Le super-volcan de Yellowstone menace de se réveiller plus tôt que prévu. Les chercheurs de l’Arizona State University s’inquiètent des retombées du nuage de cendres et de dioxyde de carbone à l’échelle de la planète.
Le volcan dans le parc national du Yellowstone, situé dans le Wyoming et le Montana aux États-Unis, est l’un des 20 super-volcans de la Terre. Et celui-ci menace de se réveiller plus tôt que prévu… Selon National Geographic, des chercheurs de l’Arizona State University ont étudié pendant plusieurs semaines les dépôts fossiles des cendres retombées lors de la dernière éruption. En analysant les minéraux, ces spécialistes ont remarqué une évolution de la température en quelques dizaines d’années alors qu’ils pensaient qu’il faudrait quelques milliers d’années avant d’observer la moindre modification.
Entré en éruption pour la dernière fois il y a 640.000 ans, selon National Geographic, les chercheurs estiment que le volcan du Yellowstone est censé se réveiller tous les 600.000 ans. Ils ont déterminé qu’il rejeterait 1000 km³ de cendres et de dioxyde de soufre dans l’atmosphère, soit 2500 fois plus que lors de l’éruption du Mont Saint Helens en 1980. Cet amas expulsé pourrait réfléchir la lumière du Soleil sur une partie de la Terre, provoquant un « hiver volcanique ».
Inquiètant, lorsque l’on sait que sous la chambre magmatique, se trouve un gigantesque réservoir de magma, mesurant 19 km de haut sur 64 km de long et 40 km de large. Les roches en partie fondues qu’il contient rempliraient 11,2 fois le Grand Canyon du Colorado, ont calculé des volcanologues dont les travaux ont été publiés par le journal américain Science.
S’ensuivrait une chute brutale des températures pendant des mois, voire des années, empêchant toute culture agricole de la terre. Les cendres pourraient recouvrir le sol sur une épaisseur d’au minimum 2,5 centimètres tandis que des pluies acides dues à la présence de dioxyde de soufre dans l’air détruiraient une partie des récoltes de l’agriculture et polluerait une bonne partie des eaux.
Certaines projections font aussi état de 90.000 morts, suite à l’éruption du super-volcan, d’autres décès interviendraient dans la foulée.
Le Pentagone a révélé qu’ils ont récupéré des alliages métalliques d’un OVNI qu’ils ne reconnaissent pas. Les matériaux sont censés avoir des propriétés qui sont incroyables et sont actuellement censés être stockés dans des bâtiments à Las Vegas qui ont été modifiés,peu après le stockage des matériaux.
DOD admis à 22 millions de dollars Secret Programme d’enquête sur les ovnis
Le ministère de la Défense a admis qu’il y avait un programme qui avait été gardé secret qui a coûté 22 millions de dollars et ce programme a fonctionné entre 2007 et 2012, et son seul but était de se pencher sur les rapports d’OVNIS et d’enquêter avec discrétion.
Un auteur du New York Times qui a révélé que les matériaux ont des propriétés étonnantes a déclaré que les scientifiques essayaient de découvrir ce qui se cache derrière leurs propriétés.Ralf Blumenthal a poursuivi en disant que le ministère de la Défense n’avait aucune idée de ce que sont les matériaux car c’était un composé qui leur était inconnu.
En 1945 ,il y eu le Crash d’un OVNI à San Antonio, au Nouveau-Mexique :l’enquête compris l’analyse microscopique de matériaux réels pris à partir des débris de l’OVNI.
Le Pentagone a été invité à commenter mais ils (les responsables) ont refusé de commenter. Le New York Times a également déclaré que des chercheurs avaient étudié des personnes qui prétendaient avoir des effets physiques après avoir eu des rencontres rapprochées avec les phénomènes OVNI. Une vidéo qui avait été précédemment classée a été révélée par le ministère de la Défense, et elle a montré les réactions des pilotes de la Navy qui ont été envoyéspour regarder un OVNI car il planait juste au large de la côte de San Diego.
Le film, qui vient juste d’être publié, a montré une rencontre en 2014 entre ce qui était censé être un objet de la taille d’un avion typique et les Super Hornets F / A-18 de la Navy, qui ont décollé du porte-avions Nimitz . Le capitaine de frégate Jim Slaight et le commandant David Fraver participaient à une mission d’entraînement routinière à environ 100 milles au-dessus de l’océan Pacifique et on leur a demandé d’aller voir l’objet. Fraver a dit que l’objet semblait avoir environ 40 pieds de long et qu’ils ne pouvaient pas y voir de rotors, de panaches ou d’ailes. Il a également souligné que l’objet était capable de distancer les F-18 dans lesquels ils se trouvaient et aussi assez grand pour faire le barattage de l’océan, qui était d’environ 50 pieds en dessous.
Blumenthal a dit que même aujourd’hui personne n’a une idée de ce que l’objet a été vu cette nuit-là. Beaucoup de recherches ont été faites pour essayer d’identifier les moyens de propulsion des objets ainsi que leur aérodynamique phénoménale, qui ne représenteraient rien de ce qui a été vu sur Terre dans aucun pays. Les experts ont dit qu’il y a généralement une bonne explication des observations d’OVNIS et qu’elles peuvent être expliquées, et il faut faire attention de ne pas sauter à la conclusion qu’elles sont extraterrestres juste parce qu’il n’y a pas eu d’explication mondaine.
AATIP peut ne pas être complètement fermé vers le bas
Alors que le Pentagone a déclaré que le Programme d’identification avancée des menaces aériennes avait été fermé il y a cinq ans en raison des fonctionnaires du ministère de la Défense déplaçant des fonds vers d’autres priorités, ses partisans disent qu’il est resté en vie sous une certaine forme.
Laura Ochoa, porte-parole du Pentagone, a révélé que l’AATIP a pris fin en 2012 après que d’autres priorités aient été annoncées. Ochoa a été demandé si le Département de la Défense avait continué à se pencher sur les observations d’OVNI suite à la dissolution, elle a dit que le DOD avait pris des menaces potentielles très au sérieux et ils ont pris des mesures si toute information crédible venait à être révélée.
Que savons-nous…
Que savons-nous? Nous savons que le gouvernement ment tout le temps à tout. Nous savons que le pentagone achète des médias et influence autrement les médias. Nous savons que sur le NYT,on ne peut pas faire confiance. Nous savons qu’ils nous ont menti dans la guerre en Irak, au Viet Nam, à la guerre de 1812 et à chaque action en Amérique du Sud et aussi à beaucoup d’autres opérations de faux-drapeaux. Des tas d’actions illicites de la CIA, du FBI, de la DEA, etc.,nous sont connus. Ce même gouvernement a tué JFK, Bobby, King et d’autres. Alors pourquoi devrions-nous faire confiance à cela? Pourquoi ne serait-ce pas une sorte de manipulation? Peut-être pour nous distraire du fait qu’un coup d’État est en train de se produire? Le rasoir d’Occam: Il est beaucoup plus probable que le gouvernement tire nos chaînes et ce qu’ils nous disent n’est pas vrai. Le cinéma et une bonne histoire ne sont pas des preuves. Juste un autre faux drapeau (false flag) très popularisé.
Les Alliages et les technologies extraterrestres récupérées de la zone d’accident d’OVNI et leur utilisation par l’armée
Bien que l’opinion publique américaine ait insisté pour déclassifier les documents d’incident de Roswell, les autorités américaines n’ont pas suivi ces étapes et ont même contourné la loi sur l’obligation de déclassifier les documents après un certain nombre d’années.
Cependant, des informations sur ce qui s’est passé à Roswell sont venues de divers scientifiques qui ont indépendamment enquêté sur l’incident.
L’affaire Roswell s’est déroulée de la même manière en 1986 à Dalnegorsk, URSS.
Le 29 janvier, les habitants de Dalnegorsk ont remarqué une sphère lumineuse qui s’est écrasée sur une colline voisine. L’objet était à une vitesse de 15 km / h et volant chaotique, montant, descendant, volant en zigzag. Après l’effondrement, l’épave a brûlé pendant une heure.
Parce que l’accès à la zone de l’accident était difficile, l’armée est arrivée à l’épave le lendemain.En plus de l’épave, des sphères contenant de l’or, du fer, du magnésium et de l’aluminium ont été récupérées sur les lieux de l’accident.
Métaux extraterrestres et alliages | Quand leur accident a façonné notre histoire
La zone a été évitée par les animaux et les insectes pendant trois ans, le niveau de radioactivité étant élevé.
Périodiquement, il attire l’attention des personnes intéressées, à travers des témoignages ou des documents, sur l’incident de la forêt de Rendlesham dans le Suffolk, à environ 150 kilomètres au nord-est de Londres, considéré comme le plus important événement ovni du Royaume-Uni.
Ici, en 1980, deux bases militaires inaugurales, Bentwaters et Woodbridge, ont été louées à la Force aérienne de l’OTAN et ont accueilli un nombre indéterminé d’ogives nucléaires.
À l’aube du 27 décembre 1980, vers 3 h, une patrouille de sécurité près de la porte est de la RAF Woodbridge a signalé que des lumières étranges avaient atterri dans la forêt voisine de Rendlesham. Croyant qu’un avion s’était écrasé ou avait atterri, une troupe de trois soldats a marché à pied pour enquêter sur ce qui s’était passé.
Au début, ils ont vu des lumières étranges se déplacer à travers les arbres, ainsi qu’une forte lumière provenant d’un objet non identifié.
Puis, comme indiqué, ils y ont vu une forme triangulaire étrange, brillante, apparemment métallique, d’environ deux à trois mètres de large à la base et d’environ deux pieds de haut.
Il y avait une lumière pulsante rouge sur le dessus et un laiton bleu bleu dessous. Lorsque la patrouille s’est approchée de l’objet, elle a manoeuvré à travers les arbres et a disparu.
L’objet a également été trouvé pendant une courte période, environ une heure, près de la porte arrière. Il a réapparu la nuit suivante.
Qui sont-ils…d’ou viennent-ils? Il y aurait plus de 42 races extraterrestres qui nous visitent depuis des temps fort reculés!
Dans sa jeunesse, Trump avait un mentor, le fameux avocat homosexuel juif de la mafia new-yorkaise nommé Roy Cohn (1927-1986) qui lui a appris comment être une brute et un tyran. Heureusement pour notre bien à tous, Cohn n’a pas totalement réussi, car Trump a mieux appris.
Donald Trump en compagnie de Roy Cohn.
« Lorsque vous êtes en présence de Cohn, vous savez que vous êtes en présence du mal à l’état pur ». – Victor A. Kovner, avocat, qui a connu Cohn pendant des années.
Roy Cohn, l’avocat de la mafia, était plus qu’un simple « consigliere » (conseiller) dans l’histoire de Trump. Il était le mentor de Donald, son parrain.Si Trump a reçu une éducation au-delà de ses deux années à Fordham et en tant qu’étudiant occasionnel à Wharton («Je suis une personne intelligente, je suis allé à la Wharton School of Finance»), c’était de son guide dans les cercles de l’Inferno (l’enfer) qu’il a reçu sa maîtrise en méchanceté et en malice.
Trump était un élève apte à l’agressivité. «Je ne pense pas que Roy m’ait donné ça», a déclaré Trump au Washington Post. « Je pense que j’ai un instinct naturel pour ça ».
Il n’avait pas vraiment besoin d’une éducation « sans cœur », mais il en a appris les subtilités de Cohn. Offrant à son maître son plus grand éloge, Trump l’a appelé «un génie total … il est prêt à brutaliser pour vous».
Qui est COHN ?
Comme Trump, Roy Cohn était le fils choyé d’une famille de New York politiquement active. Son père, Albert Cohn, était un acteur important dans le Parti démocrate du Bronx. Il était un procureur adjoint de district, a été nommé à la division de la Cour suprême de New York, et présidait le Bronx.
Roy Cohn était un enfant prodige; Diplômé de la Columbia Law School à l’âge de vingt ans, il a été nommé assistant du procureur des États-Unis pour le district sud de New York. Il s’est fait connaître pour sa propre publicité en donnant de fausses fuites au New York World Telegram. Il a été chargé de poursuivre les agents communistes, organisant plusieurs procès importants, y compris l’un des 11 fonctionnaires du Parti communiste pour subversion.
Des supporters de Julius et Ethel Rosenberg manifestent devant Penn Station à New York durant leur procès.
En 1951, il a pris le contrôle effectif du procès de Julius et Ethel Rosenberg, accusés d’avoir volé des secrets atomiques. Il a tiré les ficelles pour nommer à la fois le procureur en chef et le juge, et a ensuite exhorté le juge à imposer la peine de mort, bien que la preuve contre Ethel Rosenberg fût fragile. Le tour de force deCohn le porta à l’attention du sénateur Joseph McCarthy, qui l’engagea comme avocat principal dans ses enquêtes sur la chasse aux rouges. Après la Peur-des Rouges est venue la Peur-Violette une vague de persécution des homosexuels, quand Cohn a lancé une campagne contre les homosexuels dans les emplois du gouvernement, même si il était lui-même un homosexuel renfermé et honteux.
AVOCAT de la MAFIA
Cohn ouvrit un cabinet à New York, prenant pour clients des chefs de la mafiaTony Salerno, Paul Castellano, John Gotti et Carmine ‘The Cigar’ Galante, sous-chef de la famille Bonanno – ainsi que l’archidiocèse catholique de New York et les Yankees de New York.
Donald Trump a rencontré Roy Cohn à une discothèque privée de New York, Le Club, en 1973, quand Trump avait 27 ans et avait un sérieux problème. Le ministère de la Justice le poursuivait lui et son père pour discrimination raciale (refus de louer aux Noirs) dans leur immeuble sis 100 Central Park South. [Source]
« Mon point de vue est de leur dire d’aller en enfer« , a conseillé Cohn, « et de combattre la chose au tribunal. » A partir de ce moment, Cohn et Trump étaient devenus inséparables. Cohn se rappela que Trump l’appelait plus d’une douzaine de fois par jour. Avec Cohn comme leur avocat, les Trump ont intenté une contre-attaque contre le gouvernement fédéral pour avoir utilisé des «tactiques semblables à la Gestapo». Leur procès a été immédiatement rejeté et deux ans plus tard, les Trump avaient été contraints de signer un document leur interdisant de s’engager dans des pratiques discriminatoires.
Cohn était le sorcier et Trump l’apprenti.
Donald a appris de Roy comment le monde fonctionne. Ce dernier était non seulement un brillant avocat, mais aussi un stratège brillant qui a compris le système politique et comment en jouer comme un violon. Pour Trump, Roy était plus que son avocat personnel.
« Attrape chattes » au studio 54
Cohn a initié Trump à la « vie mondaine » dans le club le « plus chaud » de la ville, le Studio 54.
«Ce qui s’est passé au Studio 54 ne se reproduira plus jamais», a déclaré Trump à un journaliste beaucoup plus tard. Il a dit aussi :
« j’ai vu des choses qui se passent là-bas que je n’ai jamais revu, je regarderais des mannequins se faire défoncer, des mannequins bien connus. Elles se font baiser sur un banc au milieu de la pièce, il y en a sept et chacune se fait baiser par un mec différent, c’était au milieu de la pièce, des trucs qui ne pouvaient pas arriver aujourd’hui à cause de problèmes de mort par le Sida. «
Cohn a « huilé les rouages » avec des faveurs. «Je dois connaître tout le monde», a déclaré Trump. Cohn s’arrangea pour que la mafia construise les tours de Trump et fournisse une protection contre les « perturbateurs » du travail. «Vous savez combien d’avocats à New York représentent et défendent des personnalités du crime organisé? Cela signifie-t-il que nous ne sommes pas censés les utiliser? » a demandé Trump.
Cohn a écrit l’accord prénuptial de Trump, stipulant que sa femme Ivana retournerait tous les cadeaux en cas de divorce, et l’a forcée à signer. Cohn a même suggéré à cette dernière un associé pour lui servir d’avocat. « Je n’achèterais jamais de bijoux ou de tableaux décents à Ivana, pourquoi lui donner des biens négociables? » dit Trump à ses amis, d’après Vanity Fair.
Quand quelqu’un résistait aux demandes de Trump, il le menaçait en agitant la photo de Cohn dans son visage. Préféreriez-vous avoir affaire avec lui? Disait-il.
L’État de New York a radié Cohn en 1986 pour comportement non éthique et non professionnel décrit dans l’arrêt comme «particulièrement répréhensible». Cohn fut presque constamment en conflit avec le fisc, ce dernier ayant contrôlé ses déclarations d’impôts pendant vingt années consécutives, et collecté plus de 300.000 dollars en arriérés. Le fisc lui réclama plus d’un million de dollars pour la seule année 1979 […] . Au total, le fisc avait déposé contre lui, sur une période de vingt-cinq ans, des droits de rétention pour un montant de 3,8 millions de dollars. [Source]
Un mois plus tard, il est mort du SIDA, une maladie qu’il a essayée de dissimuler (il a dit à Trump qu’il avait un cancer). Il était un raciste scandaleux et un juif dégoûté de lui-même, répandant librement des épithètes injurieux sur les «nègres» et les «youpins». Il était aussi un homosexuel honteux qui se détestait, qui dénonçait obsessionnellement les «pédés» et se battait contre les droits des homosexuels.
Quand il était en train de mourir, Trump se détourna de lui, transférant son affaire à d’autres avocats. «Je n’arrive pas à croire qu’il me fasse ça, Donald pisse l’eau glacée. » a dit Cohn.
Cohn a appelé Trump pour lui demander de trouver une chambre dans un de ses hôtels pour l’ancien amant et assistant de Cohn, près de mourir du SIDA. Trump lui a donné une chambre «minable» et a envoyé les factures à Cohn. Cohn a refusé de payer. Les sicaires de Trump ont jeté à la rue le mourant.
Ancien conseiller de Nixon, Reagan, Bush père et Bob Dole, Roger Stonefut également le conseiller de Donald Trump lors de la campagne de 2016, ainsi que lors de la tentative avortée de Trump de se présenter à l’élection de 2000. Stone fut le lobbyiste de Trump dès les années 80.
Roger Stone
Stone rencontra Cohn en 1979 :
Je fus invité à une fête par une mondaine du nom de Sheila Mosler, et Roy Cohn était présent. […] Roy était un démocrate, mais il était anti-communiste, et un maître des relations publiques, et il voulait m’aider avec Reagan. Il me dit donc de venir le voir dans sa maison du centre-ville. […] Roy n’était pas gay. […] C’était un homme qui aimait avoir des relations sexuelles avec des hommes. Les gays sont faibles, efféminés. Il semblait toujours avoir de jeunes garçons blonds autour de lui. Ce sujet n’était tout simplement jamais abordé. Il m’a dit que son but ultime était de mourir complètement ruiné et de devoir des millions au fisc. Il a réussi sur ce point. [Ibid.]
Stone avait lui-même des penchants sexuels qui sortaient de l’ordinaire :
The National Enquirer révéla, dans un article intitulé Un conseiller de premier plan de Dole impliqué dans un réseau de sexe de groupe, que les Stone avaient apparemment publié des annonces personnelles dans le magazine Local Swing Fever [La fièvre de l’échangisme] et sur un site internet qui avait été monté avec la carte de crédit de Nydia [l’épouse de Stone]. L’annonce du site internet disait : « Femme chaude et insatiable, et son très bel époux body-builder, échangistes expérimentés, recherchent couples similaires ou homme seul […] exceptionnellement musclé. » Les annonces recherchaient des athlètes ou des militaires, et décourageaient les hommes en surpoids ; elles contenaient également des photographies des Stone.
Roy Cohn (à gauche,Ian Schragel ,au centre et Steve Rubel ,à droite,,faisant la lecture du Daily News sur le dernier raid de la police sur le Studio 54.
Voilà donc un bref aperçu sur les personnes qui ont permis l’ascension de Donald Trump jusqu’à la présidence des États-Unis. Il y aurait également beaucoup de choses à dire sur ses relations avec le milliardaire pédophile Jeffrey Epstein (Trump a déclaré : « Cela fait quinze ans que je connais Jeff. C’est un type super. […] On s’amuse bien avec lui. Il se dit même qu’il aime les belles femmes autant que moi, et certaines d’entre elles sont très jeunes »), ou sur sa nomination d’Alexander Acosta au poste de secrétaire d’état au travail , l’ancien procureur de Floride qui permit à Jeffrey Epstein de s’en sortir avec une peine de seulement 13 mois de prison pour avoir eu des relations prohibées avec des jeunes filles mineures. On pourrait aussi s’intéresser aux liens entre son gendre Jared Kushner, époux d’Ivankaet devenu le plus proche conseiller de Trump depuis son accession à la présidence, et le milliardaire « progressiste » George Soros ou la secte extrémiste juive Loubavitch.
de : Sydney Blumenthal Avertissement : S. Blumenthal est un supporter fanatique de la Clinton, néanmoins les faits rapportés sont exacts et corroborés par ailleurs. H.G.
Julian Assange, le fondateur de Wikileaks, aurait pu nous donner une surprise de Noël via Twitter ou en avoir un lui-même. Il semblerait que pendant Noël de 2017, la page Twitter de Julian Assange a été supprimée. Selon le message laissé sur le site, il avait été supprimé par Assange lui-même. Cependant, il y a ceux qui soupçonnent que Twitter a lui-même pris sa page et l’a suspendu. Cependant, il doit être souligné que le message laissé sur la page est celui du fait que quelqu’un a enlevé leur page, et Twitter a un autre message qui est posté quand la page est suspendue. Pourtant, les théories et les rumeurs sont là.
Oui, tout le monde aime une théorie du complot, mais on ne peut nier qu’il y a une base pour celle-ci. Tout d’abord, Julian Assange a annoncé publiquement qu’il avait annoncé qu’il prévoyait de faire ça chaque semaine. Certains soupçonnaient qu’Assange avait de la misère sur Clintons ou le DNC qu’il avait l’intention de partager avec ses partisans, ce qui aurait sans aucun doute explosé dans les médias grand public. Maintenant, que la grande annonce est juste de la spéculation, bien sûr, certains y croient.
…Et comme si cela ne suffisait pas pour spéculer sur Twitter, il y a la rumeur que ce ne serait pas Assange lui-même qui a fermé le compte il y a la quantité de presse négative que Twitter et d’autres plates-formes de médias sociaux ont lancé récemment. Il y a eu, bien sûr, la révélation que beaucoup de ces plateformes ont pris de l’argent pour la publicité lors de l’élection présidentielle de 2016 qui aurait pu endommager la campagne d’Hilary Clinton et aurait pu servir à influencer le vote. Donc, encore une fois, certains pensent que Twitter pourrait être derrière cela pour sauver la face avec le grand public et certainement avec les médias. Donc, est-ce vrai, bien jusqu’à présent Twitter n’a pas encore commenté qui est derrière la suppression de la page Twitter d ‘Assange bien que les rumeurs continuent de voler et certaines ne sont pas belles. Quant à Assange, s’il a des nouvelles majeures, il a d’autres plates-formes pour le faire savoir, comme Wikileaks par exemple.
Mise à jour 10h04: le compte d’Assange est revenu en ligne lundi matin (bien qu’avec une fraction de ses anciens partisans) sans aucune explication sur la disparition du compte et l’illustration suivante de 2010.
L’objet, dont le nom signifie « messager » en langue hawaïenne, a été repéré le 19 octobre par le télescope Pan-STARRS1 situé à Hawaï.
C’est la première fois que l’on parvient à détecter un objet interstellaire, mais il y en aurait au moins un par an qui visiterait notre système solaire.
Lors de sa découverte, les chercheurs ont estimé qu’Oumuamua est un astéroïde long de 400 mètres et large de 40 mètres seulement. Il pourrait avoir été éjecté de l’orbite d’une étoile hôte lors d’événements chaotiques il y a des milliards d’années.
Oumuamua a depuis été classifié comme un astéroïde interstellaire et s’est vu attribuer le nom scientifique de 1I/2017 U1 (I pour interstellaire).
Un centre de glace
Les analyses réalisées depuis sa détection laissent à penser que l’objet pourrait encore avoir un intérieur glacé. Il serait recouvert d’un « manteau » protecteur d’au moins 50 centimètres d’épaisseur, fait de matériaux organiques riches en carbone.
Ce manteau isolant pourrait avoir été formé par des réactions entre la surface originelle de l’objet et le bombardement par des rayons cosmiques pendant des millions ou des milliards d’années.
Ce revêtement protégerait l’intérieur riche en glace de l’objet céleste d’une évaporation lors de son passage près du Soleil.
« Une composition interne glacée ne peut donc pas être exclue », expliquent les chercheurs, et ce, « en dépit de l’absence d’activité de l’objet lors de son passage près du Soleil ».
Pourrait-il être un vaisseau extraterrestre?
Ceux qui voyaient par sa forme étrange un possible vaisseau spatial seront un peu déçus. Le programme Breakthrough Listen, dédié à la recherche d’une vie intelligente extraterrestre, a braqué la semaine dernière le puissant radiotélescope de Green Bank (en Virginie-Occidentale, aux États-Unis) sur Oumuamua.
« Aucun signal artificiel n’a été détecté en provenance de l’objet jusqu’à présent […] mais la surveillance et l’analyse des données se poursuivent », a expliqué Breakthrough Listen par voie de communiqué.
Le détail de cette étude est publié dans la revueNature.
L’astéroïde `Oumuamua intrigue avec sa forme allongée. Trop petit pour être le vaisseau Rama, du roman d’Arthur Clarke, ne pourrait-il pas être tout de même une sonde interstellaire de passage dans notre Système solaire ? C’est la question que semblent se poser les membres du programme Seti ayant écouté le voyageur avec des radiotélescopes.
L’origine interstellaire de l’objet désormais nommé 1I/2017 U1 (`Oumuamua) est confirmée.
Il s’agit du premier astéroïde venu d’ailleurs jamais observé.
Nombre de télescopes le suivent de très près. Les premières mesures montrent qu’il est très allongé, « une forme extrêmement inhabituelle » pour un astéroïde. Même si ce n’est pas un vaisseau interstellaire, comme dans le roman Rendez-vous avec Rama, d’Arthur Clarke, pourrait-il s’agir d’une sonde E.T équipée d’une super IA ?
Pour tous les fans de science-fiction, en particulier ceux qui se sont dirigés vers les sciences sous son influence, la découverte de `Oumuamua, l’astéroïde venu d’un autre système planétaire, ne peut que faire songer à Arthur Clarke et son célèbre roman Rendez-vous avec Rama. L’ouvrage met en effet en scène la découverte, en 2131, par les radars terrestres destinés à protéger la Terre des géocroiseurs, d’un astéroïde de grande taille dont les paramètres orbitaux indiquent une origine en dehors du Système solaire.
Baptisé Rama en l’honneur d’un dieu du panthéon hindou, l’objet se révèle en fait rapidement être un gigantesque cylindre quasi parfait, dont l’envergure est d’environ 50 km de long par 20 km de diamètre. Il s’agit donc incontestablement d’un artefact d’une civilisation ET technologiquement avancée.
Oumuamua a été écouté par Seti avec l’ATA
Or, `Oumuamua ne ressemble à aucun des astéroïdes du Système solaire et, pour le moment, les astrophysiciens ne peuvent pas expliquer sa forme étirée qui le fait ressembler à un long cylindre d’environ 400 mètres de long. L’objet est, certes, trop petit pour être un Rama, que Clarke décrit comme l’équivalent d’une arche interstellaire inspirée des fameuses colonies spatiales du physicien Gerard K. O’Neill. Mais rien n’interdit de penser qu’il puisse s’agir d’une sonde interstellaire de type von Neumann par exemple, ou, pour le moins, d’une machine dotée d’une super IA. Rien n’interdit non plus de croire que cette sonde a ralenti temporairement en fonçant dans le Système solaire pour étudier un peu ce dernier, la Terre en particulier, tout en restant hors de portée des vaisseaux de l’humanité, par sécurité.
Si tel est bien le cas, peut-être que cette machine est en train d’essayer d’établir un contact temporaire par radio avec nous, un peu comme dans un autre roman d’Arthur Clarke, Les Fontaines du paradis, mettant en scène une telle machine baptisée « le Vagabond des Étoiles ». On ne sera donc pas surpris d’apprendre que des membres du programme Seti ont entrepris d’écouter `Oumuamua avec l’Allen Telescope Array (ATA). C’est ce que révèle en effet l’astronome Franck Marchis, membre du Seti Institute, sur sa page Facebook professionnelle en renvoyant vers un billet posté sur le site de Centauri Dreams.
On y apprend que le physicien James Benford a interrogé la célèbre Jill Tarter au sujet de `Oumuamua. Celle-ci lui a confié que le Seti Institute avait bel et bien tourné certaines de ses oreilles en direction de l’astéroïde, en l’occurrence l’ATA mais aussi le Green Bank Telescope dans le cadre du projet Breakthrough Listen, en tentant d’intercepter un signal dans la fameuse bande 1,1-1,9 GHz, où se trouve la raie à 21 cm de l’hydrogène : une bande que l’on pense privilégiée pour la communication interstellaire. Des analyses seraient encore en cours.
Au centre de toutes les attentions depuis sa découverte, 1I/2017 U1 (`Oumuamua) n’est pas un astéroïde comme les autres : il vient d’ailleurs, de l’espace interstellaire. De par sa forme et sa composition, le visiteur interstellaire étonne autant qu’il impressionne les astronomes qui composent son portrait par petites touches.
Depuis sa découverte le 19 octobre dernier, 1I/2017 U1 (`Oumuamua), ou pour faire plus court `Oumuamua, défraie la chronique. Les astronomes se sont donné le mot et nombre de télescopes parmi les plus puissants et prestigieux de la planète sont braqués sur lui. Il s’agit de faire vite, en effet, pour les chercheurs car cet objet qui était passé à 24 millions de kilomètres de la Terre il y a quelques semaines, s’éloigne de nous à grands pas, à plus de 90.000 km/h, en direction de l’espace interstellaire. Il ne reviendra plus jamais et même s’il ressemble à un astéroïde, il n’a rien à voir avec les quelque 750.000 que nous connaissons dans notre Système solaire.
Beaucoup d’astronomes sont émerveillés par ce visiteur venu d’ailleurs. Une découverte attendue depuis des décennies. « Pour la communauté des chercheurs sur les astéroïdes, [la nouvelle] est aussi importante que l’annonce des ondes gravitationnelles », avait d’ailleurs déclaré Joseph Masiero, de la Nasa.
Dans un article qui à paraître dans Nature, une équipe internationale confirme l’origine extrasolaire d’Oumuamua — dont le nom d’origine hawaïenne, rappelons-le, peut se traduire par « messager venu de loin et arrivé le premier » — et en dresse le portrait le plus précis à ce jour. Et le moins que l’on puisse dire est que l’objet est vraiment étonnant, et certaines caractéristiques n’ont rien à voir avec ce que l’on connaît dans notre Système solaire.
Un étrange astéroïde allongé en forme de cigare
D’abord, il y a sa forme. Les chercheurs qui ont étudié les courbes de sa luminosité — entre autres avec le VLT — ont conclu que l’objet dont la période de rotation est de 7,34 heures est au moins 10 fois plus long que large. Sa luminosité varie d’un facteur 10. Mesurant entre environ 400 mètres, `Oumuamua est tout en longueur, ressemblant à un crayon, un cigare ou encore un sous-marin. Une forme vraiment inhabituelle. « Nous ne voyons rien de tel dans notre Système solaire » a déclaré l’auteure principale de l’étude, Karen Meech, chef de l’étude à l’Institut d’astronomie de l’université d’Hawaï. « Nous avons par ailleurs constaté qu’il était de couleur rouge foncé, semblable à celle des objets situés en périphérie du Système solaire, et qu’il était totalement inerte, aucune trace de poussière n’ayant été détectée dans son environnement proche. »
D’abord pris pour une comète, 1I/2017 U1 se montre en réalité pauvre en eau et en glace. C’est un corps céleste dense et rocheux, plutôt riche en métal, estiment les auteurs. Sa teinte sombre — nous le verrions brun foncé — résulterait « des effets de l’irradiation par les rayons cosmiques sur des millions d’années », écrit l’ESO.
L’origine énigmatique d’`Oumuamua
Quant à ses origines, elles sont encore incertaines. Si `Oumuamua venait de l’étoile Véga, comme cela a été proposé, il lui aurait fallu 300.000 ans pour faire le voyage, or à cette période, l’étoile qui, comme le Soleil, se déplace dans la Galaxie, n’était pas au même endroit. Pour les chercheurs, l’étrange astéroïde est un véritable vagabond, qui erre dans le milieu interstellaire depuis des centaines de millions d’années…
Désormais à plus de 200 millions de kilomètres de la Terre, 1I/2017 U1 continue de faire l’objet de la plus grande attention des astronomes. Il est actuellement dans la ligne de mire des télescopes spatiaux Spitzer (infrarouge) et Hubble (visible).
« Nous continuons d’observer cet objet si particulier et espérons déterminer, avec une précision accrue, sa provenance ainsi que sa destination prochaine au sein de la galaxie, commente Olivier Hainaut, chercheur à l’ESO. Maintenant que nous avons découvert le tout premier rocher interstellaire, nous nous préparons à en observer d’autres ! ». Et selon les chercheurs, ils sont nombreux.
L’astéroïde interstellaire a désormais un nom
Article de Xavier Demeersman publié le 15 novembre 2017
Les astronomes se sont mis d’accord sur le nom, accepté par l’UAI, du premier astéroïde interstellaire jamais découvert. Il vient en effet d’ailleurs, d’une autre étoile, et sa désignation astronomique, comme son surnom, y font directement référence. Pour les chercheurs, il n’est que le premier que nous remarquons, beaucoup d’autres sont à venir. L’Union astronomique internationale vient, pour lui, d’ajouter une lettre à l’alphabet des petits corps. Après « A » et « C », voilà « I ».
De par sa trajectoire hyperbolique avérée (excentricité 1,20), l’astéroïde d’environ 400 mètres découvert le 19 octobre dernier alors qu’il passait à 30 millions de kilomètres de la Terre, ne vient donc pas de notre Système solaire mais d’un autre. Quelle étoile ? Les chercheurs mènent l’enquête et certains avancent une piste (voir article plus bas).
C’est la première fois dans l’histoire de l’astronomie qu’un objet cosmique venu d’ailleurs est observé. Pris d’abord pour une comète, il fut désigné au cours des premières heures C/2017 U1. « C » pour comète, « 2017 » pour l’année bien sûr et « U1 » en référence au premier corps débusqué durant la deuxième quinzaine d’octobre. Finalement, faute d’activité cométaire significative, la première comète interstellaire est devenue le premier astéroïde interstellaire jamais observé : A/2017 U1.
1I/2017 U1 (‘Oumuamua), le premier astéroïde interstellaire
Mais le « A » pose un peu problème car cela renvoie aux astéroïdes de notre Système solaire… Pour les découvreurs et nombre d’astronomes avec eux, il est temps de proposer une nomenclature plus adéquate pour ce type d’objet qui, à n’en pas douter, n’est que le premier que nous remarquons sur des milliers d’autres à venir. Les nouvelles générations de télescopes devraient en effet nous permettre d’en découvrir beaucoup d’autres.
De par sa nature interstellaire, la désignation 1I/2017 U1 fut donc soumise au comité exécutif de l’Union astronomique internationale (UAI) laquelle accepta rapidement. C’est donc officiel, cet astéroïde venu d’une autre étoile est baptisé 1I/2017 U1 (‘Oumuamua), « 1I » pour « premier interstellaire ». Oumuamua est le surnom que lui ont donné les chercheurs qui ont opéré avec le télescope PanStarrs-1, basé à l’observatoire d’Haleakala, qui l’a découvert. Un nom qui signifie en hawaïen « messager venu de loin et arrivé le premier » et qui lui va très bien.
L’astéroïde interstellaire n’est peut-être pas seul
Article de Xavier Demeersman publié le 10 novembre 2017
A/2017 U1, le premier astéroïde interstellaire découvert a désormais un nom : 1I/2017 U1 (Oumuamua). Tous les projecteurs sont braqués sur lui, enfin plutôt les télescopes, alors qu’il traverse notre Système solaire. Des chercheurs pensent avoir trouvé son foyer d’origine et, selon eux, ils seraient plusieurs à suivre le même chemin.
Surpris par les sondages des télescopes PanStarrs-1 le 19 octobre dernier, quelques semaines après son passage au plus près du Soleil, l’objet A/2017 U1 a, de par sa trajectoire hyperbolique confirmée (excentricité de 1,20), tout d’un voyageur interstellaire. Aussitôt la nouvelle connue, des dizaines de télescopes de par le monde, amateurs et professionnels, se sont tournés vers ce visiteur d’un autre monde pour tenter d’en savoir plus sur lui. Il faut dire qu’il est le premier de ce type jamais observé par les astronomes et que ce moment est attendu depuis des décennies !
D’abord pris pour une comète — il fut nommé dans un premier temps C/2017 U1 (C pour comète) —, ce corps céleste d’une taille estimée à 400 m a été requalifié peu après sa découverte en astéroïde, à cause de l’absence manifeste de chevelure de gaz et de poussière.
Maintenant, du fait de la nature unique de l’objet, des astronomes proposent de le désigner 1I/2017 U1, « I » pour interstellaire. En tout cas, ses découvreurs basés à l’Haleakala (Hawaï) lui ont trouvé un nom : « Oumuamua ». Le mot hawaïen fait référence à un éclaireur ou un messager. « « Ou »‘ signifie « vouloir tendre la main » et « mua », avec le second « mua » qui met l’accent, signifie d’abord « en avance de » », indiquent-ils.
Plein d’autres « éjectoïdes » à venir
1I/2017 U1 — ou encore 1I/2017 U1 (Oumuamua) — serait ainsi le premier objet interstellaire découvert par l’humanité. Et selon une étude qui vient d’être déposée sur Arxiv, il faut s’attendre à en découvrir d’autres…, beaucoup d’autres. Surtout à partir de 2022 quand le LSST (Large Synoptic Survey Telescope) entrera en service au Chili. Optimistes quant à leur découverte dans un futur proche, les chercheurs esiiment que « le taux de découverte du LSST des éjectoïdes nous aidera à contraindre la fréquence et les propriétés de systèmes planétaires en formation dans notre voisinage galactique ».
Oui, ils les appellent éjectoïdes. Une désignation qui fait bien sûr allusion à la probable origine de Oumuamua. Selon eux, cet objet a été expulsé du système où il est né et la masse ainsi éjectée à chaque formation d’un système planétaire comme le nôtre serait d’environ 20 masses terrestres. 1I/2017 U1 ne serait donc que le premier d’une grande série…
Les probables origines d’Oumuamua
Quant aux origines d’Oumuamua, trois chercheurs ont déposé un article sur Arxiv qui propose une réponse. L’astéroïde ne viendrait pas de Véga, l’astre le plus brillant de la constellation de la Lyre, à 25 années-lumière de nous, comme cela a été supposé préliminairement, mais de l’une des très jeunes étoiles de l’association Carina, ou Colombe, située entre 163 et 277 années-lumière de la Terre. Les auteurs se sont plongés dans le catalogue du satellite Gaia (qui suit un milliard d’étoiles) pour inférer les étoiles qui ont des mouvements en accord avec celui A/2017 U1.
Compte tenu de sa nature d’astéroïde, les astronomes estiment en outre que l’objet devait être à l’intérieur de la ligne de glace du disque protoplanétaire de l’étoile où il s’est formé, il y a quelque 45 millions d’années. Car oui, cela ferait donc une quarantaine de millions d’années qu’il voyage. Et il n’est sans doute pas le seul à venir de là-bas, soulignent-ils.
Enfin, ils ont estimé que la planète responsable de l’éjection de l’objet — et donc d’autres avec lui — est (ou était) soit une superterre, soit une géante gazeuse de 20 à 30 masses terrestres.
La découverte d’Oumuamua ouvre en tout cas un nouveau chapitre de l’histoire de l’astronomie. Les études sur ce fascinant voyageur se multiplient. Vous n’avez pas fini d’en entendre parler.
Découverte du premier astéroïde interstellaire
Les premières observations d’un petit corps céleste qui vient d’être découvert suggèrent qu’il vient de l’espace interstellaire. Si cela se confirme, ce serait le premier cas connu d’une comète ou d’un astéroïde venu d’ailleurs. Mais d’où ?
Chaque semaine, de nouvelles comètes sont découvertes alors qu’elles s’approchent ou entrent dans le Système solaire interne. Petits corps célestes glacés plus ou moins lumineux, selon l’activité de leur noyau réchauffé par le Soleil, elles ont beaucoup à nous dire sur les origines de notre Système solaire. La plupart viennent des régions les plus éloignées de notre étoile, au-delà de Neptune, à des dizaines ou des centaines de milliards de kilomètres. Certaines déboulent pour la première fois dans la région où gravitent les planètes les plus proches du Soleil (les quatre planètes telluriques). Tandis que d’autres, à courte période, par exemple Halley ou Tchouri, sont des habituées.
Mais le 18 octobre, des astronomes ont repéré dans les sondages réalisés par les télescopes PanStarrs 1 installés sur l’Haleakala, à Hawaï, un étrange visiteur à quelque 37 millions de kilomètres du Soleil. D’abord baptisé C/2017 U1, l’objet vient d’être requalifié en A/2017 U1, suggérant une nature d’astéroïde plutôt que de comète. En tout cas, l’astre paraît très pressé et surtout, et c’est plutôt inhabituel, sa trajectoire montre une extrême excentricité hyperbolique (1,19). Aussi, et si d’autres observations ultérieures le confirment, « cet objet pourrait être le premier cas évident d’une comète interstellaire », a déclaré à Sky&Telescope Gareth Williams, qui codirige le MPC (International Astronomical Union’s Minor Planet Center), centre qui engrange les données des petits corps célestes.
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Nous attendons ce jour depuis des décennies.
« Nous attendons ce jour depuis des décennies, s’est exclamé le directeur de Cneos Paul Chodas. On a longtemps émis l’hypothèse que de tels objets existent — des astéroïdes ou des comètes qui se déplacent entre les étoiles et qui traversent parfois notre Système solaire — mais ceci est la première détection de ce type. Les données aideraient à le confirmer. »
Animation de la trajectoire de l’objet A/2017 U1 récemment découvert. Comète ou astéroïde, il n’a jamais rencontré les 8 planètes de notre Système solaire. Cet objet est le premier identifié à venir d’un autre système planétaire.
D’où vient cette comète ou cet astéroïde apparemment interstellaire ?
L’astre est très pâle (magnitude 20). De premiers calculs basés sur sa luminosité estiment pour l’instant sa taille à moins 400 m (Nasa). Assez petit, il a malgré tout survécu à la chaleur du Soleil lorsqu’il était au plus près de lui, le 9 septembre. C’est une des raisons pour lesquelles les chercheurs s’orientent sur la piste d’un astéroïde plutôt qu’une comète. Le supposé visiteur interstellaire file assez vite, à quelque 25,5 km/s. Si c’est une comète, « elle n’a peut-être pas eu le temps de se réchauffer suffisamment pour se briser », suggère Bill Gray, un dynamicien qui s’intéresse à elle.
A/2017 U1 est passé dans le voisinage de la Terre, le 14 octobre dernier, à environ 24 millions de kilomètres. Et nous ne sommes pas prêts de le revoir, car il se dirige vers l’espace interstellaire… Où sera-t-il dans un million d’années ? À une quinzaine d’années-lumière…, et peut-être rendra-t-il visite à d’autres étoiles.
Comète, météorite, astéroïde, étoile filante : quelle est la différence ?
Évidemment, cet astéroïde (ou comète) venu d’ailleurs aurait beaucoup de choses à nous raconter. Cela suscite beaucoup de questions : quelle est sa composition ? est-il similaire à nos astéroïdes ? a-t-il visité d’autres étoiles ? quelle est son étoile d’origine ? etc. Pour l’instant, tout ce que peuvent dire les astronomes qui l’étudient est qu’il vient de la direction de Véga (mais pas exactement), l’étoile la plus brillante de la constellation de la Lyre. « C’est exactement ce qu’on peut attendre [notre Système solaire se déplace dans la Voie lactée, en direction des étoiles de la Lyre, NDLR]. Il devrait y avoir davantage de comètes interstellaires venant de la direction vers laquelle le Soleil se dirige », explique Luke Dones, du Southwest Research Institute (SwRI) à Boulder, dans le Colorado.
Dans le passé, la seule autre comète soupçonnée de venir d’ailleurs était C/1980 E1 Bowell. Mais son excentricité (1,05) a pu être provoquée en cours de route par son passage à 35 millions de kilomètres de Jupiter. Peut-être en a-t-il été de même pour C/2017 U1 ? Les chercheurs ne l’excluent pas. L’enquête est en cours et nous devrions en savoir plus sur son histoire dans les semaines à venir.
En conclusion
Les scientifiques sont divisés sur sa vraie nature. La plupart rejettent l’hypothèse que ce soit autre chose qu’un astéroïde. Il fallait s’y attendre. Ils préfèrent miser en fonction des probabilités les plus fortes et comme d’habitude, ils fustigent ceux qui osent croire à autre chose. Cependant d’autres scientifiques, dont le réputé Stephen Hawking, croient possible l’hypothèse inverse et ne se gênent plus pour défendre cette possibilité.
De nouvelles analyses publiées dans le journal Nature Astronomy ont révélé que `Oumuamua semble recouvert d’une épaisse couche de matières organiques visqueuses et que son cœur est fait de glace. Mais ce qui se passe au sein de l’apparent astéroïde demeure très incertain. L’auteur de ce texte, Alex Fitzsimmons, regrette de ne pas avoir possédé suffisamment de temps pour l’étudier plus en détail puisque le bolide interstellaire s’éloigne déjà de notre système solaire. Il espère que le prochain astéroïde du même type sera détecté suffisamment tôt pour peaufiner les analyses.
À ce sujet, une nouvelle sur le web semble indiquer que le découvreur de `Oumuamua serait apparemment tombé sur un second astéroïde en forme de barreau de chaise. Je n’ai pas obtenu pour l’instant confirmation de cette rumeur, mais je reste à l’écoute de toutes avancées dans ce domaine et vous informerai des derniers développements.
(MEMPHIS, Tenn.) — A crew removed a Confederate statue from a Memphis park Wednesday night after the city sold it to a private entity. The City Council had earlier voted unanimously to sell two parks where Confederate statues were located and crews began working right away to remove a statue of Gen. Nathan Bedford Forrest.…
Les restes fossilisés d’un crâne découverts dans le nord-est de l’Australie appartiennent à une nouvelle espèce animale de la famille aujourd’hui disparue des lions marsupiaux, ont établi des paléontologues australiens.
Dessin artistique d’un wakaleo
La bête a été nommée Wakaleo schouteni par les paléontologues de l’Université de Nouvelle-Galles du Sud.
Elle avait la taille d’un chien et pesait environ 23 kg, ce qui équivaut au cinquième du poids de la plus grosse espèce connue de lions marsupiaux, leThylacoleo carnifex , qui pouvait peser jusqu’à 130 kg.
Il y a au moins 18 millions d’années, peut-être même jusqu’ à 23 millions d’années, le Wakaleo schouteni vivait dans des forêts chaudes et humides. Ses membres antérieurs robustes laissent à penser qu’il pouvait chasser des opossums, des lézards et d’autres petites proies.
C’est la dixième espèce de la famille des Thylacoleonidae identifiée à ce jour, et l’une des plus anciennes. Ces carnivores, dont la taille variait entre celle du raton laveur et celle du léopard, transportaient leurs petits dans une poche comme le font les kangourous et les koalas.
L’identification de cette espèce met en évidence un niveau de diversité des lions marsupiaux assez inattendu.
Anna Gillespie, Université de Nouvelle-Galles-du-Sud
Cette famille comprend aujourd’hui des espèces carnivores d’Australie. Selon les paléontologistes, deux de ces espèces de lions étaient déjà présentes sur le territoire australien dans l’Oligocène il y a 25 millions d’années.
Outre le Wakaleo schouteni , il y avait aussi le Wakaleo pitikantensis, identifié en 1961, qui était légèrement plus petit.
Des dents bien distinctes
Contrairement à d’autres prédateurs à dents pointues, les lions marsupiaux ont développé une dentition permettant de trancher à l’horizontale : une dent du bas s’étirait le long de la mâchoire de chaque côté, et son bord tranchant pouvait atteindre l’équivalent de quatre dents normales. « Une dent supérieure s’étendait également, ce qui donnait à ce lion marsupial une morsure semblable à celle d’un coupe-boulon », explique la paléontologue Anna Gillespie.
L’espèce nouvellement identifiée vivait avant l’apparition de cette caractéristique dentaire particulière. Elle possédait le même nombre de dents que les premiers marsupiaux, et une dent légèrement allongée s’alignait devant les molaires.
Les espèces qui viendront après le Wakaleo schouteni seront plus imposantes et leurs dents seront encore plus longues et plus coupantes.
La Pierre Philosophaleétait le but suprème de l’alchimie. Elle devait changer le plomb en or. (On lui prétait parfois d’autres vertus non moins fantastiques telles que de prolonger indéfiniment la vie et la jeunesse.) Néanmoins sa recherche n’était pas motivée par la cupidité mais par un élan spirituel. Ce n’était pas le but qui comptait mais le chemin pour l’atteindre. La quète de la Pierre Philosophale n’était pas la recherche d’une recette mais la tentative de parvenir au bout d’un long labeur patient et méticuleux de purification de la matière et de l’officiant. Aujourd’hui on sait fabriquer de l’or. Pour la science moderne, la transmutation n’est plus ni un mythe, ni un rêve, mais une réalité banale. Il faut juste être prêt à payer un prix plus élevé que pour une quantité équivalente d’or achetée sur le marché. Mais les méthodes de la physique atomique ne ressemblent pas plus au Grand Oeuvre décrit par les alchimistes que l’avion à réaction au tapis volant.
A sa mort, Nicolas Flamel possédaitplusieurs belles maisons dans les quartiers bourgeois de Paris. Toute sa vie, il avait fait des dons extrêmement considérables à l’église et aux oeuvres de charité. Les rumeurs, que les siècles ont enflées jusqu’aux dimensions d’une légende, ont commencé à courir, juste après sa mort.
Deux pistes peuvent établir si Nicolas Flamel avait ou non fabriqué de l’or, voir permettre de l’imiter. La première a été suivie par des cryptographes amateurs qui ont prétendu avoir décodé un message secret dans des ornements sculpturaux des maisons de Nicolas. Cette voie me semble trop ridicule pour s’y arrêter. Imaginons que vous soyez Nicolas Flamel. Vous possédez un secret qui vous vaudra la fortune mais qui révélé perdra toute sa valeur et pourrait même, peut-être, vous valoir une accusation de sorcellerie. Qu’allez vous faire? Pourquoi est ce que je pose la question? C’est évident. Vous n’aurez rien de plus pressé que de l’étaler sur les murs de Paris, n’est ce pas?
Nicolas Flamel,le grand Maître
Deuxième piste: un ouvrage très rare, le Livre des Figures Hiéroglyphiques. Les autres livres attribués à Nicolas Flamel sont, de toutes évidence, des faux grossiers destinés à escroquer les naïfs. Le problème, c’est que le Livre des Figures, lui même, est loin d’être au dessus de tout soupson. Paru en 1612, soit deux siècles après la mort de son auteur prétendu, il n’est même pas signé Nicolas Flamel, mais Arnaud de la Chevalière. Et il ne contient aucune information concrète qui permettrait de commencer un semblant de travail en vue de créer de l’or. Selon ce texte, Nicolas Flamel aurait trouvé la méthode pour fabriquer de l’or dans un vieux manuscrit, Aesch Mezareph, de Abraham le Juif. Il n’existe que deux exemplaires de ce livre, l’original et une copie, l’un à la Bibliothèque Nationale, l’autre à la Bibliothèque de l’Arsenal. Mais ils ne sont pas disponibles à la consultation.
« Je veux que les gens réalisent ce que cela veut vraiment dire lorsque les scientifiques disent que les ours polaires sont en voie d’extinction. » Ces mots du photographe Paul Nicklen accompagnent des images terribles tournées à la fin de l’été. Celles d’un ours polaire complètement affamé sur l’île de Baffin, située dans l’archipel arctique canadien. Sur la vidéo publiée par National Geographic on peut voir la bête, décharnée, avancer péniblement dans une plaine à la recherche de nourriture. Il fouille dans un dernier effort une poubelle, mais n’y trouve rien et finit par s’effondrer sur le sol.
Cela fait mal au coeur..pauvre ours!
Le photographe en expédition avec l’association Sea Legacy explique dans une interview au journal que son équipe et lui étaient en pleurs devant cet ours en train d’agoniser. Impuissant, Paul Nicklen dit avoir filmé cette mort lente pour que celle-ci ne soit pas arrivée en vain. « Les ours vont mourir de faim », rapporte celui qui espère sensibiliser le monde aux conséquences du réchauffement climatique.
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