L’une des créatures de l’âge des dinosaures les mieux conservées dans l’histoire récente de la paléontologie.
Un mineur de diamant de la ville d’Udachny, en Sibérie, a découvert les restes momifiés d’une créature inconnue. Pour lui il n’y a pas de doute, ce petit monstre est la dépouille d’un dinosaure. Pour les scientifiques ce serait un mammifère.
« Le petit monstre de Russie », comme certains le nomment déjà, a été découvert dans un bassin diamantifère datant de la période du Mésozoïque (couramment appelée « âge des dinosaures ») c’est-à-dire entre 252 à 66 millions d’années.
Voilà qui a certainement du encourager la thèse du mineur russe persuadé d’avoir trouvé ce qui serait les restes dinosauriens les mieux conservés de l’histoire de la paléontologie. Mais pour les scientifiques l’origine de cette momie serait toute autre.
D’après The Siberian Times, les experts pensent que le monstre est un ancêtre du « Wolverine ». Oubliez tout de suite le beau gosse musclé aux griffes métallisées (d’abord parce qu’il ne peut pas mourir, ou presque) mais surtout parce que l’on parle là d’un animal ressemblant à un ours miniature. En français il porte le nom de « glouton » (oui c’est tout de suite moins classe).
La créature devrait être transportée d’ici peu d’Udachny à Yakutsk (la capitale régionale de cette partie de la Russie à tout de même 1686 kilomètres de là) pour y être étudiée.
Le petit monstre de Russie serait en fait la momie d’un Glouton ancestral.
Le cratère de Chixculub renferme l’un des plus grands mystères de la planète. Des scientifiques ont décidés de le percer… dans tous les sens du terme !
Les dinosaures ont-ils oui ou non été exterminés par la chute d’un astéroïde ? C’est très probable mais les scientifiques n’ont jamais été en mesure d’apporter une réponse définitive. Alors, pour en avoir le coeur net, une équipe de spécialistes a décidé d’explorer l’immense cratère causé par la chute d’un astéroïde tombée sur Terre il y 66 millions d’années ! Un projet génial qui laisse rêveur…
Dessin d’artiste illustrnt bien les proportions des lieux.
Ce cratère, qui fait 180km de diamètre, se situe dans la péninsule du Yucatan, au Mexique. On l’appelle le cratère de Chicxulub. C’est à cet endroit précis que serait tombé l’immense projectile de 10km de diamètre fortement suspecté d’avoir causé la perte de nos amis les dinosaures à la fin du Crétacé.
Mais puisqu’il n’est pas bon d’accuser sans preuve, une expédition hors-norme va être lancée sur site pour y rechercher des indices. Cette mission, financée conjointement par l’International Ocean Discovery Program (IODP) et l’International Continental Scientific Drilling Program (ICDP) consistera en un gigantesque forage…
Dès la fin de ce mois, un navire atteindra la zone, située à 30km des côtes. A son bord : une équipe chargée d’installer une plateforme à l’aide de trois pylônes.
Géographie des lieux:centre du cratère.
Quand cette plateforme sera opérationnelle (en principe, dès le 1er avril), la partie forage pourra alors commencer. Premier objectif : atteindre les 500m sous terre. C’est à partir de cette profondeur que les scientifiques espèrent récolter des indices. Ensuite, des carottes de 3m de long seront extraites jour et nuit jusqu’à atteindre, deux mois plus tard, les 1 500m !
Commencera alors la partie la plus passionnante de l’opération : l’étude de ces carottes. Que contiendront-elles ? Quels changements de roches vont-elles révéler ? Y trouvera-ton des fossiles ? Nous offriront-elles des traces d’ADN ?
Chicxulub entrant dans l’athmosphère:il y a 65 millions d’années!
Il faudra encore patienter un peu avant d’obtenir toutes les réponses à ces questions. Mais elles devraient enfin prouver que les dinosaures ont bel et bien disparu de la surface de la Terre après avoir croisé le trajet d’un astéroïde.
Une aventure passionnante dont on a hâte de connaître l’issue !
En 2012, des chercheurs russes ont découvert un mammouth mort il y a 45 000 ans dans la région centre de la Sibérie arctique. Après analyse du squelette, ils ont constaté que les humains étaient présents dans cet endroit bien plus tôt qu’il ne le pensait.
Le mammouth découvert en 2012.
Suite à la découverte d’un squelette de mammouth dans l’Arctique, des scientifiques russes ont découvert que les humains étaient présents dans cette région il y a 45 000 ans, soit 10 000 ans plus tôt qu’on ne le pensait. Ils ont pu établir ce constat grâce aux pointes de flèches et autres objets tranchants observés sur la carcasse gelée de l’animal, trouvé en 2012 dans les sédiments gelés d’une falaise sur la côte est de la baie de Yenisei (centre de la Sibérie arctique). Cette découverte, publiée dans la revue scientifique «Science», pourrait ainsi relater le plus ancien exemple de survie dans l’Arctique où les indices paléolithiques humains sont rares.
Le squelette du mammouth montre des signes de blessures inhabituelles sur les côtes, sur la défense droite et les mandibules. Des marques qui résultent très probablement de pointes de lance très aiguisées, ont analysé ces scientifiques. Les ramus mandibulaire, partie montante de l’os de la mandibule qui sont très résistants, sont le plus souvent intacts quand ils sont découverts. Mais dans les restes de mammouths plus récents abattus par des humains les mandibules sont très souvent incomplètes ce qui pourrait avoir résulté d’une extraction de la langue, supputent-ils.
La chasse aux mammouths
Les chasseurs mangeaient souvent la langue des mammouths, une sorte de rituel ou parce que cette partie de l’animal était peut-être considérée comme un met raffiné, indiquent les chercheurs. La seule défense préservée de ce mammouth, celle de droite, montre des traces de travail humain pour en modifier la forme. Ainsi ces marques indiquent une tentative de la séparer du reste du corps.
En revanche l’extrémité extérieure de la défense, normalement peu tranchante, a été travaillée pour en faire un outil, selon des techniques différentes observées plus tardivement dans l’Arctique. Ces hommes faisaient de longs éclats d’ivoire effilés pour couper la viande dans une région où d’autres matériaux lithiques bruts étaient difficiles à trouver.
Des avancées dans les techniques de chasse aux mammouths ont probablement permis à ces groupes de se propager dans la partie la plus au nord de la Sibérie arctique, estiment les auteurs.
C’est entendu, les dinosaures ont disparu depuis longtemps, et vraisemblablement, l’homme et le dinosaure n’ont jamais pu se rencontrer, et pourtant, régulièrement des témoignages troublants viennent contredire nos certitudes.
Du dinosaure au …poussin et vice-versa!
Une espèce présumée disparue est appelée « Taxon Lazare » en référence à Lazare que le Christ aurait ressuscité. lien
Les cas de ces espèces disparues puis retrouvées sont foison : le Potorous Gilberti, disparu en 1800, redécouvert en 1994, l’Eupetaurus cinéreus, disparu au 19ème siècle et retrouvé, le Pétrel des Bermudes éteint depuis 1620, retrouvé en 1951, ou même la Rousserolle à grand bec, disparue en 1867et redécouverte en 2006.
Au-delà du dragon de Komodo, toujours bien vivant (vidéo) dont l’origine remonte à 140 millions d’années (lien), ou des Limules qui ont 350 millions d’années (lien), il existe d’autres rescapés de la préhistoire.
Le Cœlacanthe, vivant il y a 500 millions d’années, poisson doté de moignons de pattes, que l’on pensait disparu il y a 70 millions d’années a été retrouvé par l’ornithologue Marjorie Courtenay-Latimer le 22 décembre 1938, et a fait l’objet d’un très beau documentaire. lien
Le 19 mai 2007, un nouvel exemplaire a été capturé par Justinus Laham, un pécheur indonésien, mais déjà en 1998 un autre cœlacanthe avait été péché dans la mer des Célèbes, au dessus de Sulawesi.lien
Mais connaissez vous le « requin lézard » ?
En 2007, un pécheur japonais avait observé à la surface de l’eau un étrange animal semblant sorti tout droit de la préhistoire, et avait prévenu les vétérinaires du parc d’Awashima de Shizuoka, au sud de Tokyo,lesquels ont filmé l’animal avant de le capturer (vidéo) ce qui provoqua manifestement sa mort, quelques heures après.
Ce squale, semblable à une grosse anguille de 2 mètres de long, pourvu de 300 dents sur 25 rangs, vivant à une profondeur située entre 120 et 1280 mètres, se nourrissant de petits requins, de calamars, aurait une période de gestation de 2 ans. photo
De son vrai nom « chlamydoselachus anguineus », ce rescapé préhistorique vivait sur notre planète il y a 50 millions d’années, et il n’a pas beaucoup changé depuis. lien
Au chapitre des ancêtres préhistorique, le risque de mystification existe aussi, puisque le 1 avril 2011,Alan Grant affirme avoir aperçu et filmé un archosaure dans le sud de l’Amazonie, dans la région duPantanal (lien) et une newyorkaise prétend avoir photographié un bébé ptérodactyle dans sa véranda.photo
Plus sérieusement, le mystère s’épaissit au Congo, dans la région du Likouala, au bord du lac de Télé, où selon de nombreux témoignages convergents un monstre préhistorique aurait été aperçu.
Mokélé Mbembé
Les congolais l’appellent « Mokélé Mbembé » (celui qui arrête le cours d’une rivière) et ils décrivent un animal de près de 10 mètres de long, de couleur gris-rougeâtre, ayant au bout d’un long cou, une petite tête semblable à celle d’un serpent, munie d’une crête, et ayant un corps aussi imposant que celui d’un éléphant, muni de 4 membres, et d’une queue musclée.
Pour l’instant, les différentes expéditions n’ont découvert que des empreintes (photo) mais les descriptions faites de cet animal (crête mise à part) rappellent beaucoup celles d’un diplodocus.
Empreintes découvertes au Congo ,il y a quelques années..la région du fameux dinosaure.
La première véritable expédition fut menée par James Powell, en 1980, lequel avait obtenu le témoignage d’un sorcier Fang, qui affirmait avoir l’avoir vu sortir d’une rivière.
L’année suivante, le biologiste, Roy Mackal membre de cette première expédition, décida d’y retourner, et réussit à photographier une piste montrant le passage d’un animal de près de 2 mètres de haut, trainant derrière lui une énorme queue. lien
Les pygmées qui ont rencontré l’animal affirment que le seul danger qu’il représente sont les coups de queue qu’il donne, renversant les pirogues, et noyant les occupants sans pour autant s’en nourrir. lien
En 1985, un ingénieur allemand, Herman Reguster, menant une exploration dans cette région, affirma avoir aperçu l’animal « un long cou gracieux terminé par une petite tête identique à celle d’un serpent, et l’animal après les avoir observé s’est doucement laissé glisser dans l’eau ». lien
Pour d’autres scientifiques, il ne peut s’agir d’un dinosaure, mais peut-être tout simplement d’un varan géant.
Photo prise le 10 janvier 2006 sur le fleuve Amazone,au Brésil par Stephen Wagner.
Mais avez-vous entendu parler du Lau, une sorte de serpent de 12 à 30 mètres de long, dont le corps de la taille d’un âne, doté de tentacules, de gros piquants, a été décrit par l’ex roi Lewanika de la tribu desBarotsé, au Congo ? lien
Toujours en Afrique, un chasseur nommé F.Gobler, évoque l’existence d’un dinosaure vivant dans les marais du lac Dilolo, appelé « chipekwe » par les indigènes.
ptérosaures
Quittons ceux-ci pour nous intéresser aux ptérosaures.
En 1856, des ouvriers du chemin de fer travaillant dans le nord de la France auraient aperçu un étrange oiseau, d’une envergure de plus de 3 mètres, muni de dents pointues, se déplaçant sur 4 pattes, qui serait mort à leurs pieds, qu’ils auraient identifié comme un ptérodactyle, et en 1896 3 chasseurs crétois prétendent avoir vu un énorme oiseau avec un bec semblable à celui d’un pélican, qu’ils auraient identifié aussi comme un ptérodactyle. lien
Aux USA, deux cow-boys aperçurent le 26 avril 1890 un immense oiseau de 4,8 mètres d’envergure, et de2,8 mètres de long, qu’ils réussirent à abattre, et qu’ils ramenèrent à Tombstone. lien
D’autres articles racontent cet étrange épisode même si la taille donnée à l’oiseau semble la conséquence d’une virgule mal placée. lien
Le journal local, « The Epitaph » en publia unephoto, mentionnée dans le livre d’Horace Bell « On the Old West Coast », publié en 1930. photo
S’agirait-il de l’oiseau « thunderbird » évoqué dans de nombreuses légendes indiennes ? lien
D’autres témoignages remontant aux années quarante évoquent un oiseau de la taille d’un petit avion. lien
En 1963, un certain M.H. Cramer s’est souvenu d’avoir vu cette photo qui aurait été publiée dans plusieurs journaux. photo
En 1977 un groupe d’enfants auraient aperçu dans la même région deux de ces oiseaux, qui auraient tenté en vain d’enlever l’un d’entre eux.
Au mois de juin 2011, à Fresno aux Etats Unis, une famille affirme avoir vu planer dans le ciel un étrange oiseau de 3,50 mètres d’envergure de couleur sombre dont les ailes possédaient des sortes de pointes.
On a de la peine à le croire qu’un ptérosaure vive de nos jours et pourtant, il existe cette photo. lien
Ce qui serait la preuve d’une belle santé, puisque le ptérosaure vivait sur notre terre à l’époque jurassique, il y a 220 millions d’années. vidéo
Le plus grand d’entre eux était le quetzalcoaltus : exhumé au Texas dans les années 70, on sait aujourd’hui que ses ailes déployées mesuraient 11 mètres, qu’il pesait 130 kg, qu’il se déplaçait à 70 km/h, mais une récente découverte faite en Israël laisse envisager l’existence d’un oiseau encore plus impressionnant qui ridiculiserait notre quetzalcoaltus.
Quant au « monstre » du Loch Ness, tout comme le Yéti, il a autant de détracteurs que de défenseurs.lien
Pourtant il y a plus original car pourquoi ne pas choisir la compagnie d’animaux préhistoriques, au lieu des traditionnels chiens ou chats ?
2 jeunes biologistes de l’Université de Lausanne, Sylvain Dubey et Jonas Cosendai, nous proposent d’avoir chez nous des animaux vivants, plus vieux que les Tyrannosaures : des triops cancriformis.
Bien sur, leur taille modeste ne permet pas la comparaison avec ces derniers, mais ils sont pourtant vieux de 230 millions d’années. lien
Ces crustacés atteindront en 2 mois une dizaine de centimètres et vous pourrez même les acquérir en kit, lequel contient les œufs, et la nourriture de vos futurs nouveaux amis.
Ces Triops ont aussi l’originalité d’être « la plus vieille espèce animale qui est restée totalement inchangée » affirme Sylvain Dubey.
Et ce n’est pas une nouveauté, le célèbre journal Pif Gadget avait proposé en son temps de faire éclore des Artémies (artimia salina).
En effet ce magazine offrait aux lecteurs un sachet de ces petits animaux qu’il avait rebaptisé « Pifises ».lien
Ces petites crevettes préhistoriques elles aussi, ont des œufs qui peuvent attendre des siècles avant d’éclore : il leur suffit pour cela d’un peu d’eau : un gramme de cystes pouvant produire 300 000 petites crevettes qui atteindront à maturité 1,5 cm. lien
C’est d’ailleurs devenu un commerce très juteux, puisque les aquariophiles sont, autant que leurs poissons, gourmands de cette nourriture vivante et sur ce lien, on trouve tous les détails pour en faire l’élevage.
Reverra-t-on le mammouth laineux?
Plus ambitieux, Hans Larsson, de l’Université McGill de Montréal, qui s’est dit inspiré par le peut-être prémonitoire film de Spielberg, « Jurassik Park » va tenter de reproduire chez les gallinacés les traits caractéristiques des dinosaures en manipulant génétiquement des poussins. lien
Mais un tel projet amène une question : ce chercheur ne s’est-il pas endormi avant la fin du film ? en a-t-il bien compris le message ? vidéo
Car comme dit mon vieil ami africain :
« Si tu marches en regardant les étoiles, ton pied ne verra pas la pierre ».
L’image illustrant l’article provient de « anthropoblog.fr »
*Traduction personnelle de la langue russe.Mon contact vient de la région de Vladivostok…et il vous salue tous.
C’est avec une nouvelle force dans les cercles pseudo-scientifiques que les savants russes vont de nouveau parler de clonage d’un mammouth. Des scientifiques du Yakutsk enquêtent actuellement sur du sang de mammouth bien conservé. C’est l’une de leurs dernières découvertes,et elle procure beaucoup de sensations.
L’histoire des recherches sur le mammouth laineux a commencé à la même époque qu’avec l’histoire de la lutte de l’ homme de la Terre pour sa survie, c’est juste qu’à la fin, il était beaucoup plus rapide que l’animal ,pour le suivre et l’abattre. À cette époque,il y a plus de 12,000 ans, les Humains de la Terre ,grossièrement appelés « hommes préhistoriques,hirsutes et supposément ignares et illettrés, auraient exterminés les mammouth laineux pour la viande, les peaux et les os de l’animal, ou tout simplement pour se tenir au chaud . Maintenant ,les mammouths sont trouvés dans le pergélisol:des milliers d’ années après s’être couché sur la glace, nous sont parvenus parfaitement conservés. Mais pour parler sérieusement de clonage, vous devez, en premier lieu,établir son génome complet (son chemin, son ADN serait déjà décrypté en Russie), et, d’autre part, recréer un ensemble des cellules de mammouth viables (il faut les retrouver toutes), et, en troisième lieu, nous avons besoin d’une mère porteuse, et ce n’est que le problème, parce que le mammouth et l’éléphant – c’est comme un éléphant et un roquet,en terme de différence.
Le sang de mammouth bien conservé est la sensation principale de l’histoire de la reconstitution des animaux fossiles.
Le mammouth découvert récemment dans le Iakoute,est pour les scientifiques est la première (importance) dans plus d’une centaine d’années pour vraiment faire leur grand bonheur. Sur l’île de Little Lyakhovsky Novosibirsk ,un archipel, ils ont réussi à déterrer les restes du mammouth glacé ,probablement âgé de 60 ans à sa mort , que des prédateurs ont probablement mordu. Les scientifiques ont été surpris par le fait suivant : peu après que la carcasse a été retiré de la couche de glace, elle a commencé à saigner.
« Ce tube avec un agent de conservation – GTA appelé – dit le chef d’un musée gigantesque nommé Lazarev Semyon Grigoriev -. Prélever un échantillon de sang. »
Les employés de l’Université sont venus à la conclusion que l’hémoglobine dans le sang à transporter l’oxygène mammouths ,qui pourraient se faire même à de très basses températures. Théoriquement, le sang,ce moteur naturel pourrait devenir le principal matériau de construction pour élaborer le clonage du génome d’un ancien mammifère disparu.
«Si le sang n’est pas détérioré , s’il ne gèle pas, alors il devrait y avoir de l’hémoglobine, des érythrocytes, et il doit y avoir aussi des cellules qui peuvent ne pas être en vie, mais ces cellules pourraient être structurellement intactes, » – dit le directeur adjoint de l’Institut de zoologie (Saint-Pétersbourg) Alexei Tikhonov.
Les savants russes auraient découvert une méthode sure de clonage.
Il reste une question importante qui reste ouverte:soit celle du financement du projet – selon des estimations approximatives, pour le clonage de cet éléphant préhistorique ,cela nécessite au moins un million de dollars. Mais une fois trouvé, les paléontologues croient, que cela aidera à faire une véritable percée dans nos connaissances sur les mammouth et dans la science de l’évolution de la vie, et peut-être dans quelques années de nouveaux mammouths ,venant de cette espèce éteinte ,marcheront à nouveau sur la Terre .
Bienvenue à tous et à toutes:Nous venons de lancer une nouvelle boutique indépendante du site afin de nous aider à rentabiliser notre site Michelduchaine.com
Vous trouverez de nombreux articles vintage et de collection diverses au fil des jours.
Elle vous permettra d'acquérir des articles venant directement de Michel...D'aille elle s'appelle "Vintage par Michel que vous trouverez sur ce lien:https://www.etsy.com/ca-fr/shop/VintageParMichel?ref=seller-platform-mcnav Ignorer