Les enseignements de Rampa : sur la Terre Creuse

Terre Creuse et Habitants de l’Intérieur.

… « Beaucoup de gens croient qu’il existe peut-être un monde à l’intérieur de ce monde. Que le monde pourrait être creux. Qu’en pensez-vous ? Vous prétendez connaître beaucoup de choses au sujet de la religion. Comment se fait-il que vous n’ayez jamais parlé de ça ? Comment se fait-il que les livres de religion n’en parlent jamais ? »

Eh bien, ce monsieur se trompe car la religion – ou la croyance – sur laquelle je suis le mieux informé (le bouddhisme) se réfère en vérité à un Monde Intérieur. Il y a un mot spécial pour le désigner, Agharta, qui revient très fréquemment dans les Écritures bouddhistes. En fait, la tradition tébétaine mentionne abondamment Shamballa, résidence du roi de tous les mondes, le roi qui est caché à la vue des multitudes vivant à la surface du globe. [Voir aussi F. Ossendowski, Bêtes, hommes et dieux, Éd. J’ai Lu ]

Les Tibétains croient fermement à ce roi du monde habitant à l’intérieur du monde. Ce n’est pas une sorte de démon mais un souverain extrêmement bon, un excellent maître spirituel qui vit simultanément sur deux plans : le plan physique où il règne éternellement et le plan spirituel ou astral où il règne aussi éternellement. Selon les Tibétains, le roi du monde a donné originellement ses instructions au premier dalaï-lama, lequel était, en réalité, le représentant dans le monde extérieur du roi du monde intérieur.

Il existe indiscutablement au Tibet des tunnels qui s’enfoncent toujours plus profond sous la terre et de nombreuses légendes font état de personnages singuliers qui empruntent ces tunnels pour s’entretenir avec des lamas de degré supérieur. Ainsi que je l’ai écrit dans quelques-uns de mes ouvrages, je suis descendu dans certains de ces tunnels et même dans ceux de l’Ultime Thulé. Il est divers endroits du globe d’où l’initié peut se rendre au centre de la planète pour y rencontrer des représentants de cette civilisation intérieure et beaucoup de gens savent de science certaine que les habitants du monde intérieur viennent conférer avec ceux de la surface. Naturellement, quelques-uns des O.V.N.I. proviennent de ce monde intérieur.

Il y a au Tibet des tunnels conduisant au monde intérieur et il y en a aussi au Brésil. Le Brésil et le Tibet sont deux régions du monde extérieur qui ont une importance capitale et qui exercent une attraction particulière sur le peuple du monde intérieur.

Il est fort regrettable qu’il existe un si grand nombre de superstitions que l’on n’a jamais convenablement étudiées car certains « sensitifs » savent qu’il y a un tunnel sous les grandes pyramides. Mais attention : je ne me réfère pas aux seules pyramides égyptiennes. Il y en a beaucoup d’autres. Toutes servaient de balises envoyant des messages aux Jardiniers de la Terre et à leurs représentants qui traversent l’espace dans leurs astronefs. Il y a des pyramides en Égypte et dans certaines parties de l’Amérique du Sud, il y en a aussi de très importantes dans le désert de Gobi mais celui-ci est aujourd’hui sous le contrôle de la Chine communiste, on ne sait pas grand-chose à ce propos à l’extérieur. Toutes ces pyramides communiquent avec le monde intérieur et, à l’époque des pharaons, un grand nombre de rites magiques égyptiens étaient conduits par des êtres venus du monde intérieur dans ce but.

Mais revenons aux faits fondamentaux. Selon les Écritures bouddhistes, la Terre a subi de considérables convulsions et les climats se sont maintes et maintes fois modifiés. En raison de ces bouleversements des tribus, chassées des zones froides, ont émigré vers des zones plus chaudes et, lors d’une de ces migrations de population – cela se passait il y a quelques 25 000 ans -, une tribu a atteint ce que nous appellerions aujourd’hui le pôle nord. Cette peuplade a continué sa marche et a fini par s’apercevoir que le soleil était toujours devant et jamais derrière, que jamais il ne se levait ni ne se couchait. Au fil du temps, ces hommes ont finalement compris qu’ils étaient à l’intérieur de la Terre, que celle-ci était creuse et ils se sont établis là. On pense également – j’aurais dû mettre des guillemets ! – que les Tziganes viennent tous du centre de la Terre.

J’ai entendu bien des gens discuter de la théorie de la terre creuse et les adversaires de cette thèse rétorquent immanquablement : « Si la Terre est creuse, comment se fait-il que les avions de ligne qui survolent le pôle nord ne voient pas d’ouverture ? Aujourd’hui, ils le survolent et ils survolent peut-être aussi le pôle sud. S’il y avait une grande crevasse, il est évident que les pilotes la remarqueraient. »

Eh bien, ce n’est pas vrai. Les avions de ligne ne survolent ni le pôle nord ni le pôle sud. Ils passent à bonne distance pour la simple raison que s’ils les survolaient à la verticale, cela affolerait les instruments de navigation. Aussi, les appareils civils font-ils un large crochet afin d’éviter un pôle nord ou un pôle sud mythique qui dérèglerait les compas.

D’autres disent encore : « Et tous les explorateurs qui sont allés au pôle nord ou au pôle sud ? S’il y avait eu un trou dans l’écorce terrestre, ils l’auraient trouvé. » 
Là encore, la réponse est non. Ce n’est pas vrai. Personne n’est allé au pôle nord, personne n’est allé au pôle sud. Nous disposons de rapports rédigés par des gens qui sont parvenus à proximité de l’un ou l’autre pôle et qui ont continué d’avancer pendant des kilomètres et des kilomètres. En d’autres termes, ils se sont plus ou moins perdus. L’histoire ancienne, et l’histoire moderne aussi, nous apprend que les marins repèrent souvent des débris flottants qui viennent des pôles (j’emploie le mot « pôle » pour me conformer à l’usage et pour que la localisation soit précise). Parfois, ce sont même des animaux ou des oiseaux. Or, tout le monde sait qu’on ne trouve ni oiseaux ni insectes, pas plus au pôle nord qu’au pôle sud. Sans parler de feuilles vertes. Alors, d’où viennent ces épaves ? De l’intérieur de la Terre, évidemment.

Voici ce que je crois.

Supposons que vous ayiez un véhicule et que vous puissiez aller d’ici – par « ici », j’entends l’endroit où vous êtes actuellement – au pôle nord. Vous avanceriez, vous avanceriez et vous atteindriez un point que vous considéreriez comme étant le pôle. Vous continueriez alors et vous constateriez finalement que c’est un autre soleil qui brille au-dessus de vous, le soleil étant un phénomène de nature atomique qui se produit naturellement, et pas seulement au centre de la Terre mais tout aussi bien sur beaucoup d’autres mondes. Les astronomes ont parfois noté, par exemple, l’apparition d’étranges lueurs sur la Lune à l’enplacement des pôles.

« Peut-être bien, répondrez-vous, mais des hommes ont été sur la Lune. »

Absolument, mais ils n’ont reconnu qu’un périmètre très réduit [écrit en 1974], un cercle de quelque huit kilomètres de rayon. Oh non ! on n’a pas exploré la Lune. Et on n’a pas exploré la Terre. Il reste encore une bonne partie de cette dernière à découvrir.

Si cela vous intéresse, allez à la bibliothèque publique. Je suis sûr que vous y trouverez quantité d’ouvrages où il est question de la théorie de la Terre creuse, relatant des récits de voyageurs égarés qui ont abordé un pays  étrange et ont fini par se  retrouver au coeur du monde intérieur. Plutôt que de vous rendre à la bibliothèque, achetez donc quelques livres dans une bonne librairie.

On m’a demandé d’expliquer à quoi pourrait ressembler un tel monde, comment pourrait exister un monde intérieurement creux. La meilleure explication que je puisse fournir est la suivante :

Imaginez une noix de coco. L’extérieur de la noix de coco est la surface de la Terre. Et rappelez-vous que si vos avez les mains moites, l’humidité que vous avez déposée sur l’écorce de votre noix de coco rien qu’en la touchant représente une profondeur proportionnelle à celle de la plus profonde des mers de la Terre en vraie grandeur. C’est là une donnée qui mérite qu’on la garde présente à l’esprit.

Bref, vous avez votre noix de coco et vous examinez sa surface externe. Elle figure notre Terre conventionnelle. Maintenant, percez un trou dans ce que l’on appelle l’oeil de la noix de coco et percez-en un autre diamétralement opposé. Nous dirons que ce sont respectivement le pôle nord et le pôle sud. Les trous doivent avoir deux centimètres environ. Videz le lait. Vous aurez à ce moment une écorce coriace qui est la croûte terrestre et, à l’intérieur, une pulpe blanche : c’est la surface du monde intérieur. Arrangez-vous pour placer juste au milieu de la noix de coco une petite ampoule électrique pour figurer le soleil interne qui brille sans relâche.

Poursuivons. L’enveloppe coriace qui est l’écorce terrestre et la surface interne, plus molle, qui permet aux habitants du monde intérieur de se tenir debout engendrent également la force de gravité grâce à laquelle les gens peuvent marcher verticalement sur l’une et l’autre surfaces accolées. Rien ne permet d’affirmer que le contenu de la terre soit fait de gaz en fusion, de fer en fusion, de roches en fusion ou de n’importe quoi d’autre en fusion. Ce n’est là qu’une supposition des  « savants », ces savants qui ont fait tant de suppositions erronées – quand ils disaient, par exemple, que si un homme voyageait à une vitesse supérieure à 50 kilomètres à l’heure, la pression de l’air ferait éclater ses poumons. Ou qu’un astronef ne pourrait jamais se poser sur la Lune car il s’enliserait aussitôt, englouti par la poussière impalpable constituant le sol de notre satellite. Non, les savants ne sont que des devins diplômés de l’université. Et ils sont souvent pires que les devins qui n’ont pas fait d’études car on leur enseigne que si Pierre, Paul ou Jacques dit qu’une chose est impossible, c’est qu’elle est impossible de sorte qu’au lieu de leur apprendre à penser, on leur apprend seulement que tel ou tel Auteur est infaillible et que s’il a dit que telle chose est impossible, eh bien, elle est impossible, voilà tout.

Je crois que les habitants de l’intérieur de la Terre sont un peuple très, très hautement développé, qu’ils ne sont autres que les survivants de la Lémurie, de Mu, de l’Atlantide et de beaucoup d’autres civilisations encore plus anciennes. La Terre a été ravagée par des cataclysmes, des tempêtes, des météorites et tout le reste, les habitants de la surface ont fréquemment été décimés. Mais, à l’intérieur, la vie se poursuit sereinement sans être perturbée par les événements de dehors et la connaissance spirituelle et scientifique a par conséquent progressé.

Peut-être ignorez-vous que les Chiliens, qui s’intéressent fort à la région du pôle sud, ont photograpié des O.V.N.I. qui y prenaient leur essor. Une équipe de géophysiciens chiliens a pris des photographies tout à fait passionnantes. Malheureusement, des pressions considérables ont été exercées sur eux et ces documents ont été remis aux autorités des États-Unis. Depuis, on n’en a plus jamais entendu parler.

Il existe différents types d’O.V.N.I. L’un d’eux vient des entrailles de la Terre et si l’on voit aujourd’hui beaucoup d’objets volants non identifiés, c’est parce que le peuple de l’intérieur s’inquiète énormément des explosions atomiques qui intervienent à l’extérieur. Après tout, si la déflagration est assez puissante, l’écorce terrestre risque de se fragmenter encore plus gravement que ce n’est actuellement le cas et la Terre tout entière pourrait bien périr. C’est pourquoi le peuple de l’intérieur se fait tant de souci, c’est pourquoi il essaye de contrôler la recherche atomique dans le monde extérieur.

Avez-vous véritablement étudié les voyages des explorateurs qui prétendent être allés au pôle nord ou au pôle sud ? Tous sans exception signalaient que plus ils remontaient vers le nord, plus la température s’élevait, qu’ils trouvaient plus de mers libres qu’ils ne s’y attendaient et qu’ils découvraient une foule de choses contredisant radicalement la théorie selon laquelle le froid augmente à mesure que l’on s’approche des pôles. En fait, les pôles n’existent pas sinon en tant que symboles mythiques suspendus en plein ciel, peut-être à la verticale de l’ouverture béant sur les profondeurs de la Terre.

Les aurores béréales pourraient fort bien n’être que le reflet du soleil interne que l’on observe dans certaines conditions favorables ou même des radiations émanant de la vie nucléaire au centre du globe.

Mais il y aura immanquablement quelqu’un qui dira que tout cela est impossible, qu’il n’y a, bien entendu, pas de trou conduisant à l’intérieur de la Terre, qu’une telle idée est absurde, ridicule… Si une gigantesque excavation s’ouvrait au pôle nord et une autre au pôle sud, il va de soi que les pilotes les auraient remarquées, les astronautes aussi et, d’ailleurs n’importe qui pourrait voir à travers l’épaisseur de la Terre, exactement comme on peut voir le jour à travers un oeuf percé. Quelqu’un ne saurait manquer de dire que l’auteur de ces lignes a perdu les pédales… ou qu’il est devenu gâteux.

C’est là une attitude entièrement erronée qui montre que l’on ignore les faits. Combien d’entre vous sont-ils allés au pôle nord ? Combien d’entre vous sont-ils allés au pôle sud ? Combien d’entre vous connaissent-ils les conditions climatiques qui règnent dans ces régions ? Les conditions d’ennuagement, par exemple ? Ou de visibilité ? Non, lecteur à l’esprit critique, je n’ai pas perdu les pédales. C’est toi qui les a perdues si tu penses que tout cela est impossible. Et si tu penses que tout cela est impossible, tu n’as pas seulement perdu les pédales, tu prends des vessies pour des lanternes, ce qui est bigrement plus grave.

Songe aux immenses grottes qui sont restées inconnues pendant des centaines ou des milliers d’années dans des régions fortement peuplées. À celle où l’on a retrouvé les manuscrits de la Mer Morte. On ne l’a découverte que par hasard.

Regarde le Canada. De vastes zones du Québec n’ont pas été explorées. Et supposons qu’un avion survole certaines de ces zones que la glace recouvre presque toute l’année. Les photos montreraient des reflets exactement semblables à la réflexion de la glace et de la neige. Ou peut-être des taches sombres exactement semblables aux taches sombres que peuvent présenter la glace et la neige. Vous savez, la glace peut avoir de nombreuses teintes différentes, elle n’est pas toujours blanche et pailletée comme le givre dont on saupoudre  les arbres de Noël. On trouve même de la glace rouge dans certains endroits. Je le sais parce que j’en ai vu. Toutefois, l’essentiel est qu’une photo prise à la verticale de l’emplacement approximatif du pôle sud pourrait révéler des ombres curieuses mais si l’on n’a pas de raison d’étudier ces ombres de près, personne n’ira enquêter sur place, n’est-il pas vrai ? Il faut beaucoup d’argent pour monter une expédition qui se rendrait au mythique pôle nord ou au non moins mythique pôle sud. Il faut beaucoup d’argent, il faut des hommes d’une espèce particulière, il faut énormément de matériel et de vivres et il faut un solide compte en banque pour payer les assurances.

J’en reviens au Canada. Une très grande partie des territoires septentrionaux de ce pays n’a pas été explorée. il y a des régions où l’homme n’a jamais posé le pied. Comment savoir quels trous il peut y avoir dans les territoires septentrionaux si l’on n’y est pas allé ? Il est stupide de dire que ces choses-là sont impossibles quand on ne connaît pas toutes les données, quand on n’est pas expert en photographie, quand on n’est pas un géologue patenté.

Pensez aux astronautes ou aux cosmonautes, quel que soit le terme par lequel on les désigne couramment. Quand ils décollent et qu’ils sont suffisamment près de la Terre, ils ont probablement autre chose à faire que chercher à savoir s’il y a un trou à l’emplacement théorique du pôle nord ou du pôle sud, d’autant que, dans ces régions polaires, la visibilité est affreusement médiocre du fait des brouillards, des tempêtes de neige et de la réflexion de la neige, de la glace et de l’eau qui brouille tout. Il convient aussi de considérer que lorsque les astronautes sont en orbite, ils ont des tâches précises à accomplir : jeter un coup d’oeil scrutateur sur les Russes et jeter un coup d’oeil encore plus scrutateur sur les Chinois. Y a-t-il des ombres révélatrices indiquant que l’on a construit des silos qui pourraient être des rampes de lancement de missiles balistiques intercontinentaux ? Et si tel est le cas, dans quelle direction sont-elles pointées ? C’est grâce à des informations de ce genre que les Américains sont à même de dire si les seigneurs de guerre de Pékin ont des fusées braquées sur New York, Los Angeles ou d’autres villes. Ils leur faut tenir compte de l’angle d’inclinaison et de la rotation de la Terre pour pouvoir déterminer à quelques kilomètres près la cible assignée aux missiles intercontinentaux. Savoir ce que fabriquent les Russes, les Polonais, les Chinois et les Tchèques intéresse beaucoup plus les Américains que de chercher à savoir s’il y a un trou dans la Terre.

On peut donc tenir pour établi que, à moins de conditions et de circonstances très particulières, on ne photographiera jamais ces excavations. Quant à se figurer qu’en regardant par un bout on pourrait voir le trou opposé comme s’il s’agissait d’un tunnel rectiligne, c’est une idée complètement aberrante. On ne pourrait pas. Imaginez un tunnel ferroviaire rectiligne, droit comme un fil. Vous regardez à un bout, Si vous faites très attention, mais vraiment très attention, il est possible que vous voyiez un petit point de lumière à l’autre extrémité. Et votre tunnel fait peut-être quinze cent mètres à peine. Mais si vous regardez à travers un trou s’ouvrant dans la Terre, le trou d’en face sera à une distance de quelques 12 800 kilomètres. C’est-à-dire que ce tunnel-là serait si long que vous ne verriez pas la lumière de l’autre côté. Et il n’y a pas que cela. Même si vous aviez une vue perçante au point de pouvoir distinguer un petit trou à l’autre bout, vous ne verriez quand même que les ténèbres pour la bonne raison qu’il n’y aurait pas de lumière réfléchie sauf si le soleil est juste en face de vous.

Si vous niez la POSSIBILITÉ que la Terre soit creuse, vous ne salez pas mieux que ceux qui croient qu’elle est plate ! … Toujours est-il que si vous n’êtes pas certain de quelque chose, pourquoi ne pas garder l’esprit ouvert pour ne pas être pris de court le jour où la preuve vous sera administrée ?

Encore une chose qu’il convient de considérer : les gouvernements du monde – ou, plutôt, les gouvernements des super-puissances – font des efforts titanesques pour étouffer tout ce qui a trait aux ovnis. Pourquoi ? Des millions de gens en ont vu. Pas plus tard qu’hier, je lisais dans un périodique que les statistiques prouvent que 15 millions d’Américains en ont vu. Si 15 millions de personnes dans un seul pays ont vu des O.V.N.I., c’est forcément qu’il existe quelque chose comme des O.V.N.I. L’Argentine, le Chili et quelques autres pays sensés admettent l’existence des O.V.N.I. Cela ne signifie pas obligatoirement qu’ils savent ce que sont les O.V.N.I. ou pourquoi  il y en a, mais ils reconnaissent que les O.V.N.I. existent, et c’est déjà un grand pas en avant.

Les gouvernements font le silence et dissimulent la vérité sur les O.V.N.I. Alors, supposons que le gouvernement américain, par exemple, possède des photographies d’O.V.N.I. arrivant sur Terre ou en repartant, supposons qu’il ait la preuve irréfutable que la Terre est creuse et qu’elle abrite une haute civilisation. Il ne fait pas l’ombre d’un doute que les gouvernements essaieraient de cacher la vérité, sinon ce serait l’affolement, les gens pilleraient, se suicideraient et feraient toutes les choses singulières que font les humains sous l’empire de la panique. Rappelons-nous seulement que l’émission de télévision d’Orson Welles, il y a quelques années – La Guerre des Mondes – a provoqué une panique chez les Américains malgré les exhortations des présentateurs qui leur disaient que ce n’était qu’une dramatique.

Bon… Les gouvernements cachent la vérité parce qu’ils redoutent que la panique ne s’empare des populations. Mais peut-être seront-ils obligés dans un avenir assez proche de s’incliner devant elle, de reconnaître que la Terre est creuse, qu’elle abrite dans ses profondeurs une race supérieurement intelligente et qu’une certaine catégorie d’objets volants non identifiés vient de ses entrailles. Une catégorie d’O.V.N.I. vient de l’« espace extérieur », une autre de l’« espace intérieur », autrement dit de l’intérieur de la Terre.

Mais peut-être allez-vous dire : « Je maintiens que ce type est fou parce qu’il n’y aurait pas assez de place à l’intérieur de la Terre pour qu’il y ait une civilisation. » 
Eh bien, mon cher monsieur – ou ma chère madame, selon le cas -, cela signifie que vous étiez cancre à l’école. Examinons donc quelques chiffres. Je ne vais pas citer les chiffres précis sinon quelqu’un s’écriera sans aucun doute : « Oh ! Regardez ! Voilà la preuve que nous avons affaire à un imposteur. Le diamètre de la Terre a 15 centimètres de plus en réalité ! » Eh oui, bien-aimé lecteur, les gens disent et écrivent des choses dans ce genre et ils se croient très malins. Néanmoins, voyons quelques chiffres approximatifs.

Le diamètre de la Terre est, en gros, de 12 680 Km. Admettons (puisqu’il faut tout de même donner des chiffres, n’est-ce pas ?) que l’épaisseur de l’écorce terrestre de ce côté de la Terre et celle du « sol » de la Terre intérieure fassent 1300 Km. Multiplions par deux : nous obtenons 2600 Km. Si nous retranchons ces 2600 Km  de 12 680 Km, cela nous donne 10 080 Km et nous pouvons considérer que c’est grossièrement le diamètre de la Terre à l’intérieur de la Terre [le diamètre de l’espace vide à l’intérieur de la Terre].

Autrement dit, le monde intérieure est (toujours de façon approximative) 2,9 fois plus grand que la Lune et si l’on pouvait fourrer la Lune dans la Terre, la malheureuse balloterait comme le pois chiche dans le sifflet de l’arbitre. Rappelons-nous que le diamètre de la Lune est de l’ordre de 3 450 Km et que nous avons évalué celui de la Terre intérieure à 10 080 Km. Maintenant, à vous de faire un peu d’arithmétique pour changer.

Ce n’est pas encore tout. Seul un huitième de la surface du globe est de la terre ferme. Les 7/8e  sont de l’eau : mers, océans, lacs et tutti quanti. Il est donc tout à fait vraisemblable que le monde intérieur comporte davantage de terre ferme et, dans ce cas, il pourrait avoir une population plus nombreuse. À moins que ces gens-là ne prennent régulièrement la pilule et recherchent la qualité de l’espèce de préférence à la quantité.

Tout cela, j’y crois, j’y crois depuis des années et j’ai étudié ce problème avec la plus grande attention. J’ai lu tout ce que j’ai pu trouver là-dessus et si vous en faites autant, vous arriverez obligatoirement à la même conclusion que moi, à savoir qu’il y a un autre monde à l’intérieur de notre Terre, qu’il a 2,9 fois la taille de la Lune et qu’il est habité par une race très intelligente.

Encore une chose qui ne manque pas d’intérêt. Pensez à tous les explorateurs qui sont allés « au pôle » : pas un seul d’entre eux n’a apporté la PREUVE qu’il y était allé. Songez à l’amiral Peary, songez à Wilkinson, à Amundsen, à Shackleton, à Scott, etc. Tous ces hommes qui, théoriquement, ont atteint cette région, y sont allés en bateau, à pied ou par la voie des airs et aucun n’a jamais vraiment prouvé et démontré qu’il était parvenu au pôle proprement dit. Je crois que c’était impossible parce que le « pôle » est une zone située quelque part dans l’espace au-dessus de la surface et il est acquis que son emplacement subit d’importantes variations.

J’en ai fini. Si cette question vous intéresse, inutile de m’écrire car j’ai dit tout ce que j’avais à dire là-dessus. Certes, je sais beaucoup d’autres choses, bien plus que ce qui précède. Alors, un conseil : rendez-vous au trot dans une bonne librairie et ACHETEZ quelques ouvrages traitant de la théorie de la Terre creuse…

Extrait de Crépuscule, de Lobsang Rampa

En hommage à Jacques Bergier: La Terre Creuse,son article de la revue Nostra n° 263 du 20 Avril 1977

Hommage à Jacques Bergier:

Une belle photo de M.Bergier.
Une belle photo de M.Bergier.

LA TERRE CREUSE
I Introduction
Jacques BERGIER est né le 8 Aout 1912 à Odessa en Ukraine et mort à Paris le 23 Novembre 1978 et
est enterré au cimetière juif de Pantin. Ingénieur chimiste, découvre en 1936 avec André Heibronner
l’utilisation de l’eau lourde pour le freinage des neutrons, et réalise avec lui la première synthèse d’un
élément radio-actif naturel, le polonium. Il invente en 1950 le refroidissement électronique des réacteurs
nucléaires, et le réacteur nucléaire sous-critique sans modérateur, en 1955. Il a organisé le premier réseau
de renseignements scientifiques en 1940 et s’est occupé de la récupération et du transfert en Angleterre de
l’eau lourde de Norvège. Plus de vingt ouvrages l’ont fait connaître du grand public dont le fameux
best-seller  » Le matin des Magiciens » écrit en collaboration avec Louis Pauwels en 1960 avec lequel, il a
aussi fondé la remarquable revue « Planète » en Octobre 1961 et qui pendant près de 10 ans, fut le
panégyrique incontestable de l’ésotérisme de bon aloi. Vous trouverez une remarquable bibliographie de J.
Bergier sur le site: http://users.skynet.be/thomas .
Membre de l’Académie des Sciences de New York. Personnage de Tintin depuis « Vol 714 pour Sydney »,
sous le pseudonyme de Mik Esdanitoff.
De plus il est utile de savoir que Jacques Bergier, était un casse-tête pour les savants, car il avait la
faculté de lire des ouvrages en plusieurs langues à une vitesse incroyable. Il connaissait par exemple
parfaitement le français, l’espagnol, l’hébreu, le tchécoslovaque, le polonais l’italien et tâtait encore que
deux ou trois autres langues. Il était capable de lire un ouvrage comme la Bible en deux heures et un roman
policier en 10 minutes et avait donc une incroyable faculté d’assimilation des nombreux nouveaux ouvrages
scientifiques ou autres que lui enviaient sûrement bien de ses contradicteurs car il les invitait souvent, à
propos d’un sujet brûlant, à se documenter dans une liste impressionnante d’ouvrages que lui, il avait bien
lus.


 

L’article tiré de la revue Nostra n° 263 du 20 Avril 1977.

Le 26 avril 1977 ,Jacques Bergier signait un article qui allait faire beaucoup de vagues.
Le 26 avril 1977 ,Jacques Bergier signait un article qui allait faire beaucoup de vagues.

CLASSÉES « TOP SECRET » PAR LES MILITAIRES AMÉRICAINS
DES PHOTOS PRISES PAR SATELLITES PROUVERAIENT
QUE LA TERRE EST CREUSE
Par Jacques BERGIER
Notre planète est une boule de bilboquet. Elle est percée aux deux bouts, aux deux pôles et l’on peut
accéder à l’intérieur par l’un ou l’autre de ces orifices.
Voici une hypothèse qui revient à la mode, dans notre pays et ailleurs avec la projection du très bon film
« Centre de la Terre, septième continent ». Elle n’est pas nouvelle et l’on se souvient plus particulièrement
des théories aussi abstruses que métaphysiques développées, naguère par les nazis
Mais le film en question ne doit rien aux élucubrations de ceux qui furent les nouveaux « illuminés de
Bavière » puis de tout le IIIe Reich. Il s’inspire d’un roman de l’écrivain américain Edgar Rice Burrough,
un coeur simple qui vivait dans un dénuement extrême et ne pouvait compter pour subsister que sur son
imagination fertile entre toutes. Rappelons, pour la petite histoire, que sa terre trouée le laissa creux
lui-mème comme par devant, mais qu’il se consola en créant Tarzan (Le premier Tarzan est paru en 1912) .
(Note du webmaster : Bergier oublie ici cependant de mentionner qu’Edgar Rice Burroughs a repris cette
théorie dans la série des Pellucidar (Au coeur de la Terre en 1914), pour se poursuivre avec 6 autres
volumes dont l’un est « Tarzan au coeur de la Terre « (1930). Dans l’épisode « Epilogue à Pellucidar », Il y
est bien fait mention des ouvertures polaires et même du soleil central: bravo pour une telle
imagination!!!)
La « terre creuse » fut redécouverte, pourtant. S’il revenait parmi nous, Burrough serait fort étonné de
constater qu’aujourd’hui, huit ans après la première marche d’un homme sur la Lune, certains abondent dans
le sens de son vieux récit, aussi alimentaire que fantastique. D’autant qu’il faisait semblant de croire,
simplement, qu’un soleil brillait au centre de la « boule » et que « le creux » contenait une atmosphère, ce qui
permettrait à des humains de vivre sur l’écorce intérieure aussi bien que sur l’extérieure, avec possibilité de
passer de l’une à l’autre.
Inconcevable tout cela? Voire ! Les partisans actuels de « la terre creuse » ne paraissent ni des fous ni des
maniaques. Ils adhèrent en nombre à une société que fonda à Londres, fin 1961, un homme d’affaires du
nom de McDonald. Ce groupe publie des journaux et des livres, mais en s’interdisant toute forme
d’exaltation ou de délire. Mc Donald lui-même, dans une interview récente, a résumé sa position par ce
propos fort modeste : « Nous n’avons pas de preuve mais , nous étudions la question. »
Sage comportement et attitude scientifique s’il en fut. Car rien n’exclut, a priori, l’idée d’une Terre plus
compliquée et riche de mystères qu’on ne l’imagine.
J’ai moi-même soutenu dans un livre (« Visa pour une autre terre » chez Albin Michel ), la thèse d’une
Terre comprenant des espèces de prolongements dans d’autres dimensions. Des scientifiques d’URSS se
sont intéressés à cette théorie. Elle présente l’avantage disent-ils, de fournir une explication à la survie
d’êtres humains pendant les âges glaciaires: Ils auraient disposé de refuges quelconques ouverts sur les
régions ensoleillées.
Mais revenons à la version des « orifices polaires ». On devrait les voir, après tout, au moins celui du pôle
nord, ce point géodésique idéal que l’ère moderne se flatte d’avoir parfaitement situé. La société
londonienne déjà citée a réuni des témoignages d’explorateurs et de marins qui prétendent avoir accédé aux
lisières du trou énigmatique. Quel crédit leur accorder? Car il parait, bien établi, maintenant, que nul
voyageur n’a jamais atteint le pôle. Certains, en toute bonne foi, ont cru partie gagnée. Mais leurs calculs
comportaient des inexactitudes.

Restent les survols. Qu’on sache, tout d’abord qu’aucune ligne commerciale ne passe au pôle. Les
publicités qui affirment le contraire trichent peu en vérité. De 200 km seulement, il est vrai. Mais c’est plus
qu’il n’en tant pour interdire aux occupants des « jets » de jeter un regard dans le puits, si puits il y a.
Et tes satellites artificiels. N’ont-ils pris aucune photo révélatrice? Eh bien oui! il semble qu’un tel
document existe. Mais son histoire aussi pose des énigmes en cascade. I s’agit d’une vue prise par le
satellite américain Essa 7, le 23 novembre 1968. Une revue américaine (peu sérieuse, hélas) l’a publiée.
L’image présente, en effet, un trou noir.

 

Mais les services officiels, pressés d’en révéler davantage, ont déclaré qu’il s’agissait, en réalité, d’un
panoramique, d’un ensemble de six photos assemblées après coup; Une septième, toute fois, manquerait, et
le « trou » ne serait rien d’autre que le vide laissé par la pièce manquante du puzzle. Les partisans de la terre
creuse ne furent pas satisfaits de cette réponse simpliste. Ils réclamèrent et ce fut pour s’entendre dire « Vous
savez, le butin de la mission est de 40000 photos. »
Ce chiffre ne pouvait suffire à décourager les fervents. Ils sollicitèrent encore: « Qu’on nous laisse donc
les consulter ». Cette fois, ce fut le silence définitif. On continue à attendre désespérément un démenti ou
une confirmation. C’est comme si n’importe qui dans les services armés US, avait le pouvoir de porter la
mention « ultra-secret », sur n’importe quoi même sur ce qui concerne la science universelle et ne fait peser
nulle menace de retombées militaires. Je pourrais citer bien d’autres cas de tarissement soudain des
informations dont je fus moi-même la victime.
Ce que l’on sait de la question devrait conduire, toutefois les spectateurs à considérer le « Centre de la
Terre, septième continent » non comme un simple film d’aventures, mais comme un remarquable
documentaire.
Jacques BERGIER

 

 

 

 

Hommage à Jacques Bergier …écrivain ,chercheur et « éveilleur de conscience »

 

Jacques Bergier, Une légende… un mythe.

Cet hommage à Jacques BERGIER est rendu nécessaire suite au  cinquante-quatrième anniversaire de la parution du Matin des Magiciens,le  manifeste du réalisme fantastique d’où naquit la revue Planète en 1961 qui, traduite en une douzaine de langues, devint un véritable phénomène éditorial.

Jacques Bergier bbb

Jacques Bergier, né le 8 août 1912 à Odessa (Ukraine) et mort le 23 novembre 1978 à Paris d’une hémorragie cérébrale, est un ingénieur chimiste, alchimiste, espion, journaliste et écrivain de nationalité française et polonaise. Sa mémoire eidétique lui permit de maîtriser 14 langues modernes et anciennes, dont l’araméen, et de lire jusqu’à dix livres par jour. Sur sa carte de visite, il se présentait comme « Amateur d’insolite et scribe de miracles ». Il joua le rôle de L’Incollable dans un jeu télévisé de RTL. Ami de l’astronaute Edgar Mitchel (Mission Apollon 14 sur la Lune), Hergé l’immortalisa dans le personnage de Mik Ezdanitoff dans l’album de Tintin « Vol 714 pour Sydney». Ingénieur chimiste, découvre en 1936 avec <>André Heibronner l’utilisation de l’eau lourde pour le freinage des neutrons, et réalise avec lui la première synthèse d’un élément radio-actif naturel, le polonium. Il invente en 1950 le refroidissement électronique des réacteurs nucléaires, et le réacteur nucléaire sous-critique sans modérateur, en 1955. Il a organisé le premier réseau de renseignements scientifiques en 1940 et s’est occupé de la récupération et du transfert en Angleterre de l’eau lourde de Norvège. Plus de vingt ouvrages, l’ont fait connaître du grand public dont le fameux best-seller Le matin des Magiciens », écrit en collaboration avec Louis Pauwels en 1960 avec lequel, il a aussi fondé la remarquable revue « Planète », en Octobre 1961 et qui pendant près de 10 ans, fut le panégyrique incontestable de l’ésotérisme de bon aloi autrement dit de ce que l’on appelle depuis le « Réalisme Fantastique »..

Une belle photo de M.Bergier.
Une belle photo de M.Bergier.

Salué dans la francophonie pour la grande diversité de ses connaissances et ses nombreux ouvrages, Jacques Bergier a largement contribué à la promotion, en France, de phénomènes ou de faits négligés par la science, notamment avec son livre Le Matin des magiciens, écrit en collaboration avec Louis Pauwels.

Après ses études à l’Ecole Supérieure de Chimie de Paris, Jacques Bergier découvre en 1936, avec le physicien atomiste André Helbronner, l’utilisation de l’eau lourde (que les nazis tenteront de s’approprier à l’état naturel en Norvège pour construire la bombe atomique – d’où la célèbre « bataille de lourde » conduite par les Alliés pour en détruire l’usine) pour le freinage des électrons et réalise la première synthèse d’un élément radioactif naturel, le polonium, à partir de bismuth et d’hydrogène lourd en volatilisant un filament de tungstène. Très vite, il développe un penchant pour l’alchimie (soutenu par la rencontre qu’il aurait eue avec Fulcanelli en juin 1937), et affirme au début des années 1950 avoir obtenu par transmutation alchimique du béryllium à partir de sodium.

70ème anniversaire de son entrée dans la Résistance Dès la signature de l’armistice en 1940 par Pétain pendant la Seconde Guerre Mondiale, Jacques Bergier entre dans la résistance (ses actions héroïques ont déjà commencé lors de ses voyages d’affaires dans l’Allemagne de 1935 où il distribue des tracts anti-nazi à la sortie de théâtres) au sein du « trio des ingénieurs », puis du Réseau Marco Polo mieux structuré à compter de décembre 1942 (faisant ainsi, en 1941, la connaissance de son futur grand ami François Le Lionnais -membre d’un autre groupe). Grâce à des renseignements fournis par un ingénieur russe travaillant sur place et transmis à Londres, son réseau est à l’origine du bombardement de la base d’expérimentation des V2 construits à Peenemünde. Le 18 août 1943 est lancée l’Opération Hydra: 598 bombardiers lourds détruisent l’usine de Peenemünde.

Le Ministère de l’Air britannique centralise ensuite les renseignements de divers réseaux français dont Marco-Polo, et l’Air Chief Marshall Sir Roderic Hill, commandant de la défense aérienne de Grande Bretagne et commandant en chef du Fighter Command de la RAF, procède le 5 décembre 1943 aux premiers bombardements de 21 sites de V1 sur le sol français, en détruisant 12 entièrement et 9 partiellement grâce au 8e Air Force. Bergier est alors – entre autres – chargé de gérer les rares postes émetteurs de Marco-Polo sur Lyon.

Photo de Jacques Bergier ...prisonnier en 1943des nazis.
Photo de Jacques Bergier …prisonnier en 1943des nazis.

Il y est arrêté le 23 novembre 1943 par la Gestapo et soumis à la torture à 44 reprises. Il est enfermé dans les camps nazis de Neue Bremme, puis Mauthausen, de mars 1944 à février 1945. Ce passé de résistance lui permet ultérieurement certains contacts directs avec Charles de Gaulle.

Un film réalisé en RDA, Et l’Angleterre sera détruite (titre original : L’homme qui arrêta la foudre), évoquant l’action de Jacques Bergier grâce à qui fut détruite la base secrète de Peenemünde, fut présenté en 1969 au Festival de Cannes par le Lieutenant-colonel Rémy.

L’agent secret
Après la guerre, Jacques Bergier aurait été capitaine de la DGER (Direction générale des études et recherches), au sein de laquelle il aurait dirigé la branche française du CIOS (Centre interarmée de contre-espionnage alliés). Il participe ainsi pendant la seconde moitié de 1945 à la MIST (Mission d’information scientifique et technique), dirigée par le capitaine Albert Mirlesse (ingénieur en mécanique, père fondateur du Normandie-Niemen) chef du 2e bureau de l’État-Major Général de l’Air -EMGA-, et rattachée au CIOS, pour des missions secrètes en Allemagne afin d’interroger des savants atomistes, et de trouver des armes secrètes dérivées de l’eau lourde.

L’écrivain
En 1953, Jacques Bergier abandonne ses activités d’ingénieur-conseil chasseur de têtes scientifique pour se lancer dans l’écriture. Il compte déjà plusieurs écrivains parmi ses amis, dont Jean Bruce, Arthur C. Clarke et Ian Flemming. Ses nombreux ouvrages mêlent des éléments authentiquement scientifiques à d’autres relevant de la science-fiction et du fantastique. Il co-dirige plusieurs collection de Science-Fiction chez Albin Michel. On lui doit d’avoir fait connaître et traduit Lovecraft en France. Son œuvre compte près d’un cinquantaine d’ouvrages et d’innombrables articles dont « Applications des satellites : laboratoires de l’espace » et « Colonisation de la lune » parus en 1960 dans le numéro spécial de Science et Vie sur « L’Homme dans l’espace ».

Le futurologue
Jacques Bergier pensait que des civilisations disparues auraient pu exister avant la préhistoire et que des civilisations extra-terrestres, techniquement très avancées ou non, existaient dans l’univers. Les hypothèses des théories astrophysiques actuelles semblent le confirmer.

Deux phrases de Jacques Bergier résument bien sa philosophie : « L’impossible, c’est ce qui n’a pas encore été fait » et : « Nous devons voir les choses anciennes avec des yeux neufs ».

Le héros de la Seconde Guerre mondiale reste pour ceux qui ont apprécié son intelligence, son courage et sa grande bonté, « un éveilleur de conscience », comme le désigne l’éditeur Jean-Pierre de Monza.

 Ceux et celles qui ont parlé de Jacques Bergier
 

• Hélène Renard, directrice de Canal Académie, la radio sur Internet qui donne la parole aux académiciens des cinq Académies de l’Institut de France : Préface. Nicole Bamberger, journaliste et auteur : Jacques Bergier, l’une des voix fortes du XXème siècle.

• Claudine Brelet, anthropologue, écrivain, ancien membre du personnel de l’OMS, Senior expert consultante UNESCO, et Didier Paingris, Maître d’Arts martiaux et éducateur sportif : Jacques Bergier et l’Esprit de Résistance.

Serge Caillet, historien de l’occultisme et des sociétés initiatiques, auteur : Jacques Bergier et l’alchimie.

• Patrick Clot, président-fondateur de l’Association des Amis de Jacques Bergier : Jacques Bergier, une brève histoire dans le temps.

• François Darnaudet, écrivain de fantastique et de policiers : Jacques Bergier et les mathématiques.

• Jean-Pierre Desthuilliers, ingénieur en aéronautique et poète : Jacques Bergier, “scifique” et scientifique.

• Georges H. Gallet, journaliste scientifique : Jacques Bergier et la science fiction.

• Jérôme Huck, ingénieur Sup. Aéronautique et scientifique : Jacques Bergier et l’innovation.

• Marc-Antoine Lumia, Infographiste : Jacques Bergier, cet homme très être ange.

• Janine Modlinger, professeur de Lettres, poète, ancienne secrétaire de Jacques Bergier : Jacques Bergier, un maître de vie.

• Jean-Pierre de Monza, directeur des éditions de Monza : Jacques Bergier, un éveilleur de conscience.

• Charles Moreau, historien de la science-fiction : La science-fiction et la vision scientifique de Jacques Bergier.

• Richard D. Nolane, écrivain et scénariste de BD : Du « Matin des magiciens » à la légende.

• Marielle Pernin, co-directrice et co-fondatrice de la version francophone de la revue californienne CoEvolutiouin Quaterly : Jacques Bergier et la coévolution.

• André Ruellan, écrivain de science-fiction, scénariste de Jean-Pierre Mocky et Alain Jessua : Promenade avec un scribe de miracles.

• Claude Seignolle, écrivain de fantastique, ethnographe et folkloriste : Petite Suite bergieresque.

• Claude Thomas, écrivain de fantastique et de science-fiction : Jacques Bergier dans la fiction.

• Jacques Vallée, informaticien, astronome et romancier : Jacques Bergier et les soucoupes volantes.

 

 

 

Jacques Bergier
Jacques Bergier

 

 

 

 

 

 

……………………………………………………………………………………………………….

RENCONTRE AVEC UN MAGICIEN   partie 1

*Faisons un retour dans le temps,en 1973…lors d’une discussion ou Jacques Bergier  prit part.Quoi de mieux qu’une interview pour connaître le fond de la pensée d’une personne.

« C’était en 1933. Le petit étudiant juif avait un nez pointu, chaussé de lunettes rondes derrière lesquelles brillaient des yeux agiles et froids. Sur son crâne rond se clairsemait déjà une chevelure pareille à un duvet de poussin. Un effroyable accent, aggravé par des hésitations, donnait à ses propos le comique et la confusion d’un barbotage de canards dans une flaque. Quand on le connaissait un peu mieux, on éprouvait l’impression qu’une intelligence boulimique, tendue, sensible, follement rapide, dansait dans ce petit bonhomme malgracieux, plein de malice et d’une puérile maladresse à vivre, comme un gros ballon rouge retenu par un fil au poignet d’un enfant. « Vous voulez donc devenir alchimiste ? », demanda le vénérable professeur à l’étudiant Jacques Bergier. »

C’était en 1973(voir la photo ci-dessous). Attablés dans un snack des Champs-Elysées, nous écoutions Jacques Bergier. Nous avions retrouvé le même personnage décrit affectueusement par Louis Pauwels. Même accent rocailleux, même gentillesse, même regard pétillant d’intelligence. Il avait fait à KADATH un accueil aussi chaleureux qu’inattendu : un homme si occupé, tellement sollicité de partout, allait-il se donner la peine de nous envoyer des encouragements ? Oui, par retour du courrier, il nous disait tout le bien qu’il pensait de notre action, et nous invitait à son bureau. Nous avions beaucoup de questions à poser à Jacques Bergier. Il avait fait, quelques mois auparavant, une intervention très remarquée dans un débat à l’ORTF. Connaissant la différence de méthode qui l’éloigne d’un Robert Charroux ou d’un Erich von Däniken, nous avions entrevu un début d’explication, et nous ne pouvions qu’applaudir. Mais il allait nous en apprendre plus. Car cet homme, lorsqu’il se manifeste en public, a une attitude de prime abord paradoxale. Et c’est souvent à cet aspect que s’arrête le lecteur ou le téléspectateur moyen. Comme pour Salvador Cali, on ne comprend pas et on préfère sourire. Et pourtant…

Jacques Bergier ,un véritable "magicien".
Jacques Bergier ,un véritable « magicien ».

 

 

Ce qui nous avait toujours gênés, c’est que les journalistes ne posaient jamais à Jacques Bergier les questions qui auraient pu résoudre ces apparents paradoxes. On s’arrête à l’aspect insolite, voire folklorique du personnage. Bien sûr, il a sa part de responsabilité. Lorsqu’il se présente, ne vous offre-t-il pas une carte de visite rédigée en ces termes : « Jacques Bergier, amateur d’insolite et scribe des miracles » ? Mais il faut aller au-delà de l’anecdote. Car on ne passe pas sa vie, sans raisons, à se balader aux frontières du fantastique, sans avoir une petite idée derrière la tête, bref sans faire usage d’une méthode. C’est cette méthode que nous voulions lui faire dévoiler, ou du moins en recueillir des bribes. Jacques Bergier s’est ouvert à nous sans la moindre réticence. Plus nous lui posions de questions, plus il nous fournissait d’exemples (avec références précises, il faut le souligner), et plus se dessinait une méthode de prospection.
Elle nous a fascinés, car elle fleure bon l’air pur : Bergier ouvre toutes grandes les fenêtres de l’imagination — et il en faut actuellement dans le monde étouffant de l’archéologie. Aucune idée n’est assez folle quand il s’agit de tout remettre en question. De cet entretien, nous avons recueilli deux articles. L’un sera l’interview qui suit, avec des éclaircissements et des orientations d’ordre général. L’autre sera un article exclusif, signé Jacques Bergier, que nous vous proposerons dans un prochain KADATH, et où il expose ses vues sur la nécessité des « hypothèses folles » en archéologie, pour en arriver à un début d’explication sur ce qu’il appelle les « intermédiaires ». Nous croyons que c’est la première fois qu’on lira un « ce que je crois » de Jacques Bergier, et c’est pour nous un grand honneur.

Un hebdomadaire de la capitale a parlé, à notre sujet, de « réactivation archéologique ». L’expression ne nous déplaît pas. Mais nous n’en étions pas encore arrivés à ce stade. Maintenant, c’est chose faite. Avec des gens comme Jacques Bergier ou Marcel Homet, il pouvait difficilement en être autrement. Car, jusqu’à présent, nous n’avons fait que vous proposer, « gentiment », quelques éléments d’une remise en question du passé de l’humanité. Nous en tenons encore une masse en réserve. Mais il ne suffit pas d’être approuvé, il faut aussi provoquer des réactions. C’est pourquoi nous allons mettre le doigt sur quelques véritables scandales concernant la vérité historique, scandales qui se portent bien, merci, car les plus luxueux livres d’art en regorgent, tout en les ignorant. Le Professeur Marcel Homet, en butte depuis plus de trente ans aux pontifes assis derrière leurs bureaux, craignait de nous voir nous heurter à des gens comme ceux du Musée de l’Homme. Tant pis pour nous ! Nous avons l’enthousiasme de la jeunesse et l’écoute du public. Peut-être aussi les temps sont-ils mûrs pour nous ? Nous avons été ahuris de découvrir, au fil des longs entretiens que nous avons eus avec Marcel Homet, la trame qui se noue pour reléguer dans l’ombre l’oeuvre de gens considérés par ailleurs comme d’incontestables chercheurs.
Simplement parce que, sur le terrain, leurs fouilles ont mis à jour des pièces qui ébranlent les théories patiemment élaborées sous les voûtes du Palais de Chaillot.
Le Musée de l’Homme est une merveille. On y retrouve, avec un luxe de détails, tous les aspects de l’art humain. Mais quelle indigence dans les explications qu’on vous fournit ! N’y cherchez pas les fresques du Tassili, elles sont camouflées derrière celles de Lascaux. Ne cherchez pas de traces de Glozel, les tablettes sont dans les caves. Ne cherchez pas la magnifique statue ramenée de l’île de Pâques par Alfred Métreaux : les palissades vous guideront de façon à ce que vous ne la voyiez pas, cachée dans le fond du hall d’entrée. Et la pauvre tête pascuane ramenée par Pierre Loti, elle se range dans les « peuplades primitives ». Ne cherchez pas Chan-Chan, toute l’histoire péruvienne dérive de Chavin. C’est ce qu’a décrété le duo pensant du Musée, feu Paul Rivet, et son fidèle disciple Jacques Soustelle.
Alors que la science officielle refuse d’accorder aux civilisations précolombiennes la moindre ancienneté, elle fait inexplicablement l’exception pour Chavin. En niant un bon nombre d’évidences, cela arrange tout le monde, coupe court à toute spéculation concernant Tiahuanaco ou Chan-Chan, et maintient en place les théories.
Pour entrer au Musée de l’Homme, il s’agit de montrer patte blanche. Chan-Chan ne jouit pas de ce privilège. Aussi faudra-t-il forcer la porte. Car, ce que vous explique notre cahier spécial, est le fruit de longues années d’effort sur place, et qui plus est, confirmé aujourd’hui par les fouilles d’une équipe américaine. Nous avons prié le Professeur Homet de souligner au passage ces confirmations a posteriori. Mais lorsqu’en ces temps, il sollicitait l’aide du Musée de l’Homme, Paul Rivet lui répondit : « Je suis au regret de vous faire savoir qu’il m’est absolument impossible de vous aider pour votre prochaine expédition, attendu que le Musée de l’Homme n’a pas actuellement de crédits disponibles. J’espère néanmoins, que vous voudrez bien, à votre retour, nous faire connaître le résultat de vos recherches et, également, dans la mesure de vos possibilités, enrichir nos archives photographiques, comme vous l’avez fait déjà si aimablement avant la guerre. » Faut-il ajouter que, par la suite, ce n’est que l’enrichissement des archives qui intéressa le noble organisme, et en aucun cas le résultat des recherches ? Car celles-ci remettaient en question la préséance de la civilisation de Chavin. Cette chronologie classique, nous l’avions d’ailleurs reprise dans notre petit mémento du premier numéro de KADATH. Aujourd’hui, nous la remettons en question, du moins en ce qui concerne Chavin et Chan-Chan. Il ne s’agit pas là d’une erreur de notre part. C’est plutôt un aspect de notre méthode et, je crois, de la dynamique de notre revue : procéder par étapes. C’est de l’archéologie vraie, mais parallèle.

IVAN VERHEYDEN.

 

Rencontre avec un magicien      partie 2

 

 

KADATH. L’ORTF a diffusé, voici quelques mois, le film tiré du livre d’Erich von Däniken, « Souvenirs du futur ». Dans le débat qui a suivi, vous vous êtes violemment heurté à ceux que le téléspectateur croyait être de votre bord. A tel point que pour certains, votre attitude d’avocat du diable était parfaitement incompréhensible. Pouvez-vous nous expliquer pourquoi ? JACQUES BERGIER. Oui, j’ai fait tout un scandale en me disputant avec Charroux et von Däniken, parce que, selon moi, ils y vont un peu fort ! Remarquez, il y a pire. Ganzo, qui à part ça est un poète et un sculpteur de talent, est venu me voir un jour. Il avait trouvé une civilisation disparue en Forêt de Fontainebleau. Il m’apportait des traces de cette civilisation, dont une plaque en céramique, où étaient gravées les lettres mystiques « W » et « C ». Evidemment, là… Non, je crois que l’attitude de votre revue est la bonne. Car enfin, je veux bien qu’on puisse déplacer de petits objets par la force de la volonté, mais pas déplacer les statues de l’île de Pâques, qui pèsent des dizaines de tonnes. Il y a tout de même la conservation de l’énergie ! A la limite, on ne peut pas avoir plus d’énergie qu’il n’y en a dans le corps humain. Mais surtout, le problème véritable et qui, à mon avis, n’a pas encore été posé, c’est ce que j’appelle le problème des intermédiaires. Autrement dit, moi je veux bien que les statues de l’île de Pâques ou le grand menhir de Locmariaquer aient été mis en place par antigravitation… cela, je veux bien. Mais avant d’arriver à l’antigravitation, il faut passer par des étapes : l’électricité, la machine à vapeur, etc., peut-être considérées d’une façon tout à tait différente, mais néanmoins analogue.
Or, on ne trouve pas de machine à laver fossile, ni de locomotive fossile, rien !

K. Précisément, à propos de machines à laver, vous parlez dans « Le livre de l’inexplicable » de l’objet de Coso. Ne pourrait-il s’agir d’une forme de « machine à laver fossile », disons un résidu technique ?

J.B. Certainement ! Mais un résidu technique de qui ? L’objet de Coso a l’air d’être un générateur électromagnétique, vieux de 75.000 ans. Mais on n’arrive pas à cela sans intermédiaire… De plus, il a été découvert dans un coin où on a fouillé pas mal dans les débris « techniques » : à l’époque de cet objet, les gens n’ont pas le feu, ils ont tout juste des outils de silex. Une fois de plus, les intermédiaires manquent. Alors, évidemment, on peut proposer, comme je l’ai fait dans « Les extra-terrestres dans l’histoire », que ces objets — qui sont en nombre limité : la machine d’Anticythère, l’objet de Coso, etc. —, ont été apportés à travers l’espace, ou même à travers le temps. Seulement, si vous voulez, c’est de la mythologie de science-fiction ou de bande dessinée ; c’est remplacer une mythologie par une autre. L’hypothèse n’est pas toujours très convaincante. Il me paraît difficile de croire que si des extraterrestres nous ont visités, on n’ait pas observé leurs instruments ou quelque chose d’analogue, maintenant que nous sommes dans le cosmos.
Vous me direz qu’il y a des alignements sur la lune, dont vous parlez dans votre numéro deux, qui sont réellement curieux. Ça ne résout tout de même pas en masse le problème terrestre. Prenez les gigantesques dalles de Baalbeck. Elles ont été découpées, il y a des traces de scie. Si c’étaient des extraterrestres, ils l’auraient au moins découpée au laser ou au chalumeau atomique !… A mon avis, il faudrait en archéologie — ce que je ne prétends pas être —, un Pasteur ou un Darwin. Il nous faut une hypothèse réellement folle, comme l’évolution des espèces ou la transmission des maladies par des microbes.

K. Nous publions des extraits d’anciens textes sacrés. Vous les connaissez, bien sûr, mais pensez-vous que l’étude des livres dits « mythiques » peut fournir d’autres renseignements ?

J.B. Sûrement. Tenez, il y a un livre maudit qui vient de paraître et dont je croyais moi-même qu’il était mythique. C’est le « Livre des trois imposteurs », les soi-disant imposteurs étant Mahomet, Moïse et Jésus. Le livre en question, il y a à peu près trois cents personnes qui ont été brûlées depuis le XIVe siècle, pour l’avoir possédé. Même Sprague de Camp avait dit qu’il était mythique et je n’en avais pas parlé dans « Les livres maudits ». Eh bien, les Russes en ont retrouvé un exemplaire, des étrangers l’ont racheté tout de suite et en ont publié des reproductions. Ce qui démontre une fois de plus que tous les mythes ne sont pas des mythes. Prenez le Nécronomicon, par exemple. C’est une production romancée d’El Alach, qui a été mis à mort par les musulmans au IXe siècle, pour « communications avec le dehors » : c’est dans les attendus. Alhazred est inventé par Lovecraft, mais El Alach, sur qui Alhazred a été copié, est authentique… L’Ecole Centrale de Paris me propose de mettre des fonds à ma disposition, sous forme d’heures d’ordinateur, afin d’y introduire toutes ces choses là et de voir s’il n’y a pas de correspondances. Savez-vous, par exemple, que j’ai trouvé dans un livre italien sur les Etrusques, paru bien après la mort de Lovecraft, le nom de Cthulhu, un de ses Grands Anciens. Or, cela avait été découvert en 1942, et jamais signalé avant. Il serait vraiment intéressant de reprendre tout cela par ordinateur. Il serait intéressant aussi que les gens ne gardent pas indéfiniment leurs secrets. D’autant plus que, trop souvent, il me semble que ce sont des secrets primaires. Prenez la quête du Graal: à mon avis, il est absurde de rechercher un Graal matériel qu’on puisse tenir entre ses mains. Il s’agit plutôt d’une force, d’une atmosphère, d’une idée. Remarquez, les Allemands l’ont fait. Pendant l’occupation, ils ont retourné les Pyrénées à la recherche du Graal. Ceci étant dit, il y a certainement quelque chose dans l’idée même, il y a par exemple l’Ordre du Graal, qui est quelque part, qui conserve un certain ordre des choses, et dont on parle de temps en temps…

K. Parlant d’une autre difficulté pour obtenir des renseignements, comment faites-vous pour vérifier les informations en provenance des pays communistes ?

J.B. Je reçois constamment des trucs des Soviétiques, et ce qui est bien, c’est qu’ils restent malgré tout prudents et n’inventent pas trop de choses. Ce qui est plus difficile, c’est d’établir des contacts avec les Chinois, car ils ont une pensée absolument différente. Ils ont digéré le marxisme, ils en ont sorti une espèce de néo-religion absolument incompréhensible. Mais là, il existe des choses très curieuses. Par exemple, je leur ai posé une question qui m’intrigue beaucoup, pourquoi est-ce nous qui avons inventé le magnétomètre, la machine à vapeur ou les avions, et pas eux, puisqu’ils avaient tous les éléments en main. Ils avaient des expériences de laboratoire et tout, et puis brusquement, ils ont cessé d’inventer le progrès technologique. En un siècle ou deux, c’était fini, alors qu’avant cela, ils avaient des séismographes, des boussoles magnétiques, l’imprimerie, les fusées. On a des traces de tout cela, des masses de volumes à l’Unesco, y compris des points où ils étaient en avance sur nous : le miroir magique qui transmettait des images d’un coin à l’autre, l’alchimie (ils fabriquaient des bronzes d’aluminium), et puis plus rien… Alors, la thèse officielle, celle de Needham, est une thèse marxiste. Il prétend que, parce qu’en Chine il n’y avait pas de prolétariat à proprement parler, il n’y avait pas de lutte de classes, donc pas de moteur de progrès. Bon, moi je veux bien. Mais quand j’en ai parlé à des Chinois, ils m’ont répondu : « C’est un imbécile érudit. La réalité, c’est que les liens avec les Immortels ont été coupés ». Alors je leur ai demandé si on ne peut en savoir plus. « Oh ! nous allons publier », disent-ils. Ils ont peut-être publié, mais on ne reçoit rien ! De même, ils ont déclaré à un moment donné avoir identifié des inscriptions dans le roc, représentant des engins volants qui dateraient de 43.000 ans. J’espérais les voir avec nous à une conférence internationale de savants en mai 70 à New York, mais au dernier moment, on a reçu une belle lettre sur parchemin, disant que, comme on avait invité les délégués de Formose, ils ne viendraient pas.

K. Revenons à nos propos du début. Parmi les « hypothèses folles » que vous avancez, il y a celle d’une civilisation de « plasmoïdes ».

J.B. Oui, mais ce seraient aussi des extraterrestres. Evidemment, il y a tout de même la possibilité difficilement concevable, d’une civilisation tellement différente, qu’on en retrouve des objets sans savoir ce que c’est.

K. Pourrait-il y avoir une civilisation tellement différente, que nous ne réussirions jamais à en trouver de traces ?

J.B. Il est extrêmement difficile de concevoir quelque chose qui ne laisse aucune trace, étant donné la finesse de nos moyens d’investigation. Vous savez qu’on mesure la vitesse du vent d’il y a 30.000 ans, par les variations dans les isotopes d’oxygène. Alors, que dire d’une centrale de cent mégawatts, même si elle utilisait des énergies cosmiques ? J’ai un grand ami, qui s’appelle François Bordes, et est un paléontologue extrêmement distingué, mais aussi un grand auteur de sciencefiction, sous le pseudonyme de Francis Carsac.
Bordes n’est pas du tout d’accord avec mes idées, et il m’a envoyé l’autre jour un travail qu’il avait fait publier dans « La revue du Quaternaire ». Il a retrouvé en Dordogne des traces de campements d’il y a 20.000 ans, avec les trous des piquets de tente. Et il m’a dit : « Si je retrouve des piquets de tente vieux de 20.000 ans, je trouverai bien une locomotive ou une machine à laver ! » Ou alors, il faut en revenir à René Guénon. J’ai fait récemment un effort d’impartialité pour évaluer Guénon. Il m’avait beaucoup irrité par son racisme, par son insolence, par sa façon de dire : « je n’ai pas à donner de références, c’est moi, l’initié, qui parle », ce qui est toujours extrêmement gênant.
Je n’aime pas les gens qui ne donnent pas de références. Mais malgré tout, j’ai relu à peu près tout Guénon. Eh bien, il y a là des choses curieuses, et en particulier la référence constante au fait que la géographie de la terre ne serait pas totalement connue, qu’il y aurait une géographie sacrée, et des pays, voire même des continents autres que ceux que nous connaissons. Il a une autre idée qui paraît très intéressante, c’est celle de la « cristallisation ». C’est-à-dire que, selon lui, les lois naturelles ont changé, dans un passé très récent, mettons cent mille ans. Et plus on remonte vers le passé, plus la nature est malléable et obéirait à la simple volonté humaine. Eh bien, rien que ça expliquerait pas mal de choses, des monuments géants et ainsi de suite. Il a peut-être vingt ou trente idées folles comme ça, qui mériteraient d’être réexaminées de sang-froid. Personnellement, je n’y crois pas. Mais Guénon, c’est un point de vue qui mériterait d’être décrit dans KADATH en tant qu’hypothèse folle, à condition de bien dire que cela n’engage pas la rédaction.

K. Certains articles de KADATH vous ont-ils déjà rappelé l’une ou l’autre de ces « hypothèses folles» ?

J.B. Oui. Prenez, par exemple, dans le numéro deux, ces sites de Mohenjo-Daro et l’île de Pâques, qui sont séparés par une trop grande distance pour que l’alphabet ait pu être communiqué. Je réponds : Oui…, par des moyens naturels ! Mais s’ils étaient télépathes ? Car cela peut aller assez loin. Imaginez un chamane de Sibérie, dans son climat glacé, qui communique par télépathie avec un sorcier de l’Amazonie, et qui voit autour de lui un monde abondant, avec de beaux fruits partout, le soleil luisant et de la végétation luxuriante. Il invente le paradis… Pendant ce temps-là, l’autre qui a une  vision de ces terrains glacés, il invente l’enfer. Cela mériterait d’être exploré. Voir, par exemple, s’il y a une correspondance sérieuse entre les hiéroglyphes de l’île de Pâques et ceux de Mohenjo-Daro, et si oui, émettre cette hypothèse. Ce serait de la télépathie, non seulement dans l’espace, mais aussi dans le temps, puisqu’il y a une différence de combien de siècles ? Mais là, au moins, ce serait une hypothèse ouverte. Je le répète : si on ne fait pas une percée en partant des idées réellement folles, eh bien, on restera indéfiniment où on est. J’ai l’impression que la science officielle va un jour avoir un coup dur, et sera obligée de faire une révision déchirante de ce qu’on croit savoir, car sinon, on ne s’en tirera jamais.

K. C’est votre conclusion ?

J.B. Oui. Je dirige actuellement, chez Albin Michel, deux collections. L’une, intitulée « Les chemins de l’impossible », marche très bien. L’autre est une collection scientifique, « Science parlante », et ça n’a pas pris du tout. Le public a l’air d’être indifférent, sinon hostile, envers la science. C’est un phénomène général, et je me demande s’il n’est pas explicable par l’attitude insolente que prend la science. Après tout, les savants sont des fonctionnaires payés par le contribuable, et quand on leur pose une question sur quelque chose qui intéresse le public : les civilisations disparues, les extraterrestres ou autre chose, ils traitent les gens d’imbéciles et répondent par des injures. Alors, j’ai l’impression que le public le leur rend bien…

(propos recueillis par I. Verheyden et P. Ferryn)

……………………………………………………………………………………

RENCONTRE AVEC FULCANELLI,LE GRAND ALCHIMISTE

Photo d'Eugène Canseliet, peut-être disciple en alchimie de Fulcanelli, raconte qu'il a fréquenté Fulcanelli de 1916 à 1922, et assisté à une transmutation en 1922, à Marseille.Il est l'un des rares humains à pouvoir identifier Fulcanelli.
Photo d’Eugène Canseliet,  disciple en alchimie de Fulcanelli, raconte qu’il a fréquenté Fulcanelli de 1916 à 1922, et assisté à une transmutation en 1922, à Marseille.Il est l’un des rares humains à pouvoir identifier Fulcanelli,l’autre   qui aurait pu le faire étant Jacques Bergier lui-même.

Vous connaissez l’alchimie? Si oui,vous connaissez surement Fulcanelli dont les rares photos se comptent sur les doigts d’une main.Voici quelques photos  « dites » de Fulcanelli avec d’abord,la plus  sérieuse pour commencer.

Il s'agirait de l'une des photo les plus sérieuses de Fulcanelli.
Il s’agirait de l’une des photo les plus sérieuses de Fulcanelli.

 

 

Autre photo sérieuse représentant Fulcanelli,au-début du vingtième siècle.
Autre photo sérieuse représentant Fulcanelli,au-début du vingtième siècle.
Photo  prise au-début du vingtième siècle identifiant Fulcanelli...l'habillement le relie à une loge maçonnique.
Photo prise au-début du vingtième siècle identifiant Fulcanelli…l’habillement le relie à une loge maçonnique.

 

 

Cette photo  a servie pendant un temps à identifier Fulcanelli,mais...trop jeune.
Cette photo a servie pendant un temps à identifier Fulcanelli,mais…trop jeune.

 

Une hypothèse   parle du Comte de St-Germain ,autre  alchimiste de grands pouvoirs qui  aurait trouvé le secret de l'immortalité comme pouvant être Fulcanelli.
Une hypothèse parle du Comte de St-Germain ,autre alchimiste de grands pouvoirs qui aurait trouvé le secret de l’immortalité comme pouvant être Fulcane

 

Le sujet dont il est question ici, à savoir l’alchimie, est un sujet que je ne connais pas ; autrement dit : je ne suis pas alchimiste d’une part, et je n’ai jamais rencontré d’alcimiste. Tout ce qui suit est donc théorique : il s’agit d’un savoir purement livresque qui s’apparente, dans une certaine mesure, à la culture générale.

Je ne vais pas me lancer dans une longue définition de l’alchimie. Il existe des centaines d’ouvrages sur le sujet disponibles très facilement. Néanmoins, je vais tenter d’en établir les principes de bases, tout du moins tels que je les comprends.

Le but commun de tous les alchimistes est de fabriquer la Pierre Philosophale, ou bien, ce qui revient au même, de réaliser le Grand Œuvre (ou encore : l’Or Potable). Le but est la réalisation de la Pierre Philosophale en elle-même : à savoir la transformation de l’opérant, et non pas les utilisations possibles : la jeunesse éternelle, la transformation de métaux vils en or. Celui qui se lancerait dans une telle quête pour obtenir ces avantages ne saurait aboutir : le succès dépend étroitement de l’état d’esprit de l’apprenti. C’est en cela que l’alchimie diffère profondément de la chimie.

Les Pélasges sont à l'origine de la tradition alchimique à laquelle prétend se rattacher Fulcanelli, et du langage ésotérique qui véhicule son enseignement
Les Pélasges sont à l’origine de la tradition alchimique à laquelle prétend se rattacher Fulcanelli, et du langage ésotérique qui véhicule son enseignement

Un alchimiste pense que la matière est Tout. Pour parvenir à la Pierre Philosophale il faut donc travailler la matière : d’où les cornues, creusets, opérations chimiques dangereuses, expositions à certains rayonnements, etc. Mais le travail sur la matière ne suffit pas, il faut également travailler sur soi-même. Tout ceci est de prime abord extrêmement compliqué, d’où la nécessité absolue pour le disciple de trouver un maître compétent. La matière étant le Principe Unique, il suffit de la travailler pour obtenir un ferment, une matière pure/absolue, capable à son tour de tranformer la matière brute très facilement.

Il semblerait donc que l’alchimie soit à la fois un but bien précis ET un moyen d’y parvenir. A priori rien n’interdit à un individu donné de réaliser le Grand Œuvre en restant assis dans son fauteuil en se concentrant sur un quignon de pain, mais il ne fera pas partie de la famille des alchimistes.

 

Les livres et le disciple de Fulcanelli

Comme tout bon maître qui se respecte, Fulcanelli a choisi un disciple : Eugène Canseliet. C’est à ce dernier qu’il confia trois manuscrits, à charge pour ce dernier de les éditer : Le Mystère des Cathédrales, Les Demeures Philolosophales et enfin le plus mystérieux de tous Finis Gloriae Mundi.

Les traces de Fulcanelli

Il semblerait que Jacques Bergier ait rencontré le mystérieux Fulcanelli en 1937 ; voici la description de la rencontre par son ami Louis Pauwels dans Le matin des magiciens :

… vous n’ignorez pas que, dans la science officielle en progrès, le rôle de l’observateur devient de plus en plus important. La relativité, le principe d’incertitude vous montrent à quel point l’observateur intervient aujourd’hui dans les phénomènes. Le secret de l’alchimie, le voici : il existe un moyen de manipuler la matière et l’énergie de façon à produire ce que les scientifiques contemporains nommeraient un champ de force. Ce champ de force agit sur l’observateur et le met dans une situation privilégiée en face de l’univers. De ce point de vue privilégié, il a accès à des réalités que l’espace et le temps, la matière et l’énergie, nous masquent d’habitude. C’est ce que nous appelons le Grand Œuvre.
– Mais la pierre philosophale ? La fabrication de l’or ?
– Ce ne sont que des applications, des cas particuliers. L’essentiel n’est pas la transmutation des métaux, mais celle de l’expérimentateur lui-même. C’est un secret ancien que plusieurs hommes par siècle retrouvrent.
– Et que deviennent-ils alors ?
– Je le saurais peut-être un jour.

Mon ami [Jacques Bergier] ne devait jamais revoir cet homme qui a laissé une trace ineffable sous le nom de Fulcanelli. Tout ce que nous savons de lui est qu’il survécut à la guerre et disparut complètement après la Libération. Toutes recherches échouèrent pour le retrouver.

Jacques Bergier fut représenté sous les traits de l’initié Mik Ezdanitoff par Hergé dans Vol 714 pour Sydney (p. 46, vignette C2) :

Jacques Bergier 002

 

 

 

…………………………………………………….

JACQUES BERGIER ET LA TERRE CREUSE

 

 

Le 26 avril 1977 ,Jacques Bergier signait un article qui allait faire beaucoup de vagues.
Le 26 avril 1977 ,Jacques Bergier signait un article qui allait faire beaucoup de vagues.

LA THÉORIE DE LA TERRE CREUSE.
Dans la revue Nostra ,le n°283 d’Avril 1977, le regretté (qui paradoxalement ne croyait pas aux O.V.N.l.) présente cette thèse de la “” comme très possible étant donné que les photos prises par satellites des pôles de la Terre sont frappées d’un “top secret” mondial .

texte de Jacques Bergier :<> la thèse d’une Terre comprenant des espèces de prolongements dans d’autres dimensions<>. Des scientifiques d’URSS se sont intéressés à cette théorie. Elle présente l’avantage disent-ils, de fournir une explication à la survie d’êtres humains pendant les âges glaciaires: Ils auraient disposé de refuges quelconques ouverts sur les régions ensoleillées.

 

Restent les survols. Qu’on sache, tout d’abord,qu ‘aucune ligne commerciale ne passe directement par les Pôles:<>Jetez en effet un bref coup d’œil sur cet entefillet d’un journal du  « 25 Avril 1958:

 

Entrefilet du 25 avril 1958.
Entrefilet du 25 avril 1958.

 

 

 

 

 

 

……………………………………………………

CONCLUSION PERSONNELLE DE CET HOMMAGE

Dans les années ’70,le jeune  homme que j’étais (…et que je suis toujours !) ,achète « Le Matin des Magiciens ».Ce livre  fut une révélation pour moi.Il m’inspira dans de nombreux travaux,me fit rêver des journées entières et me fit voir  le monde dans lequel nous vivons,d’une manière différente.Après Jimmy Gieu,après Robert Charroux,Jacques Bergier venait  de m’ouvrir un nouveau chemin…dans mon esprit.Il fut un « Éveilleur de conscience »,un être différent de la masse des écrivains qui écrivent parce que c’est leur boulot.Jacques Bergier m’a montré comment ouvrir son cœur pour partager le savoir,la science,les expérience tout en pointant du doigt ,une nouvelle dimension de notre univers.

 

 

 

 

 

 

 

La conspiration nazi:les missions ultra -secrètes de deux sous-marin U-boats en mai 1943

 

Je préparais cet article depuis un certain temps,mais le message de mes amis,me font presser la diffusion. Nous allons recevoir  une visite surprise,mes amis.
Je préparais cet article depuis un certain temps,mais le message de mes amis,me font presser la diffusion.
Nous allons recevoir une visite surprise,mes amis.

 

Hitler était un fervent croyant en la race aryenne. Depuis son tout jeune âge, il pensait que cette race venait d’un pays mythique se trouvant au Pôle Nord.

 

Il croyait que cette race existait dans les régions de la « Terre creuse ». Il sentait que les premiers allemands Nordiques  venaient de ce monde intérieur, puis avaient migré du Pôle Nord vers  l’Europe , dans un lointain passé.

 

Adolf Hitler s’accrocha fermement à cette idée durant toute sa vie, avec pour résultat,qu’en  1943,il donna  l’ordre de fabriquer un sous-marin spécial pour l’exploration du Pôle Nord.Je vous raconte ici l’histoire de ce sous-marin,le U-209.

 

Avant propos

Même avant la Seconde Guerre mondiale, les Allemands étaient déjà en contact avec extra-terrestres ,en particulier, leurs sociétés secrètes. Les médiums aussi connus comme Canalistes dans la terminologie d’aujourd’hui sont principalement des femmes. Ces femmes,comme  médiums sont tenus d’avoir des poils longs, plus les cheveux le mieux la réception des messages qu’ils reçoivent de contacts hors du monde. Une partie de la technologie allemande  d’appareils rapides, notamment le type de  « disques volants artisanaux »  ont été inspirés par les extraterrestres. Dans l’un des messages qu’ils ont reçus ,les grandes prêtresses de la Société du Vril  ont conduit les savants nazis (sous l’autorité directe d’Henrich Himmler) vers   la recherche de l’histoire oubliée de la Terre. L’Atlantide  a été l’un des sujets qu’ils étaient prêts à examiner  comme ils ont découvert que non seulement les Allemands, mais la plupart des nations  européennes  de races blanches descendent d’Atlantis. Dans leur compréhension de la technologie OVNI ainsi que la technologie  alien  très avancée sur  l’énergie libre:c’ était déjà vraie  dans le monde à l’époque de l’Atlantide. Tout ce qu’ils eurent  à faire , fut  de prendre contact avec le peuple du Tibet qui ont des dossiers du passé ainsi que dans les possessions des archives sur   la technologie avancée et  gardée  en toute sécurité où ils cachèrent  ces trésors dans les cavernes et des bases souterraines. C’est dans cette expédition à la terre du Tibet que le peuple allemand a appris que la Terre était étonnamment « Creuse « . Apparemment, le peuple tibétain non seulement savaient que la Terre était creuse mais a déclaré que certains des Atlantes se sont réfugiés à l’intérieur de la Terre et que, sous la terre du Tibet  existe une  ville intérieure. Les moines du Tibet ont montré  aux  savants  Allemands qu’il y a deux grandes ouvertures menant à la Terre creuse :une située  au  le Pôle Nord et une au  pôle Sud. Les Allemands ont décidé d’utiliser l’ouverture polaire sud de sorte que cela ne ferait pas beaucoup de bruit en Europe, de sorte que personne ne saurait  grand-chose. Plusieurs sous-marins ont été envoyés vers le pôle Sud à la recherche de l’ouverture polaire sous la glace de l’Antarctique. Enfin, ils ont réussi à la trouver. Immédiatement des plans ont été faits à propos de la colonisation de cette partie inconnue du monde. Les cartes ont été faites pour que les navires et les sous-marins puissent trouver facilement l’ouverture menant  à la Terre Creuse vers le pôle Sud.    L’avance rapide des  jours de défaites pendant la Seconde Guerre mondiale, lorsque Adolf Hitler  sentait que  la grande et puissante  armée allemande perdait la guerre, Hitler a décidé de confier à la flotte allemande de sous-marins connus sous le nom « U-Boats » ,l’importante mission de  préparer et de  transférer vers  « la terre de  l’intérieur de la Terre »,un nombre important de hauts dirigeants et de soldats fidèles (accompagnées d’une conjointe)  dans la ville connue sous le nom de  «Rainbow City » (Cité de l’Arc-en-Ciel). Comme de plus en plus de villes allemandes ont été occupées par les Alliés  et aussi ,sur le côté Est de Berlin, où les armées russes fermaient toute possibilité de sortie  et dans le même temps sur le côté ouest de Berlin ,ils étaient  pris en tenailles par Les troupes américaines. Hitler et certains de ses camarades ont fait un mannequin ou détournement de faire croire qu’ils ont déjà passées. Mais ils se sont échappés en utilisant des voies souterraines, puis montés à bord des sous-marins. Inconnu au monde, Hitler avec ses supérieurs, fonctionnaires et soldats ont migré vers l’Amérique du Sud. Je ne vais pas parler de nation sud-américaine qui ils sont allés. Hitler ont à vivre et accepter le fait qu’ils ont perdu la guerre en Europe. Ils se tournent alors leur attention à la construction de la «Cité de l’Arc-en Ciel» et d’explorer la Terre Creuse. Ils ont apporté avec eux des femmes d’Amérique du Sud à cette nouvelle ville pour être leurs épouses. La flotte de sous-marins qui ont été affectés à cette expédition sont les «U-Boats». Comme plusieurs personnes peuple allemand ont été transférés en  l’Amérique du Sud, ils ont appris qu’ils peuvent réellement créer une ouverture à la Terre Creuse là en Amérique du Sud, en plus de la entrée polaire sud. Dans l’une des montagnes ils ont fait un trou qui mène à la Terre creuse. Plusieurs années plus tard Adolf Hitler est mort en Amérique du Sud.
En l’an 1943, les Allemands en Amérique du Sud ont été informés qu’en effet la Terre est creuse et qu’ils vont se rendre  là-bas. Mais certains d’entre eux ont été assignés à rester sur la surface du monde. L’un des codes de sous-marin allemand du nom de « U-209 » était l’un des dernier à entrer avec succès dans le monde de la « Terre Creuse ». Le commandant du sous-marin était Heinrich Brodda. Un des membres d’équipage de ce sous-marin nommé Karl Unger a envoyé une lettre de confirmation à son ami ,en allemand ,en Amérique du Sud  expliquant ce qu’ils ont fait à l’intérieur de la Terre à travers l’entrée sud polaire.

La lettre authentique.
La lettre authentique.

 

Les Allemands ont  vite découvert qu’il y a des  civilisations   beaucoup plus âgées et évoluées   qui existent à l’intérieur de la Terre Creuse. Et qu’ils n’ont pas été autorisés à entrer à l’intérieur pleinement afin  de pouvoir confirmer ce qui a été dit par le peuple du Tibet. Au lieu de cela, ils ont été autorisés à rester sur un grand terrain qui existent à l’extérieur immédiat  de la Terre Creuse. Et c’est l’endroit qu’ils appellent «Rainbow City » (la Cité de l’Arc-en-Ciel). L’emplacement de cette ville est à seulement quelques centaines de kilomètres de l’entrée sud polaire.  Les civilisations qui existent à l’intérieur de la Terre Creuse sont  très avance que même la technologie la plus récente sur le monde de la surface est pâle en comparaison de ce qu’ils ont là,en mains.

Un document qui fait froid dans le dos.
Un document qui fait froid dans le dos.

 

 



 

La lettre de confirmation de l’un des membres d’équipage de l’U Boat -209 nommé Karl Unger en effet prouvé que la Terre est creuse! Et si la Terre est creuse, alors cela signifie que toutes les planètes et même la lune est aussi creux; avoir un monde intérieur à l’intérieur où existent réellement civilisations.

 

 

 

 

LE VOYAGE DU U-209

 

Durant l’année 1943, certaines cartes furent brouillonnées et certaines spéculations furent faites pour l’expédition. Hitler pensait que le sous-marin serait le moyen idéal pour passer l’ouverture du Pôle.

En Mai 1943, le sous-marin allemand U-209 quitta le port de Kiel en Allemagne, sa destination: la région polaire du nord. Sa mission: trouver et entrer dans l’ouverture du Pôle Nord et prendre contact avec la civilisation aryenne vivant à l’intérieur de la Terre.

 

Aussi fantastique que cela semble, cet ordre secret venant d’Hitler était une petite  partie du schéma (la pointe de l’iceberg ) mis en place  pour s’assurer l’aide de « Supérieurs Inconnus »  de la race aryenne. Il voulait se servir d’eux pour produire une super race qui pourrait, un jour, diriger le monde.

 

Les Supérieurs Inconnus

La première prise de contact avec ces Supérieurs Inconnus proviendrait surtout  du pouvoir télépathique  de la célèbre voyante Maria Orsic ,une élève de Helena  P Blavastky ,la fondatrice de la Société Théosophique.Maria Orsic  recevait de nombreuses communications télépathiques durant son sommeil.Elle entrait en trance et ses  paroles  étaient consignées par ses assistantes qui se tenaient à son chevet,la nuit.Parfois le soir,elle se mettait à écrire des pages  en dialectes divers.De nombreux dialectes et symboles ont été identifié  à la langue sumérienne.Maria expliquait aussi l’origine des autres symboles comme provenant de la civilisation d’Aldébaran.

En octobre 1936,elle avertit le Reichführer Henrich Himmler de l’écrasement d’un  disque volant d’origine extraterrestre dans la Forêt Noire,près de Freiburg.C’est à partir de cet événement que l’on voit se manifester un intérêt pour l’envoie d’une expédition en Antartique,mais aussi en même temps vers le Pôle Nord,car il faut retrouver  l’entrée nordique vers  la Terre Creuse,l’univers souterrain de l’Agartha ,le puissant royaume du Roi du Monde .Fait à signaler,il y aurait eu un survivant parmi les occupants du disque volant et le Führer aurait été mis en contact avec l’entitée survivante.Les allemands auront, à ce moment-là ,une technologie extraterrestre   leur permettant de prendre une grande avance scientifique sur les puissances militaires de l’époque.

 

 

La mission du  U-209

Cette photo de sous-marins u-boat à l'ancre dans le port de Kiel,en 1943,nous donne une idée du type de sous-marin qu'était le U-209.
Cette photo de sous-marins u-boat à l’ancre dans le port de Kiel,en 1943,nous donne une idée du type de sous-marin qu’était le U-209.

 

Les archives navales allemandes de la Deuxième Guerre, révèlent que le U-209 partit en Mai 1943. Toutefois, il fut noté plus tard qu’un autre U-209 se trouvait à Kiel.

 

On sait que ce sous-marin était à l’épreuve des bombes, il était construit comme un abri et extrêmement sûr.

Il y a eu des rumeurs selon lesquelles Hitler et quelques membres proches de son équipe étaient partis dans un tel sous-marin, pour une base supposée établie sous la couche de glace du Pôle Nord.Il s’agit d’une théorie avancée par un chercheur  isolé ,en 2004 .Depuis 2004,les preuves se sont accumulées  en faveur d’une évasion du Führer en Argentine.Je fournirai ces preuves dans un prochain article.

 

Le  Führer Adolph Hitler  et le grand amiral Doenitz  auraient  donné  l’ordre au commandant de ce sous-marin, Heinrich Brodda, d’entrer dans l’ouverture, à travers la grande barrière de glace,quand il la verrait. Leurs  ordres indiquaient qu’après avoir passé cette zone de glace, il trouverait une grande mer ouverte, d’eau chaude.

C’est à ce moment critique de la journée que l’aiguille de leur boussole commença à s’incliner. Une fois entré dans l’ouverture du Pôle Nord, ils découvrirent un grand bassin d’eau douce.

En s’approchant de cette zone, un étrange blip apparut sur le sonar du sous-marin. Ce blip se trouvait seulement à quelques centaines de mètres devant le sous-marin, et sa course était parallèle à celle du sous-marin.

Le commandant Brodda et deux de ces officiers supposèrent que le blip était une baleine. Ils décidèrent de la suivre et furent surpris en faisant surface de voir, non pas une baleine, mais un sous-marin de patrouille Erdian.

 

En voyageant pendant plusieurs centaines de kilomètres le long de la rivière, ils arrivèrent à une grande cité.

A l’intérieur des murs de ce magnifique monde, ils découvrirent une civilisation extrêmement avancée. N’ayant plus aucun désir de revenir dans le monde de la surface, ils y  restèrent.

Il y a des références à ce fantastique « monde intérieur » dans des livres tels que , « La Terre creuse », et, « Le dieu qui fume ».

 

Plus tard,ils recevront la visite de l’amiral Byrd qui s’étonnera de l’utilisation de la langue allemande par cette civilisation supérieure.

LE VOYAGE DU SOUS-MARIN U-530

 

En 1943, le grand amiral et chef supérieur de la  marine allemande Karl  Donitz, a déclaré que la flotte sous-marine allemande avait « construit pour le Führer une forteresse imprenable à l’autre bout du monde», dans la région de la Terre de la Reine Maud, en Antarctique, rebaptisée plus tard Neuschwabenland.

Selon les archives de la marine allemande, plusieurs mois avant  la capitulation allemande aux Alliés en mai 1945, le sous-marin allemand U-530 a quitté le port de Kiel à destination de l’Antarctique. Une fois que  le sous-marin de modèle VII-C  est arrivé au Pôle Sud, les 16 membres de son équipage ont reçu l’ordre  de construire une grotte de glace dans la région de Neuschwabenland. Après que le travail fut terminé,le sous-marin allemand  prit alors la direction du port argentin de Mar-del-Plata et  son  commandant s’est rendu aux autorités avec un équipage et un armement très réduit. En Août 1945, un mois et sept jours exactement  après la reddition de l’U-530, un autre sous-marin ,le U-977 a également fait son apparition dans  le port  de Mar-del-Plata et s’est rendu aux autorités.
Carte de Neu Schwabenland.
Carte de Neu Schwabenland.

 

En 1946, l’opération Highjump a commencé dans le cadre de l’évolution du projet de l’ US Naval Antarctic Group, organisé par le secrétaire de la  marine ,James Forrestal.Le groupe d’expédition fut composé de plus de 40 navires, dont deux navires de la classe de destroyer et le porte-avions USS Philippine Sea, et un nombre d’avions qui ont été équipés d’un trimetricon (une caméra secrète d’espionnage), un magnétomètre (pour enregistrer les anomalies magnétiques), et les fusées  de décollage ,genre booster  d’assistance, récemment mis au point (JATO) qui ont  aidé pour  les décollages sur  la piste courte sur le  porte-avions ou pour les décollages sur la glace dure,sur une surface limitée.

Dessin habile représentant un Vril-7 au-dessus des glaces antartiques.

Il a été longtemps considéré par les chercheurs que la cartographie de l’histoire de la Marine n’était rien de plus qu’une couverture pour protéger le fonctionnement réel. En réalité,les soldats américains  cherchaient la base nazi souterraine (Base-211) qui   entreposerait les  disques volants  allemands ,les Vril  connus comme flugscheiben et Thulé ,utilisant le  mercure  ,comme prototypes de vaisseau spatial fonctionnels et  également connus comme jenseitsflugmaschines.

En 1947, l’amiral Richard Byrd  dit, « qu’il  était nécessaire pour les Etats-Unis à prendre des mesures défensives contre des combattants ennemis qui viennent des régions polaires. » Parlait-il des avions soviétique potentiel ou Luftwaffe nazie attaquer les États de l’Antarctique? Il n’a jamais précisé.
Peu de temps après la conférence de presse de l’amiral Byrd, la revue  de la  force navale soviétique, « la flotte rouge », a déclaré que «les mesures des États-Unis dans l’Antarctique témoignent que les milieux militaires américains cherchent à soumettre les régions polaires afin de contrôler et de créer des bases permanentes pour leurs forces armées. » Dans une autre tournure étrange, les gouvernements de la Nouvelle-Zélande, l’Australie et le Chili ont demandé à leurs forces armées de  se joindre à l’expédition  nommée opération Highjump, mais se sont vu refuser la participation.
En 1948, un second groupe de travail nommé Opération Windmill a également été envoyé pour prendre des photos de Neuschwabenland, nouveau stratagène soi-disant pour des fins de cartographie. Même si apparemment ils ont réussi dans leur tâche, le gouvernement n’a pas encore rendu  ces photos disponibles au public et aucune raison n’a jamais été donné pour leur non-divulgation. Certains chercheurs  croient que la raison  pour laquelle les photos n’ont jamais été publié, c’est que cette opération militaire était en fait une mission de reconnaissance et d’évaluation. En 1949, le secrétaire à la Défense James Forrestal, un ami proche de l’amiral Byrd, a été envoyé  à l’hôpital naval de Bethesda. Il a commencé à discuter de l’opération Highjump avec le personnel de l’hôpital, de parler d’une manière extravagante sur les ovnis, l’Atlantide, et une ville souterraine nazie. Il a refusé les visiteurs, y compris son épouse, et peu de temps après ,il est mystérieusement « tombé » sur la fenêtre de son hôpital pour  mourir ainsi. Le rapport officiel dit qu’il s’est suicidé, mais des rumeurs persistantes disent qu’il a été assassiné par des agents du gouvernement pour l’empêcher de parler davantage sur ce qui a été vraiment trouvé dans le désert de l’Antarctique pendant l’opération Highjump.
Toute la vérité de la question ne peut jamais venir à la lumière, mais ce qui est connu est que de nombreux militaires américains ont étonnamment perdu la vie lors de l’opération Highjump; une opération de cartographie supposée qui aurait été un effort tout à fait sûr. En outre, plusieurs avions ont été abattus lors de l’opération, y compris George One ,un hydravion conçu spécialement pour cette mission, et qui, selon les documents de la marine, aurait mystérieusement « juste sauté » sur la glace lors de son premier vol dans l’Antarctique.Un petit vol  qui couta une fortune aux contribuables américains.
Selon la British Intelligence, nous savons que des  foo fighters furtifs et des engins volants Vril en forme de soucoupe ont été développés et testés à l’Institut allemand pour le développement aérien.
Un autre motif associé à l’implication nazie en Antartique, c’est qu’il a été répandu pour être l’entrée de la patrie aryenne perdu de Thulé.
Alors que l’Antartique a été reliée au continent perdu de l’Atlantide, le lien de Thulé est moins apparent.
Thule (également connu sous le nom Thula, Thyle, Thila, Tila, Tyle, ou Tylen, entre autres congénères) a d’abord été écrit au sujet de l’explorateur grec Pythéas après ses voyages entre 330 avant JC et 320 avant JC. En 150 de notre ère,et l’ écrivain grec Diogène Antonius a écrit Le Merveilles Au-delà de Thulé.
Bien d’intérêt littéraire, ce travail a fait peu pour révéler les secrets de Thulé.
Dans la géographie médiévale Thule a été renvoyé au lieu aussi éloigné situé au-delà des «frontières du monde connu. » Mystiques occultes qui  croient à  la Thulé historique (aussi appelé Hyperborée) que l’origine ancienne de la race aryenne fait état.
Qu’était vraiment allé faire  l’armée américaine  en Antarctique en 1946 et 1947? Plus de 5,000 soldats étaient-ils sur une mission de cartographie de routine ou ont-ils livré  une terrible bataille,aux  combattants nazis restants avec une technologie de remplacement avancée?
Les nazis ont-ils  vraiment construit une base militaire dans l’Antartique ou masquer de grandes quantités d’or il dans l’espoir de financer un effort futur pour ressusciter le quatrième Reich? Ou ont-ils, comme certains le prétendent, découvert la terre perdue de l’Atlantide ou  de Thulé?
Nous ne saurons jamais avec certitude, mais en 2001, l’Agence Geospatial-Intelligence US National et le Bureau d’appui pour la recherche aéro-géophysiques confirmé l’existence d’une anomalie magnétique sur la rive côté est du lac Vostok en Antarctique, cohérente avec une construction artificielle .

Plus récemment, en Octobre 2006, l’Institut d’océanographie Scripps ont déclaré qu’ils ont découvert plusieurs lacs jusque-là inconnues de l’eau en dessous de la calotte glacière de l’Antarctique. Ces lacs se trouvent sous 2300 pieds de neige et de glace comprimé.
Cette anomalie pourrait faire partie d’une base nazie souterraine que les agents américains  ont consulté lors de l’opération Highjump? Quelque chose a en effet été découvert dans l’Antartique. L’une des questions qui doit être posée est-ce que les nazis s’y  trouvent toujours, la première question à se poser,… d’abord?
Un livre publié en 1978, appelé secrets nazis  et Expéditions polaires, raconte comment les Allemands avaient pris un bateau avec un petit avion sur ce qu’ils l’ont lancé de leur navire après avoir atteint la glace près de l’Antarctique.
Il a survolé la glace de l’Antartique, sans doute sur un vol d’observation , puis retour vers le navire.
Mais le livre ne dit rien sur ce qu’il aurait trouvé ou ce que l’élite du parti nazi croyait connaître,soit  une entrée vers la  terre intérieure.
L’origine du document fondamental
Un document intéressant est apparu récemment, obtenu par un  certain Joe Watson de Talkeetna, en Alaska.
M. Watson affirme qu’il a  une copie d’une lettre écrite le 2 Mars 1985 en  langue allemande à partir d’un  membre de l’équipage d’un sous-marin allemand  qui était à bord. Dans celle-ci est tenu de certaines coordonnées de leur mission, qui était apparemment de se rendre au centre de la terre.
Leur sous-marin a été appelé U-209 commandé par le capitaine Heinrich Brodda. L’image ci-dessous est une copie de la lettre originale écrite à la main de Karl Unger, membre de l’équipage du sous-marin allemand U-209, ainsi que la traduction en anglais . Dans ce Karl a confirmé que la terre était bien creux et qu’ils avaient réussi à atteindre la terre habitée intérieure,à partir  du sous-marin U-209 allemand après la Seconde Guerre mondiale  qui avait détruit l’Allemagne.
La lettre a été envoyée à son ami ici sur le monde de la surface qui a donné une copie de celui-ci à un M. Woodard, qui a donné une copie à Joe Watson. Karl avait envoyé la lettre de la terre creuse à travers une colonie allemande au Brésil, qui avait trouvé une caverne qui atteint la terre creuse de nombreuses années précédente. Cette colonie allemande au Brésil est documentée dans la Genèse pour une nouvelle ère , après avoir prétendument découvert l’entrée de la caverne de retour dans les années 1500.
Quand on fait une recherche sur le  site d’archives allemandes  à la recherche d’informations sur le U-209 sous-marin allemand manquant, il montre que le sous-marin a effectivement été porté disparu. Le 5 Juillet 1943 a été sa dernière position  rapportée  entre le Groenland et l’Islande au point de coordonnées 52 ° 00 ‘N-38 ° 00’O. Le rapport dit que le commandant du sous-marin était Heinrich Brodda.
En outre, les documents obtenus par les soviets à la fin de  la Seconde Guerre Mondiale , récemment apparus sur le web,venant d’une fuite du gouvernement allemand,nous  montre une carte de 1944 du  Troisième Reich en détail, non seulement le passage direct utilisé par les sous-marins allemands pour accéder à ce domaine souterrain, mais aussi une carte complète des deux hémisphères du royaume intérieur de l’Agharta, le nom mythique du monde souterrain habité .
Si cela semble trop incroyable, comparez avec ces cartes, cette carte fait par le cartographe tyrolien célèbre et artiste Heinrich C. Berann pour la National Geographic Society à partir de 1966.
La carte de gauche montre clairement le continent de l’Antartique sans sa couverture de glace.
Le détail intrigant, c’est qu’il y a des passages sous-marins qui fonctionnent sur presque toute la longueur du continent et semblent converger à l’endroit exact identifié comme l’ouverture dans la terre intérieure ou souterraine profonde.
Ci-dessous est une traduction de la notice Top Secret et les orientations spécifiques détaillées (à gauche) pour les  capitaines de sous-marins nazis ,un itinéraire à suivre pour atteindre le royaume intérieur ,le monde de l’Agartha .
Dans son best-seller « Carte révolutionnaire des anciens Rois de la Mer », Charles Hapgood (1904-1982), professeur d’histoire à l’université de Springfield à Springfield, Massachusetts, a d’abord mis en avant la théorie que l’Atlantide a résidé dans l’Antartique et a été détruit par le déplacement de la croûte. Dans son best-seller, quand le ciel est tombé: à la recherche de l’Atlantide, Rand a propagé cette idée que sous la glace de l’Antartique existe des vestiges de l’Atlantide. Pourraient-ils avoir raison?
DÉCOUVERTE DES PYRAMIDES EN ANTATIQUE,EN 2013
L’an passé des explorateurs très aventureux auraient découverts trois pyramides,en Antartique,voir mon article sur ce sujet: (lien)
Voici la photo qui avait été  publiée :
Photo récemment reçue...décembre 2013.
Photo récemment reçue…décembre 2013.

 

 

 

 J’ai aussi parlé récemment de structures découvertes sous la glace:(lien)

 

 

Et je vais vous donner  un nouvel article   sur ces découvertes en Antartique.

Je vous signale mon grand intérêt à  promouvoir une exploration scientifique  vers le site des anciennes bases allemandes de Neue Schwabenland.

…à suivre!

 

 

 

L’histoire de la Quête fantastique vers la Terre Creuse .partie 1

Histoire de la Terre Creuse
La disparition prématurée,le 26 juillet 2006, de l’explorateur américain Steve Currey nous amène à faire le point sur l’évolution des recherches sur la Terre Creuse.Depuis l’an passé,mes recherches sur Neu Schwabenland et les bases secrètes allemandes m’ont amené  à m’intéresser  davantage à ce grand mystère qui explique beaucoup de choses.
Mes recherches confirment  que la surface concave intérieure de la croûte terrestre pourrait abriter une civilisation en tous points supérieure à la nôtre, probablement issue des continents disparus de Lémurie et d’Atlantide. Les « soucoupes volantes » ne seraient que l’une des nombreuses inventions de cette civilisation. Mais leur avancée se situe surtout au niveau spirituel. Au moment où notre société s’enfonce dans la décadence matérialiste, nous tirerions sans doute le plus grand bénéfice à contacter ces frères aînés de la race humaine.J’ai la certitude  que la solution pour abattre le néolibéralisme et la menace mortelle du Nouvel Ordre Mondial,se trouve juste en-dessous de notre nez.

Sir Edmund Halley,le grand penseur de la Terre Creuse.
Sir Edmund Halley,le grand penseur de la Terre Creuse.

Le pionnier de la « théorie de la Terre Creuse » fut l’astronome et mathématicien anglais, Edmond Halley (1656-1749). Il fut également le premier à émettre l’idée que les aurores boréales polaires étaient le reflet d’un « Soleil intérieur » qui éclairait le monde souterrain. Ses travaux furent publiés dans « The Philosophical Transactions of the Royal Society of London » et ne firent pas grand bruit. Halley passa surtout à la postérité grâce à la découverte de la célèbre comète portant aujourd’hui son nom.

John Cleves Symmes
John Cleves Symmes

Un autre précurseur fut John Cleves Symmes, ancien capitaine de l’infanterie de la guerre de 1812 contre la Grande-Bretagne, en hommage duquel fut érigé à Hamilton un monument de pierre représentant une sphère percée en deux points symétriques. Le 10 avril 1818, il envoya au Congrès américain, à des directeurs d’université et à des savants, la lettre suivante: « Au monde entier; je déclare que la Terre est creuse et habitable intérieurement… » Selon lui, la Terre était formée de plusieurs sphères concentriques. Aux deux pôles, il y avait d’énormes ouvertures où s’engouffraient l’atmosphère, des terres et des mers.

Symmes joignit à sa lettre un certificat médical confirmant la pleine possession de ses facultés mentales. Il intéressa le sénateur Richard M. Johnson qui déposa devant le Congrès, le 28 janvier 1823, une demande officielle de financement pour le lancement d’une expédition. Mais cette dernière fut repoussée.
En 1826, toutes les notes de Symmes furent publiées dans un livre intitulé « Theory of concentric Spheres. » Sa théorie fut alors reprise par Joseph Reynolds qui réussit à convaincre le président John Quincy Adams.
Une expédition pour le Pôle Sud partit de New York le 29 octobre 1829. Malheureusement, l’opération fut un désastre total. Edward George Bulwer Lytton, politicien, ésotériste et écrivain célèbre, auteur des « Derniers jours de Pompéi », publia en 1873 « The coming Race » dans lequel il raconta que des rescapés de divers cataclysmes avaient trouvé refuge sous la Terre depuis des milliers d’années. Cette race de surhommes entretenait, selon lui, sa forme grâce à un mystérieux fluide, le « Vril ». Elle allait bientôt supplanter l’humanité.
Cette histoire inspira des sociétés secrètes lucifériennes, notamment celle de la « Loge lumineuse » de l’Allemagne nazie, plus connue sous le nom de « Société du Vril « . Parmi ses membres se trouvaient Rudolf Hess et de nombreux partisans du régime nazi qui cherchèrent dans cette théorie une justification à leur idéologie.
Puis la thèse de la Terre Creuse fut reprise par l’écrivain américain William Reed dans un livre désormais « culte » s’appuyant sur des témoignages d’explorateurs polaires, « Fantôme des pôles », jamais traduit en français.

Reed réfuta les conceptions communément admises sur la structure de la Terre et se basa sur des arguments scientifiques. Selon lui, les pôles n’avaient jamais été découverts parce qu’ils n’avaient jamais existé ! À la place, il y avait d’immenses trous, et ces ouvertures conduisaient à l’intérieur de la Terre. Le livre de Reed n’était pas une fiction. Il le précisa d’ailleurs en ces termes : « Ce volume n’a pas été écrit en vue de divertir ceux qui lisent. Ce n’est pas un roman, mais un essai sérieux qui tend à prouver, dans la mesure du possible, certaines vérités importantes jusqu’ici dédaignées. J’y livre la clé de certains mystères. »
Reed estima que la croûte terrestre avait une épaisseur de 1.300 kilomètres et que son intérieur (creux) avait un diamètre de 10.000 kilomètres. Selon lui, l’aurore boréale polaire n’avait rien à voir avec un phénomène électrique ou magnétique mais provenait de la réflexion sur les nuages, sur la glace ou sur la neige, des feux d’un volcan ou des feux de prairies ou de forêts situées sur le bord de la courbure polaire (une théorie probablement fausse). Il s’inspira des description des explorateurs Bernacchi, Nansen, Siemens, Mauch, Hooper, Greely, Henry, Brainard, Rice, Ralston, Gardiner qui tous s’extasièrent devant la magnificence des aurores boréales et s’interrogèrent sur leur origine. Étant donné que le phénomène n’avait aucun effet sur l’aiguille de la boussole, les évaluations de ces explorateurs en déduisirent logiquement qu’il n’avait rien d’électrique ni de magnétique.

Reed évoqua aussi une mer libre s’étendant loin au Nord, s’appuyant sur des observations du Dr Bessels, de Chester, Kane, Me Gary, Morton, Greely, Pavy et surtout de Nansen. Ils constatèrent tous son existence au delà d’une certaine altitude.
Nansen décrivit cette mer d’eau douce en ces termes : « C’est un phénomène singulier, cette eau douce… Ce phénomène se passe quand une couche superficielle d’eau douce surnage sur l’eau de mer salée et cette eau douce glisse avec le bateau sur la mer plus lourde du dessous comme si cette mer constituait une couche fixe.

Le norvégien Nansen fut le premier explorateur moderne à réussir, en 1897, l'exploit scientifique et humain de s'approcher du pôle Nord jusqu’à atteindre la latitude de 86° 15'.
Le norvégien Nansen fut le premier explorateur moderne à réussir, en 1897, l’exploit scientifique et humain de s’approcher du pôle Nord jusqu’à atteindre la latitude de 86° 15′.

« La différence entre ces deux couches liquides était, dans ce cas, si grande que tandis que nous avions de l’eau potable à la surface, nous sommes arrivés à extraire du fond de la salle des machines une eau si salée qu’elle pouvait être employée pour la chaudière. » Il estima sa profondeur entre 3.300 et 3.900 mètres.
« La différence entre ces deux couches liquides était, dans ce cas, si grande que tandis que nous avions de l’eau potable à la surface, nous sommes arrivés à extraire du fond de la salle des machines une eau si salée qu’elle pouvait être employée pour la chaudière. » Il estima sa profondeur dans « A journev to the Earth’s interior : Have the poles really been discovered ? » (« Un voyage à l’intérieur de la Terre : les entre 3.300 et 3.900 mètres.
La théorie de Reed fut reprise en 1920 par un autre américain, Marshall B. Gardner, après vingt ans d’études et sans qu’il ait eu vent de l’oeuvre de son prédécesseur, puis présentée pôles ont-ils vraiment été découverts ?)
L’ouvrage fut publié à compte d’auteur et jamais traduit en français. Gardner figura la Terre avec des ouvertures circulaires aux pôles dans lesquelles s’engouffrait l’eau de l’océan qui adhérait à la croûte, tant au-dessous qu’au-dessus, puisque selon sa théorie, le centre de gravité de la Terre était situé en plein milieu de cette croûte et non au centre du globe. Si un bateau franchissait le trou et se dirigeait vers l’intérieur, il continuait de naviguer (dans une position renversée) sur la paroi interne de la croûte terrestre.
Il révéla que le lieu où la force de gravité était la plus importante se situait à mi chemin de la courbe. Cette force était si puissante à cet endroit que l’eau salée de la mer et l’eau douce des icebergs ne se mélangeaient pas. L’eau de mer demeurait à quelques dizaines de centimètres au-dessous de l’eau douce, ce qui permettait d’obtenir de l’eau potable même en plein océan arctique. M.B. Gardner s’interrogea sur l’origine des icebergs, formés d’eau douce et non d’eau salée. D’où pouvait bien provenir cette énorme quantité d’eau douce ?
Les auteurs du « Livre Jaune n°6 » publié par les Editions Félix, que nous avons consulté à titre informatif, se sont posé la question suivante : « Qui peut dire d’où viennent les icebergs ? Ils ne viennent pas de la mer, car l’eau de mer est salée, et les icebergs ne contiennent que de l’eau douce, sans exception. La pluie ? »
« Comment cinq centimètres de précipitations annuelles peuvent-ils créer de tels monstres de glace, comme nous les trouvons dans l’océan Arctique ? » se demande le chercheur Bernacchi, qui a exploré le pôle Sud avec Borchgrevink, de 1898 à 1900. Il n’y a pas de réponse rationnelle à cette question. Il a vu un iceberg de 80 kilomètres de large sur 650 kilomètres de long, un iceberg qui irait de Paris à Toulouse et qui se serait formé à la suite de cinq centimètres de précipitations annuelles !!!
Si l’on part du fait qu’il existe bien un pôle Nord et qu’il est recouvert de glace, comme tout le monde semble le supposer, d’innombrables explorateurs ont dû être pris d’hallucinations à partir de 80° de latitude Nord. Ou alors, ils étaient en pleine possession de leurs moyens, et la théorie du pôle couvert de glace ne tient plus. Tous ceux qui vivent dans le grand Nord ont pu constater qu’il y a beaucoup de brouillard dans l’Arctique en hiver. Si la banquise avait été entièrement solide, il n’y aurait pas assez d’humidité dans l’air pour la formation de brumes et de brouillards. Un explorateur américain, le Docteur E. Kane, qui a découvert le glacier de Humboldt, a exploré la zone du pôle Nord entre 1833 et 1855. Il a écrit il y a 150 ans : « Il y a des indices qui montrent clairement qu’il doit y avoir un océan dans le Nord. Les brumes et les brouillards que nous avons vus souvent en hiver nous le confirment. »

PhotoReed
Selon Reed et Gardner, cette eau douce provenait des fleuves des régions chaudes situées à l’intérieur de la Terre. Quand ils atteignaient la surface beaucoup plus froide, ils gelaient et se transformaient en icebergs. Durant les mois d’hiver, des millions de mètres cubes d’eau douce en provenance des rivières intérieures émergeaient des ouvertures polaires et formaient de véritables montagnes de glace.
Pour Gardner, les mammouths découverts gelés dans la glace n’étaient pas des animaux préhistoriques mais des animaux vivant toujours actuellement à l’intérieur de la Terre. Car c’est à l’intérieur de ces icebergs que l’on a découvert nombreux mammouths et d’autres espèces disparues que l’on a rapidement qualifiées de « préhistoriques » parce qu’on n’en voyait plus de semblables sur la Terre depuis très longtemps. Certains mammouths avaient encore de l’herbe dans l’estomac et même dans la bouche, ce qui prouve qu’ils avaient été saisis brutalement par un froid intense.
Un certain Robert B. Cook révéla qu’on avait trouvé dans des dépôts glaciaires du Nord des mammouths, des rhinocéros, des rennes, des hippopotames, des lions et des hyènes. Il expliqua que ces animaux, incapables de supporter un climat aussi rude, devaient avoir vécu il y a des millénaires lorsque régnait dans la région polaire une température tropicale. Mais Gardner n’était pas du même avis. Selon lui, il s’agissait d’animaux vivant toujours à l’heure actuelle, faisant remarquer à juste titre que lions et hyènes appartenaient à des espèces récentes et qu’ils n’étaient pas des créatures « préhistoriques » !
Gardner ajouta à la théorie de Reed la présence d’un Soleil central, plus petit que le nôtre, donnant une explication aux températures élevées relevées dans les hautes latitudes polaires. Un astre intérieur, source de chaleur et de lumière, rendrait possible la vie végétale, animale et humaine à l’intérieur de notre globe. Ce cœur irradiant de chaleur bienfaisante expliquait aussi la présence de l’aurore boréale. Reed pensait comme Gardner que l’intérieur de la Terre était habité mais il avait du mal à l’expliquer car sa théorie excluait la présence d’un Soleil central.
L’explorateur Fridtjof Nansen, qui publia « Vers le Pôle » en 1897 affirma avoir vu, aux environs de midi, une « image du Soleil », car selon lui, il ne pouvait être qu’un « mirage. » Il ressemblait à un feu rayonnant qui brillait juste au-dessus du bord le plus éloigné de la glace. Du sommet principal, Nansen aperçut plusieurs lignes horizontales directement l’une sur l’autre, toutes d’égale longueur, comme s’il avait affaire à « un Soleil carré, d’un rouge pâle, avec des rayons sombres horizontaux en travers. » Nansen et son équipe ne s’attendaient pas à observer durant plusieurs jours consécutifs ce « dieu de vie » renaissant après la longue nuit d’hiver polaire, si bien qu’ils pensèrent avoir dérivé vers le Sud.
Mais une simple illusion d’optique pouvait-elle durer plusieurs jours de suite ? De plus, là où se trouvait Nansen, la zone polaire nord était située dans la zone de la nuit polaire totale! Par conséquent, ce n’est pas le Soleil que Nansen vit mais une lumière émanant du centre de notre planète. Gardner fit appel à des données astronomiques pour prouver que non seulement la Terre mais aussi toutes les planètes du système solaire étaient creuses à l’intérieur. Elles possédaient des Soleils centraux et étaient formées à partir d’une nébuleuse tourbillonnante. À l’origine de chaque astre, il y avait une masse en fusion tournant sur elle-même. Ensuite, la force centrifuge projetait les substances les plus lourdes à la périphérie, formant à la surface extérieure de chaque planète une croûte solide. Une partie du feu initial subsistait dans le creux intérieur formant un « Soleil central. »
Des ouvertures se créaient obligatoirement aux extrémités à cause du mouvement de rotation et de déplacement dans l’espace. Gardner évoqua les « lumières polaires » observées sur Mars par le professeur Lowell, sur Vénus par l’astronome français Trouvelet en 1878, et sur Mercure par l’astronome Richard Proctor. Il cita un article paru dans le « Scientific American » du 14 octobre 1916, sous la signature de H. D. Curtis, membre de la Société astronomique du Pacifique, qui révélait: « Cinquante nébuleuses ont été étudiées et photographiées au moyen du réflecteur de Crosly. On a utilisé des temps de pose différents, de façon à faire ressortir les détails de structure de la partie centrale brillante et aussi de la matière périphérique. La plupart des nébuleuses présentent un anneau plus ou moins régulier, une sorte d’écorce ou de coquille, généralement avec une étoile centrale. »
Après la seconde guerre mondiale, en 1947, des bruits coururent que les Nazis avaient envoyé des hommes aux pôles. En 1946, l’amiral Richard Byrd fut chargé d’un programme du nom d’Operation High Jump, avec pour mission de vérifier, entre autres, si des Nazis ne se trouvaient pas dans les parages. Lors d’un vol effectué le 19 février 1947, il rapporta avoir observé des engins resplendissants en forme de disque portant un symbole ressemblant à la swastika qui le forcèrent à atterrir. Deux hommes grands et blonds parlant quelques mots d’allemand vinrent à sa rencontre…
En 1959, F. Amadeo Giannini écrivit son « Worlds beyond the Poles » (Les mondes au-delà des pôles). I1 révéla que, depuis le 12 décembre 1928, les expéditions polaires de la marine US avaient mis en évidence l’existence « d’une terre indéterminée s’étendant au-delà des deux pôles, hors des frontières de notre seul globe déterminées par la théorie copernicienne de 1543. Le 13 janvier 1956, l’unité aérienne de la Marine U.S. pénétra dans une étendue de terre de 2300 miles (3700 kilomètres) au-delà du prétendu pôle Sud de la Terre. Pour de très importantes raisons, ce vol mémorable ne reçut qu’un écho insignifiant dans la presse. »
Mais cette information demanderait à être confirmée. Giannini révéla aussi : « De modernes expéditions ont pénétré dans 5 000 miles d’une extension territoriale, dont l’extrémité ne fut pas atteinte. Quand bien même cette extrémité serait atteinte, une autre de même nature pourra se présenter. Une telle évaluation à répétition pourrait continuer indéfiniment. Il n’y a pas de fin physique à la Terre aux extrémités Nord et Sud. »
En 1959, Ray Palmer évoqua le sujet dans la revue « Soucoupes volantes » dont il était le chef de rédaction. Willis George Emerson, dans un livre intitulé « The Smoky God » (Le Dieu qui fume), titre en rapport avec le Soleil central, aussi intitulé « A voyage to the inner Word » (Un voyage dans le monde intérieur) publié en 1965, raconta une histoire survenue à un norvégien du nom d’Olaf Jansen dont il avait recueilli le témoignage. À bord d’un petit bateau de pêche, Jansen et son fils avaient tenté de trouver la terre légendaire située « au-delà du vent du Nord ». Il parla d’un Soleil central plus petit et moins brillant, donnant l’impression d’être brumeux, comme « entouré d’un nuage de fumée. »
Les deux hommes furent projetés dans l’ouverture polaire et se retrouvèrent à l’intérieur de la planète où ils séjournèrent deux ans avant de ressortir par l’ouverture opposée, celle du pôle Sud. Là, un iceberg coupa en deux le bateau. Le père fut tué. Le fils, sauvé de justesse, passa 24 années dans un hôpital psychiatrique pour déficience mentale… Une fois relâché, il devint pêcheur et après 26 ans, il s’installa en Californie. Il avait près de 90 ans lorsque, « par hasard », l’écrivain Willis George Emerson fit sa connaissance. Le vieillard sentant sa fin prochaine voulut partager son secret et lui raconta sa fantastique aventure, lui montrant les cartes qu’il avait dessinées à l’époque.
Raymond Bernard révéla qu’un certain Docteur Nephi Cottom de Los Angeles avait lui aussi recueilli d’un patient le récit suivant :
« J’habitais près du cercle arctique, en Norvège. Un été, je décidai avec un ami de faire un voyage en bateau et d’aller aussi loin que possible dans le Nord. Nous fîmes donc une provision de nourriture pour un mois et prîmes la mer. Nous avions un petit bateau de pêche muni d’une voile, mais aussi d’un bon moteur. Au bout d’un mois, nous avions pénétré très avant dans le Nord, et nous avions atteint un étrange pays qui nous surprenait par sa température. Parfois il faisait si chaud la nuit que nous n’arrivions pas à dormir. Nous vîmes plus tard quelque chose de si étrange que nous en restâmes muets de stupeur. En pleine mer, devant nous, se dressait soudain une sorte de grande montagne dans laquelle, à un certain endroit, l’océan semblait se déverser!
Intrigués, nous continuâmes dans cette direction, et nous nous trouvâmes bientôt en train de naviguer dans un vaste canyon qui conduisait au centre du globe. Nous n’étions pas au bout de nos surprises. Nous nous rendîmes compte un peu plus tard qu’un Soleil brillait à l’intérieur de la Terre! L’océan qui nous avait transportés au creux de la Terre se rétrécissait, devenait graduellement un fleuve. Et ce fleuve, comme nous l’apprîmes plus tard, traversait la surface interne du globe d’un bout à l’autre, de telle sorte que si on en suivait le cours jusqu’à son terme on pouvait atteindre le pôle Sud. Comme nous le constatâmes, la surface interne de notre planète comprenait des étendues de terre et d’eau, exactement comme la surface externe. Le Soleil y était éclatant, et la vie animale et végétale s’y développait abondamment. Au fur et à mesure que nous avancions, nous découvrions un paysage fantastique. Fantastique parce que chaque chose prenait des proportions gigantesques, les plantes, les arbres et aussi les êtres humains… Oui, les êtres humains ! Car nous en rencontrâmes et c’était des géants ! Ils habitaient des maisons et vivaient dans des villes semblables à celles que nous avons à la surface, mais de taille plus petite. Ils utilisaient un mode de transport électrique, sorte de monorail qui suivait le bord du fleuve d’une ville à l’autre. »
L’homme poursuivit : « Ils nous accueillirent amicalement, nous invitèrent à déjeuner chez eux. Mon compagnon alla dans une maison, moi dans une autre. J’étais complètement désemparé en voyant la taille énorme de tous les objets. On me donna une assiette immense, et la portion qu’elle contenait aurait pu me nourrir une semaine entière ! Le géant m’offrit au dessert une grappe de raisin, et chaque grain était aussi gros qu’une pêche ! Le goût en était délicieux.
À l’intérieur de la Terre, les fruits et les légumes ont une saveur délicate, un parfum subtil. Rien de comparable avec ceux de « l’extérieur ». Nous demeurâmes chez les géants pendant une année, goûtant leur compagnie autant qu’ils appréciaient la nôtre. Nous observâmes au cours de ce séjour un certain nombre de choses aussi étranges qu’inhabituelles, toujours étonnés par l’ampleur des connaissances scientifiques dont faisaient preuve ces gens. Durant ce temps, ils n’affichèrent jamais la moindre hostilité envers nous, et ils ne firent aucune objection quand nous décidâmes de repartir chez nous. Au contraire, ils nous offrirent même courtoisement leur protection au cas où nous en aurions eu besoin pour le voyage de retour. »
Selon le témoignage de Jansen, ces êtres vivaient plusieurs centaines d’années et mesuraient entre trois et quatre mètres de haut ! Ils possédaient une science très avancée. Ils transmettaient leurs pensées en utilisant certains types de radiations et détenaient des sources d’énergie plus puissantes que l’électricité.
Raymond Bernard affirma que ces géants appartenaient à la race antédiluvienne des Atlantes. « Ils s’étaient réfugiés à l’intérieur de la Terre pour échapper au déluge qui submergea leur continent. »
William F. Warren, dans un livre intitulé « Le Paradis retrouvé, ou le berceau de la race humaine », développa l’hypothèse selon laquelle la race humaine avait pris naissance sur un continent tropical situé dans l’Arctique, la fameuse « Hyperborée » des anciens Grecs. Les habitants étaient des « dieux » pouvant vivre des milliers d’années, sans jamais vieillir. Selon lui, les anciens écrits de la Chine, de l’Égypte, de l’Inde, et aussi les légendes des Esquimaux, évoquaient une grande ouverture dans le Nord et une race vivant sous la croûte terrestre dont les ancêtres étaient originaires de cette terre paradisiaque.
Des écrivains émirent l’idée que l’intérieur du globe était habité par une race de petits hommes à la peau brune et que les Esquimaux, dont le type ne ressemblait à aucun autre, provenaient de ce monde souterrain. « Quand on demande aux esquimaux d’où venaient leurs ancêtres » révéla R. Bernard, « ils pointent un index dans la direction du Nord. Leurs légendes évoquent une terre merveilleuse inondée de lumière. Là il n’y a jamais d’obscurité. Là règne un climat tempéré. Les lacs n’y sont jamais gelés, des hordes d’animaux errent dans les broussailles, des oiseaux de toutes les couleurs sillonnent le ciel. C’est une terre d’éternelle jeunesse où les gens vivent des milliers d’années dans la paix et le bonheur. »
À propos de l’origine des Esquimaux, Gardner écrivit: « Les premiers Norvégiens considérèrent ces petits hommes bruns comme des êtres surnaturels. Ne prétendaient-ils pas que leurs ancêtres venaient d’un pays enchanteur situé très loin dans l’extrême Nord ? Or les Norvégiens, pour qui les régions polaires étaient le bout du monde, ne pouvaient croire à l’existence d’un tel pays. Ils en conclurent que les Esquimaux étaient des créatures d’un autre monde, qu’ils sortaient de l’intérieur de la Terre, séjour supposé des gnomes et des fées. »
Nansen remarqua pour sa part : « Le peuplement esquimau s’accroît. Et il s’accroît non seulement par l’augmentation en nombre de l’espèce, mais par une immigration en provenance du Nord. »
Au Moyen-Âge, on pensait qu’il existait une terre ultime située au-delà du Nord à laquelle on donna le nom de Thulé. Cette croyance en un royaume radieux habité par un peuple étrange, était très répandue. Selon les théories officielles, les régions désolées du Pôle conduisent seulement à une terre de glace éternelle… Nous allons voir qu’il n’en est rien. L’Arctique n’est pas le désert que l’on croit.
Gardner cita un passage du journal de l’explorateur Hayes. En 1869, Isaac Israël Hayes fit un voyage au Groenland pour explorer les territoires d’Ellesmere et de Grinnel. Il écrivit dans son journal : « 78°17 de latitude Nord. J’ai vu un papillon jaune et, qui le croirait, un moustique, ainsi que dix mites, trois araignées, deux abeilles et deux mouches ! » Gardner en déduisit que ces insectes provenaient de l’intérieur de la Terre. Les observations de Hayes furent confirmées par l’explorateur Greely dans son livre « Trois années de service dans l’Arctique. » Greely raconta que les merveilles des régions arctiques étaient si extraordinaires qu’il avait été forcé de « minimiser » les notes qu’il avait prises sur le vif, de crainte qu’on ne le soupçonne d’exagération ! Il recensa des espèces inconnues d’oiseaux, deux fleurs différentes de toutes celles qu’il connaissait, sans parler des papillons et des mouches. Il trouva beaucoup de bois de saule pour faire du feu.
L’explorateur Sverdrup vit des lièvres en si grand nombre, aux environs du 81ème degré de latitude Nord, qu’il appela une crique « Le Fjord du Lièvre ». Il nota qu’il y avait suffisamment de gibier pour nourrir toute l’équipe d’exploration.
Le capitaine Beechey observa des oiseaux en si grande quantité sur la côte Ouest du Spitzberg que l’endroit retentissait de leurs cris depuis l’aube jusqu’au soir.
Franklin aperçut des oies qui migraient vers le Nord. Où se rendaient-elles ? Il nota qu’aussi loin que l’explorateur s’avançait dans l’extrême Nord, il rencontrait toujours l’ours polaire devant lui. Cet ours marchant infatigablement vers le Nord, où se rendait-il ?
Le commandant McClure explora la Terre de Banks et découvrit des quantités d’arbres éparpillés dans la glace. De toute évidence, ils avaient été apportés par des courants en provenance du Nord. Une partie de ce bois était pétrifié, mais il y en avait aussi beaucoup d’origine récente. Nansen s’interrogea sur le bois flottant le long de la côte du Groenland.
Selon Gardner, ces observations selon lesquelles plus on s’avançait vers le Nord, plus il y avait de vies étaient la preuve irréfutable qu’il existait dans l’extrême Nord un vaste refuge, une région au climat privilégié, porteuse d’une vie végétale et animale.
Un certain Théodore Fitch écrivit un livre, « Le Paradis intérieur de la Terre », en s’appuyant sur les travaux de Reed et de Gardner. Il prétendit que les océans internes étaient beaucoup plus petits que ceux de l’extérieur et que les étendues de terres y étaient trois fois plus grandes. Fitch posa une série de questions essentielles : « Si aucun fleuve ne coule de l’intérieur vers l’extérieur de notre globe, pourquoi tous les icebergs sont-ils composés d’eau douce ? Pourquoi trouve-t-on des graines tropicales, des plantes et des arbres flottant dans l’eau douce des icebergs ? Si cette eau ne peut logiquement provenir d’aucun endroit sur la Terre, alors par quel mystère se trouve-t-elle là ? Si la face interne de la Terre ne bénéficie pas d’un climat chaud, alors pourquoi rencontre-t-on en plein hiver; dans l’extrême Nord, des oiseaux tropicaux par milliers et des animaux qui ont besoin d’une température douce pour subsister ? D’où vient le pollen qui colore parfois la neige en rouge, en jaune ou en bleu ? »
« Le Livre Jaune n°6 », dont nous faisions référence précédemment, fait allusion lui aussi à ces pollens et à des troncs d’arbres flottant: « Il y a un autre phénomène qui a surpris plus d’un explorateur : subitement, à certains endroits, la neige était colorée, rouge, noire, verte ou jaune. On a pris des échantillons et on a découvert que le noir était dû à des cendres volcaniques, les autres couleurs étaient dues à du pollen de fleurs. Du pollen au pôle Nord ? Personne ne s’étonnait plus de savoir que ce pollen venait de fleurs que personne ne connaissait. D’où venaient les centaines de troncs d’arbres que le commandant Robert McClure avait trouvé sur la Terre de Bank ? McClure était le premier homme blanc à découvrir le passage Nord-ouest dans toute sa longueur. Et là où plus rien ne pousse, là où la neige et la glace sont reines, il voit du bois flottant qui se dirige sur lui ! Les troncs d’arbres semblaient avoir été charriés par les glaciers venant du Nord. Des arbres encore plus au Nord ? Nansen a vu du bois flottant à 86° de latitude nord, à 4° du pôle. Est-ce que les arbres tombent du ciel, comme la neige ? Sans doute pas ! »
En son temps, Reed avait déjà révélé la présence d’une poussière noire colorant la neige. Il en avait déduit qu’elle provenait d’un volcan en éruption. Et comme il n’y avait aucun volcan en surface, il en était arrivé à la conclusion logique qu’il devait se trouver à l’intérieur de la Terre. Un autre auteur américain, William L. Blessing publia un petit livre dans lequel il révéla sa conception de la structure de la Terre. La vieille idée selon laquelle la planète serait une masse solide avec un centre composé de matières en fusion devait être écartée, tout comme l’ancienne croyance selon laquelle la chaleur augmentait au fur et à mesure qu’on s’enfonçait dans la Terre. La Terre était un astre aplati aux pôles. Le pôle représenterait le bord extérieur d’un cercle magnétique, et à ce point, l’aiguille de la boussole pointerait vers le sol. Au-delà de ce cercle, la Terre descendrait en pente douce vers l’intérieur.
Selon Raymond Bernard, les soucoupes volantes proviendraient de l’intérieur du globe et seraient pilotées par une race souterraine, une idée reprise plus tard par plusieurs chercheurs. Le capitaine de frégate Strauss présenta une série de conférences au Brésil où il affirma que les pistes d’envol des soucoupes volantes se situaient dans le royaume souterrain de l’Agartha dont la capitale serait Shambhalla. Ses habitants auraient atteint un très haut degré de civilisation et un niveau scientifique extraordinaires. Ils appartiendraient à une civilisation antédiluvienne qui aurait peuplé les continents disparus de la Lémurie et de l’Atlantide. Lorsque ces continents furent engloutis, les rescapés trouvèrent refuge à l’intérieur de notre planète ainsi que sur certains continents. L’Égypte était une colonie atlante, comme l’étaient les empires aztèque, maya et inca.
Du Brésil, où elle prit naissance, la théorie de l’origine souterraine des soucoupes volantes gagna les États-Unis. Ray Palmer, directeur du magazine « Soucoupes volantes », écrivit en 1959 : « Les résultats d’années de recherches nous permettent d’avancer l’hypothèse que les soucoupes appartiennent à notre propre planète, qu’elles ne viennent donc pas de l’espace, comme on pouvait croire le jusqu’ici. Une accumulation de preuves montre clairement qu’il existe un endroit inconnu de vaste dimension, encore inexploré, autant que nous puissions le savoir, d’où proviennent très probablement les soucoupes volantes…
Notre magazine a réuni une série de preuves indiscutables qui montrent que les soucoupes volantes sont originaires de la planète Terre – ce que plus d’un gouvernement reconnaît comme une réalité – qu’un effort concerté est accompli pour en savoir plus sur ce sujet, que les faits déjà connus sont d’une telle importance qu’ils sont couverts par un secret mondial, que le danger est si grand qu’offrir une preuve officielle risquerait de semer la panique, que livrer ces faits à l’opinion publique pousserait même opinion à exiger actes en rapport, ce qui plongerait les gouvernements dans le plus embarras, que la nature inhérente des soucoupes volantes, due à leur lieu d’origine, est tout à propre à faire éclater le statu quo politique et économique de notre monde. »
Gray Barker, une autre autorité en matière d’ovnis, écrivit dans le « Saucerian Bulletin » du 15 janvier 1960 : « Les adeptes des sciences occultes croient que des êtres habitent à l’intérieur de la Terre et qu’ils en sortent et y retournent grâce à des passages secrets situés au pôle Nord et au pôle Sud… Est-ce qu’il ne pourrait pas exister une race inconnue, dans quelque coin inexploré de la Terre, qui serait responsable des soucoupes volantes ? … Après avoir longuement réfléchi, il me semble que l’explication d’une Terre intérieure devrait pouvoir résoudre la plupart des énigmes que pose le phénomène « soucoupes volantes. » Dans son livre intitulé : « Ils en savaient trop sur les soucoupes volante », il rappela qu’on avait vu une quantité inhabituelle d’ovnis dans la région du pôle Sud.
NOTE D’ÈRE NOUVELLE : Selon toute vraisemblance, si certains ovnis ont bien une origine intraterrestre, la majorité semble plutôt d’origine extraterrestre, car notre planète reçoit depuis des temps immémoriaux de nombreuses visites de Galactiques.
La description faite par Théodore Fitch de la super civilisation souterraine rappelait beaucoup celle de Bulwer Lytton dans son livre : « The Coming Race » (« La Race qui nous supplantera). Lytton était rosicrucien et avait accès à une source d’informations occultes. Il dressa un tableau saisissant d’une race supérieure de petits hommes bruns vivant à l’intérieur de la Terre dans un état d’abondance perpétuelle, ne connaissant ni la cupidité, ni la pauvreté, ni la guerre. Ils connaissaient les secrets de nos gouvernements. Ils étaient experts en télépathie. Ils affirmaient que notre Bible avait été mal traduite, mal interprétée et mal construite. Ils disaient qu’ils appartenaient à une race qui n’avait pas dégénéré, au contraire de la nôtre, et que nous devions mettre un frein à la fabrication des bombes nucléaires et des armements. Le fait que de nombreuses apparitions de soucoupes volantes se soient produites après l’explosion de la première bombe atomique à Hiroshima fut interprété par certains écrivains comme le signe d’une inquiétude galactique mais il serait plus raisonnable de croire que les plus concernés étaient les habitants des mondes souterrains, sachant l’ampleur des essais qui furent réalisés par la suite en Polynésie notamment.
Durant les années soixante-dix, plusieurs photographies du pôle Nord prises par des satellites météorologiques furent publiées. Elles relancèrent la polémique de la théorie de la Terre Creuse. Il s’agissait de clichés pris le 6 janvier 1967 par le satellite de l’US Environmental Science Service Administration (ESSA-3).

Hollow earth 001

Nous pouvons découvrir ci-dessus une photo composite, un montage réalisé à partir de plusieurs photos pour n’en faire qu’une, car généralement, les satellites n’étant qu’à quelques centaines de kilomètres d’altitude au-dessus de la planète, ils ne peuvent pas photographier la Terre dans son ensemble. Le satellite ESSA-3 prit plus d’un million et demi de clichés. Sur cette photographie, nous voyons des nuages autour du pôle, aspirés progressivement dans l’énorme trou qui doit faire 1400 miles de diamètre selon les spécialistes.
Les 2 photographies suivantes proviennent du satellite ESSA-7.

Hollow earth 002

Ensuite, il y a cette superbe série de clichés pris par le satellite de la NASA, l’ATS 3. En 1977, la NASA aurait ordonné la destruction de 4500 photos prises par ce satellite, prétendant que les images « n’avaient aucune valeur météorologique ».

Hollow earth 003

Les clichés présentés ci-dessus, ont été sauvés par miracle de la destruction. On remarque différentes perturbations atmosphériques au-dessus du Pôle Nord. Des nuages tourbillonnent autour de l’ouverture. Il est à noter que les clichés ci-dessous ont été pris en période de nuit polaire.

Hollow earth 004

Le trou du pôle Nord photographié par Apollo XI en 1969 (Cf. image de synthèse ci-dessus et document ci-dessous) est lui aussi fort troublant. Les calculs effectués aboutissent à un diamètre d’environ 900 à 950 kilomètres. Si ce trou correspond à une ouverture dans la calotte polaire, il serait situé à environ 86° de latitude Nord.

Hollow earth 005

Le très sérieux journal canadien « Weekly World News » publia le 14 février 1995 un article qui disait en substance ceci : « Cap Canaveral, Floride – La NASA reçoit des signaux radio qui viennent de l’intérieur de la Terre. Des experts pensent que ces signaux sont émis par une forme de vie intelligente et très développée ! » Un haut responsable de la NASA, qui ne voulut pas décliner son identité, affirma qu’il existait sous terre des êtres qui cherchaient à entrer en contact avec nous. Des scientifiques auraient perçu les premiers signaux le 30 octobre 1994. Les émissions se seraient renouvelées à intervalles réguliers. Selon lui, « les signaux radio seraient composés d’un code mathématique très complexe, qui nous a convaincus que nous étions en contact avec une colonie d’êtres vivants dont l’intelligence est sans doute supérieure à la nôtre. » Il refusa toutefois de révéler le contenu des messages, expliquant : « Je ne dirais pas que les messages sont de nature hostile, mais leur contenu pourrait provoquer des controverses et des inquiétudes. Comme beaucoup d’éléments dépendent de l’interprétation, je suis d’avis d’attendre avant de déclarer quoi que ce soit qui puisse mettre l’opinion publique dans un état d’excitation et d’anxiété. »
L’informateur anonyme expliqua que les scientifiques de la NASA se sentaient frustrés car ils n’avaient pas réussi à localiser cette civilisation souterraine et qu’ils n’étaient pas en mesure, avec leur technologie, de lui répondre. « Ils en savent plus sur nous, que nous sur eux. » avoua-t-il. Selon lui, les scientifiques estimaient que cela pouvait constituer la découverte la plus importante depuis des siècles. La photographie prise au-dessus du Pôle Nord de la Terre par la mission STS75 1996 est elle aussi éloquente.

Hollow earth 006

En juin 1992, le magazine français « Ciel et Espace » consacra un dossier complet sur « Le vrai visage de la Terre », révélant que de vastes régions du globe étaient largement inexplorées, en particulier l’Antarctique. Ces images étaient particulièrement édifiantes puisqu’elles prouvaient que le continent était perforé par un trou béant englobant la totalité du quatre-vingtième parallèle de l’hémisphère Sud !
L’américain Steve Currey, l’un des principaux explorateurs de fleuves dans le monde, a servi de guide à plusieurs dizaines de milliers de personnes dont des sénateurs et des membres du Congrès US, des chefs d’État, des chefs d’entreprise, des célébrités et des investigateurs. En 2005, il avait eu l’idée de mettre sur pied une expédition scientifique dans l’Arctique destinée à résoudre une fois pour toutes l’énigme de la la Terre Creuse.
Suivant la légende des Esquimaux et les observations de nombreux explorateurs, l’endroit le plus plausible pour une éventuelle ouverture polaire menant vers l’intérieur de la Terre aurait été, selon lui, situé à la latitude de 84,4°N et à la longitude de 141°E. Un brise-glace russe se tenait prêt à accueillir les 100 premiers intrépides qui voulaient se joindre à lui, moyennant finance évidemment, puisque le prix demandé avoisinait les 20.000 Dollars US. Le départ avait été programmé pour le 26 juin 2006 et le voyage devait durer 24 jours.

Steve Currey et Marcelo Martorelli
Steve Currey et Marcelo Martorelli

Steve Currey aurait dû être aidé dans sa tâche par Marcelo Martorelli, fondateur et directeur général d’une ONG sud-américaine à vocation culturelle et pacifiste, la fondation P.E.A. Lié depuis des années à celui qu’il nomme « le Mahatma de l’Occident », le Maître Raul J. Albala plus connu sous le nom de « Yaco », il  a publié récemment  un livre, « L’Appel planétaire des Maîtres de la Terre Creuse », dans lequel il explique une partie de ce qui lui a été révélé sur la ville souterraine située sous la région de Cordoba en Argentine.

(Cordoba est une ville reliée directement  à l’existence  des réfugiés nazi en Argentine ,après la guerre .Le Führer Adolph Hitler lui-même y aurait vécu.)
Guidés par des Maîtres cachés sous la surface terrestre, Steve Currev et Marcelo Martorelli étaient persuadés de pouvoir découvrir sous peu une civilisation oubliée dont les habitants vivraient depuis des milliers d’années en totale autarcie et auraient atteint un niveau spirituel et technologique supérieur au nôtre.
Mais le destin vient d’en décider autrement.

Une mort qui  me fait réfléchir

Tout comme le grand écrivain et chercheur Jimmy Guieu,Steve Currey est décédé d’un cancer malin …juste avant de terminer son oeuvre.

La disparition soudaine de l’explorateur américain Steve Currey amène son partenaire, l’argentin Marcelo Martorelli, à redéfinir leur projet commun d’expédition à destination de la Terre Creuse via le Pôle Nord. Steve Currey, explorateur américain, qui avait décidé de monter avec Marcelo Martorelli une grande expédition à destination de la Terre Creuse via le Pôle Nord est décédé le 26 juillet  2006, victime d’un cancer du cerveau à évolution fulgurante.


Il avait été prévenu le 22 mai  que sa maladie était incurable. La famille de Steve a annoncé qu’il était peu probable que l’expédition puisse finalement avoir lieu et que les souscripteurs seraient remboursés.
J’ai personnellement le même rêve que Steve Currey,mais en passant par l’Antartique…,par Neu Schwabenland.
Au moment ou nous lisons ces lignes,le réchaffement global est en train de dégeler  ce qui reste des anciennes bases secrètes allemandes.Pendant des années ,on a masqué Google Earth afin de tenir secrètes …ce qui se dégage des glaces antartiques.Je me souviens qu’en 2007,je cherchais à situer Neu Schwabenland par le moyen de Google Earth et tout était flou.
J’ai d’ailleurs commencé à exposer mon projet sur mon site :  http://Neuschwabenland.onlc.fr
Autre texte pour vous faire réfléchir:

«     Le Western Group , cependant, devait faire une découverte remarquable. En fin de Janvier 1947 le lieutenant-commandant David Bunger de la ville de Coronado, en Californie, pilotait un PBM qui s’était envolé de son navire, le Currituck et il se dirigea vers le continent au delà de la Queen Mary Coast. En atteignant la terre , Bunger vola vers l’ouest, pendant un certain temps temps, et alors, au dessus de l’horizon blanc informe, il vit une étendue dénudée et sombre que Byrd décrira ultérieurement comme « une terre de lacs verts et bleus et de collines brunes dans une zone sans limite, vide de glace« .
Bunger et ses hommes attentivement firent avec attention la reconnaissance de la contrée avant de s’en retrourner à leur base, munis des informations recueillies. La région qu’ils avaient découverte s’étendant sur une superficie d’environ trois cent miles carrés du continent antarctique et on y apercevait trois grands lacs d’eau libre et quelques plus petits lacs. Ces lacs étaient séparés par des monticules de rochers nus rougeâtres, suggérant éventuellement la présence de minerai de fer.

Quelques jours plus tard, Bunger retourna dans la région , et il trouva que l’eau était tiède au toucher (Note du Webmaster: nous supposons donc qu’il a dû poser son hydravion sur un lac) et le lac lui-même était rempli d’algues rouge, bleu et vert lui donnant ainsi une couleur caractérisée. Bunger remplit une bouteille d’ eau qui ulterieurement s’avéra être saumâtre , un indice qui montrait que la zone était réellement un bras de la mer libre.

Cela est important pour deux raisons : les lacs tièdes et intérieurs, étant reliés à l’environnement océanique seraient parfaits pour y cacher des sous-marins , et des lacs similaires avaient été aperçu dans la Neu-Schwabenland, le site (soupçonné étrangé ) allégué de la base allemande.

Bien qu’il n’y n’ait encore de preuve évidente de l’existence d’une base étrangère allemande en Antarctique, il est hors de doute que quelque chose d’ hautement inhabituel s’ est déroulé sur le froid continent. En général, l’éventualité qu’une telle base ait existé et aussi le cas qu’elle puisse continuer à exister de nos jours, sont des faits d’une très haute probabilité.

«