Ce sera la saison des élections, avec un mois de vote anticipé et des semaines de bulletins de vote arrivant et comptés.

Et bien sûr, la collecte illimitée des bulletins de vote – avoir l’aide d’un tiers pour remplir et rassembler les bulletins de vote, puis les déposer dans un bureau de vote ou un autre bureau désigné – est garantie.

La désinformation, les manifestations, les troubles et même la violence étaient tous des symptômes du traumatisme de 2020. Les groupes d’activistes et les responsables collusoires en 2020 ont transformé les tribunaux en armes pour transformer les lois des États en procédures électorales favorables à un parti en particulier. HR1 finirait le travail et fédéraliserait les politiques et les procédures électorales qui ont fait de 2020 un tel gâchis.

Ce n’est pas une solution de présumer que les règles fédérales, même si elles ont été élaborées de la bonne manière, résoudraient le problème. Lorsque Washington DC prend le contrôle des élections, la politique va toujours dans un sens.

J’ai travaillé au ministère de la Justice, où le personnel de carrière ignorait les lois fédérales qu’ils n’aimaient pas et n’appliquait que celles qui, selon eux, permettraient de faire progresser leurs convictions politiques. Motor Voter, par exemple, avait un mandat fédéral qui stipule que les listes électorales sont propres. Devinez ce qui s’est passé après l’adoption de cette règle en 1993? Aucune action d’exécution privée n’a été intentée pendant deux décennies jusqu’à ce que j’en ai intenté une contre Indiana.

Il y a un mandat fédéral, adopté au 19 e siècle, pour avoir un seul jour d’élection. Les bureaucrates à Washington chargés de faire appliquer cette loi ignorent cette loi. Les mandats fédéraux sont un cliquet politique à sens unique. Ils aident toujours et seulement un parti politique.

La nation a déjà vu cette ligne de pensée. Comme Obamacare plus tôt, HR1 fait passer notre République fédéraliste à un autre nouveau système courageux qui prétend corriger des générations de torts structurels, tout en renforçant en même temps d’autres torts. Unifier les expériences américaines telles que se rassembler pour voter lors d’un seul jour d’élection, régi par des règles adoptées par les législateurs des États, eh bien, aux auteurs de HR1, c’est juste démodé.

*Un article de J. Christian Adams  qui est président et avocat général de la Public Interest Legal Foundation et ancien avocat du ministère de la Justice. Il a également siégé à la Commission consultative présidentielle pour l’intégrité électorale et est actuellement commissaire nommé par le président à la Commission des droits civils des États-Unis.


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Anarchie Politique Américaine: Le mouvement MAGA appelle les militaires à maintenir Trump au pouvoir

Le peuple américain  vient de s’engager dans une voie sans issue.Seule une victoire électorale de Donald Trump,le meilleur ami d’Israel et de l’AIPAC pourrait,de manière  superficielle,calmer le début de la fin de la seule superpuissance occidentale sur les plans politique,économique et surtout social.

Comme le disait Charles De Gaule : »..À quoi sert une place imprenable,…à être prise! »

Aussi,la seule défense,c’est le mouvement!C’est la vie!Ils (les politiciens néolibéraux) essaient d’arrêter le mouvement et d’arrêter la vie…et le but de la vie,c’est pas la vie!Le but de la vie ,c’est d’être libre et de faire ce que l’on veut…C’est pas…de ne pas mourir!

Un appel croissant à invoquer la loi sur l’insurrection montre à quel point l’idéologie MAGA (Make America Great Again) est devenue dure à la suite de la perte électorale de Trump.
La loi sur l’insurrection a gagné en popularité parmi les citoyens américains, principalement pour permettre au président Donald Trump de résoudre tous leurs problèmes. Une loi de 1807 invoquée uniquement dans les circonstances les plus violentes est désormais un cri de ralliement pour les MAGA-ites les plus attachés au fantasme que Donald Trump ne quittera jamais ses fonctions.
La loi, la loi sur l’insurrection, permet au président de déployer des troupes pour réprimer les soulèvements internes – et non pour annuler les élections.

 

 

Mais cela n’a pas empêché l’acte de devenir un mot à la mode et un remède miracle pour les personnalités éminentes de MAGA comme Sidney Powell et Lin Wood, deux éminents avocats pro-Trump menant les efforts pour annuler les élections de 2020, et même un législateur de l’État de Caroline du Nord. D’autres comme Michael Flynn, le premier conseiller à la sécurité nationale de Trump qui a récemment été gracié pour avoir menti au FBI, ont lancé des appels adjacents pour que Trump impose la loi martiale. Les idées ont circulé dans les médias pro-Trump et ont été discutées au cours du week-end parmi les milliers de manifestants du MAGA qui sont descendus dans les capitales des États et à la Cour suprême pour prétendre à tort que Trump avait remporté l’élection.

Fondamentalement, la loi sur l’insurrection donne au président le pouvoir d’envoyer des troupes militaires et de la Garde nationale pour réprimer les rébellions et la violence locales, offrant une exemption aux interdictions d’utiliser du personnel militaire pour appliquer les lois nationales. Historiquement, il a été utilisé dans des moments de conflits nationaux extrêmes – la guerre civile, la montée du Ku Klux Klan, de violents conflits de travail, des batailles de déségrégation, des émeutes après la mort de Martin Luther King Jr.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Cependant, il n’a été utilisé qu’une seule fois à la suite d’une élection – et c’était pour empêcher une milice de s’emparer du gouvernement de Louisiane au nom de John McEnery, un ancien officier confédéré qui avait perdu l’élection pour le poste  de gouverneur en 1872.

Néanmoins, dans l’esprit de certains partisans de Trump à tendance autoritaire et à l’esprit conspirateur, la loi sur l’insurrection est devenue une étape nécessaire pour empêcher le pseudo-président élu Joe Biden d’assumer la présidence. Leur raisonnement : les démocrates ont illégalement truqué les élections et tentent un coup d’État, et Trump doit envoyer des troupes pour annuler ce complot…et ils ont malheureusement raison,car les preuves de fraudes sont multiples,partout aux USA.

 

La conviction montre à quel point l’idéologie MAGA est devenue dure à la suite de la perte électorale par Trump. Alors que des théories éparses sur un «État profond» dressé contre Trump circulent depuis longtemps dans les cercles du MAGA, les appels aux militaires pour empêcher un président « démocratiquement élu » de prendre ses fonctions ont porté ces idées à un niveau plus conspirateur et militariste. Cela montre également le niveau d’exaltation auquel Trump a été élevé parmi ses fans les plus zélés alors que son départ se profile.

«Le thème central ici est qu’il existe supposément un réseau d’acteurs néfastes essayant de saper Trump et de détruire les États-Unis, et que c’est un outil que Trump pourrait utiliser pour sauver la situation», a déclaré Jared Holt, chercheur à la Laboratoire de recherche sur la criminalistique numérique du Conseil de l’Atlantique, qui se concentre sur l’extrémisme d’extrême droite.

La loi sur l’insurrection a rarement été invoquée depuis les troubles civils des années 1960 – la dernière fois, c’était pour réprimer la violence lors des émeutes de 1992 à Los Angeles. Et quand il a été utilisé pendant cette période, c’était toujours à la demande d’un gouverneur d’État.

Mais au cours des dernières années, elle a gagné en popularité parmi les franges d’extrême droite, principalement comme un moyen pour Trump de résoudre tous leurs problèmes, de l’expulsion de migrants sans papiers à l’arrestation de généraux et d’autres acteurs de l’«État profond» pour avoir prétendument comploté des coups d’État contre Atout.

L’idée est également devenue étroitement liée au mouvement QAnon, « la conspiration »  selon laquelle Trump travaille secrètement pour perturber une cabale de démocrates pédophiles, de trafiquants sexuels et d’élite mondialiste.[1]

En mai, un Q-drop – le nom des mystérieuses missives prétendument d’une personne au centre du mouvement QAnon – a lancé l’Insurrection Act pour la première fois afin de résoudre les «troubles croissants» après que George Floyd a été tué par la police du Minnesota.

Puis, en juin, le sénateur du GOP, Tom Cotton, a introduit l’idée de la loi sur l’insurrection dans le dialogue national avec un éditorial du New York Times qui appelait Trump à invoquer la loi en réponse aux émeutes qui se produisaient au milieu de manifestations largement pacifiques contre le racisme de la Justice. Trump lui-même s’est penché sur l’idée, suggérant à un public de rassemblement qu’il utiliserait l’acte pour réprimer les «voyous de gauche» qui protestaient cet été.

À partir de là, la loi sur l’insurrection est devenue une solution rapide à tout ce qui figurait parmi les personnages les plus extrêmes de MAGA.

Roger Stone, allié de Trump et agent politique condamné, en a parlé sur Infowars comme un moyen pour Trump de lutter contre tout, des coups d’État aux manifestations en passant par la fraude électorale.

«L’autorité du président est la loi sur l’insurrection et sa capacité à déclarer la loi martiale», a-t-il déclaré au théoricien du complot et hôte Alex Jones. Stone a ajouté que Trump pourrait également utiliser la loi pour arrêter quiconque, du PDG de Facebook, Mark Zuckerberg, pour ingérence électorale, au couple démocrate Bill et Hillary Clinton – une interprétation qui, selon les experts juridiques, met à rude épreuve la crédulité.

Jimmy Gurulé, un ancien procureur du ministère de la Justice enseignant maintenant à la faculté de droit de Notre-Dame, a qualifié l’argument de ténu. Alors que la loi sur l’insurrection peut être invoquée légalement en réponse à une «conspiration» qui porte atteinte aux droits des personnes, il doit en fait exister une conspiration pour justifier l’envoi de troupes fédérales malgré l’objection des responsables locaux et étatiques.

«Je pense que la clé ici est: ‘Eh bien, qu’est-ce que c’est que cette conspiration?’, A-t-il dit. «Personne ne peut articuler les participants à la conspiration, la portée de la conspiration, l’objet de la conspiration. C’est partout.

Pourtant, Trump lui-même semblait enthousiaste à l’idée, disant à l’animatrice de Fox News, Jeanine Pirro, qu’il «réprimerait [les manifestations anti-Trump] très rapidement» si elles éclataient après les élections: «Écoutez, cela s’appelle l’insurrection. Nous envoyons simplement et nous le faisons très facilement. »

 

 

 

 

 

 

 

 

Plus loin, en marge du MAGA, les partisans de Trump ont suggéré au président de brandir le fusil et d’arrêter tout le monde – avant les élections.

Et maintenant, avec le collège électoral confirmant la  frauduleuse victoire de Biden,le démocrate le plus corrompu depuis Bill Clinton, les comptes rendus ne parvenant pas à modifier les résultats et les tribunaux à tous les niveaux, abattant les poursuites contestant le résultat, certaines personnalités de MAGA se sont accrochées à la clause spécifique de la loi sur l’insurrection accordant au président le pouvoir d’utiliser l’armée pour écraser une «rébellion contre l’autorité des États-Unis». Dans leur interprétation, la clause donne à Trump le pouvoir de s’en prendre aux démocrates et aux acteurs de l’État profond qui conspirent pour le démettre de ses fonctions. C’est une lecture que des experts en droit,ont immédiatement rejetée.

«Lorsque vous parlez d’un groupe de théoriciens du complot et d’autres qui n’ont aucune connaissance juridique, ils sortent simplement cette flèche de leur carquois lorsque les autres ne fonctionnent pas», a déclaré Brian Levin, directeur exécutif de le Center for the Study of Hate and Extremism de la California State University, San Bernardino (qui est  un allié des démocrates en Californie).

Il semble presque impossible que Trump invoque la loi de cette manière. Mais cela n’a pas empêché d’éminents partisans de Trump comme Wood, l’un des avocats qui poussent des poursuites non fondées devant les tribunaux, de suggérer que Trump envoie l’armée en Géorgie pour interrompre une réunion d’électeurs.

Et au cours du week-end, après que la Cour suprême a rejeté un procès contre Trump du Texas demandant d’annuler les résultats des élections dans quatre autres États swing, les partisans de MAGA sont descendus dans la rue pour exiger , entre autres, que Trump utilise la loi sur l’insurrection pour forcer une nouvelle élection, ou à tout le moins, empêcher Biden de prendre ses fonctions.

L’Epoch Times lui-même a publié un éditorial lundi, affirmant qu’il était temps pour Trump d’invoquer l’acte et d’envoyer l’armée saisir des milliers de machines à voter afin de trouver la fraude: «Notre système est en crise. Trump agirait pour restaurer l’état de droit. »

Gurulé, l’ancien procureur du DOJ, a souligné que même si Trump tentait d’invoquer la loi sur l’insurrection, il n’y a vraiment rien à supprimer pour les militaires.

«Je suppose que ce serait une conspiration de fraude électorale, mais comment l’armée va-t-elle supprimer cela?» il a dit. « Par quoi, saisir tous les bulletins de vote? En saisissant toutes les machines à voter? D’ici là, que vont-ils faire, procéder aux votes? Cela n’a tout simplement aucun sens. »

Le point, cependant, pourrait simplement être d’avoir la loi sur l’insurrection comme point de discussion pour garder le mouvement MAGA motivé. Et Levin, le chercheur sur l’extrémisme, craignait un chemin plus sombre si Trump – un homme qui parle déjà régulièrement en termes militaristes – continuait de pousser sa base à penser qu’une présidence Biden est une insurrection (le problème dans l’affaire est que Trump a raison).

«Quel est le cœur du deuxième amendement, mouvement patriote pro-milice, anti-gouvernement? C’est la théorie insurrectionnelle du deuxième amendement », a-t-il déclaré. «Il dit que les gens peuvent se soulever contre un gouvernement tyrannique. Pour moi, cela ressemble à la dernière sortie de l’autoroute à péage de Jersey avant d’arriver à cet endroit. « 


Source et inspiration : MAGA leaders call for the troops to keep Trump in office


Notes

1-

 

 

 

 

ÉLECTIONS AMERICAINES : L’IDENTITE DU « KRAKEN » REVELEE ET LE RAID DE LA CIA EN ALLEMAGNE POUR SAISIR LES SERVEURS DE L’ELECTION – INTERVIEW DU GENERAL FLYNN ET DU GENERAL MC INERNEY

 

Natural News ) Brannon Howse de World View Report a diffusé une interview hier matin, mettant en vedette le général Michael Flynn avec ses premiers commentaires publics depuis qu’il a été gracié par le président Trump. Vous pouvez consulter l’interview complète sur le site Web WorldViewWeekend.com .
Cette même interview présente également le général Thomas McInerney, expert en cyberguerre, ainsi que Mary Fanning de TheAmericanReport.org et auteur du livre: THE HAMMER is the Key to the Coup «The Political Crime of the Century»: How Obama , Brennan, Clapper et la CIA ont espionné le président Trump, le général Flynn… et tout le monde .
Dans cette interview, vous découvrirez la véritable identité du Kraken, ainsi que la confirmation que du personnel militaire américain a été tué lors de la fusillade pour s’emparer de la ferme de serveurs de la CIA à Francfort
qui est la clé pour prouver le trucage délibéré des élections via une modification à distance des tableaux de vote.
Ci-dessous, vous trouverez la transcription complète de l’entretien.

Général McInerney

 

 

 

 

 

 

 

 

Tout d’abord, voici quelques-uns des faits saillants du Général McInerney que nous avons pensé particulièrement importants.

  • HAMMER et diverses cyberarmes étaient auparavant utilisées par les États-Unis contre d’autres pays, maintenant les armes sont déployées contre nous. Obama est derrière tout.
  • Le créateur de HAMMER et de Scorecard est Denis Montgomery, ancien analyste de la CIA.
  • Fox s’est retourné contre l’Amérique, les coordinateurs du coup d’État profond ont recruté l’ensemble des médias américains et Big Tech pour vaincre la République et renverser la Constitution américaine.
  • La date limite du 14 décembre n’a pas d’importance. Le président Trump ne devrait pas quitter ses fonctions tant que tous les faits entourant le vol des élections n’ont pas été analysés, y compris les distributions de dépouillement «causées par la manipulation électronique frauduleuse de machines à voter ciblées».
  • Le fait que les 5 États du champ de bataille aient cessé de compter en même temps, «démontre une coordination préalable des responsables électoraux dans cinq États du champ de bataille.» Ensuite, ils ont utilisé HAMMER et Scorecard, plus Dominion, pour amener Joe Biden en tête. C’est une «impossibilité mathématique» la façon dont les votes sont arrivés. Un algorithme a été utilisé.
  • En PA, 1,8 million de bulletins de vote ont été envoyés aux gens. 2,5 millions sont revenus. Quelqu’un avait une presse à imprimer et les imprimait.
  • Le renseignement militaire du 305e bataillon est «Kraken».
  • La Chine, l’Iran, la Russie étaient tous impliqués dans la manipulation des votes.
  • Confirmé que le US Special Forces Command a saisi des serveurs de la ferme de serveurs de la CIA à Francfort.
  • Confirmé qu’il y avait des soldats américains tués lors du raid sur la ferme de serveurs de la CIA à Francfort.
  • Chris Miller est secrétaire à la Défense en raison du 305e bataillon. Considérez pourquoi…
  • Chris Krebs de CISA a commis une trahison et fait partie du coup d’État.
  • Ce qui s’est passé pendant les élections, c’est la trahison au plus haut niveau, pas seulement la politique.
  • Trump peut garder le contrôle de la Maison Blanche, sous serment, jusqu’à ce qu’une enquête complète soit terminée, et il n’y a pas de délais artificiels qui peuvent l’arrêter.
  • Le président a prêté serment qui l’oblige à défendre le pays contre tous les ennemis, étrangers et nationaux. C’est pourquoi il ne peut pas livrer la Maison Blanche à des marionnettes politiques (Biden) contrôlées par les ennemis de l’Amérique (Chine, Iran).
  • La grande preuve des serveurs saisis va sortir à SCOTUS, pas avant.
  • Une fois capturés, des acteurs traîtres de niveau intermédiaire pointeront du doigt Biden et Obama, affirmant qu’ils avaient reçu l’ordre de commettre les actes de trahison.
  • Le second tour du scrutin en Géorgie est déjà volé par les démocrates à moins que nous arrêtions le vol de votes. C’est juste un vol numérique pour eux. Cela signifie que le Sénat sera perdu pour les démocrates à moins que cette infrastructure de fraude électorale ne soit exposée et vaincue.
  • Une grande instabilité survient si nous permettons que le gouvernement soit saisi par les communistes.
  • Tout cela va jusqu’au sommet, impliquant Joe Biden, Adam Schiff, Barack Obama et d’autres.
  • Trump savait que tout cela allait arriver et l’avait prévu.

 

 

 

 

Brannon Howse: le lieutenant-général Michael Flynn et son ami de longue date, le lieutenant-général Thomas McInerney, et la chercheuse et auteure du renseignement national Mary Fanning.

Oui, le général Flynn se joint à nous ce soir. Son premier entretien depuis sa grâce du président Trump. Il parle pendant 30 minutes directement au peuple américain de ce qu’il voit venir, de ce que nous devons faire et de ce qui s’est passé, puis le général McInerney interviendra  avec les dernières nouvelles sur le kraken, ce que c’est vraiment, vous allez être choqué, puis nous entendrons la dame qui a tout cassé, Mary Fanning avec son co-auteur Alan Jones. Ils ont cassé l’histoire en décembre 2015. Les gens se rassemblent tous, et nous obtenons cette exclusivité ce soir ici à WVW Broadcast Network. L’heure du week-end Worldview commence maintenant.

Bonsoir et bienvenue à l’émission. Merci de nous avoir rejoint. Un vendredi soir très spécial, le 27 novembre, diffusé avec le général McInerney, Mary Fanning, et nous serons rejoints plus tard par Alan Jones. Nous allons couvrir de nombreux sujets très importants ce soir.

Attendez juste une seconde. Voyons si cet appel est… Bonjour, Brannon Howse. Merci général de vous joindre à nous. Nous venons de passer à l’antenne. Permettez-moi d’annoncer, en fait, laissez-moi entendre le général McInerney.

Général McInerney, nous venons d’être rejoints par un de vos amis. Souhaitez-vous présenter notre ami au public de l’émission ce soir?

Général McInerney: Oui, je voudrais Brannon, pour faire savoir à tout le monde que le général Mike Flynn va se joindre à nous ce soir,  quelques jours après avoir  été gracié par le président des États-Unis. C’est un grand honneur pour nous de l’avoir. Lui et moi parlerons avec Mary et Alan de la trahison qui a été commise contre cette administration, ce pays et ce président, et le général Flynn a été un élément clé de cette menace à laquelle nous sommes confrontés aujourd’hui. C’est un grand honneur de vous avoir avec ce Mike et nous devons faire savoir à l’Amérique ce qui se passe.

Brannon Howse: Absolument, avec cela général, je vais simplement vous donner la parole. Je sais que vous êtes sur un téléphone portable, mais je vais juste vous donner la parole et vous laisser parler au peuple américain. Merci de vous joindre à nous ce soir.

Michael Flynn: Tout d’abord, je veux juste dire merci Tom pour m’avoir contacté et me demander de venir ce soir, et Brannon apprécie que vous vous joigniez à moi.

Je ne sais pas quel est votre public ou à qui nous parlons ce soir, mais je vous dirais que ce qui se passe dans ce pays ne devrait jamais arriver, et nous traversons, il n’y a aucun doute dans mon esprit, nous traversons un crise historique. Si nous ne corrigeons pas ce qui se passe actuellement au cours des prochaines semaines, je déteste vraiment penser à ce qui se passera dans notre pays à la fin de décembre et certainement le mois prochain.
Je ne crois pas une seconde que le pays acceptera le vice-président Biden comme prochain président, sur la base de ce que nous savons être probablement la plus grande fraude que notre pays ait jamais connue dans son histoire.

Ce que nous voyons,  je suis en plein dedans en ce moment, et je vais vous dire que, tout d’abord, le président a des chemins clairs vers la victoire. Des chemins clairs vers la victoire qui ne nécessitent en fait pas beaucoup d’action en salle d’audience. Ce qui est nécessaire, c’est que cela exige beaucoup d’honnêteté de la part des élus et, franchement, de beaucoup d’Américains qui se manifestent et nous racontent leur témoignage.

Les centaines et les centaines d’Américains à travers le pays dans différents États, pas seulement les États en ballotage mais de nombreux autres États qui se présentent avec leurs témoignages et les déposent sur des affidavits en tant que témoins. Nous avons probablement reçu 10 ou 12 affidavits d’un État particulier aujourd’hui, et comme il y a eu un certain nombre de menaces contre des gens, des patriotes en particulier, ils ont envoyé leurs photos avec leur affidavit et ont dit: «Mettez la mienne en haut de la page liste parce que je veux que les gens sachent que je ne vais pas avoir peur de ces personnes qui menacent notre pays et notre mode de vie. »

Je dis tout cela  d’une part et d’autre part, comme je viens de le décrire, nous avons des chemins clairs vers la victoire pour ce président. Franchement, il va gagner la Pennsylvanie. Il va gagner l’Arizona. Il va gagner la Géorgie. Il va gagner le Nevada. Il va gagner le Michigan. L’autre qu’il va probablement retirer est le Wisconsin aussi, car il y a un écart dans le Wisconsin de 130 000 bulletins de vote vigilants qu’ils viennent de trouver, qu’ils viennent de découvrir. Il se passe beaucoup de choses et  pour moi, tout est positif. On m’a demandé aujourd’hui sur une échelle de 1 à 10, qui sera le prochain président, et j’ai dit, 10 ce sera Donald Trump. Ce sera le président Trump. Il ne fait aucun doute dans mon esprit qu’il a remporté cette élection haut la main dans un glissement de terrain, probablement entre 350 et 400 votes dans les collèges électoraux.

Ce que nous avons vu est terminé, et je le sais, au cours des deux dernières décennies probablement et probablement plus longtemps, je peux vous donner une petite leçon d’histoire à ce sujet, mais je ne le ferai pas. Mais au cours des deux dernières décennies, ce que nous avons vu est un changement complet dans la rapidité avec laquelle la Chine communiste dans son plan à long terme a décidé de faire progresser ses plans pour devenir la superpuissance mondiale, la seule superpuissance mondiale sur la planète. Leur  plan date du milieu de ce siècle dans lequel nous sommes en ce moment, quand lors des dernières élections de 2016, ils n’ont pas obtenu le candidat dont ils avaient besoin pour leur idéologie de l’Amérique. Voyant cela, ils n’allaient pas permettre qu’en 2020 cela se produise et donc maintenant, ce que nous avons, c’est ce vol avec le vote par correspondance. Le vol avec ce logiciel, le logiciel Smartmatic et Dominion, ces systèmes de domination.

Ce sont des systèmes qui n’appartiennent pas à notre pays. Ils appartiennent à d’autres – ils ont été introduits dans ce pays. Comment pouvons-nous dire en tant qu’États-Unis d’Amérique, comment pouvons-nous dire que nous acceptons un système qui n’est pas fait dans ce pays et, dans bien des cas, les bulletins de vote ne sont même pas comptés dans ce pays? Comment pouvons-nous dire qu’ici, dans ce pays, nous acceptons cela?

La seule chose et pour vous tous et pour tous vos auditeurs, la chose la plus précieuse qui fait de moi la même chose que le gars ou la fille le plus riche de la planète ou la personne la plus pauvre d’Amérique, qu’est-ce qui nous rend égaux? Ce qui nous rend égaux, c’est lorsque nous nous rendons dans un isoloir et que nous fermons le rideau, ou nous y entrons et nous nous penchons pour voter. Mon vote compte autant que le gars, qui est le gars le plus riche d’Amérique. C’est exactement la même chose. C’est là où nous sommes égaux, et c’est pourquoi cela doit être juste et gratuit, et ce ne l’était pas. Nous savons probablement, en fait, que nous avons des preuves d’élections précédentes où cela s’est produit également, mais nous nous concentrons maintenant sur celle-ci. Je vais vous dire que nous ne sommes pas là pour perdre. Nous ne sommes pas là pour perdre ces batailles, nous sommes là pour gagner ces batailles et je crois que nous allons le faire. Je crois que nous allons gagner,et je suis convaincu que nous le sommes parce que nous avons les bonnes personnes, nous avons le bon plan et la bonne stratégie, un peu direct et un peu indirect, et les gens parlent tout le temps à chacun.

 

Je suis anxieux et vous entendez probablement dans ma voix que je suis un peu anxieux parce que je ne peux tout simplement pas croire les médias et la censure qui existe. Regardez simplement ce qu’ils font au président des États-Unis d’Amérique. Regardez ce que Twitter fait au président des États-Unis d’Amérique. C’est exaspérant pour moi. C’est un attentat. C’est une abomination du premier amendement, notre liberté d’expression. Franchement, pour le président des États-Unis d’Amérique, le seul moyen qu’il a pour pouvoir communiquer, c’est quand il marche dehors, ou il va devant un groupe de personnes, ou il marche dehors et parle à la presse, ou il utilise les médias sociaux pour communiquer parce que les médias ne lui permettront pas de faire passer son message.

La grande presse, pas la conférence de presse, mais l’audience qu’il y a eu en Pennsylvanie l’autre jour, et si quelqu’un avait la chance de la regarder. Ce fut une audition extraordinaire avec des politiciens de Pennsylvanie centrés sur un panel, et le seul sénateur qui dirigeait le panel pour l’état de Pennsylvanie, qui a écouté l’audience, écouté un groupe de témoins, écouté Rudy, écouté Jenna Ellis, et d’autres membres de leur équipe. L’individu qui l’a dirigé était un colonel militaire à la retraite, et il est maintenant sénateur de l’État de Pennsylvanie, et il a prononcé, à la toute fin, un très bon bref discours de synthèse, et c’était réconfortant parce que c’était une sorte de maman et tarte aux pommes: «Hé, nous ne pouvons pas permettre que cela se produise dans notre pays. Nous ne pouvons pas nous présenter au monde comme une nation du tiers monde ». C’était un très, très bon discours de clôture,et qu’a fait Twitter? Twitter l’a immédiatement mis hors ligne. Ils ont complètement supprimé son compte Twitter pour que les gens ne puissent pas suivre ce type. C’est juste scandaleux, c’est scandaleux. C’est une entreprise de médias sociaux qui fait partie de la place publique. Ils profitent de ce qui leur a été donné, ce qui est un véritable privilège et ils en abusent. Je pourrais continuer encore et encore, je vais m’arrêter et voir si vous avez des questions sur quoi que ce soit ou si vous voulez intervenir sur tout ce que j’ai dit, mais je suis bouleversé, je suis déterminé, je vais être résilient, et je crois que je suis le reflet de millions et de millions de millions de personnes à travers le pays qui ressentent exactement la même chose que moi. C’est une entreprise de médias sociaux qui fait partie de la place publique. Ils profitent de ce qui leur a été donné, ce qui est un véritable privilège et ils en abusent. Je pourrais continuer encore et encore, je vais m’arrêter et voir si vous avez des questions sur quoi que ce soit ou si vous voulez intervenir sur tout ce que j’ai dit, mais je suis bouleversé, je suis déterminé, je vais être résilient, et je crois que je suis le reflet de millions et de millions de millions de personnes à travers le pays qui ressentent exactement la même chose que moi.

Brannon Howse: Absolument. Général, vous avez mentionné dans votre déclaration que vous avez faite l’autre jour pour remercier le président des États-Unis et vous avez utilisé le mot coup d’État, vous avez mentionné que nous ne devrions plus jamais permettre que cela arrive au peuple américain. Vous utilisez le mot déraciné, sous-coupé, usurpé ou retenu en otage par un coup d’État contre notre nation. Voudriez-vous développer le mot coup d’État parce que je sais que le général McInerney l’a utilisé à maintes reprises. Je sais que vous n’êtes pas un homme enclin à l’hyperbole, alors je sais que ce mot n’a pas été utilisé dans votre déclaration que vous avez publiée sans raison. Voudriez-vous développer l’utilisation de ce mot?

Michael Flynn: Bien sûr. Je veux dire, je pense que ce que nous avons vécu au cours des quatre dernières années, et certainement à la fin de 2016, très à la fin de 2016 et au début de 2017, a été un effort très important pour renverser un président dûment élu, et vraiment essayer de destituer Donald Trump par juste pression politique, par pression technologique, par pression financière au début de son mandat. Peut-être pour lui faire dire simplement: «Vous savez quoi? Je ne vais pas – je n’ai pas besoin de ça. Je ne vais pas le supporter »et m’en aller. Je pense qu’il y avait un sentiment, je sais qu’il y avait un sentiment que peut-être il va juste – c’est le gars de New York, pas un politicien. Il va juste dire, tu sais quoi, je n’ai pas besoin de ce truc. J’ai mieux à faire et à partir. Remerciez Dieu qu’il ne l’a pas fait, et cela a duré quand il l’a fait, cela a continué, cet effort a continué à le poursuivre de toutes les manières possibles pour l’éliminer par certains moyens, que ce soit le faux Russiagate, le Spygate, ou que ce soit la fausse mise en accusation ou une autre du genre de choses que nous voyons avec cela, cette situation COVID à laquelle nous devons faire face maintenant. C’est la première phase si vous voulez. C’est quelque chose qui dure depuis des années.

Maintenant, nous entrons dans quelque chose de différent. Pas différent en termes de cela, c’est toujours un coup d’État en cours, mais maintenant c’est un peu différent et c’est en fait – c’est en quelque sorte qu’ils ont amélioré leur jeu lorsqu’ils ont perdu en 2016. Je pense qu’il y avait une décision et je crois que c’est , mais il y avait une sorte de décision de dire: «Nous n’allons pas permettre que cela se reproduise».


VIDÉO SÉCURISÉE SUR LE SUJET

 


Tout ce que vous avez à faire est de revenir en arrière et d’écouter certains des commentaires de l’été dernier de certains des hauts dirigeants qui font partie de ce parti démocratique, n’est-ce pas? Je veux dire, Hillary Clinton, je pense que c’était en juillet ou certainement au milieu de l’été où elle a dit, peu importe ce que Joe Biden ne devrait pas concevoir. De quoi parle-t-on là? Je veux dire, pourquoi dirait-elle cela au milieu de l’été, trois, peut-être quatre mois avant une élection? Une des choses que je sais de mon expérience dans l’armée et dans différents endroits du monde, c’est que lorsque votre ennemi vous dit qu’il va faire quelque chose, vous feriez mieux de prêter attention à ce qu’il a dit, et vous feriez mieux d’avoir certains plans, et vous feriez mieux d’avoir des idées sur la façon de faire face à cela si cela se concrétise. Eh bien, dans ce cas,nous avons des camps opposés et dans nos camps opposés de nos partis politiques, et nous savons que le parti politique de gauche est vraiment bien, bien plus à gauche.

J’ai du mal à l’appeler ou à appeler quelqu’un un démocrate ou un parti démocratique. C’est un nom que les gens, parce que c’est vraiment le parti socialiste démocratique d’Amérique qui a usurpé pour prendre le contrôle de cet élément, et ils sont une voix très forte. Donc, ils ont en quelque sorte barré la porte à l’assaut contre nous, contre notre pays et notre mode de vie, et ils font tout ce qu’ils peuvent en ce moment pour essayer de faire semblant comme, OK, rien à voir ici, et Joe va être notre prochain président ici. Je vous dis simplement, le niveau d’activité frauduleuse, ce que je décrirais certainement comme ce que nous avons vu et ce qui nous a été signalé, comme certainement un comportement criminel, mais cela reste à voir parce que c’est quelque chose qui devrait faire l’objet d’une enquête plus approfondie, mais du côté civil de ce dans quoi je sais que les gens sont impliqués, il y en a certainement des milliers et des milliers,des dizaines de milliers de bulletins de vote. Ce qui s’est passé de manière très stratégique, c’est que le vote électronique n’a pas obtenu le résultat dont ils avaient besoin le 3 novembre. Le mardi 3 novembre, le vote électronique n’a pas abouti au résultat dont ils avaient besoin pour être en mesure d’obtenir, de les dépasser et d’obtenir les votes dont ils avaient besoin, car essentiellement les systèmes n’étaient pas mis en place de manière à amener le décompte des voix là où il devait être, tout en cachant en quelque sorte comment ils le faisaient. Mélanger les nombres et autres et le faire de différentes manières dans différents états. Quand cela s’est produit, ils ont réalisé: «D’accord, nous devons arrêter, nous devons arrêter». Inouï, sans précédent, puis le vice-président Biden se couche et ils ferment.

Cinq états cette nuit là ont fermé, arrêté. Comment pouvons-nous permettre que cela se produise? Ensuite, bien sûr, au cours des deux jours suivants, du 4 au 7 novembre, nous commençons à voir le bulletin de vote par correspondance. Tout le cas de fraude par correspondance, et il y a tout un tas de preuves et tout un tas de gens qui se sont manifestés. Il y en a probablement deux cents, je ne sais pas trop, des affidavits. Des gens qui se sont levés et ont dit: «J’en ai marre». Ce sont des démocrates et des républicains.

Nous venons de recevoir un autre article ce soir dans une autre partie du pays d’un démocrate, une femme qui est tout simplement absolument malade et fatiguée de ce qu’elle a vu, et elle ne savait tout simplement pas quoi faire, et elle a finalement dit: «Je dois y aller en avant, et je dois le signaler. Je ne peux pas vivre avec moi-même ». C’est ce qui se passe avec les gens qui ressentent dans leur cœur ce sentiment de patriotisme de dire encore: «Écoutez, je ne veux pas que mon pays se transforme en autre chose parce que c’est ce que ces gens veulent». Ils ne veulent pas que notre pays soit la République qu’il est. Ils veulent que ce soit autre chose et le changer. Comme nous l’avons entendu, un président dit, nous voulons changer fondamentalement l’Amérique, et ce n’est pas ce que les gens veulent. Les gens veulent vivre la vie qu’ils ont avec les libertés et les libertés que nous avons sous cette grande république constitutionnelle que nous avons.C’est un peu là où nous en sommes et c’est ce que je veux dire par là.

C’est un effort continu. Ce n’est pas d’aller prendre la capitale, d’aller prendre la radio comme nous l’avons fait dans le passé, dans notre propre histoire, il y a des années en Amérique centrale ou dans les Caraïbes, ou dans certains de ces autres pays. Nous avons participé, ou nous avons soutenu certaines de ces choses là où nous l’avons certainement regardée dans un autre pays du tiers monde. Maintenant, ce qui se passe dans notre pays, nous ne pouvons pas le supporter.

Brannon Howse: C’est une nouvelle façon de faire la guerre, n’est-ce pas général? C’est ce que vous dites? C’est en quelque sorte la nouvelle façon de faire la guerre et c’est la cyberguerre. C’est ce que vous dites?

Michael Flynn: C’est cyber, c’est une combinaison de choses. C’est certainement de l’information. C’est la façon dont vous tirez parti de l’information, comment vous tirez parti de tout ce qui concerne les opérations psychologiques, c’est que vous devez vous assurer de choisir la cible, puis la répétition du message encore et encore et encore et encore et encore. La seule façon de le faire dans un pays de notre taille, avec toutes les façons dont nous communiquons, c’est de mettre les médias de votre côté. Cela a pris un certain nombre d’années, mais je ne peux pas rester ici et vous dire que ce n’est pas le cas parce que c’est le cas, tout le monde le sait.

Tout le monde connaît les «médias grand public», qui sont un groupe d’organisations assez solides et qui comprend les entreprises technologiques, n’est-ce pas? Je dis les entreprises de technologie, les entreprises de technologie des médias sociaux, tout de Facebook à Instagram, bien sûr, Twitter que j’ai mentionné. Toutes ces choses, ils essaient de contrôler un récit et de dire au peuple américain ce qu’il devrait savoir au lieu de permettre au peuple américain des informations et de laisser chacun de nous décider de ce qui est important ou non.

Brannon Howse: Donc, c’est le lavage de cerveau, c’est la guerre de l’information, c’est le lavage de cerveau, une opération psychologique. Ce sont ces choses que vous avez étudiées et d’autres études quand  on passe par l’école SERE. Correct?

Michael Flynn: C’est plus que ça mais oui, c’est un peu le type de guerre. En fait, si vous étudiez la doctrine chinoise, la doctrine chinoise comporte six phases. Les cinq premières phases ont toutes à voir avec l’information. La dernière partie serait si celles ci échouaient ou si vous aviez besoin d’un « umph » supplémentaire. C’est alors que vous pouvez voir quelque chose de cinétique. Nous sommes dans ce genre de guerre de l’information sans précédent. Je vais me tenir sur ma boîte ici et dire que le président des États-Unis d’Amérique est censuré par les entreprises américaines. Pensez-y, je suis parfois perdu quand j’en parle et j’en parle plusieurs fois par jour à différentes personnes dans différents groupes, et j’essaie de dire: «D’accord, à un moment donné, cela doit cesser d’être autorisé ». Lorsqu’une entreprise dit: «Ce que vous venez de dire, M.Le président n’est pas totalement la vérité, où y a t-il de la fraude, ou, la fraude n’a pas été prouvée ». Comment osent-ils faire ça au président des États-Unis, de ne pas pouvoir se faire une place dans la foule des médias grand public. Regardez l’entretien qu’il a fait hier, où nous avons eu, quelqu’un qui parle au président des États-Unis dans son bureau là-bas, et il a dû conseiller la personne. «Ne leur parlez pas. Ne me parle pas comme ça. Ne parlez pas comme ça au président des États-Unis ». C’est comme une bande de punks  dans une cour d’école. Nous ne pouvons pas avoir cela dans ce pays.

Débat et questions pointues, mais pas totalement, totalement irrespectueux, pas seulement le président. Vous ne l’aimez peut-être pas, très bien, mais il représente la présidence des États-Unis d’Amérique. Il représente notre drapeau, notre constitution, notre pays. Tout ce que nous vivons actuellement est en fait plus qu’une simple agression contre le président Trump. Il s’agit d’un assaut contre la République américaine, contre ce grand pays que nous avons et contre les habitants du pays. Je sais qu’ils en ont assez et qu’ils ne vont pas le supporter. Ce qu’ils attendent de voir, c’est qu’ils attendent de voir le résultat de leurs propres élus dans les États faire leur travail.

Juste parce que CNN ou Fox News ou un gouverneur ou un secrétaire d’État certifie une élection, si la législature de l’État n’a pas certifié l’élection, elle n’est pas certifiée dans un État particulier. S’il y a une contestation et une contestation juridique légitime, ils ne peuvent pas s’asseoir là et le certifier pendant qu’une contestation judiciaire est en cours, ce n’est tout simplement pas la façon dont cela fonctionne. Les médias ne couvriront rien de tout cela pour vous. Les grands médias, ils ne vont tout simplement pas le couvrir, et c’est triste parce qu’ils essaient de nous enfoncer cela dans la gorge, et le public américain, ils voient à travers.

Brannon Howse: Et nous sommes reconnaissants que vous soyez venu chez nous, l’un des sites de médias alternatifs, et ceux-ci se développent tous rapidement, et lorsqu’ils sont tous ajoutés ensemble, vous atteignez des millions et des millions de personnes grâce aux nouveaux médias. Je ne veux pas vous garder général plus longtemps que vous ne voulez rester. Vous avez été très généreux. Je voudrais vous poser encore quelques questions. Nous avons des gens dont je sais qu’ils sont frustrés. Ils arpentent le sol. Ils sont vraiment contrariés pour eux de voir ce que les médias disent et comment ils découragent les gens, mais vous leur dites de rester là-dedans pour que tout se passe bien. Je ne sais pas si vous pouvez en parler ou non, si vous ne pouvez pas simplement le dire, mais je sais que Sidney Powell a parlé de beaucoup d’informations qui seront publiées. Elle veut aller au tribunal,pas dans les médias pour l’essayer, mais devant le tribunal. Mais pouvez-vous, ou ne pouvez-vous parler d’aucune des preuves tangibles liées au serveur en Allemagne?

Michael Flynn: Oui, je ne veux pas en parler pour le moment. Elle l’a mentionné et elle a en fait de très bons documents. Ils viennent de déposer un autre amendement, je crois, en Géorgie. Ils ont déposé en Géorgie. Ils ont déposé au Michigan aujourd’hui, juste aujourd’hui, et probablement au cours de la dernière heure ou deux, ils ont simplement déposé un autre amendement à ceux de la Géorgie, et de nouveau au Michigan. Je pense que les prochaines priorités, vous savez, concernent certains de ces autres États où il y a de grands défis. Il faut vraiment aller fouiller dans les documents au lieu de lire un extrait sonore ici ou là, parce que c’est notre vie, c’est notre pays. C’est le moment de notre histoire où si nous ne réussissons pas, ce pays est fini, ce sera fini comme nous le connaissons. Alors que je me tiens ici à vous parler, je ne me tiens pas ici de moi, je me tiens ici de mes enfants,mes petits-enfants, et franchement, la lueur d’espoir que nous sommes en tant que pays. Je dirais, je vais juste conclure parce que je vais devoir interrompre ici. Il y a des chemins vers la victoire, c’est clair. Les principaux États sont la Géorgie, le Michigan, l’Arizona, le Wisconsin et le Nevada. Il y a des moyens que le président peut atteindre, et son équipe peut l’amener à la marge dont il a besoin pour gagner sans la Pennsylvanie, mais il va aussi gagner la Pennsylvanie.

Je vous laisse et je laisse le public avec ça parce que je ne veux pas que mon ton soit si fort là où vous ressentez une frustration. Je ne suis vraiment pas frustré, je suis déterminé, et je vais rester résilient face à cette agression que nous avons en cours par des éléments de notre pays qui essaient de nous dire: « Ne regardez pas ici, tout ira bien » . Ce ne sera pas, nous ne pouvons pas avoir cela. Nous ne pouvons pas permettre cela. Nous allons clarifier les choses. Nous allons le redresser. Cela va être fait correctement. Cela se fera légalement. Cela va être fait correctement. Cela va être fait avec les patriotes américains qui aiment ce pays et qui se battent comme des guerriers dans une sorte de champ de bataille juridique, c’est sûr. Avec des gens comme Sidney Powell, comme Rudy Giuliani et son équipe, comme des gens comme Linwood, qui se bat bec et ongles.La plupart des gens ne le savent même pas, son cas selon lequel il se déroule en Géorgie vient d’être repris par le 11e circuit, en Géorgie, et c’est un bon signe, car cela signifie que le seul juge là-bas qui pensait qu’il allait classer son dossier, le 11e circuit l’a retiré de lui et l’a porté à son niveau, à un niveau d’appel, car ils ont vu qu’il y avait suffisamment de preuves. Donc, je crois que nous allons voir un certain élan changer ici. Il y a déjà un courant sous-jacent de changement d’élan pour le président, et je crois qu’en fin de compte, nous allons découvrir qu’il a gagné par un glissement de terrain massif, et il sera inauguré en janvier.

Brannon Howse: Général, merci beaucoup pour votre temps. Merci pour votre service à notre pays. Vous nous avez honorés de vos paroles ce soir et de votre temps, et nous apprécions que vous preniez le temps de vous joindre à nous et de parler au peuple américain. Non seulement nous sommes en direct, mais bien sûr, nous publierons ensuite cela comme une émission qui ira très loin. Donc, vous encouragerez énormément de gens en prenant le temps ce soir, alors général, merci d’avoir fait cela.

Michael Flynn: Super ami, et Tom, merci de m’avoir invité. Dieu bénisse l’amérique. Merci. Merci.

Brannon Howse: Merci général. Maintenant, nous allons être rejoints par le lieutenant général McInerney, Mary Fanning. Hou la la! Je ne sais pas ce que vous pouvez entendre les gars parce que je dois éteindre le téléphone portable, mais pouvez-vous l’entendre?

Général Mclnerney et Mary Fanning: Oui.

Brannon Howse: Eh bien, général McInerney, aimeriez-vous commenter ce que votre ami avait à dire? Et merci d’avoir aidé à mettre cela en place.

Général Mclnerney:Eh bien, c’est absolument vital parce que c’était la première fois que je crois que le général Flynn a pu parler publiquement et dans un tel environnement, et je tiens donc à vous remercier d’avoir mis en place cela, et je sais que Mary vous a parlé et c’est très important ce que vous avez fait ce soir parce que c’est un train en mouvement rapide, et c’est pourquoi je voulais que vous le fassiez parce que nous assistons à la situation la plus sans précédent de l’histoire de l’Amérique. C’est la situation la plus dangereuse depuis la guerre civile pour garder cette nation unie, et pourquoi est-ce que je dis cela? La guerre civile, ce n’était que la guerre, le jour où vous et le général Flynn avez parlé de cyberguerre. La cyber-guerre est cachée, elle est mystique. Vous ne le voyez pas venir, cela arrive. Tout à coup, 138 000 votes ou 150 000 votes, tout d’un coup ils se présentent, et parce que nous regardons les ordinateurs,nous supposons qu’ils sont tous légitimes, mais dans ce cas particulier, ils ne sont pas légitimes, et à cause de ce que Sidney Powell a fait avec l’avocat du général Flynn et de ce qu’elle a soumis dans l’état de Géorgie et du Michigan un mercredi soir, la nuit. avant Thanksgiving, nous avons un document dans ce journal, dans ces poursuites d’un médecin.

Navid Keshavarez-Nia, qui est un résident de 59 ans en Californie, qui a passé 40 ans presque dans la métropole de DC en tant qu’expert de la communauté du renseignement de carrière. Je n’entrerai pas beaucoup dans son histoire, mais à cause de cette déclaration qu’il a faite dans laquelle je suis cité et confirmant indépendamment qu’il utilise mon nom. Kurt Weeby, qui était un ancien responsable de la NSA, un bon ami à nous, et qui travaillait avec Mary et moi, et Dennis Montgomery, un ancien analyste de la CIA qui était vraiment le créateur, l’inventeur des capacités d’HAMMER et du tableau de bord, et que nous avons cassé, et nous l’avons cassé dimanche et lundi avant les élections en disant que cela allait être une action qui se produirait, et ce qui s’est passé s’est en fait produit. Mary a grandement contribué à m’informer de cette information, et tout d’un coup, deux jours avant,deux jours et demi avant le début du vote le 3 novembre, c’était le 1er novembre, je me suis impliqué dans la porte de vote.

Je suis analyste militaire et pendant 16 ans et demi, j’ai été sur Fox News en tant qu’analyste militaire. J’ai été le numéro trois du personnel aérien de l’armée de l’air, et j’avais donc une excellente expérience, mais ce qui a rendu cela si facile pour moi Brannon, c’est que je dirige une société de cloud computing, une société de périphériques de cloud. Je connais intimement ce genre de technologie et ce qu’elle fait et j’en vis à l’époque militaire. Tout le monde se souvient quand nous avons attaqué Tripoli en 1986. J’étais le commandant et ils ont lancé depuis mes bases en Angleterre.

Maintenant, j’ai obtenu ces informations des sources britanniques et d’autres sources, mais toute ma vie a été basée sur cela, et ce que je vois maintenant, c’est que ces technologies sont maintenant utilisées contre le peuple américain. Ils essaient de prendre le contrôle de cette nation grâce à la technologie et à la cyberguerre. Ils se sont enrôlés pour inclure Fox News qui nous a retournés. Ils ont été répertoriés dans les médias grand public et le premier amendement pour essayer de se mettre de leur côté et le général Flynn a parlé de la censure. Par exemple, c’est Twitter qui fait et détermine ce que le président Trump peut dire. C’est ridicule. Cela doit cesser, mais à cause de tous ces atouts  qu’ils utilisent, ils abusent de la constitution des États-Unis, ils nous ont mis dans une position où nos ancêtres n’étaient pas au courant de la cyberguerre, et donc quand ils ont énoncé dans la constitution, le processus de notre élection qui passe par le collège électoral, la réunion des électeurs le 14 décembre, annonçant qui sera le président, puis en passant le 20 novembre, l’inauguration, qui n’était pas basée sur la cyberguerre, et ainsi nous avons un calendrier et j’en parle à nos auditeurs.

Nous avons un timing et nous devons passer par le système juridique. Cela n’a pas été conçu pour fonctionner dans le cyber-monde, et nous avons donc eu de nombreux juges qui ont refusé et ne reconnaissaient pas ce qui s’était passé. C’est le défi auquel nous sommes confrontés et ce que je voulais faire comprendre ce soir. Peu importe que nous ayons verrouillé et scellé ce processus de décision avant le 14 décembre, le président ne devrait pas quitter ses fonctions tant qu’il n’a pas été correctement entendu.

Nous, les Américains, exigerons que ces faits soient analysés et examinés, et je vais couvrir certains de ces faits qui les ont rendus si convaincants que cela ne fait aucun doute. Commençons par la distribution du décompte des voix en Pennsylvanie, au Wisconsin, au Michigan, en Arizona, au Nevada et en Géorgie ne sont pas basées sur le fonctionnement normal du système à cause d’une manipulation électronique frauduleuse ciblée sur des machines à voter . Par exemple, à 2h30 du matin le 4 novembre, une émission de télévision a rapporté que la Pennsylvanie, le Wisconsin, l’Arizona, le Nevada et la Géorgie ont décidé d’arrêter les opérations de dépouillement et continueront le lendemain. Cette décision unanime d’arrêter initialement et intentionnellement le comptage par les cinq États du champ de bataille est très inhabituelle. En fait, c’est sans précédent,cet cela démontre une coordination préalable des responsables électoraux dans les États du champ de bataille. Ce sont les cinq états que le général Flynn a mentionnés à cause de cette grande lumière clignotante pour quiconque comprend le processus de vote.

Nous commençions à regarder chacun de ces états parce qu’ils n’arrêtaient pas de compter. Tout d’un coup dans le Michigan à quatre heures du matin, 138 000 votes se manifestent, tous pour Biden. Il était en retard dans tous les États où ils ont décidé de cesser de voter, et c’est là qu’ils ont utilisé la cyberguerre, Hammer et Scorecard, les machines à voter du dominion et les logiciels qu’ils contiennent. C’est là qu’ils ont installé ces applications, comme votre iPhone, et ils ont obtenu un vote fluide.

Maintenant, lorsque les chiffres sont arrivés, ont commencé à revenir dans ces cinq États, ils étaient des chiffres différents. 138 000 au Michigan, 90 000 en Arizona, c’est théorique. Le différent au Nevada et en Géorgie et en Pennsylvanie. Le point important était qu’ils étaient exactement au même pourcentage. C’est une impossibilité mathématique que cela ait pu se produire, et cela signifie que l’algorithme a été utilisé, et cet algorithme a été conçu pour rester dans les limites, et lorsque les nombres assemblés ont été rassemblés, il n’était pas évident que ces nombres de votes soient insérés. Il s’agit d’une énorme lumière rouge clignotante, et il est important que les gens comprennent  ce genre de données que nous voyons.

Sidney a souligné en Géorgie, qu’il y a 96 000 votes absents qui n’ont pas été pris en compte dans le comté de Fulton, ils avaient une fuite d’eau. La Pennsylvanie, l’État de Pennsylvanie, a envoyé 1,8 million de voix à ses citoyens. L’État l’a fait, ce ne sont pas des votes par correspondance. Celles-ci étaient équilibrées sans chaîne de contrôle, et voici Brannon, 2,5 millions de personnes sont revenues. Si quelqu’un devait avoir une presse à imprimer et que nous la lançons, ce n’est que le test de reniflement pur. Il n’est pas nécessaire d’être un génie pour comprendre que si vous envoyez 1.8 et obtenez 2,5 millions de bulletins de vote, quelque chose ne va pas.

Maintenant, Sidney et l’équipe du président, je crois que le général Flynn, ont eu la chance de s’organiser. Le 305ème bataillon du renseignement militaire travaille avec eux parce que dans tout cela, nous n’avons vu aucun signe du DOJ du FBI, ni de la CIA du côté des amis.

Brannon Howse: Permettez-moi de vous arrêter ici, général parce que vous venez de dire quelque chose de très intéressant. Vous venez de dire  qui vient d’ouvrir le kraken, puis vous venez de décrire ce qu’était le kraken. Nous connaissons tous le terme à cause d’un Sydney Powell qui l’utilise, mais vous venez de dire ce que c’est. Pouvez-vous revenir là-dessus?
Général Mclnerney: Oui. Sidney a obtenu le terme kraken. C’était en fait le surnom du 305e bataillon du renseignement militaire, et cela a été sa source avec d’autres sources que Mary et moi connaissons, mais dont nous ne voulons pas parler. Nous obtenons les différentes sources qui relaient cela, mais l’important est qu’ils ont identifié, maintenant compris, ils ont identifié la Chine, l’Iran et la Russie comme étant impliqués dans cela et manipulant le vote.

En outre, le commandement des forces spéciales américaines a saisi une ferme de serveurs à Francfort, en Allemagne, car ils envoyaient ces données de ces six États via Internet vers l’Espagne, puis vers Francfort, en Allemagne. Les forces d’opérations spéciales se sont emparés de ces installations pour qu’elles aient ces serveurs et connaissent toutes ces données qu’elles fournissent.

Brannon Howse: Cela s’est-il passé sans incident? cette saisie s’est-elle déroulée sans incident?

Général Mclnerney: Eh bien, j’ai entendu dire que cela ne s’était pas passé sans incident, et je n’ai pas été en mesure de le vérifier. Je veux faire attention à cela. Il vient juste de sortir, mais je crois comprendre que mon rapport initial est qu’il y a eu des soldats américains tués dans cette opération. Maintenant, c’était une opération de la CIA, et c’est donc la chose très inquiétante. Cela s’est-il produit à cause de ce que Mary, moi et Allen avons notifié le dimanche et le lundi sur différents réseaux que cela allait se produire, qu’ils utilisaient Hammer et Scorecard, et qu’ils ont donc décidé de le faire rebondir à l’étranger, alors les serveurs se sont fermés et Hammer et Scorecard que nous utilisons dans la zone continentale des États-Unis ne pouvaient pas être utilisés? Je ne sais pas ça. Dans tous les cas, cela les rend plus vulnérables car lorsque vous commencez à déplacer ce type de données à l’étranger, d’autres personnes les regardent,

Brannon Howse: Mais vous dites que c’était une installation de la CIA, et que c’est là que le serveur a été pris par ces forces spéciales,  une installation de la CIA en Allemagne.

Général Mclnerney: C’est exact. Francfort, Allemagne. Nous avons toutes ces informations, le général Flynn bien sûr, les gens le savaient le plus, était l’officier supérieur du renseignement militaire des commandements américains en tant qu’agence de renseignement de défense. C’est un officier du renseignement de carrière, qui connaît ce genre de choses, en amont et en aval. D’après mon expérience dans le secteur du cloud, il s’agissait d’une opération insignifiante, relativement parlant, mais importante, car tant de personnes étaient impliquées. Beaucoup de personnes comme le général Flynn l’ont mentionné, la personne démocratique a vu que cela se présentait, mais ce que nous faisons, nous sommes en concurrence avec la constitution et la date du 14 décembre pour le collège électoral. Pourquoi? Parce que nous avons ces informations et que nous savons que non seulement nous avons l’État profond et l’exécutif que le président Trump a dû combattre,nous l’avons également eue à l’Assemblée législative où vous avez Adam Schiff, Nancy Pelosi, Schumer, toutes ces personnes ont participé à cela. Ils étaient impliqués dans le canular russe. Ils ont été impliqués dans ce coup d’État, mais nous avons aussi eu le pouvoir judiciaire, le juge Sullivan, qui était le juge du général Flynn, qui s’est surpassé sur ce point. Vous aviez le compromis là-bas, et c’est pourquoi le 305e, les krakens ont été choisis et sélectionnés, je crois, parce que le président pouvait leur faire confiance.  C’est pourquoi Chris Miller, ancien héros des opérations spéciales,  est maintenant le secrétaire par intérim de la Défense.

Brannon Howse: Qu’en est-il de son discours qui est devenu viral en lui demandant à toutes les forces d’opérations spéciales de lui répondre directement?
Général Mclnerney: Eh bien, cela vous dit quelque chose. Cela vous dit que nous avons resserré les choses parce qu’il y a des gens qui font partie de cette conspiration. C’est de la trahison dont nous parlons. Certaines personnes peuvent simplement penser: «Oh, c’est juste de la politique». Non, d’accord.

Ainsi, le président Obama l’a utilisé en 2012 pour gagner, Biden l’a utilisé pour gagner la Floride. Les démocrates l’ont utilisé pendant la primaire pour que Bernie Sanders perde et que Biden gagne. Vous savez que c’est de la politique, nous avons triché. Non, ce n’est pas de la politique, c’est une trahison. Darnold a-t-il cédé West Point ou tenté de le faire dans la guerre révolutionnaire. Nous n’avons jamais vu de trahison d’une telle ampleur dans notre histoire, et ces politiciens, ces gens comme Chris Krebs, qui était à la tête de l’agence de sécurité des infrastructures de cyberguerre. Il l’était jusqu’à ce qu’il soit renvoyé il y a quelques semaines par le président parce que c’était une élection parfaite. Il est coupable de trahison. Il devait être complice, et les gens doivent comprendre cela.

Vous qui avez fait cela, vous êtes coupables de trahison contre les États-Unis, et nous allons exiger ce président. Insistez pour que ce président ne quitte pas ses fonctions tant que le peuple américain n’a pas eu une divulgation complète de ce qui se passe.

Brannon Howse: Ce que vous dites, c’est que le président Trump doit remplir son serment, qu’il a prêté pour défendre l’Amérique contre des ennemis, à la fois étrangers et nationaux, et il ne doit pas laisser les délais l’empêcher de remplir ce serment. Est-ce ce que je vous entends dire?

Général Mclnerney: C’est exactement ce que vous m’avez entendu dire Brannon. Le président a dans son serment à la constitution de défendre le pays contre tous les ennemis, étrangers et nationaux, et nous ne devrions pas laisser un calendrier dont nous savons qu’il est si manifestement imparfait que n’importe qui peut comprendre qu’avec juste les articles que j’ai donnés à notre auditeurs ce soir. Lorsque vous avez des centaines de milliers de votes qui ont été falsifiés, et que nous savons qu’ils sont falsifiés. Je crois que ces serveurs vont le montrer, et je crois qu’il va le montrer. Il faudra probablement que cela se fasse à la Cour suprême parce qu’il y a des juges comme certains d’entre eux qui vont essayer de se protéger parce que les doigts vont commencer à pointer vers tout le monde. «Eh bien, je ne savais pas cela, je ne savais pas cela», ils vont utiliser le procès de Nuremberg.

«Eh bien, la peur m’a dit de faire ça». Ils vont dire: «Eh bien, le président Obama savait ce que je faisais parce qu’il m’a dit de le faire», ou le vice-président Biden. «Biden était le coureur ici. Il m’a dit de le faire ». Ils vont pointer du doigt. Lorsque vous avez des gens qui conduisent des voitures avec des voitures pleines de bulletins de vote, certains même pas pliés, et qui les conduisent dans ces cinq ou six états du champ de bataille, ils vont parler. Ils ne veulent pas être impliqués dans la trahison, et les gens vont donc parler de l’ampleur de cela, parce que je pense que le président a remporté un vote si écrasant. Eh bien, je sais qu’il l’a fait, qu’ils ont dû faire ces choses, et qu’il n’y a aucun expert dans l’artisanat et ce qu’ils essayaient de faire.

Ils essayaient de faire correspondre les bulletins de vote avec les chiffres qu’ils avaient trouvés et jugés nécessaires, et ce, en temps réel. Vous aviez un chiffre et un analogue pour essayer d’obtenir des bulletins de vote, alors le numérique était facile. Vous pouvez simplement changer les chiffres, et je ne donnerai pas le nom, mais quelqu’un, un républicain à la télévision hier soir, disait, pourquoi serait-il si important pour les républicains de sortir en Géorgie? Peu importe le nombre de personnes que nous sortons en Géorgie Brannon; ils arrêteront simplement le numéro. C’est un numéro numérique pour eux. Nous ne pouvons pas les laisser utiliser Hammer et Scorecard, et à mon avis, nous ne pouvons pas avoir ces bulletins de vote par correspondance en Géorgie. Ils devraient laisser les bureaux de vote ouverts, mais ils doivent obtenir une chaîne de contrôle. Nous ne pouvons pas avoir ce mépris absolu des lois du pays et  les juges,  par les législatures,  doivent s’en saisir.Il y a un chemin, mais je crois que les démocrates vont penser que c’est de la politique, et ils vont essayer de mettre un terme à cela. Eh bien, s’ils le font, alors le peuple américain doit exiger que le président reste en fonction jusqu’à ce que cela soit éclairci parce que c’est une trahison. C’est un coup d’État contre le gouvernement des États-Unis, et nous ne pouvons l’accepter.

Brannon Howse: C’est le général McInerney trois étoiles. Allez chercher sa biographie, je n’ai pas le temps de m’y intéresser ce soir parce que nous l’avons répétée encore et encore. Le général trois étoiles Thomas McInerney, recherchez sa biographie. Ce n’est pas un homme enclin à l’hyperbole.

Encore une fois, Mary Fanning et Alan Jones ont cassé cette histoire en décembre 2015. Le général McInerney en a parlé en mars 2017 dans le programme de Dave. Dave, quel est son nom encore Mary?

Général Mclnerney: Dave Janda

Brannon Howse: Dave Janda, son émission, puis le lendemain le canular de la Russie arrive par Comey, je suppose un écran de fumée, non? Donc, ils sont là-dessus depuis longtemps. En général, j’ai reçu trois appels téléphoniques de trois personnes différentes, liées à l’arène du renseignement il y a quelques semaines, essayant de me dire que j’allais me mettre dans l’embarras. Si je n’arrêtais pas de parler de ça, que c’était du complot et du faux, et il est maintenant révélé que ceux-là, je suppose, étaient des appels pour essayer de me faire cesser d’utiliser notre réseau, notre plateforme, pour informer le peuple américain, parce que maintenant nous commençons juste à comprendre ce que signifient beaucoup de ces mots comme kraken et d’autres choses. Tout est en train de sortir. Il y a ceux à l’intérieur de l’arène du renseignement qui essayaient d’arrêter cela. Maintenant,Je pense qu’il y en a dans l’arène du renseignement qui essaient de prendre l’histoire et de la contrôler. N’est-ce pas?

Général Mclnerney: Oui, et ils sont coupables de trahison.

Brannon Howse: Mary, voudriez-vous commenter. Marie? Vous avez été calme. Je dois vous faire entrer ici parce que vous et Alan Jones avez rompu cela en décembre 2015, et wow, vous, les gars méritez une sorte d’énorme prix littéraire et de recherche, mais s’il vous plaît, dites ce que vous avez entendu ce soir.

Mary Fanning: Nous avons des leaders incroyables dans ce pays qu’il n’y en a pas de meilleur que le général McInerney et le général Mike Flynn. Je vais vous dire que les mauvais acteurs, tant étrangers que nationaux, utilisent cet homme au milieu des mandataires pour couvrir leurs traces. Il y a eu une tentative non seulement de voler les élections, mais de voler l’Amérique. Les pères fondateurs ne connaissaient peut-être pas la cyberguerre, mais ils reconnaissent certainement la tyrannie quand ils y réfléchissent. Le président Trump ne peut pas quitter ses fonctions. Lorsque la Chine et l’Iran auront accès à nos élections, nous ne pouvons pas les laisser voler l’Amérique par leurs actes illégaux de trahison et de guerre contre ce pays.

Brannon Howse: Acte de guerre, et je pense que c’est exactement ce que c’est. Nous avons l’Iran, la Chine et la Russie impliqués. Général, nous avons maintenant la Russie qui menace les missiles. Nous les avons en train de parler des navires bélier. Nous avons l’Iran qui parle de représailles. Nous voyons que leur père de leur programme nucléaire a maintenant été éliminé au cours des dernières 24 heures. Nous voyons que l’Iran se vante d’avoir installé des lance-missiles sur ses cargos. Qu’est-ce que tout cela?

Général Mclnerney: Eh bien, cela signifie une grande instabilité si nous laissons le gouvernement américain être saisi par des gens qui commettent des trahisons et des tricheurs. Ils savaient exactement ce qu’ils étaient entrain de faire. Regardez, tout le monde pense que le modèle de victoire des démocrates à l’avenir n’est pas une conférence de presse majeure avec des questions difficiles. Le plus grand rallye qu’il a eu était de 14 personnes dans 14 voitures klaxonnant et restant au sous-sol. Est-ce là le modèle d’une réussite (inaudible) pour le président des États-Unis? Non, mais il savait quelque chose.

Tous ces gens savaient que le numéro allait sortir. Les gens qui parient à Las Vegas, il y a un excellent article à ce sujet, et les gens des casinos devraient regarder ces gagnants parce qu’ils avaient des informations privilégiées et qu’ils sont coupables de trahison parce qu’ils n’en ont pas informé les autorités compétentes. Quiconque était complice, Fox News à mon avis, certaines de ces personnes sont coupables de trahison. Que ce soit le président, qui que ce soit parce qu’ils ont basculé et qu’ils savaient ce qu’ils faisaient et ils ont fait ces premières annonces, et donc quiconque est impliqué dans cela en est complice. S’ils ne l’ont pas dit et alerté le président des États-Unis et leurs agents immobiliers.

Brannon Howse: Pensez-vous que cela remonte à Nancy Pelosi, à Adam Schiff, à Barack Obama, à Joe Biden?

Général Mclnerney: Oui, il le fallait. La façon dont ils agissent, la façon dont ils ont fait les choses, tout ce qu’ils ont fait, le canular russe. Maintenant nous devons savoir si John Durham, quel est le statut de John Durham et du procureur général? Quel est le statut de leur travail? Qu’ont-ils fait?

Brannon Howse: Général Mclnerney avant que nous ne manquions de temps, nous allons passer environ 10 minutes parce que c’est à ce moment-là que nos cartes sont également épuisées, et nous voulons préserver tout cela pour sortir dans une duplication au peuple américain. nous ne voulons pas aller là où nos cartes sont épuisées. Nous passerons encore huit ou neuf minutes, mais le décret du 12 septembre 2018 sur l’imposition de certaines sanctions en cas d’ingérence étrangère dans une élection aux États-Unis, dans quelle mesure ce décret du président Trump jouera-t-il là-dedans et comment?

Général Mclnerney: Eh bien, je pense que je vais demander à Mary d’en parler également, mais je pense que cela jouera un rôle majeur. Cela me dit Brannon, que le président savait que quelque chose se passait et que cela allait arriver, et donc je pense que Mary, vous pouvez entrer dans les détails.

Mary Fanning: Eh bien, il existe de nombreuses preuves que l’élection présidentielle de 2020 a été volée au président Trump au nom de Joe Biden, avec l’aide de Joe Biden, car Joe Biden a déclaré qu’il avait le plus grand groupe de fraude électorale de l’histoire mis en place. Nous ne pouvons pas laisser cela tenir. Ce sera le vol de l’Amérique. Le peuple américain doit se lever.

Brannon Howse: Mary, j’ai devant moi un article daté du 7 juin 2017. Vous écrivez ici à propos d’un programme, je crois que ça s’appelait Turquie ou quelque chose comme ça? Dinde sauvage ou quelque chose?
Mary Fanning: Wild Turkey ou certains des exploits qui fonctionnent avec Hammer et Scorecard, et ainsi que Medusa. Ce sont des exploits qui ont été créés alors que Turkey n’a pas été créée par Dennis Montgomery, mais que Medusa et le scorecard du hammer ont fonctionné

Brannon Howse: Vous voilà en 2017, en train d’écrire à ce sujet. Encore une fois, vous et Alan Jones, votre co-auteur. Leur livre, en passant, peut être trouvé sur Amazon, The Hammer is the Key to the Coup, qui sont quelques-uns des derniers mots de l’amiral quatre étoiles Lyons à son ami, le général McInerney, parce qu’ils faisaient des recherches et en parlaient .

Rappelez-vous qu’eux, l’amiral Lyons, quatre étoiles, le général McInerney, trois étoiles ont fait une émission de radio ensemble en 2017 pour en avertir, et c’est alors que les choses ont vraiment commencé à s’ouvrir. Mais encore une fois, nous sommes en 2015, puis Mary Fanning et Alan Jones font toutes les recherches et commencent à publier les informations sur TheAmericanReport.org.

Mary, maintenant nous avons trois personnes liées à la communauté du renseignement qui voulaient m’arrêter de faire de la radio et de la télévision à ce sujet. Je ne le ferais pas parce que je crois en vous, Alan et le général. Je n’allais tout simplement pas reculer. J’avais vu suffisamment d’informations et suffisamment de preuves. Je connaissais la longue crédibilité du général et je n’allais pas reculer.

J’ai reçu trois appels téléphoniques quand les gens ont lié l’arène du renseignement et ont arrêté de parler de ce genre de choses, vous allez avoir l’air stupide et stupide. Maintenant, tout est en cours de confirmation, mais ce qui est intéressant Mary, c’est vous et j’ai parlé, je suppose, d’un type qui écrit maintenant qui, je suppose, fait caca une partie de cela, et maintenant il veut essayer de contrôler le récit et donnez des interviews à ce sujet. J’ai remarqué que dans l’une de ses interviews, il semble essayer de défendre le chef de la CIA et le chef du FBI, alors dois-je croire que ces gens qui faisaient caca comme je n’en parle pas, Eh bien, maintenant votre recherche a été confirmée à maintes reprises, et maintenant ils vont essayer de contrôler le récit, et vont-ils essayer maintenant certaines de ces mêmes personnes pour défendre le chef de la CIA et du FBI. C’est assez intéressant de regarder ce comportement,N’est-ce pas? Ai-je raison ou tort dans mon hypothèse ici?

Mary Fanning: Je pense que vous avez tout à fait raison en tant qu’ancien agent de la CIA Larry, c’est en première page, les gens peuvent lire à ce sujet, mais le fait qu’il vienne dire que Gina n’avait rien à voir avec cela, ni Wray soupçonné de dire qu’il aimerait laisser ces personnes en place.

Quiconque est impliqué dans cela et est du côté et se tient avec la trahison contre ce pays. Quelle que soit l’agence avec laquelle ils travaillent, ils devraient réfléchir à deux fois avant de commencer à essayer de s’insinuer dans cette activité de trahison qui durait depuis trop longtemps.

Cela est venu directement de l’administration Obama lorsque John Brennan et James clapper ont illégalement réquisitionné l’outil de surveillance étrangère connu sous le nom de marteau.

Brannon Howse: Il a été conçu par Genesis Montgomery en 2003, pour protéger l’Amérique pendant que vous écrivez. Commande par eux environ deux semaines après qu’Obama a été assermenté et mis sur des serveurs. Vous écrivez sur l’honneur du FBI, le directeur de Mueller, n’est-ce pas?
Mary Fanning: C’est exact. Selon Dennis Montgomery, Robert Mueller a fourni les ordinateurs pour le marteau.

Brannon Howse: et bien sûr, ils ont essayé de discréditer Dennis Montgomery parce que vous pouvez voir pourquoi maintenant, mais comme nous en avons discuté dans les programmes précédents, vous avez obtenu deux accords d’immunité après avoir été interviewé et enregistré. Donc, apparemment, il n’a pas menti, sinon il serait en prison. Il l’a gardé; il a obtenu ses accords d’immunité et certaines de ses autorisations de sécurité ne sont pas en prison, ce qui devrait nous en dire long sur les gens qui essaient de salir le gars.

Mary, vous croyez, je crois toute cette idée que Donald Trump doit aller de l’avant et concéder. Je pense que celui qui devrait concéder est Joe Biden. Je pense que le peuple américain devrait se lever en masse. Je pense que les conservateurs devraient se lever en masse, tweeter, Facebook, e-mail, et ont commencé à exiger que Joe Biden concède. Ce que vous dites?

Mary Fanning: Vous ne pouvez pas attribuer le pays à Joe Biden quand il a triché pour voler une élection. C’est vraiment aussi simple que cela.

Brannon Howse: Pensez-vous que le peuple américain va exiger que certaines de ces personnes soient effectivement accusées de trahison? Et à quelle hauteur pensez-vous que cela pourrait aller? Ou est-ce que ce sera le vieux jeu de brossage pour finir de blâmer quelqu’un au niveau inférieur?

Mary Fanning: C’est au-delà des élections. C’est au-delà des votes volés. Vous devez regarder Joe Biden et sa famille. Des milliards de dollars à son fils, Hunter, son fils toxicomane. Des milliards de dollars de la Chine et des milliards de l’Ukraine à Hunter Biden. Pouvez-vous même imaginer ceci et un autre jour? Le fait que les médias soient restés silencieux et que la Chine, l’Iran et la Russie achètent nos fonctionnaires pour vous dire tout ce que vous devez savoir sur les médias Mockingbird.

Brannon Howse: Sans parler de Mary, comme vous le rapportez dans votre excellent rapport, la tempête parfaite, la famille Jafar, la famille Gulftainer, le docteur Jafar, comme vous le rapportez, était autrefois le chef du programme nucléaire de Saddam Hussein, créant la plage nucléaire. boule comme dispositif nucléaire miniaturisé. Je pense qu’il était sur la liste des victimes pendant la guerre, puis sa famille et son entreprise obtiennent un contrat pour gérer Port Canaveral en Floride et à Wilmington, Delaware, des conteneurs de fret, et pourtant il y a une sorte d’accords commerciaux avec le 100%. Exportation détenue par la Russie du Club K Cargo qui a quatre silos de missiles de croisière qui apparaissent et peuvent livrer des missiles de croisière, des armes biologiques, des armes nucléaires, et il pourrait facilement être planté ici aux États-Unis comme vous avez traduit les manuels russes pour Pearl Harbor 2.0 en anglais,ils appellent à une stratégie russe pour faire exactement cela. Comme vous le savez, en direct de notre émission il y a quelques années, Phil Haney, ancien dénonciateur du Département de la sécurité intérieure, a révélé directement dans cette émission: «Hé, Brannon, vous voulez une autre information intéressante pour aller avec ça?» Regardez Citco appartenant au Venezuela, ils sont en crise financière avec une inflation massive. Devinez qui est entré et a acheté une grande partie de leur entreprise? Russie. Regardez tous leurs terminaux pétroliers, le long de la côte Est.Devinez qui est entré et a acheté une grande partie de leur entreprise? Russie. Regardez tous leurs terminaux pétroliers, le long de la côte Est.Devinez qui est entré et a acheté une grande partie de leur entreprise? Russie. Regardez tous leurs terminaux pétroliers, le long de la côte Est.

Maintenant, la Russie peut faire entrer par les terminaux pétroliers, les terminaux de fret peuvent intégrer le système de lancement de missiles Club K Cargo dans cette relation avec le Dr Jafar et Gulftainer, les ont maintenant amenés à les déplacer aux États-Unis et à les faire tomber dans tous les raffineurs. le long de la côte Est se trouve un cheval de Troie, et c’est votre parfait Pearl Harbor 2.0 dont vous avez mis en garde, et Phil Haney l’a déposé directement sur le bureau de presse de notre émission en direct, et vous regardez ce soir-là. Donc, il y a bien plus que les élections. Nous parlons d’eux étant à l’intérieur du fil et beaucoup de ces gens, les Bidens, les Obama, Hillary liés à certains de ces acteurs, n’est-ce pas?

Mary Fanning: Eh bien, c’est exact. Au-delà de quoi les Jafar ont été mis sur la liste noire du Pentagone signifiait qu’ils étaient recherchés pour capturer ou tuer dr. Jafar, et c’est le cerveau du nucléaire ou Saddam Hussein. Afin de reprendre notre pays, nous devons reprendre cette élection que Donald Trump a remportée juste et carrément avant de commencer à tricher avec les acteurs étrangers, la Russie, la Chine, l’Iran, que leur main est ici pour le vol de cette élection. C’est pourquoi le peuple américain doit se lever, et c’est comme si le président Donald Trump doit respecter son serment de protéger ce pays. Il ne peut pas démissionner tant que ces élections ne sont pas équitablement réglées légalement.

Brannon Howse: La raison pour laquelle j’évoque tout cela Mary est, comme vous le savez, en tant que chercheur auteur du renseignement et du renseignement de sécurité nationale, tout cela implique d’énormes implications en matière de renseignement national.

Mary Fanning: Absolument

Brannon Howse: Permettez-moi de répéter très rapidement. La nouvelle de ce soir, le général Flynn appelant, nous venons également d’apprendre par le général McInerney que le kraken est en fait une division militaire. Avez-vous dit le 305e connu sous le nom de kraken? C’est une division militaire, c’est le kraken?

Général Mclnerney: Non, c’est un bataillon, un bataillon très intelligent. Brannon, puis-je dire une autre chose en terminant?

Brannon Howse: Oui.

Général Mclnerney: Maintenant, cela va directement à ceux qui veulent s’emparer de ce pays parce qu’ils ont piraté mon téléphone portable, et donc tout ce que je dis sur ce canal ouvert en particulier, ils arrivent. Ils sont sérieux. Ils sont profondément impliqués dans cela, et ils savent maintenant qu’à cause de ce que vous avez fait et de ce que nous avons fait ce soir, ils ont encore plus de problèmes. Nous venons contre après que vous et le peuple américain allez venir après vous et ce président a remporté cette élection, et il allait être le président pendant les quatre prochaines années, mais nous sommes après vous. Vous ne vous emparerez pas de ce pays parce que ce serait la dernière réélection que nous ayons jamais eue, et je suis d’accord avec vous et Mary, que Joe Biden devrait démissionner tout de suite.

Brannon Howse: Joe Biden doit concéder. Les gens, ce sont les héros américains, le général Flynn, le général McInerney, Mary Fanning. Je suis désolé, nous n’avons pas pu avoir un autre héros ici. Alan Jones, qui a écrit le livre avec elle. Ce sont de grands Américains qui se sont opposés à une pression inimaginable pour ne pas en parler, mais ici, tout est ouvert maintenant. N’est-il pas intéressant que les médias alternatifs aient dû le faire ce soir?

Je tiens à les remercier tous de se joindre à nous. Je tiens à vous remercier de vous joindre à nous. Nous ferons immédiatement éditer cet article en HD pour que le peuple américain le diffuse. Et encore une fois, nous le faisons grâce à votre soutien sur WVWFoundation.com. Merci pour votre soutien. Merci, général McInerney, merci général Flynn, merci Mary Fanning et merci à tous d’avoir regardé. Jusqu’à la prochaine fois, je suis Brennan Howse. Prends soin de toi.


EN COMPLÉMENTAIRE

Mise à jour d’informations

 

Au moment ou vous lisez ce texte,le général Flynn aiderait le président Trump  dans une opération privée de renseignement.

La Chine communiste,l’Iran et la Russie seraient impliqué dans cette tentative de coup d’état contre le président Trump qui aurait remporté une victoire historique sans cette fraude organisé…c’est ce que démontré l’examen des serveurs saisis.

 

 

source : https://www.naturalnews.com/2020-11-29-full-transcript-interview-gen-michael-flynn-gen-thomas-mcinerney.html

Via  http://politikus.unblog.fr/2020/11/30/elections-americaines-lidentite-du-kraken-revelee-interview-du-general-flynn-et-du-general-mc-inerney/

 

Nouvel Ordre Mondial:Comment voler une élection aux USA

Comment s’assurer que leurs alliés politiques sont idéologiquement synchronisés et savent exactement comment perturber une élection présidentielle? Qu’en est-il des «journalistes» dans les médias d’information et des bavardages sur les médias sociaux – comment les faire participer à la perturbation révolutionnaire planifiée à l’échelle nationale? Facile! Publiez un rapport intitulé: « Prévenir une élection présidentielle perturbée ».

Dans l’une des plus grandes campagnes de désinformation publique de l’histoire américaine – la gauche et ses alliés NeverTrumper (sous le nom de guerre : «Transition Integrity Project») ont publié un rapport de 22 pages en août 2020 «war gaming» (leur terme) quatre Scénarios de crise électorale: 1. Une victoire décisive de Trump; 2. Une victoire décisive de Biden; 3. Une victoire étroite de Biden; et, 4. Une période d’incertitude prolongée après l’élection. Le résultat de chaque scénario TIP aboutit à la violence de rue et à une impasse politique.

Le pouvoir politique généré par un document comme le rapport «Transition Integrity Project» présente la menace de terreur et de violence de rue comme un résultat «normal» ou «attendu» de la prochaine élection présidentielle. Voici ce que vous verrez, entendrez et lirez dans les prochaines semaines: «Oui, attendez-vous à des violences au lendemain de l’élection, car maintenant c’est la nouvelle« normale ». Trump nous a fait faire … « Sur la photo: des policiers à Washington DC sont attaqués par des émeutiers qui leur lancent des feux d’artifice, le 30 mai 2020.

Les organisateurs et dirigeants de TIP incluent Rosa Brooks, professeur de droit à Georgetown, Nils Gilman de l’Institut « indépendant » Berggruen en Californie, et John Podesta, le fixateur et le gestionnaire de longue date de la dynastie politique Clinton. Les membres nominalement républicains du groupe comprennent l’ancien président national républicain Michael Steele, le journaliste David Frum et l’ancien rédacteur en chef du magazine Bill Kristol.

La publication du rapport TIP est une stratégie de guerre de l’information employée à des fins politiques révolutionnaires. La stratégie est sophistiquée et multiforme. Le document TIP:

  • Jette les bases des médias d’information «consensuels» et des récits des médias sociaux;
  • Rationalise les «stratégies non conventionnelles» pour générer un maximum de confusion et d’agitation sur des résultats électoraux «défavorables»;
  • Projette des accusations de conduite illégale / criminelle contre le président Trump et ceux qui votent pour lui;
  • Coopère avec la bureaucratie fédérale (déjà politiquement sympathique) de Washington DC pour soutenir sa stratégie depuis le siège de chaque département et agence de l’exécutif;
  • S’appuie (correctement) sur une réponse de faible niveau de sensibilisation / d’énergie de la droite politique pour contrer le programme TIP.

Est-il possible que les dirigeants de la gauche américaine, ainsi que leurs alliés NeverTrumper, soient occupés à défendre et à promouvoir la violence de rue en réponse à une élection présidentielle?

La réponse est oui.

Dans le premier paragraphe de leur rapport « bipartisan », TIP déclare: « Nous estimons avec une grande probabilité que les élections de novembre seront marquées par un paysage juridique et politique chaotique. » Surtout s’ils ont leur chemin.

Une alternative à l’un des scénarios de jeu de guerre a conduit les TIPsters à préconiser la sécession de Washington, de l’Oregon et de la Californie. N’y a-t-il aucun sentiment d’ironie historique au sein du parti démocrate? Sécession après une élection? Encore?

La plus grande ironie du rapport TIP est l’utilisation écrasante de la «projection» dans la formulation et la caractérisation de diverses revendications contre le président Trump (et ses partisans) comme un moyen de justifier les plans «irréguliers» de la gauche pour perturber le processus électoral.

La projection, en tant que technique politique, n’est pas un secret. La gauche américaine n’a jamais pris la peine de le cacher ou de le déguiser, et n’a même pas jugé souhaitable de le faire.

La partie secrète de la technique de projection est le financement et l’implication organisationnelle derrière la projection elle-même. Qui paie les factures de TIP et de ses affiliés? Il s’agit d’une opération hautement organisée et sophistiquée avec des agents politiques de carrière aux commandes. Personne ne le fait gratuitement et quelqu’un (ou une entité) paie la facture. OMS?

Le rapport TIP est lui-même un exercice de pouvoir. Les informations de renseignement politique et les stratégies de politique publique sont fusionnées grâce aux actions de la TIP. Cette synthèse est une démonstration de pouvoir politique réel, et elle est mise en œuvre dans un plan écrit qui envisage la violence de rue pour affecter le résultat de l’élection présidentielle américaine. Le pouvoir politique financé et généré à partir d’un document comme le rapport TIP peut être utilisé pour la persuasion (par le biais des nouvelles et des médias sociaux), l’endoctrinement (d’activistes et d’autres «vrais croyants») et introduit la menace de terreur et de violence de rue (au population générale) comme un résultat «normal» ou «attendu».

Voici comment les actualités et le récit des médias sociaux se rejoignent et ce que vous verrez, entendrez et lirez dans les prochaines semaines: « Oui, attendez-vous à de la violence après les élections, car maintenant c’est la nouvelle« normale ». Trump nous a fait faire. Il nous a fait passer les élections, parce que l’ancien système régulier ne peut tout simplement pas être invoqué. C’est pourquoi nous avons dû publier notre rapport, afin que nous puissions nous organiser « autour » de tous les processus réguliers. Obama a promis  » transformation fondamentale, «et maintenant, des années plus tard, nous allons enfin réussir».

Quelles preuves y a-t-il de la prise de conscience et de la préparation de la droite politique pour affronter et contrer le TIP (et d’autres gauchistes) et leurs plans pour perturber l’élection? Pas tant. Le temps presse. La menace de violence et de subversion de l’élection de la gauche est réelle. La manière dont nous répondons est essentielle.

Après avoir établi le plan documenté de la gauche pour perturber l’élection présidentielle de 2020, examinons plus en détail certaines des techniques d’opérations d’information actuellement déployées contre le public américain pour persuader et influencer la «saison» électorale à venir.

La publication même du rapport Transition Integrity Project (TIP) et les reportages des médias d’information à son sujet sont des composantes de la guerre psychologique au sein de la campagne de guerre de l’information plus large visant à répandre des rumeurs démoralisantes aux partisans de Trump. Le but est de briser et d’affaiblir le soutien avant, pendant et après le jour des élections. Les partisans démoralisés et démotivés ne rendent pas public leur soutien à leur candidat. Ils ne font pas campagne dans les quartiers et ne placent pas de panneaux dans la cour. Ils ne votent pas. Ils ne font pas de bénévolat dans les bureaux de vote. Ils deviennent convaincus que leurs espoirs sont une cause perdue et hautement controversée. Ils ne souhaitent pas être qualifiés de racistes, de haineux ou identifiés à d’autres éléments marginaux. Ils restent à la maison et regardent la télévision.

Ayant été psychologiquement conditionnés (à travers la pandémie COVID-19) à se retirer, à isoler et à verrouiller – sur ordre en grande partie fiable de divers responsables gouvernementaux – de nombreux Américains réagiront aux tactiques « irrégulières » et extra-légales de la gauche . La gauche compte sur cette réaction pour réprimer la participation électorale et utiliser diverses formes de terreur, telles que les représailles et les menaces de représailles, contre ceux qui ne coopèrent pas ou qui contestent les accusations projetées détaillées dans le rapport TIP.

Le rapport TIP veille à ne pas se livrer à la sédition. Ils sont loin de prôner la violence – mais ce sont des agents politiques très pointus qui sont tous jurés, donc ils parlent dans le code. Voici quelques exemples à lire entre les lignes:

  • «En cas de crise, les événements se dérouleront rapidement et les dirigeants privés de sommeil seront invités à prendre rapidement des décisions conséquentes. Réfléchir maintenant aux options aidera à assurer de meilleures décisions»
  • « Les planificateurs doivent prendre au sérieux l’idée que cela pourrait bien être un combat de rue, pas une bataille juridique; les solutions technocratiques, les tribunaux et le fait que les élites respectent les normes ne sont pas la réponse ici. »
  • « Les groupes, coalitions et réseaux devraient se préparer maintenant à établir les communications nécessaires et à organiser l’infrastructure pour soutenir la mobilisation de masse. »
  • « Les responsables militaires et chargés de l’application des lois doivent être particulièrement attentifs à la possibilité que des acteurs partisans cherchent à manipuler ou à abuser de leurs pouvoirs coercitifs à des fins politiques inappropriées. »

Aucune déclaration ou recommandation particulière n’est complètement scandaleuse, sauf que, dans le contexte du rapport, elles soutiennent et amplifient des prémisses douteuses: les manifestants de gauche sont non violents tandis que les partisans de Trump sont des agents provocateurs; Trump abusera de l’armée et des forces de l’ordre pour conserver le pouvoir; le vote universel par correspondance ne présente aucun risque de fraude; trouver de nouveaux bulletins de vote des semaines après l’élection est tout à fait normal; les nouvelles critiques de Biden sont la désinformation; une victoire de Trump sera la preuve d’une ingérence étrangère, etc.

La campagne de conditionnement psychologique des électeurs, dans laquelle la répression et les représailles deviennent une prophétie auto-réalisatrice, ne sera pas examinée de près par les médias d’information ou les médias sociaux. Ceux qui soulèvent les menaces de violence et de représailles seront qualifiés de théoriciens du complot, marginalisés et renvoyés. Encore une fois, qui veut être traité de raciste, de haineux ou identifié à d’autres éléments marginaux?

Grâce à la publication du rapport TIP, la gauche américaine s’est imposée et son scénario malhonnête comme le récit officiel de l’élection présidentielle de 2020. Ils ont alerté l’aile militante de leur mouvement pour prendre le contrôle de la préparation du jour du scrutin, du jour du scrutin lui-même et jusqu’à la fin du jour de l’inauguration. C’est une campagne en soi – pas un événement. Vous comprenez maintenant comment la gauche entend perturber et voler l’élection présidentielle de 2020. Vous comprenez les techniques de guerre psychologique actuellement utilisées pour vous convaincre (à tort) d’être démoralisé et affaibli. Tu étais prévenu. La question pour vous et pour les autres opposants au plan TIP est la suivante: qu’allez-vous faire?

La Liberté …assassinée!

 

 

 

 

Nouvel Ordre Mondial:L’oncle Donald est «l’homme le plus dangereux du monde»

Ce mémoire époustouflant de la nièce du président révèle la dynamique tordue de la première famille américaine « gravement dysfonctionnelle ». [Le livre s’est vendu à 950 000 exemplaires le premier jour, établissant un record pour l’éditeur. – LD]

Comme l’Amérique, Trump prétend être unique, exceptionnel, une auto-création brillante. Ce livre de sanièce séparée démolit ce mythe. Les mémoires impitoyables de Mary Trump reprochent à leur famille de l’avoir créé: elle le voit comme sa mission patriotique de «faire tomber Donald», et elle le fait en montrant à quel point le self-made man ultime a toujours été dérivé et dépendant.
Trump a d’abord été financé par un père indulgent, qui l’a payé pour être un show-off oisif et a fièrement recueilli des rapports de tabloïds sales sur ses singeries; de nos jours, il est soutenu par des hommes plus durs et plus rusés tels que Vladimir Poutine et le sénateur Mitch McConnell, pour qui il est un pantin facilement manipulable.
Sleaze and greft, nous découvrons ici, sont le patrimoine génétique de Trump.
Son grand-père a fui l’Allemagne pour éviter le service militaire et a fait fortune dans des bordels au Canada.
Son père était un propriétaire qui se faisait passer pour un promoteur immobilier pour récolter des subventions gouvernementales pour des propriétés qui n’ont jamais été construites.
Voici une photo de Donald Trump en 1975 , 29 ans, avec son père à Brooklyn
La mère de Donald, née dans la misère en Écosse, est restée si modérément économe qu’elle s’habillait chaque semaine avec son étole de fourrure et conduisait sa Cadillac rose dans la banlieue de New York pour récupérer de la petite monnaie dans les buanderies à pièces des immeubles appartenant à la famille; ses tirelires étaient des boîtes de conserve vides qui contenaient autrefois du saindoux. Elle est restée émotionnellement absente, préoccupée par ses maux, tandis que son mari considérait leur progéniture mâle comme de simples  empreintes de lui-même, engendrés pour s’assurer que la famille gardait la main sur son butin.
Élevé dans un tel environnement, comment Donald Trump pourrait-il ne pas émerger comme «un petit homme mesquin et pathétique»? N’ayant jamais reçu d’affection, il se la donne dans des orgies de lissage et de vantardise; les partenaires de vie qu’il sélectionne en série semblent avoir été choisis dans un catalogue de vente par correspondance.
Sa première épouse, Ivana, est résumée par Mary comme «tout flash, arrogance et dépit», avec un «penchant pour le regifting» révélateur. Les cadeaux ritualisés d’Ivana sont décrits comme un exercice de mépris: un Noël, elle présente à la mère de Mary un luxueux sac à main contenant un Kleenex usagé.
Ivana Trump ,sa mère.
Melania est, pour Donald, un trophée, destiné à occuper une niche dans une vitrine. Présidant un repas de la fête des pères à Trump Tower, Melania ne prononce qu’un mot toute la soirée. Ce mot, exprimant au mieux une curiosité théorique sur le monde, est: «Vraiment?» 
Melania photographiée en 1996 , alors qu’elle faisait des séances photo nues pour Max Magazine, un magazine français pour les hommes affamés de sexe

 

Tout au long  du livre, l’oncle de Mary n’est pas le président Trump mais simplement Donald. Avec un manque de respect désinvolte, elle le prive même de l’article défini déployé par Ivana qui l’a toujours appelé «le Donald». Les diplômes professionnels de Mary en tant que psychologue [elle a un doctorat] lui permettent de cocher rapidement ce qu’elle appelle les «pathologies» de Donald, qui incluent le narcissisme, la sociopathie et les troubles d’apprentissage qui peuvent être dus à la douzaine de Coca light qu’il siphonne quotidiennement. Dans une condamnation finale surprenante, elle accuse que son «besoin lâche de « vengeance »» sur les opposants le rend, dans sa nonchalance à propos du coronavirus à New York, responsable de ce qu’elle appelle un «meurtre de masse».

L’érotomanie peut être ajoutée à la liste de ses vices.

Mary Trump,sa nièce


Une fois à la piscine de Mar-a-Lago, Donald a dégoûté Mary en mesurant ses seins: « Putain de merde, quels gros lolos » remarque-t-il en salivant. Ce méchant oncle est tout idiot, sans surmoi pour retenir les doigts qui démangent de tweeter, jouent avec un gros bouton nucléaire rouge, ou prêt à «attraper par la chatte» toute femelle qui passe à proximité .

Chaque fois que Donald tentait de gérer une entreprise réelle – une compagnie aérienne, un casino ou une université douteuse – le résultat était la faillite.

Les mensonges qu’il raconte compulsivement sont pour Mary un autre «mode d’auto-agrandissement», une couverture pour son inadéquation tremblante. Malheureusement stupide, il a même dû engager « une mère porteuse » pour passer les examens d’entrée à l’université « en son nom ».

Toute sa vie, il a «échoué vers le haut»; il compte sur le fait d’être «récompensé pour son mauvais comportement», ce qui s’est reproduit lorsque le Sénat a bloqué sa destitution.

Vu par Mary, il est un être humain sous-développé, qui est instantanément passé de la petite enfance pleurnicharde à la vieillesse louche, passant à côté de l’âge intermédiaire de la raison et de la responsabilité, dans lequel le reste d’entre nous passe le plus clair de son temps.



EN COMPLÉMENTAIRE
Sur la mort de la démocratie
par Lasha Darkmoon
Les Américains auront le président qu’ils méritent dans quatre mois, soit Biden avec ses nombreux défauts, soit Trump avec ses nombreux défauts.  
Bernard Shaw a un jour observé: «La démocratie est un dispositif qui garantit  que nous ne serons pas mieux gouvernés que nous le méritons.» C’est peut-être pour cela que nous avons Trump, car Trump est ce que l’Amérique mérite.
Pourquoi la «plus grande démocratie du monde» est incapable de trouver d’autres candidats à l’exception de ces deux charmeurs actuellement proposés, l’incorrigible Trump et l’abominable Biden, est une énigme qu’aucun n’a été capable de résoudre. Dans un pays comme l’Amérique, on n’a plus le droit de voter pour le «meilleur» candidat. On est obligé de choisir le moindre de deux maux. (En France aussi)
Platon  a manifestement beaucoup réfléchi à cette question. Et ce qu’il a dit, plus de 350 ans avant le Christ, a encore beaucoup de sens aujourd’hui. «Pour un État dans lequel la loi est respectée, la démocratie est la pire forme de gouvernement, mais si la loi n’est pas respectée, c’est la meilleure.»
Platon croyait que la meilleure forme de gouvernement était une aristocratie bénigne: «les Gardiens». En bref, une dictature d’oligarques éclairés, un petit groupe de vieillards sages qui n’avaient aucune envie de plumer leurs propres nids ou de promouvoir leurs propres intérêts.[1] Leur seul souci était de statuer avec équité et justice dans l’intérêt de la majorité. Les femmes et les imbéciles étaient censés faire ce qu’on leur disait et ne pas se mêler des affaires de l’État. Une sage décision, à mon humble avis, tout bien considéré.
Jamais une seule fois dans l’histoire, pour des raisons trop complexes à expliquer ici, il n’a été possible de réaliser cette utopie platonicienne. Le plus grand bonheur du plus grand nombre, le but politique de l’utilitarisme benthamite, s’est avéré irréalisable. Nous vivons dans un monde darwinien mangeur de chien dans lequel seuls les plus aptes survivent. L’État profond, par lequel nous sommes gouvernés aujourd’hui, incarne ce principe impitoyable. L’État profond n’est pas intéressé à rendre la vie facile pour les masses. Il s’agit uniquement d’une prédation réussie.
Nos dirigeants peuvent être décrits comme les agriculteurs populaires; et nous, le peuple, sommes leur bétail.
Pour passer aux choses sérieuses: qui remportera les élections de novembre, Trump ou Bidden? Contre toute attente, je prédis une victoire pour Trump. Les sondages d’opinion donnent à Biden une énorme avance: 50% contre 38% pour Trump . Cela n’a pas de sens. 
Parce que Trump, avec l’état profond derrière lui, trichera. 
Rappelez-vous que c’est l’homme qui s’est frayé un chemin à l’université en engageant quelqu’un d’autre pour passer ses examens d’entrée à sa place.
Trump remportera la victoire, je crois, selon le principe proposé si cyniquement par Staline«Ceux qui votent ne décident de rien. Ceux qui comptent les votes décident de tout. » [2]
La vidéo ci-dessous révèle aux Américains à quoi ressemble vraiment leur président. Je ne m’excuse pas de l’avoir téléchargée. Après tout, ce sont les propres mots de Trump.
Trump est le meilleur proposé, semble-t-il. Nous devons être reconnaissants d’avoir Trump à la barre, aussi épouvantable qu’il puisse paraître à première vue. Pensez simplement à quel point cela aurait été pire si, au lieu de Trump, nous avions eu Staline – ou Néron, Caligula, Ivan le Terrible ou Genghis Khan.
Les Américains auront Trump parce qu’il est ce qu’ils méritent . C’est un compliment, pas une insulte. Trump est un produit du Zeitgeist américain . Il pense comme l’Amérique, parle comme l’Amérique, mange comme l’Amérique, se pavane comme l’Amérique et, de toutes les manières, tient le miroir de l’Amérique. Il est l’Amérique personnifiée. 

Nouvel Ordre Mondial:Renverser la statue de la liberté

Au cours des dernières semaines, un certain nombre de statues publiques aux États-Unis (et un certain nombre en Europe) ont été défigurées et renversées. Les personnages historiques qui ont servi à définir l’Amérique sont en train d’être effacés de la mémoire publique. Des statues de Christophe Colomb (alias Cristobal Colón) ont été renversées à Boston, Richmond et St Paul. Des statues de Thomas Jefferson et de George Washington ont été renversées en Oregon. À New York, des fonctionnaires ont approuvé le déplacement d’une statue de Teddy Roosevelt, qui était un homme brillant, une figure très impressionnante et le président américain le plus populaire de tous les temps. Tous ces personnages historiques sont accusés de divers péchés, au premier rang desquels celui d’être des hommes blancs, et donc par définition racistes et misogynes – une accusation qui est, en soi, purement raciste et sexiste.

On prétend qu’il existe deux types de racisme/sexisme. Celui dont les hommes blancs sont accusés est une abomination, tandis que celui pratiqué par les victimes supposées du racisme/sexisme des hommes blancs est bon et approprié. Il est clair qu’il y a deux poids, deux mesures et l’application d’un double standard est automatiquement une injustice qui doit être réparée. C’est un principe qui, s’il est sacrifié au nom de l’opportunisme politique, conduit inévitablement à l’effondrement politique et à la guerre civile.
Ce qui est en jeu, c’est le principe de la démocratie – dans ce cas, la démocratie majoritaire, qui est celle à laquelle les États-Unis ont aspiré, dans laquelle la majorité des électeurs prennent des décisions contraignantes au nom de toute la population. Il y a aussi la démocratie de consensus, qui fonctionne pour de petits groupes (jusqu’au nombre de Dunbar cad 150 participants) mais pas pour les grandes nations. Et puis il y a la démocratie autoritaire, qui a été populaire auprès des fascistes, de Napoléon Bonaparte, de Joseph Staline et de divers autres dictateurs, et qui a fourni une feuille de vigne du consensus public (imposé) pour leur agression directe contre leurs propres populations. C’est la tendance actuelle aux États-Unis, où l’autoritarisme est le fait de l’establishment du parti Démocrate, des médias , des départements de sciences humaines des universités, des sociétés Internet telles que Facebook et Twitter, et de l’oligarchie financière qui finance et contrôle tout ce qui précède.
Admettre que la démocratie autoritaire n’est qu’un simple placage de propagande sur la réalité de l’autoritarisme élitiste, c’est aussi admettre que l’objectif est la démocratie majoritaire et que, dans une démocratie majoritaire, les minorités ont le choix entre l’intégration et l’exclusion. Pour les minorités qui n’aiment aucun de ces choix, il en existe deux autres : l’extermination et l’expulsion. Cela peut sembler dur, mais c’est ce que la démocratie majoritaire a de mieux à offrir.
La photo culte de la fin du film « La planète des Singes » annonce cet événement marquant de la fin de la liberté en Amérique!
Au cours de leur histoire, les États-Unis ont montré que l’intégration était tout à fait réalisable : les Anglais et les Écossais ont été intégrés automatiquement, puisqu’ils formaient la base ethnique et linguistique du super-ethnos américain. Les Européens du Nord se sont intégrés plus ou moins facilement, et la majorité des Américains blancs sont maintenant d’origine allemande. Les Irlandais, les Européens du Sud et les Européens de l’Est se sont intégrés après quelques difficultés. Diverses autres minorités ethniques ont également trouvé des moyens de s’intégrer.
Ce succès a été en grande partie annulé par les Afro-Américains, en particulier les descendants d’esclaves. À cet égard, les politiques publiques sont passées de l’esclavage à l’exclusion, en passant par la ségrégation, puis par des tentatives timides d’intégration et enfin par un cul-de-sac en matière de développement, où les femmes noires sont payées pour avoir des enfants en l’absence d’hommes noirs, alors que les hommes sont largement exclus de la vie économique et familiale. Ce processus a donné naissance à une sous-culture de ghetto vulgaire, dégénérée et violente, qui s’oppose aujourd’hui violemment à la majorité. Alors que d’autres groupes minoritaires revendiquant le statut de victime ont rejoint la mêlée, il a fourni une grande partie de la passion derrière le retrait des statues.
Il semble donc de plus en plus probable que, dans la plus épique des tentatives de profanation qui ait été faite jusqu’à présent, les portraits de quatre présidents américains gravés sur le Mont Rushmore dans les Black Hills du Dakota du Sud seront retirés. La zone est sacrée pour la tribu Lakota qui revendique cette terre comme la sienne. La sculpture en granit de 60 pieds de haut représentant quatre hommes blancs, oppresseurs colonialistes, est odieuse pour eux et pour tous ceux qui souhaitent faire cause commune avec eux. Leur enlèvement reflétera parfaitement l’explosion des bouddhas géants du VIe siècle de Bamiyan, en Afghanistan, par les Talibans en mars 2001, que le monde entier a condamné comme un acte de barbarie extrême.
Compte tenu de ces événements, une autre sculpture publique massive vient à l’esprit, qui devrait également être retirée. La Statue de la Liberté, qui était un cadeau de la France aux États-Unis et qui orne le port de New York depuis 1886, ne correspond manifestement plus aux valeurs actuellement défendues par les États-Unis et devrait donc être démantelée et renvoyée en France .
Exprimé dans les termes les plus simples possibles, le terme « liberté » incarne l’idée que l’on est libre d’agir à sa guise sans porter atteinte aux droits d’autrui. La liberté d’expression est à la base du concept de liberté, et pour exister réellement, elle doit englober la capacité d’insulter, d’offenser et d’embarrasser tous ceux qui, à son avis, méritent largement un tel traitement. Il y a souvent des limites aux propos incendiaires, et on peut souvent faire valoir que les personnes particulièrement vulnérables, comme les enfants, les personnes âgées et les malades mentaux, doivent être protégées contre les préjudices émotionnels, et que les propos incendiaires ou diffamatoires peuvent être correctement interdits. En dehors de ces cas exceptionnels, toute expression de fait ou d’opinion doit être autorisée ; dans le cas contraire, on peut dire que la Statue de la Liberté n’a plus de domicile dans le port de New York.
Le puissant emblème de la ville de New York
La Statue de la Liberté, en tant que symbole, peut peut-être être utilisée pour inverser ce glissement vers la démocratie autoritaire fasciste en faisant pression pour son retrait selon ce raisonnement. Pour vérifier si la liberté existe toujours aux États-Unis, essayez de porter un visage noir en public, d’utiliser le mot en « n » [négro, NdT] tout en étant blanc, d’utiliser le mot « sodomites » pour décrire les non-hétérosexuels, « uppity women » [prétentieuse, NdT] pour décrire les féministes, etc.
Toutes ces pratiques peuvent être considérées comme offensantes et de mauvais goût, ce qui en fait de véritables cas d’école pour la défense de la liberté. Peu de gens ont la capacité d’être doux, polis et inoffensifs tout en parvenant à exercer leur droit d’insulter, d’offenser et d’embarrasser toute personne qu’ils n’aiment pas. Il y a un choix à faire : soit les Américains doivent à nouveau permettre l’exercice de la liberté d’expression sous toutes ses formes, peu importe qui en est offensé, soit, en bonne conscience, ils doivent consentir à la suppression de la statue de la liberté parce qu’elle n’est plus conforme à leurs valeurs. Un peuple qui se contente de suivre attentivement les ordres pour choisir les mots à utiliser et les pensées à penser n’a pas besoin d’un tel symbole.
À moins que la liberté ne fasse un retour aux États-Unis, le monde sera forcé de conclure que l’expérience américaine est bel et bien terminée. Une blague qui fait le tour des Russes ces jours-ci est que l’agent du Kremlin Donny Trump a reçu deux mandats présidentiels pour détruire l’Amérique et a réussi à le faire en un seul. D’ailleurs, les Russes ne renversent aucune statue. Ci-dessous, une scène de rue dans une petite ville russe que j’ai prise plus tôt dans la journée. 
Nous sommes samedi, et les gens qui circulent étaient là pour assister à une cérémonie, qui vient de se terminer, au cours de laquelle des prix ont été remis aux enfants pour des œuvres d’art et des récitals de poésie à l’occasion de la Journée de la Russie. Notez que la statue de Lénine est recouverte d’une nouvelle couche de peinture. Peu importe que l’idéologie de Lénine ne soit plus du tout alignée sur les valeurs russes contemporaines ; il fait partie de l’histoire de la Russie, et l’histoire de la Russie – toute entière – est sacrée et inviolable. C’est ce qui fait que les Russes sont russes. Et si les Américains détruisent leur histoire… qui seront-ils alors ?
Dmitry Orlov

La nièce de Donald Trump trace un portrait dévastateur du président et de leur famille

Une vision du monde façonnée par le désir d’éviter la désapprobation d’un père despotique, une dynamique familiale marquée par la cupidité, les trahisons et les humiliations : voilà comment Mary Trump décrit l’enfance du président américain dans un livre à paraître qu’ont obtenu plusieurs médias américains.
Le moment semble avoir été choisi pour la sorti de ce livre assassin alors que les terroristes d’extrème gauche ,les Antifa financés par George Soros
Dans des mémoires de 240 pages intitulés Too Much and Never Enough: How My Family Created the World’s Most Dangerous Man (Trop et jamais assez : comment ma famille a créé l’homme le plus dangereux du monde), Mary Trump lève le voile sur la jeunesse de son célèbre oncle et dissèque les comportements destructeurs de sa famille dysfonctionnelle.
Titulaire d’un doctorat en psychologie clinique, elle le présente comme un être narcissique, répondant aux neuf critères de la définition clinique. Plus encore, elle dresse le portrait d’un individu aux multiples troubles psychologiques, inapte à exercer la fonction de président.
Elle dépeint un environnement familial toxique dans lequel les abus allégués du patriarche, Fred Trump, auraient privé le jeune Donald de la capacité de développer et de vivre tout le spectre des émotions humaines, et va jusqu’à qualifier les deux hommes de sociopathes.

En empêchant Donald de vivre pleinement ses propres sentiments et en rendant bon nombre d’entre eux inacceptables, Fred a perverti la perception du monde de son fils et a nui à sa capacité à y vivre.

Mary Trump
Selon elle, Donald Trump a, par ses comportements, soigneusement cherché à éviter le mépris qu’affichait son père pour son frère, de sept ans son aîné, et a réservé à ce dernier le même manque de respect.
Pour Fred Trump père, qui faisait de son fils éponyme un souffre-douleur qu’il ridiculisait, la sensibilité, les erreurs et les excuses étaient un signe de faiblesse, affirme Mary Trump.
Donald Trump, qui évalue les autres en termes monétaires et a appris à mentir pour convaincre les gens qu’il était meilleur qu’il ne l’était en réalité, a érigé la tricherie en mode de vie, poursuit-elle. Elle va jusqu’à affirmer qu’il faisait faire ses devoirs par l’une de ses sœurs et qu’il a payé quelqu’un pour passer à sa place l’examen d’admission des universités américaines.

L’ego de Donald a été et reste une barrière fragile et inadéquate entre lui et le monde réel, auquel, grâce à l’argent et au pouvoir de son père, il n’a jamais eu à faire face.

Mary Trump
Mary Trump se permet en outre de citer sa tante Maryanne Trump Barry, une juge fédérale à la retraite, qui aurait dit de son frère, lors du lancement de sa campagne présidentielle, qu’il était un clown. Selon sa nièce, l’ancienne magistrate aurait été particulièrement déconcertée par l’attrait que son frère, un homme sans principes, exerçait sur les évangélistes.
Un danger pour les États-Unis
La nièce du 45e président américain ne passe pas par quatre chemins pour décrire les risques que pose, selon elle, Donald Trump pour les États-Unis.
Si on lui accorde un second mandat, ce sera la fin de la démocratie américaine, argue-t-elle.
Donald, suivant l’exemple de mon grand-père et avec la complicité, le mutisme et l’inaction de ses frères et sœurs, a détruit mon père. Je ne peux pas le laisser détruire mon pays, écrit Mary Trump, dont le père, Fred, le frère aîné du président, a succombé à une crise cardiaque découlant de ses problèmes d’alcoolisme alors qu’elle-même n’était qu’une adolescente.
Dans une entrevue accordée au Washington Post l’an dernier, Donald Trump, qui n’a pas l’habitude de faire son mea-culpa, a exprimé des regrets sur les pressions que lui et son père ont exercées sur Fred Trump, qui aspirait à devenir pilote de ligne plutôt que de travailler dans l’entreprise familiale.
Démenti de la Maison-Blanche
Le livre « Too Much and Never Enough: How My Family Created the World’s Most Dangerous Man » (Trop et jamais assez : comment ma famille a créé l’homme le plus dangereux du monde) doit paraître le 14 juillet.
Je n’ai pas encore vu le livre, mais c’est un livre rempli de faussetés, a réagi dans un premier temps la porte-parole de la Maison-Blanche, Kayleigh McEnany, dénonçant des allégations ridicules, absurdes et n’ayant absolument aucun rapport avec la vérité.
Mary Trump et l’éditeur de son livre peuvent prétendre agir dans l’intérêt public, mais ce livre est clairement dans l’intérêt financier de l’auteur, a par la suite soutenu la porte-parole adjointe de la Maison-Blanche, Sarah Matthews, dans un communiqué. Dans sa brève déclaration, elle ajoute que le président dit avoir eu une relation chaleureuse avec son père aimant et dément spécifiquement les allégations sur le test d’admission.
L’éditeur Simon & Schuster a devancé à la semaine prochaine la publication du livre, dont la sortie était prévue à la fin du mois et qui s’est retrouvé au centre de poursuites visant à en empêcher la publication.
La semaine dernière, une cour d’appel a renversé l’ordre d’interdiction temporaire de parution visant la maison d’édition qu’avait obtenue d’un tribunal inférieur le frère cadet du président, Robert Trump.
Ce dernier allègue que Mary Trump a violé un accord de confidentialité lié à l’acceptation de l’héritage du patriarche qui avait lui aussi fait l’objet d’une bataille judiciaire. La décision sur cet enjeu pourrait être rendue cette semaine.
Les médias avaient déjà rapporté il y a quelques semaines que Mary Trump révélait dans son livre avoir fourni au New York Times les documents financiers au centre d’une vaste enquête menée par le quotidien en 2017. Le Times avait signalé à l’époque que Donald Trump avait reçu plus de 400 millions de dollars américains (en dollars d’aujourd’hui) provenant de l’empire immobilier de son père, dont une grande partie provenait d’actes d’évasion fiscale commis dans les années 1990.
En après-midi, le livre de Mary Trump trônait déjà en tête de la liste des meilleurs vendeurs d’Amazon, devant celui de John Bolton, The Room Where It Happened: A White House Memoir (La pièce où c’est arrivé, mémoires de la Maison-Blanche), lui aussi publié par la même maison d’édition.
Une énième description peu flatteuse
C’est la première fois qu’un parent de Donald Trump expose ainsi des secrets familiaux, mais plusieurs anciens membres de l’administration Trump ont déjà dressé un réquisitoire sévère contre leur ancien patron.
Dans un livre récent, l’ex-conseiller de la Maison-Blanche à la sécurité nationale John Bolton affirmait entre autres que Donald Trump confondait les intérêts américains avec ses intérêts personnels.
Dans la même veine, CNN a publié la semaine dernière un article avançant que d’anciens collaborateurs du président le percevaient comme une menace à la sécurité nationale, et, au début du mois, l’ex-secrétaire à la Défense James Mattis portait lui aussi un jugement sans appel sur son ancien patron dans une lettre ouverte.
Au cours des dernières années, certains ont préféré se confier à des journalistes comme Bob Woodward, dont les sources parlaient d’un homme inculte, colérique et paranoïaque.
Avant de le démolir davantage malgré tous ses torts,il faut se souvenir aussi de lui comme le premier président à ne pas déclencher une guerre dans son mandat …depuis fort longtemps!

Anarchie politique américaine:Appels à abattre la statue du roi Louis IX à St Louis

Au sommet d’une colline devant le musée d’art situé en plein cœur du plus grand parc de St Louis se dresse la statue de Saint Louis (Louis IX), roi de France. Le monument dédié à celui qui a donné son nom à cette ville de Missouri, le roi français Louis IX, représente le roi à cheval, portant une couronne, un long manteau et une épée dans sa main droite.

C’est la plus majestueuse statue des États-Unis,à mon avis!

Statue du roi Louis IX à St-Louis

 

Erigée il y a 116 ans à Forest Park, cette statue est l’un des monuments les plus connus de la ville.
Maintenant, un groupe d’activistes veut déboulonner la statue car Louis IX aurait persécuté les Juifs, supervisé le brûlage du Talmud [1], publié un ordre d’expulsion contre ses sujets juifs et mené deux armées de Croisade dans des offensives ratées en Afrique du Nord [Voir ANNEXE ci-dessous].
Alors que les statues des leaders confédérés et d’autres personnalités critiqués pour leurs actions racistes tombent à travers le pays, des activistes à St Louis veulent que la statue de Louis IX soit également retirée. Une pétition lancée la semaine dernière appelle la ville non seulement à retirer la statue, mais aussi à changer le nom de la ville.
De leur côté, un groupe de Catholiques locaux défend la statue et un groupe de manifestants a manifesté en soutien à la statue samedi.
« L’impossible devient possible » a déclaré Umar Lee, un activiste local qui a lancé la pétition et qui a également participé à une initiative pour faire retirer un monument confédéré situé juste à côté en 2017.
« Nous en sommes à un moment où nous réinventons les choses et aussi, nous avons un regard sévère sur l’histoire, a-t-il dit. Des monuments n’existent pas dans le passé. Ils existent dans le présent. Il n’est pas nécessaire d’avoir un monument glorifiant l’homme afin de reconnaître l’histoire. Le roi Louis IX restera dans les livres d’histoire quoi que nous fassions à St Louis ».
La pétition qualifie Louis d’ « antisémite enragé  » qui a inspiré l’Allemagne nazie, et l’appel pour le retrait de la statue a reçu des soutiens juifs.
La rabbin Susan Talve, qui a fondé la Central Reform Congregation de la ville, a déclaré que la retirer aiderait à faire avancer la question de la justice raciale aux États-Unis.
« Nous parlons de cette statue depuis longtemps, a-t-elle déclaré, ajoutant que le retrait de la statue serait « un élément très important pour reprendre possession de l’histoire, s’approprier les histoires qui ont créé le racisme institutionnalisé que nous essayons de déconstruire aujourd’hui. Si nous ne sommes pas honnêtes au sujet de notre histoire, nous ne serons jamais en mesure de démanteler les systèmes d’oppression sous lesquels nous vivons ».
Mais comme dans les autres villes où des activistes ont cherché à faire retirer des monuments, l’effort de retrait a entraîné une réaction de l’autre camp. Chaque soir, un groupe  de Catholiques se rassemble à proximité de la statue et récite le rosaire. L’une d’entre eux, Anna Kalinowski, a parlé de la statue comme d’un « remarquable travail artistique ». Elle a souligné qu’elle vénérait Louis IX comme « un homme qui voulait vraiment suivre Dieu et voulait vraiment faire ce qui était juste ». Elle a le sentiment que sa persécution des Juifs devrait être perçue dans son contexte historique.
« Il voulait que les gens deviennent Catholiques parce que l’Église catholique pense que quand vous êtes catholique, c’est la façon de servir totalement Dieu, a-t-elle déclaré. Il croyait en cela de tout son cœur et de toute son âme et il voulait cela pour le peuple juif. Est-ce que nous pensons maintenant que sa manière de faire les choses est mal ? Bien sûr. Je veux dire, chacun a le droit d’avoir son opinion à ce sujet, mais en même temps, nous ne pouvons pas être aussi catégoriques, nous devons être prudents et regarder le contexte historique de ses actions ».
Mais Talva a déclaré que même à l’époque du règne de Louis IX au 13e siècle, il y avait des gens qui pensaient qu’ordonner l’expulsion des Juifs, brûler leurs textes sacrés et mener les Croisades était mal.

NOTES

1-Le Talmud révélé…

 


ANNEXE

Saint Louis l’Africain

Le 24 juillet 1270, en l’an 668 de l’Hégire, le roi Louis IX prenait Carthage, alors modeste citadelle chargée de défendre la grande cité de « Thunes/Tunis ».

Par la seule conquête de Carthage, Saint Louis mériterait, comme Scipion son lointain prédécesseur, de porter le titre « d’Africain ». Mais le terme « Aufrique » évoque bien plus que Didon ou Hannibal : pour un chrétien d’Occident au xiii e siècle, il s’agit aussi et surtout de la terre de saint Augustin et des premiers conciles du christianisme . En posant à double reprise le pied sur la terre d’Afrique, en 1248 et en 1270, Saint Louis a lié son destin à celui du continent.

Saint Louis appartient en effet à l’histoire de l’Afrique autant par ses actes que par les fonctions et les usages de sa mémoire. Le caractère exceptionnel de sa captivité a créé une situation d’observation mutuelle et un espace d’échanges potentiels pour lesquels de nombreuses incertitudes factuelles subsistent cependant. Si le contact n’a pas suscité d’échanges d’objets ou de transferts culturels, il aura au moins été l’occasion d’un échange de récits : en abandonnant son corps en Afrique, Saint Louis y a aussi laissé une part de sa mémoire. Dans les environs de Carthage, on raconte, dans les années 1830 au plus tard, que le roi ne serait pas mort de la peste, mais, converti à l’Islam, aurait vécu comme un marabout, toujours vénéré jusqu’à aujourd’hui sous le nom de Sidi Bou Saïd. 

Ibn Khaldûn (732/1332-808/1406) consacre à Saint Louis et sa croisade tunisienne un chapitre peu commenté de la deuxième partie du Kitab al-Ibâr[Ibn Khaldûn, op. cit. : p. 359-369., qui illustre cependant la connexion qui a pu s’établir dans la mémoire arabe du rîdâfrans (prononciation en arabe de Rois des Francs) entre les boghaz du Nil et les collines de Carthage, entre la prison d’Ibn Luqmân et la mort à Sidi Bou Saïd.

Mais si l’on s’approche à nouveau du tombeau de Sidi Bou Saïd, un détail risque d’attirer l’attention du passant trop curieux :

« Un détail intéressant à signaler ici, est la fleur de lys décorant la clef de voûte de la baie surbaissée de l’entrée [du tombeau du marabout]. L’origine des armoiries reste encore obscure et l’on ne sait si les croisés les ont empruntés aux Arabes, ou ces derniers aux croisés. »

Effectivement présente dans l’héraldique et la symbolique islamique dès le xii e siècle , la fleur de lys est une effigie en partage, sans qu’il soit véritablement possible d’en distinguer l’origine . Le petit signe suspendu ne serait-il pas en revanche la clef de notre investigation ? Une fleur de lys sur le tombeau d’un marabout n’est-elle pas une sorte de détonateur de légendes ? C’est en tout cas une pierre dans le jardin du Père Delattre, si fier de trouver des boucles en bronze en forme de fleur de lys au pied de la colline de Carthage. Le cadavre de Louis IX repose-t-il aujourd’hui dans le village de Sidi Bou Saïd ?

Source : Saint Louis l’Africain, Histoire d’une mémoire inversée, par   Yann Potin