Le mystérieux royaume khazar a influencé notre monde moderne d’une manière dont nous n’avons pas toujours conscience.
Les Khazars n’avaient longtemps intéressé que des spécialistes de l’histoire de l’Asie centrale, comme le révèle la bibliographie d’Alan Brook. Les innombrables « chercheurs » qui pullulent aujourd’hui dans les universités américaines ont trouvé là une mine d’autant plus inépuisable qu’il s’agit d’une matière à controverses, souvent violentes, toujours passionnées: pour les uns, l’ensemble des Khazars a été converti au judaïsme et représente la quasi totalité des juifs dits « Ashkenazes » contemporains, pour les autres, seule une toute petite partie de l’aristocratie de l’empire khazar a rejoint la nouvelle religion et les juifs de la région sont de purs descendants de leurs co-religionnaires judéens. Les positions mixtes ont également d’innombrables adeptes.
Toujours est-il que la « question khazare » a opéré un débarquement tonitruant dans l’histoire contemporaine avec la polémique liée à la colonisation de la Palestine à partir de la fin du XIXe siècle.
En effet, à partir de cette période, qui correspond à l’apogée de tous les mouvements colonisateurs européens, d’immenses cohortes de juifs dits « Ashkenazim« , originaires des régions autrefois occupées par les tribus de l’empire khazar tardivement converties au judaïsme, ont déferlé sur une Palestine miraculeusement métamorphosée en « terre de leurs ancêtres« . Ils en revendiquaient la propriété au nom de la connaissance qu’ils possédaient par ouï-dire de l’existence d’un acte notarié dressé entre un extra-terrestre et d’hypothétiques ancêtres qui auraient été méchamment privés de leur héritage par de cruels centurions romains.
Dans un précédent texte, j’avais déjà montré que TOUS les premiers ministres du nouvel État surgi en terre palestinienne en 1948 étaient originaires d’Europe orientale et des régions qui correspondent à l’ex-empire khazar. Les démographes de l’actuel État hébreu n’ont trouvé qu’une seule famille, les Zinati de Pek’in, qui aurait résidé en Palestine sans aucune interruption depuis l’antiquité.
Rappel 1 – David Ben Gourion (né David Grün) 16 octobre 1886-1er décembre 1973) est né à Plonsk en Pologne dans une famille sioniste (son père, professeur d’hébreu, était un membre des Amants de Sion). Il émigre en Palestine britannique en 1906. 2 – Moshé Sharett (né Moshé Shertok) , (15 octobre 1894 – 7 juillet 1965) est né à Kherson, dans l’Empire russe (aujourd’hui en Ukraine). Il émigra en Palestine britannique en 1908. 3 – Levi Eshkol ( 25 octobre 1895- 26 février 1969) est né dans un village à proximité de la ville de Kiev , dans l’empire russe, aujourd’hui Ukraine. Il émigre en Palestine ottomane en 1914. 4 – Ygal Allon (né Ygal Païcovitch) (10 octobre 1918- 29 février 1980) est né Kfar Tabor, au pied du Mont Tavor dans l’est de la Basse Galilée d’une famille originaire de Roumanie qui émigre en Palestine en 1901. 5 – Golda Meir ( Golda Meirson, née Golda Mabovitz (3 mai 1898 -8 décembre 1978) est née à Kiev , au cœur de l’empire russe, aujourd’hui capitale de l’Ukraine. Sa famille émigre aux Etats-Unis en 1903, le couple Meirson arrive en Palestine en 1921. 6 – Yitzhak Rabin (Yitzhak Rubitzov , 1er mars 1922 – assassiné à Tel Aviv le 4 novembre 1995) est né à Jérusalem. Ses parents, Nehemiah et Rosa Rubitzov originaires d’Ukraine émigrèrent d’abord vers les Etats-Unis 7 – Menahem Volfovitz Begin (Mieczyslaw Biegun , 16 août 1913 -9 mars 1992) . Il est né à Brest-Litovsk, alors ville polonaise à majorité juive, aujourd’hui Biélorussie. Il n’arrive en Palestine qu’en 1942. 8 – Yitzhak Shamir (Yitzhak Jazernicki (15 octobre 1915…) , est né à Ruzhany, en Pologne, actuelle Biélorussie. Il émigre en Palestine en 1935. 9 – Shimon Peres (Szymon Perski ) Il est né le 2 août 1923 à Wisniew (Pologne, actuelle Biélorussie). Il émigre en Palestine en 1934. 10 – Benyamin Netanyahou (né le 21 octobre 1949 à Tel Aviv) Petit-fils d’un rabbin émigré de Lituanie en Palestine en 1920 11 – Ehud Barak (Ehud Brog, né le 12 février 1942 au kibboutz Mishmar Hasharon) Fils d’Israel Brog et d’Esther Godin, immigrés respectivement de Lituanie et de Pologne. 12 – Ariel Sharon (Ariel Scheinermann (né le 26 février 1928 à Kfar Malal en Palestine) . Son père Shmouel Scheinerman est originaire de Brest-Litovsk alors en Pologne, actuellement Biélorussie. Sa mère Véra est un médecin originaire de Mohilev en Biélorussie. 13 – Ehud Olmert ( né le 30 septembre 1945 à Binyamina en Palestine. Son père Mordechaï – né à Buguruslan en Russie, émigre en Chine en 1919, à Harbin, et arrive en Palestine en 1933.
Comment faire entrer le rêve dans la politique?
Cette variété de colons s’est révélée mue par un messianisme biologico-religieux jamais vu sous la voûte céleste. Telles des fourmis processionnaires, leurs colonnes porteuses d’une narration mythologique vieille de deux millénaires et demi et d’un simplisme exemplairement grossier, s’étaient mises en mouvement à la fin du XIXe siècle et l’invasion n’a plus cessé.
Une terre « vide » dont ils étaient les héritiers les attendait, claironnaient-ils sur tous les tons, mais il faut croire qu’un magicien supra, extra ou méta terrestre avait miraculeusement conservé dans la plus parfaite prospérité villes, villages, jardins, vergers, après que des ancêtres eurent consciencieusement obéi à leur dieu et massacré tout ce qui respire dans les territoires conquis in illo tempore: « Des villes de ces peuples que Jahvé, ton Dieu, te donne en héritage, tu ne laisseras rien vivre de ce qui a souffle de vie. Détruisez-les jusqu’au dernier… comme Jahvé, ton Dieu, vous l’a ordonné… » (Dt, 20,16). Par bonheur, le tout avait été parfaitement entretenu, en bonne logique théologique, probablement par des légions de séraphins, si bien que les colons nouvellement débarqués avaient pu, dès leur arrivée, se loger commodément et se nourrir à bon compte.
Comment s’équiper à bon compte avec la bénédiction de Jahvé
Et si, ici et là, l’épaisseur des vapeurs sionistes n’avait pas réussi à masquer la présence de quelques irréductibles Indigènes accrochés à leurs lopins telles des moules à leurs bouchots, les nouveaux colons s’étaient efficacement employés à « vider » autant que faire se pouvait leur « terre promise » de ces empêcheurs de mythologiser en rond!
« Démocratie », « droit international », « concessions territoriales aux autochtones », « négociations », autant de billevesées que les nouveaux venus agitent depuis lors comme les lépreux leur clochette, afin de maintenir l’illusion qu’ils partagent les « valeurs démocratiques » de « l’Occident » et son respect de la « dignité humaine » alors que l’objectif réel, secrètement et tenacement poursuivi, avec une obstination jamais prise en défaut, est l’instauration d’un Etat théocratique – un « Etat juif » – débarrassé de la présence polluante des Indigènes, des « natives« , pour reprendre le vocabulaire utilisé par leurs grands soutiens d’outre-Atlantique à propos de leurs propres Indigènes impitoyablement massacrés.
Or, les immigrants récents en terre palestinienne qui se réclament de la religion de leur divinité personnelle prétendent que leur livre sacré est en même temps leur cadastre et qu’ils sont donc rentrés chez eux.
A ce stade du développement, il m’a semblé important de retourner une fois encore aux textes car, comme l’écrivait si justement Edward Mandell HOUSE , l’éminence grise qui a longtemps dirigé la cervelle du Président Wilson, » La chose la plus difficile au monde est de suivre à la trace n’importe quelle idée jusqu’à sa source« .
Dans un texte antérieur, j’avais rappelé quand et dans quelles circonstances était né le mythe fondateur de la « terre promise » et le rêve du « Grand Israël ». En l’espèce, le récit rapporte un rêve miraculeux dont un grand ancêtre aurait été l’heureux bénéficiaire – comme le sera le roi khazar un millénaire plus tard.
Rappel
Lorsque les scribes judéens exilés au bord de l’Euphrate, après la conquête de la Judée par le roi Nabuchodonosor, imaginèrent l’épisode de leur fiction dans lequel un personnage mythique – Abraham – était le héros principal, ils lui prêtèrent un rêve fabuleux dans la narration intitulée Genèse.
C’est ainsi qu’au cours d’un « profond sommeil » (Gn 15,12), le héros eut « une vision » (Gn 15,1). De plus, il entendit une voix, qu’il attribua à son dieu, laquelle lui proposait une « alliance » (Gn 15,18).
« Quand le soleil fut couché, il y eut une obscurité profonde; et voici, ce fut une fournaise fumante, et des flammes passèrent entre les animaux partagés. En ce jour-là, l’Eternel fit alliance avec Abraham. » (Gn 15, 17-18)
Le dieu choisit donc de se manifester pendant le sommeil du rêveur et alors que ce dernier, avant de s’endormir, avait procédé au classique sacrifice d’animaux rituellement coupés en deux par le milieu – « partagés« , dit le texte. Il prend la précaution de décrire minutieusement son cadeau afin d’en faire saisir toute l’importance au bénéficiaire, le tout soigneusement enveloppé dans le scintillant papier-cadeau, si je puis dire, du halo impressionnant d’une « fournaise fumante » et de « flammes« , mise en scène aussi éblouissante que terrifiante, digne de tout dieu qui se respecte et soucieux de manifester sa puissance par des phénomènes impressionnants.
C’est au milieu de ce chaos météorologique rêvé que le dormeur apprend qu’il est désormais l’heureux propriétaire d’une terre qui appartenait jusqu’alors à d’autres peuples.
« Je donne ce pays à ta postérité, depuis le fleuve d’Égypte jusqu’au grand fleuve, au fleuve d’Euphrate, le pays des Kéniens, des Keniziens, des Kadmoniens, des Héthiens, des Phéréziens, des Rephaïm, des Amoréens, des Cananéens, des Guirgasiens et des Jébusiens. » (Gn 15,18).
Pour comprendre le sens de la scène décrite ci-dessus, il faut s’arracher à l’avant-scène du grandiose théâtre de l’épopée et à la fascination qu’exerce sur les esprits le contenu du récit brillamment collationné et mis en forme à partir de bribes de légendes et de récits empruntés aux mythologies égyptienne et mésopotamienne et tenter de pénétrer dans les coulisses des motivations des scripteurs. Réécrits, recomposés et globalement unifiés en dépit d’un certain nombre de contradictions résiduelles, les récits mythiques ont été adaptés à la mentalité et au type d’éloquence que permettait la langue sémitique, ainsi qu’au mode de fonctionnement psychologique de la population à laquelle il était destiné.
Il n’est donc pas étonnant que les rédacteurs de la Genèse aient utilisé le stratagème d’un rêve comme véhicule de l’action de leur « dieu », ce procédé, banal à l’époque, permettait de délivrer un message d’une manière jugée convaincante par tout le monde.
L’immoralité du cadeau saute aux yeux de tout esprit normalement constitué, puisque le « dieu » transforme les Hébreux en receleurs d’un bien volé aux peuples énumérés ci-dessus. De plus, il leur permet de justifier leur vol et se fait leur complice. Le scripteur du scénario a usé de ce moyen habile de légitimer une conquête territoriale opérée par la violence et le meurtre tout en donnant bonne conscience aux conquérants et à leurs descendants.
Le mythe est bien un théâtre et il faut savoir lire son scénario.
Douglas Reid dans sa Controverse de Sion cite cette phrase de l’écrivain sioniste Julius Katzenstein – ou Joseph Kastein – (1986-1946) « Ce n’est pas Dieu qui voulait ce peuple et ce qu’il signifiait. C’était ce peuple qui voulait ce Dieu et cette signification. »
C’est donc à partir de la description des circonstances imaginées dans le fragment du texte de la Genèse cité ci-dessus, qu’a été rédigé par les habiles scripteurs des textes bibliques le scénario du fameux mythe de la « terre promise« . Interprété de la manière la plus matérielle et la plus grossièrement utilitaire, il allait connaître des développements géopolitiques si fabuleux que les répliques du tremblement de terre initial continuent de secouer la machine ronde.
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La population regroupée dans la partie de la Palestine réservée au « peuple élu » est donc, comme celle de la quasi totalité des États de la planète – et même plus que d’autres en raison tantôt de l’errance imposée, tantôt de l’émigration choisie par les communautés de convertis – cette population est donc la résultante d’un brassage génétique de pratiquement tous les peuples de la planète.
Juifs algériens
juifs de Chine du Sud
juifs iraniens
Juifs ukrainiens
Juifs de Salonique
En revanche, il existe bien, dans cette population, une unité psychique dont l’historien Bernard Lazare a parfaitement analysé à la fois l’histoire, les causes et les conséquences dans son essai L’antisémitisme, son histoire, ses causes. L’ouvrage de Soljenitsyne, quant à lui, retrace pas à pas les étapes de la concrétionde la mentalité de ghetto et du refus de l’assimilation imposée dans la grande Russie par les rabbins talmudiques.
La notion de « peuple » juif, est bien une création récente, comme l’a parfaitement démontré Shomo Sand dans son ouvrage L’invention du peuple juif. Mais le mot « juif » n’est lui-même apparu que tardivement dans le vocabulaire français – mais également dans le vocabulaire anglais, comme le montre Benjamin Freedman.
Rappel Petite généalogie du mot « juif »
Depuis quand parle-t-on, en France, de « Juifs« , et qui plus est, couronnés d’une majuscule?
L’antiquité ne connaissait pas le mot « juif« . On parlait d’Israélites à propos des tribus d’Hébreux sémites ayant pour ancêtre éponyme Israël, nouveau nom du personnage mythique Jacob. Un fils tout aussi mythique, Juda, dont le nom hébreu est Yehuda, a donné naissance aux Yehudim, mot traduit en français par Judaïtes. L’hébreu Yehudim fut traduit en grec par Ioudaiôn et en latin par Iudaean.
Du temps de la courte indépendance du territoire qui correspond à l’actuelle Palestine, les populations étaient désignées par leur origine géographique. Les Judéens habitaient la Judée, les Samaritains la Samarie, les Galiléens la Galilée et les Iduméens l’Idumée. Mais après leur conquête, les Romains ne s’étaient pas embarrassés de subtilités régionales et désignaient globalement ces confettis de leur immense empire sous le nom général de Iudaea.
Ainsi, lors de la crucifixion de Jésus, Ponce Pilate a fait inscrire sur la croix : Iesus Nazarenus rex Iudaeorum, c’est-à-dire, c’est-à-dire, Jésus de Nazareth roi ou plutôt chef des Judéens, bien qu’il fût Galiléen. En effet, Iudaeorum est le génitif pluriel de Iudaeus, c’est-à-dire Judéen. Quant au mot rex, il n’a été traduit par roi qu’ultérieurement. Ainsi Vercingéto-rix (rex) n’était pas le roi des Gaulois, mais un chef de tribu.
Il n’existait pas non plus d’universalisme du culte du Dieu Jahvé. Les Pharisiens, les Sadducéens, les Zélotes ou les Esséniens se combattaient et se haïssaient cordialement. Ces mouvements, ou plutôt ces sectes, possédaient chacun leur manière particulière de participer au culte de Jahvé, mais, par rapport aux « païens » hellénisés, ils étaient désignés sous la terminologie générale de Yehudim, c’est-à-dire, comme il est dit plus haut, de fidèles d’un culte qui avait son origine dans le royaume de Juda.
Le fondateur du christianisme était un Galiléen appartenant probablement à la secte des Esséniens – mais les avis divergent sur ce dernier point. Il n’était donc ni un Yehudim – puisque seuls les Pharisiens judéens pouvaient se réclamer de ce terme – ni, à plus forte raison, un Juif, puisque ni le mot, ni la notion que recouvre ce mot n’existaient en ce temps-là.
L’ouvrage le plus connu de l’historien hiérosolémite de l’époque, Flavius Josèphe (env.37 à env. 100) est traduit en français sous le titre La guerre des Juifs. Or, ce récit rédigé dans la langue de la région depuis le retour de Babylone, à savoir l’araméen, a été traduit en grec à destination de l’élite cultivée romaine sous le titre littéral : Historia Ioudaikou polemou pros Rômaious, c’est-à-direHistoire de la guerre judéenne ( ou des Judéens) contre les Romains.
En 1893 est paru le livre « Le Talmud démasqué, les enseignements rabbiniques secrets concernant les Chrétiens ». Son auteur était le Père Justin Bonaventure Pranaitis, Maître de Théologie et professeur d’hébreu à l’Académie Impériale Ecclésiastique de l’Église Catholique Romaine de Saint-Pétersbourg. Dans cet ouvrage, Pranaitis dénonce tous les enseignements intolérants, discriminatoires, haineux et mêmes racistes contenus dans le Talmud.
Il y explique que la première édition complète du Talmud fut imprimée à Venise en 1520; les non-Juifs purent alors en prendre connaissance et furent scandalisés de tous les passages hostiles et insultants à leur égard qu’il contenait. Les Juifs, craignant des représailles, d’une part, et obéissant aux protocoles de Sion d’autre part, commencèrent alors à sortir des éditions censurées et expurgées du Talmud (comme celle de Bâle en 1578, par exemple).
Cependant, depuis la création de l’État d’Israël, les rabbins restaurèrent tous les passages insultants et dégradants pour les non-juifs dans les nouvelles éditions du Talmud en hébreu.
En 1962, le « Livre de la connaissance”, code talmudique de Maïmonide, a été publié à Jérusalem en édition bilingue anglais-hébreu. Dans la partie juive, tous las passages haineux et racistes sont présents alors que, bizarrement, dans la partie anglaise, ils sont absents.
Voici quelques exemples, rapportés par Pranaitis et ses successeurs, des passages contre les non-juifs contenus dans le Talmud (*).
En 1239,à la demande de l’église catholique,le roi de France fit saisir et brûler toute copie du Talmud découverte sur le territoire national.
Les non-juifs sont impurs
Abhodah Zarah 22b : « Les Non-juifs sont impurs parce qu’ils n’étaient pas là au Mont Sinaï. »
Abhodah Zarah 35b : « Toutes les filles des incroyants sont niddah (sales, impures) depuis leur naissance ».
Iore Dea 198, 48 : « Les femmes Juives sont contaminées par la simple rencontre de Non-juifs ».
Schabbath 145b : « Les Non-juifs sont impurs parce qu’ils mangent de la nourriture impure ».
Zohar I, 46b, 47a : « L’âme des goyims est d’une origine théologique impure ».
Zohar I, 131a : « Les idolâtres (non-juifs) souillent le monde. »
Les non-Juifs sont des animaux
Ereget Rashi Erod.22 30 : « Un Non-juif est comme un chien. Les écritures nous apprennent qu’un chien mérite plus de respect qu’un non-juif ».
Lebhammoth 61a : « Les juifs ont droit à être appelés « hommes », pas les Non-juifs ».
Jalkut Rubeni Gadol 12b: « Les âmes des non-juifs proviennent d’esprits impurs que l’on nomme porcs ».
Kerithuth 6b : « Les juifs sont des humains, les non-juifs sont des animaux ».
Orach Chaiim 225, 10 : « Les Non-juifs et les animaux sont utilisés de manière équivalente dans une comparaison ».
Schene Luchoth Haberith p. 250b : « Même si un non-juif a la même apparence qu’un juif, il se comporte envers les juifs de la même manière qu’un singe envers un homme ».
Tosaphot, Jebamoth 94b : « Lorsque vous mangez en présence d’un non-juif c’est comme si vous mangiez avec un chien ».
Yebamoth 98a : « Tous les enfants des goyims (**) sont des animaux ».
Zohar II 64b : « Les non-juifs sont idolâtres, ils sont comparés aux vaches et aux ânes ».
Orach Chaiim 57, 6a : « Il ne faut pas avoir plus de compassion pour les non-juifs que pour les cochons, quand ils sont malades des intestins ».
Les juifs peuvent voler les non-juifs, se partager le vol, et mentir
Babha Bathra 54b : « La propriété d’un Non-juif appartient au premier juif qui la réclame ». Note : c’est ce qui se passe tous les jours en Palestine : les juifs dépouillent les Palestiniens de leurs terres et de leurs maisons sans raison et sans devoir payer quoi que ce soit. Ils appliquent les lois du Talmud.
Babha Kama 113a : « Les juifs peuvent mentir et se parjurer, si c’est pour tromper ou faire condamner un Non-juif ».
Baba Mezia 24a: « Si un juif trouve un objet appartenant à un goyim, il n’est pas tenu de le lui rendre ».
Choschen Ham 183, 7: « Des juifs qui trompent un Non-juif, doivent se partager le bénéfice équitablement ».
Abhodah Zarah 54a: « L’usure peut être pratiquée sur les Non-juifs ».
Choschen Ham 226, 1: « Les juifs peuvent garder, sans s’en inquiéter, les affaires perdues par un Non-juif ».
iore Dea 157, 2 hagah: « Si un juif a la possibilité de tromper un non-juif, il peut le faire ».
Babha Kama 113a: « Les incroyants ne bénéficient pas de la loi et Dieu à mis leur argent à la disposition d’Israël ». Note : cela permet de spolier les Palestiniens.
Schabbouth Hag. 6d: « Les juifs peuvent jurer faussement en utilisant des phrases à double sens, ou tout autre subterfuge ».
Les juifs ont le droit de tuer les Non-juifs
Abhodah Zarah 4b: « Vous pouvez tuer un incroyant avec vos propres mains ».
Abhodah Zarah 26b Tosepoth : « Même le meilleur des Goïm devrait être abattu ». Note : les Israéliens tuent des Arabes tous les jours, sans que cela entraîne une quelconque punition en Israël ou à l’étranger. Les pays « démocratiques » ou « libres » n’y trouvent rien à redire, puisque c’est la loi juive qui le recommande.
Choschen Ham 425, 5 : « Il est permis de tuer indirectement un Non-juif, par exemple, si quelqu’un qui ne croit pas en la Torah tombe dans un puits dans lequel se trouve une échelle, il faut vite retirer l’échelle ».
Bammidber Raba c 21 : « Tout juif qui verse le sang d’incroyants (non-juifs) revient à la même chose qu’une offrande à dieu ».
Hilkkoth X, 1 : « il ne faut pas sauver les Non-juifs en danger de mort ».
Ialkut Simoni 245c : « Répandre le sang des impies est un sacrifice agréable à dieu ».
Talmud, Makkoth 7b : « On est innocent du meurtre involontaire d’un Israélite, si l’intention était de tuer un koutim (non-juif) ; tout comme on est innocent du meurtre accidentel d’un homme, quand l’intention était d’abattre un animal ».
Talmud, Peaschim 25a : « Il faut éviter l’aide médicale des idolâtres (sous entendu des Non-juifs) ».
Talmud, Pesachim 49b : « Il est permis de décapiter les Goïm (non-juifs) le jour de l’expiation des péchés, même si cela tombe également un jour de sabbat ».
Sanhedrin 57a: « Si un juif tue un non-juif, il ne sera pas condamné à mort. Ce qu’un juif vole d’un non-juif, il peut le garder ».
Sanhedrin 58b : « Si un goyim (non-juif) frappe un juif, il faut le tuer, car c’est comme frapper Dieu ».
Sanhedrin 59a : « Les Goïm qui chercheraient à découvrir les secrets de la Loi d’Israël, commettent un crime qui réclame la peine de mort ».
Sepher Ou Israël 177b : « Si un juif tue un Non-juif, ce n’est pas un péché ».
Zohar I, 25a : « Les Non-juifs doivent être exterminés car ce sont des idolâtres ».
Zohar I, 28b, 39a : « Les meilleures places dans les Cieux sont pour ceux qui tuent les idolâtres ».
Zohar II, 64b : « Le taux de naissance des Non-juifs doit être diminué matériellement ».
Sepher Ikkarim III c25: « Il est permis de prendre le corps et la vie d’un non-juif ».
Zohar II, 43a : « L’extermination des Non-juifs est un sacrifice agréable à dieu ».
Le Juif est un être supérieur
Chagigah 15b : « Un juif est toujours considéré comme bon, en dépit des péchés qu’il peut commettre. C’est toujours sa coquille qui se salit, jamais son fond propre ».
Chullin 91b: « Les juifs possèdent la dignité dont même un ange ne dispose pas ».
Kallah 1b, 18: « Le juif peut se parjurer la conscience claire ».
Sanhédrin 52b: « L’adultère n’est pas défendu avec la femme d’un Goyim (non-juif), parce que Moïse n’a interdit que l’adultère avec ‘la femme de ton prochain’, et les goyims (non-juifs) ne sont pas des prochains ».
Choschen Ham 34, 19: « Les Non-juifs et les serviteurs ne peuvent pas témoigner lors d’un procès ».
Abhodah Zarah 20a: « Ne jamais faire la louange d’un Non-juif, de peur qu’il ne la croie ».
Abhodah Zarah 22a: « Ne pas fréquenter les goyims, ils versent le sang ».
Abhodah Zarah 25b: « Se méfier des Non-juifs quand on voyage avec eux à l’étranger ».
Abhodah Zarah 26a: « Ne pas recourir à une sage femme non-juive, qui une fois seule pourrait tuer le bébé, ou même si elle était surveillée, elle pourrait lui écraser la tête sans que personne ne puisse la voir ».
Abhodah Zorah 26b: « Ceux qui voudraient changer de religion doivent être jetés au fond d’un puits, et oubliés ».
Abhodah Zarah 35b: « Ne pas boire du lait tiré par un Non-juif ».
Choschen Ham 156, 5: « Les clients non-juifs, possédés par un juif, ne doivent pas être démarchés par un autre juif ».
Choschen Ham 386, 10: « Celui qui voudrait avouer les secrets d’Israël aux Non-juifs, doit être tué avant même qu’il ne leur dise quoi que ce soit ».
Choschen Ham 388, 15: « Il faut tuer ceux qui donneraient l’argent des Israélites à des Non-juifs ».
Eben Haezar 44, 8: « Sont nuls les mariages entre les Non-juifs et les juifs ».
Emek Haschanach 17a: « L’âme des non-juifs vient de la mort et de l’ombre de la mort ».
Hilkhoth X, 7: « Où les juifs sont fortement installés, il ne faut plus tolérer la présence des idolâtres ».
Iore Dea 81, 7 Ha: « Un enfant ne doit pas être allaité par une nourrice non-juive, car son lait lui donnera une nature maléfique ».
Iore Dea 120, 1: « La vaisselle achetée à des Non-juifs doit être jetée ».
Iore Dea 147, 5: « Il faut railler les objets du culte non-juif, il est interdit de souhaiter du bien à un Non-juif ».
Iore Dea 148, 12 H: « On peut prétendre se réjouir avec les Non-juifs pendant leurs fêtes, si cela permet de cacher notre haine ».
Iore Dea 151, 14: « Il est interdit de concourir à la gloire d’un Non-juif ».
Iore Dea 151, 11: « Il est interdit de faire un présent à un Non-juif, cela encourage l’amitié ».
Iore Dea 154, 2: « Il est interdit d’enseigner un métier à un Non-juif ».
Iore Dea 159, 1: « Suivant la Torah, il est autorisé de prêter de l’argent à un Non-juif avec intérêt. « .
Moed Kattan 17a: « Si un juif est tenté par le mal, il doit se rendre dans une ville ou on ne le connaît pas et là il peut s’adonner au mal ».
Rosch Haschanach 17a : « L’âme des non-juifs descend en enfer pour toutes les générations ».
Sanhedrin 57a: « Un juif n’est pas obligé de payer le salaire redevable à un non-juif ».
Shabbath 116a (p. 569): « Les juifs doivent détruire les livres des non-juifs (nouveau testament) ».
Zohar I, 25b: « Ceux qui font du bien à un Non-juif, ne se relèveront pas des morts ».
Zohar I, 28b: « Les Non-juifs sont les enfants du serpent de la Genèse ».
Zohar I, 160a: « Les juifs doivent en permanence tenter de tromper les Non-juifs ».
Zohar I, 219b: « Les princes Non-juifs sont des idolâtres, ils doivent mourir ».
Zohar II, 19a: « La captivité des juifs prendra fin lorsque les princes Non-juifs seront morts ».
Que penser de tous ces exemples rapportés par Pranaitis ?
D’abord, on remarquera qu’il n’est pas besoin d’être un grand spécialiste de l’hébreu pour lire le Talmud en recopiant simplement les phrases intolérantes qui s’y trouvent.
Les rabbins objectent aussi que certains de ces passages sont caducs, car ils ne parlaient pas des Chrétiens actuels mais des anciens peuples polythéistes environnant l’antique Israël (les Cananéens par exemple).
Cependant, si c’est vrai, le problème n’est que reporté dans le passé : cela montre que le judaïsme s’est montré haineux et raciste envers ses voisins dans l’antiquité. Et à aucun moment ce comportement n’a été condamné … on a juste considéré qu’il n’avait plus lieu d’être puisque les peuples incriminés n’existent plus.
Cependant, en observant le comportement des Israéliens vis-à-vis des Palestiniens, on ne peut que constater que les injonctions du Talmud sont intégralement appliquées. Ainsi, le grand rabbin Ovadia Yossef, chef spirituel du Shas, la troisième formation de la Knesset a-t-il déclaré, en se conformant au Talmud : « Le seigneur devrait infliger aux arabes les actes qu’ils commettent, pourrir leur semence, les exterminer, et les faire disparaître de ce monde. Il est interdit d’être magnanime avec eux. Il faut leur lancer des missiles et les annihiler. Ce sont des démons. » .
De plus, le fait même que des rabbins discutent sur ces passages démontre bien que ceux-ci existent bien dans le Talmud. Donc on ne peut pas croire ceux qui prétendent que ces passages ne sont qu’une pure création de la part des antisémites.
On peut cependant essayer de lire d’autres auteurs plus anciens qui, eux aussi, ont recopié les passages du Talmud qui posaient problème
En 1239, Nicolas Donin, un érudit Juif nouvellement converti au christianisme, porta devant le Pape Grégoire IX, une accusation contre le contenu du Talmud. Ce dernier fit alors saisir les exemplaires de ce livre et fit ouvrir une enquête sur le sujet. L’année suivante eut alors lieu à Paris une discussion entre Donin et quatre rabbins parmi les plus érudits, à la suite de laquelle le Talmud fut condamné à être brûlé. Les 35 chefs d’accusations soulevés lors du procès ont été mis par écrit dans l’ouvrage « Extractiones de Talmut », ce qui permet de connaitre les passages du Talmud qui posaient problème et scandalisaient les Chrétiens.
En cherchant, que peut-on donc encore trouver dans le Talmud ?
Zoophilie : Yebamoth 59b: « Une femme qui a eu des rapports sexuels avec une bête a le droit de se marier avec un prêtre juif. Une femme qui a eu des relations avec un démon a aussi droit de se marier avec un prêtre juif.«
Sexisme et mépris des femmes
Menahoth 43b : “Un Juif mâle devrait dire la prière suivante chaque jour : ‘Dieu Merci de ne pas m’avoir fait une femme, un Gentil ou un esclave’.”
Baba Bathra 16b : “la naissance d’une fille est un triste événement.”
Aboth 1:5 : “il n’est pas bon de parler aux femmes, pas même à votre propre femme.”
Pédophilie
Gittin 91a : “il est permis de divorcer d’avec votre femme si elle brûle votre dîner, ou si vous voyez une plus jolie fille, même si elle n’a que 3 ans.”
Mensonge et Hypocrisie
Plus hypocrite et insidieux, on peut également trouver une prière qui favorise le mensonge : Le Kol Nidre, dont le contenu apparait dans le Talmud, Livre de Nedarim 23a-23b.
Et voilà la traduction officielle de cette prière, issue du volume VIII de l’encyclopaedia Judaica (page 539) :
« De tous les vœux, les engagements, les serments, les anathèmes que l’on pourrait prendre, faire, jurer ou promettre, ou par lequel nous pourrions nous lier d’une manière quelconque entre ce jour de l’expiation et le suivant (dont nous attendons l’heureuse venue), nous nous repentons par avance. Puissent ils être absous, pardonnés, annulés, nuls et non avenus; ils ne doivent nous lier d’aucune manière, ni avoir un pouvoir quelconque sur nous. Les vœux ne doivent pas être considérés comme des vœux, les obligations ne doivent pas être obligatoires, ni les serments être des serments. »
Cette prière permet et autorise donc la dissimulation et le mensonge, voire l’incite. Ce n’est guère spirituel. On peut aussi citer divers exemples qui, sans être xénophobes ou racistes, paraissent très barbares. Exemples :
Pédérastie et Pédophilie
Kerithuth, 11a-11b. « Rabba a dit que ça voulait dire ceci : ‘Quand un homme adulte a des rapports avec une petite fille, ce n’est rien, car quand la fille est plus petite que dans ce cas là (moins de trois ans), c’est comme si on lui mettait le doigt dans l’œil ; mais quand un petit garçon a des rapports avec une femme adulte, c’est un cas équivalent à celui où une fille est pénétrée par un morceau de bois’. »
Abhodah Zarah 36b-37a : Rabbi Naham ben Isaac a dit : ‘Au sujet des enfants païens, ils décrétèrent que les rapports sexuels pourraient causer une souillure par l’émission de leur sperme, et qu’un enfant israélite ne devait donc pas prendre l’habitude de commettre des actes de pédérastie avec ces animaux. (…) À partir de quel âge un enfant païen déclenche-t-il la souillure par l’émission de son sperme ? À partir de neuf ans et un jour. Dès lors qu’il est capable de l’acte sexuel, il souille en répandant son sperme.’
Rabina a dit : ‘Il faut donc conclure qu’une petite fille païenne souille depuis l’âge de trois ans et un jour, attendu qu’elle est alors capable de participer à l’acte sexuel, elle peut donc parfaitement souiller par l’intermédiaire de ses humeurs vaginales’.”
Sanhedrin 54b : « Un juif peut avoir des rapports sexuels avec un enfant à condition que l’enfant ait moins de neuf ans. »
Sanhedrin 55b-55a : « Rab a dit : ‘La pédérastie avec un enfant qui a moins de neuf ans, n’est pas à considérer comme la pédérastie avec un enfant plus âgé.’
Samuel a dit : ‘La pédérastie avec un enfant qui a moins de trois ans, n’est pas à considérer de la même manière que la pédérastie avec un enfant plus âgé.’
Sanhedrin 55b : « Une petite fille de trois ans et un jour peut être acquise en mariage par coït, en cas de mort de son mari et si elle a un rapport sexuel avec le frère de son mari, elle devient à lui. Une telle fille est considérée comme femme mariée, on peut se rendre coupable d’adultère à travers elle ; car elle peut souiller l’homme qui a des rapports sexuels avec elle, et celui-ci pourrait à son tour souiller ce sur quoi il se couche, comme un vêtement qu’on se passe (cas de blennorragie). »
Sanhédrin 59b : « Une relation sexuelle avec un garçon de moins de huit ans n’est pas de la fornication. »
Yebamoth 60b : « Ainsi que le révèle le rabbin Joshua ben Lévi : ‘Il y avait une ville sur la Terre d’Israël, où la légitimité d’un habitant était disputée, et Rabbi envoya Rabbi Ramanos qui mena une enquête. Rabbi Ramanos trouva dans cette ville la fille d’un prosélyte (et qui était mariée à un prêtre) qui n’avait pas encore trois ans et un jour, et Rabbi a déclaré : ‘Elle peut vivre avec ce prêtre’. »
Conclusions : Les rabbins font de 9 ans (ou 3 ans) le minimum : si quelqu’un sodomise un enfant moins âgé, même un bébé, aucune culpabilité n’est encourue. Pour ce qui est des filles, il est dit que pour ne pas risquer de châtiment divin, le sodomite doit s’en prendre à celles de moins de 3 ans !
Le fait est qu’il ne sera pas puni par Dieu s’il sodomise un garçon de moins de 9 ans ou une fille de moins de 3 ans. En outre, un enfant de moins de 9 (ou 3) ans qui se serait fait sodomiser n’est pas coupable du crime pédérastique alors que l’enfant qui est plus vieux que 9 (ou 3) ans, qu’il soit sodomisé ou qu’il sodomise, est coupable.
Plus récemment un autre auteur a mis en cause les lois talmudiques. Il s’agit d’Israël Shahak
Israël Shahak
C’est un Juif rescapé de l' »Holocauste »(?) qui a émigré en Israël en 1945 et a servi dans l’armée juive Tsahal. Militant des droits de l’homme, il s’est attaqué à l’influence de l’obscurantisme religieux juif dans la vie politique israélienne.
En 1965, il est révolté par l’attitude d’un Juif religieux qui refuse de prêter son téléphone afin d’appeler une ambulance pour secourir un goy (non Juif). Ce religieux justifie son refus en invoquant la Halakha qui interdit de sauver un non-juif le jour du Sabbat. Questionnés par Shahak, les membres de la Cour rabbinique de Jérusalem (nommés par l’État d’Israël) répondent que ce refus était parfaitement conforme aux lois talmudiques. Selon cette loi, il est interdit à un juif de profaner le jour du Sabbat pour sauver un non-juif. Par contre c’est permis pour sauver un juif. Scandalisé par cette discrimination, Shahak se met alors à étudier les lois talmudiques et expose le résultat de ses recherches dans des livres comme « Le racisme de l’État d’Israël » et « Histoire juive, religion juive, le poids de trois millénaires ». (- Télécharger -)
En 1973, Shahak révèle ainsi que l’armée israélienne a distribué à ses soldats une brochure disant ceci : « Lorsque nos forces rencontrent des civils en temps de guerre ou lors d’une poursuite ou d’un raid, tant qu’il n’y a aucune certitude que ces civils sont dans l’impossibilité de nuire à nos troupes, alors, conformément à la Halakha, ils peuvent et doivent être tués. En aucun cas on ne peut se fier à un Arabe, même s’il donne l’impression d’être civilisé. En temps de guerre, nos troupes donnant l’assaut sont non seulement autorisées mais tenues par la Halakha(*) de tuer même les civils paisibles, c’est-à-dire les civils paisibles en apparence« .
Cette brochure a alors été retirée mais ceux qui l’ont mise en pratique n’ont jamais été punis.
Israël Shahak pense même que le comportement impérialiste des Israéliens envers les Palestiniens est calqué directement sur le contenu de l’Ancien testament où Dieu encourage les Hébreux à exterminer tous les peuples occupant la terre promise.
Si on lit l’Ancien testament, en effet, il n’y a plus de problèmes de traduction : On voit directement ce qu’il en est des enseignements haineux envers les populations non-juives. On voit également l’intolérance barbare dont faisait preuve la loi mosaïque; Or la loi talmudique n’est autre que le développement de cette loi mosaïque.
L’Ancien Testament contient encore de nombreux passages barbares ou qui ne peuvent qu’inciter à l’intolérance religieuse, voire à la xénophobie ou au racisme. Ce qui a contribué à la persistance de l’anti judaïsme / anti sémitisme depuis l’Antiquité. Si des rabbins ont fait semblant d’expurger les livres religieux juifs de leurs aspects les plus racistes et xénophobes, nous constatons qu’aujourd’hui, les rabbins d’Israël affichent à nouveau ces écrits racistes et xénophobes, d’abord à l’encontre des Arabes musulmans ou chrétiens, ensuite à l’encontre des » juifs inférieurs » : noirs et séfarades. Exemples.
Tyrannie en matière de sexualité
Le Lévitique instaure la peine de mort pour toutes sorte de délits sexuels dont la plupart n’ont rien de répréhensible à nos yeux, ni aux yeux des gréco-romains contemporains des Hébreux.
C’est le cas pour l’homosexualité : « 13 Si un individu cohabite avec un mâle, d’une cohabitation sexuelle, c’est une abomination qu’ils ont commise tous les deux ; qu’ils soient punis de mort, leur supplice est mérité. » (Lévitique 20)
L’adultère est aussi interdit sous peine de mort : « 10 Si un homme commet un adultère avec la femme d’un autre homme, avec la femme de son prochain, l’homme et la femme adultères doivent être mis à mort. » (Lévitique 20)
Il vaut mieux également éviter de fréquenter les femmes qui ont leurs règles sinon, c’est le bannissement : « 18 Si un homme cohabite avec une femme qui souffre du flux, et découvre sa nudité, Il a mis à nu la source de son sang, et elle-même a dévoilé cette source ; lis seront retranchés, tous deux, du sein de leur peuple. » Cet inconvénient est toutefois modéré, pour les hommes, puisque la polygamie n’est pas du tout interdite quoique certaines unions soient prohibées : « 14 Celui qui épouse une femme et sa mère, c’est une Impudicité : on les fera périr par le feu, lui et elles, pour qu’il n’y ait point d’impudicité parmi vous. »
La zoophilie ajoute une punition de la pauvre bête innocente au meurtre du « coupable » : « 15 Un homme qui s’accouplerait avec un animal doit être mis à mort, et l’animal, vous le tuerez«
L’inceste est puni de mort, même si il ne s’agit pas de consanguins : « 11 Si un homme cohabite avec la femme de son père, c’est la nudité de son père qu’il a découverte : qu’ils soient mis à mort l’un et l’autre, ils ont mérité leur supplice.«
Autorité dans la famille
Quel que soit leur comportement, les parents ont droit au respect de leurs enfants, sous peine de mort, bien évidemment : « Or, tout homme qui aura maudit son père ou sa mère, doit être mis à mort : il a maudit son père ou sa mère, il a mérité son supplice. » (Lévitique 20)
Chasse aux sorcières
La lapidation est conseillé pour tout ce qui ressemble à de la sorcellerie : « 27 Un homme ou une femme chez qui serait constatée une évocation ou un sortilège devront être mis à mort ; on les lapidera : ils ont mérité leur supplice. » (Lévitique 20)
Fanatisme (syndical ?) sur le travail pendant le Sabbat
A l’heure où, en France, on s’interroge sur les moyens d’empêcher les magasins d’ouvrir le dimanche, Moïse a une solution que l’on peut qualifier d’extrême : « 32 Pendant leur séjour au désert, les enfants d’Israël trouvèrent un homme ramassant du bois le jour du Sabbat. 33 Ceux qui l’avaient trouvé ramassant du bois le conduisirent devant Moïse et Aaron, et devant toute la communauté. 34 On le mit en lieu sûr, parce qu’il n’avait pas été expliqué comment il fallait agir à son égard. 35 Alors l’Éternel dit à Moïse : « Cet homme doit être mis à mort ; que toute la communauté le lapide hors du camp. » 36 Et toute la communauté l’emmena hors du camp, et on le fit mourir à coups de pierres, comme l’Éternel l’avait ordonné à Moïse. » (Nombres, 15)
(*) « Le Talmud (héb. : תַּלְמוּד talmoud, « étude ») est l’un des textes fondamentaux du judaïsme rabbinique, ne le cédant en importance qu’à la Bible hébraïque, dont il représente le versant oral. Il est rédigé dans un mélange d’hébreu et d’araméen. Le Talmud est le fondement de la loi juive ou Halakha. Composé de la Mishna et de la Guemara, il compile les discussions rabbiniques sur l’ensemble des sujets de la Loi juive, classés en six ordres (shisha sedarim, abrégé Sha »s). » Wikipédia.
(**)Goy, goyim ou goys ou goï, goïm ou goïs : Terme par lequel, depuis l’époque biblique, les Juifs désignent les non-Juifs.
(***)Une politicienne et parlementaire israélienne bien connue a qualifié (18/07/2014) les Palestiniens dans leur ensemble de « terroristes », allant jusqu’à affirmer que les mères des Palestiniens devraient également être tuées au cours de l’offensive israélienne dans la bande de Gaza assiégée.
Ayelet Shaked, du parti ultra-nationaliste Jewish Home, a appelé au meurtre de toutes les mères palestiniennes qui donnent naissance à des « petits serpents ».
Elles doivent mourir, et leurs maisons doivent être détruites de telle sorte qu’elles ne puissent plus abriter de terroristes », a-t-elle affirmé, en ajoutant : « Elles sont toutes des ennemies, et leur sang devrait être sur nos mains. C’est aussi valable pour les mères des terroristes morts.
Ces commentaires sont considérés comme un appel au génocide, étant donné qu’elle déclare que tous les Palestiniens sont des ennemis d’Israël et doivent être tués.
Le Saviez vous : Les Vrais JUIFS de la THORA (ancien Testament chrétien), religieux ou laiques, Rejettent TOTALEMENT le SIONISME TALMUDIQUE, soutiennent la Cause Nationale Palestinienne & souhaitent même le Démantèlement de l’état sioniste d’Isra-Hell ! Ils rejettent la maffia du CRIF, de la LDJ ; de la LICRA ou encore le lobby israélien de l’AIPAC ! :-))
Lieberman :« Il faut décapiter[…] tous les Arabes qui ne sont pas fidèles à Israël »
Avigdor Lieberman
Daesh inspire les autorités israéliennes, mais, en plus trash encore. J’imagine les vidéos de décapitations à la hache. Mais, pour sûr, Daesh ne fera aucune déclaration…L’affreux et ancien videur de boîte de nuit, Liberman , qui s’est refait une santé en Israël, joue de plus en défaveur de ce pays. Quelle ironie ! Heureusement pour lui, de Washington à Paris, en passant par Londres, il sera toujours reçu en grande pompe sous les ors de ces pays. Son ami Manuel Valls va-t-il l’inviter après cette belle déclaration ?
Dans le gouvernement hétéroclite en Israël , Avigdor Lieberman, ministre des Affaires Étrangères est…une vedette incontestée. Par son langage très peu diplomatique d’abord et par son emploi du temps fixé par … la police. En effet, sitôt nommé en effet, Son Excellence – ancien videur de boîte de nuit né en Moldavie et arrivé en Palestine il y a à peine deux décennies- été convoqué par la police pour blanchiment d’argent, abus de confiance…des « broutilles » comme le personnel politique israélien en a l’habitude quand on pense à l’ancien chef de l’État qui sautait sur toutes les femmes qui avaient la malchance de croiser son chemin, à celle d’Ehoud Olmert qui aurait détourné de l’argent public, à Omri Sharon, fils de son père, condamné à de la prison pour avoir volé l’État….
Le représentant de l’extrême-droite fasciste israélienne, semble annoncer le prochain massacre à la tronçonneuse. Il y figurera en première place. Sacré Avigdor Lieberman ! Voilà donc un ministre (Affaires étrangères), qui n’hésite pas à faire de l’apologie du terrorisme sans porter de gants. Selon le très sérieux Haaretz, Avigdor Lieberman a déclaré, pince-sans-rire :« Il faut décapiter à la hache, tous les Arabes qui ne sont pas fidèles à Israël »
Bien sûr, ça passe comme une lettre à la poste, surtout en France, où on relaie l’information sans toutefois faire une vraie critique de tels propos choquants. Or, si ça avait été le camp d’en face, le tollé serait indescriptible. On sait notamment que sur des déclarations mensongères et assumées, aussi bien en France qu’en Israël, les autorités mentent sans vergogne.
Jason Mostafa Ali, un professeur d’histoire du New Jersey d’origine égyptienne, a vu son appel dans une action en justice alléguant une discrimination de la part du directeur de son école renvoyé de la cour fédérale.
Le différend a commencé en 2017, lorsque le directeur juif de Woodbridge High School, Glenn Lottman, a fait pression sur le surintendant local Robert Zega pour le faire licencier.
Zega et Lottman ont mis fin à Ali après avoir permis aux élèves de la classe de remettre en question l’Holocauste et de savoir si le Mossad avait aidé Al-Qaïda pendant les attaques terroristes du 11 septembre.
Les étudiants remettaient en question l’Holocauste et l’héritage d’Hitler par eux-mêmes. Ali a seulement encouragé les étudiants à s’engager dans une pensée critique sans apport idéologique.
Les écoles publiques protègent prétendument le premier amendement, mais dans ce cas, Ali a été puni pour avoir simplement permis aux élèves de lire leurs papiers à haute voix.
L’un des articles était basé sur le documentaire « Adolf Hitler: la plus grande histoire jamais racontée », montrant à quel point les révisionnistes ont fait avancer le débat sur la Seconde Guerre mondiale. Un professeur d’anglais a entendu qu’il était en discussion et informé sur Ali et ses élèves aux administrateurs.
Après avoir été interrogé par Zega et Lottman sur les raisons pour lesquelles il n’a pas puni les étudiants pour avoir « nié » l’Holocauste, Ali a affirmé le droit de tout remettre en question. Il a ensuite été licencié.
Au cours de son procès, Ali a fait valoir qu’il avait le droit du Premier Amendement de définir ses propres plans de cours, et ses élèves avaient le droit d’examiner l’histoire sous n’importe quel point de vue qu’ils considéraient comme ayant les preuves les plus convaincantes. Le juge dans l’affaire, Madeline Cox Arleo, a déclaré que non et Lottmann avait le droit de le licencier.
Jennifer Rich, une professeure juive en «études sur le génocide», a été appelée pour fournir un témoignage d’expert sur l’affaire. Elle a salué la suppression des idées qu’elle n’aime pas et a condamné Ali dans un éditorial pour la libérale clickfarm Raw Story.
Ali allègue également que le principal Lottman ferait constamment des remarques discriminatoires, comme le qualifiant de terroriste et « d’Égyptien ». Ali a mis un accent supplémentaire sur cette partie de son cas lors du passage à la cour d’appel.
Mais Ali, qui est un homme musulman d’origine égyptienne, a déclaré qu’il avait été victime de discrimination pendant des années par le directeur du lycée et d’autres professeurs de Woodbridge. Les médias ont été informé de son procès par un groupe anonyme appelé Free Ali.
Dans une lettre accablante, son avocat, Dayna Katz, du cabinet d’avocats DiFrancesco Bateman, basé à Warren, envoyé au conseil scolaire de Woodbridge, Ari Schneider, le 27 février, Ali a allégué ce qui suit:
Il a commencé à travailler comme professeur d’histoire au lycée en 2015 et a également été entraîneur adjoint de l’équipe de football universitaire. Tout au long de son emploi, le directeur du lycée Glenn Lottmann lui adressait à plusieurs reprises des commentaires discriminatoires, tels que « Attention aux Egyptiens » et le taquinait à propos de son nom complet, Jason Mustafa Ali.
Ali a déclaré que d’autres enseignants et membres du personnel l’appelleraient à plusieurs reprises « anti-américain » et « sympathisant terroriste », mais lorsqu’il l’a signalé au directeur adjoint Matthew Connelly, aucune enquête n’a jamais été menée.
Ali dit également que Connelly a approuvé son plan de leçon le 11 septembre et a même approuvé les articles auxquels il a lié sur son site Web, y compris un rapport du renseignement saoudien sur les attaques du 11 septembre et un rapport du renseignement égyptien.
Le 28 septembre 2016, deux semaines après avoir enseigné le 11 septembre à ses élèves, Ali a déclaré qu’il avait été appelé au bureau du directeur Lottmann. Là, dit-il avec colère, Lottmann a demandé: « Qu’est-ce qui ne va pas avec toi? Je ne t’ai pas dit de te débarrasser des théories du complot? » Lottmann détenait le rapport du renseignement saoudien sur lui, auquel Ali a répondu qu’il était accrédité. Lottmann aurait dit « Chiffres, les Arabes » se référant à Ali.
Lottmann a déclaré: « Je suis fatigué de vous et de vos complots, vous êtes un théoricien du complot et n’appartenez pas à la classe … Vous n’allez pas me faire répondre aux questions des journalistes. » Lottmann a ordonné à Ali de supprimer les liens.
Ali a dit qu’il était entré à l’école le lendemain, 29 septembre, et avait trouvé deux papiers de licenciement signés de Zega. Il a ensuite été « immédiatement bombardé pendant plus de trente minutes avec des questions implacables, manifestement discriminatoires et inappropriées sur l’Holocauste, ses opinions sur la religion juive, son appartenance ethnique et sa religion », affirme Ali.
Ali a dit que Zega lui avait demandé « Expliquez ce que vous pensez de l’Holocauste. Combien de Juifs sont morts dans l’Holocauste? Croyez-vous que des Juifs ont été tués dans des camps de la mort dans l’Holocauste? Ne savez-vous pas que quelqu’un qui utilise des articles comme celui-ci est antisémite? » et « Voyez-vous comment une personne d’origine arabe, et je suppose que vous êtes musulman, qui établit des liens sur ses fils d’école comme celui-ci peut être considérée comme offensante? Avez-vous du terrorisme dans votre classe? » Il a également demandé: «Enseignez-vous une vision de la théorie du complot de l’Holocauste? Enseignez-vous qu’Hitler était un bon gars?
Ali a dit qu’il avait demandé un avocat, et Zega a répondu: « Vous n’avez pas de représentation. » Ali a déclaré que les articles ont été utilisés pour enseigner ce que les agences de renseignement et les gouvernements étrangers pensent du 11 septembre, auquel Zega a répondu: « Nous n’avons pas besoin d’une perspective du Moyen-Orient. Notre district et ce sujet ne font pas partie du programme d’études, vous devriez donc ne pas l’enseigner. «
Zega a licencié Ali ce jour-là et il a été banni de tous les terrains de l’école publique de Woodbridge. Son licenciement a été bien médiatisé dans les médias, y compris par Patch. Le 11 octobre, sa maison a été cambriolée et vandalisée, étiquetée de graffitis tels que « ISIS, Arab FU, Devil » et plusieurs croix gammées. A l’extérieur de sa maison, les mots « terroriste » et « mourir » ont été écrits.
L’avocat d’Ali, Katz, a déclaré qu’Ali est victime de la loi du New Jersey contre la discrimination et qu’il a droit à une indemnisation.
Les appels à la loi sur les droits civils dans les affaires politiquement sensibles ont tendance à faire mieux dans les tribunaux inférieurs que d’invoquer la Constitution actuelle, mais le 3e circuit de la Cour d’appel des États-Unis a décidé de ne pas donner plus d’oxygène à son cas. C’est encore un autre coup porté à la liberté d’expression.
Bien que cette histoire soit largement rapportée, ni les défenseurs conservateurs de la «liberté d’expression» ni l’ACLU ne semblent avoir de problème avec cette attaque contre le Premier Amendement.
Les États-Unis d’Amérique sont devenu une dictature ou les sionistes lavent le cerveau des américains sous la présidence de Donald Trump,le meilleur ami d’Israel!
Hier, un journal juif, le Jerusalem Post, a déclaré: «Les États-Unis inciteront les pays à aimer davantage leurs juifs, selon un observateur de l’antisémitisme»
« L’OPPOSÉ de l’antisémitisme n’est pas la tolérance », a déclaré Elan Carr, le « contrôleur d’antisémitisme » américain. « L’opposé de l’antisémitisme est le philosémitisme, l’appréciation, le respect et l’affection pour les valeurs juives [1] et pour la communauté juive. » Carr est juif.
Elan Carr, le «contrôleur d’antisémitisme» du Département d’État, veut inciter les gens d’autres pays à «aimer davantage leurs juifs» comme un moyen de «lutter contre l’antisémitisme».
Elon Carr et Donald Trump
Dans un appel à la presse lundi pour marquer le «Mois du patrimoine juif américain», Carr a décrit les mesures que les États-Unis prenaient dans le monde entier pour défendre les Juifs, le groupe ethnique le plus riche et le plus puissant du monde.
Certaines de ces étapes comprennent l’utilisation de l’argent des contribuables américains pour payer des mesures de sécurité de plusieurs millions de dollars pour des organisations juives déjà riches, la poursuite de ceux qui remettent en question ou travaillent contre le pouvoir juif, et condamner les «discours antisémites».
« En plus de toutes ces mesures de défense importantes, nous sommes déterminés à travailler avec nos alliés pour développer et conduire des récits philosémites pour leur pays, dans l’espoir que nous pourrons atteindre le jour où chaque société se consacrera, comme les États-Unis, à embrasser et chérir leur communauté juive», a-t-il dit.
Il n’a pas décrit la forme que prendraient les récits philosémites, ni comment le Département d’État les conduirait.
« Le contraire de l’antisémitisme n’est pas la tolérance« , a déclaré Carr. «Le contraire de l’antisémitisme est le philosémitisme, l’appréciation, le respect et l’affection pour les valeurs juives et la communauté juive. Le Mois du patrimoine juif américain est un véhicule important pour conduire ce récit philosémite critique. »
Carr a énuméré des sommités juives américaines méritant d’être promues, y compris les compositeurs Irving Berlin et Leonard Bernstein, les scientifiques Jonas Salk et Albert Einstein, et les juges de la Cour suprême Louis Brandeis et Benjamin Cardozo.
« Nous avons en fait réuni diverses autorités qui travaillent dans ce domaine, dans les gouvernements, les nôtres et d’autres, et dans le secteur privé ou à but lucratif, mais aussi des ONG qui traitent spécifiquement du discours de haine sur Internet« , a-t-il déclaré. « Et nous réunissons ces autorités spécifiquement dans le but de produire un cadre pour y remédier. »
En Amérique, il est difficile de faire un pas sans rencontrer de milliardaires juifs.
TOUT LE MONDE déteste les impôts. Comme le dit le vieil adage, les impôts sont, avec la mort, parmi les choses les moins préférées de l’humanité. Pourtant, ils sont aussi vieux que la civilisation elle-même; des documents fiscaux ont été trouvés dès la dynastie Ur III datant de 2000 avant JC, et peut-être plus anciens. Et nous pouvons être sûrs que ses résidents les ont payés à contrecœur.
Le plus exaspérant de tous les impôts, je suppose, est l’impôt sur le revenu: le gouvernement prélève directement sur nos bulletins de paie, avant que nous puissions voir un seul centime.
Aux États-Unis, le travailleur moyen verse 20 à 25 % de ses revenus au gouvernement fédéral et 5% aux gouvernements des États ou des collectivités locales: plus d’un tiers de nos revenus sont partis, perdus, gaspillés.
Mais que se passerait-il si nous – la plupart d’entre nous, de toute façon – n’avions pas à payer d’impôt sur le revenu? Et si nous pouvions avoir tous les mêmes services gouvernementaux qu’aujourd’hui, sans rien céder de nos chèques de paie durement gagnés? Cela peut surprendre le lecteur de savoir que, pendant la majeure partie de l’histoire des États-Unis, les citoyens n’ont payé aucun impôt sur le revenu. Et pendant des décennies encore, seul un très faible pourcentage les a payés. Pendant 150 ans, cela a fonctionné. Et si on pouvait avoir ça à nouveau? Et si les fonds perdus pouvaient être couverts, en grande partie, par la minorité ethnique la plus prospère? Il y aurait là une sorte de justice sublime, n’est-ce pas?
….
À l’heure actuelle, nous avons environ 160 millions de ménages fiscaux aux États-Unis, ce qui représente 325 millions de personnes. Les 1% les plus riches – c’est-à-dire les 1,6 million de ménages les plus riches – gagnent en moyenne environ 880.000 $ par an. Le deuxième pour cent le plus riche gagne environ 400.000 $ en moyenne et le troisième pour cent environ 325.000 $. Au total, nos 3% les plus riches gagnent environ 2,6 billions de dollars chaque année.
Le problème, cependant, est que nous devons lever 2,1 billions de dollars en taxes auprès de ces gens (le montant total de l’impôt sur le revenu). Le plus simple serait de les taxer à un taux forfaitaire de 80%. Imaginez: vous gagnez 1 million de dollars par an grâce à votre fonds spéculatif capitaliste vautour[2], et vous devez payer 800.000 $ aux autorités fédérales.
Cruel, diriez-vous? Peut-être. Heureusement, nous avons une alternative.
Il se trouve, sans surprise, que la plupart de nos 3 premiers pour cent (en termes de revenus) sont également millionnaires ou milliardaires (en termes d’actifs). Ils ont des actifs réels – des actifs imposables. En fait, chaque ménage du premier pour cent possède en moyenne 22 millions de dollars d’actifs – principalement des biens immobiliers, des actions et des obligations et des capitaux propres. Le deuxième centile des ménages possède 7,5 millions de dollars en moyenne; le 3e centile, 5 millions de dollars. Au total, ce groupe d’individus possède ou contrôle environ 56 billions de dollars d’actifs – une somme tout à fait incroyable, c’est le moins qu’on puisse dire.
Voici donc ma proposition: taxer les revenus des 3% supérieurs à un taux forfaitaire de 60%; cela rapportera environ 1,5 billion de dollars par an. Ensuite, imposons un simple impôt sur la fortune de 1% à leurs actifs, ce qui rapportera 560 milliards de dollars supplémentaires. En somme, nous obtenons presque exactement le total souhaité de 2,1 billions de dollars.
Nos gens les plus riches peuvent donc entièrement financer le gouvernement fédéral. Et les 97% restants d’entre nous – environ 315 millions de personnes – parviennent à conserver tous leurs revenus durement gagnés. Imagine ça.
Et qui sont exactement ces pauvres bougres qui sont capables, à eux seuls, de financer , à eux seuls, le gouvernement fédéral?
Nous connaissons les grands noms: Bill Gates, Warren Buffett, Mark Zuckerberg, Jeff Bezos, les frères Koch. Mais ils ne sont que la pointe de l’iceberg.
Lorsque nous parcourons la liste des principaux noms, nous constatons un fait frappant: environ la moitié d’entre eux sont juifs.
Parmi les dix premiers, nous trouvons cinq Juifs: Zuckerberg, Larry Page, Sergey Brin, Larry Ellison et Michael Bloomberg. Parmi les 50 premiers, au moins 27 sont juifs, dont Sheldon Adelson, Steve Ballmer, Michael Dell, Carl Icahn, David Newhouse, Micki Arison et Stephen Ross. Plus largement, on peut citer encore une fois Benjamin Ginsberg, qui a écrit: « Aujourd’hui, bien qu’à peine 2% de la population du pays soit juive, près de la moitié de ses milliardaires sont juifs« .
Sur la base de ces données, nous pouvons en déduire que presque la moitié des 3% les plus riches sont juifs. Dans l’ensemble, ils possèdent ou contrôlent donc jusqu’à 28 billions de dollars d’actifs.
Sur ma proposition, ils paieront en conséquence la moitié des 2,1 billions de dollars annuels pour maintenir notre gouvernement à flot et pour mener des guerres étrangères en leur nom et pour leur ethnie. En tant que principaux bénéficiaires de ces guerres et des politiques économique et étrangère américaines, ce n’est que justice.
Une telle proposition mérite une discussion plus large, étant donné qu’elle offre des avantages financiers massifs à 97% de la nation.
…..
Pourtant, un tel système fiscal, pesant de manière disproportionnée sur les Juifs américains, aurait de vastes implications. Pensez-y: une contribution annuelle de 1 billion de dollars de la communauté juive américaine, afin d’assurer la santé et la sécurité de tous les Américains. Cela contribuerait grandement à améliorer leur image longtemps entachée de financiers rapaces et sans scrupules, et à réduire l’hostilité anti-juive. En drainant une partie de leur richesse excessive, cela réduirait leur capacité de se mêler du gouvernement et du monde des affaires. Ce serait une aubaine pour l’économie américaine, sortant des millions de personnes de la pauvreté et permettant à des millions d’autres de sortir de la dette écrasante. Un tel système servirait une véritable justice économique.
Mais ne rêvez pas trop. Cela se passera lorsque les poules auront des dents.
Dans le Talmud, les juifs explicitent leur mépris et leur dédain pour l’humanité en général, et pour les Chrétiens en particulier. Nous en avons vu un échantillon dans 20 EXTRAITS CHOQUANTS DU TALMUD et dans Le discours de haine talmudique à la base du génocide des non-juifs.
Dans une suite d’articles, nous allons examiner plus en détail quelques écrits explicitement racistes et haineux du Talmud. Il paraît qu’en Occident, il y a des lois et des discours enflammés contre le racisme et la haine, ce qui est tout à fait louable. Sauf que le livre le plus raciste qui soit, qui prône une haine implacable envers tous ceux qui ne sont pas juifs, le Talmud, n’est interdit nulle part.
Introduction : La Torah et le Talmud
Le judaïsme, comme les autres « religions du livre », distingue le livre sacré de ses interprétations et commentaires. Pour le judaïsme, comme pour le christianisme, un seul livre est inspiré et transmet la parole de Dieu: c’est la Bible (Ancien Testament pour le judaïsme, Ancien et Nouveau Testament pour le christianisme). Mais la Bible, comme tout texte ancien normatif, a été constamment relue et réinterprétée, et certains de ces commentaires sont devenus traditionnels et, eux aussi, normatifs pour une communauté religieuse. L’exemple le plus simple en christianisme est la littérature patristique. La Bible a donné naissance à une série de commentaires de la part des Pères grecs ou latins. Aujourd’hui, quand on commente un texte biblique, on cite encore leurs interprétations comme traditionnelles. Le Talmud, c’est cela: un corpus d’interprétations et de commentaires anciens et traditionnels du judaïsme sur la Bible, et plus précisément sur la Torah, c’est-à-dire la Pentateuque chrétienne ou les cinq premiers livres de la Bible (Gn, Ex, Lv, Nb, Dt).
Le Talmud est le deuxième livre saint du judaïsme après la Bible.
Il s’agit d’une œuvre encyclopédique dont l’élaboration a duré depuis le début de l’ère chrétienne jusqu’au Ve siècle environ. Comme toute loi écrite a besoin d’être constamment réactualisée, on dit que la Torah constitue la loi écrite, tandis que le Talmud constitue la loi orale. Et en effet, durant des siècles, ces commentaires sur la Torah écrite ont été transmis oralement. C’est assez tardivement, donc, qu’on s’est mis à écrire ces enseignements. Le Talmud se réclame de Moïse, comme la Torah. Les commentateurs juifs affirment que sur le Sinaï, Moïse reçut de Dieu la Torah écrite avec son explication orale, à savoir le Talmud. Le Talmud se présente donc comme une gigantesque table ronde, on a envie de dire un immense concile, à laquelle des centaines de sages et de disciples auraient participé au long des siècles. Malgré la grande diversité des opinions exprimées, l’ensemble donne une impression d’unité et de vie intenses.
La formation du Talmud
Le Talmud est formé de deux grands corpus anciens: d’abord la Mishna, datant des IIe et IIIe siècles, rédigée en hébreu, qui se présente comme un traité juridique, une synthèse touchant tous les domaines de la vie, divisés en six livres:
1) Zéraïm(lois sur la vie agricole et droits des pauvres) ;
2) Moéd(lois sur le sabbat et le calendrier) ;
3) Nashim(lois sur la vie conjugale et familiale) ;
4) Nezikim(droit civil et pénal, relations sociales) ;
5) Kodashim(lois relatives au culte au temple de Jérusalem) ;
6) Taharot (prescriptions relatives à la pureté). Ces enseignements de la Mishna seront par la suite discutés, remis en cause et complétés par les maîtres. Cela donnera la Gemara, terme signifiant « complément », rédigée en hébreu et en araméen.
Le Talmud se présente donc sous la forme de 63 traités, répartis le plus souvent en une vingtaine de volumes, comportant en tout autour de 6000 pages. La plupart des éditions modernes ajoute encore les commentaires de Rashi (à savoir Rabbi Shlomo Yitzhaki, 1040-1105), mais aussi de bien d’autres. La disposition d’une page du Talmud est remarquable: le texte biblique est au centre, en hébreu plus gros. Juste en dessous se trouvent la Mishna et la Gemara. Tout autour, les divers commentaires sont imprimés en caractère plus petit.
Du fait que deux centres intellectuels se sont livrés au même travail de synthèse et de commentaire, on distingue deux Talmuds: celui de Babylone et celui de Jérusalem. Le Talmud de Babylone est trois fois plus volumineux que celui de Jérusalem et jouit d’une plus grande autorité dans le judaïsme. Normalement, quand on parle du Talmud sans préciser, c’est de celui de Babylone qu’il s’agit.
Le Talmud a été traduit en anglais par le rabbin Adin Steinzalts. Celui-ci a aussi commencé une traduction française dont plusieurs volumes ont été publiés.
Il est essentiel de bien saisir la portée de ces écrits traditionnels dans le judaïsme. En effet, quand on discute avec un Juif, on pourrait penser que nous avons un fond commun, la Bible. Ce n’est certainement pas faux, mais ce n’est pas tout à fait exact… Car la Bible juive est inséparable de son interprétation traditionnelle donnée par la Mishna et le Talmud. Or, ces interprétations sont souvent loin des interprétations chrétiennes. Les deux communautés croyantes, bien qu’héritières du même livre saint, ne sont pas sur la même longueur d’onde à cause des interprétations et commentaires traditionnels de leurs livres saints.
Partie 2:
La haine raciste envers les non-juifs et envers Jésus et Marie
Nous publions la documentation irréfutable suivante dans l’espoir de libérer tout le monde, y compris le peuple juif, des illusions corrosives et du racisme de cette littérature haineuse talmudique, qui est le manuel des juifs orthodoxes et hassidiques du monde entier.
Il contient d’horribles blasphèmes contre Jésus-Christ.
Bien que ce soit la pratique habituelle de désinformation des apologistes du Talmud de nier qu’il contient des références scandaleuses sur Jésus-Christ, certaines organisations juives orthodoxes sont plus ouvertes et admettent que le Talmud ne mentionne pas seulement Jésus mais le dénigre (comme un sorcier et un monstre sexuel dément).
Le rabbin Joseph D. Soloveitchik est considéré comme l’un des rabbins les plus influents du XXe siècle, le « leader incontesté » du judaïsme orthodoxe et la plus haute autorité internationale en matière de halakha (loi religieuse juive).
le rabbin Joseph D Soloveitchik_
Soloveitchik était chargé d’instruire et d’ordonner plus de 2 000 rabbins, « toute une génération » de dirigeants juifs. Ari Goldman, journaliste religieux au New York Times, a décrit les fondements de l’autorité du rabbin: « Soloveitchik est issu d’une longue lignée d’éminents érudits talmudiques.
Jusqu’au début de la vingtaine, il se consacre presque exclusivement à l’étude du Talmud.
Il est venu au Elchanan Theological Seminary de l’Université de Yeshiva où il est resté le principal professeur du Talmud.
Il détenait le titre de professeur Leib Merkin de Talmud.
assis les pieds croisés devant une table portant un volume ouvert du Talmud.
« (N.Y. Times, 10 avril 1993, p. 38).
Goldman ne fait nulle part référence à la connaissance de Soloveitchik de la Bible comme étant la base pour être l’une des principales autorités sur la loi juive.
Les pouvoirs du rabbin reposent tous sur sa maîtrise du Talmud.
D’autres études sont clairement secondaires.
La Jewish Chronicle de Grande-Bretagne du 26 mars 1993 déclare que dans les écoles religieuses (yeshiva), les Juifs sont «dévoués au Talmud à l’exclusion de tout le reste. »
Le Talmud annule la Bible
Les scribes juifs affirment que le Talmud est en partie un ensemble de traditions que Moïse leur a données sous forme orale.
Celles-ci n’avaient pas encore été écrites au temps de Jésus.
Le Christ a condamné les traditions de la Mishna (premier Talmud) et de ceux qui l’ont enseigné (Scribes et Pharisiens), parce que le Talmud annule les enseignements de la Sainte Bible.
Shmuel Safraidans The Literature of the Sages Part One (p.164), souligne que, dans les chapitres 4 et 5 du Talmud’s Gittin Tractate, le Talmud annule l’enseignement biblique concernant le prêt d’argent: « Hillel a décrété le prozbul pour l’amélioration du monde.
Le prozbul est une fiction juridique qui permet de recouvrer des dettes après l’année sabbatique et c’était l’intention de Hillel de surmonter ainsi la peur que les prêteurs avaient de perdre leur argent.
« Le célèbre avertissement de Jésus-Christ au sujet de la tradition des hommes qui annule les Écritures (Marc 7: 1-13), est en fait une référence directe au Talmud, ou plus précisément, au précurseur de la première partie de celui-ci, la Mishna , qui a existé sous forme orale pendant la vie du Christ, avant de se se présenter sous forme écrite.
Marc chapitre 7, du verset un à treize, représente la condamnation pointue de Notre-Seigneur de la Mishna.
Malheureusement, en raison de l’ignorance abyssale de notre époque, la notion largement répandue de «judéo-chrétien» est que l’Ancien Testament est le livre suprême du judaïsme.
Mais ce n’est pas le cas.
Les pharisiens enseignent comme doctrine les commandements des rabbins, pas ceux de Dieu.
Le commentaire talmudique sur la Bible est leur loi suprême, et non la Bible elle-même.
Ce commentaire, en effet, comme l’a dit Jésus, annule les lois de Dieu et ne les respecte pas.
En tant qu’étudiants du Talmud, nous savons que cela est vrai.
L’érudit juif Hyam Maccoby, dans Judaism on Trial, cite le rabbin Yehiel ben Joseph: « De plus, sans le Talmud, nous ne pourrions pas comprendre les passages de la Bible.
Dieu a transmis cette autorité aux sages et la tradition est une nécessité ainsi que les Écritures.
Les Sages ont également fait leurs propres textes.
Quiconque n’étudie pas le Talmud ne peut pas comprendre l’Écriture. »
Il existe une petite secte juive qui fait des efforts considérables pour éviter le Talmud et adhérer à l’Ancien Testament seulement. Ce sont les Karaites, un groupe qui, historiquement, a été le plus détesté et le plus sévèrementpersécuté par le rabbinat juif orthodoxe.
À la Michna, les rabbins ont ajouté plus tard la Guemara (commentaires rabbiniques). Ensemble, ceux-ci constituent le Talmud.
Il existe deux versions, le Talmud de Jérusalem et le Talmud de Babylone.
Le Talmud babylonien est considéré comme la version faisant autorité: « L’autorité du Talmud babylonien est également plus grande que celle du Talmud de Jérusalem. En cas de doute, la première est décisive. « (R.C. Musaph-Andriesse, From Torah to Kabbalah: A Basic Introduction to the Writings of Judaism, p. 40).
Cette étude est basée sur le Talmud babylonien autorisé par les Juifs.
Nous avons publié ici les paroles authentifiées du Talmud juif.
Lisez-les par vous-même.
Nous publions la documentation irréfutable suivante dans l’espoir de libérer tout le monde, y compris le peuple juif, des illusions corrosives et du racisme de cette littérature haineuse talmudique, qui est le manuel des juifs orthodoxes et hassidiques du monde entier.
La mise en œuvre par les suprémacistes juifs de la littérature haineuse talmudique a causé des souffrances indicibles à travers l’histoire et maintenant, en Palestine occupée, elle est utilisée pour justifier le meurtre de masse de civils palestiniens.
Le Talmud définit spécifiquement tous ceux qui ne sont pas juifs comme des animaux non humains.
QUELQUES ENSEIGNEMENTS SUR LE TALMUD JUIF DANS LEQUEL UN JUIF DEVRAIT FAIRE DU MAL
ED Noor: Souvenez-vous-en lorsque vous lirez ou entendrez parler duKol Nidre! Moed Kattan 17a: Si un Juif est tenté de faire le mal, il doit aller dans une ville où il n’est pas connu et y faire le mal.
Sanction pour désobéissance aux rabbins Erubin 21b.Quiconque désobéit aux rabbins mérite la mort et sera puni en étant bouilli dans des excréments chauds en enfer.
Frapper un Juif équivaut à frapper Dieu Sanhédrin 58b.Si un païen (gentil) frappe un juif, le gentil doit être tué.
D’ACCORD pour tromper les non-juifs Sanhédrin 57a.Un juif n’a pas besoin de payer à un gentil (« Cuthean ») le salaire qui lui est dû pour son travail.
Les Juifs ont un statut juridique supérieur Baba Kamma 37b. »Si le bœuf d’un Israélite attrape un bœuf d’une Cananéenne, il n’y a pas de responsabilité; mais si un bœuf d’une Cananéenne gore un bœuf d’un Israélite, le paiement doit être intégral. »
Les Juifs peuvent voler des non-Juifs Baba Mezia 24a.Si un juif trouve un objet perdu par un gentil (« païen »), il n’a pas à être rendu. (Affirmé également dans Baba Kamma 113b).
Sanhedrin 76a.Dieu n’épargnera pas un Juif qui « marie sa fille à un vieil homme ou prend une femme pour son fils nouveau-né ou rend un article perdu à un Cuthean. » . Le terme péjoratif de Cutheans (dérivée de la ville de Cuthea) est utilisé pour désigner les Samaritains .
Les juifs peuvent voler et tuer des non-juifs Sanhedrin 57a. Lorsqu’un juif assassine un gentil (« Cuthean »), il n’y aura pas de peine de mort.
Ce qu’un Juif vole à un gentil, il peut le garder. Baba Kamma 37b.
Les gentils sont en dehors de la protection de la loi et Dieu « a destiné leur argent à Israël. »
Les juifs peuvent mentir à des non-juifs Baba Kamma 113a.Les Juifs peuvent utiliser des mensonges (« subterfuges ») pour abuser un Gentil.
Les enfants non juifs sont des sous-humains Yebamoth 98a.Tous les enfants gentils sont des animaux.
Abodah Zarah 36b.Les filles des Gentils sont dans un état de niddah (crasse) dès la naissance.
Abodah Zarah 22a-22b.Les Gentils préfèrent le sexe avec des vaches.
Insultes contre la Bienheureuse Marie Sanhédrin 106a.La mère de Jésus était une putain: « Elle qui était la descendante des princes et des gouverneurs a joué la prostituée avec des charpentiers. »
Toujours dans la note de bas de page n ° 2 du Shabbath 104b de l’édition Soncino, il est indiqué que dans le texte » non censuré « du Talmud, il est écrit que la mère de Jésus, « Miriam la coiffeuse », a eu des relations sexuelles avec de nombreux hommes.
Jubilations sur le Christ mourant jeune
Un passage du Sanhédrin 106 jubile au sujet de la mort de Jésus dans sa jeunesse: « As-tu entendu quel âge avait Balaam (Jésus)? ~ Il a répondu: Ce n’est pas réellement déclaré mais puisqu’il est écrit, Sanglant et trompeur les hommes ne vivront pas la moitié de leurs jours, il s’ensuit qu’il avait trente-trois ou trente-quatre ans. ».
Jésus a puni en enfer pour l’éternité en étant obligé de s’asseoir dans un chaudron d’excréments bouillants.
Cette image apparaît dans les premiers manuscrits du Talmud de Babylone, tout comme un bref compte rendu du procès et de l’exécution de Jésus – non par les Romains mais par la haute cour juive, le Sanhédrin.
La communauté juive, dans la mesure où les juifs étaient même au courant de ces textes excisés, s’est contentée de les laisser obscurs et inconnus.
JÉSUS DANS LE TALMUD
Horribles blasphèmes contre Jésus-Christ Bien que ce soit la pratique habituelle de désinformation des apologistes pour le Talmud de nier qu’il contient des références scandaleuses à Jésus-Christ, certaines organisations juives orthodoxes sont plus ouvertes et admettent que le Talmud ne mentionne pas seulement Jésus mais le dénigre (comme un sorcier et un monstre sexuel dément).
Ces organisations juives orthodoxes font cet aveu peut-être de la conviction que la suprématie juive est si bien établie dans le monde moderne qu’elles n’ont pas à se préoccuper des réactions indésirables.
Par exemple, sur le site Web du groupe orthodoxe juif hassidique Loubavitch ~ l’un des plus importants au monde ~, nous trouvons la déclaration suivante, avec des citations talmudiques: « Le Talmud (édition babylonienne) enregistre d’autres péchés de ‘Jésus le Nazaréen’:
1) Lui et ses disciples pratiquaient la sorcellerie et la magie noire, entraînaient les Juifs dans l’idolâtrie et étaient parrainés par des puissances étrangères gentiles dans le but de renverser le culte juif (Sanhédrin 43a).
2) Il était sexuellement immoral, adorait des statues de pierre (une brique est mentionnée), a été coupé du peuple juif pour sa méchanceté et a refusé de se repentir (Sanhedrin 107b; Sotah 47a).
3) Il a appris la sorcellerie en Égypte et, pour faire des miracles, a utilisé des procédures qui impliquaient de couper sa chair, ce qui est également explicitement interdit dans la Bible (Chabbat 104b).
[Remarque: nous avons imprimé et conservé dans nos fichiers une copie papier de cette déclaration du « site Web de Noah’s Covenant » de Loubavitch, telle qu’elle apparaissait sur leur site Web à l’adresse http: // http://www.noahide.com le 20 juin 2000, dans l’éventualité où des dénégations seraient émises ultérieurement et la déclaration elle-même supprimée].
Examinons plus en détail certains de ces passages du Talmud anti-Christ:
Gittin 57a. Dit que Jésus est en enfer, bouilli dans « des excréments chauds« .
Sanhedrin 43a. Dit que Jésus (« Yeshu » et dans Soncino note #6, Yeshu « le Nazaréen ») a été exécuté parce qu’il pratiquait la sorcellerie: «
Il est enseigné qu’à la veille de la Pâque, Jésus a été pendu, et quarante jours avant cela, la proclamation a été faite: Jésus doit être lapidé à mort parce qu’il a pratiqué la sorcellerie et a attiré le peuple vers l’idolâtrie.
C’était un séducteur et tu ne devrais avoir pour lui ni pitié ni tolérance. »
Kallah 51a.
« Les Sages étaient assis une fois devant la porte quand deux jeunes garçons sont passés; l’un s’est couvert la tête et l’autre avait la tête non couverte.
À propos de celui qui avait la tête non couverte, le rabbin Eliezer dit qu’il était un bâtard. Le rabbin Joshua a dit qu’il est le fils d’un niddah (un enfant conçu pendant la période menstruelle d’une femme). Le rabbin Akiba a dit qu’il était à la fois un bâtard et le fils d’un niddah. »
Ils lui ont alors dit: » Qu’est-ce qui vous a amené à contredire l’opinion de vos collègues? «
Il a répondu: « Je vais vous prouver ce que je dis. »
Il est allé voir la mère du garçon et l’a trouvée assise au marché en train de vendre des haricots. Il lui dit: ‘Ma fille, si tu réponds à la question que je te poserai, je t’amènerai dans le monde à venir.‘ (Vie éternelle).
Elle lui a dit: Jure-le-moi.
Le rabbin Akiba, prêtant le serment avec ses lèvres mais l’annulant dans son cœur, lui dit: « Quel est le statut de ton fils? » Elle a répondu: « Quand je suis entrée dans la chambre nuptiale, j’étais niddah (menstruations) et mon mari s’est tenu à l’écart de moi; mais mon meilleur homme a eu des rapports sexuels avec moi et ce fils est né pour moi. »
Par conséquent, l’enfant était à la fois un bâtard et le fils d’un niddah.
Il a été déclaré : Béni soit le Dieu d’Israël qui a révélé son secret au rabbin Akiba. »
En plus du thème que Dieu récompense les menteurs intelligents, la discussion précédente sur le Talmud concerne en réalité Jésus-Christ (le bâtard qui » a découvert sa tête » et a été conçu dans la crasse des menstruations).
La mère adultère du garçon dans cette histoire du Talmud est la mère du Christ, la Bienheureuse Marie (appelée Miriam et parfois, Miriam la coiffeuse, dans le Talmud).
« L’Editio Princeps de l’intégralité du Code de droit talmudique, Mishneh Torah de Maïmonide regorge non seulement des préceptes les plus offensants contre tous les Gentils, mais aussi d’attaques explicites contre le christianisme et contre Jésus (au nom duquel l’auteur ajoute pieusement » Puisse le nom du méchant périr ‘).
~ Dr. Israel Shahak, Histoire juive, religion juive, p. 21.
« Le Talmud contient quelques références explicites à Jésus. Ces références ne sont certainement pas complémentaires. Il ne fait aucun doute que le récit de l’exécution de Jésus à la veille de la Pâque fait référence au Jésus chrétien. Le passage dans lequel le châtiment de Jésus en enfer est décrit semble également faire référence au Jésus chrétien. Il s’agit d’un morceau de polémique antichrétienne datant de la période postérieure à 70 CE. »~
Hyam Maccoby, Judaism on Trial, pp. 26-27.
Selon le Talmud, Jésus a été exécuté par un tribunal rabbinique approprié pour idolâtrie, incitant d’autres Juifs à l’idolâtrie et au mépris de l’autorité rabbinique.
Toutes les sources juives classiques qui mentionnent son exécution sont très heureuses d’en assumer la responsabilité; dans le récit talmudique, les Romains ne sont même pas mentionnés.
Les récits les plus populaires – qui ont néanmoins été pris très au sérieux – comme le fameux Toldot Yeshu sont encore pires, car en plus des crimes ci-dessus, ils l’accusent de sorcellerie.
Le nom même de «Jésus» était pour les Juifs un symbole de tout ce qui est abominable et cette tradition populaire persiste encore.
« La forme hébraïque du nom Jésus ~ Yeshu ~ a été interprétée comme un acronyme pour la malédiction, » que son nom et sa mémoire soient effacés « , qui est utilisé comme une forme extrême d’abus.
En fait, les juifs orthodoxes antisionistes (comme Neturey Qarta) appellent parfois Herzl «Herzl Jesus» et j’ai trouvé dans les écrits religieux sionistes des expressions telles que «Nasser Jesus» et plus récemment «Arafat Jesus».
« ~ Dr. Israel Shahak, Jewish History, Jewish Religion, p. 97-98, 118.
Les non-juifs ne sont pas humains, génocides, racisme, pédophilie, zoophilie,…
A l’époque du Christ, le judaïsme était divisé en de nombreux mouvements ou sectes (terme neutre, au sens de Max Weber). Oublions les zélotes, les esséniens et d’autres encore, qui ont disparu. Trois de ces sectes sont importantes pour nous.
Primo, le judaïsme sacerdotal, celui des scribes et des sadducéens, qui, comme son nom l’indique, reposait sur un corps de prêtres, lesquels pratiquaient le sacrifice au temple de Jérusalem.
Secundo, le judaïsme pharisaïque, celui des pharisiens dont parle l’Évangile. Il était très différent du premier, puisqu’il soutenait qu’il existait une Loi orale, transmise depuis Moïse, qui l’emportait sur la Loi écrite, la Bible.
Tertio, le judaïsme apostolique, celui des apôtres qui entouraient le Christ, et qui était issu de l’enseignement de saint Jean Baptiste.
Le judaïsme sacerdotal était celui de l’Ancien Testament. Il a disparu après la destruction du temple de Jérusalem par Titus en 70 après Jésus-Christ.
Le judaïsme pharisaïque est celui qui a conservé le nom de judaïsme. C’est celui du grand-rabbin de France. C’est celui de l’État d’Israël. Le judaïsme d’aujourd’hui est celui des pharisiens dont parle l’Évangile. On l’appelle aussi judaïsme rabbinique, puisque les rabbins ont supplanté les prêtres, ou judaïsme talmudique, puisque le Talmud, censé contenir la Loi orale, est son livre sacré, qui l’emporte donc sur la Torah écrite de l’Ancien Testament ou Bible hébraïque.
Le point essentiel est que ce judaïsme rabbinique est en rupture avec le judaïsme sacerdotal de l’Ancien Testament. Il n’a plus de prêtres ni de sacrifices. Il a une Loi orale, laquelle était rejetée comme une abomination par les Sadducéens.
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LE TALMUD ATTAQUE LES CHRÉTIENS ET LES LIVRES CHRÉTIENS
Rosh Hashanah 17a. Les chrétiens (minnim) et d’autres qui rejettent le Talmud iront au diable et seront punis là pour toutes les générations.
Sanhedrin 90a.Ceux-là qui ont lu le Nouveau Testament (« les livres non canoniques ») n’auront aucune portion dans le monde a venir.
Shabbath 116a. Les juifs doivent détruire les livres des Chrétiens, c’est-à-dire le Nouveau Testament.
Dr Israel Shahak d’Université hébraïque dit que les Israéliens ont brûlé des centaines de Nouvelles Bibles de Testament dans la Palestine occupée le 23 mars 1980 ((cf. Jewish History, Jewish Religion, p. 21).
-*-*Talmud démasqué : Les enseignements rabbiniques secrets concernant les Chrétienspar le Révérend J.B. Pranaitis -*-*téléchargez: francais-http://www.codeig.net/Pranaitisfr.pdf
ENSEIGNEMENTS MALSAINS ET INSENSÉS DU TALMUD
Gittin 69a.
Pour guérir sa chair, un juif doit prendre de la poussière qui se trouve dans l’ombre d’une toilette extérieure, mélanger avec du miel et le manger.
Shabbath 41a.
La loi régissant la règle sur la façon d’uriner d’une manière sainte est donnée.
Yebamoth 63a. (zoophilie)
Déclare qu’Adam a eu des rapports sexuels avec tous les animaux du jardin d’Eden.
Yebamoth 63a.
Déclare que l’agriculture est la plus minable des professions.
Sanhédrin 55b. (pédophilie)
Un juif peut épouser une fille de trois ans (plus précisément, trois ans et un jour).
Sanhédrin 54b. (pédophilie)
Un juif peut avoir des relations sexuelles avec un enfant tant que l’enfant a moins de neuf ans.
Kethuboth 11b. (pédophilie)
« Quand un homme adulte a des relations sexuelles avec une petite fille, ce n’est rien. »
Yebamoth 59b. (zoophilie)
Une femme qui a eu des rapports sexuels avec une bête peut épouser un prêtre juif.
Une femme qui a des relations sexuelles avec un démon [1] peut également épouser un prêtre juif.
Abodah Zarah 17a.
Déclare qu’il n’y a pas de pute dans le monde avec laquelle le sage talmudique Rabbi Eléazar n’a pas eu de relations sexuelles.
Sur l’une de ses ébats de bordel, le rabbin Eleazar a appris qu’il y avait une prostituée en particulier résidant dans un bordel près de la mer, qui recevrait un sac d’argent pour ses services.
Il a pris un sac d’argent et est allé vers elle, traversant sept rivières pour ce faire.
Pendant leur rapport sexuel, la prostituée a pété.
Après cela, la putain a dit au rabbin Eleazar: « Tout comme ce gaz ne reviendra jamais dans mon anus, le rabbin Eleazar n’atteindra jamais le ciel. »
Hagigah 27a.
Déclare qu’aucun rabbin n’ira jamais en enfer.
Baba Mezia 59b.
Un rabbin débat avec Dieu et le bat.
Dieu admet que le rabbin a gagné le débat.
Les rabbins ont enseigné: « En venant d’une toilette privée (toilettes extérieures), un homme ne devrait pas avoir de rapports sexuels avant d’avoir attendu assez longtemps pour marcher un demi-mile, parce que le démon de la toilette est avec lui pendant ce temps; s’il le fait, ses enfants seront épileptiques. »
Pesahim 111a.
Il est interdit aux chiens, aux femmes ou aux palmiers de passer entre deux hommes, et aucun autre ne peut marcher entre les chiens, les femmes ou les palmiers.
Des dangers particuliers sont impliqués si les femmes ont leurs règles ou s’assoient à un carrefour.
Menahoth 43b-44a.
Un juif est obligé de faire chaque jour la prière suivante: Merci mon Dieu de ne pas faire de moi un Gentil, une femme ou un esclave.
BOBARDS D’UN HOLOCAUSTE ROMAIN
Voici deux premiers contes de l’Holocauste du Talmud:
Gittin 57b.
Affirme que quatre milliards de Juifs ont été tués par les Romains dans la ville de Bethar.
Gittin 58a affirme que 16 millions d’enfants juifs ont été enveloppés dans des rouleaux et brûlés vifs par les Romains.
(La démographie ancienne indique qu’il n’y avait pas 16 millions de Juifs dans le monde à cette époque, encore moins 16 millions d’enfants juifs ou quatre milliards de Juifs).
UNE ADMISSION RÉVÉLATRICE
Abodah Zarah 70a.
La question a été posée au rabbin de savoir si le vin volé à Pumbeditha pouvait être utilisé ou s’il était souillé, car les voleurs pouvaient être des gentils (un vin touché par les gentils deviendrait un vin impur). Le rabbin dit de ne pas s’inquiéter, que le vin est autorisé à l’usage juif car la majorité des voleurs à Pumbeditha, l’endroit où le vin a été volé, sont juifs.
(Voir également Gemara Rosh Hashanah 25b).
RITUELS PHARISAÏQUES
Erubin 21b.
« Le rabbin Akiba lui a dit: » Donnez-moi de l’eau pour me laver les mains. »
» Cela ne suffira pas pour boire « , se plaignait l’autre,
» cela suffira-t-il pour se laver les mains? «
» Que puis-je faire? «
le premier répondit: « Quand pour avoir négligé les paroles des rabbins, on mérite la mort? Il vaut mieux que je meure moi-même que je transgresse contre l’opinion de mes collègues. »
[Ceci est le lavage rituel des mains condamné par Jésus dans Matthieu 15: 1-9].
GÉNOCIDE RECOMMANDÉ PAR LE TALMUD
Soferim 15, règle 10.
C’est le dicton de Rabbi Simon ben Yohai: Tob shebe goyyim harog (« Même les meilleurs des gentils devraient tous être tués »).
Ce passage est tiré de l’hébreu original du Talmud babylonien cité par l’Encyclopédie juive de 1907, publié par Funk et Wagnalls et compilé par Isidore Singer, sous l’entrée «Gentil» (p. 617).
Simon ben Yohai,
Ce passage original du Talmud a été caché/supprimé dans la traduction en anglais.
L’Encyclopédie juive déclare que « .
dans les différentes versions, la lecture a été modifiée, et on a remplacé ce qui précède par «le meilleur parmi les Égyptiens».
« Dans la version Soncino, on lit: » le meilleur des païens/gyim « (Minor Tractates, Soferim 41a-b]
Les Israéliens participent chaque année à un pèlerinage national sur la tombe de Simon ben Yohai,en l’honneur de ce rabbin qui a préconisé l’extermination des non-juifs.
(Jewish Press, 9 juin 1989, p. 56B).
A Pourim, le 25 février, 1994, l’officier de l’armée israélienne Baruch Goldstein, un juif orthodoxe de Brooklyn, a massacré 40 civils palestiniens, dont des enfants, alors qu’ils s’agenouillaient en prière dans une mosquée.
Goldstein était un disciple du rabbin de Brooklyn Meir Kahane, qui a déclaré à CBS News que son enseignement selon lequel les Arabes sont des « chiens », est dérivé « du Talmud ».
« (CBS 60 minutes, » Kahane « ).
Université de Jérusalem Prof. Ehud Sprinzak a décrit la philosophie de Kahane et Goldstein: « Ils croient que c’est la volonté de Dieu de commettre des violences contre les goyim, un terme hébreu pour les non-juifs. » (NY Daily News, 26 fév. , 1994, p. 5).
Le rabbin Yitzhak Ginsburg a déclaré: « Nous devons reconnaître que le sang juif et le sang d’un goy ne sont pas la même chose. « (NY Times, 6 juin 1989, p.5).
Le rabbin Yaacov Perrin a déclaré: « Un million d’Arabes ne valent pas l’ongle d’un juif. « (NY Daily News, 28 fév., 1994, p.6).
-*-Le Talmud définit spécialement tous ceux qui ne sont pas des Juifs comme des animaux non-humains et déshumanise spécifiquement des Gentils comme n’étant pas des descendants d’Adam. Voici certains des passages de Talmud qui se rapportent à ce thème.
Kerithoth 6b : Usages d’Huile d’Onction “Nos Rabbins ont enseigné : celui qui verse d’huile d’onction sur le bétail ou les vaisseaux- vessels- n’est pas coupable; si sur les gentils (goyim) ou les morts, il n’est pas coupable. La loi se rapportant au bétail et aux vaisseaux-vessels- est juste, car il est écrit : “sur le corps d’homme (Adam), vous ne devez- pas le verser (l’Exode 30:32]); et le bétail et les vaisseaux- vessels- ne sont pas d’homme (Adam).
“Aussi en ce qui concerne les morts, [c’est plausible] qu’il est exempt, puisqu’après la mort on on appelle le corps et pas un homme (Adam). Mais pourquoi est-ce qu’un est exempté dans le cas de gentiles (goyim ),est-ce qu’ils ne sont pas dans la catégorie d’homme (Adam)? Non, il est écrit : Vous, mes brebis, brebis de mon pâturage, vous êtes des hommes; (Adam) [Ezekiel 34:31] : On vous appelle l’homme (Adam) mais gentils (goyim) ne sont pas appelés homme (Adam).
Dans le passage précédent, les rabbins discutent la portion de la loi mosaïque qui interdit d’appliquer d’huile saint aux hommes.
Le Talmud déclare que ce n’est pas un péché pour appliquer d’huile saint aux Gentils, parce que les Gentils ne sont pas des êtres humains (c’est-à-dire ne sont pas d’Adam).
Un autre exemple de tractate Yebamoth 61a : “il a été enseigné : Et aussi .R. Simeon ben Yohai déclare (61a) que les tombes de gentils (goyim) ne transmettent pas de malpropreté levitical par un ohel [être debout ou se pencher sur une tombe], car on le dit, ‘Et vous mes moutons les moutons de mon pacage, sont des hommes (Adam), [Ezekiel 34:31]; on vous appelle les hommes (Adam) mais on n’appelle pas les idolaters les hommes (Adam).”
La loi Mosaïque d’Ancien testament déclare que l’attouchement d’un corps humain ou de la tombe d’un humain transmet la malpropreté à ceux qui le touchent. Mais le Talmud enseigne que si un Juif touche la tombe d’un Gentil, le Juif n’est pas rendu sale, puisque les Gentils ne sont pas humains (pas d’Adam).
De Baba Mezia 114b : “”un prêtre juif était debout dans un cimetière. Quand on lui a demandé pourquoi il était debout là en violation apparente de la loi mosaïque, il a répondu que c’était permis, puisque la loi interdit seulement des Juifs d’entrer en contact avec les tombes d’humains (Adamites) et il était debout dans un cimetière de gentils. Car il a été enseigné par le Rabbin Simon ben Yohai : ‘les tombes de gentils [goyim] ne souillent pas. Car il est écrit, ‘Et vous mes moutons les moutons de mon pacage, sont des hommes (Adam), ‘(Ezekiel 34:31); seulement vous êtes désignés les hommes (Adam).”
Ezekiel 34:31 est le texte de la preuve Biblique allégué cité à maintes reprises dans la précédence trois passages de Talmud. Mais Ezekiel 34:31 ne soutient pas en fait la notion Talmudique que seulement les Israélites sont humains. Ce que ces racistes rabbiniques, anti-gentils et idéologues ont fait pour affirmer les absurdités précédentes au sujet de Gentiles est déformer un passage d’Ancien testament pour justifier leur bigoterie.
Dans Berakoth 58a le Talmud utilise Ezekiel 23:20 comme la preuve du statut inhumain de gentils. Il enseigne aussi que quelqu’un (même un homme juif) qui révèle ce Talmud l’enseignant les non-juifs mérite la mort, depuis la révélation de cela rend des Gentils courroucés et provoque la répression de Judaïsme.
La citation Talmudique de cette Écriture d’Ezekiel comme “un texte de preuve” est spécieuse, puisque le passage ne prouve pas que les Gentils sont des animaux. Le passage d’Ezekiel dit seulement que certains Égyptiens avaient de grands organes génitaux et des émissions abondantes. Cela ne le prouve pas en aucune façon ni meme pas que les Égyptiens qui se sont reportés à la Bible ont été considérés comme animaux. De nouveau, le Talmud a falsifié la Bible au moyen de l’interprétation dénaturée.
D’autres passages de Talmud qui exposent Ezekiel 23:20 de cette manière raciste sont : Arakin 19b, Berakoth 25b, Niddah 45a, Shabbath 150a, Yebamoth 98a. De plus, le texte original de Sanhedrin 37a applique l’approbation de Dieu seulement à l’économie de vies juives (cf. le Hesronot Ha-shas, Cracovie, 1894).
MOSES MAIMONIDES: Prône l’extermination des chrétiens
Maïmonides sur un billet de banque Israélien
-*-*Nous examinerons maintenant le commentateur post-Talmudic Rambam (Moses Maimonides). Ce « sage » révéré a enseigné que les Chrétiens devraient être exterminés. Il a la plus haute stature dans le Judaïsme :
« Moses Maimonides est considéré le plus grand codificateur et philosophe dans l’histoire juive. Il est considéré comme souvent affectueusement le Rambam, après les initiales de son nom et titre, Rabenu Moshe Ben Maimon, « Notre Rabbin, le fils de Moses de Maimon. » [Maimonides’ Principles, edited by Aryeh Kaplan, Union of Orthodox Jewish Congregations of America,, p. 3].
Voici que Maimonides (Rambam) enseignait concernant l’épargne de vie de gens, surtout concernant l’épargne des vies de gentils et de Chrétiens, ou même les Juifs qui ont osé nier l’ « inspiration divine » du Talmud :
Maimonides, Mishnah Torah, (Moznaim Publishing Corporation, Brooklyn, New York, 1990, Chapter 10, English Translation), p. 184 : « en conséquence, si nous voyons un idolâtre (gentil) être emporté ou noyé dans le fleuve, nous ne devrions pas l’aider. Si nous voyons que sa vie est en danger, nous ne devrions pas le sauver. » Le texte hébraïque de Feldheim ‘édition de 1981 Mishnah Torah l’expose aussi.
Immédiatement après l’avertissement de Maimonides que c’est un devoir pour les Juifs pour ne pas sauver de noyade ou un gentil périssant, il nous informe du devoir Talmudic de Juifs vers les Chrétiens et aussi vers les Juifs qui nient le Talmud. Maimonides, Mishnah Torah, (le Chapitre 10), p. 184 :
« C’est un mitzvah [le devoir religieux], pourtant, éradiquer des traîtres juifs, minnim et apikorsim et les faire descendre à la mine de destruction, puisqu’ils provoquent la difficulté aux Juifs et influencent les gens loin de Dieu, aussi bien que Jésus de Nazareth et ses étudiants et Tzadok, Baithos et leurs étudiants. que le nom du méchant périsse. «
Le commentaire de l’éditeur juif qui accompagne la déclaration précédente de Maimonides déclare que Jésus était un exemple d’une min (pluriel : minnim).
Le commentaire déclare aussi que les étudiants de Tzadok ont été définis comme ces Juifs qui nient la vérité du Talmud et qui soutiennent seulement la loi écrite (c’est-à-dire l’Ancien testament).
Selon les Principes de Maimonides, p. 5, Maimonides « a passé douze ans en extrayant chaque décision et loi du Talmud et en les arrangeant tous dans 14 volumes systématiques. Le travail a été finalement accompli en1180 et a été appelé Mishnah Torah, ou « le Code du Torah. »
Maimonides a enseigné dans une autre partie du Mishnah Torah que les gentils ne sont pas humains : « l’homme seul et pas les vaisseaux, peut contracter la malpropreté par la voiture…. Le cadavre d’un gentil, pourtant, ne transmet pas de malpropreté en ombrageant. … un gentil ne contracte pas de malpropreté de cadavre; et si un gentil touche, porte, ou ombrage un cadavre il est comme celui qui ne l’a pas touché.
« À quoi y ressemble ? Il ressemble à une bête qui touche un corps ou l’ombrage. Et cela n’applique pas seulement la malpropreté du cadavre, mais à autre gendre de malpropreté : ni les gentils ni le bétail ne sont susceptibles à n’importe quelle malpropreté. « ((The Code of Maimonides, vol. 10, translated by Herbert Danby, Yale University Press, New Haven, 1954, pp. 8-9).).
Maimonides, Mishneh Torah, Hilchot Rotze’ach 2:11 : « un Juif qui a tué un gentil vertueux n’est pas exécuté dans une cour de justice. Il dit dans l’Exode 21:14, Mais si quelqu’un agit méchamment contre son prochain, en employant la ruse pour le tuer, tu l’arracheras même de mon autel, pour le faire mourir..’ Mais un gentil n’est pas considéré un homme et même plus égalisé, un Juif n’est pas exécuté pour tuer un pêcheur gentil. «
-*-Le Talmud (c’est-à-dire, le Talmud babylonien) le texte de Sanhedrin 37a restreint le devoir de sauver la vie et de ne sauver seulement que des vies juives.
Le livre sur la censure hébraïque, écrite par les Juifs eux-mêmes (Hesronot Ha-shas), note que quelques textes de Talmud utilisent l’expression universaliste :
« »Quiconque détruit la vie d’un seul être… il est comme s’il avait détruit un monde entier; et qui préserve la vie d’un seul être humain simple … il est comme s’il avait préservé un monde entier. «
Pourtant, Hesronot Ha-shas montre que ceux-ci ne sont pas les mots authentiques de l’original du Talmud.
En d’autres termes, l’interprétation universaliste précédente n’est pas le texte authentique du Talmud et ainsi, par exemple, cette version universaliste que Steven Spielberg dans son film réputé, la Liste de Schindler attribuée au Talmud (et qui est devenu la devise du film sur les posters et dans les publicités), est un canular et constitue la propagande a eu l’intention de donner un lustre humaniste à un Talmud qui est, dans son essence, raciste et une littérature de la haine chauvine.
Dans le texte Talmud authentique, original il déclare que « celui préserve une seule âme d’Israël, c’est comme s’il avait préservé un monde entier » (l’accentuation fournie). Le texte du Talmud authentique autorise seulement l’épargne de vies juives.
NOTES
[1] Les premières mentions connues de telles alliances se trouvent dans les textes bibliques. L’une des descriptions les plus convaincantes du sexe démoniaque est située dans la Genèse 6:4 de la Bible du roi Jacques : « Les géants étaient sur la terre en ce temps-là, après que les fils de Dieu furent venus vers les filles des hommes, et qu’elles leur eurent donné des enfants : ce sont ces héros qui furent fameux dans l’antiquité. »
« Le Sabbat des sorcières » de Francisco Goya
Dans la nouvelle version internationale, les « géants » sont des « nephilim », généralement considérés comme les descendants hybrides d’une union entre les anges et les êtres humains. Ce passage est controversé. Beaucoup de lecteurs de la Bible démentent la possibilité que la Genèse 6:4 décrit une baise surnaturelle, mettant en doute l’idée que les Saintes Écritures se réfèrent au sexe démoniaque (le « fils de Dieu » se réfère simplement à des êtres supérieurs, insistent-ils). Mais tout de même : il va sans dire qu’autant de gens ne se disputeraient pas l’interprétation de ce passage s’il ne semblait pas concerner le sexe démoniaque.
Les accusations de sexe paranormal ont d’autant plus proliféré à l’époque de la chasse aux sorcières menée par les chrétiens, qui « a atteint son macabre sommet entre le quatorzième et le dix-septième siècle », comme le note l’historien David M. Friedman dans A Cultural History of the Penis. De fait, l’un des crimes les plus communs « commis » par les femmes accusées de sorcellerie était la fornication avec le diable.
La troisième banque d’Israël, Mizrahi Tefahot, est devenue la troisième banque du seul État juif à se voir imposer une amende de plusieurs millions de dollars par le ministère américain de la Justice après avoir reconnu avoir aidé des juifs à éviter de payer des impôts en Amérique en dissimulant de l’argent en Israël.
La banque s’est engagée dans des projets visant à dissimuler les fonds des clients afin d’éviter de payer des impôts américains sur le revenu entre 2002 et 2012, a annoncé le ministère de la Justice.
Dans le cadre de la transaction, Mizrahi Tefahot, a accepté la responsabilité des actes commis par d’anciens employés, a rapporté le quotidien économique israélien Globes.
Les employés ont travaillé dans la banque privée et la relation client entre 2002 et 2012.
En août, la banque a rejeté la proposition du ministère de la Justice de payer une amende de 342 millions de dollars pour le règlement de l’enquête sur l’évasion fiscale, affirmant qu’il ne s’agissait pas d’un «calcul raisonnable».
Dans un rapport trimestriel sur les bénéfices publié en août, la banque a annoncé avoir mis de côté 425 millions de shekels (117,75 millions de dollars) au cours du trimestre pour couvrir une amende probable des autorités américaines. La banque avait précédemment réservé 161,9 millions de shekels (44,86 millions de dollars).
La banque a indiqué qu’elle « avait mené des discussions intensives avec les autorités américaines » depuis le rejet de l’offre en août.
Le ministère de la Justice a déclaré que le versement de 195 millions de dollars comprenait 53 millions de dollars en restitution, 24 millions de dollars en restitution et une amende de 118 millions de dollars.
Moshe Vidman, président du conseil d’administration de la banque, s’est dit satisfait que les négociations aient abouti à des résultats positifs et abouti à un règlement convenu.
Mizrahi Tefahot n’est pas la première banque israélienne à se faire prendre à ce racket d’évasion fiscale, propre à un État exclusivement juif en raison du statut de double nationalité de tant de Juifs en Amérique.
Son plus grand rival, la banque Leumi, a fait l’objet d’une enquête similaire et a payé des amendes de 400 millions de dollars aux autorités américaines à la fin de 2014.
En outre, Hapoalim, l’une des deux plus grandes banques israéliennes aux côtés de Leumi, a annoncé la mise de côté de 246 millions de dollars supplémentaires pour couvrir le règlement éventuel d’une enquête américaine sur l’évasion fiscale par « les clients de la banque ».
Cette provision, qui doit être prise au quatrième trimestre de 2018, portera le total de ses provisions à 611 millions de dollars, alors que M. Hapoalim a déclaré avoir eu des entretiens avec des responsables de la justice américains ces dernières semaines. Il a ajouté que le montant du règlement pourrait même être considérablement plus élevé.
Le gouvernement canadien est un cartel de la «mafia».
Une administration américaine antérieure s’est livrée à la «torture» et au «terrorisme d’État», et l’ancien Président Barack Obama était «sur la voie du fascisme».
Ce ne sont là que quelques exemples de déclarations publiques illustrant la vision du monde conspiratrice de Martin Massé, porte-parole clé du Parti populaire du Canada et ami et conseiller de longue date de son dirigeant, Maxime Bernier.
Une enquête indépendante menée par B’nai Brith Canada a révélé que Masse avait soit fait, soit soutenu toute une série de déclarations susceptibles de fomenter l’antisémitisme, la misogynie et le racisme. La majorité d’entre eux sont issus de son époque en tant que propriétaire et éditeur de Québécois Libre, un journal de presse libertaire en ligne qui contenait plusieurs articles péjoratifs et erronés. Il a fermé en 2016.
Dans un article, un contributeur affirme que l’Occident est à blâmer pour le terrorisme, écrivant que les attentats-suicide islamistes «ne sont pas une conséquence de l’extrémisme religieux» mais une «réponse à l’extrémisme politique – à savoir l’agression et l’interventionnisme occidentaux».
Massé a également publié un article qui discrédite les groupes LGBTQ comme voulant établir «leur propre tyrannie».
Dans plusieurs articles, Masse défend personnellement les ex-politiciens européens Jörg Haider, qui a fait l’éloge des criminels de guerre nazis et a souvent banalisé l’Holocauste, et Jean-Marie Le Pen, un négationniste invétéré qui a endossé plusieurs tropes antisémites, en affirmant que l’ancien président français Jacques Chirac était «contrôlé par des organisations juives, notamment le tristement célèbre B’nai Brith».
De même, Massé a qualifié B’nai Brith et d’autres groupes juifs au Canada de «barons ethniques» et a décrié les «médias pro-israéliens». Il a qualifié le sionisme de «simplement une justification supplémentaire de l’assassinat et du déplacement de Palestiniens», se moquant ainsi de lois égalitaires favorisant les «féministes-fascistes», et a laissé entendre qu’Israël et les États-Unis sont en partie responsables attentats terroristes contre eux, tout en qualifiant ce dernier un «Etat policier».
En tant que membre du PPC, Massé a signé un «engagement sans embarras» déclarant qu’il n’a jamais rien fait de mal à son parti.
Cependant, lorsque B’nai Brith a approché Bernier au sujet des déclarations embarrassantes de Massé, ce dernier a répondu que rien dans son long dossier ne décrivait les vues de Massé comme étant «racistes» ou «antisémites».
Bernier a également refusé la demande de B’nai Brith de renvoyer Massé de son parti.
Découvrez comment la vie communautaire des musulmans de France sera désormais influencée par un ancien serviteur -comme Emmanuel Macron- du clan ultrasioniste des Rothschild.
Serge Dassault et Emmanuel Macron
Souvenez-vous : le 8 décembre 2016, un informateur révélait une information édifiante à propos d’un nouvel établissement public enfanté par le gouvernement Valls.
QUI FINANCE LA FONDATION DE L’ISLAM DE FRANCE ? UN MARCHAND D’ARMES PRO-ISRAÉLIEN.
Jeudi 8 décembre, Bruno Le Roux, nouveau ministre de l’Intérieur en charge des cultes, a « salué le lancement de la Fondation de l’Islam de France » et « remercié Serge Dassault, qui avait apporté le capital de la précédente Fondation des Œuvres de l’Islam de France, transféré à la Fondation de l’Islam de France »
Poursuivi pour « blanchiment de fraude fiscale », ce sénateur LR -qui avait effectué un don d’1 million d’euros à la future Fondation de l’Islam de France- est une figure historique du complexe militaro-industriel français.
Également détenteur du Figaro et investi dans le capital social de la radio Beur FM, Serge Dassault est l’héritier d’une famille de fabricants d’armes qui jouèrent un rôle-clé en faveur du régime de Tel Aviv, notamment lors de la Guerre des Six-Jours de 1967
Complément d’information : le 2 août, le chef de l’État avait fait savoir à la presse présidentielle son souhait de voir Jean-Pierre Chevènement prendre la tête de la Fondation, organisme chargé -entre autres missions- de contrôler le financement des lieux de culte musulmans .
La désignation de Chevènement avait déjà été évoquée antérieurement par Bernard Cazeneuve, l’ex-ministre de l’Intérieur particulièrement proche du Conseil représentatif des institutions juives de France
Issu d’une famille originaire de Suisse, ancien ministre et fondateur du Parti socialiste, Chevènement -âgé de 77 ans- est l’époux de Nisa Grunberg (fille de l’ex-responsable de la communauté juive du Caire), le beau-frère d’Hermann Grunberg (ex-manager de Lazard, puissante banque franco-américaine engagée en faveur d’Israël) et le père de Raphaël Chevènement (co-scénariste de la série pro-israélienne Le Bureau des Légendes et co-auteur d’un essai qui présente l’animateur Thierry Ardisson comme un complotiste antisémite coupable d’avoir évoqué la présence d’agents du Mossad lors du 11-Septembre).
Serge Dahan a assisté au dîner de l’Iftar de la Mosquée de Drancy, présidé par Monsieur le Recteur de la Mosquée l’Imam Hassen Chalghoumi B’nai B’rith France Invité Par l’Imam.
Rappel : salarié par le milliardaire franco-israélien Patrick Drahi, Anouar Kbibech, président du Conseil français du culte musulman (et membre de facto du conseil d’administration de la Fondation de l’Islam de France), avait récemment annoncé que la formation des futurs imams serait dorénavant co-supervisée par des conseillers juifs.
Le grand rabbin israélien Yitzhak Yosef a annoncé que les Noirs sont des «sous-hommes, des singes et des négriers» et que les tribunaux israéliens laïques «sont plus mauvais que les tribunaux gentils» – une vague de haine anti-Gentils être occulté par les médias occidentaux contrôlés par le lobby juif.
Les dernières déclarations du grand rabbin Yosef ont été publiées dans l’édition hébraïque du journal israélien Ynet News et ont été partiellement copiées en anglais dans le Times of Israel de Jérusalem – ce dernier, bien sûr, laissant de côté une grande partie de ce qui a été dit. en particulier la référence aux «négres humains».
Selon le reportage original de Ynet, le grand rabbin Yosef «abordait les aspects juridiques juifs de la bénédiction de la floraison des arbres fruitiers» et si les Juifs devaient «bénir un arbre ou au moins deux».
Dans ce contexte, il a cité des exemples de bénédictions supplémentaires, telles que la bénédiction de «Mishnah HaBriot» qui est récitée quand on voit des personnes ou des animaux inhabituels.
«Celui qui voit des créatures étranges bénit la Mishnah des gens», a déclaré le grand rabbin.
Dans les images du sermon – qui est un événement hebdomadaire – diffusé sur le service Ynet, on peut entendre le grand rabbin Yosef en hébreu:
« Vous marchez dans la rue en Amérique, toutes les cinq minutes, vous voyez un nègre, bénissez-le » sous-humain « , mais il doit être un nègre dont le père et la mère sont blancs. Si vous savez, ils ont eu un fils de singe », a déclaré le rabbin Yosef, avant de continuer en soulignant que« tous les Kushi (ni ** ers) ne sont pas bénis ».
Les remarques interviennent seulement deux semaines après que le grand rabbin Yosef ait annoncé que les tribunaux laïques en Israël étaient «pires que les tribunaux des gentils» et qu’ils «donnaient un coup de pied dans les paroles du Dieu vivant».
En mai 2017, le grand rabbin Yosef a déclaré que les femmes laïques se comportent comme des animaux parce qu’elles s’habillent impudiquement. En mars 2016, elles ont déclaré que les non-juifs ne devaient pas vivre en Israël et que
Bien sûr, ces remarques, émanant du plus haut responsable du judaïsme et vénérées comme saints par les juifs, seront noircies et ignorées par les médias occidentaux contrôlés par le lobby juif.
Ceci est en contradiction flagrante avec tout ce que n’importe quel leader européen pourrait dire en matière de race, où même la moindre mention de quelque chose qui est même dérogatoire devient l’actualité principale et est présentée comme une preuve de «racisme».
EN COMPLÉMENT
Le 20 mars 2018, l’Anti-Defamation League, une ONG américaine spécialisée dans la lutte contre l’antisémitisme, a réagi sur Twitter aux propos tenus par le grand rabbin séfarade Yitzhak Yosef en relayant un article en anglais de The Times Of Israel acoompagné de ce commentaire :
Les propos à connotation raciste tenus par le grand rabbin d’Israël Yitzhak Yosef, qui compare les personnes de couleur avec « des singes », sont absolument inacceptables.
Rabbi Yitzhak Yosef uses pejorative term ‘kushi’ for African Americans in weekly sermon
timesofisrael
En lisant l’article du journal anglophone The Times of Israel, on peut apprendre que lors d’un sermon tenu le 17 mars 2018, le grand rabbin Yitzhak Yosef a employé le terme péjoratif hébreux «kushi», qui est l’équivalent aujourd’hui de «nègre» en français, puis le mot «singe» pour désigner des Afro-Américains.
Voici ce que le grand rabbin a dit lors de son sermon, où il évoquait la bénédiction des arbres fruitiers au cours du mois printanier du calendrier hébraïque, Nissan, selon une traduction en anglais du site britannique Jewish News, que nous traduisons nous-mêmes en français:
Vous ne bénissez pas chaque Kushi. Quand vous marchez dans la rue aux Etats-Unis, toutes les cinq minutes vous voyez un Kushi. Allez-vous les bénir à chaque fois ? Il faut que ça soit un Kushi dont la mère et le père sont blancs… Car si vous savez que cet enfant singe est ainsi venu à eux, qu’il est venu d’eux comme ça, alors vous pouvez lui donner une bénédiction car c’est une créature différente. Alors faut-il qu’il ait deux Kushis pour le bénir ? Non !
A la lecture de cette traduction, on comprend donc que le grand rabbin séfarade a vraiment qualifié les personnes noires de «kushi» puis de singe, qui ne doivent pas toujours être bénis. Les commentaires du rabbin Yitzhak Yosef ont été mal accueillis par de nombreuses personnes de la communauté juive à travers le monde. En plus de la condamnation des propos par l’Anti-Defamation League, on peut noter que le rabbin en chef du Royaume-Uni, Ephraim Mirvis, a vivement critiqué son homologue israélien, en déclarant que «la terminologoie employée est profondément injurieuse et totalement inacceptable». La député israélienne, d’origine éthiopienne, Pnina Tamano-Shata a qualifié les propos du grand rabbin de «honte pour la communauté mondiale du droit judaïque».
Contacté par le site d’information Ynet, à l’origine de cette révélations, le bureau du grand rabbin séfarade d’Israël a défendu que Yitzhak Yosef n’avait fait que reprendre un extrait du Talmud. Le site britannique Jewish News conteste cet argument notant que :
Le passage cité ne compare pas les enfants noirs à des singes. Au lieu de cela, il semble faire la liste de différentes créatures, qui pourraient être bénies, parmi lesquelles les personnes noires, les éléphants et le singes. De plus, si l’emploi du mot Kushi est tout à fait normal dans le Talmud, ce n’est plus le cas dans la manière de parler des Israéliens de nos jours.
En résumé : Le grand rabbin d’Israël Yitzhak Yosef a bien tenu des propos racistes, dans lequels il parle des personnes noires comme étant des «kushis», un terme hébreux qui se traduirait par «nègre» en français, et il a assimilé les enfants noirs à des «singes».
Des centaines de personnes dans la ville ukrainienne de Lviv ont assisté à une marche nationaliste avec des symboles nazis qui commémoraient une unité Waffen SS avec de nombreux volontaires locaux.
La communauté juive se dit indignée par un « événement scandaleux » en l’honneur de la 14ème division Grenadier de la Waffen SS.
Eduard Dolinsky, directeur du Comité juif ukrainien, a condamné samedi la marche honorant la 14ème division Waffen Grenadier de la SS, ou le 1er Galicien, comme « un événement scandaleux qui ne devrait pas se produire en Ukraine dans lequel meurtriers de Juifs et autres sont glorifiés. «
Et Andrew Srulevitch, le directeur des affaires européennes de l’Anti-Defamation League, a écrit sur Twitter que « les leaders ukrainiens doivent condamner de telles marches, où les extrémistes ukrainiens célèbrent les divisions SS nazies ukrainiennes (1er galicien), donnant des salutations nazies en uniforme au milieu d’une grande ville ukrainienne. «
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