Nouvel Ordre Mondial et pandémie:Les crimes liés aux vaccins de Bill Gates

Les médecins indiens accusent Gates d’une épidémie dévastatrice de polio de souche vaccinale qui a paralysé 496.000 enfants entre 2000 et 2017. En 2017, le gouvernement indien a retiré du marché le schéma vaccinal de Gates et a expulsé Gates. Les taux de paralysie de la polio ont chuté brutalement.

 

 «Les vaccins, pour Bill Gates, sont une philanthropie stratégique qui alimente ses nombreuses entreprises liées aux vaccins (y compris l’ambition de Microsoft de contrôler une entreprise mondiale d’identification vac ID) et lui donne un contrôle dictatorial sur la politique de santé mondiale – la pointe de lance du néo-impérialisme d’entreprise.

 

L’obsession de Gates pour les vaccins semble alimentée par une conviction messianique qu’il est ordonné de sauver le monde avec la technologie et une volonté divine d’expérimenter la vie sur de petits humains.

Promettant d’éradiquer la polio avec 1,2 milliard de dollars, Gates a pris le contrôle du National Advisory Board (NAB) de l’Inde et a mandaté 50 vaccins contre la polio (contre 5 auparavant) à chaque enfant avant l’âge de 5 ans. Des médecins indiens accusent la campagne Gates d’une épidémie dévastatrice de polio causée par une souche vaccinale qui a paralysé 496 000 enfants entre 2000 et 2017. En 2017, le gouvernement indien a retiré du marché le schéma vaccinal de Gates et a expulsé Gates et ses copains du NAB. Les taux de paralysie de la polio ont chuté brutalement.

En 2017, l’Organisation mondiale de la santé a admis à contrecœur que l’explosion mondiale de la poliomyélite est principalement due à une souche vaccinale, ce qui signifie qu’elle provient du programme de vaccination de Gates. Les épidémies les plus effrayantes au Congo, aux Philippines et en Afghanistan sont toutes liées aux vaccins de Gates. En 2018, les trois quarts des cas mondiaux de polio provenaient des vaccins de Gates.

En 2014, la Fondation Gates a financé des tests de vaccins expérimentaux contre le VPH, développés par GSK et Merck, sur 23.000 jeunes filles dans des provinces indiennes éloignées. Environ 1.200 ont souffert d’effets secondaires graves, notamment des troubles auto-immunes et de la fertilité. Sept en sont mortes. Les enquêtes du gouvernement indien ont accusé les chercheurs financés par Gates d’avoir commis des violations éthiques généralisées: faire pression sur les filles vulnérables des villages dans les tests, intimider les parents, falsifier les formulaires de consentement et refuser les soins médicaux aux filles blessées/malades. L’affaire est maintenant devant la Cour suprême du pays.

En 2010, la Fondation Gates a financé un essai d’un vaccin expérimental contre le paludisme de GSK, tuant 151 nourrissons africains et causant des effets indésirables graves, notamment la paralysie, des convulsions et des convulsions fébriles à 1048 des 5049 enfants vaccinés.

Au cours de la campagne Gates 2002 MenAfriVac en Afrique subsaharienne, des agents de Gates ont vacciné de force des milliers d’enfants africains contre la méningite. Entre 50 et 500 enfants ont développé une paralysie. Les journaux sud-africains se sont plaints: «Nous sommes des cobayes pour les fabricants de médicaments». L’ancien économiste principal de Nelson Mandela, le professeur Patrick Bond, décrit les pratiques philanthropiques de Gates comme « impitoyables » et immorales « .

En 2010, Gates a donné 10 milliards de dollars à l’OMS en promettant de réduire la population, en partie, grâce à de nouveaux vaccins. Un mois plus tard, Gates a déclaré à Ted Talk que de nouveaux vaccins « pourraient réduire la population ».

En 2014, l’Association des médecins catholiques du Kenya a accusé l’OMS d’avoir stérilisé chimiquement des millions de femmes kenyanes réticentes avec une fausse campagne de vaccination contre le «tétanos». Des laboratoires indépendants ont trouvé la formule de stérilité dans chaque vaccin testé. Après avoir nié les accusations, l’OMS a finalement admis qu’elle développait les vaccins contre la stérilité depuis plus d’une décennie. Des accusations similaires sont venues de la Tanzanie, du Nicaragua, du Mexique et des Philippines.

Comment Bill et Melinda Gates transforment la vie de milliards de personnes

Une étude de 2017 (Morgensen et Al.2017) a montré que le DTP populaire de l’OMS tue plus d’Africains que la maladie qu’elle prétend prévenir. Les filles vaccinées ont subi 10 fois le taux de mortalité des enfants non vaccinés.

Gates et l’OMS ont refusé de retirer du marché le vaccin mortel que l’OMS impose à des millions d’enfants africains chaque année. Les défenseurs mondiaux de la santé publique dans le monde entier accusent Gates de kidnapper le programme de l’OMS, en inversant les objectifs de ses projets destinés initialement à freiner les maladies infectieuses et à améliorer l’eau potable, l’hygiène, la nutrition et le développement économique. Ils disent qu’il a détourné des ressources de l’agence pour servir son fétichisme personnel – que la bonne santé ne vient que dans une seringue.

 

En plus d’utiliser sa philanthropie pour contrôler l’OMS, l’UNICEF, GAVI et PATH, Gates finance des sociétés pharmaceutiques privées qui fabriquent des vaccins et un vaste réseau de groupes de têtes de l’industrie pharmaceutique qui diffusent de la propagande trompeuse, développent des études frauduleuses, mènent des opérations de surveillance et psychologiques contre ceux qui hésitent à se faire vacciner. Ils utilisent le pouvoir et l’argent de Gates pour faire taire la dissidence et forcer la conformité.

Dans ces récentes apparitions non-stop de Pharmedia, Gates semble joyeux que la crise de Covid-19 lui donnera l’occasion de forcer ses programmes de vaccins du tiers-monde sur les enfants américains.  » [1]

Source : Bill Gates’ Vaccine Crime Record

https://www.henrymakow.com/

Par Llewellyn H. Rockwell, Jr.


NOTE

[1] L’effet inattendu pour Gates et pour le Prince Philip, promoteurs du Covid-19, est que l’assignation à résidence forcée de milliards de personnes va se traduire, d’ici quelques mois, par une explosion de naissances, surtout dans les pays pauvres. Il va y avoir une pénurie de sages femmes.

 

 

 

 

Les négligences de Justin Trudeau:une stratégie d’écraser le peuple québécois par l’attaque biologique au COVID 19

Jusqu’au 10 mars, la ministre fédérale de la Santé, Patty Hajdu, a estimé que le risque de pandémie au Canada était faible.

 

Une petite unité consacrée au renseignement médical au sein de l’armée canadienne avait soumis dès le début du mois de janvier des rapports détaillés et des analyses de l’éclosion à Wuhan de ce qu’on connaît aujourd’hui comme la COVID-19, a appris la CBC.

Cette unité, qui relève du Commandement du renseignement des Forces canadiennes (COMRENSFC), a pour mandat d’assurer un suivi des tendances en matière de santé à travers le monde et des éclosions de maladies contagieuses afin d’en déterminer l’effet potentiel sur les opérations militaires canadiennes. Elle est composée de scientifiques et mise notamment sur les informations récoltées par le réseau de renseignement Five Eyes, au sein duquel collaborent des agences canadiennes, australiennes, néo-zélandaises, britanniques et américaines.Ce réseau existe depuis la naissance du système ECHELON qui est la méthode la plus sophistiquée d’espionnage des communications internationales.


LE PROJET ECHELON

Echelon est un nom de code utilisé pendant de nombreuses années par les services de renseignements des États-Unis pour désigner une base d’interception des satellites de télécommunications commerciaux. Par extension, le réseau Echelon désigne le système mondial d’interception des communications privées et publiques (SIGINT), élaboré par les États-Unis, le Royaume-Uni, le Canada, l’Australie et la Nouvelle-Zélande dans le cadre du traité UKUSA.

Il s’agit en fait du système de contrôle de populations du Nouvel Ordre Mondial.



À travers Five Eyes, elle a pu avoir accès à des informations confidentielles récoltées par d’autres agences, dont celle du renseignement américain qui, selon des sources de la chaîne ABC, avait prévenu l’administration Trump des risques de l’éclosion d’une pandémie dès le mois de novembre. Selon le rapport américain, le gouvernement chinois dissimulait une épidémie déjà hors de contrôle.

Un porte-parole du COMRENSFC, le lieutenant Hrayr Karageozia, a indiqué ne pas être autorisé à révéler si cette information figurait aussi dans des rapports soumis au renseignement canadien, mais a confirmé que l’unité de renseignement médical travaille directement avec ses organisations homologues, dont celles des États-Unis.

Cette réponse pousse un expert consulté par la CBC à croire que le COMRENSFC avait accès aux informations américaines. Il estime aussi que les rapports de l’unité de renseignement médical ont dû être transmis au chef d’état-major de la Défense, Jonathan Vance, et ont peut-être abouti sur le bureau d’Harjit Sajjan, le ministre de la Défense nationale. Il semble toutefois qu’ils n’aient pas été partagés avec le reste de l’appareil gouvernemental ou qu’ils n’aient pas été pris au sérieux.

À la mi-janvier, on rapportait un nombre croissant d’hospitalisations liées à un « mystérieux virus » à Wuhan, dans la province chinoise du Hubei.

 

L’information a-t-elle été transmise en haut lieu?

Le professeur Wesley Wark, un des principaux spécialistes canadiens du renseignement et de l’espionnage, estime en effet qu’il était  «dans l’intérêt des États-Unis de partager [ces informations] avec nous et d’autres alliés afin que nous puissions former un front commun dans ce qui devait être une pandémie mondiale», observe le professeur Wesley Wark, un des principaux spécialistes canadiens du renseignement et de l’espionnage. Le professeur Wark, qui enseigne à l’Université d’Ottawa, croit que le COMRENSFC a dû être mis au courant de la situation, au moins partiellement.

Le rôle de l’unité de renseignement médical militaire est «un facteur très important» pour déterminer ce que la communauté canadienne du renseignement au sens large pouvait savoir sur l’épidémie, a-t-il ajouté.

Le professeur Wark s’interroge. «Nous avons au moins une partie de la communauté canadienne du renseignement qui faisait des rapports préliminaires. La question est de savoir où sont passés ces rapports. Dans quelle mesure ont-ils été pris au sérieux?»

Il se demande si la petite unité de scientifiques de l’armée a obtenu toute l’attention que méritaient les informations présentées dans ses rapports. «À quel point est-ce que ça a été pris au sérieux, tant au sein du ministère de la Défense que dans la communauté de la sécurité et du renseignement au sens large ? Les rapports de l’unité étaient-ils correctement diffusés ? Avait-elle le respect qu’elle mérite au sein de la communauté pour attirer l’attention sur les rapports?»

Pas d’alerte au ministère de la Santé

La ministre de la Santé, Patty Hajdu, a commencé à être informée de la situation à Wuhan au début du mois de janvier, d’après ce qu’elle a indiqué lors d’un récent point de presse du gouvernement. Elle n’a toutefois pas spécifié si les informations qu’on lui avait fournies étaient celles de la Santé publique et de l’Organisation mondiale de la santé (OMS) ou celles du renseignement militaire.

Le professeur Wark indique que les documents gouvernementaux qu’il a consultés ne semblaient pas prendre en compte le travail des services de renseignement militaire, dont le mandat n’inclut pas une participation aux travaux de la Santé publique. Un porte-parole du Service canadien du renseignement de sécurité (SCRS), John Townsend, s’est pour sa part contenté d’indiquer que son organisation avait fourni des «conseils généraux» aux autorités sanitaires.

Le 10 mars, une note du ministère de la Santé soumise à la ministre Hajdu faisait état d’un risque de propagation «qui reste bas au Canada», ce qui ne concorde pas avec les informations fournies au COMRENSFC. Dans cette même note, le ministère indiquait que le système de santé canadien était «bien équipé pour contenir les cas venant de l’étranger et limiter la propagation au Canada». Cela faisait toutefois plus d’un mois que l’OMS prévenait d’un risque de transmission du virus «élevé à l’échelle globale».

D’autres documents, rendus publics mercredi, montrent qu’en janvier et en février le gouvernement se concentrait sur le rapatriement de Canadiens à l’étranger. On faisait peu état du risque de pandémie. La Santé publique mettait alors en doute la transmission du coronavirus de personne à personne. «Il n’y a pas de preuve évidente que le virus se transmet facilement entre les personnes», indiquait-on à la ministre Hajdu le 19 janvier dans une autre note.

Selon le compte rendu d’un entretien entre la ministre Hajdu et ses homologues des provinces et des territoires le 30 janvier, elle leur aurait alors indiqué qu’il était «presque impossible» d’empêcher l’arrivée de la COVID-19 au Canada à cause des voyageurs. «Ce qui compte vraiment, c’est de limiter son impact et de contrôler sa propagation une fois qu’il est là».

Une réticence à adopter des mesures draconiennes

Le Canada n’avait alors pas l’intention de limiter le transit dans les aéroports. Trois jours plus tard, les États-Unis interdisaient pour leur part l’entrée au pays aux voyageurs étrangers arrivant de Chine.

Pas question, non plus, de prendre des mesures contraignantes à ce moment-là. Quelque 58 000 voyageurs sont arrivés au Canada de Chine entre le 22 janvier et le mois de février. De ce nombre, 2030 arrivaient de la province du Hubei, lieu d’origine de la pandémie. Seulement 68 de ces voyageurs ont été rencontrés par un spécialiste des mises en quarantaine. Trois ont ensuite subi des examens médicaux. Il est impossible de dire combien de ces voyageurs étaient des porteurs asymptomatiques du virus.

C’est à partir du 7 février que le gouvernement a commencé à recommander aux voyageurs arrivant de la province chinoise de s’isoler pendant 14 jours sur une base volontaire. Selon une autre note rendue publique, le Canada n’avait «pas de capacité à faire respecter ou à s’assurer de la coopération de gens placés en quarantaine obligatoire».

Trois jours plus tard, le 10 février, une énième note d’information adressée à la ministre faisait état d’une «réflexion avancée et une analyse de scénario, y compris un scénario de pandémie». Cette note prévenait Patty Hajdu que les ministres provinciaux lui demanderaient de les aider à se procurer du matériel médical et que des efforts étaient en cours pour ajouter des équipements de protection, comme des masques N95, dans les stocks fédéraux. On signalait déjà une demande croissante pour ces masques à l’échelle internationale.

 

Le gouvernement Trudeau s’est fréquemment fait reprocher sa lenteur à agir pour endiguer la crise.

«Je pense que nous avons vu des pays du monde entier pris au dépourvu par la nature de cette épidémie», répète le pseudo-premier ministre Justin Trudeau depuis le début de la crise. Il se dit convaincu que son gouvernement a pris «les meilleures décisions» en fonction «des informations dont nous disposons».

Cette situation constitue «un échec du renseignement canadien», selon Wesley Wark, qui déplore le manque de communication entre les services gouvernementaux. «Nous n’avons pas reçu l’avertissement rapide dont nous avions besoin et nous ne disposions pas du système nécessaire pour la transmettre».

«Nous mettons toute notre confiance dans un système de déclaration ouverte par l’intermédiaire de l’OMS. Nous aurions plutôt dû appliquer un vieil adage : faire confiance, mais vérifier.»


PENDANT CE TEMPS

 

Pendant que Trump fermait sagement les frontières américaines ,Justin Trudeau laissait maladroitement le chemin Roxham ouvert aux migrants envahisseurs,comme si nous étions  trop imbéciles pour comprendre le jeu de poker qu’il avait ouvert sur la table.

 

Un policier accueille des demandeurs d’asile qui ont franchi la frontière de manière irrégulière en empruntant le chemin Roxham.

Pendant que le monde étudiait  le terrible fléau qui commençait à s’abattre sur le monde,Justin Trudeau,le pseudo-premier ministre du Canada ,l’apôtre de la Mondialisation,faisait don d’un important matériel médical à la Chine Communiste  et laissait mêmes les avions en provenance de ce pays atterrir dans nos aéroports comme si rien ne « pouvait arriver comme tel au Canada »,disait-il.

De manière prémédité,le petit Trudeau,ami de l’Agha Khan,ce dangereux chef  ismaélien,a comploté contre le peuple québécois en laissant  venir n’importe qui  par le chemin Roxham jusqu’au 24 mars 2020.

C’est par dizaines de milliers que les migrants envahisseurs (non-contrôlés physiquement) ont transité par cette passoire depuis que Justin Trudeau s’était pris pour  un grand Lama ou un autre Mahatma Gandhi!Tous ces  immigrants se sont ramassé pour une grande part à Montréal,contribuant ainsi à alimenter  la pandémie et les victimes collatérales au Québec (pour paraphraser George W. Bush).

Justin Trudeau,par sa  « très,très grande tolérance » face aux ethnies envahissantes…au Québec ,a maintenant du sang sur les mains!

…et tout crime mérite châtiment!

Alors que le pays avait suffisamment de matériel médical pour résister à la maladie,Justin Trudeau  a donné tout ce matériel à la Chine communiste,parce que Justin est en admiration devant les dictateurs communistes comme son père!Il a ainsi contribué solidement à la rarification des masques  et à l’augmentation des profits du crime organisé dans notre société…comme si la légalisation  sabordée du pot ne suffisait pas.

Si vous comprenez bien le jeu actuel de Justin Trudeau,il va sortir le chéquier et augmenter la dette nationale à un niveau astronomique,pendant que ses petits amis financiers vont s’en mettre  pleins les  poches…à   même l’argent public des générations à venir!

Ainsi,les prochaines générations de « Canadians » (parce que tantôt nous ne parlerons plus du tout des québécois de langue française avec l’appui continu  du Bloc Québécois aux libéraux fédéraux et l’appui de la CAQ) auront à choisir entre  vivre en esclaves endettés à vie ou se battre jusqu’à la mort s’il le faut pour sa libération nationale.

Ce n’est pas en allant voter aux prochaines élections truquées que vous allez pouvoir renverser la situation.À nouveau,les alliés par défaut des libéraux fédéraux corrompus vont disperser le vote et à la fin,ils resteront au pouvoir.Le nombre de partis politiques fédéraux fait fausser la donne démocratique,car avec 33 % du vote,vous pouvez avoir un gouvernement majoritaire…à partir de vos appuis au Québec et en Ontario.

Le premier ministre du Québec, François Legault, demande au Bloc québécois (BQ) de changer de position et d’appuyer la ratification de l’Accord Canada–États-Unis–Mexique (ACEUM).
«Je pense que le Bloc québécois doit défendre les intérêts des Québécois puis c’est dans l’intérêt des Québécois que cette entente soit ratifiée», a-t-il indiqué à sa sortie d’une rencontre avec le premier ministre du Canada, Justin Trudeau.
Ce sont 2 politiciens fédéralistes et menteurs qui ne pensent qu’en fonction d’intérêts financiers.
Notons aussi qu’ils sont tous les deux francs maçons!

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Humanité en danger:Les nouveaux cavaliers de l’apocalypse

Si le livre de l’Apocalypse du Nouveau Testament symbolisait par quatre cavaliers les grands maux annonciateurs de la fin des temps, des scientifiques singapouriens ont revu le concept pour les temps actuels.

Les fléaux qui menacent maintenant l’humanité sont, selon eux, la surpopulation, la mondialisation, l’hyperconnectivité, et la diminution du nombre des chaînes d’approvisionnement.

Les Quatre Cavaliers de l'Apocalypse originaux (de gauche à droite) : Mort, Famine, Guerre et Conquête dans un tableau de 1887 par Viktor Vasnetsov
Les Quatre Cavaliers de l’Apocalypse originaux (de gauche à droite) : Mort, Famine, Guerre et Conquête dans un tableau de 1887 par Viktor Vasnetsov

« Il existe actuellement quatre conditions systémiques générales, et facilement observables, qui forment un réseau pathologique qui pousse la civilisation vers une autodestruction potentielle », affirment les scientifiques Kang Hao Cheong et Michael Jones de l’Université de technologie et de design de Singapour dans leurs travaux publiés dans la revue BioEssays (en anglais).

Ces travaux sont basés sur des observations empiriques, c’est-à-dire des données issues de l’observation. Ils ont fait l’objet d’un examen complet par des pairs.

« La pandémie actuelle dévoile de graves problèmes dans la dynamique mondiale du commerce, de la gouvernance et de la santé publique. » – Kang Hao Cheong, SUTD

1. La surpopulation

La planète compte presque 8 milliards d’humains, et leur nombre augmente particulièrement vite depuis la révolution industrielle. La population mondiale a atteint un premier milliard d’humains autour de 1800, un deuxième milliard en seulement 130 ans vers 1930, puis un troisième milliard en 30 ans, vers 1960. Le quatrième milliard en 15 ans, en 1974, et le cinquième milliard en seulement 13 ans, en 1987.

La Chine et l’Inde comptent à eux seuls, respectivement, 19 % et 18 % de la population mondiale.

 

Au cours du siècle dernier, la population est ainsi passée de 1,7 milliard à 6 milliards. Des humains qui vivent de plus en plus dans des villes. De nos jours, plus de 55 % de la population mondiale vit dans les zones urbaines. Un pourcentage qui devrait passer à 66 % en 2050, estiment les Nations unies.

2. L’hyperconnectivité

L’explosion démographique a mené à une urbanisation importante et à l’apparition de mégapoles partout sur la planète. Ces villes où vivent des millions de personnes sont desservies par des systèmes de transport très connectés : bus, métro, avions et voitures.

Vue aérienne d’autoroutes dans la ville de Shanghai.

 

Les chercheurs expliquent que l’hyperconnectivité au sein des villes, mais aussi entre elles, facilite la transmission des maladies contagieuses et favorise l’émergence de crises sanitaires majeures.

3. La mondialisation

Les activités humaines, qu’elles soient économiques, sociales, sanitaires ou politiques, se déroulent de plus en plus à l’échelle planétaire. Elles sont liées et interdépendantes. Cette réalité découle de l’évolution technologique des transports, des communications et du commerce, et a mené à la création d’organisations telles que l’ONU et le Fonds monétaire international (FMI).

 

Les activités humaines se déroulent de plus en plus à l’échelle planétaire.

 

Le duo de chercheurs estime que la crise de la COVID-19 est fondée en grande partie sur la mondialisation. Selon eux, la pandémie met en évidence un manque important de préparation à l’échelle internationale.

4. Des chaînes d’approvisionnement fragiles

La mondialisation a favorisé l’apparition d’entreprises multinationales. De nos jours, les grands ensembles démographiques sont alimentés par des chaînes d’approvisionnement concentrées et moins nombreuses, dont les produits se trouvent rarement en quantités excédentaires. Si la survie d’une partie de la population nécessite une ressource en particulier pour sa survie, comme des respirateurs, la situation peut rapidement entraîner une catastrophe.

L’apocalypse 2.0

La pandémie ne serait, selon les chercheurs, qu’un exemple des catastrophes qui pourraient potentiellement frapper l’humanité en raison de la dynamique des quatre nouveaux cavaliers de l’apocalypse qui poussent la civilisation vers l’autodestruction.

Dans l’avenir, ces quatre facteurs pourraient se propager à d’autres domaines vitaux, en déstabilisant davantage l’économie et la géopolitique, mais aussi en entraînant d’autres effets multiplicateurs de deuxième et troisième ordres, et provoquer une catastrophe sans précédent.

Les chercheurs singapouriens comparent même le mode de vie d’une majorité d’humains à celui de poulets dans les mégafermes d’élevage.

Vue aérienne de la ville d’Hong Kong.

 

« La douloureuse vérité est que les grandes villes ressemblent aux gigantesques élevages en milieu confiné », expliquent les auteurs.

« Comme les poulets de l’industrie agroalimentaire, les humains sont entassés dans des cages climatisées (des tours d’habitation) et nourris avec des aliments transformés et des antibiotiques. » – Extrait de leurs travaux

Selon eux, comme dans le cas de ce type d’élevage industriel, des maladies épidémiques peuvent frapper du jour au lendemain et frapper l’humanité.

La pointe de l’iceberg

La présente crise, expliquent les chercheurs, devrait mener à une prise de conscience collective et à une remise en question du système afin d’empêcher que des catastrophes encore plus graves ne se produisent.

« Ces quatre conditions peuvent être inversées par une action collective pour commencer à créer un monde post-COVID-19 durable et prospère. » – Extrait de leurs travaux

Le principe de précaution

Les actions recommandées par les deux chercheurs sont basées sur l’application du principe de précaution.

Ce principe, avancent les chercheurs, exige que les décisions prises donnent la priorité à la prévention proactive d’une catastrophe, même si la probabilité de sa survenue ne peut être établie avec précision.

Ils estiment qu’il n’est possible de prévoir ni le moment ni les déclencheurs d’une catastrophe fatale pour l’humanité, mais pensent que pour assurer sa survie celle-ci doit s’y préparer.

« Même si la COVID-19 n’est pas l’iceberg qui a coulé le Titanic pour l’humanité, elle est certainement un avertissement important qui devrait nous sensibiliser au fait que nous naviguons dans une mer dangereuse qui est de plus en plus encombrée d’icebergs », explique Michael Jones.

« Bien cerner les risques de la navigation dans de telles conditions devrait mener à un changement de cap mondial fondé sur le principe de précaution. » – Kang Hao Cheong

Pour relever ce défi, l’humanité devra entreprendre des transformations majeures en se basant sur nos connaissances en biologie et sur la compréhension des systèmes complexes qui interagissent les uns avec les autres.

Outre les transformations politiques, sociales, et culturelles qu’ils devront réaliser, les humains devront aussi revoir la relation qu’ils entretiennent avec la planète, une relation que les chercheurs qualifient de maligne et pathologique .

« Nous devrons construire des institutions durables et revoir nos comportements sociaux pour qu’ils s’inspirent de la vie, plutôt que de vivre dans des systèmes qui défient les principes d’un état vivant », affirme Michael Jones.

« Nous pensons qu’il est extrêmement urgent de comprendre les conditions systémiques qui ont mené à une telle pandémie. » – Extrait de leurs travaux

« Il faut comprendre pourquoi ces conditions doivent être modifiées afin de prévenir des événements semblables encore plus graves, plus complexes et qui pourrait menace la survie même de l’humanité », concluent les chercheurs.

MA CONCLUSION

Ces chercheurs ont certainement mis de côté  le message de la Georgia Guidestone qui veut ramener l’humanité à une population de 500 millions d’habitants!

…ou bien ,ils  connaissent trop bien  ce projet illuminati!

Il est possible ,mais j’espère que non,que ce projet de dépopulation de la Terre soit très avancé ,plus avancé qu’on ne le pense  et qu’après la période actuelle de « pandémie manigancée  » nous allons être placé devans  deux choix: survivre en  esclave obéissant ou …être pret à mourir l’arme à la main pour conquérir notre liberté!

J’ai choisi de me battre…et vous?

Orson Wells disait jadis que l’on pouvait faire  inverser de mauvaises prédictions sur l’avenir de l’Humanité en prenant de bonnes décisions à temps!Il disait cela en faisant référence aux prophéties de Nostradamus!

Aussi je suis certain qu’avec un peu de courage et d’unité entre nous ,nous pouvons abolir le Nouvel Ordre Mondial illuminati ,détruire la puissance des Triades Chinoises et commencer un nouvel âge d’or….une Ère Nouvelle pour toute l’humanité!

Nous sommes déjà ,mais nous deviendrons davantage les Héritiers de l’Ère Nouvelle!

 

 

 

 

 

 

Ebola en RDC: Plus de 3.000 cas de contamination, 2.231 morts…la pandémie est hors de contrôle

Sujet d’intérêt prioritaire pour certaines armées désirant se payer une arme bactériologique  peu dispendieuse,les virus d’Ebola est devenu une pandémie depuis le passage du Dr Arthur Porter,au Sierra Leone,il y a quelques années!

Arthur Porter aurait travaillé,ainsi donc,dans le programme Illuminati de Dépopulation Mondiale!

Une aubaine pour cette secte d’exterminateurs!

 

 

Du personnel sanitaire transporte le cercueil d’une victime d’Ebola le 16 mai 2019 à Butembo, dans l’est de la RDC.

Plus de trois mille cas de contamination à la maladie à virus Ebola ont été enregistrés en République démocratique du Congo où l’épidémie de fièvre hémorragique a déjà tué plus de deux mille personnes depuis août 2018, ont indiqué dimanche les autorités sanitaires.

Depuis le début de l’épidémie, le cumul des cas est de 3.373, avec un total de 2.231 décès, selon le dernier décompte du Comité multisectoriel de la riposte à l’épidémie (CMRE) daté de samedi.

La RDC lutte contre une épidémie de la maladie à virus Ebola déclarée le 1er août 2018. Les provinces troublées du Nord-Kivu et de l’Ituri, dans l’est, sont les plus touchées.  

Les autorités sanitaires indiquent par ailleurs que « 341 cas suspects sont en cours d’investigation ».

Les actions de lutte contre la maladie sont régulièrement perturbées en raison d’insécurité causée par la présence de nombreuses milices dans les zones touchées. Des membres des équipes anti-Ebola ont été tués ou blessés dans des attaques armées dans le Nord-Kivu et en Ituri.

Les installations anti-Ebola sont aussi la cible d’attaques dans ces régions, en proie à des violences depuis deux décennies.

Depuis novembre, plus de 200 civils ont été tués dans cette zone dans des tueries attribuées au groupe armé d’origine ougandaise des ADF (Forces démocratiques alliées).

L’actuelle épidémie d’Ebola est la dixième sur le sol congolais depuis 1976 et la deuxième la plus grave de l’histoire après celle qui a fait quelque 11.000 morts en Afrique de l’Ouest en 2014.

Ebola en RDC : un an d’épidémie dans le Nord-Est du pays

La sécurité des médecins,infirmiers et personnes soignantes est fondamentale dans la poursuite des traitements en cours des malades.

« La frontière n’était pas fermée. Il s’agissait d’un malentendu », a tweeté ce jeudi midi un responsable du gouvernement rwandais. Entre Gisenyi au Rwanda et Goma en RDC, les deux postes-frontières de Grande barrière et Petite barrière étaient pourtant fermés ce jeudi matin. A Goma où un troisième cas d’Ebola a été confirmé. Cette dixième épidémie de l’histoire du Congo est déclarée depuis un an jour pour jour. Avec plus de 1800 morts, elle est aujourd’hui la plus meurtrière que le pays ait connue.

 

Qui s’en souvient ? La précédente épidémie venait à peine de s’éteindre. Le 24 juillet 2018, les autorités congolaises avaient sonné la fin de l’alerte dans le Nord-Ouest du pays. La province de l’Equateur venait de vivre l’une de ses plus importantes épidémies d’Ebola sur les neuf que la RDC avait alors connues. En près de trois mois, il y avait eu 54 malades, dont 33 succomberont.

Une semaine après, le 1er août 2018, c’est dans l’Est que l’épidémie est déclarée. Un an plus tard, les cas continuent de se multiplier. La barre des 1800 morts a été franchie. “Nous n’avons jamais eu autant de cas positifs”, nous disait le 18 juillet 2019 le responsable régional de l’ONG ALIMA, alors que l’Organisation mondiale de la santé venait de déclarer l’état d’urgence sanitaire mondiale.

Les autorités congolaises ont lancé leur riposte lundi en plaçant en quarantaine une zone d’une centaine de kilomètres carrés dans le secteur concerné près de la ville de Boende, à environ 800 km au nord-est de Kinshasa.

Comprendre le virus Ebola

Le virus Ebola tire son nom d’une rivière du nord de l’actuelle République démocratique du Congo, où il a été repéré pour la première fois en 1976. Son taux de mortalité peut aller de 25 à 90%. 
ICe virus de la famille des filoviridae (filovirus) se transmet par contact direct avec le sang, les liquides biologiques ou les tissus de personnes ou d’animaux infectés. Les rituels funéraires, au cours desquels les parents et amis sont en contact direct avec le corps du défunt, jouent un rôle important dans la transmission. 

Il n’y a pas de vaccin homologué contre la fièvre Ebola, qui se manifeste par des hémorragies, des vomissements et des diarrhées. 
La plus importante épidémie d’Ebola a fait près de 11.000 morts en Afrique de l’Ouest en 2014 (Liberia, Sierra Leone et Guinée). Celle qui frappe le Nord-Est de la RDC depuis un an est la deuxième plus importante.

Principalement touchées, les zones de Beni et de Butembo dans le nord-Kivu. Nouveau cataclysme pour une région déjà en proie aux violences de mouvements rebelles. Beni est fréquemment le théâtre de massacres perpétrés par les ADF-Nalu, une rébellion ougandaise qui se dit liée à l’État islamique.

À la crise sécuritaire viennent s’ajouter les crispations pré-électorales au courant de l’année 2018. Dans ces conditions, la lutte contre la contagion devient impossible. “Il n’est pas possible d’arrêter Ebola dans une telle situation de tensions au niveau communautaire, de manipulations politiques. La situation sur le terrain n’est pas assez calme pour faire les opérations de santé publique”, déclare le docteur Mike Ryan, en charge des situations d’urgences sanitaires pour l’Organisation mondiale de la santé (OMS). 

L’inquiétude monte d’un cran ce mercredi 31 juillet. À Goma, capitale du Nord-Kivu, deux millions d’habitants, un deuxième malade décède. Quelques heures plus tard, un troisième cas est détecté, toujours à Goma. Le premier cas avait été découvert le 14 juillet. Les deux personnes n’avaient, semble-t-il, aucun lien.
La crise Ebola fera également une victime politique. Courant juillet 2019, le ministre de la Santé, Oly Ilunga claque la porte du gouvernement. Il s’estime désavoué par le président Tshisekedi qui a décidé de prendre en personne le contrôle des opérations contre l’épidémie. Au coeur de la discorde, l’introduction d’un deuxième vaccin à laquelle le ministre Ilunga est opposé.


EN RAPPEL:

Arthur Porter…blanchit de l’argent pour le compte du crime organisé dans les Caraïbes!
Sa mise en scène aura protégé Justin Trudeau et aidera lors des élections ,en 2015!

Le principal responsable criminel impuni dans cette affaire de pandémie,est le franc maçon de haut grade du rite écossais Arthur Porter.Ce criminel avait réussi à détourner plusieurs millions de dollars du gouvernement de Sierra Leone afin de développer une arme bactériologique à partir du virus d’ébola pour le compte d »une université américaine qui était en contrat avec la CIA.C’est lui qui intronisera Philippe Couillard auprès de cette loge franc maçonne (liée aux illuminati) qui deviendra premier-ministre du Québec.

En juin 2015,il se fera passer pour mort à la prison de Panama  ou il avait été  incarcéré antérieurement pour fraude et crimes divers.Des émissaires du gouvernement libéral du Québec se feront montrer son « pseudo cadavre  » à plus de 20 pieds de distance.Le lendemain ,on affirmera que le cadavre d’Arthur Porter a été incinéré…par erreur!Durant la nuit du 30 juin au 1er juillet 2015,de nombreux témoins ont aperçu une voiture  démarrer à toute vitesse tard dans la nuit,près de la prison ou il était détenu.On suppose qu’un complot bien ma  par le crime organisé l’a fait évader de là!

En 2016,j’ai reçu un avis qu’Arthur Porter aurait été aperçu sortant d’un immeuble aux îles Turks & Caïcos!

S’il aurait fallu qu’on puisse  amener Arthur Porter devant la Justice québécoise et canadienne,en 2015,les révélations qu’il aurait pu faire, auraient sali Stephen Harper,Justin Trudeau et Philippe Couillard …ce qui aurait ébranlé le système politique néolibéral et néoconservateur au Canada et au Québec!


 

EN CONCLUSION

 

Le Pr Peter Piot, codécouvreur du virus Ebola en 1976, a estimé que tout était réuni pour que l’épidémie « s’emballe » et regretté « la lenteur extraordinaire » de la riposte de l’OMS.

Le virus Ebola: Faits et chiffres

Le virus d’Ebola lui-même agrandi au microscope électronique.

 

 

  • Le virus se transmet au contact direct de personnes ou d’animaux infectés
  • Il n’existe à ce jour aucun vaccin contre Ebola
  • Les taux de mortalité sont très élevés

 

Le virus Ebola a été identifié en Afrique centrale, suite à une épidémie qui a affecté le Soudan et la RDC, dans les années 70.

Origine et Etymologie

Les deux premières épidémies de fièvre Ebola recensées par l’OMS datent de 1976, la première dans la localité de Nzara, au Soudan, et la deuxième, à Yambuku, en République démocratique du Congo.

L’épidémie de Yambuku est survenue dans un village situé près du fleuve Ebola, d’où le nom de la maladie.

Transmission

Le virus se transmet au contact du sang, des secrétions, des organes ou d’autres fluides corporels d’animaux infectés. En Afrique, les infections surviennent au contact de chimpanzés infectés, de gorilles, de chauves-souris frugivores, de singes, d’antilopes de forêt et de porcs-épics morts ou malades ou dans la forêt tropicale.

La propagation s’effectue ensuite entre les êtres humains, suite à des contacts directs, à travers la peau ou des muqueuses, avec le sang, les secrétions, les organes ou les liquides biologiques des personnes infectées et le contact direct avec des environnements infectés par ces fluides.

 

Les rituels funéraires, où parents et amis sont en contact direct avec le corps de la personne décédée peuvent également jouer un rôle dans la transmission du virus Ebola. Les hommes qui ont guéri de la maladie peuvent transmettre le virus par le biais de leur sperme jusqu’à sept semaines après la guérison de la maladie.

Symptômes

Ebola est une maladie virale aiguë sévère. Ses symptômes comprennent l’apparition soudaine de fièvre, une faiblesse intense, des douleurs musculaires, des maux de tête et de gorge.

Elle est suivie de vomissements, de la diarrhée, des éruptions cutanées, de l’altération de la fonction rénale et hépatique. Les gens sont contagieux tant que leur sang et les sécrétions contiennent le virus.

Le virus Ebola a été isolé à partir du sperme 61 jours après l’apparition de la maladie chez un homme qui a été infecté dans un laboratoire. La période d’incubation, c’est-à-dire, l’intervalle de temps à partir de l’infection par le virus à l’apparition des symptômes, est de 2 à 21 jours.

Prévention et traitement

Il n’existe à ce jour aucun vaccin homologué contre la maladie. Cependant, plusieurs candidats vaccins sont en phase d’essais, mais aucun n’est disponible pour un usage clinique.

Les malades sont traités dans des unités de soins intensifs et reçoivent des soins censés stimuler leur défense immunitaire.

En Guinée, Médecins Sans Frontières a atteint des taux de guérison de l’ordre de 75 % dans certains de ses centres de soins intensifs, ce qui, de l’avis des spécialistes, est un chiffre exceptionnel dans l’histoire de la maladie.

 

 

 

 

 

 

Alerte pandémie mondiale:Une nouvelle souche mortelle de la grippe aviaire menace de devenir une pandémie mondiale, préviennent les responsables de la santé

Une nouvelle souche mortelle de la grippe aviaire menace de devenir une pandémie mondiale, préviennent les responsables de la santé.

Jonathan Van-Tam, directeur médical adjoint de la Grande-Bretagne, estime que cette souche, qui a déjà tué un tiers des patients infectés en Chine, pourrait être la maladieredoutée X , un agent pathogène inconnu qui pourrait provoquer une crise sanitaire internationale.

Le virus de la grippe aviaire H7N9 a infecté 1 600 personnes et en a tué plus de 600 en Chine depuis octobre 2016. La plupart des personnes infectées sont entrées en contact avec de la volaille contaminée, a annoncé l’ Organisation mondiale de la santé .

Le virus n’a pas infecté les humains avant 2013, quand il a été découvert en Chine. Après des épidémies sporadiques sur cinq ans, sa propagation a atteint une masse critique: les Centers for Disease Control ont déclaré qu’il a «le plus grand potentiel de provoquer une pandémie» de tous les virus humains.

Dans certains pays asiatiques,l’hygiène n’est pas comparable a celle de l’occident et les risques d’épidémie sont grands.

EN COMPLÉMENT

Virus de la grippe aviaire de la lignée asiatique A (H7N9)

Grippe A H7N9 vu au microscope électronique. Les deux filaments et les sphères sont observés sur cette photo.

Contexte

Des infections humaines avec un virus de la grippe aviaire A (H7N9) de la lignée asiatique («H7N9 asiatique») ont été signalées pour la première fois en Chine en mars 2013. Des épidémies annuelles d’infections humaines sporadiques avec des virus H7N9 asiatiques ont été signalées en Chine. La Chine connaît actuellement sa 6ème épidémie d’infections humaines H7N9 en Asie. Depuis le 1er octobre 2017, il n’y a eu qu’une seule infection humaine signalée.

Au cours de la cinquième épidémie, du 1er octobre 2016 au 30 septembre 2017, l’Organisation mondiale de la santé (OMS) a signalé 766 cas d’infection humaine par le virus asiatique H7N9, ce qui en fait la plus grande épidémie de H7N9 à ce jour. Au 7 décembre 2017, le nombre cumulé total d’infections humaines avec la lignée asiatique H7N9 déclarées par l’OMS depuis 2013 est de 1565. Au cours des épidémies 1 à 5, environ 39% des personnes confirmées par l’infection par le virus H7N9 asiatique sont décédées.

Épidémiologie

La plupart des infections humaines par des virus de l’influenza aviaire, y compris le virus asiatique H7N9, surviennent après une exposition à de la volaille infectée ou à des environnements contaminés. Les virus H7N9 asiatiques continuent de circuler dans la volaille en Chine. La plupart des patients ayant une infection par le virus H7N9 ont eu une maladie respiratoire grave (p. Ex. Une pneumonie). De rares cas de propagation limitée de ce virus de personne à personne ont été identifiés en Chine, mais il n’y a pas de preuve de propagation soutenue de personne à personne. Certaines infections humaines avec le virus H7N9 asiatique ont été signalées en dehors de la Chine continentale, à Hong Kong ou à Macao, mais toutes ces infections sont survenues chez des personnes ayant voyagé en Chine avant d’être malades. Les virus H7N9 asiatiques n’ont pas été détectés chez les personnes ou les oiseaux aux États-Unis.

Évaluation des risques CDC

Alors que le risque actuel pour la santé publique posé par le virus H7N9 asiatique est faible, le potentiel pandémique de ce virus est inquiétant. Les virus de la grippe changent constamment et il est possible que ce virus puisse se propager facilement et durablement parmi les humains, déclenchant une épidémie mondiale de maladie (pandémie). En fait, parmi les nouveaux virus de la grippe A qui préoccupent particulièrement la santé publique, le virus de la lignée asiatique H7N9 est considéré par l’ outil d’évaluation du risque de grippe  comme le plus susceptible de causer une pandémie et de présenter le plus grand risque de sévère. impact sur la santé publique si elle devait assurer une transmission interhumaine durable.

Il est probable que des infections humaines sporadiques avec le virus H7N9 asiatique associées à une exposition à de la volaille infectée continueront à se produire en Chine. Il existe également une possibilité de propagation du virus asiatique H7N9 à la volaille dans les pays voisins et des infections humaines associées à l’exposition de la volaille peuvent être détectées dans les pays voisins. Les infections à H7N9 asiatiques peuvent continuer à être détectées chez les voyageurs revenant de pays où ce virus est présent. Cependant, tant qu’il n’y a pas de preuve d’une propagation continue de personne à personne, l’évaluation des risques pour la santé publique ne changerait pas substantiellement.

Réponse du CDC

Le gouvernement des États-Unis appuie la surveillance internationale des virus grippaux saisonniers et nouveaux chez les humains, y compris le virus H7N9 asiatique. Le CDC collabore avec des laboratoires cliniques et de santé publique situés dans les 50 États américains et dans plus de 100 pays. Aux États-Unis, les laboratoires de santé publique effectuent régulièrement des tests de détection de la grippe sur des échantillons respiratoires humains et rapportent chaque semaine ces résultats aux CDC. Tout nouveau virus grippal A suspecté, y compris un virus H7N9 asiatique, détecté dans un laboratoire de santé publique américain, est envoyé aux CDC pour des tests de confirmation.

Le CDC suit de près la situation en Asie du H7N9 et coordonne avec des partenaires nationaux et internationaux. Le CDC prend des mesures de préparation de routine pour contrer les menaces pandémiques lorsqu’elles sont identifiées, y compris le développement de virus vaccinaux candidats  (CVV) à utiliser pour la production de vaccins en cas de besoin de vaccin.CDC a préparé une évaluation des risques du virus H7N9 asiatique. D’autres activités de préparation de routine incluent l’examen continu de nouveaux virus et séquences de virus pour évaluer leurs propriétés génétiques et antigéniques ainsi que leur susceptibilité antivirale. Cette information informe un processus continu d’évaluation des risques , qui guide d’autres actions.Le CDC a également publié des lignes directrices à l’intention des cliniciens et des autorités de santé publique  des États-Unis, ainsi que des informations pour les personnes se rendant  en Chine. Le CDC fournira des informations à jour dès qu’elles seront disponibles.


Une femme passe devant des poulets à vendre dans un marché de Dakar, au Sénégal, le 4 mai. L’Organisation mondiale de la santé (OMS) a averti qu’un nouveau virus transmis par des volailles contaminées pourrait causer la prochaine épidémie mondiale
Diagramme d’origine pour l’éducation des masses

Les cas de propagation de personne à personne sont extrêmement rares jusqu’à présent, mais le CDC a averti qu’il se propagerait probablement à d’autres pays si les voyageurs entrent en contact avec des volailles porteuses de l’infection en Chine. Les organisations des Nations Unies pour l’alimentation et l’agriculture ont déjà détecté trois cas importés, un en Malaisie et deux au Canada en 2018.

Aucun cas n’a été signalé aux États-Unis, mais on ne sait pas à quelle vitesse le virus se propage. Van-Tam a déclaré à The Telegraph que H7N9 a un taux de mortalité plus élevé que tout autre virus causant une pandémie.

La République démocratique du Congo a signalé trois foyers de grippe aviaire hautement pathogène H5 chez des volailles dans la province d’Ituri, dans le nord-est du pays, a annoncé mercredi l’Organisation mondiale de la santé animale (OIE).
Le virus a été détecté chez des canards et des poules dans trois villages près de la frontière avec l’Ouganda, a indiqué l’OIE, citant un rapport du ministère congolais de l’Agriculture.
La souche H5N8 de la grippe aviaire était présente en Ouganda, a ajouté l’OIE, sans préciser quel type de grippe aviaire H5 avait été détecté au Congo.Cette situation pourrait faciliter énormément la progression du virus A h5n9 en Afrique qui deviendrait incontrôlable.

AUTRES FAITS

Un patient H7N9 de la grippe aviaire soigné dans un hôpital de Wuhan, dans la province du Hubei en Chine centrale

TAIPEI – Un résident de Taïwan est mort du virus de la grippe aviaire H7N9 lundi soir, 23 jours après la confirmation de l’infection, a annoncé mardi l’agence locale de contrôle des maladies.

L’homme, 69 ans, a contracté le virus le 4 février et est mort à l’hôpital le 27 février après l’échec du traitement médical, selon l’agence.

L’homme, originaire de Kaohsiung, s’est d’abord senti malade le 23 janvier alors qu’il visitait la province du Guangdong pour affaires. Il est retourné à Taïwan le 25 janvier mais a été testé négatif à la grippe aviaire dans un hôpital.

Le patient a ressenti des symptômes tels que de la fièvre, de la toux et des difficultés respiratoires le 29 janvier et a reçu un diagnostic de pneumonie. Il a été hospitalisé le 1er février et confirmé avoir le virus de la grippe aviaire trois jours plus tard.

L’homme a été le premier résident de Taiwan et la deuxième personne à mourir de H7N9 sur l’île, où un total de cinq cas humains H7N9 ont été confirmés, selon les médias locaux.

La première personne à mourir du virus à Taiwan était un résident du continent. PNA / Xinhua

Alors que les épidémies se poursuivent en Europe, cette carte montre les 14 pays où la souche H5N8 a été trouvée chez les oiseaux sauvages morts au cours du mois dernier.

Depuis le 3 novembre 2017, des cas ont été confirmés en France, Allemagne, Autriche, Pays-Bas, Danemark, Finlande, Suède, Croatie, Suisse, Hongrie, Pologne, Roumanie, Ukraine et Russie.

La série d’éclosions a touché les oiseaux de ferme ainsi que la sauvagine sauvage, comme les canards touffus, les pochards communs, les goélands, les oies sauvages et les cygnes sauvages. 

Aucun cas de grippe aviaire n’a encore été découvert au Royaume-Uni et Public Health England affirme que la menace pour la santé humaine reste «très faible». 

Mais M. Gibbens a prévenu: « Nous surveillons de près la situation à travers l’Europe et avons intensifié la surveillance en réponse au risque accru.

Il y a quelques jours dans une élevage de canards en Allemagne…le virus A h5n9 détecté!

«Par mesure de précaution, et pour laisser du temps aux éleveurs de volailles et d’oiseaux captifs pour mettre en place des mesures de biosécurité appropriées, nous avons déclaré une zone de prévention de 30 jours pour réduire le risque d’infection par les oiseaux sauvages.

«Même lorsque les oiseaux sont hébergés, il existe un risque d’infection qui doit s’accompagner d’une bonne biosécurité – par exemple, désinfecter les vêtements et l’équipement, réduire le mouvement des volailles et minimiser les contacts entre la volaille et les oiseaux sauvages.

Si la grippe aviaire est détectée dans une ferme, l’ensemble du troupeau doit être réformé afin de prévenir la propagation de la maladie.

Il n’y a actuellement aucun projet d’imposer une zone de prévention en Irlande du Nord, mais il est en place au Pays de Galles, en Écosse et en Angleterre. 

 

Un agrandissement et une coloration du virus!

 


MA CONCLUSION SUR CETTE MENACE SÉRIEUSE

Arthur Porter ,le brillant médecin franc maçon du 33 ième dégré a travaillé en Afrique a l’élaboration d’une arme bactériologique a partir du virus ebola. Il s’est fait passé pour mort en 2015 avec l’appui de ses bons amis libéraux,au Québec. Il travaille actuellement aux ile Caymans.

J’estime fort sérieusement qu’il n’y a plus aucun doute dans mon esprit que le programme mondial de dépopulation humaine est en marche…et il fonctionne très bien!

Les fondations des familles oligarchiques financent un programme criminel de dépopulation mondiale

« La fondation Rockefeller est le premier sponsor des relations publiques pour le programme de dépopulation
drastique des Nations Unies. Les preuves en possession d’un nombre croissant de chercheurs en Amérique, Angleterre et Allemagne, démontrent que la Fondation et ses associés industriels, médicaux et politiques,
ont organisé le programme de meurtres de masse de l’Allemagne nazie », écrit Anton Chaïtkin.
« D’autres milliardaires ont commencé à financer des parties du mouvement eugéniste.
Bill Gates, l’homme le plus riche du pays, et George Soros, le financier,
ont commencé à mettre leur argent dans des projets de contrôle démographique »,
écrit John Cabanaugh-O’Keefe dans The Roots of Racism and Abortion: An Exploration of Eugenics.
« Les firmes pharmaceutiques ont fourni des fonds et des lobbyistes à Washington pour exécuter des tâches eugénistes. Aujourd’hui, les firmes de biotechnologie rejoignent ce groupe. […] Les sommes apportées en faveur des programmes eugénistes au début du XXIe siècle sont énormes. […] Ted Turner est devenu milliardaire en développant la chaîne de TV CNN. Il donne un milliard de dollars aux Nations Unies,
distribués au compte-gouttes sur 10 ans par l’intermédiaire de sa fondation.
Une grande partie de cet argent est destiné au contrôle démographique.
Warren Buffet veut créer une fondation qui emploiera son argent après sa mort pour réaliser deux objectifs :
la paix mondiale et le contrôle démographique. »

Ce sont les mêmes David Rockefeller Sr, Bill Gates, George Soros, Ted Turner, Warren Buffet,
qui avec le maire de New York Michael Bloomberg, Eli Broad et Oprah Winfrey,
se sont réunis au mois de mai 2009, peu avant la rencontre du Groupe Bilderberg dont ils font partie,
pour envisager la façon dont leur richesse pourrait être utilisée pour ralentir la croissance de la population mondiale.

le 1er juillet 2009, la Fondation Rockefeller annonçait qu’elle lançait des initiatives pour
« booster les systèmes de santé en Afrique et en Asie »… l’accent sera mis sur la vaccination !

Cette brève analyse historique de l’OMS a montré que, dès le lendemain de la Seconde Guerre mondiale,
les familles oligarchiques à la tête des cartels industriels américains et européens,
ont mis en œuvre des « outils politiques » qui, finalement, leur permettent de régner sur le monde.
Il y a bien sûr l’OMS, mais encore l’OMC, le FMI, la FAO, la Banque mondiale, l’OTAN et… le Codex Alimentarius.

Nous avons pourtant été averti et combien de gens sont encore endormi?