La Cour fédérale du Canada a confirmé que l’élection fédérale de 2011 au Canada, qui a conduit à la victoire du gouvernement de Stephen Harper, était frauduleuse.
La Cour a souligné dans une décision jeudi décision qu’il a trouvé dans des termes sans équivoque que la fraude électorale généralisée a eu lieu lors du vote. La décision a également déclaré qu ‘«il était un effort concerté pour supprimer votes au cours de la campagne électorale de 2011 par une personne ayant accès à la base de données CIMS [du Parti conservateur]. » En conséquence, le Conseil des Canadiens a appelé le Parti conservateur à enquêter sur la question. Il dit quelque chose de moins à ce stade serait un cover-up de la part des conservateurs. Le Conseil des Canadiens affirme que la non-coopération, l’obstruction, et des tentatives faites afin de perturber le cas de la Cour fédérale par le CIMS fait ressembler le premier ministre Harper à quelqu’un qui a quelque chose à cacher. Garry Neil, directeur exécutif du Conseil des Canadiens a déclaré: «Cette décision de la Cour fédérale est un acte d’accusation majeure du Parti conservateur du Canada. » « Soit les hauts dirigeants du Parti conservateur ont été directement impliqués dans la fraude électorale ou ils ont faits étonnamment preuve de négligence pour sécuriser l’accès à leur base de données des électeurs. Illégale ou incompétent -. Comme dans le scandale du Sénat ,par exemple…
Rappelez vous que je l’avais bien écrit au lendemain de cette victoire conservatrice.
La zone décrite dans notre article,le 24 octobre 2014.
NASA
L’événement pourrait conduire à plus d’aurores et perturber les systèmes d’engins spatiaux et de pouvoirs électriques sur Terre
La plus grande région de taches solaires en plus de 20 ans est confronté face à la Terre. Les éruptions solaires envoient sur notre chemin ,de puissants rayons cosmiques et la menace d’une éjection de masse coronale (CME), qui peut provoquer des aurores boréales et des perturbations importantes à nos réseaux électriques.
Les taches solaires sont des régions relativement froides du soleil visibles sur sa surface, avec une activité de champ magnétique complexe. La tache AR12192 région est le « plus grand groupe de taches solaires depuis Novembre 1990 », selon Doug Biesecker, un chercheur au Centre de prévision National Weather Service météo spatiale. AR12192 est à peu près la taille de la planète Jupiter, mais la plus grande tache solaire sur nos dossiers, a été vu en 1947, et faisait trois fois cette taille.
AR2192 a envoyé des éruptions solaires de haute-énergie, mais à ce jour aucune CME, qui,selon ce que dit Biesecker : ont tendance à être plus étroitement associée à la complexité magnétique d’une région de taches solaires avec la taille d’une région. Une tempête solaire plus petite autour de Halloween en 2003, par exemple, a créé des aurores visibles aussi loin que le sud que la Floride. Avec le niveau élevé de l’activité des éruptions à l’heure actuelle, les scientifiques prévoient que si AR12192 libère des CME directement vers la Terre, il le fera dans les trois à quatre prochains jours, rapporte le Washington post .
Il s’agit du plus court discours de la carrière de Vladimir Poutine:
Le 4 Août 2013, Vladimir Poutine, le président de la Russie, s’adressa à la Douma (l’Assemblée Fédérale Russe), et a prononcé un discours sur les tensions avec les minorités en Russie:…
En Russie, vivez comme les Russes. N’importe quelle minorité, de n’importe où, si elle veut vivre en Russie, pour travailler et manger en Russie, elle doit déjà parler le Russe, et doit respecter les lois Russes. Si elles préfèrent la loi de la Charia et vivre comme le font les musulmans alors nous leur conseillons de ne pas se rendre à ces lieux où la loi étatique est en vigueur.
La Russie n’a pas besoin de minorités musulmanes. Les minorités ont besoin de la Russie. Et nous ne leur accorderons aucunes faveurs spéciales, ou ne changerons nos lois pour qu’elles reflètent leurs désirs, peu importe le volume de leurs cris contre la ‘discrimination’. Nous ne tolèrerons aucun manque de respect envers la culture Russe. Nous ferions mieux d’apprendre des suicides de l’Amérique, l’Angleterre, la Hollande et la France, si nous devons survivre en tant que Nation. Les musulmans prennent le contrôle de ces pays et ils n’obtiendront pas la Russie. Les coutumes et traditions russes ne sont pas compatibles avec le manque de culture ou les manières de vivre primitives de la loi de la Charia et des musulmans. Quand cet honorable corps législatif suggère de créer de nouvelles lois, il faut avoir avant tout l’intérêt national russe à l’esprit, que les minorités musulmanes ne sont pas Russes.
Yes it scares the NASA study, but it is mathematically inevitable: we can not do infinite growth in a finite world, I recall this fundamental principle, with the design of the future: The overshoot!
You certainlyhave heard ofthe latestNASA studyonthe collapseof our civilization. In this study,we haveat besta fewdecadesbefore disappearingfrom the face ofthe Earth.Beyondalarmismalsoprominently displayedin this study thatin its conclusions,the whole of humanityfaceschallengesof historic proportions. It seemedinteresting to tryto return to thisstudy thatunleashednumerouscommentson social networksandinmy email!!So let’s trytosee more clearly, and analyzethe subjectaway frompanicand takinga step back.
What is theposition takenby the studyof NASA?
Clarification,please find attachedthe link toaccess theoriginalyou isto say,the full document, in English and27pages!
We can summarizeby saying thatthe studypoints to thethreat ofdepletion of naturalresources and the distributionof resources.
The researchers useda mathematicalmodel calledHandy(HumanNatureandDynamical) andlistedthe reasons thatled to the fallof other civilizations: the Mayans, theMesopotamianempire,the Roman Empire,the Han Dynasty,etc.By studyingthe dynamicsbetween man and nature, the study shows that there is arecurring cyclefoundthroughouthistory andthat causesa « sudden collapse » of civilizations.
Among therecurringcollapsecausesinclude: –Climate; –Demography; –Water, agriculture; –Energy.
When it occurs, the convergence of thesefactorsresults ina civilizationalcollapse.
« For the authors, it would be wrongto believethat technological advanceswill solvethese problemsbefore it istoo late, becausetheylead tohigher consumption. Onesolutionproposedbythis study: the establishmentof appropriate policiesthatwould aim toreduce inequalities andresource consumption. «
Clearly,thisNASA studyactuallyadvocatesthe establishmentofsystematic policiesof« decay »to save humanity.
The collapseof complex societiesof ProfessorTainter
Thisis an excellent book. I enclosean annexagainthe link toreadorreread itin its entiretyyou. To summarizeagain,for thisAmerican professorwho has studiedcarefullythe collapsesof companiesin our historythe factors that leadto the tragedyare:
3 /The increased complexitycarries with itincreasedcostsforresidents.
4 /Investment insociopoliticalcomplexityas a responseto the resolution ofproblems, oftenreached a point ofdiminishing returns.
5 /As themarginalreturn on investmentincomplexitydeclines, the company continues to investmoreheavily inproportionally lessprofitablestrategy.It is then necessaryto deal withoutbreaks oftensionout of the currentoperating budget.
6 /diminishing marginal returnsmakecomplexityan overall strategylessattractive, so that parts ofa societyperceivea growingpoliticalseparation ordisintegrationadvantage.Logically,various segments of thepopulationincrease theiractiveorpassive resistance, oropenlyattemptto secede.
Compared tothis reading, it is clearthat a country likeFrancegetsalmostfaultlesslycriteriaof collapse.Like whatwe can befirstsomewhereand with ease.Tax exilesorour compatriots whoare simplychoosing andthey areincreasinglylikely totry theirluck abroad, are nothing elsethan « segments of the populationthat increase theiractiveresistance ».
We financeourcomplexitybyincreasingtaxesalwaysmore things likeelectronic cigarettes, drinks,and creativity ofour elitesisthe matter withoutlimit. « Clashofsimplification » launched by our presidentis an oldsnakeWedEveryonewants to simplify thecomplexity, orthe complexityispacked,itescapes us,we runbehind her.Wesuffer. Oncelaunched, the shock of simplificationwas soonforgotten, andfrankly,among you …whostill remembersabout itwhile he wasthe« one »of our mediathereless than a year.
The Club of RomeandDennisMeadows
DennisMeadowsis one of theauthors of thevisionarystudy« The LimitstoGrowth »which,in 1972, warned aboutthe risk of acrisisof collapsein the firsthalf of the 21stcenturycausedby the depletion ofresources of the planet. That makes40 yearsthat some havealready sounded thealarm aboutthe unsustainabilityof our economicmodel based onthe idea that « infinite growth ofmass consumptionin a finite world. »
Now it isno need foranymathematical model tounderstand whatcommon senseallowsa childto understand. The infinitegrowthin a finite worldis an intellectualaberrationin itself.Butoursystem iscurrentlyon theabsurdpremise. Topass it, itwould takeus tosuchaccess to otherplanets andwe canobviouslyexploitmassively. This again isillusoryasthe costs andtechnologiesto achieve thisweare missing.
Let’s be realistic. This isnotto send ateam of bravemodernadventurersto Marsfor a few monthsand4!This wouldcolonize, to live, operate and repatriateresources onEarth.We shouldbuildcargospaceinstead ofourcontainer. Weobviouslyarenotand we risk, as thereis the problem,never reachthepointwhere we will betechnicallyable to goeasily exploitanother planetand knowourcollapsebefore.
DennisMeadowsis notanyonesince he was thedirector ofMIT, a very famousuniversity,and his1972 studydescribed severalscenariosofpossible developments inthe economy, population and global resources, eachscenario corresponding todifferent choicesthat humanity couldcollectivelymake fromtheir1972screenplay« Itis business as usual« , which roughly correspondsto whathappenedthereafter,predicted thatthe approachlimitsthe planetwould begin toexert a strongimpact on growthfromaround2010,which wouldthenimpactincreasing, eventually leadby 2050at the latesttocollapse, that is to say, aprecipitous declinein living standardsandperhapsthe world’s populationin a state ofexhaustionof resources andthe natural environment.
For those whowish to explorethis subject(and Irecommendthem), you will find thelink to the latestinterviewgiven byMr.Meadowsand French inthe text!
Now that wehave seen throughthe work ofthreedifferent people or groupsthat the idea ofacollapse wasnot nearly asunlikely,ask the questionthat reallymad!
Western civilizationisshenowseriously threatenedwith extinction?
I would rather talkabout a possibleloss ofcivilization aswe know it inthe sense that thedisintegration ofWestern structuresdoes not mean theywill be replacedby a new« darkage. »The currenteconomic crisis canbe consideredas suchin two ways:itcould be an elementdirectlytriggerourpotential fallor aprecursorelement throughthe tensions itcangeneratein the coming years, in this case it would meanin reality, the collapse has already begun.
TheNASA reportisalsoreflected, as we have seen inotherstudies, particularly thoseof the Club ofRomewhich hadanalyzed froman environmentalangleofthefarmcommodity cycles. Itwas thusconcludedthat economic growthwould eventuallysee alogical endfacing thelimits ofavailable resources ina system ofmass consumption,the basic ideacan besummarized by« infinite growth in a finite worldisdefinitionimpossible. « The otherpoint of referencein this regard isthat of theAmericanJosephTainter(The collapse of complex societies) under a more politicaland historical analysisofthe lategreat civilizations.
This leads usto wonderifindeedthesystem as we know, based on consumptionandmass productioncantakeforeverresting onthe fullabundanceof raw materialsand energy, all of which shouldbeavailable at avery low cost!
LikeNASAand the Clubof Rome, Iam among thosewho thinkthat such structuresmaynot last,especially in aglobalized worldlike ours.Once thatissaid,we should notsaythat our situation ishopelessso far: it’s notbecause oursystem can notmakemass consumptionits cornerstonethat civilizationitselfis doomedto collapse.Itshould not be confusedas suchpureeconomic system(and its corollary politics) of a civilizationas a whole:the recent fallof the Soviet systemis there to remindthe importance of suchnuances.The endof an economic systemis notthe endof a culturemuch less theend of a civilization, however it can alsobe one!
The complexityweakensa companymakingsensitiveto the slightest change
It is clear thattheunderstanding and predictionof the environmentisincreasinglydifficult.Taintergives the impression, quitepragmatically from therest, a companyweakensgraduallyas it becomesmore powerful, andmore complex.
For example,there arenot20years ago, it was possible for just aboutanyoneto repair theheadlightof his car, a simple bulb changeis necessaryto get there.Today,thisproblem asksto go tothe dealership,to use specialtoolsto disassemblehalfof the bumper, and buy a special bulbwhose price is10times larger.
In the same vein, the proliferation of electronic equipment forour carsmore sourcesof failures,andthesefailuresare nowimpossible, almost, to repairfor the average person. Lessautonomous, we eventuallydepend on whatwe call« services-support » (water supply, energy,food, clothingby externalservices …).Moreover, theseservicesare becoming popularmore theyweakenby definitionan overall balancegeneralizinginterdependence.
Thus, during thesnowstormsofearly2013,the government had beenforced tostoptrailersat the entrance oftheIle-de-France, which hadended up creatingshortages in severalsectorsaftera few days.In asimilar register, the impact of the tsunami thathit Japan inMarch 2011 ontheJapanese companieshadended up creatingsupply problemsaroundthe globe.In other words, the more we develop specificsystems, we arelessable to adaptto unforeseen events.
Theissue of complexityis alsoparticularly worryingthat it isso muchmorelimited in spacein the eraof globalization.The problemis that it isimpossible oralmost« simplify »asystem too complex, and the example of the « clashofsimplification »desired by theDutchgovernmenthereisquite revealingas heindeedcreated newlaws thataddedtothe complexity of thefrenchState.Finally,in a complex society, individuals are highly specializedandnotby definitionmasterthe skillsnecessary forsurvivalin a worldmore« natural. »Thereforea complex societymakes peopleless resilientasdependent on otherswho haveother skills.The complexitythusmakes each of usmore sensitive anddelicateto the vagariesof the world.
One factormaylead to a collapse! …Though!
Our companiesareboth complexand therefore fragilebutup to a pointthis complexityand this « technicality » possible to findsolutions andworkarounds.A complex societyisa certainadaptableway. This iswhy, apart from a totallyextremehazards,the collapse of acivilizationis alwaysmultifactorialand itis theconvergenceof economic,social, political, orculturalenergy.
So some people thinkthat a majorenergy crisiswould not beable to conductour industrial societiestocollapse. While this may seemlogicalif we assumethat the fallsof civilizationsare multifactorial, it is nevertheless forget too quicklyhowour wholelifenow dependsoil andits derivatives.We areat the endof the age ofabundantand cheapoiland the problem isalso notto know when tosinkthe lastdrop of oilthe last wellthathow muchwill costthe barrelswhen theytrulyrare.Our medicines,our medicine, our clothing,our food,ourfertilizer, our furniture, everything, absolutely everythingnow depends onthe availabilityof fossilenergy.No civilizationin historyhasnever been sodependent onenergyfairyand mostenergytodayis oil. We are unableat this time toconduct whatis called thetransition to cleanenergyorrenewable energy.
So I thinkfor the first timein our history,one factor,andwe will consolidateallunder the term « raw material »can lead to acollapse ofsocieties as weknow them soitessential to oureconomic systemis missingblood.Now,and allthe figuresclearly show, they are running out.
To goa little furtherin the reasoning, the Roman Empire had nopower sourceother thanthe armsof slaves.Its collapsewas thereforeactuallymultifactorial. The same phenomenaare more or lessrepeateduntil the emergenceof our civilizationthatwe can call« Industrial ». Without energywe are doomed toa very short timeandthisiswhat explains, do not be naive, the need to intervenein Iraq, Libya, Syria, or Ukraine.All countriesof the world areengaged in a« softwar »to raw materials.Whenreallymissthose« softwar » could becomefar moredangerous.
So obviously, you want stillhopeandthat therealwayshas solutions.
These mechanismscollapsesare theyirreversible andcan we havesome hope?
The besthistorical exampleto me isthehistory of humanity, the latter punctuated bymajor shocksandreadjustmentsoften surprising.
Contraryto popular belief, thefall of the RomanEmpiredid not meanthe end of allcivilization and alltechnique,although thisobviouslyrepresenteda« regression ». Nevertheless, the following civilizationsalways manage toovercomethe technological and economicthreshold forthat preceded them. At leastthisisthecase in the historyof the West.
The problemis to askwhat mightreplace theglobalized societyat a time whennocons–model exists toreplace them,whichin itself issomethingtotally newhistorically.
A collapseof this systemwhere everyone isinterdependentwilllogicallygloballyand nothing willcomeinplacealternative.
When a systemcollapsesonce, he always had the ability to beabsorbedby a more powerfulneighbor(it wasthe case ofRomewiththe military power ofthe Germanic tribesand intellectualmatrixof Christianity), which is actuallyunthinkablein the current stateof things.
Whatcould leadtoacollapse of oursocial models? Should we gotofeara new MiddleAges?
As I saidearlier,we canseparate theend of apolitico-economic system of the end of a civilization, to which we can add athird scenario,far moreapocalyptic, namely the end of humanity.
Most disturbingisthat this pattern, as spectacularas it is,is notentirelyruled out.
Beyondtheglobalizedaspect of oursystem, further weaknessisto considertoday:our incrediblepotential for technologicaldestruction.
When the RomanEmpire collapsed, there was nolaboratoryP4focusingmasses ofdeadly viruses, or nuclearpower plants, let alone nucleararsenalscapable ofvitrifiedhundred timesthe entire planet.
Orone can legitimatelywonder whatwould happen ifever thesestructureswere no longer managedby competent staff. Moreover, thisissue ofpotentialtechnologicaldestructionwas a realproblemduring the collapseof the SovietUnion withanuclear warheadobsessionis foundsoldon the black marketby militarywhose balanceswere notpaidsinceseveral years…!!
If wecan always hopethat the capitalist system, in itsnarrowestacceptance(respect for private means of productionin theproperty)can rely onhis incredibleability to adaptto findnew lifeand newoperatingassumptions(likethe circular economyfor example), black scenariosare thereforeclearlynot be excluded.This brings usto thegroundbreaking bookby NassimTaleb, TheBlackSwan, forwhichitshapes ourhistoryis not the« average normal events » … but the extremeand highlyimprobable events.
The collapseisinevitable, then,?
The answerwill not likeyou becauseyou do not likebad news, but yes, the collapse of civilization aswe know itis only a matterof time andeven ifthese subjectsbecause they areparticularlyanxietyare not publiclydetailed, allthose who thinkita bitseriouslycome to the sameconclusion.
The growthof the world populationis exponential, but our resourcesare not. The problem canbe summed upfairly simply. Or we findmore resources andIcan guarantee you thatit’s noton Earthaswe find them, or we reduce our consumptionofresources, orwe reduce ourpopulationsodemand.
Sothere are threeparameters andnot one morethat you canplay. There isthisproblemthreevariablesand they are perfectlywell known.
More resources. Less consumptionofresources Lessresource-intensive.
Formore resourcesshould beas in thediscovery of America, and it was aconsiderablecontribution innew wealth andresources toold Europe,we leftthis time notourcontinentto discovera new one,butwe were going tooperateon another planet.Mustwe dobeforewecollapsewhich obviouslylooks verybad start.
We candrastically reduceour consumptionandthisis whathappens withunemployed workers and« poor »aremillionstobediminishingbynecessity, notby choice.We can go backto amuch simplerway oflife, leave the citiesandmove closer tothe earth.Cities arean aberrationin terms ofcityresourcessincebydefinition mustdo everythingtobringdepends on allservicesandsupports. He has noautonomy as possible.It can notgroworraise chickensorrabbitsitselfhoused ina hutchoverpriced.Ihope we canadapttothat waybecause if wedo not do thatthenthere will only bethe last variable.
Reducethe human population…it can be doneby disease, war or famine.Choose yourendoryour hungerbutin any casethis option isvery unpleasant.
How to prepare?
AgainI pointyoulinkan articleI wroteabout itrecently, entitled « How to prepare for the economic collapse. »
Please notethat accessto raw materialsproblems, which we arealready experiencing, are above alleconomic problems.Remember that beforethe subprime crisisin 2007,we wereallglued tothe priceof oileyeswhich exceeded$ 150 a barrel!!Whyin your opinion?Just becausethere wasenoughoilto supplypower to aworldineconomic growth.
This means thatgrowth will notreturnCANunlikeanything weexplainourgoonsleadersfor the simplereason thatif we hadafuturestrong global economicgrowth, whilethecommodity pricesflamberaitand thatbrand, thevery high pricesof raw materialswould« break » theeconomic growth andrecoverywould be strong. It is essential tounderstand this mechanism. Everyonehas forgottenorobscured, butfrom 2005 to 2007yetwe‘ve all been there andwe were able tomeasure the effect ofresource scarcity. While the economyis in troublearound the world, the price of oilis now10times higher thanduring the firstGulf War!!!
So be awarethat no matter whatthey tell you, there will beno returnto strong andsustainable economic growth.We arealreadybackinthe era ofscarcityandbefore the time ofthe collapse.
Thenstorewhichwill come in handy, have tools andnot « made in china », have plenty to keepwaiting for yourfirst harvest, learn to grow, sewing, repairing,horseback riding,hunting,trapping, learn tocope andto becomeas independent aspossible, and particularlyif you canleave the citiesbecause in case ofcollapse of civilizationcitieswill offer nochance of survivalin the long runand it is exactlythatitis happening in Greece. In Greece,it is a trueurban migrationtaking place. 60% of Greeks want to joincitiesthe countryside,pastboardshelloto tackleurban poverty.
Whilesomewill saybut it’s muchtoo pessimisticasanalysis oras an approach! Except thatmy dear friends,the crisis beganin the summer of2007!There arealmost 7 years!!We arewaitingfor 7full yearsthe returnto growththatwe are promisedto eachpresidentialgreetingseason!!!7 yearswaitingtocomesee nothingexceptmore miseryandmore poverty,moredamageto ourway of life,more taxes andless wealth…This movementis not just aboutour country.It is global.
Soafter 7years of waiting, do not you thinkthatthe right questionis notrather to askand ifthe collapsehad already begun? And ifthe collapsewas not « brutal » as indicated byNASA, butjustrelativelyslow?Andin your opinion,howthe RomanEmpirewas itcollapsed? April 16,3:23 p.m.at376? Inreality,NASAledusallastrayin this case, the collapse of a civilization,because it hasstructures, rules, laws, official bodies, culture, technique, etc.because shealwayshas aformof strength andresilience thatexplainedits success anddevelopmentneversuddenly collapses. At first itis a slowdecay, almostimpalpableoris confusedwithtemporary crisisterminal crisisandthe eventsgraduallyaccelerate,and finallythe last stage, when reachingcertain « threshold effects » that is tosay, asufficient accumulationofproblems, sothe endof the fall isbrutal.
The collapsehas already begun.It is economical,technological, environmental, social, political andmoralcourse. This isnot the endof the world butthe endof a system,andone in whichwe all livetoday.
Oui elle fait peur cette étude de la NASA , mais c’est mathématique, inévitable : on ne peux pas faire de croissance infinie dans un monde fini , je rappel ce principe fondamental , avec le dessin du futur : L’overshoot !
Vous avez certainement dû entendre parler de la dernière étude de la NASA sur la chute de nos civilisations. Selon cette étude, nous en avons au mieux pour quelques décennies avant de disparaître de la surface de la Terre. Au-delà de l’alarmisme affiché aussi bien dans cette étude que dans ses conclusions, l’humanité tout entière fait face à des défis d’ampleur historique. Il me semblait intéressant d’essayer de revenir sur cette étude qui a déchaîné de très nombreux commentaires sur les réseaux sociaux et dans ma messagerie électronique !! Essayons donc d’y voir plus clair, et d’analyser ce sujet loin de toute panique et en prenant du recul.
Quel est le point de vue défendu par l’étude de la Nasa ?
Petite précision, vous trouverez en annexe le lien vous permettant d’avoir accès à l’original, c’est-à-dire au document complet, en anglais et en 27 pages !
On peut résumer cette étude en disant qu’elle pointe du doigt la menace d’épuisement des ressources naturelles et la répartition des ressources.
Les chercheurs ont utilisé un modèle mathématique baptisé Handy (Human and Nature Dynamical) et ont répertorié les raisons qui ont provoqué la chute d’autres civilisations : les Mayas, l’empire Mésopotamien, l’Empire romain, la dynastie Han, etc. En étudiant la dynamique homme-nature, l’étude montre qu’il y a un cycle récurrent constaté tout au long de l’histoire et qui provoque un « effondrement brutal » des civilisations.
Parmi les causes récurrentes d’effondrement, on retrouve : – le climat ; – la démographie ; – l’eau, l’agriculture ; – l’énergie.
Lorsqu’elle se produit, la convergence de ces facteurs aboutit à un effondrement civilisationnel.
« Pour les auteurs, il serait faux de croire que les progrès technologiques permettront de résoudre ces problèmes avant qu’il ne soit trop tard, car ils entraînent une consommation plus importante. Seule solution envisagée par cette étude : la mise en place de politiques adaptées qui viseraient à réduire les inégalités et la consommation des ressources. »
En clair, cette étude de la NASA prône en réalité la mise en place de politiques systématiques de « décroissance » pour sauver l’humanité.
L’effondrement des sociétés complexes du Professeur Tainter
C’est un excellent ouvrage. Je vous joins en annexe là encore le lien vous permettant de le lire ou le relire dans son intégralité. Pour résumer là encore, pour ce professeur américain qui a étudié avec minutie les effondrements de sociétés dans notre histoire les facteurs qui conduisent au drame sont les suivants :
1/ Les sociétés humaines sont des organisations faites pour résoudre les problèmes.
2/ Les systèmes sociopolitiques ont besoin d’énergie pour se maintenir.
3/ La complexité accrue porte en elle des coûts accrus par habitants.
4/ L’investissement dans la complexité sociopolitique, en tant que réponse à la résolution des problèmes, atteint souvent un point de rendements marginaux décroissants.
5/ À mesure que le rendement marginal de l’investissement dans la complexité décline, la société investit toujours plus lourdement dans une stratégie proportionnellement moins rentable. Il faut alors faire face aux poussées de tensions en dehors du budget de fonctionnement courant.
6/ Les rendements marginaux décroissants font de la complexité une stratégie d’ensemble de moins en moins séduisante, si bien que des parties d’une société perçoivent un avantage croissant à une politique de séparation ou de désintégration. Logiquement, divers segments de la population accroissent leur résistance active ou passive, ou tentent ouvertement de faire sécession.
Par rapport à cette grille de lecture, force est de constater qu’un pays comme la France obtient à peu près un sans-faute aux critères de l’effondrement. Comme quoi, nous pouvons être premier quelque part et avec facilité. Les exilés fiscaux, ou nos compatriotes qui font tout simplement le choix et ils sont de plus en plus nombreux à aller tenter leur chance à l’étranger, ne sont rien d’autre que des « segments de la population qui accroissent leur résistance active ».
Nous finançons notre complexité par toujours plus d’impôts sur toujours plus de choses comme la cigarette électronique, les boissons, et la créativité de nos élites est sur ce sujet sans limite. Le « choc de simplification » lancé par notre président est un vieux serpent de mer. Tout le monde veut simplifier la complexité, or la complexité s’est emballée, elle nous échappe, nous courons derrière elle. Nous la subissons. Aussitôt lancé, le choc de simplification fut bien vite oublié, et soyons francs, parmi vous… qui se souvient encore de ce sujet alors qu’il faisait la « une » de nos médias il y a moins d’un an.
Le Club de Rome et Dennis Meadows
Dennis Meadows est l’un des auteurs de l’étude visionnaire sur « Les limites à la croissance” qui, dès 1972, alertait sur le risque d’une crise d’effondrement dans la première moitié du 21e siècle provoquée par l’épuisement des ressources de la planète. Cela fait donc 40 ans que certains ont déjà tiré la sonnette d’alarme sur l’insoutenabilité de notre modèle économique basé sur l’idée suivante : « croissance infinie de la consommation de masse dans un monde fini ».
Or il n’est nul besoin d’aucun modèle mathématique pour comprendre ce que le simple bon sens d’un enfant permet de comprendre. La croissance infinie dans un monde fini est une aberration intellectuelle en soi. Or notre système repose pour le moment sur ce postulat aberrant. Pour le dépasser, il faudrait que nous puissions par exemple accéder à d’autres planètes et que nous puissions évidemment les exploiter de façon massive. C’est là encore illusoire tant les coûts et les technologies pour y arriver nous manquent.
Soyons réalistes. Il ne s’agit pas d’envoyer un équipage de courageux aventuriers modernes vers Mars pour quelques mois et de 4 personnes ! Il s’agirait de coloniser, d’habiter, d’exploiter et de rapatrier des ressources sur Terre. Nous devrions bâtir des cargos spatiaux au lieu de nos porte-conteneurs. Nous n’y sommes évidemment pas et nous risquons, car là est le problème, de ne jamais atteindre le moment où nous serons techniquement capables d’aller exploiter facilement une autre planète et de connaître notre effondrement bien avant.
Dennis Meadows n’est pas n’importe qui puisqu’il était le directeur du MIT, une très célèbre université, et son étude de 1972 a décrit plusieurs scénarios d’évolution possible de l’économie, de la population et des ressources mondiales, chaque scénario correspondant à des choix différents que l’humanité pouvait collectivement faire à partir de 1972. Leur scénario « On continue comme avant », qui correspond grosso modo à ce qui s’est passé par la suite, prédisait que l’approche des limites de la planète commencerait à exercer un fort impact sur la croissance à partir des environs de l’année 2010, impact qui irait ensuite croissant, finissant par déboucher d’ici 2050 au plus tard sur un effondrement, c’est-à-dire une baisse précipitée du niveau de vie et peut-être de la population mondiale, dans une situation d’épuisement des ressources et de l’environnement naturel.
Pour ceux qui voudront approfondir ce sujet (et je le leur conseille), vous trouverez le lien vers la dernière interview donné par Monsieur Meadows et en français dans le texte !
Maintenant que nous avons vu à travers les travaux de 3 personnes ou groupes différents que l’idée d’un effondrement était loin d’être aussi improbable, posons la question qui fâche vraiment !
La civilisation occidentale est-elle aujourd’hui menacée sérieusement de disparition ?
Je parlerais plutôt d’une possible disparition de la civilisation telle que nous la connaissons dans le sens où le délitement des structures occidentales ne signifie pas qu’elles seront remplacées par un nouvel « âge sombre ». L’actuelle crise économique peut à ce titre être considérée de deux façons : elle pourrait être un élément directement déclencheur de notre potentielle chute ou bien un élément précurseur à travers les tensions qu’elle pourra générer dans les prochaines années, dans ce cas cela signifierait qu’en réalité, l’effondrement a déjà commencé.
Ce rapport de la NASA fait par ailleurs écho, comme nous l’avons vu à d’autres travaux, notamment ceux du Club de Rome qui avait analysé sous un angle environnementaliste les cycles d’exploitations des matières premières. Il avait ainsi été conclu que la croissance économique finirait par connaître une fin logique face à la limite des ressources naturelles disponibles dans un système de consommation de masse, l’idée de base pouvant être résumée par « la croissance infinie dans un monde fini est par définition impossible ». L’autre texte de référence en la matière est celui de l’américain Joseph Tainter (L’effondrement des sociétés complexes) qui relève d’une analyse plus politique et historique sur la fin des grandes civilisations.
Cela nous amène effectivement à se demander si le système que nous connaissons, basé sur la consommation et la production de masse, peut tenir éternellement en reposant sur l’abondance complète des matières premières et de l’énergie, le tout devant être disponible à un coût très bas !
À l’instar de la NASA et du Club de Rome, je suis de ceux qui pensent que de telles structures ne peuvent durer, en particulier dans un contexte mondialisé comme le nôtre. Une fois que cela est dit, il ne faudrait pas dire que notre situation est pour autant désespérée : ce n’est pas parce que notre système ne peut plus faire de la consommation de masse sa pierre angulaire que la civilisation en tant que telle est condamnée à l’effondrement. Il ne faudrait pas confondre à ce titre le système économique pur (ainsi que son corollaire le monde politique) d’une civilisation dans son ensemble : la chute récente du système soviétique est là pour rappeler l’importance de telles nuances. La fin d’un système économique n’est pas la fin d’une culture et encore moins la fin d’une civilisation, en revanche cela peut aussi le devenir !
La complexité fragilise une société la rendant sensible au moindre changement
Il est clair que la compréhension et la prédiction de notre environnement est de plus en plus difficile. Tainter évoque l’idée, de manière assez pragmatique du reste, qu’une société se fragilise au fur et à mesure qu’elle devient plus performante, et donc plus complexe.
Par exemple, il n’y a pas 20 ans de cela, il était possible pour à peu près n’importe qui de réparer le phare de sa voiture, un simple changement d’ampoule étant nécessaire pour y arriver. Aujourd’hui, un tel problème demande de se rendre à la concession, d’utiliser des outils spéciaux, de démonter la moitié du pare-chocs, et d’acheter une ampoule spéciale dont le prix est 10 fois plus important.
Dans la même logique, la multiplication des équipements électroniques de nos automobiles multiplie les sources de pannes, et ces pannes sont aujourd’hui impossibles, ou presque, à réparer pour l’individu moyen. De moins en moins autonomes, nous finissons par dépendre de ce que l’on appelle les « services-support » (fourniture d’eau, d’énergie, de nourriture, de vêtements par des services extérieurs…). Plus ces services se popularisent plus ils fragilisent par définition un équilibre d’ensemble en généralisant l’interdépendance.
Ainsi, lors des tempêtes de neige du début de l’année 2013, le gouvernement avait été obligé d’immobiliser les semi-remorques à l’entrée de l’Île-de-France, ce qui avait fini par créer des pénuries dans plusieurs secteurs au bout de quelques jours. Dans un registre similaire, l’impact du tsunami qui a frappé le Japon en mars 2011 sur les entreprises japonaises avait fini par créer des problèmes d’approvisionnement aux quatre coins de la planète. Autrement dit, plus nous développons des systèmes spécifiques, moins nous sommes capables de nous adapter à des événements imprévus.
Cette question de la complexité est d’ailleurs d’autant plus préoccupante qu’elle n’est plus tellement limitée dans l’espace à l’ère de la globalisation. Le problème est qu’il est impossible ou presque de « simplifier » un système trop complexe, et l’exemple du « choc de simplification » souhaité par le gouvernement Hollande est ici assez révélateur puisqu’il a en vérité généré de nouvelles lois qui ont encore ajouté à la complexité de l’État français. Enfin, dans une société complexe, les individus sont ultra-spécialisés et ne maîtrisent plus par définition les savoir-faire nécessaires à une survie dans un monde plus « naturel ». Une société complexe rend donc les gens moins résilients car dépendants des autres qui détiennent d’autres compétences. La complexité rend donc chacun de nous plus sensible et plus fragile aux aléas du monde.
Un facteur ne peut conduire à un effondrement !… Quoique!
Nos sociétés sont à la fois complexes donc fragiles mais jusqu’à un certain stade cette complexité et cette « technicité » permettent de trouver des solutions et des palliatifs. Une société complexe est aussi d’une certaine façon adaptable. C’est la raison pour laquelle, hormis un aléas totalement extrême, l’effondrement d’une civilisation est toujours plurifactoriel et il s’agit de la convergence de facteurs économiques, sociaux, politiques, énergétiques ou encore culturels.
Certains pensent donc qu’une crise énergétique majeure ne serait pas en mesure de mener nos sociétés industrielles à un effondrement. Si cela peut sembler logique si l’on admet que les chutes des civilisations sont multifactorielles, c’est néanmoins oublier un peu vite à quel point l’ensemble de notre vie dépend aujourd’hui du pétrole et de ses dérivés. Nous sommes à la fin de l’âge du pétrole abondant et peu coûteux et le problème n’est d’ailleurs pas tant de savoir quand coulera la dernière de goutte de pétrole du dernier puits que de savoir combien coûteront les barils lorsqu’ils seront véritablement plus rares. Nos médicaments, notre médecine, nos vêtements, notre alimentation, nos engrais, notre mobilier, tout, absolument tout dépend aujourd’hui de l’accessibilité aux énergie fossiles. Aucune civilisation dans notre histoire n’a jamais été aussi dépendante de la fée énergie et l’essentiel de l’énergie aujourd’hui c’est le pétrole. Nous sommes incapables pour le moment de mener ce que l’on appelle la transition énergétique vers les énergies propres ou renouvelables.
Je pense donc que pour la première fois dans notre histoire, un seul facteur, et nous regrouperons tout sous le vocable « matière premières » peut aboutir à un effondrement des sociétés telles que nous les connaissons si ce sang indispensable à notre système économique venait à manquer. Or, et tous les chiffres le montrent sans ambiguïté, ils sont en train de manquer.
Pour aller un peu plus loin dans le raisonnement, l’Empire romain ne disposait d’aucune source d’énergie sauf celle des bras des esclaves. Son effondrement était donc effectivement multifactoriel. Les mêmes phénomènes se sont peu ou prou répétés jusqu’à l’émergence de notre civilisation que nous pouvons qualifier « d’industrielle ». Sans énergie nous sommes condamnés à très brève échéance et c’est également ce qui explique, ne soyons pas naïfs, la nécessité d’intervenir en Irak, en Libye, en Syrie, ou encore en Ukraine. Tous les pays du monde sont lancés dans une « guerre douce » aux matières premières. Lorsqu’elles manqueront vraiment ces « guerres douces » pourraient devenir autrement plus dangereuses.
Alors évidemment, on a envie tout de même d’espérer et se dire qu’il y a forcément des solutions.
Ces mécanismes d’effondrements sont-ils irréversibles et peut-on avoir un peu d’espoir ?
Le plus bel exemple historique est selon moi l’Histoire de l’humanité, cette dernière étant ponctuée de grands chocs et de réadaptations souvent surprenantes.
Contrairement à une idée reçue, la chute de l’Empire romain n’a pas signifié la fin de toute civilisation et de toute technique, bien que cela ait évidemment représenté une « régression ». Néanmoins, les civilisations qui suivent arrivent toujours à dépasser le seuil technologique et économique de celles qui les ont précédés. Du moins est-ce le cas dans l’histoire de l’Occident.
Le problème est de se demander ce qui pourrait remplacer la société globalisée à une époque où aucun contre-modèle n’existe pour s’y substituer, ce qui est en soi quelque chose de totalement inédit sur le plan historique.
Un effondrement de ce système où chacun est interdépendant se fera en toute logique à l’échelle mondiale et rien ne pourra venir se placer en alternative.
Lorsqu’un système s’effondrait autrefois, il avait toujours la possibilité d’être absorbé par un voisin plus puissant (c’était le cas de Rome avec la puissance militaire des tribus germaniques et la matrice intellectuelle du christianisme), ce qui est effectivement impensable en l’état actuel des choses.
Vers quoi pourrait mener un effondrement de nos modèles de société ? Faut-il aller jusqu’à craindre un nouveau Moyen Âge ?
Comme je le disais plus haut, on peut dissocier la fin d’un système politico-économique de la fin d’une civilisation, ce à quoi on peut ajouter un troisième scénario, autrement plus apocalyptique, à savoir la fin de l’humanité.
Le plus inquiétant est que ce schéma, aussi spectaculaire soit-il, n’est pas à exclure entièrement.
Au-delà de l’aspect globalisé de notre système, une fragilité supplémentaire est à prendre en compte aujourd’hui : notre incroyable potentiel de destruction technologique.
Lorsque l’Empire romain s’est effondré, il n’existait pas de laboratoires P4 concentrant des masses de virus mortels, ni de centrales nucléaires, et encore moins d’arsenaux nucléaires capables de vitrifier cent fois la planète entière.
Or on peut légitimement s’interroger sur ce qu’il se passerait si jamais ces structures n’étaient plus gérées par un personnel compétent. D’ailleurs, cette problématique du potentiel de destruction technologique fut une véritable problématique lors de l’effondrement de l’Union Soviétique avec la hantise qu’une ogive nucléaire se retrouve revendue au marché noir par des militaires dont les soldes n’étaient plus payées depuis… plusieurs années !!
Si l’on peut toujours espérer que le système capitaliste, dans son acceptation la plus resserrée (respect de la propriété privée dans les moyens de production), puisse s’appuyer sur son incroyable capacité d’adaptation pour trouver un nouveau souffle et de nouveaux postulats de fonctionnement (comme l’économie circulaire par exemple), des scénarios noirs ne sont donc clairement pas à exclure. Cela nous renvoie à l’ouvrage phare de Nassim Taleb, Les Cygnes Noirs, pour qui ce qui façonne l’histoire de l’humanité n’est pas la « moyenne normale des événements »… mais les événements extrêmes et hautement improbables.
L’effondrement est-il donc inéluctable ?
La réponse ne vous plaira pas, car on n’aime pas les mauvaises nouvelles, mais oui, l’effondrement de la civilisation telle que nous la connaissons n’est qu’une question du temps et même si ces sujets parce qu’ils sont particulièrement anxiogènes ne sont pas publiquement détaillés, tous ceux qui y réfléchissent un peu sérieusement aboutissent à la même conclusion.
La croissance de la population mondiale est exponentielle mais nos ressources ne le sont pas. Le problème peut donc se résumer de façon assez simple. Soit nous trouvons plus de ressources et je peux vous garantir que ce n’est pas sur Terre que nous les trouverons, soit nous réduisons notre consommation de ressources, soit nous réduisons notre population donc la demande.
Il y a donc trois paramètres et pas un de plus sur lesquels vous pouvez jouer. Il n’y a dans ce problème que 3 variables et elles sont parfaitement connues de tous.
Plus de ressources. Moins de consommation de ressources Moins de consommateurs de ressources.
Pour le plus de ressources, il faudrait comme lors de la découverte de l’Amérique, et ce fut un apport considérable en nouvelles richesses et ressources pour la vieille Europe, que nous quittions cette fois non pas notre continent pour en découvrir un nouveau, mais que nous allions exploiter une autre planète. Il faut que nous le fassions avant de nous effondrer ce qui évidemment semble très mal parti.
Nous pouvons aussi réduire de façon drastique notre consommation et c’est d’ailleurs ce qui se passe avec nos chômeurs et nos « pauvres » qui sont des millions à être décroissants par nécessité et non par choix. Nous pouvons revenir à un mode de vie beaucoup plus simple, quitter les villes et se rapprocher de la terre. Les villes sont une aberration en termes de ressources puisqu’un citadin par définition doit tout se faire apporter et dépend de l’ensemble des services de supports. Il n’a aucune autonomie possible. Il ne peut ni cultiver, ni élever des poules ni de lapin lui-même logeant dans un clapier hors de prix. J’espère que nous saurons nous adapter de cette façon-là car si nous ne le faisons pas alors il ne restera que la dernière variable.
Réduire la population humaine… cela peut se faire par la maladie, les guerres ou la famine. Choisissez votre fin ou votre faim mais dans tous les cas cette option est fort désagréable.
Comment se préparer ?
Là encore je vous indique en lien un article que j’avais écrit à ce sujet récemment et intitulé « Comment vous préparer à l’effondrement économique ».
Sachez que les problèmes d’accès aux matières premières, auxquels nous sommes déjà confrontés, sont avant tout des problèmes économiques. Souvenez-vous qu’avant la crise des subprimes en 2007, nous avions tous les yeux rivés sur le prix du baril de pétrole qui avait dépassé les 150 dollars le baril !! Pourquoi à votre avis ? Tout simplement parce qu’il n’y avait plus assez de pétrole pour fournir en énergie un monde en croissance économique forte.
Cela veut dire que la croissance ne PEUT pas revenir contrairement à tout ce que nous expliquent nos crétins de dirigeants pour la simple et bonne raison que si nous avions demain une croissance économique mondiale forte alors le prix des matières premières flamberait et qu’en flambant, le prix très élevés des matières premières viendrait « casser » la croissance économique et la reprise qui serait forte. Il est indispensable de comprendre ce mécanisme. Tout le monde l’a oublié ou occulté, mais de 2005 à 2007 nous l’avons pourtant tous vécu et nous avons pu mesurer l’effet de la raréfaction des ressources. Alors que l’économie se porte mal partout dans le monde, le prix du pétrole est aujourd’hui 10 fois plus élevé que lors de la première guerre du Golfe !!!
Soyez donc conscient que quoi que l’on vous raconte, il n’y aura pas de retour possible à une croissance économique forte et durable. Nous sommes déjà rentrés dans l’ère de la rareté et elle précède le moment de l’effondrement.
Alors stockez ce qui vous sera utile, ayez des outils et pas « made in china », ayez de quoi tenir en attendant votre première récolte, apprenez à cultiver, à coudre, à réparer, à faire du cheval, à chasser, à piéger, apprenez à vous débrouiller et à devenir le plus autonome possible, mais surtout si vous le pouvez quitter les villes car en cas d’effondrement de la civilisation les villes n’offriront aucune chance de survie à long terme et c’est exactement ce qu’il se passe en Grèce. En Grèce, c’est un véritable exode urbain qui a lieu. 60 % des Grecs des villes veulent rejoindre les campagnes, dernières planches de salut pour affronter la misère urbaine.
Alors certains me diront mais c’est beaucoup trop pessimiste comme analyse ou comme approche ! Sauf que mes chers amis, la crise a commencé à l’été 2007 ! Il y a presque 7 ans !! Nous sommes en train d’attendre depuis 7 années entières le retour de la croissance que l’on nous promet à chaque vœux présidentiels de fin d’année !!! 7 années d’attente pour ne rien voir venir si ce n’est plus de misère et plus de pauvreté, plus de dégradations dans notre mode de vie, plus d’impôts et moins de richesses… Ce mouvement ne concerne pas que notre pays. Il est mondial.
Alors au bout de 7 années d’attente, ne croyez-vous pas que la bonne question ne serait pas plutôt de se demander et si l’effondrement avait déjà commencé ? Et si l’effondrement n’était pas « brutal » comme l’indique la NASA, mais justement relativement lent ? Et à votre avis, comment l’Empire romain s’est-il effondré ? Le 16 avril 376 à 15h23 ? En réalité, et la NASA nous induit tous en erreur dans ce cas, l’effondrement d’une civilisation, parce qu’elle a des structures, des règles, des lois, des corps constitués, une culture, une technique, etc., parce qu’elle possède forcément une forme de force et de résilience qui ont expliqué son succès et son développement ne s’effondre jamais brutalement. Au début, c’est une lente déliquescence, presque impalpable ou l’on confond crise passagère avec crise terminale, puis les événements s’accélèrent progressivement, et enfin, au dernier stade, lorsque l’on atteint certains « effets de seuil », c’est-à-dire une accumulation suffisante de problèmes, alors la fin de la chute est brutale.
L’effondrement a déjà commencé. Il est économique, technologique, environnemental, social, politique et évidemment moral. Il ne s’agit pas de la fin du monde mais de la fin d’un système, celui dans lequel et par lequel nous vivons tous actuellement.
Nous ouvrons aujourd’hui une série d’articles sur les archives nazies en ma possession.C’est un travail qui ne se terminera jamais,compte tenu de la quantité accumulée.Elles seront parfois accompagnées d’une analyse pouvant provenir de chercheurs allemands ,de mes correspondants et de moi-même.
Ces archives prouvent que l’édification du parti nazi et l’accession au pouvoir du Führer Adolph Hitler,ne sont pas le fruit du hasard et que tout a été préparé minutieusement par des sociétés secrètes qui se sont regroupées autour de la Société de Thulé (ou Groupe Thulé) et particulièrement la Société du Vril.
Tard le 6 juin 1944, Adolph Hitler s’entoura de ses généraux…pour consultations.
En 1919, la Société de Thuléa été fondée enAllemagne par un groupe d’ultra-nationalistes dans le but de rebâtir la puissance politique et militaire allemande. Dece groupe la sociétéVrila étéséparée de l’ensemble lui-même…afin d’atteindre la solutionciblée :soit développer des technologiesde propulsionet de les utiliser pour atteindre une suprématie militaire.
Voici l’appareil qui aurait été dessiné par Maria Orsic et développé autour d’un moteur à implosion.
À l’été1922 ,sous les conseils et les plans de la voyante Maria Orsic (ou Orsich) ,la premièresoucoupe volante fut construite en forme debateau volant, en utilisant comme base l’implosion,comme moyen de propulsion. Elle se composait d’undisquedehuitmètres de diamètre,surla partie centrale était monté un disqueparallèledesix mètres et demi de diamètre ,et comprenanten outreundisquedeseptmètresde diamètre supplémentaire. Cestroisdisques fonctionnaient par une unité d’entrainement de 2,40 mètres centrée au milieud’un trou 1,80 m (un troumesuré avec une extrème précision) . En dessous , courait lecorps moyend’unepointeen forme de cônede la atteingnant le fondement de l’appareil ,servant comme un pendule pour la stabilisation de l’engin. Dansl’état activé, le disque leplus bas etle disque supérieur …tournaient en sens inverse ce qui permettait en premier, de construire un champélectromagnétiquetournant. Après services rendus, cepremier disquevolantest tombé dans l’inconnu…et l’oubli. En tout cas ,il servit pendant deuxans à faire del’expérimentation, avant qu’il fut démonté et probablement rangé dans les ateliers AugsburgerMesserschmidt .
Le disque volant monté par Maria Orsic en forme de bateau correspond à ce dessin …récupéré au sous-sol des archives allemandes.
Certes,sortie tout droit de cette période de rodage la machine volanteVRILTriebwerk ,toutefois, permit de mettre au point le Schumann SM-Levitator »,une invention venant des recommandations de nulle autre personne que Maria Orsic. Sous la directiondu professeurWOSchumann,est néle premier avionexpérimental en forme de disque , le fameux RFZ1, sur le sitede l’usineaéronautique allemandeArado ,à Brandebourg. Dans sa premièreetaussiparallèlement…sondernier vol:ils’est élevé verticalementàune hauteur d’environ60 m, maisa commencé plusieursminutesde culbutage et de danse …non contrôlée dans l’air . L’ajout de la queueArado196s’est avéréetotalement inefficace. C’est avec beaucoup de difficultés que le piloteLotharWaiz, a réussi à rapporter le RFZ1 sur le terrain, pour ensuite sauteret s’enfuiravant que le disque volant ait commencéde se comportercomme une toupie, puis est tombésur le sol durement pour littéralement se déchiqueter. Ce fut la findu RFZ1, mais le début réel des appareils Vril …mêmeavant la fin de1934 quand leRFZ2a ététerminé Il s’agissait d’une machine volante Vril qui se propulsait grâce à un contrôle des impulsions magnétiques ». Ilcorrespond à5mde diamètre etprésente les caractéristiquesde vol suivantes: Flouoptiquedes contoursde plus en plusde vitesse etles lumières colorées typiques des ovnis de nos jours. Les lumières émanant des appareils étaient choisies selon le staded’entraînement des pilotes :rouge, orange,jaune, vert, blanc, bleuouviolet. Ila travailléetila étéen 1941ont encoreun destinremarquabledevant lui. et Bien qu’il ait étépendant la «bataille d’Angleterre» appelée phase dela guerre, lorsque le les chasseurs classiquesallemandsME109 furent écartés des volstransatlantiquesde reconnaissanceen raison de leurtrop court , la Gamme des appareils Vril s’est révélée inefficace en tant que chasseur et fut utilisé commereconnaissance à longue portée.
HORS TEXTE
*Fin1941, le RFZ2 était photographié dans Atlantique Sud , commesurle chemin du croiseur auxiliaireAtlantisdans les eaux de l’Antarctique.Cette relation particulière est devenue une preuve embarrassante pour les rationalistes qui cachent souvent ce détail.Aucun livre d’histoire sur la Deuxième Guerre Mondiale n’aborde ce sujet.On appelle cela « du sérieux »…moi j’appelle cela « une déformation de Vérités ».On nous présente seulement ce qui fait l’affaire des politiciens et des professeurs d’histoire. La raison pour laquelleilne pouvait pas êtreutilisé commeun appareil combat est : parce que leRFZ2 en raison deson contrôledel’impulsionque les changements dedirectionde90°, 45°et22,5° qu’il pouvaiteffectuer. Incroyable!.. sera ce que certains vontpenser–mais exactementcesrectangulaires changementsde vol sont le comportement de ces soi-disantsovnis de notre époque et sont liés à des comportementdevoltout à fait typiques que ceux rapportés par les témoins actuels.
Après le succès fantastique delapetite soucoupe volante RFZ2comme appareil à longue portée pour la reconnaissance ,Enrich Himmler et Goering demandèrent à laSociété du Vril de bâtir unsited’essais privésen Brandebourg. Fin de 1942 ,des améliorations portées à l’appareil permirent le développement du disque volant « Vril-1 de combat« . Il avait11,5 mètres de diamètre,c’ étaitunmonoplaceet elle était équipé d’un appareillage mis au point par Schumann ,un savant membre de la VrilSociety!
Était-il le Premier Ovni allemand ? …Ma réponse est oui!
……………………………………………………………… Le levitator»et un champmagnétique pour le contrôlede l’Impulsor
Photo d’un Vril 1 …au-dessus du Reichstag à Berlin.
Avec ce nouveau matériel dont l’origine provient de l’ovni écrasé en Forêt Noire,en octobre 1936,le Vril 1 a atteint une vitessede2.900à 12.000 km / h, était enpleinschangements devitesses en vol …en perpendiculairement…avec des virages àeffectuersans que le pilote (ni de près ) ni de loin ne soit touché.L’habitacle intérieur était indépendantdu temps extérieur et avait uneWeltallfähigkeit (traduction libre suggérée: l’envergure d’un espace autour d’un pilote qui lui permet d’absorber un choc )! de100%. Du VRIL1,on construira 17 véhicules (ou disques volants)et il y avaitaussi plusieursbiplaces , équipés d’undôme de verre variants. Toujours à cette époque ,entraînédans un projet distinct, on termina le Vril-7 dont plusieurs disques volants porteront ce nom .C’est sous ce nom aussi que seront construits plusieursdisques volants avec des moteursà réactionclassiques. C’est sur la base du Vril 1 qu’AndreasEpp lancera la construction duRFZ7, une combinaison d’undisqueen lévitationde volavec propulseur par réaction. Acela, lesgroupes de développementSchriever–Habermohl etMiethe- ont travaillé aussi avec l’ingénieur italien Belluzo.
LeRFZ7avait un diamètre de42m, mais qui s’écrasa et se détruisit complètement lors d’un atterrissageau Spitzberg.Toutefois, une réplique du RFZ7a été photographiéà l’extérieur dePraguetard. En Juillet 1941 , SchrieveretHabermohl construisirent unADAVà propulsionà jets en forme de disque,mais qui avaitaussi des lacunes.
« Nous avons développéune nouvelleElektrogravitations-Flugkreisel»avec, tachyonsdurs, qui a été un succès ».
Ceci a été suiviparlaRFZ7T, que Schriever, HabermohletBelluzo ont construits et qui était aussi pleinementfonctionnel .
Les disques volants V-7 ont été, cependant , une espèce de jouet , comparés auxdisquesVriletHaunebu. Encore une fois, la distinction VriletHaunebutranche sensiblementl’une de l’autre. C’étaitprincipalement parce que lesmissilesVrildes avionneurs ont étéréalisés dans leursœuvres, etlesHaunebusdans les chantierssous-marins. d’où lesHaunebusétaient beaucoup plusstable, maisaussiplus lourd grâce à un sytème basé sur des lois d’AntiGravitation. Toutefois,le lecteurn’a pas de signification.
Dessin représentant l’appareil développé par les ingénieurs Schriever et Habermolt. En dessous ,une photo tirée des archives allemandes qui nous donne une aperçue de l’appareil.
Les employésetausside nombreux témoins ont rapporté de nombreux faits sur l’avance technologique allemande développée depuis surtout 1936. Depuis 1938, il y a eu des expéditions organisées vers l’Antarctique, oùle Reich allemand chercha à développer une base secrète sur le territoire de « Nouvelle Souabe » (ou Neue Schwabenland) . Les rapports decette période font état de transport massif de machinerie lourdeet d’équipements pour des installations minièresà traversdans ce domaine. L’hypothèse selon laquelleles Allemandsderrièrele développement de disques volants performants (Geschichte ) est , principalement due à des événementset des développements technologiques pendant le Troisième Reichattribué à: 1 Depuis1933,le développementdu Schnorkel Walter. Le premierV80 (sous-marinexpérimental) atteintdéjà dès le premier test ,une vitesse de croisière sous-marine (Unterwassergeschwindigk)de 26 noeuds(50km / h)etdépassant ainsià9 noeuds le record d’époque d’une vitesse atteinte par un sous-marin …et de loin. 2A partir de 1943, les Allemandstravaillaientà la puissance maximaledans la production de type de sous-marin (UBoot) révolutionnaire, Malgré que le chaoscroissant dela guerrejusqu’en 1945 eut encoreaugmenté.Beaucoup debateauxont disparu après la guerre, sans aucune action de l’ennemi. Le haut commandement du Reich avait ordonné que la production de sous-marindoitpartous les moyens être gardé hors del’effondrement général. Le sortde quelque 100sous-marins n’a jamais étérésolumême après la guerre.Aussi Lesrumeurs les plus follesont fait le tourici. Ainsi, par exemple, les nombreuxdirigeants nazis auraient gagné l’Amérique du Sud ou Neue Schwabenland avecces sous-marins.Mais ici, ilne s’agit pas de sous-marins nazismanquants, mais d’OVNIetdisquesVril…qui firent leurs apparitions au-dessus de l’Argentine et du Chili. Aprèslaseconde guerre mondiale, tout étaitdétruit et ce n’était pas le temps de perdre les plans et devis des disques volants Vril etHanebu qui pourraient être prisespar les Américains. parmi eux, des documents etcroquis desdisquesVrilainsi que d’unV–2 complet etla documentation appropriée. On sait que, sur la base duV2,le programmespatial de la NASAa abouti. Mais qui étaità l’entraînement desdisquesVril? Pensez-vous que les savants allemands pris au piège n’ont pas marchandé quelques croquis et documents aux militaires des Etats-Unis? Par conséquent, ilétaitde bonne guerre en 1947 de voir tant d’OVNI et d’observations d’engins inexpliqués,voire paranormaux dans leurs approches au-dessus des États-Unis!Ce sontdeux théories nouvelles (wiedersprüchliche). D’un côté,les OVNISde la Société du Vril (alliée à une force extraterrestre) et de l’autre les OVNI …d’origine allemande et ensuite américaine …et aussi soviétique?
Dessin d’artiste représentant l’appareil du crash de Freiburg,en 1936. Maria Orsic aurait reçu le message téléphatique d’un des occupants de l’appareil.
Les allemands ont ramassé un appareil en 1936 sur le sol de la Forêt Noire.Maria Orsic avait été elle-même contactée par un message téléphatique et avait alerté Enrich Himmler au téléphone.Il y aurait eu un seul survivant dans ce crash ovni et les soldats SS ont tout ramassés. La technologied’entraînementdes disquesVrilest en faitrien de nouveau(voir « The Philadelphia Experiment »).
Maria Orsic ,peu importe son origine et le lieu ou elle a fuit le 26 avril 1945,rêvait de fabriquer un engin spatial dont l’énergie provenait du Vril et de la puissance de la pensée humaine.Sa vision d’améliorer le monde en libérant l’humanité de la dépendance aux énergies polluantes et fossiles est toute proche de la mienne et elle correspond à la vision de Nicola Tesla .Il ne faut jamais regarder le positionnement politique d’un individu pour dire s’il (ou elle) est bon (ne).
NicolaTesla est reconnu depuis longtemps comme un pionnier pour son travail de recherche sur les énergies en général, mais la plupart de ses inventions n’ont jamais étédéveloppées.Les raisons de cette état de chose sont évidentes. Une source d’énergiequi est pratiquement« inépuisable » ne correspondpasà notre système économique capitaliste ,basé sur le profit et l’exploitation des masses. Doncvous ne pouvez pasfaire de l’argent avec ce qui est gratuit et à la portée de votre main.
CONCLUSION
Vous venez de lire mon entrée en matière sur les archives nazies qui vont nous emmener sur un long chemin qui passe par de nombreuses sociétés secrètes,de puissants médiums,des interventions extraterrestres,des explorations jusqu’aux Pôles,des découvertes scientifiques toujours cachées et censurées par la science rationaliste actuelle,de grands politiciens,des êtres démoniaques et sataniques et l’héritage qu’ils ont laissés aux gouvernants actuels pour leur permettre de consolider le Nouvel Ordre Mondial.
Si Adolph Hitler et les nazis avaient gagnés la guerre en 1945,nous aurions une autre planète avec d’autres divisions géopolitiques,une autre science et une religion nouvelle pour toute l’humanité…soit exactement ce que les Maîtres Actuels du Monde prévoient pour leur Nouvel Ordre Mondial.Comprendre la valeur de ce travail de traduction et d’évaluation des événements,c’est prévoir ce qui arrive …maintenant.
Au prochain article,nous allons commencer à divulguer les travaux de Jonas Epp qui forment une masse considérable de documents sur ces disques volants.
Des policiers italiens patrouillent l’aéroport de Rome.
L’affaire a mis les services de sécurité italiens en état d’alerte. Trente-cinq Algériens en provenance de Turquie pour rejoindre Alger via la capitale italienne ont disparu de manière inexpliquée à l’aéroport international de Rome.
Ces voyageurs, qui ont effectivement pris l’avion d’Istanbul vers Rome, n’ont pas rejoint Alger ni quitté officiellement l’enceinte aéroportuaire italienne, affirme l’agence de presse italienne ANSA selon laquelle la crainte des services de sécurité est d’autant plus grande que cette mystérieuse disparition de ressortissants Algériens intervient en pleine alerte Isis pour faire face à la menace terroriste de plus en plus forte en Europe et dans tout le Bassin méditerranéen.
Ces «fugitifs», comme les qualifie la presse italienne, seraient, selon le quotidien italien Il Messaggero, sortis «clandestinement» de l’aéroport de Rome en enfilant tout simplement des tenues qui ressemblaient à celles du personnel au sol et d’entretien de cette enceinte aéroportuaire. Selon le rapport de la police des frontières italienne, ces Algériens descendus de l’avion à l’aéroport de Rome pour prendre une navette vers Alger auraient ainsi trompé la vigilance des services de sécurité pour échapper au contrôle des documents.
Ce qui a été considéré comme «une catastrophe» par la police censée empêcher toute tentative d’entrée illégale dans le territoire italien. D’autres sources citées par les médias italiens ont indiqué que ces Algériens auraient quitté l’aéroport en escaladant les murs. Mais jusque-là aucune explication précise n’est donnée.
En raison de leur lien de provenance, à savoir la Turquie, pleine actuellement de «djihadistes» partis combattre le régime de Bachar Al-Assad grâce bien entendu à la bénédiction de l’Occident, les services de sécurité italiens craignent que ces Algériens ne soient pas des candidats à l’immigration clandestine. Ils redoutent qu’ils soient plutôt des «terroristes chargés de préparer des attentats en Italie».
C’est pour cette raison que toute l’Italie est actuellement en état d’alerte, explique ANSA. Cela même si des experts privilégient pour le moment l’immigration clandestine et la traite des personnes. C’est le cas de l’éminent spécialiste Andrea Margelletti, président du CESI (Centre d’études internationales) qui affirme que les «disparus» de l’aéroport de Fiumicino seraient liés à la traite des personnes, l’immigration illégale et le crime organisé.
En entendant de résoudre l’énigme de ces disparitions, cette affaire à la Une de la presse italienne depuis plusieurs jours a au moins le mérite de démontrer l’existence de failles importantes dans le système de sécurité de la police italienne.
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