Constatation évidente que La troisième guerre mondiale approche rapidement

La guerre en Ukraine connaît-elle ses dernières convulsions avant que l’armée ukrainienne ne soit anéantie par la puissance de feu russe ? Le parti d’opposition à la guerre en Ukraine aux États-Unis, désormais incarné par Tucker Carlson et son nouveau copain Victor Orban de Hongrie, les Trumpistes et certains médias alternatifs, Scott Ritter etc. tous chantent la fin de la guerre en Ukraine est là, les Ukrainiens portent un toast, les Russes ne peuvent pas être vaincus. Les Ukrainiens n’ont même pas traversé la « zone de déformation », ils n’ont même pas atteint la première ligne de défense russe, etc.

Mais faisons une analyse sobre de la situation.

Il me semble que nous nous dirigeons directement vers la Troisième Guerre mondiale planifiée à l’avance. Juste comme ça.

À l’heure actuelle, les Ukrainiens sont utilisés par les Américains pour sonder et cartographier autant que possible les systèmes défensifs russes – l’emplacement et les capacités de toutes leurs capacités de télédétection, le temps de réponse et les contre-mesures, etc. Des éclaireurs sacrificiels sont envoyés pour tester les capacités défensives, d’abord sur la ligne de front, puis plus loin, à 300 km, puis à 700 km, et ainsi de suite, le tout planifié à l’avance par les bellicistes stratégiques américains. Cela ressemble beaucoup à ce qu’ils ont fait lors de la guerre du Golfe avec les défenses de Saddam Hussein. Il y a eu pendant plusieurs années une zone d’exclusion aérienne, puis une partition du Nord, où les Kurdes étaient utilisés par les États-Unis pour enquêter sur l’armée irakienne, puis au Sud, où les Koweïtiens étaient utilisés pour permettre à l’armée américaine de surveiller de près les capacités de Saddam. Nous sommes maintenant dans ce délai de pré-préparation.

Mais Biden, comiquement incompétent et dément, peut-il conduire l’Occident dans une Troisième Guerre mondiale ? CERTAINEMENT PAS!

Réfléchissons-y à nouveau. La Seconde Guerre mondiale a commencé vers 1932 avec l’accession d’Hitler au poste de chancelier de l’Allemagne, sous la direction du vieux et décrépit président allemand, Hindenburg. Il a fallu encore près de 10 ans de mobilisation industrielle allemande, puis de mobilisation populaire, de propagande de guerre, de transfert secret de technologie militaire fournie par le côté américain (comme la technologie radar) et ainsi de suite avant que tout le monde comprenne que tout cela signifiait la guerre.

Le rôle de Biden aujourd’hui est le même que celui d’Hindenburg. Ce n’est qu’un leurre, un clown trompeur, pas un adversaire sérieux.

Mais pendant ce temps, l’Axe occidental se forme et se construit de minute en minute. Oh, Orban nous l’assure, la Russie est un peuple de 145 millions d’habitants, uni autour de l’âme de la Mère Russie, ils ne sont pas émus par une propagande illusoire comme la liberté ou la démocratie . Leur objectif central est la sécurité de leur peuple, la défense de leurs terres ancestrales, la centralité de leur nation. Ajoutez à cela 1,4 milliard de Chinois, plus certains peuples d’Asie centrale, l’Iran, etc.

Les États-Unis peuvent-ils rêver de vaincre un tel colosse, près de 2 milliards de personnes armées jusqu’aux dents ?

Oui, ils peuvent fantasmer, et le résultat n’est pas joué d’avance. Oui, l’option nucléaire est un facteur de complication possible, mais faisons quelques calculs supplémentaires.

Près de 350 millions d’Américains, 450 millions d’Européens, 70 à 80 millions de Canadiens et d’Australiens, plus 100 millions de Japonais, 50 millions de Sud-Coréens – cela représente déjà une armée d’un milliard. Et ce sont des nations de premier ordre, contrairement à leurs challengers « en développement », encore majoritairement ruraux. Il existe quelques indécis comme les 115 millions de Philippins, les 275 millions d’Indonésiens, les Centraméricains, etc. Et qu’en est-il des Indiens qui, seuls, peuvent rivaliser en nombre avec les Chinois ? Et ils sont assidûment travaillés par l’Axe occidental.

En rappel:George W Bush et ses rabbins chéris!

En ce qui concerne les progrès de la technologie de guerre, il y a beaucoup à découvrir par le public et reconnu par les développeurs d’armes secrètes. Des avancées de tous côtés sont réalisées presque quotidiennement.

Sur le théâtre politique, Trump est tout autant un charlatan que Biden est un politicien véreux, un bon matériau pour distraire le public. Aujourd’hui, le candidat Trump est contre la guerre en Ukraine et contre les masques et les vaccins obligatoires, censés être employés par les Bidens pour bloquer les chances de réélection de Trump. Mais rappelez-vous, c’est Trump, le président, qui a introduit les confinements et les masques, qui a nommé le bouc de Judas, Fauci, qui a dirigé le développement d’un vaccin « à vitesse fulgurante », etc. C’est Trump qui a introduit les premières sanctions contre la Russie, puis contre la Chine. . Biden ou Trump, cela ne fait aucune différence. Peut-être que Trump est préférable uniquement pour Israël.

Alors, quelle est l’alternative pour l’Occident, sinon la guerre ? L’Occident est en faillite, la vitesse de l’industrialisation en dehors de l’Occident est époustouflante. La Chine vient d’annoncer une avancée majeure dans la conception et la production du chipset 5G, dernier bastion de la domination technologique américaine. Dans la course à l’espace, même l’Inde a devancé les États-Unis et, avec les autres grandes puissances, la Russie et la Chine, ils disparaissent rapidement.

Alors, de quelles alternatives l’Occident dispose-t-il pour protéger son magnifique jardin ? Au cours des deux guerres mondiales précédentes, il a manœuvré pour mettre le feu au reste du monde et le faire s’autodétruire. C’est quelque chose qui pourrait changer la donne pour l’Occident. Pas de guerre? Mort avec certitude. Encore pire. Tôt ou tard, des tribunaux se profilent. Mais une guerre dévastatrice crée un nouvel environnement au niveau du sol et ceux qui sont les maîtres pyromanes peuvent espérer s’en sortir et aller de l’avant.

Cela ne veut pas dire que la prochaine guerre ressemblera à un jeu vidéo du genre de la guerre du Golfe. Non, pas du tout. Cela ne signifie pas que l’Occident soit le vainqueur assuré, ni même le favori. — Mais qui a les meilleures chances dans une telle guerre ? On veut savoir. Mais c’est précisément l’affaire de la guerre que de déterminer cela. Une guerre n’est possible que lorsque les deux camps sont également forts, ou du moins lorsque chaque camp croit pouvoir gagner. Et parfois, seul le pur hasard peut faire pencher la balance en sa faveur, comme dans le cas du gigantesque typhon qui a sauvé la marine japonaise de la défaite face à l’invasion mongole en 1281.

Cela signifie simplement que l’Occident n’a pas d’autre choix qu’entre une mort lente et une guerre totale. Le temps d’un compromis négocié est révolu. La longue série historique de crimes et de mensonges ne peut être gardée secrète.

Mais même les Africains peuvent voir clair et exiger justice. L’atterrissage sur la Lune, le 11 septembre, le génocide du Covid sont des mensonges, et les crimes – les coups d’État, les atrocités coloniales et les crimes de plusieurs siècles contre la majeure partie de l’humanité – figurent en bonne place à l’ordre du jour d’un éventuel tribunal à venir.

Il n’y a pas si longtemps, le dilemme entre guerre et compromis était essentiellement théorique. Mais nous sommes désormais arrivés à un carrefour historique, où il ne s’agit plus d’un débat académique. Les préparatifs de guerre sont très avancés et l’échéance est proche.

Et il semble que nous allons nous lancer dans une guerre totale. Bientôt.

 


EN COMPLÉMENTAIRE HISTORIQUE

 

 

Invasions mongoles du Japon 5 – 1281, le souffle des esprits

 

Au premier mois lunaire de l’année 1281, les marins s’agitent tout au long de la côte sud de la Chine. Quelque 600 navires quittent les ports, lourdement armés et chargés de soldats. Peu de temps après, ce ne sont pas moins de 900 navires qui vont cingler vers le Japon depuis les côtes coréennes. Le premier débarquement gigantesque de l’histoire de l’Homme, voulu par Kubilaï Khan empereur de Mongolie et de toute la Chine, est engagé. Un seul objectif : la soumission totale du Japon.

 

Le 22 mai 1281, l’armada de l’Est part de la Corée avec quelque 100.000 hommes. Cela prit considérablement plus de temps qu’en 1274 pour atteindre le détroit de Tsushima. La raison en est probablement le gigantisme de la flotte qui comportait 900 navires de toutes sortes. De plus, si les Coréens étaient bons navigateurs, ce n’était pas le cas des Mongols. Il fallut attendre le 9 juin pour atteindre Tsushima et le 14 juin pour Iki. Sur Tsushima, So Moriaki marchait dans les pas de son père présent lors de l’invasion précédente et tenta de mener la vie dure à l’envahisseur. Mais ses 300 guerriers ne firent guère le poids face à l’énorme machine de guerre mongole et tous furent tués, même après s’être enfuis et cachés dans la montagne.

Une désobéissance désastreuse

Une fois solidement installée sur l’île de Iki, la flotte devait atteindre l’armada du Sud qui était attendue aux alentours du 2 juillet. Mais quel que soit le niveau de préparation d’une guerre, l’élément humain reste toujours la variable la plus imprévisible. Et c’est exactement ce qui se passa. Pour une raison encore inconnue, les généraux mongols, sûrs de leur force, choisirent de tirer toute la gloire pour eux seuls et n’obéirent pas aux ordres du grand Khan. Ils attaquèrent seuls le Japon. C’était une décision extraordinaire, car les Mongols étaient parfaitement au courant du renforcement de la baie d’Hakkata et de la construction du mur défensif. C’est la raison précise pour laquelle Kubilaï Khan avait insisté en personne pour qu’une force écrasante débarque d’un seul coup. C’est donc avec une semaine d’avance sur le plan d’invasion (le 23 juin), que le débarquement commença, en dépit de la parole de leur Khan.

Mais la seconde décision étonnante fut le choix de diviser les troupes pour débarquer en différents points. 300 navires furent envoyés à travers le détroit de Shimonoseki, à la pointe de l’île d’Honshu, dans la province de Nagato. L’idée n’était pas mauvaise en soi, mais avant même d’avoir pu dire ouf, les samouraïs de la région avaient repoussé les Mongols à la mer. Dans la baie d’Hakkata, le gros des troupes avait les plus grandes difficultés à y installer une tête de pont. Il faut dire que les Japonais étaient cette fois bien préparés. Non seulement le mur joua parfaitement le rôle escompté pour protéger les troupes nippones et gêner les avancées mongoles, mais la solidarité entre grands samouraïs fut au rendez-vous. Dès que l’alerte retentit, des troupes nombreuses vinrent de l’intérieure des terres pour renforcer les défenses côtières.

débarquement baie hakata

Incapables de mettre un pied sur la plage, les Mongols se replièrent sur les deux îlots situés dans la baie, ceux de Shiga et Noko. Ils pensaient pouvoir souffler à la fin du premier jour du conflit, mais l’îlot de Shiga était connecté à la terre par une bande de sable qui se découvrait à marée basse. Les Japonais en profitèrent pour attaquer de nuit et harceler les forces mongoles qui se croyaient à l’abri. L’îlot de Noko et la flotte qui était à l’ancre n’étaient pas mieux lotis. Les samouraïs mirent à l’eau des dizaines de petits bateaux à fond plats, chargés d’archers et de sabreurs désireux de mettre une pression constante sur l’ennemi. Il existe même des témoignages parlant de samouraïs nageant avec leur armure pour prendre d’assaut un navire plus isolé que les autres. Il faut dire que le système de récompense des Japonais se faisait au nombre de têtes décapitées qu’ils pouvaient ramener. Puisque les Mongols n’étaient pas sur les plages, il fallait aller les chercher sur leurs bateaux. Le moins qu’on puisse dire est que cette fois-ci, la peur avait changé de camp.

La bataille de Takashima

Au début du 7e mois lunaire la grande armada du sud de la Chine arriva finalement et longue et complexe tâche d’associer les deux flottes autour de l’île d’Iki pu démarrer. Il fallut un mois pour cela. Au lieu de revenir se frotter au mur de la baie d’Hakata, trop bien défendu malgré l’infériorité numérique des samouraïs, les Mongols décidèrent de descendre la côte plus à l’ouest vers la baie d’Imari, et d’attaquer l’île de Takashima le 11 août 1281.

imari bay

Le lendemain la réplique japonaise ne se fit pas attendre et le même scénario des petits bateaux à fond plat se répéta, mais à une échelle plus grande encore. La réaction des Mongols fut d’attacher leurs navires les uns aux autres à l’aide de chaînes, afin de former comme une muraille flottante et d’éviter toute attaque sur les flancs. Par ailleurs, le souvenir cuisant de la tempête de 1274 leur avait mis en tête que cette manœuvre permettrait de résister à tous les coups de vent. Quoi qu’il en soit, la bataille dura toute la nuit du 12 au 13 août et à l’aube, les Japonais battirent en retraite. Le surnombre du rouleau compresseur mongol avait l’avantage. Le débarquement prévu pour le lendemain ne laissait aucun doute sur son issu : c’était la fin de la résistance japonaise dès lors que l’armée du grand Khan aurait mis pied sur terre.

Le vent divin

Dans toutes les mémoires, envahisseurs comme défenseurs, jamais on n’avait vu une telle tempête se lever depuis des siècles. Avant même que le vent se lève, le moral des troupes mongoles était déjà assez bas. L’inactivité, l’incapacité à débarquer complètement, la vie sur des bateaux (pour des cavaliers rien de pire) et l’odeur pestilentielle des bêtes et des hommes sur des espaces confinés avaient miné la détermination. Or, les généraux savaient que chaque heure de retard les rapprochait inéluctablement de la saison des typhons.

Dans le Yuan Shi (le classique de la dynastie Yuan – les Mongols) on peut lire d’autres explications davantage en accord avec l’esprit de l’époque :

« Quand ils virent les ombres de collines dansantes parmi les vagues, ils suspectèrent que des rochers se cachaient sous la surface près de l’entrée de la baie, de telle manière qu’ils ne purent s’approcher. Puis ils virent un grand serpent à la surface de l’eau, et l’eau sentit le souffre. Il y eut maintes choses bizarres et étranges encore, aussi bien que le moral des troupes fût grandement affecté ».

Puis le vent se leva. Alors que les navires étaient attachés les uns aux autres de l’île de Takashima jusqu’à la terre ferme vers Matsuura, un typhon gigantesque souleva l’océan. Les bateaux se frottèrent les uns contre les autres, les hommes furent emportés comme des fétus de paille, les navires proches des côtés se fracassèrent ou échouèrent sur les plages. Ceux qui étaient en mer coupèrent leur ancre pour tenter de fuir vers le large.

 

Il y encore débat entre historiens sur le nombre de morts que ce typhon provoqua. Seule la source coréenne est fiable, car le royaume avait enregistré le départ de 26 989 hommes. 7592 ne revirent jamais, soit environ 30%. Mais comme dit plus haut, les Coréens étaient de loin les meilleurs marins du lot. Du côté sino-mongol, les sources évoquent une perte qui se situerait entre 60% et 90% des hommes. En tout état de cause, le résultat fut catastrophique et définitif.

Ce qui est plus parlant encore est la réaction des généraux. Ceux qui avaient survécu au vent des esprits (kamikaze), se réunirent au 5e jour et filèrent droit vers la Chine, laissant derrière eux des milliers, voire des dizaines de milliers d’hommes flottant sur des bouts de bois, sans chercher à les récupérer et les sauver des eaux. Les Japonais qui ressortirent immédiatement de leurs abris après le typhon massacrèrent tous les rescapés. Il est dit toutefois que les Chinois Song furent épargnés, mais sans certitude historique. Seul le témoignage d’un chinois parle en ce sens :

« Premier jour : un typhon coula la flotte

Cinquième jour : Le général Fan Wenhu et les autres prirent les meilleurs navires encore en état et filèrent, laissant au moins 100.000 hommes dans la montagne (sur Takashima). Après 3 jours sans vivres ni commandement, les hommes choisirent le capitaine Chang qu’ils appelèrent Gouverneur Chang. Sous sa direction, nous coupâmes les arbres pour fabriquer des bateaux afin de repartir chez nous.

Septième jour : les Japonais nous ont attaqués et quasiment annihilés. Les quelques dizaines de milliers restants furent capturés.

Neuvième jour : arrivés dans la baie d’Hakata, les Japonais tuèrent tous les Mongols, les Coréens et les Hans (chinois du nord du pays). Ils épargnèrent la vie de ceux qui avaient été récemment soumis à l’empire mongol en disant qu’ils étaient les fils des Tang (dynastie qui avait de bonnes relations avec le Japon). Ils en firent des esclaves à la place. Moi, Chang, je fus l’un d’entre eux. »

 

chasse à l'homme après typhon

Épilogue

Si les pêcheurs remontèrent des débris et des pièces archéologiques tout au long des siècles dans leurs filets, ce n’est qu’en 1981 qu’une campagne systématique et scientifique de fouilles fut menée avec grands renforts de publicité. Les habitants des baies d’Imari et d’Hakata sortirent tout ce qu’ils possédaient chez eux, sans se douter de la valeur des objets, comme le sceau d’un général ou même une statue de bouddha saucée des eaux au 18e siècle. Ces fouilles permirent de comprendre la force du kamikaze, car les débris étaient très largement dispersés sur des kilomètres carrés. On retrouva aussi des morceaux de coques avec des planches reclouées à la hâte. Sans hésitation, le typhon sauva le destin de la nation nippone.

fouilles archéologiques baie imari

Mais d’autres raisons peuvent expliquer l’échec de l’entreprise de Kubilaï Khan. L’immense empire des Yuan (nom donné à la dynastie mongole en Chine) était faible sur ses frontières. C’étaient des cavaliers de la steppe et l’eau n’était pas leur élément. Ils durent s’en remettre entièrement à l’expertise des peuples nouvellement conquis qui n’avaient pas forcément envie d’aider leurs nouveaux maîtres. Cette dernière hypothèse est celle qui a le plus de poids, car les troupes chinoises et mongoles du Sud qui s’étaient combattues peu de temps auparavant, étaient aguerries à la guerre et auraient pu faire nettement mieux, mais elles n’avaient aucune confiance l’une envers l’autre.

Le point de vue japonais est bien entendu très différent. Le succès de la défense en revient avant tout aux samouraïs et à leur bravoure. Il est indéniable qu’à tout moment ils étaient fortement en infériorité numérique. Et pourtant, ils réussirent à résister. Le mur d’Hakata fut une dépense judicieuse pour la sauvegarde du pays. La réactivité des provinces intérieures est l’autre explication avancée par les Japonais. En effet, la nouvelle de la victoire mit une semaine à arriver à Kamakura. À ce moment-là, le bakufu pensait que Kyushu était tombée. Le neveu de Hojo Tokimune était en train d’installer une seconde ligne de défense dans la province d’Harima, ce qui montre que tout le pays était mobilisé sous les ordres du Shogun.

Mais la conséquence la plus visible encore aujourd’hui et à travers toute l’histoire du Japon (notamment l’épisode de la 2nde guerre mondiale) fut la croyance renforcée dans les kamis protecteurs de l’archipel. L’empereur lui-même remercia les esprits et un simple sujet de Sa Majesté laissa ces notes historiques :

« Les yeux du Divin sont clairs comme le cristal. Que pourrait-il être plus heureux que cela dans le monde ? Car ceci n’est pas un phénomène courant. Bien que nous vivons dans des âges de ténèbres, ceci est néanmoins incroyablement inspirant. Et désormais nous devons nous dévouer à l’adoration des dieux et des bouddhas ».

Mais le plus curieux dans cette histoire fut le sort du bakufu de Kamakura. Lors de l’invasion, le pays était dans une bataille continue entre les supporters de l’empereur et ceux du shogun Hojo Tokimune. La popularité du régent fut immense après les événements, mais il mourut prématurément 3 ans plus tard. Aussitôt le pays se divisa de plus en plus, car les régions qui résistèrent aux Mongols étaient les moins soumises au pouvoir du shogun. C’étaient donc la preuve que sans le shogunat, on pouvait tout de même battre une grande armée. Cette idée fit rapidement son chemin et en 1333 les samouraïs qui voulaient le retour de l’empereur (Go Daigo) au pouvoir rasèrent la ville de Kamakura. Les derniers membres du clan Hojo firent un acte de seppuku massif devant une cave bouddhiste, devant un temple qui s’appelait ironiquement « le temple de la victoire ».

Une autre page venait de commencer, mais ça, c’est une autre histoire.

 

Note de Michel Duchaine:L’histoire est un continuel apprentissage de la Vie,même devant la plus horrible des  morts!

 

 

 

 

 

 

 

 

Film important du mois:the sound of Freedom…intégral

Ce film va problement  faire réveiller beaucoup de gens sur le problème mondial du traffic d’enfants sur la base d’un réseau  de pédophiles mondial de l’élite.

Je me permets de vous  le présenterr sur notre site.

D’une part,vous noterez la publicité affreuse d’un site  de jeux en ligne qui cherche = faire du fric sur le dos de ce film…négligez les ,s’il-vous-plait!

 

 

 

 

 

La Gigantesque Arnaque du COVID 19:Vaccination antiCovid à répétition Une étude importante avec les IgG4 en vedette

C’est une information très importante : la vaccination antiCovid, surtout quand elle est répétée (rappels et boosters), suscite la production d’immunoglobulines G de type 4 (IgG4).

C’est bien démontrée.

Une revue de cette problématique est publiée en Mai 2023 dans la revue Vaccines dédiée en général à la célébration de la vaccination tout azimut.

Il est étonnant que ça ne soit pas censuré parce que c’est très important et confirme beaucoup de nos observations récentes.

Donc, ce n’est pas anodin.

Pourquoi ?

Explications.

1) Une grande partie de la «méchanceté» du virus est due à une protéine membranaire, la Protéine Spike (ou Protéine S). Elle est d’ailleurs la cible désignée des soignants (et des industriels) via des vaccins ou des anticorps monoclonaux, tous visant une activité anti-Protéine S ;

2) les vaccins antiCovid proposent de susciter la production d’anticorps anti-Protéine S en suscitant – paradoxe assez extraordinaire – la production de Protéine S par nos propres cellules. Dit autrement, on nous demande de sécréter le poison (la Protéine S) à l’origine de certaines complications (notamment cardiovasculaires) de l’infection ;

3) mais les vaccins antiCovid (surtout quand les injections sont répétées) suscitent chez certains (outre la production d’IgG1 anti-Protéine S) une production importante d’IgG4 – immunoglobulines G de type 4, dit simplement – qui induisent une tolérance inattendue à la Protéine S du virus Covi-19 [c’est le titre de l’article ci-dessus] et ainsi autoriserait des réinfections par le virus et évidemment des complications (notamment cardiovasculaires) provoquées par la Protéine S.

4) ces auteurs citent de nombreux travaux montrant que la surproduction d’IgG4 et la haute concentration d’antigènes (ici la Protéine S vaccinale) peuvent aussi engendrer des maladies autoimmunes (notamment des myocardites) et promouvoir la progression de certains cancers chez des sujets prédisposés (ci-dessous).

Je pense inutile de traduire ce paragraphe en français, il dit ce que j’ai dit au-dessus.

Nous avons maintenant sous les yeux le mécanisme physiopathologique qui explique de nombreuses questions sans réponse.

Ce qui nous amène au 5ème point.

5) ces complications (myocardites et progression rapide de cancers, notamment, et aussi d’autres) ont été réellement décrites après vaccination antiCovid mais sont systématiquement minimisées par les industriels, les autorités sanitaires et les soignants qui (non alertés) ne les déclarent pas.

6) au-delà du doute, il est clair que le rapport bénéfice/risque de la vaccination antiCovid n’est pas favorable ! Ces vaccins n’empêchent pas la transmission du virus et ne diminuent pas la fréquence des cas graves, c’est désormais une certitude !

7) combien de temps faudra-t-il aux experts connivents (de l’industrie), aux autorités sanitaires et aux gouvernants pour admettre ces évidences ?

 


EN COMPLÉMENTAIRE

La championne de ju-jitsu Sandra Badie est morte à l’âge de 31 ans…COÏNCIDENCE ?

Stupeur et tristesse ce vendredi après l’annonce de la disparition de Sandra Badie, multi-médaillée nationale et mondiale en ju-jitsu, licenciée au club de Soumoulou (Pyrénées-Atlantiques). La fédération indique qu’elle a fait un arrêt cardiaque. Elle avait 31 ans.

Encore une victime du réchauffement climatique, encore une sportive de haut niveau, multi-médaillée, qui décède d’un arrêt cardiaque. Décidément, bientôt les médecins vont proscrire le sport car trop dangereux pour le muscle cardiaque. La cause de ce décès est connue de tous mais il ne faut pas le dire, il faut le cacher comme pour beaucoup d’autres victimes des effets indésirables de l’ARN messager (Jamie Foxx…). Puisse-t-elle reposer en paix.

Le club de judo de Soumoulou pleure ce vendredi une de ses plus éminentes représentantes.

Sandra Badie, 31 ans, multi-médaillée nationale et mondiale de ju-jitsu est morte. L’annonce, douloureuse, a été faite ce vendredi matin via les réseaux sociaux de ses proches et du club de Soumoulou (Pyrénées-Atlantiques) où elle était licenciée. Dans un autre message, la fédération française explique qu’elle a fait un arrêt cardiaque dans la nuit. La championne béarnaise préparait les prochains championnats du monde de la discipline qui devaient se tenir à la mi-juillet.


DEUXIÈME COMPLÉMENTAIRE

 

Ivermectine : On continue de persécuter ceux qui guérissent

Encore mi 2023, les autorités continuent dans la ligne du président : emmerder les français. Toutes les semaines je reçois des demandes d’aide pour des dossiers de poursuites de médecins ayant prescrit de l’ivermectine. Toute la France est touchée, certainement en raison de consignes nationales. Le dernier, cette semaine, un médecin avec plainte du Conseil de l’Ordre, pour 18 prescriptions de janvier 2021 à février 2022. La belle affaire ! 18 prescriptions hors AMM sans danger en 14 mois, alors que l’Ordre reconnaît lui-même que 20% de toutes les prescriptions sont hors AMM. Au pays de l’Égalité, il semble que la discrimination et l’inégalité soient de règle. En effet, selon les départements où vous exercez, les Caisses ou les ARS poursuivent ou pas, les Ordres donnent suite ou pas.

Si le premier rôle du médecin est de soigner, si possible de guérir, dans toutes les plaintes, les poursuites sont pour avoir soigné, mais surtout jamais, jamais le résultat n’est évoqué. Dans aucun dossier il n’est évoqué un quelconque incident ou accident. On n’est pas dans le contrôle médical, mais dans le contrôle politique. On ne peut même pas dire que ce sont des rappels à la loi, car il n’existe aucun texte interdisant de prescrire de l’ivermectine dans le cadre du covid. Juste pour emm…

 

Certains confrères sont perdus et se débrouillent mal, avec des avocats mal placés pour connaître le dossier. Alors pour tous et ne pas avoir à intervenir trop tard, voici un dossier type, avec toutes les pièces utiles à la défense. Des faits, rien que des faits, indiscutables, vérifiables. Et pour ceux qui ne sont pas concernés, cela fait un petit rappel d’une vérité que l’on veut enterrer. Également utile pour l’éducation des septiques.

Il faut toujours argumenter en ne s’intéressant qu’aux textes législatifs

Le magistrat qui préside les instances disciplinaires reviendra toujours à ces textes : sont-ils respectés ou non, il n’y a que cela qui compte. Le devoir, l’éthique et le Serment d’Hippocrate ne sont pas des lois. Je signale au passage que le Code de Déontologie n’existe plus, c’est une copie du Code de la Santé publique recopié, et à la discrétion des fonctionnaires qui publient ces textes, pas de l’Ordre. Ses propositions peuvent être refusées, tout comme ils peuvent sortir des textes qui ne plaisent pas à l’Ordre. J’ai connu cela en matière de retraite, toutes les décisions de nos Conseils d’Administration sont sans objet si non validées par ces fonctionnaires, qui ont plus de pouvoir que les élus, et ils peuvent sortir tous les textes qu’ils veulent sans notre avis. Et quand vous voyez un décret avec mentionné «vu l’avis de tel organisme», l’avis négatif n’est jamais mentionné.

DOSSIER DE DÉFENSE TYPE À PERSONNALISER

La CPAM et le CDOM poursuivent le Dr X pour manquement aux articles R 4127-8, 12, 32 et 40 du Code de déontologie, alors que la CPAM et le CDOM ne respectent pas eux-mêmes les fondamentaux de ce code, notamment en ce qui concernent l’article 8. Quant au «risque injustifié», manifestement la CPAM et le CDOM ne connaissent pas le dossier, il serait souhaitable qu’ils apportent avant la preuve de ce qu’ils avancent.

Article 8 :

En ce qui concerne l’Article 8, il établit clairement la liberté de prescription, base de l’attaque de la CPAM et du CDOM. «Le médecin est libre de ses prescriptions qui seront celles qu’il estime les plus appropriées en la circonstance». Ces prescriptions relèvent du choix et de la responsabilité du médecin. Certes il y a des règles, qui ici sont parfaitement respectées : la présomption d’efficacité, sur nombre d’études, et l’absence de risques.

La CPAM et le CDOM disent «il ne faut pas traiter, c’est illégal», pourtant, même l’ANSM a dit à plusieurs reprises «vous pouvez traiter» : pièce 1, dans son mémoire pour le Conseil d’État, page 6, et pièce 2, dans une réponse à un avocat qui demandait où en était le dossier d’AMM. Non seulement l’ANSM a insisté sur cette possibilité de prescrire, mais elle a même souligné ce point dans son mémoire, pour insister. Le Dr X doit-il être condamné pour avoir suivi l’ANSM ?

Cet article 8 précise bien que le praticien a le libre choix de ce qu’il estime le plus approprié. Il ne peut être condamné pour cela, d’autant plus qu’aucun texte n’interdit cette prescription. 

En ce qui concerne les prescriptions hors AMM signalons que 20% des prescriptions sont hors AMM (pièce 3), et nous demandons à l’accusation si elle traite tous les médecins de la même manière, pourquoi cette prescription et pas les autres, en application de quel texte, et quelle est la raison qui vaut au Dr X un traitement particulier et discriminatoire, d’autant plus que cette molécule a une présomption d’efficacité supérieure aux autres traitement dans cette affection, avec moins de risques, et que l’ANSM écrit que le Dr X peut effectuer cette prescription hors AMM dans cette indication.

Article 12 :

En ce qui concerne l’Article 12 cité, «Le médecin doit apporter son concours à l’action entreprise par les autorités compétentes», il serait bon de préciser les reproches. En quoi le Dr X aurait entravé l’action du gouvernement ? Le gouvernement n’a proposé aucun traitement, le doliprane n’en est pas un, le vaccin, c’est autre chose, c’est du préventif, pour empêcher une infection, mais ce n’est pas un traitement curatif lorsqu’on attrape cette infection. L’un n’empêche pas l’autre et les patients atteints de covid, vaccinés ou non, ont droit à un traitement, aucun texte n’interdit à ce jour de traiter. Et si la délivrance de l’hydroxychloroquine a été suspendue quelques mois, cela n’a pas été le cas pour l’ivermectine.

Article 32 :

En ce qui concerne les données de la science des articles 8 et 32, il y a actuellement 98 publications concernant l’ivermectine, toutes consultables sur https://c19ivm.org. 90% de ces publications montrent une présomption d’efficacité, les 10% restants font de même, mais déclarés «statistiquement non significatif», en raison de sous-dosages et surtout de traitements trop tardifs, en traitement hospitalier, ce qui n’est pas l’indication. Aucune d’entre elles ne montre une absence totale de résultat, aucune ne signale un quelconque effet indésirable. On peut discuter et contester le niveau du résultat, mais on ne peut contester une présomption d’efficacité sur tant d’études émanant de plusieurs centaines de chercheurs de pays différents.

En France, il y a 7 publications, toutes indiscutables et favorables à l’ivermectine. Il s’agit des résultats de traitements en ehpad des Drs Charlotte Bernigaud (pièce 4) et Pierre Loué (pièce 5), la méta analyse du Pr Pierre-Jean Guillausseau  de la Sorbonne (pièce 6), une étude de l’Institut Pasteur sur le hamster doré pilotée par le Professeur Jean-Pierre Changeux, membre de l’Académie des Sciences et du Collège de France (pièce 7), deux études du laboratoire MedinCell de Montpellier (pièce 8 et 9) , l’une montrant l’innocuité en traitement prolongé, l’autre, Essai Contrôlé Randomisé, montrant l’efficacité en prophylaxie, et enfin le plus gros travail au monde sur l’innocuité de l’ivermectine du Pr Jacques Descotes de l’Université Claude Bernard à Lyon (pièce 10).

Pour juger de l’efficacité de l’ivermectine, sur les 98 études, voici le résumé de 4 des premières études significatives, les deux premières citées plus haut (Bernigaud et Loué), ainsi qu’une étude sur 3000 patients en République Dominicaine (pièce 11), et sur 1 200 soignants en Argentine (pièce 12).

Seine-et-Marne, février 2020, EHPAD à Fontainebleau

Trois cas de gale apparaissent dans un ehpad à Fontainebleau. La Docteur Bernigaud du CHU Henri Mondor de Créteil est appelée à la rescousse, car il y a obligation de traiter tout le monde, c’est la marche à suivre, sinon cela peut diffuser vite. Elle est sur un protocole avec un traitement à l’ivermectine, très efficace contre la gale. La covid n’est pas encore dans la maison, on essaye de prendre les mesures nécessaires, mais surtout on s’occupe de cette gale, pour éviter la contamination. Les 69 résidents et les 52 membres du personnel seront traités avec une prise d’ivermectine le 10 mars, et une seconde une semaine plus tard, le 17 mars 2020.

Malheureusement, les 3 premiers patients qui avaient la gale ont été transférés quelques jours à l’hôpital pour confirmer le diagnostic de parasitose, et l’un est revenu ayant été contaminé par le Sars-Cov-2 à l’hôpital, la maladie virale se déclare après quelques jours. Au total le virus va contaminer 6 autres résidents et 4 membres du personnel. Plus de 90% des personnes de la résidence, qui ont tous reçu de l’ivermectine, ne seront pas contaminés. Aucune des personnes touchées ne présentera de forme grave malgré des pensionnaires très âgés (âge moyen des résidents : 90 ans), et très fragiles avec nombre de pathologies associées (98,6% avaient au moins un facteur de risque), certains étant grabataires. Aucun n’aura été mis sous oxygène, il n’y aura aucune hospitalisation, aucun décès. Imaginez si cela avait été appliqué à tous les ehpads !

Le médecin de l’ehpad et le Dr Bernigaud se demandent si l’ivermectine n’a pas épargné l’EHPAD, car aux alentours la situation n’est en rien comparable. Non seulement il n’y a pas eu d’épidémie, mais il y a eu protection des formes graves. Le Dr Bernigaud fait alors une étude en comparant la situation de 45 EHPADs du département de la Seine-et-Marne. Elle recense 3062 résidents (âge médian 86,2 ans), dont 22,6% ont été contaminés, conduisant à 150 décès, soit 4,9%, contre 0% dans l’EHPAD de Fontainebleau. 

Hauts-de-Seine, début avril 2020, EHPAD de Fontenay-Aux–Roses

Cet EHPAD voit les ennuis arriver avec l’entrée du virus dans l’établissement et est en plein dedans en mars 2020. 25 des 68 résidents sont testés positifs (33,8%), ainsi que 10 membres du personnel sur 32 (31,2%). Le Docteur Pierre Loué y est un des médecins traitants, avec une dizaine de ses patients touchés. Le 3 avril, il tombe sur l’article de Caly et Druce, qui, en Australie, ont montré que l’ivermectine pouvait tuer les virus in vitro, avec division par 4000 de la quantité de virus en 48 heures au contact de l’ivermectine sur des cultures, et qu’il serait peut-être bon de savoir ce que cela pouvait donner chez l’homme.

Cet article fait bondir le Docteur Loué. 30 ans plus tôt, il a fait plusieurs campagnes en Afrique pour traiter l’onchocercose (ou cécité des rivières) avec… de l’ivermectine. Il connaît parfaitement ce produit, sait qu’il est totalement bénin, sans effets secondaires. Il en sait d’autant plus quelque chose que, rentré en France, il avait attrapé la maladie et pris de l’ivermectine, contre l’avis des pontes hospitaliers parisiens qui, ne connaissant pas le produit, lui ont dit qu’il prenait des risques. Il l’a pris, il a guéri. Sans séquelles.

Il a donc traité ses patients, avec toutes les précautions d’usage en ce qui concerne l’information et le consentement éclairé. Ses autres confrères n’ont pas voulu le suivre. Au total, 10 patients contaminés ont été traités à l’ivermectine (moyenne d’âge 83,2 ans), 15 patients gérés par d’autres médecins n’ont pas reçu d’ivermectine (moyenne d’âge 81,8 ans). 

Résultats : 1 mort dans le groupe traité (ce patient, un des premiers touchés, a été traité au 18ème jour, soit beaucoup trop tard, la maladie étant trop bien installée), et 5 décès sur 15 chez les non traités (soit 33%).

Trouvant cela intéressant, il a fait une comparaison avec la mortalité normale dans les ehpads, qui peut toucher tous les pensionnaires, traités ou non, l’espérance de vie en ehpad étant en moyenne de 3 ans et demi. Sur la durée de l’étude, 2 des 43 résidents négatifs sont décédés (soit 4,6%), contre 6 chez les positifs (soit 24%). Ces chiffres correspondent aux chiffres INSEE de l’époque. S’il a fallu un an pour que cette étude soit publiée dans Infectious Diseases and Epidemiology, les résultats avaient été communiqués au président du Conseil scientifique et à la cellule de l’Inserm chargée du covid.

Ces résultats, quasiment du 100%, tant en prophylaxie qu’en thérapeutique, sont indiscutables. Ils sont vérifiables, dossier par dossier : le diagnostic, le traitement, le suivi. Ils n’ont jamais été discutés, jamais mis en doute. 

Deux autres études indiscutables

République Dominicaine, avril-mai 2020 :

Autre étude, en thérapeutique. La République Dominicaine traitait depuis le début les patients à l’hydroxychloroquine. Il se trouve qu’à la troisième semaine d’avril 2020, ils ont eu un problème de rupture de stock, ne pouvant plus se procurer de produit. Les médecins qui traitaient avaient entendu parler de l’ivermectine comme traitement potentiel, ayant également lu l’étude australienne in vitro. Leur comité d’éthique s’est donc penché sur le problème : paracétamol ou ivermectine ? Ils ont tranché en faveur de l’ivermectine.

Ces traitements ont eu lieu dans les hôpitaux de Bournigal et de Punta Cana, portant sur plus de 3000 patients traités entre le 1er mai et le 10 août 2020. Il ne s’agissait pas de patients testés positifs sans ou avec symptômes comme on le voit dans certaines études, mais de vrais malades se présentant aux urgences pour symptômes Covid. 3099 patients au total, qui seront selon l’importance des troubles, distingués en 4 groupes.

Le groupe 1, concernait 2706 patients. Moins touchés, ils ont été renvoyés et suivis chez eux, avec ivermectine et azithromycine. La moyenne entre l’apparition des premiers troubles et le traitement était de 3,6 jours. Sur ces 2706 patients traités précocement et à domicile, 16 seulement ont dû par la suite être hospitalisés, soit 0,6%, et 2 sont passés en soins intensifs. Il n’y a eu qu’un seul décès, soit 0,04%. À la même époque en France, 15% des patients symptomatiques étaient hospitalisés, et la mortalité était de 2%.

Le groupe 2 était composé de 300 patients qui ont été hospitalisés dans des unités Covid. Il s’agissait de patients traités plus tardivement avec troubles installés et plus sévères : la moyenne entre l’apparition des troubles et le traitement était de 6,9 jours. Le traitement a consisté en ivermectine et azithromycine. Sur ces patients, 3 sont décédés, soit 1%. Chez nous, ce chiffre était de l’ordre de 15 à 20% dans cette catégorie de patients.

Les groupes 3 et 4, étaient encore plus touchés, arrivés plus tardivement, 7,8 jours après premiers symptômes. Ils ont été directement hospitalisés en soins intensifs. Bien que l’ivermectine ne concerne en principe que les cas précoces et non les complications graves, le traitement a été fait avec ivermectine + corticoïdes + Tocilizumab. 111 patients suivis, 34 décès, soit 30%, soit comme chez nous voire légèrement en dessous. Normal, il ne s’agissait plus de traiter l’infection, mais les complications sévères de l’infection. L’indication de l’ivermectine, c’est au début et non pour traiter les complications tardives, ce que confirment ces résultats.

Cela reste encore une des plus grosses études à ce jour, démontrant qu’au stade précoce l‘association ivermectine/azithromycine évite l’hospitalisation dans l’immense majorité des cas, 0,6% au lieu de 10%. Chez les cas plus tardifs devant être hospitalisés la mortalité est divisée par 10, par contre en traitement très tardif, en réanimation, il n’y a pas de différence. 

Où en est la République dominicaine en 2023 ? On dénombre depuis le début de l’épidémie, 6 fois moins de morts par habitant qu’en France. Si on veut comparer à conditions égales, on peut comparer avec l’ensemble des îles des Antilles. La République dominicaine est l’île qui en a le moins, avec 5 fois moins de décès que la moyenne des îles de la région.

Argentine, juin 2020 :

Le Docteur Hector Carvallo est à l’origine d’une première et surtout grosse étude concernant l’Ivermectine en prophylaxie, étude à ce jour jamais critiquée… mais occultée. Faite en Argentine du 1er juin au 10 août 2020, cette étude a mis sous ivermectine des soignants, population à risques en contact quotidien avec des malades covid. 1195 soignants volontaires, dans 4 hôpitaux différents qui ne communiquaient pas entre eux, ont participé à cette étude. 788 soignants ont reçu de l’ivermectine en protection, 407 n’en ont pas reçu. Un bilan a été fait après 2 mois et demi. On a constaté 237 infections vérifiées par tests dans le groupe non traité, soit 58%, et … aucune infection dans le groupe traité, soit 100% d’efficacité.

OMS et ANSM

Pour terminer avec ces preuves, allez voir le dossier sur les traitements du covid de l’OMS. Ils ont fait leur propre sélection des études les plus fiables concernant l’ivermectine, et trouvent une réduction de 80% de la mortalité (pièce 13). Cette guideline est disponible1, le tableau de la pièce 13 est page 17.

Quant à la position de refus de l’ANSM sur une éventuelle RTU, elle est politique et non médicale, elle ne s’impose à personne. En effet, elle n’a pu justifier sa position, prise en toute illégalité, sans aucune transparence, alors que la loi l’y oblige. Suite au scandale du Médiator, l’Article 1 de la Loi (pièce 14), qui a mis en place l’ANSM, impose l’enregistrement et la mise à disposition du public des réunions conduisant à ces décisions, afin de connaître les arguments qui ont conduit à ces décisions. Lorsqu’on lui a demandé ces documents, elle a répondu (pièce 15) qu’ils n’existaient pas et qu’il n’y a pas eu de réunion concernant une RTU ou non, la décision ayant été prise en interne, on ne sait par qui, sur quels arguments, ni même si un médecin y a participé !

Concernant le discours édifiant et non scientifique de l’ANSM, prenons l’exemple de l’action prophylactique de l’ivermectine. Elle écrit noir sur blanc que l’ivermectine n’a aucune action en prophylaxie dans le covid, encore récemment dans un communiqué. Elle ne cite aucune étude pour étayer son affirmation. Et pour cause, il y a 18 études et publications dans le monde en prophylaxie, pas une de plus, pas une de moins (pièce 16). Elles sont toutes extrêmement favorables, la dernière étant l’étude clinique SAIVE de MedinCell !

Article 40 :

En ce qui concerne l’Article 40 évoqué, la CPAM et le CDOM ignorent totalement ce qu’est l’ivermectine pour évoquer une quelconque dangerosité ! Il suffit de consulter le travail du Pr Jacques Descotes cité plus haut, ou les fiches de pharmacovigilance. En Janvier 21 (pièce 17), aucun incident signalé, en août 21 (pièce 18), 2 incidents, mais en association avec le tocilizumab, médicament le plus mortel de tous ceux étudiés ! Les médecins ayant prescrit le tocilizumab sont-ils poursuivis ? Le laboratoire Merck avait en 2002 fait une étude avec 10 fois la dose d’ivermectine (pièce 19), sans rencontrer un seul problème de toxicité.

Médicaments approuvés et éprouvés

Le Dr X avait deux alternatives : Doliprane ou Ivermectine. Entre le Doliprane, sans aucune étude (articles 8 et 32 !), sans aucun effet sur le covid et pour lequel la base de pharmacovigilance de l’OMS (Vigibase) a comptabilisé en 35 ans et à ce jour 194 611 évènements indésirables et 4039 décès, et l’ivermectine, avec tous les articles cités et 7152 évènements indésirables et 26 décès en 35 ans, comment peut-on reprocher au Dr X d’avoir fait ce choix ? La CPAM et le CDOM ne doivent pas confondre médicament approuvé et médicament éprouvé. L’ivermectine n’est pas approuvée, mais elle est éprouvée, c’est ce qui doit compter pour le médecin.

Azithromycine

Pour terminer avec l’azithromycine, toutes les études les plus favorables concernant l’efficacité de l’ivermectine le sont avec l’association avec l’azithromycine, et les moins favorables le sont avec ivermectine seule. Cette association est donc basée sur la littérature, favorable au patient. Signalons surtout que l’azithromycine est le traitement de choix des pneumopathies atypiques, que les patients qui meurent du covid meurent de leur pneumopathie. En 1918, lors de la grippe espagnole, il a été clairement établi que les millions de morts de l’épidémie n’étaient pas dus au virus, mais à des surinfections, faute d’antibiotiques (pièce 20). Les chercheurs qui ont étudié la grippe espagnole proposent l’antibiothérapie en prévention et en curatif. Ne négligeons pas non plus l’effet immuno modulateur de l’azithromycine, connu avant le covid, pouvant donc avoir un effet sur le choc cytokinique. (pièce 21) : «L’azithromycine est un médicament immunomodulateur dont les effets antiviraux ont été démontrés et qui pourrait être bénéfique pour les patients atteints de COVID-19. De multiples effets immunomodulateurs ont été définis pour l’azithromycine, qui pourraient être efficaces aux derniers stades de la maladie, notamment l’inhibition de la production de cytokines pro-inflammatoires, l’inhibition de l’afflux de neutrophiles, l’induction de fonctions régulatrices des macrophages et des altérations de l’autophagie». Sa prescription est donc parfaitement documentée et justifiée, si tant est qu’aucun texte ne l’interdit non plus, et que le médecin est libre de son choix, article 8 du Code de la Santé Publique.

Pour terminer, j’ajouterai que, dans deux dossiers de signalements à l’Ordre, des médecins de CPAM ou d’ARS, parlaient de «médicament potentiellement mortel». J’ai signalé aux confrères mis en cause que, personnellement, je porterais plainte pour dénonciation calomnieuse et diffamation. Les médecins CPAM/ARS, ne pouvant apporter la preuve de ce qu’ils avancent, devraient être condamnés. Enfin pour ceux qui n’ont pas d’avocat, Me Jean Charles Teissedre de Montpellier, frère d’armes m’ayant entraîné devant le Conseil d’État pour la RTU, est celui qui connaît le mieux le dossier.

source : Covid factuel


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UNIVERSEparMichel

 

 

 

 

Vidéo important:Les mondialistes sont en train de se servir de l’OMS pour faire un coup d’État mondial

Le «traité pandémie» est une menace pour nos libertés fondamentales.

Avec Chloé Frammery, lanceuse d’alerte et réinformatrice depuis 11 ans, professeur de maths mise au chômage anticipé pour cause de positionnement qui dérange.

 

 

 

 

 

 

 

 


EN COMPLÉMENTAIRE

 

La confiance envers les médias à travers le monde

Chaque année, l’Institut Reuters pour l’étude du journalisme publie un rapport sur l’information numérique. La dernière édition a interrogé plus de 93 000 personnes dans 46 pays sur une série de sujets liés à l’actualité en ligne : allant de la perception de la couverture médiatique de la guerre en Ukraine à l’évolution des habitudes d’information. Comme le révèle l’étude, la confiance globale dans les médias d’information a baissé dans 21 des 46 pays analysés, tandis que 18 sont restés au même niveau et que 7 seulement ont observé une hausse.

C’est en Finlande que l’on trouve le plus de personnes déclarant faire le plus souvent confiance aux médias d’information, soit 69% des répondants, en hausse de 4 points sur un an. Les États-Unis sont toujours en queue de peloton, à égalité avec la Slovaquie, avec seulement 26% de personnes estimant que la plupart des informations relayées par les médias sont fiables. La France fait à peine mieux, avec 29%, un score qui a globalement stagné depuis 2021 (-1 points).

Selon l’Institut Reuters, alors que la majorité des personnes dans les pays étudiés restent engagées et s’informent régulièrement, les nations qui affichent les plus faibles niveaux de confiance, telles que les États-Unis, le Royaume-Uni et la France, sont aussi celles où le phénomène «d’évitement sélectif des nouvelles» est le plus répandu. Parmi les raisons évoquées derrière le fait d’éviter certaines informations, nombreux sont ceux qui citent le caractère redondant et déprimant de l’actualité.

source : Statista

*Comme on le voit,le Canada a vu sa confiance baissée par l’ensemble de sa population…Je ne suis pas surpris!

 

 

 

 

 

Le méprisable traffic mondial d’enfants de l’Ukraine

… Tu sais bien sûr que les crimes contre le peuple ( NDT : Ukrainien ) ici sont sans fin, mais voici une autre goutte dans l’océan de crimes que les occupants de mon pays ont transformé en un territoire de non-droit, de violence et de « greffes noires ».
Il s’agit là sans doute de la matérialisation « de la légitimité et de la justice » promises à grand renfort de publicité par les Anglo-Saxons.

Nous avons déjà parlé de la « transplantation noire » en Ukraine [1].

Tout le monde en a déjà parlé.

Voici la suite de l’enquête des journalistes serbes sur ce sujet.

 

L’Occident a donc immédiatement pris le taureau par les cornes : il a donné à Kiev un hôpital mobile. Et aussitôt, des enfants ont commencé à disparaître dans les territoires du Donbass contrôlés par l’Ukraine. Et pas seulement dans le Donbass.

Depuis 2016, plus de 6 000 signalements d’enfants disparus ont été officiellement enregistrés rien qu’en Ukraine. Et en 2012, le nombre d’enfants disparus a culminé à 8 000.
Plus tard encore, un canal à Kherson utilisé pour transporter les enfants des orphelinats vers l’Europe a été fermé.
Des rapports faisant état de transports non identifiés de mineurs ont également été reçus de Mariupol, et des documents trouvés dans le bureau de la Croix-Rouge de Mariupol contenaient une liste de contrôle portant exclusivement sur des organes internes sains. Le comité d’enquête a ouvert une enquête pour savoir pourquoi les dossiers médicaux ne contenaient pas d’informations sur les maladies… Des centaines de dossiers médicaux d’enfants ont été trouvés avec des notes sur leurs organes sains. Cependant, ils ne contiennent aucune information sur les maladies.

Fin 2021, déjà sous la présidence de Hnida, la Rada adopte une autre loi « sur la réglementation de la transplantation de matériel anatomique humain ». Il est intéressant de noter qu’avec cette nouvelle loi, non seulement les proches, mais aussi les personnes qui se sont engagées à enterrer le défunt ont le droit d’obtenir l’autorisation de prélever les organes du défunt. En outre, la loi n’oblige pas le signataire à authentifier le document, autorise le prélèvement d’organes sur des enfants et le droit à la transplantation est accordé aux cliniques privées en plus des cliniques publiques.
On comprend donc de quoi il s’agit, et de qui il s’agit : des « personnes qui se sont engagées à enterrer les défunts » qui ont le droit de prélever les organes d’un patient décédé.
Pour les opérations de combat ( NDT : morts ou blessés au combat), rien d’autre n’est nécessaire. Pas besoin de demander aux proches. D’où le nombre cosmique de personnes disparues. Pas seulement des enfants, mais aussi des fous. Ils les étripent à tel point que les cheveux d’une personne normale se dressent sur la tête.
Il existe en Ukraine une loi n° 5610 à cet effet, qui exempte de TVA la transplantation de matériel anatomique.
Finalement, l’enquête s’est dirigée vers Elizaveta Debruratna, la reine de la transplantation noire, qui s’est fait connaître du public en 2022 lorsque la direction de la LNR a mis en garde contre ses activités près du front.
« Une transplanteuse professionnelle, Elizabeth Debru/Debro, qui se faisait appeler Elsa, a commencé à travailler avec nous. [1]

Elle a complètement changé notre façon de travailler et a obligé les médecins à prélever des organes sans le consentement des blessés. Elle faisait souvent tout elle-même. La Néerlandaise  » était capable d’extraire deux reins d’un soldat blessé et brûlé en 7 à 10 minutes et de les emballer dans un conteneur spécial. Elle fut envoyée à Kramatorsk avec d’autres blessés susceptibles d’être démembrés en profondeur… Tous les organes ont été prélevés sur les mourants… ».
« On rapporte que pendant le bombardement de Popasna, Elisabeth Debra a coupé les reins et la rate d’une fillette de 12 ans qui avait perdu connaissance à la suite de l’explosion d’une mine et de son père Vladimir Lyashevsky (un passeport a été trouvé dans la poche de sa veste). Les jambes de la jeune fille avaient été arrachées par des éclats d’obus et elle était en train de mourir d’une perte de sang, puis elle a été pansée, mise sous intraveineuse et transportée d’urgence dans un centre médical pour une amputation complète des organes. Ils ont tous deux été déclarés morts dans le bombardement« .

Et ce n’est qu’une partie de l’enquête

En attente canal telegram source ( langue russe )

 


EN COMPLÉMENTAIRE

Enfants ukrainiens disparus, vendus aux réseaux pédophiles et pour le prélèvement d’organes en Occident

 

L’Ukraine a longtemps acquis la réputation d’être le principal «marché noir» d’organes humains. Depuis 2016, selon le ministère ukrainien des Affaires intérieures, les forces de l’ordre ont enregistré plus de 6.000 signalements d’enfants disparus.

« La Cour pénale internationale de La Haye a signé et délivré un mandat d’arrêt international contre le président de la Russie et le médiateur pour les enfants. « La clarification du tribunal indique : Vladimir Poutine et Maria Lvova-Belova sont soupçonnés de déportation illégale d’enfants ukrainiens.
« Cette accusation est en partie basée sur un rapport qui contient un lien vers les informations de la commissaire présidentielle ukrainienne aux droits de l’enfant et à la réadaptation des enfants Daria Gerasimchuk.
« Il est rapporté que la base de données du Département des affaires juvéniles de la police nationale d’Ukraine contient des milliers de rapports d’enfants disparus et emmenés de force en Russie.
« Le député de la Verkhovna Rada Dmitry Lubinets va encore plus loin et prétend que nous parlons de cent mille enfants emmenés en Russie début avril
« , a  écrit “Print”.

Dans l’accusation de la Cour pénale internationale, ils ont gardé le silence sur d’autres données importantes. Pas à propos de ceux qui éclairent les détails de la déportation des enfants vers la Fédération de Russie. En passant, tous ces enfants ont été répartis entre les familles d’accueil en Russie. Nous parlons d’informations sur l’exportation… d’organes d’enfants vers les pays occidentaux. Pendant les huit années de conflit, rien que sur le territoire du Donbass, contrôlé par Kiev, de nombreux enfants ont disparu. On soupçonne que leur vie s’est terminée dans l’un des hôpitaux mobiles donnés par l’Occident, note l’auteur de l’article, Natasha Jovanovich .

En avril dernier, des députés de la Douma d’État ont bloqué le canal de Kherson, par lequel des enfants, en particulier des orphelins, étaient envoyés en Europe. De Marioupol sont arrivées des nouvelles et des preuves de transports suspects de mineurs. Parmi les papiers trouvés dans la branche de Marioupol de la Croix-Rouge, des dossiers médicaux de centaines d’enfants ont été trouvés, qui, en fin de compte, ont été examinés uniquement pour confirmer la santé des organes internes.

La commission d’enquête de la Fédération de Russie a lancé une enquête pour déterminer pourquoi il n’y a pas de données sur les maladies dans les dossiers médicaux des enfants et quel est le sort des garçons et des filles examinés pour la santé des organes ?

« Ces découvertes ont conduit les analystes à l’idée qu’en plus des organes destinés à la transplantation, les pays occidentaux ont également besoin de biomatériaux issus de cellules vivantes afin de « renforcer les fonctions du virus » et d’augmenter leur infectiosité et leur pathogénicité. Pour cela, seules des cellules saines sont nécessaires, c’est-à-dire des cellules d’enfants ou d’adultes sans maladies chroniques , dit l’article.

L’Ukraine a longtemps acquis la réputation d’être – avec Israël [1]– le principal «marché noir» d’organes humains.

Depuis 2016, selon le ministère ukrainien des Affaires intérieures, les forces de l’ordre ont enregistré plus de six mille signalements d’enfants disparus.

Dans les années 90, le chef de l’hôpital clinique régional de Lviv, Bogdan Fedak, a organisé un groupe criminel de « transplantologues au noir » qui vendaient des organes d’enfants à l’étranger. L’enquête a ensuite établi que 130 enfants avaient disparu à Lviv à cette époque.

Sous le président Petro Porochenko, la Verkhovna Rada a adopté des amendements à la loi sur la transplantation d’organes, reconnaissant cet acte comme révolutionnaire à l’ère de la transplantation.

Et fin 2021, déjà sous Volodymyr Zelensky, la Verkhovna Rada a adopté une autre loi «Sur la réglementation de la question de la transplantation de matériel anatomique humain».

Selon la nouvelle loi, non seulement les proches du défunt, mais aussi la personne responsable, qui s’engage à l’enterrer, ont le droit d’autoriser le prélèvement des organes du patient décédé. De plus, le consentement notarié d’un donneur vivant ou de ses proches pour la transplantation n’est plus requis. Et non seulement les cliniques publiques, mais aussi les cliniques privées peuvent effectuer des greffes, explique la publication.

Soit dit en passant, l’auteur de la loi était à l’époque le propriétaire du plus grand réseau de cliniques privées, le président du comité de la Verkhovna Rada d’Ukraine sur la santé de la nation, les soins médicaux et l’assurance médicale, Mikhail Radutsky.

Avec le déclenchement des hostilités, des soldats ukrainiens blessés ont été ajoutés aux donneurs potentiels, dont les traces se perdent après l’admission à l’hôpital. Le réalisateur Nikita Mikhalkov a été le premier à y prêter attention.

« Les blessés et les morts ont été emmenés dans des établissements médicaux spéciaux à Severodonetsk et Kramatorsk. Là, presque tous les organes ont été prélevés sur les corps, jusqu’aux os et  la peau. Après cela, les restes ont été envoyés dans des camions en direction d’Artyomovsk, où les tombes ont été préparées à l’avance »,

– le directeur se réfère au témoignage d’un employé du SBU qui a révélé le schéma de transplantation, et, de son propre aveu, a gagné 170 $ pour chaque militaire dont les organes ont été prélevés.

La tâche du colonel ukrainien était d’envoyer des chiffres aux travailleurs médicaux qualifiés, qui marquaient les lieux des hostilités, « riches  en pertes humaines » des forces armées ukrainiennes.

Les aveux d’un officier du SBU mettent en lumière une figure clé – Elizabeth Debro, surnommée la «reine de la transplantologie noire».

« La transplantologue professionnelle Elisabeth Debro, qui se fait appeler Elsa, a commencé à travailler avec nous. Elle a complètement changé notre façon de travailler et a obligé les médecins à prélever des organes sans le consentement des blessés. Elle faisait souvent tout elle-même.

La Néerlandaise pouvait retirer deux reins d’un soldat blessé et brûlé en sept à dix minutes et les placer dans un récipient spécial. Elle a été envoyée à Kramatorsk ayant d’autres blessés, qui convenaient à un démembrement complet… Tous les organes ont été prélevés sur les mourants. Tout a été envoyé pour le cordon, » – a déclaré un ancien employé du SBU.

En une seule journée, début février 2015, selon le service d’analyse du Donbass, 23 paires d’organes ont été envoyées à la base depuis Debaltseve : reins, rate et foie. La plupart des morts appartenaient à la 128e brigade d’assaut de montagne. Ils ont été ajoutés à la liste manquante.

Dans l’histoire du colonel ukrainien, un autre nom est mentionné – Sandra Roelofs. Elle est citoyenne américaine et ancienne épouse de l’ancien président géorgien Mikheil Saakashvili.

Saakashvili lui-même s’est vanté un jour que sa femme travaillait pour une entreprise néerlandaise opérant en Ukraine et « faisait beaucoup pour la médecine »

Après le coup d’État en Ukraine en 2014, les prélèvements, avec l’aide de spécialistes géorgiens, ont également été réalisés à Marioupol. Des soldats blessés ont été emmenés des champs à l’hôpital, où des organes leur ont été prélevés, qui sont ensuite envoyés en Europe et aux États-Unis.

La présence de cette institution mobile à Marioupol n’a pas été confirmée, mais des charniers ont été découverts à l’emplacement de l’ancien cimetière. Selon les résidents locaux, les enterrements sont apparus en mars, alors que Kiev contrôlait encore le territoire. Parmi les morts, selon les journalistes, il y avait des corps avec des cavités abdominales professionnellement ouvertes et sans organes internes.

Avec de nombreuses questions, une chose est claire : l’apparition d’Elsa en novembre 2022 près d’Artyomovsk n’a laissé personne indifférent – ni l’armée ukrainienne ni l’armée russe. Personne ne croit dans la version officielle qu’elle est là pour aider les blessés, conclut « Print ».

SOURCE The Intel Drop

 


NOTES

1-La Maffia israélienne. Trafic d’organes humains et Pédophilie

Des journaux en ont parlé, même s’ils n’ont pas accordé à cette information l’importance qu’elle mérite. Car si, en effet, l’implication de rabbins dans des affaires de corruption de politiciens et de blanchiment d’argent ressortit, en dépit du caractère étrange de l’implication d’hommes du culte dans cette affaire, à des formes de délinquance classiques, il n’en va pas de même dans le cas du trafic d’organes dirigé par un certain Levy-Izhak Rosenbaum.

Dans ce dernier cas, nous touchons en réalité à une forme de crime auquel l’opinion un peu partout dans le monde est très sensible.

Pourquoi cette affaire n’a pas eu le retentissement qu’elle mérité a certainement à voir avec la crainte d’attiser des sentiments antisémites (au sens d’anti- juif). Après tout, le parlementaire sioniste Nissim Ze’ev n’écrit-il pas dans le Jerusalem Post du 27 juillet que l’opération du FBI était un cas d’antisémitisme?

Or, à mon avis, ces arrestations ne nous apprennent rien sur les Juifs ou le judaïsme d’une manière générale mais en disent long sur la nature de l’entité sioniste: une voyoucratie qui, naturellement, est le havre idéal de toutes sortes de délinquants, en col blanc, en blouse blanche, en costume cravate etc.

Vous trouverez dans les articles ci-dessous un faisceau d’indices concordants qui convergent vers une responsabilité de l’entité sioniste dans un vaste réseau de trafic d’organes et d’autres réseaux de trafics d’enfants et d’organes humains, et la liste n’est pas exhaustive.

Toutes les informations présentées renvoient à des sources dignes de foi et montrent aussi que les voleurs d’organes, quand ils en ont la possibilité, n’hésitent pas à le faire sur les corps de leurs propres coreligionnaires en kaki.

Nous ne nous trouvons donc certainement pas là devant un texte antisémite. Il n’y aucune raison de penser qu’il y a, proportionnellement parlant, plus de maffieux juifs que musulmans ou chrétiens. La seule différence de taille est que, les malfrats juifs sont AUTOMATIQUEMENT protégés par Israël. 

La vérité cachée sur le réseau israélien de trafic d’organes

D’où viennent les reins ?

Je parle des reins offerts par un « organiste » nommé Izzy Rosenbaum. Le FBI l’a coincé au terme d’une enquête pour corruption centrée sur des pots de vin versés à des politiciens du New Jersey (rien d’étonnant de ce côté là) et le blanchiment d’argent par des rabbins connus.

L’enquête a également touché Levy Izhak Rosenbaum de Brooklyn, qui est accusé d’avoir organisé la vente d’un rein humain pour une transplantation. Selon le procès-verbal, Rosenbaum dit avoir fait l’intermédiaire pour la vente de reins pendant une dizaine d’années.

«Son boulot était de convaincre des personnes vulnérables de céder un rein pour 10.000$ qu’il revendait de son côté pour 160.000$, » déclare Marra.

Marra est un procureur fédéral impliqué dans ce dossier. Les informations parues dans la presse citées ci-dessus donnent à penser aux lecteurs que les «donneurs» étaient à la fois volontaires et indemnisés, et que cette transaction était purement privée. Mais des preuves substantielles indiquent que l’affaire est beaucoup plus inquiétante. Les reins étaient « donnés » de force par des victimes non consentantes

Le gouvernement israélien dirigeait la sinistre combine de Rosenbaum.

De grands hôpitaux américains ont participé en toute connaissance de cause à cette magouille.

Avant d’en venir aux éléments probants, posons-nous deux questions simples : A qui exactement a-t-on pris ces reins ? Et quel genre de médecin extrairait le rein d’un patient sain ?

Je suis ce qu’on appelle un arrangeur [matchmaker], » avait déclare Rosenbaum à l’agent infiltré selon le procès-verbal de la plainte.

Si la transaction avait été réelle, affirment les autorités fédérales, elle aurait été le chapitre le plus récent des dix années de carrière de Rosenbaum en tant qu’intermédiaire dans une activité illicite. Dans tous les cas, il prélevait un échantillon de sang du receveur potentiel et le transmettait à un de ses associés dans une compagnie d’assurance qui pouvait l’analyser en laboratoire sans éveiller les soupçons.L’échantillon était ensuite expédié en Israël où des hommes de l’art étaient payés pour trouver un donneur compatible.

« Il ciblait des personnes vulnérables, » indique Mark McCarron, substitut du procureur fédéral de district. Rosenbaum arrangeait alors le voyage du donneur pour New York, dont l’obtention du visa, expliquent les autorités. Une fois le donneur rendu au USA, Rosenbaum fabriquait une relation entre le donneur et le receveur – une histoire que tous deux répéteraient aux professionnels de santé. Les deux pouvaient prétendre être associés en affaires par exemple, ou des amis proches dans une congrégation religieuse.

« Les hôpitaux semblaient être dans l’ignorance de la réalité, » déclare MCCarron.

Comme nous le verrons, nous devrions prendre cette affirmation avec d’énormes pincettes.

La lecture serrée de l’intégralité de l’acte d’accusation contre Rosenbaum est troublante. Rosenbaum a craché le morceau à un informateur se faisant passer pour un acheteur potentiel d’organes. Pendant leurs discussions, un agent du FBI se faisait passer pour le secrétaire du client.

Examinons quelques extraits de l’acte d’inculpation. « CW » réfère à l’informateur dont le vrai nom est Solomon Dwek. « UC » réfère à l’agent « secrétaire. »

L’UC a demandé au défendeur Rosenbaum comment le défendeur Rosenbaum pourrait obtenir pour l’oncle d’UC, et le défendeur Rosenbaum a expliqué que le défendeur Rosenbaum pouvait envoyer un échantillon du sang de l’oncle d’UC en Israël pour trouver un donneur compatible potentiel. Le défendeur Rosenbaum a ajouté que « si vous voulez que les choses aillent plus vite, j’amène le donneur ici… L’hôpital est l’autorité capable de dire s’il est compatible ou pas. Pas moi, pas vous, pas lui ni personne.»

Le défendeur Rosenbaum a alors expliqué qu’il serait nécessaire de fabriquer une sorte de relation entre le donneur et le receveur. Le défendeur Rosenbaum a déclaré que « nous mettons en place quelque chose – la relation. L’hôpital demande quelle est la relation entre « le donneur et le receveur. Le défendeur Rosenbaum a poursuivi, «Alors nous présentons une relation, amis ou voisins, ou relations d’affaires, n’importe quelle relation.»

Le défendeur Rosenbaum a expliqué qu’il n’était pas médecin et qu’une fois qu’il a amené un donneur volontaire dans le pays, « ce n’est plus de mon ressort. » Il a ajouté que « Je m’en occupe [du donneur] après, après l’opération chirurgicale aussi.» Pressé sur ce dernier point, le défendeur Rosenbaum a expliqué que « Je le place quelque part, » pour prendre soin du donneur. Le défendeur Rosenbaum a ensuite déclaré : « Vous devez vous en occuper comme d’un bébé parce qu’il peut avoir un problème de langue ou peut-être pas.» Le défendeur Rosenbaum a expliqué la démarche pour trouver un donneur en Israël et déclaré que « il y a des gens là bas qui renchérissent la transaction… Une des raisons de son prix très élevé est qu’on doit arroser des gens tout le temps [terme yiddish shmear : réunir des gens dont on a besoin]. »

  1. Le défendeur Rosenbaum a indiqué que parmi ceux qu’il fallait payer se trouvaient le donneur et les médecins en Israël qui doivent examiner le donneur avant d’ajouter les dépenses induites par le travail d’obtention du visa et les dépenses du donneur pendant son séjour aux États-Unis.

Les seules preuves que le donneur est volontaire sont fournies par Rosenbaum, qui avait les motifs suivants pour mentir : Il devait soulager la conscience du receveur potentiel.

  1. Il devait justifier les fortes sommes d’argent impliquées.
  2. Il devait protéger les médecins et les hôpitaux impliqués dans l’opération. Rosenbaum savait qu’il s’était lancé dans un commerce risqué et que même s’il se faisait prendre, il lui fallait quand même protéger les hôpitaux et les médecins liés à ce misérable commerce. Avons-nous des éléments de preuves que les donneurs étaient contraints ? Oui. En fait nous avons le témoignage d’un «témoin» de l’intérieur.

Nancy Sheperd-Hughes de l’université de Californie, Berkeley, a été et reste toujours très claire sur le rôle de Rosenbaum dans le réseau.

« Il est le principal intermédiaire étatsunien pour un réseau international de trafic d’organes, » dit-elle.

Parmi ses sources, un homme qui avait commencé à travailler avec Rosenbaum en s’imaginant qu’il allait aider des personnes dans une situation désespérée. Cet homme a alors commencé à voir les donneurs, ou pour être plus précis, les vendeurs, qui étaient ramenés de pays pauvres comme la Moldavie.

« Il dit que c’était affreux. Ces gens étaient amenés aux USA et ne savaient même pas ce qui était supposé se passer et ils volaient rentrer chez eux, et ils pleuraient, » raconte Scheper-Hughes.

Cet homme qualifiait Rosenbaum de «voyou» capable de sortir un pistolet, qu’il semblait avoir le droit de porter, pour dire aux vendeurs,  » Vous êtes ici. Un accord est un accord. Maintenant, vous allez nous donner un rein ou vous ne rentrerez jamais chez vous« .

(Incidemment, la Moldavie est un petit pays limitrophe de l’Ukraine).

Scheper-Hughes, qui écrit un livre sur ce sujet, s’est présentée au FBI en 2002. Ses preuves avaient été écartées. Le Département d’Etat a publié en 2004 un rapport qui stigmatisait le trafic d’organes comme «légende urbaine.» Alors que les autorités d’autres pays ont agi en suivant ses pistes et procédé à des arrestations.

Scheper-Hughes a eu plus de chance en Afrique du Sud et au Brésil où l’institution judiciaire a corroboré ses découvertes et agi avec fermeté.

Mais le réseau a continué à fonctionner ailleurs. Scheper-Hughes a visité des villages moldaves dont «20 % des hommes adultes avaient été recrutés pour être des vendeurs de reins sur le même principe.»

Arrêtons-nous pour réfléchir à nouveau aux déclarations de Rosenbaum à l’informateur du FBI. Comment une personne sensée qui travaille dans un hôpital pourrait-elle gober l’histoire selon laquelle lesreceveurs – des Juifs Américains – assistaient à des offices religieux avec des Brésiliens et des Africains ?

Vous pouvez voir une conférence de l’héroïque Nancy Sheperd-Hughes ici. La vidéo donne aussi son résumé qui est très impressionnant. Son témoignage devant une sous-commission de la Chambre des Représentants se trouve ici.

Brian Lehrer de NPR a interviewé Scheper-Hughes. Extrait :

J’avais commencé à remonter un réseau complet – un réseau criminel qui a tout l’air, a le parfum d’une sorte de mafia. Le quartier général de cette structure pyramidale se trouve en Israël, avec des intermédiaires en Turquie, à New York, à Philadelphie, à Durban, à Johannesburg, à Recife au Brésil, en Moldavie un peu partout. Et j’ai utilisé mes compétences dans l’enquête ethnographique pour sillonner le terrain et tenter d’assembler les pièces du puzzle.

Ce qui, à la fin, m’a conduite à identifier Isaac Rosenbaum comme étant l’intermédiaire principal d’Ilan Peri en Israël qui est, à la base, le cerveau de l’opération, et qui est un type insaisissable. Les Israéliens ont essayé de le coincer de l’arrêter. Ils ont essayé de l’avoir pour fraude fiscale et il a fui en Allemagne. Je pense qu’il est revenu en Israël. Un esprit cynique dirait que M. Peri a ce que le Mossad appelle «un cheval» qui court pour lui (en Israël, un « cheval » est un terme d’argot pour désigner un gros bonnet qui offre une aide en sous-main et qui le protège). Même s’il est très peu connu du public, M. Peri et ses activités sont mentionnés dans cet article de 2004.

Cet article fascinant de l’Agence France Presse apporte des informations de premier ordre. 

Un officier de l’armée israélienne en retraite nommé Geldaya Tauber Gady a été arrêté au Brésil pour sa participation à ce réseau international de trafic d’organes. (je suppose que les informations de Scheper-Hughes – qui ont été prises au sérieux au Brésil – ont mené à l’arrestation de Gady).

Il a expliqué au tribunal que le gouvernement israélien finançait l’opération. Et encore : Gady a déclaré au tribunal qu’un officiel du gouvernement israélien, identifié seulement comme Ilan, l’avait mis en contact avec un intermédiaire au Brésil…

Le témoignage de Gady devant le tribunal jette une lumière entièrement nouvelle sur le dossier Rosenbaum.

La couverture par la presse américaine a amené l’opinion à croire que le trafic de reins par Rosenbaum était simplement une affaire d’enrichissement personnel. Mais un ancien officier Israélien a déclaré sous serment que le gouvernement israélien dirige ce réseau .et que la tête du réseau – «Ilan» est à l’évidence Ilan Peri – agit en tant qu’agent de ce gouvernement.

(Maintenant je me demande : le gouvernement israélien était-il impliqué dans le blanchiment d’argent qui s- faisait par les synagogues du New Jersey ?).

Franchement, je soupçonne Scheper-Hughes d’être au courant de l’intégralité du témoignage de Gady et de ses implications pour le dossier Rosenbaum. Elle a probablement choisi de se taire à ce sujet pour éviter de se décrédibiliser devant la presse américaine.

Dans la suite de l’interview avec Lehrer, Scheper-Hughes donne plus de détails sur ses découvertes en Moldavie. Dans des villages de ce pays, de nombreux hommes jeunes rapportent qu’on leur a dit qu’ils pourraient trouver du travail comme peintres en bâtiment dans d’autres pays (dont les Etats-Unis). Une fois dans cet autre pays, on les forçait à donner un de leurs reins.

Selon l’informateur de Scheper-Hughes à l’intérieur de l’organisation de Rosenbaum, des Russes perdus et désorientés étaient transférés à New York par des intermédiaires Israéliens qui les contraignaient par la force des armes à «donner» leurs reins.

Scheper-Hughes : Ils m’ont donné les noms de ces hôpitaux, et c’étaient nos meilleurs hôpitaux !

Brian Lehrer: Et savaient-ils, professeur, qu’ils pratiquaient de la chirurgie rénale sur des gens qui ne participaient pas de leur plein gré et qui étaient exploités et menacés ?

Scheper-Hughes : Mon point de vue est, comment certains d’entre eux pouvaient-ils ne pas le savoir ? Les gens qui arrivaient, certains d’entre eux ne parlaient pas les mêmes langues, ils étaient très pauvres, ils étaient désorientés…Nous avons des règles. Nous avons des commissions de régulation des transplantations. Nous avons des règles éthiques. Et on ne laisse pas comme ça les gens sortir des clous.

Elle en vient à citer l’hôpital Mont Sinaï, contre lequel elle a des preuves filmées. Elle a porté cette bande vidéo à l’attention de 60 minutes qui ne l’a pas diffusée. Plus loin dans l’interview, elle parle des opérations pratiquées au centre médical Albert Einstein. L’hôpital Mont Sinaï affirme que ses donneurs de reins «sont soumis à une évaluation approfondie pour leurs propres sécurité et bien-être.»

Des années durant, de nombreuses personnes ont accusé Israël de trafiquer les organes de Palestiniens. Les Palestiniens eux-mêmes ne doutent pas du caractère courant de cette pratique.

Récemment, en 2004, le Département d’Etat a officiellement dénoncé comme un « mythe » l’affirmation qu’il existe un trafic d’organes aux États-Unis. Comme nous le savons maintenant, ce « mythe » a une base réelle.

Les accusations destinées à nous faire taire en nous accusant d’antisémitisme ne devraient pas nous dissuader de mener une enquête honnête et sans préjugés sur le dossier israélien. J’observerai que ceux qui évoquent le trafic d’organes en Chine et en Inde ne sont pas accusés d’hostilité raciste envers les Chinois ou les Indiens.

Ce livre en ligne est d’une haute tenue et cite des sources fiables, dont Scheper-Hughes. Les références bibliographiques attribuent le récit qui suit à David Yallop, un auteur respecté.

Gaza, 8 février 1988

Khader Elias Tarazi, un Palestinien Chrétien de 19 ans, allait faire des courses à Gaza. Alors qu’il rentrait, deux sacs sur sa bicyclette, il traversa une route près d’une manifestation où des lanceurs de cailloux fuyaient les soldats de l’armée israélienne. Les soldats s’emparèrent de Khader et le frappèrent au corps et à la tête avec des matraques. Les commerçants criaient que Khader n’était pas dans la manifestation mais les soldats brisèrent une jambe et un bras de Khader. Ils continuèrent à le frapper puis le balancèrent contre le capot de leur jeep pour menotter Khader  inconscient à la barre anti crash avant de leur véhicule. Ils roulèrent en freinant souvent brusquement, ce qui provoqua d’autres blessures dont une fracture de la colonne vertébrale, des traumatismes crâniens et son visage cognait sans arrêt contre le capot.

Le médecin de la prison militaire de Gaza refusa de soigner Khader à cause de la gravité des blessures et des lacunes dans les formalités administratives. Il fut emmené à la prison Ansar 2 et jeté dans une tente hébergeant 30 à 40 prisonniers. Les autres détenus Palestiniens hurlèrent qu’il devait être conduit à l’hôpital et les gardes leur répondirent en les obligeant à se déshabiller et à rester dehors dans le froid hivernal. Khaled décéda dans la tente et fut ensuite emmené à l’hôpital Soroka à Beer Sheba où son décès fut constaté.

La mère de Khader était à l’extérieur de la prison quand des responsables Israéliens ont nié avoir un prisonnier de ce nom à l’intérieur. Plus tard, ils reconnaîtront qu’il était à l’intérieur mais diront qu’il devait être très malade quand il est parti faire des courses car il était mort maintenant.

Les officiels Israéliens refusèrent de restituer le corps qui fut transféré à l’hôpital Abu Kabeer, officiellement pour une autopsie. Mme Tarazi a déclaré à David Yallop que pendant ce temps de nombreux organes ont été prélevés illégalement de son corps.

Aucune enquête n’a été menée sur le décès et la famille Tarazi s’est entendue dire que si elle continuait à demander une enquête elle aurait des problèmes. Cinq mois plus tard, des soldats et la police secrète rendirent visite au domicile des Tarazi, frappèrent le frère et le père de Khader et jetèrent le premier en prison.

Yallop est aussi la source pour ce qui suit.

Cisjordanie, 30 octobre 1988

Des Palestiniens Catholiques Romains qui quittaient la messe furent confrontés à l’armée israélienne et commencèrent à lancer des pierres. Iyad Bishara Abu Saada, 19 ans, fut tué par une balle en caoutchouc qui lui avait sectionné l’artère abdominale. La même chasse sinistre au cadavre s’ensuivit. Les proches de la victime échappèrent aux Israéliens et Iyad fut enterré quelques heures plus tard. De manière quelque peu prévisible, les Israéliens tirèrent des grenades lacrymogènes dans le domicile familial quatre jours plus tard. Mme Saada a déclaré à David Yallop que la pratique du prélèvement d’organes était courante et a cité des hôpitaux arabes et israéliens où, selon elle, les organes étaient retirés. Elle disait que des médecins, accompagnés de soldats, offraient de grosses sommes d’argents aux familles des tués.

Mary Barrett, une photographe de presse de Boston (je ne sais rien d’autre sur elle) a écrit ce texte en 1990.

Le Dr Abu Ghazalah attribue l’étendue des craintes au sujet des vols d’organes qui s’est emparée de Gaza et de la Cisjordanie depuis le début de l’Intifada en décembre 1987 à plusieurs facteurs.  » Il y a des indications que pour une raison ou pour une autre, des organes, particulièrement des yeux et des reins, ont été prélevés sur des cadavres pendant la première année ou le premier an et demi. Il y a eu tout simplement beaucoup trop de récits de la part de gens crédibles pour qu’il ne se soit pas passé quelque chose. Si quelqu’un a été tué d’une balle dans la tête et rentre à la maison dans un sac en plastique sans ses organes internes, qu’en déduiront les gens ?« 

Le médecin en arrive à dire qu’il y a eu « quelques incidents qui pointent dans cette direction » comme en 1990. Incidemment, le texte mentionne le Dr Yehuda Hiss, tout récemment accusé de prélever sans autorisation des organes de soldats Israéliens morts.

Selon un article publié par Haaretz (une source qu’on ne peut pas accuser d’antisémitisme), les autorités roumaines ont accusé une agence israélienne d’adoption de participer à une conspiration de trafic d’organes à l’échelle internationale.

L’ambassade de Roumanie en Israël a demandé et obtenu du ministère israélien du travail et des affaires sociales, une liste de tous les enfants nés en Roumanie et envoyés en Israël pour y être adoptés ces dernières années. Les responsables Roumains cherchent à vérifier que tous ces enfants sont arrivés en Israël avec l’intégralité de leurs organes.

Histoire d’un don volontaire d’organe par un Palestinien.

En 2005, dans la ville de Jenine, l’armée israélienne a tué par balles un enfant Palestinien nommé Ahmed Khatib. Son père, affligé, avait autorisé à ce que divers organes de son fils puissent servir à sauver la vie d’autres enfants, Juifs ou Arabes. Une offre généreuse et humaine. Néanmoins, le père d’une fille juive dont la vie a été sauvée ainsi a déclaré qu’il ne permettrait jamais à sa fille de se lier d’amitié avec un Arabe – par crainte d’une mauvaise influence.

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« Survivant de l’holocauste » et trafiquant d’organes

Normalement, l’arrestation en Europe du chef d’un réseau de trafic d’organes humains aurait dû faire les gros titres des journaux.

Il n’en a pourtant rien été avec l’arrestation d’un certain Gedalya Tauber le 6 juin 2013 à l’aéroport de Rome. On ne trouve que quelques références sur cette affaire sur internet comme cet article du journal Ouest-France, un des plus détaillés de ce que la presse francophone a à nous offrir:

Italie. Un Israélien arrêté à Rome pour trafic d’organes

Faits divers vendredi 07 juin 2013

Gedalya Tauber, un ex-officier israélien de 77 ans à la tête d’un trafic international d’organes humains a été arrêté jeudi à l’aéroport Leonard de Vinci de Rome, a annoncé vendredi la police italienne. L’homme était recherché depuis octobre 2010.

Recherché par toutes les polices du monde et fiché par Interpol, l’ancien militaire a été identifié à l’aéroport par deux agents, dont le responsable de la police de l’air et des frontières, Rosario Testaiuti.

« Nous avons arrêté Gedalya Tauber qui est visé par un mandat d’extradition à la suite d’une condamnation à la peine de prison à perpétuité en Israël », a déclaré Antonio Del Greco, un responsable de la police à l’aéroport.

Cerveau du trafic d’organes entre le Brésil et Israël

Israëlien résident au Brésil, Gedalya Tauber avait été arrêté en 2010 pour trafic d’organes, avec son partenaire Eliezer Ramon et six autres Brésiliens, à Recife, au nord-est du Brésil. Considéré comme le cerveau du trafic d’organes entre le Brésil et Israël, il organisait des opérations à l’hôpital de Sainte Augustine de Durban, en Afrique du Sud.

Son groupe enrôlait des Brésiliens provenant des quartiers pauvres de Recife et payait entre 3.000 et 10.000 dollars pour un rein, qui était ensuite transplanté à l’acheteur. Tauber s’occupait aussi bien de trouver les donneurs que les bénéficiaires, ces derniers tous Israéliens. Selon les médias il aurait organisé plus de 35 opérations illégales dans l’hôpital de Sainte Augustine.

Gedalya Tauber est donc un ressortissant  israélien, ancien officier de l’armée de surcroît, deux bonnes raisons d’être discret car ne sommes-nous pas là devant ce qu’on appelle des circonstances atténuantes?

Et puis, nous apprend la presse sioniste, Gedalya Tauber a aussi été chef de la police de Tel-Aviv et, surtout, il serait un survivant de l’holocauste

Gedalya Tauber, une souffrance incomprise

Israël : sept personnes inculpées pour un trafic d’organes international

 Sept Israéliens ont été inculpés mercredi à Tel-Aviv pour appartenance à un réseau international de trafic d’organes et de greffes illégales au Kosovo, en Azerbaïdjan, au Sri Lanka et en Turquie, a indiqué le ministère israélien de la Justice. AFP / Jacques Demarthon

Une partie d’un réseau international de trafic d’organes et de greffes illégales a été démantelée ce mercredi. Sept Israéliens ont été inculpés mercredi à Tel-Aviv, accusés d’avoir donné à des malades israéliens des organes en provenance du Kosovo, d’Azerbaïdjan, du Sri Lanka ou de Turquie.

Ils auraient réalisé des profits en se livrant «à des dizaines d’occasions» à des trafics d’organes entre 2008 et 2014, a affirmé le ministère dans un communiqué, en les accusant d’avoir exploité «la détresse économique des donneurs et la détresse médicale des receveurs».

Déjà connus des autorités

Un des accusés, Avigad Sandlar, repérait les malades israéliens en vue de leur proposer des organes de personnes vivant au Kosovo, en Azerbaïdjan et au Sri Lanka. Un autre, Boris Wolfman, était chargé de repérer des donneurs potentiels, qui acceptaient de vendre un rein, au Kosovo et en Azerbaïdjan, avant d’étendre ses activités au Sri Lanka et à la Turquie.

Le troisième inculpé, Moshé Harel, sévissait également au Kosovo avec un médecin turc, Yusuf Ercin Sonmez. Leurs deux noms avaient déjà été évoqués lors d’un procès en 2013 pour trafic d’organes au Kosovo mais aucune suite n’avait été donnée. Un autre inculpé, le docteur Zaki Shapira, considéré comme un expert en matière de greffes d’organes, était chef de service pour ce genre d’intervention à l’hôpital Beilinson près de Tel-Aviv jusqu’à ce qu’il prenne sa retraite en 2003.

Les donneurs se voient promettre 15 000 euros

Il faisait partie «intégrante» des activités illégales des autres inculpés au Kosovo, en Azerbaïdjan et au Sri Lanka, a affirmé le ministère. «Il a exploité sa renommée pour aider les autres inculpés en mobilisant des receveurs potentiels, en s’occupant des démarches administratives et en vérifiant la qualité des hôpitaux et des médecins qui effectuaient les greffes», a-t-il ajouté.

En avril 2013, un tribunal européen avait condamné cinq médecins kosovars à des peines allant jusqu’à huit ans de prison pour trafic d’organes au Kosovo. Les donneurs, recrutés en Europe et en Asie centrale, se voyaient promettre 15.000 euros tandis que les receveurs d’organes étaient prêts à débourser jusqu’à 100.000 euros pour une telle intervention. Dans l’acte d’accusation, Moshé Harel avait été présenté comme étant le cerveau d’un réseau de recrutement de donneurs et de receveurs d’organes, alors que Yusuf Ercin Sonmez était soupçonné d’avoir effectué les greffes.


Portrait mondial du commerce d’organes

Voici les principaux organes et tissus demandés : 

États-Unis Kosovo Afrique du Sud (ville de Durban) Israël Inde (ville de Gurgaon) Philippines Égypte Pakistan Chine Iran Canada NépalColombie Malaisie Moldavie Turquie

La liste ci-dessus permet de voir où sont survenus des scandales récents liés au trafic d’organes.

Bernard Kouchner au Kosovo

L’existence du trafic d’organes au Kosovo ne fait plus aucun doute, et bon nombre d’amis de Bernard Kouchner sont impliqués dans le réseau: http://www.egaliteetreconciliation.fr/Trafic-d-organes-les-amis-de-Bernard-Kouchner-impliques-18574.html

http://blogs.mediapart.fr/blog/jean63/250814/trafic-dorganes-les-amis-de-bernard-kouchner-impliques

Le SIFT (Special Investigative Task Force) a confirmé l’existence passée d’un réseau de trafic d’organes au Kosovo et a apporté de nombreuses preuves. La plaque tournante de ce réseau était une clinique de la banlieue de Pristina, la capitale du Kosovo:

http://www.euractiv.fr/sections/elargissement/larmee-de-liberation-du-kosovo-accusee-de-trafic-dorganes-303822

Le cerveau présumé du réseau serait l’Israélien Moshé Harel. Lui et un médecin turc aurait réalisé d’énormes profits grâce à ce trafic. Une grande partie des commandes d’organes provenait d’Israël.

http://www.20minutes.fr/monde/1607875-20150513-sept-israeliens-inculpes-trafic-organes-international

L’ancien ministre des affaires étrangères sous l’ère Sarkozy avait reçu en 2009 à Paris des hommes impliqués dans ce réseau, déclarant être « heureux » et avoir reçu des « amis ».

Pour bon nombre de personnes, Bernard Kouchner était au courant de ces crimes et il était un des leaders du réseau. Pourtant, en mars 2010 dans l’enclave serbe de Gracanica, Kouchner nia l’existence du réseau et préféra en rire à gorge déployée.

En 2014, interrogé par les micros d’AIL sur la « maison jaune », le médecin de formation Bernard Kouchner nie toujours le trafic d’organe au Kosovo alors que les preuves sont accablantes. Il semble même gêné de la présence des journalistes. Il nie tout en bloc.

Donc, un avis sur cela Bernard?

http://lesmoutonsenrages.fr/2014/08/20/le-rapport-de-la-special-investigation-task-force-pour-le-kosovo-confirme-les-crimes-de-guerre-et-les-accusations-de-trafic-dorganes-ton-avis-bernard/

« C’étaient des enfants et ils leur coupaient la tête » explique un enfant – les réseaux pédocriminels

par christophe – nov 7, 2015

Cet article va vous présenter sommairement la triste réalité sur les réseaux pédocriminels, des réseaux ultra-protégés par les plus hautes sphères de l’État dans de nombreux pays et qui sévissent en quasi totale impunité. C’est pour cela qu’il faut mettre ces gens et ces sujets sous les projecteurs. Ils n’aiment pas être mis dans la lumière.

L’élite est particulièrement impliquée dans ces réseaux (les familles royales, avocats, ministres etc). Pour ne citer qu’un exemple, on peut prendre le cas du prince Andrew:

http://www.chaos-controle.com/archives/2015/01/05/31263209.html

Vous ne verrez  que le sommet de l’iceberg dans ces vidéos.

Thierry Lévy
Subject: LEVY Thierry – Copyright: Maurice ROUGEMONT/Opale – Date: 20080107

 

Lors du visionnage des vidéos, vous deviendrez  fou de rage quand vous entendrez l’avocat Thierry Lévy s’offusquer sur France 3 sur le fait qu’on ne puisse pas abuser tranquillement les enfants dans notre société. (vidéo 1)

Egalement, vous verrez Maurice Gutman, membre du CRIF, demander à une fille de 12 ans de montrer son entrejambe sur Internet et de venir le rencontrer sur Paris, pour aller un plus peu plus loin dans l’horreur. Il s’est fait piéger par une émission de télévision. Il s’en est sorti avec un simple sursis !

Frédérick Mitterand a aussi avoué aimer les enfants, les jeunes garçons, « la chair fraîche« . Comme il le dit si bien, « au-dessus de 14 ans c’est dégueulasse« . Les réseaux pédophiles élitistes sont omniprésents dans l’Europe Occidentale, comme vous le verrez dans cette vidéo (fr):

Israël : Paradis pour le trafic d’organes

Les palestiniens, en plus d’être victimes de l’occupation, des meurtres, des tortures et autres spoliations, sont aussi une cible de choix pour le trafic d’organes dont l’entité sioniste est aujourd’hui, le leader mondial.

A la lecture de ces lignes, les défenseurs du régime criminel crieront certainement au complot antisémite et évoqueront les anciennes croyances médiévales racistes, prétendant que les Juifs tuaient les enfants chrétiens pour leur sang etc… Mais les faits sont implacables, à condition d’avoir de la mémoire et il n’est pas question ici de théorie du complot :

En effet, on se souvient qu’en 1998, un Ecossais mourait dans des circonstances étranges à l’aéroport de Tel Aviv, et que son autopsie réalisée à Glasgow révéla que le cœur, ainsi qu’un petit os du cou manquaient, ce qui poussa l’ambassade britannique à Tel Aviv à porter plainte contre l’État d’Israël.

En 2004, un réseau international de trafic d’organes qui avait des ramifications en Israël a été démantelé à Recife au Brésil impliquant là aussi deux citoyens israéliens dont un officier de l’armée en retraite qui avait expliqué au tribunal qu’il ne pensait pas que son activité était illégale puisque le gouvernement israélien finançait l’opération …

En 2009, un vaste réseau de trafic d’organes qui prenait source en Israël avait été démantelé par le FBI dans une opération gigantesque lors de laquelle 5 rabbins avaient été arrêtés (certains des organes avaient été prélevés sur des enfants enlevés en Algérie).

En 2010, le quotidien israélien Haaretz révélait que six Israéliens, parmi lesquels un général de brigade en réserve de l’armée et deux avocats avaient été arrêtés pour trafic d’organes.

En 2013,  un ex-officier israélien a été arrêté à Rome, il était responsable d’un trafic d’organes impliquant un groupe hospitalier privé de l’Afrique du Sud.

Il y a quelques jours, l’Israélien Gedalya Tauber a été arrêté en Belgique, il était le chef d’un important réseau de trafic d’organes, sévissant depuis des années au Brésil. Il est à noter que durant ses années de cavales, le criminel se déplaçait pourtant sans aucun souci en Israël ou aux USA….

Ce ne sont là que quelques exemples d’une longue liste d’affaires impliquant les réseaux israéliens de trafic d’organes, et les pays dans lesquels ils sévissent sont nombreux (Moldavie, Kossovo, Roumanie..), mais le premier d’entre eux reste évidemment, l’entité sioniste qui dispose de victimes de choix : les Palestiniens.

Dernièrement, aux Nations Unies, le représentant de l’Autorité palestinienne a accusé Israël de restituer les corps des Palestiniens tués avec des « organes manquants », ce qui a été qualifié de « diffamation sanglante » par l’occupant.

Pourtant, le 29 Octobre dernier, le rabbin Yaakov Menken qui gère l’un des sites juifs le plus important du monde a déclaré qu’il était « favorable au prélèvement d’organes sur des Palestiniens tués (qu’il appelle évidemment « terroristes ») ce qui n’avait ému personne dans notre patrie des droits de l’homme.

Etrange aussi que l’armée d’occupation ait décidé, dorénavant, de refuser de rendre à leurs familles les corps des martyrs palestiniens(d’ailleurs les cadavres de milliers de Palestiniens tués dans des conditions ambigües, n’ont jamais été restitués à leurs proches depuis de nombreuses années).

On se rappelle alors de cet article publié en été 2009, dans un journal suédois et qui avait créé une crise diplomatique entre Stockholm et Tel-Aviv. En effet, il dénonçait justement, l’affaire des vols et trafics d’organes prélevés sur des Palestiniens exécutés par l’armée israélienne.

Le journaliste Donald Bostrom y évoquait par ailleurs, le fait que les Palestiniens soupçonnaient fortement Israël de capturer des jeunes hommes qui  servaient de réserves d’organes avant d’être tués. Une accusation très grave, mais avec suffisamment de points d’interrogation pour motiver la Cour internationale de Justice (CIJ) à ouvrir une enquête sur d’éventuels crimes de guerre.

Il y racontait que lors de son séjour en Palestine occupée, des membres du personnel de l’ONU l’avaient contacté en affirmant que des vols d’organes avaient certainement lieu.

Évidemment, l’auteur avait été taxé alors d’ignoble antisémite, et aucun début de réponse n’avait été donné quant aux questions soulevées dans son article.

Ainsi, Israël est clairement et notoirement impliqué dans plusieurs affaires concernant le trafic d’organes, dans divers pays et depuis de nombreuses années, mais il serait inenvisageable qu’elle prélève illégalement les organes des Palestiniens qu’elle assassine impunément depuis des décennies ???

Pourquoi aucune émission télé ou radio ne parle de ce sujet qui est gravissime?

Pourquoi avoir peur de dévoiler la nature diabolique et criminelle de ce régime illégitime?

Pourquoi ce silence des habituels défenseurs des droits de l’homme ?

Pédophilie et esclaves sexuelles autorisées en ISRAEL

Les polices italienne et russe, en travaillant ensemble, ont démantelé un réseau de gangsters juifs impliqués dans le trafic de viol d’enfants et dans la pornographie.

Trois juifs russes et huit Juifs italiens ont été arrêtés après que la police a découvert qu’ils avaient kidnappé des enfants non-juifs âgés de deux à cinq ans, dans des orphelinats russes, violant les enfants, puis les assassinant en filmant leurs exploits. Des centaines de clients, dont 600 en Italie, et un nombre inconnu  aux États-Unis, ont payés jusqu’à 20.000 $ par film, dans lequel on voit des petits enfants violés et assassinés.

Bien A.P. (Associated Press) et Reuters rapportaient tous les deux ces informations, mais les groupes médiatiques américains ont refusé de porter l’histoire à la télévision, arguant que ce genre d’information pourrait nuire aux relations avec Israël.

La mafia juive en Russie est devenue de plus en plus liée au trafic des «esclaves blanches» et des prostituées vers Israël, selon un rapport récent dans le Jerusalem Post. Israël officiel ferme les yeux face à ces trafics, et ne punit pas les citoyens israéliens qui choisissent de posséder «esclaves sexuelles», tant que ces esclaves sont étrangères et non juives, car la tradition talmudique permet ce trafic.

Source : isamaria777

Etrange aussi que l’armée d’occupation ait décidé, dorénavant, de refuser de rendre à leurs familles les corps des martyrs palestiniens(d’ailleurs les cadavres de milliers de Palestiniens tués dans des conditions ambigües, n’ont jamais été restitués à leurs proches depuis de nombreuses années).

On se rappelle alors de cet article publié en été 2009, dans un journal suédois et qui avait créé une crise diplomatique entre Stockholm et Tel-Aviv. En effet, il dénonçait justement, l’affaire des vols et trafics d’organes prélevés sur des Palestiniens exécutés par l’armée israélienne.

Le journaliste Donald Bostrom y évoquait par ailleurs, le fait que les Palestiniens soupçonnaient fortement Israël de capturer des jeunes hommes qui  servaient de réserves d’organes avant d’être tués. Une accusation très grave, mais avec suffisamment de points d’interrogation pour motiver la Cour internationale de Justice (CIJ) à ouvrir une enquête sur d’éventuels crimes de guerre.

Il y racontait que lors de son séjour en Palestine occupée, des membres du personnel de l’ONU l’avaient contacté en affirmant que des vols d’organes avaient certainement lieu.

Évidemment, l’auteur avait été taxé alors d’ignoble antisémite, et aucun début de réponse n’avait été donné quant aux questions soulevées dans son article.

Ainsi, Israël est clairement et notoirement impliqué dans plusieurs affaires concernant le trafic d’organes, dans divers pays et depuis de nombreuses années, mais il serait inenvisageable qu’elle prélève illégalement les organes des Palestiniens qu’elle assassine impunément depuis des décennies ???

Pourquoi aucune émission télé ou radio ne parle de ce sujet qui est gravissime?

Pourquoi avoir peur de dévoiler la nature diabolique et criminelle de ce régime illégitime?

Pourquoi ce silence des habituels défenseurs des droits de l’homme ?

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Source :   

http://slisel.over-blog.com/2017/12/la-maffia-israelienne.trafic-d-organes-humains-et-pedophilie.html

 

 

 

 

 

 

 

La Criminelle Arnaque du COVID 19:SEPT principaux types de CANCER montent en flèche à cause des vaccins Covid

Qu’est-ce qui pourrait provoquer l’aggravation de presque tous les types de cancer en quelques mois seulement ? Quelle toxine tant d’humains « consomment-ils » au cours des deux dernières années pour que tant de cas de cancers augmentent de façon exponentielle ? Le cancer du sein invasif pour 2022 a été nouvellement diagnostiqué chez plus d’un quart de million de femmes, alors que les taux d’incidence continuent d’augmenter. De plus, en 2022, les cas de cancer du poumon nouvellement diagnostiqués ont dépassé 230.000, car ceux-ci continuent également d’augmenter. De plus, après des décennies de déclin, les cas de cancer de la prostate sont maintenant en augmentation.

 

 

 

Qu’est-ce qui se passe dans ce monde?

Curieusement, depuis la sortie des «vaccins» Covid-19, des millions de victimes injectées développent un cancer «à l’improviste» ou leur cas de cancer déclaré s’est soudainement aggravé, ou elles bien elles ont eu un cancer qui est entré en rémission, et tout à coup, il est revenu plus virulent. Cela nécessite un examen attentif. Regardons de plus près.

Augmentation spectaculaire des cancers à apparition précoce depuis la publication des vaccinsexpérimentaux d’ARNm Covid pour des essais de masse sur l’homme

On pourrait dire qu’il y a plusieurs milliards de cobayes sur terre, vacillant comme des zombies confus, se demandant pourquoi ils ont soudainement une inflammation chronique. Chaque être humain qui s’est fait injecter une « technologie » expérimentale d’ARNm est comme un cobaye testé en laboratoire, attendant de savoir si le « médicament » prend ou les retire à la place.
Des millions de décès par cancer sont désormais cachés par le complexe industriel médical et le complexe industriel des fabricants de vaccins.
Un médecin de la Colombie-Britannique, le Dr Charles Hoffe, a effectué des tomodensitogrammes TEP/TDM sur des patients cancéreux qui avaient reçu un rappel d’ARNm de Pfizer une semaine plus tôt et a constaté qu’ils avaient une progression rapide du lymphome à cellules T, une augmentation spectaculaire des lésions gastro-intestinales, plus un effet turbo de propagation des cellules dans les ganglions lymphatiques sous les bras près des aisselles. C’est ce qu’on appelle le TURBO CANCER parce que les protéines de pointe servent de carburant ou de carcinogène de type turbo qui alimente les cellules cancéreuses afin qu’elles se multiplient de façon exponentielle, envahissant le reste du corps. Les protéines de pointe désactivent littéralement les gènes qui combattent le cancer (P-53), laissant le génome sans surveillance.
Il s’avère que les protéines de pointe sont l’aliment idéal pour nourrir le cancer. Cela signifie que la majorité des patients vaccinés par Covid pourraient subir des dommages critiques pour leur santé dans les mois et les années à venir, d’autant plus que de plus en plus de personnes reçoivent des rappels. Les cellules cancéreuses du corps injecté par le vaccin Covid sont nourries, tandis que le système immunitaire humain reçoit l’instruction (pensez à l’ARNm) de se retirer et de ne pas combattre le cancer.

Les prions toxiques connus sous le nom de «protéines de pointe» sont reconnus par le système immunitaire comme des envahisseurs étrangers et des agents pathogènes qui envahissent les organes vitaux

Attaque des clones tueurs. De minuscules petits terroristes (protéines de pointe) déguisés et portant un « masque » qui ressemble à un virus concocté en laboratoire envahissent les organes humains, provoquant une attaque du système immunitaire, tout en nourrissant les cellules cancéreuses maléfiques du carburant dont elles ont besoin pour se développer et prendre le relais. Ces prions toxiques imitent un virus mortel, et ils ne restent pas au site d’injection, car le complexe industriel du vaccin désinforme les masses avec leur désinformation à ce sujet.

Quiconque lutte contre le cancer ou l’a déjà combattu et vaincu, a maintenant un nouveau défi à relever, et c’est plus une guerre qu’une simple bataille. Des millions de protéines de pointe flottent dans leur système injecté par le vax-Covid, et c’est comme répandre des bonbons dans la maison pour que les cafards et les fourmis les trouvent. Le cancer est nourri par les injections de Fauci, et les MSM n’en diront pas un mot. Il suffit de regarder la montée en flèche des cas de toutes sortes de cancers au cours des deux dernières années, et vous verrez.

#1. Turbo cancer– les tumeurs existantes se développent de manière exponentielle plus rapidement (plus de multiples tumeurs dans plusieurs organes)
#2. Cancer du sein
#3. Récidive (et métastases) après rémission complète avant injection(s) Covid
#4. Cancer du poumon et des bronches
#5. Cancer de la prostate
#6. Cancer du côlon et du rectum
#7. Cancer de l’estomac et de l’œsophage

Ajoutez Censored.news à vos sites Web préférés pour obtenir des informations sur le cancer et les injections de caillots Covid qui sont censurées par le reste des médias pendant que vous lisez ceci.

Par JD Heyes – Natural News Apr 20, 2023

Les sources de cet article incluent :

NaturalNews.com

News.Harvard.edu

ThePeoplesVoice.tv

Source
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Une ancienne infirmière qualifie le protocole hospitalier Covid-19 comme un « meurtre médical »

Une ancienne infirmière californienne qui a été licenciée pour avoir refusé de se faire «vacciner» contre le Covid-19 parle des horreurs dont elle a été témoin et endurées tout au long de la «pandémie».

Gail Macrae dit qu’elle soutenait des organisations comme les Centers for Disease Control and Prevention (CDC) et l’American Medical Association (AMA) avant le covid. Cependant, ce qu’elle a vu et ce qu’on lui a ordonné de faire aux patients dans le cadre des protocoles officiels du gouvernement a complètement changé son point de vue.

Avant d’être licenciée, Macrae a travaillé dans les hôpitaux, y compris dans l’unité de soins intensifs (USI), en tant qu’infirmière, et elle est également sage-femme. Elle a été employée au Kaiser Permanente Santa Rosa Medical Center de 2015 à 2021 lorsque l’opération Warp Speed a été lancée par l’administration Trump.
Vers le printemps 2020, alors que le covid augmentait vraiment, Macrae a commencé à remarquer des anomalies entre ce que les médias rapportaient et ce qui se passait réellement sur son lieu de travail.
« Les hôpitaux n’étaient jamais pleins de patients », a déclaré Macrae à propos du fait que son hôpital était tout sauf « débordant de patients » comme le rapportaient les médias menteurs à l’époque. « En fait, depuis le début de la covid, pendant toute la première année de cette pandémie, non seulement notre hôpital était en sous-capacité, mais j’étais employée à temps partiel. »
(En relation: Vous vous souvenez quand l’hôpital Sarasota Memorial en Floride a été surpris en train d’essayer d’assassiner des patients pour gonfler son nombre de covid et rendre la «pandémie» plus effrayante?)
Combien d’autres infirmières se sont fait dire de violer leur morale en assassinant des patients avec du remdesivir et des respirateurs ?
Le poste de Macrae à l’hôpital était per diem, ce qui signifie qu’elle était incapable de créer son propre horaire et de choisir quand travailler. Souvent, l’hôpital annulait ses quarts de travail parce qu’il n’y avait tout simplement pas assez de patients admis ayant besoin de soins.
Il s’avère que c’était également la «norme» tout au long de l’hiver 2020, ce qui est censé être l’époque durant laquelle les cas de covid étaient déclarés « hors de contrôle ». À deux reprises seulement, l’hôpital s’est rempli de patients, mais Macrae dit que ce n’était pas inhabituel pour cette période de l’année, même sans Covid
La seule chose qui a changé pendant cette période est que Macrae et ses collègues ont été forcés de dire aux familles des patients qu’ils ne pouvaient pas rendre visite à leurs proches, ce qui, selon elle, «violait» son éthique et sa morale.
Macrae a également été contrainte d’administrer des médicaments mortels comme le remdesivir, dont Tony Fauci a directement profité – mais ce « médicatement » ne fonctionne pas pour traiter le covid. Pendant ce temps, le personnel hospitalier s’est vu interdire d’administrer de l’hydroxychloroquine (HCQ) et de l’ivermectine aux patients.
« Et nous ne constatons aucune amélioration« , déclare Macrae à propos des protocoles officiels de covid qu’elle a été forcée d’administrer. « Et en fait, nous voyons des patients subir des défaillances multi-organes. »
Ni le CDC ni l’AMA n’ont jamais changé leurs politiques, malgré tout le carnage, ce qui montre bien qu’on ne peut pas faire confiance à ces organisations. De l’avis de Macrae, ce qu’ils ont dit aux travailleurs médicaux de faire tout au long de la covid équivaut à un « meurtre médical« .
« Je pense que ça vient de la combinaison du remdesivir et de l’isolement des malades. Durant des semaines les malades n’ont accès ni à la nourriture ni à l’eau », a-t-elle déclaré à propos de la façon dont ces protocoles ont mis fin à la vie de nombreux patients.
« Tous ces protocoles, la peur, l’isolement, les médicaments toxiques – j’ai préféré partie car j’avais l’impression d’avoir participé à un meurtre médical. »
Après le déclenchement des «vaccins» dans le cadre de l’opération Warp Speed, Macrae a commencé à voir un afflux de patients souffrant de crises cardiaques ou d’accidents vasculaires cérébraux – ou ce que l’on appelle dans le domaine médical des appels «code bleu».
« Et neuf fois sur 10, ces codes bleus étaient au niveau inférieur, jusqu’à la clinique, où ils injectaient des gens« , a déclaré Macrae. « Et deux de mes collègues sont en fait entrés en anaphylaxie après avoir reçu leurs injections. »

Les dernières nouvelles sur le génocide de masse covid peuvent être trouvées sur Genocide.news

Par Ethan Huff –  21 avril 2023

Les sources de cet article incluent :

AlphaNews.org

NaturalNews.com

 Source

 

 

 

 

 

 

La Criminelle Arnaque du COVID 19:La mise à mort des opposants à la politique de COVID depuis 2020

Il y a deux ans, on a enterré le président tanzanien John Magufuli. C’est le cas le plus connu de toute une série de décès soudains et mystérieux de personnalités influentes. Y a-t-il entre ces décès un lien plus profond ?

 

Transcription :

John Magufuli

 

 

Il y a deux ans, le 22 mars 2021, on a enterré le président tanzanien John Magufuli avec de nombreuses marques de condoléances. Dans sa nécrologie, le président du Malawi, Lazarus Chakwera, a souligné les réalisations exceptionnelles de Magufuli pour son pays pendant ses six années de règne. Il était une icône et un héros. Un héros tragique, comme nous allons le montrer ci-après. Parce que malheureusement ce n’est que le cas le plus connu de toute une série de morts soudaines et mystérieuses de personnalités influentes qui ont attiré l’attention en raison de leur prises de position contre la politique mondiale du Covid et ont été, pour ainsi dire, enterrées avec elles. Kla.TV a enquêté sur ces faits. Voici un aperçu :

Tanzanie

Magufuli s’est fait connaître au niveau international lorsqu’il a publiquement mis en doute la pertinence des tests PCR et mis fin à leur utilisation ainsi qu’à l’enquête de statistiques sur le Covid.

Il est l’un des rares chefs de gouvernement au monde à avoir résisté à la pression d’introduire des mesures coercitives contre son peuple. En juin 2020, il a déclaré son pays exempt de Covid. Son peuple l’a ensuite réélu le 28 octobre avec 84% des voix. Après avoir refusé les vaccins Covid début 2021 parce qu’ils n’avaient pas été suffisamment testés, un article sponsorisé par la fondation Bill et Melinda Gates a été publié le 8 février dans le quotidien The Guardian, déclarant que Magufuli représentait un danger pour la santé publique. Quelques jours plus tard, du 12 au 22 février, la Tanzanie a connu une série de décès d’hommes politiques de haut rang : le ministre du Travail dans un accident de la route, le secrétaire en chef de la présidence ainsi qu’un secrétaire d’État de longue date pour une raison inconnue. Le vice-président de Zanzibar et le directeur de la Banque de Tanzanie sont également décédés à cause du Covid-19. Le président Magufuli a été vu pour la dernière fois en public fin février et son décès a été annoncé en mars. Les causes évoquées sont aussi bien une maladie cardiaque que le Covid-19. Après la mort de Magufuli, sa successeuse Hassan a réintroduit le 6 avril l’enregistrement du nombre de cas de Covid pour la Tanzanie et a lancé peu après une campagne de vaccination.

Burundi

Le 12 mai 2020, le président Pierre Nkurunziza a expulsé les représentants de l’OMS du pays, car il ne souhaitait pas d’ingérence. Il s’est fermement opposé à un confinement et a qualifié la pandémie d’escroquerie.

Son successeur, Évariste Ndayishimiye, a qualifié le coronavirus de pire ennemi du pays et a lancé une campagne de détection.

Eswatini

Le Premier ministre Ambrose Mandvulo Dlamini souhaitait lutter contre la pandémie par ses propres moyens et continuer à développer les structures de santé déjà en place dans son pays. Il est décédé le 13 décembre 2020 à l’âge de 52 ans. Deux de ses ministres sont décédés peu après, en janvier, tous avec le Covid-19 comme cause de décès.

Le gouvernement a commandé 1,3 million de doses de vaccin pour l’Eswatini en janvier et les vaccinations ont commencé en mars avec AstraZeneca.

Afrique du Sud, Zimbabwé et Malawi

En janvier 2021, douze hommes politiques étaient morts en Afrique du Sud et quatre ministres au Zimbabwe voisin en l’espace d’une semaine.

Les événements au Malawi ont été particulièrement frappants : un tribunal a estimé qu’un confinement affecterait injustement la population pauvre, ce qui a poussé le gouvernement à ne pas l’imposer. En l’espace de 48 heures, trois ministres en exercice et l’ancien chef de la banque centrale sont décédés, tous victimes du Covid-19.

Six jours après ces décès, le gouvernement du Malawi a imposé pour la première fois un confinement, et en mars, les vaccinations ont commencé avec AstraZeneca.

Haïti
Jovenel Moïse
Jovenel Moïse

 

En Haïti, ni les autorités ni les habitants du pays n’ont respecté les mesures Covid, les centres de traitement ont fermé en raison du nombre insuffisant de patients. En mai, plus de 700 000 doses de vaccin ont été refusées, et en juin, à nouveau 130 000 doses d’AstraZeneca en raison d’effets secondaires possibles. Selon ce rapport, les autorités ont stoppé à plusieurs reprises l’importation de vaccins Covid, de sorte qu’en juin 2021, Haïti était le dernier pays américain où la vaccination n’avait pas encore commencé.

Dans la nuit du 7 juillet, 28 hommes lourdement armés se sont avancés vers la maison du président Jovenel Moïse. Certains ont pénétré dans sa chambre à coucher et l’ont abattu.

Après la mort de Moïse, des troubles massifs ont éclaté dans le pays. Insensible à cela, Haïti a lancé peu de temps après une vaste campagne de vaccination.

 

 

 

 

 

Allemagne

En automne 2020, trois hommes influents ont annoncé qu’ils s’opposeraient à un deuxième confinement : Thomas Oppermann, Mario Ohoven et Franz Klein.

• Thomas Oppermann a été vice-président du Bundestag allemand et a vivement critiqué la chancelière Merkel pour avoir voulu imposer les mesures Covid sans la participation du Parlement. Fin octobre, il a demandé un débat général sur les restrictions des droits fondamentaux. Il s’apprêtait à exposer sa position le 25 octobre dans l’émission « Berlin direkt » de la ZDF lorsque, à 66 ans, il s’est soudainement effondré et est décédé. La cause du décès n’a pas été élucidée.

ARCHIV – 13.02.2017, Berlin: Der BVMW-Präsident Mario Ohoven spricht während des Jahresempfangs des Bundesverbandes mittelständische Wirtschaft (BVMW). Über die Fragen Fachkräfte, Verdienst und Unternehmensstruktur diskutierten Vertreter von Wirtschaft, Politik und Wissenschaft beim ostdeutschen Wirtschaftsforum in Bad Saarow. Der Osten hat in den vergangenen Jahrzehnten zwar deutlich aufgeholt, liegt aber immer noch hinter den westlichen Bundesländern zurück. (zu «Osten liegt bei Löhnen und Produktivität weiter zurück») Foto: Rainer Jensen/dpa +++ dpa-Bildfunk +++ | Verwendung weltweit

 

• Mario Ohoven était président de l’Association fédérale allemande des petites et moyennes entreprises depuis 1998. Il a écrit plusieurs fois directement à la chancelière fédérale pour éviter un deuxième confinement. Dans un appel publié le 29 octobre, les points suivants ont été remis en question – je cite : « … si les mesures sont également proportionnées au sens juridique et donc en accord avec notre constitution. En tant qu’association, nous allons demander un tel examen dans l’intérêt des classes moyennes. A la fin, il pourrait y avoir une saisine de la Cour constitutionnelle fédérale. » Deux jours plus tard, le véhicule d’Ohoven a percuté la glissière de sécurité centrale sur l’autoroute pour une raison inconnue, entraînant son décès.

 

• Franz Klein était le chef de l’association des hôtels et restaurants de Hambourg. Lorsqu’en novembre, la loi sur la protection contre les infections devait être renforcée, l’association a annoncé qu’elle allait porter plainte devant la Cour constitutionnelle fédérale. Deux jours plus tard, Franz Klein est décédé de manière soudaine et inattendue à l’âge de 72 ans.

À partir du 2 novembre, l’Allemagne a connu un nouveau confinement, qui s’est durci en décembre. Ce n’est qu’au bout de quatre mois que des assouplissements progressifs ont été décidés.

Entre-temps, la campagne de vaccination, massivement promue comme seule issue à la pandémie, avait commencé.

Conclusion

Il est finalement impossible de dire si la mort de toutes ces personnalités est liée à leur attitude critique envers les mesures Covid. Ce qu’on peut dire, c’est que l’élimination de porteurs d’espoir qui s’opposent au diktat imposé d’un agenda global s’est déjà produite plus souvent. Selon les révélations de John Perkins, tueur en col blanc et ancien agent de l’Agence nationale de sécurité américaine (NSA), les opposants indésirables sont soit destitués de leur poste, soit ouvertement écartés du pouvoir, soit assassinés dans le cadre d’opérations clandestines des services secrets. Il semblerait donc qu’un énorme appareil composé de services secrets corrompus, d’organisations terroristes et même de tueurs à gages agisse dans l’ombre et ne recule devant rien pour influencer les développements dans la direction souhaitée.

Mais il semble que depuis le vent ait tourné. En effet, alors que les décès décrits par John Perkins n’ont été mis en lumière qu’après des décennies, l’accumulation frappante de décès mystérieux chez les opposants à la politique Covid est aujourd’hui révélée en temps réel. Cela montre la dynamique que le mouvement de clarification a atteint aujourd’hui et que rien ne peut plus rester caché.

source : Kla.tv

 

 

 

 

 

 

 

Nouvel Ordre Mondial Satanique:Des soldats russes découvrent des « usines à bébés » en Ukraine où de jeunes enfants sont élevés pour des bordels sexuels et pour le prélèvement d’organes

Une vidéo a fait surface de soldats russes décrivant comment ils ont trouvé une « usine à bébés » en Ukraine où de jeunes enfants sont élevés pour les bordels d’enfants pédophiles, ou assassinés pour prélever leurs organes et les vendre au marché noir.

La vidéo a été publiée par The People’s Voice, et ils mentionnent comment d’autres sources en Russie ont couvert cette question, et que les médias occidentaux l’excusent simplement comme de la désinformation ou de la propagande.

Mais les Russes ne sont pas les seuls à avoir documenté cette horrible pratique de trafic de bébés et de jeunes enfants à des fins sexuelles, puis de les assassiner pour leurs parties du corps.

Il y a deux ans, était  publié le documentaire  du producteur de films polonais Patryk Vega, intitulé « Les yeux du diable ».

Dans ce documentaire, Vega est en mesure d’interviewer l’un des trafiquants d’enfants qui trafique des bébés de Pologne et d’Ukraine vers des bordels pour enfants en Allemagne, où les enfants, généralement âgés de 5 à 7 ans, travaillent pendant quelques années dans les bordels. jusqu’à ce que leurs minuscules corps commencent à se décomposer, puis ils sont assassinés pour prélever leurs organes qui sont vendus aux riches et aux puissants.

Nous vous  avons ajouté ce vidéo à la fin de l’article afin de l’archiver.Il a été  censuré et exclus de you tube…bien entendu : « Un célèbre producteur de films polonais crée un documentaire exposant la vente de bébés à des fins sexuelles et de prélèvement d’organes » .Notre site web va rester  une mémoire vivante de ces crimes!

Ce n’est pas un documentaire facile à regarder, et j’ai été émotionnellement perturbé en le regardant, et j’ai couvert ce sujet du trafic sexuel d’enfants depuis près d’une décennie maintenant.

Voici la vidéo du soldat russe avec des sous-titres en anglais:

 

Voici pour finir le vidéo exposant la vente de bébés à des fins sexuelles et de prélèvement d’organes:

 

 

 

John Podesta a été pris en photo avec Justin Trudeau,le pseudo premier ministre cool et pro-arabe du Canada:le complot peut même avoir commencé là!
John Podesta est impliqué dans le vaste réseau de pédophilie mondial.
Jerry Epstein le fournisseur de jeunes victimes du réseau pédophile qu’il a créé.
Hunter Biden a profité de ce réseau pédophile de l’élite.

Nouvel Ordre Mondial:La dette, arme de destruction massive des économies occidentales

« Nous autres, civilisations, savons que nous sommes mortelles » (Paul Valéry)

Selon de nombreux stratèges et experts en économie et industrie militaire, pour la bonne santé du monde il faut une guerre tous les 30-50 ans : c’est ce qu’on nomme pudiquement la « destruction créatrice ». C’est d’ailleurs, une interprétation déviante de la théorie de l’économiste Schumpeter à propos des révolutions industrielles occidentales, créatrice d’emplois, de richesses et en « même temps » destructrice d’activités devenues obsolètes ainsi que des emplois inadaptés.

Or, il n’y a pas eu de guerre de haute intensité telle que celle qui oppose la Russie à l’OTAN, depuis la guerre du Vietnam.

On peut penser que nos « massacreurs du XXe siècle » soient en retard de plusieurs guerres. Mais rassurez-vous, dans cet entre temps qui n’est pas la paix mais la guerre sous le déguisement « des droits de l’homme et de la démocratie », ils ont eu le temps de massacrer plusieurs millions de musulmans, par le monde, et fait condamner à mort 500 000 enfants irakiens en les affamant par un blocus barbare… Il faut bien s’occuper quand on s’ennuie chez soi et qu’on a besoin d’énergie pour faire tourner son économie (Cf. l’Irak, la Libye la Syrie…) !

Les « 30 glorieuses » (1945-1975) qui se sont transformées en « 30 pouilleuses » sous le règne des 3 fossoyeurs, Sarkozy, Hollande et Macron, de la France gaullienne (le remplacement de la droite sociale par la gauche sociétale)… n’était, historiquement, que la fin de la queue de la comète de la reconstruction d’après-guerre et surtout du pillage industriel des richesses du continent africain !

La volonté du Forum de Davos (qui est le véritable conseil d’administration de la « multinationale monde » et qui a vocation à devenir le tuteur de la planète) était de provoquer une guerre en occident depuis au moins 2014 (date de la reprise de la Crimée par la Russie), voire début des années 2000 avec la « révolution orange de la place Maïdan).

La fin des 30 glorieuses coïncident avec la Loi du 3 janvier 1973 (ou loi Pompidou-Giscard-Rothschild) qui met fin à la nationalisation de la Banque de France et qui a pour conséquence « d’obliger » l’État a emprunté auprès des banques privées : la dette est née à cet instant. Depuis l’institution de l’Union européenne (UE), c’est même devenu interdit car c’est inscrit, expressément, dans la constitution européenne.

Au surplus, la fin de la convertibilité dollars-or, accords de Bretton-Woods n’était que l’hirondelle annonciatrice d’un « hold-up » qui permettra la mise en place de la dictature totale du billet vert sur le monde et de la financiarisation des économies occidentales : on produit moins en occident que l’on consomme, désormais !

C’est le système de l’Argent-Dette 

 

Petite piqûre de rappel historique : C’est à la suite de 2ème Guerre mondiale que sous l’impulsion du Conseil national de la Résistance (CNR) que la nationalisation de la Banque de France, et donc, la possibilité pour l’État français à taux zéro pour les dépenses publiques (hôpitaux, infrastructures, industries, recherches…) : c’est une époque révolue, au cours de laquelle les hommes politiques servaient les intérêts supérieurs de la nation française et non ceux des USA et de quelques banquiers tyranniques de la City de Londres et de Wall Street.

Revenons en l’an de grâce de l’année 2023 ou la montagne de dettes à atteint, dans le monde, la somme inhumaine de presque 1 million de milliards de dollars (dettes publiques, privées, ménages, entreprises et produits dérivés…). C’est à travers cette dette mondiale qu’il faut appréhender le phénomène méconnu qui est tirée de cette règle historique : ce ne sont pas les crises économiques qui décident des guerres mais plutôt les liquidations qu’elles exigent face aux dérives monétaires du crédit et de la dette.

En effet, nous avons intégré cette fausse idée que ce sont les crises qui mènent aux guerres, alors que c’est l’inverse.

C’est parce que l’occident a refusé l’amplitude de la dette, qui lui pendait au nez en 2015, 2017, 2019, 2020…que nous avançons vers la guerre.

Avoir refusé la crise de 2008 et donc avoir négligé le problème de l’endettement c’est le résultat qui va nous mener, demain, à l’affrontement inévitable.

À défaut d’avoir traité le cancer monétaire et d’amputer la tumeur de la dette, celle-ci fait des métastases, depuis longtemps, dans les sphères économique, sociale, politique et aussi, désormais, dans les sphères géopolitique et militaire.

Nous sommes passés d’une diplomatie « classique » à une diplomatie militairo-judiciaire du billet vert.

Depuis le début de l’année, deux « importantes » banques américaines (SVB et la Signature Bank… et quelques petites) ont fait faillite selon le FDIC et leurs actifs combinés représentent 319 milliards de dollars en termes d’actifs perdus (soit respectivement : 209 milliards de dollars pour la SVB et 110 milliards pour la Signature Bank)… hors faillite du Crédit Suisse, notamment. Ce constat nous fait dire que la crise de 2023 est la pire crise financière depuis la crise de 1929 !

À titre de comparaison :

  • En 2008, 25 banques ont fait faillite pour 374 milliards de dollars de perte d’actifs,
  • En 2009, 140 banques ont fait faillite pour 171 milliards de dollars de perte d’actifs,
  • 2011, 92 banques ont fait faillite pour 36 milliards de dollars de perte d’actifs.

Par ailleurs, il est erroné de croire que l’UBS (Union des Banques Suisses) a racheté le Crédit Suisse : elle a « saisi » le passif du Crédit Suisse (l’eau) pour le mélanger avec ses actifs (le lait). Ainsi l’actif net d’UBS est amoindri et l’actif net d’UBS-Crédit Suisse reste inchangé. Pourtant l’union de deux ânes n’a jamais engendré un étalon !

Il s’ensuit, à l’aune de ces observations, que d’une part, le franc suisse n’est plus une monnaie de refuge et que, d’autre part, la prochaine banque à s’effondrer sera l’USB ou la Deutsche Bank, ou la BNP… Car les causes objectives de la chute du Crédit Suisse demeurent inchangées.

Rappelons que la Deutsche Bank était cotée à 130 milliards de dollars au NYSE (New York Stock Exchange) en 2007. Après la crise de 2008, l’action a chuté brutalement et elle n’est jamais remontée : aujourd’hui l’action est estimée à 5 dollars !

La Deutsche Bank à 48 000 milliards de produits dérivés. Pour comparaison le PNB de l’Allemagne c’est 3500 milliards d’euros : presque 14 fois le PNB de l’Allemagne en produits dérivés. Le jour ou la Deutsche Bank est affectée, c’est tout le système financier qui s’effondre.

La secousse engendrée par la faillite du Crédit Suisse indique que le potentiel de crise latent va entraîner d’autres secousses et davantage violentes qui entraîneront, inévitablement, l’effondrement : le retour du réel !

Ainsi, depuis 1971 le dollar a perdu 98% de sa valeur. Les USA sont le seul pays qui peut imprimer de l’argent fictif « illimité » et l’échanger contre des biens réels provenant d’autres pays. La financiarisation des économies occidentales leur a permis de s’exonérer de produire des richesses mais de posséder les monnaies de réserve (dollar, euro). Aujourd’hui, le groupe des BRICS représente 80% de la production manufacturée mondiale ! La Chine produit 22% des machines agricoles quand les USA en produisent à peine 7% (comme l’Italie).

Les États occidentaux s’appauvrissent en ne produisant que du tourisme et des produits de luxe, mais au surplus leurs peuples font l’objet d’un « racket permanent » à travers les impôts et taxes qui au lieu de servir à financer des investissements et services publics sont destinés en réalité à payer les intérêts dont la dette publique est grevée : c’est une véritable expropriation en amont qui représente la souveraineté monétaire conférée au système financier privée.

Thomas Jefferson, père de la constitution américaine, luttait de toutes ses forces contre le pouvoir financier qui étendait ses griffes sur la nouvelle nation : « Je crois que, pour notre liberté, les institutions financières représentent un plus grand danger que les armées. Si les citoyens américains les laissaient contrôler l’émission de monnaie, les banques leur retireraient tous leurs biens jusqu’à ce que leurs enfants se réveillent sans abri. »

Le système financier est une oligarchie « extractive », au sens où il extrait la richesse des peuples et des citoyens ordinaires pour la transférer à lui-même, un gouffre dévorant vers le haut. Tout doit être leur propriété, y compris les êtres humains.

Michael Hudson, économiste, a consacré sa carrière à l’étude de la dette, à la fois la dette intérieure (prêts, hypothèques, paiement d’intérêts) et la dette extérieure. Dans ses travaux, il défend constamment l’idée que les prêts et les dettes à croissance exponentielle qui dépassent les bénéfices de l’économie réelle sont désastreux à la fois pour le gouvernement et les citoyens.

À l’aune de ces développements, il ressort que le dollar et l’euro sont non seulement en sursis mais que de surcroît il va forcément y avoir une accélération de la dette ; mais qu’en plus leur avenir face aux États « émergents » (ou plutôt le reste du monde) est plus que compromis à cause des taux d’intérêts.

Par conséquent, ils sont pris entre deux feux : soit ils laissent filer la dette et donc les monnaies s’effondrent ; soit ils maitrisent l’inflation mais les risques sont bien plus grands, puisque les acteurs économiques et les populations n’auront plus accès aux crédits (comme sous le Covid-19, le remède est pire que mal !).

Quelle que soit l’alternative entreprise, la croissance disparait, les industriels fuient la zone euro (et bientôt la zone dollar) et vont s’installer là où le coût des matières premières sont plus bas.

Cette perspective, qui est tout sauf une hypothèse d’école, rappelle le cas du Japon (vassal des USA) : aujourd’hui le Japon n’est plus un Producteur mais un Assembleur, dont la dette est colossale et une population de retraités. Parallèlement, la Corée du Sud, en l’espace de 30 ans a pris la place du Japon et pourtant au départ on avait le titan SONY qui dominait le marché contre SAMSUNG, ou TOYOTA contre KIA…

Quand la machine va s’enrayer, définitivement, le crack sera long et la récession de l’occident n’en sera plus que douloureuse.

Pour Michael Hudson, chercheur et historien de l’économie à travers les âges, démontre que s’il n’y a pas à un moment donné, un effacement pur et simple de la dette, le monde contemporain sera plongé directement dans l’âge sombre. En effet, comprendre le phénomène « Clean Slate » littéralement ardoise effacée, permet d’éviter à l’humanité de passer par la case autodestruction, comme l’a toujours fait le système capitaliste en phase de crise aiguë.

Qu’adviendra-t-il de la rivalité entre la Chine et les USA ? « Mad Max » ou « Soleil vert » (deux films visionnaires sur le monde du XXIe siècles) ?

Au fait, le film dystopique Soleil Vert se passe en 2022

 

 

source : Algérie54


EN COMPLÉMENTAIRE

L’économie mondiale dans l’expectative

 

Kristalina Georgieva, directrice générale du Fonds monétaire international s’est récemment exprimée1 sur l’état de l’économie mondiale et les solutions à lui apporter pour en améliorer la performance. Elle s’inquiète à juste titre de l’inflation, de l’endettement et de l’inégalité qui fragilisent les économies nationales. Malheureusement, les solutions qu’elle préconise sont mutuellement exclusives et sont donc inapplicables. La raison en tient à l’abstraction qu’elle fait des causes qui expliquent l’état de l’économie aujourd’hui. Nous nous y arrêtons un instant avant d’examiner ses propositions, et conclure que l’économie mondiale est proche d’une crise majeure.

 L’état de l’économie est la conséquence des remèdes apportés à la crise financière, dite des subprimes, de 2008. En un mot, au lieu de pénaliser les banques pour leur manquement à leur devoir fiduciaire, les gouvernements – Washington en tête – les ont soutenus au travers de déficits abyssaux (9,9% et 9,4% du produit intérieur brut américain en 2009 et 2010) et la fourniture d’abondantes liquidités qui en relevant la valeur des titres en bourse – les ont sauvées de la faillite. Les montants fournis par la Réserve fédérale dépassent l’entendement : 16 100 milliards de dollars de 2008 à 2010, selon le Governement Accountability Office2, équivalent de notre Cour des comptes. Ce chiffre correspond au produit intérieur brut de 2012 – c’est-à-dire à la richesse produite aux États-Unis cette année-là.

Il en a résulté un endettement exceptionnel des États – la dette publique américaine excède son niveau de 1945 – mais aussi une inégalité croissante des revenus et des patrimoines – les « sans-grade » payant les malversations de leurs banquiers. Pas étonnant que Kristalina Georgieva – et quelques autres – s’inquiètent de ce que l’avenir nous réserve. Que préconise-t-elle ? Elle émet trois priorités : éliminer l’inflation et l’instabilité financière, améliorer les perspectives de croissance, et promouvoir la solidarité.

Pour atteindre le premier objectif (éliminer l’inflation), les banques centrales doivent réduire les liquidités dans l’économie ce qu’elles ont commencé à faire – les États-Unis en tête. Depuis le 17 mars 2022, la Réserve fédérale relève son taux directeur, le portant de 0,25% à 5,00% aujourd’hui. La Banque d’Angleterre et la Banque centrale européenne suivent la même politique. Le Japon fait exception en maintenant son taux à son niveau de 2009 (0,30%).

En revanche, restaurer la stabilité financière pose problème. Récemment, trois banques3 aux États-Unis ont fait faillite. Ces banqueroutes tiennent tout à la fois de l’incompétence des dirigeants et de la politique de la Réserve fédérale qui, en relevant ses taux, a diminué la valeur de leurs actifs en portefeuille. Elles ont été rapidement liquidées ou rachetées.

Le problème serait résolu si cette même incompétence et cette même politique ne frappait pas l’ensemble du secteur, et plus particulièrement les banques dites « systémiques »4, c’est-à-dire celles capables de faire basculer tout le secteur bancaire dans l’insolvabilité. Le montant des pertes comptables – c’est-à-dire des pertes non-réalisées mais néanmoins réelles – est de 690 milliards de dollars, selon Martin Gruenberg5, directeur du Federal Deposit Insurance Corporation (FDIC)6 ce qui pourrait provoquer l’effondrement du secteur bancaire. Si une telle éventualité se présentait, la Réserve fédérale devrait injecter des liquidités dans l’économie – c’est ce qu’elle fit initialement pour soutenir les trois banques défaillantes. Ainsi donc, le premier objectif de la directrice générale du Fonds monétaire international pour consolider l’économie mondiale fait-il face à une contradiction : réduction des liquidités, d’un côté, et augmentation de l’autre.

Pour atteindre le second objectif, améliorer les perspectives de croissance à moyen terme, Kristalina Georgieva recommande de « stimuler la productivité et le potentiel de croissance en réalisant des réformes structurelles ». L’expression « réformes structurelles » est un euphémisme qui désigne les réformes à entreprendre pour limiter, voire éliminer, certaines formes de protection sociale. Ce commentaire confirme le précédent qu’elle inclut dans son premier objectif, à savoir la réduction des déficits budgétaires – autre euphémisme visant la protection sociale, jugée trop coûteuse. Les réformes structurelles réduiront la consommation des ménages. Or, les deux-tiers du produit intérieur brut des nations avancées reposent sur cette consommation.

Est-il possible d’accroître la croissance tout en réduisant la capacité des personnes à consommer ? Bien sûr que non. Stimuler la productivité, comme le recommande Kristalina Georgieva, augmentera le potentiel de croissance mais cela prendra du temps, sans compter que le résultat est incertain au vu des paramètres que cette solution implique. En résumé, la solution proposée pour atteindre le deuxième objectif est inopérante.

 

Le troisième objectif, la promotion des solidarités, fait partie du crédo occidental auquel plus personne ne croit depuis longtemps, les nations émergentes en premier auxquelles il est destiné. Inutile de s’y arrêter.

En résumé, il s’agit là d’un exercice de pure forme, convenu, sans grand intérêt d’autant qu’il occulte l’un des risques majeurs qui menace l’économie mondiale : les produits dérivés7. Ils sont inscrits au passif des banques, hors bilan, et échappent de ce fait aux règles prudentielles émises par les autorités nationales et internationales.

Le Crédit Suisse – 45ème banque mondiale – très actif en tant que contrepartie sur ce marché, virtuellement en faillite depuis plusieurs mois, a été racheté par son concurrent, l’Union des banques suisses (UBS), le 19 mars. Etonnant que Kristalina Georgieva n’y ait pas fait allusion car le marché des produits dérivés – cause probable mais non exprimée officiellement – de la faillite du Crédit Suisse est un marché énorme. Selon la Banque pour les règlements internationaux, il s’élève à 632 238 milliards de dollars, soit six fois le produit intérieur brut mondial.

Or ce marché qui couvre de nombreux segments de l’économie (taux de change, taux d’intérêt, produits pétroliers, céréales, etc.) est extrêmement spéculatif. Les banques les plus actives sont cinq banques américaines, JPMorgan Chase, Goldman Sachs, Citigroup, Bank of America et Morgan Stanley qui à elles seules comptabilisent près d’un tiers du risque total (189 893 milliards de dollars)8. Pour limiter leurs risques, elles s’en déchargent pour partie auprès d’autres banques. En tant que contrepartie, le Crédit Suisse est donc tout aussi exposé au risque de faillite que le sont ces banques. Le 19 septembre 2019, le marché au jour le jour de New York, ou marché des « repos »9, connut une crise de liquidité inattendue qui obligea la Réserve fédérale à intervenir. Aucune explication ne fut donnée mais la rumeur laissa entendre que les acteurs de ce marché ne souhaitaient plus prêter au Crédit Suisse. L’intervention de la Réserve fédérale sauva temporairement la banque et la crise fut évitée.             

Les produits dérivés sont l’une des causes principales de la fragilité des banques systémiques, comme l’a démontré la crise des subprimes de 2008. Par nature spéculatifs, ils sont sensibles aux variations de taux d’intérêt et aux évènements politiques. Le relèvement des taux d’intérêt, la guerre en Ukraine et les tensions en mer de Chine sont autant de facteurs susceptibles de provoquer des variations importantes dans la valeur des actifs auxquels ils sont adossés. Compte tenu de cette instabilité, une crise financière majeure ne peut être exclue. Le danger, dans cet environnement fragile, est qu’une banque systémique entraîne dans sa chute l’ensemble du secteur par un effet de dominos sans possibilité pour les banques centrales d’endiguer ce flot tant le volume des produits dérivés est important. Voilà l’état de l’économie mondiale – un état qui requiert l’attention des autorités.

envoyé par Dominique Delawarde

NOTES

  1. Sur la voie de la croissance : trois actions prioritaires, 6 avril 2023.
  2. Opportunities exist to strengthen policies and processes for managing emergency assistance. July 2011.
  3. Silicon Valley Bank, Signature Bank, First Republic.
  4. Les banques « systémiques » sont dites « trop grosses pour faire faillite », la défaillance de l’une d’elles entraînant l’effondrement du système bancaire. Cette désignation est une garantie informelle, mais réelle, du gouvernement fédéral qu’elles ne peuvent faire faillite.
  5. « Recent Bank Failures and the Federal Regulatory Response », March 28, 2023.
  6. Agence fédérale dont la responsabilité est de garantir les dépôts bancaires faits à concurrence de 250 000 dollars.
  7. Les produits dérivés sont des produits financiers dont la valeur dépend du prix d’un actif sous-jacent. Les banques les utilisent pour spéculer sur les cours d’actifs financiers ou réels sans avoir à le détenir.
  8. Source : Office of the Comptroller of the Currency, fourth quarter 2022.
  9. « Repos » pour Repurchase agreements.

 

 

 

 

La Criminelle Arnaque du COVID 19:Une plainte pénale en Belgique contre Ursula von der Leyen dans l’affaire des SMS avec Pfizer

Ursula von der Leyen

 

La justice belge est saisie d’une plainte pénale contre Ursula von der Leyen, la présidente de la Commission européenne. Il lui est reproché de s’être substituée au gouvernement fédéral durant la pandémie de Covid-19, en négociant un méga-contrat de vaccins par SMS avec le CEO de Pfizer. Puis d’avoir supprimé ces textos.

Ce fut un cadeau pascal inattendu pour le juge d’instruction financier Frédéric Frenay. Le magistrat liégeois vient en effet d’être saisi par un citoyen belge afin d’instruire une plainte pénale contre Ursula von der Leyen, la présidente de la Commission européenne. Une plainte qui n’est pas anodine puisqu’elle vise les qualifications d’« usurpation de fonctions et de titre », de « destruction de documents publics » et de « prise illégale d’intérêts et corruption ».

En clair, il est reproché à la présidente de la Commission de s’être substituée « sans aucun mandat » aux États membres de l’UE – dont le gouvernement fédéral belge – en négociant de façon « directe et secrète », par SMS notamment, des contrats d’achat de vaccins avec le CEO de Pfizer, Albert Bourla, durant la pandémie de Covid-19. Il est également reproché à Ursula von der Leyen d’avoir supprimé ces textos, une affaire connue sous le nom de « Deletegate » (de l’anglais to delete, effacer).

Ursula von der Leyen, ou la première plainte pénale dans l’UE

Jusqu’ici, cette affaire avait fait l’objet de plaintes administratives contre la Commission auprès de l’ombudsman européen (saisi par un journaliste allemand) et auprès de la Cour de justice de l’Union européenne (saisie par le New York Times). Avec cette nouvelle plainte, le Deletegate prend pour la première fois une tournure pénale dans un des 27 États-membres de l’UE. Et, ici, ce n’est plus la Commission qui est ciblée pour manque de transparence. C’est sa présidente, à titre personnel, pour des actes réprimés par le code pénal belge.

Plainte pénale contre Ursula von der Leyen : la présidente de la Commission est accusée d’avoir négocié, à la place des États, directement avec Albert Bourla, patron de Pfizer

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Le plaignant, Frédéric Baldan, 35 ans, est un lobbyiste professionnel accrédité auprès des institutions européennes. Il est spécialisé dans les relations commerciales entre l’Union européenne et la Chine. En 2019, il a participé coup sur coup à la mission économique de la Région de Bruxelles-Capitale à Shenzen, puis à la mission fédérale à Pékin et Shangaï en présence de la princesse Astrid. En 2021, son principal client fut la start-up carolo Venyo, pépite wallonne de l’aéronautique alors en quête d’un repreneur.

Accompagné de son conseil, Mme Diane Protat, avocate au barreau de Paris, Frédéric Baldan a déposé plainte mercredi 5 avril, au tribunal de première instance de Liège, directement entre les mains du juge Frenay. Le lobbyiste européen, qui réside non loin de Hannut en province de Liège, s’est constitué partie civile et évalue son préjudice moral à 50 000 euros. Il estime en effet que le comportement de la présidente von der Leyen a porté atteinte « aux finances publiques de la Belgique » et « à la confiance publique ».

Cette dernière est définie dans la plainte comme étant la « croyance collective dans l’État en tant que puissance institutionnelle de réalisation du bien commun ». En quelque sorte, en négociant sans mandat, seule et secrètement avec le big boss de Pfizer, à la place du gouvernement belge, la présidente de la Commission aurait sapé la confiance citoyenne dans la puissance publique de l’État belge.

Plainte contre Ursula von der Leyen : un contrat de 35 milliards d’euros

Quant aux finances publiques belges, elles auraient, selon le plaignant, été lésées par les négociations d’Ursula von der Leyen avec Pfizer concernant un méga-contrat signé le 19 mai 2021 par la Commission et la firme américaine. Il s’agit du troisième contrat signé par l’exécutif européen avec l’entreprise new-yorkaise. Et c’est de loin le plus important : il porte sur 1,8 milliard de doses de vaccin, là où les deux premiers contrats avec Pfizer ne concernaient, chacun, « que » 300 millions de doses.

Ce troisième contrat pèserait 35 milliards d’euros s’il est pleinement exécuté. C’est le plus gros contrat de tous ceux signés par la Commission avec des firmes pharmaceutiques. En effet, comme le relève la Cour des comptes européenne, « entre août 2020 et novembre 2021, la Commission a signé 11 contrats avec huit fabricants de vaccins, permettant d’obtenir jusqu’à 4,6 milliards de doses de vaccins pour un coût total escompté proche de 71 milliards d’euros. »

Des commandes gonflées aux hormones

En juin 2022, une coalition de dix États membres d’Europe de l’Est réclamait une renégociation de tous ces contrats signés avec les fabricants, dont, forcément, le plus important d’entre eux avec Pfizer. La raison ? Les quantités de vaccins livrées dépassent largement les besoins des pays signataires. Résultat : tous ces stocks reçus et facturés ont pour effet de plomber les finances nationales de ces dix États membres.

Bref, lors des négociations préliminaires, de bonne foi ou sous l’influence de l’industrie pharmaceutique, les commandes réalisées par la Commission semblent avoir été gonflées aux hormones. Cette observation concerne l’ensemble des 11 contrats dont celui qui, à lui seul, représenterait la moitié du budget global européen dévolu aux vaccins.

62% des vaccins belges « en trop »

Tous les États membres, dont la Belgique, ont donc des surplus. Les surplus belges sont de deux ordres : les stocks restants et les doses données aux pays en développement. Au 9 décembre 2022, les stocks de doses de vaccins contre le covid-19 disponibles dans le royaume s’élevaient à 13,5 millions de doses (dont 9,2 millions achetées à Pfizer), selon les chiffres publiés par l’Institut de santé publique Sciensano.

Quant au nombre de vaccins donnés via l’aide au développement, il s’élevait à 11,6 millions de doses (dont 2,5 millions de vaccins Pfizer) en date du 15 septembre 2022. L’Institut de santé publique souligne d’ailleurs que « la Belgique compte parmi les pays ayant fait proportionnellement don du plus grand nombre de doses de vaccins compte tenu de sa population ». Résultat des courses, la Belgique a acheté 25,1 millions de doses surnuméraires, soit 62% de l’ensemble des vaccins livrés. Près de la moitié de ces vaccins « en trop » (11,7 millions de doses) ont été acquis auprès de Pfizer.

Au total, fin 2022, la Belgique avait en effet reçu 40,4 millions de doses tous fabricants confondus. Au sein de ces livraisons, Pfizer se taille la part du lion avec 27,9 millions de doses, toujours selon Sciensano. Ainsi, près de sept vaccins sur dix livrés à la Belgique l’ont été par la firme dirigée par Albert Bourla.

Le CEO de Pfizer a confirmé à nos confrères du New York Times, fin avril 2021 juste avant la signature du méga-contrat, qu’il avait créé un vrai lien personnel avec la présidente de la Commission européenne. Il a déclaré avoir « développé une profonde confiance [avec elle], car nous avons eu des discussions approfondies ». Il a ajouté : « Elle connaissait les détails des variants, elle connaissait les détails de tout. Cela a rendu la discussion beaucoup plus engagée ».

Le 18 juin 2020, la Commission a signé un accord avec les 27 États membres. Cet accord autorise l’exécutif européen à conclure en leur nom des contrats d’achat anticipé (Advance Purchase Agreements ou « APA ») avec des fabricants de vaccins. L’accord met en place un comité de pilotage et des équipes de négociateurs dont les compositions sont précisées.

Or, souligne la plainte pénale entre les mains du juge Frenay, dans cet accord, « aucune attribution particulière n’est conférée à la présidente de la Commission, madame Ursula von der Leyen, qui n’est partie ni au comité de pilotage ni aux équipes de négociateurs. La présidente de la Commission ne pouvait donc se prétendre chargée de la conduite des négociations. »

Opacité et règles bafouées

Quoiqu’il en soit, la Cour des comptes européenne a épinglé ces négociations « en solo » de von der Leyen dans un rapport spécial sur l’acquisition des vaccins, publié en septembre dernier. « Nous n’avons reçu aucune information sur les négociations préliminaires pour le plus important contrat de l’UE », peut-on lire en page 33. La gardienne des finances de l’UE avait demandé à la Commission de lui fournir, pour ce méga-contrat, la liste des experts scientifiques consultés et les conseils reçus, le calendrier des négociations, les procès-verbaux des discussions et le détail des modalités convenues. Elle n’a rien reçu.

La Cour des comptes européenne confirme en outre que les règles de négociation fixées par la Commission ont été bafouées par Ursula von der Leyen : « Au cours du mois de mars 2021, la présidente de la Commission a mené les négociations préliminaires ayant pour objet un contrat avec Pfizer/BioNTech. Il s’agit du seul contrat pour lequel l’équipe conjointe de négociation n’a pas participé à cette étape des négociations, contrairement à ce que prévoit la décision de la Commission relative à l’acquisition de vaccins contre la COVID-19. »

Le Parquet européen a ouvert une enquête

Un auditeur de la Cour des comptes européenne, interrogé par le magazine Politico, a déclaré que les négociations préliminaires d’Ursula von der Leyen avaient été déterminantes pour les termes de l’accord final : « Les aspects essentiels des contrats ont été convenus de manière informelle. Ce n’est qu’après la conclusion de cet accord informel que le processus formel a pu se poursuivre. C’était vraiment essentiel pour les négociations. »

En octobre dernier, le Parquet européen (OEPP) a confirmé avoir ouvert une enquête sur l’ensemble du processus d’acquisition des vaccins anti-Covid-19 dans l’Union européenne. Sur le fond, rien n’a jamais filtré. Mais la nature des SMS échangés entre Ursula von der Leyen et Albert Bourla devrait logiquement constituer un des volets de cette enquête. Si ces messages ont effectivement été effacés du smartphone de la présidente de la Commission, une copie devrait toujours figurer dans celui d’Albert Bourla. Qui pourrait être saisi par le Parquet européen. Ou par le juge d’instruction liégeois.

source : Le Vif


EN COMPLÉMENTAIRE

Gros scandale Covid : L’UE a débloqué plus de 71 milliards d’euros pour acheter des vaccins

Sollicitée par des euro-députés européens et des personnalités politiques de premier plan, Ursula von der Leyen, présidente de la Commission européenne, refuse, jusqu’à présent, à rendre publics les contrats de vaccins signés avec les labos. 

En attendant le verdict de la justice (car une plainte a été déposée par le New York Times pour que ces contrats soient publiés), voici ce que nous savons de cette affaire qui, depuis deux ans, alimente la chronique en Europe et déclenche une vive colère des citoyens et journalistes

Excellente lecture

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L’Union européenne a dépensé plus de 71 milliards de dollars dans des contrats signés avec des laboratoires pharmaceutiques pour se procurer des doses de vaccins.

Un pognon de dingue a été trouvé pour vacciner à tour de bras. Si l’Europe a, ces dernières années, fait de nombreux sacrifices pour supprimer des emplois faute d’argent, lors de la pandémie à Coronavirus, comme par hasard, des milliards de dollars ont été trouvés pour signer des contrats avec les labos.

Et la somme, dévoilée par le média américain Forbes, risque de déclencher l’immense courroux des antivax mais aussi des défenseurs des causes sociales qui n’ont cessé de dénoncer le piteux état de l’hôpital (français) par exemple où des milliers de lits ont été fermés ces dernières années.

En effet, d’après une information de Forbes publiée ce 12 septembre et lue par Lecourrier-du-soir.com, la Commission européenne a bien cassé sa tirelire en dépensant plus de 71 milliards d’euros dans des contrats signés avec des laboratoires. D’après cette source, cette somme a permis de garantir 4 milliards 600 millions de doses de vaccins pour les pays européens. Le média dit tenir cette information d’un rapport rendu public par le Tribunal des Comptes de l’UE.

L’information a été confirmée par le média espagnol, El Periodico. À en croire cette source, entre août 2020 et novembre 2021, l’Union européenne a passé 11 contrats avec 8 laboratoires pour un coût d’environ 15 euros la dose. Et ce n’est pas tout. La source ajoute qu’à la fin de l’année 2021, le coût s’élevait déjà à 71 milliards d’euros.

Et Pfizer remporte le gros lot. En effet, d’après les informations obtenues par le média espagnol, le géant américain Pfizer a été le plus choyé dans les contrats que l’UE a passés avec les labos. Ainsi, à lui seul, Pfizer a encaissé 2 milliards 400 millions d’euros dans trois contrats qui lui ont été accordés.

source : Le Courrier du Soir

 

 

 

 

 

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