D’importantes raisons de ne jamais manger de thon en conserve

PREMIÈRE RAISON:

 

Le thon est l’un des produits alimentaires les plus consommés non seulement dans notre pays, mais dans le monde entier. Son goût n’est pas seulement agréable, mais parce qu’il est préservé, il nous permet de l’apprécier sans avoir à allumer de feu dans la cuisine, ce qui en fait un plat idéal pour les jours où l’on n’a pas envie de cuisiner. Le fait qu’il soit consommé à ce point n’enlève rien au fait qu’il n’est pas sans danger, car son ingestion, surtout si elle est faite régulièrement, peut entraîner de graves problèmes pour votre santé. Ainsi, nous vous donnons jusqu’à six raisons pour lesquelles vous devriez arrêter de prendre du thon en conserve, ou du moins le faire de façon beaucoup plus responsable et être conscient des risques encourus.


SECONDE RAISON:

 

 

Comme pour les autres espèces marines, le thon contient de grandes quantités de mercure, dépassant souvent les niveaux tolérables par le corps humain. Dans ce contexte, une attention particulière doit être portée, car dans ce cas, c’est le méthylmercure qui, lorsqu’il est ingéré, entraîne chez l’homme de graves complications dans les yeux, les reins et les poumons, ce qui est plus que suffisant pour arrêter l’ingestion de cet aliment.


TROISÈME RAISON :

LE SEL

L’une des choses qui attirent le plus ce poisson est sa saveur intense, quelque chose qui est réalisé, en grande partie, aux grandes quantités de sel qui sont ajoutés artificiellement. Bien que le sodium qui fait partie du sel soit essentiel à certaines fonctions organiques comme l’homéostasie cellulaire ou la régulation de la tension artérielle, une consommation excessive augmente le risque d’AVC et de crise cardiaque.


QUATRIÈME RAISON

LA PÈCHE INTENSIVE

Caged bluefin tuna are being fattened for the sushi market.
Le thon rouge en cage est engraissé pour le marché des sushis.

Comme pour d’autres espèces de poissons, la pêche intensive du thon appauvrit non seulement l’espèce elle-même, mais endommage également les écosystèmes dans lesquels elle vit, car les engins de pêche utilisés sont plus fréquents que ce qui est acceptable et endommagent leur habitat.

 


CINQUIÈME RAISON:

GASPILLAGE ET TOURS DE PÈCHE NOMBREUX

Malheureusement, la pêche du thon qui finit par être servi dans les boîtes de conserve que nous achetons dans les supermarchés n’est pas réglementée et affecte la survie d’autres espèces, sans parler des dauphins, car ils finissent dans leurs filets par erreur et meurent sans aucune chance de survie après avoir été capturés, car ils ne sont généralement pas relâchés après avoir été pris dans leurs engins de pêche.


SIXIÈME RAISON:

LES PARASITES

Une autre bonne raison d’éviter la consommation de thon est qu’à l’intérieur de ces poissons, on peut trouver des parasites cachés dangereux pour la santé humaine, des micro-organismes qui ne sont pas toujours éliminés par la cuisson. De plus, il met également en évidence la présence d’histamine dans ces poissons, une substance qui se forme dans certains aliments fermentés et dans les poissons (surtout s’ils sont mal conservés), ce qui, dans certains cas, peut causer des maladies très semblables à une allergie. Dans le cas du thon en conserve, une fois ouvert, il est recommandé de le consommer rapidement et de ne pas conserver les restes.

 


SEPTIÈME RAISON:

LA RADIOACTIVITÉ  POSSIBLE

Les radiations s’étendent maintenant à tout le Pacifique.

Regardez l’origine du produit:si un pays asiatique ,en particulier le Japon est inscrit sur la boîte,n’achetez pas et surtout évitez absolument de la consommer.

La région de Fukushima rejette plus de 400 tonnes métriques d’eau irradiée par jour et les eaux marines au large de ce site sont depuis des millénaires ,une zone de reproduction privilégiée pour les thons du Pacifique.

De plus,devant le nombre de rejets par les autorités des pèches maritimes des États-unis,le gouvernement américain a relevé les taux  acceptables de radiation  dans les thons apportés aux quais  de la Côte-Ouest américaine!


EN CONCLUSION

Est-ce que le risque de perdre en partie ou en totalité  votre santé pour le plaisir d’ouvrir une boite de thon aux couleurs  invitantes en vaut vraiment la peine?

 

 

 

 

 

La photo du jour:Ouverture d’une nouvelle enquête sur la catastrophe de Fukushima

Un simple travailleur de Fukushima qui risque sa vie…chaque jour!

 

La Commission japonaise de réglementation de l’énergie nucléaire (NRA) va ouvrir une nouvelle enquête sur la catastrophe de Fukushima, a-t-elle annoncé mercredi.

Le séisme et le tsunami de mars 2011 ont entraîné l’explosion et la fusion des trois réacteurs de la centrale ainsi que l’évacuation de 160.000 personnes, dont beaucoup ne sont jamais revenues.

La nouvelle enquête permettra de déterminer où les cuves de confinement des réacteurs laissent échapper des radiations, précise la NRA. Les systèmes de refroidissement installés pour empêcher la surchauffe du combustible entré en fusion seront également examinés.

L’accident d’une gravité sans précédent depuis celui de Tchernobyl en 1986 a entraîné la mise à l’arrêt de tous les réacteurs japonais, qui fournissaient un tiers de l’électricité nationale.

Il a fait l’objet de plusieurs enquêtes, dont l’une a conclu qu’il s’agissait « d’une catastrophe d’origine humaine qui aurait pu et aurait dû être envisagée et évitée, et dont les conséquences auraient pu être atténuées par une réaction plus efficace ».

En 2016, le gouvernement a estimé que le coût total du démantèlement des installations, de la décontamination des zones touchées et des dédommagements s’élèverait à 21.500 milliards de yens (180 milliards d’euros), soit un cinquième du budget annuel du Japon.

 

 

Faux-culs: Le gouvernement japonais admet la première mort par irradiation à Fukushima! Trop forts des japonais ! — La vérité est ailleurs

Faux-culs: Le gouvernement japonais admet la première mort par irradiation à Fukushima Publié par wikistrike.com sur 9 Septembre 2018, 08:45am Catégories : #Santé – psychologie Faux-culs: Le gouvernement japonais admet la première mort par irradiation à Fukushima Par Tyler Durden Plus de sept ans après le tremblement de terre et le tsunami qui ont dévasté […]

via Faux-culs: Le gouvernement japonais admet la première mort par irradiation à Fukushima! Trop forts des japonais ! — La vérité est ailleurs

Des traces radioactives de Fukushima retrouvées dans le vin californien

Le désastre de Fukushima.

 

À la suite de l’accident de la centrale nucléaire de Fukushima en 2011, des résidus radioactifs se sont répandus dans les zones environnantes. Sept ans plus tard, des traces de la catastrophe ont été trouvées à l’autre bout du monde – dans le vin californien.

La catastrophe de Fukushima, survenue en 2011, aura donc laissé des traces, aussi infimes soient-elles. Un groupe de physiciens nucléaires français a récemment testé 18 bouteilles de rosé et de cabernet sauvignon californien produites entre 2009 et 2012 dans la Napa Valley – une célèbre région viticole de Californie située au nord de San Francisco. En comparant les différents produits, ils ont constaté que les vins produits après la catastrophe présentaient des niveaux de césium 137, une particule radioactive artificielle.

Afin de quantifier les niveaux de césium 137, les chercheurs ont mis en œuvre une technique particulière de mesure de radioactivité : la spectrométrie gamma. En mesurant l’énergie des rayonnements gamma émis par une substance, elle permet d’identifier la nature de la source de radioactivité. La technique permet aussi d’attester précisément de l’année de production d’un vin (pour éviter les fraudes).

Pour concentrer au maximum les infimes traces isotopiques, les scientifiques ont ensuite porté le vin à une température de 500 °C, et ce durant plusieurs heures. Ce faisant, les chercheurs ont ainsi transformé le vin en « cendres », dont l’analyse a permis de révéler la contamination liée à la libération de particules radioactives par l’explosion de la centrale de Fukushima.

Bien qu’ils aient trouvé des niveaux assez élevés de résidus radioactifs, les experts assurent dans les colonnes du New York Times qu’il n’y a rien à craindre. Il n’y a pas de « problèmes de santé et de sécurité pour les résidents de la Californie », a déclaré sur ce point le département de la santé publique. Même au Japon, bien que plus de 100 000 personnes aient été évacuées de leurs maisons, aucun décès ni aucune maladie liée aux rayonnements n’ont été rapportés jusqu’à présent, rapporte la World Nuclear Association.

Vous retrouverez tous les détails de cette étude sur Arxiv.

Source

 

 

Alerte Fukushima:Des déchets radioactifs à perte de vue sur l’ensemble des sites

Le vaste chantier de décontamination à Fukushima engendre une énorme quantité de déchets radioactifs. Les autorités en attendent 22 millions de mètres cubes après incinération des déchets organiques. D’ici 2021, 15,2 millions de mètres cubes devraient être entreposés « provisoirement » sur un site de 16 km2qui entoure la centrale accidentée, sur les communes d’Ôkuma et Futaba. En attendant, ces déchets s’entassent un peu partout, parfois à perte de vue.

 

L’Acronique de Fukushima a publié, il y a un peu plus d’un an, un reportage sur toute la chaîne de gestion de ces déchets, avec des photos et des vidéos. Greenpeace Japon vient de mettre en ligne des images de ces déchets vus du ciel : La première vidéo en japonais est visible sur Youtube, la seconde en allemand est visible ici.

 Une note en anglais de Greenpeace fait aussi le point sur les déchets radioactifs.

 La décontamination, presque terminée officiellement, sauf dans les zones dites de « retour difficile », ne concerne que les zones habitées qui deviennent des oasis au milieu des montagnes et des forêts qui couvrent 75% du territoire de la province de Fukushima. La décontamination de petites zones dans les territoires les plus contaminés est prévue pour ne pas rayer de la carte deux communes, même si les habitants ne rentreront pas. L’obstination de la reconquête, jusqu’à l’absurde.

 

 

Des pêcheurs japonais attrapent une créature monstrueuse près du site de Fukushima

 

Ce doit être un « jour de chance » pour ces pêcheurs japonais qui ont pêché un poisson colossal au large de la côte nord de l’île d’Hokkaido, au Japon, près de la Russie. Cette créature marine qui semble terrifiante est-elle le résultat des radiations de la catastrophe nucléaire de Fukushima ?

Les pêcheurs ont été stupéfaits par leur prise gigantesque. Hiroshi Hirasaka, qui se rend souvent à Hokkaido pour y attraper d’étranges animaux marins, a écrit un livre intitulé Exotic Fish Species : I Caught, Judged and Tried Eating(Espèces de poissons exotiques : J’ai attrapé, jugé et essayé de manger). Il a publié une photo de lui-même sur Twitter, « arrivant à peine à tenir » l’énorme « monstre » avec une énorme bouche béante.

 

Hirasaka a dit que cette créature terrifiante, qu’ils ont tirée de l’océan, était en fait un « loup de mer de Béring ». Il a écrit : « Ça valait la peine de prendre deux fois l’avion vers [Hokkaido] en l’espace de trois mois. Ce poisson est super cool. »

La prise a une valeur exceptionnelle, car ce genre loup de mer qui semble féroce se trouve généralement en haute mer, dans les océans Pacifique et Atlantique et nage donc rarement près de la surface.

Les loups de mer mesurent en moyenne environ 90 centimètres de long, mais apparemment, la créature qu’Hiroshi avait attrapée était plus longue que cela. On croit que le sien est l’un des plus gros loup de mer jamais enregistrés dans l’histoire !

Sa taille exceptionnellement énorme a soulevé des questions sur les mutations causées par les radiations, car la créature a été capturée près du site de la catastrophe nucléaire de Fukushima de 2011.

 

Cependant, Earth Touch News Network soupçonnait que cela pouvait être le résultat d’une illusion optique : Hirasaka aurait pu faire paraître le poisson plus gros en le rapprochant de l’objectif de l’appareil photo.

Le Dr Timothy Mousseau, spécialiste des radiations à l’Université de Caroline du Sud, a déclaré à IBTimes UK  que le loup de mer géant n’est probablement pas le résultat d’une mutation causée par les radiations. « D’abord et avant tout, simplement parce que les effets des mutations réduisent généralement les taux de croissance pour rapetisser les choses », a déclaré M. Mousseau.

« Ils grandissent moins bien. Ils sont moins à même d’attraper de la nourriture et ont tendance à vivre moins longtemps. La plupart des effets de mutations accrues sont néfastes. Très peu de mutations conduisent par contre à de très grosses tailles », a-t-il ajouté.

C’était quand même une prise inhabituelle – le loup de mer capturé par Hirasaka est un très vieux spécimen en bonne santé. Mousseau explique : « Si vous regardez bien et assez longtemps, il y en a toujours quelques-uns qui réussissent à survivre assez longtemps pour atteindre ces grandes tailles. »

 

 

 

 

 

Fukushima : une bombe de la 2e guerre mondiale découverte dans la centrale nucléaire

Une bombe de la 2e guerre mondiale vient d’être découverte dans l’enceinte de la centrale nucléaire de Fukushima au Japon. Heureusement, l’engin découvert à l’occasion de la construction d’un parking pour l’équipe de décontamination, se situait assez loin des réacteurs 2 et 3 du site. Les forces d’autodéfense japonaises seront chargées de l’enlever. 

 

Voici la bombe M 43:une bombe régulière embarquée jadis sur le bombardier B-17.

Un porte-parole de Tepco rapporte à l’AFP qu’une bombe de 85cm de long et 15cm de diamètre a été découverte mercredi à 7h30 locales dans l’enceinte de la centrale nucléaire de Fukushima (Japon). L’obus, datant de la seconde guerre mondiale, a été découvert par une équipe de construction qui était en train de construire un parking. Les forces d’autodéfense de l’archipel seront chargées de retirer l’obus du site.

Fukushima : où en est la décontamination à la centrale nucléaire accidentée ?

La découverte n’est pas vraiment une surprise : la région a été copieusement bombardée par l’US Air Force pendant la guerre. Elle abritait une base militaire nipponne et depuis, de nombreuses bombes ont été retrouvées dans la région. Mais c’est aussi l’occasion de prendre des nouvelles de la décontamination de la centrale. Un robot a pu pénétrer récemment dans la cuve du réacteur numéro trois.

Et y a retrouvé des amas solidifiés qui pourraient être le fameux combustible fondu, que les liquidateurs peinent à retrouver depuis le tsunami et le terrible accident nucléaire qui a suivi. Le principal problème reste qu’il faut toujours continuellement refroidir les réacteurs avec de l’eau qui finit pour partie par s’infiltrer dans le sol et atteindre les nappes phréatiques et l’océan.

On estime que 300 tonnes d’eau fuient ainsi dans le sol chaque jour. Le reste de l’eau est en permanence décontaminée. Mais alors que ce procédé est capable d’éliminer 62 types de matières radioactives, elle reste tritiée, c’est à dire contaminé par le tritium, un isotope de l’hydrogène hautement radioactif, mais dont la demi-vie est relativement faible (environ 12,32 ans).

Cette eau est ainsi stockée dans 580 immenses réservoirs, mais cela ne suffit malheureusement pas. À la mi-juillet, un responsable de Tepco a annoncé que plusieurs centaines de tonnes de cette eau faiblement contaminée serait rejetée dans la mer, faute d’autre solution. Suscitant l’inquiétude des pêcheurs de la région. En outre la décontamination totale de la centrale pourrait prendre plus de 40 ans en raison du fort niveau de radiations.

 

Une bombe M 43 découverte récemment.

 

Alerte Fukushima:Tepco reconnaît que le combustible fondu s’est réparti en plusieurs endroits du réacteur 2

Le 30 juin 2016, Tepco reconnaissaît que le combustible fondu s’est réparti en plusieurs endroits dans le réacteur 2.

La photo interne du réacteur no 2 qui dérange:la matière en fusion radioactive s’est répandu partout.

Depuis ce temps,Tepco a effectué une recherche en balayage aux muons avec le KEK (High Energy Accelerator Research Organization).
Tepco décrit les résultats de cette recherche en disant qu’il est hautement probable que la majeure partie des combustibles nucléaires fondus soient restés au fond du réacteur, à l’intérieur de ses structures. Ils ont aussi détecté une partie des combustibles fondus contre un mur du réacteur. Ceci signifie que le magma a éclaté en plusieurs morceaux, restés en différents endroits.Les scientifiques de  Tepco ne précisent pas le pourcentage de combustible fondu qu’ils ont pu détecter.
Tepco n’identifie pas non plus les endroits, donc on ne peut être certain que le combustible fondu soit entièrement resté dans l’enceinte pressurisée du réacteur ou en dehors dans l’enceinte de confinement principale.

Donc,il est presqu’impossible de pouvoir dormir tranquille là-dessus car on ignore le développement réel  de la situation interne du réacteur no 2 qui,comme on le sait,a atteint un niveau record de radio-activité.


Iori Mochizuri avec son seul compagnon.

*Une information de notre correspondant  Iori Mochizuki,à Fukushima.
Il était à Yokohama, qui  se trouve environ 300 km de la centrale nucléaire de Fukushima lorsque l’événement du  311 a  eu lieu.
Il a commencé à écrire quand il a été obligé de recueillir des informations pour décider de partir  ou non.
En ce moment, c’est le seul correspondant de nouvelles au monde sur le sujet de Fukushima qui écrit en anglais en tant que  citoyen japonais qui était là le 11/03/2011.

Plusieurs articles sont publiés tous les jours et tous les articles portent sur la situation actuelle du plan de Fukushima, les problèmes de santé en cours chez les Japonais, la situation des médias et les effets globaux, etc. La plupart ne sont pas couverts par les médias partout dans le monde.

Iori Mochizuki doit constamment  se  méfier des autorités japonaises qui cherchent à le faire taire car il exporte les information à l’extérieur du Japon.

 

 

 

Alerte Fukushima: grave élévation du niveau de radioactivité sur les fruits de mer

 

Bronwyn Delacruz

 

Bronwyn Delacruz, une étudiante de l’école secondaire de Grande Prairie, Alberta, Canada a découvert qu’une variété de fruits de mer, en particulier les algues, sont imprégnées de niveaux élevés de rayonnement. (1) (7) Après cela,elle est devenue préoccupé par le peu d’inspection des aliments sur les étalages canadiens qui devrait effectivement  avoir  lieu avec notre nourriture, et de découvrir que l’Agence canadienne d’inspection des aliments (ACIA) a cessé ses tests d’ essai  sur les aliments importés (cf: pour évaluer le rayonnement) en 2012.Depuis lors,elle a décidé de mener ses propres tests et ses propres enquêtes.

Des niveaux de radiation qui menacent votre santé.
Des niveaux de radiation qui menacent votre santé.

Elle a utilisé un compteur Geiger (que d’autres ont fait et ont également trouvé des niveaux élevés de rayonnement) dans le cadre d’un projet de science, qui se affiche à la Foire nationale canadienne .

Certains des échantillons de  varech que je ai trouvé était plus élevé que ce que l’Agence internationale de l’énergie atomique établit que la contamination radioactive, qui est de 1450 compte sur une période de 10 minutes. Certains de mes échantillons ont atteint des niveaux  comme 1700 ou 1800.   (1)

 

 

 

Elle assiste le Composite High School, et elle a testé plus de 300 échantillons individuels d’algues, avec 15 marques exportées du Nouveau-Brunswick, la Colombie-Britannique, la Californie, Washington, la Chine et le Japon. Chaque produit a été acheté dans un magasin d’épicerie Alberta.

Je voulais juste pour voir s’ils ont  été contaminé et j’ai trouvé des niveaux de contamination radioactive dans tous les échantillons », dit-elle. «Je suis un peu inquiète que tout cela atterrisse dans nos épiceries. Le niveau du varech était plus élevé que ce qui a été considéré comme dangereux, certains d’entre eux se rapprochait de 1700, 1800 (chiffres) »  (7)

Comme la plupart d’entre vous, la lecture de tout cela,vous  saurez, lorsqu’il s’agit de catastrophes environnementales, les retombées nucléaires de Fukushima sont parmi les pires qui se sont passé dans l’histoire. Nous parlons d’un incident qui continue de produire plus  de 300 à plus de 450 tonnes d’eau contaminée qui contient de l’iode radioactif, le césium et le strontium-89-90 fuite dans l’océan Pacifique sur une base quotidienne, même des années après que  l’événement a eu lieu .

Il n’y a pas longtemps, des poissons avec des niveaux mortels de césium radioactif ont été capturés au large de la côte de Fukushima. Plusieurs poissons ici ont montré des  niveaux de radioactivité qui ne sont pas sans danger pour la consommation humaine. L’un des échantillons (une dorade noire) pris à  40 kilomètres au sud de la centrale,a été  testé à 12 400 becquerels par kilogramme de césium radioactif, ce qui en fait 124 fois plus mortel que le seuil considéré comme sûr pour la consommation humaine.  (3)

La fameuse dorade noie testée à 12 400 becquerels par kilogramme de césium radioactif.Ce poisson aurait une dose létale 124 fois plus puissance que l’être humain peut supporter.

Mais comme ce rayonnement a atteint l’Amérique du Nord,qu’en est-il des aliments importés? Selon des chercheurs de l’Australie, la France et l’Espagne:

Suite à la catastrophe de Fukushima de Mars 2011, de grandes quantités d’eau contaminés par des radionucléides, y compris du césium-137, ont été libérés dans l’océan Pacifique. Avec une demi-vie de 30,1 années, le Cs-137 a le potentiel de se déplacer sur de grandes distances à l’intérieur de l’océan. Notre recherche suggère que les courants  d’eau près de  Fukushima vont faire  dériver le  Cs-137 qui va pénétrer l’océan intérieur et s’étendre aux autres bassins océaniques au cours des deux prochaines décennies et au-delà.  (2)

Les scientifiques ont estimé que à partir de  2014 , le panache radioactifs de la catastrophe de Fukushima ,s’échappant de la centrale nucléaire depuis 2011 ,a déjà atteint les côtes de l’Amérique du Nord, malgré que l’alarme au  rayonnement atmosphérique avait été  détecté sur la côte ouest américaine, quelques jours après l’incident. Les modèles  par ordinateur ont tous également identifié que le rayonnement voyagerait  à travers les océans du monde pour les années à venir . ( 4 ) ( 5 )

Bien que, »officiellement parlant », les évaluations gouvernementales venant des ministères  de la santé publique ont été faites illustrant que les particules radioactives qui font leur chemin jusqu’aux eaux d’Amérique du Nord auront un effet limité sur la santé humaine, beaucoup de gens ne le croient pas, et le projet de l’école secondaire de Bronwyn semble soulever de nombreuses questions.

Les quantités de rayonnement de fuite sont nocives pour la planète et la santé de toutes les espèces, y compris les humains. Une version majeure de la radioactivité, comme celle de Fukushima, est une préoccupation majeure, avec les inconnues restant autour de nombreux risques pour la santé à long terme tels que le cancer,les mutations animales,etc. (4) (5)

Une étude publiée dans la revue par des pairs  au Journal of Pediatrics  a constaté que l’iode radioactif de Fukushima a provoqué une augmentation significative de l’hypothyroïdie chez les bébés en Californie. (6)  Même si le Japon est de 5000 miles à travers l’océan Pacifique, l’étude a révélé que  les niveaux très élevés de rayonnement bêta atmosphériques sur la côte ouest sont directement corrélés avec cette tendance courante chez les nouveau-nés après la catastrophe nucléaire de Fukushima.

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DE NOMBREUSES NOUVELLES ESPÈCES EN MUTATION  …DONT UN MONSTRUEUX PRÉDATEUR

 

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Australie : Un requin blanc de 3 mètres mangé par un super-prédateur ? 

 

Au cours d’une étude scientifique réalisée au large des côtes australiennes, le chercheur Dave Riggs a fait une découverte surprenante. Après avoir posé une balise sur un requin adulte de 3 mètres, celui-ci a retrouvé quelques mois plus tard l’appareil échoué sur une plage sans plus aucune trace du squale. En examinant la balise de plus près, le chercheur a conclu que le requin avait certainement été avalé tout cru par un monstre marin encore inconnu. Qu’a-t-il bien pu arriver à cette femelle requin que Dave Riggs et son équipe étaient parvenus à étiqueter quelques mois plus tôt dans le cadre d’une expérience scientifique? Après l’avoir relâché dans la nature, ceux-ci ont réalisé avec stupeur que quelques temps plus tard, le grand squale avait disparu au fond même de l’estomac d’un autre prédateur… La disparition mystérieuse d’un requin blanc Au cours d’un grand projet d’étiquetage des requins blancs qui se déroulait en Australie, Dave Riggs et son équipe s’étaient employés à marquer un requin femelle de 3 mètres afin de pouvoir suivre ses pérégrinations au large des côtes. Mais 4 mois plus tard, les scientifiques sont tombés des nues lorsqu’ils ont découvert la balise échouée seule sur une plage, et plus de requin du tout! En examinant d’un peu plus près la pièce contenant des informations sur l’itinéraire du grand blanc, Dave Riggs et ses équipiers ont fait une découverte plutôt troublante. La veille de Noel, le requin se serait dirigé à grande vitesse vers le fond de l’océan à près de 600 mètres de profondeurs où les températures avoisinent les 7 °C. En quelques secondes, la balise aurait ensuite enregistré un brusque changement de température équivalent à 26 degrés Celsius. Pour les chercheurs, pas de doute: le requin avait certainement dû se retrouver avalé dans le ventre d’un animal encore bien plus imposant que lui. Sur la piste d’un squale cannibale ? Car selon Dave Riggs, il ne fait aucun doute qu’un tel écart de températures ne peux s’expliquer que par le fait que le requin de 3 mètres a certainement été avalé tout rond par un autre animal. Reste à savoir lequel? Super-prédateur, squale cannibale? Quel genre de monstre marin le requin marqué par l’équipe de Dave Riggs a-t-il pu rencontrer le jour de sa disparition? Selon les hypothèses avancées, celui-ci aurait pu croiser la route d’une créature capable de mesurer plus de 5 mètres de long et de peser près de 2 tonnes.

 

 

 

 


LE CANADA DANS TOUT CELA

 

Delacruz espère également attirer l’attention des législateurs à Ottawa une pétition exhortant le gouvernement fédéral à faire plus de tests de rayonnement sur la nourriture.

L’ACIA déclare en ligne qu’il « continue de surveiller les événements au Japon », mais n’a pas de plans immédiats pour reprendre les tests de rayonnement régulier, notant que « les contrôles japonais sur la vente de produits contaminés restent intacts. »

L’agence a fait des tests approfondis sur une variété d’aliments pour un an et demi après la catastrophe nucléaire au Japon, mais n’a trouvé aucune source de préoccupation à ce moment-là.

« Plus de 200 échantillons d’aliments ont été testés et tous ont été jugés en deçà des niveaux de radioactivité de une action de Santé Canada, » l’ACIA indique dans un affichage Février 2014 son site Web . « À ce titre, l’amélioration des contrôles à l’importation ont été levées et aucun test supplémentaire n’est prévu. »

Donc,nous ,les consommateurs québécois et canadiens,sommes abandonnés  à nous-mêmes afin que la loi néolibérale du libre-marché puisse continuer à survivre…avec  les profits capitalistes qui vont avec.

Triste société qui ose prétendre respecter le droit,la démocratie,le bonheur,le respect…!Youhou Justin Trudeau sort de tes prières islamiques!

 

 

Que pouvons-nous faire à ce propos?

Pour nous ignorer complètement cette situation et nier ce ne est pas la réponse, ce est pourquoi la sensibilisation continue est essentielle pour apporter des changements. Une chose que nous pouvons faire à ce sujet, comme un eefort collectif humain, est de changer la façon dont nous regardons les méthodes de production d’énergie. De toute évidence,   nous ne avons pas besoin de réacteurs nucléaires pour bouillir l’eau pour produire de la vapeur afin de pousser une turbine qui produit de l’électricité, il y a de meilleures façons et il est temps de les mettre en œuvre.

Un autre aspect très important est la puissance de la conscience. Un certain nombre d’études scientifiques ont prouvé que la conscience seule a le pouvoir de modifier le monde matériel physique que nous percevons autour de nous (vous pouvez en lire plus à ce sujet  ici ), ce qui inclut la guérison par intention. Par la sensibilisation, et vraiment réaliser combien dommageable ces retombées sont néfastes et négatives pour toutes les formes de vie. Il nous faudra une grande quantité d’amour, la prière et l’intention de cicatriser  ces blessures  dirigées vers nos eaux et la région environnante. Il ne fait aucun doute dans mon esprit que la puissance de la conscience joue un rôle important dans le nettoyage de ce gâchis.

Fukushima est juste une autre occasion pour la race humaine de se réveiller.Il ne  nous sera pas donné des possibilités illimitées, mais ces événements  nous serviront à ouvrir les yeux sur notre potentiel illimité pour créer quelque chose de nouveau,UNE ÈRE NOUVELLE, et d’exploiter d’une manière qui est plus en harmonie avec la planète et tous les êtres avec qui  nous partageons notre petite planète bleue.

Il y a aussi des exemples de scientifiques offrant des solutions. Un de ces exemples proviennent de la Fondation Keshe, et vous pouvez en savoir plus à ce sujet  ici .

 

Sources:

(1) http://metronews.ca/news/calgary/982233/alberta-students-science-project-finds-high-radiation-levels-in-grocery-store-seafood/

(2) http://www.sciencedirect.com/science/article/pii/S096706371300112X

(3) http://rt.com/news/fukushima-fish-cesium-radiation-548/

(4) http://www.davidsuzuki.org/blogs/science-matters/2013/10/despite-fukushima-scientists-say-eating-west-coast-fish-is-safe/

(5) http://www.climatescience.org.au/content/336-fukushima-radioactive-plume-reach-us-three-years

(6) http://www.scirp.org/journal/PaperInformation.aspx?PaperID=28599#.U0WMjV5n9GE

(7)  http://www.dailyheraldtribune.com/2014/03/25/local-science-project-finds-high-levels-of-radiation-in-seaweed

https://twitter.com/gpchs_gppsd

http://www.gppsd.ab.ca/school/gpcomposite/Pages/default.aspx

Alerte Danger Planétaire:les radiations en provenance de Fukushima ont atteint un niveau « inimaginable »

De septembre 2012 à novembre 2014,les fuites radioactives conséquentes à l’arrosage continue des réacteurs sont passées de 200 à 450 tonnes d’eau métriques chaque jour.Depuis janvier 2017,tout semble s’aggraver sans possibilité  d’en  connaître beaucoup plus.Mais depuis l’an passé,les fuites  d’informations ont forcé TEPCO à rendre public certaines informations,mais le gouvernement japonais censure tout.

 

Le niveau des radiations à l’ intérieur d’ un des réacteurs endommagés à la centrale nucléaire de Fukushima a atteint un  » inimaginable niveau » selon les experts. Parce que beaucoup de matériel nucléaire de Fukushima a échappé dans l’océan Pacifique, il y a beaucoup de scientifiques qui croient que ce fut la pire catastrophe écologique de l’histoire de l’ humanité, mais la plupart des gens dans la population générale semblent penser que , puisque les médias traditionnels vraiment ne parlent pas à ce sujet plus que tout doit être sous contrôle. Malheureusement, ce n’est pas vrai du tout. En fait, PBS arapporté l’an dernier que « il est inexact de dire que Fukushima est sous contrôle lorsque lesniveaux de radioactivité dans l’océan indiquent des fuites en cours « . Et maintenant , nous venons d’ apprendre que le niveau de rayonnement à l’ intérieur du réacteur 2 est si élevé qu’aucun humain ne pourrait survivre à une simple exposition.

Grues sur la centrale de Fukushima Daiichi en Février 2016. Le processus de démantèlement devrait prendre environ quatre décennies

Selon le Japan Times , le niveau de rayonnement à l’ intérieur de la zone de confinement du réacteur 2 est maintenant estimé à «530 sieverts par heure » …!

Le niveau de rayonnement dans l’enceinte de confinement du réacteur 2 à la centrale de Fukushima n ° 1  (qui est endommagée) a atteint un maximum de 530 sieverts par heure , le plus élevé depuis la crise de « triple core » en Mars 2011,a déclaré Tokyo Electric Power Co. Holdings Inc. .

Tepco a déclaré jeudi ,16 mars 2017 que la lecture de la radioactivité a été prise à l’entrée de l’espace juste en dessous de la cuve sous pression, qui contient le cœur du réacteur.

Le chiffre élevé indique qu’une partie du combustible fondu qui s’est échappé de la cuve sous pression est rendu à proximité.

Photo du réacteur no 2,le 30 janvier 2017

 

Photo prise par le petit robot sous le réacteur.

 

 

 

 

Il est difficile de trouver les mots pour exprimer la gravité de tout cela.

Si vous avez été exposé à un niveau de seulement 10 sieverts par heure de rayonnement, cela signifierait une mort presque certaine. Donc , 530 sieverts par heure est tout simplement hors des cartes,hors des normes. Selon le Guardian , cette mesure récente est décrite par les scientifiques comme «inimaginable» …

La lecture récente, décrite par certains experts comme «inimaginable», est beaucoup plus élevé que le précédent record de 73 sieverts une heure dans cette partie du réacteur,il y a peu de temps encore.

Une seule dose d’un sievert est suffisante pour causer la maladie d’irradiation et des nausées; 5 sieverts serait tuer la moitié des personnes exposées dans un délai d’ un mois, et une dose unique de 10 sieverts se révéler fatale en quelques semaines .

Et vraiment l’une des plus  mauvaises nouvelles est qu’il semble y avoir un trou de 2 mètres qui a été créé par la fonte du  combustible nucléaire  « dans la grille métallique sous la cuve sous pression dans la cuve de confinement primaire du réacteur » . Ce qui suit vient de Bloomberg

« De nouvelles photographies montrent ce qui peut être du combustible nucléaire fondu qui aurait coulé   sous l’un des réacteurs  (épaves) de Fukushima  , un jalon potentiel dans la recherche et la récupération du carburant près de six ans après avoir été perdu dans l’une des pires catastrophes atomiques dans l’histoire.

Tokyo Electric Power Co. Holdings Inc., la plus grande entreprise de services  du Japon, a publié des images lundi montrant une grille sous le réacteur  No 2 de Fukushima Dai-Ichi  recouvert de résidu noir. La société, mieux connu comme Tepco, a  envoyé  une espèce de robot  développé spécialement pour investiguer à Fukushima   pour déterminer la température et de la radioactivité du résidu. »

http://www.youtube.com/watch?v=infVQiVgW1k

Si cela ne suffit pas  à vous faire peur, une source de nouvelles japonaise rapporte que ce combustible nucléaire fondu « a depuis été en contact avec de l’ eau souterraine qui coule du côté de la montagne » ...

Le combustible fondu a depuis été en contact avec de l’ eau souterraine qui coule du côté de la montagne, la production d’ eau contaminés par la radioactivité tous les jours . Afin de démanteler le réacteur, il est nécessaire de retirer le combustible fondu, mais des niveaux élevés de rayonnement à l’intérieur du réacteur avait entravé le travail pour localiser les débris fondu.

Si cette catastrophe aurait été seulement limitée au Japon, tout l’hémisphère nord ne serait pas en danger.

Mais ce n’est pas le cas.

La plupart de la contamination nucléaire de Fukushima a fini dans l’océan Pacifique, et de là il a été littéralement pris dans le reste de la planète. Ce qui suit a été signalé par PBS

Plus de 80 pour cent de la radioactivité des réacteurs endommagés a fini dans le Pacifiquebien plus que le niveau atteint à  Tchernobyl ou à Three Mile Island. De cette somme , une petite fraction est actuellement sur le fond – le reste a été emporté par le courant Kuroshio, une version du Pacifique ouest du Gulf Stream, et porté à la mer où il mélangé avec (et a été dilué par) l’énorme volume de le Pacifique Nord.

Nous ne savons pas s’il y a une connexion, mais il est très intéressant de noter que la pêche le long de la côte ouest des États-Unis ne parviennent pas à trouver la  cause d’une diminution spectaculaire des populations de poissons. Il suffit de consulter l’extrait suivant d’une histoire qui a été publié le 18 Janvier 2017 …

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HORS TEXTE

Diminution des stocks de poissons

 

18 janvier 2017 Le secrétaire américain du Commerce Penny Pritzker , a déterminé aujourd’hui que la pêche commerciale pour le saumon et crabe en Alaska, en Californie et à Washington.

 

Ces dernières années, chacune de ces pêcheries ont connu defortes baisses soudaines et inattendues de la biomasse des stocks de poissons ou perte d’accès en raison des conditions inhabituelles de l’ océan et du climat. Cette décision permet auxcommunautés de pêche de demander l’ aide de secours aux sinistrés du Congrès.

En Alaska:

  • Golfe de l’Alaska pêche au saumon rose (2016)

En Californie:

  • Californie dormeur et de la pêche au crabe (2015-2016)
  • pêche au saumon yurok tribu Klamath River Chinook (2016)

A Washington:

  • Fleuve Fraser tribu Makah et du Bas-Elwha Klallam tribu pêche du saumon rouge (2014)
  • Grays Harbor et Willapa Bay non-traité pêche au saumon coho (2015)
  • Nisqually Indian Tribe, Jamestown S’Klallam tribu, Port Gamble S’Klallam Tribe et Squaxin Island Tribe Sud Puget pêche au saumon du son (2015)
  • Quinault Indian Nation Grays Harbor et Queets rivière pêche au saumon coho (2015)
  • pêche au crabe dormeur tribu Quileute (2015-2016)
  • pêche à la traîne du saumon océan (2016)

Le secrétaire américain du Commerce Penny Pritzker a déterminé aujourd’hui, qu’il y a des échecs de la pêche commerciale pour neuf saumon et crabe pêche en Alaska, en Californie et à Washington.

Au cours des dernières années, chacune de ces pêcheries ont connu soudaines et inattendues des diminutions importantes des stocks de poissons de la biomasse ou la perte d’accès en raison des conditions océaniques et climatiques inhabituelles. Cette décision permet aux communautés de pêche de chercher catastrophe une aide d’urgence du Congrès.

 

 

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Les choses sont particulièrement mauvaises en Alaska , et les biologistes sont « perplexes » sur les raisons pour lesquelles cela pourrait se produire …

En 2016, les récoltes de saumon rose à Kodiak, Prince William Sounds, Chignik et  Cook Inlet sont venus terriblement sous les prévisions et les biologistes perplexes quant à pourquoi.

La valeur estimée de 2016 courriers de Kodiak était de 2,21 millions $, comparativement à une moyenne de cinq ans de 14,64 millions $, et à Prince William Sound la valeur ex-navire était de 6,6 millions $, beaucoup moins que la moyenne de 44 millions $ sur cinq ans . La récolte totale de l’État était la plus faible depuis la fin des années 1970.

Bien que les biologistes de l’Etat ne sont pas prêts à déclarer une cause de la performance du saumon rose pauvres, le communiqué de presse du département du Commerce a attribué les catastrophes aux «conditions océaniques et climatiques inhabituelles. »

Plus au sud, on rapportait le mois dernier que des millions de sardines mortes se sont échouées  sur les côtes du Chili.

 

 

 

 

 

 

Je pourrais continuer et avec beaucoup d’autres exemples de ce genre, mais nous espérons que vous retiendrez le point.

Quelque chose de vraiment étrange  se passe dans le Pacifique, et beaucoup de gens croient qu’il y a un lien vers Fukushima.

Pas trop longtemps, je l’ ai écrit sur la façon dont l’élite de la Silicon Valley sont à se « préparer fiévreusement », mais la vérité est que nous devrions tous l’être.  Notre planète est de plus en plus instable, et la catastrophe nucléaire de Fukushima est juste un morceau du puzzle.

Mais ic’est certainement un élément très important. Les matières nucléaires de Fukushima entrent continuellement  dans la chaîne alimentaire, et une fois que les matières nucléaires pénètre dans notre corps , il va lentement irradier nos organes pour les années à venir. Ce qui suit est un extrait d’un article d’ opinion absolument remarquable par Helen Caldicott qui a été publié dans le Guardian

Le rayonnement interne, d’autre part, émane d’éléments radioactifs qui pénètrent dans l’organisme par inhalation, ingestion ou absorption cutanée.Les radionucléides dangereux tels que l’ iode-131, le césium 137 et d’ autres isotopes actuellement libérés dans la mer et l’ air autour de Fukushima sont bio-concentré à chaque étape de diverses chaînes alimentaires (par exemple dans les algues, crustacés, petits poissons, gros poissons, puis les humains ; ou le sol, l’ herbe, la viande et le lait de vache, puis les humains). Après leur entrée dans le corps, ces éléments – appelés émetteurs internes – migrent vers des organes spécifiques tels que la thyroïde, le foie, les os et le cerveau, où ils rayonnent en continu sur de petites quantités de cellules avec de fortes doses de radiations alpha, bêta et / ou gamma, et pendant de nombreuses années, peut induire la réplication cellulaire incontrôlée – qui est, le cancer . En outre, la plupart des nucléides restent radioactifs dans l’environnement pour des générations, et , finalement , causeront l’ incidence du cancer et des maladies génétiques qui ont augmenté au fil du temps.

Vous commencez à comprendre la gravité de la situation?

Malheureusement, cette crise va être avec nous pour un très, très longtemps.

Selon un journal imp en ligne, , ils ne sont même pas surs vont commencer à extraire le combustible nucléaire fondu de ces réacteurs jusqu’en 2021, et il est projeté que le nettoyage général « peut prendre aussi longtemps que 40 ans» …

La mise hors service des réacteurs coûtera ¥ 8000000000000 (70,4 G $), selon une estimation en Décembre 2016 du Ministère de l’Economie, du Commerce et de l’Industrie. Le retrait du carburant radioactif est l’une des étapes les plus importantes dans un nettoyage qui peut prendre aussi longtemps que 40 ans.

La nature sans précédent de la catastrophe de Fukushima signifie que Tepco fonde ses efforts sur la technologie pas encore inventé pour enlever le combustible fondu sur les réacteurs.

La société cherche  à se décider d’une procédure de retrait de carburant pour le premier réacteur au cours de l’exercice financier se terminant Mars 2019, et de commencer à extraire le combustible en 2021.

Beaucoup de gens qui finissent par mourir à la suite de cette crise ne pourront jamais savoir même que c’ était Fukushima qui a causé leur mort.

Personnellement, je suis convaincu que ce soit la plus grande crise de l’environnement que l’humanité ait jamais connu, et si la dernière lecture du réacteur 2 est une indication, les choses a pris une tournure très sérieuse pour le pire.

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ANNEXE1

dispersion océanique de césium radioactif dérivé de Fukushima : un examen

 

Introduction


Le 11 Mars 2011, le Grand Est du Japon Tremblement de terre ( Mw 9.0) a eu lieu à la limite de la plaque au large de la côte de Tohoku, le nord du Japon. Un énorme tsunami a été généré et a causé 15 729 morts et 4539 disparus dans les régions Hokkaido, Tohoku et Kanto (L’Agence nationale de la police, en date du 24 Août 2011). Des enquêtes préliminaires ont signalé des vagues du tsunami avec des hauteurs de roulage à haut excédant 30 m (Mori et al ., 2011 ). Le tsunami a également frappé les sites de Fukushima Dai-ichi nucléaire Power Plant (PPPN) situé à 37˚25’N, 141˚02’E, et une perte d’énergie électrique à FNPP a donné lieu à des réacteurs surchauffés et desexplosions d’hydrogène. Les matières radioactives ont ensuite été libérés dans l’océan par les retombées atmosphériques (comme les aérosols et les précipitations) et que les rejets directs (rejets contrôlés liés aux questions de sécurité au FNPP), ainsi que des fuites non contrôlée de l’eau de refroidissement fortement contaminé (Buesseler et al ., 2011 , Chino et al ,. 2011 , Takemura et al ., 2011 ). Ce rejet accidentel de radionucléides anthropiques (principalement l’ iode 131, le césium-134 et -137, 131 I, 134 Cs et 137 Cs) ont donné lieu à desaugmentations sévères de ces radionucléides dans les produits de la pêche dans les zones côtières de Fukushima et les préfectures adjacentes (Buesseler, 2012 , Yoshida et Kanda, 2012 , Wada et al ., 2013 ; et Nakata Sugisaki,2015 ). En raison de sa demi-vie relativement longue (2,07 ans pour les 134 Cs et 30,07 ans pour les 137 Cs), l’évaluation de ces isotopes radioactifs Cs dans le milieu marin est important pour tenir compte des risques pour les écosystèmes marins et la santé publique par la consommation des produits de la pêche . En général, le césium est un élément conservateur et se produit principalement dans la phase dissoute dans le milieu marin. La concentration de césium radioactif dans les organismes marins est fortement affectée par sa concentration dans l’eau de mer environnante. En fait, les changements temporels des concentrations radioactives Cs de nombreuses espèces de poissons pélagiques dans la zone côtière près de Fukushima et les préfectures voisines ont été associées à celles de l’ eau de mer après l’accident FNPP (par exemple, Wada et al ,. 2013 , Takagi et al ,. 2015 ; Morita et al ., données non publiées). Kaeriyama et al . ( 2015 ) et Morita et al . données non publiées ont révélé les changements temporels pris du retard dans le temps en Cs radioactif dans les organismes (zooplanctons et Saury Pacifique) et l’ eau de mer en régime non stationnaire après l’accident FNPP, et a montré que avaient été élevés par rapport aux taux de concentration de ces organismes avec les avant l’accident FNPP. En ce qui concerne zooplanctons, Baumann et al . ( 2015 ) ont examiné la possible absorption de Cs radioactif Fukushima-dérivé de phytoplancton dominé les particules en suspension. En conséquence, Cs radioactif serait transféré au niveau trophique supérieur non seulement par l’ eau de mer environnante , mais aussi par des interactions proies-prédateurs dans l’écosystème pélagique. Shigenobu et al . ( 2014 ) ont rapporté les concentrations radioactives Cs de graisse greenling ( Hexagrammos otakii ) capturés au large de la côte de la préfecture de Fukushima, et fait état de deux spécimens de valeurs aberrantes pris en Août 2012 et mai 2013 , qui avaient ambigüe élevées 137concentrations Cs de plus de 1000 Bq / kg humide. Analyse de probabilité a indiqué que les deux morues du gras de valeurs aberrantes avaient migré du port de FNPP. Dans le port de FNPP, extrêmement élevées 137concentrations Cs ont été signalées dans le sébaste japonais ( Sebastes cheni ), hakeling brun ( Physiculus maximowiczi ) et de la graisse greenling ( H. otakii ) pris en Janvier et Février 2013 (Fujimoto et al ., 2015 ). La concentration maximale de 137 Cs (129 kBq / kg par voie humide) a été détectée à partir de matières grasses Lesourcil. Wada et al . ( 2013 ) avec le corrigendum (Wada et al ., 2014 ) a résumé les résultats de la surveillance des concentrations radioactives Cs dans les produits de la pêche de la préfecture de Fukushima et a révélé lestendances de séries chronologiques. Des tendances claires comprennent une diminution plus lente de Cs radioactif dans les poissons démersaux par rapport aux poissons pélagiques, ainsi que l’ hétérogénéité spatiale; spécimens prélevés dans la zone sud de FNPP avaient tendance à avoir des concentrations plus élevées de Cs radioactif que ceux qui sont pris dans la zone nord de FNPP. Sohtome et al . ( 2014 ) ont rapporté les tendances au cours du temps de la concentration de Cs radioactif chez les invertébrés dans le réseau alimentaire benthique côtière près de la PPPN. La différence de tendance à la baisse observée dans les organismes et les concentrations de Cs radioactif dans certains des oursins ( Echinocardium cordatum et Glyptocidaris crenularis ) ont été clairement affecté par les sédiments contaminés dans leur prises tube digestif.

Ce document met l’ accent sur le Cs radioactif dans l’ eau de mer et résume les estimations du montant total des libérés Cs radioactifs du site FNPP, les changements spatio-temporelles des concentrations de 134 Cs et 137 Cs non seulement au large de la côte de Fukushima et les préfectures voisines, mais également dans le Pacifique Nord et des mers adjacentes telles que la mer du Japon, mer de Chine orientale, en fonction des résultats de mesure et des modèles de simulation publiés pendant 4 ans depuis l’accident FNPP.

Montant total de Césium radioactif FNPP-Libéré

Informations sur le montant total de l’radioactif libéré FNPP-Cs dans le Pacifique Nord est l’ information essentielle pour permettre un suivi et une gestion efficace des ressources. Cependant, en dépit de son importance, l’estimation des dépôts atmosphériques est complexe en raison du manque de données d’ observation de l’environnement océanique. Les rapports d’activité de 134 Cs / 137 Cs, désintégration corrigé Mars-Avril 2011, ont été signalés presque 1,0 pour l’ensemble du Pacifique Nord (par exemple, Buesseler et al ,. 2011 , 2012 , Kaeriyama et al ,. 2014 ). Ce ratio signifie une quantité équivalente de 134 Cs et 137 Cs a été libéré dans l’océan.En vertu de la limitation des données concernant non seulement la quantité de Cs radioactif dans les aérosols ,mais aussi sur les précipitations dans le Pacifique Nord, l’ estimation des dépôts atmosphériques reste une source d’incertitude considérable (5-15 PBq de 134 Cs et 137 Cs, 1 PBq = 10 15  Bq, Tableau  1 ). En revanche, le rejet direct des radioactifs Cs ( 134 Cs et 137 Cs) dans l’océan comme une fuite incontrôlée de l’eau de refroidissement fortement contaminée est bien estimée comme approximation de la valeur de 3,5 PBq, à l’exception de Bailly du Bois et al . ( 2012 ) et Charette et al . ( 2013 ) (tableau  1 ). Dietze et Kriest ( 2012 ) ont discuté des surestimations possibles par Bailly du Bois et al . ( 2012 ) en raison de problèmes méthodologiques. Charette et al . ( 2013 ) ontestimé l’inventaire de rejet direct à partir des données d’ observation de Cs radioactif avec des isotopes du radium en mai-Juin 2011, et aucun dépôt atmosphérique a été pris en charge. Leurs estimations des rejets directs peuvent être inclus dans le dépôt atmosphérique. Tsumune et al . ( 2012 ) ont montré clairement que les rejets directs ontcommencé le 26 Mars 2011 en utilisant 131 I / 137 rapports d’activité Cs, qui variait beaucoup plus avant le 26 Mars 2011 , lorsque le dépôt atmosphérique est la principale source. Les estimations les plus récentes ont révélé que 3-4 PBq de 134 Cs et 137 Cs ont été directement rejetés dans l’océan et 12-15 PBq de 134 Cs et 137 Cs ont été déposés sur l’eau de mer de surface dans le Pacifique Nord (Aoyama et al ., 2015a ).

Vue schématique du système actuel: (a) dans le Pacifique Nord et (b) autour des îles japonaises. Les lignes continues indiquent le courant de surface et les lignes en pointillés indiquent la circulation des eaux de mode. FNPP: Fukushima Dai-ichi centrale nucléaire; STMW: subtropicale mode eau; CMW: Mode Central Water. Sur la base de Kumamoto et al . ( 2014 ); Oka et al . ( 2011 , 2015 ); Talley ( 1993 ) et Yasuda ( 2003 ) [figure de couleur peut être consulté à wileyonlinelibrary.com ].

 

 

 

 

 

 

 

Ce document met l’accent sur le Cs radioactif dans l’eau de mer et résume les estimations du montant total des libérés Cs radioactifs du site FNPP, les changements spatio-temporelles dans les concentrations de 134Cs et 137Cs non seulement au large de la côte de Fukushima et les préfectures voisines, mais aussi dans le Pacifique Nord et des mers adjacentes telles que la mer du Japon, mer de Chine orientale, en fonction des résultats de mesure et des modèles de simulation publiés pendant 4 ans depuis l’accident FNPP.

Cette revue résume les plus de 70 articles publiés au cours des 4 années écoulées depuis l’accident de la centrale nucléaire de Fukushima Dai-ichi qui a eu lieu le 11 Mars 2011, et détaille le modèle de dispersion radioactive de césium dans les mers du Pacifique Nord et adjacentes. La quantité totale de césium radioactif de Fukushima dérivé libéré dans le Pacifique Nord par dépôt atmosphérique et rejet direct, des variations spatio-temporelles de la côte du Pacifique autour du lieu de l’accident, et les niveaux de concentration de césium radioactif autour des îles japonaises, non seulement le Pacifique côte mais aussi dans les mers adjacentes, comme la mer du Japon, mer de Chine orientale sont résumées. Sur la base des données d’observation obtenues principalement pendant 2 ans depuis l’accident, et les résultats de la simulation, la dispersion océanique de césium radioactif dans toute la région du Pacifique Nord est décrit. Le césium radioactif dérivé Fukushima-est dispersé sous forme de l’eau de surface et étendue sur le côté est du Pacifique Nord en 2014, et a également été observée par une intrusion vers le sud jusqu’à subsurface eaux comme subtropicale mode eau et le mode Eau Central. Le mouvement de césium radioactif lié à l’eau de mode est important en termes de circulation de césium dans l’intérieur de l’océan. Certaines nouvelles technologies et techniques relatives à la surveillance d’urgence de la radioactivité dans l’environnement de l’océan sont également signalés, dont l’efficacité a été démontrée par l’utilisation par rapport à l’accident de Fukushima.

 


ANNEXE2

DEVANT L’AMPLEUR DU DANGER,LE GOUVERNEMENT JAPONAIS ORDONNE UN PLAN  D’ÉVACUATION COMPLET

Les zones à évacuer:on parle de plus de 40 millions de personnes

 

Sur les 11 municipalités de la préfecture de Fukushima qui sont entrées sous les ordres d’évacuation après la centrale de Fukushima 2011 N ° 1 effondrements de centrales nucléaires, cinq ne disposent pas de plans d’évacuation en cas d’accident nucléaire se produit à nouveau, même si d’interdiction d’entrée des commandes sont progressivement levées.

Le gouvernement central demande des municipalités locales situées à proximité des centrales nucléaires à élaborer des plans d’évacuation en cas d’urgence nucléaire. Selon la politique du gouvernement central, les gouvernements locaux devraient donner des ordres d’évacuation immédiate aux résidents vivant à moins de 5 kilomètres d’une installation en cas d’une « urgence à grande échelle » – situations, y compris la perte de puissance à refroidissement des réacteurs nucléaires.

En règle générale, ceux qui vivent entre 5 et 30 kilomètres d’une usine font l’objet d’une évacuation à l’intérieur, et quand une dose de rayonnement de 20 microsieverts par heure est détectée, l’évacuation devrait être achevée dans un délai d’une semaine. L’évacuation immédiate est recommandée lorsque la dose atteint 500 microsieverts par heure.

Un représentant du village de Katsurao, dont les habitants ont commencé à retourner, dit Shimbun Mainichi que le gouvernement municipal n’a pas créé son plan d’évacuation, car « il n’y a que deux fonctionnaires en charge de la question. » Le fonctionnaire a ajouté: « Nous ne facturons « t ont des connaissances spécialisées (sur les évacuations nucléaires) et nous ne pouvons pas le manipuler avec tous les autres travaux que nous devons faire.Ni l’État ni le gouvernement Fukushima Préfectoral nous donne des conseils « .

Un responsable du village de Iitate, où l’ordre d’évacuation sera levée à la fin de Mars, a déclaré en plus d’une pénurie de main-d’œuvre, « il est difficile de faire un plan avant d’examiner le nombre de résidents reviendront. » La ville de Tamura , dont les habitants ont commencé à revenir, et les villes de Futaba et Okuma, où il reste inconnu alors que les résidents seront en mesure de revenir, ne pas les plans d’évacuation.

Pendant ce temps, les villes de Namie et Tomioka ont tracé leurs plans, qui prennent le principe de base d’évacuer tous les habitants de la ville en cas d’une urgence à grande échelle – mesure plus drastique que la politique du gouvernement central exige – dire que juste après la politique d’évacuation de l’Etat ne pas protéger la sécurité de leurs résidents. Namie Le maire Tamotsu Baba dit au Mainichi, « Les résidents ne croient pas qu’ils seraient en sécurité si elles restent à l’intérieur d’un bâtiment. »

En ce qui concerne les plans d’évacuation locaux, une équipe de soutien aux victimes des accidents nucléaires au Cabinet Office souligne que, si ces plans ne sont pas obligation pour l’Etat de lever les ordres d’évacuation, les gouvernements locaux devraient préparer des mesures de prévention des catastrophes.

La centrale nucléaire de Fukushima frappé n ° 1 est différent des autres centrales nucléaires dans le pays que les travaux de démantèlement est en cours pour l’ensemble de ses six réacteurs. Dans le même temps, une route rugueuse est prévue pour le projet d’enlever combustible fondu, et la dose de rayonnement à l’intérieur de l’heure estimée réacteur n ° 2 est jusqu’à 650 sieverts.

Selon un sondage d’opinion par l’Agence pour la reconstruction ciblant les habitants de la ville de Tamura, 61,5 pour cent de ceux qui ont dit qu’ils voulaient vivre dans d’autres municipalités que Tamura UCTE mentionne sur les travaux de démantèlement et de gestion de la centrale nucléaire comme raisons de ne pas vouloir venir arrière.

Hirotada Hirose, professeur émérite à l’Université chrétienne de Tokyo  et un expert en matière de prévention des catastrophes nucléaires, a déclaré: « L’état du combustible nucléaire fondu (à la centrale de Fukushima) est inconnue et les répliques sismiques continuent encore dans la préfecture de Fukushima. Il est un problème que les ordres d’évacuation sont levées tandis que les gouvernements locaux ne sont pas venus avec leurs plans d’évacuation « .

 


ANNEXE 3

LA BANALISATION ET L’EXPORTATION  DU PROBLÈME 

Au Japon et à  Fukushima ,on médite sur le recyclage du sol pour les parcs publics et espaces verts

Les travailleurs se déplacent de grands sacs en plastique noir contenant de la terre irradiée. Fukushima préfecture, près de la centrale nucléaire de Fukushima Daiichi.

 

Le sol de la préfecture de Fukushima peut être utilisé comme site d’enfouissement pour la création de « espaces verts » au Japon, un groupe gouvernemental a proposé, face à un potentiel réaction du public sur les craintes d’exposition aux radiations résiduelles de la terre décontaminée.

Le comité consultatif du ministère de l’ Environnement a proposé lundi la réutilisation du sol qui a été contaminé lors de la crise nucléaire de Fukushima de 2011 dans le cadre des décharges futures désignées pour un usage public, que Kyodo News a rapporté

Dans sa proposition, le groupe environnemental évité ouvertement en utilisant le mot « parc » et au lieu dit « espace vert », apparemment pour éviter un tollé général prématurée, Mainichi Shimbun.

Suite à une enquête de la prise de nouvelles, le ministère de l’Environnement a précisé que « les parcs sont inclus dans l’espace vert. »

En plus de décontaminer et recycler la terre contaminée pour les nouveaux parcs, le ministère a également insisté sur la nécessité de créer une nouvelle organisation qui sera chargée de gagner la confiance du public sur les perspectives de ces modes de recyclage.

Pour calmer les inquiétudes du public immédiat, le groupe a déclaré que le sol décontaminé sera utilisé en dehors des zones résidentielles et sera couverte d’un niveau séparé de la végétation pour répondre aux directives du gouvernement approuvé l’année dernière.

En Juin l’année dernière, le ministère de l’Environnement a décidé de réutiliser le sol contaminé avec une concentration de césium radioactif entre 5 000 à 8 000 becquerels par kilogramme pour les travaux publics comme les routes dans tout le pays et les banques de marée.

En vertu de ces lignes directrices, qui peuvent désormais être étendus à utiliser pour les parcs, le sol contaminé doit être recouvert de terre propre, de béton ou d’autres matériaux.

Une telle décharge, le gouvernement a dit à l’époque, ne causera pas de mal aux résidents à proximité car ils souffriront une exposition inférieure à 0,01 mSv par an après la construction est terminée.

La centrale nucléaire de Fukushima Daiichi a subi une défaillance panne et ultérieure de ses systèmes de refroidissement en Mars 2011, quand il a été frappé par un tremblement de terre et un tsunami meurtrier qui a frappé le centre, crachant le rayonnement et forçant 160.000 personnes à fuir leurs maisons. ont été touchés trois des six réacteurs de la centrale par des effondrements, ce qui rend la catastrophe nucléaire de Fukushima la plus grave depuis la catastrophe de Tchernobyl en 1986.

https://www.rt.com/news/382515-japan-recycling-fukushima-soil/#.WNoJ3cpBs98.facebook

Gouv propose la réutilisation du sol décontaminé sur la terre verte de Fukushima

Le ministère de l’Environnement a proposé lundi la réutilisation du sol décontaminé de la préfecture de Fukushima catastrophe a frappé les sites d’enfouissement pour les parcs et espaces verts.

Lors d’une réunion d’un comité consultatif, le ministère a également appelé à lancer une nouvelle organisation pour élaborer des plans sur la façon de gagner la compréhension du public au sujet de la réutilisation des sols décontaminés, les responsables du ministère.

Les propositions viennent à un moment où la préfecture de Fukushima fait face à une pénurie de sol en raison des travaux de décontamination à la suite de la fusion nucléaire 2011.

Source:http://english.kyodonews.jp/news/2017/03/465656.html