La Sexualité Sacrée:Aimez-vous les uns sur les autres

Saviez-vous que faire l’amour profite tant à la santé que cela devrait être prescrit par nos thérapeutes.

Tout cela est très sérieux, et d’éminents scientifiques se sont penchés sur la question.

Ils ont découvert qu’une femme qui fait l’amour produit un certain degré d’hormones oestrogènes, ce qui a comme conséquences de lui donner des cheveux luisants et une peau douce.

Ils nous apprennent aussi qu’il faut faire l’amour lentement, et tendrement, car cela réduit les problèmes de peau, de grains de beauté, les démangeaisons.

Si, en préliminaire à vos ébats amoureux, vous décidez de vous offrir une bonne table bien garnie, avec chandelles et champagne comme il se doit, lorsque ensuite vous ferez l’amour vous allez éliminer plus de calories que celles que vous avez accumulées lors de ce repas d’amoureux.

On pourrait même affirmer sans sourire que la pratique du sexe peut être assimilée à celle d’un sport.

A quand l’amour comme discipline olympique ?

En effet, faire l’amour étire et raffermit chaque muscle de nos corps.

Vous êtes dépressifs ?

Le psychologue américain, Stuart Brody préconise de faire l’amour au lieu de prendre des antidépresseurs.

En effet, la pratique sexuelle génère des endorphines qui, en coulant dans vos veines, vous procureront une sensation de bien-être et d’euphorie, et provoqueront un état de relaxation favorable au sommeil, en combattant le stress.

Faire l’amour est dix fois plus efficace que l’absorption de valium, car le sexe est le tranquillisant le plus sécuritaire au monde.

Embrasser votre partenaire, outre le plaisir que cela procure, a d’autres effets : cela éloigne le dentiste, car la salive nettoie et fait diminuer le niveau d’acide responsable des caries, et prévient contre la plaque dentaire.

De plus, faire l’amour soulage toutes les pressions dans les vaisseaux sanguins du cerveau : c’est donc la réponse idéale que l’on puisse faire à une femme qui prétextant un mal de tête, refuserait une proposition amoureuse.

Faire l’amour a d’autres effets : cela facilite l’écoulement nasal, et c’est efficace contre le rhume des foins et l’asthme.

D’après le Pr Ebrahim, les hommes qui ont au moins trois rapports par semaine, et pendant dix ans, courent deux fois moins de risques d’avoir une attaque cérébrale ou une crise cardiaque.

Cela permettrait de réduire de 15 % le risque de développer un cancer de la prostate.

Pour la femme, la stimulation des tétons et l’orgasme libèrent une hormone appelée ocytocine, bénéfique pour le sein.

Faire l’amour, c’est aussi un excellent exercice pour le muscle cardiaque qui a besoin de travailler pour bien se porter. Pendant les ébats amoureux, les pulsations passent de 75 à 180 à la minute au moment de l’orgasme !

Les ébats amoureux seront-ils un jour remboursés par la Sécurité sociale ?

Et pour ceux qui n’ont pas de partenaires pour célébrer le printemps, je n’ai qu’un conseil : pratiquez l’amour le plus souvent possible car plus vous le ferez, plus on vous fera d’offres.

En effet, les personnes sexuellement très actives sécrètent de grandes quantités de phéromones, et l’odeur dégagée rend l’humain fou de désir, homme autant que femme.

Et puis n’y a-t-il pas meilleur lieu pour soigner une convalescence qu’un grand lit, surtout quand on s’y trouve à deux ?

On vous le disait dès Mai-68 : « Faites l’amour, pas la guerre ».

Car comme disait un vieil ami africain : « Là où le cœur est, les pieds n’hésitent pas à y aller ».


 

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La Sexualité Sacrée: Chaque fois qu’une femme a des relations sexuelles avec un homme, elle conserve son ADN dans son cerveau

De nouvelles recherches de l’Université de Seattle et du Fred Hutchinson Cancer Research Center ont accidentellement révélé qu’une partie de l’ADN de chaque homme avec lequel une femme a des relations sexuelles finit par rester avec elle pour toujours, logée dans son cerveau.

 

L’étude visait à l’origine à déterminer si les femmes qui tombent enceintes d’un garçon finissent par devenir plus prédisposées à développer certaines maladies neurologiques courantes chez les hommes. Cela a fini par révéler des mystères encore plus grands sur le fonctionnement interne du cerveau féminin.

Il s’avère que le système neurologique d’une femme abrite souvent un « microchimérisme masculin », ce qui signifie que son cerveau absorbe l’ADN masculin qui reste avec elle chaque fois qu’elle procrée avec un homme. Plus une femme couche avec des hommes, plus l’ADN masculin devient une partie d’elle.

L’étude explique que 63% des femmes (37 sur 59) testées présentaient un microchimérisme [1] masculin dans le cerveau – et dans plusieurs régions du cerveau. Cela signifie que l’ADN masculin fait désormais partie du système neurologique de ces femmes.

Pour rester politiquement correct, l’étude conclut que l’ADN masculin doit provenir d’une grossesse masculine. La réalité, cependant, est que même les femmes qui n’ont jamais été enceintes, mais qui ont couché avec beaucoup d’hommes, portent le même microchimérisme masculin que les femmes qui sont mères de garçons.

Tentant comme ils pourraient de cacher la vérité, les chercheurs qui ont été assez courageux pour approfondir ce phénomène ont conclu que les femmes sexuellement actives absorbent en fait l’ADN masculin chaque fois qu’elles s’engagent dans l’acte, qu’elles tombent enceintes ou non..

« Outre les grossesses connues, d’autres sources possibles de microchimérisme masculin comprennent un avortement spontané non reconnu, un jumeau mâle disparu, un frère aîné transféré par la circulation maternelle ou des RAPPORTS SEXUELS. », explique un rapport.

« Le microchimérisme masculin était significativement plus fréquent et les niveaux étaient plus élevés chez les femmes ayant subi un avortement provoqué que chez les femmes ayant d’autres antécédents de grossesse. D’autres études sont nécessaires pour déterminer les origines spécifiques du microchimérisme masculin chez les femmes. ”

Il y a beaucoup de mystères inconnus dans les rapports sexuels, c’est pourquoi ils étaient censés rester sacrés

Certaines des causes suggérées du microchimérisme masculin semblent peu susceptibles d’expliquer les découvertes des chercheurs car elles ne sont pas assez fréquentes. Il n’est pas non plus très courant qu’un jumeau mâle «disparaisse» ou qu’un frère aîné transfère de l’ADN par la circulation maternelle.

Non, la seule conclusion logique est que le simple fait d’avoir des relations sexuelles, quel que soit le résultat, suffit à transférer l’ADN masculin dans le cerveau d’une femme, où il reste en permanence et devient une partie de sa propre constitution génétique.

« Cela a des ramifications très importantes pour les femmes« , rapporte Newspunch. “Chaque homme dont vous absorbez les spermatozoïdes devient une partie vivante de vous pour la vie. Les femmes autopsiées dans cette étude étaient âgées. Certains portaient l’ADN masculin vivant en elles depuis plus de 50 ans. ”

« Le sperme est vivant. Ce sont des cellules vivantes. Lorsqu’il vous est injecté, il nage et nage jusqu’à ce qu’il s’écrase tête baissée dans un mur, puis il s’attache et s’enfouit dans votre chair. S’il est dans votre bouche, il nage et grimpe dans vos voies nasales, votre oreille interne et derrière vos yeux. Ensuite, il s’enfonce. Il pénètre dans votre circulation sanguine et s’accumule dans votre cerveau et votre colonne vertébrale. 

Les femmes qui se réservent pour le mariage et qui n’ont jamais de relations sexuelles qu’avec un seul homme s’unissent à cet homme et à lui seul. Nous savons maintenant que les femmes qui se livrent à des relations sexuelles sans scrupule modifient leur corps d’une manière qui commence à peine à être comprise.

Des nouvelles scientifiques intéressantes comme celle-ci peuvent être trouvées sur Brain.news.

Les sources de cet article incluent : Newspunch.comPLoS.orgNaturalNews.com

[1] Le microchimérisme se définit par la présence en faible quantité dans un organisme, sur le long terme, de cellules ou d’ADN provenant d’un autre individu sans qu’il n’y ait apparemment de réaction de greffon contre l’hôte (GvDH) ou de rejet de greffe.


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La Sexualité Sacrée:Qu’est-ce que les « célicouples », cette tendance qui fait fureur ?

 

Vous êtes en couple mais vous aimez vivre seul ? Vous êtes sans doute fait pour le “célicouple”.

C’est la nouvelle tendance du moment : être en couple mais vivre chacun chez soi. Un nouvel adage serait-il en train de voir le jour ? Pour vivre heureux, vivons séparés ! Pourquoi ce mode de relation semble être beaucoup plus qu’un épiphénomène ?

Il y a autant de manière d’être en couple que d’êtres humains sur cette Terre. Certains ont des relations longue distance, quelques couples emménagent très rapidement ensemble tandis que d’autres attendent des mois voir des années avant de sauter le pas et de partager le même toit.

Si habiter ensemble était à l’époque la suite logique d’une relation stable, certaines personnes préfèrent tout simplement ne jamais en arriver là. Et ce phénomène est joliment appelé le « célicouple ».

Qu’est-ce qu’un « célicouple » ?

Le “célicouple”, le fait d’être en couple mais de vivre dans des logements séparés est de plus en plus fréquent en France selon une étude de l’Institut national d’études démographiques (INED).

En France métropolitaine, environ 1 adulte sur 3 ne vit pas en couple. Cela ne signifie pas que ce dernier est célibataire, mais plutôt qu’il a fait le choix de ne pas vivre avec son ou sa partenaire comme un quart des personnes, décrit l’INED

Qui sont les « célicouples » ?

Cette situation est d’autant plus fréquente chez les quadragénaires et quinquagénaires, qui ont généralement refait leur vie et qui n’ont pas toujours envie de repartir sur un modèle de relation « classique ».

Arnaud Régnier-Loilier le directeur des recherches de l’INED a expliqué :

« Souvent ces personnes ne souhaitent plus avoir d’enfants, elles ont donc moins de pression sociale, moins d’impératifs à vivre en couple »

Chez les plus jeunes, vivre séparément est souvent une première étape avant une installation à deux. Seulement 22% des 51-65 ans ont indiqué avoir envie d’aménager avec leur partenaire, contre 68 % des personnes de 26 à 30 ans.

Au total, en France, près de 1,8 million de personnes en couple vivraient séparément. Un phénomène qui prend de l’ampleur bien qu’une majorité de ménages vit toujours sous le même toit.

Sachez qu’en amour, il n’y a pas de règles ! Vivez votre histoire comme vous l’entendez, sous le même toit, ou non.


Selon une enquête de l’Institut national des Études Démographiques, 1,8 millions de Français seraient en couple mais vivraient séparément. Ces Français sont ce qu’on appelle des célicouples. Qu’en est-il chez les gays ? Avec les lois sur le mariage entre personnes de même sexe, les habitudes de vie des gays en couple ont fortement évolué. On se pacse, on se marie, on est bien loin de la clandestinité dans laquelle la société nous imposait d’être. Nous étions, malgré nous, les précurseurs du célicouple. Aujourd’hui, les gays jouent avec les types de relations amoureuses : la relation ouverte, le trouple, la famille… Mais il faut bien l’admettre, le célicouple est tenace et nous sommes nombreux parmi nous à vivre séparés malgré un amour indéfectible. Pour quelles raisons est-on amené à faire ce choix ?

Peut-être plus tard !

La raison qui vient évidemment à l’esprit chez les célicouples, c’est l’âge des amoureux. En effet, plus on est jeune, moins on est indépendant économiquement… Rares sont ceux qui amènent leur chéri chez leurs parents pour l’installer dans sa chambre d’adolescent. Qu’on soit gay ou pas, d’ailleurs. S’installer avec son chéri signifie surtout aux yeux de ses proches qu’on a fait son coming-out. Ce n’est pas systématique. Là, le célicouple est imposé par la force des choses ou la peur des réactions… Mais très vite, ces jeunes, ceux qui auront éprouvé les difficultés inhérentes au manque d’intimité à deux, fonceront sur la construction du cocon familial. C’est sûr ! D’ailleurs (toujours selon l’enquête de l’INED), ce sont les couples de 30 à 44 ans qui se lancent le plus rapidement dans la cohabitation. D’autres, par contre, préfèrent attendre.

Pour être sûr !

Beaucoup veulent tester la solidité de leur couple pour passer à l’étape de la vie à deux. En effet, plutôt que se lancer dans une aventure tête baissée, les néo-amoureux préfèrent voir comment fonctionne leur histoire. D’abord en week-end, comme si partir chez l’autre et vivre le dépaysement, aidait à consolider un amour naissant. Les vacances à deux, ensuite, viennent montrer à chacun, tous les petits détails de la vie courante qu’on ne soupçonne pas quand on vit chacun chez soi… Quand on fait le grand saut, on fonce en toute connaissance de cause. On sait si on pourra s’adapter. Les malaises domestiques peuvent réellement être une cause de rupture. Chez les célicouples, ces malaises sont connus et évalués… Un mec qui ne prend pas soin de son appartement n’aura aucune chance de faire entrer un maniaque chez lui pour une vie à deux.

Pour être libre !

Enfin, il y a ceux qui préfèrent garder concrètement leur indépendance. Être heureux libre et amoureux en même temps. Nombreux sont ceux parmi ces célicouples à trouver l’image du couple en société trop hétéronormée. Vivre séparés est comme une forme de résistance à la norme. Rien ne prouve que les célicouples soient moins amoureux que les couples traditionnels. Au contraire. Il y a comme un sentiment à vouloir profiter intensément des moments à deux comme pour préserver sa vie en solo. Ceux qui vivent un amour à distance voient très bien ce qu’on entend par là. Leur retrouvailles sont des parenthèses enchantées dans leur vie. Rien ni personne ne pourra bouleverser ces moments d’intimité. C’est peut-être là que réside toute la force du célicouple. Plus forts ensemble… mais moins souvent !

 

 

La Sexualité Sacrée: L’art érotique de Balthasar Klossowski de Rola en photo et vidéo

 

La leccion de guitar,1934

L’œuvre peint de Balthus est relativement peu abondant et figuratif, et se réparti en deux grands thèmes des paysages (dont le fameux paysage dit de « Larchant 1939 » qui sont « inertes et calmes » suivant le mot d’Antonin Artaud , des portraits et quelques scènes de genre (La Rue, 1933 – MoMA NY) où figure une citation directe de Picasso ; peintures qui puent « la mort, la peste et les épidémies ». Dans une première partie de sa carrière, jusqu’aux années 1950, son œuvre est profondément marqué par Courbet et Géricault avec une texture ample et des couleurs sombres, puis, dans une seconde partie, son œuvre est marqué par des textures plâtreuses avec de nombreuses citations de la Renaissance et de Piero della Francesca en particulier.

L’artiste a réalisé durant sa vie trois cents peintures environ, dont beaucoup ne sont pas datées.

Artiste méticuleux — certains tableaux nécessitant plusieurs années pour être achevés et après de nombreuses études préparatoires —, Balthus est resté célèbre pour ses tableaux de jeunes filles nubiles, souvent peintes dans des poses ambiguës, jouant sur l’idée de l’innocence perdue à l’adolescence.

« Je vois les adolescentes comme un symbole. Je ne pourrai jamais peindre une femme. La beauté de l’adolescente est plus intéressante. L’adolescente incarne l’avenir, l’être avant qu’il ne se transforme en beauté parfaite. Une femme a déjà trouvé sa place dans le monde, une adolescente, non. Le corps d’une femme est déjà complet. Le mystère a disparu. »

BalthusFace.jpg
Balthasar Kłossowski, parfois dit Kłossowski de Rola (1908-2001)

 

 

« La meilleure façon de commencer est de dire, Balthus est un peintre dont on ne sait rien. Et maintenant, regardons les peintures », telle est la réponse laconique que le peintre adresse à la Tate Gallery, qui en 1968, organisant une exposition de ses œuvres, souhaitait également agrémenter le catalogue de quelques éléments biographiques.

Le Roi des chats — titre d’un de ses autoportraits peint à 27 ans — a en effet toujours souhaité s’entourer d’une aura de mystère, ce qui a sans aucun doute contribué à occulter sa personnalité et son œuvre aux yeux du grand public.

Balthust :l’artiste avec son chat et la fameuse toile.

Dans ce tableau, le peintre, en pied et le corps déformé, peint sur un fond ocre jaune. À sa gauche un chat se frotte à ses jambes trop longues, alors que sur un tabouret à sa droite repose un fouet sous lequel est écrit en anglais « The portrait of H.M, the King of Cats painted by Himself, MCMXXXV5 ». « Son auto-portrait est à la fois ironique, teinté de comique, d’emphase mélodramatique et de solennité » et décrit l’art de Balthus comme « celui qui laisse ses sujets en paix mais qui veut inquiéter le spectateur », par une étrangeté explorant rêveries et pulsions secrètes plus ésotériques qu’érotiques.


Nue,toile non datée de Balthus.

 

Balthust,le foulard blanc,1937.

 

NUDE WITH CAT, 1949, BY BALTHUS
[c NATIONAL GALLERY VICTORIA, MELBOURNE, AUSTRALIA/BRIDGEMAN]
Balthust,Jeune fille au voile
Balthust,L’écuyère,1944.
Balthust,Les enfants Blanchard ,1937,

 

Balthust,Nue,1957.
Balthust,Desnudo.

 

Balthust,La toilette de Georgette,1948-49.

 

Balthust,L’habillement de Cathy.

 

Balthust,La chambre.

 

Balthust,Nude with a Silk Scarf
Balthust,La fille au chat.

 


VIDEO:

 

 

Histoire d’amour en photos:Carla Et Natalia

 

*Une collaboration spéciale de Juan Alejandro Jimenez,photographe  et artiste.

Il y a quelques jours, avec Carla et Natalia, nous avons eu une session très personnelle et intime, qui durait depuis un certain temps.

Tout est dans la tête. Grâce à elles, un climat chaleureux, doux et confiant a été créé. 
Dans mes images, il est essentiel de nouer des liens avec le couple et que les deux parties se rendent « à la maison », car cela me plait.

Le but est de capturer des moments de manière naturelle et inattendue.

Les photos que je laisse dans ce post sont une petite partie de toutes celles que nous avons faites entre rire et s’amuser.

 

 


Juan Alejandro Jimenez vit à Barcelona,en Catalogne.Il agit depuis 2 ans comme notre correspondant et nous soumettra des photos,des textes et mêmes des dessins de sa galerie privée.

Longue vie aux Défenseurs de la Terre!

 

 

 

La Sexualité Sacrée:Vidéo et article :L’artiste québécoise Roxane Bruneau a demandé sa blonde en mariage!

Roxane Bruneau

 

C’est officiel, Roxane Bruneau a trouvé celle qui fait battre son coeur et a bien l’intention de passer le reste de ses jours avec!

Après plus d’un an d’amour avec Caroline Lefort, que ses abonnés connaissent bien pour l’avoir vue à plusieurs reprises dans les vidéos YouTube de la chanteuse, elle lui a demandé sa main et a partagé ce magnifique moment à ses abonnés.

Et elle a dit oui!!!

Roxane, également bien connue pour ses vidéos comiques, a fait croire à son amoureuse qu’elles allaient participer à une nouvelle tendance web inventée de toutes pièces qui consiste à regarder une capsule devant les caméras, un prétexte pour pouvoir filmer la réaction de sa douce à sa grande demande!

Le couple s’est donc assis devant une vidéo de Roxane, dans laquelle elle explique en long et en large toutes ses raisons d’aimer Caroline et de vouloir bâtir une vie avec elle et ses trois enfants.

Déjà en larmes depuis un moment face à tant d’émotion, Caroline n’en revenait tout simplement pas quand sa célèbre blonde lui a tendu une bague! Difficile de faire plus cute que ça; les deux femmes sont visiblement aux anges!

On leur souhaite beaucoup de bonheur!

 

 

 

 

 

La Sexualité Sacrée:Quand le sexe entre les dieux et les humains ébranlait le ciel et la terre

 

Les extraterrestres cherchent-ils à améliorer notre patrimoine génétique ?

Selon les partisans de la théorie des anciens astronautes, les premiers hommes se seraient accouplés avec des êtres d’origine extraterrestre. L’ADN humain aurait été analysé sous toutes les coutures et il semble ou tout du moins, selon certains, qu’un changement de 7% aurait été observé. 7% ce n’est pas grand-chose, mais ça peut tout changer et cela prouverait que notre ADN aurait pendant une brève période, changé de façon significative. Voilà comment en venir à la conclusion suivante : nous serions la descendance d’accouplements entre extraterrestres et humains.

Ishtar…représentation plus récente pour une fête se situant à …Pâques!

Il est vrai que de nombreuses cultures et autres mythologies, des légendes s’approchant de cette théorie y sont inscrites à l’encre rouge. Mais cela est-il vraiment crédible ? Si cela s’avérait exact, quel aurait réellement été le but de ces extraterrestres ? En tant qu’humains, nous sommes relativement insignifiants, du moins à ce qu’il semble. Dans la bible, ce serait des anges déchus qui auraient copulé avec les filles des hommes, de nombreux écrits se rejoignent donc, à ça près.

Ishtar…venue des étoiles!

On peut se demander alors si ces soi-disant extraterrestres (et/ou intraterrestres) n’auraient pas voulu en s’unissant avec les terriens, manipuler leur ADN de façon à ce qu’il contienne un peu du leur. Mais pourquoi auraient-ils fait cela ? Toujours selon la bible, les enfants nés de ces unions auraient porté le doux nom de ‘’Nephilims’’. S’ils ont réellement existé, il est très clair que nous devrions être capables d’en apporter la preuve. Selon certains, des squelettes à la taille hors norme auraient été découverts, mais aujourd’hui, personne ne sait ce qu’ils sont devenus. Il semble d’ailleurs que des squelettes similaires aient été retrouvés partout à travers le monde. Certains vont plus loin en affirmant que les extraterrestres eux-mêmes auraient provoqué le déluge alors qu’ils se seraient aperçus que leur petite expérience prenait un bien mauvais chemin.


EN COMPLÉMENT:

                                       LES NEPHILIMS

« Les Néphilim étaient sur la terre à cette époque et aussi après, quand les fils de Dieu allèrent vers les filles des hommes et eurent des enfants par elles. » – Genèse 6: 4

Qui étaient les « fils de Dieu »? C’étaient des anges et ils se sont alliés à des femelles humaines (« filles d’hommes ») pour créer une race hybride d’anges humains (les Nephilim), dont certains sont réputés être encore en vie de nos jours. A quoi ressemble le sexe avec des anges? On dit qu’une fois ange, on ne retourne jamais à l’homme. Avoir des relations sexuelles avec des anges est-il dangereux? Y a-t-il une vérité derrière la rumeur selon laquelle les anges sont obsédés par les cheveux des femmes, comme l’a suggéré saint Paul? Le sexe avec des anges est-il le sexe le plus pur ou le plus sale?



 

 

 

Aujourd’hui, de nombreux témoins affirment avoir été enlevés par des extraterrestres. Qu’en est-il vraiment ? Quel intérêt auraient-ils à faire cela ? Certains disent également avoir été approchés par des succubes, elles auraient toujours selon eux, eu des rapports sexuels avec eux. Tous les témoignages se regroupent d’une certaine façon puisque tous relatent avoir retrouvé un seul cheveu blonds sur leur drap. L’un d’entre eux aurait d’ailleurs été analysé en laboratoire, il aurait subi une analyse ADN et le résultat aurait été plutôt inhabituel car le cheveu était transparent. L’être dont il dépendait aurait été très clair et aurait sans aucun doute eu les yeux bleus, comme le stipulent tous les témoins. L’ADN en somme n’était absolument pas naturel.

Marduk

Que croire alors ? Les extraterrestres enlèvent-ils des humains pour accomplir sur eux de mystérieuses expériences ? Est-il vrai qu’ils volent également des fœtus à certaines femmes enceintes ? Que feraient-ils de ces fœtus ? Des expériences sur leur ADN ? Des clonages ? Un homme raconte avoir vu à deux reprises une extraterrestre. La première fois, il aurait couché avec un succube et la deuxième fois, il l’aurait de nouveaux aperçu mais cette fois-ci avec la créature, une enfant. Selon ses dires, il aurait tout de suite compris qu’un lien fort l’unissait à l’enfant et pour cause, puisque elle aurait été la sienne. 

Nous allons répondre à ces questions qui originent de la Grande Prophétie et qui nous influencent davantage depuis le 21 décembre 2012!
 

DANS L’ANCIENNE MÉSOPOTAMIE …UNE ÉTUDE RATIONNELLE

 

La sexualité était au cœur de la vie dans l’ancienne Mésopotamie, une région du Proche-Orient ancien souvent décrite comme le berceau de la civilisation occidentale, correspondant à peu près à l’Irak moderne, au Koweït et à certaines parties de la Syrie, de l’Iran et de la Turquie. Ce n’était pas seulement ainsi pour les humains ordinaires mais pour les rois et même les divinités.

Les divinités mésopotamiennes ont partagé de nombreuses expériences humaines, avec des dieux se mariant, procréant et partageant des tâches domestiques et familiales. Cependant, lorsque l’amour échouait, les conséquences pourraient être terribles au ciel et sur la terre.

Les érudits ont observé les similitudes entre la «machine à mariage» divine trouvée dans les œuvres littéraires anciennes et la parade historique des mortels, bien qu’il soit difficile de les démêler, plus particulièrement dans les soi-disant «mariages sacrés», qui ont vu les rois mésopotamiens épouser des divinités. .

Sexe divin

Les dieux, étant immortels et généralement d’un statut supérieur à l’être humain, n’avaient pas strictement besoin de relations sexuelles pour maintenir leur population, mais les aspects pratiques de la question semblent avoir peu contribué à freiner leur enthousiasme.

Les relations sexuelles entre divinités mésopotamiennes ont inspiré une grande variété de récits. Ceux-ci incluent des mythes sumériens tels qu’Enlil et Ninlil et Enki et Ninhursag , où il a été démontré que les interactions sexuelles compliquées entre divinités impliquaient la duperie, la tromperie et le déguisement.

La déesse Ishtar telle que représentée dans Mythes et légendes de Babylone et d’Assyrie, 1916, de Lewis Spence.

 

Dans les deux mythes, une divinité masculine adopte un déguisement, puis tente d’obtenir un accès sexuel à la divinité féminine – ou d’éviter la poursuite de son amant. Dans la première, la déesse Ninlil suit son amoureux, Enlil, jusqu’aux Enfers, et cherche des faveurs sexuelles pour obtenir des informations sur l’endroit où se trouve Enlil. La présence d’une fausse identité dans ces mythes est utilisée pour faire le tour des attentes de la société en matière de sexe et de fidélité.

La trahison sexuelle pourrait être condamnée, non seulement pour les amants errants, mais pour l’ ensemble de la société . Lorsque la reine des enfers, Ereshkigal, est abandonnée par son amant, Nergal, elle menace de ressusciter le cadavre s’il ne lui est pas rendu, faisant ainsi allusion à son droit à la satiété sexuelle.

La déesse Ishtar fait la même menace face à un rejet romantique du roi d’Uruk dans l’épopée de Gilgamesh. Il est intéressant de noter qu’Ishtar et Ereshkigal, toutes deux soeurs, utilisent l’une des menaces les plus puissantes à leur disposition pour résoudre les problèmes du cœur.

Ancienne empreinte de sceau de cylindre sumérien montrant Dumuzid en train d’être torturé aux enfers par les galla…des démons.

Les intrigues de ces mythes mettent en évidence le potentiel de tromperie pour créer une aliénation entre les amoureux pendant les parades. Le parcours amoureux de ces mythes et son utilisation complexe de l’imagerie littéraire ont établi des comparaisons savantes avec les travaux de Shakespeare .

Poésie d’amour

Les auteurs anciens de la poésie d’amour sumérienne, décrivant les exploits de couples divins, montrent une richesse de connaissances pratiques sur les étapes de l’excitation sexuelle féminine. Certains chercheurs pensent que cette poésie a toujours eu un but éducatif: enseigner aux jeunes amants inexpérimentés de l’ancienne Mésopotamie les relations sexuelles. Il a également été suggéré que les textes avaient des objectifs religieux, voire une puissance magique .

Plusieurs textes parlent de la cour d’un couple divin, Inanna (l’équivalent sémitique d’Ishtar) et de son amant, la divinité des bergers Dumuzi. La proximité des amants est illustrée par une combinaison sophistiquée de poésie et d’images sensuelles, ce qui constitue peut-être un exemple édifiant pour les nominés de Bad Sex in Fiction de cette année .

 

*Représentation d’Ishtar retrouvée à Babylone.

 

 

Dans l’un des poèmes, des éléments de l’excitation sexuelle de l’amante sont répertoriés, de la lubrification accrue de sa vulve au «tremblement» de son point culminant. Le partenaire masculin est présenté se délectant de la forme physique de son partenaire et lui parlant gentiment. La perspective féminine sur l’amour est soulignée dans les textes à travers la description des fantasmes érotiques de la déesse. Ces fantasmes font partie des préparatifs de la déesse en vue de son union et contribuent peut-être à sa satisfaction sexuelle.

Dans l’un des poèmes, des éléments de l’excitation sexuelle de l’amante sont répertoriés, de la lubrification accrue de sa vulve au «tremblement» de son point culminant. Le partenaire masculin est présenté se délectant de la forme physique de son partenaire et lui parlant gentiment. La perspective féminine sur l’amour est soulignée dans les textes à travers la description des fantasmes érotiques de la déesse. Ces fantasmes font partie des préparatifs de la déesse en vue de son union et contribuent peut-être à sa satisfaction sexuelle.

Le «Burney Relief», censé représenter soit Ishtar, la déesse de l’amour et de la guerre mésopotamienne, ou sa sœur aînée Ereshkigal, reine des enfers (environ le XIXe ou le XVIIIe siècle av. J.-C.).

Bonne déesse, heureux royaume

Le sexe divin n’était pas l’apanage des dieux, mais pouvait aussi impliquer le roi humain. Peu de sujets de Mésopotamie ont autant captivé l’imagination que le concept de mariage sacré. Dans cette tradition, le roi historique mésopotamien serait marié à la déesse de l’amour, Ishtar. Il existe des preuves littéraires de tels mariages remontant à la Mésopotamie très tôt, avant 2300 av. J.-C., et le concept a perduré bien plus tard.

La relation entre les rois historiques et les divinités mésopotamiennes était considérée comme essentielle au maintien de l’ordre terrestre et cosmique. Pour le monarque mésopotamien, la relation sexuelle avec la déesse de l’amour impliquait donc probablement une certaine pression.

 

Statuette d’une femme nue, peut-être la Grande Déesse de Babylone (ou Ishtar). De la nécropole de Hillah, près de Babylone.

Certains érudits ont suggéré que ces mariages impliquaient une expression physique entre le roi et une autre personne (telle qu’une prêtresse) qui incarnait la déesse. L’opinion générale est à présent que s’il s’agissait d’un acte physique relatif à un rituel du mariage sacré, il aurait été conduit de manière symbolique plutôt que charnelle, le roi partageant peut-être son lit avec une statue de la divinité.

L’imagerie agricole était souvent utilisée pour décrire l’union de la déesse et du roi. Le miel, par exemple, est décrit comme doux comme la bouche et la vulve de la déesse.

Une chanson d’amour de la ville d’Ur entre 2100 et 2000 avant JC est dédiée à Shu-Shin, le roi et Ishtar:

«Dans la chambre à coucher dégouttant de miel, laissez-nous profiter encore et encore de votre charme, de la douceur. Lad, laisse-moi te faire les choses les plus douces. Mon précieux chéri, laisse-moi t’apporter du miel. »

Le sexe dans cette poésie d’amour est décrit comme une activité agréable qui renforce les sentiments amoureux d’intimité. Ce sentiment de proximité accrue a été considéré comme apportant de la joie au cœur de la déesse, résultant en une fortune et une abondance pour toute la communauté – illustrant peut-être une première version mésopotamienne de l’adage «épouse heureuse, vie heureuse».

La présentation diversifiée du sexe divin crée en quelque sorte un mystère autour des causes de l’accent culturel mis sur la copulation cosmique. Alors que la présentation du sexe divin et du mariage dans l’ancienne Mésopotamie servait probablement de nombreux objectifs, certains éléments des relations intimes entre dieux témoignent d’un report aux unions mortelles.

Alors que la malhonnêteté entre amants pouvait mener à l’aliénation, les interactions sexuelles positives comportaient de nombreux avantages, notamment une plus grande intimité et un bonheur durable.

 


Chaînon du règne animal ou créé spontanément, l’homme a dû forcément être édité à plusieurs exemplaires, en plusieurs prototypes fort différents et qui n’évoluèrent pas tous selon les mêmes normes.

 

 

De plus, notre globe, au cours de son existence, subit vraisemblablement des
bombardements radioactifs naturels ou provoqués, générateurs de mutations accélérées ( Les nations dites « atomiques », pour se débarrasser de leurs déchets radioactifs,les jettent clandestinement au fond des océans. Il est à peu près inévitable que des monstres naissent dans les zones infestées. La radioactivité terrestre détermine elle aussi des mutations accélérées et les enfants monstrueux naissent en grand nombre, mais bien entendu, le fait est tenu secret.
Des espèces disparurent dans certains points du globe — par exemple le cheval en Amérique – d’autres prirent un caractère anarchique, monstrueux.
Une espèce irradiée put subir un développement soudain et extraordinaire de ses facultés intellectuelles : l’homme serait-il le produit d’une de ces heureuses mutations?
Une raison milite en faveur de cette thèse : la procréation lente, hasardeuse de l’humanité, contrairement à ce qui se passa pour les autres animaux. Or, on sait qu’une des premières conséquences de l’irradiation est précisément de détériorer l’engendrement.
S’il y eut un premier homme — Adam — ou une première femme – Eve – à exemplaire unique et spontané, l’un ou l’autre, pour assurer sa continuité , dut avoir des rapports sexuels, soit avec les animaux dont il était issu, soit avec des animaux d’une espèce différente.
 On peut admettre que le premier être humain fut hermaphrodite. Cette thèse est d’ailleurs presque classique.
S’il y eut plusieurs prototypes humains, ce qui est très probable, ils furent tous obligatoirement dissemblables. De toute façon, de l’exemplaire unique ou des différents prototypes découlèrent naturellement des monstres, et il est intéressant d’étudier si, en cette conjecture, ces monstres eurent un rapport direct avec ceux de la mythologie et, par conséquent, avec les héros et demi-dieux qui jouèrent un rôle énigmatique dans la protohistoire de l’humanité.
Pour les biologistes, l’accouplement entre animaux de différentes espèces, s’il est possible en fait, est obligatoirement stérile quant au résultat.
Pourtant, certains mettent en doute cette théorie, d’autant qu’elle ne répond à aucun critère scientifique .
 En 1965, le Pr Henry Harris et le Dr J.F. Watkins d’Oxford ont localisée la
fusion des cellules d’hommes et de souris, et obtenu des cellules hybrides.
D’autres mariages ont réussi entre espèces et entre ordres différents. Ainsi, au niveau cellulaire, l’hybridation entre mammifères et poissons, et peut-être entre oiseaux et plantes est possible. Le ménage cellulaire a reçu le nom de « hétérokaryon ».

Il est certain que de nombreuses expériences ont été tentées entre des animaux inférieurs : souris, chats, cobayes, etc., mais jamais, semble-t-il, entre des animaux et des êtres humains.
Il n’est pas du tout exclu qu’une femme puisse avoir des enfants à partir d’un animal mâle, et l’aventure de Thérèse X. à Vichy, semble en fournir la preuve.
La jeune fille (seize ans) vivait avec son père et un petit singe dans une roulotte stationnant sur un terrain vague. Un jour, Thérèse se trouva enceinte, et les gendarmes, soupçonnant peut-être une affaire d’inceste, firent une enquête discrète.
Le père de la jeune fille, homme fort ignorant mais d’esprit très chrétien, fut
rapidement mis hors de cause, d’autant qu’il croyait très sincèrement que par l’opération du Saint-Esprit, exactement comme à Bethléem (et pourquoi pas?), son humble roulotte allait être honorée d’une naissance miraculeuse !
.Enfin, la fille accoucha normalement… mais ce fut un monstre à la fois singe et homme qu’elle mit au monde. L’être était non seulement vivant mais parfaitement viable.
Thérèse avoua alors ses amours coupables avec le singe, si bien que le produit du couple fut supprimé par piqûre quelques jours après sa naissance.
Le Dr T…, de Vichy, fit des études sur le monstre; son rapport scientifique et l’enquête judiciaire sont conservés aux archives de la ville.
Le problème de l’hybridation animale serait donc remis en question; d’autre part, ce qui est vrai pour les animaux en général ne l’est peut-être pas pour l’homme en particulier, celui-ci jouissant, à n’en pas douter, d’un privilège exceptionnel qui s’exprime par son psychisme, son intelligence, et peut-être par ses facultés de reproduction.
On pourrait aussi spéculer sur le fait que les hommes venus d’une autre planète, qui firent des enfants aux Terriennes, n’étaient peut-être pas exactement conditionnés comme nous? Il n’est pas impossible, par surcroît, que leurs connaissances scientifiques leur aient donné le pouvoir d’assurer des procréations entre humains et animaux, par exemple à titre expérimental.

 

Si nos modernes cosmonautes atterrissent un jour sur une planète où la vie humaine normale est soumise à des obstacles majeurs, il est permis de penser qu’ils essaieront par insémination artificielle de créer sur cette planète une espèce hybride, mi-terrestre, mi-autochtone?
De toute façon, la science du futur vaincra fatalement ce qui est pour le moment une difficulté insurmontable, et le problème des monstres mythologiques eut peut-être une solution favorable en fonction de la science mystérieuse des cosmonautes d’Hyperborée.
Les traditions andines assurent que notre humanité descend d’une cosmonaute vénusienne : Orejona, et d’un père qui était un tapir; le biologiste espagnol Garcia Beltran accueille cette assertion avec un certain préjugé favorable.

La Genèse selon le Livre d’Enoch

Dessin mural de Pompéi représentant Parsipaé et son taureau.

L’accouplement entre femmes et bêtes tient une place importante dans les traditions, surtout en Egypte et en Grèce.

L’accouplement de Pasipae avec le taureau fut repris dans toutes les traditions et inspira de grands artistes comme ici Osuna.

La très belle Pasiphaé, en proie à une irrésistible passion érotique, voulut connaître l’amour avec un taureau blanc qui la rendit mère du Minotaure.
Les Propoétides se prostituaient à tout venant et ne craignaient pas de provoquer le rut des animaux, ce qui lut — dit-on aussi — le cas des belles Arméniennes et Lydiennes qui consacraient au culte très impudique de la déesse Anaïtis (l’Anahid des Orientaux).

Anaïtis (ou Anahit)
Anahit, déesse de la fertilité et des naissances, était la fille (ou l’épouse) du grand dieu Aramazd; elle fut identifiée avec Artémis ou Aphrodite.
Tête d’Anahit
Timbre à l’effigie d’Anahit
La « Grande Dame Anahit » était l’une des déesses les plus aimées et honorées du panthéon arménien; elle était souvent représentait avec un enfant dans ses bras, et la tête revêtue de la coiffe particulière aux femmes arméniennes; elle était aussi considérée comme une déesse guerrière et une déesse de l’eau.
Les temples dédiés à Anahit étaient établis à Armavir, Artashat, Ashtishat. Strabon raconte que la prostitution sacrée avait lieu dans ces sanctuaires mais les écrivains chrétiens locaux n’en parlent pas.
D’après Plutarque le temple d’Eriza était le plus riche et le plus réputé d’Arménie avec une magnifique statue en or de la déesse. Cette statue fut mise en pièces par les armées de Marc-Antoine mais elle fut remplacée par une nouvelle statue et vénérée jusqu’à l’investiture de Grégoire l’Illuminateur, le premier catholicos de l’Arménie en 314.

Dans la grotte magdalénienne de Lussac-les-Châteaux (Vienne), furent trouvés des galets à représentation humaine, où l’on voit des hommes dont la tête a un caractère canin nettement accusé.
Sans doute aussi faut-il accorder une particulière attention au chapitre LXXXIV (section 17) du Livre d’Enoch, où l’auteur décrit, d’après une vision, de très ( (ranges scènes de procréation :
2. – Voici un taureau sortant de la terre,
3. – Et ce taureau était blanc.
4. – Ensuite sortit une génisse et avec elle deux jeunes veaux dont l’un était noir et l’autre rouge.
Note : le taureau blanc (couleur de justice) désigne Adam; la génisse est Eve; le veau noir est Caïn; le veau rouge est Abel.
Chapitre LXXXV. – Enoch enregistre la prolifération des taureaux, des génisses et poursuit :
6. – Je regardai et admirai ces choses et voici que les taureaux commencèrent à entrer en feu et à monter sur les génisses; celles-ci ayant conçu mirent au monde des éléphants, des chameaux et des ânes…
Puis, on trouve la narration d’une bataille entre éléphants, taureaux et autres bêtes, puis l’érection de la tour de Babel, suivie d’une grande confusion terrestre avec aboutissement à Noé et au déluge.
Cette genèse, très différente de la genèse biblique, tendrait à faire croire conjointement
avec les mythologies qu’il y eut une mystérieuse interférence entre les taureaux et les
hommes. Quel que soit le sens que l’on donne aux taureaux et aux génisses, (êtres humains ou
animaux véritables), Enoch précise bien que les autres bêtes furent enfantées par eux, qu’ils
eurent pour mère soit une génisse, soit, et c’est beaucoup plus probable : une femme.
Une tradition des tribus indiennes de l’Amérique du Nord, rapportée par le père Charlevoix, prétend que tous les humains ayant été détruits par un grand cataclysme, Dieu, pour repeupler la terre, avait changé les animaux en nommes.
Certes, nous n’accordons pas un grand crédit à ces relations, mais il est curieux de noter que les peuples anciens, à tort ou à raison, ne jugeaient pas impossibles les engendrements entre animaux d’espèces différentes.

Oannès ,le dieu venu de la mer qui enseignait.

Oannès l’initiateur-poisson
On ne sait pas si les Chaldéens étaient de même race que les Hébreux — et c’est peu probable — toujours est-il que leurs traditions porteraient à croire qu’un étrange personnage,
ni homme ni bête, est leur ancêtre supérieur : Oannès, à la fois dieu et civilisateur des peuples de Babylone (1).
(1) Oannès, Oan = Ogen, Okean, Okéanos = Oceanos. C’est le Janus sagace et
initié des Romains, et aussi le Prométhée des Grecs.
On le représente sous la forme d’un monstre moitié homme, moitié poisson — on a dit
aussi moitié grenouille – qui venait de la « mer Érythréenne » (golfe Persique et mer Rouge).
Il avait deux têtes, l’une d’homme, l’autre de poisson, des jambes qui s’adaptaient à sa queue et il était doué de parole.

Chaque matin, il sortait de la mer pour venir parmi les humains enseigner les sciences,
les arts, les lettres et l’agriculture.
En syriaque, Oannès signifie étranger, ce qui renseigne bien imparfaitement sur
l’origine de ce dieu grand initié.
Était-ce les vêtements d’Oannès qui lui donnaient une ressemblance avec les poissons,
ou bien était-il, par quelque miracle incroyable, le résultat d’un croisement monstrueux (1)?
(1) Le 1er novembre 1964, une chienne de Courthezon (Vaucluse) a mis bas sept
chiots, dont six ressemblent étrangement à des poissons : museau allongé, pas d’oreilles,
pattes palmées, corps aminci en fuseau et se terminant en « queue de poisson ». La peau
elle-même a l’apparence luisante des écailles. Serait-ce là une preuve de croisement
monstrueux ou de mutation fantastique? De toute façon le fait existe, même s’il est
inexplicable.
Notre logique nous inclinerait plutôt à voir en cet être extraordinaire, s’il a existé, le
représentant d’une race extraterrestre venu sur Terre dans un engin spatial, analogue à un
sous-marin, ou pouvant se comporter après atterrissage comme une sorte d’habitation sousmarine.
En tout cas, il reste que les hommes à constitution physique anormale n’étaient pas
faits pour effrayer les peuples anciens, comme si la monstruosité avait été non pas l’exception,
mais un phénomène assez commun.
De si loin qu’elles surgissent, ces traditions, ces légendes, souvent, forment la
substance essentielle à la compréhension de l’histoire inconnue des hommes, même si elles
paraissent s’opposer aux lois scientifiques d’une évolution universelle beaucoup plus
aventureuse qu’on le croit !
Car enfin, si le monde a été détruit plusieurs fois, si des déluges ont noyé l’humanité,
comment l’évolution aurait-elle pu se poursuivre sans altérations profondes?
Altérations que d’ailleurs on trouve à profusion dans tous les règnes !
Les monstres, les bêtes fantastiques, les hommes physiquement extraordinaires ne
pourraient-ils trouver une place logique, rationnelle dans l’acheminement de la matière, de
l’intellect et du psychisme vers le dernier maillon actuel de la chaîne : l’homme !
Est-il insensé de croire que lors de la création des premiers hommes, certains mutants
doués d’intelligence et peut-être de perversion engagèrent avec l’homo sapiens une lutte
implacable dont l’enjeu était la suprématie terrestre?
La Bête Fantastique
Les traditions de tous les pays rapportent que des géants ou que des bêtes
monstrueuses, parfois semi-humaines, parfois entièrement animales, exigeaient des rançons
de jeunes garçons ou de jeunes vierges, ou décimaient les populations.
On peut se demander jusqu’à quel point ces monstres : Minotaure, Sphinx, Volta,
géants, dragons ou créatures sataniques, pouvaient perpétuer le souvenir d’un très antique
fléau.
Dans le labyrinthe de la mort, les hommes normaux finirent par l’emporter sur la Bête
Fantastique, l’évolution humaine put s’opérer librement et le peuplement du globe acquérir un
rythme naturel.
La Bête Fantastique des Anciens était-elle un symbole, un mutant redoutable, une véritable bête ou un pollen de mort?

Sous le voile de la fable et de la légende, se cache une vérité que nous craignons
d’identifier.
La mémoire des hommes n’a le pouvoir de conserver exact un souvenir que durant une
quarantaine d’années; plus loin dans le temps, les faits commencent à se déformer et entrent
peu à peu dans la légende.
Les guerres napoléoniennes seraient depuis longtemps devenues des chansons de
geste, si les chroniqueurs ne les avaient consignées par écrit.
Le souvenir des monstres semi-humains est donc entré dans un merveilleux où il sied
de discerner la parcelle de vérité initiale.
La formidable Bête de Gévaudan n’était même pas un loup ordinaire, mais un gros
chat ou loup-cervier !
La bataille titanesque qui opposa Roland aux Sarrasins dans le défilé de Roncevaux fut
tout au plus une escarmouche !
En général, les petits faits anciens sont démesurément grossis, mais s’ils ont été
démesurément importants, il arrive, au contraire, qu’ils soient relativement minimisés.
Par exemple, la guerre des Titans contre Zeus, qui ébranla l’Olympe et fit trembler les
dieux, fut vraisemblablement un cataclysme universel où sombra une grande partie de
l’humanité !
Entre ces extrêmes, quelle valeur doit-on donner aux monstres antiques? Et
notamment aux Cyclopes, Minotaures, Titans, Gorgones, Faunes, Anges, Ogres, Hydres, au
Léviathan et au Béhémoth des mythologies et des traditions?
Le docteur américain I. Velikovsky a prouvé – et personne ne songerait à le contredire
– que le déluge date approximativement de l’an 1500 av. J.-C. et qu’un cataclysme universel,
un passage de comète pense-t-il, troubla profondément la Terre 1 500 ans avant notre ère.
Dans la pensée d’Aristote, notre système solaire était régulièrement perturbé et remis
en place au cours de « l’Année suprême », laquelle comportait un grand hiver dit Kataklusmos
(déluge, catastrophe) et un grand été appelé ekpyrosis (incendie), ce qui rejoint l’explication
de I. Velikovsky = déluge universel et incendie du monde.
Les monstres mythologiques datant du dernier déluge auraient-ils été engendrés à la
suite des irradiations produites par le passage d’une comète?
La Bible ne faisant pas état de cette prolifération de bêtes extraordinaires, nous
pensons devoir reporter leur apparition avant le déluge, c’est-à-dire à l’époque indéterminée
(on a avancé le chiffre de 9 000 années) où, selon nos hypothèses, le globe aurait été atomisé
en Amérique et dans le désert de Gobi.
Ensuite, les quelques rescapés de la catastrophe, irradiés, auraient pu engendrer des
monstres et leur disputer le droit de survivre. Peut-être même, s’ils furent très peu nombreux,
durent-ils, pour perpétuer leur race, avoir des relations sexuelles avec des animaux?
Les monstres sont-ils plus anciens encore? Datent-ils des temps primhistoriques où
l’homme fut créé par mutations exceptionnelles? Il est difficile de le croire, car le souvenir en
serait tellement lointain que la mémoire n’eût pu en garder la moindre trace.
Si nous ne sombrons pas à la façon des exégètes classiques qui font de la Terre le
centre du monde, nous pouvons essayer une meilleure explication !
Les géants
Pourquoi ne pas continuer à envisager que la Terre a été une sorte de parc zoologique
et de jardin des plantes d’une humanité extraplanétaire?
Comme tout alors s’enchaîne, s’éclaire et devient logique : des commandos d’hommes
venus d’une autre planète atterrissent sur notre globe, apportent une civilisation, des semences
de plantes inconnues, des spécimens d’animaux qu’ils espèrent acclimater.
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Certes, ils trouvent des Terriens et essaient, soit de les coloniser, soit de s’intégrer à
eux, mais non sans risques, sans payer la dîme du sang, car ces cosmonautes ne sont pas
biologiquement identiques à nous.
Leur union avec les femmes des hommes produira donc des enfants plus grands que la
normale terrestre, soit, avec le grossissement du temps : des géants.
L’existence de ces géants avant le déluge dit universel est attestée par tous les peuples
anciens (1).
(1) On a trouvé dans une grotte d’Alguetca, près de Mangliss (II.R.S.S.) des
squelettes d’hommes mesurant 2,80 m à 3 mètres (l’ouilles du Caucase – 1964).
D’après une tradition des Indiens Cholula, consignée dans un manuscrit du Vatican, «
avant la grande inondation qui eut lieu 4 008 ans après la création du monde, le pays
d’Anahuac était habité par des géants; tous ceux qui ne périrent pas furent transformés en
poissons… ».
En Egypte, « les géants étaient en guerre contre les hommes et émigrèrent en revêtant
des formes d’animaux ».
Les rabbins juifs ont essayé d’établir, d’après des souvenirs trop lointains pour être
précis, que la taille du premier homme atteignait plusieurs centaines de pieds. La Bible parle
longuement des géants et notamment du dernier d’entre eux, le roi de Basan, Og, qui périt
dans sa lutte contre Moïse. Cet Og, semi-légendaire, dut avoir des descendants puisque les
Hébreux eurent encore de longues guerres à soutenir contre eux.
Les Thaïlandais anciens prétendaient que les hommes des premiers temps étaient d’une
taille colossale, et les Nordiques, se référant à des traditions hyperboréennes, disent que les
premiers êtres de la création étaient grands comme des montagnes.
Toutefois, compte tenu de « l’agrandissement » qui est un fait habituel à la légende, à
l’imagination et au temps, on doit penser que ces géants antiques ne mesuraient guère plus de
deux mètres.
Les fantastiques géants de Nicolas Henrion !
Un numismate et historien du XVIIe siècle, Nicolas Henrion, fit à ce sujet une étude
curieuse mais dénuée de fondements sérieux, que nous rapportons pour son pittoresque.
D’après une certaine loi de décroissance, Henrion déterminait, disait-il, avec une
exactitude rigoureuse, les variations de la taille des hommes depuis leur création originelle.
Il en résulterait qu’Adam « avait dû avoir » 123 pieds 9 pouces (soit environ 49
mètres!), Noé 103 pieds, Abraham 27, Moïse 13, Hercule 10, Alexandre 6, César 5, etc.

Les géants d’Hyperborée

 

La mythologie grecque donne une indication, qui tendrait à accréditer la thèse
d’hommes extraplanétaires plus grands et plus intelligents que les hommes de la Terre. En
effet, les géants étaient invincibles et les dieux mêmes ne pouvaient les vaincre qu’avec le
secours des mortels, ce qui, en tenant compte de l’exagération, pourrait fort bien se rapporter à
des êtres beaucoup plus civilisés que les Terriens et paraissant de ce fait invulnérables.
A l’appui de cette thèse, nous rappelons que les Nordiques situent la patrie des géants
vers cette Thulé où, pense-t-on, durent atterrir les premiers êtres venus d’une planète, car les

Hyperboréens selon les traditions celtiques et Scandinaves fournirent la race des hommes
supérieurs qui sombra avec leur continent, quand se produisit le cataclysme atomique
américain et asiatique.
Les géants hyperboréens auraient actuellement une descendance avec les « sumotori »
(lutteurs de sumo) qui, au Japon, sont des personnages de haute popularité se situant, dans la
hiérarchie, immédiatement après les dieux et l’empereur.
Leur force est prodigieux, leur poids peut atteindre 200 kg et leur taille 2,40 m.
Au début, écrit l’historien Pierre Darcourt, les sumotori se recrutaient chez les géants
Aïnous à la peau claire (1).
(1) Le Monde et la Vie, N° 141, février 1965.
Les Aïnous sont des Blancs, des proto-Caucasiens, qui auraient émigré à travers la
Sibérie. Leur dieu « Kamu » englobait le soleil, le vent, l’océan et l’ours.
Ces montagnards de l’Hokkaïdo, velus, lourds et puissants, buveurs d’alcool chaud,
étaient de formidables lutteurs…
Les autres Japonais, de teinte cuivrée, seraient originaires des îles polynésiennes, de la
Malaisie et de la Chine. Ils avaient, grâce à leur science et à leurs armes perfectionnées,
vaincu les géants.
Les vainqueurs, poursuit Pierre Darcourt, avaient emporté en croupe, vers le sud, les
belles femmes blanches (de leurs adversaires) et de leurs accouplements étaient nés des
géants asiates qui devinrent les premiers gardes du corps de l’empereur.
Selon cette thèse, le Japon du Nord pourrait donc être considéré comme étant
l’Extrême-Occident du globe avec ses autochtones hyperboréens, ou peut-être encore comme
un îlot préservé de l’antique terre de Mû dont les habitants étaient de même race extraterrestre
que ceux d’Hyperborée.
Il ne s’agit là que d’un indice, mais qui s’ajoute à une foule d’autres et milite dans le
sens de notre hypothèse d’ancêtres supérieurs venus de Vénus ou d’une étoile.
De ces Hyperboréens extraplanétaires, auraient découlé en premier lieu les « hommes
géants et fameux » cités par la Bible et enfin, par altération, accouplements monstrueux (les
fils du Ciel dévoyés de la Genèse) ou irradiation, les monstres semi-humains de la légende et
les géants à forme animale qui « émigrèrent en Egypte ».
A moins de nier purement et simplement l’existence des géants et des monstres
antiques, et alors il faut réfuter la Bible, les Apocryphes et toutes les traditions, nous ne
concevons aucune autre explication rationnelle à opposer à cette interprétation.
mes-taureaux (le Minotaure), ces faunes à jambes de bouc, ces sphinx à tête de femme,
ces gorgones, ces sirènes, etc.
Les géants de la Bible
Les géants, d’après la Bible, étaient bien des êtres supérieurs puisqu’ils engendrèrent
l’élite des peuples : rois, héros, initiés.
C’est ce que relate la Genèse, chapitre VI, verset 4 :
Or, il y avait des géants sur la terre en ce temps-là. Car depuis que les enfants de
Dieu eurent épousé les filles des hommes, il en sortit des enfants qui furent des hommes
puissants et fameux dans le siècle.
Nous voilà donc avec une explication sur les géants qu’il suffit d’appliquer au règne
animal pour avoir la clef de l’énigme.

En premier lieu, ces « enfants de Dieu » venus sur Terre pour voler les filles des
hommes ou violer leurs épouses ne forniquèrent-ils pas avec certaines bêtes?
De nos jours encore, ces pratiques anormales sont courantes chez les obsédés sexuels
et à plus forte raison le furent-elles chez des êtres sans doute sevrés d’amour depuis fort
longtemps !
Les cosmonautes purent fort bien engendrer des enfants monstrueux, mi-hommes mi-chevaux
ou mi-hommes mi-vaches…
Par ailleurs, le cheptel animal qu’ils lâchèrent dans la nature terrestre dut avant de
disparaître ou de s’acclimater, et à la suite de croisements naturels perturbés ou
d’accouplements extraordinaires, passer par des stades d’où la monstruosité physique découlait
obligatoirement.
Et voilà peut-être expliqué à la fois ces humains géants, ces hommes-chevaux (les
centaures), ces hommes-taureaux (le minotaure), ces faunes à jambes de bouc, ces sphinx à
tête de femme, ces gorgones, ces sirènes, etc…

Les monstres contre les hommes
A corps monstrueux, esprit tortueux, dit la sagesse populaire !
Ces êtres déformés par la légende, car le Minotaure, par exemple, n’était sans doute
qu’un géant à mufle de taureau, ou bien ces mutants, pour reprendre aussi la thèse de
l’irradiation, voulurent-ils jouer un rôle dans la société?
C’est probable, et ils trouvèrent alors, dans les êtres normaux,- des adversaires décidés
à préserver leurs prérogatives et leur race.
D’où une guerre quasi fratricide qui, durant de longues années, endeuilla l’humanité.
Les monstres avaient pour eux la force, la brutalité, au service d’une intelligence
bornée…
Les hommes avaient moins de force physique, mais une intelligence plus subtile, et ils
étaient le nombre.
Les « Bêtes mythologiques » firent de la jeunesse humaine un carnage rappelé par les
sacrifices, les tributs de sang frais, mais finalement, les héros, entendez par là les « Géants »,
fils des extraplanétaires et des filles des hommes, eurent raison de la tyrannie des êtres
anormaux.
Peut-être aussi pouvons-nous penser qu’en souvenir impérissable de la grande bataille
des temps antiques, les hommes vainqueurs érigèrent les seize cents monstres énigmatiques
du Temple de Karnak, et à l’ouest des Pyramides de leurs connaissances, la statue colossale de
l’ennemi héréditaire vaincu : le Sphinx .
Quelle magnifique épopée pour les bardes antiques et comme on comprend
l’enthousiaste métamorphose qu’ils firent des événements !
Les héros victorieux furent certainement promus demi-dieux, mais la vérité nichait au
fond de l’affabulation !
Exhortation du Dieu jaloux
La Bible nous apporte à ce sujet des précisions du plus haut intérêt.
Dans Exode (chap. XXXIV) le Seigneur, qui se nomme lui-même le Dieu jaloux, fait
ses recommandations aux Hébreux.
15. — Ne faites point alliance avec les habitants de ce pays-là…
16. – Vous ne ferez point épouser leurs filles à vos fils…

24. – Car lorsque j’aurai chassé les nations de devant votre face, et que j’aurai étendu
les limites de votre pays…
Il s’agit, bien entendu, de montrer l’alliance du Seigneur avec les tribus d’Israël, mais
un peu plus loin, dans Lévitique (chap. XVIII) Dieu donne une étrange raison qui fait des
Hébreux le « Peuple élu » :
22. – Vous ne commettrez point cette abomination où l’on se sert d’un homme comme si c’était une femme.
23. – Vous ne vous approcherez d’aucune bête, et vous ne vous souillerez point avec elle. La femme ne se prostituera point aussi en cette manière à une bête, parce que c’est un crime abominable.
24. – Vous ne vous souillerez point par toutes ces infamies dont se sont souillés tous les peuples que je chasserai devant vous.
Voilà qui est nettement formulé et d’une importance primordiale pour l’évolution humaine : il fut un temps, après le déluge, où il était de pratique générale, pour les hommes et pour les femmes, de se prostituer avec des animaux.
En résulta-t-il quelque engendrement monstrueux? La Bible semble muette à ce sujet, mais la mythologie grecque accréditerait le fait.


EN CONCLUSION

LAISSONS PARLER ZECHARIA SITCHIN

 

 

Un des récits les plus énigmatiques (et théologiquement difficiles) de la Bible est raconté dans les premiers versets du chapitre 6 de la Genèse – le récit des Néfilim, fils des dieux qui (dans les jours précédant le Déluge «et par la suite aussi») ont pris «des filles de l’homme» comme épouses et ont eu des enfants héroïques par elles. 

Il y a quelque quatre-vingts ans, un écolier, heureux d’étudier la Bible dans son hébreu original, a été réprimandé pour avoir demandé pourquoi, alors que Néfilim voulait dire «Ceux qui étaient descendus» (du ciel à la terre), les traducteurs traduisaient le mot en «géants». L’écolier, c’était moi et la réprimande injuste m’a amené à étudier les mythes anciens, à remonter à la première civilisation connue de l’homme à Sumer et à écrire The 12th Planet.et des livres ultérieurs comprenant le scénario «Anciens astronautes»: Les Néfilim, également appelés Anakim dans la Bible, étaient les Anunnaki sumériens – «Ceux qui sont venus sur Terre sont venus du ciel» – et plus précisément de Nibiru, une planète lointaine dans notre propre système solaire. 

 

 

C’étaient les anciens dieux dont les exploits, détaillés dans des textes sumériens inscrits sur des tablettes d’argile, étaient rappelés dans les récits de la Genèse d’Adam et Eve, du Jardin d’Éden et des mariages ultérieurs. Cela avait du sens (du moins pour moi); il expliquait des énigmes allant de la biologie à l’astronomie; elle était appuyée par d’innombrables représentations picturales sur des objets appelés sceaux de cylindre. Mais pourrait-on le prouver?

À la même époque, il y a quelque quatre-vingts ans, le célèbre archéologue britannique Leonard Woolley, lors d’une fouille en Irak dans l’enceinte sacrée d’Ur – la ville sumérienne où le voyage d’Abraham à Canaan et le monothéisme – découvrit un groupe de tombes inhabituelles. Ils étaient et restent extraordinaires par leur construction et leur tracé, étonnant par la richesse incroyable et la fabrication artisanale des artefacts trouvés dans cet endroit (même les ustensiles les plus courants étaient en or) et surtout par l’inhumation de nombreux assistants ( soixante-treize dans une seule tombe!) qui ont été enterrés vivants aux côtés des personnalités décédées – une pratique inconnue à tout moment, avant ou après.

Qui étaient les personnalités si enterrées – au troisième millénaire avant notre ère – dans ce qui a été connu depuis comme les tombes royales d’Ur? Diverses inscriptions les reliaient à la première dynastie d’Ur. Deux des personnalités ont été identifiées par leurs scellés cylindriques comme étant une femelle appelée Nin.Puabi et un mâle Mes.kalam.dug. Leurs restes squelettiques ont été emportés à Londres, passés aux rayons X et examinés pour leurs particularités anthropologiques. Ils ont été répertoriés comme étant les restes d’une « reine » et d’un « prince » de Su-mer – et oubliés. 

Mais maintenant, quatre-vingts ans plus tard, les deux événements ont bouclé la boucle et, combinés, constituent la preuve insaisissable d’une présence extraterrestre sur Terre dans le passé antique. 

Qu’après trente-cinq ans écoulés depuis La 12ème planètele cycle des données bibliques et le cycle de la découverte scientifique, comme deux roues combinées dans un coffre-fort, entrent en jeu dans l’ouverture du chapitre 6 de Genesis, ce qui n’était ni prévu ni prémédité par moi; mais c’était peut-être prédéterminé et inévitable par la nature même du sujet: les origines humaines.

En regardant en arrière, on s’aperçoit maintenant que les récits de notre création (brève dans la Bible, assez détaillée dans les textes sumériens) sont des récits d’ADN, de génomique et de génie génétique: la «graine de vie» (ADN) est transmise de Nibiru à la Terre lors d’une collision céleste; L’homme est façonné par les Elohim / Anunnaki en ajoutant certains de leurs gènes à ceux d’un hominidé primitif pour atteindre un Homo sapiens; l’hybride stérile a la capacité de procréer par une autre manipulation génétique (l’épisode du «jardin d’Éden»); et puis le cycle est complété par l’accouplement des dieux et des terriens, amenant la réalisation précieuse, les demi-dieux.

C’est avec les demi-dieux que cette chaîne de mélange génétique revêt un intérêt personnel pour nous tous. Les indices sont mis en lumière dans le récit épique de Gilgamesh, le plus célèbre de tous les demi-dieux connus, qui fut roi dans la ville d’Uruk vers 2650 av. J.-C. Son père était le demi-dieu Lugalbanda; mais parce que sa mère était la déesse Ninsun, il était plus qu’un demi-dieu – il était «les deux tiers de lui divin». Cela, croyait-il, lui donnait droit à la longévité (alias «immortalité») des dieux. Mais sa recherche, lui avait-il été prévenu, serait vaine parce que, comme le dit l’épopée de Gilgamesh: 

« Quand les dieux ont créé la compréhension de l’homme, ils se sont perfectionnés pour lui;La sagesse qu’ils lui avaient donnée; À lui ils avaient donné la connaissance – la vie éternelle qu’ils ne lui avaient pas donnée. »

À bien y penser, c’est exactement la leçon du conte biblique du jardin d’Éden: après avoir pris part à l’arbre de la connaissance, les terriens sont expulsés et n’ont pas accès à l’arbre de vie. 

Qu’est-ce que c’est génétiquement que les dieux nous ont délibérément retenu? Quels gènes qui garantissent la longévité, repoussent le cancer? 

Avec les avancées scientifiques révolutionnaires de la génomique, de telles différences génétiques pourraient être vérifiées si nous pouvions mettre la main sur un dieu Anunnaki, ou un demi-dieu, pour effectuer le séquençage du génome de comparaison. 

Et cela, je le révèle dans mon dernier livre Il y avait des géants sur la Terre, pourrait maintenant être possible – parce que Mes.kalem.dug était un demi-dieu et que Nin.Puabi n’était pas une « reine » – elle était une NIN, une déesse. Étant une femme, son ADN mitochondrial qui traverse la lignée féminine était 100% nibourien. 

Une fois sa lignée établie, j’ai approché le Natural History Museum de Londres. Ils ont confirmé l’existence des restes squelettiques, mais ont rejeté ma suggestion de procéder au séquençage du génome de comparaison. Après deux ans d’incitation, la publication deThere Were Giants a conduit le Musée à atténuer son «non» absolu à «nous pourrions le considérer» si un institut de génomique qualifié entreprend le projet.

J’ai approché certains des scientifiques les plus en vue dans ce domaine, en leur proposant de financer un «projet Goddess of Ur Genome». Il reste donc à voir si la science pourra relever le défi qui consiste à prouver que Il y avait des extraterrestres sur la Terre . 

Z. Sitchin, juin 2010

 

 

 

 

 

 

 

Les géants de Patagonie,aperçus en Amérique du Sud,ne sont pas une illusion.La science officielle ne s’y interresse pas…parce qu’ils dérangent!

La Sexualité Sacrée:Khajuraho et les temples les plus sexy de l’Inde

 

 

Le complexe de temples de Khajuraho est une série de bâtiments joliment construits et décorés dans le Madhya Pradesh. Sur les 85 temples construits à l’origine par la dynastie Chandela entre 900 et 1130, seuls 25 subsistent. Khajuraho a été classée au patrimoine mondial de l’UNESCO et mérite grandement l’attention des touristes. Pourtant, ce qui distingue vraiment Khajuraho des autres temples, ce sont les nombreuses gravures érotiques, à l’intérieur et à l’extérieur du temple, qui représentent des hommes, des femmes et même des animaux en train de faire l’amour, des orgies et de la bestialité sous le sourire bénin des divinités.

La construction de temples à l’âge d’or pour l’Inde centrale

Les temples de Khajuraho ont été mis en service presque aussitôt que les Chandelas sont arrivés au pouvoir dans le Madhya Pradesh, une région de l’Inde centrale. Elles étaient dédiées à deux religions indiennes, l’hindouisme et le jaïnisme, suggérant une culture d’acceptation et de respect des traditions religieuses différentes. Sur un espace d’environ 20 kilomètres carrés, 85 temples ont été construits par les souverains Chandela successifs. C’était un âge d’or pour l’Inde centrale.

Elle a brusquement pris fin au début du treizième siècle lorsque le sultanat de Delhi a envahi le royaume Chandela et s’est emparé de la capitale, Mahoba (située à environ 56 km de Khajuraho). Jusqu’à l’invasion, les temples de Khajuraho étaient activement vénérés. Cependant, à l’arrivée du sultanat musulman de Delhi, les temples ont été profanés ou détruits. Les dirigeants islamiques menaient une «politique d’intolérance envers les lieux de culte [sic] d’autres religions, de sorte que tous les citoyens de Khajuraho quittaient la ville avec l’espoir que sa solitude n’attirerait pas l’attention des envahisseurs musulmans dans la temple et eux-mêmes resteront indemnes ».

Les temples émergent de la jungle

Ce ne sont que les temples relativement isolés qui ont réussi à survivre aux différentes dynasties islamiques qui ont dirigé la région du  13ième  au 18 ième siècle. Pourtant, même ceux-ci ont souffert du fait que les forêts et la végétation aient lentement envahi les bâtiments négligés. Ce n’est qu’en 1838 que les temples de Khajuraho ont été connus dans le monde entier. L’exploration britannique TS Burt avait entendu parler d’un temple sexuellement explicite au fond de la jungle indienne, mais «devait être persuadé par ses assistants indiens de faire le voyage; il ne croyait pas que rien d’intéressant puisse être trouvé à cet endroit éloigné »(Ramadurai, 2015)

L’érotisme est partout!

 

Les sculptures érotiques de Khajuraho

En plus de la brillance architecturale et de la sculpture magistrale, les temples de Khajuraho sont bien connus pour leurs sculptures érotiques. L’intention de l’imagerie sexuelle est mal connue, mais il est largement admis que les temples étaient destinés à célébrer tous les aspects de la vie humaine, y compris la sexualité. Environ 10% seulement des œuvres d’art des temples sont de nature sexuelle, mais elles attirent le plus l’attention. Les temples représentent les nombreuses manifestations différentes de Shakti et de Shiva, les principes divins féminin et masculin. Pourtant, les figures humaines sont celles engagées dans les mithunas (terme sanskrit utilisé dans le tantra pour décrire le contexte rituel des unions sexuelles). 

 

Sculptures érotiques au temple de Lakshmana

 

Certaines des sculptures érotiques trouvées sur les complexes du temple de Khajuraho

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Principes tantriques

Considérés comme des adeptes des principes tantriques, les dirigeants Chandela ont peut-être créé les temples pour aider à favoriser l’équilibre entre les forces masculines et féminines, exprimée par le plaisir mutuel de l’union physique. En effet, les temples représentent des femmes si ouvertement et si librement appréciant les plaisirs sexuels que certains érudits pensent que ces temples sont censés être une célébration du pouvoir féminin: «On considère que ces temples sont une célébration de la large hanche et plantureuse mais bien proportionnée des femmes ( apsaras) ornant les murs du temple. Les corps bien formés des nymphes attirent l’attention et on peut les voir se livrer à des activités telles que se maquiller, se laver les cheveux, jouer à des jeux, nouer et dénouer leurs ceintures »(Cunningham, 2016).

Mêmes des dieux et des animaux participent aux célébrations sexuelles des temples.

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La danse et la musique.

Temple de Laksmana.

 

L’amour lesbien ainsi que la masturbation des femmes.

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Sculptures sensuelles à Khajuraho

Sculptures érotiques à Khajuraho

 

Contrairement à de nombreuses autres cultures, en particulier celle islamique qui a envahi la région peu de temps après la construction des temples de Khajuraho, les cultures hindoue et jaïn ne mécontentent pas les femmes qui aiment le sexe. Le plaisir sexuel était considéré comme une forme d’art, le Kama Sutra, destiné à être pratiqué et perfectionné par les deux sexes. «L’hindouisme a traditionnellement considéré le sexe comme un élément essentiel de la vie, ce qui pourrait expliquer pourquoi les sculptures sont parsemées entre elles et décrivent des activités aussi variées que la prière et la guerre. Le fait qu’ils soient mis en évidence et non cachés dans un coin obscur semble suggérer que leurs créateurs ont voulu être vus de tous. « (Ramadurai, 2015) La différence est particulièrement frappante compte tenu de la croissance de la société indienne conservatrice au cours des derniers siècles.

Sources:

Cunningham, Eleanor. « Un catalogue du désir: Les sculptures érotiques des temples de Khajuraho. »  Voyage culturel . Voyage culturel, 2016. Web. https://theculturetrip.com/asia/india/articles/a-catalogue- of-desire-the-erotic-sculptures-of-the-khajuraho-temples/ .

Khajuraho, Inde. « Histoire des temples de Khajuraho. »  Histoire de Khajuraho . Conseils de voyage en Inde, 2016. Web. http://www.khajuraho-india.org/khajuraho-history.html .

Ramadurai, Charukesi. « BBC – Travel – Les temples du sexe de l’Inde. »  BBC News . BBC, 7 octobre 2015. Web. http://www.bbc.com/travel/story/20150921-indias-temples-of-sex .

Shunya. « Photos, Photos de Khajuraho, Inde. »  Khajuraho, Inde . Shunya, août 2005. Web. http://www.shunya.net/Pictures/NorthIndia/Khajuraho/Khajuraho.htm .

Une caravane.

 

Une femme soignant le pied d’une autre.

Le Temple du Lion

 

 

 

La sexualité sacrée:L’allaitement maternel, de l’invincibilité à la création universelle

« La naissance de la voie lactée » (1636-1637) de Peter Paul Rubens

 

 

L’allaitement est une pratique d’alimentation du nourrisson dans laquelle un enfant est nourri au lait maternel directement du sein à la bouche. L’allaitement peut être effectué par la mère elle-même ou par une nourrice. Des preuves de l’allaitement se trouvent dans diverses sociétés du passé et on peut supposer que l’allaitement est pratiqué depuis qu’il y a eu des bébés. Néanmoins, bien que l’allaitement soit sans doute le moyen le plus naturel de nourrir un bébé, il n’a jamais été un jour où tout le monde le faisait, car il a été prouvé que d’autres pratiques d’alimentation du nourrisson étaient également utilisées.    

Peinture d’une femme qui allaite à la maison. (rijksmuseum

Lait maternel – Ce liquide remarquable est-il une source d’invincibilité?

Bien qu’il soit peu probable que les sociétés anciennes aient pleinement compris la valeur nutritive du lait maternel (les scientifiques en apprennent encore plus sur ce fluide corporel remarquable), ils étaient conscients de son importance. Cela peut être vu dans le rôle vénéré accordé au lait maternel dans la mythologie. Les anciens Grecs, par exemple, croyaient que c’était le lait maternel d’ Héra , la reine des dieux, qui avait rendu le héros Héraclès invincible. De plus, c’est le lait maternel de cette déesse qui a créé la Voie Lactée.

 

Le lait maternel a également été glorifié dans les mythes de l’ancienne Mésopotamie. Astarté , une importante déesse babylonienne, était considérée comme la «mère des seins fertiles, la reine des cieux, la créatrice de l’être humain et la mère des dieux».

 

Sculpture d’allaitement au Népal.

 

La révérence accordée au lait maternel a également été donnée à ceux qui ont allaité. Cela se voit d’abord dans les représentations artistiques de l’allaitement. De la civilisation égyptienne antique, des images de la déesse Isis allaitant son fils Horus ont été trouvées.

Isis dans un marais à papyrus en train d’allaiter Horus.

L’allaitement joue également un rôle important dans le mythe fondateur de Rome. Au lieu des seins d’une femme, cependant, les jumeaux Romulus et Remus ont été allaités par une louve jusqu’à leur découverte par le berger Faustulus et son épouse, Acca Larentia.

Allaitement d’animaux

Romulus et Remus n’étaient pas les seuls à avoir tété d’animaux. Dans le passé, si une mère était incapable de produire suffisamment de lait pour nourrir son bébé et qu’une autre femme ne pouvait pas prendre sa place, une femelle pouvait être utilisée pour maintenir l’enfant en vie. Comme dans l’histoire mythologique, il était préférable de téter directement l’animal plutôt que de le traire, puis de fournir le lait au bébé – il a été reconnu comme une méthode plus propre. Les animaux choisis à cet effet étaient des ânes, des vaches, des chèvres, des moutons ou des chiens. Certains historiens pensent que les vaches et les chèvres ont peut-être été domestiquées spécialement à cette fin.

 

 

Sculpture d’une louve nourrissant Romulus et Remus.

 

Les gens croyaient qu’un bébé qui se nourrit de lait d’origine animale (et parfois humaine) aurait un impact sur la personnalité de l’enfant. Le scientifique suédois Carl Linnaeus, par exemple, pensait qu’un lait de lionne favoriserait le courage. Les ânes étaient considérés comme plus moraux que les chèvres «vigoureuses», bien que celles-ci soient devenues des nourrices privilégiées pour les animaux trouvés au XVIIIe siècle.

Comment le rôle d’une infirmière mouillée a-t-il été envisagé?

En général, les sociétés anciennes accordaient une grande importance à l’allaitement. On peut supposer que les mères allaiteraient naturellement leur propre bébé, mais cela n’a pas toujours été possible, certaines mères étant décédées en accouchant et d’autres simplement incapables de allaiter. À la suite de cela, il y avait un marché pour les femmes qui allaient nourrir un autre enfant, elles étaient connues sous le nom d’infirmières humides.

La signification de ces femmes dans les sociétés anciennes est évidente dans le respect qui leur est accordé. Dans l’Égypte ancienne, malgré leur appartenance à la classe des servantes, les infirmières humides étaient très appréciées, en particulier celles qui allaitaient le pharaon. Autre exemple, dans l’ancienne Mésopotamie, le rôle des infirmières de soins infirmiers dans la société était si remarquable que des lois fixant les relations entre une infirmière de soins et son employeur ont été promulguées par le roi babylonien Hammurabi .

 

XVIIIe siècle, la vie de famille dans les demeures bourgeoises prussiennes: un bébé avec une nourrice .

Cependant, tout le monde n’avait pas une vision positive des infirmières. Au cours de la période romaine, les familles riches pouvaient se permettre des infirmières mouillées pour allaiter leurs bébés. Des auteurs tels que Cicero et Tacitus ont vivement critiqué cette pratique, estimant que les mères employant des infirmières soignantes négligeaient leur devoir envers Rome, étaient décadentes et mettaient en péril la stabilité de la société.

Les soins infirmiers ont continué pendant des siècles, mais les critiques étaient également présentes. À la fin des années 1700 et au début des années 1800, par exemple, les mouvements réformistes européens ont commencé à faire pression pour que les femmes allaitent leur propre bébé. Et les gouvernements de certaines nations ont même commencé à jouer un rôle dans ce sujet très personnel. Le gouvernement français a déclaré que les femmes qui n’allaitaient pas ne recevraient pas l’aide sociale en 1793. Et en 1794, les Allemands ont légalisé l’obligation pour toutes les femmes en bonne santé d’allaiter leurs propres enfants. Des facteurs sociétaux et politiques ont eu pour conséquence qu’au début des années 1800, de nombreuses femmes déclaraient fièrement leur pratique d’allaitement.

«Jeune femme qui allaite son enfant» (1777) de Louis-Roland Trinquesse.

Quelles étaient les autres formes anciennes d’alimentation du nourrisson?

Outre l’allaitement par une mère ou une nourrice, d’autres formes d’alimentation du nourrisson étaient utilisées par les sociétés anciennes. Des pots en terre cuite munis de longs becs ont été découverts dans des tombes de nourrissons. Ceux-ci auraient été utilisés pour nourrir les nourrissons.

Ces navires étaient le précurseur du biberon, introduit au 19e siècle. Quant au contenu de ces pots, ce n’était pas toujours du lait, comme on pouvait s’y attendre. Il a été rapporté que les anciens Grecs nourrissaient leurs bébés avec un mélange de vin et de miel dans de tels pots.

 

 

La Sexualité Sacrée:20 000 femmes et 100 000 hommes castrés au service de l’empereur: le harem impérial de Chine

Représentation de concubines au harem de l’empereur.

 

En Chine impériale, l’une des tâches importantes de l’empereur consistait à assurer la pérennité de la dynastie grâce à la production d’un héritier de sexe masculin. À cette fin, les empereurs de la Chine impériale ont gardé un énorme harem de femmes. Il y avait une hiérarchie dans le harem de l’empereur et, bien que les classes exactes aient changé au cours des millénaires, on peut dire qu’en général, il y avait trois rangs: l’impératrice, les conjointes et les concubines. De plus, les eunuques qui ont servi ces femmes impériales peuvent également être considérés comme faisant partie de ce harem.

Hiérarchie dans le harem

Au sommet de la hiérarchie du harem chinois impérial se trouvait l’impératrice, qui était la «femme officielle» de l’empereur. L’impératrice était la figure la plus vénérée et la plus vénérée des femmes en Chine, car elle était considérée comme la «mère du monde». Dans le harem, seuls l’empereur et la mère de l’empereur étaient au-dessus de l’impératrice. Tous les autres individus devaient obéir à ses ordres. En plus des impératrices, il y avait aussi le rang de l’impératrice douairière. Les impératrices qui ont survécu à leurs maris ont été promues à ce rang. Wu Zetian de la dynastie Tang (qui deviendra plus tard la première impératrice de Chine) et Cixi de la dynastie Qing comptent parmi les personnalités importantes des impératrices  douairières .

Wu-Ze-Tian

Consorts dans le harem chinois impérial

Sous l’épouse se trouvaient les concubines. Le nombre et les rangs de ces épouses différaient selon la dynastie au pouvoir. Au cours de la dynastie Qing, par exemple, un harem impérial aurait eu un Noble Consort impérial, deux Noble Consorts et quatre Consorts. Au-dessous de ces épouses se trouvaient les concubines et ce nombre variait d’un empereur à l’autre. Selon les rites de Zhou , un empereur pourrait avoir jusqu’à 9 concubines de haut rang, 27 concubines de rang moyen et 81 concubines de rang moyen. Cependant, pendant la dynastie des Han (206 av. J.-C. – 220 ap. J.-C.), le nombre d’épouses qu’un empereur pouvait avoir était illimité. 

Portrait d’une concubine.

Sélection de Concubines

Au cours de la dynastie Ming (1368-1644 après JC), il existait un système officiel de sélection des concubines pour rejoindre le harem de l’empereur. Le processus de sélection aurait lieu à l’intérieur de la Cité interdite tous les trois ans. Les candidates étaient âgées de 14 à 16 ans et avaient été choisies en fonction de leurs antécédents, de leurs vertus, de leur comportement, de leur caractère, de leur apparence et de leur condition physique.

 

Eunuques – Les seuls hommes autorisés dans le harem

Pour s’assurer que tout enfant né dans le harem soit le père de l’empereur, les hommes n’étaient pas autorisés à servir les femmes du harem de l’empereur. Les seules exceptions à cette règle sont les eunuques, hommes castrés, les rendant ainsi impuissants. Tout au long de l’histoire de la Chine impériale, les eunuques ont servi la famille impériale, y compris en tant que serviteurs du harem. Loin d’être de simples serviteurs, cependant, ces eunuques pourraient aspirer à des postes de pouvoir et de richesse en s’impliquant dans la politique du harem. Au cours de la dynastie des Ming (1368-1644), 100 000 eunuques au service de l’empereur et de son harem furent révélateurs. 

Les eunuques chinois étaient les seuls hommes autorisés dans le harem

 

Rivalités au Harem

Avec autant de femmes dans le harem, il était inévitable que des rivalités surgissent entre les femmes de l’empereur, alors qu’elles rivalisaient pour attirer l’attention de l’empereur. La position la plus convoitée était, bien sûr, celle de l’impératrice, et avoir un fils pour l’empereur serait certainement un avantage considérable pour une femme dans le harem. Parfois, les femmes ambitieuses du harem qui complotaient contre leurs rivales formaient des alliances avec des eunuques. Si une intrigue aboutissait, une femme du harem pourrait gravir les échelons. Elle récompenserait à son tour les eunuques qui la soutenaient en les plaçant dans des postes d’autorité.

Rencontre amoureuse dans un harem.

De telles intrigues de harem ont souvent eu lieu dans l’histoire chinoise. Par exemple, pendant la dynastie Tang, l’une des épouses de l’empereur Gaozong était Wu Zetian. Selon la croyance populaire, Wu Zetian a fait assassiner son enfant nouveau-né et a imputé la responsabilité à l’impératrice Wang. À la suite de cela, l’impératrice fut rétrogradée et Wu Zetian devint la nouvelle impératrice. Néanmoins, tous les harems impériaux n’étaient pas des foyers de complot. Le quasi mythique Huangdi, par exemple, avait quatre concubines, qui n’ont pas été choisies en fonction de leur apparence, mais de leur compétence. L’une de ses concubines secondaires, par exemple, est considérée comme l’inventeur de la cuisine et des baguettes, tandis qu’une autre aurait inventé le peigne. Ensemble, ces concubines ont aidé Huangdi à diriger le pays.

De nombreuses concubines ont connu un sort triste lorsque leur empereur est décédé. Ils ont été sacrifiés, souvent enterrés vivants, pour rejoindre leur maître dans l’au-delà.

 

Photos de concubines vers 1880.

L’impératrice douairière Ci-Xi