Nouvel Ordre Mondial Satanique:L’État luciférien profond enracine la franc-maçonnerie et la triade de la terreur d’Israël, d’Arabie saoudite et de la Turquie

Septembre 2020-Les troupes turques bombardent des villages à travers Idlib, pas beaucoup de bombardements, juste assez. Ensuite, ils se présentent pour évacuer ceux qu’ils viennent de bombarder, avec Reuters, Al Jazeera et d’autres équipes médiatiques avec eux.

Aout 2020,l’armée turque soutenait les rebelles à Idlib.

Ensuite, les médias accusent la Syrie d’une crise humanitaire avec l’espoir que Trump soutiendra le jeu des Frères musulmans contre la Russie et la Syrie.

 

La vraie histoire est une vieille histoire, une société secrète, qui traverse les 3 religions du livre, ce qui explique pourquoi les évangélistes chrétiens, les wahhabistes saoudiens et les extrémistes sionistes sont unis à la hanche contre la démocratie à travers la planète.

Pourquoi Erdogan soutient-il Al-Qaïda contre la Russie et la Syrie? Quel est le lien entre eux?

Le dictateur Erdogan de Turquie entouré de ses gardes du corps...On remarquera le style particulier!
Le dictateur Erdogan de Turquie entouré de ses gardes du corps…On remarquera le style particulier!

Tous deux s’opposent au «Baasisme», un mouvement anti-maçonnique qui a pris racine en Égypte sous Nasser, en Syrie sous les Assad et en Irak sous Sadam. Kadhafi?

Il a reconnu la franc-maçonnerie à l’intérieur de l’islam et en particulier, les Frères musulmans, financés par l’Arabie saoudite et le Qatar, comme une forme de sionisme. Le sionisme n’est pas juif, c’est une ramification de la franc-maçonnerie qui adore les anciens dieux, et ce seul dieu qu’ils placent au-dessus de tout.

Vous voyez, toute nation qui s’oppose au régime franc-maçon-Rothschild, avec la banque centrale en place et l’esclavage par dette, gaze son propre peuple et doit être nettoyée et asservie par des terroristes, comme cela a été fait en Syrie et en Irak, afin de jouir de la liberté et de la démocratie.

Al-Qaïda est un groupe de franc-maçonnerie de rite écossais, créé initialement sous Gladio, le programme de l’OTAN datant des années 1970. Erdogan est un franc-maçon de rite écossais, un islamiste, représentant les Frères musulmans, un groupe franc-maçon de rite écossais créé dans les années 1920.

Tous ont leurs racines au Moyen Âge et avant, mais pour la Turquie, Erdogan est la dernière itération sultanique du mouvement salonique-séfarade qui a commencé avec les Jeunes Turcs (Salonique-Thessalonique, maintenant en Grèce, faisait partie de la Turquie pendant des siècles, un ville avec la plus grande population juive d’Europe, 80 000). C’est le berceau des mouvements franc-maçonniques qui ont combattu les baasistes.

Aujourd’hui, la Turquie et ses groupes terroristes financés par la franc-maçonnerie dirigés par al-Qaïda nettoient ethniquement la province d’Idlib en Syrie, en utilisant des crosses de fusil pour faire sortir les gens de leurs maisons, en coopération avec des médias contrôlés aux États-Unis et ailleurs, une nouvelle «traînée de larmes» »Pour ajouter au prix de l’holocauste qui a frappé le Moyen-Orient depuis le 11 septembre.

 

Lorsque la Turquie a commencé à bombarder les troupes syriennes en essayant d’aider ce qui est maintenant un soulèvement généralisé contre la Turquie et les États-Unis dans les parties occupées et anciennement occupées (occupées par des terroristes) de la Syrie, la Russie a envoyé une note diplomatique à Erdogan indiquant l’emplacement exact de toutes ses forces. à l’intérieur de la Syrie.

Erdogan a reculé et a ordonné un cessez-le-feu temporaire tandis que les forces aérospatiales russes ont anéanti les alliés terroristes de la Turquie qui avaient franchi les lignes syriennes derrière l’attaque d’artillerie.

Pourtant, au moment d’écrire ces lignes, des milliers de militaires turcs vident chaque village d’Idlib, travaillant avec des équipes de tournage, terrorisant puis filmant, une leçon tirée des Casques blancs.

Maintenant, nous regardons le long match ici, où le 11 septembre n’était qu’une étape importante, pas plus.

Les équipes de VT, dirigées par Ian Greenhalgh, retracent les racines d’Erdogan, à travers son faux «islamisme» et jouant au Sultan, jusqu’à sa véritable histoire et ce qui le lie à l’État profond.

Nous avions tout ce dont nous avions besoin en 1910: des voix sataniques qui ont sculpté la Turquie. Voici comment l’Orient a été perdu dans ce SECRET


De Sir Gerard Lowther à Sir Charles Harding (privé et confidentiel) Constantinople, 29 mai 1910

«Cher Charles,

Le télégramme de Gorst du 23 avril sur la nomination présumée de Mohamed Farid comme délégué en Egypte des francs-maçons de Constantinople, «dit intimement lié au comité Union et Progrès», m’incite à vous écrire longuement sur la tension de la franc-maçonnerie continentale qui traverse le mouvement Young Turk.

Je le fais en privé et confidentiellement, car cette nouvelle franc-maçonnerie en Turquie, contrairement à celle de l’Angleterre et de l’Amérique, est en grande partie secrète et politique, et les informations sur le sujet ne sont disponibles que dans la plus stricte confidentialité, tandis que ceux qui trahissent ses secrets politiques semblent le faire ,mais craignez la main de la mafia. Il y a quelques jours, un maçon local qui a divulgué les signes de l’engin a en fait été menacé d’être renvoyé devant une cour martiale, siégeant en vertu de notre état de siège.

Comme vous le savez, le mouvement de la Jeune Turquie à Paris était tout à fait séparé et en grande partie ignorant le fonctionnement interne de celui de Salonique. Ce dernier a une population d’environ 140 000 habitants, dont 80 000 juifs espagnols, et 20 000 de la secte Sabetai Levi (zevi) ou crypto-juifs, qui professent de l’extérieur l’islamisme. Beaucoup d’anciens ont dans le passé acquis la nationalité italienne et sont des francs-maçons affiliés à des loges italiennes. Nathan, le lord maire juif de Rome, est haut dans la maçonnerie, et les premiers ministres juifs Luzzati et Sonnino, ainsi que d’autres sénateurs et députés juifs, sont aussi, semble-t-il, des maçons. Ils prétendent avoir été fondés et suivre le rituel de «l’ancien écossais».

(Fin de la lettre)


Ceux que vous ne voyez pas sont ceux dont vous devez avoir peur et ils dirigent, entre autres, les académies militaires américaines, West Point, Annapolis et l’Air Force Academy, et le sous-secrétaire à la Défense, Mike Esper, sont reprenant maintenant le contrôle de l’arsenal nucléaire américain.

Erdogan et ses soutiens représentent un mélange séculaire entre la franc-maçonnerie séfarade, basée à l’origine dans ce qui avait été «Salonique», plus que la Turquie, et les cellules en Italie, en Suisse et en France qui ont commencé dans les années 70 sous le nom de «Opération Gladio» et ont formé le L’OTAN a financé le système racinaire de tous les grands groupes terroristes du monde aujourd’hui, avec les moins dangereux, Al-Qaïda et ISIS, ceux que vous voyez.

De The Hill, 2016:

Égypte: le bras de fer entre l'armée et les Frères musulmans

«Les Frères musulmans sont apparus en Égypte en 1928 et sont devenus l’organisation islamiste la plus influente du XXe siècle. Les Frères musulmans ont été créés par Hassan Al Banna, qui avait 22 ans et idolâtrait Adolf Hitler. Le père de Hassan Al Banna était un étudiant du Grand Mufti d’Égypte qui était également un Grand Maître de la Loge Unie d’Égypte, un franc-maçon. Le père de Hassan était lui-même un franc-maçon initié au sein de la franc-maçonnerie britannique.

Hassan a établi les Frères musulmans comme une version violente et répressive de la franc-maçonnerie basée sur une idéologie islamique radicale de la haine qui deviendrait l’idéologie centrale d’Al-Qaïda et de l’État islamique.

Lorsque les responsables du renseignement russes et syriens sont venus me voir avec l’histoire que je devais me concentrer sur les francs-maçons, j’étais hors de ma portée. Aucun de nous ne considère que l’Arabie saoudite et le Qatar, qui poussent des milliards dans le terrorisme, finançant certainement le 11 septembre, ce qui est communément connu, le font en combinaison avec des groupes qui contrôlent à 100% la France et l’Italie et dirigent maintenant la Grande-Bretagne sous Boris Johnson comme bien.

Ce sont les Kosher Nostra, ce sont les «foules» italiennes et juives en Amérique et ils font le lien entre les dirigeants politiques américains depuis George Washington, tous financés par l’argent des Rothschild .

De VT en 2018 et d’autres documents de base, une très bonne lecture.

En janvier 2011, j’ai introduit le concept de «Deep State» dans l’article Rogue America and the Quiet Mutiny. Cet article est reproduit ci-dessous. Jugez comment nous avons fait depuis. On ment aux Américains sur ce que Trump prévoit vraiment.

Source:Veterans Today


EN COMPLÉMENTAIRE

L’ORGANISATION GLADIO ET SES CONSÉQUENCES ACTUELLES

 

EN GROS VOICI

 

Le réseau Gladio : Armées secrètes d’Europe

L’organisation secrète «Stay behind», rebaptisée plus tard Gladio, le «glaive», a vu le jour en 1948 à l’initiative des États- Unis. Ses agents devaient être prêts à effectuer des missions d’espionnage et à commettre des actes de sabotage en cas d’offensive soviétique. Celle-ci n’ayant finalement pas lieu, ce sont les intérêts politiques des gouvernements de droite voire de groupes d’extrême droite que Gladio s’attache à défendre. Des contacts existent avec les différents services secrets nationaux, à l’abri de tout contrôle parlementaire. C’est le Shape (commandement militaire de l’Otan en Europe) qui assure la coordination.

 

Les réseaux Stay behind en Europe :

 

Jamais personne n’a mené l’enquête au sujet des activités du service de renseignement luxembourgeois et de celle des services secrets du monde entier au Luxembourg », notait un hebdomadaire indépendant luxembourgeois promouvant un livre, forcément sulfureux, sur le sujet [1][1]Le ballet des barbouzes. Au cœur de l’espionnage et des…. Il est vrai qu’établir l’histoire du renseignement au Luxembourg, quand il n’est déjà pas chose aisée dans de grands pays, relève de la gageure. L’absence de rapport parlementaire concernant les activités Stay behind au grand-duché participait de ces questions. Toutefois, depuis le 7 juillet 2008, un pan de cette histoire secrète de la guerre froide est désormais accessible [2][2]Chambre des députés, rapport de la Commission de contrôle…. Cette question était apparue au grand jour en novembre 1990 par les premières révélations concernant l’Italie, où cette histoire était connue sous le nom de « Gladio ». Toute une littérature s’est penchée sur la question [3][3]Jan de Willems, Gladio, Bruxelles, EPO, 1991 ; Hugo Gijsels,…, sans réellement la philosophie de ces activités couvertes qui avaient vu le jour en Europe occidentale. Comme toujours lorsqu’il est question de renseignement, elle avait profité des révélations sulfureuses propagées par les médias à propos des déviances engendrées par l’existence de ces réseaux en Italie. Dans une certaine mesure, le modèle italien était même devenu celui appliqué à une conspiration mondiale téléguidée par l’Alliance atlantique.

2L’inanité d’une telle construction intellectuelle se nourrissant de présupposés anti-américains limitait toute analyse historique sérieuse, autant qu’elle l’empêchait de faire surgir la réalité des événements, à commencer par la chronologie. L’initiative luxembourgeoise, après les enquêtes parlementaires suisse [4][4]Événements survenus au DMF [Département militaire fédéral] :…, italienne [5][5]Senato della Repubblica, Relazione sulla vicenda « Gladio »,…, belge [6][6]Sénat de Belgique, Enquête parlementaire sur l’existence en…, néerlandaise [7][7]Cf. le débat parlementaire dans Tweede Kamer, Handelingen van… et autrichienne [8][8]Œsterreichisches Bundesministerium für Inneres. Generaldirektor…, offre une occasion de revenir sur cette histoire méconnue. Depuis les dernières discussions sur le réseau Stay behind à la Chambre des députés, en décembre 1990, un instrument a renforcé les moyens de contrôle parlementaire luxembourgeois, permettant de se pencher sur cette question. La loi du 15 juin 2004 portant sur l’organisation du service de renseignement de l’État instaurait une commission de contrôle parlementaire de ses activités. En novembre 2005, des révélations entourant une série d’explosions du 30 mai 1984 au 25 mars 1986 dans le grand-duché, attribuée au groupe non identifié à ce jour des « Bommeléerten », permit une transmission, le 12 juillet 2007, de l’affaire au parquet de Luxembourg, pour une enquête judiciaire, et une question parlementaire le 31 janvier 2008, ouvrant une enquête sur l’implication du service de renseignement de l’État [9][9]Cf. les dossiers consacrés par le journal Luxemburger Wort….

UNE OPÉRATION DE GUERRE FROIDE

3Au sortir de la Seconde Guerre mondiale, personne dans le monde du renseignement américano-britannique en mutation ne pensait que « le modèle que nous avions utilisé dans la résistance européenne contre les nazis ne puisse pas être approprié face à la menace totalitaire qui cherche à enrôler et pas seulement à soumettre les populations qu’elle occupait » [10][10]William Colby, Honorable Men : My Life in the CIA, New York,…. Le 12 février 1948, après le coup de Prague, la CIA entreprit de systématiser cette lutte qui s’inscrivait dans un contexte de plus en plus brûlant : en mars débuta le blocus de Berlin. Le 18 juin, le National Security Council adoptait la résolution NSC 10/2 chargeant l’Office of Special Project d’établir un programme d’action couverte. En octobre 1950, était créé l’Office of Policy Coordination (OPC). Dans le contexte d’une guerre de Corée s’éternisant, il fut bientôt chargé par le département de la Défense d’établir un réseau Stay behind en Europe occidentale et d’organiser des réseaux de résistance en Europe orientale [11][11]Harry Rositzke, The CIA’s Secret Operations : Espionage,…. Dans le même temps, de l’autre côté de l’Atlantique, les responsables politiques et militaires estimaient qu’il fallait éviter, en cas d’un nouveau conflit, les erreurs qui avaient été commises pendant la Seconde Guerre mondiale.

4Préalablement à toute coordination internationale, les principaux services spéciaux occidentaux entreprirent de réactiver leurs réseaux de résistance non communistes. En France, avant la désormais connue mission 48, aussi connue sous les noms arc-en-ciel et rose des vents, eut lieu la mission Smala. Au cours de l’année 1947, certains anciens de la France libre, comme le lieutenant François Meyer, furent réveillés par la direction de la surveillance du territoire pour constituer « un réseau de vigilance et de protection intérieure, de Stay behind, comme disent les Anglo-Saxons» [12][12]François Lenoir, Un espion très ordinaire. L’histoire vue du…. En cas d’invasion soviétique, irrésistible selon les sentiments de l’époque, ils devaient rejoindre l’Afrique du Nord par l’Espagne afin de préparer la reconquête nationale [13][13]Entretien de l’auteur avec le général Meyer du 19 décembre 1994.. On trouve là la philosophie générale des réseaux Stay behind, à savoir évacuer les gouvernements nationaux vers des territoires libres et maintenir des contacts sûrs avec ceux qui étaient restés au pays. Entre mai et septembre 1946, les ressorts de l’affaire « Passy », cabale médiatique lancée contre le colonel André Dewavrin, fondateur des services de renseignement de la France libre, montraient combien les habitudes nouées pendant la Seconde Guerre mondiale restaient vivaces [14][14]Le 4 mai 1947, le traité de Dunkerque inaugurait une…. Dans une Europe continentale en proie à la menace communiste, le MI-6 s’activait pour établir des réseaux dormants. À l’hiver 1948-1949, son chef, Stewart Menzies, convint avec le Premier ministre belge Paul-Henri Spaak de poursuivre la « coopération […] entre les services spéciaux […] sur base de ces traditions qui datent de la Première Guerre mondiale » [15][15]Sénat de Belgique, op. cit., p. 17-18., ou à tout le moins depuis le 11 mai 1942 [16][16]Emmanuel Debruyne, « Un service secret en exil.…. Bien que l’agent bruxellois de l’Office of Policy Coordination fût invité à rejoindre le Tripartite Meeting Belgium Brussels, il se retrouva dans la même position que son homologue de l’Office of Strategic Services naguère, à faire figure de bénéficiaire secondaire privilégié. De même, cette coopération fonctionna sur le même mode d’exclusivité que pendant la Seconde Guerre mondiale [17][17]Ainsi, le Stay behind suisse n’entretenait aucune relation avec…, et le Luxembourg fut totalement absorbé par le couple britannico-belge [18][18]Cf. Georges Heisbourg, Le gouvernement luxembourgeois en exil,….

5La guerre de Corée constitua un réchauffement inquiétant de la guerre froide. La question des réseaux Stay behind, comme bien d’autres questions d’ordre européen, fut évoquée au sein de l’union occidentale, conclue deux ans plus tôt entre la France, le Royaume-Uni, les Pays-Bas, la Belgique et le Luxembourg. Il fut décidé de constituer un organe de coordination. En juillet 1951, les activités du comité clandestin de l’union occidentale furent transférées, sur l’initiative du commandant militaire de l’Alliance atlantique, le général Dwight D. Eisenhower, au Coordination and Planning Committee (CPC), une structure qu’il est difficile de situer dans l’organigramme de l’Alliance atlantique, sinon en « liaison directe et officielle » avec le Supreme Headquarters Allied Powers Europe (SHAPE). Tout juste peut-on dire qu’il était « composé à la base de représentants des Services spéciaux britanniques, français et américains, mais qu’il [obtint], une fois créé officiellement, la collaboration des Services spéciaux des autres nations de l’OTAN toutes les fois que leurs intérêts nationaux seraient en jeu » [19][19]Compte rendu de la dixième réunion du Comité clandestin de…. Ainsi, la participation des services néerlandais, belges et luxembourgeois en pleine (ré)organisation à partir des personnels résistants ne pouvait être envisagée au CPC. Pas plus qu’italiens d’ailleurs…

6Toutefois, des représentants des trois premiers furent invités à suivre les travaux des deux groupes de travail, Operational Clandestine Intelligence (renseignement) et Escape & Evasion (fuite et évasion) du CPC. Ce ne fut qu’au lendemain du soulèvement hongrois que le Luxembourg adopta le « dispositif de temps de guerre selon les directives du CPC ». Le 5 février 1957 [20][20]Le Stay behind luxembourgeois s’inscrivait dans les mêmes…, le chef du 2e bureau de l’armée luxembourgeoise – qui faisait encore fonction de service spécial militaire – demanda au chef d’état-major de mettre à sa disposition « un officier spécialisé en la matière et qui serait envoyé dès à présent à la sous-commission créée par le CPC et composée des représentants de chaque pays intéressé ». Ainsi le grand-duché se mettait-il dans les conditions de rejoindre, comme l’avaient fait avant lui ses partenaires du Benelux, l’Allied Coordination Committee (ACC), constitué le 30 avril 1958 à partir des deux groupes de travail du CPC. Il s’agissait d’un

« comité régional réunissant six puissances dont le but est de fournir une consultation mutuelle et de développer des avis de politique en matière d’intérêts communs concernant le stay behind dans les pays concernés d’Europe occidentale. […] Les six membres, bien qu’ils agissent en consultation avec les autres partenaires, gardent néanmoins leur autonomie et le contrôle de leurs ressources nationales » [21][21]Sénat de Belgique, op. cit., p. 21-22 et Chambre des députés,….

 

7Le 23 avril 1959, le Luxembourg pouvait entamer son intégration au sein du dispositif de l’ACC [22][22]Lettre du chef des services spéciaux luxembourgeois au…. Il acceptait ainsi de s’accorder avec ses autres partenaires [23][23]L’Allemagne, l’Italie, le Danemark et la Norvège rejoignirent… pour développer une politique commune en matière de Stay behind, mais conservait son autonomie d’organisation. De même, cette coordination n’intervenait pas dans le cadre de l’OTAN, bien que tous ces pays en fussent membres et qu’ils profitassent des rencontres organisées dans ce cadre pour tenir leurs réunions jusqu’en octobre 1990. Par ailleurs, compte tenu de la particularité des relations qu’entretiennent le grand-duché et le royaume de Belgique depuis 1921, il semble qu’une coopération s’organisa entre les deux structures Stay behind. Enfin, comme le montrait déjà le Tripartite Meeting Belgium Brussels, le Luxembourg fut associé au couple belgo-britannique [24][24]Dans les années 1950, la représentation militaire….

LE STAY BEHIND RATTACHÉ AU SERVICE DE RENSEIGNEMENTS

8Le processus proprement luxembourgeois se développa dans le cadre de la loi du 30 juillet 1960, concernant la protection des secrets intéressant la sécurité extérieure de l’État. Était créé un service de renseignements (SRE) civil, placé sous l’autorité directe du ministre d’État, président du gouvernement, qui en déterminait l’organisation et les relations avec les autres administrations. Le nouveau service se vit ainsi accorder certaines dérogations, notamment dans les domaines du recrutement de personnel [25][25]En principe seulement par voie de détachement. et de la gestion budgétaire [26][26]Les fonds du service furent mis pour autant que de besoin à la…. L’arrêté ministériel du 22 novembre 1960 concernant l’organisation intérieure du service de renseignements prévoyait la constitution d’un groupe « Plans », dont le chef était « chargé de l’élaboration de tous les plans relatifs à des missions spéciales. Il fut responsable du recrutement, de l’instruction et de l’affectation du personnel chargé de ces missions ainsi que de la mise à disposition du matériel requis ».

9Ce groupe n’était autre que la section spéciale du service de renseignements chargée de la planification de guerre, de concert avec les services alliés au sein de l’ACC. Il était responsable au grand-duché du réseau Stay behind. Le Luxembourg adoptait la même solution que la Belgique de faire gérer la structure clandestine par un service civil [27][27]En Belgique, la structure Stay behind était composée de la…, en collaboration avec l’armée. De même, un projet d’arrêté précisait qu’ « un cloisonnement est établi entre la section “Opérations” et la section “Plans” », cette dernière étant directement soumise à l’autorité du directeur du service ou de son adjoint. Une réorganisation interne du SRE, par arrêté ministériel du 6 juillet 1981, transforma les anciens « groupes » en « branches ». Mais s’il décrivait beaucoup plus en détail la structure interne du service que celui de 1960, il n’en livrait naturellement aucun pour le « Plans ». Bien entendu, sa mission restait inchangée, comme son organisation. Elle restait sous la responsabilité d’un officier de l’armée détaché et de deux instructeurs. Ces derniers s’occupaient de la création et de la maintenance, en temps de paix, d’un réseau d’agents clandestins spécialement recrutés, entraînés et organisés pour rester sur place et opérer à partir du pays après l’occupation par l’ennemi.

10La « conception luxembourgeoise de l’organisation Stay behind »prévoyait explicitement que la structure était aux ordres du gouvernement luxembourgeois, opérait exclusivement sur le territoire national et ne se mettait en œuvre qu’après l’occupation du territoire national par l’ennemi.

11Le « dispositif de temps de guerre selon les directives du CPC » de 1957 envisageait trois grandes catégories de missions : le renseignement, l’infiltration/exfiltration, les actions.

12La première se résumait à la collecte d’informations d’ordre général, économique et militaire, et à leur transmission par radio à la base clandestine alliée. La seconde consistait à organiser le transit clandestin de personnel et de matériel par voie terrestre ou aérienne. Afin d’assurer l’évacuation du gouvernement, de la famille grand-ducale et des personnes clés de l’administration publique, des plans de repli furent élaborés et des réserves en ressources matérielles (véhicules, essence…) constituées. Les agents reçurent une formation pour préparer et baliser une zone en vue d’un parachutage, d’un ramassage en vol et d’un atterrissage d’hélicoptère.

13La dernière mission couvrait le sabotage, les Psy Ops (opération psychologique), le soutien aux mouvements de résistance et l’appui aux Unorthodox Military Forces (forces spéciales militaires). Toutefois, dans la terminologie Stay behind, le terme « actions » signifiait le plus souvent opérations de sabotage.

« De par sa situation démographique particulière, le Luxembourg ne peut sepermettre de recruter et d’instruire des agents destinés à des actions de sabotage. Toutefois, il accepte les propositions du Royaume-Uni pour organiser des groupes clandestins d’action (CAG) et de les instruire en temps de guerre, groupes recrutés parmi le personnel luxembourgeois ayant pu regagner le Royaume-Uni. Ces CAG seront aux ordres du gouvernement luxembourgeois, et le cas échéant, du cadre national de l’ACB, mais sont uniquement destinés à remplir des missions requises par le commandement militaire allié. » [28][28]Note de la branche « Plans » du 21 mars 1977, citée dans…

 

14Les agents luxembourgeois ne furent pas plus formés aux Psy Ops. Comme il n’était pas plus prévu d’intégrer les agents dans des groupes locaux de résistance, l’appui aux UMF se résuma à recueillir et à guider de petites équipes, à leur fournir des renseignements et à les approvisionner.

15À la différence de l’organisation belge, la structure Stay behind luxembourgeoise ne fut pas complétée d’une structure militaire dédoublée. De ce fait, il en découla une autre logique de recrutement, ou plutôt de cooptation. Comme partout en Europe, les candidats étaient des nationaux apolitiques. En outre, ils devaient jouir d’une bonne réputation et n’avoir commis aucune infraction pénale. Ils étaient affectés à une zone d’opérations dans laquelle ils étaient domiciliés. L’agent idéal était marié, exerçant un métier qui lui laissait assez de temps et de liberté de mouvement et n’appartenait plus à la réserve de l’armée.

16Après leur recrutement, les agents identifiés recevaient une formation individualisée et régulière leur dispensant des connaissances spécifiques et théoriques nécessaires à l’accomplissement de leur mission. Selon la disponibilité de l’agent, les cours avaient lieu hebdomadairement pendant une période d’une à deux années et comportaient une instruction sur l’organisation et la direction d’un réseau clandestin, la sécurité individuelle et collective, le comportement conspiratif, les communications, des sujets techniques comme les transmissions, la lecture de cartes, l’identification du matériel d’armement ennemi, des exercices pratiques, des instructions opérationnelles.

17Cette instruction initiale était complétée régulièrement par des mises à niveau bimestrielles destinées à rafraîchir leurs connaissances et à tenir compte de l’évolution des technologies et des procédures à utiliser. Cet entraînement permettait au Luxembourg de mettre en place un réseau clandestin de responsables de la mission « fuite et évasion », mais aussi d’agents d’infiltration et de soutien des éléments alliés chargés de préparer la reconquête. Ces opérations pouvaient se faire par voie terrestre ou par voie aérienne.

18Pour s’acquitter de ces missions, les agents étaient équipés de matériel radio et cryptographique. Ils disposaient également de moyens opérationnels tel qu’un plan de transmissions, pour les opérateurs radio, une ou plusieurs boîtes à lettre (mortes ou vivantes), des blocs code, un ou plusieurs lieux de contact frontière, où des infiltrations/exfiltrations auraient pu être opérées, et une zone de largage et d’atterrissage pour hélicoptère. Les descriptions de ces moyens, propres à chaque agent, étaient enfermées dans une boîte scellée qui leur était distribuée dès le temps de paix, mais qu’ils ne pouvaient ouvrir qu’au moment de leur activation, soit après l’occupation du territoire national. Ils ne disposaient pas d’armes et ne furent pas formés pour le combat armé. La cache d’armes aménagée en 1973 leur était inconnue ; elle était uniquement destinée à servir en temps de guerre [29][29]Elle était constituée de trois caisses en zinc, chacune….

19En dehors de leurs périodes de formation et d’entraînement, les agents formaient des cellules dormantes destinées à être activées uniquement en cas d’occupation ennemie. Ils n’étaient pas rémunérés par le service de renseignements, s’engageant à titre volontaire et bénévole ; ils avaient simplement droit à un remboursement de frais occasionnels, comme les déplacements.

LE CONTRôLE POLITIQUE DU RéSEAU STAY BEHIND LUXEMBOURGEOIS

20Un des principaux problèmes avec les structures Stay behind reste le degré de connaissance qu’en avaient les dirigeants politiques. Le principal écueil réside dans la place institutionnelle des services de renseignement et de l’organisation interne du réseau dormant. Ainsi, en Belgique, les ministres de la Défense et, parfois, de la Justice, responsables des services de tutelle du Stay behind, furent dans l’ensemble informés, mais pas les Premiers ministres [30][30]Sénat de Belgique, op. cit., p. 227-242.. Contrairement à ce que Jacques Santer laissa entendre devant les députés le 14 novembre 1990 [31][31]Luxemburger Wort du 15 novembre 1990., la nature plus restreinte du mode de gouvernement luxembourgeois fit que les autorités furent informées de leur concept et de leurs activités dès leur création. La participation du grand-duché au CPC, en février 1957, puis à l’ACC, en avril 1959, découlait de décisions gouvernementales, prises par les ministres successifs de la Force armée, Pierre Werner, puis, en mars 1959, Eugène Schaus. Une note manuscrite du chef du 2e bureau du 14 mai 1959 confirme le passage de consigne à ce sujet entre les deux ministres. L’adoption de la loi de juillet 1960 transféra l’autorité sur le Stay behind de l’armée luxembourgeoise au Service de renseignements nouvellement créé, comme la responsabilité politique du ministre de la Force armée au ministre d’État, président du gouvernement [32][32]De juillet 1960 à la dissolution du réseau Stay behind en….

« Outre que le concept même du Stay behind a été expliqué et développé aux autorités politiques compétentes dès sa création et sa mise en œuvre […], chaque exercice, national ou international, au Luxembourg ou à l’étranger, avec participation luxembourgeoise a, au préalable, fait l’objet d’une demande d’autorisation sous forme de lettre, introduite par le Directeur du service de renseignements auprès de l’autorité politique compétente. Dans ces demandes, le directeur prit soin de présenter minutieusement l’objet des exercices. » [33][33]Rapport du directeur du Service de renseignements, Charles…

 

21Par ailleurs, lors d’une réunion d’information organisée en juillet 1985 au profit de Jacques Santer et de son ministre de la Force publique, Marc Fischbach,

« la structure, le fonctionnement et les activités du service leur ont été exposés au moyen de transparents overhead. Dans ce contexte, le concept Stay behind a été expliqué et l’exposé était suivi de la visite des bureaux du Stay behind avec présentation de l’équipement des agents du Stay behind. Par la suite, avec l’accord de principe de M. le Premier ministre, un certain nombre de personnalités du gouvernement, du Conseil d’État et de la Chambre des députés ainsi que certains hauts fonctionnaires et magistrats ont répondu à l’invitation du directeur du SRE et ils ont pu suivre le même programme de présentation » [34][34]Ibid..

 

22Une liste manuscrite retrouvée dans un dossier aux archives du SRE, probablement constitué lors de l’enquête de 1990, indique qu’entre juillet 1985 et juin 1987, des politiques de tout le spectre luxembourgeois non communiste (chrétiens-sociaux, ouvriers socialistes, démocratiques) participèrent à ces briefings. Il y avait naturellement des ministres en fonction, Jacques Santer, Marc Fischbach, Jacques F. Poos [35][35]Vice-président du gouvernement, ministre des Affaires…, Robert Goebbels [36][36]Secrétaire d’État aux Affaires étrangères, au Commerce…, Jean Spautz [37][37]Ministre de l’Intérieur, ministre de la Famille, du Logement…, Émile Krieps [38][38]Secrétaire d’État au ministère de l’Intérieur (1972-1974),…. Il y avait des députés Willy Bourg, François Colling, Edouard Juncker, Henri Grethen [39][39]Député (1984-1999) et secrétaire du Parti démocratique…, et des hauts fonctionnaires, comme les diplomates Jean-Jacques Kasel [40][40]Chef de cabinet de Gaston Thorn, ministre des Affaires… et Jean Dondelinger [41][41]Secrétaire général du ministère des Affaires étrangères…. Il sembla même qu’un certain consensus existât. Sous le mandat du socialiste Jacques Poos aux Affaires étrangères, certaines dépenses affectées directement aux besoins du réseau furent imputées sur le budget du ministère.

23Ainsi, la plus importante dépense jamais réalisée par le Stay behind était liée à l’acquisition de radios cryptées de type Harpoon, produites par la société allemande AEG Telefunken ; ce système permettait d’envoyer des messages cryptés à 6 000 km, permettant aux réseaux d’entretenir des relations entre eux, mais également de joindre les différents centres de commandement, le MI6 et le gouvernement en exil en Grande-Bretagne comme la CIA aux États-Unis [42][42]Jusque-là, le Stay behind luxembourgeois était doté, à l’instar…. En 1986, le directeur du Service de renseignements précisait à Jacques Santer que :

« Depuis sa création, le SRE s’occupe de la mise en place, de l’entraînement et de l’équipement de structures clandestines Stay behind dont la mission est de supporter les autorités nationales en exil ainsi que le Commandement militaire allié en cas d’occupation par l’ennemi de notre territoire national. […] L’ACC a décidé début 1980 de faire développer à charge des membres un poste radio Harpoon façonné exclusivement à ses besoins spécifiques. Vu le nombre très restreint d’équipements à fabriquer ainsi que les conditions très sévères imposées quant à la sécurité des émissions, le CIA était conscient qu’une lourde charge financière s’en suivrait pour ses membres. […] Tout en restructurant nos réseaux de manière à ne plus avoir que le strict minimum des postes radio à acquérir, la dépense pour l’acquisition du nouveau système s’élèverait toujours à […] [43][43]Un système coûtait 82 298,70 DM en 1987 et le paiement… Fr. lux à échelonner sur quatre ans. »

 

24Le ministre d’État, président du gouvernement approuva le principe de la demande. Mais il enjoignit « M. le chef du SR de se mettre en rapport avec M. le directeur de l’Inspection générale des finances pour discuter des problèmes budgétaires » [44][44]Chambre des députés, op. cit., p. 12.. Le « remplacement de l’équipement radio spécial utilisé en cas d’occupation du territoire » fut inscrit à l’exercice 1987 du budget du service de renseignements, mais également à celui des Affaires étrangères. L’Inspection générale des finances fut également associée à la prise de décision, l’exécution budgétaire étant soumise au contrôle par la Chambre des comptes.

LE DÉMANTÈLEMENT DU STAY BEHIND LUXEMBOURGEOIS

25Le 14 novembre 1990, tirant les conséquences de la nouvelle donne géopolitique, mais également de la tempête médiatique européenne qui s’annonçait [45][45]Il s’en expliqua le même jour devant la Chambre des députés…, Jacques Santer donna à Charles Hoffmann « l’instruction de ne plus faire poursuivre par le Service de renseignements la mission dite Stay behind ni aucun des aspects qui en relevaient. Vous voudrez dès lors prendre les mesures nécessaires pour dissoudre ce réseau ». Le ministre d’État devançait de dix jours la décision de l’allié belge et de quatorze celle de l’italien d’en finir avec la guerre froide.

26Le directeur du Service de renseignements informa l’ACC/CPC de la fin de la collaboration luxembourgeoise, en avisa les services étrangers. Puis il signifia aux agents nationaux que leur mission était achevée. Ils devaient rendre leur équipement opérationnel. Leur relation avec le service fut ensuite interrompue. Conformément aux instructions et aux règlements en vigueur, les documents relatifs au Stay behind furent soit restitués à leurs autorités émettrices, soit détruits. La cache d’armes fut démantelée, les armes qu’elle contenait, soit détruites, soit prises en charge par le Musée militaire de Diekirch. Les radios Harpoon ainsi que le matériel de chiffrage furent mis à la disposition d’un pays allié qui avait décidé de maintenir en place ses réseaux clandestins.

27Le 10 janvier 1991, Jacques Santer adressa une dernière lettre aux agents du Stay behind luxembourgeois :

28« À tous les membres du réseau Stay behind

  « Madame, Monsieur,
« Au moment où, sur mes instructions, le Service de renseignements de l’État vient de procéder à la dissolution du réseau Stay behind – dont vous faisiez partie – il me tient à cœur de vous remercier de l’engagement dont vous avez fait preuve. Vos sentiments patriotiques vous ont amené à accepter, pendant des années, une mission ingrate à laquelle vous avez consacré une partie de votre temps libre sans avoir eu droit, et sans avoir prétendu, à la moindre indemnisation. Le service que vous avez rendu au pays est d’autant plus grand que, fermement ancré comme vous l’êtes dans le corps social, vous avez espéré au maintien de la paix, tout comme nos compatriotes, tout en préparant une éventualité cruelle que vous abhorriez tout autant que les autres Luxembourgeois. Vous avez accepté de tirer dès à présent les leçons des événements de 1940-1945 que la Résistance d’alors a dû apprendre à ses dépens et pour lesquelles elle a dû payer un tribut effroyable.
« Quoi qu’en disent certains, mal informés ou mal intentionnés, je vous assure que vous avez assumé une mission importante et que vous avez contribué à maintenir la crédibilité de notre patrie à l’égard de ses alliés. La dissolution du réseau Stay behind intervient pour des raisons qui sont étrangères à l’organisation et au fonctionnement du réseau qui, je le constate avec satisfaction, n’est jamais sorti du cadre légal.
« Ce sont, comme vous le savez, les changements importants qui se sont manifestés au niveau international, et qui sont pleinement apparus au récent Sommet CSCE à Paris, qui ont amené le gouvernement à reconsidérer les missions confiées au Service de renseignements, à l’instar d’ailleurs de ce qui s’est passé parallèlement dans d’autres pays de l’Alliance.
« Je m’excuse de m’adresser à vous sous cette forme anonyme mais je suis persuadé que vous comprendrez que je ne veuille pas, dans un document officiel, faire apparaître votre identité, bien que celle-ci, comme d’ailleurs celle de tous les agents du réseau, me soit connue depuis peu, ce qui m’a d’ailleurs permis, à l’égard du Parlement, de me porter fort de votre honorabilité.
« Avec ce qui sera sans doute le dernier contact du gouvernement et de ses services avec vous-même en tant qu’agent du réseau Stay behind, et avec mes remerciements personnels, je vous prie de croire, Madame, Monsieur, à l’assurance de ma considération distinguée.
« Le Premier ministre, ministre d’État,
Jacques Santer. » [46][46]Ibid., p. 13.

 

29L’histoire du Stay behind luxembourgeois permet de remettre en perspective les révélations autour de « Gladio ». Comme l’avait rappelé Claude Silberzahn, ancien directeur général de la sécurité extérieure (DGSE) dès 1995, le dispositif était connu sous la dénomination Stay behind partout en Europe occidentale et n’était « qu’une structure “dormante” et non armée, destinée à maintenir en place un réseau logistique – essentiellement de communication et d’exfiltration – en cas d’occupation du territoire par des forces ennemies » [47][47]Au cœur du secret. 1 500 jours aux commandes de la DGSE, Paris,….

30Et rien d’autre. Les détournements d’objectif en Italie, et certainement en Belgique et en Turquie, ne constituent pas une règle pour ces réseaux de la guerre froide, mais bien autant d’exceptions. L’erreur faite par certains, renouvelée une nouvelle fois en janvier 2008 dans la presse luxembourgeoise à propos des « Bommeléerten » [48][48]Chambre des députés, op. cit., p. 3 ; Michel Thiel, « Stay…, a été de croire et de prétendre le contraire.

31Pour bien comprendre la réalité des structures Stay behind, il fallait prendre leur histoire au commencement, et non succomber aux facilités médiatiques. Il ne fallait pas omettre de prendre en compte le contexte idéologique des années 1940-1950 et de ses poussées de peur [49][49]Cf. l’analyse du major D. H. Berger, USMC, à propos des…. Trois chronologies de départ apparaissent ainsi. Il convient de distinguer :

32— les pays « précurseurs » (1944-1949), réellement menacés par l’expansion communiste, directement comme la Grèce, l’Allemagne et l’Autriche, ou indirectement comme la France, l’Italie, la Norvège, la Belgique et les Pays-Bas ;

33— des pays qui rejoignirent le réseau entre la répression du soulèvement de Berlin-Est et celui de Budapest (1953-1956), comme la Suède, la Finlande, la Turquie, le Luxembourg, le Danemark ;

34— et celui des atypiques qu’étaient l’Espagne, le Portugal et la Suisse.

35Les raisons de rejoindre les structures Stay behind furent imposées par la situation géographique ou le résultat du durcissement des relations internationales, notamment à partir du déclenchement de la guerre de Corée. D’autres raisons plus locales étaient également à prendre en compte. Ainsi, au Luxembourg, la recherche d’un format adéquat de force armée entamée au lendemain du conflit mondial n’aboutit finalement qu’avec le vote de la loi d’organisation militaire du 17 juin 1952 [50][50]Cf. Jacques Leider, L’armée luxembourgeoise d’après guerre.…. Ce n’est qu’ensuite que s’élabora la doctrine d’emploi dans le cadre de la guerre froide, dont l’issue ne pouvait être différente, compte tenu de l’environnement opérationnel, des orientations prises par la participation du grand-duché au Comité clandestin de l’Union occidentale.

36Il serait tout aussi erroné d’y voir une volonté structurée de l’OTAN. Ce serait d’abord prêter beaucoup trop à cette alliance qui n’est qu’organisation politico-militaire. Ce serait ensuite méconnaître le fonctionnement des institutions intergouvermentales internationales. Dans le premier cas, il serait illusoire que l’Alliance atlantique ait pu mettre sur pied un service intégré de renseignement et d’action, alors qu’il s’agit là d’un domaine particulièrement sensible de souveraineté nationale ; il n’est qu’à voir les difficultés qui s’opposent aujourd’hui à une « communauté européenne du renseignement », malgré des conditions favorables liées à la lutte antiterroriste. Dans le second cas, il ne faut pas sous-estimer la fonction de paravent qu’offrent ces organisations, permettant de traiter en toute discrétion de questions dont on ne s’attend pas à débattre dans ces lieux. N’oublions pas que l’Union de l’Europe occidentale a abrité les négociations d’entrée de la Grande-Bretagne dans la Communauté économique européenne, contribuant à lever les objections françaises…

37Enfin, il ne faut pas négliger la part de schizophrénie des services de renseignement, particulièrement pendant la guerre froide. Les débordements italiens trouvaient leur origine dans un État défaillant et d’un interventionnisme américain forcené. En même temps que l’OPC mettait en place un projet de propagande électorale, une autre branche de l’OPC montait le Stay behind… Que les deux projets aient fini par utiliser les services des mêmes Italiens montrait plutôt un défaut de coordination au sein de la CIA, ce que l’observation d’autres opérations confirmait, qu’une volonté de jouer quelque stratégie de tension [51][51]Cf. Arthur E. Rowse, « Gladio : The Secret US War to Subvert…. Le cas luxembourgeois laisse éclater autre chose, l’erreur de voir la main de l’OPC derrière l’organisation de ces réseaux, alors que leur paternité en reviendrait effectivement au MI-6…


EN DEUXIÈME COMPLÉMENTAIRE

Attentat de Bologne : les documents secrets sur Gladio et la Loge maçonnique P2 rendus accessibles par le gouvernement italien

 

 

Il est 10h25, le 2 août 1980 lorsqu’une bombe de très forte puissance détruit le hall de la gare de Bologne. 85 hommes, femmes et enfants périrent dans ce qui demeure aujourd’hui l’attentat le plus sanglant jamais commis en Italie. Deux cents autres victimes ont été blessées. Depuis cette date, les familles de victimes n’ont cessé de réclamer la vérité complète sur les circonstances dans lesquelles les poseurs de bombe, identifiés et jugés définitivement en 1995, ont commis cet attentat attribué aux néofascistes mais dans lesquelles des membres des services officiels de l’Etat ont été impliqués et condamnés.

Le 2 août est considéré en Italie comme la journée de la mémoire de tous les massacres terroristes. La reconstruction de la gare a préservé le trou causé par l’explosion dans la salle d’attente et même l’horloge, qui indique encore 10h25.

Horloge gare de Bologne l’heure de l’explosion

 

 

 

 

Les documents rendus accessibles par les autorités italiennes

À l’occasion de la 41e commémoration du jour anniversaire de l’attentat, Mario Draghi, président du Conseil des ministres, a signé une directive permettant d’accéder à l’ensemble de la documentation concernant l’organisation « Gladio » et la loge maçonnique P2.

Cette décision vient compléter d’autres initiatives prises dans les années 2000 pour tenter d’éclairer les circonstances et les responsabilités dans la commission de plusieurs attentats commis dans les années 70-80 pour influencer la vie politique italienne.

Toutes les ombres n’ont pas été dissipées

Pour ce 41e anniversaire de l’attentat de Bologne, Sergio Mattarella, le président de la République a adressé aux proches des victimes un message dans lequel il indique : « Toutes les ombres n’ont pas été dissipées et la recherche d’une vérité complète fait toujours l’objet d’un engagement fort”.

Jour du souvenir du massacre de la gare centrale de Bologne en 1980.

Des procès successifs pour une vérité à tiroirs, le dernier vient de s’ouvrir

Sur le terrain judiciaire, l’attentat de Bologne a mené à plusieurs procès avec de premières condamnations en 1988 et la révélation d’éléments de vérité mais partiels. Si l’enquête initiale a duré presque quinze ans, la pression des familles n’a jamais cessé pour exiger une vérité complète sur les circonstances de l’attentat mais aussi et surtout sur les responsabilités des commanditaires. Ce qui a conduit à mener de nouveaux devoirs d’enquête.

Exiger une vérité complète

Plusieurs tentatives d’égarer les enquêteurs sur de fausses pistes ont été entreprises ce qui a permis de consolider l’hypothèse de la conspiration. D’autant que des membres élevés de la hiérarchie des services secrets militaires ont été impliqués dans la mise en place de ces fausses pistes. Notamment le placement d’une bombe similaire à celle de Bologne dans le train Tarente-Milan en janvier 1981 de manière à reporter les suspicions vers d’autres auteurs.

Un nouveau procès pour cerner le rôle des échelons supérieurs

Aujourd’hui en 2021, un ultime procès à Bologne livre de nouveaux éléments qui pourraient mettre un terme à un long combat entamé par les familles soutenues par une grande partie de la classe politique italienne qui souhaite sortir de cette sombre période des années noires.

L’un des procès les plus importants jamais organisés dans notre pays

Pour Giuliano Turone, qui a découvert les listes de membres de la Loge P2 et qui s’exprime dans le quotidien La Republica ce procès à Bologne centré sur le rôle de Licio Gelli pourrait être déterminant : « Je pense que c’est l’un des procès les plus importants jamais organisés dans notre pays. Celui qui, plus que tout autre, va au fond du rôle joué par les échelons supérieurs dans la stratégie de la tension ».

Pour Marta Cartabia, la ministre de la Justice présente lors de la cérémonie d’anniversaire de l’attentat : « Il n’y a pas de justice sans une enquête complète sur les faits et les responsabilités » a-t-elle indiqué avant d’annoncer le renforcement du pôle des magistrats à Bologne.

Les audiences du procès sont suspendues durant l’été et reprendront en septembre. Le rythme devrait se poursuivre ensuite de manière soutenue afin de clore le procès au début de l’année 2022.

Une volonté de subvertir les équilibres politiques constitutionnels

De premières condamnations définitives sont tombées en 1995. On peut déjà y lire dans les attendus de l’arrêt prononcé : « l’existence d’une vaste association subversive composée, d’une part, par des éléments provenant des mouvements néofascistes dissous […] et d’autre part, par Licio Gelli, le chef de la loge « Propaganda Due », Francesco Pazienza, le collaborateur du directeur général du service de renseignement militaire SISMI, et deux autres officiers du service, le général Pietro Musumeci et le colonel Giuseppe Belmonte ».

Volonté de consolider les forces hostiles à la démocratie

Dans le jugement sur les mobiles on peut lire, une volonté : « d’un côté de vouloir subvertir les équilibres politiques constitutionnels, pour consolider les forces hostiles à la démocratie, et de l’autre […] de favoriser les auteurs d’entreprises terroristes qui pouvaient s’inscrire dans leurs plans « .

Le circuit de l’argent, la Suisse et le Vatican

Selon l’hebdomadaire italien Expresso en décembre 2020, le financement de l’attentat a été effectué via des comptes suisses par le versement d’un montant de cinq millions de dollars américains volé à la Banco Ambrosiano mise en faillite par le banquier Roberto Calvi.

La piste de l’assassinat de Roberto Calvi

Ce qui a permis de relancer la piste de l’assassinat de Calvi, retrouvé pendu à Londres à la suite d’un prétendu suicide. L’homme s’apprêtait-il face à la déconfiture de sa banque à dénoncer les agissements du groupe de Gelli et sa responsabilité dans l’attentat de Bologne ? Ou de menacer de le faire si l’on ne remettait pas sa banque à flot ? Ces questions sont au cœur d’un nouveau procès en cours à Bologne et dans lequel les derniers protagonistes du dossier encore en vie sont invités à venir s’expliquer sur ces nouveaux éléments.

A mon avis, nous nous rapprochons de la vérité complète

Paolo Bolognesi, président de l’association des parents des victimes du massacre de Bologne, en est convaincu. Mais, ajoute-t-il, « le problème sera d’aller vraiment au fond des choses« .

De Mussolini à l’intégration aux structures occidentales de l’après-guerre

Les éléments récents apparus confirmeraient l’implication de hauts responsables des services de sécurité italiens ainsi qu’un proche du Vatican, Licio Gelli, décédé en 2015 et qui fut le grand ordonnateur d’un groupe secret dénommé Loge P2 pour « Propaganda Due ».


À lire aussi: Réseau « Gladio », le « patron » des espions s’exprime pour la 1ère fois depuis 1991


Ce groupe dissimulé sous les traits d’une loge maçonnique régulière visait à orienter la politique italienne dans une direction conforme aux intérêts de leurs mandants, manipulant allègrement dans la transversalité les différentes institutions de l’Etat ainsi que les extrémistes de tous poils, de gauche et de droite.

Le passé du Grand maître Lucio Gelli mène à l’Italie de Mussolini dans laquelle il a joué un rôle actif puis après la seconde guerre mondiale, aux structures de la Défense occidentale dans lesquelles Gelli a su opportunément se recycler pour poursuivre ses activités sous la bannière de l’anticommunisme. Comme l’ont fait aussi en Allemagne, dès 1945, d’anciens agents du renseignement nazi sous la direction de Reinhard Gehlen.

Un réseau « Gladio » à géométrie variable selon les pays et les époques

Des ramifications internationales reliant différents pays européens aux Etats-Unis sont à l’origine du réseau « Gladio ». Les autorités politiques de l’après-guerre ont avalisé l’existence de ce réseau destiné à protéger les démocraties « libérales » du danger communiste.

En fonction des rapports de force politiques internes au sein des pays concernés, dont la Belgique, ce « réseau » avait des missions plus ou moins offensives ou défensives. De l’ingérence à la contre subversion, ce réseau de « gladiateurs » dont la dénomination variait selon les particularités locales regroupait des civils et des militaires tous assurés de voir leur identité rester secrète.

Dans l’Italie des années 80, la perspective de voir le parti communiste arrivé au pouvoir en coalition avec la Démocratie chrétienne a semé l’effroi dans les milieux atlantistes, l’Italie occupant sur le plan militaire une position stratégique avec une base américaine importante. L’enlèvement et l’assassinat d’Aldo Moro, leader de la gauche de la démocratie chrétienne par les « brigades rouges » viendra mettre un terme aux perspectives de rapprochements des deux partis.

Aldo Moro, prisonnier des Brigades rouges en Italie en février 1979.


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Notes

 

  • [1]
    Le ballet des barbouzes. Au cœur de l’espionnage et des services secrets au Luxembourg, Luxembourg, Les éditions de « L’investigateur », 2005.
  • [2]
    Chambre des députés, rapport de la Commission de contrôle parlementaire du Service de renseignement de l’État, Les activités du réseau Stay behind luxembourgeois (Luxembourg, 2008), hhhhttp:// wwww. gouvernement. lu/ salle_presse/ actualite/ 2008/ 07-juillet/ 10-chd_commission/ STBH.pdf.
  • [3]
    Jan de Willems, Gladio, Bruxelles, EPO, 1991 ; Hugo Gijsels, Network Gladio, Louvain, Utgeverij Kritak, 1991 ; Leo Müller, Gladio. Das Erbe des Kalten Krieges. Der NATO Geheimbund und sein deutscher Vorläufer, Hambourg, Rowohlt, 1991 ; Jean-François Brozzu-Gentille, L’Affaire Gladio. Les réseaux secrets américains au cœur du terrorisme en Europe, Paris, Albin Michel, 1994 ; Ronald Bye, Finn Sjue, Norges Hemmelige Haer. Historien om Stay Behind, Tiden Norsk Verlag, Oslo, 1995 ; William Blum, Killing Hope. Us Military and CIA Interventions since World War II, Maine, Common Courage Press, 1995 ; Emanuele Bettini, Gladio. La republica parallela, Milan, Ediesse, 1996 ; Jens Mecklenburg, Gladio. Die geheime terrororganisation der Nato, Berlin, Elefanten Press, 1997 ; Fulvio Martini, Nome in codice : Ulisse, Milan, Rizzoli, 1999 ; Daniele Ganser, NATO’s Secret Armies. Operation Gladio and Terrorism in Western Europe, Londres, Franck Cass, 2005 (éd. franç. Les Armées secrètes de l’OTAN. Réseaux Stay Behind, Gladio et Terrorisme en Europe de l’Ouest, Parcis, Demi-Lune, 2007).
  • [4]
    Événements survenus au DMF [Département militaire fédéral] : rapport de la Commission d’enquête parlementaire (CEP DMF) du 17 novembre 1990, au nom de la Commission Carlo Schmid, Werner Carobbio, no 90.022 (s.l.n.d. [Berne], [OCFIM], [1990]).
  • [5]
    Senato della Repubblica, Relazione sulla vicenda « Gladio », presentata dal Presidente del Consiglio dei ministri. Communicata alla Presidenza il 26 febbraio 1991 et Senato della Repubblica, Commissione parlamentare d’inchiesta sul terrorismo in Italia e sulle cause della mancata individuazione dei responsabiliy delle stragi : Il terrorismo, le stragi ed il contesto storico politico, redatta dal presidente della Commissione, Senatore Giovanni Pellegrino (Rome, 1995).
  • [6]
    Sénat de Belgique, Enquête parlementaire sur l’existence en Belgique d’un réseau de renseignement clandestin international, rapport no 1117-4 fait au nom de la Commission d’enquête par MM. Erdman et Hasquin, 1990-1991, hhhttp:// wwww. senate. be/ lexdocs/ S0523/ S05231297. pdf.
  • [7]
    Cf. le débat parlementaire dans Tweede Kamer, Handelingen van 21 November 1990, nos 21895-1, 26-1559 et 26-1560.
  • [8]
    Œsterreichisches Bundesministerium für Inneres. Generaldirektor für die öffentliche Sicherheit. Mag. Michael Sika, Bericht betreff US Waffenlager (Wien, 28 November 1997).
  • [9]
    Cf. les dossiers consacrés par le journal Luxemburger Wort ((((http:// wwww. wort. lu/ articles/6107682.html) et la radio RTL ((((http:// wwww. rtl. lu/ cms/ news/ dossier/ )ainsi que le rapport de la Commission luxembourgeoise de contrôle parlementaire du Service de renseignement de l’État, Le rôle du service de renseignements dans le cadre des enquêtes relatives à l’affaire des attentats à l’explosif des années 1984 à 1986 (Luxembourg, 2008), hhhhttp:// wwww. gouvernement. lu/ salle_presse/ actualite/ 2008/ 07-juillet/10-chd_commission/bomm.pdf. Cf. aussi la notice « Bommeleeër » sur Wikipedia, établie entre novembre 2007 et juillet 2008 (((http:// lb. wikipedia. org/ wiki/ Bommelee%C3%Abr).
  • [10]
    William Colby, Honorable Men : My Life in the CIA, New York, Simon & Schuster, 1978, p. 91.
  • [11]
    Harry Rositzke, The CIA’s Secret Operations : Espionage, Counterespionage and Covert Action, Boulder, Westview Press, 1988, p. 166.
  • [12]
    François Lenoir, Un espion très ordinaire. L’histoire vue du SDECE, Paris, Albin Michel, 1998, p. 131.
  • [13]
    Entretien de l’auteur avec le général Meyer du 19 décembre 1994.
  • [14]
    Le 4 mai 1947, le traité de Dunkerque inaugurait une collaboration militaire franco-britannique dont les origines puisaient dans l’Entente cordiale.
  • [15]
    Sénat de Belgique, op. cit., p. 17-18.
  • [16]
    Emmanuel Debruyne, « Un service secret en exil. L’Administration de la sûreté de l’État à Londres, novembre 1940 – septembre 1944 », Cahiers d’histoire du temps présent / Bijdragen tot de Eigentijdse Geschiedenis, no 15, 2005, p. 345.
  • [17]
    Ainsi, le Stay behind suisse n’entretenait aucune relation avec les structures de l’OTAN, mais bien, à compter de 1967, avec le MI-6 (Rapport sur la nature des liens éventuels entre l’organisation P-26 et des organisations analogues à l’étranger, 30 octobre 1991, président de la Confédération Cotti et chancelier de la Confédération Couchepin, no ad 90 . 022 [1991-775], p. 20).
  • [18]
    Cf. Georges Heisbourg, Le gouvernement luxembourgeois en exil, 4, Luxembourg, Saint-Paul, 1991, p. 89-163, et Géry Meyers, La Résistance luxembourgeoise et le renseignement de 1940 à 1944, maîtrise, histoire, Université de Paris IV, 1999, p. 87-101.
  • [19]
    Compte rendu de la dixième réunion du Comité clandestin de l’Union occidentale du 28 avril 1952 à Londres, propos du chef de la délégation britannique, cité par la Chambre des députés, op. cit., p. 6-7.
  • [20]
    Le Stay behind luxembourgeois s’inscrivait dans les mêmes limites chronologiques que le réseau helvétique, dont les réflexions liminaires s’échelonnaient entre le 3 décembre 1956 et le 17 octobre 1957. Le service P-26 ne fut fondé qu’une décennie plus tard (Événements survenus au DMF,op. cit., p. 180-183).
  • [21]
    Sénat de Belgique, op. cit., p. 21-22 et Chambre des députés, op. cit., p. 7.
  • [22]
    Lettre du chef des services spéciaux luxembourgeois au président de l’ACC du 23 avril 1959, citée dans Chambre des députés, op. cit., p. 7.
  • [23]
    L’Allemagne, l’Italie, le Danemark et la Norvège rejoignirent la structure à la même époque.
  • [24]
    Dans les années 1950, la représentation militaire luxembourgeoise était assurée par un officier belge (cf. Gaston Stronck, Le Luxembourg et le Pacte atlantique. De la neutralité à l’alliance, Doctorat, Histoire contemporaine, Montpellier, 1991).
  • [25]
    En principe seulement par voie de détachement.
  • [26]
    Les fonds du service furent mis pour autant que de besoin à la disposition de son chef qui rendait compte de leur emploi au ministre d’État, président du gouvernement. La Chambre des comptes avait un droit de regard et un droit de contrôle sur l’exécution du budget. En outre, le ministre d’État pouvait fixer des règles financières particulières destinées à garantir le secret des opérations.
  • [27]
    En Belgique, la structure Stay behind était composée de la Section training, communication, mobilisation (STC/Mob), dépendant de la Sûreté de l’État, et du Service de documentation, de renseignement et d’action VIII (SDRA VIII), rattaché au Service général du renseignement et de la sûreté de l’armée (Sénat de Belgique, op. cit., p. 6).
  • [28]
    Note de la branche « Plans » du 21 mars 1977, citée dans Chambre des députés, op. cit., p. 9.
  • [29]
    Elle était constituée de trois caisses en zinc, chacune contenant deux pistolets mitrailleurs, quatre pistolets, quatre grenades et 600 cartouches de 9 mm (ibid., p. 2).
  • [30]
    Sénat de Belgique, op. cit., p. 227-242.
  • [31]
    Luxemburger Wort du 15 novembre 1990.
  • [32]
    De juillet 1960 à la dissolution du réseau Stay behind en janvier 1991, trois chefs de gouvernement se succédèrent : Pierre Werner (mars 1959 – juin 1974, juillet 1979 – juillet 1984), Gaston Thorn (juin 1974 – juillet 1979) et Jacques Santer (juillet 1984 – janvier 1995).
  • [33]
    Rapport du directeur du Service de renseignements, Charles Hoffmann, à Jacques Santer du 20 novembre 1990, cité dans ibid., p. 11.
  • [34]
    Ibid.
  • [35]
    Vice-président du gouvernement, ministre des Affaires étrangères, du Commerce extérieur et de la Coopération, ministre de l’Économie et des classes moyennes, ministre du Trésor (1984-1989).
  • [36]
    Secrétaire d’État aux Affaires étrangères, au Commerce extérieur et à la Coopération, secrétaire d’État aux classes moyennes (1984-1989).
  • [37]
    Ministre de l’Intérieur, ministre de la Famille, du Logement social et de la Solidarité sociale (1980-1989).
  • [38]
    Secrétaire d’État au ministère de l’Intérieur (1972-1974), ministre de la Santé, ministre de la Force publique, ministre de l’Éducation physique et des Sports (1974-1984).
  • [39]
    Député (1984-1999) et secrétaire du Parti démocratique (1980-1989).
  • [40]
    Chef de cabinet de Gaston Thorn, ministre des Affaires étrangères (1979-1981), puis président de la Commission européenne (1981), directeur des Affaires politiques et culturelles au ministère des Affaires étrangères (1986-1992).
  • [41]
    Secrétaire général du ministère des Affaires étrangères (1984-1989).
  • [42]
    Jusque-là, le Stay behind luxembourgeois était doté, à l’instar de son homologue belge, du système TAR24.
  • [43]
    Un système coûtait 82 298,70 DM en 1987 et le paiement luxembourgeois fut échelonné sur quatre exercices financiers 1987-1990, comme pour la commande du SDRA VIII. Il est à noter, et ceci est peut-être un indice pour le montant payé et le nombre de systèmes achetés par le Luxembourg, que la Commission de contrôle parlementaire du Service de renseignement de l’État de juillet 2008 ne révèle pas, qu’une note du 21 janvier 1991 de la sûreté de l’État belge affirme que la Belgique commanda 79 radios Harpoon, mais n’en paya que 78… (Sénat de Belgique, op. cit., p. 225). Il n’est pas possible d’établir une estimation plus précise, les chiffres présentés par Daniele Ganser, « The British secret service in neutral Switzerland : An unfinished debate on NATO’s cold war stay-behind armies », Intelligence and National Security, vol. 20, no 4, décembre 2005, p. 575, pour la Suisse, et Jens Mecklenbrug (dir.), Gladio. Die geheime Terrororganisation der Nato (Berlin, Elefanten Press, 1997), p. 64, pour l’Allemagne, sont trop imprécis ou reposant sur de sources non encore déclassifiées et incontrôlables, comme le rapport suisse du Schweizer Bundesrat, Schlussbericht in der Administrativuntersuchung zur Abklärung der Natur von allfälligen Beziehungen zwischen der Organisation P26 und analogen Organisationen im Ausland. Kurzfassung für die Œffentlichkeit du 19 septembre 1991 (une demande de déclassification a été refusée par le Conseil fédéral suisse le 10 juin 2005, cf.  http:// wwww. parlament. ch/ f/ cv-geschaefte ? gesch_id= 20053096).En ligne
  • [44]
    Chambre des députés, op. cit., p. 12.
  • [45]
    Il s’en expliqua le même jour devant la Chambre des députés (Luxemburger Wort du 15 novembre 1990). Le député Jean Huss déposa une résolution visant la création d’une Commission d’enquête parlementaire sur le réseau Stay behind, qui fut débattue le 17 décembre suivant devant la Commission des Institutions et de la Révision constitutionnelle. Par neuf voix contre une, les parlementaires décidèrent que les informations fournies par Jacques Santer ne justifiaient pas l’institution d’une Commission parlementaire d’enquête (Chambre des députés, op. cit., p. 2-3).
  • [46]
    Ibid., p. 13.
  • [47]
    Au cœur du secret. 1 500 jours aux commandes de la DGSE, Paris, Fayard, 1995, p. 272-273.
  • [48]
    Chambre des députés, op. cit., p. 3 ; Michel Thiel, « Stay behind : kalter Krieg oder kalter Kaffee ? », Luxemburger Wort du 23 janvier 2008, hhhhttp:// wwww. wort. lu/ articles/ 6408110. html,et Laurent Graaff, « Der staat könnte involviert sein », Revue du 15 janvier 2008, hhhttp:// wwww. revue. lu/ coverstory. php ? id= 1191&view= archive.
  • [49]
    Cf. l’analyse du major D. H. Berger, USMC, à propos des activités couvertes américaines pendant cette même période, dans The Use of Covert Paramilitary Activity as a Policy Tool : An Analysis of Operations Conducted by the United States Central Intelligence Agency, 1949-1951, 22 May 1995, p. 1, hhhttp:// wwww. fas. org/ irp/ eprint/ berger. htm.
  • [50]
    Cf. Jacques Leider, L’armée luxembourgeoise d’après guerre. Structure, fonctions, fonctionnement, Luxembourg, Saint-Paul, 1993.
  • [51]
    Cf. Arthur E. Rowse, « Gladio : The Secret US War to Subvert Italian Democracy », Covert Action, no 49, été 1994, hhhttp:// wwww. mega. nu:8080/ ampp/ gladio. html.

 

 

 

Nouvel Ordre Mondial:Pour la enième fois… Donald Trump confirme que le chef de l’État islamique est mort

Donald Trump,ce matin du 27 octobre 2019 ,à la conférence de presse ou il annonce la mort du calife autoproclamé.

Pour la enième fois:

Abou Bakr Al-Baghdadi a été tué au cours d’une opération menée dans la province d’Idlib, en Syrie.

Il est mort comme un chien. Il est mort comme un lâche, a lancé Donald Trump, lors de son allocution depuis la Maison-Blanche dimanche matin, avant de préciser qu’un « grand nombre de combattants djihadistes » ont péri au cours de l’attaque.

Traqué par les forces spéciales aidées de chiens, Abou Bakr Al-Baghdadi s’est réfugié dans un tunnel avec trois de ses enfants et a déclenché sa veste d’explosifs, se tuant ainsi que [ses] trois enfants, a précisé le président américain. L’identité d’Al-Baghdadi a pu être confirmée par un test d’ADN réalisé sur place.

 

Il est mort après avoir couru dans un tunnel sans issue, gémissant, pleurant et criant, a affirmé le président républicain. Son corps a été mutilé par l’explosion, a-t-il précisé.

L’homme le plus recherché du monde, considéré comme responsable de multiples exactions et atrocités en Irak et en Syrie et d’attentats sanglants dans plusieurs pays, avait été plusieurs fois annoncé mort ces dernières années.

Donald Trump, qui a assisté à l’assaut en direct de la Maison-Blanche, a insisté sur le « succès incroyable » de cette mission, qui constituait la priorité de son administration en matière de sécurité nationale. Il a également avancé qu’il s’agissait d’une nouvelle de « plus grande envergure » que la mort d’Oussama ben Laden en 2011 sous l’administration de Barack Obama.

Aucun militaire américain n’aurait perdu la vie dans le cadre de l’opération, a précisé M. Trump.

La planification du raid a débuté il y a deux semaines, a ajouté le président, après l’obtention d’informations sur la localisation du chef terroriste. Le président américain a expliqué avoir approuvé cette attaque presque une semaine avant qu’elle n’ait lieu.

Huit hélicoptères militaires ont survolé pendant plus d’une heure la zone contrôlée par les forces russes et syriennes avant de se poser au sol, en essuyant des tirs. Lors de son allocution télévisée, il a notamment remercié la Russie, la Turquie, la Syrie, l’Irak et les Kurdes.

Tout d’abord lancée par Newsweek, la nouvelle avait été rapportée samedi soir par plusieurs médias américains, dont CNN, ABC News et NBC News. Samedi soir, le président avait d’ailleurs tweeté que quelque chose de majeur venait de se passer sans toutefois donner plus de détails.

Image de Abou Bakr Al-Baghdadi tirée de la vidéo diffusée sur un site lié à l’État islamique.

 

Par ailleurs, bien que les principaux élus démocrates n’aient pas été informés de la tenue de cette opération par Donald Trump, la présidente de la Chambre des représentants et figure de proue du Parti démocrate, Nancy Pelosi, a tenu à saluer dimanche « l’héroïsme, le dévouement et les compétences » des militaires et professionnels du renseignement américain.

Le bureau de Nancy Pelosi avait notamment confirmé à CNN qu’« aucun avis n’avait été donné avant l’attaque ».

L’annonce de la mort d’Abou Bakr Al-Baghdadi pourrait bien donner un nouvel élan à la popularité de Donald Trump, embourbé dans des procédures de destitution. Sa décision de retirer les troupes américaines du nord-est de la Syrie avait été critiquée tant par des démocrates que des républicains, craignant que le groupe armé État islamique ne regagne du terrain.

Un travail conjoint avec le renseignement américain

Les autorités irakiennes ont confirmé dimanche avoir fourni la localisation du chef du groupe djihadiste aux troupes américaines.

Une section spécialisée a travaillé pendant un an et le renseignement national a pu localiser le repaire d’Al-Baghdadi, indique un communiqué du commandement militaire irakien.

Samedi soir, une vidéo de l’opération a été diffusée sur la chaîne de télévision d’État irakienne.

Le président turc Tayyip Ergodan a également réagi dimanche à la mort du chef de l’El, en indiquant qu’elle marquait un tournant décisif dans la lutte conjointe contre le terrorisme.

Du côté des forces kurdes, partenaires de Washington dans la lutte contre l’EI, le commandant des Forces démocratiques syriennes (FDS), Mazloum Abdi, a salué sur Twitter une « opération historique réussie », résultant d’un travail conjoint avec les services d’intelligence américains. Mais il a toutefois mentionné redouter des représailles de la part du groupe armé État islamique.

Les cellules dormantes vont venger Al-Baghdadi. Donc, on s’attend à tout, y compris des attaques contre les prisons gérées par les forces kurdes, où sont détenus des milliers de djihadistes, a-t-il illustré.

Des réactions internationales unanimes, sauf du côté russe

Les réactions à l’international ne se sont pas fait attendre, notamment en Israël, où le premier ministre Benyamin Nétanyahou a félicité un allié clé du pays.

Donald Trump et Benjamin Netanyahu :une amitié sioniste et khazare qui remonte à des décennies.

«Je veux féliciter le président Trump pour cet accomplissement impressionnant ayant mené à la mort du chef de l’EI. Cette réussite est une étape importante, mais la bataille continue», a-t-il déclaré, alors qu’il était en visite dans une base militaire israélienne.

Le premier ministre britannique, Boris Johnson, a quant à lui souligné qu’il s’agissait d’un moment important dans le combat contre la terreur, mais que la guerre contre le groupe armé État islamique n’est pas encore terminée. «Nous travaillerons avec nos partenaires de la coalition pour mettre un terme aux activités meurtrières, barbares de Daech (El) une bonne fois pour toute»s, a-t-il mentionné.

Le président français Emmanuel Macron a joint sa voix aux autres dirigeants en déclarant que la mort d’Al-Baghdadi était « un coup dur porté contre Daech (El)  ».

«Le combat continue avec nos partenaires de la coalition internationale pour que l’organisation terroriste soit définitivement défaite. C’est notre priorité au Levant», a-t-il écrit sur son compte Twitter.

Mais tandis que les réactions se multiplient pour saluer l’opération américaine, Moscou reste quant à elle sur sa réserve et met en doute l’annonce présidentielle.

Le porte-parole du ministère de la Défense russe, Igor Konachenkov, a notamment déclaré dimanche ne pas avoir « d’informations fiables » sur une énième mort d’Abou Bakr Al-Baghdadi, faisant par ailleurs état de détails contradictoires qui soulèvent des doutes sur la réalité et, surtout, le succès de l’opération américaine.

Une première apparition en cinq ans

Fin avril, l’EI a diffusé une première vidéo en cinq ans d’Abou Bakr Al-Baghdadi, un peu plus d’un mois après la chute de son « califat » autoproclamé.

La vidéo n’était pas datée et le lieu de tournage était inconnu, mais Al-Baghdadi y évoquait les attentats de la Pâque catholique contre des églises et des hôtels au Sri Lanka, survenus un peu plus tôt en avril.

Al-Baghdadi, de nationalité irakienne, était un ultraconservateur devenu actif dans l’insurrection islamiste contre les forces américaines à la suite de l’intervention en 2003 qui a renversé le président Saddam Hussein.

Il a notamment été détenu par les forces américaines à la prison irakienne d’Abou Graïb, qui a été connue en raison des abus commis par des soldats américains à l’égard de ses prisonniers.

Par la suite, Al-Baghdadi a joint les rangs d’Al-Qaïda, où il a pris du galon. Ce groupe a fini par rejoindre l’organisation armée État islamique et Al-Baghdadi en est devenu le chef en 2010, à la suite de l’assassinat de son prédécesseur lors d’une opération militaire conjointe américano-irakienne.

L’EI a rapidement pris de l’expansion et, en 2014, Abou Bakr Al-Baghdadi a autoproclamé son « califat » sur de vastes territoires en Irak et en Syrie, au terme d’une offensive de combattants arabes et kurdes soutenus par la coalition internationale.

Déclenchée en 2011, la guerre civile en Syrie a fait plus de 370 000 morts, selon l’ONU.


Raid contre al-Baghdadi : Donald Trump était dans la Situation Room…Une belle mise en scène

Donald Trump dans le Situation Room

 

 

 

«C’était comme de regarder un film», a assuré dimanche Donald Trump. Le président américain a confirmé qu’Abou Bakr al-Baghdadi, le fondateur et dirigeant du groupe terroriste Etat islamique, était décédé lors d’un raid mené par les forces américaines dans la nuit de samedi à dimanche. Il a suivi l’opération des militaires depuis la Situation Room de la Maison-Blanche. Sur l’image publiée dans un premier temps par le directeur des réseaux sociaux de la Maison-Blanche Dan Scavino, on voit le milliardaire entouré, de gauche à droite, du Conseiller à la sécurité nationale Robert O’Brien, du vice-président Mike Pence, du secrétaire à la Défense Mark Esper, du président du Comité des chefs d’état-major interarmées le général Mark Milley et du directeur adjoint des opérations spéciales le brigadier général Marcus Evans.

«C’est un coup dévastateur» porté au groupe terroriste, a assuré Mark Esper à l’antenne de CNN peu après l’intervention de Donald Trump. «Ce n’est pas seulement leur dirigeant, c’est leur fondateur. C’était un dirigeant qui les inspirait de bien des façons. Il a formé l’EI en 2014, il a mené à la création du califat physique à travers la région, donc c’est un coup majeur contre eux.» Il a donné quelques informations sur les heures précédant le raid et insisté sur le rôle de Donald Trump : «Le président a approuvé un raid contre la cible, Abou Bakr al-Baghdadi, et si nous ne le capturions pas, bien sûr, nous allions le tuer. Il a étudié, a posé quelques questions géniales, a choisi l’option qui nous donnait les plus grandes chances de réussir et la confirmation que la tête de l’EI serait là et soit capturé ou tué, puis nous avons agi à partir de là. Le président a eu une action décisive et nos troupes et nos partenaires inter-agences l’ont mise en oeuvre brillamment.»

« Il est mort comme un lâche »

Lors d’une allocution suivie d’une conférence de presse, Donald Trump est entré dans les détails des derniers instants d’Abou Bakr al-Baghdadi, qu’il a suivis en direct : «Il n’est pas mort comme un héros, il est mort comme un lâche», a-t-il assuré, décrivant un homme «gémissant et pleurant et criant tout du long» en tentant d’échapper aux militaires américains qui le traquaient dans le bâtiment où il se trouvait. Abou Bakr al-Baghdadi a, a précisé le président américain, emmené avec lui dans un tunnel qu’il savait sans issue trois de ses jeunes enfants, avant de déclencher une ceinture explosive qui l’a tué, ainsi que les trois enfants. «Beaucoup de morts» ont été causés par le raid dont au moins deux épouses du calife autoproclamé, mais le président américain n’a pas voulu préciser combien de personnes avaient été interpellées. Aucun militaire américain n’a été blessé ou tué, a insisté Donald Trump, précisant qu’un chien avait été blessé : «Un « canin », comme ils les appellent. J’appelle ça un chien. Un beau chien, un chien talentueux a été blessé et ramené.»

Avant de répondre aux questions des journalistes, Donald Trump a conclu ainsi sa prise parole : «La nuit dernière a été une grande nuit pour les Etats-Unis et pour le monde. Un tueur brutal, qui a causé tant de douleur et de morts, a été violemment éliminé -il ne fera plus de mal à un enfant, une femme ou un homme innocent. Il est mort comme un chien. Il est mort comme un lâche. Le monde est maintenant un endroit plus sûr.»


Mais qui était Abou Bakr al-Baghdadi, le calife autoproclamé de l’État Islamique, supposément tué dimanche,le 27 octobre 2019, par l’armée américaine?

Pendant que ses sbires djihadistes ont le ventre creux,Abou Bakr al-Baghdadi,le calife autoproclamé de tous les musulmans aurait une Rolex pour tenir l’heure.

Voici tout d’abord les « fausses informations »  comprenant quelques  vérités…véhiculées par les médias  « officiels »:

Le chef autoproclamé de Daesh, Abou Bakr al-Baghdadi,supposément  tué dimanche dans une opération américaine en Syrie (selon Donald Trump), aura toujours vécu terré dans l’ombre, même lorsque, autoproclamé « calife », il présidait aux destinées de sept millions de personnes en Syrie et en Irak.

Surnommé le « fantôme », il a d’abord été un étudiant en religion timide puis un combattant jihadiste de second rang. Mais cet Irakien de 48 ans est parvenu à réaliser l’alliance entre jihadistes convaincus venus du monde entier et anciens militaires de l’armée de Saddam Hussein, laïque et socialiste, atout clé pour conquérir en 2014 un territoire grand comme la Grande-Bretagne.


Voir notre article de l’époque de juillet 2014: Les djihadistes…


 

S’il a été le premier chef jihadiste à instaurer un proto-Etat, son « califat » autoproclamé a aujourd’hui fait long feu. Le dernier réduit de Daesh est tombé en mars à Baghouz, en Syrie, et des dizaines de milliers de ses jihadistes sont désormais dans les prisons des Kurdes de Syrie ou de l’Etat irakien.

25 millions de dollars pour le trouver

Depuis des mois, l’homme dont la mort avait été évoquée à plusieurs reprises ne dirigeait plus que des troupes disloquées, même si dans ses vidéos de propagande soigneusement réalisées, Daesh continuait de revendiquer, plus ou moins opportunément, des attentats à travers le monde.

Diabétique et blessé au moins une fois, Ibrahim Awad al-Badri de son vrai nom, montrait rarement son visage. Du temps du « califat », il n’a fait qu’une seule apparition publique, en juin 2014. Du haut de la chaire de la célèbre mosquée al-Nouri de Mossoul, la « capitale » de Daesh en Irak reprise à l’été 2017, il avait prononcé un sermon devant ses partisans. Son visage à la barbe poivre et sel teintée de henné rouge n’est reparu qu’une autre fois, sur une vidéo diffusée en avril. Il s’est par ailleurs exprimé via des enregistrements sonores.

Les Etats-Unis offraient 25 millions de dollars pour la capture de cet homme, le plus recherché du monde, né dans une famille pauvre de Samarra, au nord de Bagdad.

L’antithèse d’Oussama Ben Laden

Sa discrétion en a fait pour officiels et militaires occidentaux l’antithèse d’Oussama Ben Laden, qui diffusait régulièrement des cassettes vidéos avec mise en scène au combat ou à la mosquée. Le chef d’Al-Qaïda avait été traqué des années et tué en 2011 par les forces spéciales américaines au Pakistan.

Préférant l’ombre et les avancées à petits pas, Baghdadi, un passionné de football au destin d’avocat ou de militaire contrarié par des résultats scolaires insuffisants et une mauvaise vue, a, lui, longtemps attendu son heure. Prêchant dans une mosquée peu fréquentée de l’Irak alors sous la dictature de Saddam Hussein, il a développé « une vision assez claire de là où il voulait aller et de l’organisation qu’il voulait créer », explique la journaliste Sofia Amara.

« C’est un planificateur secret », explique celle qui a réalisé un documentaire sur Baghdadi. Et, s’il « donne l’impression d’un homme pas brillant », il est « patient et bosseur ».

Après avoir créé lors de l’invasion américaine de l’Irak en 2003 un groupuscule jihadiste sans grand rayonnement, ce père de cinq enfants issus de deux mariages, est arrêté en février 2004 et emprisonné au camp Bucca. Cette immense prison installée par les Américains à l’extrême sud de l’Irak, où se côtoient dignitaires déchus du régime de Saddam Hussein et nébuleuse jihadiste, sera surnommée « l’université du jihad ».

Là, peu à peu, « tout le monde s’est rendu compte que ce type timide était un fin stratège », affirme Sofia Amara. 

Traversée du désert

D’ailleurs, dix ans plus tard, lors de la percée fulgurante de Daesh, l’armée irakienne comprendra qu’elle a face à elle ses ex-commandants, de l’époque de l’ancien régime, passés dans le groupe islamiste.

Libéré faute de preuves de Bucca après 10 mois, Baghdadi prête allégeance à Abou Moussaab al-Zarqaoui, sous tutelle d’Al-Qaïda, puis devient l’homme de confiance de son successeur Abou Omar al-Baghdadi. Il prendra sa relève à sa mort en 2010 sous le nom d’Abou Bakr al-Baghdadi, en référence au premier calife successeur du prophète Mahomet.

Rebaptisée Daesh, son organisation supplante ensuite Al-Qaïda. Mais Baghdadi, lui, est rapidement forcé à la retraite au désert. Il aurait d’abord trouvé refuge dans la zone désertique allant du centre de la Syrie à l’Irak, selon les experts.  C’est là que son fils Houdhayfah al-Badri a été tué en juillet 2018, fauché dans une grotte par trois missiles russes téléguidés. Lui-même a survécu à plusieurs attaques avant celle de dimanche et il avait au fil du temps drastiquement réduit son entourage.

Celui qui s’était un temps posé en chef suprême des musulmans du monde, réactivant le « califat » des premiers siècles de l’islam, aura finalement trouvé la mort à Idleb, dernier carré jihadiste de Syrie. Là, il avait dû trouver refuge parmi les groupuscules liés à al-Qaïda, le groupe de ses débuts. 

 


Maintenant pour avoir la « vraie vérité » sur le calife autoproclamé » de l’État Islamique,voici le lien vers  mon article antérieur  écrit sur ce sujet:

Abou Bakr al-Bagdady serait un audacieux agent du Mossad


DÉSINFORMATION DE LA MATRICE:

Le 7 septembre 2014,le gouvernement américain (par l’intermédiaire d’une agence irakienne de nouvelles)  annonçait la mort du calife Bagndady par cette photo mal truquée!

*Voir l’article en anglais s’y rapportant :

SKETCHY REPORTS: Iraq Media Report ISIS Leader Abu Bakr Al-Baghdadi Killed In U.S. Airstrike 


AUTRE DÉSINFORMATION:

Le 16 juin 2017,la Russie annonçait avoir tué , »elle aussi »,le calife Al-Bagdady:

Voir cet article en anglais:

                ISIS leader Abu Bakr al-Baghdadi                     ‘LIQUIDATED in Russian airstrike’

 


LES ENFANTS DE L’ÉTAT ISLAMIQUE ONT DU GRANDIR (photos)

Voici des images horribles qui nous  montrent que les  forces armées de nombreux pays pourraient se battre pendant des décennies pour éliminer la menace des enfants-soldats endoctrinés par  le faux calife al-Baghdady  et l’État Islamique:

 

 

 

 

Nota Bene

L’État Islamique n’a jamais tiré une seule balle de pistolet contre Israël …coïncidence vous direz?

 


*Voir aussi  cet autre  article sur l’État Islamique ou comment on enseigne aux enfants à décapiter un homme dans une mosquée

Des hélicoptères de l’armée américaines auraient transportées de nombreux terroristes de l’État Islamique suite…à un accord financier en or!

Divulgation d’informations:L’ex-adjoint à la sécurité d’Obama reconnaît l’implication yankee avec l’État Islamique !…

Quelqu’un a finalement demandé à des hauts-fonctionnaires de l’administration Obama de prendre en compte le développement de l’EIIL/Daesh et l’armement des djihadistes en Syrie.

John McCain en compagnie de dirigeants syriens d’Al Qaida

Dans un entretien a bâton rompu intitulé « Confronting the Consequences of Obama’s Foreign Policy » le journaliste de The Intercept Mehdi Hasan a posé la question à Ben Rhodes qui a servi longtemps comme adjoint au conseiller national à la sécurité à la Maison Blanche sous la présidence de Barack Obama et qui fait maintenant la promotion de son nouveau livre, The World As It Is: Inside the Obama White House.

Rhodes a été décrit comme étant tellement dans la confidence d’Obama qu’il était “dans la pièce” lors de pratiquement toutes les décisions importantes en politique étrangère prises par Obama lors de ses 8 années au pouvoir. Bien que l’entretien accordé à The Intercept vaut la peine d’être écouté dans sa totalité, c’est le segment sur la Syrie qui a capté notre attention.

Malgré le fait que Rhodes essaya de littéralement danser autour de l’affaire, il répond docilement par l’affirmative lorsque Mehdi Hasan lui pose les questions suivantes au sujet du soutien des djihadistes en Syrie:

“Êtes-vous trop intervenus en Syrie ? Parce que la CIA a dépensé des centaines de millions de dollars à financer et à armer les rebelles anti-Assad et beaucoup de ces armes comme vous le savez, ont terminé aux mains des groupes djihadistes, certaines même aux mains de l’EIIL.

Le 19 octobre 2011,Hillary Clinton fête la victoire sur le grand guide Lybien,Muhammar Qadafi…entourée par ses alliés d’Al Qaida.

Vos critiques diraient que vous avez exacerbé la guerre par procuration en Syrie ; que vous avez prolongé ce conflit et que ce faisant vous avez favorisé et poussé les djihadistes.

L’État Islamique recevra a temps,une multitude de jeeps Toyota en provenance des entrepôts de la CIA et du département d’état.

Rhodes dans un premier temps monologue au sujet de son livre et fait une “évaluation secondaire” de la politique sur la Syrie dans une tentative d’éluder la question, mais Hasan le ramène sur le cap à suivre en disant: “Allez enfin, vous coordonniez beaucoup de leurs armes.”

Les deux hommes argumentent sur l’accusation de Hasan de “pousser les djihadistes” dans la section suivante de l’entretien, à la fin de laquelle Rhodes lâche en traînant les pieds un “ouais…” tout en essayant de faire passer le blâme sur les alliés américains que sont la Turquie, le Qatar et l’Arabie Saoudite (de manière similaire sur ce que fit le vice-président Joe Biden dans un discours datant de 2014)

MH: Allez quoi, vous coordonniez beaucoup de leurs armes. Vous savez que les Etats-Unis étaient lourdement impliqués dans cette guerre ainsi que les Saoudiens, les Qataris et les Turcs.

BR: Et bien j’allais dire: la Turquie, l’Arabie Saoudite, le Qatar…

MH: Vous y étiez aussi…

BROuais, mais en fait une fois que cela eut dégénéré en une sorte de guerre civile sectaire ayant des parties combattant pour ce qu’elles percevaient être leur propre survie, je pense que nous, en la capacité de mettre fin à ce type de situation, et une partie de ce avec quoi j’ai lutté avec le livre, sont les limites de notre capacité de tirer un levier et de faire qu’une telle tuerie s’arrête une fois qu’elle est déclenchée.

A notre connaissance, il s’agit de la seule et unique fois qu’une organisation médiatique importante a directement demandé à un haut-conseiller en politique étrangère de l’administration Obama de reconnaître les longues années de soutien des djihadistes en Syrie par la Maison Blanche.

Bien que l’entretien fut publié vendredi dernier, son importance n’a pas été relevée ni commenté dans les médias le week-end dernier et ce peut-être de manière bien prévisible. Ce qui a circulé en revanche fut un article du magazine Newsweek se moquant des “théories du complot” entourant la montée rapide de l’EIIL/Daesh, incluant ceci:

“Le président Trump a peu fait pour dissiper le mythe d’un soutien direct américain à l’EIIL depuis qu’il a pris ses fonctions. Lors de sa campagne électorale en 2016, Trump affirma, sans donner aucune preuve, que le président Obama et la ministre des AE d’alors Hillary Clinton, avaient co-fondé le groupe et que l’EIIL “honore” l’ancien président.”

Bien sûr, la vérité est un peu plus nuancée que ça, alors que Trump lui-même, ailleurs, semblait le reconnaître, ce qui amena le président un peu plus tard à mettre un terme à l’assistance de la CIA et à son programme de changement de régime en Syrie à l’été 2017 tout en se plaignant à ses aides de la brutalité choquante des soi-disants “rebelles” entraînés par la CIA.

Dans le même temps, les médias ont été satisfaits de diffuser la fausse information que l’héritage du président Obama est “qu’il est resté en dehors de Syrie” tout en approuvant à un niveau négligeable quelques aides à de soi-disants “rebelles modérés” qui combattaient à la fois Assad et de manière supposée l’État Islamique. Rhodes avait lui-même tenté, dans des entretiens précédents,, de faire le portrait d’un sage Obama qui était “resté sur le touche en Syrie”.

Mais, comme nous l’avons fait remarqué à maintes reprises ces dernières années, ce narratif ignore et cherche même à blanchir ce qui est probablement le plus grand programme secret de la CIA de son histoire, commencé par Obama, qui a armé et financé une insurrection djihadiste dans le but de renverser Al Assad et qui a coûté au contribuable américain de l’ordre d’un milliard de dollars par an (1/15 du budget publiquement connu de la CIA, d’après les documents fuités par Edward Snowden et révélés par le Washington Post).

Saisies d’armes en Irak

Ceci ignore également le fait bien établi, documenté à la fois dans les rapport du renseignement américain et authentifié par les prises de vue sur les champs de batailles, que l’EIIL et l’Armée Syrienne Libre (ASL) ont combattu sous un commandement unifié géré par les Américains pendant les premières années de la guerre en Syrie et ce jusqu’à la fin 2013, chose qui a été confirmée par le professeur Joshua Landis, de l’université de l’Oklahoma, l’expert mondial sur la Syrie.

Le chef d’Al Nusra en Syrie: Abu Mohammed al Jolani

Anarchie politique américaine:Une nouvelle loi américaine interdit à Trump de détruire l’État Islamique

La capacité du président élu Donald Trump de détruire les terroristes de l’État islamiste (ISIS / ISIL / Daesh) a été réduite à néant la semaine dernière par le président Obama et les factions globalistes au Congrès américain. Le «coup d’état silencieux» monté contre Trump s’accélère avec de nouveaux appels visant à lui refuser la présidence américaine lors du vote du 19 Décembre par le Collège Électoral  parce qu’il serait « un traître ».

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La semaine dernière, les forces globalistes loyales au président Obama au Congrès des États-Unis, ont adopté une stupéfiante et longue  loi de  3.076 pages, intitulée S. 2943 – La Loi sur l’autorisation de la Défense nationale pour l’année fiscale 2017 qui, non seulement donne aux terroristes islamiste des missiles portables pour abattre des avions à travers le monde, mais, aussi, interdit expressément à tout président américain de coopérer avec la Russie pour vaincre ces monstres.

En effet, peu de temps après avoir remporté la présidence américaine du 8 novembre, le président élu Trump a entamé des négociations avec le Kremlin sur un « plan directeur » pour vaincre définitivement ces terroristes islamistes . Mais ces efforts ont été réduits à néant lorsque le Congrès américain a adopté cette nouvelle loi lui interdisant toute coopération de défense avec la Russie jusqu’à ce que le Secrétaire de la Défense, en coordination avec le Secrétaire d’État, «attribue une certification» que la Russie a arrêté «l’occupation illégale de la Crimée».

Or la Crimée a toujours été une partie essentielle de la Russie. Elle a été réintégrée au sein la Fédération en 2014,  après un vote dans lequel  95,7% de sa population a réclamé ce rattachement, suite au renversement du gouvernement démocratiquement élu de l’Ukraine par le régime Obama-Clinton, dans ce que Stratfor, le géant mondial du renseignement (alias «la CIA de l’ombre ») a appelé «le coup d’État le plus flagrant de l’histoire».  Suite à ce coup, les États-Unis ont installé à Kiev un   gouvernement néo-nazi  qui a immédiatement promulgué une loi interdisant à quiconque de parler, de lire ou d’entendre la langue russe.

Il est clair et évident qu’aucune nation au monde (et spécialement les États-Unis) ne cèderait jamais une portion de son territoire ou de ses citoyens à une puissance étrangère gouvernée par des pro nazis, telle que l’Ukraine.

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Cette nouvelle loi imposée au président élu Trump lui rend impossible toute coopération avec la Russie pour détruire ces terroristes islamistes.

Elle retire à sa nouvelle administration 10 millions de dollars, à moins qu’elle n’annule tous les traités conclus avec la Russie sur le « contrôle des armements » et sur le « ciel ouvert » Open Sky. Elle lui ordonne aussi de donner 3,4 milliards de dollars de l’argent des contribuables américains à l’OTAN pour faire face à la Fédération.

Les terroristes islamistes ont déjà  été à l’origine de plus de 4 900 incidents entre 2002 et 2015. Ils ont tué plus de 33.000 personnes, blessé plus de 41.000 personnes et enlevé plus de 11 000 personnes.  Par contre, la Fédération de Russie n’a tué personne dans un acte terroriste d’aucune sorte.

Le sort du président élu Trump devient de plus en plus incertain par le fait que 

(a) ces nouvelles lois promulguées par le mondialisme l’empêchent de mener sa politique, 

(b) le «coup silencieux» mené contre lui par la CIA s’est accéléré avec l’affirmation hilarante du Washington Post alléguant que, d’après les espions américains, la Russie a aidé Trump à remporter la présidence.

Or, le Washington Post est l’un des principaux médias de propagande de la CIA. Il a été acheté par le milliardaire de l’ombre américain Jeff Bezos (le fondateur d’Amazon.com), trois mois après que la CIA lui ait accordé un contrat secret de 600 millions de dollars.  Le même journal de propagande avait, il y a quelques semaines, mis 200 sites de médias alternatifs américains sur une liste de « propagande russe connue« , mais, devant l’évidente absurdité de son mensonge,  a dû se rétracter par la suite.

 

En réaction, le président élu Trump a dénoncé la cabale orchestrée par le binôme CIA-Washington Post en les accusant de propager des « fausses nouvelles » comme « Ce sont les Russes qui l’ont élu ». Il leur a rappelé que «ce sont les mêmes personnes et les mêmes médias qui disaient que Saddam Hussein avait des armes de destruction massive « . À l’appui de cette déclaration, il faut rappeler que le couple CIA-Washington Post a publié une incroyable série de  » fausses nouvelles  » dont 140 histoires en première page, et 27 éditoriaux, afin de  pousser l’Amérique à envahir illégalement l’Irak  en 2003, ce qui causé la mort d’un million de personnes et à la destruction complète du pays.  

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Pourtant, le plus dangereux pour la démocratie américaine, c’est que ces propagateurs de « fausses nouvelles » que sont la CIA, le Washington Post et  le Huffington Post,  réclament non seulement un « coup silencieux » contre le président élu Trump, mais  appellent aussi  des millions de supporters d’Hillary Clinton à descendre dans les rues pour exiger que le Collège électoral refuse à Trump la présidence et mette Jeb Bush à sa place.

S’associant à cet appel, le mafieux David Cicilline, membre du Congrès, a aussi adhéré à ce «coup silencieux» contre le président élu Trump en déclarant «Dans la mesure où l’ingérence étrangère dans les élections présidentielles des États-Unis peut avoir influencé le résultat final, je crois que les électeurs ont le droit de considérer cela».

Et bien qu’un autre  Électeur d’Hillary Clinton de Californie a intenté un procès fédéral pour bloquer le chemin de Trump vers la présidence, les médias traditionnels n’ont pas informé les citoyens au sujet du grave avertissement émis juste Il y a quelques jours, par la procureure générale du Colorado Cynthia Coffman.

Celle-ci a déclaré au juge fédéral dans son état: «Cette Cour ne devrait pas accepter la tentative des demandeurs de démanteler le Collège électoral de l’intérieur. Elle devrait la rejeter comme un affront au modèle de démocratie de cette nation. Cet effort vise à tromper des millions de citoyens du Colorado en usurpant leur choix collectif de candidats, et en le remplaçant avec les propres opinions personnelles de plaignants. Faire  autrement causerait le chaos « .

C’est exactement ce qu’Hillary Clinton avait dit lors de sa campagne électorale, que si elle est vaincue et que Trump est élu, les États-Unis vont sombrer dans la guerre civile.

 

 

 

 

 

 

LE MOSSAD PRÉDIT UN COUP D’ETAT MILITAIRE EN ALGÉRIE

 

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Société 7 juillet 2016 A LIRE: Révélation de 135 documents secrets Les milieux du renseignement extérieur israélien estiment qu’un coup d’Etat militaire en Algérie est inévitable. Bienvenue à…

Source : LE MOSSAD PRÉDIT UN COUP D’ETAT MILITAIRE EN ALGÉRIE

Conspiration:Le Pentagone aurait payé 540 millions de dollars pour créer de toutes pièces des vidéos d’Al-Qaïda

La propagande se serait étendue à tout le moyen orient.
La propagande se serait étendue à tout le moyen orient.

Selon les révélations du Bureau of Investigative Journalism, lors de la guerre en Irak, Washington aurait coopéré avec une agence britannique de relations publiques pour que ses employés diabolisent l’image d’Al-Qaïda.

Le lanceur d’alerte Martin Wells, rédacteur vidéo à la société de relations publiques britannique Bell Pottinger, a raconté au Bureau of Investigative Journalism que le Pentagone avait payé 540 millions de dollars à la société pour laquelle il travaillait pour une mission peu ordinaire : d’après l’employé, l’entreprise était en charge de créer des supports de communication à propos d’Al-Qaida.  

D’après les révélations de Martin Wells, la coopération entre les Etats-Unis et Bell Pottinger a commencé quelques années avant l’intervention américaine en Irak. En 2004, la société britannique a commencé à «promouvoir les élections démocratiques» en Irak.

Toutes les fameuses vidéos et cassettes mettant en sc`ne Oussama ben Laden,depuis décembre 2001,seraient fausses,car il est décédé dans un hôpital < cette époque.
Toutes les fameuses vidéos et cassettes mettant en sc`ne Oussama ben Laden,depuis décembre 2001,seraient fausses,car il est décédé dans un hôpital < cette époque.

Voir ce lien: The bureau

Jusqu’à 2011, les employés de Bell Pottinger qui avaient pris part à ce «projet» travaillaient sur trois types de contenus : des messages publicitaires anti-Al-Qaïda, des reportages télévisés ressemblant à des productions de télévision arabe puis revendues à des chaînes d’information et enfin de fausses vidéos de propagande d’Al-Qaïda. D’après ses estimations, au moins 300 employés y ont pris part.

Une fois créées, ces fausses vidéos de propagande d’Al-Qaïda étaient diffusées via des CD piégés abandonnés par les forces américaines lors de perquisitions. Ces disques étaient ainsi suivis à la trace, en particulier lorsqu’ils étaient retrouvés à l’étranger, «car cela offrait une piste».

lien important à voir en français:International

Selon Martin Wells, en Irak, les employés de Bell Pottinger travaillaient aux côtés des militaires et agents de renseignement américains sur la base de Camp Victory, située à Bagdad. Ils rendaient compte des résultats de leurs activités au Pentagone, à la CIA et au Conseil de sécurité nationale des Etats-Unis.

Le Pentagone a confirmé avoir travaillé avec Bell Pottinger dans le cadre d’opérations informationnelles et psychologiques américaines en Irak, affirmant que les vidéos réalisées par la société britannique étaient toutes «véridiques». 

 

Sources:International

 

 

 

 

 

En Arabie saoudite, le fils Ben Laden appelle à renverser le régime

Dans la famille Ben Laden, voilà que l’on parle de Hamza, le fils du fondateur d’al-Qaïda. Ce dernier exhorte les jeunes Saoudiens déçus des dirigeants à rejoindre al-Qaïda dans la péninsule arabique (Aqpa), basé au Yémen. Et appelle à renverser le régime en Arabie saoudite.

hamza ben laden

De son vivant, Oussama Ben Laden voulait faire de son fils, Hamza, âgé aujourd’hui de 23 ans, son héritier à la tête du groupe al-Qaïda.

Selon des documents déclassifiés, il semblerait qu’Hamza Ben Laden soit plus entendu et respecté dans les rangs des jihadistes qu’Ayman al-Zawahiri, le successeur de son père depuis mai 2011.

Menace pour Riyad et Washington

Le fils préféré d’Oussama exhorte donc les jeunes Saoudiens, et ceux capables de combattre, à rejoindre al-Qaïda dans la péninsule arabique, groupe né de la fusion en 2009 des branches saoudiennes et yéménites.

Cinq ans après la mort de l’instigateur des attentats du 11-Septembre 2001 aux Etats-Unis, le nom de Ben Laden résonne à nouveau comme une réelle menace pour l’Arabie saoudite et les Etats-Unis.

 

Sources:RFI

Le Coran est l’arme absolue contre l’islam

VIVE LE CORAN !

C’est l’arme absolue contre l’islam!

 

Le fameux livre qui nous sert de référence.
Le fameux livre qui nous sert de référence.

Après la lecture de ces deux pages, vous pourrez répondre aux questions suivantes :

L’islam est-il une religion comme les autres? Est-ce une religion de tolérance et de paix?

1-ISLAM,CORAN,HADITHS ET SUNNA

 

Support: la suite des Demandes d'Isis »Que Les musulmans Du monde Entier déclarent Leur allégeance au califat, certains des semblent déjà-soi faire. Cette photographie, prise apparemment Dans Le Pays-Bas, une partie d' Été en ligne par les partisans ISIS
Support: la suite des Demandes d’Isis »Que Les musulmans Du monde Entier déclarent Leur allégeance au califat, certains des semblent déjà-soi faire. Cette photographie, prise apparemment Dans Le Pays-Bas, une partie d’ Été en ligne par les partisans ISIS

L’islam est un système religieux, politique, juridique et social initié au VIIe

siècle par Mahomet, qui se déclare être le dernier prophète et donc LE prophète

à qui Allah aurait transmis ses préceptes par l’entremise de l’ange Gabriel. Ces

préceptes sont compilés dans le Coran. Ce Coran, fixe, immuable, non interprétable

est formé de 114 chapitres appelés sourates et chaque sourate est formée

d’un nombre variable de phrases appelées versets. Les sourates et les versets sont

numérotés de manière standard depuis 1923, par exemple [4:34] désigne le verset

34 de la sourate 4. Il est à noter que Mahomet entendait les paroles de l’ange

Gabriel pendant des crises mystiques ! « Les témoins disent qu’il (Mahomet) avait

des syncopes au cours desquelles il avait de l’écume aux lèvres et des rugissements

analogues à ceux d’un jeune chameau » (Mizanu’l Haqq, p. 345).

En plus de leur livre saint, les musulmans prennent aussi pour modèle

Mahomet en s’inspirant de ses actes et paroles rapportés entre le VIIIe et le Xe

siècle par les traditionnistes, Bukhari, Muslim, Daoud et d’autres encore dans

les hadiths (les dires), qui forment la Sunna (tradition).

En parcourant les hadiths et le Coran (traduit en français par Hamidullah,

version largement acceptée par les musulmans et qui est aussi celle que l’on

trouve sur le site de l’UOIF), vous allez constater que l’islam est violent dès ses

origines, qu’il est inégalitaire et discriminatoire envers les femmes, les

non-musulmans,les homosexuels,etc,et,qu’en fait ,l’islam combat

tout ce qui n’est pas lui-même.

C’est une idéologie qui instrumentalise une religion dans le but de soumettre par la

persuasion ou la violence tous les non-musulmans du monde. D’ailleurs islam veut

dire soumission en arabe et musulman soumis. Bien sûr les musulmans ne partagent

pas cette analyse, d’où cet argumentaire ayant pour objectif de les contrer à l’aide de leur propre Coran et ainsi de montrer  que l’islam est

incompatible avec la Déclaration des Droits de l’Homme et du Citoyen qui est le fondement de la Constitution de la France moderne.

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2-TACTIQUE ET DIALECTIQUE DE L’ISLAM (GRANDES LIGNES)

a)Un point fondamental:Ne soyez jamais étonné  qu’un musulman mente par

omission ou par action, dissimule ou falsifie car c’est une presciption coranique.

Quand il s’agit de développer l’islam, tous les coups sont permis. La taqqya, qui

s’écrit aussi takia (dissimulation) ,est un devoir pour les croyants en situation

d’infériorité (= de minorité). Par contre, dès que le rapport de force s’inverse,

alors le musulman peut envisager l’agression :

« Ne faiblissez donc pas et n’appelez pas à la paix alors que vous êtes les plus 

hauts,qu’Allah est avec vous ,et qu’il ne vous frustera jamais (du mérite) de

vos oeuvres. » [Coran 47:35].

On trouvera 2 exemples de cet « art de la taqqya » aux adresses suivantes :

http://www.france-echos.com/actualite.php?cle=7296

ou

http://www.france-echos.com/actualite.php?cle=8545

b)Quand on s’oppose à un musulman qui affirme que l’islam est une religion de tolérance,

de paix et d’amour en lui citant quelques sourates violentes, misogynes, antichrétiennes

ou antijuives et qu’il est à court d’arguments il finit toujours par dire au bout

du compte «… oui mais le Coran, pour le comprendre, il faut le lire en arabe. »

La parade est simple : si tel était le cas, alors un converti de langue  française , sauf s’il lisait

l’arabe, ce qui doit être extrêmement rare, serait une personne qui adopterait une

religion dont il serait incapable de lire un traître mot du livre saint ! Ce n’est pas

tenable, donc le musulman doit bien reconnaître implicitement qu’il existe des traductions

du Coran en français acceptables pour un mahométan, ne serait-ce que

celle de l’UOIF qu’on ne peut soupçonner d’être islamophobe et que l’on peut

lire à l’adresse http://www.uoif-online.com. Ensuite il reste à le contredire avec

les sourates de « son » Coran.

c)Il faut aussi réfuter l’argument récurrent utilisé par les musulmans qui

souvent n’ont jamais lu le Coran, ainsi que par des Français ignares en islamologie

qui jouent les idiots utiles de l’islam et qui affirment que l’islam est une

religion comme les autres et donc que les musulmans ont les mêmes droits que

les adeptes des autres religions. Il faut objecter à cette affirmation que de nombreux

nombreux

versets incitant au meurtre figurent dans le Coran (aller au paragraphe 4

pour des exemples) ou encore lire les hadiths où le messager d’Allah, Mahomet

lui-même, commandite de nombreux assassinats. Donc l’islam ne saurait être

considéré comme une religion comme les autres.

d)À la longue liste de versets du Coran appelant clairement au meurtre des

mécréants, les musulmans rétorquent souvent qu’ils ne faisaient que répliquer,

que se défendre face aux attaques des « méchants » polythéistes. On reconnaît

déjà à cette époque la posture victimaire des musulmans. Il faudrait donc croire

que les arabo-musulmans ont conquis d’immenses territoires au nom d’Allah,

uniquement en se défendant et parce que les autres peuples les attaquaient. Pour

se convaincre au contraire de l’arrogance et de l’agressivité du chef de guerre

Mahomet, il suffit de lire les lettres missionnaires qu’il envoyait aux différents

chefs ou rois, pour les « inviter » à embrasser l’islam : aux chefs des tribus

d’Arabie, aux rois de Byzance, de Perse, d’Abyssinie, etc. Voici la « lettre d’invitation

» au peuple d’Oman : « Paix soit sur celui qui suit le chemin droit ! Je

vous appelle à l’islam.Acceptez mon appel ,et vous serz indemne.Je suis le

messager de Dieu envoyé à l’humanité, et l’annonce sera effectuée sur les

mécréants. Si, donc, vous vous identifiez à l’islam, j’accorderai la puissance sur

vous. Mais si vous refusez d’accepter l’islam, votre puissance disparaîtra, mes

chevaux camperont sur l’étendue de votre territoire et nous régnerons en votre

royaume. Signé : Mahomet, messager de Dieu ».

e)Il faut aussi savoir que 2 versets peuvent se contredire ,mais Allah est

omniscient et infaillible, a tout prévu. Dans un tel cas il a développé la doctrine

des versets abrogeants  (nazik) et des versets abrogés (manzuk) qui consiste à

décider que le verset le plus récent annule le plus ancien et donc qu’un verset

médinois ou post-Hégire peut annuler, en cas de contradiction, un verset

mecquois ou pré-Hégire. L’ Hégire désigne la période où Mahomet a été chassé

de la Mecque pour aller se réfugier à Médine. Pour preuve de ce qui précède,

on peut citer les deux versets : « si nous abrogeons un verset quelconque ou que

nous le faisons oublier, nous en apportons un meilleur ou un semblable. Ne

sais-tu pas qu’Allah est omnipotent ? » [Coran 2:106] et « Quand Nous

remplaçons un verset par un autre – Et Allah sait mieux ce qu’Il fait descendre –

ils disent : « Tu n’es qu’un menteur ». Mais la plupart d’entre eux ne savent pas. »

[Coran 16:101].

Donc ne vous laissez pas désarçonner quand un adepte d’Allah vous cite un

verset tolérant car il est vraisemblablement  abrogé ou rendu obsolète par un

verset médinois. Si l’islam était pacifique il ne devrait pas y avoir un seul

verset violent dans le Coran… or des mots tels que « tuer », « combattre » ou

« jihâd » y apparaissent des centaines de fois !

3 CHOIX DU CORAN

 

Nous avons déjà signalé tout l’intérêt que représente pour nous de choisir un Coran

en français agréé par les musulmans eux-mêmes.C’est donc le Coran d’Hamidulla

qui servira de référence dans la suite et uniquement celui-là. On peut le parcourir sur

le site http://www.religare.org/unity-mmu.htm, qui est très utile pour quelqu’un

désirant se cultiver sur le Coran et l’islam. Toute personne éprise de rigueur aura le

loisir de vérifier nos dires en consultant Internet ou en se procurant le Coran

d’Hamidullah en version papier.

Remarque importante : le Coran (« récitation » en arabe) est moins un texte que

la récitation  de ce texte en arabe.C’est donc pour les non-arabophones,une

longue suite de sons appris par cœur ,dans des  » écoles coraniques  » (madrassa)

où le musulman apprend à haïr l’Occident). Il s’agit donc d’un véritable bourrage

de crâne, un lavage de cerveau auquel le musulman est soumis souvent dès

l’âge de 4 ans !

Le projet secret du gouvernement américai: le proche-Orient élargi.
Le projet secret du gouvernement américain: le proche-Orient élargi.

4-AU FIL DU CORAN

Dans ce qui suit, quand les mots « les » ou « ils » ne seront pas précisés ils

désigneront tous ceux qui ne sont pas soumis à Allah : les Juifs, les Chrétiens,

les hérétiques, les infidèles, les associateurs, les polythéistes et les mécréants.

a)Appels au meurtre

(Coran 2:191) Et tuez-les,où que vous les rencontrez et chassez-les d’où ils

vous ont chassés : l’association est plus grave que le meurtre. Mais ne les combattez

pas près de la mosquée sacrée avant qu’ils ne vous y aient combattus.

S’ils vous y combattent,tuez-les donc.Telle est la rétribution des mécréants

[Coran 4:89] Ils aimeraient vous voir mécréants comme ils ont mécru : alors

vous seriez tous égaux!Ne prenez donc  pas d’alliés parmi eux,jusqu’à ce qu’ils

émigrent dans le sentier d’Allah. Mais s’ils tournent le dos, saisissez-les alors, et

tuez-les où que vous les trouvez,et ne prenez parmi eux ni allié,ni secoureur.

[Coran 4:91] Vous en trouverez d’autres qui cherchent à avoir votre confiance, et

en même temps la confiance de leur propre tribu. Toutes les fois qu’on les pousse

vers l’association (l’idolâtrie) ils y retombent en masse. (Par conséquent,) s’ils

ne restent pas neutres à votre égard, ne vous offrent pas la paix et ne retiennent

 pas leurs mains (de vous combattre),alors ,saisissez-les et tuez-les où que vous

les trouviez. Contre ceux-ci, Nous vous avons donné une autorité manifeste.

[Coran 5:33] La récompense de ceux qui font la guerre contre Allah et Son messager,

et qui s’efforcent de semer la corruption sur la terre c’est qu’ils soient tués,

ou crucifiés ou que soient coupées leur main et leur jambe opposées ou

qu’ils soient expulsés du pays. Ce sera pour eux l’ignominie ici-bas ; et dans

l’au-delà, il y aura pour eux un énorme châtiment.

[Coran 8:12] Et ton Seigneur révéla aux anges: « Je suis avec vous : affermissez

donc les Croyants. Je vais jeter l’effroi dans les coeurs des mécréants.

Frappez donc au-dessus des cous (décapitation) et frappez-les sur tous les

bouts des doigts.

(Coran 8:17) Ce n’est pas vous qui les avez tués,mais c’est Allah qui les a

tués. Et lorsque tu lançais (une poignée de terre), ce n’est pas toi qui lançais :

mais c’est Allah qui lançait, et ce pour éprouver les croyants d’une belle épreuve

de sa part!Allah est Audient et Omniscient.Autrement dit,c’est l’absolution

par avance pour un meurtrier  pour peu qu’il tue un infidèle au nom d’Allah.

(Coran 9:5) Après que les mois sacrés expirent,tuez les associateurs où que

vous les trouviez. Capturez-les, assiégez-les et guettez-les dans toute embuscade.

Si ensuite ils se repentent, accomplissent la Salât et acquittent la Zakát,

alors laissez-leur la voie libre, car Allah est Pardonneur et Miséricordieux.

[Coran 17:33] Et, sauf en droit, ne tuez point la vie qu’Allah a rendu sacrée.

Quiconque est tué injustement, alors Nous avons donné pouvoir à son proche

[parent]. Que celui-ci ne commette pas d’excès dans le meurtre, car il est déjà

assisté  (par la Loi) .Donc selon le Coran,il existe des raisons tout à fait valables,

conformes au droit de tuer.

(Coran 33:61) Ce sont des maudits Où qu’on les trouve,ils seront pris et tués

impitoyablement.

[Coran 47:4] Lorsque vous rencontrez (au combat) ceux qui ont mécru,

frappez-en les cous (décapitation).Puis ,quand vous les avez dominés,enchaînez-

les solidement. Ensuite, c’est soit la libération gratuite, soit la rançon,

jusqu’à ce que la guerre dépose ses fardeaux. Il en est ainsi, car si Allah voulait,

Il se vengerait Lui-même contre eux, mais c’est pour vous éprouver les uns

par les autres. Et ceux qui seront tués dans le chemin d’Allah, Il ne rendra

jamais vaines leurs actions.

b)Haine contre les Juifs,les Chrétiens et les Infidèles.

(Coran 5:51) Ô les croyants!Ne prenez pas pour alliés les Juifs et les Chrétiens:ils sont alliés les uns des autres.

Et celui d’entre vous qui les prend

pour alliés, devient un des leurs. Allah ne guide certes pas les gens injustes.

[Coran 9:30] Les Juifs disent : « Uzayr est fils d’Allah » et les Chrétiens disent :

« Le Christ est fils d’Allah ». Telle est leur parole provenant de leurs bouches.

Ils imitent le dire des mécréants avant eux.Qu’Allah les anéantisse!Comment

s’écartent-ils (de la vérité) ?

[Coran 5:14] Et de ceux qui disent: « Nous sommes Chrétiens », Nous avons

pris leur engagement. Mais ils ont oublié une partie de ce qui leur a été rappelé.

Nous avons donc suscité entre eux l’inimitié et la haine jusqu’au Jour de la

Résurrection. Et Allah les informera de ce qu’ils faisaient.

Dans les hadiths, on peut facilement faire une « moisson » de propos antijuifs

et antichrétiens parfois très violents comme : « Un groupe des Banû Israel (fils

d’Israel) était perdu.Je ne sais pas ce qui leur est arrivé,mais je pense qu’ils

se sont transformés en rats.. (Récit d’Abu Huraira,Muslim XI,II 7135 et

Bukhari LIV 524).

c)Les 3 inégalités de l’Islam

 

Les mercenaires de Boko Haram aux services du capitalisme d'affaires.
Les mercenaires de Boko Haram aux services du capitalisme d’affaires.

Le musulman est supérieur au non-musulman

[Coran 3:110] Vous êtes la meilleure communauté qu’on ait fait surgir pour les

hommes, vous ordonnez le convenable, interdisez le blâmable et croyez à

Allah. Si les gens du Livre (Chrétiens et Juifs) croyaient, ce serait meilleur pour

eux,il y en a qui ont la foi,mais la plupart d’entre eux sont des pervers.

L’homme est supérieur à la femme

(Coran 4:34)Les hommes ont autorité sur les femmes,en raison des faveurs

qu’Allah accorde à ceux-là sur celles-ci, et aussi à cause des dépenses qu’ils

font de leurs biens. Les femmes vertueuses sont obéissantes (à leurs maris), et

protègent ce qui doit être protégé, pendant l’absence de leurs époux, avec la

protection d’Allah. Et quant à celles dont vous craignez la désobéissance,

exhortez-les,éloignez -vous d’elles dans leurs lits et  et frappez-les.Si elles

arrivent à vous obéir, alors ne cherchez plus de voie contre elles, car Allah est

certes, Haut et Grand !

Le maître est supérieur à l’esclave

L’islam n’a pas encore abrogé l’esclavage, encore pratiqué en Arabie saoudite

et au Soudan où la traite des Noirs est encore d’actualité, comme l’atteste le

témoignage poignant d’un Soudanais noir et chrétien, nommé Simon Deng,

réduit en esclavage par le régime arabe islamiste de Khartoum, témoignage

recueilli par la journaliste Caroline Fourest, que l’on peut trouver sur le site

Internet : http://www.occidentalis.com/article.php?sid=2738. Si l’islam n’a pas

aboli l’esclavage (le peut-il ?) c’est tout simplement que son objectif est

d’établir le califat mondial où les  non-musulmans auraient le choix entre la

conversion,la mort ou,dans le meilleur des cas,la dhimminitude pour les Gens

du Livre (Juifs et Chrétiens), qui est un statut de sous-homme

(http://www.dhimmitude.org/archive/articlef1.html).

D)Peine de mort pour celui qui quitte l’islam

« Mais sans aucun doute je les aurais tués puisque le Prophète a dit: si quelqu’un (un

musulman) s’écarte de sa religion,tuez-le » (Récit  d’Ikrima,Bukari I,II 260).Vous

en connaissez beaucoup, des religions qui appellent à tuer celui qui désire les quitter ?

5-MAHOMET,LE  » BEAU MODÈLE »

 

On ne peut pas terminer sans parler de ce drôle de « prophète » pour cette drôle

de « religion ».Quelques traits du caractère de celui que tout bon musulman se

doit d’imiter,trouvés dans les Hadiths ou le Coran:

 

Mahomet était un tortionnaire

« Quand l’apôtre d’Allah eut coupé les pieds et les mains de ceux qui avaient

volé ses chameaux et qu’il leur eut enlevé les yeux avec des clous chauffés au

feu, Allah le gronda et il révéla : la punition de ceux qui font la guerre à Allah

et à son apôtre et qui les affrontent avec toutes leurs forces pour semer la

discorde sur la terre sera l’exécution (par décapitation) ou la crucifixion. »

(Récit d’Abu Zinad, Dawud XXXVIII 4357).

Mahomet était un assassin

« L’apôtre d’Allah a lapidé à mort une personne de la tribu des Banu Aslam,

un Juif et sa femme. » (Récit de Jabir Abdullah, Muslim XVII 4216).

Mahomet les aimait jeunes

« Khadija (première femme de Mahomet) est morte 3 ans avant que le Prophète

parte à Médine. Il y est resté environ deux ans et il se maria ensuite avec Aïcha

qui était une fillette de 6 ans:elle était âgée de neuf ans quand il a consommé le mariage ».

(Récit du père de Hisham ,Bukhari LVIII 236)

 

 

Mahomet était un pillard

« Quand l’apôtre d’Allah avait l’intention de conduire une expédition de

pillage, (ghazw ou ghazwa en arabe, ce que l’on traduit en français par razzia –

dans le cas du Prophète, un tel pillage constituait un aspect du jihâd) il employait

une formule équivoque pour faire croire qu’il allait dans une autre direction. »

(Récit de Ka’b ibn Malik, Bukhari LII 197). « Au nom d’Allah le Très

Miséricordieux. Ils t’interrogent au sujet du butin. Dis : « Le butin est à Allah et

à Son messager. » Craignez Allah, maintenez la concorde entre vous et obéissez

à Allah et à Son messager, si vous êtes croyants. » [Coran 8:1].

Tel est l’islam depuis quatorze siècles ! C’est une idéologie qui instrumentalise une

religion et qui vise à soumettre l’humanité au même titre que le nazisme ou le

communisme. L’islam est donc incompatible avec la déclaration des Droits de

l’Homme et du Citoyen constitutive des lois de notre République. On peut trouver

les hadiths (en anglais) sur le site de la Muslim Students Association of

South California University, http://www.usc.edu/dept/MSA/reference/searchhadith.html.

Pour savoir si une sourate est médinoise ou mecquoise, visitez le site

http://www.islamophile.org/spip/rubrique5.html. Cet argumentaire est à votre

disposition pour téléchargement sous format PDF à l’adresse Web

http://www.france-echos.com/IMG/pdf/presentation_islam.pdf. Ce document a

été visé par un spécialiste de l’islam. Certaines URL sont susceptibles d’être

désactivées provisoirement.

Diffusez ce document mes ami(e)s !

William Gladstone

 

Nouvel Ordre Mondial:Hillary Clinton ,le choix des mafias nationales et du crime organisé

 

 

Durant la présidence de Bill Clinton,Hillary Clinton  se permit de recevoir le puissant contrebandier de  drogues dures (cocaîne,etc) ,Jorgue Cabrera ,à la Maison Blanche...durant les fêtes.
Durant la présidence de Bill Clinton,Hillary Clinton se permit de recevoir le puissant contrebandier de drogues dures (cocaîne,etc) ,Jorgue Cabrera ,à la Maison Blanche…durant les fêtes.
Hillary Clinton avec Hacim Taçi, accusé de trafics criminels et gouverneur du Kosovo.
Hillary Clinton avec Hacim Taçi, accusé de trafics criminels et gouverneur du Kosovo.

 

 

Le dossier particulier des liens étroits de Barack Obama et d’Hillary Clinton avec le crime organisé,la Mafia Internationale,s’épaissit.Si l’on additionne à cette affaire, le soutient  financier d’un  parrain du crime organisé indonésien aux études  universitaires du jeune Barack Hussein Obama,la disparition  récente de plus de $500 millions US d’armement au Yémen par la CIA ,le « don secret » de plus de $500 millions  US d’armes diverses  en soutient à la Syrian Free Army  dont les mêmes personnes ont rallié l’État Islamique ,apportant ainsi un  financement « indirect » à leur petit ami au cerveau nettoyé qu’est Al Bagdady,le calife autoproclamé,la marionette des américains,des sionistes et des saoudiens,alliés en secret aux qataris.

Les citoyens et citoyennes d’Amérique sont en train de financer une guerre  pour le contrôle du pétrole au Moyen Orient,afin de  gagner du temps pour un système capitaliste désuet,en train de mourir lentement.

 

« Eulex, la mission de l’Union Européenne chargée d’établir au Kosovo un état de droit, est secouée par un nouveau scandale de corruption révélée le 28 octobre [2014] par le journal kosovar Koha Ditore.

La Tchèque Jaroslava Novotna, procureur en chef de la mission et le juge italien Francesco Florit, chef du collège des juges d’Eulex, soit deux des fonctionnaires les plus importants de la mission, sont accusés d’avoir perçu de l’argent de la part de la mafia albanaise afin de classer des dossiers liés au crime organisé et d’acquitter des personnes soupçonnées de délits graves (meurtre, corruption, etc). On estime les sommes versés par la mafia albanaise à environ 350 000 euros.

Ces accusations sont portées par le procureur spécial de la mission européenne de justice, la britannique Mariah Bamieh qui a ouvert l’enquête il y a un an, suite à des écoutes téléphoniques démontrant les relations entre les fonctionnaires européens et certains accusés albanais.

Parmi les dossiers concernés, on retrouve notamment Fatmir Limaj, ex-ministre kosovar et un des commandants de l’UCK, accusé puis acquitté par le Tribunal pénal international pour l’ex-Yougoslavie (TPIY) de crimes de guerre [sous pressions du gouvernement français NDLR].

Après avoir pris connaissance de ces écoutes téléphoniques, Mariah Bamieh a alerté la direction d’Eulex mais elle n’a pas reçu le soutien escompté. Bien au contraire, elle aurait été victime d’une campagne de dénigrement au sein de la mission. Finalement, Mariah Bamieh a été récemment suspendue de son poste.

Suite aux bombardements de l’OTAN et la prise du pouvoir par les terroristes albanais de l’UCK en 1999, les Serbes du Kosovo et les autres minorités ont subi une épuration ethnique particulièrement sanglante. Les survivants Serbes vivent aujourd’hui dans des enclaves protégés par des militaires. Les dirigeants albanais du Kosovo, issus de l’UCK et soutenus par les États-Unis et bon nombre de gouvernements européens, n’ont été que très peu inquiétés par la justice internationale à l’instar d’Hashim Thaçi, ex-commandant de l’UCK et premier ministre actuel du Kosovo, accusé par l’ex-procureur du TPIY, Carla Del Ponte, d’être impliqué dans un trafic d’organes prélevés sur des prisonniers serbes déportés et exécutés. » Source: Langadoc.info:

Selon un rapport du Conseil de l’Europe publié le 15 janvier 2010:

« le trafic de récolte d’organes organisé par l’UCK, connu depuis des années, a été confirmé. Le rapport intitulé: «Le traitement inhumain de personnes et trafic illicite d’organes humains au Kosovo» identifie le « premier ministre » de la province, récemment réélu,  Hashim Thaçi, comme le patron d’un groupe albanais « mafieux«  spécialisé dans la contrebande d’armes, de drogues, de personnes et d’organes humains dans toute l’Europe. Le rapport révèle que les plus proches collaborateurs de Thaci exfiltraient les Serbes à travers la frontière vers l’Albanie après la guerre pour les assassiner et vendre leurs organes sur le marché noir. En outre, le rapport accuse Thaçi d’avoir exercé un «contrôle violent » sur le commerce de l’héroïne depuis une décennie. »

Hacim Thaçi est toujours premier ministre du Kosovo. Ainsi que le révèle ce dernier scandale, la mafia albanaise de l’UCK, alliée de l’OTAN, poursuit son « œuvre » dans la province en toute quiétude …et Hillary Clinton pourrait devenir la première présidente des USA,poursuivant l’œuvre maléfique du Nouvel Ordre Mondial.


Souvenirs de Libye

Un certain mois d’octobre 2011…je me souviens 

Kadhafi tué par les ‘révolutionnaires’… Français

Le journal Le Parisien nous apprend que Mouammar Kadhafi a été tué par les « révolutionnaires »… Français. Sûrement un cadeau pour le dernier né présidentiel.

En fait Le Parisien préfère entretenir la  légende « révolutionnaire » libyenne et nous dit que si l’aviation tricolore a bloqué le convoi, ce sont les prétendus révolutionnaires Libyens qui ont fini le travail.

Les Libyens débarrassés du « chien fou » vont enfin pouvoir profiter de la démocrate que leur apportent les démocrates présents sur cette photo, en particulier cette femme blonde qui respire la santé mentale.

Le 18 octobre 2011

La secrétaire d’Etat américaine, Hillary Clinton, est arrivée pour une visite surprise à Tripoli, mardi 18 octobre 2011. Sa visite fait suite à celles du président français, Nicolas Sarkozy, des premiers ministres britannique, David Cameron, et turc, Recep Tayyip Erdogan, ainsi que de plusieurs ministres britanniques, italiens et canadiens.

« Les Etats-Unis sont fiers d’avoir été à vos côtés dans votre combat pour la liberté et continueront à le faire si vous continuez ce voyage, en respectant votre souveraineté et en honorant notre amitié », a-t-elle déclaré. Saluant la « victoire de la Libye », elle a affirmé : « Le futur vous appartient. »

Se disant consciente que « les combats sanglants continuent », elle a indiqué que « l’OTAN et la coalition internationale […] continueront à protéger les civils libyens jusqu’à ce qu’ait pris fin la menace [représentée par Mouammar] Kadhafi ».

Alors qu’on lui demandait si les Etats-Unis coopéreraient avec des islamistes, elle a indiqué qu’ils « soutiendraient un processus de démocratisation qui respecte la loi, […] le droit des minorités et des femmes » et qui autorise une presse libre.

RENFORCER LES LIENS AVEC LE CNT

Hillary Clinton entourée des mercenaires d'Al Qaïda à Tripoli,le 19 octobre 2011.
Hillary Clinton entourée des mercenaires d’Al Qaïda à Tripoli,le 19 octobre 2011.

S’adressant aux Libyens, la secrétaire d’Etat a affirmé : « Vous méritez un gouvernement qui représente tous les Libyens, toutes les régions du pays, et toutes les origines, y compris les femmes et les jeunes. Vous méritez un système judiciaire transparent et équitable. Les représailles et ceux qui veulent se faire justice eux-mêmes n’ont pas leur place dans la nouvelle Libye. »

Protégée par la CIA et l'armée américaine,la "folle du pouvoir illuminati" serre les mains  de membres douteux  du CNT.
Protégée par la CIA et l’armée américaine,la « folle du pouvoir illuminati » serre les mains de membres douteux du CNT.

sources: http://www.medias-presse.info/nouveau-scandale-de-connivences-dune-instance-europeenne-avec-la-mafia-albanaise/17889 et divers amis sur le réseau WordPress,Le Monde éditions de 2011,

Falsification de vérités:Preuves qu’Ossama ben Laden est décédé en 2001

 

Automne  2011-Regarder les médias de masse est quelque chose que je ne fais pas. On  m’a appelé ce matin pour me dire que Oussama ben Laden a été tué et l’armée américaine a pris possession de son corps. Même si mon esprit rejette la poubelle des médias de courant principal, je ai dû me forcer et regarder la déclaration d’Obama concernant . le soi-disant ‘assassinat de Ben Laden  » Je ne ferai que vous regardez la marionnette Obama reproduire un faux mémorisé texte, mais à la place vous donner une phrase de sa déclaration couché: « Aujourd’hui, à ma direction, les États-Unis ont lancé une opération ciblée … ils ont tué Oussama Ben Laden et ont pris garde de son corps.  » Je tiens à vous prouver que Barack Hussein Obama est le mensonge et Oussama ben Laden est mort depuis 2001. Mais avant d’aller plus loin, se il vous plaît permettez-moi de vous le véritable Oussama présente Ben Laden et ses liens avec la CIA et de la famille Bush.

Du 18 Septembre, numéro de 2001 de «From The Wilderness » (FTW)
Article par Michael C. Ruppert

Il existe des liens historiques directs entre les intérêts commerciaux d’Oussama ben Laden et ceux de la famille Bush. Le 15 Septembre, je ai reçu le message suivant du professeur John Metzger de l’Université d’État du Michigan:

.. « Nous devrions revoir l’histoire de la BCCI, une banque utilisé par le terroriste palestinien légendaire connu sous le nom d’Abou Nidal BCCI a été étroitement liée aux services secrets américains et le Pakistan Son clients inclus les rebelles afghans, et le frère d’Oussama ben Laden, Salem. 

Salem bin Laden nommée courtier d’investissement Houston James R. Bath comme son représentant de l’entreprise dans le Texas, juste après le père de George W. Bush est devenu directeur de la CIA en 1976. En 1977, Bain a investi $ 50 000 dans la première entreprise junior, Arbusto énergie, tandis que Oussama ben Laden allait bientôt devenir un agent de la CIA. Le directeur du FBI de George W. Bush, Robert Mueller, a fait partie de l’enquête discutable du ministère de la Justice de la BCCI. (Sur la BCCI, les Ben Laden, et les buissons, voir les livres, La Banque Outlaw, une Banque Full Service et Fortunate Son).  »

autre détail de l’entreprise et les relations financières entre l’administration Bush et la famille Ben Laden se trouvent en 1992 le livre de Peter Brewton La mafia, la CIA et George Bush. BCCI, d’ailleurs, a été fondée par un Pakistanais.

professeur d’économie Michel Chossudovsky de l’Université d’Ottawa vient de terminer une histoire détaillée de la carrière de Ben Laden détaillant son financement occulte et de soutien logistique aux organisations terroristes à partir de ses premières racines soutenu par la CIA dans les années 1980 comme un «combattant de la liberté» jusqu’à nos jours. ( Pour en savoir plus…cliquez ici)

Qui était Oussama Ben Laden?
Oussama ben Laden, Alias ​​CIA Asset «Tim Osman»

Ossama ben Laden
Ossama ben Laden

 

Tim Osman (Ossman) est devenu mieux connu comme Oussama Ben Laden. «Tim Osman» était le nom qui lui est assigné par la CIA pour sa tournée des bases militaires américaines et américains, à la recherche de soutien politique et de l’armement. […] Il existe certaines preuves que Tim Osman … visité la Maison Blanche. Il est certain que Tim Osman a visité certaines bases militaires américaines, recevant même des manifestations spéciales de l’équipement de pointe. Pourquoi pas cet été signalé dans les grands médias?

Voici le document prouvant qu'Ossama ben Laden était l'agent Tim Osman de la ...CIA.
Voici le document prouvant qu’Ossama ben Laden était l’agent Tim Osman de la …CIA.
Tim Osman  ...bien entrainé alors...par la CIA...ou si vous préféez : Ossama ben Laden.
Tim Osman …bien entrainé alors…par la CIA…ou si vous préféez : Ossama ben Laden.

 

 

 

 

Convaincante et bien documenté cet article  de Chossudovsky:

Quelques heures après les attaques terroristes sur le World Trade Center et le Pentagone, l’administration Bush a conclu, sans preuve à l’appui, que «Oussama ben Laden et son organisation al-Qaïda étaient les principaux suspects ». Directeur de la CIA George Tenet a déclaré que Ben Laden a la capacité de planifier « des attaques multiples avec peu ou pas d’avertissement. » 

Secrétaire d’Etat Colin Powell a appelé les attaques «un acte de guerre » et le président Bush a confirmé lors d’une soirée allocution télévisée à la Nation qu’il «ne faire aucune distinction entre les terroristes qui ont commis ces actes et ceux qui les abritent ».

Ancien directeur de la CIA James Woolsey a pointé son doigt « parrainé par l’État», impliquant la complicité d’un ou plusieurs gouvernements étrangers. Dans les mots de ancien conseiller à la sécurité nationale, Lawrence Eagleburger, «Je pense que nous allons montrer quand nous sommes attaqués comme ça, nous sommes terrible de notre force et de notre châtiment. »

Pendant ce temps, perroquet déclarations officielles, le mantra des médias occidentaux a approuvé la lancement de « mesures punitives » dirigés contre des cibles civiles au Moyen-Orient. Dans les mots de William Saffire écrit dans le New York Times: « Lorsque nous déterminons raisonnablement les bases et des camps de nos attaquants, nous devons les pulvériser – en minimisant mais en acceptant le risque de dommages collatéraux » – et d’agir ouvertement ou secrètement à déstabiliser la terreur de hôtes nationaux « .

Le texte qui suit décrit l’histoire d’Oussama Ben Laden et les liens de l’Organisation islamique pour « Jihad » à la formulation de la politique étrangère américaine pendant la guerre froide et de ses conséquences.

 

Montage vidéo ben Laden 001

Principal suspect dans les attentats terroristes de New York et de Washington, de marque par le FBI comme un «terroriste international» pour son rôle dans les attentats contre les ambassades africaine des États-Unis, l’Arabie né Oussama ben Laden a été recruté pendant la guerre soviéto-afghane « ironiquement sous les auspices de la CIA, pour lutter contre les envahisseurs soviétiques « . 

En 1979, « la plus grande opération secrète dans l’histoire de la CIA» a été lancé en réponse à l’invasion soviétique de l’Afghanistan à l’appui du gouvernement pro-communiste de Babrak Kamal .:

Avec l’encouragement actif de la CIA et de l’ISI [Inter Services Intelligence] du Pakistan, qui voulait tourner le djihad afghan dans une guerre globale menée par tous les Etats musulmans contre l’Union soviétique, quelques 35 000 musulmans radicaux venus de 40 pays islamiques ont rejoint la lutte de l’Afghanistan entre 1982 et 1992. Des dizaines des milliers d’autres sont venus étudier dans les madrasas pakistanaises. Finalement, plus de 100 000 radicaux musulmans étrangers ont été directement influencés par le djihad afghan.

Le «jihad» islamique a été soutenue par les Etats-Unis et l’Arabie Saoudite avec une partie importante du financement généré par le Croissant d’Or commerce de la drogue :

En Mars 1985, le président Reagan signé décision sécurité nationale la directive 166, … [qui] autoriser [d] intensifié-up aide militaire secrète aux moudjahidine, et il fait clair que la guerre en Afghanistan secrète avait un nouvel objectif: vaincre les troupes soviétiques en Afghanistan par l’action secrète et d’encourager un retrait soviétique.

La nouvelle aide américaine secrète a commencé avec une augmentation spectaculaire de fournitures d’armes – une augmentation constante à 65 000 tonnes par an d’ici 1987, … ainsi que d’un « flot ininterrompu» de la CIA et du Pentagone spécialistes qui se est rendu à le quartier général secret de l’ISI du Pakistan sur la route principale près de Rawalpindi, au Pakistan. Il les spécialistes de la CIA a rencontré des agents de renseignement pakistanais pour aider à planifier des opérations pour les rebelles afghans. 

La Central Intelligence Agency (CIA) à l’aide militaire Inter-Services Intelligence (ISI) pakistanais ont joué un rôle clé dans la formation des moudjahidin. À son tour, la formation de guérilla CIA parrainé a été intégrée avec les enseignements de l’Islam: Les thèmes prédominants étaient que l’Islam est une idéologie socio-politique complète, ce saint Islam a été violé par les troupes soviétiques athées, et que le peuple islamique d’Afghanistan devrait réaffirmer leur indépendance en renversant le régime afghan gauche appuyé par Moscou. ( cliquez ici pour lire tout! ) BBC: Al-Qaïda n’a jamais existé … Il a été inventé par la CIA . tueur le documentaire de la BBC intitulé «The Power of Nightmares » hauts responsables de la CIA admettre ouvertement, Al-Qaïda est une fabrication totale et complète, ne ayant jamais existé à tout moment. L’administration Bush avait besoin d’une raison qui est conformée aux lois afin qu’ils puissent aller après « le méchant de leur choix » à savoir les lois qui avaient été mis en en place pour nous protéger contre les foules et «organisations criminelles» comme la Mafia. Ils ont payé Jamal al Fadl, des centaines de milliers de dollars pour soutenir l’histoire du gouvernement américain d’Al-Qaïda, un «groupe» ou une organisation criminelle qu’ils pouvaient «légalement» aller après. Ce documentaire vidéo est décroché …

 

LE PUISSANT RÉSEAU BUSH-LADEN

Ben Laden reseau 001

 

Remarque: Jackson Stephens était, jusqu’à récemment, l’employeur du général Wesley Clark 
et était peut-être le plus important bailleur de fonds du candidat présidentiel Bill Clinton. Ce est un petit monde, ne est ce pas ?!

Lire ici les «Connexions Bush-Arabie»

Preuve que Oussama Ben Laden est mort / a été tué en 2001

Dans le Novembre 02, 2007  entrevue avec David Frost, Benazir Bhutto a été interrogé sur la précédente tentative de l’assassiner en Octobre. Sa réponse vaut bien une seconde écouter à la suite de sa mort. Il semble que Mme Bhutto soupçonne l’implication des services de sécurité du Pakistan et a dit le président Musharraf autant.

Après avoir reçu une lettre de M. Musharraf l’avertissant des diverses organisations terroristes qui prévoyaient sa cible pour assassinat, elle a répondu en indiquant son estime que « … alors que ces groupes [terroristes] peuvent être utilisés, je ai pensé qu’il était plus important d’aller après les personnes qui les ont soutenus, qui les organisent, qui pourraient éventuellement être les financiers … pour ces groupes. »

Son la plus intéressante remarque était d’environ un agent de sécurité qu’elle soupçonnait d’être impliqué dans les attentats à la bombe qui, dit-elle,  » eu affaire avec Omar Sheikh, l’homme qui a assassiné Oussama Ben Laden. « 

Moins de deux mois après cette entrevue, le 27 Décembre 2007, Bhutto a été assassinée tout en laissant un meeting de campagne pour le PPP national Liaquat Bagh, où elle avait donné une adresse entrain de partisans du parti dans la période qui a précédé les élections parlementaires Janvier 2008 . Après avoir saisi son véhicule balles, Bhutto se est levé grâce à son toit ouvrant pour saluer la foule. À ce stade, un homme armé a tiré sur elle et ensuite explosifs ont explosé près du véhicule tuant environ 20 personnes. Bhutto était grièvement blessé et a été transporté à l’hôpital général de Rawalpindi. Elle a été prise en chirurgie à 17h35 heure locale, et déclaré mort à 18h16. Oussama ben Laden est mort d’insuffisance rénale le 13 Décembre, 2001 .

Dans son livre « ? Oussama Ben Laden: Dead or Alive », l’analyste politique et philosophe professeur David Ray Griffin, ancien professeur émérite à l’école Claremont en Californie de théologie, ce est provoquer des ondes de choc – car il va dans beaucoup plus de détails au sujet de sa supposée mort et suggère qu’il a été un cover-up par l’Occident.

Le livre prétend que Ben Laden est mort d’une insuffisance rénale, ou une plainte liée, le 13 Décembre 2001, tout en vivant dans Tora Bora les montagnes de l’Afghanistan près de la frontière avec le Waziristan. Son enterrement a eu lieu dans les 24 heures, conformément aux règles religieuses musulmanes, et dans une tombe anonyme, qui est une coutume wahhabite.

L’auteur insiste sur le fait que les nombreuses bandes Ben Laden effectués depuis cette date ont été concocté par l’Occident pour rendre le monde croire Ben Laden est vivant. Le but? Pour attiser décroissante soutien à la guerre contre le terrorisme en Irak et en Afghanistan.

Pour comprendre la thèse de Griffin, nous devons nous rappeler la réaction de l’Occident à 9/11, ce fatidique jour Septembre ensoleillé en 2001. En un mois, le dimanche 7 Octobre, le États-Unis et la Grande-Bretagne a lancé des frappes aériennes de représailles massives dans la région de Tora Bora où ils ont dit ‘principal suspect’ Ben Laden vivait «en tant qu’invité de l’Afghanistan».

Cette offensive militaire a ignoré le fait que Ben Laden avait déjà insisté quatre fois officielle Al-Qaïda . déclarations faites à la presse arabe qu’il n’a joué aucun rôle dans 9/11

En effet, sur la quatrième fois, le 28 Septembre et quinze jours après l’atrocité, at-il déclaré avec insistance: «Je ai déjà dit que je ne suis pas impliqué. En tant que musulman, je fais de mon mieux pour éviter de dire un mensonge. Je ne avais aucune connaissance … et je ne considère le meurtre de femmes innocents, des enfants et d’autres humains comme un acte appréciable. »

Dans les heures les Octobre 7 éléments par les États-Unis sur Tora Bora, Ben Laden fait sa première apparition sur la vidéo bande. Vêtus de treillis de l’armée, et avec une tête-robe islamique, il avait un fusil d’assaut calé derrière lui dans un repaire de montagne largement éclairé. Significativement, il était pâle et décharnée.

Bien qu’il appelait «la tête des infidèles président George W. Bush et versé le mépris sur les États-Unis, il a de nouveau rejeté la responsabilité de 9/11.

Puis vint une seconde vidéo le 3 Novembre 2001. Une fois de plus, un Ben Laden malade fustigé les Etats-Unis. Il a exhorté les fidèles musulmans à célébrer les attaques – mais n’a pas en tout temps reconnaître qu’il avait été impliqué dans l’atrocité.

Et puis il y avait le silence jusqu’au 13 Décembre 2001 – la date Griffin affirme Ben Laden est mort. Ce jour-là, le gouvernement américain a publié une nouvelle vidéo de la chef de la terreur. Dans cette bande, Ben Laden contredit tous ses dénégations antérieures, et soudain admis son implication dans l’atrocité de 9/11.

La bande aurait été trouvé par les troupes américaines dans une maison privée à Jalalabad, en Afghanistan, après que les forces anti-talibans ont pris sur la ville. Une étiquette apposée sur il a affirmé qu’il avait été faite le 9 Novembre 2001.

Dans cet enregistrement, Ben Laden est un homme de poids avec une barbe noire, pas un gris. Sa peau pâle était devenu subitement sombre, et il avait un nez de forme différente. Ses mains aux doigts effilés artistiques avaient transformé en ceux d’un boxeur. Il a regardé dans extrêmement bonne santé.

En outre, Ben Laden peut être vu écrire une note de sa main droite, même se il est gaucher. Bizarrement, aussi, il fait des déclarations au sujet de 9/11 qui Griffin affirme ne serais jamais venu de la bouche de la véritable Ben Laden – un homme avec un diplôme d’ingénieur civil qui avait fait sa fortune (avant de passer dans le terrorisme) de la construction de bâtiments dans la Moyen-Orient.

Par exemple, le chef d’Al-Qaïda claironne que beaucoup plus de personnes sont mortes dans 9/11 que ce qu’il avait prévu. Il poursuit: «En raison de mon expérience dans ce domaine, je pensais que l’explosion du gaz dans le plan ferait fondre la structure de fer de l’immeuble et l’effondrement de la zone où l’avion a frappé et tous les étages au-dessus seulement. Ce est tout ce que nous avions espéré.  » (En réalité, le Twin Towers ‘complètement tombé).

Les mots du vrai Ben Laden? Non, dit Griffin, en raison des erreurs évidentes. «Compte tenu de son expérience à titre d’entrepreneur, il aurait su les tours jumelles ont été encadrée avec de l’acier, pas de fer, dit-il.

« Il serait aussi connu que l’acier et le fer ne commencent à fondre jusqu’à ce qu’ils atteignent 2800 degrés F. Pourtant, un incendie de l’immeuble alimenté par le carburant aviation est un feu d’hydrocarbures, et ne pouvait pas atteint dessus de 1800 degrés F. ‘

Griffin, dans son livre explosif, dit cette bande est faux, et il va plus loin.

»Une des raisons de soupçonner que la totalité du poste -2001 bandes Ben Laden sont des fabrications, ce est qu’ils apparaissent souvent à des moments qui ont stimulé la présidence Bush ou soutenues une réclamation par son chef «guerre contre le terrorisme» allié, le Premier ministre britannique Tony Blair.

« La bande de confession venu exactement quand Bush et Blair avaient ne ont pas réussi à prouver la responsabilité de Ben Laden pour les 9/11 et les deux hommes tentaient de gagner le soutien du public international, en particulier dans le monde islamique, pour la campagne anti-terroriste ».

Quant à la question de ce qui lui est arrivé, des notes de rein de Ben Laden échec, ou qu’il pourrait être mort, est apparu le 19 Janvier 2002, quatre mois après 9/11.

Ce était lorsque le président pakistanais Pervez Musharraf a dit émission de nouvelles CNN de l’Amérique: «Je pense que maintenant, franchement, il est mort pour la raison il est un patient de rein. Les images de lui montrer qu’il est extrêmement faible. »

Dans son livre, le professeur Griffin approuve également cette théorie. Il dit Ben Laden a été traité pour une infection urinaire, souvent liée à une maladie rénale, à l’hôpital américain de Dubaï en Juillet 2001, deux mois avant 9/11. Dans le même temps, il a ordonné une machine de dialyse mobile pour être livré à l’Afghanistan.

Comment pourrait Ben Laden, sur la course dans des grottes de montagnes enneigées, ont utilisé la machine que beaucoup croient était essentiel de le maintenir en vie? Médecins dont Griffin cite sur le sujet pensent qu’il aurait été impossible.

Il aurait dû rester au même endroit avec une équipe de médecins, des conditions d’hygiène, et un programme d’entretien régulier de l’unité de dialyse elle-même.

Et que dire de la narration, petite nouvelles élément qui a éclaté le 26 Décembre 2001, dans le journal égyptien Al-Wafd? Il a déclaré un responsable de premier plan des talibans afghans avait annoncé qu’Oussama Ben Laden avait été enterré vers le 13 Décembre.

« Il a souffert de complications graves et il est mort, une mort calme et naturel. Il a été enterré à Tora Bora, un enterrement en présence de 30 combattants d’Al-Qaïda, les membres proches de sa famille et amis des talibans. Par la tradition wahhabite, aucune marque a été laissé sur la tombe », dit le rapport.

Le responsable taliban, qui n’a pas été nommé, a déclaré triomphalement qu’il avait vu le visage de Ben Laden dans son linceul. «Il était pâle, mais calme, détendu et confiant.»

Ce était Noël à Washington DC et à Londres et le rapport à peine obtenu une mention. Depuis lors, les cassettes de Ben Laden ont émergé avec une régularité de métronome que des milliards ont été dépensés et beaucoup de sang répandu sur la chasse pour lui. 

Sources: http://www.polidics.com; http://www.globalresearch.ca; http://www.fromthewilderness.com; http://www.oilempire.us; http://www.dailymail.co.uk; http://www.educate-yourself.org; http://www.YouTube.com; http://www.wikipedia.com;

ensuite éditées les photos  « arrangées »
d’Oussama ben Laden: FAKE Cadavre Image! 100% PREUVE!

L’image du corps mort d’Oussama ben Laden montrée de la télévision est faux! Quelqu’un a utilisé l’image suivante de Ben Laden toujours en vie et placé la partie inférieure de son visage sur l’image d’un mort irakien.

Ben Laden mort 002

 

ben Laden mort 003