Importante découverte en paléontologie:La plupart des dinosaures avaient le sang chaud, comme les oiseaux

La majorité des dinosaures étaient des animaux à sang chaud, comme les oiseaux et les mammifères, plutôt qu’à sang froid comme les reptiles, révèle une étude qui apporte une première mesure directe de leur métabolisme.

Quetzalcoatlus flying reptiles join Tenontosaurus and Argentinosaurus dinosaurs on a migration in search of water.

 

Cette recherche s’appuie sur une nouvelle technique mesurant le taux métabolique des dinosaures, c’est-à-dire leur capacité plus ou moins grande à convertir l’oxygène en énergie pour vivre, selon les scientifiques menés par la paléobiologiste Jasmina Wiemann, du California Institute of Technology.

Les animaux à sang chaud, comme les oiseaux ou les humains, ont un métabolisme élevé. Ils absorbent beaucoup d’oxygène nécessaire à la production de calories, ce qui leur permet de maintenir leur température et de rester actifs.

À l’inverse, ceux à sang froid, comme les reptiles, ont une activité plus modérée et dépendent des conditions externes pour maintenir leur température corporelle. En bref, ils ne lézardent pas au soleil par plaisir, mais par nécessité.

Cette dichotomie a posé un problème aux naturalistes pour les dinosaures. Car une de leurs branches descendantes, les oiseaux, est à sang chaud, alors que leurs plus proches cousins à l’époque, comme les crocodiles, étaient des reptiles à sang froid.

Tyrannosaure

Au point qu’une étude retentissante de 2014 a même attribué aux dinosaures un système… à sang tiède. Mais toujours en estimant leur métabolisme par des méthodes indirectes et peu fiables, tenant compte de la température de formation de minéraux dans leurs os ou de leur vitesse de croissance osseuse.

L’étude publiée dans Nature se penche sur l’élément clé du métabolisme, l’utilisation de l’oxygène, et plus particulièrement l’étude de ses traces sous forme de restes» dans les os.

Cela laisse un enregistrement de la quantité d’oxygène qu’un dinosaure respirait, et donc de son taux de métabolisme», a expliqué Jasmina Wiemann dans un communiqué.

Son équipe a appliqué cette méthode non destructive, basée sur la spectroscopie infrarouge, à des fémurs de 55 groupes d’animaux, dont des dinosaures, pour y mesurer les marqueurs moléculaires (des restes) qui sont liés au taux métabolique», selon la chercheuse.

Résultat : dans les deux grands groupes de dinosaures, celui des ornithischiens comptait des spécimens à sang froid, comme le tricératops, avec sa grande collerette et deux cornes imposantes, ou le stégosaure, avec son épine dorsale. Des herbivores massifs, mais lents.

En revanche, l’autre groupe, celui des saurischiens, le plus nombreux en termes d’espèces et surtout de descendance, était essentiellement à sang chaud. Avec des herbivores géants, comme les sauropodes, et des carnivores iconiques, comme le tyrannosaure, ou le bien nommé vélociraptor, popularisé par le film Parc jurassique.

Vélociraptor

Ce groupe est surtout célèbre pour abriter toutes les lignées d’oiseaux, les uniques descendants des dinosaures à avoir survécu à la grande extinction des espèces survenue il y a 65 millions d’années.

On a pu croire que le sang chaud et le métabolisme élevé des oiseaux leur avaient permis de survivre à cette catastrophe, due au bouleversement climatique provoqué par une gigantesque météorite.

Dans le cas des dinosaures, le sang chaud ne les en a pas protégés, remarque l’étude.

Nous vivons une sixième extinction des espèces», selon Mme Wiemann, il est donc important de comprendre comment les animaux actuels et éteints ont répondu aux précédents changements climatiques et perturbations environnementales pour mieux saisir les enjeux à venir de la biodiversité».


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Archéologie:Des petites momies égyptiennes antiques réservent des surprises à l’intérieur … et elles ne sont pas humaines

Les tomodensitogrammes ont révélé des découvertes inattendues à l’intérieur de ces anciennes momies égyptiennes.

 

Lorsque les scientifiques ont regardé sous les emballages de deux petites momies égyptiennes anciennes censées contenir des cœurs humains, ils ont été surpris: non seulement il n’y avait pas de cœurs visibles à l’intérieur, mais les restes n’étaient même pas humains. 

Au contraire, l’une des momies est étroitement remplie de céréales et de boue – une soi-disant momie de maïs ou de céréales – tandis que l’autre contient les restes d’un oiseau, peut-être un faucon, à qui il manque une partie du corps et plusieurs organes, ont découvert les chercheurs. .

« Il manque sa jambe gauche, personne ne sait pourquoi », a déclaré le Dr Marcia Javitt, présidente de radiologie à l’hôpital Rambam de Haïfa, en Israël, et professeur auxiliaire de radiologie à l’Université George Washington de Washington, DC, qui a aidé à scanner les momies. avec tomodensitométrie (TDM) le 29 juin. 

Les deux momies, toutes deux enterrées dans des sarcophages, sont logées au musée de Haïfa depuis environ 50 ans. Cependant, «les archives n’étaient pas conservées avec autant de diligence qu’aujourd’hui», donc on ne sait pas grand-chose à leur sujet sauf qu’ils ont plus de 2000 ans, a déclaré Ron Hillel, registraire et responsable de la gestion des collections des musées de Haïfa. 

Cette momie de 1700 ans a un cerveau, pas de cœur et des plaques sur son sternum et son abdomen, selon des chercheurs. Ici, la momie est déballée le premier jour d’une séance de numérisation à l’Institut neurologique de Montréal.

Au cours des dernières années, le Musée maritime national de Haïfa a parcouru sa collection et a déterminé la meilleure façon de préserver chaque artefact. Lorsque les conservateurs sont tombés sur les deux momies, ils ont réalisé qu’ils ne savaient pas ce qu’il y avait à l’intérieur. Les enregistrements ont noté qu’ils contenaient des cœurs momifiés , mais « nous avons fait la recherche et cela n’a pas de sens », a déclaré Hillel. Souvent, ( mais pas toujours ) «les cœurs étaient laissés dans le corps», des momies égyptiennes, a déclaré Hillel, parce que les anciens Égyptiens pensaient que lorsque les gens mouraient, leur cœur serait pesé contre une plume représentant ma’at, un concept égyptien qui inclut la vérité et la justice. Si le cœur pesait autant ou moins que la plume, ces personnes gagneraient la vie éternelle; sinon, ils seraient détruits.

L’une des choses les plus déroutantes révélées dans les tomodensitogrammes était deux fines plaques faites de quelque chose de similaire au cartonnage (un matériau plâtré), placées sur le sternum et l’abdomen de la momie.
Scanner des momies Osiris (à gauche) et Horus (à droite).
La Dre Marcia Javitt (au centre) et ses collègues tiennent les momies et les sarcophages à côté du scanner.

 

Les tomodensitogrammes effectués à l’ hôpital de Rambam ont révélé que les momies avaient des intérieurs très différents les uns des autres. La momie en forme humaine d’environ 18 pouces de long (45 centimètres) – conçue pour ressembler à Osiris , le dieu de l’au-delà, des morts, de la vie et de la végétation – contenait de la boue et des grains. 

« Pendant les festivals d’Osiris qui se tenaient, [les anciens Egyptiens] les produisaient », a déclaré Hillel. « Ce serait un mélange d’argile ou de sable avec ces grains, puis ils le tremperaient dans l’eau et les grains germeraient. » En effet, cet acte lierait Osirus à la mort, à la vie et à la fertilité de la Terre.

Ou, comme Javitt l’a dit, «ce ne sont pas de vraies momies; ce sont des artefacts».

L’autre momie, une momie en forme d’oiseau d’environ 10 pouces de long (25 cm), représentait le dieu Horus. Selon la mythologie égyptienne, Horus était le fils à tête de faucon d’Osiris et d’Isis; une divinité associée au ciel et aux pharaons. 

Avec le temps, la momie de l’oiseau s’est desséchée, ce qui signifie que le tissu est devenu plus dense, comme du bœuf séché. Pendant ce temps, la moelle des os s’était desséchée, ne laissant que de délicats tubes osseux. Javitt et ses collègues ont donc utilisé un scanner à double énergie, qui utilise à la fois des rayons X normaux et des rayons X moins puissants, une technique qui peut révéler des propriétés des tissus qu’un scanner ordinaire ne peut pas, a déclaré Javitt. 

 

« Afin de différencier les tissus mous les uns des autres et les os et ainsi de suite, il peut être très utile d’utiliser un scanner à double énergie », a déclaré Javitt.

Maintenant, son équipe identifie les différents tissus et os de l’oiseau. Javitt a noté que le cou de l’oiseau est cassé, mais que cette blessure s’est probablement produite après la mort de l’oiseau. C’est parce que la peau est également cassée, et dans la plupart des cas d’os cassés, « vous ne fendez généralement pas la peau d’un bord à l’autre, vous vous cassez simplement l’os », a déclaré Javitt. 

De plus, l’oiseau semble manquer certains de ses organes abdominaux, mais des études supplémentaires sont nécessaires pour déterminer lesquels ne sont pas là, a-t-elle déclaré. Par exemple, le cœur semble être présent, tout comme la trachée.

À l’avenir, Hillel a déclaré que le musée pourrait créer une exposition spéciale centrée sur ces deux momies. Il espère également les faire dater au radiocarbone 14, afin que le musée puisse déterminer leur âge.

Publié à l’origine sur Live Science.

 

 

 

 

 

Astronomie:Une planète de la taille de la Terre traverse la galaxie sans être attachée à aucune étoile, selon les scientifiques

Personne n’en a jamais vu ici – jusqu’à présent.

Une planète voyou plie la lumière de l’étoile derrière elle, par rapport à la Terre.

 

La Terre tourne autour du soleil comme un bateau naviguant en cercles autour de son ancre. Mais que se passe-t-il si quelqu’un – ou quelque chose – coupe ce navire? Libéré de toute étoile ou système solaire, que deviendrait un monde minuscule volant impuissant et insouciant dans l’espace interstellaire? Que se passe-t-il lorsqu’une planète devient voyou?

Les scientifiques soupçonnent que des milliards de planètes flottantes ou «voyous» peuvent exister dans la Voie lactée, mais jusqu’à présent, seule une poignée de candidats se sont présentés parmi les quelque 4 000 mondes découverts au-delà de notre système solaire . La plupart de ces planètes voyous potentielles semblent être énormes, mesurant entre deux et 40 fois la masse de Jupiter (un Jupiter équivaut à environ 300 Terres). Mais maintenant, les astronomes pensent avoir détecté un monde voyou pas comme les autres: une minuscule planète flottant librement, à peu près la masse de la Terre, errant à travers l’intestin de la Voie lactée.

Cette découverte, rapportée aujourd’hui (29 octobre) dans le journal Astrophysical Journal Letters , pourrait marquer la plus petite planète voyou jamais détectée et elle pourrait aider à prouver une théorie cosmique de longue date. Selon les auteurs de l’étude, ce petit monde pourrait être la première preuve réelle que les planètes flottantes de la taille de la Terre peuvent être parmi les objets les plus courants de la galaxie.

« Les chances de détecter un objet de masse aussi faible sont extrêmement faibles », a déclaré l’auteur principal de l’étude Przemek Mroz, chercheur postdoctoral au California Institute of Technology, dans un courriel. « Soit nous avons eu beaucoup de chance, soit ces objets sont très courants dans la Voie lactée. Ils peuvent être aussi communs que les étoiles. »

Loupe d’Einstein

La plupart des exoplanètes de notre galaxie ne sont visibles que grâce à leurs étoiles hôtes. Au sens littéral, les étoiles fournissent la lumière qui permet aux astronomes d’observer directement les mondes extraterrestres. Lorsqu’une planète est trop petite ou trop éloignée pour être vue directement, les scientifiques peuvent toujours la détecter à partir de la légère traction gravitationnelle qu’elle exerce sur son étoile hôte (appelée méthode de la vitesse radiale) ou par le scintillement qui se produit lorsqu’une planète passe devant le côté face à la Terre de l’étoile (la méthode de transit).

Les planètes voyous, par définition, n’ont pas d’étoile pour éclairer leur chemin – ou pour éclairer le chemin d’un télescope vers elles. Au lieu de cela, la détection de planètes voyous implique une facette de la théorie de la relativité générale d’Einstein connue sous le nom de lentille gravitationnelle. Grâce à ce phénomène, une planète (ou même un objet plus massif) agit comme une loupe cosmique qui plie temporairement la lumière des objets derrière elle du point de vue de la Terre.

« Si un objet massif passe entre un observateur basé sur la Terre et une étoile source distante, sa gravité peut dévier et focaliser la lumière de la source », a expliqué Mroz dans un communiqué . « L’observateur mesurera un bref éclaircissement de l’étoile source. »

 

Une impression d'artiste d'un événement de microlentille gravitationnelle par une planète flottante, ou voyous. En microlentille, la gravité d'un objet fait plier la lumière d'une source de fond, un phénomène astronomique qui se manifeste par des distorsions dans les images prises depuis la Terre.
Une impression d’artiste d’un événement de microlentille gravitationnelle par une planète flottante, ou voyous. En microlentille, la gravité d’un objet fait plier la lumière d’une source de fond, un phénomène astronomique qui se manifeste par des distorsions dans les images prises depuis la Terre.

Plus l’objet de flexion de la lumière est petit, plus l’éclaircissement perçu de l’étoile sera bref. Alors qu’une planète plusieurs fois la masse de Jupiter pourrait créer un effet éclaircissant qui dure quelques jours, une planète maigre de la masse de la Terre éclairera l’étoile source pendant seulement quelques heures, ou moins, ont déclaré les chercheurs. Cet événement exceptionnellement rare est appelé «microlentille».

« Les chances d’observer la microlentille sont extrêmement minces », a ajouté Mroz dans le communiqué. « Si nous n’observions qu’une seule étoile source, nous devrons attendre près d’un million d’années pour voir la source être microlentionnée. »

Heureusement, Mroz et ses collègues n’observaient pas une seule étoile pour leur étude – ils en regardaient des centaines de millions. À l’aide d’observations de l’expérience de lentille gravitationnelle optique (OGLE), une étude d’étoiles basée à l’Université de Varsovie en Pologne qui a révélé au moins 17 exoplanètes depuis 1992, l’équipe a regardé le centre de la Voie lactée , à la recherche de tout signe de microlentille.

En juin 2016, ils ont été témoins du plus court événement de microlentille jamais vu. L’étoile en question, située à environ 27 000 années-lumière dans la partie la plus dense de la galaxie, s’est éclairée pendant seulement 42 minutes. Les calculs ont montré que l’objet incriminé n’était lié à aucune étoile à moins de 8 unités astronomiques (UA, soit huit fois la distance moyenne de la Terre au soleil), suggérant qu’il s’agissait presque certainement d’une petite planète en fuite, éjectée de son système solaire d’origine. après un pinceau avec un objet beaucoup plus massif.

Selon la distance entre la planète et l’étoile source (c’est impossible à dire avec la technologie actuelle), le monde voyou se situe probablement entre la moitié et une masse terrestre. Dans les deux cas, ce monde itinérant serait la planète voyous la plus faible jamais détectée. Selon Mroz, c’est une « étape importante » pour la science de la formation des planètes.

« Les théories de la formation des planètes ont prédit que la majorité des planètes flottantes devraient être de masse terrestre ou plus petite, mais c’est la première fois que nous pourrions trouver une planète de masse aussi faible », a déclaré Mroz. « C’est vraiment étonnant que la théorie d’Einstein nous permette de détecter un petit morceau de roche flottant dans la galaxie. »

Beaucoup d’autres petits morceaux de roche pourraient bientôt suivre, a déclaré le co-auteur de l’étude Radek Poleski de l’Université de Varsovie à Live Science. Les futurs télescopes de chasse aux planètes, comme le télescope spatial romain Nancy Grace de la NASA (dont le lancement est prévu au milieu des années 2020), seront beaucoup plus sensibles aux événements de microlentilles les plus jeunes de la galaxie que l’expérience OGLE vieille de près de 30 ans, a déclaré Poleski. Si les planètes orphelines de la masse à peu près de la Terre font effectivement partie des habitants les plus communs de la galaxie, il ne devrait pas tarder à y en avoir beaucoup plus.

Publié à l’origine sur Live Science.

 

 

 

 

Astronomie:Une toute petite planète naine détectée aux confins du Système solaire

 

S’ils n’ont pas encore détecté cette mystérieuse planète X, l’astrophysicien Scott Sheppard de l’Institut Carnegie et ses collègues estiment que l’orbite de ce nouvel objet soutient la présence d’une planète encore plus lointaine, peut-être une super-Terre.

NASAEn effet, l’orbite très allongée du nouvel objet nommé 2015 TG387, qu’ils ont surnommé « the Goblin » permet de penser qu’une neuvième planète pourrait se trouver dans le nuage d’Oort, l’extrême limite de notre système, bien au-delà de la ceinture de Kuiper, la dernière ceinture d’astéroïdes.

Si la présence de ces deux astres se confirmait, les limites extérieures de notre système seraient complètement redessinées.

À l’heure actuelle, la planète naine connue la plus lointaine est Pluton, qui est à une distance moyenne de 5880 millions de kilomètres du Soleil.

La planète naine qui aurait été détectée serait un monde glacé au diamètre estimé à 300 km. Elle serait donc une « petite » planète naine. Au plus près, elle s’éloigne du Soleil environ 2,5 fois plus loin que Pluton. Au plus loin, elle s’éloigne du Soleil jusqu’à 60 fois plus loin que Pluton.

Cet objet serait la troisième planète naine découverte dans les dernières années aux confins du système, après 2003 UB313 et l’astre 2012 VP113.

Ces objets de l’intérieur du nuage d’Oort sont extrêmement intéressants à étudier. Ils peuvent être utilisés comme des sondes pour comprendre ce qui se passe à la périphérie de notre Système solaire.

Scott Sheppard, astrophysicien de l’Institut Carnegie

« Nous pensons qu’il pourrait y avoir des milliers de petits corps comme 2015 TG387à la périphérie du Système solaire, mais leur distance les rend très difficiles à détecter », explique David Tholen de l’Université d’Hawaï.

Les chercheurs soutiennent donc qu’une hypothétique planète X semble affecter 2015 TG387 de la même manière qu’elle influerait sur tous les autres objets extrêmement éloignés du Soleil. Si les simulations actuelles ne prouvent pas qu’il y a une autre planète massive dans notre système, elles sont une preuve supplémentaire que quelque chose d’énorme se trouve à ses confins.

Le détail de cette découverte sera prochainement l’objet d’un article dans The Astronomical Journal (en anglais).

Une découverte change le récit de l’humanité

En 2012, des chercheurs russes ont découvert un mammouth mort il y a 45 000 ans dans la région centre de la Sibérie arctique. Après analyse du squelette, ils ont constaté que les humains étaient présents dans cet endroit bien plus tôt qu’il ne le pensait.

Le mammouth découvert en 2012.
Le mammouth découvert en 2012.

Suite à la découverte d’un squelette de mammouth dans l’Arctique, des scientifiques russes ont découvert que les humains étaient présents dans cette région il y a 45 000 ans, soit 10 000 ans plus tôt qu’on ne le pensait. Ils ont pu établir ce constat grâce aux pointes de flèches et autres objets tranchants observés sur la carcasse gelée de l’animal, trouvé en 2012 dans les sédiments gelés d’une falaise sur la côte est de la baie de Yenisei (centre de la Sibérie arctique). Cette découverte, publiée dans la revue scientifique «Science», pourrait ainsi relater le plus ancien exemple de survie dans l’Arctique où les indices paléolithiques humains sont rares.

Le squelette du mammouth montre des signes de blessures inhabituelles sur les côtes, sur la défense droite et les mandibules. Des marques qui résultent très probablement de pointes de lance très aiguisées, ont analysé ces scientifiques. Les ramus mandibulaire, partie montante de l’os de la mandibule qui sont très résistants, sont le plus souvent intacts quand ils sont découverts. Mais dans les restes de mammouths plus récents abattus par des humains les mandibules sont très souvent incomplètes ce qui pourrait avoir résulté d’une extraction de la langue, supputent-ils.

La chasse aux mammouths

Les chasseurs mangeaient souvent la langue des mammouths, une sorte de rituel ou parce que cette partie de l’animal était peut-être considérée comme un met raffiné, indiquent les chercheurs. La seule défense préservée de ce mammouth, celle de droite, montre des traces de travail humain pour en modifier la forme. Ainsi ces marques indiquent une tentative de la séparer du reste du corps.

En revanche l’extrémité extérieure de la défense, normalement peu tranchante, a été travaillée pour en faire un outil, selon des techniques différentes observées plus tardivement dans l’Arctique. Ces hommes faisaient de longs éclats d’ivoire effilés pour couper la viande dans une région où d’autres matériaux lithiques bruts étaient difficiles à trouver.

Des avancées dans les techniques de chasse aux mammouths ont probablement permis à ces groupes de se propager dans la partie la plus au nord de la Sibérie arctique, estiment les auteurs.

 

Source:Paris Match

 

Fantastique découverte d’une grande pyramide en Indonésie

 

Le phénomène de « Garut Pyramide » trouvé sur une monture à Garut, l’ouest de Java, a encouragé l’équipe cas de catastrophe antique d’effectuer une vérification. La vérification est effectuée pour déterminer l’existence d’une structure de l’homme qui a formé le mont Putri à Garut aide supercordes instruments géo-électrique. Les instruments de géo-électrique ont été utilisés pour analyser les couches géologiques sur la colline en mesurant sa résistivité. Dans une déclaration écrite reçue par Viva Nouvelles, le lundi 19 déc un membre de l’équipe en cas de  grande catastrophe antique, Iwan Sumule , a déclaré que les résultats des instruments géo-électriques à moins de 20 mètres et 10 mètres ,les électrodes ont montré qu’il y avait une non-conformité horizontale sur l’intrusion (rouge) dans les roches près de 120 mètres du sommet.

Voici la pyramide Garut.
Voici la pyramide Garut.

 

Le résultat montre que l’intrusion  sur le côté de la branche droite  semble former une base morphologique de terrain qui a une élévation topographique similaire avec la vallée Cirahong. Ensuite, le 120 mètres de la limite semble coïncider avec la base d’une topographie ascendante raide, où les roches deviennent rouges. Par ailleurs, les résultats des instruments géo-électrique à moins de 5 et 3 mètres s’étendent Est-Ouest et Nord-Sud ont confirmé la conclusion que la structure , très peu probablement, viendrait d’une  formation naturelle,mais aurait été édifiée artificiellement.

 

 

Pyramide Garut 002
Une vaste étude.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Le résultat d’un tracé 3D de contour données numériques topographiques avec une résolution de 5 mètres IFSAR a soutenu l’hypothèse selon laquelle il existe une formation d’anomalie en sinder cône processus colline géologique situé sur une base de l’intrusion de non-conformité horizontale. Par ailleurs, la source de matériaux d’excavation vient de la vallée de Cirahong qui était situé 1-2 kilomètres du sommet du mont Putri. Il est prouvé que le volume de matériau de la vallée Cirahong est similaire au volume de matériau de Mount Putri. Les résultats du test de carbone C14 a montré que l’âge de l’ancienne couche supérieure du sol qui a été testé par la datation au carbone C14 dans BATAN est de 6000 BC. Pendant ce temps, l’âge de la couche de sol plus dur est sous 7500 BC. S’il ya une structure de sol dur sous la couche, puis l’âge serait plus grand . 

Sources: Syahid Latif, Viva Nouvelles

 

 

Découverte fantastique:70 livres de métal trouvés en Jordanie pourraient changer l’histoire biblique

Photo de l'un des livres.
Photo de l’un des livres.
Une découverte qui pourrait être la plus importante depuis la découverte  des manuscrits de la mer Morte, a alerté les spécialistes de l’histoire biblique. Une ancienne collection de 70 petits livres,reliés  avec du fil, pourrait révéler certains des secrets des premiers temps du christianisme.
Les experts sont divisés dans l’opinion quant à leur authenticité, mais disent que vérifiée comme véritable allait devenir l’une des découvertes les plus importantes pour rivaliser en importance avec la Mer Morte en 1947.
Aucun n’est plus grand que la taille des   cartes de crédit ,ce sont des images, des symboles et des mots qui semblent se référer au Messie et, éventuellement, à  la crucifixion et à  la résurrection. En outre, certains des livres sont scellés, suscitant des doutes quant à savoir si les universitaires peuvent affirmer  effectivement  qu’elle est la collection perdue de manuscrits mentionnés dans le Livre de l’Apocalypse dans la Bible.
Les livres ont été découverts il y a cinq ans dans une grotte située dans une partie reculée de la Jordanie où il est connu que les réfugiés chrétiens ont fui à cet endroit, après la chute de Jérusalem en 70 AD .Des documents importants de la même période ont déjà été découverts dans la région.
Des essais métallurgiques préliminaires indiquent que certains des livres pourraient provenir  quelque part près du premier siècle après la  naissance de Jésus Christ. Cette estimation est basée sur la forme de corrosion qui se produit, dont les experts disent  qu’elle est impossible à réaliser artificiellement. Si cette date est vérifiée, les livres seraient les premiers de l’ère chrétienne, antérieurs  aux écrits de Saint Paul.
Le prospectus peut contenir des histoires contemporaines  aux derniers jours de la vie de Jésus,ce qui  a  excité plusieurs érudits – bien qu’ils prennent la question avec des pincettes en raison du fait qu’il y avait auparavant de nombreux cas de faux très sophistiqués.
David Elkington, un chercheur britannique de l’histoire religieuse antique et en  archéologie, et l’un des rares à examiner les livres, a déclaré qu’ils  pourraient bien être «la plus grande découverte dans l’histoire du christianisme. »
«C’est excitant de penser que nous avons devant les yeux ,des articles d’occasion qui peuvent avoir été détenus par les premiers saints de l’Eglise», a-t-il ajouté.
Mais ces mystères trouvés dans leurs sites ancestraux ne sont pas la seule énigme à résoudre. Aujourd’hui, ses origines sont une énigme. Après leur découverte par un Bédouin jordanien, le trésor a été acquis par un Israélien, qui a dit que tout a été clandestinement placés  en dehors de la frontière,dans l’état  d’Israël, où ils sont disposés.
Quoi qu’il en soit, le gouvernement jordanien est en pourparlers au plus haut niveau afin  de rapatrier  et de sauvegarder la collection. Philip Davies, professeur émérite d’études bibliques à l’Université de Sheffield, a dit qu’il y avait des preuves solides que les livres ont une origine chrétienne parce les  plaques montrent une carte de la ville sainte de Jérusalem. «Quand j’ai vu cela, j’ai été choqué,» dit-il. « Il est clair qu’il s’agit d’une image chrétienne. Il y a une croix au premier plan, et derrière elle, ce serait une tombe [de Jésus], un petit bâtiment avec une ouverture, et derrière elle les murs de la ville. Ailleurs dans le livre,on  décrit aussi les murs et presque certainement ,il se réfère à Jérusalem. Il s’agit d’une crucifixion qui a lieu en dehors des murs de la ville « , dit le professeur.
L’équipe britannique actuellement en charge de la découverte craint que son présent « gardien » d’Israël peut envisager de vendre certains des livres au  noir, ou pire … les détruire . Mais l’homme qui tient les livres nie tout et prétend qu’ils sont dans sa famille depuis 100 ans.
Dr Margaret Barker, ancien président de la Société pour l’étude de l’Ancient  Testament, a déclaré: «Le Livre de l’Apocalypse parle de livres qui ont été scellés  et ouverts  uniquement pour le Messie. D’autres textes de la même période ont scellé des livres  contenant des histoires d’une grande sagesse et d’une tradition secrète adoptée par Jésus à ses disciples les plus proches. C’est le contexte de cette découverte. « 

Aux frontières de l’inexplicable et de l’impossible

La Voix de la Russie et d’autres sources russes font état que d’une pièce d’équipement en aluminium ,évalué à plus de  300 millions d’années  qui a été trouvé près de  Vladivostok. Les experts affirment qu’il s’agit d’ un rail de vitesse qui semble avoir été  fabriqué, et non le résultat de forces naturelles.

Une pièce d'aluminium particulière.
Une pièce d’aluminium particulière.

Selon Ioulia Zamanskaya, quand un résident de Vladivostok allumait un  feu lors d’une froide soirée d’hiver, il a trouvé un dispositif de métal en forme de rail qui  était  enfoncé dans l’un des morceaux de charbon que l’homme utilisait  pour chauffer sa maison. Hypnotisé par sa découverte, le citoyen responsable a décidé de demander l’aide des scientifiques de la région de Primorye.

Après que l’objet métallique a été étudié par les experts de premier plan, l’homme a été choqué d’apprendre l’âge théorique de sa découverte. L’artefact métallique était soi-disant vieux de 300 millions d’années, et les scientifiques ont suggéré qu’il n’a pas été créé par la nature, mais a plutôt été fabriqué par quelqu’un d’intelligent.

Un engrenage ...préhistorique?
Un engrenage …préhistorique?

La question de savoir qui aurait pu faire un engrenage en aluminium ,à l’époque dite préhistorique,reste sans réponse.

La découverte ressemble à un rail métallique denté, créé artificiellement. C’est fabriqué  comme  les parties qui sont souvent utilisés dans les microscopes, divers dispositifs techniques et électroniques.

Aujourd’hui, trouver un étrange artefact dans le charbon est relativement fréquent. La première découverte de ce genre a été faite en 1851, lorsque les travailleurs de l’une des mines du Massachusetts ont  extrait un vase d’argent incrustés de zinc à partir d’un bloc de charbon, qui date de  l’ère cambrienne, qui était il y a environ 500.000.000 années .

Découverte en 1851.
Découverte en 1851.

Soixante et un ans plus tard, les scientifiques américains de l’Oklahoma ont découvert un pot de fer qui a été pressé dans un morceau de charbon âgé de  trois cent douze millions d’années (312.000.000 années).

Un pot incrusté dans le charbon.
Un pot incrusté dans le charbon.

Puis, en 1974, une partie d’assemblage d’aluminium d’origine inconnue, a été retrouvé dans une carrière de grès, en Roumanie.

Réminiscence d’un marteau ou un pied de support d’un vaisseau spatial(?), la pièce remonte à l’ère jurassique, et n’aurait pas pu être fabriqué par un être humain.

Une pièce   très ancienne...trop pour les scientifiques!
Une pièce très ancienne…trop pour les scientifiques!

Toutes ces découvertes laissent non seulement perplexes les experts, mais aussi ont sapé les doctrines les plus fondamentales de la science présumée moderne.La science « officielle et rationaliste »!Cette science-là nous dit que ces découvertes sont tout simplement impossibles,parce qu’elles dérangent l’ordre établi.Actuellement,il y a beaucoup de professeurs d’université qui ne servent plus à rien,parce qu’ils répètent uniquement ce qui est accepté comme vrai et écrit dans les « livres qu’ils tiennent,dans leurs mains ».

Une origine inconnue,indéfénissable.
Une origine inconnue,indéfinissable.

Une autre question qui intéresse les scientifiques russes est de savoir si l’alliage d’aluminium est d’origine terrestre . Il est connu qu’ à partir de l’étude des météorites qu’il existe de l’aluminium -26 extra- terrestre qui se modifie  ensuite au fil du temps, pour le magnésium -26 .

La présence de deux pour cent (2%)  de magnésium dans l’alliage peut également signaler  l’origine étrangère de l’artefact d’aluminium. Il pourrait également être la preuve d’ un certain passé , d’une civilisation inconnue sur Terre . Néanmoins , des études  supplémentaires sont nécessaires pour confirmer cette hypothèse .

Il s’agit de la première découverte du genre ,faite à partir de  charbon ,en Russie , selon la  chercheuse et biologiste  Valery Brier , qui a pris des échantillons microscopiques d’ aluminium pour les tests. Valery a exécuté  les analyses aux rayons X ,afin d’évaluer le dégré de diffraction du métal .

Elle a démontré qu’il s’agit d’ aluminium très pur avec des microimpuretés de magnésium de seulement 2 à 4 pour cent  (2 à 4%). Une analyse a également été réalisée par  une sommité  de l’Institut Saint-Pétersbourg de  physique nucléaire, Igor Okunev qui a confirmé l’âge du matériau ,selon Natalia Ostrovsky.

Tout en explorant des échantillons de carottes (échantillons de roche) qui ont été prélevés à une profondeur de 9 mètres pendant le forage des fonds marins, pour soutenir un  pont sur ​​une île russe près du Cap Nazimova , ils ont découverts des alliages métalliques étranges qui ont été  » conservées  » dans le grès préhistorique ,vieux de  deux cent quarante millions d’années (240.000.000 d’années ) .

Les pièces d’alliages spéciaux ont une composition inhabituelle , et elles n’étaient manifestement pas utilisées dans les machines de forage .

Il n’y a pas si longtemps en Russie un dispositif mécanique a été trouvé dans la roche volcanique qui a été daté de quatre cent millions d’années (400.000.000 d’années) avant l’ère actuelle ( BCE ).

Quelles explications nous fournira la science officielle sur ces engrenages préhistoriques?
Quelles explications nous fournira la science officielle sur ces engrenages préhistoriques?

Ce paquet d’engrenages fossilisés a  été trouvé sur la péninsule de Kamchatka à  une distance de  150 miles du village de Tigil, par les archéologues de l’Université de Saint-Pétersbourg, entre quelques fossiles très étranges. La fiabilité des découvertes a été certifiée.Les fossiles et les engrenages faisant partie du même ensemble,il est impossible de fabriquer ce genre de faux.

Selon l’archéologue Yuri Golubev, cette découverte  fossilisée proche  d’autres ossements d’animaux préhistoriques a étonné et embarrassé les  experts , car c’était une sorte de machine prise dans le même environnement que les fossiles d’animaux.(1)

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La coexistence des humains (?) avec les dinosaures

Théorie officielle sur l’évolution de l’homme

Depuis plus de 150 ans, les théories officielles sur l’évolution de l’espèce humaine nous ont permis d’aboutir sur le schéma suivant :

Les premiers représentants des hominidés étaient les australopithèques apparus il y a environ 4,5 millions d’années puis notre arbre généalogique a été bouleversé avec la découverte en 2002 de Toumaï âgé de 6 à 7 millions d’années. L’homme moderne est issu d’une lente évolution.

Cette évolution a donc produit une suite d’espèces d’hominidés dont nous sommes l’ultime et la plus aboutie de toute la lignée.
Partant de ce schéma, aucun homme moderne n’a pu vivre avant le quaternaire.

Tous les paléontologues sont d’accord sur un point et tous les livres nous le disent : L’homme moderne (homo sapiens) est apparu il y a entre 300 000 et 100 000 ans.

D’une manière très schématique :

Toumaï • Australopithecus • Paranthropus • Homo habilis • Homo ergaster • Homo erectus • Homo sapiens

Ce schéma est en fait beaucoup plus complexe et ne cesse de bouger en fonction des dernières découvertes et théories.

Résumé des périodes clefs

Avant de rentrer dans le vif du sujet, il est important de se souvenir de quelques dates clefs. Les scientifiques ont déterminé quatre périodes :

Ère primaire • ère secondaire • ère tertiaire • ère quaternaire

Ère primaire : de la formation de la Terre au Permien soit de 4 600 Ma à 250 Ma. Au tout début, la vie n’existait que dans l’eau. Apparition pendant cette ère des premiers nautiloïdes, plantes, arachnides terrestres, reptiles et insectes terrestres.

Ère secondaire : Du Trias au Crétacé soit de 250 Ma à 65 Ma. Apparition des premiers dinosaures, mammifères, oiseaux. Extinction des dinosaures.

Ère tertiaire : Du Paléocène au Pliocène soit de 65 Ma à 1,75 Ma. Apparition des premiers chevaux, félins, singes. Les mammifères se diversifient et deviennent prédominants. De l’avis général, l’homme moderne ne peut en aucun cas exister.

Ère quaternaire : Notre ère actuelle. Apparition des premiers hominidés qui déboucheront sur l’homme moderne.

Élément de cohabitation No.1:

Les crânes humains fossilisés:

Actuellement, on recherche des fossiles d’hominidés dans des lieux géologiques dont les sédiments correspondent aux dates en accord avec la théorie officielle.

Si d’autres hominidés ont existé auparavant, on les trouvera dans des couches plus anciennes, dans un état fossile plus avancé.

Mais si on trouve effectivement des fossiles encore plus anciens, cela veut dire, soit qu’il faut ajouter une partie plus ancienne à l’histoire de l’homme et donc également revoir son évolution, soit, si l’on continue à proclamer que les premiers hominidés n’ont que 4 millions d’années au mieux,qu’il faut revoir toute la géologie.

C’est sur ces ambiguïtés que, dans certains états américains, les créationnistes ont obtenu le droit d’enseigner à l’école leur théorie, en la présentant comme plus fiable que celle née du Darwinisme.

Nous devons ce retour à l’obscurantisme moyen-âgeux au fait que les scientifiques refusent même d’étudier ces fossiles impossibles sous prétexte qu’ils servent les vues créationnistes.

Une fois de plus, comme pour la parapsychologie, ou bien le phénomène OVNI, le serpent se mord la queue et la place est laissée vacante aux charlatans de tout poil.

Les scientifiques se défendent en nous expliquant qu’une bonne théorie repose sur un vaste éventail de preuves contre quelques exceptions de-ci de-là.
C’est une attitude dogmatique, anti-scientifique car c’est à partir des exceptions que naissent de nouvelles théories.


Voici donc quelques-unes de ces exceptions, ces fossiles impossibles, qui mériteraient une étude sérieuse, même si c’était pour les invalider !


  • Crâne de lignite de Freiberg En 1842, un crâne humain, mal préservé, est trouvé dans du lignite  vieux de 15 à 50 millions d’années.
    Cet objet fait partie de la collection de l’Académie Minière de Freiberg en Allemagne.
    •  
    • A partir de 1850, divers fossiles de mammifères ( du mammouth au bison ) ont été remontés d’une mine d’or de Table Mountain près de Needles en Californie.
      En 1863, un disque en pierre ( à meuler ?) ainsi qu’un morceau de crâne humain sont découverts par le Dr R. Snell. 
      En 1866, M. Mattison, propriétaire d’une mine, dégagea sous une couche de basalte, un crâne humain complet qui fut étudié par le Dr L. Wyman du Collège de Harvard.
      Ce crâne âgé de 12 millions d’années est d’un type moderne, son authenticité ne fait aucun doute à cause de l’imbrication naturelle des gravats.
    • Relaté dans le Saturday Herald of Iowa City, le 10 avril 1867, des os humains et des pointes de flèches en cuivre ont été trouvés dans un filon d’argent à une profondeur de 400 mètres au fond de la mine de Rocky Point à Gilman ( Colorado ).
      La veine où ces objets reposaient est âgée de 135 millions d’années.
    • En juillet 1877, à Spring Valley près d’Eureka ( Nevada ), quatre prospecteurs trouvèrent ce qui ressemblait à un os humain carbonisé pris dans une roche de quartzite brune.
      Une fois la roche enlevée, ils découvrirent une partie du fémur, les os du genou, de la jambe et du pied, d’un hominidé qui devait mesurer 3,5 mètres.
      La roche où ces restes étaient enserrés est estimée à 185 millions d’années.
    • Un article du Scientific American, en 1880, rapporte la découverte d’un crâne humain, de morceaux de côtes, de vertèbres et d’une clavicule, dans une mine de fer près de Dry Branch, dans le comté de Franklin ( Missouri ), à une profondeur de 50 mètres, avec deux pointes de flèches en silex ainsi que du charbon de bois. En les manipulant, les os se brisèrent.
      Deux semaines et demi plus tard, 1,5 mètre plus bas, le Dr Booth trouva d’autres restes ( un fémur, des vertèbres et d’autres morceaux de bois carbonisés ), sur une couche de minerai de fer qui portait des marques de tissage.
      L’âge estimé de ce minerai est de 425 millions d’années.
    • En novembre 1926, dans le puits n° 3 de la mine de charbon de Bear Creek, à 80 kilomètres au sud-ouest de Billings ( Montana ), l’archéologue J.C.F. Siegfriedt trouva une dent humaine ( seconde molaire inférieure ) dont l’émail s’était transformé en carbone et les racines en fer. 
      Cette dent fut trouvée dans une couche datant de 30 millions d’années.
      Cette découverte ne suscita l’intérêt d’aucun autre spécialiste et, comme les autres, tomba dans l’oubli.
    • En 1958, le Dr J. Huerzeler du Muséum d’Histoire Naturelle de Bâle, trouva à 180 mètres de profondeur, dans une mine de charbon en Toscane ( Italie ), la mâchoire écrasée d’un enfant de 5 ou 7 ans de type moderne.
      De plus, les strates dont elle a été extraite datant de 20 millions d’années, cette découverte impossible fut classée sans suite.
    • En 1973, un collectionneur de roches, Lin Ottinger, en arpentant un plateau rocheux dégagé par les bulldozers pour préparer une exploitation minière, aux alentours de la mine de cuivre de Big Indian, au sud-ouest de Moab ( Utah ), trouva des morceaux d’os et des dents.
      Soucieux de sa découverte, il fit appel au Dr J.P. Marwitt, professeur d’anthropologie à l’Université de l’Utah à Salt Lake City, pour fouiller plus avant.
      Devant plusieurs observateurs, des photographes, des reporters munis de caméras, ils mirent à jour les moitiés inférieures de deux squelettes humains d’apparence moderne, disposés naturellement dans une couche âgée de plus de 100 millions d’années.
      Les fossiles furent ramenés à l’université pour une datation, non révélée jusqu’à présent, et le professeur Marwitt fut muté…
    • Oreopithécus En Italie, dans les années 1870, dans une mine de charbon, on a retrouvé le fossile d’un hominidé âgé de 12 millions d’années, baptisé Oreopithécus.
  • Au début des années 1980, en explorant une mine de charbon désaffectée à ciel ouvert, près de Mahanoy ( Pennsylvanie ), Ed Conrad fit plusieurs découvertes troublantes.
    Sa première trouvaille fut un rocher contenant une inclusion dont les contours ressemblaient à un crâne vu de dessous.

Découverte de Conrad 001

Sa deuxième trouvaille fut une pierre ressemblant étrangement au crâne d'un grand anthropoïde
Sa deuxième trouvaille fut une pierre ressemblant étrangement au crâne d’un grand anthropoïde
Sa troisième trouvaille fut une autre inclusion dans un rocher, cette fois d'un crâne vu de profil, avec les mêmes protubérances qu'un crâne d'hominidé.
Sa troisième trouvaille fut une autre inclusion dans un rocher, cette fois d’un crâne vu de profil, avec les mêmes protubérances qu’un crâne d’hominidé.

D’autres fossiles pétrifiés d’os de fémur et de tibia furent également mis à jour.
Ed conrad décida de soumettre ses découvertes au « Smithsonian Institute » qui refusa de faire une étude poussée. Des os d’hominidés pétrifiés de 280 millions d’années, c’est impossible donc… sarcasmes, moqueries… Attitude classique des scientifiques devant une découverte impossible, qui a poussé Ed Conrad à se ranger du côté des créationnistes.
C’est avec des fonds privés que ces objets furent étudiés, analysés au microscope électronique, aux rayons X, infra-rouge, etc.
Ainsi, le crâne a un palais et une prémolaire à double racine ; c’est à dire que, selon la science officielle, « Dame Nature » aurait eu non seulement la malice de faire un rocher à forte teneur en phosphate ressemblant à un crâne d’hominidé mais y aurait ajouté une cavité à l’emplacement du palais et une prémolaire, ainsi que la structure cellulaire des canaux Haversiens ( visibles seulement au microscope ).
Ce fameux Dieu Hasard est décidément un sacré farceur !

L’HOMO-ALAOUITE

En juillet 2005 M. Mohammed Zaraouit a découvert dans une carrière de marbre à Tafilalet ( Maroc ), dans une couche géologique du dévonien un petit crâne fossilisé d’un primate qui devait être bipède et âgé de 360 millions d’années !

Une nouvelle espèce d'humains non-reconnue par la science officielle. Le  pofesseur Mahommed Zarouit  lui donnant le nom de homo-alaouite .
Une nouvelle espèce d’humains non-reconnue par la science officielle.
Le pofesseur Mahommed Zarouit lui donnant le nom de homo-alaouite .
Une petitesse remarquable.
Une petitesse remarquable.

 Le minuscule crâne de Tafilalet, nouvellement découvert dans le désert du Tafilalet au Sud-Est du Maroc, se caractérise par son faible volume crânien ( 30 fois moindre que l’homo sapiens ), et par sa morphologie de type humain.

  Ce crâne singulier présente toutes les caractéristiques morphologiques du genre Homo :

 

      • Position du trou occipital : centrée, tête en équilibre.

 

 

      • Mâchoire : courte, parabolique.

 

 

      • Angle symphysaire : obtus, se positionne en retrait.

 

 

      • Front : haut et bombé, comme l’arrière crâne.

 

 

      • Formule dentaire : estimée à 32 dents, insérées verticalement

 

 

  Les paramètres crâniens de ce fossile humain sont absolument étonnants :

 

      • Circonférence : 18,4 cm

 

 

      • Angle facial : 81 º

 

 

      • Hauteur : BP = 3,9 cm

 

 

      • Longueur : NQ = 6,1 cm

 

 

    • Rapport hauteur sur longueur : ± 0,639

  Il s’agit, bel et bien, d’un petit Homo bipède adulte, à en juger par les dents de sagesse bien présentes.

  Cependant, l’homme de Tafilalet présente des caractéristiques très particulières :

 

      • Une petite capacité crânienne de ± 45 cm³, c’est à dire 30 fois moins que l’homo sapiens. Pourtant, par rapport au volume crânien, cela paraît indiquer une grande encéphalisation.

 

 

      • Une taille atypique : estimée comprise entre 30 et 40 cm de hauteur !

 

 

  Bien que, l’homme de Tafilalet soit d’aspect moderne, sa petite capacité crânienne et sa taille évaluée à 40 cm au plus, nous empêchent de le classer parmi les Homo sapiens. Nous sommes donc, en face d’une nouvelle espèce humaine ( Homo alaouite ) et non d’un Homo sapiens souffrant de microcéphalie.

  Dans le monde de la paléoanthropologie, Il y a un précèdent : l’homme de Flores ( Homo floresiensis ), découvert sur l’île de Flores ( Indonésie ), dont la taille est estimée à un mètre seulement et sa capacité crânienne à trois fois moins que l’Homo sapiens ( 380 cm3 ).

 

Rarissime : une mandibule en parfaite connexion !

  L’excellent état de conservation, la mandibule en parfaite connexion, les fosses nasales intactes, les orbites sans traces de sédiments, tous ces éléments m’amènent à formuler l’hypothèse suivante justifiant en même temps ces faits : 
  La tête de l’Homo alaouite fut enlevée et enterrée à part. En effet, on peut partir de l’idée qu’après la mort, la tête a été mise dans un sarcophage particulier et en position verticale avant l’inhumation. 
  Le squelette post-crânien devrait être enterré à proximité. Il serait nécessaire d’effectuer d’autres fouilles minutieuses sur le site et les zones avoisinantes.

  Ce rite d’enterrement est d’ailleurs connu des historiens et archéologues :

  En 2005, sur le site archéologique de Téouma à l’Est de l’île d’Efate ou Vaté, île principale de l’archipel de Vanuatu, une équipe archéologique conduite par le professeur australien Matthew Spriggs a découvert séparément des ossements humains et un crâne enfoui dans un pot.

  Le professeur Spriggs avait alors déclaré que : « … Sur ce site, le crâne n’est pas avec les autres ossements. Cela signifie que la tête de chaque individu fut enlevée et mise à part. Le crâne que nous venons de découvrir dans un pot laisse penser que ses origines sont ici en Asie. A l’Est de l’Asie jadis, à la mort d’un être humain, on enlevait la tête et on la mettait dans un pot avant de l’enterrer à part. C’est exactement ce que les archéologues ont découvert dans des sites archéologiques en Asie orientale. »

  On a toujours contesté au petit crâne de Tafilalet le fait que la mandibule soit encore adhérente. Sous prétexte que ce n’est le cas d’aucun des hominidés découverts jusqu’à présent sur le globe. Et avec l’arrivé de Dikika ( Sélam 3,3 millions d’années ) et sa mâchoire encore associée au crâne, l’impossible est devenu possible. Ce qui a obligé Monsieur J-L Le Quellec, Directeur de recherches au CNRS, à confesser son erreur avec courage et honnêteté de chercheur. 

À côté de la petite pièce de monnaie:la comparaison est sans équivoque.
À côté de la petite pièce de monnaie:la comparaison est sans équivoque.

Authenticité

  Sur l’image on dirait un faux crâne sculpté dans la pierre, toutefois en présence de ce spécimen, on est frappé de stupeur : la conservation étant parfaite, le crâne bien proportionné, et les traits dessinés dans les moindres détails ; tout cela fait douter de son authenticité. 
  C’est ce qui m’a amené à faire faire des radios X. Bien que ces résultats soient positifs, il était nécessaire de procéder à d’autres examens plus poussés pour avoir plus de certitude. Pour ce faire, j’ai dû demander une expertise médicale. Le Dr Alaoui Abdelkader, radiologue et directeur de CHP Moulay Ali Chrif d’Errachidia, que je tiens à remercier vivement, a bien accepté ma demande et par suite un rapport m’a été délivré, ainsi qu’une copie sur CD-Rom des différentes coupes TDM sous format DICOM.

Le professeur Zaraouit et sa découverte.
Le professeur Zaraouit et sa découverte.

« Les résultats sont fascinants et je suis vraiment étonné devant la plasticité biologique de ce crâne », avait affirmé le Dr Alaoui dans une déclaration à la MAP ( Maghreb Arabe Presse ), soulignant que « les informations numériques ( densités ) issues du scanner sont conformes aux valeurs de densité osseuse ».

 

Détails du crâne
Détails du crâne

Sutures crâniennes

  Sur les images de l’Homo alaouite, on peut remarquer que le profil droit est légèrement différent du profil gauche. En fait, le profil droit est couvert par un dépôt sédimentaire, tandis que le profil gauche est presque nu. 
  Sachant que le petit crâne n’a pas été nettoyé par précaution afin de ne pas laisser de traces qui auraient pu être interprétées comme traces d’usinage. La seule explication logique que je puisse formuler est que ce dépôt sédimentaire est le résultat de l’infiltration de l’eau par le haut du sarcophage juste au niveau de profil droit, sachant que la tête est en position debout.

LA DÉCOUVERTE

 C’est dans un remblai de sable mélangé avec de la terre riche en fossiles du dévonien que l’Homo alaouite a été retrouvé. Ce remblai qui reposait au fond d’une fosse de 2 à 3 mètres de profondeur, est né à la suite des travaux du dégagement des blocs de marbre à l’aide des machines.

  Le lieu de la découverte est l’une de ces multiples petites carrières à ciel ouvert, qui s’étalent dans la région d’Erfoud, le long d’un filon de marbre qui, alternativement, fait surface puis replonge en profondeur.

  Les marbres calcaires du désert du Tafilalet contiennent de nombreux fossiles marins, comme les Orthocères et les Goniatites. On y trouve aussi des fossiles de poissons très primitifs, les poissons cuirassés du Dévonien. Ces fossiles qui font la particularité des marbres d’Erfoud, se trouvent aussi dans le sable, en dehors de toute connexion géologique et même dans les strates de terre friable séparant les couches de marbre.

  Il est difficile de savoir de quand date exactement ce crâne. Il n’y a pas de preuve absolue, comme par exemple une empreinte en creux dans la roche. Cependant, le crâne a été découvert sur un terrain de Dévonien, ce qui donne une idée sur son âge qui pourrait biochronologiquement dater de 360 millions d’années !

  J’aurais bien aimé faire une datation absolue mais je ne vois, malheureusement pas de technique non destructive applicable à ce fossile.

  La technique du carbone 14, par exemple, en plus de son caractère destructif est inopérationnelle car, on a besoin d’environ 1 g de carbone pur, soit 200 g d’ossements ; et le crâne de Tafilalet ne pèse que 100 g ( os + sédiments ).

  De plus, la technique  » potassium-argon 40K/40Ar  » est aussi inapplicable. En effet, si elle a permis de dater Lucy, c’est parce que les os de ce fossile ont eu la chance d’être enrobés dans une roche éruptive ; ce n’est pas le cas pour le petit crâne du Tafilalet.

  D’autres fouilles, dans le désert du Tafilalet et les régions avoisinantes doivent être entreprises afin de découvrir d’autres ossements ou des outils en miniature. Si l’on aboutit, ce serait la preuve qu’une tribu d’hommes en miniature vivait dans la région. Et cela nous aiderait à mieux dater l’Homo alaouite
  En l’absence momentanée de datation précise, on se trouve devant deux et uniques possibilités avantageuses :

 

 

      • Soit le crâne est très vieux et dans ce cas l’Homo alaouite serait notre ancêtre avec ses 40 cm de hauteur.

 

 

      • Soit le crâne est récent et dans ce cas l’Homo alaouite serait témoin de l’existence d’hommes miniatures qui vivent parmi nous, sans qu’on s’en aperçoive !

 Homo-alaouite 006

 

  Le livre de l’Histoire de l’Espèce Humaine n’est pas encore achevé. 
  Peut-être que l’homme est bien plus vieux qu’on le croit, et qu’il y avait eu des civilisations qui se sont éteintes… comme on risque de le faire… 
  Cette chronologie étonnante ferait apparaître l’homme à plus de 130 millions d’années avant les premiers dinosaures ! 
  Il est probable que les ancêtres humains étaient petits à l’origine ( les australopithèques ne faisaient qu’un mètre environ ) et que des petits hommes de 40 cm pouvaient donc être issus d’une humanité déjà en miniature ( comme celle des hominidés de l’île de Flores ).

  Cette hypothèse va dans le sens de ce qu’a déclaré Pascal Tassy, professeur au Muséum ( MNHN ) au Figaro à propos de la découverte au Maroc en juin 2005, d’un mini éléphant dont la taille corporelle ne devait pas dépasser celle d’un renard : 
  « Cela signifie que même les éléphants ont commencé petits ». 

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LES EMPREINTES  D’HUMAINS COEXISTANTS AVEC LES DINOSAURES

Traces dites "homologuées", car elles cadrent parfaitement avec le dogme ; elles ont été trouvées dans le site de Laetoli en Tanzanie et datent de 3,8 millions d'années. Ce sont les pas laissés dans la boue par un(e) adulte et un enfant, qui ont ensuite été recouverts par des cendres volcaniques et que l'érosion a finalement découverts.

Traces dites « homologuées », car elles cadrent parfaitement avec le dogme ; elles ont été trouvées dans le site de Laetoli en Tanzanie et datent de 3,8 millions d’années. Ce sont les pas laissés dans la boue par un(e) adulte et un enfant, qui ont ensuite été recouverts par des cendres volcaniques et que l’érosion a finalement découverts.

Celles-ci font l'objet d'une grande controverse outre-Atlantique. Découvertes en 1908, près de Glenn Rose ( Texas ), elles montrent des traces humanoïdes de géants de 4 mètres de hauteur ( selon les standards modernes ), mêlées avec des traces de dinosaures ! ( de 120 à 130 millions d'années )  Même si les traces que l'on aperçoit au premier plan sur la photo du haut  ( à droite ) ont sans doute été laissées par les membres antérieurs ou les métatarses de ces dinosaures, on a du mal à croire que l'érosion ait pu les transformer en celles que l'on peut voir dans la photo en dessous.

Celles-ci font l’objet d’une grande controverse outre-Atlantique. Découvertes en 1908, près de Glenn Rose ( Texas ), elles montrent des traces humanoïdes de géants de 4 mètres de hauteur ( selon les standards modernes ), mêlées avec des traces de dinosaures ! ( de 120 à 130 millions d’années )
Même si les traces que l’on aperçoit au premier plan sur la photo du haut ( à droite ) ont sans doute été laissées par les membres antérieurs ou les métatarses de ces dinosaures, on a du mal à croire que l’érosion ait pu les transformer en celles que l’on peut voir dans la photo en dessous.

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On ne s’étendra pas ici, dans les détails de cette controverse virulente, où :

  • comme à Glozel, un scientifique, farouchement opposé à l’authenticité du site, a été surpris muni d’une barre de fer en train de détériorer ces traces, sans doute pour prouver qu’elles avaient été gravées par l’homme,
  • comme à Ica, l’exploitation commerciale du site a entraîné son pillage et la fabrication de nombreuses empreintes, vendues aux touristes et servant d’alibi à la communauté scientifique pour invalider cette découverte.

D’autres empreintes d’hominidés ont été trouvées, notamment en Arizona à Tuba city, également à proximité de traces de dinosaures, mais elles sont moins nettes car fortement érodées.


Voici une liste non exhaustive d’autres empreintes impossibles :

    • Au XIXsiècle, l’écrivain américain Josiah Priest, dans son ouvrage « American Antiquities » page 150, rapporte la découverte près des sources de la rivière Tennessee, à quelques kilomètres au sud de Braystown ( Caroline du nord ), d’un véritable carnaval d’empreintes de chevaux, d’ours, de dindes et d’hominidés à six orteils !
    • En 1822, le scientifique H. Schooleraft, rapporta l’observation d’empreintes humaines dans du calcaire sur les berges du Mississippi à 5 kilomètres au sud de St Louis. 
    • Pendant l’été 1882, des détenus de la prison de Carson city ( Nevada ) en travaillant dans une carrière, mirent à jour une couche de grès dans laquelle, parmi les traces d’animaux fossiles comme les mammouths, se trouvaient six séries d’empreintes d’hominidés géants. Un rapport fut envoyé á l’Académie des Sciences de Californie le 27 août 1882. Certaines de ces empreintes ( de 50 centimètres ) montraient que ces hominidés portaient même des sandales.
    • En 1884, Earl Flint, un géologue représentant le musée de Peabody et de l’université de Harvard, a découvert dans une carrière près de Managua ( Nicaragua ), au bord du lac Gilva, à 60 centimètres de profondeur, des empreintes d’hominidés, certaines avec sandales, d’autres indiquant l’usage d’une canne. Les plus grandes mesuraient 40 centimètres de longueur. Leur âge est estimé à 200 000 ans.
    • En 1885, au sommet de Big Hill dans les monts Cumberland, dans le comté de Jackson ( Kentucky ), une série de traces ont été découvertes dans du grès carbonifère d’environ 300 millions d’années. Parmi les traces d’ours et celles d’un animal ressemblant à un grand cheval, il y avaitdeux empreintes d’hominidés de bonne taille, aux orteils bien écartés. Ces traces furent examinées par le Professeur J. F. Brown, du collège de Borea. 
    • En 1896, une pierre portant une empreinte parfaite de pied humain de 37 centimètres de long fut montrée aux membres de l’Académie des Sciences de l’Ohio. Cette pierre fut trouvée 20 ans plus tôt aux alentours de Parkesbourg ( Virginie ), son âge a été estimé à 150 millions d’années. 
    • En 1930, le Dr W. Burrough, chef du département de géologie du collège de Berea ( Kentucky ), annonça la découverte de dix empreintes d’hominidés dans du grès carbonifère sur les collines au nord du comté de Rockcastle. Les empreintes mesuraient 24 centimètres de long sur 15 de large. Les photos micrographiques et infra-rouges qui furent prises ne montrèrent aucun signe de sculpture artificielle sur et autour des marques. De plus, l’analyse microscopique indiqua que les empreintes étaient bien dues à un impact suite à la pression du pied d’un hominidé. La roche de ces traces est estimée à 250 millions d’années.
      Des années plus tard, ces empreintes furent totalement détruites par des vandales, sans doute choqués que l’on puisse étudier des preuves qui remettraient en cause ce que l’on croit savoir de l’histoire de l’homme…  
    • En 1959, une mission paléontologique sino-russe dirigée par le Dr Chou Ming Chen, découvrit dans le désert de Gobi, l’empreinte fossilisée d’une semelle striée, parfaitement régulière dans une couche de grès datant de 15 millions d’années. 

    • En 1961, en France, sur le plateau de Daüs de la commune d’Ailhon situé en Ardèche, une empreinte d’humanoïde a été découverte à proximité d’empreintes de dinosaures dans du grès du trias moyen ( environ 220 millions d’années ).
      Selon l’Abbé Albert F. de Lapparent, la déformation serait due à une surface portante abondamment imbibée d’eau, une boue trop liquide.
      Relevé effectué par M. P. Bellin
    • Sandale de Meister En 1968, un minéralogiste amateur W.J. Meister, à la recherche de fossiles de trilobites et de brachiopodes, vieux de 500 millions d’années, à Antelope Spring ( Utah ), trouva, à sa grande surprise en brisant une roche, ce qui ressemble à une empreinte de chaussure. Sur cette empreinte apparaît un trilobite écrasé.
    • En 1969, Troy Johnson, un géologue de trente ans d’expérience de terrain, trouva une couche de grès pleine d’empreintes fossiles au sommet d’une colline à l’est de Tulsa ( Oklahoma ). Parmi les empreintes d’espèces animales disparues depuis 3 millions d’années, certaines semblaient parfaitement humaines avec 5 orteils. Il montra des moulages de ces empreintes à plusieurs experts qui le rejetèrent à cause des implications de sa découverte. 
    • Dans les années 1970, le Dr Rex Gilroy, directeur du musée d’Histoire Naturelle de Mount York ( Australie ), a découvert une empreinte géante au mont Victoria âgée de 200 millions d’années.D’autres empreintes de pieds nus et de chaussures, mêlées à celles de dinosaures, datées de 100 millions d’années ont été trouvées dans la vallée de Carrizo dans le nord-ouest de l’Oklahoma.

  • En 1984, le professeur Kourban Amanniazov, directeur de l’Institut de géologie de l’Académie des Sciences deTurkménie, a dirigé une expédition dans les montagne de Kouguitang-Taou au sud-est du pays. Parmi les nombreuses traces de dinosaures, ils ont trouvé également une empreinte, pas très nette mais assez distincte, vieille de 150 millions d’années, qui ressemble à la trace d’un pied d’humanoïde.
  • Empreinte de Ramona C’est en février 2002 que James Snyder, un habitant de la région de Ramona, a fait cette découverte étonnante lors d’une balade dans la forêt nationale de Cleveland.En sortant des sentiers battus à la recherche d’or dans le massif de Gowers, Snyder est tombé sur une empreinte géante de pied fossile dans la roche granitique de ce qui a sans doute été un cours d’eau il y a longtemps… très longtemps…Snyder, qui pense qu’il pourrait s’agir de l’empreinte d’un « Bigfoot », aimerait que des scientifiques fassent l’effort de se déplacer dans ce coin perdu, à plus d’une heure et demi de marche dans des montagnes difficiles d’accès pour étudier sérieusement cet empreinte…

    Il attend toujours…

    Et nous aussi…

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MAIS D’OU VIENNENT CES HOMMES ET CES DINOSAURES?

Les dinosaures sont apparus sur Terre il y a environ 240 millions d’années, pratiquement en même temps que les premiers mammifères ( ce que l’on oublie souvent ! ). Et l’on nous raconte qu’ils ont régné sans partage jusqu’à leur disparition brutale( * ) et totale il y a 65 millions d’années.

Différentes théories se sont succédées pour tenter d’expliquer cette soudaine extinction mais aucune ne semble totalement satisfaisante.

EXTINCTION DES DINOSAURES

Une grande question demeure :
pourquoi tous les dinosaures auraient-ils disparu et pas les crocodiles par exemple…?
Ne serait-il pas plausible d’envisager que, lors de cette dernière extinction massive – comme lors des précédentes – de nombreuses espèces aient disparu mais quelques spécimens aient pu survivre en nombre réduit, plus ou moins longtemps…

Si c’était le cas on en retrouverait quelques traces…


Pratiquement toutes les mythologies font état de dragons légendaires, de griffons et autres créatures fantastiques. Aucun lien ne peut être clairement établi entre ces dragons mythiques et les dinosaures tels que nous les connaissons aujourd’hui. Du moins, c’est la thèse officielle.
On peut tout au plus supposer que la découverte occasionnelle de restes pétrifiés ou bien d’empreintes fossiles ait pu être à l’origine ces légendes. Il existe des indices sérieux appuyant cette thèse, comme par exemple le fameux vase du Monstre de Troie.

On peut voir sur ce vase le crâne fossile d'un dinosaure émergeant d'un affleurement érodé.  L'historienne américaine Adrienne Mayor affirme que cela fait des grecs les premiers paléontologues de notre civilisation.
On peut voir sur ce vase le crâne fossile d’un dinosaure émergeant d’un affleurement érodé.
L’historienne américaine Adrienne Mayor affirme que cela fait des grecs les premiers paléontologues de notre civilisation.

La première découverte moderne d’os de dinosaure pétrifié eu lieu en 1677, en Angleterre. On l’attribua alors à un éléphant, et ce n’est que près d’un siècle plus tard qu’il fut identifié comme appartenant à un reptile géant, pas encore un dinosaure

On connaît bien maintenant les difficultés qu’ont éprouvées les premiers paléontologues modernes quand il s’agissait d’extrapoler, à partir des rares fossiles, les animaux qui ont jadis dominé la planète. Ils ont commis un grand nombre d’erreurs.
Comment expliquer dès lors, ces représentations fidèles de nos ancêtres ?
Etaient-ils plus compétents que nos paléontologues modernes ou bien ont-ils simplement décrit ce qu’ils ont vu ?
Tout autour du globe…
Et à différentes époques…

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LES PIERRES D’ICA:

Représentation éloquente...
Représentation éloquente…

Pierre d'ica002

Sur ces pierres découvertes au Pérou, témoignages d’une civilisation très ancienne disparue, on peut voir de nombreux dinosaures, certains chassés, d’autres chevauchés… 

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LA GROTTE DE BERNIFAL:

Représentation d'un mammouth.
Représentation d’un mammouth.

La grotte de Bernifal, située en Dordogne ( France ), est mondialement renommée pour ses 110 gravures et peintures rupestres, notamment ce magnifique mammouth tracé à l’argile ( figure du haut  ). Mais on montre moins l’image en dessous  qui semble montrer un dinosaure affrontant un mammouth…

Mammouth et...dinosaure?
Mammouth et…dinosaure?
Détails agrandis.
Détails agrandis.

 

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LES FIGURINES D’ACAMBARO:

M.Julsrud,archéologue allemand.
M.Julsrud,archéologue allemand.
En 1923, Waldemar Julsrud, commerçant d’origine allemande, et le « padre » Fray José Marie Martinez découvrirent le site archéologique de Chupicuaro datant de l’époque pré-classique et contenant des vases, des bols et des figurines de la plus ancienne culture indienne connue, nommée d’après le site et datant jusqu’à 1 000 ans avant J.C., ( antérieure aux indiens Tarascans, la plus vieille culture indiennne connue à cette époque ).
Cette découverte « classique » ne souleva d’autre polémique que sa paternité contestée par un collectionneur rival.

Quelques années plus tard, en juillet 1944, Waldemar Julsrud, alors âgé de 69 ans fit une découverte retentissante à Acambaro, petite ville mexicaine située à moins de 300 km au nord-ouest de Mexico, dans la province de Guanajuato.

Alors qu’il se promenait à cheval le long d’un fossé près de la colline du taureau, en compagnie d’un de ses employés, un fermier nommé Odilon Tinajero, son attention fut attirée par un morceau de céramique émergeant du sol. C’était une figurine en terre cuite d’un style qui lui était inconnu.

Il demanda à son employé de creuser et de lui ramener toutes les pièces similaires qu’il pourrait trouver. Tinajero se présenta quelques jours plus tard avec une brouette remplie de ces artefacts. Julsrud était stupéfait par le style et la diversité des figurines. Il passa un marché avec son employé : il lui payerait 1 peso pour toutes les figurines entières rapportées mais rien pour celles abîmées, qu’il devait quand même lui remettre ( et qu’il a conservées ). 
Son but visait non pas à encourager son fermier à en fabriquer ( il n’en aurait de toute façon eu, ni le temps, ni l’art et le prix était trop bas pour une éventuelle fabrication ) mais à le contraindre à fouiller avec la plus extrême précaution.

Les figurines furent découvertes par groupes de 20 à 40 à l’intérieur de puits à une profondeur allant d’environ 1m 20 à 1m 80.
Ce n’étaient pas des puits funéraires, on a seulement retrouvé 6 crânes lors des fouilles. Il semble, c’est tout au moins l’hypothèse émise par M. Julsrud, qu’elles aient été ensevelies à la hâte pour les protéger du pillage des premiers colons espagnols.

Ce sont plus de 33 500 (!!!) objets en céramique ( dans une très grosse majorité ), pierre, jade et obsidienne qui ont été retrouvés. Ils sont tous uniques, aucun n’est dupliqué. Ils sont de taille variable, de quelques centimètres à moins d’un mètre. Différents types d’argile ont été utilisés ( leur étude serait une précieuse indication de leur provenance ), mais tous ont été fabriqués par la méthode du « feu ouvert » ( la fabrication de faux ne serait donc pas passée inaperçue par la fumée dégagée et les grandes quantités de bois -rare et cher dans cette région- nécessaires ).
En dépit de leur grande diversité, on peut les regrouper, par leur design, par centaines voire par milliers, comme issus de différentes cultures.

Tout comme le Dr Cabrera ( décédé en décembre 2001 ), conservateur des  pierres d’Ica, M. Julsrud n’a jamais fait commerce de sa découverte. Leur but était scientifique et leur volonté de protéger un patrimoine qu’ils estimaient unique pour l’humanité n’a jamais été prise en défaut. C’est toujours avec plaisir qu’ils ont montré leurs pièces à ceux qui le désiraient et ils n’ont cessé de se battre pour que les scientifiques s’intéressent à leur découverte et viennent juger sur place… Peine perdue… Pourquoi ?

L’une des principales raisons >voir historique et argumentaire ) du rejet de cette découverte tient aux représentations de ces figurines.
Elles représentent entre autre, des dinosaures, des animaux inconnus, des reptiles, certains aux traits aviaires ; certaines semblent indiquer une forme de domestication de petits reptiles et de petits dinosaures, des grands singes, d’autres montrent clairement des actes zoophiles avec des reptiles, enfin, beaucoup représentent des divinités inconnues, la vie courante et ses objets usuels ( pipes, instruments de musique, etc.. ) …
( voir quelques exemples de ces figurines )

Des hommes avec des dinosaures ? Tout le monde sait bien que c’est impossible !

Un homme, un hérétique bien sûr, a fait l’effort de s’intéresser à cette découverte : Charles Hapgood, professeur d’histoire et d’anthropologie à l’Université du New Hampshire ( voir ses travaux sur les cartes antiques ). Il a été sur place pour enquêter, rencontrer et interroger les protagonistes de cette histoire. De son voyage, il a ramené quelques échantillons afin de les analyser selon les méthodes les plus modernes -et toutes récentes- de l’époque ( à la fin des années 60 ).

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Les mesures ( au carbone 14 ) données en 1968 par le Laboratoire d’Isotopes Inc. du New Jersey s’échelonnent de 1 110 av. J.C. à 4 530 années av. J.C.!
En 1972, les datations par thermoluminescence constatées par l’Université de Pennsylvanie sur 2 figurines furent de 2 500 ans av. J.C.!

Il faudra donc bien qu’un jour, les détracteurs de Glozel ( 1924 ) et d’Acambaro ( 1944 ) nous expliquent comment l’on peut fabriquer des faux qui passeront les tests scientifiques rigoureux de datation ( thermoluminescence et Carbone 14 ) qui étaient inconnus à l’époque de leur découverte !

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YARRU:

Un plésiosaure au Queensland...?
Un plésiosaure au Queensland…?

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ET PARTOUT DANS LE MONDE:

…Au Zimbabwé:

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Au Zimbabwe, près de Salisbury, on a découvert des peintures rupestres dans des grottes situées dans les collines de Gorozomzi. Ces dessins représentent de façon très précise des éléphants, des hippopotames, des girafes et d’autres animaux dont un brontosaure !

L’image ci-haut, représentant 3 animaux à long cou et à longue queue, provient de la grotte de Nachikufu près de Mpika au nord du Zimbabwe.

Au Ghana:

Ghana dino

Bien avant que nous ne connaissions les dinosaures, au Ghana et dans sa région, on se transmettait, de génération en génération, des poids à peser l’or. 
Ces poids représentaient l’animal totémique de leur propriétaire. 
De quel animal les négociants Ashantis se sont-ils inspirés ?

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À Sumatra:

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Les anciens habitants de Sumatra ont décrit des animaux à long cou, à longue queue avec une crête sur la tête. 
Au Musée Ethnographique de Budapest, on peut admirer cette planche décrivant la chasse d’un animal qui pourrait être de la famille des corythosaures.

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Amérique du Nord:

Au Natural Bridges National Monument

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Amérique Nord 02

Dans le canyon Havasupai en Arizona:

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Mésopotamie:

Les animaux figurant sur ce sceau cylindrique mésopotamien de 3 300 ans av. J.C. ressemblent singulièrement à des dinosaures...
Les animaux figurant sur ce sceau cylindrique mésopotamien de 3 300 ans av. J.C. ressemblent singulièrement à des dinosaures…

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En 1902, Robert Koldewey, archéologue allemand, mit au jour la Porte d’Ishtar dans les ruines de Babylone. 
Alternant avec des lions et des aurochs, se trouve cet étrange animal, le sirrush ( dragon ).
Cette porte, construite 600 ans av. J.C. par le roi Nabuchodonosor, a été reconstituée au Musée Pergamon de Berlin.

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Haute-Égypte:

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Ces deux palettes votives en ardoise proviennent d’Hierakonpolis en Haute-Egypte et datent de l’époque prédynastique de l’ancienne Egypte, soit environs 3 300 ans av. J.C..
Chiens ou dinosaures ? 

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Parmi les nombreux sceaux égyptiens de la célèbre collection Philip Mitry, certains décrivent des animaux que l'on pourrait rapprocher des dinosaures. Par exemple, ce sceau ( environ 1400 ans av. J.C. ) orné d'un animal ressemblant à un plésiosaure sous le cartouche de Tutmosis III.
Parmi les nombreux sceaux égyptiens de la célèbre collection Philip Mitry, certains décrivent des animaux que l’on pourrait rapprocher des dinosaures.
Par exemple, ce sceau ( environ 1400 ans av. J.C. ) orné d’un animal ressemblant à un plésiosaure sous le cartouche de Tutmosis III.

Israel:

Ce sceau, ( daté entre 1300 et 1150 av. J.C. ) conservé à l'Institut d'archéologie de l'université de Tel Aviv, décrit un ptérodactyle attaquant une gazelle.
Ce sceau, ( daté entre 1300 et 1150 av. J.C. ) conservé à l’Institut d’archéologie de l’université de Tel Aviv, décrit un ptérodactyle attaquant une gazelle.

Turquie:

Cette urne trouvée à Caria en Turquie ( datée de 530 av. J.C., environ ) décrit un animal ressemblant à un mosasaure au milieu d'autres animaux marins parfaitement connus et identifiés.
Cette urne trouvée à Caria en Turquie ( datée de 530 av. J.C., environ ) décrit un animal ressemblant à un mosasaure au milieu d’autres animaux marins parfaitement connus et identifiés.

Empire Romain:

On retrouve également des descriptions de dinosaures sur des mosaïques romaines du deuxième siècle.
On retrouve également des descriptions de dinosaures sur des mosaïques romaines du deuxième siècle.
La mosaïque du Nil de Palestrina  attribuée à Demetrius le géomètre,  représente des éthiopiens chassant  un "Crocodile-Léopard".
La mosaïque du Nil de Palestrina
attribuée à Demetrius le géomètre,
représente des éthiopiens chassant
un « Crocodile-Léopard ».
Ces artefacts romains ont été découverts près de Tucson, Arizona, en 1924. Mais, comme il est "bien connu" que l'Amérique a été "découverte" par Christophe Colomb en 1492, ces artefacts pourtant déterrés par des archéologues professionnels, sont évidemment très controversés.  Ils sont datés entre 560 et 900.  Sur l'une des épées a été gravé un dinosaure.
Ces artefacts romains ont été découverts près de Tucson, Arizona, en 1924. Mais, comme il est « bien connu » que l’Amérique a été « découverte » par Christophe Colomb en 1492, ces artefacts pourtant déterrés par des archéologues professionnels, sont évidemment très controversés.
Ils sont datés entre 560 et 900.
Sur l’une des épées a été gravé un dinosaure.
Dinosaure dessiné sur une épée.
Dinosaure dessiné sur une épée.

Empire maya ,sud du Mexique:

Peinture rupestre du "dragon" de la grotte d'Oxtotitlan  au sud du Mexique.
Peinture rupestre du « dragon » de la grotte d’Oxtotitlan
au sud du Mexique.
Cette peinture murale Maya de Bonampak montre la tête d'un dinosaure
Cette peinture murale Maya de Bonampak montre la tête d’un dinosaure
Le 25 avril 1977, au large de la Nouvelle-Zélande un bateau de pêche japonais a remonté dans ses filets cette étrange créature marine à l'allure d'un plésiosaure. Cette carcasse était dans un tel état de décomposition qu'après une étude sommaire par l'équipage et les quelques scientifiques qui étaient à bord, elle dut être rejetée à la mer...  Dommage...
Le 25 avril 1977, au large de la Nouvelle-Zélande un bateau de pêche japonais a remonté dans ses filets cette étrange créature marine à l’allure d’un plésiosaure. Cette carcasse était dans un tel état de décomposition qu’après une étude sommaire par l’équipage et les quelques scientifiques qui étaient à bord, elle dut être rejetée à la mer…
Dommage…

Cambodge:

Angkor Vat fut construit au Cambodge par le roi Suryavarman II dans la première moitié du XIIe siècle.
Angkor Vat fut construit au Cambodge par le roi Suryavarman II dans la première moitié du XIIe siècle.
Comment peut-on expliquer cette représentation étrange semblable à un Stégosaure ?
Comment peut-on expliquer cette représentation étrange semblable à un Stégosaure ?

EN CONCLUSION:

La version officielle veut que, puisqu’il a été établi que tous les dinosaures se sont éteints il y a 65 millions d’années, toutes ces découvertes sont impossibles !

Ce ne sont que des descriptions d’animaux mythiques et
toute ressemblance avec des animaux ayant déjà existé n’est que pure coïncidence !!!

Si quelques dinosaures ont survécu, ils n’étaient de toute évidence pas très nombreux.
On n’en a pas encore retrouvé d’ossements récents, officiellement. Ne peut-on attribuer cela au fait que l’on prêtait à ces animaux un « pouvoir magique » tel celui qui était attribué aux os de dragons ou encore de nos jours aux cornes de rhinocéros et qui met gravement en péril la survie de cette espèce…

En dépit des certitudes scientistes, on a pourtant découvert des animaux que l’on croyait éteints à tout jamais comme les Dragons de Komodo, le Caelacanthedu dévonien, et le Sphenodon du mésozoïque en Nouvelle-Zélande.

Seuls les cryptozoologues continuent les recherches…

Donc ,si vous continuez à croire aveuglément tout ce qui est écrit dans les livres d’histoires et tout ce que vous racontent vos professeurs d’université,tout ce qui vient d’être débattu ici,ne sont que des faussetés…seule la « science officielle » prétend tout expliquer!

Nous continuons à vivre dans le scénario bien décrit du film « La planète des singes »!

l’intérêt du Nouvel Ordre Mondial est de continuer à maintenir l’humanité dans l’ignorance des découvertes extraordinaires qui attendent sous nos pieds!

Michel Duchaine

Citoyen du Monde

Chercheur et Diseur de Vérités

*…À suivre ,je suis à terminer un vidéo sur ce sujet.Je l’ajouterai  à l’article ,une fois terminé!

Ce vidéo pourrait  être fait en plusieurs parties,du à la longueur du texte et les très nombreuses photos à triées qui sont rattachées au projet!

Merci de nous appuyer.

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SOURCES

(1)-Université de St-Pétersbourg.

AUTRES SOURCES:

The American Journal of Science, vol.5, 1822,The American Antiquarian, 7:39, Janvier 1885,Anthropologist, fevrier 1896, P.66,Science Newsletter, 29 octobre 1938, Soviet journal 1961, Archéologia N°196 de novembre 1984, courrier des lecteurs, M. P. Bellin

Découverte fantastique en Équateur:une mystérieuse grotte pleine de pétroglyphes

Une  découverte toute récente...une civilisation
Une découverte toute récente…une civilisation inconnue!

 

 

Nous avons une série de photos
Nous avons une série de photos

 

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Photo de l'entrée .
Photo de l’entrée .

 

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VIDÉO:

Nouvellement découverte

(Date  de la première mention de cette découverte: 20 mars 2011)

La grotte semble être extrêmement vieille. Les habitants de cette grotte (qui n’était peut-être pas une grotte à cette époque) ont finement travaillé la pierre.La grotte est rempli de débris, mais le travail de la roche ne semble aller très  profondément  sous la surface du sol. Cette grotte est peu étudiée, elle est une récente découverte. Il y a  des objets découverts tout récemment dans le sol de la grotte,fabriqués  en pierre et d’autres matériaux. (Désolé  ,nous ne pouvons produire de photos  de ces objets ici.) Il y aurait deux autres grottes ornées de pétroglyphes à proximité et des objets supplémentaires et différents dans leurs profondeurs. Ce qui est important ,ici, c’est de recevoir des avis et de rester  informés de ce que nous avons ici,devant les yeux  et de pouvoir recevoir les études qui suivront sur ces  pétroglyphes « nouveaux », ou du moins d’établir une relation ou  étudier le contexte avec  d’autres œuvres préhistoriques. Si  quelqu’un que vous connaissez qui pourrait  donner une expertise sur ces pétroglyphes (et l’agencement  mégalithique de la grotte) s’il vous plaît examiner ces photos et partagez vos informations.

 L’emplacement de la grotte est en République d’ Équateur et c’est tout ce qui peut être donnée à ce stade,actuellement. Ceux qui ont une expertise dans ce domaine peut prendre des dispositions à un certain moment dans l’avenir pour voir la grotte en personne .

 

 

Découverte fantastique en cours: 3 pyramides découvertes en Antartique

Photo récente que je viens de recevoir.
Photo récente que je viens de recevoir.

Trois anciennes pyramides ont été découvertes dans l’Antarctique par une équipe de scientifiques américains et européens. Deux des pyramides ont été découverts à environ 16 kilomètres à l’intérieur, tandis que le troisième était très proche de la côte, selon les médias.

Une expédition dans les structures bizarres devrait répondre à la question intrigante qu’ils soient naturels ou artificiels.

Les premiers rapports sur les pyramides sont apparus dans l’ouest de médias l’année dernière. Quelques photos ont été affichées sur des sites Web avec un commentaire que les étranges structures pourraient servir la preuve que le continent couvert de glace habitude d’être assez chaud pour avoir eu une civilisation ancienne qui y vivent.

Actuellement,on  en sait encore  peu  sur les pyramides, l’équipe continue à garder le silence sur la découverte. La seule information fiable fourni par les scientifiques, c’est qu’ils prévoyaient une expédition dans les pyramides pour les recherches de manière plus approfondie et de déterminer avec certitude si les structures étaient artificielles ou naturelles. Pas de détails sur le calendrier de l’expédition n’ont été offerts à la curiosité des médias.

Au cas où les chercheurs prouvent que les pyramides sont des structures artificielles, la découverte peut obliger à  la plus grande révision de l’histoire humaine jamais faite.

ANNEXE I:

Annexe du 3 décembre 2013

Des recherches personnelles m’ont fait découvrir  de nombreux vidéos sur le sujet et vous avez été nombreux à me faire parvenir diverses informations qui complètent mes propres archives.

Nous sommes un vaste réseau et l’information est la semence de la Vérité qui Libérera les Humains de la Terre.

Voici donc un  premier vidéo qui servira à répondre à de nombreuses questions que vous m’avez posé. 

Sachez que je travaille moi-même à vous produire un vidéo à partir de l’ensemble des informations reçues sur mon vaste réseau.

Merci de participer à la recherche de la Vérité.