Mois : avril 2014
CSX oil train derails in Virginia, leaks into river
Faillite à 41 milliards de dollars d’un grand producteur d’électricité américain
Ré-écrire l’histoire: Tokyo Rose et la propagande impériale japonaise

Bien que le surnom de Tokyo Rose a été utilisé par les forces alliées pour décrire l’une de ces nombreuses femmes japonaises diffusant en anglais de la propagande pendant la Seconde Guerre mondiale, le nom est devenu le plus étroitement associé avec Iva Ikuko Toguri.
En ce qui touche la familleToguri ,il s’agissait d’une première génération américaine d’origine japonaise. Ses parents méthodistes Jun et Fumi Toguri, ne se souciaient que d’inculquer les traditions américaines, les valeurs, la culture et la langue de leurs quatre enfants. Voulant que leurs enfants deviennent de vrais Américains, le couple a désapprouvé l’apprentissage de la langue et la culture japonaise dans leurs apprentissages.

Iva, ironiquement est née le 4 Juillet de 1916,mais avait une éducation américaine normale. Iva faisait du sport, a rejoint les Girl Scouts locales et éprouvait des battements de cœur pour Hollywood. Après le lycée, Iva fit son entrée au Compton Community College, avant d’obtenir son diplôme en zoologie à l’Université de Californie Los Angeles (UCLA).
Sa vie comme une fille normale américaine a été bouleversée avec le mauvais état de santé de sa tante au Japon. En 1941, la jeune et naïve Iva a été expédié au Japon pour s’occuper de sa tante malade. Pas familière avec la nourriture, la langue et la culture, Iva a passé son temps dans un brouillard. Ignorant ce qui se passait en dehors du Japon; Iva vivait dans un état d’oubli, jusqu’à ce que l’attaque sur Pearl Harbor vint la réveiller. Après l’attaque, Iva étant incapable de retourner vivre aux États-Unis,elle fut violemment chassé de la maison de sa tante par des voisins en colère ,à cause de son refus de renoncer à son passeport; Iva trouva refuge dans une salle louée d’une pension de famille.

Finalement, Iva trouva un emploi à l’agence de nouvelles nationales, Domei Tsushin Sha, où elle transcrivait les émissions de radio de langue anglaise. Là, elle a rencontré son futur mari, un portugais du nom de Felippe D ‘Aquino. Cependant, en 1943, Iva tomba même malade et elle fut transportée dans un hôpital, où elle a été traitée pour la malnutrition et des carences en vitamines. Elle a du emprunter de l’argent pour couvrir ses frais médicaux, Toguri a immédiatement commencé à chercher un emploi à plein temps pour payer sa dette.

Elle accepta finalement un emploi avec Nippon Hoso Kyoka (NHK) ,une chaîne de radio très écoutée au Japon et dans toute l’Asie. Iva fit alors sa première incursion dans le monde de Tokyo Rose. Elle fut présenté à l’officier australien capturé, le major Charles Hughes Cousens, Toguri bientôt appris que les autorités s’étaient intéressés à ses compétences en langue anglaise. L’officier australien Cousens avaient été contraints par la force , de collaborer à l’effort de guerre japonais en développant un programme de propagande appelée ” Zero Hour”. Comme il ne comprenait pas les nuances de la culture américaine, Cousens avait imaginé de contourner astucieusement la stratégie de propagande des autorités japonaises en créant un programme qui était basé fortement sur le divertissement.

Le principal geste de Cousens fut le fait d’avoir recruté Toguri pour le programme ” Zero Hour”. Il cherchait quelqu’un qui pourrait comprendre le sens ironique et les sarcasmes qu’il avait introduit dans la propagande destinée aux alliés. Deux autres camarades prisonniers de guerre étaient affectés à la tâche. Après s’être plaints sur des “détails” de la grammaire, les autorités japonaises leur ont permis d’écrire suivant leur propre méthode en utilisant le matériel qu’ils désiraient. Iva prit le nom de Orphan Ann pour ses émissions de quinze minutes.Rapidement,celle qui fut surnommée “Tokyo Rose” et qui ne se gêna pas de reprendre ce surnom qui lui plaisait,devint une célébrité non seulement dans tout le Pacifique ,mais sa renommée alla même jusqu’en Europe.On enregistrait dans les bureaux de surveillance alliés des ondes,ses émissions…,en ne manquant pas de faire des copies pour les amis,sur tout le territoire américain. Le plan des “Alliés insérés dans la propagande japonaise” ,était de saboter cette action militaire forcée ,de l’intérieur,au risque de perdre la vie.”Tokyo Rose” étant l’élément clé de ce “sabotage interne” de la propagande japonaise.

Plus tard, après son procès, d’anciens prisonniers se sont manifestés pour dire comment Toguri était une patriote américaine modèle et qu’elle avait continuellement fait de son mieux pour se faufiler avec de la nourriture et des fournitures diverses afin d’aider à des “codétenus”.
Malheureusement, après la guerre,les États-Unis n’ont pas accepté Iva Toguri en tant que membre des forces alliées. Au lieu de cela, ils ont persistés dans sa persécution pour son rôle en tant que diffuseur de propagande japonaise,sans évaluer l’ensemble de ce qu’elle avait fait durant toutes ces années de guerre.On la jugea sans même retenir qu’elle risqua continuellement sa vie et que son courage sauva plusieurs vies. Son erreur a été de proposer de donner une interview exclusive au magazine Cosmopolitan. Le 17 Octobre 1945, la désormais Mme Iva D’Aquino a été arrêtée et accusée de trahison. Son identité en tant que Tokyo Rose a été identifiée par un autre membre de la radio NHK, qui avait épousé une des autres femmes qui avaient participées à la diffusion de la propagande japonaise. Pendant toute une année, Iva Toguri languira dans une petite cellule. Elle a finalement été libérée et sa bonne conduite inscrite sur l’évaluation de ses geôliers. Tout laissait à croire que les accusations de haute trahison contre elle , avaient été abandonnées.

Son mari,M.D’Aquino avait essayé de parler à sa femme pour partir avec lui au Portugal, mais elle a toujours refusé, en attendant un passeport américain qui ne viendrait jamais. Souffrant du stress de sa situation judiciaire et de celui d’une grossesse insécure, Iva a donné naissance à un garçon qui ne vivrait qu’une seule pauvre journée dans sa vie. Le 5 Juillet 1949, Iva du subir son procès pour trahison. La preuve était incomplète pour le moins dire, et le jury est revenu avec un vote 01:10 en faveur de l’acquittement. Pourtant, le juge de première instance n’a pas accepté cette décision et il a ordonné au jury de recommencer une nouvelle délibération. Le juge n’a pas voulu voir une fin de procès si coûteux se terminer par un acquittement, de sorte que le jury est revenu avec un verdict de culpabilité sur une accusation de trahison. Cette charge a été faite parce que Iva avait utilisé un microphone pour diffuser sur les ondes ,une nouvelle relative à la perte des navires américains lors de la bataille du golfe de Leyte aux Philippines.

M. D’Aquino a reçu l’ordre de quitter les Etats-Unis et de ne jamais revenir.Celui qui fut le grand amour d’Iva ,venait de la quitter définitivement. Iva servi six ans de sa peine de dix ans dans une prison fédérale américaine. Elle n’a jamais revu son mari et a vécu la plupart de ses autres années de travail,dans la petite boutique de son père. En 1977, elle a reçu un pardon du président Gerald Ford.

Rétrospectivement, son surnom de “Orphean Ann” aurait dû être un indice quant à son statut. Iva Toguri était une victime de la guerre, pris au piège dans un pays étranger, où elle a été contrainte de faire ce qu’elle a pu pour survivre. Contrairement à d’autres Américains d’origine japonaise dans sa situation, qui avaient renoncé à leurs passeports américains, Iva Toguri aura tenu au sien jusqu’à la fin. Au lieu d’être honorée pour son courage et sa ténacité pour garder son identité américaine dans un pays en guerre avec les Etats-Unis, elle a été étiquetée comme une traître et condamnée par son pays qu’elle aimait tant.

Dans ses émissions, les auditeurs pouvaient facilement détecter le sarcasme,l’ironie et l’absurdité qu’elle tentait d’introduire dans le spectacle. Iva Toguri avait tenté de remplir le programme de 15 minutes avec tellement d’absurdités qu’il ne serait jamais pris au sérieux par les pilotes alliés lors de leurs longs vols de formation au-dessus du Pacifique.Les programmes d'”Orphean Ann” ou de “Tokyo Rose” les divertissaient en les amusant,rendant leurs labeurs moins difficiles en leur apportant beaucoup de chaleur ,dans leur coeur. Ce fut la même chose pour les marins de la US Navy .Un jour un officier du renseignement trouva une photo d’elle et les nombreuses reproductions de cette photo firent un malheur.Un concours organisé par des sodats sur une base en territoire américain ,lui fit gagner les premiers honneurs sur la femme la plus sexy de l’année 1944;ce qui enragea le haut commandement américain.Ironie du sort, les militaires de la Seconde Guerre mondiale attendaient avec intérêt ses émissions et les jugèrent comme une distraction momentanée,à caractères humoristiques des réalités de la guerre.

Aucun officier,ni aucun militaire en opération n’a jamais pris au sérieux les émissions de propagande de la célèbre “Tokyo Rose”,mais tout le monde l’aimait.

Elle restera à jamais l’exemple très puissant que tout être humain peut s’adapter et vivre ne serait-ce que respectueusement sous n’importe lequel régime politique,même la plus cruelle des dictature.Elle est l’exemple parfait que l’on peut être un ou une patriote d’un amour,d’une abnégation totale pour son pays chéri et être abandonné,méprisé et condamné par ce même pays.

Il existe dans l’histoire de l’humanité ,des êtres comme Tokyo Rose qui donnent leur vie et que les récits de leurs vies sont déformés par …les vainqueurs des guerres passées.
Le surnom de “Tokyo Rose” fut donné à au moins douze femmes anglophones ,chargées de diffuser par radio de la propagande japonaise pour saper le moral des forces alliées.
Ce surnom est toutefois particulièrement lié à l’américano-japonaise Iva Toguri D’Aquino , la rose de Tokyo la plus connue et la plus chérie de l’histoire.Ce surnom lui collera à la peau tant que les hommes auront en mémoire leur passé et qu’ils apprendront de leurs erreurs.
C’est durant les guerres que la vérité et l’impartialité a tendance à disparaître.

La mort
Même sa mort est particulière!
Le 26 septembre 2006,Iva Ikuko Toguri D’Aquino (de son nom complet) , est décédée seule et anonyme à l’Advocate Illinois Masonic Medical Center à Chicago. La cause du décès n’a été signalé. Elle avait 90 ans.Probablement que celle qui a tant fait l’actualité par ces procès ,a -t-elle été heureuse de partir de ce monde sans coeur ,en inconnue et abandonnée de tous.On peut imaginer sa sérénité dans les derniers moments de sa vie ,en fermant les yeux .

Un mystère dans un mystère…Que vient faire Iva Toguri ici?Un hasard?
L’Advocate Illinois Masonic Medical Center de Chicago
Il s’agit de l’un des hôpitaux “privés” les plus luxueux appartenant à une grande loge franc-maçonne.C’est en Illinois que Barack Hussein Obama s’élèvera aux plus hauts niveaux de la politique américaine.
Quels sont les liens entre le décès à 90 ans ,en 2006 de la célèbre Tokyo Rose (Iva Toguri D’Aquino) ,la vie qu’elle a vécue et …cet hôpital relié aux francs-maçons dans un état,l’Illinois qui verra apparaître au-dessus des fraudes et du mensonge le premier président noir qui devra son éducation au crime organisé indonésien?
Étrange destinée!
Les autres “Tokyo Rose” et propagandistes de l’Axe
Avec les années,le nom de la célèbre Iva Toguri D’Aquino ,mieux connue sous le surnom de Tokyo Rose ,a fini par personnifier à elle seule avec le nom du ministre de la guerre japonais Hideki Tojo , l’infamie de l’Axe en le Pacifique.Il s’agit de propagande politique mélangée avec des préjugés du terroir américain:on oublie tout,on se fie à la parole des autorités…en bon américain et on ne se pose pas de question avec le reste.
Après avoir atterri dans sa patrie ancestrale précisément au pire moment pour s’occuper d’un tante malade, elle avait été forcée par les circonstances de diffuser de la propagande pour les Japonais.
Elle et d’autres ressortissants alliés en captivité a décidé de transformer leur épreuve sur sa tête, faisant délibérément un hachage de la propagande. Mme D’Aquino, qui avait une voix grave et un léger zézaiement, n’était pas ce que l’ennemi voulait: une méchante fille étouffant la voix afin de taquiner les auditeurs américains qui étaient loin de chez eux.

Avec une grande ferveur anti-japonaise toujours présente dans l’esprit des gens ,après la guerre, les grands médias et la pression politique a été appliquée à la condamnation de “Tokyo Rose.” Le procès pour trahison avaient commencé par Gillars Mildred, l’américaine connue sous le nom de “Axis Sally” pour ses émissions pro–nazi de Berlin, l’Américain William Joyce, connu sous le nom de « Lord Haw–Haw” pour ses messages de propagande radio lancées vers l’Angleterre à partir de l’Allemagne, au cours de la guerre.

Gillars a été emprisonné; Joyce fut pendu.
Le cas de Madame Iva d’Aquino semblait très différent.Les rapports du général Douglas MacArthur et du Corps de contre-espionnage de l’armée avaient indiqué qu’elle n’avait rien fait de trahison dans ses émissions,en fait. Mais Walter Winchell, la puissante personnalité des ondes de l’Époque l’attaqua vivement et la Légion américaine fit pression sans relâche pour qu’elle puisse être inculpée.

Mme D’Aquino, une femme aux cheveux de jais avec une face de lune tendre, était la seule des femmes surnommées “Tokyo Rose” arrêtée par les autorités américaines après la capitulation japonaise. Elle a été reconnue coupable de trahison après qu’un juge fit pression sur un jury ,devant l’impasse à rendre un verdict.

«Je suppose qu’ils ils ont trouvé quelqu’un ,ils ont fait le travail et ils étaient tous satisfaits», at-elle dit plus tard, au programme de Nouvelles CBS «60 Minutes». «C’était eeny, meeny, miney et j’ai été« moe », dit-elle alors.
Elle a purgé une partie de sa peine de prison, a vécu tranquillement à Chicago et progressivement observait que les gens ont pris son cas pour une réhabilitation. Après que le témoignage contre elle a été discrédité, le président Gerald R. Ford lui pardonna en Janvier 1977, en tant que l’un de ses derniers actes en fonction.
La naissance,l’enfance et l’appel au Japon
Née d’ immigrés japonais à Los Angeles, le jour de l’indépendance ,en 1916, Iva Ikuko Toguri menait la vie confortable d’un enfant de classe moyenne . Son père était propriétaire d’une petite entreprise qui a tenté de les assimiler à la culture anglaise et américaine ;c’est ainsi que sa fille a grandi en ne parlant pas japonais.
Elle a assisté à une église méthodiste, a joué au tennis et piano et a apprécié la randonnée et la musique swing. Au cours de ses années d’école, elle “était une étudiante populaire et a été considéré comme une Américaine loyale» (ce que le site Web du FBI dit d’elle).
Elle a pris soin de sa mère, qui est handicapée par le diabète, et espère poursuivre une carrière en médecine. Elle est diplômée de l’Université de Californie à Los Angeles ,en 1941, avec un diplôme en zoologie.
Quand une tante au Japon est devenue gravement malade, elle a été invitée par la famille à venir au Japon,afin de lui donner des soins . Mme D’Aquino n’a pas eu le temps de faire une demande de passeport, mais le Département d’Etat américain lui a donné un certificat d’identification qui lui a permis de voyager.
En arrivant au Japon en Juillet 1941, elle était devant divers problèmes: Elle ne parlait la langue ne pouvait digérer la nourriture. Elle a dit avoir “détestée le riz” et avoir commandée une pleine boîte de chocolat, de café et de viande en conserve pour éviter de manger la cuisine locale,telle est décrite son histoire dans les Chroniques du Journal des Vétérans de la Seconde Guerre Mondiale.
Piégée au Japon
C’est après l’attaque surprise des Japonais sur Pearl Harbor ,le 6 décembre 1941 , qu’elle ne pouvait plus quitter le Japon . Face à la pression des autorités du gouvernement japonais , elle a refusée de renoncer à sa citoyenneté américaine. Les autorités japonaises l’avaient marquée, avec des milliers d’autres Américains d’origine japonaise au Japon à l’époque, venant d’un pays ennemi et on lui a refusé une carte de rations alimentaires .

Les autorités ont refusé de la placer avec d’autres ressortissants étrangers, comme elle l’avait demandé , et à la place , elle se trouve sous la surveillance constante et le harcèlement par la Kempeitai , (ou police militaire).

Elle était aussi sans l’aide de sa tante et son oncle, qui l’a jetée hors de leur maison quand elle a commencé à exprimer des sentiments pro-américains . Elle a trouvé un emploi de bureau à l’ambassade du Danemark et enseigna le piano . Elle a enduré plusieurs séjours à l’hôpital pour malnutrition , béribéri et troubles gastro-intestinaux . Elle a empruntée de l’argent auprès d’amis , dont un sympathique Portugais du nom de Filipe d’Aquino , qu’elle épousa en 1945.
Elle est devenue une dactylo à Radio Tokyo et bientôt allait travailler dans un bureau avec , entre autres , le diffuseur australien Charles H. Cousens , qui avait été capturé à Singapour et contraint de devoir lire la propagande la plus révoltante sur un programme appelé ” Zero Hour . ” En échange de suivre le script approuvé par les japonais , Cousens s’arrangea pour lire les noms des prisonniers de guerre, dont il espérait que cela aiderait les familles alliées.
Pendant ce temps, Mme D’Aquino apportait de la nourriture et des vêtements pour ravitailler les diffuseurs alliées. Lorsque les autorités du poste de radio ont insisté sur la présence d’une femme à la radio, Cousens recommanda Mme D’Aquino, dont il est venu à admirer après s’être rendu compte qu’elle n’était pas un agent secret de la Kempeitai .
Après qu’elle a commencé à émettre en Novembre 1943, elle et Cousens essayèrent de tourner les émissions en farce. “L’embauche de Mme D’Aquino, avec sa «voix de brouillard (gin fog voice) », était l’idéal , Cousens dit plus tard .
” Compte tenu de mon idée de faire de ce programme un burlesque complet , c’était juste ce que je voulais », a-t-il ajouté .
Les responsables de la propagande japonaise , qui étaient extrêmement incompétents, ne ressentaient ni ne comprenaient rien de leurs nuances et de leurs doubles sens .
La Durée moyenne de Mme D’Aquino sur chaque programme était d’environ 20 minutes, pendant lesquelles elle a présenté les dossiers populaires de la journée, parfois avec un clin d’oeil phonétique: «Alors, être sur ses gardes, et l’esprit des enfants n’entendent pas tous ensemble d’accord? Voilà le premier coup à votre moral – ‘! Strike up the Band »le Boston Pops jouer “
Pour oreilles japonais, elle a été très efficace, et les responsables des bureaux repoussé ses nombreuses tentatives de quitter le travail. Extatique à la conclusion de la guerre en 1945, elle a de nouveau retrouvée désespérée pour survivre dans une économie d’après-guerre misérable. Elle a demandé un passeport américain, parce qu’elle n’avait pas renoncé à sa citoyenneté, mais elle a fait une erreur de jugement en essayant de capitaliser sur son «Rose Tokyo” la gloire.
Un écrivain avec le magazine Cosmopolitan a offert de payer sa 2000 $ – une fortune à l’époque – si elle voulait signer un contrat comme “la seul et unique« Tokyo Rose. “Mais les rédacteurs du magazine lui dupés tenue d’une grande conférence de presse qui a sabordé l’” exclusivité “et libéré le Cosmopolitan de toute obligation financière.
Mme D’Aquino a eu le plaisir de toute l’attention, au premier abord. Elle pensait que les journalistes grégaires étaient des admirateurs qui ont compris ses intentions de nuire délibérément à la propagande lui a demandé de diffuser. Elle ne savait pas que le journaliste du Cosmopolitan avait pris son histoire à l’armée et a affirmé que c’était les “aveux “de Mme D’Aquino .
Les retombées de la renommée
En Octobre 1945, les responsables de l’armée l’ont arrêtée et l’ont détenue pendant un an dans une cellule de 6 par 9 pieds à la prison de Sugamo à Tokyo. Elle a permis une visite de 20 minutes avec son mari tous les mois et se laver tous les trois jours.
Pendant son emprisonnement , elle a appris que sa mère était morte . Elle a été maltraitée par les gardiens qui ont gardé les lumières dans sa cellule jusqu’à ce qu’elle allait signer un autographe. Toutefois, aucune accusation n’a été portée contre elle, et elle a été libérée .
Elle est tombée enceinte à la fin des années 1940 et a cherché à retourner aux États- Unis pour voir naître son premier enfant . Dans un état affaibli de son séjour en prison , elle a perdu le bébé peu après sa naissance.
Certains de ses pairs alliées à la station de radio ont été disculpés dans leur pays d’origine , y compris Cousens , mais le climat politique aux États- Unis avaient tourné laid. Émissions constantes de Winchell loupe son rôle pendant la guerre ont conduit à sa nouvelle arrestation en 1948. Ramené aux Etats-Unis sur un bateau de troupe , elle a fait face à un procès à San Francisco l’année suivante . Elle avait été absent pendant huit ans.

Cousens et autres connaissances alliées ont témoigné en sa faveur . Le cas de l’ accusation reposait en grande partie sur le témoignage d’un témoin oculaire de deux de ses collègues à ” Zero Hour “. L’accusation selon laquelle blesser Mme D’Aquino était d’avoir prétendument dit dans une émission en 1944 : ” Orphans of the Pacific , vous êtes vraiment orphelins maintenant .Comment allez-vous rentrer à la maison maintenant que vos navires sont coulés . ? “
Une émission, qui a été diffusé peu après la victoire des Alliés contre le Japon dans le golfe de Leyte près des Philippines, a été considérée avec scepticisme à l’époque mais a été utilisée contre Mme D’Aquino dans son procès , en 1949.
Après que le jury entièrement blanc fut dans l’impasse , le juge leur a demandé de continuer à débattre parce que le procès avait été « long et coûteux ». Le procès de 13 semaines, a coûté 750.000 $ .Ce qui serait inconstitutionnel de nos jours.
Huit chefs de trahison , elle a été condamnée à un, pour avoir parlé ” dans un microphone concernant la perte des navires. ” Elle était la septième personne dans l’histoire américaine à avoir été reconnue coupable de trahison , selon le FBI .
Elle a été dépouillée de sa citoyenneté américaine et a reçu une peine de 10 ans de prison et une amende 10.000 $. Elle a été envoyée à la prison pour femmes fédéraux à Alderson, Virginie-Occidentale, où elle a dit avoir passé de nombreuses heures à jouer au bridge avec Gillars Mildred «Axis Sally“.
Libérée après six ans pour bonne conduite, Mme D’Aquino a travaillé tranquillement à se disculper.
D’ici là, sa vie personnelle s’était écroulé. Son mari n’est venu à sa défense au cours du procès que d’être intimidé en signant un accord pour ne jamais plus rentrer aux États-Unis. Leur séparation – elle a refusé de quitter les Etats-Unis – a conduit à leur divorce irrémédiable.
Après sa sortie de prison, elle s’installe à Chicago et a travaillé avec son père dans une petite boutique d’importation pour payer l’amende après des menaces répétées par le ministère de la Justice.
Les pétitions ont commencé à circuler pour son exonération, mais peu a été fait au niveau de l’exécutif jusqu’à ce que les bulletins de nouvelles ont commencé à remettre en question le témoignage qui a conduit à sa condamnation.

Kenkichi Oki, un collègue de “Zero Hour” qui avait témoigné contre Mme D’Aquino, a déclaré au Chicago Tribune qu’il “n’avait pas le choix”, de témoigner contre Mme D’Aquino en raison de menaces de la part du FBI que “Oncle Sam pourrait organiser une épreuve pour nous, aussi. “
Le président du jury a dit aux journalistes qu’il a senti la pression du juge et a souhaité qu’il “avait un peu plus de courage de rester avec mon vote pour l’acquittement.“

Après avoir été gracié par Ford en 1977, sa citoyenneté a été restauré. Elle a dit qu’elle regrettait que le pardon est venu près de quatre ans après la mort de son père. Elle a décrit la réaction de son père à ses expériences: «Tu étais comme un tigre, vous n’avez jamais changé vos rayures, vous êtes resté américaine à travers et à travers.”
Jusqu’à sa mort, elle a vécu dans l’anonymat ,mais bienvenue à Chicago, se laissant aller à des plaisirs tels que la courtepointe et des concerts au Chicago Lyric Opera.

Les révoltes réussies d’esclaves à bord des navires négriers
Révoltes réussies à bord de navires négriers
Les révoltes d’esclaves à bord des navires furent une constante de la traite transatlantique.
Elles étaient d’autant plus redoutables lorsque les bâtiments étaient en vue des côtes : au départ – les Africains n’hésitant pas à partir en pirogue aider les déportés – et parfois à l’arrivée où les victimes luttaient pour la liberté avec l’énergie du désespoir.
La plupart des révoltes échouèrent et donnèrent lieu à une répression d’une barbarie inouïe : déportés jetés par dessus bord ou dépecés (les autres victimes étant contraintes à des actes de cannibalisme).
Il y eut cependant des succès.
Voici six premiers exemples de révoltes réussies.
1751 : Au moment de son départ, le Willingmind, battant pavillon britannique, qui était au mouillage sur un fleuve de Sierra Leone, est pris et incendié par les captifs qui regagnent les côtes.
1767 : Après 4 jours de navigation, les déportés du navire britannique L’Industry, destinés à être vendus en Caroline, massacrent l’équipage, prennent le bâtiment et remettent le cap sur l’Afrique. Ils réussissent à échouer le bateau et à regagner le rivage de Sierra Leone.
1769 : Alertés par les coups de feu tirés à bord du Nancy de Liverpool, qui vient de lever l’ancre, signal de la révolte, des Africains de New Calabar (Nigeria) partent en pirogue porter secours aux déportés. La lutte est victorieuse et les les déportés regagnent le continent.
1770 : L’Ave Maria, en partance pour la Guadeloupe, est pris d’assaut par des Africains du littoral qui libèrent les captifs et épargnent la vie de l’équipage.
1771 : Le Nécessaire de La Rochelle, est pris par les 52 déportés qu’il emmènent. Après avoir vaincu l’équipage, ils se libèrent et mettent le cap sur l’archipel des Bijagos où ils échouent le bâtiment, à l’embouchure du Rio Geba (Guinée-Bissau).
1780 : Les côtes de Guyane étant en vue, 200 déportés prennent le contrôle du bateau hollandais La Vigilantie, tuent les marins et gagnent le rivage à la nage avant de se fondre dans la nature.
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L’Augustine de Nantes « prise par les noirs »
Le 26 décembre 1788, les captifs de L’Augustine de Nantes, 55 tonneaux, partie de Nantes le 25 juin, se révoltent et partent avec le bâtiment.
Une partie de l’équipage est alors à terre, au Mayombe, à l’embouchure du fleuve Congo (Gabon).
Récit des rescapés de l’équipage :
Les esclaves, au nombre de 40, s’y sont emparés d’un coffre d’armes et ont attaqué 7 hommes de l’équipage qui étaient alors à bord.
2 sont massacrés, les 5 autres ont été blessés et jetés à la mer; mais ils ont eu le bonheur de se sauver dans le canot et se sont réfugés à Mayombe où le bateau était en traite.
Le navire La Belle Ninette, aussi de Nantes, est venu chercher l’équipage qu’il a amené avec le capitaine qui était à terre lors de l’événement.
Les noirs, une fois maîtres du bateau, ont levé l’ancre et ont appareillé.
Le navire n’a jamais été retrouvé. Le capitaine est mort au Mayombe.
Appuyons Mario Beaulieu comme futur chef du Bloc Québécois

Je suis les publications et les gestes publics de mon ami Mario Beaulieu depuis de nombreuses années.
Devant l’engagement important qu’il a pris récemment de faire campagne à la chefferie du Bloc québécois,j’ai décidé d’apporter mon appui total à cette candidature et de le rejoindre dans cette formation politique unique au Québec.
Voici textuellement l’appel qu’il vient de lancer sur Facebook,il y a quelques minutes:
Mes ami-e-s j’ai besoin de votre soutien! Je dois amasser 1000 signatures réparties dans 25 circonscriptions d’ici le 7 mai. Si vous désirez m’appuyer, voici comment le faire… Il faut avoir une carte de membre du Bloc Québécois. Si elle est échue, nous pourrons la renouveler en même temps.
Écrire un courriel à l’adresse :
Mario2014bq@gmail.com
Avec vos coordonnées complètes et votre nom.
Pour ceux qui habitent Montréal, vous pouvez aussi venir en personne à l’adresse : 82 rue Sherbrooke Ouest, Montreal, H2X 1X3
Appuyez et partagez entre vous cette requête…le moment ne saurait être mieux choisi pour se regrouper et sonner la charge en vue des prochaines élections,au Québec.
Nous ne pouvons trouver meilleur chef que Mario Beaulieu pour reprendre en main le combat national du Québec pour sa langue,sa souveraineté et son intégrité.
Vive Mario Beaulieu et le Bloc Québécois!
Il faut 1000 signatures de membres en règle du Bloc Québécois…Dépêchons nous!
Nouvel Ordre Mondial:La charte de l’Impérialisme

Cette photo du siècle passé proviendrait du Congo Belge.
LA CHARTE DE L’IMPERIALISME :
ORIGINE:
La présente « charte » a été élaborée à Washington pendant la « traite négrière », ensuite discrètement négociée à la « conférence de Berlin en 1885 » pendant que les puissances Occidentales se partageaient l’Afrique ; renégocié secrètement à Yalta au moment du partage du monde en deux blocs après la deuxième guerre mondiale et pendant la création de la « Société des Nations », l’ancêtre de l’« ONU ».
TEXTE:
I. DISPOSITION GÉNÉRALE
Article 1° :
De la Devise : – Devise de l’impérialisme : Gouverner le monde et contrôler les richesses de la planète ; Notre politique est de diviser pour mieux régner, dominer, exploiter et piller pour remplir nos banques et faire d’elles les plus puissantes du monde.
Article 2° :
Aucun pays du tiers-monde ne constitue un Etat souverain et indépendant.
Article 3° :
Tout pouvoir dans les pays du tiers-monde émane de nous, qui l’exerçons par la pression sur les dirigeants qui ne sont que nos marionnettes. Aucun organe du tiers-monde ne peut s’en attribuer l’exercice.
Article 4° :
Tous les pays du tiers-monde sont divisibles et leurs frontières déplaçable selon notre volonté. Le respect de l’intégrité territoriale n’existe pas pour le tiers-monde.
Article 5° :
Tous les dictateurs doivent mettre leurs fortunes dans nos banques pour la sécurité de nos intérêts. Cette fortune servira des dons et crédits accordés par nous comme assistance et aide au développement aux pays du tiers-monde.
II. DU RÉGIME POLITIQUE
Article 6° :
Tout pouvoir et gouvernement établi par nous est légal, légitime et démocratique. Mais tout autre pouvoir ou gouvernement qui n’émane pas de nous est illégal, illégitime et dictatorial, quelle que soit sa forme et sa légitimité.
Article 7° :
Tout pouvoir qui oppose la moindre résistance à nos injonctions perd par le fait même sa légalité, sa légitimité et sa crédibilité. Il doit disparaître.
III. DES TRAITES ET DES ACCORDS
Article 8° :
On ne négocie pas les accords et les contrats avec les pays du tiers-monde, on leur impose ce qu’on veut et ils subissent notre volonté.
Article 9° :
Tout accord conclu avec un autre pays ou une négociation sans notre aval est nulle et de nul effet.
IV. DES DROITS FONDAMENTAUX
Article 10° :
Là où il ya nos intérêt, les pays du tiers-monde n’ont pas de droit, dans les pays du sud, nos intérêts passent avant la loi et le droit international.
Article 11° :
La liberté d’expression, la liberté d’associations et les droit de l’homme n’ont de sens que dans le pays où les dirigeants s’opposent à notre volonté.
Article 12° :
Les peuples du tiers-monde n’ont pas d’opinion ni de droit, ils subissent notre loi et notre droit.
Article 13° :
Les pays du tiers-monde n’ont ni culture ni civilisation sans se référer à la civilisation Occidentale.
Article 14° :
On ne parle pas de génocide, de massacre ni des « crimes de guerre » ou des « crimes contre l’humanité » dans les pays où nos intérêt sont garantis. Même si le nombre des victimes est très important.
V. DES FINANCES PUBLIQUES
Article 15° :
Dans les pays du tiers-monde, nul n’a le droit de mettre dans leurs banques un plafond d’argent fixé par nous. Lorsque la fortune dépasse le plafond, on la dépose dans l’une de nos banques pour que les bénéfices retournent sous forme des prêts ou d’aide économique au développement en espèce ou en nature.
Article 16° :
N’auront droit à l’aide précitée, les pays dont les dirigeants font preuve d’une soumission totale à nous, nos marionnettes et nos valets.
Article 17° :
Notre aide doit-être accompagnée des recommandations fortes de nature à empêcher et briser toute action de développement des pays du tiers-monde.
VI. DES TRAITES MILITAIRES
Article 18° :
Nos armées doivent être toujours plus fortes et plus puissantes que les armées des pays du tiers-monde. La limitation et l’interdiction d’arme des destructions massive ne nous concerne pas, mais les autres.
Article 19° :
Nos armées doivent s’entraider et s’unir dans la guerre contre l’armée d’un pays faible pour afficher notre suprématie et se faire craindre par les pays du tiers-monde.
Article 20° :
Toute intervention militaire a pour objectif de protéger nos intérêts et ceux de nos valets.
Article 21° :
Toute opération d’évacuation des ressortissants des pays Occidentaux cache notre mission réelle, celle de protéger nos intérêts et ceux de nos valets.
VII. ACCORDS INTERNATIONAUX
Article 22° :
L’ONU est notre instrument, nous devons l’utiliser contre nos ennemis et les pays du tiers-monde pour protéger nos intérêts.
Article 23° :
Notre objectif est de déstabiliser et détruire les régimes qui nous sont hostiles et installer nos marionnettes sous la protection de nos militaires sous la couverture des mandats des forces de l’« ONU ».
Article 24° :
Les résolutions de l’« ONU » sont des textes qui nous donnent le droit et les moyens de frapper, de tuer et de détruire les pays dont les dirigeants et les peuples qui refusent de se soumettre à nos injonctions sous la couverture des résolutions du Conseil de Sécurité de l’« ONU ».
Article 25° :
Notre devoir est de maintenir l’Afrique et d’autres pays du monde dans le sous-développement, la misère, la division, les guerres, le chaos pour bien les dominer, les exploiter et les piller a travers les « Missions » des « Nations-Unies ».
Article 26° :
Notre règle d’or est la liquidation physique des leaders et dirigeants nationalistes du tiers-monde.
Article 27° :
Les lois, les résolutions, les cours et tribunaux des « Nations-Unies » sont nos instruments de pression contre les dirigeants et les leaders des pays qui défendent les intérêts de leurs peuples.
Article 28° :
Les dirigeants des puissances Occidentales ne peuvent être poursuivis, arrêter ni incarcérer par les cours et tribunaux de l’« ONU », même s’ils commettent des « crimes de guerre », de « génocide » ou des « crimes contre l’humanité ».*
*Traducteur inconnu et anonyme.Provenance du texte:Belgique.
Nouvel Ordre Mondial:Les Frères Musulmans ont été créé par la British Intelligence Service
*Message envoyé d’un ami en Syrie que j’ai traduit récemment.
Chers humains de la Terre: Les musulmans ne nous haïssent pas en dépit de ce que nous sommes entraînés à croire,par la déformation médiatique que l’on subit ,tous les jours.
Alors écoutez, parce que nous tous sommes espionnés et scrutés à la loupe par ces mondialistes et leurs marionnettes, les compliments viennent de leurs termes et des médias complices.
Nous avons vraiment besoin de bien prendre note,ce que j’écris ici … Les Frères musulmans sont une création britannique. La Grande-Bretagne est un pays qui est fortement liée à International Banking sionisme (rappelez-vous que Al-Qaïda, Alias: al-CIA-da, est un outil créé, aussi).

Le but est d’obtenir que les chrétiens de l’Occident et les musulmans de l’Est se battent entre eux et les uns contre les autres, avec le Nouvel Ordre Mondial qui tire les ficelles derrière les rideaux .Puis le Nouvel Ordre Mondial les abandonne à eux-mêmes, tout en restant encore debout comme les «bons défenseurs» de la paix , sous le couvert de nos forces armées fournissant une protection contre les ennemis qu’ils se sont créé . Ceci, en vérité, est de savoir comment ils continuent leur règne sur leurs esclaves obéissants . Ils utilisent des ” religions “qu’ils opposent entre elles en misant sur leurs différences ,afin de chercher à faire le maximum de victimes ,entre nous , car ils créent artificiellement des luttes intestines ( leur devise est : diviser pour régner…c’est à l’ordre du jour ) et ils fonctionnent partout ainsi ,même dans mon propre pays,le Québec. Les gens ordinaires continuent à travailler parce que la plupart des gens ne peuvent pas comprendre cela et sans s’en rendre compte,ils continuent à jouer dans les mains des mondialistes .
Les VRAIS musulmans sont ceux qui pratiquent la religion pacifique de l’islam , pas les ” extrémistes radicaux et dangereux» qui sont créés par le renseignement britannique pour promouvoir la haine , assassiner et fabriquer des luttes intestines . C’est ainsi que les mondialistes nous jouent …. en utilisant la religion d’un peuple et le financement des psychopathes saoudiens afin de laver le cerveau d’humbles fidèles qui vont devenir des extrémistes croyant détenir la Vérité Absolue. En présentant ainsi la religion ,ils créent ainsi l’illusion que cette religion est l’unique vérité et que les autres , leurs gens sont des terroristes que les croyants ne peuvent pas faire confiance .
Il est temps de commencer à nommer les vrais terroristes et obtenir de tous les citoyens Américains et nos frères et sœurs dans le monde,nos frères de la Terre , de savoir qui est le véritable ennemi … qui va bien au -delà de cette devise de diviser pour régner…un agenda utilisé par ces psychopathes .
Merci d’avoir lu ce message .