Le Québec sous la gérance du crime organisé:L’immigration divise les chefs devant de jeunes électeurs québécois

Économie, immigration, environnement et éducation : les quatre chefs des principaux partis, interrogés par de jeunes électeurs, ont clarifié leur position lors d’un événement organisé par l’Institut du Nouveau Monde (INM), vendredi soir,17 août 2018, moins d’une semaine avant le lancement officiel de la campagne électorale arrangée d’avance sous les bons soins des médias contrôlés par de grandes familles financières,au Québec.

Sur un ton majoritairement amical et détendu, les chefs du Parti libéral du Québec (PLQ), Philippe Couillard, de la Coalition avenir Québec (CAQ), François Legault, du Parti québécois (PQ), Jean-François Lisée, et la coporte-parole de Québec solidaire (QS), Manon Massé ont répondu à 20 questions, sélectionnées parmi celles rédigées par 400 jeunes électeurs.

L’Institut du Nouveau Monde n’aura invité que 4 représentants de partis politiques néolibéraux et sur-médiatisés sur plus de 20 partis politiques inscrits au Québec.Les urnes doivent être prêtes ,bien dissimulées des yeux du public qui croit que voter va leur donner un changement!

Devant 700 personnes, réunies dans un amphithéâtre de l’Université Concordia (le château-fort de la gauche communiste et des Antifa,au Québec), Manon Massé, Jean-François Lisée et François Legault ont notamment confirmé leur volonté de réformer le mode actuel de scrutin, en instaurant une dose de proportionnelle.

Cette « injustice » du système uninominal à un tour doit cesser, a clamé Manon Massé, avant d’être enlacée par le chef de la CAQ, tandis que Jean-François Lisée levait ses deux pouces(un  message maçonnique connu), un grand sourire aux lèvres.

Manon Massé a ensuite invité « les boys » à « convaincre Philippe ». Ce dernier, qui n’est pas partisan de cette initiative , n’a pas bronché.

 


EN COMPLÉMENT

LES DEMANDES ÉTUDIANTES

 

Moins d’une semaine avant le lancement officiel de la campagne électorale, les jeunes demandent aux chefs politiques québécois de se positionner sur la rémunération des stages et la santé psychologique de leurs pairs.

Guillaume Lecorps, président de l’Union étudiante du Québec (UEQ), qui représente 79 000 étudiants dans la province, estime que les chefs des partis doivent prendre des engagements forts dans différents dossiers que les jeunes jugent primordiaux.

En entrevue à RDI matin, il est revenu sur le débat de vendredi soir, organisé par l’Institut du Nouveau Monde (INM) et Le Devoir, dans un amphithéâtre de l’Université Concordia.

Le président de l’UEQ s’est dit très satisfait de l’échange qu’ont eu Philippe Couillard, du Parti libéral du Québec (PLQ), François Legault, de la Coalition avenir Québec (CAQ), Jean-François Lisée, du Parti québécois (PQ), et Manon Massé, de Québec solidaire (QS).

Les partis nous ont largement dit que l’éducation devait être la priorité. Maintenant, ça va être le temps de les voir passer de la parole aux actes.

Guillaume Lecorps, président de l’Union étudiante du Québec (UEQ)
Guillaume Lecorps, président de l'Union étudiante du Québec.

Guillaume Lecorps, président de l’Union étudiante du Québec, plaide pour une rémunération des stages offerts aux étudiants.  Photo : Union étudiante du Québec

Guillaume Lecorps fait notamment référence à la rémunération des stages et à l’offre de meilleurs services aux étudiants dans un souci d’équité. Pour le président de l’organisme, la compensation financière des stages permettrait de « donner un peu de souffle » aux jeunes.

L’autre dossier que l’UEQ veut voir aborder est celui de la santé psychologique étudiante. M. Lecorps se félicite des positions qu’ont prises les quatre chefs.

« Ils semblent vouloir développer une stratégie panquébécoise pour prévenir et combattre les problèmes de santé psychologique des étudiants », a détaillé M. Lecorps avant de citer une étude de l’Université de Montréal qui rapporte qu’un étudiant sur 10 a des idées suicidaires.

Désintérêt des jeunes pour la politique

Depuis le début des années 1980, le taux de participation des jeunes est en déclin constant. M. Lecorps estime qu’il est de la responsabilité des chefs des partis d’intéresser les jeunes aux enjeux électoraux.

Je leur conseille d’écouter la jeunesse et de parler d’enjeux qui sont chers aux étudiants.

Guillaume Lecorps, président de l’Union étudiante du Québec (UEQ)

 

Un test de français qui divise

Cette bonne humeur a cependant disparu lorsque François Legault a évoqué sa volonté d’instaurer un test de français pour les nouveaux arrivants, notamment les adultes.

Pour le chef de la CAQ, au bout de trois ans, les immigrants doivent « réussir » un tel exercice sous peine de se retrouver « dans une situation illégale ».

Ces propos lui ont valu des sifflets dans la salle, alors que le patron de la CAQ a indiqué qu’il était possible de « négocier » avec le fédéral, seul gouvernement responsable des expulsions.

Un peu plus tard, Philippe Couillard a souligné le « besoin » pour la province d’accueillir de « nouveaux arrivants » afin de pourvoir de nombreux postes. « Il faut aller plus loin dans leur intégration à la société », a-t-il lancé.

« La meilleure façon d’intégrer une personne, ce n’est pas de l’éloigner six mois dans une salle de classe », a-t-il complété, en ajoutant qu’il valait mieux leur offrir un emploi.

Pas de baisse d’impôts pour le PQ

L’éducation a également été au cœur de ce dialogue, où les chefs ne pouvaient se répondre directement.

Jean-François Lisée a promis de ne pas baisser les taxes et les impôts afin de financer le service public, tout comme le système de santé.

« On aimerait ça promettre le beurre, l’argent du beurre et le sourire de la crémaillère, mais on ne le fera pas », a-t-il clamé, avec le sourire, en détaillant son vœu d’offrir la gratuité scolaire aux personnes à « revenus modestes ».

Le chef du PQ, qui aimerait des écoles « belles, éclairées et conviviales », a promis qu’en cas de victoire le 1er octobre, il proposera un projet de loi qui interdira de « réduire les budgets de l’éducation en bas de sa progression normale », soit l’inflation, a-t-il précisé.

Questionné sur un thème semblable, François Legault a confirmé son intention d’offrir la maternelle dès 4 ans . Pour l’égalité des chances, a-t-il dit, « on doit agir tôt ».

Pour récupérer du budget, a-t-il insisté, il souhaite « éliminer une partie de la bureaucratie, le gaspillage et les bonis » distribuées dans « certaines sociétés d’État ».

QS défend l’environnement

À plusieurs reprises, Manon Massé a mis en avant la défense primordiale de l’environnement.

Dès son discours d’ouverture, elle a affirmé qu’« on est en train de scrapper notre planète », avant de s’adresser au jeune public. « Et vous êtes ceux qui vont vivre avec ces conséquences », a-t-elle mentionné.

De son côté, Philippe Couillard a défendu le bilan en santé de son équipe en place depuis 2014.

Il a aussi promis une « stratégie étoffée, chiffrée et avec des moyens » pour lutter contre « la pression » subie par les jeunes dans les milieux universitaires.

Un poids démographique important

Ce dialogue a été organisé par l’Institut du Nouveau Monde (INM) dans le but de pousser les jeunes électeurs de 18 à 34 ans à aller voter.

Cette catégorie d’âge pourrait jouer un rôle important cette année, puisqu’elle représente plus du quart de la population en âge de voter.

Le taux de participation des 18-34 reste cependant fluctuant et surtout faible, élection après élection.

En 2014, 56 % des 18-24 ans et 60 % des 25-34 ans sont allés voter. Le taux de participation global était de 71 % lors de ces élections remportées par Philippe Couillard.

En 2008, ce taux était de 36 % pour les moins de 24 ans et de 42 % chez les 25-34 ans, avec une participation globale de 57,4 %.

Le Parti vert du Québec en colère

Une vingtaine de militants du Parti vert du Québec ont manifesté mardi soir devant les locaux de l’Université Concordia. Plusieurs pancartes ont été brandies afin de dénoncer leur absence à cet événement, vue comme une « trahison de la démocratie ».

« C’est antidémocratique, a clamé Alex Tyrrell, le chef du parti, âgé de 30 ans. Les trois quarts de nos candidats ont moins de 35 ans, c’est ridicule de nous exclure. Les organisateurs privilégient le statu quo en donnant une tribune à des gens qui sont déjà médiatisés. »

Le Parti Vert du Québec vient d’apprendre que la  pseudo-démocratie au Québec est contrôlée par les médias et la famille Desmarais,entre-autres! 

Des représentants du Parti communiste révolutionnaire étaient également présents.

EN CONCLUSION

Cette élection confirme que si voter pouvait changer quelque chose au Québec (et au Canada) on abolirait immédiatement le droit de voter a tout le monde,car cela menacerait les intérêts  du 1 % et du Nouvel Ordre Mondial.

Au Québec,dernière colonie survivante de l’Empire Britannique,ce Quebec exclu du Rapatriement de la Constitution Canadienne en 1982,,ce Québec envahi et noyé  par l’immigration massive permise par le  franc maçon Justin Trudeau  et ce Québec  endormi par la fausse richesse de l’économie actuelle qui entre en crise,ce Québec que j’aime, semble accepter son sort en mouton qu’on mène a l’abattoir.

Le réveil sera brutal  pour la jeunesse québécoise qui va souffrir pendant des décennies a venir,de se laisser  mentir et manipuler ainsi par les médias corrompus,les 4 partis néolibéraux de l’Assemblée Nationale et ses très Hauts Fonctionnaires nommés a vie.

Peu de gens semblent avoir compris,en 2018 que nous sommes rendus au point de non-retour social,politique et économique prédit par un certain René Lévesque,après le premier référendum.

Non-seulement,la pensée politique du Parti Québécois est lessivée,mais ses chefs actuels applaudissent  les chefs bolchéviques  de Québec Solidaire pour se donner un mini prestige désuet.

Seule va rester la Désobéissance Civile alliée au courage d’un peuple qui va apprendre a se tenir debout pour vaincre,abolir et changer ce système mensonger d’oppression contrôlée!

En 2018,plus de 70 ans après son message lancé,le Manifeste du Refus Global garde tout son sens:

                            « Vous avez pas fini de mourir,bande de caves! »

*Je vous invite a joindre les rangs du Mouvement Québécois de Désobéissance Civile : lien Facebook 

*Nous  préparons aussi un nouveau parti politique pour prendre le pouvoir quand le système va s’écrouler :lien Facebook de l’Ère Nouvelle du Québec

 

 

Le Québec sous la gérance du crime organisé:La manipulation des urnes électorales

Depuis 1840, il y a cette guerre démoralisante et
dissolvante de la corruption, de l’achat des
consciences, du règne de toutes ces hontes qui
font renier la patrie et tomber un peuple.
– Charles-Joseph-Lévesque Lafrance, 1873

 

Rappelons nous des faits:

1. 1994-1995: La fabrique de citoyens

Dès l’élection du PQ en septembre 1994, l’appareil fédéral s’est accéléré pour délivrer un nombre record de certificats de citoyenneté: de 23 800 en 1993, le nombre a bondi à 40, 500 en 1994, puis à 43 850 en 1995, grimpant de 84% en deux ans.

Dans le mois précédant le vote, en octobre 1995, la bureaucratie fédérale a fait des miracles,  naturalisant 11 500 personnes en quatre semaines, un bond de 250% par rapport au mois précédent, de 300% par rapport au même mois de l’année précédente, de 440% par rapport au même mois de 1993.  Dans La Presse, en 1996, grâce à la loi d’accès à l’information et au recherchiste Ken Rubin, Chantal Hébert a mis au jour plusieurs notes de service fédérales internes qui témoignaient de l’effort « gigantesque », selon une de ses sources, mis en œuvre pour l’occasion.

Non content d’accélérer le traitement de demandes de naturalisations déjà déposées, Ottawa a ouvert la porte et fait franchir toutes les étapes à 3600 demandes nouvelles pendant le mois précédant la date finale d’inscription sur la liste électorale. Finalement, et c’est probablement la pièce à conviction la plus convaincante du caractère exceptionnel de l’événement : des fonctionnaires d’Immigration Canada furent obligés de travailler le samedi et le dimanche !

Une opération administrative ? Pas selon l’ancien directeur général du Parti libéral du Canada au Québec Benoît Corbeil : « Ce n’était pas difficile : plusieurs commissaires à l’immigration étaient liés au parti. »

2. 1995: Le vote illégal d’étudiants hors-Québec en 1995

De toutes les poursuites découlant du référendum de 1995, une seule s’est soldée par une condamnation : 58 étudiants non-résidents québécois de l’Université Bishop, à Lennoxville, ont été condamnés au printemps de 1998 pour avoir voté illégalement. Près de 400 ont été accusés. L’actuel premier ministre de l’Île-du-Prince-Édouard, Robert Ghiz, est parmi ceux qui ont voté. Il s’en est vanté.

3. 1995 et suivantes: L’illégalité et la destruction de preuve

Le Directeur général des élections a établi hors de tout doute que le camp du Non avait profité et disposé illégalement de sommes, provenant du fédéral, en 1995, s’élevant à 539 000 $. (Voir le rapport du DGE ici.)

Dans son livre sur Power Corporation, L’État Desmarais, Robin Philpot cite une source lui affirmant que 30 boîtes de documents sur le financement du camp du Non au référendum de 1995 ont été détruites.

4. 1997: Les enveloppes de cash circulant chez les Libéraux fédéraux

Marc-Yvan Côté: "Les enveloppes de cash étaient épaisses comme ça"

Marc-Yvan Côté: « Les enveloppes de cash étaient épaisses comme ça »

 

 

 

 

 

Le grand organisateur libéral et ancien ministre à Québec Marc-Yvan Côté a reconnu devant la commission  Gomery en 2005 qu’il avait reçu trois enveloppes contenant au total 120 000 dollars pour l’organisation électorale du Parti libéral du Canada en 1997, dans les 21 circonscriptions de l’Est du Québec qui étaient sous sa responsabilité. M. Côté dit avoir compté l’argent lui-même, avant de le remettre à des candidats libéraux, lors du lancement de la campagne à Shawinigan.

Détail amusant: Côté fut notamment ministre libéral du PLQ de la… réforme électorale !

5. 1998: Les votes achetés 10$ chacun dans Anjou pour le PLQ

La Cour supérieure a déclaré coupable un organisateur qui achetait pour 10$ chacun des votes allant au candidat libéral dans la circonscription d’Anjou lors de l’élection  de 1998.

Le PLQ a toujours plaidé l’ignorance d’une opération menée en faveur d’un de ses candidats (et fils d’un président du PLQ) même si le téléphone de l’organisateur reconnu coupable avait appelé 51 fois les locaux du PLQ pendant l’élection.

Il faut retenir de cet épisode, avéré, de fraude électorale en faveur du PLQ la nécessité d’importantes sommes d’argent comptant pour organiser la fraude. Or, des témoignages plus récents pointent dans la direction de sommes importantes dont on n’a toujours pas retrouvé la trace.

6. 1999: Le long refus du PLQ de réclamer l’identification des électeurs

Très longtemps, le PLQ s’est opposé mordicus à l’obligation, proposée par le Parti québécois, d’obliger les électeurs à s’identifier pour voter, en montrant soit un passeport, soit un permis de conduire ou une carte d’assurance-maladie. Leur opposition était totale dans l’année précédant le référendum de 1995.

Ce n’est qu’en 1999 qu’ils ont finalement cédé et permis au Québec de faire ce pas, pourtant essentiel pour la légitimité du processus électoral.

7. Jusqu’en 2012? : Un mystérieux montant de 428 000 $ introuvable au PLQ

La perquisition effectuée au quartier général du PLQ en juillet dernier — que Philippe Couillard a choisi de cacher au public pendant un mois — a mis l’UPAC sur une piste intéressante. Extrait de la nouvelle du 3 mars dernier de Radio-Canada à ce sujet:

Selon des documents rendus publics lundi, l’UPAC a saisi au siège social du PLQ à Montréal des éléments de preuve qui ont fait avancer leur enquête, amorcée en août 2012, sur un présumé système de financement illégal impliquant des entrepreneurs qui obtenaient des contrats en échange.

Les policiers auraient mis la main sur une série de courriels dans lesquels il était question d’activités de financement ainsi que d’échange d’enveloppes chez Schockbeton, une compagnie appartenant à Marc Bibeau.

De plus, ils ont trouvé une liste énumérant une vingtaine d’activités au cours desquelles plus de 700 000 $ ont été amassés. Une de ces activités a permis, à elle seule, de recueillir 428 000 $.

Après avoir consulté les rapports annuels du PLQ entre 2004 et 2012, Radio-Canada n’a trouvé aucune activité de financement ayant rapporté 428 000 $.

8. 2003 à 2008 et 20??: L’UPAC à la recherche de « plusieurs millions » illégaux au PLQ

Ce 428 000$ pourrait n’être que la pointe de l’iceberg. Des documents de cour révèlent que l’UPAC tente d’identifier un réseau de financement illégal au PLQ, selon cet article du Devoir de novembre dernier:

Selon nos sources, les enquêteurs s’intéressent à Violette Trépanier, une ex-ministre sous Robert Bourassa qui s’est occupée du financement du PLQ dans sa seconde carrière, et à Robert Parent, directeur général de la formation de 2003 à 2008. Les deux ont été rencontrés par les policiers.

Les libéraux ne sont pas au bout de leurs peines dans cette histoire. L’octroi des contrats est « le résultat […] d’un exercice d’influence », peut-on lire dans des documents lourdement caviardés. « Pour certains contrats, le processus d’octroi a été contrôlé », ajoute le document. L’enjeu est de « plusieurs millions ».

Des individus non identifiés auraient versé de l’argent comptant, dans des enveloppes, lors d’activités de financement du PLQ, dans l’espoir d’obtenir de lucratifs contrats en retour.

Les documents sont abondamment censurés afin de ne pas compromettre les enquêtes toujours en cours. « […] toute sorte de fuite dans ce dossier risquerait de compromettre l’intégrité de l’enquête », écrit le policier Côté, dans sa demande pour garder les mandats sous scellés.

Les mots ou bouts de phrases communiqués aux médias, sur décision judiciaire, sont assez explicites : « contrats », « système », « organisation », « exercice d’influence », « objectifs de financement », « ami […] possiblement favorisé»…

Au final, les cibles de l’enquête auraient commis six types d’infractions criminelles, non précisées. Dans des dossiers de ce genre, on peut facilement penser à fraude, complot, fabrication et usage de faux, contribution d’un entrepreneur à une caisse électorale, corruption de fonctionnaire.

9. Jusqu’en 20??: Une perquisition il y a 30 jours sur des allégations de financement électoral illégal

Il y a un moins à peine, l’UPAC a dépêché 50 policiers chez Marc-Yvan Côté et l’entreprise Roche où il travaille. Extrait de l’article du Soleil:

Ce jour-là, la cinquantaine de policiers de l’UPAC étaient sur place afin de rencontrer différents employés de la firme Roche et étaient aussi à la recherche de factures. Celles-ci auraient pu être utilisées dans le cadre d’un faux système de facturation visant à dégager des sommes d’argent liquide. Ces montants auraient pu être dépensés durant des élections, afin de financer illégalement la campagne de candidats.

Lors de sa comparution à la commission Charbonneau, au printemps 2013, l’ex-président au développement des affaires chez Roche, Gilles Cloutier, a expliqué comment il avait organisé une soixantaine d’élections clé en main alors qu’il était à l’emploi de la firme de génie, entre 1995 et 2005. Il devait toujours obtenir l’autorisation de Marc-Yvan Côté avant d’aller de l’avant pour la mise en place de ces élections clé en main.

Lors de son témoignage, il avait expliqué dans les moindres détails comment il parvenait à faire élire ces maires. Dans sa stratégie, le recours à l’argent comptant était vital, afin de contourner les règles mises en place par le Directeur général des élections du Québec (DGEQ).

Où est passé tout cet argent ? Mystère…

10. Dimanche 23 mars 2014: Conférence de presse de Philippe Couillard

« Journaliste : Êtes-vous à l’aise avec l’héritage de Jean Charest?

Couillard : Je suis à l’aise avec tout l’héritage du PLQ. »

Philippe Couillard a voulu distancer son gouvernement de celui de son prédécesseur, mais Jean Charest a répliqué, vif comme l’éclair, en affirmant sans broncher qu’il avait dirigé « un gouvernement honnête et intègre. »

Jean Charest l’a ainsi mis au défi de dire le contraire. Mais est-ce que Couillard pouvait vraiment déclarer que l’ancien gouvernement, dont il a lui-même fait parti, était malhonnête et corrompu? Bien sûr que non. Jean Charest a obligé Philippe Couillard à assumer son héritage. L’ancien chef libéral a ainsi donné une bonne leçon à son successeur.

Comme quoi, Philippe Couillard itou a des croûtes à manger…mais si vous lisez entre les lignes:il y a un espèce de conflit ,ici!

11-Le 7 avril 2014,on découvre plusieurs urnes de votation  sous ls tables d’un restaurant McDonald’s…La presse ne fait peu de cas de cette histoire!

12-Des milliers d’étrangers ont voté par anticipation et le jour du 7 avri 2014 ,on verra même des gens partir de l’Ouest canadien pour venir voter au Québec.


L’ÉLECTION  A VENIR DU 1 OCTOBRE 2018

Selon des informations provenant de « fuites internes »,des organisateurs gouvernementaux (lire: libéraux) ont déjà commencé la fraude électorale du 1 er octobre 2018.
La famille Desmarais,nos maîtres illuminati,auraient fait leur choix.

De nombreuses urnes de votation seraient prêtes a être substituer aux « vraies » ,lors du jour de l’élection.Des groupes seraient mobilisés en Ontario pour venir voter dans des comtés stratégiques . 

 

 

Seule la Désobéissance civile peut venir a bout de la dictature néolibérale,mise en place au Québec et …dans tout le Canada!

Joignez les rangs de l’Ère Nouvelle du Québec et du Mouvement Québécois de Désobéissance Civile!

Voici les liens : Ère Nouvelle du Québec 

Mouvement Québécois de Désobéissance Civile

 

Le Québec sous la gérance du crime organisé:Action collective déposée contre Hydro-Québec

Une demande de recours collectif sera déposée contre Hydro-Québec pour exiger un remboursement des «trop-perçus» qui avaient permis au gouvernement d’équilibrer plus rapidement ses finances.

 

La Coalition peuple allumé a recruté à cet effet près de 30 500 participants sur la plate-forme d’action citoyenne Weroes.

En avril dernier, le même regroupement avait symboliquement mis en demeure le premier ministre Couillard pour exiger des éclaircissements quant au remboursement des abonnés, quelques jours après que le gouvernement eut admis avoir profité des trop-perçus pour combler son déficit.

Le ministre des Ressources naturelles de l’époque, Pierre Arcand, avait annoncé que l’atteinte de l’équilibre budgétaire marquait la fin de cette pratique.

Hydro-Québec avait confirmé un écart de 1,4 milliard $ entre ses besoins et ses revenus depuis 2008. Son porte-parole, Louis-Olivier Batty, avait toutefois tenu à souligner que ce chiffre représente «moins qu’un pour cent sur nos prévisions budgétaires». Il avait nié toute surfacturation et expliqué l’écart par des gains d’efficience.

Le ministre Arcand avait écarté d’ailleurs la possibilité d’un remboursement des abonnés, promettant plutôt des hausses minimales des tarifs d’électricité.

En août dernier, Hydro-Québec a demandé à la Régie de l’énergie de lui permettre d’augmenter ses tarifs résidentiels de 1,1 pour cent. La Régie devrait rendre sa décision vers le début du mois de mars.

Pour l’année qui tire à sa fin, elle avait donné le feu vert à une augmentation de 0,7 des tarifs résidentiels, égale à celle de 2016, alors qu’Hydro souhaitait une hausse de 1,6 pour cent.

La Coalition peuple allumé, qui tient un point de presse ce mercredi, réclame un remboursement rétroactif pour les trop-perçus accumulés de 2008 à 2013, qui représentent selon elle une ristourne de 365 $ par abonné ou une baisse de tarifs de plus de 10 pour cent.

Mercredi matin, l’actuel ministre de l’Énergie et des Ressources Naturelles, Pierre Moreau, a déclaré qu’il serait «étonnant» qu’une surfacturation soit démontrée.

Il a rappelé que les sommes facturées par la société d’État dépendent des décisions prises par la Régie de l’énergie selon les prévisions d’Hydro-Québec sur sa demande de consommation.

 

 

 

 

Des fortunes de grands argentiers du PLC à l’abri de l’impôt à l’étranger

Justin Trudeau discute avec Stephen Bronfman à l’occasion d’une fête organisée par ce dernier à St. Peters Bay à l’Île-du-Prince-Édouard en août 2013.

 

 

Une nouvelle fuite massive de documents lie aux paradis fiscaux d’influents argentiers du Parti libéral du Canada proches de la famille Trudeau, mais aussi les anciens premiers ministres Paul Martin, Jean Chrétien et Brian Mulroney.

Qualifiée de plus importante encore que les Panama Papers, la fuite des Paradise Papers impliquerait également plusieurs dizaines d’autres personnes riches, dont le secrétaire au Commerce de Donald Trump, les stars de la musique Bono et Madonna et même la reine Elizabeth II.

La célèbre famille montréalaise Bronfman et l’influent sénateur libéral Leo Kolber ont longtemps eu aux îles Caïmans une fiducie de plus de 60 millions de dollars américains dont la principale fonction, selon les experts consultés, semble avoir été d’éviter de payer de l’impôt au Canada, a révélé dimanche le Consortium international des journalistes d’enquêtes (CIJE).

Ce consortium s’est penché pendant plusieurs mois sur plus de 13 millions de documents qui ont fuité de cabinets d’avocats spécialisés dans les paradis fiscaux.

Or, l’un des héritiers de la famille Bronfman, Stephen, a été au coeur de la campagne à la chefferie et de financement du premier ministre, Justin Trudeau, alors que Leo Kolber a été l’un des grands argentiers de son père et ex-premier ministre, Pierre Elliot Trudeau, ont observé les médias canadiens membres du Consortium : Radio-Canada et le quotidien Toronto Star.

L’avocat représentant les familles Bronfman et Kolber a nié, auprès de ces médias, que la moindre loi ou la moindre règle éthique ait été violée.

Ironiquement, rappellent les deux médias canadiens, le sénateur Leo Kolber avait été amené, à l’époque du premier ministre Martin, à se pencher sur un projet de loi visant justement à éviter que les fiducies servent à contourner le fisc alors qu’il présidait l’important comité sénatorial des banques et du commerce.

Le projet de loi était mort au feuilleton au Sénat. Il faudra attendre 14 ans et l’élection du gouvernement conservateur de Stephen Harper pour qu’une version moins contraignante de la loi soit adoptée. La fiducie Bronfman-Kolber a finalement été liquidée en 2016.

Mulroney, Martin et Madonna

Ces révélations, qui seront suivies par d’autres dans les prochains jours, promet-on, viennent de disques durs obtenus par le quotidien allemand Süddeutsche Zeitung et dont le contenu a été partagé avec le CIEJ et son réseau de 382 journalistes dans 67 pays.

Les données proviendraient notamment des cabinets d’avocats réputés Appleby, aux Bermudes, et Asiachi Trust, de Singapour, actifs entre autres dans plus d’une quinzaine de paradis fiscaux.

Les documents montreraient, entre autres, que Brian Mulroney a siégé à partir de 2004 au conseil d’administration d’une compagnie incorporée aux Bermudes et appartenant à un milliardaire syrien mêlé à une affaire de corruption dans un contrat de vente d’armes.

On y verrait aussi que le rôle de consultant qu’a joué Jean Chrétien auprès d’une compagnie pétrolière incorporée aux Bermudes après qu’il eut quitté la vie publique lui aurait valu 100 000 options d’achat d’actions.

On relève également que Paul Martin a longtemps eu une compagnie maritime (Canada Steamchip Lines) qui comptait une quinzaine de filiales souvent enregistrées aux Bermudes avant qu’il n’en cède le contrôle à ses fils en 2003. Les trois hommes ont nié avoir fait quoi que ce soit de répréhensible.

Le secrétaire américain au Commerce, Wilbur Ross, ne s’est pas excusé d’avoir gardé, grâce à des entités offshore, 31 % du contrôle d’une société de transport maritime faisant affaire avec un proche du président russe, Vladimir Poutine.

La reine d’Angleterre a dit que c’est à son insu qu’une partie de ses millions a transité par les îles Caïmans et les Bermudes. Quant à Madonna et Bono, comme Apple, Nike, Uber et Tesla, ils ont affirmé respecter strictement la loi.

Optimiste malgré tout

« Je ne crois pas que ces nouvelles révélations soient tellement une surprise pour les gens », a remarqué en entretien téléphonique au Devoir la fiscaliste Brigitte Alepin, qui publiait déjà il y a 15 ans un ouvrage intitulé Ces riches qui ne paient pas d’impôt« On peut quand même s’étonner qu’avec tout ce qui s’est dit sur les paradis fiscaux, nos élus ne soient pas devenus plus prudents dans le choix de leurs relations. »

La professeure de l’UQAM et organisatrice depuis trois ans d’une conférence internationale annuelle sur la concurrence fiscale se montre relativement optimiste malgré tout. « Ce que je ne réalisais pas il y a 15 ans, c’est combien la solution pratique à ce problème est complexe », explique-t-elle.

Il ne suffit pas qu’un gouvernement décide à serrer la vis à ses contribuables pour les empêcher de tirer profit des règles plus laxistes d’un autre pays. Il faut convaincre suffisamment de gouvernements qu’au moins un minimum de règles communes est nécessaire, ne serait-ce que pour conserver un certain pouvoir sur leur fiscalité.

C’est ce qu’a notamment entrepris de faire l’Organisation de coopération et développement économiques (OCDE) en s’attaquant au secret bancaire et en exigeant plus de transparence de la part des entreprises sur l’endroit où ils exercent leurs activités, réalisent des profits et payent leurs impôts.

 
Stephane Dion et John kerry:la fraternisation avec Skull and Bones.

« Les choses progressent mieux que je l’aurais cru, mais il reste encore à convaincre plusieurs pays pour atteindre une masse critique suffisante, observe Brigitte Alepin. Espérons qu’on y parvienne avant que les contribuables n’aient complètement perdu confiance dans nos systèmes fiscaux. »

 

Le Québec sous la gérance du crime organisé:la stratégie est d’attiser le feu jusqu’au jour du scrutin

Malheureusement, même le PQ sombre dans ces accusations mensongères, est-ce à dire que puisqu’ils n’ont rien à proposer, ni d’un bord, ni de l’autre, ils tentent de provoquer un conflit là où il n’y en a pas. De plus, d’où provient ce malaise sociétal? Tout ces troubles dérivent de l’islam, appelons ça comme nous voulons, radical, politique ou débile, il n’en demeure pas moins qu’il s’agit d’une idéologie politico-religieuse. Aucunement question de nationalité là-dedans, maisautant les politiciens que les médias sombrent dans le grotesque de parler de racisme, de xénophobie et ils ont même dû inventer un mot; islamophobie! Rien qui ne justifie ces accusations auprès du peuple québécois, une fois de plus de la part de nos politiciens, des tentatives pour nous faire sentir coupables de tout et de rien.

Pour ma part, être contre les OGM, Mac Donald ou l’islam, aucune différence et je ne me sent pas raciste pour autant puisque l’islam appartient à tous les peuples, à tous les attardés de la planète.

Je considère bien plus raciste un étranger qui s’installe chez nous et qui impose sa culture déficiente au point qu’il ai quitté son pays. Une femme voilée ne dit-elle pas à notre société d’aller se faire foutre? Lorsque nous savons que pour un islamiste radical, intégriste ou appelons ça comme nous voulons, que pour lui une femme non voilée est impure, quel est le message qu’ils nous envoient avec leurs voiles?

L’équivalant pourrait être un chandail avec la mention non à l’islam politique car pour eux, le voile signifie surtout non à notre culture.

(Sylvain Meunier)

 

Les ministres Laetao et Coiteux:deux hommes de mains irresponsables.

 

Le gouvernement Couillard lance sa consultation sur « le racisme et la discrimination systémique », dont on ne connaît encore ni le format ni le champ qui sera couvert. Ces travaux vont s’étendre sur des mois, et si on est bons, ils devraient nous mener jusqu’aux élections. Il y a fort à parier que ça deviendra un enjeu électoral.

Y a-t-il du racisme au Québec ? Oui, assurément, malheureusement, comme dans toutes les sociétés. Il existe bel et bien.

Y a-t-il du racisme systémique, comme aux États-Unis, par exemple ? Même si des individus racistes peuvent sévir au sein d’institutions, je ne crois pas qu’on puisse être aussi catégorique.

La société québécoise, dans son ensemble, n’est pas maladivement raciste.

Alors à quoi, à qui cela sert-il de nous dire qu’on est une société qui pratique le racisme systémique ?

Dans La Presse+ du 4 avril, sous le titre « Faire partie d’un NOUS rassembleur », plusieurs personnes, la plupart issues de l’immigration, dont beaucoup de musulmans, signent une lettre ouverte qui retient l’attention. Elles mettent en garde le gouvernement et se questionnent sur le bien-fondé de la consultation publique. « Il faut prendre les bonnes mesures pour lutter contre les discriminations et le racisme, sans exacerber les antagonismes entre les différents groupes de citoyens québécois. » Elles disent que ça va contribuer à nourrir les conflits.

Qui plus est, elles s’inquiètent de la présence, dans le comité-conseil de cette consultation, de « représentants associatifs aux positions idéologiques tranchées », à la « vision binaire du monde », qui font preuve de populisme, ce qui a pour effet d’évacuer toute recherche constructive de solutions.

Lorsque Philippe Couillard accuse le Parti québécois d’avoir divisé le Québec à coup de Charte des valeurs à des fins électoralistes, il n’a pas tout à fait tort. Il y avait un utilitarisme électoral discutable dans le projet péquiste. Le PM a accusé Jean-François Lisée de NÉGATIONNISME (terme très chargé, qui réfère à la Shoah), de « souffler sur les braises de l’intolérance ». Or, il fait pareil ! Il attise le feu, sachant que ce genre de débat risque d’évacuer les nuances et de dégénérer. Il instrumentalise une situation qui n’est pas indiscutablement systémique, et surtout, il maîtrise l’échéance électorale !

Couillard et l’absence de projet social pour le peuple.

Pourquoi ce débat à ce moment ? Voilà la vraie question à se poser.

Le PM est motivé par les élections de 2018. Il est en train, en utilisant une situation précaire et des individus très certainement sincères, de créer un objet de wedge politics (politique de l’affrontement). Il partage avec Justin Trudeau une vision multiculturelle de la société, basée sur les différences, qui entraîne de la ghettoïsation. Tous sont côte à côte, sans se mêler réellement. Une vision canadienne qui, au Québec, heurte le sentiment identitaire de beaucoup de citoyens, plus interculturels que multiculturels. Mais le Parti libéral du Québec est tellement allergique à l’idée même d’une nation québécoise, même au sein du Canada, qu’il renie tout ce qui parle d’un sentiment national, qui n’exclut pas d’emblée les minorités, au contraire. Il préférera jouer les uns contre les autres.

Et ça, c’est dangereux. Ça joue sur la culpabilité d’une majorité de Québécois, que l’on rend si facilement honteux. « Vous êtes des racistes ! », alors que nous sommes accueillants.

Y a-t-il du racisme au Québec ? Oui. Le sommes-nous collectivement ? Non. Alors quoi ?

La chose la plus pressante, la plus raisonnable, constructive de ciment social, la plus positive à faire est simple : intégrons les minorités et les immigrants. Reconnaissons les équivalences, les formations, francisons. Le phénomène est documenté, les mesures concrètes existent, nul besoin d’un nouveau psychodrame collectif.

Le PQ a eu des propositions à ce propos. Or, M. Couillard ne veut pas les recevoir, préférant jouer les élections de l’an prochain sur du conflit. Je crains les dommages collatéraux irréparables.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Le Québec sous la gérance du crime organisé:Les abonnés d’Hydro-Québec ont payé 1,4 milliard en trop

Vous le constaterez sur votre prochaine facture d’électricité. Les tarifs ont augmenté de 0,7% le 1er avril, même si Hydro-Québec a perçu 63 millions de dollars en trop à ses clients en 2015, selon ce qu’indiquent les derniers chiffres disponibles.

La Coalition Avenir Québec s’est interrogée sur cette pratique de la société d’État, qui réclame plus d’argent à ses abonnés qu’elle n’en a réellement besoin. Les trop-perçus sont récurrents depuis l’année 2008. Les calculs effectués par la CAQ démontrent donc qu’en huit ans, les Québécois ont payé presque 1,4 milliard de dollars de plus que ce qu’ils auraient dû. Par client, cela représente un montant de 350$.

«C’est faux de prétendre que le gouvernement libéral n’a rien avoir là-dedans. Au contraire, il savait très bien que les trop-perçus existaient. Il a fermé les yeux, au détriment des Québécois», affirme la députée Chantal Soucy, elle-même une ancienne employée d’Hydro-Québec. Elle pense que l’argent perçu en trop aurait dû retourner aux clients sous forme de baisses de tarifs, plutôt que de servir à l’atteinte de l’équilibre budgétaire du gouvernement.

Hydro-Québec veut partager les surplus

Hydro-Québec confirme que les calculs de la CAQ sont exacts. Les abonnés ont bel et bien payé un total de 1,4 milliard de dollars pour de l’électricité qu’ils n’ont pas consommée depuis 2008, mais la société d’État assure que ses prévisions étaient réalisées de bonne foi, l’objectif n’étant pas de surfacturer les clients.

«Ce n’est pas une mauvaise nouvelle. Au contraire, c’est une bonne nouvelle parce que cet argent-là retourne aux Québécois dans le dividende qu’on verse au gouvernement chaque année et qui sert à financer les services publics, les écoles, les hôpitaux», indique l’attaché de presse Marc-Antoine Pouliot. Il prétend que ces trop-perçus sont attribuables à la bonne performance de la société d’État. «Ça veut dire qu’on a offert le même service avec moins d’argent». Il rappelle qu’Hydro-Québec compte 3500 employés de moins depuis dix ans, alors que le nombre d’abonnés a bondi de 350 000.

Une ingérence qui inquiète

Hydro-Québec s’était engagée à retourner une partie de ses surplus aux abonnés. La Régie de l’énergie, un organisme indépendant, avait déterminé le mécanisme de partage qui devait s’appliquer. Par un décret, le gouvernement Couillard a reporté ce partage en attendant le déficit zéro. L’équilibre budgétaire étant atteint, la Régie de l’énergie a annoncé que le mécanisme de partage entrerait en vigueur cette année.

Option Consommateur s’inquiète de ce type d’ingérence du gouvernement dans des organismes indépendants comme la Régie de l’énergie. «La Régie avait été constituée spécifiquement pour garantir que les gouvernements ne vont pas, pour leurs propres intérêts, déterminer les tarifs d’électricité. Cet exemple-là en est un», explique Olivier Bourgeois. Il rappelle que le gouvernement était aussi intervenu pour les contrats d’approvisionnement dans le secteur de l’énergie éolienne. «Son développement ne correspondait pas à la demande énergétique québécoise. Des décrets gouvernementaux ont forcé Hydro-Québec à acheter cette électricité-là à différents promoteurs».

Demande de remboursement

«Le gouvernement Couillard instrumentalise Hydro-Québec. Ce qu’on demande aux libéraux, c’est remboursez! Il faut que le Conseil du trésor rembourse les clients», demande Chantal Soucy

Par opportunisme politique,la Coalition avenir Québec invite d’ailleurs les Québécois à signer une pétition en ligne pour exiger ce remboursement,mais nous savons tous à quoi servent les pétitions au Québec,depuis la fameuse pétition de 200,000 signatures demandant la démission de Jean Charest!

Seule la désobéissance civile  peut servir de levier  pour reprendre le contrôle de « notre » Hydro Québec!

 

 

 

 

Le Québec sous la gérance du crime organisé:Demande d’enquête sur «l’affaire Charest»

OTTAWA – Dix groupes environnementaux du Québec demandent à l’Office national de l’énergie (ONÉ) de déclencher une enquête sur la rencontre privée entre l’ex-premier ministre Jean Charest et les trois commissaires qui étaient chargés d’étudier le projet d’oléoduc Énergie Est.

Jean Charest

Une manifestation est prévue mardi matin devant l’hôtel Delta à Montréal où un comité d’experts nommé par le gouvernement doit tenir deux jours de consultations publiques. Ces consultations font partie de l’exercice de modernisation de l’ONÉ promis par le gouvernement Trudeau.

Les commissaires Roland George, Jacques Gauthier et Lyne Mercier se sont récusés en septembre 2016 après que le National Observer eut révélé l’existence de cette rencontre qui a eu lieu en janvier 2015. Jean Charest était alors consultant pour TransCanada, le promoteur d’Énergie Est. Depuis, le gouvernement a nommé quatre nouveaux commissaires.

L’Association québécoise de lutte contre la pollution atmosphérique (AQLPA) et l’organisme Stratégies Énergétiques réclament une enquête sur cette rencontre depuis août 2016. Huit autres groupes environnementaux, dont Greenpeace, ont envoyé une lettre à l’ONÉ la semaine dernière pour appuyer cette demande. Ils réclament également la suspension de l’examen d’Énergie Est tant que l’ONÉ n’aura pas été réformé.

L’ONÉ a annoncé le 27 janvier 2017 que les audiences sur Énergie Est reprendraient depuis le début sans spécifier de date. Elles avaient été suspendues dans la foulée de cette controverse.

Les preuves de la décadence sociale,économique et politique du Canada et du Québec

Depuis son élection…..Justin investit des milliards de dollars pour le bien-être des non-canadiens.

En faisant des cadeaux ($$$$) à toutes sortes de « pays ». Dont le Hamas; un organisation terroriste.
Faut dire que son frérot est très amouraché des palestiniens.

Les médias trouvent ça cool. Et, globalisation oblige; le Canada emprunte, s’endette et donne aux pays étrangers….

Irréaliste mais vrai. Déplorable et inquiétant.

Il n’y a vraiment  rien de drôle ici,car si nous n’agissons pas maintenant,nous serons envahis par tout ces barbares,il faut se prendre en main et montrer à tous que le Québec ne sera jamais à eux car la menace est réelle.Nous devons immédiatement arrêter  cette invasion de ces peuples sans foi ni loi, dont le but ultime étant de faire de la terre …un califat totalitaire qui portera le nom d’Islam.Une totale adhésion a leur secte merdique est en cours par les néolibéralistes de la trempe de Trudeau ,au Canada et de Couillard,l’espion canado-saoudien au Québec.

Et Couillard…dans tout cela:

 

Couillard se sent au dessus de tout et de nous tous !!!!

Je vais faire un commentaire simple. Le premier ministre,à une époque, disait: « Je suis Charlie »!

À une autre époque plus récente… »Allahou Akbar ». Ce qui veut dire: « Dieu est le plus grand ». Tout à fait diamétralement opposé au propos précédent. Opportunisme politique ? Ou une mouvance au service de l’ultra nation; la globalisation….

Islamophobie par ici, islamophobie par là….Il en rajoute.

Il est l’homme le plus intelligent du Québec.

L’intelligence étant une chose, le jugement, la mémoire et l’éthique étant d’autres entités….Je me permets de douter de notre grand calife globalisateur.

Duplessis suintait le catholicisme. On appelait cette époque la grande noirceur. Couillard comme Lisée ( antéchrist péquiste dont je n’ai rien à foutre) se véhicule au même carburant. La polarisation d’un peuple endormi par les médias.

Cette vision est  partagée par tous les partis politiques  néolibéraux du Québec (PLQ,PQ,CAQ et QS).La pensée critique au Québec et la libre pensée serait-elle morte ?
Trudeau père ce fils de richissime du pétrole avait des élans communistes au point d’admirer la Chine de Mao et Cuba de Castro. Il nous a laissé un panier de crabes, la charte des droits charcutée par tout nouvel arrivant car privilégiant l’individu à la société d’accueil. Nous avons maintenant 33 millions de pays différent car le Je, Me Moi à pris le dessus sur le NOUS
-Fernand Trudel

 

L’ado Just-a-teen fait des siennes: il voudrait que le vendredi, il n’y ait plus de séance au parlement, car vendredi, c’est jour de prière, et qu’il n’ y ait qu’une journée de questions par semaine.BRAVO À TRUDEAU! LE CANADA SERA LE cinquante-huitième pays MUSULMAN sur la planète. Il pense que c’est comme la Chrétienneté:DES PAYS OÙ TOUTES LES RELIGIONS SE CÔTOIENT!
-Éliane Acoca

 

 

LE QUÉBEC À LA CROISÉE DES CHEMINS

 

C’est bien là qu’est rendue la nation dite québécoise à ce moment précis. Cet exposé a pour but de bien faire comprendre que la suite dépend de chacun, et , pour ce faire il faut remonter dans le temps. Il faut bien constater que chaque individu qui compose cette nation est une bonne personne, honnête et travaillante.

C’est quand ces individus se laissent contrôler et agissent en masse que le tout se gâte.

Ces dernières années, des philosophes, politicologues, chroniqueurs et journalistes se sont acharné à tenter de définir cette nation. Ils se sont livrés à un exercice continuel de masturbation intellectuelle jamais vue auparavant. Chacun y va de sa chronique, de son livre, de son essaie. Des forums de discussions furent crées. Certains tentent de la définir.

Peuple ou nation? Qui y est partie, les pure-laines seulement ou tous les Québécois. Qui est Québécois?

On tente par tous les moyens de nous inculquer que nous sommes différents et que nous devons être nationalistes et que nous sommes une société distincte.

Le but de ces exercices dans la plupart des cas est de nous trouver des raisons de se séparer du reste du Canada.

On demande des Etats-Généraux, des Commissions d’Étude, des Commissions Parlementaires et toutes sortes d’autres structures qui pourraient nous indiquer un tant soi peu ce que et qui nous sommes.

Certains avancent que nous sommes en crise identitaire. Imaginez, nous ne savons pas qui et ce que nous sommes. De quoi nous faire frémir.

Pour réussir à nous convaincre qu’il faut nous séparer du Canada, il faut nous convaincre que nous sommes mal dans notre peau.

Comment peut-on réussir à nous manipuler sans nous entendre rouspéter? C’est tellement facile que c’en est épeurant.

QUE SOMMES-NOUS

Nous sommes un peuple (si réellement nous formons un peuple) immature, encore à l’enfance, qui a encore besoin d’un père, d’un guide pour nous réconforter et nous diriger. Un guide qui nous dicte quoi et comment penser car penser est un exercice que notre culture nous a défendu. Nous avons besoin d’un icone à vénérer, d’un Moïse pour nous guider vers la terre promise.

Pendant longtemps, ce Moïse fut le clergé catholique. Il contrôlait nos pensés et nos actes. Il contrôlait nos lectures. Il contrôlait nos vies. Il déterminait le nombre d’enfants de chaque famille. Il nous disait pour qui voter aux élections. Il contrôlait notre système d’éducation, nos services de santé. Il était roi et maître de notre destiné.

Comme des imbéciles, nous avons tout gobé.

Il faut reconnaître qu’il était passé maître dans l’art de nous maintenir sous son joug et qu’il savait utiliser toute les subtilités nécessaires à l’atteinte de son but.

En contrôlant le système d’éducation, il nous a entraînés à détester les anglais car ces derniers contrôlaient notre économie. Nous étions les porteurs de pain et devions le demeurer car seul les pauvres voyaient s’ouvrir les portes du paradis. Le commerçant, celui qui aspirait à la richesse était forcément un voleur, un escroc.

Nos universités francophones, Montréal et Laval, dirigée par des religieux, refusaient dans leurs programmes d’introduire une faculté d’administration. Quand des francophones voulaient s’instruire en sciences administratives, il leur fallait être bilingue car la seule porte d’entrée était l’université anglophone.

Le système politique d’alors  nous avait entraîné à détester les Juifs car ils avaient crucifié le Christ. C’est pourquoi, on nous enseignait qu’ils  étaient un peuple errant, sans patrie, puni par Dieu.

La peur fut l’un des éléments majeurs  de contrôle social. Quiconque  n’obéissait pas à leurs dictés était damné. La femme était (et est encore) un personnage inférieur. Elle n’était admise à l’église que dans la nef et coiffée. Sa fonction principale était la reproduction et pour ce faire elle se  devait être mariée. Si malencontreusement elle enfantait hors du mariage, ce ne pouvait être que des enfants du péché et on s’empressait de les expédier dans des hôpitaux psychiatriques et des orphelinats. Il en existe encore de ces enfants, ils sont aujourd’hui appelés ‘Les enfants de Duplessis’ pour lesquels le clergé réfute encore toute responsabilité.

On  nous imposait aussi nos orientations politiques. Il se faisait fort de nous rappeler dans les sermons que ‘le Ciel est bleu et l’Enfer est rouge’, ce qui avantageait certainement Duplessis.

Comme des moutons, nous avons suivi, sans se poser de questions, sans penser. Pourquoi aurions- nous osé penser, osé s’astreindre à un effort intellectuel quand le maître le faisait pour nous.

Cette servitude nous allait tellement bien que nous l’exposions fièrement à la parade annuelle de la Saint-Jean Baptiste quand sur le dernier char allégorique on retrouvait Jean-Baptiste avec sa canne qui guidait les brebis, ce que nous étions.

Le clergé maintenait Duplessis (le Chef) au pouvoir et ce dernier leur repayait bien.Il y avait bien des voix qui tentèrent de réveiller le peuple des brebis,mais elles arrivaient trop en avance de leur temps.

Ce fut l’époque de la création de villages qui pour se trouver un nom se disputaient le nom des saints. Ainsi on retrouvait plusieurs villages du même nom qui, pour s’identifier, devait ajouter un nom de comté ou de région à leur nom. C’est ainsi qu’on retrouvait des noms comme Sainte-Anne-de- Bellevue, Sainte-Anne-des-Monts, Sante-Anne-des-Plaines, Sainte-Anne-de Beaupré, Sainte-Catherine, Sainte-Catherine-de-la-Jacques-Cartier, etc. etc. Il en fut de même pour les noms de rue des villes et villages.

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Au milieu des années 1950,un grand hockeyeur était devenu le symbole de la nation canadienne-française (car tout le monde à cette époque,au Québec s’identifiait comme canadien-français)et vous aurez tous reconnu Maurice Richard.
Par son courage et sa détermination,il devenait le premier grand leader d’une jeune nation.
À défaut d’avoir un vrai chef politique,c’est dans le sport que tous au Québec,nous avions un exemple à suivre.

LE RÉVEIL

Pendant que les ignares se complaisaient dans l’esclavage, une nouvelle génération grandissait, quasi imperméable au lavage de cerveau du clergé et le décès de Duplessis ouvrait la porte à affranchissement, à la liberté.

Ce peuple, dans l’ensemble n’avaient pas encore appris à penser et se mit à la recherche d’un nouvel icône, un nouveau Chef, un nouveau Moïse.La seule option politique  trouvée à ce moment-là fut le néolibéralisme d’après-guerre.Comme nous le verrons,cela comportait des avantages et de nombreux désavantages.

Le choix s’arrêta finalement sur Jean Lesage en 1960 qui tassa allègrement le clergé et devint ce nouveau Moïse. Tout semblait alors baigner dans l’huile.

Ce fut cette période que l’on appelle aujourd’hui LA RÉVOLUTION TRANQUILLE.Vous noterez que le changement opéré à ce moment précis aurait pu se produire aussi si Paul sauvé ne serait pas mort aussi rapidement après Maurice Duplessis.Dans les nouveaux projets sociaux,économiques et politiques de l’Union Nationale ,alors gérée par M.Sauvé,il y avait de nombreux éléments qui ont été repris par les libéraux qui ont toujours agis par opportunisme.

Il a fallu rebâtir tout le système d’éducation avec le peu d’éléments que nous possédions (cf: le corps enseignant).

Le gouvernement a dû procéder à la hâte à l’introduction des CÉGEPs et la création de l’université du Québec avec des pendants dans plusieurs régions.Notez que les CEGEPs développés au Québec,proviennent d’une formule qui a échouée aux États-Unis.Ils sont à l’origine de l’organisation des réseaux de vendeurs de drogues,de pédophilie et de prostitution juvénile.On notera aussi l’augmentation sérieuse de la violence chez notre jeunesse.

Les universités francophones introduisaient frénétiquement des facultés d’administration dans leurs programmes qui allaient donner naissance à une petite  bourgeoisie d’affaires.Parallèlement,le crime organisé québécois va se développer et s’étendre même à l’intérieur de l’appareil d’état.

De 1960 à 1967, c’est l’effervescence. Pour nous préparer pour l’expo universelle de 1967, nous construisions le métro, le tunnel Lafontaine et les pavillons pour l’expo sur l’Ile Sainte-Hélène et embellissions Montréal pour accueillir avec fierté les visiteurs internationaux.Les gros syndicats  vont prendre plus de pouvoirs et vont davantage s’enrichir.

Nous avions atteint un summum. MONTRÉAL ÉTAIT LA MÉTROPOLE DU CANADA AINSI QUE SON CENTRE FINANCIER. Ville bilingue, Montréal était un pôle d’attraction pour les investisseurs et les bureaux chefs d’entreprises.Le capitalisme se développe rapidement.

Cette poussée de Montréal vers le sommet de l’économie canadienne ne se serait jamais produite sans l’apport des anglophones, considérant que dans ce temps la majorité francophone était totalement ignare et ne commençait qu’à s’éveiller.

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L’UNION NATIONALE QUAND LE QUÉBEC SE TENAIT DEBOUT

 

On n’a pas craint, au cours des années 1960, d’aborder les enjeux constitutionnels de front. Même Daniel Johnson, arrivé au pouvoir en 1966, remettra directement en cause la Constitution du Canada en lançant son livre manifeste Égalité ou indépendance.

 

Pendant la Révolution tranquille, une question s’est posée avec une franchise inouïe: celle de l’avenir des Canadiens français (devenus soudainement les Québécois) dans la fédération. Le nationalisme devenait plus moderne, moins passéiste, et il formulait directement les interrogations fondamentales.

Un courant révisionniste voudrait nous présenter le régime Duplessis comme un certain âge d’or du nationalisme. Pour avoir connu et observé, comme jeune adulte, le nationalisme du «chef», je garde le souvenir d’un nationalisme défensif, qui protégeait notre «butin», combattait les empiétements fédéraux, refusait les subventions d’Ottawa aux universités et réclamait avec opiniâtreté de nouveaux champs fiscaux.

Ce nationalisme de conservation, garant de la langue et de la foi, drapé dans le fleurdelisé et l’autonomie provinciale, ne remettait pas en question l’ordre constitutionnel établi: il tentait d’en tirer le meilleur parti possible.

Quand apparaît en 1960 un nationalisme de rattrapage, des intellectuels, des journalistes, des syndicalistes et des visionnaires (notamment Georges-Émile Lapalme) avaient préparé le terrain. Mais avant 1960, l’idéologie dominante, soutenue par l’appareil du pouvoir et la structure ecclésiastique, restait le nationalisme de conservation. Malgré les étincelles qui brillaient ici et là, la grande noirceur, pour ceux qui l’ont vécue, est loin d’être un mythe.

Dès 1960, la question constitutionnelle se pose de manière stridente et directe. Comment les Québécois peuvent-ils améliorer leur sort au sein de la «Confédération»? Éviteront-ils le statut de simple minorité ethnique pour être considérés comme un peuple??

En août 1960, naît l’Action socialiste pour l’indépendance du Québec, fondée par Raoul Roy et d’inspiration marxiste. Un mois après se forme un autre mouvement, le RIN (Rassemblement pour l’indépendance nationale). Ces deux groupements, moins catholicards que les groupuscules indépendantistes des années 1930 et 1950, deviendront influents: le premier inspirera le Front de libération du Québec et le second sera un parti légitime aux élections de 1966.

 

Puis Jean Lesage, au sommet de sa puissance, porté par l’élan du «Maîtres chez nous» et de sa victoire électorale sur le thème de la nationalisation de l’électricité, porte le combat vers Ottawa. Il exige du premier ministre Pearson, minoritaire et conciliant, qu’Ottawa remette au Québec 25?% de l’impôt sur le revenu des particuliers, 25% de l’impôt sur les sociétés et 100% des droits successoraux.

Ébranlé par les coups de poing colériques de Jean Lesage, Lester B. Pearson finira par faire d’énormes concessions à l’égard des programmes conjoints et du régime universel de retraite. Pour une courte période, le Canada penchera vers la décentralisation.

Les personnages politiques fédéralistes (notamment Paul Gérin-Lajoie) envisageront toutes sortes de formules: statut particulier, États associés. Même Daniel Johnson, arrivé au pouvoir en 1966 et prolongeant (contre toutes prédictions) la Révolution tranquille, remettra directement en cause la Constitution du Canada en lançant son livre manifeste Égalité ou indépendance. Son gouvernement favorisera la tenue, en novembre 1967, des États généraux du Canada français, qui réuniront 2500 délégués.Ce fut  la seule véritable consultation du peuple sur une question constitutionnelle du Québec.

On n’a pas craint, au cours de cette décennie, d’aborder les enjeux constitutionnels de front. Aujourd’hui, toute une mouvance de centre-droit voudrait qu’on mette en veilleuse les questions touchant l’avenir du Québec pour régler «nos problèmes», traiter des «vraies affaires». Proposition absurde. Le fait que le Québec se soit fait imposer une constitution qu’il n’a pas signée reste l’un des problèmes qui conservent toute leur actualité. De nouveaux irritants ne manqueront pas de nous le rappeler au quotidien.

Qui a intérêt à contrôler Daniel Johnson ? À écouter à qui il parle ? À lui défendre d’aller en France suite au voyage de De Gaulle au Québec ? — « Quoi qu’il arrive, j’irai en France ! »

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Les États généraux du Canada français en 1967

Avant, il y avait le Canada français. Après, le Québec et les francophones hors Québec. La cicatrice ne s’est jamais vraiment refermée.

Jacques-Yvan Morin présidait les États généraux du Canada français en 1967. Le futur chef de l’opposition (de 1973 à 1976) était alors professeur de droit à l’Université de Montréal.

Le 23 novembre 1967 au matin, 1700 personnes envahissent la salle Wilfrid-Pelletier de la Place des Arts à Montréal. Ces gens viennent de tous les coins du Canada: plus de 1000 d’entre eux ont été élus dans les 108 circonscriptions électorales du Québec, 425 représentent les communautés francophones du reste du Canada et 175, les organismes les plus divers, des Caisses populaires aux Cercles de fermières en passant pas les associations de Néo-Québécois.

Presque tous ces délégués ont sous le bras un exemplaire du Devoir, qui publiera toutes les résolutions de ces États généraux du Canada français. Parmi les membres de la commission générale qui a préparé la rencontre, on trouve d’ailleurs deux plumes prestigieuses issues du Devoir, Solange Chaput-Rolland et Jean-Marc Léger.

En 1967, Le Devoir était encore la bible des élites canadiennes-françaises et son directeur, Claude Ryan, avait accepté de s’associer à l’événement même s’il craignait un virage indépendantiste. Il avait d’ailleurs vu juste.

«On n’avait jamais vu un rassemblement d’une telle ampleur, aussi représentatif de ce qu’il faut bien appeler les forces vives de la nation, et il n’y en a jamais eu d’autre depuis», dit l’ancien ministre péquiste Jacques-Yvan Morin, qui présidait l’événement. Le futur chef de l’opposition (de 1973 à 1976) était alors simple professeur de droit à l’Université de Montréal.

Les États généraux de 1967 n’avaient aucune commune mesure avec les assises préliminaires tenues en 1966 ou les congrès de la langue française organisés à Québec en 1912, 1937 et 1952. «On était même étonnés de pouvoir remplir la Place des Arts. D’une certaine manière, nous prenions conscience de la force que nous représentions», dit Jacques-Yvan Morin.

Les francophones hors Québec

À l’offensive sur tous les plans, le Québec était alors en pleine Révolution tranquille. Le nouveau premier ministre Daniel Johnson ne réclamait rien de moins que «l’égalité ou l’indépendance». Le mouvement indépendantiste québécois et le nationalisme acadien étaient en pleine ascension. Le «Vive le Québec libre!» du général de Gaulle avait quatre mois à peine. Avec le rapport Laurendeau-Dunton, l’avenir du français devenait une préoccupation majeure.

Cette démonstration de force d’un océan à l’autre sera la dernière du genre. Car elle sera le lieu, à tout le moins symbolique, de l’éclatement définitif du Canada français. Les États généraux devaient définir l’avenir constitutionnel de la nation, disait dans son discours d’ouverture Rosaire Morin, un leader nationaliste très écouté à l’époque. On jonglait alors avec le «statut particulier», les «États associés» et l’indépendance.

René Lévesque, qui venait de quitter le Parti libéral et de fonder le Mouvement souveraineté-association quelques jours plus tôt, fit d’ailleurs une brève apparition au balcon, sous des applaudissements nourris.

L’assemblée se divisa lorsque vint le moment de reconnaître le droit à l’autodétermination du Québec, «territoire national et milieu politique fondamental» de la nation canadienne-française. Les Québécois votèrent pour à 98 %, avec 52 % des Acadiens. Les délégués de l’Ontario et de l’Ouest canadien votèrent contre ou s’abstinrent. Les Québécois affirmaient leur existence en tant que nation. Les francophones hors Québec, qui se percevaient toujours comme Canadiens français, venaient de naître.

Une boîte à idées

Même si certains évoqueront un complot mûrement préparé, il n’y avait pas de volonté de rupture, explique Jacques-Yvan Morin. «Les délégués québécois votaient pour rapatrier tous les pouvoirs au Québec. Ils le faisaient spontanément, même s’ils n’étaient pas nécessairement indépendantistes. Ils votaient aussi pour que le français soit plus présent partout au Canada. Ce n’était pas très logique. Les États généraux ont été le témoin plus que la cause d’un éloignement inexorable lié à l’érosion du fait français, dans l’Ouest en particulier.»

Plusieurs délégués racontèrent être arrivés aux États généraux fédéralistes et en être sortis souverainistes. Les délégués n’ont pourtant jamais revendiqué l’indépendance, rappelait en 1990 Rosaire Morin, dans un article de L’Action nationale. Mais ils «revendiquaient pour le moins l’égalité». Plus de «40 ans plus tard, la question des pouvoirs du Québec n’est toujours pas réglée», souligne Jacques-Yvan Morin.

Ce qui n’empêchera pas ce rassemblement d’être une extraordinaire boîte à idées. Plusieurs marqueront leur époque, comme «une politique d’immigration qui enrichisse la culture et l’économie de la Nation», le français comme «seule langue officielle» du Québec et une «Charte des droits de l’Homme». D’autres resteront sans suite, telle la rédaction d’une «Constitution du Québec» reconnaissant son «droit à l’autodétermination».

La rupture

Hors du Québec, on a perçu l’événement comme une rupture, parfois même une trahison. L’historien Marcel Martel, de l’Université York à Toronto, a vu le signe précurseur de cette scission dans la dissolution, dès 1965, de l’Ordre de Jacques-Cartier, une organisation nationaliste plus ou moins secrète aussi appelée La Patente.

Selon lui, le Québec réclamant de plus en plus de pouvoir, le rapport traditionnel qui faisait des minorités hors Québec des avant-postes de la nation canadienne-française, fut inversé. L’avenir des minorités dépendrait dorénavant de l’édification d’un État national québécois.

«Les États généraux représentent le moment symbolique de cette rupture, peu importe, au fond, si elle s’y est vraiment produite, dit le sociologue d’origine acadienne Joseph-Yvon Thériault, de l’UQAM. C’est à ce moment que les francophones hors Québec ont réalisé que le Québec avait changé de trajectoire politique. Or c’était très dérangeant!»

Car, à l’époque, le Canada français n’était pas une figure de style. Pour «fonder et propager la civilisation franco-catholique sur ce continent», comme l’écrivait le journaliste Étienne Parent, on avait tissé d’un océan à l’autre un vaste réseau de journaux, d’entreprises, d’associations étudiantes, agricoles, politiques et religieuses.

L’archevêque de Montréal d’alors,Paul-Émile Léger en compagnie du premier-ministre Maurice Duplessis. La redéfinition des rapports entre le Québec et Ottawa. Les tensions entre Québec et Ottawa à l’époque de Duplessis. Au cours des 16 années où l’Union nationale est au pouvoir, soit de 1944 à 1960, les relations entre le Québec et le gouvernement fédéral sont plutôt orageuses. Au nom de l’autonomie provinciale, le premier ministre Maurice Duplessis déclare combattre la centralisation excessive d’Ottawa. Il est vrai que depuis qu’elles s’étaient octroyées des pouvoirs élargis en raison de la Deuxième Guerre mondiale, les autorités fédérales avaient une propension à investir des champs de compétence provinciale. Par ailleurs, cette attitude du gouvernement du Québec cache mal un fort penchant conservateur et rétrograde en matière de progrès social.

Dans les années 1940, le ministère de l’Agriculture du Québec n’hésitait pas à financer en Ontario la création d’une association canadienne-française de femmes d’agriculteurs!

Selon Thériault, si les francophones hors Québec disent que le Québec les a lâchés, c’est qu’ils ne voient pas que, chez eux aussi, le mouvement vers la provincialisation était amorcé. Dès le début des années 1960, les institutions canadiennes-françaises en quête de financement, comme l’Université d’Ottawa, se tournaient déjà vers leur gouvernement provincial respectif.

«On oublie souvent aussi que le nationalisme canadien-français avait été porté par une vague démographique, dit Thériault. Jusque dans les années 60, les Acadiens étaient convaincus qu’ils avaient gagné la bataille démographique.» De 17 % de la population du Nouveau-Brunswick en 1867, ils passent à 37 % en 1951.

À l’époque, André Laurendeau, écrivait même que le temps n’était pas loin où il y aurait deux provinces majoritairement françaises au Canada.

En 1961, les Acadiens étaient retombés à 33 %. La chute était encore plus prononcée au-delà de l’Outaouais. «C’est à cette époque qu’on a commencé à mesurer les ravages de l’assimilation, surtout dans l’Ouest du Canada», confirme Jacques-Yvan Morin.

Lorsque les États généraux se réuniront une dernière fois en 1969, ils n’auront plus du tout le même éclat. La scission était consommée. D’aucuns en concluront que le français n’avait plus d’avenir hors du Québec ou à proximité de ses frontières.

Réhabiliter les États généraux ?

Pour le rédacteur en chef du journal étudiant La Relève, Jean-François Laniel, il serait temps de redonner aux États généraux «une place plus honorable» dans l’histoire. La seule tenue d’un événement d’une telle ampleur devrait être un motif de fierté, écrivait-il.

Le journal ne cache pas sa volonté de contribuer à ressusciter, sous une forme ou une autre, le Canada français. Un peu comme le souhaite l’ancien ministre des Affaires intergouvernementales de Jean Charest, Benoît Pelletier, qui affirmait que le Québec était de retour dans le Canada.

«Recréer le Canada français, ça n’a aucun sens, dit Joseph-Yvon Thériault. Au lieu de dire que le Québec est de retour dans le Canada, il faut plutôt accepter que le Québec soit devenu une aire autonome. Les francophones hors Québec doivent assumer le fait qu’ils évoluent dorénavant dans un espace dont le centre est le Québec. Montréal demeure notre capitale culturelle, autrement nous régresserons vers une simple mémoire ethnique. La francophonie hors Québec doit assumer cette réalité et articuler un nouveau rapport au Québec, quel que soit le statut politique de ce dernier.»

 

L’Amérique française d’origine.

 

 

Ottawa refuse d’ouvrir la Constitution. En accédant aux demandes du Québec, le premier ministre Lester B. Pearson veut faire preuve d’ouverture à l’égard des Canadiens français. Le successeur de Jean Lesage, Daniel Johnson, souhaite pousser un cran plus loin les revendications du Québec.
Lors de la conférence fédérale-provinciale de 1968, il tente d’obtenir un statut particulier pour le Québec. Mais le ministre de la Justice d’alors et futur premier ministre du Canada, Pierre Elliott Trudeau, oppose une fin catégorique de non-recevoir. Pierre Elliott Trudeau et Daniel Johnson lors de l’annonce du Plan de développement de l’Est du Québec à Rimouski le 26 mai 1968. Deux hommes politiques. L’image vaut mille mots.

 

 

 

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LE DÉCLIN.

Toutefois, cela ne dura pas longtemps pour les collaborateurs fédéralistes et  la petite bourgeoisie néolibérale naissante car  un virus s’infiltra subrepticement dans la société francophone qui allait non seulement couler Montréal mais toute la province de Québec pour des générations à venir.

C’est ainsi qu’on vit naître des mouvements tels le  RIN (Ralliement pour l’indépendance nationale) ,un parti  politique de gauche électoraliste ,et, le FLQ (Front de Libération du Québec) qui ont réussi à vendre au  peuple ,une vision de   peur d’assimilation vers la culture anglophone. Ces mouvements produisirent…soient des Combattants  pour la Libération…soient des   terroristes (tout dépendant si vous êtes nationalistes ou fédéralistes) qui placèrent environ  95 bombes dans des boîtes postales des quartiers anglophones de Montréal jusqu’à entraîner la mort d’un policier tentant de désarmer l’une d’elles. S’en suivirent le meurtre d’un ministre du gouvernement québécois (Pierre Laporte) et de l’enlèvement d’un diplomate britannique (James Richard Cross).Vous noterez que Pierre Laporte était  un « ami » de Vincent Cotroni et qu’il a été photographié   souvent  ,prenant un verre avec le chef de la mafia  italienne de Montréal,dans des clubs du centreville.C’était un homme qui en savait trop et qui risquait  de réveiller le bon peuple qui dort toujours au gaz.

De ces deux mouvements découle la naissance du Parti Québécois (LE VIRUS) dont l’objectif  « officiel »  principal était de faire une espèce de souveraineté-association entre  le Québec et le  Canada.Mais tous savent maintenant que jamais cela ne se produira jamais ,surtout depuis que Pauline Marois a administré ce parti politique,tout aussi corrompu que le Parti libéral du Québec.René Levesque,le fondateur du Parti,n’a parlé que du bout des lèvres d’indépendance du Québec,seulement si les négociations théoriques avec le reste du Canada aurait échoué.

Deux référendums perdus sur la souveraineté ,dont un en 1995,noyauté par les fédéraliste et saboté par le scandale  des commandites et des immigrés pakistanais  , la loi sur les langues officielles (loi 101) dénaturée et négligée trop souvent, accentuaient la rapidité du déclin qui en est maintenant rendu au point où il est pratiquement irréversible.

Si on passe par-dessus quelques gouvernements éphémères, nous étions dans un carcan qui nous forçait à voter pour le parti québécois (LE VIRUS) qui, selon ses statuts, veux nous séparer du reste du Canada quelqu’en soient les coûts économiques (mais qui nous fait tourner en rond depuis 1976) ou le parti libéral dont le seul but était de se maintenir au pouvoir ,tout en faisant profité ses petits amis de l’argent public.

Le néolibéralisme  est devenu l’ennemi numéro 1 du peuple québécois!

La jeunesse québécoise ne s’identifie plus au néolibéralisme du Parti Québécois,du Parti libéral du Québec (et du Canada) de la Coalition Avenir Québec et de Québec Solidaire.

Bref,les politiciens de l’Assemblée Nationale du Québec actuelle sont disconnectés de la réalité sociale du peuple.

Pendant ces années, Montréal a perdu le titre de métropole du Canada ainsi que le titre de centre financier capitaliste du Canada le tout, ce dirigeant lentement vers Toronto et le pouvoir de Bay Street.

De plus, nous avons accumulé une dette qui est difficilement remboursable et qui nous a propulsé au premier rang au Canada,comme étant  la province la plus endettée et la plus taxée et dont le taux de chômage est toujours de beaucoup supérieure à la moyenne canadienne.

Notre service de santé et notre service d’assurance maladie était à une certaine époque notre grande fierté…qui faisait même l’envie des américains…avant l’obamacare actuelle!Maintenant,le Québec ressemble davantage à un pays du tiers- monde,après plus de 50 ans de néolibéralisme associé au crime organisé.En 2017,le Québec est davantage une république bannanière qu’un état respectable et respecté!Nous vivons sous le régime politique des gros docteurs  libéraux corrompus!

Nous avons laissé nos structures routières se détériorer jusqu’à en devenir la risée de ceux qui les utilisent.Nous continuons de tolérer les contracteurs  qui s’emplient les poches ,avec des contrats de voiries et d’aqueduc.Les maires des grandes villes sont de grands potentats pro-libéraux et nos petites villes sont à la merci d’une petite élite soutenue par des fabricants d’élections!

Nous avons eu l’audace imbécile de  laisser les francs maçons reprendre le pouvoir à Québec  par Phillippe Couillard,initié par le  grand maître de 33 ième dégré que  fut Arthur Porter,et en élisant le fils  de Pierre Elliot Trudeau ,le petit Justin Trudeau,champion des selfies,de la superficialité et grand protecteur des musulmans djihadistes et de lerus mosquées.Justin Trudeau qui fut jadis initié  par son père comme franc maçon et  présenté au communiste franc maçon Fidel Castro.

Arthur Porter a été déclaré mort…sans preuve fournie ,par les agents choisis  par Philippe Couillard,l’espion canado-saoudien!

 

Et c’est avec fierté qu’on appelle ça le MODÈLE QUÉBÉCOIS.

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LE PRÉSENT

Nous sommes maintenant dans la merde jusqu’au cou, l’étau se resserre de plus en plus et l’avenir n’apparaît pas luisant.

Nous sommes dans la merde à tous les niveaux, tant du point de vue de L’ÉCONOMIE, DE LA SANTÉ , DE L’ÉDUCATION ET DE LA LANGUE.

Comment pouvons-nous nous en sortir?

Il ne nous reste qu’une décision à prendre,mais avant d’aller à fond dans ce projet,il  faudra apprendre,chacun d’entre nous,à apprendre à acquérir et développer son COURAGE et à maîtriser sa PEUR individuelle et collective!Cela s’appelle agir en équipe,en communauté,d’un seul élan avec un BUT COLLECTIF!

Pour nous en sortir,il faudra apprendre à regarder les anglophones,non pas en envahisseur et en destructeur de notre culture,notre langue et notre territoire,mais en peuple ami qui partage un seul et même territoire!Bref,nous devons apprendre à changer,à évoluer et à nous adapter au monde actuel avant qu’il ne soit trop tard!

Pour vaincre un ennemi, nos gouvernements corrompus actuels,il nous faut nous trouver un allié qui a comme ennemi ces mêmes gouvernements libéraux et néolibéraux corrompus associés au crime organisé et aux sociétés secrètes francs maçonnes et illuminati.

Le travailleur de Toronto,de Moncton ,de Vancouvert ou de n’importe laquelle autre ville du reste du Canada qui se lève à 5h00 am pour préparer son lunch et aller travailler dans une usine,subit le même endoctrinement politique que nous: on lui  enlève la faculté de réfléchir afin qu’on puisse le contrôler  et éviter qu’il ne se réveille face au système corrompu actuel.

Le Québec est la Dernière Colonie Survivante de l’Empire Britannique,mais les travailleurs du reste du Canada n’ont jamais été consulté  pour se libérer du colonialisme britannique.Il manque au Québec un parti politique qui veut changer le système,rétablir la Justice du Peuple,écrire une véritable constitution de l’État du Québec et une main tendue vers les Premières Nations et la Nation métissée du Québec pour s’unir dans un vaste projet social québécois.

Le Canada a besoin d’un mouvement de réforme propre  afin de se débarrasser de ce système qui comme au Québec,s’est érigé à partir de la corruption ,de la collusion,du pillage des ressources du Peuple ,de l’intolérance face aux minorité fondatrices de ce pays et du crime organisé allié aux sionistes et aux terroristes islamiques qui nous envahissent de l’intérieur par « têtes de pont » ,par l’infiltration.

Vive la Désobéissance Civile du Québec et du Canada!

Longue vie aux combats actuels des Premières Nations du Québec,du Canada et des États-Unis d’Amérique!

Luttons contre le projet  mortel du pipeline  d’Endbridge!

 

Une élite pro musulmane et gauchiste appuie la dialectique de l’espion canado-saoudien au Pouvoir,Philippe Couillard!

 

Au Québec,nous refusons le califat des gauchistes néolibéraux!

 

 

 

 

La lignée du sang:les liens de parenté entre Hillary Clinton,Donald Trump,François Hollande et…Philippe Couillard

Selon  Guillaume de Morant,de la Revue Française de Généalogie,le président élu américain est loin d’ètre banal et nous réserve de grandes surprises comme son origine., mais une nouvelle fois, la généalogie vient de s’inviter dans la campagne américaine et…l’histoire du monde. Les deux candidats,Donald Trump et Hillary Clinton  sont de la même famille ! Enfin, de la même famille généalogique, car si Hillary Clinton et Donald Trump sont bel et bien cousins, leur lien de parenté n’est pas des plus proches, au 19e degré !

En fait,ce sont de grands amis qui nous jouent la comédie pour prendre  le pouvoir.
En fait,ce sont de grands amis qui nous jouent la comédie pour prendre le pouvoir.

Selon MyHeritage, leur ancêtre commun était John de Gaunt, premier duc de Lancaster, comte de Richmond et duc d’Aquitaine et leur généalogie comporte de ce fait du sang royal. Dans leurs aïeux figure également le roi Edouard III d’Angleterre, ce qui comble d’aise le public américain, très friand de ce genre de « people relation ». Les généalogistes, que tout cela ne peut qu’amuser, se plaisent aussi à commenter les découvertes de  Jean-Louis Beaucarnot dans son dernier livre « Dico des Politiques », paru récemment aux éditions de l’Archipel.

On y découvre un autre lien de parenté, inédit celui-ci, entre Hillary Clinton et le  président français  François Hollande. Ils cousinent par les aïeux québécois de la candidate américaine, née Rodham, qui descend en effet du côté maternel, via son arrière-grand-mère Delia Martin, des familles Belleperche et Couillard, qui figurent également dans l’arbre généalogique du  président Hollande. La  première semaine de novembre 2016, c’était une autre information généalogique franco-américaine qui défrayait la chronique : on avait découvert un lointain cousin français au président américain milliardaire. Avec toutes les pincettes nécessaires…


HORS TEXTE

…et Philippe Couillard dans tout cela

 

Philippe Coiuillard
Philippe Couillard

Ce fédéraliste corrompu, ardent défenseur d’un Québec inféodé à Ottawa, est issu d’une vieille famille française du Québec, dont les ancêtres ont émigré au tout début de la colonie. L’aïeul du pseudo premier ministre, Guillaume Couillard de l’Espinay, un matelot et charpentier de Saint-Servan (35), commune aujourd’hui rattachée à Saint-Malo, s’est installé en Nouvelle-France en 1613. Il a été le premier colon français anobli par Louis XIV.

 

SON ANCÊTRE DIRECT:GUILLAUME COUILLARD DE LESPINAY

guillaume-couillard-de-lespinay

COUILLARD DE LESPINAY, GUILLAUME , charpentier, matelot et calfat, fils de Guillaume Couillard et Élisabeth de Vesins, fils-frère de Louis Hébert ; Originaire de Saint-Malo ou de la paroisse de Saint-Landry à Paris; b. c.  1591; ré. 1663 au Québec.

Couillard épousa Guillemette , fille de Louis Hébert, au Québec, environ 26 août 1621. Par elle , il avait 10 enfants, et à cause des nombreux descendants de ces enfants Couillard apparaît dans la généalogie de presque toutes les vieilles familles canadiennes-françaises.

Il était venu au Canada vers 1613 selon Champlain , qui parlait bien de lui en 1628. Couillard a été l’ un des premiers à installer de façon permanente dans la colonie. Louis Hébert, le premier agriculteur, est arrivé au Québec seulement en 1617. Après sa mort en 1627, Couillard lui succède l’élevage de ses terres, ayant hérité, par sa femme, la moitié de la succession de Hébert. En outre, dans la même année (1627) Champlain a également accordé à Couillard, pour des raisons personnelles, « une centaine d’ acres de terres pour effacer et de semences, » qui bordait sur la rivière Saint – Charles. En 1632 Couillard avait près de 20 acres en culture, et en 1639 , il possédait un moulin à farine. Le 8 Juillet de la même année Huault de Montmagny lui un «greffier chargé d’inspecter les terres cultivées et la nourriture des colons du Québec.» Nommé Il avait été la première personne à faire usage d’une charrue, au printemps 1628. En 1643 , il faisait la chaux pour la Compagnie des Cent-Associés.

À la fin de Juin 1628 Champlain, alarmé par l’approche de l’anglais et la menace de la famine à Québec, a décidé d’envoyer quelqu’un à Tadoussac pour réparer et ramener un bateau, dans le but de déplacer les gens unessential vers la Gaspésie. Couillard, le seul homme capable de mener à bien cette opération, a obstinément refusé de le faire, en dépit de son état de préparation normal d’être de l’aide. Dans la crainte d’être massacrés par les Indiens, « qu’il craignait pour sa peau, et ne voulait pas quitter sa femme, de peur de la perdre. »

Lorsque le Québec a été capturé en 1629, la famille de Guillaume Couillard était la seule famille complète qui a accepté de vivre sous l’occupation, et Champlain qui lui sont confiées deux jeunes filles indiennes, Charité et Espérance , qu’il avait adoptées. Après le retour des Français en 1632 Couillard a continué à travailler sans ménagement pour la colonie.

Cette famille est rattachée à une branche  secondaire  de la famille de Donald Trump.

 

 


Robert Trump, le « cousin » mayennais de Donald Trump !

 

Robert Trump et sa femme Solange.
Robert Trump et sa femme Solange.

Un parent éloigné de Donald Trump vit en Mayenne ! Il s’appelle Robert, il a 67 ans et il habite avec sa femme à Brecé dans le nord du département. France Bleu Mayenne l’a rencontré.

Il s’appelle Robert Trump. Il a 67 ans et il est Français. Il vit dans un petit village d’à peine 800 habitants, aux confins de la Mayenne et de l’Orne. Et il aurait donc un lien de parenté avec Donald Trump. Oui, oui, vous avez bien lu, le candidat Républicain à la présidence des Etats-Unis.

La famille paternelle de Robert Trump vient de Manchester. Edmond, son grand-père, y est né avant de poser ses valises en France après la Première Guerre Mondiale. C’est donc de cette ville industrielle du nord de l’Angleterre que viendrait leur ancêtre commun, selon les recherches de Robert : « Théoriquement, c’est l’arrière-arrière petit cousin de mon arrière-grand-père. Je ne suis pas sûr du degré à 100%, mais nous avons un ancêtre commun. » Robert a d’ailleurs reçu des Etats-Unis un livre de généalogie qui recense les Trump du monde entier. Il y en a une cinquantaine en France.

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Trump, donc. Un patronyme qui ne passe pas inaperçu ces derniers temps. Robert a droit à son lot de plaisanteries tous les jours : « Je suis passionné de motos anciennes. Je traîne souvent dans les garages de la ville de Mayenne et des alentours. Quand ils me voient arriver, ils m’appellent tous Donald ! Mes voisins, quand ils me voient passer ils crient ‘tiens, v’là le président qui arrive !' »

Katia,une fille de Robert Trump et son chien Choupette.
Katia,une fille de Robert Trump et son chien Choupette.

Katia, l’une des six filles du couple Trump, y a droit aussi : « Dans les magasins, dès qu’on voit mon nom sur mon carnet de chèques ou sur ma carte bleue, la première chose qu’on me demande, c’est si je suis de la famille de Donald Trump. Ça n’arrête pas en ce moment… On m’a aussi demandé si j’avais le même caractère, mais pas du tout ! »

Donald ? Il me prend pour un Mickey ? »

Il y a près de 30 ans, le père de Robert aurait reçu une lettre d’un certain Donald Trump qui recherchait de la famille en Europe. Mais le courrier a fait long feu : « Mon père l’a ouvert et quand il a vu inscrit le nom Donald Trump, il a dit qu’il ne voulait pas qu’on le prenne pour un Mickey. Il ne parlait pas anglais. Il nous l’a dit quelques temps après. » Et c’est en lisant un article sur Donald et Ivana Trump (son ex-épouse) quelques années plus tard que Robert et sa femme ont finalement fait le rapprochement. Et commencé des recherches. Au final, ils n’ont jamais vraiment tenté d’entrer en contact avec ce lointain cousin d’Amérique. Mais pour Robert, même si la parenté est très lointaine, il y a bien comme un petit quelque chose.

« Quand on voit Donald Trump à la télévision, il y a quelques années, avant que j’aie les cheveux blancs, j’avais les cheveux roux comme lui. On appelait ça le ‘roux anglais’ quand j’étais jeune. »

La famille Trump : Robert et Solange, leur fille Katia et Dylan et Alexis, leurs petits-fils
La famille Trump : Robert et Solange, leur fille Katia et Dylan et Alexis, leurs petits-fils

 


HORS TEXTE 

John of Gaunt ,l’ancêtre commun à tous

 

Ce jour – là ,6 mars  1340 Jean de Gaunt, duc de Lancaster, est né à Gand, à partir de laquelle son nom  « de Gaunt » provient. Troisième fils d’ JohnofgauntEdouard III et de Philippa de Hainault. Il est dit que la meilleure façon de lui faire jeter un accès de rage était de se référer à la rumeur qui dit qu’il n’a pas été le fils d’Edouard III, mais d’un boucher  de Gent.

Sa connaissance du service actif a commencé à un jeune âge, à l’âge de seulement 10 ans il accompagne son père et son frère aîné Edward, le Prince Noir, sur une expédition navale dans la guerre avec la France. Dans l’ensemble ce fut une expédition réussie, que plusieurs des navires ennemis ont été capturés, mais cela aurait également pu être la fin du jeune John et de  son père, parce que le navire transportant le roi et ses fils a été heurté et a commencé à couler avant tout ont été sauvés par Henry, 1er duc de Lancaster et le père de Jean de la première femme de John de Gaunt.

Apparemment , c’ était Edward qui était le héros, aux côtés du Duc mentionné ci -dessus, dans la vie de jeune John, et entre les âges de 10 et 15 ans, John vivait à la maison d’Edward. Il a fonctionné comme un mentor pour son jeune frère et présenté selon Froissart à John comme son «très cher et bien – aimé frère »
Le Prince Noir était l’héritier du trône , qui n’a jamais pu le réclamer, comme il est mort avant que son père Edward, et la succession est allé à son propre fils Richard, qui est devenu Richard II. John of Gaunt aimait beaucoup son influence pendant la minorité de son neveu, mais il  voulait gouverner réellement, cependant, c’était entre les mains d’un conseil, comme la plupart de la noblesse préfèrait  cela à avoir John de Gaunt comme régent réel.

Seuls quelques années dans le règne de Richard II, la Peasant’s Revolt a éclaté comme une protestation à l’ambition de percevoir les impôts  en 1380-1381, qui a été initié par John de Gaunt. Ce fut la seule fois qu’une rébellion armée a réussi à franchir les portes de la Tour.

Contrairement à son frère Edward, John n’a jamais été un commandant de guerre distingué, et il a été le premier à conclure que la guerre avec la France était impossible de gagner en raison de la main-d’oeuvre de qualité supérieure et des ressources financières commandée par la France. Dès les années  1370, il a pris part aux  premières étapes de négociations de paix. On ne peut guère attendre qu’il ait su que son petit-fils Henri V serait en commande d’au moins une glorieuse victoire sur les Français, à  Agincourt en 1415, 16 ans après le décès de John de Gaunt.

Marriage_of_blanche_of_lancster_and_john_of_gaunt_1359John of Gaunt a été marié trois fois,soit  à Blanche de Lancaster,à l’ infante Constance de Castille et la dernière et non la moindre, Katherine Swynford, maîtresse de longue date et mère de ses enfants avec le nom de Beaufort qui devint sa femme après que  Constance fut  morte. Katherine Swynford, probablement né à Hainault comme l’une des trois filles – dont l’une, Philippa, plus tard se marierait au  poète Geoffrey Chaucer – et un fils du héraut et plus tard chevalier Paon de Roet. Elle entra dans la maison de Jean de Gand comme gouvernante de ses filles Philippa de Lancaster et Elizabeth de Lancaster.

Le mariage entre John of  Gaunt et Kathrine Swynford a eu lieu après avoir donné naissance à des enfants, mais ils ont été légitimée après le fait.
Katherine SwynfordLes gens font parfois sortir, normalement pour invalider la demande Tudor au trône, que la progéniture de Beaufort avait été interdit de jamais hériter du trône, mais il faut savoir que cela était loin d’ être fait par John de Gaunt lui – même, mais par leur moitié -son Frère Henri IV, sur l’autorité douteuse et très probablement pour des raisons égoïstes.

John of Gaunt était ainsi le grand-père paternel de Margaret Beaufort, elle-même mère, comme nous le savons tous, de Henry VII.

Grâce à sa femme Blanche de Lancaster , il était aussi le père d’Henri IV et  grand –père et grand – père d’Henri V et Henri VI respectivement.
Il est mort à l’âge de 58 ans en 1399, et fut enterré dans la cathédrale Saint – Paul à côté de sa première femme, Blanche de Lancaster. Leur tombeau a été malheureusement perdu dans le grand incendie de 1666.

 

 

 

 

 

 

Le drapeau de John of Gaunt fut ressorti en 2006 pour le Jour de l'Empire (Imperial Day)
Le drapeau de John of Gaunt fut ressorti en 2006 pour le Jour de l’Empire (Imperial Day)

 

Armoiries de John of Gaunt.
Armoiries de John of Gaunt.

 

 

La lignée du Sang les rattache au trône d’Angleterre,aux Francs maçons,aux sionistes et aux…Templiers!