La personne oubliée du mois:un grand professeur mort dans la misère

Je suis M. NKOUMBA Édouard, PLEG de philosophie, sorti de l’ENS de Yaoundé dans les années 2000. Après 5 ans à Tignère, je me retrouve au lycée bilingue de Sangmelima où j’aurais plus jamais la possibilité de partir.
Enseignant dévoué et assidu, ma réputation s’étend très vite dans la ville de Sangmelima et des contrées voisines. Certaines de mes mes épreuves reviennent au Bacc. Je suis un passionné de philosophie et des lettres modernes.
Après 22 ans de service j’ai à mon actif:
– zéro avancement;
– zéro nomination;
– toutes les demandes de mutation sont nulles.
À 52 ans je continue à tenir la craie du lundi et vendredi, et de là je crois commence à développer certaines maladies telles que l’hypertension artérielle. Pire encore en mi-2021, par inadvertance ma solde est suspendue. Je plonge dans une extrême précarité. Je suis obligé de m’endetter pour survivre et envoyer les enfants à l’école en septembre 2021. Les moyens me manquent pour avoir un véritable suivi médical. Lors que ma solde est rétablie je ne reçois aucun rappel et je passe le temps à essayer de rembourser les dettes contractées. Ma santé se détériore d’avantage. Jeudi le 26 mai, je fais un dernier tour au lycée où je rentre avec les dernières copies. Samedi 28 mai je corrige ces copies et je relève les notes dans une fiche. Dimanche 29 mai, matin je lis et fiche un dernier de philosophie, en journée je promène une dernière fois dans la ville de Sangmelima pour essayer de comprendre quel a été le sens de ma vie. Lundi 30 mai 2022, au petit matin je rend l’âme de suite d’arrêt cardiaque, seul dans mon vieil appartement.
AINSI S’ACHÈVE LA VIE D’UN GRAND PROFESSEUR!

Dictature totalitaire mondiale en formation:Le Kenya et le Malawi, zones test pour un carnet de vaccination injecté sous la peau

Depuis 2019,des ingénieurs américains ont mis au point un marquage et une vaccination sous-cutanés encapsulés dans des nanoparticules.

La campagne de vaccination a débuté en septembre 2019,au Kenya,en prenant la population comme cobaye!
Tout cela sous les bons soins de Bill Gates!

 

Des ingénieurs du Massachusetts Institute of technology (MIT) ont inventé des nanoparticules injectables sous la peau qui émettent une lumière fluorescente invisible à l’œil nu mais visible par un smartphone, et qui pourraient un jour servir à confirmer que la personne a bien été vaccinée.

La Fondation Gates, qui finance le projet, a aussi lancé des enquêtes d’opinion au Kenya, au Malawi et au Bangladesh pour déterminer si les populations seront prêtes à adopter ces microscopiques boîtes quantiques, ou préféreront en rester aux vieilles cartes de vaccination.

 

L’idée est d’inscrire sur le corps lui-même la preuve du vaccin, dans des pays en développement où les cartes de vaccination en papier sont souvent erronées ou incomplètes, et où les dossiers médicaux électroniques inexistants.

Le système, décrit mercredi dans la revue Science Translational Medicine, n’a pour l’instant été testé que sur des rats mais les chercheurs, financés par la Fondation Bill et Melinda Gates (partenaire du Monde Afrique), espèrent les tester sur des humains en Afrique dans les deux prochaines années, dit à l’AFP la coautrice Ana Jaklenec, ingénieure biomédicale de MIT.

Les ingénieurs ont passé beaucoup de temps à trouver des composants à la fois sûrs pour l’organisme, stables et capables de durer plusieurs années.

Croix luminescente

La recette finale est composée de nanocristaux à base de cuivre, appelées des boîtes quantiques (« quantum dots » en anglais), de 3,7 nanomètres (nm) de diamètre, et encapsulés dans des microparticules de 16 micromètres (μm, 1 μm égale un millionième de mètre, et 1 nm égale un milliardième). Le tout est injecté par un patch de microaiguilles de 1,5 mm de longueur.

Après avoir été appliquées sur la peau pendant deux minutes, les microaiguilles se dissolvent et laissent sous la peau les petits points, répartis par exemple en forme de cercle ou bien d’une croix. Ces petits points sont excités par une partie du spectre lumineux invisible pour nous, proche de l’infrarouge.

Un smartphone modifié, pointé sur la peau, permet de faire apparaître, fluorescent sur l’écran, le cercle ou la croix. Les chercheurs voudraient qu’on puisse injecter le vaccin contre la rougeole en même temps que ces petits points. Un médecin pourrait des années plus tard pointer un smartphone pour vérifier si la personne a été vaccinée.

Des chercheurs du MIT ont présenté, le 18 décembre 2019 à Washington, une technologie de vaccination sous-cutanée encapsulée dans des nanoparticules et des nanocristaux qui deviennent fluorescents à l’approche d’une lumière proche de l’infrarouge.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

La technique est censée être plus durable que le marquage par feutre indélébile, pour lequel les chercheurs ont simulé cinq années d’exposition au soleil. Et elle requiert moins de technologie qu’un scan de l’iris ou que la maintenance de bases de données médicales.

La limite du concept est que la technique ne sera utile pour identifier les enfants non-vaccinés que si elle devient l’outil exclusif. En outre, les gens accepteront-ils de multiples marquages sous la peau pour chaque vaccin? Et qu’adviendra-t-il des points quand le corps des enfants grandira ?

La Fondation Gates poursuit le projet et finance des enquêtes d’opinion au Kenya, au Malawi et au Bangladesh pour déterminer si les populations seront prêtes à adopter ces microscopiques boîtes quantiques, ou préféreront en rester aux vieilles cartes de vaccination.

POSER CES QUESTIONS EST Y RÉPONDRE

L’histoire récente de l’humanité nous montre que le marquage social  a été souvent utilisé.Ce sont les allemands de la Deuxième Guerre Mondiale qui figurent au palmares avec les passeport de circulation,les croix jaunes pour identifier les  juifs,etc.

En regardant ce qui se passe en 2021 avec le passeport sanitaire et la division sociale voulue par les systèmes politiques (en vaccinés vs les non-vaccinés) ,on comprend facilement que le Troisième Reich allemand de 1933 a servi de modèle pour élaborer la situation actuelle.Il est clair que dans notre monde occidental chrétien que la démocratie est morte depuis longtemps et que ce sont des profiteurs manipulés par des sociétés secrètes qui mènent le bal!


EN COMPLÉMENTAIRE

la Guinée renforce les contrôles aux frontières et ferme les boîtes de nuit

Le port obligatoire du masque a été décrété et les fonctionnaires ne pourront accéder à leur lieu de travail que munis de leur passe sanitaire.

Une femme passe devant des graffitis sur un mur représentant des mesures d’hygiène pour freiner la propagation du coronavirus COVID-19 à Conakry, en Guinée, le 4 mai 2020

La Guinée avait annoncé 10 août 2021, le renforcement des contrôles sanitaires aux frontières, le port obligatoire du masque et la fermeture des boîtes de nuit afin de lutter contre l’épidémie de Covid-19.

« A situation exceptionnelle, il faut des mesures exceptionnelles appliquées avec courage, détermination et la plus grande fermeté », a déclaré le président Alpha Condé, selon un communiqué rendant compte du conseil des ministres. Le port obligatoire du masque a ainsi été décrété, ainsi que la « fermeture jusqu’à nouvel ordre des boîtes de nuit et d’autres lieux de loisirs très fréquentés ». Les fonctionnaires, y compris les ministres, ne pourront accéder à leur lieu de travail que munis de leur passe sanitaire.

Ainsi,même en Afrique,les tentacules de la pieuvre  dictatoriale sanitaire s’étendent!

Les personnes entrant en Guinée et « venant de pays notamment touchés par le variant Delta » devront être vaccinées, ont ajouté les autorités, sans donner la liste des pays concernés, mais en soulignant que des tests PCR devront également être présentés à l’arrivée. Alpha Condé a précisé que l’objectif du gouvernement était de vacciner d’ici au mois de novembre 70 % de la population du pays, qui compte plus de 13 millions d’habitants.

Variant Delta et virus de Marburg:la psychose collective en oeuvre

 

 

La Guinée a officiellement recensé 27 112 cas de Covid-19, dont 263 mortels, un chiffre sous-évalué selon les observateurs. Avec l’émergence du variant Delta, plus contagieux, la barre des 1 000 personnes testées positives par jour est en passe d’être franchie, avec près de dix décès quotidiens à l’hôpital, selon les chiffres officiels.

Sur un autre front sanitaire, les autorités guinéennes n’ont encore annoncé aucune décision concernant le premier cas de la maladie à virus de Marburg, hautement virulente et provoquant une fièvre hémorragique. « Un cas a été déclaré. Nous nous organisons pour circonscrire le virus et organiser la riposte. Nous informerons l’opinion de l’évolution », a déclaré à l’AFP le porte-parole du gouvernement, Tibou Camara. « C’est la première fois que [cette maladie] est identifiée dans le pays et en Afrique de l’Ouest », peut-on lire sur le site de l’Organisation mondiale de la santé (OMS).

Quelque 155 cas contacts de la victime – un homme décédé le 2 août – sont suivis quotidiennement. Le virus de Marburg est un cousin à peine moins meurtrier du virus Ebola, contre lequel il n’y a ni vaccin ni traitement et qui entraîne la mort dans 50 % des cas en moyenne. Ce cas a été détecté moins de deux mois après que la Guinée a déclaré la fin d’une épidémie d’Ebola qui avait éclaté au début de l’année, faisant douze morts. Le pays a déjà été sévèrement éprouvé par la fièvre hémorragique due au virus Ebola, qui y avait tué 2 500 personnes entre fin 2013 et 2016.


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Mali: Démission du président Keita après la mutinerie militaire

BAMAKO -Le président malien Ibrahim Boubacar Keita a déclaré mardi soir qu’il démissionnait et qu’il dissolvait le parlement, suite à son arrestation plus tôt dans la journée par des soldats mutins, aggravant la crise dans un pays déjà confronté à une insurrection djihadiste et une vague de contestation.

Ibrahim Boubacar Keita

Visiblement fatigué, muni d’un masque de protection chirurgical, Keita a fait cette annonce lors d’une brève allocution télévisée quelques heures après que des soldats l(ont placé en détention, de même que le Premier ministre Boubou Cissé et d’autres hauts représentants.

« Si aujourd’hui, certains éléments de nos forces armées veulent que cela prenne fin via leur intervention, ai-je vraiment le choix ? », a-t-il dit depuis une base militaire à Kati, aux abords de la capitale Bamako, où s’est produite la mutinerie et où il a été détenu.

On ne sait pas précisément dans l’immédiat qui est à la tête de cette révolte, qui va gouverner le pays en l’absence de Keita, ni les motivations des soldats mutins.

Sur des images diffusées plus tôt sur les réseaux sociaux, qui auraient été prises à la base militaire de Kati, on pouvait voir Keita et Cissé entourés de soldats armés. Reuters n’a pas pu vérifier l’authenticité des vidéos.

Des dizaines de milliers de personnes ont manifesté depuis juin dans les rues de Bamako pour demander la démission d’Ibrahim Boubacar Keita, lui reprochant ses échecs dans la lutte contre les problèmes sécuritaires croissants et la corruption.

La France et d’autres puissances internationales ont dénoncé la mutinerie, craignant que la chute de Keita déstabilise davantage le Mali et la région du Sahel dans son ensemble.

 

La Communauté économique des Etats d’Afrique de l’Ouest (Cédéao) a annoncé avoir décidé de fermer les frontières régionales avec le Mali suite à l’arrestation de Keita. Dans un communiqué, elle a indiqué avoir aussi suspendu l’ensemble des échanges financiers entre ses 15 membres et le Mali, et suspendu ce dernier des organes décisionnaires de la communauté.

La Grande Arnaque du COVID 19:Un Homme Déclaré Positif au COVID19 À Dakar Et Testé Négatif À Casablanca

L’Institut Pasteur est (encore) cité dans une affaire de faux négatifs. Un Sénégalais se rendant au Maroc et testé positif à Dakar a été testé négatif à son arrivée à Casablanca (Maroc).

Les tests sérologiques à la Covid-19 sont-ils fiables ? En tout cas, leur fiabilité, notamment, pose problème. Des tests effectués sur un Sénégalais se rendant au Maroc ont ainsi pu être faussés. Testé positif à Dakar, le compatriote qui se nomme Mouhamed a été finalement testé négatif à son arrivée à l’aéroport de Casablanca. «J’ai fait le test au Sénégal, on m’a dit à l’aéroport que je suis positif. Arrivé au Maroc à Casablanca, je refais un autre test qui s’est révélé négatif », a déclaré Mouhamed, qui ne sait plus à quel se test se fier : celui de Dakar ou celui de Casablanca ? Il renseigne que les autorités aéroportuaires du Maroc lui ont demandé comment a-t-il pu voyager alors qu’il testé positif.

Mamadou Ndiaye, directeur de la prévention, joint, justifie ce faux test négatif par des marges d’erreurs. « Il faut savoir raison garder, Qui croire ? Les examens, c’est toujours les personnes qui les manipulent, les erreurs sont liées à l’humain. Tous les tests peuvent potentiellement générer un résultat faux négatif et plusieurs facteurs pourront en influencer la fiabilité, comme le moment où il est fait et l’habileté de l’employé qui l’effectue, a-t-il expliqué.

A la question de savoir comment une personne testée positive peut voyager. Le directeur de la prévention répond: « nous ne contrôlons pas les gens qui quittent notre pays,  nous contrôlons seulement ceux qui entrent au Sénégal.»

A rappeler que l’Institut Pasteur avait faussé les résultats de tests virologiques effectués chez des marins en provenance du Sénégal et de la Côte d’Ivoire. En effet, 66 marins, en provenance de Dakar et Abidjan, ont été testés positifs après leur arrivée sur l’île de Mahé (Les Seychelles), malgré la présentation de certificats attestant leur négativité délivrés par les Instituts Pasteur. Une personne, qui présentait des signes suspects au contrôle sanitaire, a obligé les autorités à tester les nouveaux arrivants. Les autorités sanitaires des Seychelles qui déploraient des défaillances dans les méthodes des prélèvements des tests des Instituts Pasteur de Dakar et Abidjan avaient saisis l’Oms pour l’ouverture d’une enquête. A l’hôpital Fann, des tests positifs effectués sur des agents de santé au service d’oto-rhino-laryngologie (ORL) sont revenus par la suite négatifs.

Source:walfnet.com

 

 

Nouvel Ordre Mondial:Le pillage de l’Afrique par les sionistes de la mafia khazare

 

 

Un cas récent a attiré l’attention sur le vol des ressources naturelles de l’Afrique par des milliardaires juifs et un fonds spéculatif de New York, facilité par leurs agents traîtres africains, par les politiciens sionistes et par les espions israéliens.

 

 

En 2008, le milliardaire israélien Beny Steinmetz a acquis grâce à la corruption  le permis d’exploitation minière pour l’un des plus grands gisements de minerai de fer du monde pour seulement 160 millions de dollars en versant 50 millions de dollars à l’épouse du président guinéen de l’époque. La valeur réelle de la mine a été révélée plus tard lorsqu’il a vendu une participation de 51% dans le projet à la société minière Vale pour 2,5 milliards de dollars. Cependant, après un changement de gouvernement guinéen, la licence a été révoquée par le nouveau président, Alpha Condé, car elle avait été acquise par corruption. Vale a poursuivi Steinmetz a poursuivi en justice pour leur avoir vendu frauduleusement la licence et un tribunal de Londres a accordé à Vale 1,25 milliard de dollars de compensation. Cependant, Steinmetz a récemment tenté d’annuler la décision en utilisant des informations découvertes par l’agence d’espionnage israélienne BlackCube (les lecteurs connaissent peut-être leur travail précédent sur la protection de Harvey Weinstein [1]), ce qui montrerait que le conseil d’administration était au courant de la corruption potentielle lors de l’acquisition. Les espions israéliens se vantent d’avoir obtenu ces informations par la tromperie en créant un réseau élaboré de sociétés écrans et en discutant avec les dirigeants de Vale sous de faux prétextes.

Dans un acte d’audace foudroyante, Steinmetz a soutenu que cela signifiait qu’il devrait être indemnisé par Valent. Il est encore trop tôt pour dire comment ce procès se terminera; Cependant, il est frappant de constater que M. Steinmetz n’a purgé aucune peine en prison malgré une enquête pour corruption et blanchiment d’argent aux États-Unis, en Guinée, en Suisse et en Roumanie.

 

Cela est peut-être lié aux relations politiques internationales. Les poursuites engagées contre lui en Guinée ont été abandonnées dans un règlement négocié par l’ancien président français crypto-juif, le sioniste Nicolas Sarkozy. Incroyablement, cet accord n’a pas seulement impliqué que M. Steinmetz doive échapper à la peine, mais lui a également permis de participer éventuellement au nouveau projet d’extraction de minerai de fer de Simandou en Guinée, en partenariat avec l’activiste sioniste et ancien PDG et trésorier du Parti conservateur britannique, Sir Mick Davis.

Il semble cependant que le gouvernement guinéen ait par la suite réaffecté les droits de développement à une société d’État chinoise, dans un exemple du conflit qui se déroule à travers l’Afrique

Ce n’est que le dernier exemple d’un intermédiaire juif corrompu utilisant la corruption pour obtenir des licences minières à des prix symboliques, ridiculement bas. Grâce à ce processus, l’argent qui devrait appartenir au peuple africain pour ses ressources naturelles est redirigé dans les poches des milliardaires juifs et de leurs sbires africains.

Un autre exemple de cette pratique est Daniel Gertler, un milliardaire israélien du diamant. Daniel y est arrivé en 1997, à l’âge de 23 ans, à l’invitation de la communauté locale de Chabad, qui a des racines profondes en République Démocratique du Congo (RDC) . Le grand rabbin du centre Chabad-Loubavith de Kinshasa pour s’est arrangé pour faire recevoir Gertler  par Joseph Kabila, le futur président et fils de l’ancien président. Ce dernier  a accordé à Gertler un monopole sur les ventes de diamants de la RDC pour le prix absurdement bas de 20 millions de dollars, dont il avait besoin pour financer son armée dans la guerre civile congolaise en cours.

Gertler a également utilisé ses relations internationales au profit des Kabila; il est intervenu en son nom auprès de Condoleezza Rice, sur les négociations de paix. En 2009, le gouvernement congolais a été contraint d’acquérir une mine de cobalt et de cuivre de fermer ses portes en retirant le permis d’exploitation à ses anciens propriétaires. La mine a ensuite été acquise par Gertler pour 60 millions de dollars,  et il l’a vendu peu après au groupe israélien Eurasian Resources Group pour 865 millions de dollars. (bénéfice de 805 millions, soit  1442%,  sur le dos du peuple congolais)

Ce n’est qu’un des nombreux projets dans lesquels il a collaboré avec le fonds spéculatif new-yorkais Och-Ziff pour sécuriser par corruption les droits miniers; ils ont répété un processus similaire à travers l’Afrique, comme en Libye, au Tchad, au Niger et en Guinée. Och-Ziff a été fondée et dirigée par l’ancien banquier juif de Goldman-Sachs,  Daniel Och, avec un investissement initial de 100 millions de dollars de la famille juive Ziff, qui étaient également d’importants investisseurs dans la Weinstein company et des donateurs aux partisans républicains du mariage homosexuel.

Les opérations africaines du fonds étaient gérées par Michael Cohen. Och-Ziff a ensuite été poursuivi pour ces trafics de corruption par le ministère américain de la Justice et condamné à une amende de 413 millions de dollars. Ce qui est exceptionnel, compte tenu de la mainmisse juive sur les États-Unis.

Mais il ne faut pas rêver. Comme dans le cas de Steinmetz, ni Gertler ni les dirigeants d’Och-Ziff n’ont jamais été emprisonnés pour leur vol des ressources naturelles de l’Afrique. On estime que le vol par la corruption de Gertler a coûté au peuple congolais 1,36 milliard de dollars. Gertler a été sanctionné par les États-Unis pour ses pratiques de corruption, et comme tous les malfrats juifs, on lui a permis de « s’enfuir » vers Israël pour fuir la justice américaine [2]. Cependant, il est récemment apparu qu’il avait engagé l’ancien directeur du FBI Louis Freeh et Alan Dershowitz pour faire pression pour que ces sanctions soient levées. Ces sanctions ne l’ont pas non plus empêché de continuer à jouer le rôle d’intermédiaire dans la vente de concessions pétrolières le long de la frontière ougandaise.

Le sud-africain Walter Hennig est une autre figure qui a travaillé avec Och-Ziff pour obtenir par corruption des droits miniers africains.

Walter Hennig est étroitement lié à l’éminent politicien de l’ANC et ancien terroriste « Tokyo » Sexwale [3] . Hennig et Sexwale ont tenté de conclure un accord par lequel ils prêteraient 25 millions de dollars à la nouvelle société minière du gouvernement guinéen et, en cas de défaut, très probable compte tenu des ressources limitées du gouvernement guinéen, recevraient la grande quantité de 30% des actifs de la société minière. . L’accord de prêt était secret et n’a été révélé au public que grâce aux efforts des journalistes d’investigation.

L’argent pour le prêt provenait à l’origine des fonds spéculatifs Och-Ziff [3]. Och-Ziff a aussi utilisé  Sexwale afin de faciliter un accord avec le gouvernement notoirement raciste anti-blanc de Robert Mugabe au Zimbabwe. En 2008, Och-Ziff a accordé un prêt de 100 millions de dollars à un Mugabe en faillite, et dont il avait besoin pour maintenir son contrôle avant les élections. En échange, Mugabe leur a donné une concession de platine, qui avait été confisquée aux Anglo-Américains.

Les Blancs sont fréquemment accusés d’avoir volé les ressources naturelles de l’Afrique, mais ce n’est qu’un écran de fumée pour couvrir le pillage de masse du continent auquel se livrent sans vergogne les juifs. Et pourquoi ne le feraient-ils pas, sachant qu’ils sont totalement intouchables, car protégés par l’Empire anglo-sioniste.

Source : The Zionist Plunder of Africa


EN COMPLÉMENTAIRE

 

Pourquoi la région riche en diamants n’a-t-elle pas de clinique Ebola? Où est Beny Steinmetz ou son frère?

 

 Le quartier riche en diamants de Kono, qui comprend la ville de Koidu, n’a pas de centre de traitement Ebola et les cas sont acheminés vers Kenema ou Kailahun, » (Voir: « Couvre-feu dans la ville de Sierra Leone après les émeutes, tirant sur le cas Ebola « , Mar. 21 oct. 2014 http://feeds.reuters.com/~r/reuters/healthNews/~3/YAop1hOatxw/story01.htm )

La mine de diamants Koidu du multimilliardaire Steinmetz en Sierra Leone

 

Tu peux répéter s’il te plait? Le propriétaire privé de la grande mine de diamants de la ville, Koidu, est Beny Steinmetz, dont la richesse est estimée entre 3,5 et 6 milliards de dollars, bien qu’il ait récemment vendu des intérêts à son frère, probablement en raison d’allégations contre Beny de corruption en Guinée voisine. .

Fosse de la mine de diamants Koidu

 

 

L’ONU dit qu’environ 1 milliard de dollars est ce qui est nécessaire pour faire face à l’épidémie d’Ebola en Afrique de l’Ouest – le multimilliardaire Steinmetz ne le remarquerait pas comme manquant! Il ne manquerait certainement pas le montant pour une petite clinique près de sa mine. Il pourrait s’agir d’une radiation d’impôt s’il paie des impôts.

Minuscule et mignon «hôpital du gouvernement Koidu» fourni par l’USAID il y a une décennie, avec les partenaires de l’ONG PREMIER URGENCE le peuple Koidu et NON la ou les sociétés minières! Non, en général, les sociétés minières ne font presque rien sauf retirer la richesse de l’Afrique et détruire son environnement. Pourquoi devraient-ils faire quoi que ce soit alors que les gouvernements, les bénévoles et les ONG feront tout? Ou laissez simplement la population s’en passer et l’environnement détruit. « Infirmière à l’hôpital de Koidu en Sierra Leone consultant des patients lorsque l’hôpital a été reconstruit après la guerre civile en Sierra Leone, mars 2006, USAID, L. Lartigue »

« Les travailleurs humanitaires américains ont aidé à reconstruire l’hôpital du gouvernement de Koidu, ce qui a amélioré la situation sanitaire auparavant alarmante dans la ville. Diverses autres organisations d’aide, dont l’Agence des Nations Unies pour les réfugiés, le HCR et ses partenaires, ont aidé à forer des puits, à reconstruire des cliniques et des écoles et à régénérer les moyens de subsistance dans la région, dans le cadre d’un programme visant à soutenir la réintégration des Sierra-Léonais qui sont revenus après avoir vécu depuis plusieurs années en tant que réfugiés dans les pays voisins. ”(Soulignez le nôtre) http://en.wikipedia.org/wiki/Koidutown-Sefadu

D’après nos lectures, les gouvernements, les ONG et les églises font presque tout ce qui se fait en Sierra Leone, tandis que Beny Steinmetz-Koidu a déplacé des communautés et creuse des trous béants sur 4,9 km2 de terrain pour obtenir environ 120000 carats par an de diamants ou plus. Il n’est certainement pas unique non plus. Quand on voit comment les enfants doivent marcher 5 kilomètres pour se rendre à l’école, ce pourrait être simplement pour contourner la concession minière! 4,9 km est d’environ 3 milles.

Steinmetz-Koidu Holdings (ou son nom actuel) a donné quelque chose à l’effort Ebola. Nous l’avons trouvé en train de faire des recherches hier, mais nous ne pouvons pas le retrouver, les médias ne sont donc pas impressionnés. Il n’y a rien sur leur site Web. Il comprenait des conteneurs pour le lavage des mains – peut-être 60 conteneurs? Certains s’en sont moqués, mais le chef aurait remercié la société minière. Steinmetz-Koidu Holdings a également donné de l’argent, d’après nos souvenirs, environ 40 millions de Sierra Leone Leone, ce qui semble être beaucoup d’argent jusqu’à ce que vous estimiez que cela ne vaut qu’environ 9 200 $, 8 800 francs suisses, 7 295 euros! (1 Leone sierra-léonais équivaut à 0,00023 dollar américain, 0,00022 franc suisse, 0,00018 euros). Cela peut ne pas être exact car les médias n’ont pas été tellement impressionnés par leur don que nous n’avons plus pu trouver de référence du tout! Et, notre mémoire n’est plus parfaite. Donc,

Nous ne serons cependant pas impressionnés tant qu’ils n’auront pas investi au moins 1 milliard de dollars (ou euros ou francs ou livres) dans la communauté et les soins de santé.

Selon Talini Beanie, 2013: « Les multinationales ont-elles investi dans des infrastructures de base telles que des routes pavées? La réponse est non…. Alors que les infrastructures d’assainissement et d’élimination des déchets ont également un besoin urgent d’investissements dans la plupart du pays, Kono a l’inconvénient supplémentaire de l’aggraver avec les dommages environnementaux causés par l’exploitation minière. ” Http://fellowsblog.kiva.org/fellowsblog/2013/05/02/the-curse-of-diamond-mining-in-sierra-leone

Nous espérons que vous regarderez la courte vidéo de 18 minutes de 2011 sur une communauté près de la mine de diamants, que nous avons publiée hier. Il ne s’agit pas de dérivés Creative Commons, nous l’avons donc publié séparément: https://miningawareness.wordpress.com/2014/10/22/kono-communities-affected-by-mining-sierra-leone/

Leurs allégations, qui sont très accablantes, ont été reprises ailleurs.

Ils parlent de problèmes avec leur eau, entraînant des diarrhées et des vomissements. Cela se trouve juste être les principaux symptômes d’Ebola, et les rendrait certainement affaiblis et plus sensibles à Ebola. Cela soulève également la possibilité d’un faux diagnostic.

Ils se plaignaient de maisons beaucoup plus petites que les maisons dont ils avaient été enlevés et faites de boue, au lieu de béton. La boue n’était pas correctement cuite en briques. (Les briques de terre seraient plus adaptées au climat, mais les briques de boue non cuites permettent entre autres de creuser des rats porteurs de maladies.)

Ils ont signalé que de très jeunes enfants devaient marcher 4,8 km pour se rendre à l’école sur des chemins boueux et non pavés et ont déclaré qu’ils aimeraient une école à proximité. Notez qu’ils marchent vers une école fournie par l’Église Méthodiste Unie, très probablement les Femmes Méthodistes Unies, et non par la société minière! Le bruit de l’exploitation minière était également un problème majeur.

Nous avons trouvé des préoccupations similaires sur Internet concernant la mine de Koidu, comme une enquête gouvernementale sur des logements de mauvaise qualité, avec une ventilation inadéquate et une seule sortie. C’était dans la région de Manjama du district de Kono, et destiné à reloger les résidents déplacés en raison des opérations de dynamitage de Koidu Holdings. Il semble avoir déjà appartenu, au moins en partie, à Beny Steinmetz à cette époque.

Un enseignant de l’école des filles de l’église méthodiste unie de Koidu a déclaré que l’explosion de la mine non seulement interrompt le travail scolaire, mais a également entraîné des fissures dans le bâtiment de l’école: «des fissures partout ». Dans le passé, ils avaient été notifiés, mais ils ont commencé à les prendre « au dépourvu ». Après l’explosion du 1er mars 2004, par Koidu Holdings, 3 femmes âgées qui n’ont pas pu évacuer se sont retrouvées hospitalisées, apparemment sous le choc (l’article n’est pas vraiment clair et parle de leur «réanimation rapide»). http://www.minesandcommunities.org/article.php?a=691

Rupert Neate de The Guardian (16 oct. 2014) semblait très impressionné par 709 millions de Leones (163 000 USD, 103 000 livres, 130, 824 euros) donnés par la London Mining Co., et qu’ils aidaient à construire un centre Ebola de 130 lits . Mais qu’est-ce que cela implique? Selon le site Web de London Mining (7 oct. 2014), le centre de traitement Ebola est financé par les gouvernements américain et irlandais. Il sera exploité par l’International Medical Corps (IMC). London Mining a fourni un arpenteur et du carburant. Dawnus Mining a fourni du matériel de terrassement pour défricher le terrain (15 acres). Ils peuvent fournir une aide supplémentaire AU COÛT pour la construction, y compris les fondations en béton, la sécurité du périmètre et les installations de forage d’eau. Donc, ils donnent surtout de la main-d’œuvre – peut-être du bénévolat par leurs employés? Attention, quand vous lisez que les sociétés minières construisent ceci ou cela! Au moins, London Mining est honnête sur ce qu’elle fait ou ne fait pas. Cela ne semble pas toujours le cas.

Comme nous l’avons vu dans la vidéo hier, Steinmetz ne fait apparemment même pas ce à quoi on devrait s’attendre le moins (à moins que quelque chose ne change). Des personnes proches de ses exploitations minières à Koidu ont signalé des vomissements et de la diarrhée à cause de l’eau contaminée.

La mine Koidu est dans le coin supérieur droit (il y a 2 Koidus) où vous pouvez voir le barrage de résidus probable et les cliniques Ebola sont nommées avec le marqueur rouge. Les deux cliniques Ebola les plus proches sont alors la clinique de la Croix-Rouge à Kenema et la clinique Medicins Sans Frontières à Kailahun. Kailahun semble à peu près de la même taille que Koidu, peut-être plus petit. Kenema est une ville beaucoup plus grande.

 

 

Il y a l’USAID «Koidu Government Hospital», mais nous ne pouvons que deviner le nombre de lits car une fois tous les 10 ans, il semble que quelqu’un lui donne environ 30 lits. Donc, on suppose qu’il a de 30 à 60 lits. De plus, il n’est apparemment pas équipé pour Ebola hautement infectieux. «L’hôpital public» a été fourni par l’USAID et certains lits ont été donnés par l’ONU, plus récemment. Il n’a PAS été reconstruit par la société minière! Pourquoi Beny Steinmetz devrait-il le faire alors que le contribuable américain le fera pour lui? Et qui déteste tout le monde? Pas Beny Steinmetz mais le gouvernement américain. Qui a fourni le petit hôpital? Le gouvernement américain, pas Beny Steinmetz!
« Le gouvernement américain a dépensé 579 765 $ pour remettre en état l’hôpital public de Koidu. Ses partenaires d’exécution étaient PREMIER URGENCE, une organisation non gouvernementale et à but non lucratif française, et le peuple de Koidu lui-même. » Http://freetown.usembassy.gov/pr082703c.html
(« UNE GRANDE JOURNÉE POUR KONO: L’HÔPITAL DU GOUVERNEMENT DE KOIDU RÉNOVÉ ET L’ALLIANCE DE KONO PEACE DIAMOND LANCÉE, 27 août 2003 ») Notez qu’il y a deux endroits appelés Koidu, mais le celui avec l’hôpital semble être celui près de la mine.

Sans surprise, tout n’a pas été la paix et l’amour entre les sociétés minières et les travailleurs. Le gouvernement américain rapporte: « En avril, la police aurait tiré sur des grévistes de l’établissement d’African Minerals Ltd dans le district de Tonkolili, faisant un mort et plusieurs blessés. En décembre, des policiers ont ouvert le feu sur des manifestants dans la mine de diamant Octea, dans la ville de Koidu, dans le district de Kono, lors d’une grève des travailleurs. Deux individus non affiliés à la mine ont été tués, mais à la fin de l’année, les détails de l’incident n’étaient toujours pas clairs, et la police n’avait pas ouvert d’enquête sur les coups de feu  » http://state.gov/md204163.htm  » BUREAU OF DEMOCRACY, HUMAN RIGHTS, ET TRAVAIL, 2012 Country Reports on Human Rights Practices, Report, 19 avril 2013« 

« Le bail minier du projet Koidu Kimberlite, situé dans la chefferie Tankoro du district de Kono, mesure environ 4,9 km2…. Le projet devrait augmenter la production des deux fosses ouvertes d’environ 10 000 carats par mois actuellement à une moyenne de 45 000 carats par mois de 2012 à 2015, diminuant au fur et à mesure que la production souterraine entre en ligne et que l’opération est maintenue à 100 000 tonnes traitées. par mois. ” Http://en.wikipedia.org/wiki/Koidu_Holdings


Beny Steinmetz

« Beny Steinmetz
Né en 1956
Netanya, Israël
Résidence Genève, Suisse
Nationalité
Occupation israélienne Homme d’affaires
Valeur nette de 3,5 milliards de dollars américains (juin 2014)
Enfants 4
Beny Steinmetz (né en 1956) est un homme d’affaires israélien, avec un vaste portefeuille dans l’extraction de diamants, l’ingénierie et immobilier. [1] [2] [3]

Beny Steinmetz est né à Netanya, en Israël, en 1956, le quatrième enfant de Rubin Steinmetz. [4] Il a hérité du groupe genevois Steinmetz Diamond Group de son père. [1]

Ressources du groupe Beny Steinmetz

Steinmetz et son frère Daniel ont fondé ce qui est devenu plus tard Beny Steinmetz Group Resources (BSGR). Beny occupe actuellement un rôle de conseil auprès du conseil d’administration de la société. [3] En mars 2014, le quotidien suisse « Le Temps » a annoncé que Beny Steinmetz avait vendu des actions du Steinmetz Diamond Group (SDG) à son frère Daniel. [5] [6]

BSGR en Guinée controversée
En décembre 2008, un permis d’exploration de trois ans pour les blocs Simandou 1 et 2, en République de Guinée, a été attribué à BSGR Guinée, après que le gouvernement de Guinée, sous la présidence de son président d’alors, le général Lansana Conté, lui a ordonné être abandonné par son détenteur précédent, la multinationale anglo-australienne, la société minière Rio Tinto Group. [7] [8] [9] Conté a signé les droits d’exploitation de la moitié nord de Simandou, quelques jours avant sa mort, à Steinmetz pour 160 millions de dollars. Steinmetz a ensuite vendu une part de 51% à Vale pour 2,5 milliards de dollars. [10]

Koidu Holdings, qui fonctionnait auparavant en tant que coentreprise, appartient à 100% à la société BSGR depuis 2007. [11] [12] En 1997, il a fondé STI Ventures NV, une société de capital-risque qui investit dans de jeunes entreprises en Israël. [13] En 1999, il était le propriétaire de Tucows. [14] BSGR et une autre société d’investissement, IMR, contrôlent également Cunico. Une entreprise aujourd’hui disparue, dont il était le fondateur et actionnaire, Nikanor Plc, cotée à Londres, a été acquise par Katanga Mining en 2008. [15] Avec sa société appelée Scorpio, il possède des biens immobiliers au Kazakhstan, en Russie et en Europe de l’Est. [1] [2]

Le département américain de la Justice et le FBI ont enquêté sur l’acquisition par BSGR des droits d’extraire la moitié des gisements de minerai de fer à Simandou, en Guinée, en raison de préoccupations concernant la corruption et les pots-de-vin . [9] [16] [17] [18] En avril 2014, le gouvernement guinéen a annoncé qu’il disposait de «preuves précises et cohérentes» que BSGR avait obtenu les droits miniers de Simandou en versant des pots-de-vin à l’épouse du président de l’époque Lansana Conté en 2008, et que les droits seraient retirés à BSGR et à son partenaire Vale SA [19] Rio Tinto a ensuite intenté une action contre Steinmetz, BSGR et Vale, alléguant qu’ils avaient conçu un plan RICO pour voler «les précieux droits miniers de Rio Tinto». [20]

Autres entreprises commerciales

Il est également un investisseur de Gabriel Resources Ltd. [21]

Valeur nette

Le numéro de mars 2011 du magazine Forbes estimait sa fortune personnelle à 6 milliards de dollars américains. [22] En mars 2011, il était la deuxième personne la plus riche d’Israël, avant la mort de Sammy Ofer en juin 2011. [23] Selon Forbes en juin 2014, Steinmetz est le sixième Israélien le plus riche du monde avec une valeur nette de 3,5 milliards de dollars. [24]

Personnel

Steinmetz vit à Genève, en Suisse. [9] Il est marié et père de quatre enfants. [1] Avec sa femme, il supervise la Fondation Beny & Agnes Steinmetz, qui fait des dons aux écoles, aux hôpitaux, aux unités de l’armée et aux arts en Israël. [1] Il détient également la nationalité française et se décrit comme un «Israélien international» [25] ». http://en.wikipedia.org/wiki/Beny_Steinmetz (Références Wikipedia au bas de cet article)

Références – Lecture supplémentaire

« Mme Betty Bassie
Senior Teacher United Methodist Church Girls School, Koidu 
http://www.minesandcommunities.org/article.php?a=691

« The New Citizen mardi 6 avril 2004, Volume 8 n ° 53
Par Sylvester T. Bangah http://www.minesandcommunities.org/article.php?a=691

« Kimberlite Blast Lands 3 in Hospital (Standard Times, 16 mars 2004) » Par Saidu Kamara http://www.minesandcommunities.org/article.php?a=691

« L’ancien conseiller de la société minière de Beny Steinmetz modifie son plaidoyer de culpabilité en coupable,
Frédéric Cilins admet avoir fait obstruction à l’enquête sur les allégations selon lesquelles des responsables guinéens auraient été corrompus pour octroyer des droits miniers», Simon Goodley, theguardian.com, mardi 11 mars 2014 15.27 GMT 
http: //www.theguardian. com / business / 2014 / mar / 11 / ancien-conseiller-de-beny-steinmetz-mining-firm-frederic-cilins

http://www.bloomberg.com/news/2014-10-22/african-minerals-founder-timis-to-buy-london-mining-operation.html

«Une entreprise minière au centre de la lutte contre Ebola en Sierra Leone fait faillite La société
britannique London Mining a joué un rôle central dans les efforts de lutte contre Ebola, en aidant à construire un centre de traitement de 130 lits près de Lunsar
 », par Rupert Neate

The Guardian, jeudi 16 octobre 2014 20.22 BST http://www.theguardian.com/world/2014/oct/16/london-mining-fight-ebola-sierra-leone-goes-bust

« Le magnat, l’épouse du dictateur et l’accord minier de 2,5 milliards de dollars du
FBI enquêtant sur la société BSGR de Beny Steinmetz après un accord lucratif pour extraire le minerai de fer de la chaîne de montagnes de Simandou
 , par Ian Cobain et Afua Hirsch à Conakry, Guinée The Guardian, mardi 30 juillet 2013 http://www.theguardian.com/world/2013/jul/30/africa-guinea-mining-bsgr-steinmetz

« Couvre-feu dans la ville de Sierra Leone après une émeute, tirant sur le cas d’Ebola Posté: mar. 21 oct. 2014 19:20:44 GMT
FREETOWN (Reuters) – Les autorités sierra-léonaises ont imposé un couvre-feu dans la ville orientale de Koidu mardi après un différend entre les jeunes et la police sur un cas présumé d’Ebola ont dégénéré en coups de feu et émeutes, ont déclaré des responsables. 
http://feeds.reuters.com/~r/reuters/healthNews/~3/YAop1hOatxw/story01.htm

Le 23 août, The Sunday Times a rapporté, à propos de Beny Steinmetz, qu’ils appellent un «magnat des mines israélien»: «Un mineur cherche un prêt pour le FBI et le métier à tisser Ebola»

Références aux articles de Wikipédia :
1. Forbes 2010
2. Michael Rochvarger, «Hapoalim confronts Beny Steinmetz», dans Haaretz, 13.05.10 [1]
3. BSG Resources Limited À propos de récupéré 2012-12-15
4. Sherwood, Harriet. « Beny Steinmetz: diamantaire israélien qui aime garder un profil bas ». Le gardien. Guardian Media Group. Récupéré le 30 juillet 2013.
5. Un journal suisse rapporte que Beny Steinmetz vend son intérêt pour Diamond Business, Jewish Business News, 30 mars 2014
6. «La Guinée dépouillerait Beny Steinmetz de ses concessions minières». Le gardien. 9 avril 14. Vérifiez les valeurs de date dans: | date = (aide)
7. Bate Felix, ‘Rio dit s’accorde avec la Guinée sur Simandou’, Reuters, 22 avril [2] Récupéré le 2012-12-15
8. «Rio reçoit l’ordre d’accorder la moitié de la concession guinéenne à BSG (Update2)». Bloomberg. 11 décembre 2008.
9. «Secrets enterrés: comment un milliardaire israélien a pris le contrôle de l’un des plus gros prix d’Afrique» par Patrick Radden Keefe. The New Yorker, 8 juillet 2013
10. «La Guinée et son minerai de fer: que le peuple en profite, pour une fois». L’économiste. 7 juin 2014.
11. Historique de la société Koidu Holdings récupéré le 15/12/2012
12. Joan Baxter, Poussière de nos yeux: un regard sans oeil sur l’Afrique, Wolsak et Wynn Publishers Ltd., 2008, p. 226 [3]
13. STI Ventures NV BusinessWeek
14. ISLA, Volume 54, Numéro 12, Oakland, Californie: Information Services on Latin America, 1999, p. 7379 [4]
15. «Histoire». Katanga Mining. Récupéré le 20/02/2012.
16. «L’agent d’arrestation du FBI pour corruption dissimule une réclamation dans une bataille sur une montagne de 10 milliards de dollars», The Guardian, 16 avril 2013
17. «L’accord de corruption du siècle: comment la Guinée a perdu des milliards de livres sterling dans le permis d’exploitation minière de Simandou», The Independent, 17 juin 2013
18. https://www.youtube.com/watch?v=HOfNE2gZH1o
19. Ian Cobain; Juliette Garside; Anne Penketh (9 avril 2014). «La Guinée dépouille Beny Steinmetz de ses concessions minières». Le gardien. Récupéré le 1er mai 2014.
20. Cobain, Ian (1er mai 2014). «Rio Tinto poursuit le milliardaire israélien Benny Steinmetz». Le gardien. Récupéré le 2 mai 2014.
21. «L’unité Steinmetz investit dans Gabriel Resources». Mining Weekly. 12 novembre 2009.
23. «Forbes Rich List -« The World’s Billionaires 2011 »- Beny Steinmetz»
23. «Sammy Ofer en tête des Israéliens dans la liste des milliardaires de Forbes», dans The Jerusalem Post, 03/10/2011 [5]
24. «Beny Steinmetz». Forbes. Récupéré le 31 mai 2014.
25. «Beny Steinmetz: diamantaire israélien qui aime garder un profil bas». Le gardien. 29 juillet 2013. http://en.wikipedia.org/wiki/Beny_Steinmetz (je souligne. Article consulté vers le 22 octobre 2014)

(à suivre)

 

 

Le Ghana propose d’accueillir tous les Black Lives Matter : “L’Afrique est votre maison !”

Voilà un message que tous les Black Lives Matter d’Amérique et d’Europe devraient écouter attentivement.
Barbara Oteng-Gyasi, ministère ghanéen du Tourisme, a invité les Afro-Américains à s’installer au Ghana s’ils se sentent indésirables aux Etats-Unis.

Prenant la parole à l’occasion d’une commémoration en l’honneur de George Floyd, la ministre a déclaré :

«Profitez-en, rentrez chez vous, construisez une vie au Ghana, vous n’avez pas à rester là où vous n’êtes pas désirés pour toujours, vous avez le choix et l’Afrique vous attend»

« L’Afrique est votre maison »

Les déclarations de la ministre Barbara Oteng-Gyasi ont été relayées par The Independent Ghana.

«Nous continuons à ouvrir nos bras et à inviter tous nos frères et soeurs à rentrer chez eux», a-t-elle ajouté.

L’année dernière, le Ghana a lancé l’initiative «l’année du retour». Celle-ci consiste à ouvrir le pays à l’accueil des Africains de la diaspora.

Que tous les Noirs qui se sentent victimes de racisme en Europe et en Amérique saisissent cette opportunité.


EN COMPLÉMENTAIRE

La vérité sur le mouvement Black Lives Matter financé par Georges Soros

 

1-New-York, Paris, Londres, la guerre raciale des Black Lives Matter s’exporte

 

Les Black Lives Matter exportent leur guerre raciale partout en Occident, des Etats-Unis en passant par la France et la Grande-Bretagne.

Depuis des décennies, le bien-pensant « vivre-ensemble » est devenu la grande justification de la conscience morale universelle pour faire accepter à des peuples européens une immigration massive. Mais cette panacée de la vie en société n’a fait que favoriser de forts communautarismes religieux, civilisationnels, culturels venus d’ailleurs. Cette utopie multiculturelle se retrouve aujourd’hui confrontée au réel de minorités étrangères devenues puissantes.

Après New-York, Washington, et autres villes états-uniennes, après Paris et les cités de France, c’est au tour de Londres de connaître les débordements et violences fomentées par des « indigénistes », « décolonialistes » et autres Black Lives Matter, bras armé d’un socialisme mondialiste, semant chaos et destruction pour bâtir un homme nouveau sans frontière, sans racine, sans famille, nomade et errant.

En solidarité avec les manifestations organisées par les Black Lives Matter et les Antifa aux États-Unis à la suite du décès de l’Afro-Américain George Floyd, des milliers de personnes se sont rassemblées aujourd’hui dans le centre de Londres, et un bon nombre a attaqué la résidence du premier ministre britannique, Boris Johnson, au 10 Downing Street. Pourtant ce dernier leur avait donné des gages en déclarant mercredi à la Chambre des communes que la mort de Floyd était « inexcusable ». Un certain nombre d’affrontements ont eu lieu entre manifestants et policiers, ces derniers ont dû faire face à des coups de poing et à des lancés de projectiles. Treize personnes ont été arrêtées dans le cadre du mouvement Black Lives Matter.

 

 

 

https://twitter.com/LEtudiant_Libre/status/1268243816252944385

2-Saviez-vous que Black Lives Matter soutient l’avortement, l’homosexualité et l’agenda anti-familial ?

 

Beaucoup sont surpris de découvrir le manifeste anti-famille de Black Lives Matter.

Alors que Black Lives Matter nous est présenté par les médias du système comme une organisation de justice sociale qui vise à promouvoir les droits des Afro-Américains – et maintenant des Afro-Européens -, beaucoup sont surpris de découvrir que cette nébuleuse a un programme pro-avortement, promeut l’homosexualité et l’idéologie du genre et tient un discours anti-famille.

Dans leur manifeste en ligne intitulé “What We Believe”, les organisateurs de Black Lives Matter Patrisse Khan-Cullors, Alicia Garza et Opal Tometi disent qu’eux et leurs partisans “perturbent” la famille “prescrite par l’Occident”. Ils disent également qu’ils se sont libérés de la «pensée hétéronormative» et exigent «la justice reproductive».

 

«Nous perturbons l’exigence de structure de la famille nucléaire prescrite par l’Occident en nous soutenant mutuellement les familles élargies et «villages» qui s’occupent collectivement les uns des autres, en particulier nos enfants, dans la mesure où les mères, les parents et les enfants sont à l’aise», ont- ils écrit .

«Nous favorisons un réseau d’affirmation queer. Lorsque nous nous réunissons, nous le faisons avec l’intention de nous libérer de l’emprise étroite de la pensée hétéronormative, ou plutôt, de la croyance que tous dans le monde sont hétérosexuels (à moins qu’ils ne divulguent le contraire) », ont-ils poursuivi.

«Nous méritons et donc nous exigeons une justice reproductive [ndlr : c’est-à-dire l’avortement] qui nous donne l’autonomie sur notre corps et notre identité tout en garantissant que nos enfants et nos familles sont soutenus, sûrs et capables de s’épanouir

Des fondatrices lesbiennes et/ou transgenres

Bien qu’ils aient perturbé la «famille nucléaire», les trois fondateurs de Black Lives Matter ont été élevés dans des familles intactes. Patrisse Khan-Cullors, 36 ans, est une militante LGBT qui a quitté la maison de ses parents mariés à l’âge de 16 ans après les avoir informés de son homosexualité. Alicia Garza, 39 ans, a également grandi avec ses deux parents à la maison et est maintenant «mariée» à une femme blanche qui s’identifie comme un «homme transgenre». Garza, elle aussi, se considère comme une militante LGBT. Opal Tometi, 35 ans, a grandi avec une mère et un père nigérians et deux frères en Arizona.

 

Dans une interview accordée à MSNBC en 2015 , Khan-Cullors a souligné «l’identité queer» des fondatrices de Black Lives Matter.

Même le hashtag [#BlackLivesMatter] a été créé par deux femmes homosexuelles noires, moi-même et Alicia, et une femme nigéro-américaine, Opal Tometi“, a-t-elle déclaré.

Khan-Cullors a expliqué que «dès le début», il était important pour le mouvement de s’attaquer non seulement aux «meurtres de jeunes garçons noirs», mais à «toutes les vies noires», y compris celles des personnes transgenres. Khan-Cullors a laissé entendre que les dirigeants des droits civiques du passé n’étaient pas représentatifs de tous les Noirs.

Le récit historique des Noirs se bat pour les hommes noirs cis-hétéro-chrétiens“, a-t-elle déclaré.

Black Lives Matter a été accusé par certains experts d’avoir détourné le meurtre de George Floyd à des fins politiques.

Ryan Bomberger, un activiste pro-vie métisse, a déclaré que la focalisation de l’organisation Black Lives Matter sur l’idéologie LGBT est l’une des dix raisons pour lesquelles il ne rejoindra jamais le mouvement.

«Ils promeuvent fortement l’homosexualité et le transgenre», a écrit Bomberger le 5 juin pour Townhall .

Je n’embrasse pas la confusion“, a-t-il ajouté.

Ils ignorent complètement la paternité“, écrit-il également. «Chaque «village» qui a des familles sans père est un village qui subit des taux de criminalité plus élevés, une consommation de drogues plus élevée, des taux d’avortement plus élevés, des taux d’abandon plus élevés, des taux de pauvreté plus élevés, et bien plus encore. #DadsMatter. “

Bomberger a également noté que les plus jeunes vies noires ne semblent pas avoir d’importance pour les auteurs du manifeste Black Lives Matter.

«Les enfants avortés ne prospèrent pas. Les groupes BLM ont annoncé leur « solidarité » avec les groupes de «justice reproductive» en février 2015. Vous ne pouvez pas combattre simultanément la violence tout en la célébrant », a-t-il déclaré.

Khan-Cullors et Garza ont commencé le mouvement «Black Lives Matter» après que l’hispanique George Zimmerman a été acquitté en 2013 du meurtre au deuxième degré et de l’homicide involontaire d’un garçon noir de 17 ans nommé Trayvon Martin. Le nom du mouvement est désormais synonyme des manifestations qui ont balayé les États-Unis et bien d’autres pays occidentaux, dont la France, depuis que le criminel condamné George Floyd a été filmé en train de mourir sous le genou d’un policier blanc.

EN CONCLUSION

Black Live Matter est une sorte de groupe d’action politique anti-blanc,haineuse et très active dont l’agenda à court terme …est la mort ou l’élimination de la race blanche.

Quelqu’un, dans ce groupe ,va finir par se retrouver dans mon chemin!

 

 

 

 

La Grande Arnaque du Covid 19:Le Burundi devient la deuxième nation africaine à expulser l’OMS

La Tanzanie n’est pas le seul pays africain à avoir demandé à l’OMS de faire ses valises et de partir.

Reuters a rapporté que le Burundi a expulsé le chef national de l’OMS et trois de ses subordonnés alors que le pays se prépare à une élection présidentielle qui aura lieu la semaine prochaine. L’OMS a fait part de ses inquiétudes à plusieurs reprises, affirmant qu’il ne serait pas prudent de tenir le vote en pleine pandémie.

Ces affirmations ont manifestement irrité le gouvernement, qui fait pression pour organiser la première élection du pays depuis la démission du président Pierre Nkurunziza en 2018. Un candidat successeur du parti de Nkurunziza est le grand favori pour remporter les élections. Son gouvernement a été accusé de violations des droits de l’homme et a déjà expulsé des représentants de l’ONU et d’autres personnes enquêtant sur les violations des droits de l’homme, mais les candidats de l’opposition contestent ouvertement le vote et toute tactique de répression a été largement cachée.

De nombreux critiques du gouvernement et de l’opposition ont critiqué la décision, bien que, notamment, personne ne plaide pour l’annulation de l’élection, signe que l’insistance de l’OMS n’a pas été reçue par la population. La campagne a déjà donné lieu à de nombreux rassemblements où les gens étaient entassés, et beaucoup soupçonnent que le véritable bilan du virus ne se reflète pas dans les chiffres officiels.

 

Les quatre fonctionnaires ont jusqu’à vendredi pour quitter le pays.

 

Le gouvernement a confirmé jeudi qu’une lettre du 12 mai du ministère des affaires étrangères a été envoyée au chef de pays de l’OMS, Walter Kazadi Mulombo, et à trois autres experts de la santé de l’organisme des Nations unies, leur donnant jusqu’à vendredi pour quitter le pays.

Bernard Ntahiraja, le ministre adjoint des affaires étrangères, a déclaré que les fonctionnaires avaient été déclarés « persona non grata » mais n’a pas donné de raisons.

Le responsable de l’OMS pour l’Afrique a également critiqué cette décision et a soutenu l’expulsion des fonctionnaires de l’OMS. Cependant, l’OMS a déclaré qu’elle continuerait à soutenir le Burundi dans sa lutte contre le virus.

Le vote pour le successeur du président Pierre Nkurunziza, dont le gouvernement a été accusé à plusieurs reprises de violations des droits et a déjà expulsé d’autres représentants d’organismes internationaux, est prévu pour le 20 mai.

Le directeur régional de l’OMS pour l’Afrique, Matshidiso Moeti, a qualifié Mulombo de « gestionnaire extrêmement compétent ».

« Nous restons très disposés à … soutenir la réponse (du Burundi) au COVID-19 » a-t-il déclaré lors d’une conférence de presse dans la capitale éthiopienne, Addis-Abeba.

Contrairement à beaucoup d’autres pays africains, le Burundi n’a mis en place aucune mesure de confinement, et les rapports du pays sont trop rares pour dire à quel point son système de santé pourrait être mis à rude épreuve.

Aube Digitale

 

 

 

La Grande Arnaque du COVID 19:Quand les chèvres,les moutons et les manques sont testés positif en Tanzanie…par le président

La Grande Arnaque mise à jour en Tanzanie:

Alerte : Tests Covid truqués et contaminés !!! « C’est sûr qu’il y a quelque chose d’étrange qu’ils sont en train de faire » Pdt. Magufuli + Tests contaminés au Royaume-Uni et au Canada https://www.ouest-france.fr/sante/vir… https://www.msn.com/fr-ca/actualites/…

Voici la vidéo qui va déranger:

John Pombe Joseph Magufuli, né le 29 octobre 1959, est un homme d’État tanzanien. Nommé à la tête de plusieurs ministères au cours de sa carrière, il est élu président de la République le 5 novembre 2015.

 

Cet homme a une carrière singulière de lutte contre la corruption ; il a d’ailleurs réduit son propre salaire par plus de 3 apparemment, et il a limité largement les frais somptuaires dans son pays.

 


 

EN COMPLÉMENT

LE NOUVEL ORDRE MONDIAL AVERTIT L’AFRIQUE

Suite à la conférence du président de Tanzanie:

Selon l’Organisation mondiale de la Santé, le nombre de cas confirmés de coronavirus en Afrique a dépassé les 51 000 et le bilan des décès s’élève à près de 2000. Elle avertit que le continent pourrait voir le nombre de cas augmenter au cours des prochaines semaines.

La directrice régionale de l’OMS pour l’Afrique, Matshidiso Moeti, a déclaré jeudi qu’une personne sur quatre dans la région pourrait être contaminée au virus pendant la première année, si sa propagation n’est pas endiguée. Selon elle, 190 000 personnes pourraient en mourir.

Mme Moeti a exhorté les gouvernements à rapidement prendre des mesures. Selon elle, alors que la propagation dans les communautés est établie dans environ un tiers des pays, le pic des contaminations pourrait survenir dans 4 à 6 semaines si aucune mesure n’est prise.

Entre-temps en Afrique du Sud, le pays le plus durement frappé du continent, le nombre de cas a déjà dépassé les 7800. Salim Abdool Karim, le directeur du comité consultatif du ministère de la Santé, a déclaré mercredi que l’épidémie dans le pays devrait atteindre son pic entre fin juillet et début septembre.

 

 

 

 

 

Covid-19: le Maroc, la Tunisie et l’Algérie adoptent la chloroquine. Quid du reste de l’Afrique ?

En Algérie,l’agenda culturel est complètement chamboulé,comme au Québec.
L’enjeu est à la fois médical, financier et géopolitique. Alors que le débat fait rage entre les médecins à propos de l’efficacité de la chloroquine contre le nouveau coronavirus Covid-19, les États, eux, ont pris les devants. L’américain Donald Trump y voit un remède miracle quand le français Emmanuel Macron se rapporte à un comité scientifique boycotté depuis peu par l’atypique Didier Raoult, cet infectologue hors système, patron de l’institut Hospitalo-universitaire (IHU) Méditerranée Infection de Marseille, « nouveau Christ » selon les uns, « fou furieux » selon les autres .
Pendant ce temps, la course aux stock a commencé dans le monde.

Le gouvernement marocain a réquisitionné le stock de chloroquine disponible dans le pays auprès des laboratoires Sanofi, le seul du pays qui produit les deux médicaments à base de chloroquine — Nivaquine et Plaquenil, utilisés contre le covid-19.

L’Algérie voisine dispose elle d’un stock largement suffisant selon les autorités. Dans ce cadre, Dr Bekkat Berkani, président du Conseil de l’ordre des médecins et membre du comité scientifique de veille et de suivi de l’évolution de l’épidémie du Coronavirus (COVID-19), a annoncé mardi dans une déclaration sur les ondes d’une radio locale que le ministère de la Santé a commencé à tester le médicament avec quelques cas graves infectés par le virus « Coronavirus » hospitalisés l’hôpital El Kettar d’Alger. 
Autre pays maghrébin, la Tunisie où le le Directeur des soins et de santé de base, Chokri Hamouda, a annoncé, mardi 24 mars, le démarrage des essais cliniques de base en coordination avec le laboratoire national de contrôle des médicaments, le centre national de pharmacovigilance, et l’instance nationale de l’évaluation, et de l’accréditation en Santé (INEAS). Le pays s’est procuré d’importantes quantités de chloroquine.
De l’autre côté de la rive du Sahara, le scepticisme semble l’emporter sur la vision de la chloroquine comme remède miracle contre le covid-19. Au Sénégal, le professeur Pr Daouda Ndiaye, chef du service de parasitologie de l’hôpital Aristide Le Dantec , estime, dans un entretien à Walf Quotidien, qu’il ‘’n’y a pas de preuves formelles’’ pour dire que la chloroquine soigne cette maladie.
Pharmacies à sec ?
En dépit de cet intérêt soudain pour l’un des médicaments les plus connus en Afrique, l’on ne relève pas une effervescence particulière chez les particuliers, ni une anticipation auprès des pouvoirs publics pour acquérir ce médicament dont le prix est appelé grimper . Le Figaro du 22 mars écrivait qu’en quelques jours, « les réserves des pharmaciens ont été mises à sec » au Burkina Faso, au Sénégal mais aussi en Afrique centrale, au Cameroun. D’autre part, des enquêtes menées à partir du 11 mars par le réseau ouest-africain Anthropologie des Epidémies émergentes, en lien avec le réseau Sonar-Global, indiquaient que des commerçants africains ont constitué des stocks pour répondre à la demande. Les réseaux parallèles en provenance du Nigeria et de l’Inde se frotteraient les mains. Pour parer à la prolifération du commerce illicite, Interpol a mené une opération de lutte contre le commerce en ligne de produits médicaux contrefaits entre le 3 et le 10 mars, arrêté 121 personnes et saisi l’équivalent de 14 millions de dollars de produits potentiellement dangereux, parmi lesquels des antiviraux actuellement non autorisés contre le coronavirus comme la chloroquine.
Aux USA, si Donald Trump a assuré que la chloroquine pourrait être rapidement disponible « sur ordonnance », la Food and drug administration (FDA) a, elle nuancé les promesses présidentielles. «Le président nous a demandé de regarder de plus près ce médicament. Nous voulons faire cela en mettant en place un essai clinique étendu et pragmatique pour recueillir ces informations et répondre à toutes les questions qui se posent», a expliqué le directeur de l’autorité régulatrice en matière de médicaments, Stephen Hahn.
En France, la seule unité de production, Famar, lâchée par le fonds d’investissement KKR, en redressement judiciaire et à la recherche de repreneur, pourrait valoir son prix d’or si le professeur Raout, tel un Ignace Semmelweis qui avait découvert avec Pasteur les bienfaits du lavage de main en milieu hospitalier mais dut faire face, sa vie durant, au conservatisme de la science, remportait la bataille, soutenue qu’il est par l’opinion publique et une vaste pétition adressée au président Emmanuel Macron.
La chloroquine n’est pourtant pas une innovation. 
Utilisée depuis 70 ans contre le paludisme, c’est l’un des médicaments les plus connus en Afrique même si essentiellement importé à l’instar de la plupart des produits de première nécessité.
Bref, dans les semaines à venir, nous assisterons à une course vers la production et l’achat de la chloroquine. Déjà Sanofi propose de mettre à la disposition de la France plusieurs millions de doses pour traiter gratuitement 300.000 patients. Le Suisse Novartis dispose de 130 millions de comprimés et lance un fond d’aide mondial de 20 millions de dollars quand Bayer organise en urgence la production et l’israélien Teva propose 6 millions de doses aux hôpitaux américains. Vieux médicament peu rentable et produit dans les unités secondaires, la chloroquine connaît une seconde jeunesse avec le Covid-19.

 

 

 

 

 

 

Ebola en RDC: Plus de 3.000 cas de contamination, 2.231 morts…la pandémie est hors de contrôle

Sujet d’intérêt prioritaire pour certaines armées désirant se payer une arme bactériologique  peu dispendieuse,les virus d’Ebola est devenu une pandémie depuis le passage du Dr Arthur Porter,au Sierra Leone,il y a quelques années!

Arthur Porter aurait travaillé,ainsi donc,dans le programme Illuminati de Dépopulation Mondiale!

Une aubaine pour cette secte d’exterminateurs!

 

 

Du personnel sanitaire transporte le cercueil d’une victime d’Ebola le 16 mai 2019 à Butembo, dans l’est de la RDC.

Plus de trois mille cas de contamination à la maladie à virus Ebola ont été enregistrés en République démocratique du Congo où l’épidémie de fièvre hémorragique a déjà tué plus de deux mille personnes depuis août 2018, ont indiqué dimanche les autorités sanitaires.

Depuis le début de l’épidémie, le cumul des cas est de 3.373, avec un total de 2.231 décès, selon le dernier décompte du Comité multisectoriel de la riposte à l’épidémie (CMRE) daté de samedi.

La RDC lutte contre une épidémie de la maladie à virus Ebola déclarée le 1er août 2018. Les provinces troublées du Nord-Kivu et de l’Ituri, dans l’est, sont les plus touchées.  

Les autorités sanitaires indiquent par ailleurs que « 341 cas suspects sont en cours d’investigation ».

Les actions de lutte contre la maladie sont régulièrement perturbées en raison d’insécurité causée par la présence de nombreuses milices dans les zones touchées. Des membres des équipes anti-Ebola ont été tués ou blessés dans des attaques armées dans le Nord-Kivu et en Ituri.

Les installations anti-Ebola sont aussi la cible d’attaques dans ces régions, en proie à des violences depuis deux décennies.

Depuis novembre, plus de 200 civils ont été tués dans cette zone dans des tueries attribuées au groupe armé d’origine ougandaise des ADF (Forces démocratiques alliées).

L’actuelle épidémie d’Ebola est la dixième sur le sol congolais depuis 1976 et la deuxième la plus grave de l’histoire après celle qui a fait quelque 11.000 morts en Afrique de l’Ouest en 2014.

Ebola en RDC : un an d’épidémie dans le Nord-Est du pays

La sécurité des médecins,infirmiers et personnes soignantes est fondamentale dans la poursuite des traitements en cours des malades.

« La frontière n’était pas fermée. Il s’agissait d’un malentendu », a tweeté ce jeudi midi un responsable du gouvernement rwandais. Entre Gisenyi au Rwanda et Goma en RDC, les deux postes-frontières de Grande barrière et Petite barrière étaient pourtant fermés ce jeudi matin. A Goma où un troisième cas d’Ebola a été confirmé. Cette dixième épidémie de l’histoire du Congo est déclarée depuis un an jour pour jour. Avec plus de 1800 morts, elle est aujourd’hui la plus meurtrière que le pays ait connue.

 

Qui s’en souvient ? La précédente épidémie venait à peine de s’éteindre. Le 24 juillet 2018, les autorités congolaises avaient sonné la fin de l’alerte dans le Nord-Ouest du pays. La province de l’Equateur venait de vivre l’une de ses plus importantes épidémies d’Ebola sur les neuf que la RDC avait alors connues. En près de trois mois, il y avait eu 54 malades, dont 33 succomberont.

Une semaine après, le 1er août 2018, c’est dans l’Est que l’épidémie est déclarée. Un an plus tard, les cas continuent de se multiplier. La barre des 1800 morts a été franchie. “Nous n’avons jamais eu autant de cas positifs”, nous disait le 18 juillet 2019 le responsable régional de l’ONG ALIMA, alors que l’Organisation mondiale de la santé venait de déclarer l’état d’urgence sanitaire mondiale.

Les autorités congolaises ont lancé leur riposte lundi en plaçant en quarantaine une zone d’une centaine de kilomètres carrés dans le secteur concerné près de la ville de Boende, à environ 800 km au nord-est de Kinshasa.

Comprendre le virus Ebola

Le virus Ebola tire son nom d’une rivière du nord de l’actuelle République démocratique du Congo, où il a été repéré pour la première fois en 1976. Son taux de mortalité peut aller de 25 à 90%. 
ICe virus de la famille des filoviridae (filovirus) se transmet par contact direct avec le sang, les liquides biologiques ou les tissus de personnes ou d’animaux infectés. Les rituels funéraires, au cours desquels les parents et amis sont en contact direct avec le corps du défunt, jouent un rôle important dans la transmission. 

Il n’y a pas de vaccin homologué contre la fièvre Ebola, qui se manifeste par des hémorragies, des vomissements et des diarrhées. 
La plus importante épidémie d’Ebola a fait près de 11.000 morts en Afrique de l’Ouest en 2014 (Liberia, Sierra Leone et Guinée). Celle qui frappe le Nord-Est de la RDC depuis un an est la deuxième plus importante.

Principalement touchées, les zones de Beni et de Butembo dans le nord-Kivu. Nouveau cataclysme pour une région déjà en proie aux violences de mouvements rebelles. Beni est fréquemment le théâtre de massacres perpétrés par les ADF-Nalu, une rébellion ougandaise qui se dit liée à l’État islamique.

À la crise sécuritaire viennent s’ajouter les crispations pré-électorales au courant de l’année 2018. Dans ces conditions, la lutte contre la contagion devient impossible. “Il n’est pas possible d’arrêter Ebola dans une telle situation de tensions au niveau communautaire, de manipulations politiques. La situation sur le terrain n’est pas assez calme pour faire les opérations de santé publique”, déclare le docteur Mike Ryan, en charge des situations d’urgences sanitaires pour l’Organisation mondiale de la santé (OMS). 

L’inquiétude monte d’un cran ce mercredi 31 juillet. À Goma, capitale du Nord-Kivu, deux millions d’habitants, un deuxième malade décède. Quelques heures plus tard, un troisième cas est détecté, toujours à Goma. Le premier cas avait été découvert le 14 juillet. Les deux personnes n’avaient, semble-t-il, aucun lien.
La crise Ebola fera également une victime politique. Courant juillet 2019, le ministre de la Santé, Oly Ilunga claque la porte du gouvernement. Il s’estime désavoué par le président Tshisekedi qui a décidé de prendre en personne le contrôle des opérations contre l’épidémie. Au coeur de la discorde, l’introduction d’un deuxième vaccin à laquelle le ministre Ilunga est opposé.


EN RAPPEL:

Arthur Porter…blanchit de l’argent pour le compte du crime organisé dans les Caraïbes!
Sa mise en scène aura protégé Justin Trudeau et aidera lors des élections ,en 2015!

Le principal responsable criminel impuni dans cette affaire de pandémie,est le franc maçon de haut grade du rite écossais Arthur Porter.Ce criminel avait réussi à détourner plusieurs millions de dollars du gouvernement de Sierra Leone afin de développer une arme bactériologique à partir du virus d’ébola pour le compte d »une université américaine qui était en contrat avec la CIA.C’est lui qui intronisera Philippe Couillard auprès de cette loge franc maçonne (liée aux illuminati) qui deviendra premier-ministre du Québec.

En juin 2015,il se fera passer pour mort à la prison de Panama  ou il avait été  incarcéré antérieurement pour fraude et crimes divers.Des émissaires du gouvernement libéral du Québec se feront montrer son « pseudo cadavre  » à plus de 20 pieds de distance.Le lendemain ,on affirmera que le cadavre d’Arthur Porter a été incinéré…par erreur!Durant la nuit du 30 juin au 1er juillet 2015,de nombreux témoins ont aperçu une voiture  démarrer à toute vitesse tard dans la nuit,près de la prison ou il était détenu.On suppose qu’un complot bien ma  par le crime organisé l’a fait évader de là!

En 2016,j’ai reçu un avis qu’Arthur Porter aurait été aperçu sortant d’un immeuble aux îles Turks & Caïcos!

S’il aurait fallu qu’on puisse  amener Arthur Porter devant la Justice québécoise et canadienne,en 2015,les révélations qu’il aurait pu faire, auraient sali Stephen Harper,Justin Trudeau et Philippe Couillard …ce qui aurait ébranlé le système politique néolibéral et néoconservateur au Canada et au Québec!


 

EN CONCLUSION

 

Le Pr Peter Piot, codécouvreur du virus Ebola en 1976, a estimé que tout était réuni pour que l’épidémie « s’emballe » et regretté « la lenteur extraordinaire » de la riposte de l’OMS.

Le virus Ebola: Faits et chiffres

Le virus d’Ebola lui-même agrandi au microscope électronique.

 

 

  • Le virus se transmet au contact direct de personnes ou d’animaux infectés
  • Il n’existe à ce jour aucun vaccin contre Ebola
  • Les taux de mortalité sont très élevés

 

Le virus Ebola a été identifié en Afrique centrale, suite à une épidémie qui a affecté le Soudan et la RDC, dans les années 70.

Origine et Etymologie

Les deux premières épidémies de fièvre Ebola recensées par l’OMS datent de 1976, la première dans la localité de Nzara, au Soudan, et la deuxième, à Yambuku, en République démocratique du Congo.

L’épidémie de Yambuku est survenue dans un village situé près du fleuve Ebola, d’où le nom de la maladie.

Transmission

Le virus se transmet au contact du sang, des secrétions, des organes ou d’autres fluides corporels d’animaux infectés. En Afrique, les infections surviennent au contact de chimpanzés infectés, de gorilles, de chauves-souris frugivores, de singes, d’antilopes de forêt et de porcs-épics morts ou malades ou dans la forêt tropicale.

La propagation s’effectue ensuite entre les êtres humains, suite à des contacts directs, à travers la peau ou des muqueuses, avec le sang, les secrétions, les organes ou les liquides biologiques des personnes infectées et le contact direct avec des environnements infectés par ces fluides.

 

Les rituels funéraires, où parents et amis sont en contact direct avec le corps de la personne décédée peuvent également jouer un rôle dans la transmission du virus Ebola. Les hommes qui ont guéri de la maladie peuvent transmettre le virus par le biais de leur sperme jusqu’à sept semaines après la guérison de la maladie.

Symptômes

Ebola est une maladie virale aiguë sévère. Ses symptômes comprennent l’apparition soudaine de fièvre, une faiblesse intense, des douleurs musculaires, des maux de tête et de gorge.

Elle est suivie de vomissements, de la diarrhée, des éruptions cutanées, de l’altération de la fonction rénale et hépatique. Les gens sont contagieux tant que leur sang et les sécrétions contiennent le virus.

Le virus Ebola a été isolé à partir du sperme 61 jours après l’apparition de la maladie chez un homme qui a été infecté dans un laboratoire. La période d’incubation, c’est-à-dire, l’intervalle de temps à partir de l’infection par le virus à l’apparition des symptômes, est de 2 à 21 jours.

Prévention et traitement

Il n’existe à ce jour aucun vaccin homologué contre la maladie. Cependant, plusieurs candidats vaccins sont en phase d’essais, mais aucun n’est disponible pour un usage clinique.

Les malades sont traités dans des unités de soins intensifs et reçoivent des soins censés stimuler leur défense immunitaire.

En Guinée, Médecins Sans Frontières a atteint des taux de guérison de l’ordre de 75 % dans certains de ses centres de soins intensifs, ce qui, de l’avis des spécialistes, est un chiffre exceptionnel dans l’histoire de la maladie.