Des idées pour vivre dans une ère nouvelle

Une femme africaine préparant un repas ..

C’est en prenant exemple sur le passé, qu’on peut construire l’avenir…

Le Néolithique  :  Les chasseurs, nomades et cueilleurs  sont devenus des pasteurs, ils construisirent des villages et acquirent la notion de propriété. Avec la notion de propriété, est née la notion de force : « défense du territoire ». Conquérir, prendre et garder…

A l’époque Taureau, les gens devinrent propriétaires et guerriers. Comme ils passaient leur temps à combattre, ils ne travaillaient plus. Donc ils prirent des esclaves qui faisaient le travail. Il faut rappeler, que les Indiens d’Amérique, n’avaient pas le sens de la propriété. Ils disaient : « la Terre est notre mère, elle nous nourrit, et on ne coupe pas sa mère en morceaux.»  A cette époque, tout appartenait à tout le monde… Quand les blancs sont allés là-bas, avec leur mentalité, ils ont demandé : «C’est à qui ces terres?»    Les indigènes répondirent : «A personne». Les blancs dirent «Ah bon !?, alors c’est à nous…!». Et vous connaissez la suite… On a introduit chez eux la misère, qu’ils ne connaissaient pas.

Dans la suite de l’évolution, on a introduit le cheval, le boeuf et vers 1875, la machine à vapeur, le télégraphe etc. Depuis, la croissance est telle qu’on devient de plus en plus puissant. Mais que fait-on de constructif de cette puissance au niveau humain, social, écologique, planétaire ?  On n’a pas encore compris grand-chose dans l’art de maîtriser nos pouvoirs…

Au point de vue culturel :

Les gens ont quitté les campagnes pour aller vers les villes. Les paysans travaillèrent dans les usines. Ils ont eu droit à l’enseignement, pour apprendre à lire et à écrire. Juste l’école moyenne. Très vite, il y eut trop d’ouvriers et trop d’étudiants. On a donc augmenté la scolarité, car il vaut mieux des jeunes à l’école, plutôt qu’à la rue. Bien vite il y eut trop d’étudiants. Dans les universités, on rend la sélection beaucoup plus sévère. Ils ont augmenté la quantité de matière à étudier (pas pour donner une meilleure formation, mais pour réguler la sélection).  L’agriculture à fortement diminué, on détruit les stocks pour maintenir les prix et on donne une subvention aux agriculteurs pour qu’ils vivent décemment.

L’organisation du temps de travail :

Au siècle dernier, une journée de travail durait 12 ou 13 heures, une semaine de huit jours comptait 85 à 90 heures..  A présent la journée est de huit heures et la semaine de 40 heures. Certaines sociétés, accordent les 6 heures journées. Ensuite on a proposé le ¼ temps, le mi-temps… L’évolution de notre époque n’offre aucune autre alternative que de devoir diminuer le temps de travail. Cet état de choses provoque la panique.  Pendant des siècles, le travail était la raison d’être des individus. Ils assimilaient leur personnalité à leurs activités et leur salaire de fin de mois était source d’orgueil et de sécurité.  

Travailler = exister, paraître, permet de se situer par rapport aux autres et d’être en compétition permanente avec son environnement dans un sentiment  horrible « de  loi du plus fort » qui signifie « cannibalisme bien appliqué » Le plus fort mange le plus faible et ainsi de suite jusqu’à ce qu’il n’en reste plus qu’un… Comme dit la célèbre phrase : « …Et si il n’en reste qu’un, je serais celui-là ! »

On a tellement focalisé sur le « travail » en tant qu’instrument essentiel de vie, que dans notre mentalité, tout homme qui ne travaille pas est considéré comme un fainéant, un profiteur, un incapable, un parasite de société, un mauvais citoyen ou comme quelqu’un ayant des troubles psychologiques… Le travail est devenu essentiel à l’individu d’au point de vue social, psychique et physique.

L’homme est le seul animal qui ne trouve pas tout ce qu’il a besoin dans son environnement naturel. L’homme ment sur ses droits naturels : « La loi du plus fort », « vaincre pour vivre etc… »  Avec cette règle on n’arrive nulle part.  Les hommes se mangent entre eux, pas les loups !  Lorsqu’on veut démolir un autre homme, pour ne pas avoir mauvaise conscience, on se convainc d’abord qu’il ne vaut pas la peine de vivre, et on crée un sous-homme, c.à.d.  que cet homme là, a le droit d’être détruit, car il n’est pas vraiment un homme. Le racisme, le Nazisme c’est çà ! sauf que les nazis étaient racistes même dans la même couleur de peau. Pendant longtemps, on a provoqué l’asservissement du plus grand nombre pour la liberté de quelques-uns privilégiés.

Il y a une grave erreur dans l’idée de productivité :

On se dit : « Plus on produit, plus il y a du travail… » C’est faux ! C’est l’inverse qui se passe… La technologie moderne, la robotique et l’informatique produisent beaucoup, tout en rapportant beaucoup plus. Ce qui devrait permettre aux hommes d’avoir plus de temps libre et même d’être payés à ne rien faire (chômage, allocations, etc.) Certaines sociétés  gardent des travailleurs payés à ne rien faire…pour maintenir l’illusion ! En fait, la société a de moins en moins besoin du travail de l’homme pour pourvoir à ses besoins. Cela signifie donc positivement, qu’on est en train de se libérer de la servitude du travail, comme à l’époque du paradis terrestre, avant la sanction de Dieu  «  Tu travailleras à la sueur de ton front… » Cette punition est sur le point d’être levée… Hélas, les hommes manifestent en rue pour la maintenir…On est au départ de l’âge d’or, mais, évidemment, il y a encore beaucoup de problèmes à régler dans notre société.

Aujourd’hui, on arrive à des conclusions absurdes de ce genre :

– Puisqu’on a de moins en moins de salariés     – Qu’il y a trop de chômeurs ! 

– Puisque le pouvoir d’achat diminue !              – Trop de minimexés

– Que l’état a moins d’argent !                          – Que l’économie ralentit !

– Que les commerces vont mal !                        – Qu’il y a surpopulation !

– Qu’il y a trop d’étrangers…  

– Qu’il y a trop de pensionnés (diminution des pensions = moins de consommateurs…)

– On ne va plus pouvoir nourrir tout le monde !!!  Donc les étrangers, à la porte…!

C’est une blague !  On produit tellement que chaque année, on doit détruire les surplus pour maintenir les prix. Les grandes surfaces détruisent, jour après jour des quantités énormes de nourriture encore bonnes à la consommation… Il y a un gaspillage monumental pour maintenir les prix !   Il y a largement de quoi nourrir tout le monde !! 

Le capitalisme = produire plus qu’on investit.  

Cette idée est incorrecte. Elle va contre le principe de conservation. Pour procéder de la sorte, il faut tricher. Soit on ne paye pas quelqu’un, soit on vend du vent. On va vendre quelque chose plus cher que sa valeur réelle = profit, donc obligation permanente de tricher. On va fabriquer des objets de moins bonne qualité, pour accélérer le rendement. Donc produire plus et casser plus pour produire plus…

Il faut trouver des esclaves qui travaillent très bon marché. Donc on prend de la main-d’oeuvre étrangère et nous, nous n’avons plus de travail…Là,  on est piégés, car  les industries produisent en quantité des produits que plus personne ne peut acheter, car : moins  de travail =  moins d’argent = moins d’ achats. Comme cet état de choses  se produit a peu près dans tous les pays, l’exportation n’est guère plus rentable.  On tourne en rond… 

Exemple de système spéculatif : 

On va acheter du café torréfié ou non, à très bas prix en Colombie. Ce café reste sur place, mais les spéculateurs se trouvent à Londres. Ils vendent ce café, pour cela ils vont faire  courir des bruits, du style : “La récolte a été mauvaise, trop de pluies, risque d’y avoir pénurie de café etc…” pour faire flamber les prix. Ce même café sera ainsi racheté et revendu plusieurs fois avec chaque fois un bénéfice. En Colombie, les gens sont dans la misère… Cette technique, boursière, se pratique avec tout, de la même façon !  

Autre exemple :

Une usine d’une valeur productive de six millions, est intéressante pour les articles qu’elle produit. Certains manipulateurs font « courir un bruit surfait » à propos de cette usine. Les actions prennent de la valeur. En Bourse, il y a achat/revente, encore achat/revente toujours avec bénéfice… L’usine n’a pas grandi d’un pouce, elle n’a pas changé, elle est restée identique… Le dernier acheteur « pigeonné » vient demander des comptes, on crée un Crash et certains ont tout perdu… Ils sont ruinés et en arrivent parfois au suicide ! Et on continue ce système cannibale…    On perd sa vie à vouloir la gagner !  

Que faire alors de nos surproductions ?  

On crée la publicité, qui va créer le besoin… Donc au lieu de construire des choses qui servent aux besoins des humains, on va manipuler les humains pour que leurs besoins correspondent aux choses construites !  Bref : tout l’art consiste à faire acheter des choses inutiles tout en faisant croire que c’est indispensable à nos besoins ! 

En fait qu’est-ce que l’argent : 

L’argent n’est rien d’autre qu’un carburant.  On se trompe sur la notion de l’argent. L’argent devrait être une valeur d’échange réelle ! Ors au lieu d’être une valeur concrète, elle est spéculative !  Il faut démystifier l’argent : on ne peut plus associer l’argent au travail. 

Au départ : l’argent était un moyen de troc, puis une monnaie marchande, puis des blocs d’or échangés…Ensuite , des pièces furent frappées d’une figure. Les souverains frappaient leur monnaie à leurs effigies ou à leurs armes(blasons.)  De là est venue la confusion entre le pouvoir et l’argent et nous n’en sommes plus sortit… 

A la révolution française, on a commencé à manquer d’or. Les Lombards, les Templiers et les Juifs, créèrent le billet à ordre. 

Par souci de sécurité, les gens laissèrent leur or à la garde des banques et les banquiers se rendirent vite compte que la hauteur de ces stocks ne diminuait jamais. Ils eurent donc l’idée vicieuse  de commencer à prêter aux gens… Ils créèrent un billet à ordre fictif soit un bon pour valoir correspondant à l’or stocké. Bien vite, on a crée plus de billets à ordre qu’il n’y avait d’or stocké… 

Exemple : Un lingot d’or = photo du lingot pour circuler = donner la photo du lingot pour récupérer ce lingot. Un jour un petit malin à dit : « puisque j’ai la photo, je fais des photocopies… 

Le phénomène du chômage : 

Donc le travail à temps plein n’est plus vraiment possible. Le travail à temps partiel, n’offre pas vraiment les mêmes avantages. Si on diminue les heures de travail, en diminuant le salaire, on peut utiliser notre temps libre pour faire autre chose…

Le pouvoir d’achat et le sentiment de sécurité diminue. On ne compte plus le nombre de faillites… et en cas de faillite, les impôts ne sont pas payés, la sécurité sociale n’est pas payée, donc qui va devoir  rembourser, Tout le monde…

Donc pour résumer : de moins en moins de gens travaillent et le peu de gens qui travaillent encore doivent payer de plus en plus d’impôts…

Dans toute l’histoire de l’humanité, on a connu de grandes périodes de chômage. En général, on a réglé le problème par des guerres. On détruit tout, on reconstruit et il y a du travail pour  les survivants.  On connaît la définition de la guerre : « La guerre est faite par ceux qui ne savent pas pourquoi ils l’a font, organisées par ceux qui ne l’a font pas, mais qui savent très bien pourquoi… » 

La guerre 40/45 a supprimé le nombre de personnes équivalent au nombre de chômeurs d’avant la guerre.  Quelles sont les grandes puissances économiques pour le moment : les perdants de la dernière guerre : l’Allemagne et le Japon ! 

L’histoire a prouvé que ce n’était pas vraiment une solution. Il faut trouver autre chose. C’est stupide de démolir constamment ce qu’on a mis du temps et de l’énergie à bâtir . On est occupé à refaire les mêmes erreurs, et on prépare la troisième guerre mondiale…

Le Golfe : Il y a trop de pétrole, on en  consomme trop peu d’où,  chute des prix…

Tant que les Irakiens et les Iraniens se tapent dessus, cela arrange bien l ’économie mondiale, car grâce a cela, la production de pétrole n’est pas excédentaire. En plus, comme il y a trop de pétroliers, on en coule quelques-uns . Comme c’est remboursé par les assurances (c.à.d. nous)  Cela arrange beaucoup de monde. 

Les grandes puissances fournissent les armes et nous aussi…et Israël aussi, fournit des armes aux deux côtés… 

A présent, où en sont les salaires des travailleurs ? : 

On retire du salaire brut, 50 % de charges et d’impôts qui servent à payer : les chômeurs, les politiciens, les pensions, les emplois « crées ». 

Les robots c’est chouette, mais ils ne paient pas de taxes. Le patron s’y retrouve, mais il n’y a plus de redistribution d’impôts… Dès lors, l’état doit compenser par des prélèvements de toutes sortes : allocations compensatoires… 

Ce système n’est pas viable, car il ne restera plus assez de travailleurs pour payer tout cela. Donc, la dette publique augmente. 

A partir de quel moment avons-nous perdu notre liberté ?  

A partir de l’instauration du système bancaire actuel. Très pratique, très ingénieux…pour qui ? Les Banques possèdent chacun d’entre nous. 

Les Banques financent les guerres : Comment les chefs d’Etats pourraient-ils se fournir en armement sinon ?  A chaque grande guerre, les hommes se sont fait tuer par des armes financées parfois par leur propre patrie… A qui profitent les guerres ? 

Les Banques prêtent : Aux pays en difficultés. Ces pays surendettés ne font plus ce qu’ils veulent. Ils doivent céder en contre partie, un droit sur leurs produits miniers, sur leurs richesses agricoles etc. 

Les crédits : Les cartes de crédits : La tentation permanente ! La fuite en avant dans le brouillard !  Ils sont fait pour prolonger l’illusion… Tout en maintenant les gens dans une prison psychique, morale … C’est un cercle vicieux !

Nous sommes tous endettés et vivons dans l’angoisse de ne plus savoir rembourser et de perdre le peu qu’on a acquis à crédit. Les Banques prêtent à des taux d’usurier et on passe sa vie à payer. Les intérêts plus les frais de toutes sortes additionnés mensuellement font qu’on arrive plus à rembourser. Après des années, on a déjà restitué trois ou quatre fois la somme empruntée…

Toute cette lutte pour pouvoir financer nos ambitions, nous préoccupe tellement qu’on ne réfléchit plus… On ne sait plus comment sortir de l’engrenage. Nos signes extérieurs de richesses, nos désirs de paraître, d’avoir la même chose que le voisin, nous le payons très cher !

     Nous sommes prisonniers du système et croulons sous son poids. 

Ceux qui ne veulent pas adhérer au système sont rapidement éliminés, d’une façon comme un autre. En Amérique, quelques grands présidents ont voulu changer les choses… Ils ont tous été assassinés.  A chaque fois qu’un « président », où un « chef »  n’adhère plus tout-à-fait aux exigences des pouvoirs occultes, on le « casse », par des scandales ou par des meurtres. (Lincoln, les Kennedi etc.) Même chez nous, si un ministre voulait faire stopper le système « des taux d’usures » et d’autres pratiques bancaires, il risquerait certainement de gros problèmes. Il ne serait pas étonnant qu’on le mêlerait à un scandale bidon pour le neutraliser. 

Un ami m’a dit il y a 15 ans, « tu vas voir,  on aura tellement peur de posséder de l’argent liquide à cause de l’insécurité, qu’on aura tous des cartes magnétiques pour effectuer les paiements ». (C’est fait) « Ensuite, on sera tellement embarrassés de toutes ces cartes, qu’on finira par avoir un implant avec un code barre sur l’avant-bras. Il n’y aura plus qu’à passer devant un scanner et on saura tout de nous… Tous ces codes seront repris dans l’ordinateur central  appelé «  LA  BETE » dans la Bible. »   (Nous n’avons pas de code barre en implant, mais nous sommes déjà des numéros dans la bête…) 

Pour faire partie de la société il faudra être immatriculé. Celui qui ne le sera pas, où qui en guise de punition serait banni, n’aura plus d’identité, ne pourra plus faire de commerce, bref n’existera plus…

FICTION  ??

Nos seuls bien les plus précieux, ce sont nos vies, et notre libre-arbitre. c.à.d.vivre libre de choisir ce qu’on veut et ce qu’on veut pas ! 

Le fonctionnement financier : 

La monnaie Bancaire : 

Ex : Un commerçant dépose sa recette du jour à la banque. En échange, il reçoit un reçu. Le banquier lui dit : « Puisque vous avez un compte chez nous, au lieu de prendre l’argent, prenez des chèques »  

Les chèques = une promesse de payer. Très rapidement apparurent les chèques sans provisions, puis les chèques volés. Certains se sont fait rembourser des sommes qui n’existaient pas. Les chèques posèrent beaucoup de problèmes… On tente de les supprimer.  

Puisque les gens ne se promènent plus avec de l’argent en poche mais avec des promesses de payer, les banques proposent donc de continuer à prêter, et elles allongent leurs crédits. On nous prête des sommes fabuleuses sur des valeurs qui ne sont pratiquement plus stockées. Si demain, tout le monde allait rechercher son argent à la banque, ce serait la panique, car il y a bien longtemps que l’argent n’y est plus.

Ce système continue à fonctionner contre toute logique. Si le système fonctionne avec des dettes énormes et le l’argent fictif, c’est que l’argent n’a pas du tout la valeur magique qu’on lui prête. On lui prête en plus une valeur morale

Il faut démystifier l’argent, absolument… Pour éviter de nouveau une société de riches et de pauvres.

La plus grande charge karmique de l’occident, c’est d’avoir prêché la charité et de ne l’avoir jamais pratiquée. 

LE TEMPS  DE  VIVRE  

Sources : Des loisirs, pour quoi faire ? J.Mousseau

Conf. L.D’Alès et E.DORION 

Et si, il venait un temps où il ne faudra plus attendre la retraite pour profiter de son temps libre pour quelques années à peine ?  

Beaucoup de pessimiste, traditionaliste, diront : « ce n’est pas possible…Les gens ne feront rien de bon de leur temps libre…Les jeunes vont paresser ou pire encore… » 

Essayons d’être optimiste et examinons le programme :

  • Le travail était considéré comme une aliénation et les loisirs comme une libération. On deviendra libre…

Si on regardait dans le dictionnaire Larousse la définition des mots : 

TRAVAIL : du latin trepalium = instrument de torture !

CHOMAGE : du latin Caumare = se reposer pendant la chaleur…On va travailler moins : tant mieux, on va pouvoir s’occuper de nous et des autres. Donner plus de valeur à l’individu « on se vend, on vend son savoir faire. 

  • On aura une structure communautaire échangiste, une société planétaire valorisant l’individu. 

Nouvelles idées Verseau :  

On va démystifier l’argent en le remplaçant par une monnaie distributive :

Une monnaie non-thésorisable

– Chacun aura droit à un compte personnel géré à vie. Tous auront intérêt à la production sociale en solidarité. Au plus chacun apportera dans la corbeille, au plus tout le monde sera prospère. Le travail ne sera plus lié au salaire mais aux services rendus. Ce sera comme une relation parents/enfants, des échanges gratuits. Dans ce système, le revenu serait l’usufruit d’un héritage à vie. 

Les machines fabriqueront pour qu’il y ait assez pour tout le monde. Si un produit fabriqué n’est pas acheté, on arrêtera de le fabriquer, car il est inutile.

On n’aura plus aucun intérêt à faire la guerre, car tout le monde sera content. 

Les robots et les machines produiront ce qu’on a besoin, l’informatique peut tout gérer.

On créera une interdépendance, première version de l’amour car le mot “je t’aime” signifie : “tu couvres mes besoins”. 

– Vous ne saurez pas acheter plus de biens qu’il n’y en a de disponible et vous n’aurez pas intérêt à acheter plus de biens que vous saurez consommer.

– Vous ne saurez pas manger plus que le volume de votre estomac. Cela ne servira à rien d’avoir 3 où 4 a maisons, car vous ne saurez plus les revendre. Pourquoi les gens achèteraient-ils une maison puisqu’ils y auraient droit par leur naissance. 

– On ne volera plus : car par sa naissance, on aura tout, et que faire de plus puisqu’on ne pourra pas le revendre.  Cette monnaie ne sera plus fournie par une banque, donc on ne prendra plus d’intérêts dessus. cet investissement sera fourni par toute la société. 

Le droit à la vie pour tous les hommes. 

On va s’ennuyer pensez-vous ?  Imaginez vos journées : 

Comment passer à une société sédentaire ? : 

L’existence des loisirs jouera un rôle fondamental dans notre quotidien et notre futur. 

Que faire de tout ce temps de liberté : 

Ceux qui sont habités par certaines passions, sauront vite comment utiliser leurs journées. Les autres, trouveront une quantité de possibilités : 

– Voyager, sans compter ni le temps, ni l’argent…

– Bientôt des mini-trips intergalactiques. (la fiction deviendrait réalité)

– Grâce aux systèmes de déplacements de plus en plus rapides, on pourra être à Nice sur la plage au matin, et chez nous le soir…

– Suivre des cours de musique, de chant, de peinture, de théâtre,

– Tout apprendre, dans tous les domaines, pour nous rendre utile dans tous les           secteurs.

– Echanger sa voiture contre une autre…

– Echanger sa maison de ville contre une à la campagne chaque fois qu’on a  envie de changement…

– S’entraider les uns les autres…

– Rendre verdoyants et productifs les déserts de la planète, ainsi il y aura de la place et de la nourriture assez pour tout le monde…

– Entourer les enfants d’amour et d’attentions…

– Entourer les personnes âgées qui ne seront plus confinées dans des mouroirs…

– Chacun pourra apporter ses qualités, sa personnalité, ses connaissances aux profits des autres. 

– Aller écouter et admirer ce que les autres font : Concerts, etc.

– Lire, écrire, photographier…

– Pratiquer plusieurs sports, pour le plaisir et plus pour les gains mirobolants…

Avec les montagnes à gravir, les mers à sonder, les grottes à explorer, les musées à visiter, les cieux à observer,  pensez-vous vraiment qu’il n’y à rien à faire de notre temps…? 

Terminé le stress, les maladies nerveuses, les jalousies… 

Ce n’est pas utopique ! 

Si nous remontons dans l’histoire, certains dit « primitifs » vivaient a peu de chose près comme cela, (mais sans notre fabuleuse technologie pour les servir), et ils étaient pourtant heureux…

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