Aujourd’hui,2 janvier 2024 Jimmy Guieu décédait en l’an 2000

En ce jour,en l’an 2000,l’homme qui nous dévoila la Vérité et l’existence sur de nombreux mondes étranges,ainsi que sur les Univers Parallèles décédait  après beaucoup de souffrances physiques et morales!

Je vous invite à garder une minute de silence en sa mémoire et je vous ai  préparé quelques vidéos de lui!

Bonne année 2024 à tous et à toutes!

 

 

 

 

 

 

 

 

Ovni [Documentaire Fr] Video – Les Gouvernants Secrets 1, Nos visiteurs les extraterrestres – Jimmy Guieu – 52m59s

 

 

Docuementaire – Les portes du futur – Jimmy GUIEU – Les Gouvernants secrets 2 –

 

 

Docuementaire – Les portes du futur – Jimmy GUIEU – Les Gouvernants secrets 3 –

 

 

 

Témoignage de la mort de Jimmy Guieu par Lecossois

 

 

 

 

 

 

 

 


INVITATIONS à tous

Venez jeter un  coup d’oeil sur ma nouvelle boutique en ligne …c’est mon occupation principale depuis ma retraite:

 

 

 

 

 

 

 

 

SUR CE LIEN …Partagez svp: UNIVERSEparMICHEL

 

 

 

Constatation évidente que La troisième guerre mondiale approche rapidement

La guerre en Ukraine connaît-elle ses dernières convulsions avant que l’armée ukrainienne ne soit anéantie par la puissance de feu russe ? Le parti d’opposition à la guerre en Ukraine aux États-Unis, désormais incarné par Tucker Carlson et son nouveau copain Victor Orban de Hongrie, les Trumpistes et certains médias alternatifs, Scott Ritter etc. tous chantent la fin de la guerre en Ukraine est là, les Ukrainiens portent un toast, les Russes ne peuvent pas être vaincus. Les Ukrainiens n’ont même pas traversé la « zone de déformation », ils n’ont même pas atteint la première ligne de défense russe, etc.

Mais faisons une analyse sobre de la situation.

Il me semble que nous nous dirigeons directement vers la Troisième Guerre mondiale planifiée à l’avance. Juste comme ça.

À l’heure actuelle, les Ukrainiens sont utilisés par les Américains pour sonder et cartographier autant que possible les systèmes défensifs russes – l’emplacement et les capacités de toutes leurs capacités de télédétection, le temps de réponse et les contre-mesures, etc. Des éclaireurs sacrificiels sont envoyés pour tester les capacités défensives, d’abord sur la ligne de front, puis plus loin, à 300 km, puis à 700 km, et ainsi de suite, le tout planifié à l’avance par les bellicistes stratégiques américains. Cela ressemble beaucoup à ce qu’ils ont fait lors de la guerre du Golfe avec les défenses de Saddam Hussein. Il y a eu pendant plusieurs années une zone d’exclusion aérienne, puis une partition du Nord, où les Kurdes étaient utilisés par les États-Unis pour enquêter sur l’armée irakienne, puis au Sud, où les Koweïtiens étaient utilisés pour permettre à l’armée américaine de surveiller de près les capacités de Saddam. Nous sommes maintenant dans ce délai de pré-préparation.

Mais Biden, comiquement incompétent et dément, peut-il conduire l’Occident dans une Troisième Guerre mondiale ? CERTAINEMENT PAS!

Réfléchissons-y à nouveau. La Seconde Guerre mondiale a commencé vers 1932 avec l’accession d’Hitler au poste de chancelier de l’Allemagne, sous la direction du vieux et décrépit président allemand, Hindenburg. Il a fallu encore près de 10 ans de mobilisation industrielle allemande, puis de mobilisation populaire, de propagande de guerre, de transfert secret de technologie militaire fournie par le côté américain (comme la technologie radar) et ainsi de suite avant que tout le monde comprenne que tout cela signifiait la guerre.

Le rôle de Biden aujourd’hui est le même que celui d’Hindenburg. Ce n’est qu’un leurre, un clown trompeur, pas un adversaire sérieux.

Mais pendant ce temps, l’Axe occidental se forme et se construit de minute en minute. Oh, Orban nous l’assure, la Russie est un peuple de 145 millions d’habitants, uni autour de l’âme de la Mère Russie, ils ne sont pas émus par une propagande illusoire comme la liberté ou la démocratie . Leur objectif central est la sécurité de leur peuple, la défense de leurs terres ancestrales, la centralité de leur nation. Ajoutez à cela 1,4 milliard de Chinois, plus certains peuples d’Asie centrale, l’Iran, etc.

Les États-Unis peuvent-ils rêver de vaincre un tel colosse, près de 2 milliards de personnes armées jusqu’aux dents ?

Oui, ils peuvent fantasmer, et le résultat n’est pas joué d’avance. Oui, l’option nucléaire est un facteur de complication possible, mais faisons quelques calculs supplémentaires.

Près de 350 millions d’Américains, 450 millions d’Européens, 70 à 80 millions de Canadiens et d’Australiens, plus 100 millions de Japonais, 50 millions de Sud-Coréens – cela représente déjà une armée d’un milliard. Et ce sont des nations de premier ordre, contrairement à leurs challengers « en développement », encore majoritairement ruraux. Il existe quelques indécis comme les 115 millions de Philippins, les 275 millions d’Indonésiens, les Centraméricains, etc. Et qu’en est-il des Indiens qui, seuls, peuvent rivaliser en nombre avec les Chinois ? Et ils sont assidûment travaillés par l’Axe occidental.

En rappel:George W Bush et ses rabbins chéris!

En ce qui concerne les progrès de la technologie de guerre, il y a beaucoup à découvrir par le public et reconnu par les développeurs d’armes secrètes. Des avancées de tous côtés sont réalisées presque quotidiennement.

Sur le théâtre politique, Trump est tout autant un charlatan que Biden est un politicien véreux, un bon matériau pour distraire le public. Aujourd’hui, le candidat Trump est contre la guerre en Ukraine et contre les masques et les vaccins obligatoires, censés être employés par les Bidens pour bloquer les chances de réélection de Trump. Mais rappelez-vous, c’est Trump, le président, qui a introduit les confinements et les masques, qui a nommé le bouc de Judas, Fauci, qui a dirigé le développement d’un vaccin « à vitesse fulgurante », etc. C’est Trump qui a introduit les premières sanctions contre la Russie, puis contre la Chine. . Biden ou Trump, cela ne fait aucune différence. Peut-être que Trump est préférable uniquement pour Israël.

Alors, quelle est l’alternative pour l’Occident, sinon la guerre ? L’Occident est en faillite, la vitesse de l’industrialisation en dehors de l’Occident est époustouflante. La Chine vient d’annoncer une avancée majeure dans la conception et la production du chipset 5G, dernier bastion de la domination technologique américaine. Dans la course à l’espace, même l’Inde a devancé les États-Unis et, avec les autres grandes puissances, la Russie et la Chine, ils disparaissent rapidement.

Alors, de quelles alternatives l’Occident dispose-t-il pour protéger son magnifique jardin ? Au cours des deux guerres mondiales précédentes, il a manœuvré pour mettre le feu au reste du monde et le faire s’autodétruire. C’est quelque chose qui pourrait changer la donne pour l’Occident. Pas de guerre? Mort avec certitude. Encore pire. Tôt ou tard, des tribunaux se profilent. Mais une guerre dévastatrice crée un nouvel environnement au niveau du sol et ceux qui sont les maîtres pyromanes peuvent espérer s’en sortir et aller de l’avant.

Cela ne veut pas dire que la prochaine guerre ressemblera à un jeu vidéo du genre de la guerre du Golfe. Non, pas du tout. Cela ne signifie pas que l’Occident soit le vainqueur assuré, ni même le favori. — Mais qui a les meilleures chances dans une telle guerre ? On veut savoir. Mais c’est précisément l’affaire de la guerre que de déterminer cela. Une guerre n’est possible que lorsque les deux camps sont également forts, ou du moins lorsque chaque camp croit pouvoir gagner. Et parfois, seul le pur hasard peut faire pencher la balance en sa faveur, comme dans le cas du gigantesque typhon qui a sauvé la marine japonaise de la défaite face à l’invasion mongole en 1281.

Cela signifie simplement que l’Occident n’a pas d’autre choix qu’entre une mort lente et une guerre totale. Le temps d’un compromis négocié est révolu. La longue série historique de crimes et de mensonges ne peut être gardée secrète.

Mais même les Africains peuvent voir clair et exiger justice. L’atterrissage sur la Lune, le 11 septembre, le génocide du Covid sont des mensonges, et les crimes – les coups d’État, les atrocités coloniales et les crimes de plusieurs siècles contre la majeure partie de l’humanité – figurent en bonne place à l’ordre du jour d’un éventuel tribunal à venir.

Il n’y a pas si longtemps, le dilemme entre guerre et compromis était essentiellement théorique. Mais nous sommes désormais arrivés à un carrefour historique, où il ne s’agit plus d’un débat académique. Les préparatifs de guerre sont très avancés et l’échéance est proche.

Et il semble que nous allons nous lancer dans une guerre totale. Bientôt.

 


EN COMPLÉMENTAIRE HISTORIQUE

 

 

Invasions mongoles du Japon 5 – 1281, le souffle des esprits

 

Au premier mois lunaire de l’année 1281, les marins s’agitent tout au long de la côte sud de la Chine. Quelque 600 navires quittent les ports, lourdement armés et chargés de soldats. Peu de temps après, ce ne sont pas moins de 900 navires qui vont cingler vers le Japon depuis les côtes coréennes. Le premier débarquement gigantesque de l’histoire de l’Homme, voulu par Kubilaï Khan empereur de Mongolie et de toute la Chine, est engagé. Un seul objectif : la soumission totale du Japon.

 

Le 22 mai 1281, l’armada de l’Est part de la Corée avec quelque 100.000 hommes. Cela prit considérablement plus de temps qu’en 1274 pour atteindre le détroit de Tsushima. La raison en est probablement le gigantisme de la flotte qui comportait 900 navires de toutes sortes. De plus, si les Coréens étaient bons navigateurs, ce n’était pas le cas des Mongols. Il fallut attendre le 9 juin pour atteindre Tsushima et le 14 juin pour Iki. Sur Tsushima, So Moriaki marchait dans les pas de son père présent lors de l’invasion précédente et tenta de mener la vie dure à l’envahisseur. Mais ses 300 guerriers ne firent guère le poids face à l’énorme machine de guerre mongole et tous furent tués, même après s’être enfuis et cachés dans la montagne.

Une désobéissance désastreuse

Une fois solidement installée sur l’île de Iki, la flotte devait atteindre l’armada du Sud qui était attendue aux alentours du 2 juillet. Mais quel que soit le niveau de préparation d’une guerre, l’élément humain reste toujours la variable la plus imprévisible. Et c’est exactement ce qui se passa. Pour une raison encore inconnue, les généraux mongols, sûrs de leur force, choisirent de tirer toute la gloire pour eux seuls et n’obéirent pas aux ordres du grand Khan. Ils attaquèrent seuls le Japon. C’était une décision extraordinaire, car les Mongols étaient parfaitement au courant du renforcement de la baie d’Hakkata et de la construction du mur défensif. C’est la raison précise pour laquelle Kubilaï Khan avait insisté en personne pour qu’une force écrasante débarque d’un seul coup. C’est donc avec une semaine d’avance sur le plan d’invasion (le 23 juin), que le débarquement commença, en dépit de la parole de leur Khan.

Mais la seconde décision étonnante fut le choix de diviser les troupes pour débarquer en différents points. 300 navires furent envoyés à travers le détroit de Shimonoseki, à la pointe de l’île d’Honshu, dans la province de Nagato. L’idée n’était pas mauvaise en soi, mais avant même d’avoir pu dire ouf, les samouraïs de la région avaient repoussé les Mongols à la mer. Dans la baie d’Hakkata, le gros des troupes avait les plus grandes difficultés à y installer une tête de pont. Il faut dire que les Japonais étaient cette fois bien préparés. Non seulement le mur joua parfaitement le rôle escompté pour protéger les troupes nippones et gêner les avancées mongoles, mais la solidarité entre grands samouraïs fut au rendez-vous. Dès que l’alerte retentit, des troupes nombreuses vinrent de l’intérieure des terres pour renforcer les défenses côtières.

débarquement baie hakata

Incapables de mettre un pied sur la plage, les Mongols se replièrent sur les deux îlots situés dans la baie, ceux de Shiga et Noko. Ils pensaient pouvoir souffler à la fin du premier jour du conflit, mais l’îlot de Shiga était connecté à la terre par une bande de sable qui se découvrait à marée basse. Les Japonais en profitèrent pour attaquer de nuit et harceler les forces mongoles qui se croyaient à l’abri. L’îlot de Noko et la flotte qui était à l’ancre n’étaient pas mieux lotis. Les samouraïs mirent à l’eau des dizaines de petits bateaux à fond plats, chargés d’archers et de sabreurs désireux de mettre une pression constante sur l’ennemi. Il existe même des témoignages parlant de samouraïs nageant avec leur armure pour prendre d’assaut un navire plus isolé que les autres. Il faut dire que le système de récompense des Japonais se faisait au nombre de têtes décapitées qu’ils pouvaient ramener. Puisque les Mongols n’étaient pas sur les plages, il fallait aller les chercher sur leurs bateaux. Le moins qu’on puisse dire est que cette fois-ci, la peur avait changé de camp.

La bataille de Takashima

Au début du 7e mois lunaire la grande armada du sud de la Chine arriva finalement et longue et complexe tâche d’associer les deux flottes autour de l’île d’Iki pu démarrer. Il fallut un mois pour cela. Au lieu de revenir se frotter au mur de la baie d’Hakata, trop bien défendu malgré l’infériorité numérique des samouraïs, les Mongols décidèrent de descendre la côte plus à l’ouest vers la baie d’Imari, et d’attaquer l’île de Takashima le 11 août 1281.

imari bay

Le lendemain la réplique japonaise ne se fit pas attendre et le même scénario des petits bateaux à fond plat se répéta, mais à une échelle plus grande encore. La réaction des Mongols fut d’attacher leurs navires les uns aux autres à l’aide de chaînes, afin de former comme une muraille flottante et d’éviter toute attaque sur les flancs. Par ailleurs, le souvenir cuisant de la tempête de 1274 leur avait mis en tête que cette manœuvre permettrait de résister à tous les coups de vent. Quoi qu’il en soit, la bataille dura toute la nuit du 12 au 13 août et à l’aube, les Japonais battirent en retraite. Le surnombre du rouleau compresseur mongol avait l’avantage. Le débarquement prévu pour le lendemain ne laissait aucun doute sur son issu : c’était la fin de la résistance japonaise dès lors que l’armée du grand Khan aurait mis pied sur terre.

Le vent divin

Dans toutes les mémoires, envahisseurs comme défenseurs, jamais on n’avait vu une telle tempête se lever depuis des siècles. Avant même que le vent se lève, le moral des troupes mongoles était déjà assez bas. L’inactivité, l’incapacité à débarquer complètement, la vie sur des bateaux (pour des cavaliers rien de pire) et l’odeur pestilentielle des bêtes et des hommes sur des espaces confinés avaient miné la détermination. Or, les généraux savaient que chaque heure de retard les rapprochait inéluctablement de la saison des typhons.

Dans le Yuan Shi (le classique de la dynastie Yuan – les Mongols) on peut lire d’autres explications davantage en accord avec l’esprit de l’époque :

« Quand ils virent les ombres de collines dansantes parmi les vagues, ils suspectèrent que des rochers se cachaient sous la surface près de l’entrée de la baie, de telle manière qu’ils ne purent s’approcher. Puis ils virent un grand serpent à la surface de l’eau, et l’eau sentit le souffre. Il y eut maintes choses bizarres et étranges encore, aussi bien que le moral des troupes fût grandement affecté ».

Puis le vent se leva. Alors que les navires étaient attachés les uns aux autres de l’île de Takashima jusqu’à la terre ferme vers Matsuura, un typhon gigantesque souleva l’océan. Les bateaux se frottèrent les uns contre les autres, les hommes furent emportés comme des fétus de paille, les navires proches des côtés se fracassèrent ou échouèrent sur les plages. Ceux qui étaient en mer coupèrent leur ancre pour tenter de fuir vers le large.

 

Il y encore débat entre historiens sur le nombre de morts que ce typhon provoqua. Seule la source coréenne est fiable, car le royaume avait enregistré le départ de 26 989 hommes. 7592 ne revirent jamais, soit environ 30%. Mais comme dit plus haut, les Coréens étaient de loin les meilleurs marins du lot. Du côté sino-mongol, les sources évoquent une perte qui se situerait entre 60% et 90% des hommes. En tout état de cause, le résultat fut catastrophique et définitif.

Ce qui est plus parlant encore est la réaction des généraux. Ceux qui avaient survécu au vent des esprits (kamikaze), se réunirent au 5e jour et filèrent droit vers la Chine, laissant derrière eux des milliers, voire des dizaines de milliers d’hommes flottant sur des bouts de bois, sans chercher à les récupérer et les sauver des eaux. Les Japonais qui ressortirent immédiatement de leurs abris après le typhon massacrèrent tous les rescapés. Il est dit toutefois que les Chinois Song furent épargnés, mais sans certitude historique. Seul le témoignage d’un chinois parle en ce sens :

« Premier jour : un typhon coula la flotte

Cinquième jour : Le général Fan Wenhu et les autres prirent les meilleurs navires encore en état et filèrent, laissant au moins 100.000 hommes dans la montagne (sur Takashima). Après 3 jours sans vivres ni commandement, les hommes choisirent le capitaine Chang qu’ils appelèrent Gouverneur Chang. Sous sa direction, nous coupâmes les arbres pour fabriquer des bateaux afin de repartir chez nous.

Septième jour : les Japonais nous ont attaqués et quasiment annihilés. Les quelques dizaines de milliers restants furent capturés.

Neuvième jour : arrivés dans la baie d’Hakata, les Japonais tuèrent tous les Mongols, les Coréens et les Hans (chinois du nord du pays). Ils épargnèrent la vie de ceux qui avaient été récemment soumis à l’empire mongol en disant qu’ils étaient les fils des Tang (dynastie qui avait de bonnes relations avec le Japon). Ils en firent des esclaves à la place. Moi, Chang, je fus l’un d’entre eux. »

 

chasse à l'homme après typhon

Épilogue

Si les pêcheurs remontèrent des débris et des pièces archéologiques tout au long des siècles dans leurs filets, ce n’est qu’en 1981 qu’une campagne systématique et scientifique de fouilles fut menée avec grands renforts de publicité. Les habitants des baies d’Imari et d’Hakata sortirent tout ce qu’ils possédaient chez eux, sans se douter de la valeur des objets, comme le sceau d’un général ou même une statue de bouddha saucée des eaux au 18e siècle. Ces fouilles permirent de comprendre la force du kamikaze, car les débris étaient très largement dispersés sur des kilomètres carrés. On retrouva aussi des morceaux de coques avec des planches reclouées à la hâte. Sans hésitation, le typhon sauva le destin de la nation nippone.

fouilles archéologiques baie imari

Mais d’autres raisons peuvent expliquer l’échec de l’entreprise de Kubilaï Khan. L’immense empire des Yuan (nom donné à la dynastie mongole en Chine) était faible sur ses frontières. C’étaient des cavaliers de la steppe et l’eau n’était pas leur élément. Ils durent s’en remettre entièrement à l’expertise des peuples nouvellement conquis qui n’avaient pas forcément envie d’aider leurs nouveaux maîtres. Cette dernière hypothèse est celle qui a le plus de poids, car les troupes chinoises et mongoles du Sud qui s’étaient combattues peu de temps auparavant, étaient aguerries à la guerre et auraient pu faire nettement mieux, mais elles n’avaient aucune confiance l’une envers l’autre.

Le point de vue japonais est bien entendu très différent. Le succès de la défense en revient avant tout aux samouraïs et à leur bravoure. Il est indéniable qu’à tout moment ils étaient fortement en infériorité numérique. Et pourtant, ils réussirent à résister. Le mur d’Hakata fut une dépense judicieuse pour la sauvegarde du pays. La réactivité des provinces intérieures est l’autre explication avancée par les Japonais. En effet, la nouvelle de la victoire mit une semaine à arriver à Kamakura. À ce moment-là, le bakufu pensait que Kyushu était tombée. Le neveu de Hojo Tokimune était en train d’installer une seconde ligne de défense dans la province d’Harima, ce qui montre que tout le pays était mobilisé sous les ordres du Shogun.

Mais la conséquence la plus visible encore aujourd’hui et à travers toute l’histoire du Japon (notamment l’épisode de la 2nde guerre mondiale) fut la croyance renforcée dans les kamis protecteurs de l’archipel. L’empereur lui-même remercia les esprits et un simple sujet de Sa Majesté laissa ces notes historiques :

« Les yeux du Divin sont clairs comme le cristal. Que pourrait-il être plus heureux que cela dans le monde ? Car ceci n’est pas un phénomène courant. Bien que nous vivons dans des âges de ténèbres, ceci est néanmoins incroyablement inspirant. Et désormais nous devons nous dévouer à l’adoration des dieux et des bouddhas ».

Mais le plus curieux dans cette histoire fut le sort du bakufu de Kamakura. Lors de l’invasion, le pays était dans une bataille continue entre les supporters de l’empereur et ceux du shogun Hojo Tokimune. La popularité du régent fut immense après les événements, mais il mourut prématurément 3 ans plus tard. Aussitôt le pays se divisa de plus en plus, car les régions qui résistèrent aux Mongols étaient les moins soumises au pouvoir du shogun. C’étaient donc la preuve que sans le shogunat, on pouvait tout de même battre une grande armée. Cette idée fit rapidement son chemin et en 1333 les samouraïs qui voulaient le retour de l’empereur (Go Daigo) au pouvoir rasèrent la ville de Kamakura. Les derniers membres du clan Hojo firent un acte de seppuku massif devant une cave bouddhiste, devant un temple qui s’appelait ironiquement « le temple de la victoire ».

Une autre page venait de commencer, mais ça, c’est une autre histoire.

 

Note de Michel Duchaine:L’histoire est un continuel apprentissage de la Vie,même devant la plus horrible des  morts!

 

 

 

 

 

 

 

 

La Troisième Guerre Mondiale en formation:Jusqu’où iront les alliés de l’OTAN pour mener leur guerre perdue en Ukraine ?

Lorsque les forces ukrainiennes et de l’OTAN auront perdu leur guerre dans l’est de l’Ukraine d’ici Noël, qu’adviendra-t-il de la croupe de l’ouest de l’Ukraine ?
L’avertissement russe, lancé vendredi dernier au Conseil de sécurité par le président Vladimir Poutine, est que l’armée russe défendra l’ouest de l’Ukraine, connue sous le nom de Galice, contre toute tentative d’intervention des forces polonaises dans le cadre d’une formule de « maintien de la paix » de l’OTAN ou d’un accord bilatéral. accord de défense entre le régime de Kiev et Varsovie pour placer la Galice sous la protection de l’article 5 de l’OTAN.

 

 

L’avertissement de Poutine était concret, explicite, géographiquement limité. Il s’appliquait aux frontières occidentales actuelles de l’Ukraine, à la frontière orientale de la Pologne et à la frontière polono-biélorusse.  » Je voudrais aussi vous rappeler à quoi a abouti la politique agressive de la Pologne. Cela a conduit à la tragédie nationale de 1939, lorsque les alliés occidentaux de la Pologne l’ont jetée au loup allemand, la machine militaire allemande. La Pologne a en fait perdu son indépendance et son statut d’État, qui n’ont été restaurés que grâce en grande partie à l’Union soviétique. C’est aussi grâce à l’Union soviétique et grâce à la position de Staline que la Pologne a acquis un territoire important à l’ouest, territoire allemand. C’est un fait que les terres occidentales de la Pologne sont un cadeau de Staline. Nos amis de Varsovie l’ont-ils oublié ? Nous leur rappellerons. »

Les « amis de Varsovie » n’étaient pas le seul public visé par Poutine. Son avertissement s’adresse également aux amis de Berlin, aux amis baltes, aux amis de Paris, de Bruxelles et de Budapest et, bien sûr, aux amis de Washington. En décembre 2021, ils se sont vu proposer les conditions de sécurité mutuelle et de non-agression en Europe dans des traités pour les États-Unis et l’OTAN déposés par le ministère russe des Affaires étrangères . Ils ont été écartés lors de négociations diplomatiques qui ont duré moins d’un mois .

À Noël de cette année, comme Poutine vient de le souligner, l’armée ukrainienne et les forces de l’OTAN auront épuisé leurs capacités pour continuer le combat. « Le monde entier voit que le matériel militaire occidental tant vanté, soi-disant invulnérable, est en feu« , a-t-il ajouté. Ce qui peut arriver ensuite est « un jeu extrêmement dangereux, et les auteurs de tels plans devraient réfléchir aux conséquences« .

Ceci est un avertissement que si les Polonais se déplacent vers l’est, les Allemands seront également motivés à se déplacer vers l’est, afin de récupérer les territoires prussiens que l’Allemagne a perdus lors de sa défaite et de sa capitulation à la fin de la Seconde Guerre mondiale. La Hongrie sera également motivée à modifier sa frontière nord-est afin de sauver la population ethnique hongroise de Transcarpatie dans le sud-ouest de l’Ukraine.

En bref, Poutine annonçait que « le cadeau de Staline », comme il l’appelait, était la stabilité du règlement territorial après 1945. Aujourd’hui, en faisant échouer la tentative de l’OTAN de détruire les Russes à l’est de Kiev, les Russes avertissent à nouveau que si l’OTAN tente de modifier ses lignes de défense à l’ouest de Kiev, l’armée russe dictera un règlement territorial entièrement nouveau dans lequel l’OTAN sera un élément encore plus perdant en capacité militaire et en extension territoriale que les traités de non-agression proposés le 17 décembre 2021.

Pour visualiser la géographie dans la discussion, voici une carte du règlement territorial après la Seconde Guerre mondiale entre l’Allemagne et la Pologne.

Source: https://en.wikipedia.org/wiki/

Voici une analyse russe récemment publiée sur la manière dont l’avertissement de Poutine doit être interprété, à la fois historiquement et stratégiquement, entre le Dniepr et les lignes Oder-Niesse.

“The Revival of Russian identity and Polonization: Russia agree by Albert Akopyan -- source: https://eadaily.com

  

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Dmitry Peskov : la Russie ne cherchait à contrôler aucun territoire de l’Ukraine, à l’exception de ceux qui font déjà partie de la Russie

 C’est la première déclaration claire à partir de laquelle on conclura que la Russie ne cherche pas à libérer tant de villes historiquement et culturellement  russes comme Odessa, Kharkov, Nikolaev, Dniepr en les incorporant à la Russie.

Cette déclaration de Peskov aura d’énormes implications politiques. Tout d’abord, l’attitude envers la Russie dans ces villes va changer. Quel est l’intérêt d’Odessa et de Kharkov de soutenir la Russie si Odessa et Kharkov ne sont définitivement pas en Russie ?

 

De plus, cela peut conduire à des changements dramatiques dans la position politique de la partie patriotique active de la société russe et l’amener à s’opposer à la direction politique. Après tout, ils se battent activement non pas pour Kherson ou Kramatorsk, mais pour Novorossiya. 1

Mais cela sera perçu très positivement dans le monde comme la préparation de la Russie à des pourparlers de paix dans un avenir proche à partir d’une « position réaliste ».

Note

1. Gouvernorat de Novorossiya en 1800 au sein de l’ Empire russe . Sa ville centrale était Ekaterinoslav ( Dnipro moderne ), qui a été brièvement rebaptisée « Novorossiysk » sous le règne de Paul I

 

 

De nombreux chars occidentaux gisent détruits sur le front ,face aux troupes russes.

 

 

 

 

 

 

 

Film important du mois:the sound of Freedom…intégral

Ce film va problement  faire réveiller beaucoup de gens sur le problème mondial du traffic d’enfants sur la base d’un réseau  de pédophiles mondial de l’élite.

Je me permets de vous  le présenterr sur notre site.

D’une part,vous noterez la publicité affreuse d’un site  de jeux en ligne qui cherche = faire du fric sur le dos de ce film…négligez les ,s’il-vous-plait!

 

 

 

 

 

A prévoir Bientôt : pannes climatiques, rationnement de la climatisation et chambres froides pour les pauvres

 

D’abord et avant tout…lisez ce court  extrait:

World Economic Forum écoutez ce que dit un des intervenants ! Il admet ouvertement que le CBDC renforcera le contrôle du gouvernement. « Nous pouvons programmer la monnaie pour déterminer ce qui peut être acheté et ce qui ne peut pas l’être. Ces psychopathes nous disent littéralement ce qu’ils préparent. S’il n’avait pas tenu ces propos en public et si cela n’avait pas été filmé, on aurait crié à de la théorie du complot ! C’est une question de contrôle, cela nous réduira en esclavage, nous et nos enfants, pour toujours. C’est l’heure de se réveiller massivement !!!

Le Soleil photographié en 2010 par la sonde SDO (Solar Dynamics Observatory).

La perte mondiale d’énergie fiable et abordable à partir de combustibles fossiles menace la souveraineté nationale, l’indépendance énergétique et la stabilité des sociétés du monde entier . Pire encore, la guerre contre les combustibles fossiles frappe le plus durement les pauvres et les personnes âgées. Avec le rationnement de l’énergie et les coûts de transport, de chauffage et de refroidissement qui deviennent incontrôlables, les pauvres doivent choisir entre leurs besoins les plus élémentaires. Les personnes qui travaillent le plus dur pour joindre les deux bouts seront obligées de souffrir inutilement tandis que l’élite mondiale prétend sauver toutes nos vies du « changement climatique », rapporte Lance D Johnson .

Des centres de rationnement et de réfrigération AC arrivent dans une ville près de chez vous

 

 

Vue rapprochée d’une boucle spectaculaire de «pluie» de plasma solaire sur le soleil vue par le vaisseau spatial Solar Dynamics Observatory de la NASA le 19 juillet 2012. La NASA a diffusé une vidéo de ce spectacle extraordinaire le 20 février 2013.

Maintenant, la machine de propagande de l’élite sur le changement climatique appelle à des pannes d’électricité inspirées par le climat, au rationnement de la climatisation et au placement des pauvres dans des « centres froids ». Le LA Times a publié des entretiens avec des experts du climat qui ont suggéré d’éteindre les climatiseurs à la maison pendant les vagues de chaleur. Selon ces experts, les gouvernements « devraient investir dans un réseau plus large d’entrepôts frigorifiques, avec des moyens de transport pour aider les gens à s’y rendre ». L’auteur de l’article s’interroge : « Qu’est-ce qui est le plus important : garder les lumières allumées 24 heures sur 24, 365 jours par an ou résoudre la crise climatique ? Les pannes climatiques planifiées arrivent bientôt dans les villes.

Environ 500 000 foyers et entreprises de Californie ont perdu de l’électricité en août 2020, lorsque l’État a connu une pénurie d’électricité pendant une vague de chaleur estivale. La première fois, les habitants ont perdu le courant pendant 15 minutes ; puis ils ont perdu de l’électricité pendant 2,5 heures un vendredi soir. Les fermes solaires dont ils dépendent ne pouvaient pas répondre à la demande de climatisation et de véhicules électriques alors que le soleil se couchait et que la production d’électricité était réduite. 321 000 autres résidents californiens ont perdu l’électricité pendant plus de 90 minutes ce week-end. Les pannes continues ont suscité un débat plus large sur la nécessité de planifier de futures pannes alors que l’État succombait à une crise énergétique de sa propre initiative.

Pour empêcher un soulèvement en 2020, le gouvernement rappelé dirigé par Gavin Newsom a suspendu la réglementation sur la qualité de l’air pour permettre aux résidents d’utiliser des générateurs de gaz pour alimenter leurs maisons Ces commandes se sont poursuivies l’année suivante pour se préparer à d’autres urgences du réseau électrique. Il est ironique que dans la volonté d’éliminer progressivement les combustibles fossiles, les usines à gaz soient devenues encore plus importantes en Californie. Les centrales électriques au gaz fournissent désormais 42 % de l’énergie de l’État. En conséquence, les Californiens se voient dire de baisser la climatisation en été, de conduire moins, de manger moins de viande et d’accepter que les pannes de courant sont un sacrifice nécessaire pour le « plus grand bien ».

Les experts du climat veulent que vous vous soumettiez aux pannes permanentes et aux programmes de « demande flexible »

Alors que les énergies fossiles sont freinées, les experts du climat parlent désormais de programmes de «demande flexible» qui obligent les consommateurs à consommer moins d’électricité pendant les périodes où la demande est la plus élevée. Les riches seront inévitablement en mesure d’acheter leur sortie du problème, laissant les pauvres dans une situation désespérée où ils n’ont ni autonomie ni voix au chapitre. L’idée d’accepter un réseau électrique moins fiable « est inconfortable pour beaucoup de gens car ils soulignent à juste titre que vous pouvez vous retrouver dans une situation où plus vous êtes riche, plus vous êtes en mesure d’acheter votre sortie de cette fiabilité problème, a déclaré Emily Grubert, ingénieur civil et sociologue de l’environnement à l’Université de Notre Dame.

La solution de Grubert est simple : lorsque les plus vulnérables de la société sont obligés d’éteindre leurs climatiseurs, le gouvernement devrait disposer d’un plus grand réseau de chambres froides, avec des transports en commun pour mettre les personnes vulnérables en sécurité. Les pannes d’électricité programmées et le rationnement de l’énergie sont l’avenir en Californie. Ce triste cauchemar dystopique ne fera qu’empirer et s’étendre si le récit hystérique du changement climatique est autorisé à dicter les futures politiques énergétiques nationales.

Un imposant glacier équatorial en train de fondre

 

En hommage à la Révolution Française:le film du bicentenaire de la Révolution Française en 1989

La Révolution française est une date clé de l’histoire de France. Pourquoi et par qui a-t-elle été déclenchée, comment la France a-t-elle tourné la page de la monarchie pour entrer dans la République ? Les réponses viennent ici!

La Révolution française couvre une période de dix ans qui s’étend de l’ouverture des États généraux le 5 mai 1789 au coup d’État du 18 Brumaire (9 novembre 1799) mené par Napoléon Bonaparte. Une décennie qui a vu la chute de la monarchie française, l’entrée en république et a profondément et durablement bouleversé la société française.

 

Quels événements ont déclenché la Révolution Française ?

Les évènements qui ont conduit à la Révolution française sont de nature diverse, à la fois sociale, économique et politique. L’Ancien Régime est en crise, la dette publique atteint des sommets et la société d’ordres est de plus en plus critiquée. Malgré la décision de Louis XVI de doubler le nombre des députés du Tiers État fin 1788, ces derniers demeurent minoritaires face à la noblesse et au clergé. La révolte gronde. « L’entrée en révolution se fait au printemps et dans l’été 1789 avec la transformation des Etats généraux en assemblée nationale le 17 juin et l’affirmation de la souveraineté nationale », explique Hervé Leuwers.

Avec le serment du Jeu de Paume le 20 juin, la nouvelle assemblée nationale s’engage à ne pas se séparer avant d’avoir rédigé la Constitution. « Le 9 juillet, les députés se déclarent Assemblée nationale constituante et la prise de la Bastille le 14 juillet, sauve la révolution d’un coup de force, alors que le roi menace de faire intervenir les troupes dans la capitale », détaille l’historien.

La chronologie de la Révolution française

 

Prise de la Bastille par le peuple

Guerre civile, Terreur, pays divisé, mais aussi abolition des privilèges et première constitution écrite de France, la Révolution française est une période riche et complexe. Après la prise de la Bastille le 14 juillet et la Déclaration de Droits de l’homme et du Citoyen du 4 août 1789, l’unité fait long feu et la confusion règne. Les droits seigneuriaux sont abolis par les députés, mais Louis XVI s’oppose avec virulence à cette mesure. Après l’interruption de sa fuite à Varennes, le roi perd la confiance du peuple. La monarchie constitutionnelle est un échec. Le roi use de son droit de veto pour empêcher le travail de l’Assemblée. Dans le contexte de la guerre contre les armées prussienne et autrichienne qui débute le 20 avril 1792, l’hostilité du peuple à l’encontre de Louis XVI grandit.

Le 10 août, la foule des sans-culottes envahit le palais des Tuileries. Louis XVI et sa famille sont alors emprisonnés. « Le pouvoir est alors détenu par la Convention nationale, l’Assemblée qui a été élue, après l’insurrection du 10 août, pour établir une nouvelle constitution. Le 21 septembre, lors de sa première séance officielle, elle déclare l’abolition de la royauté en France. C’est le début de la République », explique Hervé Leuwers. Le procès de l’ancien roi, désormais simple « Citoyen Capet », s’ouvre le 11 décembre 1792. Il est reconnu coupable de « conspiration contre la liberté publique et la sûreté générale de l’État » le 15 janvier 1793. Son exécution publique a lieu le 21 janvier.

Dans les semaines qui suivent, la décision de la Convention de lever 300 000 hommes pour renforcer les troupes provoque une révolte paysanne qui conduit à la guerre de Vendée. Dès le mois de mars, un tribunal révolutionnaire doit punir les contre-révolutionnaires, et le 6 avril, le Comité de défense générale devient le comité de salut public, dans lequel Robespierre va bientôt jouer un rôle majeur. Le 10 octobre 1793, la Convention décrète le gouvernement révolutionnaire jusqu’à la paix.

Maximilien Robespierre

 

Ce gouvernement va décider de différentes mesures destinées à lutter contre les ennemis à l’intérieur du pays (en Vendée, mais aussi à Lyon et Caen où les soulèvements s’intensifient contre la Convention) et les ennemis extérieurs incarnés par les autres monarchies européennes. On appellera cette période mouvementée « la Terreur ». Entre l’été 1793 et juillet 1794, près de 17 000 personnes furent officiellement condamnés à mort, mais on estime qu’il y eut en réalité plus de 30 000 exécutions.

Qui gouverne la France après la chute de Louis XVI ?

Dans l’attente d’une nouvelle constitution, le gouvernement est exercé par l’Assemblée, qui détient le pouvoir législatif, et par un « conseil exécutif provisoire » composé de six ministres. Le 1er avril 1794, ce conseil va être remplacé par douze commissions exécutives. « Le gouvernement révolutionnaire remplace le gouvernement décidé dans la constitution de 1793. Finalement, en 1795, les conventionnels vont juger cette constitution de 93 trop démocratique et la remplacer par la constitution de 1795. Elle donne naissance au Directoire », ajoute Hervé Leuwers. Le pouvoir passe donc entre les mains de cinq directeurs.

Le 18 brumaire an VIII (9 novembre 1799), Napoléon Bonaparte s’immisce lors d’une séance du Conseil des Cinq-Cent réunie à Saint-Cloud et prend le pouvoir à l’aide de son frère Lucien Bonaparte. Il bénéficie également de la complicité d’un des cinq directeurs, Emmanuel-Joseph Sieyès. Le lendemain, le Consulat naît.

Maintenant ,place aux films:

LES ÉPISODES 1,2 ET 3 de LA RÉVOLUTION FRANÇAISE DE 1989

 

 

 

 

 

 

 

 

 

La Gigantesque Arnaque du COVID 19:Vaccination antiCovid à répétition Une étude importante avec les IgG4 en vedette

C’est une information très importante : la vaccination antiCovid, surtout quand elle est répétée (rappels et boosters), suscite la production d’immunoglobulines G de type 4 (IgG4).

C’est bien démontrée.

Une revue de cette problématique est publiée en Mai 2023 dans la revue Vaccines dédiée en général à la célébration de la vaccination tout azimut.

Il est étonnant que ça ne soit pas censuré parce que c’est très important et confirme beaucoup de nos observations récentes.

Donc, ce n’est pas anodin.

Pourquoi ?

Explications.

1) Une grande partie de la «méchanceté» du virus est due à une protéine membranaire, la Protéine Spike (ou Protéine S). Elle est d’ailleurs la cible désignée des soignants (et des industriels) via des vaccins ou des anticorps monoclonaux, tous visant une activité anti-Protéine S ;

2) les vaccins antiCovid proposent de susciter la production d’anticorps anti-Protéine S en suscitant – paradoxe assez extraordinaire – la production de Protéine S par nos propres cellules. Dit autrement, on nous demande de sécréter le poison (la Protéine S) à l’origine de certaines complications (notamment cardiovasculaires) de l’infection ;

3) mais les vaccins antiCovid (surtout quand les injections sont répétées) suscitent chez certains (outre la production d’IgG1 anti-Protéine S) une production importante d’IgG4 – immunoglobulines G de type 4, dit simplement – qui induisent une tolérance inattendue à la Protéine S du virus Covi-19 [c’est le titre de l’article ci-dessus] et ainsi autoriserait des réinfections par le virus et évidemment des complications (notamment cardiovasculaires) provoquées par la Protéine S.

4) ces auteurs citent de nombreux travaux montrant que la surproduction d’IgG4 et la haute concentration d’antigènes (ici la Protéine S vaccinale) peuvent aussi engendrer des maladies autoimmunes (notamment des myocardites) et promouvoir la progression de certains cancers chez des sujets prédisposés (ci-dessous).

Je pense inutile de traduire ce paragraphe en français, il dit ce que j’ai dit au-dessus.

Nous avons maintenant sous les yeux le mécanisme physiopathologique qui explique de nombreuses questions sans réponse.

Ce qui nous amène au 5ème point.

5) ces complications (myocardites et progression rapide de cancers, notamment, et aussi d’autres) ont été réellement décrites après vaccination antiCovid mais sont systématiquement minimisées par les industriels, les autorités sanitaires et les soignants qui (non alertés) ne les déclarent pas.

6) au-delà du doute, il est clair que le rapport bénéfice/risque de la vaccination antiCovid n’est pas favorable ! Ces vaccins n’empêchent pas la transmission du virus et ne diminuent pas la fréquence des cas graves, c’est désormais une certitude !

7) combien de temps faudra-t-il aux experts connivents (de l’industrie), aux autorités sanitaires et aux gouvernants pour admettre ces évidences ?

 


EN COMPLÉMENTAIRE

La championne de ju-jitsu Sandra Badie est morte à l’âge de 31 ans…COÏNCIDENCE ?

Stupeur et tristesse ce vendredi après l’annonce de la disparition de Sandra Badie, multi-médaillée nationale et mondiale en ju-jitsu, licenciée au club de Soumoulou (Pyrénées-Atlantiques). La fédération indique qu’elle a fait un arrêt cardiaque. Elle avait 31 ans.

Encore une victime du réchauffement climatique, encore une sportive de haut niveau, multi-médaillée, qui décède d’un arrêt cardiaque. Décidément, bientôt les médecins vont proscrire le sport car trop dangereux pour le muscle cardiaque. La cause de ce décès est connue de tous mais il ne faut pas le dire, il faut le cacher comme pour beaucoup d’autres victimes des effets indésirables de l’ARN messager (Jamie Foxx…). Puisse-t-elle reposer en paix.

Le club de judo de Soumoulou pleure ce vendredi une de ses plus éminentes représentantes.

Sandra Badie, 31 ans, multi-médaillée nationale et mondiale de ju-jitsu est morte. L’annonce, douloureuse, a été faite ce vendredi matin via les réseaux sociaux de ses proches et du club de Soumoulou (Pyrénées-Atlantiques) où elle était licenciée. Dans un autre message, la fédération française explique qu’elle a fait un arrêt cardiaque dans la nuit. La championne béarnaise préparait les prochains championnats du monde de la discipline qui devaient se tenir à la mi-juillet.


DEUXIÈME COMPLÉMENTAIRE

 

Ivermectine : On continue de persécuter ceux qui guérissent

Encore mi 2023, les autorités continuent dans la ligne du président : emmerder les français. Toutes les semaines je reçois des demandes d’aide pour des dossiers de poursuites de médecins ayant prescrit de l’ivermectine. Toute la France est touchée, certainement en raison de consignes nationales. Le dernier, cette semaine, un médecin avec plainte du Conseil de l’Ordre, pour 18 prescriptions de janvier 2021 à février 2022. La belle affaire ! 18 prescriptions hors AMM sans danger en 14 mois, alors que l’Ordre reconnaît lui-même que 20% de toutes les prescriptions sont hors AMM. Au pays de l’Égalité, il semble que la discrimination et l’inégalité soient de règle. En effet, selon les départements où vous exercez, les Caisses ou les ARS poursuivent ou pas, les Ordres donnent suite ou pas.

Si le premier rôle du médecin est de soigner, si possible de guérir, dans toutes les plaintes, les poursuites sont pour avoir soigné, mais surtout jamais, jamais le résultat n’est évoqué. Dans aucun dossier il n’est évoqué un quelconque incident ou accident. On n’est pas dans le contrôle médical, mais dans le contrôle politique. On ne peut même pas dire que ce sont des rappels à la loi, car il n’existe aucun texte interdisant de prescrire de l’ivermectine dans le cadre du covid. Juste pour emm…

 

Certains confrères sont perdus et se débrouillent mal, avec des avocats mal placés pour connaître le dossier. Alors pour tous et ne pas avoir à intervenir trop tard, voici un dossier type, avec toutes les pièces utiles à la défense. Des faits, rien que des faits, indiscutables, vérifiables. Et pour ceux qui ne sont pas concernés, cela fait un petit rappel d’une vérité que l’on veut enterrer. Également utile pour l’éducation des septiques.

Il faut toujours argumenter en ne s’intéressant qu’aux textes législatifs

Le magistrat qui préside les instances disciplinaires reviendra toujours à ces textes : sont-ils respectés ou non, il n’y a que cela qui compte. Le devoir, l’éthique et le Serment d’Hippocrate ne sont pas des lois. Je signale au passage que le Code de Déontologie n’existe plus, c’est une copie du Code de la Santé publique recopié, et à la discrétion des fonctionnaires qui publient ces textes, pas de l’Ordre. Ses propositions peuvent être refusées, tout comme ils peuvent sortir des textes qui ne plaisent pas à l’Ordre. J’ai connu cela en matière de retraite, toutes les décisions de nos Conseils d’Administration sont sans objet si non validées par ces fonctionnaires, qui ont plus de pouvoir que les élus, et ils peuvent sortir tous les textes qu’ils veulent sans notre avis. Et quand vous voyez un décret avec mentionné «vu l’avis de tel organisme», l’avis négatif n’est jamais mentionné.

DOSSIER DE DÉFENSE TYPE À PERSONNALISER

La CPAM et le CDOM poursuivent le Dr X pour manquement aux articles R 4127-8, 12, 32 et 40 du Code de déontologie, alors que la CPAM et le CDOM ne respectent pas eux-mêmes les fondamentaux de ce code, notamment en ce qui concernent l’article 8. Quant au «risque injustifié», manifestement la CPAM et le CDOM ne connaissent pas le dossier, il serait souhaitable qu’ils apportent avant la preuve de ce qu’ils avancent.

Article 8 :

En ce qui concerne l’Article 8, il établit clairement la liberté de prescription, base de l’attaque de la CPAM et du CDOM. «Le médecin est libre de ses prescriptions qui seront celles qu’il estime les plus appropriées en la circonstance». Ces prescriptions relèvent du choix et de la responsabilité du médecin. Certes il y a des règles, qui ici sont parfaitement respectées : la présomption d’efficacité, sur nombre d’études, et l’absence de risques.

La CPAM et le CDOM disent «il ne faut pas traiter, c’est illégal», pourtant, même l’ANSM a dit à plusieurs reprises «vous pouvez traiter» : pièce 1, dans son mémoire pour le Conseil d’État, page 6, et pièce 2, dans une réponse à un avocat qui demandait où en était le dossier d’AMM. Non seulement l’ANSM a insisté sur cette possibilité de prescrire, mais elle a même souligné ce point dans son mémoire, pour insister. Le Dr X doit-il être condamné pour avoir suivi l’ANSM ?

Cet article 8 précise bien que le praticien a le libre choix de ce qu’il estime le plus approprié. Il ne peut être condamné pour cela, d’autant plus qu’aucun texte n’interdit cette prescription. 

En ce qui concerne les prescriptions hors AMM signalons que 20% des prescriptions sont hors AMM (pièce 3), et nous demandons à l’accusation si elle traite tous les médecins de la même manière, pourquoi cette prescription et pas les autres, en application de quel texte, et quelle est la raison qui vaut au Dr X un traitement particulier et discriminatoire, d’autant plus que cette molécule a une présomption d’efficacité supérieure aux autres traitement dans cette affection, avec moins de risques, et que l’ANSM écrit que le Dr X peut effectuer cette prescription hors AMM dans cette indication.

Article 12 :

En ce qui concerne l’Article 12 cité, «Le médecin doit apporter son concours à l’action entreprise par les autorités compétentes», il serait bon de préciser les reproches. En quoi le Dr X aurait entravé l’action du gouvernement ? Le gouvernement n’a proposé aucun traitement, le doliprane n’en est pas un, le vaccin, c’est autre chose, c’est du préventif, pour empêcher une infection, mais ce n’est pas un traitement curatif lorsqu’on attrape cette infection. L’un n’empêche pas l’autre et les patients atteints de covid, vaccinés ou non, ont droit à un traitement, aucun texte n’interdit à ce jour de traiter. Et si la délivrance de l’hydroxychloroquine a été suspendue quelques mois, cela n’a pas été le cas pour l’ivermectine.

Article 32 :

En ce qui concerne les données de la science des articles 8 et 32, il y a actuellement 98 publications concernant l’ivermectine, toutes consultables sur https://c19ivm.org. 90% de ces publications montrent une présomption d’efficacité, les 10% restants font de même, mais déclarés «statistiquement non significatif», en raison de sous-dosages et surtout de traitements trop tardifs, en traitement hospitalier, ce qui n’est pas l’indication. Aucune d’entre elles ne montre une absence totale de résultat, aucune ne signale un quelconque effet indésirable. On peut discuter et contester le niveau du résultat, mais on ne peut contester une présomption d’efficacité sur tant d’études émanant de plusieurs centaines de chercheurs de pays différents.

En France, il y a 7 publications, toutes indiscutables et favorables à l’ivermectine. Il s’agit des résultats de traitements en ehpad des Drs Charlotte Bernigaud (pièce 4) et Pierre Loué (pièce 5), la méta analyse du Pr Pierre-Jean Guillausseau  de la Sorbonne (pièce 6), une étude de l’Institut Pasteur sur le hamster doré pilotée par le Professeur Jean-Pierre Changeux, membre de l’Académie des Sciences et du Collège de France (pièce 7), deux études du laboratoire MedinCell de Montpellier (pièce 8 et 9) , l’une montrant l’innocuité en traitement prolongé, l’autre, Essai Contrôlé Randomisé, montrant l’efficacité en prophylaxie, et enfin le plus gros travail au monde sur l’innocuité de l’ivermectine du Pr Jacques Descotes de l’Université Claude Bernard à Lyon (pièce 10).

Pour juger de l’efficacité de l’ivermectine, sur les 98 études, voici le résumé de 4 des premières études significatives, les deux premières citées plus haut (Bernigaud et Loué), ainsi qu’une étude sur 3000 patients en République Dominicaine (pièce 11), et sur 1 200 soignants en Argentine (pièce 12).

Seine-et-Marne, février 2020, EHPAD à Fontainebleau

Trois cas de gale apparaissent dans un ehpad à Fontainebleau. La Docteur Bernigaud du CHU Henri Mondor de Créteil est appelée à la rescousse, car il y a obligation de traiter tout le monde, c’est la marche à suivre, sinon cela peut diffuser vite. Elle est sur un protocole avec un traitement à l’ivermectine, très efficace contre la gale. La covid n’est pas encore dans la maison, on essaye de prendre les mesures nécessaires, mais surtout on s’occupe de cette gale, pour éviter la contamination. Les 69 résidents et les 52 membres du personnel seront traités avec une prise d’ivermectine le 10 mars, et une seconde une semaine plus tard, le 17 mars 2020.

Malheureusement, les 3 premiers patients qui avaient la gale ont été transférés quelques jours à l’hôpital pour confirmer le diagnostic de parasitose, et l’un est revenu ayant été contaminé par le Sars-Cov-2 à l’hôpital, la maladie virale se déclare après quelques jours. Au total le virus va contaminer 6 autres résidents et 4 membres du personnel. Plus de 90% des personnes de la résidence, qui ont tous reçu de l’ivermectine, ne seront pas contaminés. Aucune des personnes touchées ne présentera de forme grave malgré des pensionnaires très âgés (âge moyen des résidents : 90 ans), et très fragiles avec nombre de pathologies associées (98,6% avaient au moins un facteur de risque), certains étant grabataires. Aucun n’aura été mis sous oxygène, il n’y aura aucune hospitalisation, aucun décès. Imaginez si cela avait été appliqué à tous les ehpads !

Le médecin de l’ehpad et le Dr Bernigaud se demandent si l’ivermectine n’a pas épargné l’EHPAD, car aux alentours la situation n’est en rien comparable. Non seulement il n’y a pas eu d’épidémie, mais il y a eu protection des formes graves. Le Dr Bernigaud fait alors une étude en comparant la situation de 45 EHPADs du département de la Seine-et-Marne. Elle recense 3062 résidents (âge médian 86,2 ans), dont 22,6% ont été contaminés, conduisant à 150 décès, soit 4,9%, contre 0% dans l’EHPAD de Fontainebleau. 

Hauts-de-Seine, début avril 2020, EHPAD de Fontenay-Aux–Roses

Cet EHPAD voit les ennuis arriver avec l’entrée du virus dans l’établissement et est en plein dedans en mars 2020. 25 des 68 résidents sont testés positifs (33,8%), ainsi que 10 membres du personnel sur 32 (31,2%). Le Docteur Pierre Loué y est un des médecins traitants, avec une dizaine de ses patients touchés. Le 3 avril, il tombe sur l’article de Caly et Druce, qui, en Australie, ont montré que l’ivermectine pouvait tuer les virus in vitro, avec division par 4000 de la quantité de virus en 48 heures au contact de l’ivermectine sur des cultures, et qu’il serait peut-être bon de savoir ce que cela pouvait donner chez l’homme.

Cet article fait bondir le Docteur Loué. 30 ans plus tôt, il a fait plusieurs campagnes en Afrique pour traiter l’onchocercose (ou cécité des rivières) avec… de l’ivermectine. Il connaît parfaitement ce produit, sait qu’il est totalement bénin, sans effets secondaires. Il en sait d’autant plus quelque chose que, rentré en France, il avait attrapé la maladie et pris de l’ivermectine, contre l’avis des pontes hospitaliers parisiens qui, ne connaissant pas le produit, lui ont dit qu’il prenait des risques. Il l’a pris, il a guéri. Sans séquelles.

Il a donc traité ses patients, avec toutes les précautions d’usage en ce qui concerne l’information et le consentement éclairé. Ses autres confrères n’ont pas voulu le suivre. Au total, 10 patients contaminés ont été traités à l’ivermectine (moyenne d’âge 83,2 ans), 15 patients gérés par d’autres médecins n’ont pas reçu d’ivermectine (moyenne d’âge 81,8 ans). 

Résultats : 1 mort dans le groupe traité (ce patient, un des premiers touchés, a été traité au 18ème jour, soit beaucoup trop tard, la maladie étant trop bien installée), et 5 décès sur 15 chez les non traités (soit 33%).

Trouvant cela intéressant, il a fait une comparaison avec la mortalité normale dans les ehpads, qui peut toucher tous les pensionnaires, traités ou non, l’espérance de vie en ehpad étant en moyenne de 3 ans et demi. Sur la durée de l’étude, 2 des 43 résidents négatifs sont décédés (soit 4,6%), contre 6 chez les positifs (soit 24%). Ces chiffres correspondent aux chiffres INSEE de l’époque. S’il a fallu un an pour que cette étude soit publiée dans Infectious Diseases and Epidemiology, les résultats avaient été communiqués au président du Conseil scientifique et à la cellule de l’Inserm chargée du covid.

Ces résultats, quasiment du 100%, tant en prophylaxie qu’en thérapeutique, sont indiscutables. Ils sont vérifiables, dossier par dossier : le diagnostic, le traitement, le suivi. Ils n’ont jamais été discutés, jamais mis en doute. 

Deux autres études indiscutables

République Dominicaine, avril-mai 2020 :

Autre étude, en thérapeutique. La République Dominicaine traitait depuis le début les patients à l’hydroxychloroquine. Il se trouve qu’à la troisième semaine d’avril 2020, ils ont eu un problème de rupture de stock, ne pouvant plus se procurer de produit. Les médecins qui traitaient avaient entendu parler de l’ivermectine comme traitement potentiel, ayant également lu l’étude australienne in vitro. Leur comité d’éthique s’est donc penché sur le problème : paracétamol ou ivermectine ? Ils ont tranché en faveur de l’ivermectine.

Ces traitements ont eu lieu dans les hôpitaux de Bournigal et de Punta Cana, portant sur plus de 3000 patients traités entre le 1er mai et le 10 août 2020. Il ne s’agissait pas de patients testés positifs sans ou avec symptômes comme on le voit dans certaines études, mais de vrais malades se présentant aux urgences pour symptômes Covid. 3099 patients au total, qui seront selon l’importance des troubles, distingués en 4 groupes.

Le groupe 1, concernait 2706 patients. Moins touchés, ils ont été renvoyés et suivis chez eux, avec ivermectine et azithromycine. La moyenne entre l’apparition des premiers troubles et le traitement était de 3,6 jours. Sur ces 2706 patients traités précocement et à domicile, 16 seulement ont dû par la suite être hospitalisés, soit 0,6%, et 2 sont passés en soins intensifs. Il n’y a eu qu’un seul décès, soit 0,04%. À la même époque en France, 15% des patients symptomatiques étaient hospitalisés, et la mortalité était de 2%.

Le groupe 2 était composé de 300 patients qui ont été hospitalisés dans des unités Covid. Il s’agissait de patients traités plus tardivement avec troubles installés et plus sévères : la moyenne entre l’apparition des troubles et le traitement était de 6,9 jours. Le traitement a consisté en ivermectine et azithromycine. Sur ces patients, 3 sont décédés, soit 1%. Chez nous, ce chiffre était de l’ordre de 15 à 20% dans cette catégorie de patients.

Les groupes 3 et 4, étaient encore plus touchés, arrivés plus tardivement, 7,8 jours après premiers symptômes. Ils ont été directement hospitalisés en soins intensifs. Bien que l’ivermectine ne concerne en principe que les cas précoces et non les complications graves, le traitement a été fait avec ivermectine + corticoïdes + Tocilizumab. 111 patients suivis, 34 décès, soit 30%, soit comme chez nous voire légèrement en dessous. Normal, il ne s’agissait plus de traiter l’infection, mais les complications sévères de l’infection. L’indication de l’ivermectine, c’est au début et non pour traiter les complications tardives, ce que confirment ces résultats.

Cela reste encore une des plus grosses études à ce jour, démontrant qu’au stade précoce l‘association ivermectine/azithromycine évite l’hospitalisation dans l’immense majorité des cas, 0,6% au lieu de 10%. Chez les cas plus tardifs devant être hospitalisés la mortalité est divisée par 10, par contre en traitement très tardif, en réanimation, il n’y a pas de différence. 

Où en est la République dominicaine en 2023 ? On dénombre depuis le début de l’épidémie, 6 fois moins de morts par habitant qu’en France. Si on veut comparer à conditions égales, on peut comparer avec l’ensemble des îles des Antilles. La République dominicaine est l’île qui en a le moins, avec 5 fois moins de décès que la moyenne des îles de la région.

Argentine, juin 2020 :

Le Docteur Hector Carvallo est à l’origine d’une première et surtout grosse étude concernant l’Ivermectine en prophylaxie, étude à ce jour jamais critiquée… mais occultée. Faite en Argentine du 1er juin au 10 août 2020, cette étude a mis sous ivermectine des soignants, population à risques en contact quotidien avec des malades covid. 1195 soignants volontaires, dans 4 hôpitaux différents qui ne communiquaient pas entre eux, ont participé à cette étude. 788 soignants ont reçu de l’ivermectine en protection, 407 n’en ont pas reçu. Un bilan a été fait après 2 mois et demi. On a constaté 237 infections vérifiées par tests dans le groupe non traité, soit 58%, et … aucune infection dans le groupe traité, soit 100% d’efficacité.

OMS et ANSM

Pour terminer avec ces preuves, allez voir le dossier sur les traitements du covid de l’OMS. Ils ont fait leur propre sélection des études les plus fiables concernant l’ivermectine, et trouvent une réduction de 80% de la mortalité (pièce 13). Cette guideline est disponible1, le tableau de la pièce 13 est page 17.

Quant à la position de refus de l’ANSM sur une éventuelle RTU, elle est politique et non médicale, elle ne s’impose à personne. En effet, elle n’a pu justifier sa position, prise en toute illégalité, sans aucune transparence, alors que la loi l’y oblige. Suite au scandale du Médiator, l’Article 1 de la Loi (pièce 14), qui a mis en place l’ANSM, impose l’enregistrement et la mise à disposition du public des réunions conduisant à ces décisions, afin de connaître les arguments qui ont conduit à ces décisions. Lorsqu’on lui a demandé ces documents, elle a répondu (pièce 15) qu’ils n’existaient pas et qu’il n’y a pas eu de réunion concernant une RTU ou non, la décision ayant été prise en interne, on ne sait par qui, sur quels arguments, ni même si un médecin y a participé !

Concernant le discours édifiant et non scientifique de l’ANSM, prenons l’exemple de l’action prophylactique de l’ivermectine. Elle écrit noir sur blanc que l’ivermectine n’a aucune action en prophylaxie dans le covid, encore récemment dans un communiqué. Elle ne cite aucune étude pour étayer son affirmation. Et pour cause, il y a 18 études et publications dans le monde en prophylaxie, pas une de plus, pas une de moins (pièce 16). Elles sont toutes extrêmement favorables, la dernière étant l’étude clinique SAIVE de MedinCell !

Article 40 :

En ce qui concerne l’Article 40 évoqué, la CPAM et le CDOM ignorent totalement ce qu’est l’ivermectine pour évoquer une quelconque dangerosité ! Il suffit de consulter le travail du Pr Jacques Descotes cité plus haut, ou les fiches de pharmacovigilance. En Janvier 21 (pièce 17), aucun incident signalé, en août 21 (pièce 18), 2 incidents, mais en association avec le tocilizumab, médicament le plus mortel de tous ceux étudiés ! Les médecins ayant prescrit le tocilizumab sont-ils poursuivis ? Le laboratoire Merck avait en 2002 fait une étude avec 10 fois la dose d’ivermectine (pièce 19), sans rencontrer un seul problème de toxicité.

Médicaments approuvés et éprouvés

Le Dr X avait deux alternatives : Doliprane ou Ivermectine. Entre le Doliprane, sans aucune étude (articles 8 et 32 !), sans aucun effet sur le covid et pour lequel la base de pharmacovigilance de l’OMS (Vigibase) a comptabilisé en 35 ans et à ce jour 194 611 évènements indésirables et 4039 décès, et l’ivermectine, avec tous les articles cités et 7152 évènements indésirables et 26 décès en 35 ans, comment peut-on reprocher au Dr X d’avoir fait ce choix ? La CPAM et le CDOM ne doivent pas confondre médicament approuvé et médicament éprouvé. L’ivermectine n’est pas approuvée, mais elle est éprouvée, c’est ce qui doit compter pour le médecin.

Azithromycine

Pour terminer avec l’azithromycine, toutes les études les plus favorables concernant l’efficacité de l’ivermectine le sont avec l’association avec l’azithromycine, et les moins favorables le sont avec ivermectine seule. Cette association est donc basée sur la littérature, favorable au patient. Signalons surtout que l’azithromycine est le traitement de choix des pneumopathies atypiques, que les patients qui meurent du covid meurent de leur pneumopathie. En 1918, lors de la grippe espagnole, il a été clairement établi que les millions de morts de l’épidémie n’étaient pas dus au virus, mais à des surinfections, faute d’antibiotiques (pièce 20). Les chercheurs qui ont étudié la grippe espagnole proposent l’antibiothérapie en prévention et en curatif. Ne négligeons pas non plus l’effet immuno modulateur de l’azithromycine, connu avant le covid, pouvant donc avoir un effet sur le choc cytokinique. (pièce 21) : «L’azithromycine est un médicament immunomodulateur dont les effets antiviraux ont été démontrés et qui pourrait être bénéfique pour les patients atteints de COVID-19. De multiples effets immunomodulateurs ont été définis pour l’azithromycine, qui pourraient être efficaces aux derniers stades de la maladie, notamment l’inhibition de la production de cytokines pro-inflammatoires, l’inhibition de l’afflux de neutrophiles, l’induction de fonctions régulatrices des macrophages et des altérations de l’autophagie». Sa prescription est donc parfaitement documentée et justifiée, si tant est qu’aucun texte ne l’interdit non plus, et que le médecin est libre de son choix, article 8 du Code de la Santé Publique.

Pour terminer, j’ajouterai que, dans deux dossiers de signalements à l’Ordre, des médecins de CPAM ou d’ARS, parlaient de «médicament potentiellement mortel». J’ai signalé aux confrères mis en cause que, personnellement, je porterais plainte pour dénonciation calomnieuse et diffamation. Les médecins CPAM/ARS, ne pouvant apporter la preuve de ce qu’ils avancent, devraient être condamnés. Enfin pour ceux qui n’ont pas d’avocat, Me Jean Charles Teissedre de Montpellier, frère d’armes m’ayant entraîné devant le Conseil d’État pour la RTU, est celui qui connaît le mieux le dossier.

source : Covid factuel


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Guerre Russie-Ukraine:Mise à jour sommaire du front ukrainien ce 15 juin 2023

La ligne de front est stable. Les Ukrainiens sont repoussés. Les tactiques de vague d’assaut utilisées par l’AFU sont remarquables, notamment :

  • préparation d’artillerie,
  • avance de plusieurs groupes blindés (7-8 véhicules plus infanterie),
  • tentatives d’approche des positions russes et de dégagement des tranchées à l’exploitation, pour préparer le terrain pour l’approche des forces principales qui sont censées avancer profondément dans les défenses russes

En pratique, l’artillerie russe détruit les objets blindés ennemis dès qu’ils tombent à sa portée. Si le groupe d’assaut parvient à atteindre les bastions russes, l’infanterie russe intransigeante entre dans la bataille. Sinon, l’armure intacte restante des Ukrainiens se retire, fait le plein de munitions, fait le plein et retourne au combat.

Ces vagues d’assaut durent de trente minutes à plusieurs heures. L’offensive dure depuis six jours et la ligne de front est stable.

Les Ukrainiens avancent en colonnes et de manière répétitive le long des mêmes itinéraires, car en plus des frappes impitoyables de l’artillerie et de l’aviation russes, toutes les approches sont fortement protégées par des champs de mines, dont les Ukrainiens ont à juste titre peur.

Il convient également de noter le mépris absolu des commandants ukrainiens pour les pertes humaines dans leurs détachements d’assaut.

La défense russe, avec son système complet de tirs et de zones de destruction construit par les commandants russes, ne laisse aucune chance à l’ennemi.

Ajoutez à cela la patience du soldat russe. La capacité d’endurer et de rester à leurs positions jusqu’à la fin. Celui qui ne craint pas pour sa propre vie prend celle des autres.

#Source (russe)

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La Maison Blanche fait face aux lourdes pertes ukrainiennes

Des images fournies par le ministère russe de la Défense montrent une frappe contre les forces ukrainiennes lors d’un affrontement dimanche dans le sud de la République populaire de Donetsk. © Ministère russe de la Défense

L’administration du président Joe Biden a admis que les unités militaires ukrainiennes pourraient subir de lourdes pertes de troupes et d’armes fournies par les États-Unis alors qu’elles intensifient leurs attaques contre les forces russes dans la région du Donbass.

S’exprimant dans une interview à CNN jeudi soir, le porte-parole du Conseil de sécurité nationale de la Maison Blanche, John Kirby, a déclaré qu’il était réticent à discuter des détails sur les victimes au milieu de combats de plus en plus féroces près d’Artyomovsk (connu sous le nom de Bakhmut en Ukraine). Interrogé par l’hôte Wolf Blitzer sur les informations faisant état de graves pertes ukrainiennes d’hommes et d’équipements, il s’en est remis aux responsables ukrainiens pour commenter ces détails. 

 

«C’est la guerre, cependant, et il y en a. . . de violents combats autour de Bakhmut, et il y a des combats ailleurs le long de ce front qui s’étend du Donbass vers Zaporozhye », a  déclaré Kirby. « Et certainement, il faut s’attendre à ce qu’il y ait des victimes dans ces combats accrus. »

Kirby a fait ses commentaires au milieu d’informations selon lesquelles les forces ukrainiennes ont commencé dimanche leur contre-offensive tant attendue et ont subi la puissance de feu russe alors qu’elles tentaient à plusieurs reprises de briser les lignes défensives de Moscou. Le président russe Vladimir Poutine a déclaré vendredi que les forces ukrainiennes avaient subi des pertes bien plus lourdes que le ratio de pertes typique de trois pour un généralement attendu lors d’une offensive.

Les forces ukrainiennes ont perdu des milliers de soldats et des dizaines de véhicules blindés et d’unités d’artillerie fournis par l’Occident, dont 1.240 soldats et 39 chars en 24 heures cette semaine, selon le ministère russe de la Défense. Le ministère a estimé les pertes de troupes de Kiev à plus de 3.700 soldats au cours des trois premiers jours de la contre-offensive, contre 71 du côté russe. Les responsables ukrainiens ont rejeté les allégations concernant ses pertes comme étant de la propagande russe.

Kirby a déclaré que l’administration Biden vise à permettre au régime de Kiev de lancer des attaques contre les forces russes quand il le souhaite. « Ce sur quoi nous allons nous concentrer, c’est de nous assurer que si, quand et comment le président [Vladimir] Zelensky veut se battre dans cette ligne ou sur toute autre ligne, il a le soutien dont il a besoin non seulement des États-Unis, mais de 50 autres partenaires.

Biden a promis jeudi de continuer à armer l’Ukraine  « aussi longtemps qu’il le faudra ».  Les législateurs américains ont déjà approuvé un financement de 113 milliards de dollars pour l’aide militaire et économique à Kiev, et il a déclaré qu’il s’attend à ce que les membres du Congrès continuent de soutenir les efforts de l’Ukraine pour chasser les forces russes de son territoire.

Blitzer a noté un avertissement du président de la commission des affaires étrangères de la Chambre des États-Unis, Michael McCaul (R-Texas), selon lequel il sera  « très difficile »  d’obtenir l’approbation du Congrès pour plus de financement si  « l’Ukraine ne fait pas de progrès sur le champ de bataille ».  Lorsqu’on lui a demandé si cette évaluation était correcte, Kirby a déclaré que l’administration dispose de tout le financement dont elle a besoin pour l’Ukraine jusqu’à la fin de son exercice en cours, le 30 septembre.

« Nous avons reçu un soutien formidable des deux chambres du Congrès et des deux partis au cours des 15 derniers mois, et le président a déclaré qu’il s’attend à ce que ce soutien se poursuive parce que les membres du Congrès comprennent ce qui est en jeu ici – certainement à l’intérieur de l’Ukraine, mais aussi sur le continent européen »,  a déclaré Kirby.

Source : INTEL-DROP 10 juin 2023

 

 


EN COMPLÉMENTAIRE

 

Huit jours après le lancement de l’offensive ukrainienne, le bilan pour Kiev est désastreux

 

Huit jours après le lancement des premières tentatives d’offensive de l’armée ukrainienne contre les lignes défensives russes en région de Zaporojié et dans le sud de la République Populaire de Donetsk (RPD), le moins que l’on puisse dire est que le bilan tant en matière de pertes, qu’en matière d’avancée est un désastre.

 

 

L’offensive ukrainienne a commencé le 4 juin 2023, par une tentative de percée de la ligne de front dans le sud de la RPD. L’armée ukrainienne a déployé plusieurs bataillons mécanisés et de chars pour son offensive, qui s’est soldée par un échec cuisant, et des pertes importantes tant en hommes qu’en matériel (plusieurs chars, véhicules de combat d’infanteries et véhicules blindés ont été en mieux endommagés au pire détruits).

Malgré cet échec, dès le matin du 5 juin 20223, l’armée ukrainienne a de nouveau lancé une offensive en direction d’Ougledar, dans le sud de la RPD, et vers Velikaya Novossiolka, en région de Zaporojié.

Zone de l'offensive ukrainienne en RPD

 

Zoom sur la zone de Vremievka

Zone de l'offensive ukrainienne en RPD et région de Zaporojié

Cartes fournies par Military Maps

L’attaque du 5 juin près d’Ougledar est beaucoup plus puissante que celle de la veille, et a permis à l’armée ukrainienne de pénétrer dans la périphérie de Novodonetskoye, sans réussir à s’y installer. Les soldats de l’armée ukrainienne y sont massivement bombardés par l’artillerie russe, et un véritable système de navettes de véhicules de transport de troupes blindés fait alors des aller-retours pour amener « du sang frais ». Ces véhicules tombent eux-mêmes sous les frappes de l’artillerie russe ou explosent sur des mines, et sont remplacés au fur et à mesure des destructions.

C’est lors de cette bataille que les chars allemands Léopards ont fait leur première apparition sur la ligne de front.

Le même jour, la 23e brigade des Forces Armées Ukrainiennes (FAU) a attaqué la ligne Novopol-Novodarovka avec un groupe tactique de bataillon et deux pelotons de chars. Mais l’attaque fut repoussée par les forces russes.

Cette même brigade ukrainienne lança aussi une offensive sur les hauteurs proches de Novossiolka, et avec des renforts d’unités d’infanterie de marine et des groupes tactiques de bataillon a commencé à avancer à 2 km à l’ouest de Neskoutchnoye.

Au deuxième jour de l’offensive ukrainienne, devant l’échec manifeste de cette dernière, Kiev garde alors le silence, faisant comme si l’attaque n’avait pas encore commencé. Le lendemain, le 6 juin 2022, l’Ukraine détruit le barrage de Novaya Kakhovka, noyant plusieurs villages ainsi qu’une partie de la ville de Kherson. Dans le même temps elle détruit aussi le gazoduc d’ammoniac reliant Togliatti à Odessa, qui faisait partie de l’accord céréalier.

Entre temps, l’aviation russe a lourdement bombardé Novossiolka, où se trouve une importante zone fortifiée ukrainienne, avec près de 15 bombes planantes FAB-500 de 500 kg. Et l’armée ukrainienne a dû se retirer de Novodonetskoye après de lourdes pertes.

Les drones kamikazes ont aussi été utilisés par l’armée russe pour détruire l’équipement de l’armée ukrainienne en région de Zaporojié.

Le 6 juin, le ministre russe de la Défense annonce qu’en trois jours, 71 soldats russes sont morts et 210 ont été blessés en repoussant l’offensive ukrainienne. Côté ukrainien, les pertes sont monstrueuses. Le ministère de la Défense russe indique ainsi que l’armée ukrainienne a perdu près de 1.900 soldats (blessés et morts) lors de la même période, et plus de 200 pièces d’équipement dont de nombreux chars, incluant plusieurs Léopards.

Dans le même temps, l’armée ukrainienne retente d’attaquer Novodonetskoye depuis plusieurs directions à la fois avec une vingtaine de véhicules blindés fournis par l’OTAN, mais sans succès. Les unités de reconnaissance russes détectent le mouvement des FAU, une bataille s’engage rapidement et se solde par l’échec de l’avancée ukrainienne.

Le 7 juin, l’armée ukrainienne a tenté d’attaquer plus à l’ouest, dans la région de Zaporojié, vers le village de Lobkovoye. Un petit groupe avec deux véhicules de transport de troupes blindés et deux Hummer a tenté d’avancé prudemment vers les positions russes, mais a été découvert. Une bataille s’es

Zone de l'offensive des FAU en région de Zaporojié

Carte fournie par Military Maps

Les FAU ont ensuite lancé une bataille exploratoire entre le Dniepr et Orekhov avec une compagnie et une dizaine de blindés, pour essayer de chercher une faille dans la défense russe. Sans succès. Deux véhicules blindés américains ont explosé dans un champ de mines, les troupes ukrainiennes se sont alors arrêtées et ont commencé à reculer sous le feu de l’artillerie russe, qui a ensuite pilonné leurs positions. Les deux véhicules blindés endommagés ont été abandonnés dans le champ de mines.

Et les tentatives d’attaque vers Vremievka se sont elles aussi soldées par un échec cuisant grâce à l’intervention massive de l’aviation et de l’artillerie russe, et aux actions des troupes russes du groupe Vostok. En une journée, l’armée ukrainienne a de nouveau perdu plusieurs centaines de soldats et plusieurs dizaines de chars, de véhicules blindés et de véhicules de combat d’infanterie, plus trois systèmes d’artillerie automoteurs Krab et d’autres pièces d’armements.

Le 8 juin 2023, les forces russes signalent que l’armée ukrainienne a de nouveau tenté une offensive dans la zone d’Orekhov, en région de Zaporojié. En pleine nuit, après des frappes massives de d’artillerie, 1.500 hommes et 150 véhicules blindés de la 47e brigade mécanisée des FAU ont lancé une nouvelle offensive. Mais les unités de reconnaissance ont détecté l’avancée des troupes ukrainiennes, qui ont été massivement frappées par les missiles antichars, l’artillerie et l’aviation russes. Les systèmes de guerre électronique russes s’activent aussi, et brouillent les signaux des troupes ukrainiennes, qui se retrouvent totalement désorganisées.

Après deux heures de combat, l’armée ukrainienne avait perdu plusieurs dizaines de chars et de véhicules de combat d’infanterie, et près de 350 soldats. Face aux pertes importantes, certaines unités ukrainiennes refusent alors d’appliquer les ordres et de monter à l’assaut.

Il faut souligner que la 47e brigade mécanisée des FAU, qui a subi de lourdes pertes près d’Orekhov, a été entraînée par les forces de l’OTAN dans toute l’Europe au cours des derniers mois et a été équipée d’armes occidentales. Le problème c’est qu’ils ont été entraînés à combattre avec l’aide de systèmes de coordination des troupes, qui ont été brouillés (signal GPS et communication) par les systèmes de guerre électronique russes. Privés de cette béquille high-tech, les soldats ukrainiens se sont retrouvés totalement désorganisés sur le champ de bataille, incapables de faire face efficacement aux tirs de l’armée russe.

Le même jour, les combats se sont poursuivis dans la partie sud de la RPD. Malgré les pertes effroyables l’armée ukrainienne a continué d’envoyer de nouvelles vagues de soldats sans arrêt (en fait quand les médias français accusent la Russie de faire cela, il s’agit d’inversion accusatoire, car c’est l’Ukraine qui utilise massivement cette tactique). Mais les soldats ukrainiens se rendent compte des pertes importantes dans leurs rangs, et de plus en plus refusent alors de suivre les ordres. De leur côté, les troupes russes continuent de tenir bon.

C’est à ce moment là que les premières informations sur la destruction de chars Léopard ont commencé à apparaître.

Informations confirmées par vidéo de drone dès le lendemain :

Et les chars Léopards ne sont pas les seuls à montrer une piteuse performance sur le terrain, les véhicules de combat d’infanterie M2 Bradley, et les M1224 MaxxPro se font aussi massivement détruire par les tirs de l’armée russe.

 

 

Le 9 juin au matin, l’armée ukrainienne a envoyé de nouvelles troupes tenter une percée en région de Zaporojié. Les FAU ont essayé de créer un puissant poing de choc pour encercler les troupes russes, et s’accrocher à leurs positions avancées. Des combats intensifs se sont alors engagés, avec le soutien de l’artillerie et de l’aviation russe pour détruire l’équipement ukrainien. Pendant tout ce temps, la ligne de front est restée stable et les forces russes n’ont pas bougé de leurs positions.

Dans la nuit du 9 au 10 juin 2023, il y a eu de nouveau des combats près d’Orekhov après de lourdes frappes de l’artillerie ukrainienne contre les positions russes. Mais toujours pas de réussite pour les FAU qui ont de nouveau subi de lourdes pertes en hommes et en matériel.

Les troupes russes ont frappé au sud de Novoandreyevka, détruisant plusieurs véhicules blindés ukrainiens. Quatre autres sont restés coincés dans les champs de mines de la région de Malaya Tokmachka. Les unités des forces spéciales russes ont aussi détruit un char et un dragueur de mines dans cette zone.

L’armée ukrainienne a aussi essayé d’organiser des contre-mesures électroniques afin de réduire les capacités des forces russes en matière de reconnaissance, et de communication. En vain. Les soldats ukrainiens ont aussi fait face à de gros problèmes dus aux champs de mines installés par les forces russes. Ces dernières utilisent des systèmes de minage à distance avant et après les combats dans les champs traversés par les FAU, ce qui fait que les troupes ukrainiennes roulent sur les mines à l’aller (lorsqu’ils tentent d’avancer vers les positions russes), mais aussi au retour lorsqu’ils tentent de fuir ou d’évacuer les blessés ou le matériel endommagé.

Au bout de six jours d’offensive, l’armée ukrainienne avait déjà perdu plus de 10 % des M2 Bradley livrés, ainsi qu’environ 20 % des chars Léopard 2A6.

Malgré cela, l’armée ukrainienne a de nouveau tenté une percée le 10 juin au soir, vers 21:20. Des combats ont eu lieu près d’Orekhovo, Lobkovoye, et Novodonetskoye. Mais les troupes russes ont repoussé ces attaques avec l’aide de l’aviation, de l’artillerie et des missiles antichars.

À Ougledar, les drones FPV russes ont aussi infligé des frappes destructrices sur les équipements des FAU situés en zone urbaine.

Par contre, près de Vremievka, le bataillon Kaskad (forces armées russes) a préféré se retirer vers des positions en hauteur pour éviter d’être encerclé par les troupes ukrainiennes, ce qui a permis à ces dernières de prendre le contrôle de Blagodatnoye et Neskoutchnoye sans combats. Je tiens à souligner avant que certains réagissent de manière très émotionnelle, que ces villages et les positions russes qui s’y trouvaient sont dans la zone grise. La première ligne de défense de l’armée russe est plus au sud, et n’a jamais été approchée par l’armée ukrainienne. D’ailleurs Neskoutchnoye a été reprise dès le lendemain par les forces russes, après un pilonnage massif des troupes ukrainiennes qui avaient tenté de s’y installer.

La même situation a lieu à Velikaya Novossiolka, au nord de Neskoutchnoye, qui a changé plusieurs fois de main en une seule journée. Dès que les troupes russes se sont retirées et que l’armée ukrainienne est entrée dans le village, des frappes d’artillerie lourde et de lance-roquettes multiples, ainsi que des frappes aériennes, ont été infligées à la zone. Les troupes ukrainiennes ont quitté le village, les troupes russes sont revenues. L’armée ukrainienne a de nouveau attaqué avec des unités mécanisées. Les troupes russes se sont retirées et dès que les unités des forces armées ukrainiennes sont entrées dans la localité, elles se sont de nouveau fait tirer dessus, et cela s’est répété plusieurs fois. Les pertes des forces armées ukrainiennes en 24 h ont été d’environ 350 soldats et d’environ 40 pièces d’équipement.

D’ailleurs même le Telegraph a conclu que l’offensive ukrainienne aurait du mal à franchir les lignes de défense russe, qu’elle n’a toujours pas atteintes.

Le 11 juin, l’armée ukrainienne a de nouveau tenté d’approcher des positions russes situées face à Orekhov. Mais après avoir reçu des tirs de lance-grenades automatiques de mitrailleuses lourdes, les soldats ukrainiens se sont retirés avec des pertes. À en juger par les interceptions radio les pertes ont été de huit morts, et 11 blessés.

Par contre, plus à l’est, vers Vremievka et Ougledar, le mauvais temps a temporairement bénéficié à l’armée ukrainienne, en empêchant l’aviation et les drones russes de voler. Privé de reconnaissance aérienne et de possibilité de mener des frappes par avion ou hélicoptère, l’armée russe a reculé, permettant aux troupes ukrainiennes de prendre le contrôle du village de Makarovka.

Mais cet avantage météorologique n’a pas duré. Dès le lendemain, le 12 juin 2023, l’armée russe a pu de nouveau faire voler drones, avions et hélicoptères. La 127e division motorisée russe a lancé une contre-offensive massive et a pu reprendre le contrôle de Makarovka, et s’approcher de Neskoutchnoye. À l’heure où j’écris ces lignes, les combats sont toujours en cours dans cette zone.

Le bilan après huit jours d’offensive de l’armée ukrainienne est terrible pour cette dernière. Un grand nombre de réservistes ont été envoyés dans des attaques frontales, quelques semaines à peine après leur enrôlement. Les unités entraînées par les pays de l’OTAN, comme la 47e brigade des FAU ont littéralement disparu des rapports, ce qui semblent indiquer que l’unité a subi des pertes irrémédiables tellement lourdes que l’unité n’est plus opérationnelle.

À en juger par les informations de terrain, tant à Zaporojié qu’à Velikaya Novossiolka, les FAU ont perdu la partie la plus active de leurs troupes. Les chiffres exacts n’ont pas encore été établis, cependant, à en juger par la quantité d’équipement détruit, les troupes ukrainiennes auraient perdu environ entre 7.000 à 7.500 soldats (tués et blessés) en huit jours « d’assauts successifs de chair à canon ».

À Zaporojié, au cours des quatre derniers jours, presque toutes les institutions médicales de la ville étaient remplies de soldats ukrainiens. Rien qu’à l’hôpital n°5, environ 1.500 soldats blessés des FAU ont été amenés.

Les pertes matérielles de l’armée ukrainienne sont à l’avenant. Pour 100 m de gagnés, l’armée ukrainienne perd à chaque fois plusieurs chars et véhicules blindés ou de combat d’infanterie. Un pourcentage important de l’armement occidental fourni à l’Ukraine est dores et déjà détruit. Ce n’est d’ailleurs pas un hasard si l’Ukraine réclame de nouveau à cor et à cri que l’Allemagne lui fournisse plus de chars Léopards, trois fois plus ! Cette nouvelle demande indique clairement que Kiev a perdu une grande partie de l’équipement précédemment fourni. Équipement qui s’est avéré ne pas être la « super arme » tant vantée par les Ukrainiens.

Je rappelle que le ministère ukrainien de la Défense avait dit aux Russes de trembler de peur car bientôt l’armée ukrainienne aurait des chars Léopards.

Résultat plusieurs de ces derniers, dont deux Léopards de déminage, ont brûlé dans les plaines des régions de Zaporojié et Donetsk, comme l’avait promis le député russe Piotr Tolstoï sur le plateau de BFM TV.

Si l’Allemagne et les autres pays occidentaux continuent de fournir ainsi leur armement à Kiev pour son offensive, l’armée russe démilitarisera non seulement  l’armée ukrainienne, mais démilitarisera aussi un grand nombre de pays de l’OTAN par la même occasion.

Ce soir, les combats se poursuivent, et pour ceux qui veulent être tenus au courant en temps réel de ce qui se passe, je vous encourage à me suivre sur Telegram, où je publie plus d’informations, et surtout de preuves vidéos, que je n’ai pas pu inclure dans cet article car les vidéos sont trop lourdes et ne peuvent être visionnées que dans l’application.

Christelle Néant   13 juin 2023;        Source : Donbass-Insider

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Poutine : l’Ukraine échoue dans toutes les directions de la contre-offensive

Jusqu’à présent, Kiev échoue dans toutes les directions de sa contre-offensive, a déclaré mardi le président russe Vladimir Poutine, ajoutant que l’armée ukrainienne avait subi de lourdes pertes.

« L’ennemi n’a réussi dans aucune des directions. Ils ont de lourdes pertes », a déclaré Poutine lors d’une réunion avec des correspondants militaires.

Le président a mentionné que l’armée ukrainienne attaque actuellement dans les  directions Shakhtyorsk et Vremevka  « mais ne parvient pas à atteindre la ligne de front« . Au total, l’Ukraine attaque depuis quatre directions, a ajouté Poutine.

« Il s’agit  d’une contre-offensive à grande échelle  utilisant, comme je l’ai dit récemment publiquement, des réserves préparées à ces fins. Cela dure depuis le [juin] 4 et continue à ce jour, en ce moment », a déclaré Poutine.

Les pertes de l’Ukraine s’élèvent à 25-30% du volume d’équipement livré depuis l’étranger

« Selon mes calculs, cela représente environ 25% ou peut-être 30% du volume de l’équipement qui a été livré de l’étranger, c’est à peu près tout. Il me semble que s’ils les calculent objectivement, ils seront d’accord avec ce chiffre, mais d’après ce que j’ai vu de sources ouvertes, de sources occidentales, c’est à peu près ce qu’ils disent, je pense. L’offensive est donc en cours et les  résultats d’aujourd’hui sont ce que je viens de dire », a déclaré Poutine aux correspondants militaires.

L’Ukraine a perdu 160 chars et 360 véhicules blindés lors de la contre-offensive, et ce n’est que ce que Moscou voit, a ajouté le président.

« En ce qui concerne les véhicules blindés, il y a des [pertes] encore plus graves. Ils ont perdu plus de 160 chars et plus de 360 véhicules blindés de différents types pendant cette période. C’est juste ce que nous enregistrons. Il y a aussi des pertes que nous ne voyons pas, qui sont infligées par des armes à longue portée de haute précision à des groupes de personnel et d’équipement. Donc en fait, il y en a plus, ces pertes, de la part de l’Ukraine », a conclu Poutine.

Le président russe a noté qu’avec Kiev important toutes ses armes et équipements de pays étrangers, l’industrie de la défense ukrainienne cessera bientôt complètement d’exister puisqu’elle ne produit rien.

« L’industrie ukrainienne de la défense cessera bientôt complètement d’exister. Que produisent-ils ? Ils importent des munitions, du matériel, des armes, tout. On ne peut donc pas vivre et durer longtemps. C’est pourquoi la question liée à la démilitarisation revêt une dimension très pratique », a souligné Poutine.

Les mercenaires polonais en Ukraine subissent de lourdes pertes

 « Les mercenaires polonais se battent vraiment là-bas… et ils subissent de lourdes pertes. Ils les cachent vraiment [de leur propre population], mais les pertes sont sérieuses », a déclaré Poutine.

https://sputnikglobe.com/20230613/putin-ukraine-fails-in-all-directions-of-counteroffensive-1111116289.html

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Le Parlement russe annule sa coopération avec l’Ukraine sur la mer d’Azov qui est  déclarée maintenant uniquement comme étant des eaux russes !

mer d'Azov — Wiktionnaire

La Douma et le Conseil de la Fédération de Russie ont adopté hier une loi annulant l’accord de coopération avec l’Ukraine concernant la mer d’Azov. La Russie déclare que cette mer est exclusivement  russe.

 » Avec l’  admission  de la République populaire de Donetsk (RPD), des régions de Zaporozhye et de Kherson à la Russie, les rives de la mer d’Azov et du détroit de Kertch n’appartiennent désormais qu’à la Fédération de Russie –

La voie navigable qui relie la mer Noire à la mer d’Azov est le détroit de Kertch. De l’autre côté de ce détroit se trouve le nouveau pont du détroit de Kertch, que l’Ukraine a, par le passé, bombardé.

La Russie a réparé les dommages causés par les bombardements et a rouvert le pont, mais des informations récentes provenant de l’intérieur de l’Ukraine révèlent qu’il y a des discussions actives en cours en Ukraine sur la destruction de ce pont pour couper l’accès de la Russie à la Crimée.

Le Parlement russe ayant désormais déclaré sa souveraineté exclusive sur la mer d’Azov, il n’y a plus aucune raison pour que la marine ukrainienne – ou toute autre marine – entre n’importe où dans la mer d’Azov.

Le Parlement russe a pris cette décision pendant que l’OTAN renforçait ses forces dans la région.

Et si l’OTAN décidait d’envoyer un navire militaire dans la mer d’Azov parce que l’OTAN « ne reconnaît pas » l’action de la Russie ? Peut-être que le navire de l’OTAN sera coulé ? Peut-être est-ce « l’incident » qui déclenchera la troisième guerre mondiale ?

Cette situation s’aggrave de jour en jour.


Comment les Russes ont-ils détruit les blindés occidentaux ?

Chars occidentaux détruits récemments

 

 

 

 

 

 

 

 

Au cours de l’offensive ukrainienne, les véhicules blindés occidentaux ont été forcés d’avancer en colonne, à travers le champ de mines russes. À la tête de la colonne se trouve un char avec dispositif de déclenchement de mines antichar, à faible vitesse de déplacement. La colonne a été attaquée par les Russes avec des drones kamikazes Lancet-3 et des missiles antichars guidés par des hélicoptères Ka-52 et Mi-28. Tentant d’échapper aux blindés en feu, les chars Leopard ou Bradley sont sortis de la voie de sécurité et ont heurté d’autres mines antichars, sautant également en l’air. Sur une colonne de 35 véhicules blindés (groupement tactique de bataillon), seuls 15 à 20 restaient en état de combattre, de sorte qu’il n’y avait plus d’attaque possible.

Pendant ce temps, les Russes ont utilisé le système MRLS «Agriculture» pour poser des mines antichars dans le couloir où les unités blindées ukrainiennes avaient avancé, juste derrière elles. Les restes de la colonne ukrainienne sont retournés dans le couloir où ils avaient avancé, estimant qu’il n’y avait pas de danger. Cette fois, il n’y avait pas de char en tête de colonne. Et les blindés occidentaux ont recommencé à exploser, seuls 10 à 12 d’entre eux atteignant les positions d’où ils étaient partis. Contrairement aux armées de l’OTAN qui se sont concentrées sur l’invasion d’autres pays avec leurs blindés «invincibles» et ont oublié comment se défendre, les Russes ont développé de nombreux équipements nécessaires à l’organisation de la défense.

Le système «Agriculture» est un MLRS de 25 missiles qui pose des mines antichars ou antipersonnel jusqu’à une distance de 15 km. Lors de l’impact avec le sol, les mines, qui sont dotées d’un capteur sismique de proximité, s’enfouissent complètement dans le sol et ne peuvent pas être identifiées visuellement. Si les Russes décident de contre-attaquer, le champ de mines est désactivé car chaque mine est dotée d’un dispositif d’autodestruction.

C’est la partie visible de l’action de combat, illustrée par d’innombrables vidéos. Qu’est-ce qui n’est pas connu ? L’art militaire, qui repose sur des commandants tactiquement redoutables, des soldats motivés et des armes modernes, ne commence à porter ses fruits que lorsque le planificateur de l’opération a créé la «mise en scène» étape par étape de la science militaire, dans le respect des règles tactiques. Celles-ci concernent la concentration des forces sur la ligne de front et dans la profondeur, la création d’une densité optimale de moyens antichars, etc. et surtout le choix d’un secteur approprié pour briser les défenses de l’ennemi. On peut dire que les Ukrainiens ont la volonté de se battre et qu’ils disposent désormais d’une technologie occidentale très performante. Mais le planificateur de l’offensive ukrainienne était un imbécile, ne respectant aucune des lois et des principes de la science militaire.

Sur le front de Zaporijia, les Russes mettent en place un système de défense composé de 3 zones fortifiées. Au centre, à partir de la ligne de contact, les Russes ont laissé une zone non fortifiée mais minée de 35 km x 18 km, où le planificateur d’opération ukrainien a décidé d’attaquer. Jusqu’à présent, tout s’est déroulé au nord de cette bande. Au lieu d’un secteur unique brisant les défenses de cette bande, avec des blindés tenant en groupes, les Ukrainiens sont partis dans 6 directions, ce qui a dispersé les blindés occidentaux en petits groupes le long de routes divergentes truffées de mines. La carte montre que les Ukrainiens ont encore un long chemin à parcourir avant d’atteindre les zones fortifiées russes, où la densité des moyens antichars et d’artillerie est impressionnante. Si c’est à cela que ressemble la «grande contre-offensive de désengagement» annoncée par le président Zelinsky, je doute que les Ukrainiens disposent d’autant de forces et de techniques occidentales sacrificielles (2 à 3 corps d’armée) pour ne serait-ce que percer la première ligne de défense russe. Et si, par l’absurde, ils y parviennent, où trouveront-ils d’autres forces pour poursuivre l’offensive en profondeur, au moins jusqu’à la frontière de la Crimée ?

 


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Vidéo important:Les mondialistes sont en train de se servir de l’OMS pour faire un coup d’État mondial

Le «traité pandémie» est une menace pour nos libertés fondamentales.

Avec Chloé Frammery, lanceuse d’alerte et réinformatrice depuis 11 ans, professeur de maths mise au chômage anticipé pour cause de positionnement qui dérange.

 

 

 

 

 

 

 

 


EN COMPLÉMENTAIRE

 

La confiance envers les médias à travers le monde

Chaque année, l’Institut Reuters pour l’étude du journalisme publie un rapport sur l’information numérique. La dernière édition a interrogé plus de 93 000 personnes dans 46 pays sur une série de sujets liés à l’actualité en ligne : allant de la perception de la couverture médiatique de la guerre en Ukraine à l’évolution des habitudes d’information. Comme le révèle l’étude, la confiance globale dans les médias d’information a baissé dans 21 des 46 pays analysés, tandis que 18 sont restés au même niveau et que 7 seulement ont observé une hausse.

C’est en Finlande que l’on trouve le plus de personnes déclarant faire le plus souvent confiance aux médias d’information, soit 69% des répondants, en hausse de 4 points sur un an. Les États-Unis sont toujours en queue de peloton, à égalité avec la Slovaquie, avec seulement 26% de personnes estimant que la plupart des informations relayées par les médias sont fiables. La France fait à peine mieux, avec 29%, un score qui a globalement stagné depuis 2021 (-1 points).

Selon l’Institut Reuters, alors que la majorité des personnes dans les pays étudiés restent engagées et s’informent régulièrement, les nations qui affichent les plus faibles niveaux de confiance, telles que les États-Unis, le Royaume-Uni et la France, sont aussi celles où le phénomène «d’évitement sélectif des nouvelles» est le plus répandu. Parmi les raisons évoquées derrière le fait d’éviter certaines informations, nombreux sont ceux qui citent le caractère redondant et déprimant de l’actualité.

source : Statista

*Comme on le voit,le Canada a vu sa confiance baissée par l’ensemble de sa population…Je ne suis pas surpris!

 

 

 

 

 

Nouvel Ordre Mondial:Les États-Unis, un géant entravé au bord de l’abime

La nouvelle réjouira tout ce que la France compte d’antiaméricains et de pro-poutiniens, à l’extrême gauche ou dans les rangs ultranationalistes : les prémices de la campagne présidentielle de 2024 pèsent déjà, de manière négative, sur la politique extérieure de Washington. À l’issue du sommet du G7, le 21 mai à Hiroshima, Joe Biden a dû annuler une mini-tournée en Asie destinée à consolider le front antichinois, qui est pourtant sa priorité diplomatique numéro un. L’urgence l’appelait à Washington, où il devait convaincre les élus républicains au Congrès de relever le plafond de la dette fédérale. Car, sans accord bipartisan, les États-Unis sont menacés d’un défaut de paiement qui aurait un impact désastreux sur les marchés financiers et pourrait déclencher une récession.

Joe Biden entouré de plusieurs dirigeants au G7 du 20 mai 2023

 

 

 

 

 

 

 

 


EN COMPLÉMENTAIRE

Faute d’accord sur la dette, Biden écourte une tournée majeure en Asie

 

 

Joe Biden s’est dit mardi optimiste sur la possibilité d’éviter un défaut de paiement des Etats-Unis, qui pourrait survenir dans deux semaines, mais il a dû écourter son voyage diplomatique prévu en Asie pour se concentrer sur les tractations.

« Il reste du travail sur plusieurs questions difficiles », mais Joe Biden est « optimiste » quant à la conclusion d’un « accord budgétaire raisonnable », a indiqué la Maison Blanche dans un communiqué.

 

le G7 est un véritable spectacle de clowns nains

 

Comparer le G7 aux petites personnes (nains et gnomes) qui représentaient les Munchkins dans le célèbre Magicien d’Oz est une insulte à ces personnes de petite taille physique mais gigantesques en termes de caractère et d’intégrité. Les dirigeants du G7 sont une honte pour l’humanité.

 

Ces petites personnes dans le Magicien d’Oz étaient des exemples de talent et d’humanité. Les bâtards sans âme qui se sont réunis à Hiroshima le week-end dernier sont l’antithèse des Munchkins – physiquement plus grands que les Munchkins – à l’exception de Zelensky et du Britannique Rishi Sunak – mais totalement dépourvus de morale et de la gravité de l’art de gouverner. Quel spectacle de clowns !

Les remarques véhémentes d’Ursula von der Leyen sur la nécessité de renforcer la confrontation avec la Chine illustrent bien cette illusion :

« Il est important pour nous d’offrir de véritables alternatives à l’initiative Ceinture et Route chinoise, par exemple. Et voici notre initiative commune sur l’investissement dans les infrastructures en dehors de l’Europe, en dehors du G7. Nous parlons d’un paquet de 600 milliards d’euros que l’UE lance avec les États-Unis et d’autres pays pour des investissements ciblés dans les infrastructures dans le Sud mondial. Nous devrons faire des pas de géant. »

Plutôt que d’essayer de verser de l’huile sur des eaux troubles, la bande de mécréants du G7 a l’intention d’essayer de mettre le feu à cette huile. Leur rassemblement à Hiroshima, site de la première utilisation d’une bombe atomique, a été riche en ironie. Malgré leur rhétorique antagoniste creuse sur la défaite de la Russie, ils ont refusé d’accepter le fait que l’armée ukrainienne qu’ils ont entraînée, financée et équipée a été battue de manière décisive à Bakhmout par une force beaucoup plus petite d’une bande présumée de conscrits criminels – les 12 salopards fois 3000. En réalité, le groupe Wagner n’est pas le seul responsable de la défaite de la force soutenue par l’OTAN. Wagner a reçu un large soutien de la part des forces régulières russes, qui ont lancé des barrages aériens et d’artillerie incessants.

Le dérèglement des dirigeants du G7 a été saisi dans un discours prononcé par Eliot Cohen, un néocon fanatique, à la conférence de l’Arche stratégique de l’Institut polonais des affaires internationales, le 17 mai 2023. Cohen a déclaré :

« Les Russes doivent en outre conclure que l’Ukraine – autrefois, selon eux, un pseudo-État contenant des « cousins » ou des « petits frères » – a disparu à jamais. Cela signifie une adhésion rapide à l’UE et à l’OTAN, mais aussi un engagement profond de l’Occident à reconstruire l’Ukraine sur le plan économique et, surtout, à l’armer jusqu’aux dents pour les années à venir.

Les palinodies de l’administration sur la possibilité de donner nos F-16 surabondants à l’Ukraine sont stupides et à courte vue. Ces avions ne feront peut-être pas la différence sur le champ de bataille dans deux mois, mais le fait de savoir que plusieurs centaines d’entre eux sont dans le pipeline pour les cinq prochaines années aurait une profonde importance symbolique. Nous devrions parler de la manière dont nous allons reconstruire les forces armées ukrainiennes, l’armée la plus importante, la plus éprouvée au combat et, à certains égards, la plus déterminée de l’Occident.

L’Occident a besoin d’une campagne d’information agressive pour faire comprendre la réalité de la défaite russe. Il faut rappeler aux Russes que leur économie chancelante ne représente qu’un dixième de la taille de l’UE, qu’ils sont incapables de construire et de déployer un char moderne, que leur dernier jet haute performance, le Su-57, sera surpassé en nombre par les F-35 des quatre petits États nordiques, que leurs généraux sont surannés et incompétents, que leur haut commandement est indifférent à la vie de leurs hommes, que leur équipement est inférieur à celui de l’Ukraine et que leur logistique est gangrenée par la corruption. »

C’est de la pure folie. Cohen, et le reste des dirigeants du G7, n’ont pas encore compris que les Russes « superannués et incompétents » viennent de leur botter le cul à Bakhmout et que la technologie soi-disant « supérieure » de l’OTAN est décimée par l’économie militaro-industrielle d’une Russie « chancelante ». Il serait tragique que Cohen débite ces absurdités alors qu’il est attaché à une camisole de force dans un établissement psychiatrique. Nous pourrions espérer qu’une combinaison de médicaments et de traitements médicaux le libère de sa psychose. Mais il n’est pas enfermé dans un service psychiatrique. Au lieu de cela, il est accepté comme un expert avisé qui présente une vision viable de la politique occidentale à l’égard de la Russie.

Cela signifie que l’Occident continuera à utiliser l’Ukraine comme un bélier flasque, essayant futilement d’écraser la Russie et garantissant le massacre de dizaines de milliers de militaires ukrainiens dans le processus. La Russie, pour sa part, semble reconnaître que les dirigeants de l’Occident sont saisis d’une folie qui ne peut être combattue qu’en détruisant les armées et les équipements que l’Occident déploie contre elle.

Alors que Cohen et le G7 continuent de succomber à l’erreur fatale de prétendre que la Russie est une autocratie grinçante au bord de l’effondrement, Vladimir Poutine et son équipe de sécurité nationale continuent de forger de nouveaux liens avec les plus grandes nations du monde en termes de population et sont occupés à ériger de nouveaux systèmes économiques qui contourneront le système hégémonique occidental basé sur la suprématie du dollar américain. La fixation de l’Occident sur l’écrasement de la Russie élimine toute voie viable pour un règlement négocié et le rétablissement de normes diplomatiques normales. Il s’agit d’une lutte à mort, à laquelle l’Occident n’est pas préparé. La Russie et la Chine semblent désormais réaliser que l’Occident n’est plus digne de confiance et s’engagent sur la voie de la défense et de l’obligation pour l’Occident d’en subir les conséquences.

source : A Son of the New American Revolution


 

 


DEUXIÈME COMPLÉMENTAIRE

Brésil : Lula met fin à sa participation au G7

Luiz Inácio Lula da Silva
Luiz Inácio Lula da Silva

 

Le président Luiz Inácio Lula da Silva (PT) a mis fin à sa participation au sommet des dirigeants du G7 avec une position considérée comme contestataire et critique envers le pouvoir des pays les plus industrialisés du monde qui font partie du groupe. Pour finir, Lula a  critiqué la façon dont les puissances affrontent les crises géopolitiques et a affirmé : « Il faut rompre avec la logique des alliances excluantes et les faux conflits entre civilisations. »

« La multi-polarité que cherche le Brésil est basée sur les prémices du droit international et sur la promotion du multi-latéralisme. Représenter à nouveau la guerre froide serait une folie. Diviser le monde en est et ouest ou nord et sud serait aussi anachronique qu’inutile. Il faut rompre avec la logique des alliances excluantes et des faux conflits entre civilisations », a déclaré le président dans son dernier discours au sommet.

Cette réunion s’est déroulée à Hiroshima, Japon, et a débuté vendredi dernier (19). Des dirigeants et des représentants du G7, composé par l’Allemagne, le Canada, les États-Unis, la France, l’Italie, le Japon et le Royaume-Uni, y ont participé.

« le monde n’est plus le même. Les guerres traditionnelles continuent à éclater et nous voyons des retours en arrière préoccupants dans le régime de non prolifération nucléaire qui devra nécessairement inclure la dimension du désarmement. Les armes nucléaires ne sont pas une source de sécurité mais un instrument d’extermination massif qui nie notre humanité et menace la continuité de la vie sur la terre », a-t-il déclaré.

À propos de l’Ukraine, Lula a déclaré : « Aucune solution ne sera durable si elle n’est pas basée sur le dialogue » et il faut « travailler pour créer des espaces de négociation ». « Nous condamnons énergiquement l’utilisation de la force comme moyen pour résoudre les différents. Nous condamnons la violation de l’intégrité territoriale de l’Ukraine. En même temps, chaque jour, pendant lesquels la lutte continue, la souffrance humaine, la perte de vies et la destruction de foyers augmentent. »

Cette position du président a attiré l’attention des spécialistes en politique étrangère parce qu’elle remet en question le pouvoir des pays du G7 dans le monde. Le professeur en relations internationales et en économie de l’université fédérale de l’ABC (UFABC),  Giorgio Romano Schutte, qui est aussi membre de l’observatoire de politique étrangère et d’insertion internationale du Brésil (au PIB) défend cette position.

« Lula a été clair, par exemple, sur le fait que le forum de débat doit être le G20 auquel les pays du Sud mondial participent sur un pied d’égalité, et que les décisions doivent être prises dans le forum multilatéral des Nations unies, », déclare Schutte.

D’après lui, Lulla, « a remis en question la légitimité des pays du G7 en tant que dirigeants mondiaux » et a critiqué la création « d’alliances excluantes et de faux conflits entre civilisations », qui, à son avis, rendent difficile la création des alliances nécessaires pour résoudre les problèmes mondiaux. Des problèmes comme les crises environnementales, la sécurité alimentaire, les pandémies et la paix.

« Lula a dit explicitement ce qu’il devait dire, entre lignes et gestes non verbaux. Mais on a l’impression que les dirigeants du G7 ont fait la sourde oreille tandis que l’opinion publique des pays du G7 est appelée à s’indigner parce que Lula ne veut soi-disant pas rencontrer Zelensky.Tous les dirigeants du G7 reconnaissent son autorité et son charisme, ils aiment être sur la photo avec le président, mais ils attendent de lui qu’il se limite à l’ordre du jour qui les intéresse aussi », a conclu  Schutte.

Contrairement à ce qui avait été annoncé initialement, Lula n’a pas rencontré le président de l’Ukraine, Volodymyr Zelensky, pour une conversation bilatérale pendant le sommet à cause d’un problème d’emploi du temps, selon ce qu’il a dit.

À la différence des autres pays occidentaux, le Brésil n’était pas d’accord avec l’imposition de sanctions financières à la Russie et cherche, pour cette raison, à se situer en tant que médiateur entre les deux pays, ainsi que la Chine.

source : Resumen Latinoamericano via Bolivar infos