Anarchie politique américaine:Le FBI soutient Trump pour contrer le coup d’état silencieux de la CIA

En ce lundi 12/12, le FBI est venu à la rescousse du président élu Donald Trump et a interdit tout congé ou absence à ses 35.000 agents, analystes de renseignement et employés dans une tentative pour arrêter la tentative de la CIA  de renverser le gouvernement démocratiquement élu des États-Unis.

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En effet, le FBI a commencé à regrouper, dans la base MacDill Air Force (MAFB) en Floride, 13 de ses 14 équipes spéciales renforcées  (Enhanced Special Weapons and Tactics (SWAT)), qui étaient réparties dans tous les États-Unis.  Là, elles viennent d’être placées sous une structure de commandement conjointe avec le commandement conjoint des opérations spéciales des forces armées américaines (US Militaries Joint Special Operations Command (JSOC)).

Ces équipes SWAT du FBI fonctionnent comme une organisation nationale de commandos de haut niveau dans les situations extrêmement sensibles ou dangereuses, et qui, dans le passé, ont uni leurs forces avec leurs homologues des Forces spéciales militaires américaines du JSOC.

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Pour comprendre la raison de cette coopération, il faut revenir au 6 décembre 2016.

Ce jour-là, le général John Mattis (alias « Mad Dog » (chien enragé)), qui a été choisi par Trump pour être le prochain secrétaire d’État à la Défense, a tenu une réunion secrète avec le président Obama à la base de l’armée de l’air MacDill. Après cette réunion, Obama a fait une déclaration choquante en disant à un rassemblement des soldats américains qu’ils «ont la liberté de poser des questions à leurs autorités, ce qui inclut le droit de critiquer tout président en exercice».

Dans les 72 heures qui ont suivi cette stupéfiante déclaration du Président Obama aux soldats américains, signifiant qu’ils pouvaient désobéir librement aux ordres de leurs commandants militaires et au président, la Maison Blanche a annoncé le 9 décembre, qu’elle avait commencé une enquête sur l’ingérence présumée de la Russie dans l’élection présidentielle américaine de 2016.  Comme on pouvait le prévoir, le Washington Post publiait, 3 heures plus tard, un article, du genre « bombe surprise », indiquant que la Russie était directement impliquée dans la manipulation de cette élection pour que Trump puisse gagner.

 

Nous savons que le Washington Post (WP) est l’un des principaux médias de propagande de la CIA, et le plus grand  «média de fausses infos». Il avait été acheté par le milliardaire de l’ombre américain Jeff Bezos (Le fondateur d’Amazon.com), trois mois après que la CIA lui eut accordé un contrat secret de 600 millions de dollars. Le WP, il y a quelques semaines, a mis en exergue 200 sites de médias alternatifs américains les accusant d’être des sites  « connus de propagande russe », mais a dû rétracter par la suite, car tout le monde savait qu’au WP, il y a surtout des charlatans et des menteurs, à l’image d’Euronews, de TF1, FR2, France 24 et autres LCI.

Immédiatement après la publication par le WP de cette « fausse nouvelle » affirmant que la Russie était impliquée dans les élections présidentielles américaines de 2016, l’ancien analyste de la CIA, Bob Baer (le porte-parole officieux des médias American Deep State, l’État Profond Américain) a appelé à une nouvelle élection présidentielle. Ce qui a mené Alex Jones, l’un des principaux dirigeants américains de news alternatives et le principal confident Trump, à avertir que le président élu Trump est maintenant en danger d’être assassiné.

Le fait que le FBI ait affirmé auparavant que toutes ces allégations concernant une intervention russe dans les élections étaient  manifestement fausses, n’a pas été dit aux Américains par leurs grands médias pourris.

Par contre, lors d’une réunion secrète du Comité du Renseignement de la Chambre des Députés, un haut fonctionnaire du FBI a dit que rien ne pouvait prouver ou confirmer de façon concluante la collusion russe dans la victoire de Trump contrairement aux allégations de la CIA.

D’autre part, Craig Murray, l’ancien ambassadeur du Royaume-Uni en Ouzbékistan, a qualifié ces affirmations de la CIA, il y a quelques heures, de conneries “bullshit”. Il a dit aussi qu’il était d’accord avec le FBI sur le fait que les Russes n’ont rien à voir avec les emails d’Hillary Clinton qui ont été divulgués. 

Il a ajouté «  j’ai rencontré la personne qui les a divulgués, et elle n’est certainement pas russe. C’est un initié. C’est une fuite, pas un hack; ce sont deux choses différentes. Si ce que la CIA dit était vrai, et la déclaration de la CIA se réfère à des personnes qui sont connues pour être liées à l’État russe, la CIA aurait arrêté quelqu’un, si ce quelqu’un était à l’intérieur des États-Unis. L’Amérique n’a pas hésité à arrêter les dénonciateurs et elle n’a pas hésité à extrader des pirates. Ils n’ont manifestement aucune connaissance de ce genre ni aucune piste crédible« .

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L’ambassadeur des États-Unis, John Bolton, qui appuie l’ambassadeur Murray, a déclaré que la CIA menait actuellement une opération de « faux drapeau » pour renverser le président élu Trump

 

En résumé, ce « coup d’état silencieux » de la CIA contre le Président élu Trump, consiste à dire que : 

(a) Le 19 décembre jour du vote du collège électoral pour installer Trump comme le prochain président, doit être stoppé jusqu’à ce que « l’ingérence russe » soit pleinement étudiée ; et que 

(b) Trump a déjà d’office violé son serment  en ne protégeant pas États-Unis (contre la Russie) et parce qu’il refuse de croire la CIA.

 

À noter également que les mêmes organes de médias de propagande traditionnels soutenant Hillary Clintonétaient les «véritables» auteurs de «fausses nouvelles», et non pas la Russie.

 

D’ailleurs, l’un de leurs agents de fausses nouvelles est Marco Chacon, qui a créé des centaines d’articles de «fausses nouvelles» sur Trump, qui ont été diffusées sans discussion par les médias traditionnels. Il a confirmé sa méthode pour tromper facilement le peuple américain en déclarant: «C’est très facile de duper la Droite grâce à l’Internet « , sachant que, dans la terminologie américaine, Clinton représente la Gauche, et Trump, la Droite. 

Plan B des comploteurs: Destituer Trump avant le 20 janvier 2017

Les Américains sont tranquillement prévenus : ils doivent se préparer à une longue et violente Guerre Civile, car une nouvelle fuite de la Maison Blanche pourrait mettre le feu aux poudres. En effet, au  cas où le plan ci-dessus échoue, un plan B du coup d’état silencieux contre Trump a été concocté par Obama et consorts. Ce dernier va déclarer l’élection de Trump «illégitime» en raison des «interférences russes».

Selon deux sources distinctes au sein du gouvernement des États-Unis, à un moment donné entre le 30 décembre et le 5 janvier, Barack Obama prétendrait informer le public américain que :

« En raison de nouvelles preuves d’ingérence de la Russie, l’élection de novembre a été « illégitime » et Donald Trump ne sera pas assermenté en tant que 45e président des États-Unis. »

Obama va prétendre déclarer une « urgence catastrophique » sur ce prétendu détournement russe de cette élection et invoquer ensuite le plan de Continuité du Gouvernement (Continuity of Government ou COG) pour rester en fonction au-delà de l’expiration de son mandat. Bien sûr, cela dépendra de la coopération de l’armée américaine et de l’application de la loi; mais ni l’armée ni la loi ne sont de son côté.

 

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Regardez les enfants ! Cette carte vous montre pourquoi les Pères Fondateurs ont créé le Collège Électoral. Ils voulaient que notre président soit élu par les États et non par les villes.

L’agence d’espionnage des États-Unis rejette l’évaluation de la CIA sur le piratage en Russie

Les superviseurs de la communauté des services de renseignement des États-Unis n’ont pas accepté l’évaluation de la CIA selon laquelle des cyberattaques russes visaient à aider le président élu républicain Donald Trump à remporter l’élection de 2016, ont annoncé trois officiels américains lundi.

Alors que le Bureau du directeur du renseignement national (ODNI) ne conteste pas l’analyse de la CIA des opérations de piratage russes, il n’a pas approuvé leur évaluation en raison d’un manque de preuves concluantes que Moscou a l’intention d’aider Trump devant son adversaire Hillary Clinton, ont indiqué des fonctionnaires de l’ODNI, qui ont refusé d’être nommés.

La position de l’ODNI, qui surveille les 17 services de renseignement américains, pourrait donner à Trump de nouvelles munitions pour contester l’évaluation de la CIA, qu’il a rejetée comme «ridicule» dans les remarques du week-end et affirmer qu’aucune preuve n’implique la Russie cyber-attaques.

Un porte-parole de l’ODNI a refusé de commenter la question.

« L’ODNI ne prétend pas que l’agence (CIA) a tort, mais seulement qu’elle ne peut prouver son affirmation« , a déclaré un des trois responsables américains.

 

Le FBI, dont les normes en matière de preuve l’obligent à faire valoir des arguments devant les tribunaux, a refusé d’accepter l’analyse de la CIA – une évaluation déductive des renseignements disponibles – pour la même raison.

L’ODNI, dirigée par James Clapper, a été créée après les attentats du 11 septembre 2001 contre la recommandation de la commission chargée d’enquêter sur les attaques. La commission, qui a identifié les principaux échecs du renseignement, a recommandé la création du bureau pour améliorer la coordination entre les agences de renseignement américaines.

 

Moscou rejette ces accusations de la CIA

 

Vu de Moscou, les forces de l’ordre américaines semblent avoir du mal à trouver la vraie cause des cyberattaques survenues. Une situation qui ressemble à une répartition des pouvoirs, selon Maria Zakharova. Les différends entre les services spéciaux américains sur la question des cyberattaques, dont la Russie s’est trouvée accusée, ressemblent à une redistribution de zones d’influence, a indiqué sur sa page Facebook la porte-parole du ministère russe des Affaires étrangères Maria Zakharova.

 

 

« Cette histoire avec le « piratage » ressemble à un règlement de comptes entre les forces de sécurité américaines pour la redistribution des pouvoirs », a écrit la représentante de la diplomatie russe. Auparavant, le bureau du directeur du Renseignement national (Office of the Director of National Intelligence, ODNI) n’avait pas soutenu la position de l’Agence centrale de renseignement (Central Intelligence Agency, CIA) sur les cyberattaques russes soutenant le président élu Donald Trump lors de l’élection américaine.

Donald Trump avait de son côté qualifié de « ridicules » toutes déclarations sur la participation du Kremlin dans la présidentielle aux États-Unis, car Washington en avait à maintes reprises accusé la Russie sans pourtant apporter la moindre preuve.

Vladimir Poutine, avait également déclaré que les documents publiés par les hackers n’avaient rien à voir avec les intérêts de la Russie et que cette crise ne servait qu’à détourner l’attention du contenu des documents révélés.

Conclusion

 Pour conclure, il est essentiel de rappeler que le dernier président américain à partir en guerre contre la CIA était John F. Kennedy, qui a juré de hacher cette agence d’espionnite maladive «en mille morceaux et de les disperser au vent». La CIA l’a abattu devant tout le monde pour montrer toute sa puissance, et pour avertir tous les présidents américains que c’est elle qui détient le pouvoir.

Pour conclure, il est essentiel de rappeler que le dernier président américain à partir en guerre contre la CIA était John F. Kennedy, qui a juré de hacher cette agence d’espionnite maladive «en mille morceaux et de les disperser au vent». La CIA l’a abattu devant tout le monde pour montrer toute sa puissance, et pour avertir tous les présidents américains que c’est elle qui détient le pouvoir.

 
L’autre raison qui panique la CIA et pour laquelle elle tente de renverser Trump réside dans la crainte des mondialistes sataniques que l’Allemagne soit également prête à se retourner contre eux. 

Ces derniers ont été horrifiés et stupéfiés après ce qui s’est passé la semaine dernière quand les chaînes de télévision allemandes ont transmis en direct l’allocution du président Poutine devant le Parlement russe. Puis elles ont mené un sondage d’opinion par téléphone, qui a montré que 81 pour cent des Allemands se sont déclarés prêts à faire confiance à Poutine, puis ces résultats ont été  immédiatement retirés.

 

 

 

 

 

Nouvel Ordre Mondial:Voici ce que le 1% veut vous cacher à propos de Nikola Tesla et de Maria Orsic

A la fin de sa vie, Nikola Tesla est mort sans un sou. Le gouvernement américain lui avait confisqué ses journaux personnels. Et il fut largement oublié jusqu’il y a seulement quelques années.

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Mais pourquoi donc Tesla a-t-il été évincé à ce point?

Le gouvernement essayait-il de lui voler sa technologie?

L’invention la plus renommée de Tesla portait sur l’énergie, qui est l’une de nos ressources les plus importantes et précieuses. Tesla croyait, et était également en mesure de démontrer que cette énergie pouvait être littéralement extraite de l’air et qu’il n’était pas nécessaire d’avoir recours à des centrales nucléaires existantes ni à la production d’énergie polluante générée par les centrales à charbon.

Imaginez seulement comment ces progrès en vue auraient pu affecter les poches des riches?

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Page d’un journal de 1919.

Tesla avait des centaines, voire des milliers d’autres idées d’inventions dont nous ne sommes tout simplement pas au courant. Au cours de sa vie, il a fait breveter plus d’une centaine d’inventions qui donnent un regard profond et tangible sur le monde. Le fait d’accéder librement à ses documents est nécessaire pour comprendre son travail et peut-être même nous faire entrer et nous guider jusqu’au seuil du siècle prochain.

Voici ce que les riches et les puissants ne veulent pas vous sachiez à propos de Nikola Tesla  :

 

 

 

 

 


TESLA,LES SOUCOUPES VOLANTES ET L’ANTI-GRAVITÉ

 

 

Il semble que chaque fois que quelqu’un  parle de Tesla ,on ne peut cesser de se demander comment est – il possible qu’un homme comme lui  est passé inaperçu dans les livres d’histoire? Je veux dire, pourquoi quelqu’un comme Tesla a littéralement été effacé de l’ histoire?  Pourquoi son héritage a-t-il été  poussé hors  de tout accès de la société ?

Voici ce que j’ai découvert:

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Tesla était un homme extrêmement en avance sur son époque, en fait,il est  le plus incroyable inventeur qui ait jamais vécu sur Terre. Si cet homme n’était pas né, nous ne connaîtrions aucune de ces choses usuelles à notre époque actuelle:les  smartphones,la  radio, le contrôle à distance, etc …des  appareils comme le  Serian ,sont encore totalement inconnu pour nous,les gens du 99%.

Cependant, dans une partie de ces investissements « classiques », Tesla avait quelques inventions qui semblent  être sorti d’un script pour un film de science-fiction. Les ovnis, l’antigravité et  la vision d’ êtres étrangers à notre planète peuvent paraître  comme n’importe  quoi …que ce soit , mais c’était l’ inconnu du temps de  Tesla. Il avait même dit à un ami de l’époque « avoir eu  « un contact’ avec des êtres qui ne sont pas de la Terre tout en travaillant sur un de ses projets.Tout cela fait réfléchir.

« Mon cerveau est un récepteur dans l’univers qui ne sert point de base à partir de laquelle «nous» obtenons la connaissance, la force et l’inspiration. Non, il a pénétré les secrets de ce noyau, mais elle existe. » (Nikola Tesla)

Tesla voyait et inventait des choses à l’ intérieur de grandes  technologies qu’aujourd’hui la plupart des scientifiques ne peuvent même pas imaginer. En 1928, Tesla avait même enregistré un autre brevet, le numéro 1655144: une machine volante , un hélicoptère  et un avion.Avant sa mort, Tesla avait développé les plans pour le système de propulsion de l’avion. « DRIVE SPACE » sur le terrain :un système de propulsion par  anti-électromagnétique. Fait intéressant, selon William R. Lyne sur « Occult Ether Physic « lors d’ une conférence que Tesla avait préparé pour le Welfare Institute ,le 12 mai 1938: »Je parle de la théorie dynamique de la gravité. »Tesla avait découvert les secrets pour créer le véhicule parfait qui pourrait amener les gens dans l’espace, Engin relativement pas cher à construire, et qui  avait le système de propulsion qui n’ utilisait pas le carburant. Tesla avait découvert un moyen d’exploiter l’énergie débordante dont il disait se trouver un peu  partout autour de nous. Il était de notre devoir d’utiliser et de développer cette énergie et Tesla savait le faire.

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« Il a travaillé dans les moindres détails à donner de l’ espoir à l’humanité en utilisant  son esprit ouvert sur l’ univers . Cela explique les causes de cette force et les mouvements des corps célestes sous leur influence de manière satisfaisante qui mettra fin à la spéculation oisive et des  fausses conceptions ( espace courbe). Seul l’existence d’une force d’union universelle  peut rendre compte des mouvements des corps observés, et son hypothèse dispense de la courbure de l’ espace. toute la littérature sur ce sujet est donc futile et destinée à l’ oubli et à la poubelle de l’histoire. Donc , toutes les recherches scientifiques  tentent d’expliquer le fonctionnement de l’univers, sans reconnaître l’existence de l’éther et le rôle indispensable dans les phénomènes inter-reliés ».

Tous ceux et celles qui ont cherché à expliquer les recherches de Tesla et l’origine de sa science ont oublié qu’il était en relation avec Maria Orsic.Maria Orsic,la Grande Prêtresse de la Société du Vril aurait influencé Tesla et elle aurait reçue ,elle-même, une partie de sa science et de ses « relations extraterrestres ».

Maria Orsic...la fondatrice de la Société du Vril.
Maria Orsic…la fondatrice de la Société du Vril,disparue depuis le 18 mars 1945.

Tesla a découvert que sur  une émission de surface électrostatique, un conducteur se concentre toujours lorsque la surface est courbe, ou en ayant un bord. Bien plus raide de la courbe, ou coin, Maire est la concentration d’émission d’électrons. Tesla a également observé une charge électrostatique … coulée sur la surface d’un conducteur plutôt que de le  pénétrer. Ceci est appelé le Eats ou effet Faraday,découvert par Michael Faraday.

Voir mon important article sur : Maria Orsic et le crash ovni de freiberg

 

Cela explique aussi les principes de la cage de Faraday, qui est utilisé dans les laboratoires de recherche de haute tension pour protéger les êtres humains et l’endommagement du matériel électro-sensible.

Selon les rapports sur l’ intérieur de ces «véhicules» , ils se composaient de canaux ou de colonnes circulaires passant par le centre de la nef. Ceux – ci servent … une superstructure pour le reste du disque de l’ objet – en forme et ont une haute tension et une bobine de haute fréquence.Ceci  est considéré comme un transformateur non résonnant qui donne une charge électrostatique et électromagnétique :la charge NEF et la polarité( la nef de la bobine d’intérieur est ce que nous appelons aujourd’hui une bobine de Tesla , inventé par Nikola Tesla en 1891 .

 

Nikola Tesla a déclaré: «Il y a une différence entre le progrès et la technologie, le progrès profite à l’ humanité. La technologie n’a pas à le faire. »

L’étranger, Tesla et la première soucoupe volante artificielle

Ce serait la seule cope de la photo de la fameuse soucoupe volante de Nikola Tesla.
Ce serait la seule copie de la photo de la fameuse soucoupe volante de Nikola Tesla.

Une nuit , alors qu’il était seul dans son  laboratoire, Tesla a observé ce phénomène prudemment (EAT) et  les actions électriques qui semblaient définitivement  être des signaux intelligents visés. Des modifications  ont été effectuées régulièrement et avec une suggestion claire du nombre et de  l’ ordre des signaux qui ne pouvaient pas être attribuée à une cause particulière. Ensuite ,il comprit d’ou venaient les signaux intelligents:de l’espace!

Ce fut le premier incident de beaucoup d’autres dans lequel Tesla a intercepté ce qu’il  désigna comme des « signaux intelligents de l’ espace ». A cette époque, les scientifiques éminents ont suspecté que Mars pourrait être un refuge  probable pour la vie intelligente dans notre système solaire et Tesla ,dans ce  temps-là,se mit à penser   que ces signaux pouvaient provenir de la planète rouge.

Alors que dans le Colorado Springs, Tesla a intercepté des signaux radio extraterrestres qui se propagaient à travers les médias incroyablement rapidement. Tesla a capté des signaux inhabituels à partir de son  recepteur , Tesla a conclu que ces signaux pourraient effectivement être des signes qui ont pour origine quelque part dans l’ espace. Il a mentionné ces signaux dans une lettre au journaliste Julian Hawthorne en Amérique du Nord ,soit à Philadelphie le 8 Décembre, 1899 et non Décembre 1900 a vu une lettre sur les découvertes possibles dans le nouveau siècle à la société la Croix – Rouge, où un message « d’un autre monde » s’adressait à  Leia, et disait  « 1 … 2 … 3 … » .

 

La race extraterrestre qui serait venue amicalement en contact avec Tesla et Maria serait celle des b;onds d'Aldébaran.
La race extraterrestre qui serait venue amicalement en contact avec Tesla et Maria serait celle des blonds d’Aldébaran.

Mais Tesla ,à son  époque ,est le seul qui a pu intercepter ces signaux mystérieux. Guglielmo Marconi, 1er marquis de Marconi était non seulement  inventeur et ingénieur électricien italien, mais connu aussi  pour son travail de pionnier dans la transmission radio à longue distance et le développement de la loi Marconi ,dont  le système de télégraphe de radio. Guglielmo Marconi a pu  intercepter également des signaux provenant de l’espace de quelques années après Tesla. Les chercheurs ont affirmé que Tesla et Marconi ont recoupé les mêmes signaux.

L’OVNI parfait: Par Tesla

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Les méthodes utilisées dans la conception de la soucoupe volante correspondent aux descriptions de ceux qui prétendaient à avoir vu de l’intérieur ,un OVNI: avec un condensateur discoïde de taille suffisante pour fournir une poussée permettant son envol, tandis que d’ autres petits condensateurs pour contrôler la direction de la soucoupe volante,son  système gyroscopique le contrôle de stabilisation et d’ entraînement électrique. De plus,si tout cela ne suffit pas, Tesla avait prévu davantage :les dessins montraient que l’intérieur de la nef aurait  été équipé d’écrans plats et des caméras vidéo externes pour que les  pilotes  puissent accomplir des taches aveugles.

 

L’OVNI Tesla a des yeux, et ceux – ci ont été faits de lentilles électro-optiques, disposés en quadrants, ce qui permet au pilote de voir tout. Écrans et moniteurs sont placés sur une console dans laquelle le navigateur peut observer toutes les zones autour du véhicule, et  cette invention étonnante  aurait pu être repositionnée.

En gros , c’est un avion incroyablement bien conçu qui aurait réellement pu réussir dans la construction d’ aujourd’hui. Or , nous avons déjà construit? … Qu’est -il arrivé à cette invention? pourquoi la NASA ne s’est pas emparé de cette invention pour lancer  des astronautes dans l’ espace  ?

Poser la question,c’est y répondre!

Voilà pourquoi:

 

La relation « Top Secret » entre  Nikola Tesla et Maria Orsic

Nicolas Tesla et Maria Orsic...2 complices.
Nicolas Tesla et Maria Orsic…2 complices.

Deux Yougoslaves sur les deux côtés du grand océan Atlantique,ont maintenu une correspondance étendue  sur la construction d’un avion anti-gravité. Tesla était un scientifique à New York, Maria,une grande médium  dans l’Allemagne du Troisième Reich et une amie intime d’Enrich Himmler. Tesla est mort mystérieusement  en 1943 et Maria a mystérieusement disparu un certain 18 mars 1945 …en compagnie des autres grandes prêtresses du Vril.

Tous deux étaient d’origine yougoslave, amoureux des animaux, des végétariens, pas de collège terminé, célibataires et sans enfant, sans religion, contre la guerre, pauvre et presque sans ressources, et les deux ont été étroitement surveillés par les agences militaires et de renseignement: Nikola Tesla par le FBI, l’ OSS et de la CIA, et Maria Orsic par la Gestapo et les SS. Nikola a émigré à New York et Maria à Berlin.

Si les découvertes et les inventions dans le domaine électromagnétique de Nikola Tesla a été l’un des plus grands secrets gardés par des organismes militaires, il était encore plus élevé à un  degré de classification, la sécurité, depuis les nombreuses lettres qu’il avait échangées avec Maria Orsic.

Maria  et Nikola ont été liés à la construction d’une machine volante anti-gravitationnelle et des contacts avec des extraterrestres . Nikola était un scientifique, un génie de l’électromagnétisme, mais Maria était une jeune fille qui aimait à porter les cheveux longs en dessous de la taille, presque à genoux, elle a enseigné le ballet pour les débutants et  fut une extraordinaire enseignante   de langues, mais un jour,elle  est tombé en transe et a commencé à avoir des expériences médiumniques continus dans lesquels elle  a reçu toutes sortes de données techniques et de dessins pour la construction d’un disque volant à énergie anti-gravitationnelle.

Les deux Maria et Tesla, ont  maintenu une grande correspondance dont on ne sait (officiellement) plus  rien, et ,notons au hasard ,que cette correspondance a toujours été un des enregistrements de la plus  haute sécurité classée (autant par les américains que les allemands). Parmi les documents de Tesla élaborés  en plusieurs détails  figurent majoritairement des dessins et des plans d’une machine volante anti-gravité trouvée dans la ligne UFO allemande  du Vril (particulièrement la fameuse cloche  développée en Allemagne par  Maria Orsic).

Dans l’ Allemagne nazi , il y avait deux lignes distinctes dans la construction d’OVNIS  sur le  Vril Troisième Reich allemand : les scientifiques allemands et autrichiens travaillant sur les bases de savoir (si elles étaient traditionnelles) ou en  découpe  de documents d’origine technologique inconnue (les  » bords » scientifiques des groupes motopropulseurs de données par exemple)  , bientôt transmis à la commande « prioritaire » de la SS, (et de  Maria Orsic- le projet Vril- et le Dr Otto Schumann sur la base de données techniques fournies par les « étrangers »).

Maria  a reçu des informations techniques dans la langue sumérienne des êtres qui prétendaient être des messagers de la planète Ashtari / Aldebaran et le Dr Otto Schumann, dès le début,  avait été impressionné de voir que les avions des projets avant – garde de Viktor Schauberger et Karl Haushofer …n’étaient pas si avancés(!).

COÏNCIDENCES

Le RFZ1 fut le premier disque volant construit sous les informations émises par Maria Orsic...Il est directement dérivé d'après les plans du Crash ovni de Freiburg.
Le RFZ1 fut le premier disque volant construit sous les informations émises par Maria Orsic…Il est directement dérivé d’après les plans du Crash ovni de Freiburg.

Tout comme Maria Orsic qui vivait à des milliers de kilomètres de lui,Nikola Tesla avait des informations sur les « étrangers » qui avaient écrit en sanskrit dans son carnet, et a dit que deux races extraterrestres en guerre, étaient  fortement préoccupé par l’avenirl’humanité, et c’est pour cette raison a inventé le  » rayon de la mort  » qui pourrait détruire les navires étrangers.

Sigrun et Traute ...les dernières photos connues. J'ai identifié un moteur de Junker 88,un bombardier ou avion de transport allemand.
Sigrun et Traute …les dernières photos connues.
J’ai identifié un moteur de Junker 88,un bombardier ou avion de transport allemand.

Le 20 Juillet 1931, Nikola Tesla a fait la déclaration suivante à la revue  » Time Magazine « : « Je l’ ai conçu d’ une manière qui permettra à l’ homme de transmettre de l’ énergie en grande quantité, des milliers de chevaux, d’une planète à une autre , quelle que soit la distance « .

LES DERNIERS JOURS DE NIKOLA TESLA ET DE MARIA ORSIC

Nikola Tesla est retrouvé mort le 7 Janvier 1943 à sa chambre, en deux morceaux, dans l’Hôtel New Yorker et immédiatement tout son travail et ses biens ont été confisqués par le gouvernement des États-Unis. Maria a disparue le 18  Mars 1945 à Berlin et n’a jamais plus été revue par la suite.


Maria Orsic

Maruia Orsic
Maruia Orsic

Maria Orsic était professeure de ballet et a enseigné les langues à Berlin. Le jour du 10 Février 1917, Maria tomba dans une transe, une sorte de coma pendant plusieurs heures. Elle a dit à sa mère qu’elle  a vu des êtres supérieurs de lumière pendant cette période. Le lendemain , c’est arrivé à nouveau et elle lui a dit que ces êtres enverraient bientôt des messages d’eux et il ne fallait rien dire à personne , sauf aux médiums Traute , Gudrun , Sigurn et Heike .

 

Huit jours plus tard , Maria a de nouveau reçu une communication dans laquelle il a été dit qu’ils étaient des messagers de Aldebaran (Alpha Centauri) . Les révélations étaient de deux sortes: les enseignements métaphysiques, l’univers, l’origine de la race humaine, Atlantis, Lemuria et d’ autres mondes; et le mode de données techniques détaillées pour construire une machine volante, les données qui ont été transmises dans une langue inconnue à Maria. Elle a attiré des dizaines de documents avec des dessins, illustrations, croquis, des formules, des graphiques, etc. On  ne la comprenait pas,à l’époque.

Le père de Maria a demandé l’ aide et la réalisation de contact physique  du Dr. Winfried Otto Schumann , qui était fasciné et est allé chez elle, pour faire face à la question en  demandant  à rencontrer les extraterrestres. La langue dans laquelle les données furent reçues par  Maria ,en provenance d’ Aldebaran était le sumérien.

Nikola Tesla

Nikola Tesla
Nikola Tesla

Après la mort de Nikola, son neveu Sava Kosanovic , un officier yougoslave soupçonné de liens avec le Parti communiste dans son pays, a été arrêté, isolé et interrogé par le FBI pendant plusieurs jours. Il a déclaré que son oncle ne lui avait pas parlé de sa machine volante anti-gravité et un prototype qui a volé dans un endroit inconnu au Mexique , bien qu’il savait que Tesla a voyagé dans ce pays et a déclaré que le vol avait  été un succès: »(…) mais Je ne savais pas où il était et où il a gardé cet appareil »,avait-il dit . Le FBI a demandé si Tesla lui avait dit quelque chose au sujet des « étrangers » et il a répondu que pas grand – chose, sauf que « ils étaient une grave menace pour la Terre. » Selon Kosanovic, de toutes les inventions de son oncle, dont le FBI était le plus intéressé,c’ était la machine volante et le « Death Ray » (Rayon de la Mort).

 

Les agents du FBI craignaient que leurs inventions, et surtout « Death Ray », de tomber dans les mains des communistes russes, mais quand examiné les documents qu’ils confisqués ont découvert un dossier que Tesla a titré le « Exotericon Gama  » écrit en codes et en  vieux sanskrit , et il avait marqué le mot «gouvernement». Tesla lui avait écrit comment les extraterrestres et les messages interceptés entre eux, communiquent. Poussé par le Pentagone, le FBI a été forcé d’éliminer la mention «étranger» de leurs rapports sur  Tesla tous les dossiers et la correspondance avec Mary Orsic avaient disparu,comme par magie.

Construction de Vril Mary Orsic

Avec les fonds de riches Allemands en Mars 1922 , le premier prototype a été achevé Jenseitsflugmaschine ou machine volante  de forme soucoupe . Mais le premier vol d’essai a été un échec total: une partie du navire fut désintégré et une autre machine  a explosé  en fragments multiples.

Le Dr. Winfried Otto Schumann a été dévasté. Mais après trois jours Maria  revint avec de nouvelles informations, transmis par ses « messagers », qui ont donné le Schumann assez découragé. Après deux heures de l’ examen de nouveaux documents est dit, « vous pouvez le faire ».

Le navire, apparemment piloté à partir du sol doit être mentalement par une bande magnétique fixée à l’avant du visage de Marie. (Un ruban adhésif qui a été trouvé dans l’épave de l’ accident de Roswell 1947 )

Certains des plus grands investisseurs se sont retirés, mais toujours le 17 Décembre, 1923, un nouveau modèle Jenseitsflugmaschine a été terminé. Le vol a été un succès, le navire a volé 55 minutes atteint 300,000 kmh, mais le tour a été une surprise qui a terrorisé tous les ingénieurs. Le navire avait vieilli comme de  100 ans.Maria a expliqué que lorsqu’un objet pénètre dans une autre dimension, leurs propriétés sont instantanément modifiées et le Dr Schumann a commencé à comprendre …

Maria et le groupe de médiums faisaient partie de la fondation de la  » Société Vril  » et ses femmes membres étaient connus comme « Les Dames du  Vril « . Le prototype a été utilisé pour d’ autres projets qui utilisaient la bande de pilotage mentale, comme étant le Vril 7 Geist .

Une photo du Vril 7 durant l'hiver 1939.
Une photo du Vril 7 durant l’hiver 1939.

L’intérêt pour l’utilisation comme une arme de guerre se réveilla en 1944 et Maria a refusé. Craignant que la SS et Hitler de saisir le navire a dit qu’il avait besoin d’améliorations et a été envoyé à un hangar de Munich, et les vols arrêté. Deux petits modèles de 8 mètres de diamètre ont commencé à se faire construire si l’avion aurait pu voler. Dr. Schumann a recruté quatre ingénieurs pour le développer et construire des petits plats de Marie; selon l’OSS, la CIA et le renseugnement militaire et  certains ingénieurs: ces deux petits modèles ont finalement été construits et…ont volés!

La fin de la guerre (traduction de l’allemand…archives allemandes)

En Mars 1945 Maria Orsic a reçu la communication de ses « messagers » prédisant la défaite nazie avant la fin de 1945. ..Elle fit dire cela à plusieurs amis, certains d’entre eux comme les frères Horten ont quitté l’Allemagne et ont fui vers l’Argentine.

Le jeudi 15 Mars, 1945, Maria Orsic a rencontré le Dr Schumann pour la dernière fois et il  lui a donné un paquet avec tous les documents et dessins d’OVNIS allemands et dit au revoir en pleurant. Le samedi 17 Mars 1945, Maria et son groupe ont pénétré dans les hangars de la Société Vril ( Messerschmidt), à Augsburg,  afin de prendre possession du « disque volant » entreposé.Le dimanche 18 Mars, 1945, Maria Orsic et les Dames du Vril…de  Munich, elles  sont partis pour une destination inconnue…

En Mars 1945, un lieutenant colonel nord-américain  dit qu’il a vu une énorme roue de bateau circulaire,  suspendue dans le ciel de Munich jaillit à haute vitesse et trois jours après que les observateurs militaires américains ont rapporté avoir vu une autre. Dr. Schumann, et Hanna Reitsch  Leni Riefenstahl ont  affirmé que Hitler était à bord de la dernière forme de « cloche » volante (expression mainte fois utilisée lors de leur arrestation) .Mes informations très détaillés sont à l’effet que le Führer aurait fuit le 26 avril 1945,vers 18h00…sous le nez des armées russes.

Des dossiers du renseignement militaire secrets du Troisième Reich  ont  révélé que , avant la fin de la Seconde Guerre mondiale, les officiers supérieurs de la SS, et les scientifiques ont fui vers une base secrète en Amérique du Sud, et les bases militaires souterraines allemandes de Neuschwabenland (Nouvelle  Souabe) dans l’Antarctique .

 

Le travail de Tesla

La fameuse tour de communication.,,le Teslascope.
La fameuse tour de communication.,,le Teslascope.

Nikola Tesla avait construit une machine à communiquer avec les étrangers (le Teslascope) et  certains scientifiques militaires ont conclu que deux races extraterrestres se battaient l’une contre l’ autre, et certains étrangers étaient déjà là. « ON » a confisqué la documentation de Tesla qui  a également été utilisé quand un OVNI s’est écrasé près de  Roswell en 1947 .

Tesla était apparemment très préoccupé par la sécurité de la Terre et pour cette raison qu’il n’avait jamais cessé de travailler sur un système d’armes pour agir contre les attaques extraterrestres ,comme  » The Death Ray « . Leurs conclusions ont dû faire avec une race extraterrestre hostile et une autre race extraterrestre qui a vécu sous l’ eau. En 1958, le président Eisenhower en secret , sans en informer le Congrès,fit  attribuer un budget énorme pour un top – projet secret et la construction d’une base militaire dans le but de travailler sur ces questions, les données techniques du Vril du milieu de Maria Orsic, les papiers de Tesla, et le conflit extraterrestre menaçant. Aussi en 1958, les Russes, qui avaient saisi des documents provenant des dossiers de Tesla par un agent double, avaient commencé à travailler sur des projets similaires.

Dans les États-Unis, à travers la liberté de l’ information de la Loi (FOIA) , promulguée en 1966, par laquelle elle peut demander l’ accès aux documents ou des renseignements des organismes fédéraux, l’ intérêt toujours élevé du gouvernement américain a été confirmé par les travaux de Tesla «le rayon de la mort», la soucoupe volante de l’ anti-gravité, des boules de feu électromagnétiques, communication possible avec l’ennemi, en plus de la relation de ce travail avec l’expérience de Philadelphie .


HORS TEXTE

Sur les voyages dans le temps et sur l’Expérience de Philadelphie.

Il eut la vision du voyage dans le temps.
Il eut la vision du voyage dans le temps.

Il y a des endroits où le temps et l’ espace sont naturellement plié. Un exemple est l’étrange Lordsburg Door, situé près de Lordsburg, Nouveau – Mexique.

Périodiquement, la porte ouvre, un tronc d’arbre avec une jambe humaine intégrée que l’ on voit près de la marque du Mile 17 sur l’ autoroute US 90. 

Il existe certaines preuves que ces flux dans l’ espace et le temps peuvent être induites artificiellement. Cela semble avoir été le cas avec l’USS Eldritch, qui a pris part à l’expérience de Philadelphie le 15 Août, 1943.

 

Le génial inventeur Nikola Tesla et le théoricien Albert Einstein sont tous deux auraient été impliqués dans cette expérience. 

Le but était de rendre le navire invisible en enveloppant la coque dans le câble de pouce d’épaisseur mais lequel a été induit par  un signal à haute fréquence à partir d’ un système complexe de des générateurs et des bobines de Tesla .

Les résultats ont été désastreux. Lorsqu’il est activé, le navire a généré un brouillard vert et  a disparu de Philadelphie, réapparaissant à Norfolk Port 24 heures plus tard . 

L'expérience de Philadelphie.
L’expérience de Philadelphie.

Beaucoup  d’hommes de l’équipage se sont retrouvés  imbriqués dans les murs du navire. D’ autres sont devenus fous. Certains ont été heureusement expédiés avec un coup de pistolet à la tête. Ceci fait partie d’un compte rendu écrit de l’ un des rares survivants de l’équipage 176 homme.

Tesla était un génie d’ une telle ampleur que certains de doute qu’il était en réalité humaine. Beaucoup d’inventions de Tesla, comme le « récepteur d’énergie libre» et la longue portée du   » rayon de la mort » peut avoir été supprimée pour éviter l’effondrement des services publics, les industries du charbon et du pétrole et de l’électricité ou pour des raisons de sécurité nationale.

Tesla a également tenté une expérience :utiliser le noyau de la Terre comme un« diapason » pour générer une  « libre » électricité. Dans le processus, il a fondu le générateur de la ville de Colorado Springs. 

Exactement au même moment, une explosion inexpliquée en Sibérie d’environ 15 mégatonnes a nivelé des centaines de miles carrés de forêts de pins. Cette explosion est souvent rejeté comme un impact de comète ou météore.

Après sa mort , à New York, les fichiers et les notes de Tesla sur les rayons de la mort et d’ autres questions ont été confisqués par le FBI. Certains des dossiers du FBI sur Tesla ont été publiés sur Internet en vertu du Freedom of Information Act, mais ceux – ci ont depuis été supprimés.

Il est facile de dramatiser cet immigrant américain étrange. Il est tombé en amour avec un pigeon femelle blanche aux yeux violets. Il a dit qu’il a vu des rayons de lumière émanant de ses yeux. Il a insisté sur exactement 17 serviettes en lin pliées à chaque repas. 

Il a construit une tour dans le New Jersey pour communiquer avec les étrangers.Cependant sa renommée repose sur roche réalisations solides: l’invention du courant alternatif, moteurs à courant alternatif, le premier émetteur et récepteur radio (deux ans avant Marconi) et le premier à exploiter la puissance de l’ eau qui tombe à produire de l’électricité (à Niagara Falls).

 

Des plans pour une machine à énergie solaire.
Des plans pour une machine à énergie solaire.

 

 


Maria et Tesla

Provenant de toute une panoplie d'inventions militaires...afin de protéger la Terre,voici le canon à sons...de Tesla.
Provenant de toute une panoplie d’inventions militaires…afin de protéger la Terre,voici le canon à sons…de Tesla.

Les deux Nikola et Maria  ont constaté que certaines de leurs inventions et idées ont été copiés ou volés par d’autres. Maria Orsic par la  SS et la Luftwaffe de Himmler.Tesla par Thomas Edison, Marconi, et d’autres. Tesla est mort dans la pauvreté abjecte et Marie quand elle  a quitté Berlin en Mars 1945 ,n’avait reçu pas un sou sur ses recherches.Elle est parti  avec un jeune pigeon sur le bras, les oiseaux qu’elle adorait.Sur son bureau,elle avait écrit une dernière lettre  ou elle annonçait son départ vers Aldébaran!

UFO - Advanced Propulsion - Nazi Saucer Designs - German Military Ships - Haunebu - Drawing of Inside - General Labeled Schematics - Adamski

Vous noterez en terminant cet article que nous ne sommes qu’au-début des dévoilements de secrets,car je viens de recevoir une masse énorme de documents provenant des archives soviétiques (acquises  dernièrement par un de mes supporteurs).Nous avons déjà la confirmation que Traute,l’une des grandes prêtresses,s’était réfugiée en…Uruguay.J’aurai beaucoup de plaisirs à tout vous traduire.

Michel Duchaine,votre serviteur.

 

Nouvel Ordre Mondial: le FBI harcèle les opposants des sables bitumineux

De nombreuses manifestations contre le projet de l'oléoduc ont eu lieu dans le passé.
De nombreuses manifestations contre le projet de l’oléoduc ont eu lieu dans le passé.

WASHINGTON – Des visiteurs inattendus tentent d’entrer en contact avec des militants contre le pétrole aux États-Unis — ils cognent à leur porte, les appellent, leur envoient des messages texte et contactent des membres de leur famille. Ces visiteurs sont des agents du FBI, la police fédérale américaine.

Des opposants au pétrole issu des sables bitumineux ont été contactés par des enquêteurs du FBI dans plusieurs États, après avoir participé à des manifestations qui ont retardé l’acheminement d’équipement lourd destiné à l’industrie pétrolière canadienne.

Un avocat qui travaille avec ces manifestants dit être personnellement au courant que des dizaines de personnes ont ainsi été contactés dans le nord-ouest des États-Unis, et estime que leur nombre est probablement beaucoup plus élevé.

Selon Larry Hildes, ces visites inattendues se sont produites au cours des derniers mois dans l’État de Washington, en Oregon et dans l’Idaho.

Les enquêteurs semblent s’intéresser aux actions liées aux sables bitumineux et à l’oléoduc Keystone XL. Chaque fois, les visiteurs répètent le même discours, indique-t-il: il ne s’agit pas d’enquêtes criminelles, les militants ne sont pas accusés de quoi que ce soit, mais les enquêteurs veulent en savoir plus sur leur mouvement.

M. Hildes conseille aux militants de ne rien dire, et la plupart ont suivi ses recommandations. Ce manque de communication fait en sorte qu’il est difficile de comprendre exactement ce que cherche le FBI.

Les activités des opposants aux sables bitumineux sont-elles au centre d’une enquête du FBI, ou s’agit-il simplement d’une coïncidence? La police fédérale américaine ne le dit pas. Elle indique simplement qu’elle enquête sur des crimes potentiels, et non sur les mouvements politiques.

«Le FBI a l’autorité de mener une enquête quand elle a des motifs raisonnables de croire qu’un individu est engagé dans des activités criminelles ou planifie de le faire, a déclaré une porte-parole de l’agence, Ayn Dietrich. Cette autorité concerne les activités illégales, et non les opinions politiques d’un individu.»

Mais pour les militants, l’opposition aux sables bitumineux semble être le dénominateur commun des personnes contactées par le FBI.

Le gouvernement canadien assure qu’il n’est aucunement impliqué dans ces efforts du FBI. Un porte-parole a indiqué être au courant des manifestations pour empêcher l’acheminement d’équipement lourd à l’industrie pétrolière canadienne, mais a affirmé n’en avoir jamais discuté avec les agences américaines chargées de l’application de la loi.

Herb Goodwin, du mouvement Wild Idaho Rising Tide, est de ceux qui ont reçu une visite du FBI et de la police de Bellingham, dans l’État de Washington, mais il n’a pas l’intention d’arrêter de participer aux manifestations. Il fait partie d’un groupe de quelque 100 000 personnes qui ont signé un engagement de désobéissance civile si l’administration Obama venait à approuver le projet d’oléoduc Keystone XL.

Pour lui, il s’agit en quelque sorte d’une «mission» pour contrecarrer l’exploitation des sables bitumineux au Canada et dans la formation de Bakken, aux États-Unis.

«Si nous n’arrêtons pas ces choses, nous ne pourrons jamais faire la transition vers d’autres sources d’énergie qui ne polluent pas l’atmosphère», a-t-il dit.

Pendant ce temps ,à Fort McMurray ...la vie des pollueurs capitalistes continue!
Pendant ce temps ,à Fort McMurray …la vie des pollueurs capitalistes continue!

Sources: radio Canada

Un complot fabriqué par le FBI à Washington …mis à jour

Christopher Lee Cornell
Christopher Lee Cornell

Un complot  présumé inspiré de’ISIS (l’État Islamique) afin de bombarder le Capitole des États-Unis était en fait presque entièrement arrangé par le FBI,basé sur l’ installation du modèle des menaces intérieures précédentes terroristes, la grande majorité d’entre eux ont été concoctée par l’agence fédérale.

Les autorités disent que Christopher Lee Cornell,20 ans,avait  prévu de faire exploser des bombes artisanales puis de tirer sur les législateurs et les employés qui fuiraient, mais sa famille affirme que le jeune homme n’aurait  jamais été capable de coordonner ou de financer d’un tel complot .

Le père de Cornell, John Cornell Sr., a déclaré à ABC Nouvelles que son fils était « juste un enfant ordinaire, » qui appelle  sa mère «maman» et avait un chat pour  meilleur ami.

Lorsque Cornell a commencé à tweeter  du soutien à ISIS sous le nom « Raheel Mahrus Ubaydah, » il a attiré l’attention du FBI. Bien qu’il semble presque certain que le jeune homme  était juste un solitaire faisant  des commentaires stupides sur Internet, les autorités fédérales ont vu une occasion et mettre en place une réunion avec un informateur du FBI à Cincinnati en  deux jours en Octobre.

« Ils l’emmenaient quelque part, et ils lui remplissaient la tête avec beaucoup de ces ordures», a déclaré le père de Cornell, qui conteste l’affirmation selon laquelle son fils a acheté deux fusils semi-automatiques et 600 cartouches de munitions dans un magasin dans l’Ohio, en notant qu’il n’ avait que $ 1200 dans son compte bancaire et les seules armes à feu auraient coûté près de 2000 $.

«Où est passé cet argent et d’où  vient-il? Eh bien, il est venu du FBI « , a déclaré John Cornell Sr.. « Ils le remirent en place. »

La représentation médiatique des motifs de Cornell sert également à diaboliser ceux qui ont été des critiques vocales de la façon dont la guerre contre le terrorisme a servi à renforcer la taille du gouvernement à des niveaux sans précédent.

Nous apprenons que Cornell a exprimé « la méfiance du gouvernement et les médias, » qu’il « n’a pas prêté attention aux nouvelles parce qu’il pensait que ce était toute propagande» et qu’il pensait que « les élections présidentielles ont été contrôlés par une société secrète. » Cornell également exprimé des doutes sur la version officielle derrière 9/11.

Les législateurs ont  immédiatement été informés sur le complot présumé visant à justifier une poursuite de surveillance de la NSA et appellent à plus de pouvoir au nom de la lutte contre le terrorisme.

Cet apparent piégeage et la radicalisation de Cornell par le FBI  nous montre comment on adapte le modèle de l’agence fédérale  pour ingénier les complots terroristes même si le FBI  prend alors le crédit pour busting. Comme le New York Times en 2012 , la grande majorité des complots terroristes domestiques au cours des dernières années ont été «facilités par le FBI »

« L’agence ne perturbe pas les attaques terroristes planifiées domestiques, mais plutôt les crée, puis publiquement se loue pour arrêter ses propres activistes, » écrit Glenn Greenwald .

Avec la menace d’attaques ISIS aux États-Unis ,une menace croissante – surtout en raison du rôle de la Maison Blanche dans la déstabilisation de la Syrie, qui a créé des milliers de nouveaux terroristes potentiels revenant maintenant à leur pays d’origine dans l’ouest – le FBI devrait peut-être diriger tous ses ressources pour arrêter les complots terroristes réels au lieu de les créer lui-même.

Selon des documents du FBI :Hitler n’est pas mort en Allemagne

Document FBI sur Hitler

 

 

Des documents du FBI récemment déclassifiés prouvent que le gouvernement savait que le Führer Adolph   Hitler était bel et bien vivant  dans les Andes,en Amérique du Sud, peu de temps après la Seconde Guerre mondiale.

Le 30 Avril 1945, Adolf Hitler se suicide dans son bunker souterrain. Son corps a été découvert et identifié par les Soviétiques avant d’être précipité en Russie. Est-il vraiment possible que les Soviétiques ont menti tout ce temps, et que l’histoire a délibérément été réécrit?

Personne ne pensait jusqu’à ce que la publication des documents du FBI. Il semble qu’il est possible que l’homme le plus détesté de l’histoire échappé déchiré par la guerre en Allemagne et a vécu une vie bucolique et paisible dans les magnifiques contreforts de la Cordillère des Andes.

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HORS TEXTE

Dans le prochain article,j’expliquerai comment  fut organisé le faux suicide du Führer.J’ai souvent parlé de son évasion du FÜhrerbunker et de Berlin,le 26 avril 1945,en soirée…à destination de la Norvège.

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Ces documents du FBI récemment libérés commencent par  montrer que non seulement le suicide d’ Hitler et d’Eva Braun  était truqué, mais que le couple  aurait pu avoir reçu l’aide du directeur de l’OSS lui-même, Allen Dulles.

Dans un document du FBI venant de Los Angeles, il est révélé que l’agence était bien consciente qu’un sous-marin mystérieux avait fait son chemin jusqu’à la côte argentine pour  y déposer des dignitaires nazis de haut niveau. Ce qui est encore plus étonnant est le fait que le FBI savait qu’Hitler  était en fait vivant dans les contreforts de la Cordillère des Andes,depuis de nombreuses années.

Qui est ce mystérieux informateur?

Dans une lettre Los Angeles au Bureau en Août 1945, un informateur non identifié  avait convenu d’échanger des informations pour obtenir  l’asile politique. Ce qu’il a dit avait surpris et étonné les  agents du FBI.

L’informateur savait non seulement qu’Hitler était en Argentine, il a confirmé que   l’un des quatre hommes qui avaient abordé  le sous-marin allemand. Apparemment, deux sous-marins ont débarqué sur la côte argentine, et Hitler ( avec Eva Braun) était à bord de la seconde expédition.

Le gouvernement argentin a accueilli non seulement l’ancien dictateur allemand, mais l’a aussi aidé dans sa cachette. L’informateur a continué à donner non seulement des indications détaillées sur les villages que Hitler et son escorte avaient traversé, mais aussi des détails physiques crédibles concernant Hitler.

Bien que pour des raisons évidentes l’informateur n’est jamais nommé dans les documents du FBI, il était suffisamment crédible pour être cru par certains agents.

Le FBI a tenté de dissimuler le lieu où Hitler était caché.

Même avec une description physique détaillée et des directions prises, le FBI n’a toujours pas donné suite à ces nouvelles pistes. Même avec des preuves découvertes sur  le sous allemand U-530,arrivé  sur la côte argentine peu après, en août 1945, et beaucoup de comptes rendus  de témoins oculaires sur les  fonctionnaires allemands   déposés sur la côte: que personne n’a jamais enquêté.

Encore plus de preuves ont été  retrouvées:

Avec les documents du FBI ,un compte rendu détaillé provenait d’ un témoin oculaire sur  la localisation d’Hitler en Argentine, plus de preuves vient à la lumière pour aider à prouver que Adolf Hitler et Eva Braun ne meurent pas dans ce bunker.

En 1945, l’attaché naval à Buenos Aires a  informé Washington qu’ il y avait une forte probabilité qu’Hitler et Eva Braun venaient d’arriver en Argentine. Cela coïncide avec les observations du sous-marin U-530. La preuve ajoutée vient sous la forme d’articles de presse détaillant la construction d’une maison de maître de style bavarois dans les contreforts de la Cordillère des Andes.

Une preuve supplémentaire vient sous la forme de l’architecte Alejandro Bustillo qui a écrit sur sa conception et la construction de la nouvelle maison de Hitler qui a été financé par des immigrants allemands riches antérieures.

Preuve irréfutable que Hitler s’est échappé:

Peut-être bien que la preuve la plus fantastique qu’Hitler a  pu survivre à la chute de l’Allemagne se trouve en Russie. Avec l’occupation soviétique de l’Allemagne, les prétendus restes d’Hitler ont été rapidement cachés et envoyés en  Russie, pour ne jamais être revu. C’est jusqu’en 2009, quand un archéologue de l’État du Connecticut, Nicholas Bellatoni a été autorisé à effectuer des tests d’ADN sur l’un des fragments de crâne récupérés que la vérité est sortie…enfin .

Ce qu’il a découvert a déclenché une réaction dans le  monde des et celui des communautés scolaires universitaires. Non seulement l’ADN ne correspond à aucun des échantillons enregistrés et  pensés  pour être celui d’ Hitler, ils ne correspondent pas au courant de l’ADN Eva Braun soit. Donc la question à $1 million  est: qu’est-ce que les Soviétiques découvrent dans le bunker, et où est  Hitler? (1)

Même l’ancien général et président Dwight D. Eisenhower a écrit une mise en garde, à Washington.

Ce n’était pas seulement le général Eisenhower qui était préoccupé par la disparition du Führer Adolph   Hitler, Staline a également exprimé ses préoccupations. En 1945, le journal Stars and Stripes avait cité alors le général Eisenhower que de croire que la possibilité réelle existait qu’ Hitler   puisse vivre en toute sécurité et confortablement en Argentine.

Est-il possible que nous lisions ,ici,la Vérité?

Avec tous les nouveaux éléments de preuve trouvés  et montés  à la lumière, il est possible et même probable que non seulement Hitler a pu  s’échapper de l’Allemagne; il a eu l’aide de la communauté internationale du renseignement.Documents du FBI publiés prouvent que non seulement ils étaient au courant de la présence de Hitler en Argentine; ils ont également aidé à couvrir sa retraite.

Ce  ne serait pas la première et seule fois que l’OSS a contribué à protéger  un haut fonctionnaire nazi pour échapper au châtiment et la capture. Regardez l’histoire d’Adolf Eichmann qui se trouvait en Argentine dans les années 1960.

Hitler s’est -il échappé  en Argentine? La réponse est oui!

 

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(1) Voir  mon article qui donne un éclairage sur cette affaire ,particulièrement  sur la stratégie employée:Hanna Reitsch et le scénario du faux suicide d’Adolph Hitler

 

 

 

 

 

 

Quand le FBI paye des Américains musulmans pour commettre des attentats

http://lci.tf1.fr/monde/amerique/quand-le-fbi-paye-des-americains-musulmans-a-commettre-des-attentats-8455246.html

 

AmériquesAfin d’augmenter le nombre d’arrestations et justifier les lois anti-terroristes, le FBI a encouragé et payé des musulmans américains pour les inciter à commettre des attentats au cours d’opérations montées de toute pièces après le 11-Septembre.

Le FBI a « encouragé, poussé et parfois même payé » des musulmans américains pour les inciter à commettre des attentats, au cours d’opérations de filatures et clandestines montées de toutes pièces après le 11-Septembre, conclut un rapport de Human Rights Watch (HRW) étayé de nombreux exemples.
 
Dans nombre des plus de 500 affaires de terrorisme conduites par les tribunaux américains depuis le 11 septembre 2001, « le ministère américain de la Justice et le FBI ont ciblé des musulmans américains dans des opérations clandestines de contre-terrorisme abusives, fondées sur l’appartenance religieuse et ethnique », dénonce ce rapport.
 
L’organisation aidée de l’Institut des droits de l’homme de l’Ecole de droit de l’Université de Columbia a en particulier étudié 27 affaires, de l’enquête au procès, en passant par l’inculpation et les conditions de détention, et interviewé 215 personnes, qu’il s’agisse des inculpés ou condamnés eux-mêmes ou de leurs proches, d’avocats, juges ou procureurs.

Des agents du FBI au travail.
Des agents du FBI au travail.

 
Le FBI fournit même l’idée et la logistique
 

« Dans certains cas, le FBI pourrait avoir créé des terroristes chez des individus respectueux de la loi en leur suggérant l’idée de commettre un acte terroriste », résume un communiqué, estimant que la moitié des condamnations résultent de coups montés ou guet-apens. Dans 30% des cas, l’agent infiltré a joué un rôle actif dans la tentative d’attentat.
 
« On a dit aux Américains que leur gouvernement assurait leur sécurité en empêchant et en punissant le terrorisme à l’intérieur des Etats-Unis« , a déclaré Andrea Prasow, l’un des auteurs du rapport. « Mais regardez de plus près et vous réaliserez que nombre de ces personnes n’auraient jamais commis de crime si les forces de l’ordre ne les avaient pas encouragés, poussés, et parfois même payés pour commettre des actes terroristes ».
 
L’étude cite notamment les quatre de Newburgh, accusés d’avoir planifié des attentats contre des synagogues et une base militaire américaine, alors que le gouvernement avait, selon un juge, « fourni l’idée du crime, les moyens, et dégagé la voie » et transformé en « terroristes » des hommes « dont la bouffonnerie était shakespearienne ».
 
Selon HRW, le FBI a aussi souvent ciblé des personnes vulnérables, souffrant de troubles mentaux et intellectuels. Le rapport cite également le cas de Rezwan Ferdaus, condamné à 17 ans de prison à l’âge de 27 ans pour avoir voulu attaquer le Pentagone et le Congrès avec des mini-drones bourrés d’explosifs. Un agent du FBI avait dit de Ferdaus qu’il avait « de toute évidence » des problèmes mentaux, mais le plan avait été entièrement conçu avec le policier infiltré.

Nouvel Ordre Mondial: la Mafia juive et italienne en Amérique .partie 2

LA PROHIBITION AUX ÉTATS-UNIS 

Cariture de l'époque sur la prohibition
Cariture de l’époque sur la prohibition

Les Canadiens s’adaptent à la vitesse de l’éclair. Ils importent, fabriquent, exportent. La première année de la prohibition, la valeur des importations de scotch whiskey (Grande-Bretagne, etc.) passe de 5.5 millions à 23 millions. En Ontario seulement, on ouvre 23 nouvelles distilleries et 83 nouvelles brasseries. Durant les sept premiers mois de 1920,  la seule ville de Windsor reçoit du Québec 900 000 caisses de whiskey « pour consommation personnelle ». Windsor est en face de Détroit.

Un journaliste de Détroit écrit: « C’était absolument impossible de prendre un verre… à moins de marcher moins de dix pieds et de dire au barman débordé ce que vous désirez d’une voix assez forte pour qu’il vous entende dans le brouhaha de la foule.» Un tsunami d’alcool canadien s’abat sur les États-Unis et, comme dira le fabricant d’alcool Samuel Bronfman qui vend toutes ses bouteilles au Canada : « Je ne suis jamais allé de l’autre côté de la frontière pour compter les bouteilles vides de Seagram. »

Mais pour les criminels des quartiers ethniques, la production, l’importation, le transport, tout ça demande un peu plus d’organisation que de voler un dépanneur ou une sacoche; il faut, sur une base régulière, importer l’alcool, le transporter, le vendre avec ses fausses étiquettes, tenir une comptabilité, payer les pots-de-vin aux maires, aux policiers, etc., le tout en gardant un œil grand ouvert sur la concurrence armée. Et, évidemment, ils doivent sortir de leurs quartiers, de leurs villes, de leur État, coopérer avec des gangs d’autres villes. Bref, les criminels doivent s’organiser.

Arnold Rothstein, le père du crime organisé

À Détroit, Waxy Gordon a tous les camions, tous les entrepôts nécessaires pour distribuer l’alcool du Canada; il ne lui manque que 175 000 $ pour l’importer. Rares sont les criminels qui ont autant d’argent disponible. À l’automne 1920, Waxy Gordon prend rendez-vous avec Rothstein à son bureau new-yorkais, un banc au sud de Central Park.

Depuis janvier, Rothstein réfléchit au commerce de l’alcool; il n’y a pas encore touché. À priori, il est plutôt pour la prohibition; il ne boit pas et croit que l’absence d’alcool va pousser les Américains vers le jeu. Bien sûr, il prête de l’argent aux bootleggers moyennant un taux d’intérêt impressionnant et une police d’assurance non révocable dont il est le seul bénéficiaire, mais en dehors de ça, rien. Cet indépendant total est conscient que le trafic de l’alcool est trop gros, trop complexe pour être dirigé par une seule organisation, encore moins par un seul homme.

Mais il mijote un modèle d’affaires depuis des mois. Waxy Gordon est tombé à point. Rothstein refuse de lui avancer l’argent mais lui propose son plan. Waxy se dépêche d’accepter.

Rothstein, qui ne fait jamais les choses à moitié, envoie alors un associé acheter le meilleur scotch à la source, en Grande-Bretagne. 20 000 caisses. Puis l’associé loue un cargo norvégien, traverse l’Atlantique et jette l’ancre à trois milles de Long Island, à la limite des eaux territoriales américaines. C’est cette route maritime qu’on appellera le boulevard du Rhum. Pendant ce temps, Rothstein a loué une demi-douzaine de vedettes rapides et acheté la Garde-Côtière du coin, non pas pour qu’elle regarde ailleurs, mais, au contraire, pour qu’elle aide au débarquement. À terre, les camions de Waxy Gordon sont déjà là, protégés par des hommes armés. Rothstein a loué des entrepôts un peu partout autour de Manhattan et pris des ententes avec des propriétaires de bars clandestins chics. Bilan: 500 000 $ de profit.

Onze autres voyages pendant l’année qui suit; 500 000 $ de profit par voyage; Rothstein devient le plus gros dealer de la côte est. Les gangsters rivaux étant les principaux obstacles, il engage les jeunes loups prometteurs qui l’entourent pour protéger ses convois sur le chemin des entrepôts et des distilleries. Parmi eux, Lucky Luciano, Meyer Lansky, Bugsy Siegel, Lepke, Frank Costello.

Il les exhorte à copier non seulement les méthodes des hommes d’affaires, mais aussi leur apparence. C’est une question d’image. La prohibition leur donne la chance et ils n’en auront peut-être pas deux, d’être en partie respectables, d’être acceptés par la société comme des hommes d’affaires, qui font de l’argent avec un produit illégal, certes, mais des hommes d’affaires quand même. Ce qui est impossible s’ils copient le flamboyant Al Capone, qui laisse traîner des cadavres dans tout Chicago et, au fond, défie Washington de s’en mêler.

Ils doivent éviter la notorité et la publicité qui font fuir les politiciens. Or, explique Rothstein, la survie des hommes d’affaires criminels dans la société dépend des alliances avec les politiciens qu’il faut cultiver assidument. Et acheter.

Rothstein l’avait prévu, le trafic d’alcool est impossible à contrôler sauf par la violence qui n’est pas son genre. C’est alors qu’il décide de se recycler dans le trafic des narcotiques et celui des influences: régler les causes d’alcool dans les cours de New York. Rothstein est coûteux mais efficace: sur 6902 causes d’alcool, 400 ne se rendent pas en cour et 6074 sont rejetées. Il cède son business d’alcool à ces jeunes dans la vingtaine qu’il a formés. Luciano, Lansky, Siegel, Costello, sont fin prêts. Ils savent tout sur la logistique de l’alcool et ont appris du maître en matière de corruption. Au milieu des années vingt, ils ont les moyens de mettre ses leçons en pratique. Non seulement, ils ne sont plus au service des politiciens; ils leur donnent maintenant des ordres. Ils ne sont pas les seuls.

corruption 1920

La corruption est la règle, pas l’exception. Pour faire appliquer la loi, Il aurait fallu environ 250 000 agents au tout nouveau Bureau de la Prohibition; il en a 2 000 dispersés à travers le pays. Un agent au sommet de l’échelle salariale gagne 2 836 $ par année. Une vendeuse de magasin à cette époque gagne 25 $ par semaine. À New York, un manque de zèle sélectif permet à un agent d’ajouter 50 000 $ à son salaire. La tentation est forte. Tout le monde y succombe. 1 600 agents ont été renvoyés entre 1920 et 1931 et 257 envoyés devant les tribunaux. Personne n’a jamais prétendu qu’on les avait tous arrêtés. Vers 1930, il se verse 100 millions de dollars dans les poches des politiciens et de la police de New York.

Les disciples de Rothstein font un fric d’enfer, pratiquement tous dans l’alcool; seul Lepke préfère le racket syndical. En 1926, on estime qu’il y a 100 000 contrebandiers en Amérique du Nord, dont Joseph Kennedy, le père de John Kennedy.

Un gallon d’alcool coûte 16,20 $,  le bootlegger le vend 55 $. En 1923, Luciano achète pour 125 000 $ les 200 places autour du ring pour le combat Dempsey-Firpo. Deux ans plus tard, Luciano a un chiffre d’affaires de 12 millions.  Une fois les dépenses payées (chauffeurs de camions, gardes, pots-de-vin), il lui reste un profit net de 4 millions. Meyer Lansky et Bugsy Siegel se spécialisent dans la livraison; quiconque fait affaire avec eux a la garantie que son alcool se rendra chez les grossistes, puis dans les bars clandestins. On compte alors 32 000 de ces bars à New York seulement (il y avait 15 000 saloons avant la prohibition). Celui qui ne fait pas affaire avec eux a la garantie que son alcool ne se rendra nulle part. Bref, cette branche du trafic leur assure d’excellents contacts pour plus tard.

Dans cette compétition, les Irlandais partent avec une longueur d’avance : ils peuvent facilement corrompre les policiers, en majorité irlandais, même langue, même religion, même mépris pour la prohibition. Les gangsters italiens ont tout de même un avantage : ils sont beaucoup plus disciplinés, beaucoup plus meurtriers lorsqu’il y a des affrontements entre gangs rivaux pour le contrôle d’un territoire ou d’une clientèle. Et ce, d’autant plus qu’ils peuvent compter sur les exilés de Mussolini

Mussolini contre la Mafia

Le maire sicilien mafioso de Piana dei Greci a commis la gaffe de de sa vie : il a dit au dictateur Mussolini en visite qu’il n’avait pas besoin d’être escorté, qu’il était sous sa protection. Bref, que le dictateur était son invité. En moins d’un mois, le maire est arrêté et Mussolini déclenche une attaque en règle contre la Mafia; des miliers d’hommes, coupables et innocents confondus, sont jetés en prison et torturés, leurs biens saisis, leurs familles ruinées. Plusieurs mafiosi fuient en Amérique. Parmi eux, Joseph Bonnano, de Castellammare (près de Palerme), un bastion de la Mafia sicilienne. Ils rejoignent rapidement les quelque 2000 membres des cinq familles de New York, prédateurs en chef du million d’Italiens de la métropole.

Rothstein est assassiné au début novembre 1928 pour avoir refusé de payer des dettes de jeu. Les élèves se sa promotion ont bien appris leur leçon. Un an plus tard, en mai 1929, tous se retrouvent  à Atlantic City pour une première convention du crime.

La réunion d’Atlantic City

Avec ses amis Costello, Lansky et quelques criminels éclairés d’autres villes, Lucky Luciano organise, en mai 1929, à Atlantic City, une grande réunion de gangsters. C’est l’ONU du crime; Siciliens comme Albert Anastasia, Napolitains comme Al Capone, Juifs comme Bugsy Siegel, Irlandais ou Anglais, la plupart sont bootleggers ou caïds des quartiers de New York ou des principales villes du Nord-Est: Chicago, Philadelphie, Cleveland, Brooklyn, etc. Mais on n’a pas invité les chefs traditionnels de la Mafia de New York, qui d’ailleurs ne seraient pas venus. Le but, comme l’explique patiemment le diplomate Costello, est le partage des territoires et des secteurs du crime. Bref, des cartels plutôt que des compétitions sanglantes. Comme le dit si bien Lansky: «Les vendeurs de Ford ne tirent pas sur les vendeurs de Chevrolet».

Ces criminels, unanimes, font comprendre à Al Capone que le massacre de la Saint Valentin, —sept rivaux abattus en même temps —, dérange tout le monde et est mauvais pour les affaires. Les Américains leur achètent de l’alcool sans problème de conscience, mais de là à se barrer les pieds dans les cadavres sur les trottoirs…

Après six jours de discussions, les chefs de gangs s’entendent sur un point essentiel: l’avenir est à la coopération entre eux. Avant d’aller plus loin il faut attendre que les Italiens tassent leurs inadaptés parrains résolument tournés vers le passé. Luciano, Costello, les autres Italiens retournent à New York, prêts à sauter sur l’occasion pour s’en débarrasser. L’occasion, ce sera la guerre des Castellammarese qui va transformer radicalement le paysage criminel de l’Amérique du Nord.

Article du Time Magazine, 28 nov. 1949 

La guerre des Castellammarese

Deux familles de la Mafia dominent alors le crime à New York. L’une est dirigée par Salvatore Maranzano, un ancien séminariste qui parle plusieurs langues mais baragouine l’anglais, adore l’histoire, particulièrement la vie de Jules César, son modèle. Né en 1868, il est arrivé en Amérique en 1918 seulement. Il a donc passé l’essentiel de sa vie en Sicile. Son équipe ne compte d’ailleurs que des Siciliens, souvent nés, comme lui et Joseph Bonanno, à Castellammare.

Joe "The Boss" Masseria
Joe « The Boss » Masseria

Le clan adverse est dirigé par un porc, Joe Masseria dit «the Boss», dont les manières à table font vomir les autres gangsters. Bonanno disait qu’il attaquait un plat de spaghetti comme un «drooling mastiff». Sans pitié, «the Boss» jouit d’une chance incroyable; il a échappé de justesse à plusieurs tentatives pour le descendre.

Après une série d’assassinats, il a pris le contrôle d’une des plus grosses familles de New York. Son équipe comprend notamment Lucky Luciano, Frank Costello, Albert Anastasia et Vito Genovese. S’il accepte des non-siciliens, pour le reste, il est bouché. Il ne comprend pas que Luciano et ses hommes fréquentent des criminels juifs, que Costello ait marié une juive.

Luciano piétine de rage. Pas moyen de faire comprendre à Masseria que la Mafia n’est qu’un élément, important,  parmi la pègre américaine et qu’elle doit faire des ententes avec d’autres gangs si elle veut percer dans le gambling, la prostitution, les syndicats, des secteurs où les Juifs et les Irlandais prédominent. C’est ce qui n’entre pas dans le crâne obtu de Masseria qui veut se limiter à l’alcool, à la protection, et ce, uniquement dans les quartiers italiens.  Luciano songe sérieusement à se débarrasser de lui. Il n’est pas le seul.

Masseria se contente de moins en moins d’être un parrain important, celui qui règle les chicanes entre les familles, qui jouit de leur respect; il veut une part de tous leurs rackets.

La famille de Castellammare, particulièrement ombrageuse sur ces questions, le prend mal. En février 1930, un caïd est assassiné par des tueurs de Masseria qui veulent s’emparer de son racket des livreurs de glace (un commerce important à une époque où les réfrigérateurs n’existent pas). Le hic est que ce caïd songeait à faire allégeance à Maranzano.

La guerre éclate. Les forces sont inégales: Maranzano  compte près de 500 soldats, Masseria près de 900.

Six mois (85 meurtres) plus tard, Lucky Luciano en a assez. Les affaires sont sérieusement perturbées et il a beaucoup de contacts avec les jeunes Italiens des deux camps, tous aussi écoeurés que lui. Thomas Lucchese, par exemple, le tient au courant de tout ce que prépare Maranzano.

C’est alors que Maranzano fait un geste décisif: il annonce qu’une fois Masseria parti (pour un monde meilleur), il ne se vengera pas sur ses soldats et ses supporteurs. En d’autres mots, liquidez Masseria vous-mêmes et ce sera la paix.

En avril 1931, Luciano invite Joe Masseria au restaurant Scarpato à Coney Island sous pretexte de lui expliquer son plan pour éliminer Maranzano. Vers la fin du repas Luciano se rend aux toilettes. Quatre hommes, dont Vito Genovese, Bugsy Siegel et Albert Anastasia entrent aussitôt dans le restaurant. Masseria est abattu. On retrouvera 25 balles dans son cadavre.

En avril 1931,assassinat de Joe Masseria:un tournant vient d'être pris.
En avril 1931,assassinat de Joe Masseria:un tournant vient d’être pris.

Salvatore Maranzano organise quelque temps plus tard un banquet dans un hôtel au nord de New York. À la grande surprise des quatre à cinq cents mafiosi invités, il se proclame l’unique chef de la Mafia avec le titre de capo di tutti capi (chef de tous les chefs), suivant la hiérarchie en vigueur dans la Mafia en Sicile (chef, sous-chef, capo ou capitaine et soldats).

Deuxième surprise, New York est divisé en cinq familles dont il nomme les chefs: Lucky Luciano (future famille Genovese), Joseph Bonanno, Joe Profaci (future famille Colombo), Gaetano Gagliano (future famille Lucchese) et Vincent Mangano (future famille Gambino). Cette organisation est toujours en vigueur aujourd’hui.

Moins de cinq mois après sa prise du pouvoir, beaucoup de jeunes, en commençant par Lucky Luciano, en ont ras-le-bol. Maranzano se prend pour César et est réfractaire à tout ce qui n’est pas sicilien. Or, les jeunes, qui se sentent davantage Américains que Siciliens — d’ailleurs, Luciano parle mieux anglais qu’italien — souhaitent travailler avec des criminels juifs tels Lepke, Meyer Lansky ou Bugsy Siegel.

La méfiance monte. Maranzano et Luciano préparent leur assassinat mutuel. Maranzano convoque Luciano à son bureau sur Park Avenue pour le 10 septembre 1931. Il a engagé le meilleur tueur de la ville, le très psychopathe irlandais Vincent («Mad Dog») Coll, pour qu’il attende Luciano à la sortie. Luciano a prévu le coup depuis longtemps.

Pas facile d’approcher un boss de la Mafia. Dans les bureaux de Maranzano, traîne toujours une demi-douzaine de gardes du corps siciliens. Luciano et Lansky ont préparé un plan ingénieux. Ils ont choisi quatre tueurs juifs dont Bugsy Siegel, et leur ont appris pendant plusieurs jours comment se comporter en agents du fisc. Lorsqu’ils se présentent et demandent à parler à Maranzano, personne ne se méfie. Deux accompagnent Maranzano dans son bureau. Les deux autres ordonnent à la sécrétaire et aux gardes de corps de se tourner contre le mur.

Une fois les vieux dons éliminés, Lucky Luciano a les mains libres pour imposer sa grande idée, un syndicat national du crime dont le seul but est de faire de l’argent.

Organiser le crime

Quelques semaines plus tard, à l’automne 1931, un autre conclave criminel crucial s’ouvre à Chicago. Une majorité d’Italiens mais aussi des participants et des observateurs de toute la pègre américaine. Luciano avait discuté avec Costello et Lansky des principaux points à l’agenda.

Ici il faut faire une distinction. Ce qu’on appelle le Syndicat du Crime regroupe mollement, à l’échelle des États-Unis, la plupart des organisations criminelles de l’époque. On y trouve des Juifs, des Irlandais et des Italiens. Avec les années, les Juifs et les Irlandais laisseront la place aux Italiens, plus précisément aux familles italiennes de la Mafia.

En plus de créer un syndicat du crime, Luciano réorganise la Mafia américaine.

Luciano abolit le titre de cappi di tutti cappi que Maranzano s’était donné: plus personne ne doit dominer l’ensemble de la Mafia. Mais il crée une Commission, un genre de conseil d’administration pour trancher les litiges importants, diviser les territoires entre les parrains de chaque famille et s’entendre en groupe sur les crimes les plus payants, jeux, trafics, prostitution, rackets, etc…

La Commission comprend sept membres permanents, soit les cinq familles de New York, dont celles de Luciano et de Bonanno, plus celles de Chicago et de Buffalo (avec l’Ontario comme succursale). D’autres familles, s’ajouteront ensuite : New Jersey, Cleveland, etc.

Tous les membres de la Commission sont égaux : un homme, un vote. Si le droit de vote est réservé aux Italiens, d’autres, Lansky par exemple, peuvent participer aux discussions même s’ils ne votent pas.

Sauf New York, qui a cinq familles, les principales villes américaines n’ont qu’un parrain par ville. Il y a au total une vingtaine de parrains aux États-Unis.

Bref, coopération, consolidation, ordre et business, comme dans une corporation légitime. La Mafia, jusqu’alors isolée, soupçonneuse, renfermée sur elle-même, sort des Petites Italies.

Cette Mafia moderne est ouverte aux Italiens du sud, Napolitains, Calabrais, etc. De plus, le nombre de mafiosi dans une famille est fixé à ce moment. Un nouveau membre ne peut être admis qu’en remplacement d’un mort, ceci pour conserver la force de chaque famille et empêcher qu’une famille devienne trop grosse et contrôle les autres.

Tous les autres criminels avec qui la Mafia travaille sont des associés. Une famille peut donc compter une centaine de membres, mais des milliers d’associés.

Finalement, il est clair que Luciano coupe les liens de dépendance avec la Mafia sicilienne. Les familles américaines ne seront pas des succursales des familles siciliennes.

On adopte quelques règles en béton: seuls des mafiosi peuvent tuer des mafiosi. Évidemment, les mafiosi peuvent tuer d’autres criminels et ne s’en privent pas, mais malheur à celui qui ose même menacer un mafioso. On s’entend pour ne jamais tuer un juge, un procureur ou un journaliste.

Luciano a imposé la paix dans le crime organisé, mis sur pied une organisation copiée sur les grandes compagnies qui disposent de contacts et d’argent. La Mafia est prête pour la crise économique qui frappe alors l’Amérique.

Depuis 1929, les revenus du gouvernement dégringolent. Si l’alcool était légal, on pourrait le taxer. La mesure est d’autant plus facile à faire accepter que seuls quelques purs et durs refusent de voir les effets pervers de la Prohibition.

La Prohibition prend fin le 5 décembre 1933; le crime organisé perd sa vache à lait, si on peut dire… C’aurait dû être sa fin.

Pas du tout. C’est même un nouveau départ, car la Mafia a prévu le coup, anticipant les lourdes taxes sur l’alcool. Les avisés du Syndicat, comme Lansky, ont construit d’immenses manufactures clandestines (celle de Zanesville a une capacité de 20 000 bouteilles par jour) ou pris des parts dans Molaska Corporation qui va fournir, légalement, de la mélasse déshydratée  aux distilleries qui vont renaître ou encore, comme Costello, pris le contrôle de la distillerie britannique Whiteley, producers of House of Lords and King’s Ransom Scotch. Mais il y a mieux, beaucoup mieux.

Comme toujours dans une crise économique, on veut de temps en temps rêver et oublier. Le crime organisé fournit tout ce qu’il faut: drogue, sexe, alcool et jeu. Surtout le jeu, qui remplace le trafic d’alcool comme la principale source de revenus du crime organisé durant la crise.

Dès 1928, l’astucieux Costello a installé un peu partout à New York des machines à sous déguisées en machines distributrices de bonbons. Entre 1928 et 1934, sa compagnie Tru-Mint Corp. opère quelque 5000 machines. Dans certains endroits, les machines ont de petits escabeaux pour permettre aux enfants de placer leur cinq sous. Profit brut annuel : 600 $ par machine, soit 3 000 000 $.

La Mafia surnomme Costello « le Premier ministre du crime » parce qu’il est parfaitement à l’aise avec les « dignitaires étrangers », policiers, juges, politiciens et surtout, leurs collecteurs de fonds. C’est le grossiste de la corruption.

Le Comité des démocrates de New York a 25 ex-criminels sur sa liste de paie; huit des 22 inspecteurs d’élections, chargés d’assurer des élections honnêtes, ont un casier judiciaire. En 1932, 4 000 personnes ont été arrêtées pour jeux illégaux; 175 subissent un procès. On leur donne une tape sur les doigts.

Et la demande est énorme: loteries illégales, casinos underground, parties de poker clandestines, etc. À Harlem, un jeu est populaire: pour un sou, on choisit un chiffre entre 1 et 1000; le gagnant emporte 600 fois la mise. En 1931, à Harlem seulement, la pègre encaisse 35 000 $ par jour moins les frais pour les gagnants, 7700 $.

N’importe quel Américain peut gager sur n’importe quelle course grâce aux bookmakers qu’on trouve partout et qui sont tous liés au crime organisé.

History of Gambling in America (vidéo en 5 parties)

Mais le jackpot est remporté haut la main par Moses Annenberg, ancien responsable de la circulation pour Hearst, le roi des journaux jaunes. À l’époque, aucun lien avec des études de marketing; la circulation, ça voulait dire contrôler les coins de rue où s’installaient les vendeurs de journaux. Et ce contrôle se faisait à coup de poings ou d’instruments contondants variés, en renversant les camions de livraison des quotidiens rivaux, etc.

Moses a réalisé très vite qu’il y avait de l’argent à faire avec l’information sur les courses de chevaux.

En 1922, il a acheté le Daily Racing Form, l’incontournable quotidien pour tout passionné de course, puis en 1926, tournant majeur, il fonde le Nation-Wide News Service en association avec le plus gros joueur de la côte est, Frank Erickson, un associé de Luciano, de Lansky et de Costello.

C’est une superbe anomalie: une affaire légale qui fournit de l’information à des individus engagés dans une activité illégale. NWNS est un service indispensable à tous les bookmakers, dont les affaires dépendent de la rapidité à connaître les résultats des courses de chevaux sur les hippodromes de tout le pays. Par téléphone et par télégraphe, Annenberg suit en direct l’évolution des courses sur 29 hippodromes du pays et transmet  les résultats dans 223 villes dont Montréal où des milliers de salles de paris clandestins opèrent illégalement. Annenberg devient le cinquième plus important client de d’American Telephone and Telegraph.

Jeu, drogue, prostitution, corruption, la plupart des grandes villes sont infestées par le crime organisé. La Mafia et ses associés ont tellement de pouvoir qu’ils ne s’aperçoivent même pas que la population commence à renâcler. C’est une chose d’endurer la corruption quand l’économie est prospère, c’en est une autre quand le monde crève de faim et que les politiciens s’en mettent plein les poches.

En 1933, Fiorello La Guardia est élu maire de New York. Philipp Kastel et Costello, craignant le pire, envoient aussitôt  leurs machines à sous dans la Louisiane du très corrompu gouverneur Huey Long. Ils ont eu raison. En octobre 34, La Guardia fait entasser un millier de machines à sous sur une péniche qui va les jeter à la mer.

Lucky Luciano  en compagnie de son chien favori.Lucky préférait la compagnie des animaux à celle des humains.
Lucky Luciano en compagnie de son chien favori.Lucky préférait la compagnie des animaux à celle des humains.

 

 

La Guardia, avec l’appui du nouveau président Roosevelt, entreprend une croisade contre la Mafia. Son arme : Thomas Dewey, un brillant avocat de Wall Street, procureur du district. Sa première cible : Waxy Gordon, qui écope de dix ans de pénitencier pour évasion fiscale.

Puis, la seule femme de son équipe, l’avocate Eunice Carter qui suit le dossier de la prostitution, observe un phénomène étrange.

Jour après jour, semaine après semaine, les filles accusées de prostitution racontent la même histoire aux juges: elles étaient en visite chez une amie. Elles sont défendues par les mêmes avocats, leur caution est rapidement payée par les mêmes individus. Elle enquête plus en profondeur, des noms sortent. Des pimps minables, puis d’autres noms.

En 1935, Thomas E. Dewey accuse Luciano d’être le grand boss de la prostitution à New York. Les tabloids se déchaînent. Lucky nie toutes les accusations. Deux prostituées fascinent les journalistes et les jurés, Nancy Presser et «Cokey» Flo.

Cette dernière, une droguée toute menue, qui témoigne après avoir été privée de drogue pendant quelques jours, raconte qu’elle a entendu Luciano lui-même menacer les filles, qu’elle l’a vu les battre, qu’il les a forcées à prendre des narcotiques. L’autre témoin, Nancy, prostituée depuis l’âge de 13 ans, est allée souvent au très chic Waldorf Astoria, la résidence permanente de Luciano. Dewey l’amène à détailler l’appartement, les meubles, etc.

Il y a plein de trous dans son témoignage. Les avocats de Luciano trouvent pour le moins bizarre qu’elle ne soit pas capable de situer l’hôtel; personne ne l’y a vu non plus. Luciano, qui respectait la chaîne de commandement, ne donnait sûrement pas d’ordres directement à des prostituées. Ce qui ne veut pas dire qu’il ne contrôlait pas la prostitution. Le 6 juin 1936, Luciano est condamné à 30 ans de pénitencier, la plus longue sentence jamais donnée pour ce genre de crime. Il est expédié à Dannemora, près de la frontière canadienne, la Sibérie du système carcéral.

L’emprisonnement de Luciano prouve aussi la sagesse de sa stratégie pour l’organisation. Dans le cas des criminels indépendants, on arrête les leaders et le gang s’écrase. Par contre, Luciano, Capone et autres chefs de la Mafia dirigent des corporations. Costello remplace Luciano aussitôt et le reste de la structure de la famille, les capitaines, leurs équipes, les soldats, les associés, est en sécurité. L’organisation continue.

D’ailleurs il y a de moins en moins de gangs indépendants de la Mafia aux États-Unis. À New York, il ne reste que Dutch Schultz.

Même phénomène dans les autres grandes villes; les gangs irlandais de Boston et Chicago, juifs de Detroit (Purple Gang) ont deux choix: réserver leur place au cimetière, ou prendre des contrats de la Mafia pour des jobs spécifiques, comme  devenir bookies.

Thomas Dewey est maintenant célèbre. Nommé procureur de Manhattan, il tourne son attention vers Vito Genovese. Vito est un cas, même dans la Mafia. Tombé en amour avec une femme mariée, il fait assassiner le mari et épouse la dame. Un jour, avec un complice, il avait escroqué un homme d’affaires. Puis il engage deux hommes pour tuer le complice, histoire de faire des économies. Ceci fait, il demande à un des tueurs de tuer l’autre. Le tueur rate son coup à deux reprises. L’autre le dénonce; le tueur est envoyé au pénitencier. C’est alors que Genovese, après avoir mis 750 000 $ dans une valise,  décide de prendre des vacances prolongées dans l’Italie de Mussolini. Luciano au pénitencier, Genovese en Italie, Dewey s’intéresse au «syndicaliste», Lepke Buchalter.

La pègre et les syndicats

Avec l’essor du prêt à porter, l’industrie du vêtement s’était regroupée dans un quartier de New York, le Garment Center. 200,000 personnes y travaillent dans 40 pâtés de maisons. Des grèves violentes éclatent régulièrement.

Lepke n’a jamais été intéressé par le trafic d’alcool. Dès l’époque où il est un des disciples de Rothstein, il s’intéresse plutôt à l’exploitation des travailleurs.  À lui tout seul, ce fils d’un propriétaire de quincaillerie change les syndicats de New York dans le mauvais sens du terme durant les années 30.

Un associé à déjà dit de lui « Lepke loves to hurt people.» Du couteau au revolver en passant par la bouteille d’acide, si ça saigne, Lepke est content.

Il offre un service de briseurs de grève aux employeurs mais ne refuse pas un contrat des employés pour intimider d’autres briseurs de grève ou des patrons. Lepke se rend compte qu’il y a de l’argent à faire autrement qu’en se bagarrant. Il invente le racket industriel.

Lepke constate que le monde du vêtement est constitué d’entreprises intereliés qui dépendent l’une de l’autre. Il faut trouver le maillon faible.

Les 50 000 ouvriers de l’industrie du vêtement sont groupés en plusieurs syndicats locaux, tous affiliés à l’Amalgamated Clothing Workers Union of America.

Lepke se rend compte que parmi tous ces syndicats, le Cloth Cutters Union, environ 1800 membres, est le plus important. Ils font un travail spécialisé (les patrons) qui demande des années d’apprentissage. Ils ne peuvent tout simplement pas être remplacés par des scabs. Celui qui contrôle ce syndicat peut paralyser toute l’industrie du vêtement. Ce sera Lepke.

Il fait tuer ou envoyer à l’hôpital les syndicalistes qui résistent et s’empare du syndicat. Puis il fait chanter les employeurs qui se dépêchent de donner des sommes impressionnantes pour éviter des grèves ou pour que Lepke oublie des chapitres complets des conventions collectives. En 1932, Lepke collecte 2.5 millions de dollars. Il veut aller plus loin.

Deux fois par année, les manufacturiers doivent concevoir, fabriquer et présenter aux acheteurs des grands magasins leurs nouvelles lignes de vêtements. Chaque fois, ils gagent tout ce qu’ils possèdent. Traditionnellement, s’ils avaient besoin d’une avance de fonds, ils empruntaient au riche du coin moyennant un intérêt modeste. Avec la crise économique, les banques hésitent à prêter, surtout pour un commerce aussi risqué que la mode. Le shylock lui, n’hésite jamais.

Tarif standard : 50 000 $ prêtés pour 20 semaines à 5% d’intérêt par semaine soit 2 500 $. L’intérêt doit être payé en premier. Le remboursement est garanti par le désir du manufacturier de conserver son l’intégrité physique. S’il ne peut pas payer, Lepke demande une part de la compagnie. Alternative raisonnable à une jambe cassée…

Lepke a rapidement des parts dans des dizaines de compagnies, d’autant plus qu’il paie des employés de banque pour qu’ils lui signalent les manufacturiers à qui la banque a refusé un prêt.

Il emploie des non-syndiqués dans ses nouvelles compagnies qui peuvent donc vendre moins cher que leurs concurrentes. Lepke contrôle bientôt toute l’industrie du vêtement à New York.

Il prend ensuite le contrôle des syndicats des camionneurs qui transportent les vêtements. Puis il applique la recette à d’autres industries, boulangeries, restaurants etc. Chaque fois, ses complices, grassement payés siègent à la direction du syndicat qui leur accorde des prêts qu’ils n’auront jamais à rembourser. Les fonds des syndicats sont détournés, et apparaissent alors ce qu’on appelle des emplois «no-show». Des hommes payés par le syndicat ou l’employeur et qui n’ont pas à se présenter au travail. Leurs chèques de paie justifient une partie de leurs revenus dans leurs rapports d’impôt.

Lepke fait aussi la première incursion dans les syndicats du cinéma avec un associé de Chicago, une crapule remarquable, Willie Bioff. Les deux prennent le contrôle du syndicat des projectionnistes et extorquent aussi bien ces derniers que les propriétaires de salles. Reste les nombreux syndicats d’Hollywood. La Mafia veut s’en emparer et, au passage, prendre  le contrôle du jeu en Californie.  La tâche est confiée à Bugsy Siegel.

La pègre à Hollywood

L’élégant Bugsy Siegel est introduit dans le milieu du cinéma par des amis acteurs, George Raft, Jean Harlow, Clark Gable ou Cary Grant. Siegel s’empare de toute l’industrie du jeu illégal et met en place un système raffiné pour extorquer les producteurs, en prenant le contrôle des syndicats des figurants et des techniciens (décorateurs, preneurs de son, monteurs, etc.), qui peuvent à tout moment bloquer la production d’un film. Le courageux Robert Montgomery et son syndicat des acteurs réussiront à échapper au crime organisé à Hollywood.

Puis, en 1937, Lepke disparaît; tout le monde le cherche, le Bureau des narcotiques, pour importation d’héroïne, Dewey, le procureur de New York, pour extorsion et qui promet de l’envoyer en prison pour 100 ans. On dit qu’il est en Floride, en Californie, à Cuba, en Pologne. En fait, il est à New York, caché par son collègue Anastasia qui fait tout pour éviter l’arrestation de Lepke. C’est une lutte à finir entre les tueurs d’Anastasia qui éliminent les témoins et la justice qui essaie d’en garder quelques uns vivants.

Finalement, cette chasse à l’homme nuit aux affaires. Ses collègues de la Mafia font croire à Lepke qu’une entente a été arrangée avec le FBI: il sera condamné pour trafic de narcotiques, mais on ne le remettra pas à Dewey. Lepke envisage quelques années à l’ombre et, en 1939 se rend au FBI. Horrifié, il apprend qu’il n’y a pas eu d’entente. Quatorze ans de pénitentier. Puis Dewey ajoute un autre 30 ans. Lepke se console à l’idée que la justice ignore le pire.

 

 

Murder Inc.
Murder Inc.

 

Meurtres: la sous-traitance

Le 22 mars 1940, une dame demande à parler à Bill O’Dwyer, le procureur de Brooklyn (futur maire de New York). Son mari, Abe Reles, accusé de meurtre, est prêt à devenir délateur.

Sûr de lui, Reles demande à O’Dwyer l’immunité et la protection de la justice et explique patiemment pourquoi c’est une offre que le procureur ne peut pas refuser. O’Dwyer écoute, il est soufflé; Reles a parfaitement raison. L’offre est immédiatement acceptée.

Lorsque la Commission avait été créée en 1931, ses membres étaient conscients qu’il leur faudrait un bras armé pour imposer leurs décisions. Ils avaient donc créé ce que les journalistes appelleront Murder Incorporated (Meurtre Inc.) parce que bien sûr cette branche de la Commission n’avait pas de nom. C’est en fait une équipe de tueurs, essentiellement juifs, qui opère partout aux États-Unis. Ces tueurs n’ont aucun lien avec la victime désigné par la Commission. Ils reçoivent un salaire régulier plus une somme de 1 000 $ à 5 000$ par meurtre et ont droit, gracieuseté de la Commission, aux meilleurs avocats pour les défendre s’ils se font arrêter. Les co-directeurs des opérations de Murder Incorporated sont Lepke Buchalter et Albert Anastasia.

Reles est un cadre intermédiaire; il reçoit les ordres de Lepke ou d’Anastasia et, de son «bureau», le magasin de bonbons Midnight Rose’s, les transmet aux tueurs.

Dans un premier jet de souvenirs qui dure 12 jours, Reles raconte ce qu’il sait sur 83 meurtres. Il a une mémoire exceptionnelle; il est capable de dire dans quel restaurant il était dix ans plus tôt, le décor, ce qu’il y a mangé et avec qui.

Suite à la confession d’Abe Reles, une demi-douzaine des meilleurs tueurs de Murder Incorporated passe sur la chaise électrique. Maintenant, au tour des chefs, Lepke et Anastasia.

Le procès d’Anastasia, prévu pour le 12 novembre 1941, repose sur le témoignage unique d’Abe Reles, le témoin star du procureur.

Quelques jours avant le procès, Reles, pourtant gardé jour et nuit par six enquêteurs de la police chute «accidentellement» du sixième étage du Half Moon Hotel à Coney Island. On trouve un drap noué accroché à la fenêtre.

On n’a jamais pu déterminer s’il était tombé en essayant de s’enfuir ou s’il avait été poussé. Anastasia est libre, mais Reles en a tellement raconté sur Lepke que la police finit par trouver un autre délateur. En mars 1944, Lepke s’asseoit sur la chaise électrique. C’est à ce jour le seul chef du crime organisé à avoir été exécuté par la justice. Luciano, l’autre chef emprisonné, sait qu’il va bientôt être libéré. Il peut en remercier Hitler.

Dès l’entrée en guerre des États-Unis, en décembre 1941, contre le Japon, l’Allemagne et l’Italie, les sous-marins allemands coulent les navires marchands américains au large des côtes. La Marine craint les espions et surtout les saboteurs.  Beaucoup de débardeurs sont nés en Italie.

Le 9 février 1942, vers minuit, le paquebot Normandie, un transport de troupes, commence à brûler. Le Service de renseignements de la marine de guerre panique qui craint un sabotage, entre en contact avec le patron mafioso du syndicat des débardeurs de New York. Il est prêt à aider la Marine mais il précise que seul Luciano peut assurer la sécurité des ports de toute la côte est.

La Marine approche Luciano qui, emprisonné depuis 1936, refuse de leur dire un seul mot tant qu’il ne sera pas transféré dans un pénitencier proche de New York. On lui fait ce plaisir.

Un mois après l’incendie, Luciano reçoit les émissaires de la Marine. Il leur garantit la sécurité des ports en échange d’une remise de peine. La Marine accepte d’en reparler après la guerre et Luciano donne l’ordre de collaborer. Débardeurs, pêcheurs, gangsters deviennent les yeux et les oreilles de la marine de guerre.

Lorsque les Alliés débarquent en Sicile en juillet 1943 la Mafia locale, ennemie mortelle de Mussolini, leur fournit tout ce qu’ils veulent savoir sur le nombre et l’emplacement des troupes allemandes et italiennes. Depuis son arrivée en Italie en 1937, Vito Genovese avait joué à fond la carte fasciste; dons somptueux aux oeuvres caritatives du dictateur, fournisseur attitré en cocaïne du ministre des Affaires étrangères et gendre de Mussolini etc.

Dès l’arrivée des Américains, on emprisonne les dirigeants du régime, on cherche les autres. Mais pas Genovese. Il n’est pourtant pas difficile à trouver; apprécié de tous, ce patriote travaille gratuitement comme interprète au QG des alliés, basé dans le grand dépôt militaire de Nola près de Naples. Situation idéale. L’état-major a souvent besoin de ses services; Vito a souvent besoin de se servir dans l’entrepôt. Vito devient le plus grand trafiquant du marché noir italien, cigarettes, alcool, nourriture.

Un homme n’est pas dupe; le simple sergent Orange Dickey, un ancien flic. Il fouille, découvre les liens de Vito avec les fascistes, son rôle dans le marché noir. Il l’arrête. Vito lui offre 250 000 $. Dickey refuse, résiste aux pressions de tout l’état-major et, en désespoir de cause, demande au FBI si Vito est recherché aux États-Unis. C’est le cas. Pour meurtre. Vito débarque aux États-Unis le 8 janvier et applique la procédure standard de la Mafia dans un tel cas: éliminer le témoin. Dans ce cas-ci, il est empoisonné dans sa cellule.

Luciano se prépare à faire le chemin inverse de Vito.

La grande réunion

Aussitôt la paix revenue, ses avocats avaient demandé sa libération. Ils avaient signalé son aide à l’effort de guerre mais aussi réunis quelques preuves que les témoignages des prostituées Nancy Presser et «Cokey» Flo avaient été fortement inspirées par le bureau du procureur Dewey.

Finalement, on s’entend. Luciano n’ayant jamais pris la peine de devenir citoyen américain, il est déporté en Italie en février 1946. Bon débarras pensent les détectives.  Un an plus tard le U.S. Bureau of Narcotics apprend qu’il est revenu sur le continent, plus précisément à Cuba.

Tout le gratin du crime organisé, Costello, Lansky, Genovese etc., est à La Havane pour accueillir Luciano durant les fêtes de Noël 1946. Le prétexte est de fêter la carrière d’un bon ami de la Mafia, le chanteur Frank Sinatra. La vraie raison est de préparer le trafic d’héroïne vers les États-Unis via Cuba.

Lourdes pressions des Américains qui exigent son retour en Italie. Batista refuse. Les Américains prennent alors les grands moyens; ils interdisent l’envoi de tout médicament à Cuba qui n’en produit pas un seul. Batista propose de déporter Luciano au Venezuela. Refus des Américains qui ne veulent tout simplement pas voir Luciano sur le même hémisphère qu’eux. Luciano retourne en Italie. Costello devient le chef de sa famille. Mais le  Syndicat a quand même eu le temps de régler le très épineux problème de Las Vegas.

 

 

Bugsy Siegel
Bugsy Siegel

 

Las Vegas

Bugsy Siegel

Il y avait au milieu du désert du Nevada, un trou oublié, Las Vegas. Aucun visiteur, aucun touriste, sauf ceux qui passaient par là pour aller divorcer à Reno. Bugsy Siegel qui a pris le contrôle du jeu en Californie, apprend que le Névada a une qualité caché: le jeu y est légal. Il va voir, rêve d’un casino qui attirerait les joueurs de Californie.

La guerre est finie, le transport aérien est bon marché, le Syndicat avance l’argent; Bugsy Siegel se lance dans la construction d’un casino aussi coûteux que kitsch, le Pink Flamingo. Les matériaux de constructions sont encore rares, il les obtient à prix d’or. Sa blonde, Virginia Hill, compagne de lit du dessus de la pègre, est chargée de la décoration. Grande ouverture le 26 décembre 1946.

Le timing est mauvais, le lendemain de Noël! La température exécrable, les avions ne peuvent décoller de Los Angeles. L’ouverture de l’hôtel-casino le plus luxueux du monde est un flop total. Ses créanciers du Syndicat commencent à grommeler. Ils ont prêté à Siegel deux, puis quatre millions. Le casino perd 700 000 $ en deux mois. Une réouverture, un autre flop. Un autre deux millions. Puis les créanciers apprennent que Siegel ne fait pas que dépenser leur argent: entre deux décorations hors de prix, Virginia Hill ouvre des comptes en banque en Suisse pour Siegel.

À La Havane, on vote sa mort.

Bugsy Siegel est abattu le 20 juin 1947 dans sa maison de Beverly Hills. Vingt minutes après le meurtre, 500 milles plus loin, deux associés de Lansky doués pour la télépathie entrent au Flamingo et annoncent qu’ils représentent la nouvelle administration. Personne ne s’objecte.

Las Vegas est un succès posthume pour Siegel; le prix des transports aériens baisse toujours, les touristes déferlent. Une rivière d’argent coule au Flamingo puis dans les autres casinos que le Syndicat construit. Frank Sinatra y donne régulièrement des spectacles. La ville est ouverte à toutes les Familles, mais la Commission accepte depuis longtemps que Chicago a son mot à dire sur tout ce qui est à l’ouest. Chicago, mais aussi Kansas City, y investissent massivement, en puisant dans leur guichet automatique personnel, la caisse de retraite des Teamsters, le plus important syndicat américain.

À la fin des années 40, la Mafia est fin prête pour le boom d’après-guerre. La violence des années 30 est terminée, on commence à oublier Murder Inc., comme d’ailleurs les procès des années 40. Les revenus de Las Vegas, de Cuba, s’annoncent prometteurs surtout lorsque Batista prend le pouvoir quelques années plus tard. Les deux piliers du Syndicat, New York et Chicago ont établi des têtes de pont en Floride, en Louisiane et en Californie.

Les bookmakers sont prospères. Les  politiciens sont achetés pour donner un coup de pouce, les policiers pour ne rien faire.

Le crime organisé s’épanouit de plus en plus à l’ombre de commerces légaux. On envisage un futur harmonieux, prospère et surtout discret. Cette vision reposante de la Mafia et de ses associés est brisée par un sénateur du Tennessee qui va les montrer aux Américains sous un éclairage tout neuf, celui de la télévision.

La Commission Kefauver

Au début de l’année 1950, le sénateur Estes Kefauver est perplexe. À Washington, il a assisté à deux conférences, celle des maires et celle des procureurs américains. Durant la première, le maire de la Nouvelle-Orléans, celui de Los Angeles et plusieurs autres ont raconté aux congressistes que le crime organisé est partout, impossible à contrôler et que les autorités municipales sont impuissantes. Durant la deuxième, les procureurs ont expliqué que le crime organisé ne pose pas de problèmes sérieux parce qu’il n’existe pas; tout au plus une simple collection disparate de criminels qui ne devraient pas poser de problèmes à des maires agressifs. Kefauver se dit que les deux ne peuvent avoir raison ou tort en même temps.

Il convainc ses collègues de créer une Commission spéciale du Sénat pour enquêter sur le crime. De mai 1950 à mai 1951, les cinq sénateurs siègent dans quatorze villes, entendent 600 témoins. Hoover le boss du FBI ne veut absoluement pas les aider, les flics locaux n’ont pas de dossiers et ne savent pas grand chose. Bref, le vide, sauf une dizaine de détectives de New York comme Ralph Salerno, le futur incontournable sur tout ce qui concerne la Mafia. Mais Kefauver a une bonne équipe de recherchistes et deux armes, les rapports d’impôts des criminels qu’il interroge et la télévision qui commence à être répandue dans les endroits publics. Partout où ils siègent c’est la même histoire: le jeu illégal et son petit cousin, la corruption politique. L’un après l’autre, les boss et les petits boss du Syndicat invoquent le 5e Amendement de la Constitution américaine, qui leur donne le droit de ne pas témoigner si ça risque de leur nuire. Et il y a risque.

Le gros show a lieu à New York. D’abord le témoignage de Virginia Hill, toujours égale à elle-même. Elle n’a rien vu, rien entendu; quand les gars papotaient business, elle allait magasiner. On lui donnait en effet beaucoup d’argent. Un sénateur veut en savoir plus:

Virginia Hill

Senator Tobey: «But why would Joe Epstein give you all that money, Miss Hill?»

Witness: «You really want to know?»

Senator Tobey: «Yes, I really want to know.»

Witness: «Then I’ll tell you why. Because I’m the best cocksucker in town!»

Senator Kefauver: «Order! I demand order!»

En sortant de la salle elle décroche un direct à la machoire d’une journaliste qui l’avait un peu trop approché. Puis la Commission Kefauver passe aux choses sérieuses.

Vidéo: Frank Costello and Virginia Hill at the Kefauver Hearings (court bulletin de nouvelles)

Frank Costello en couverture du magazine Time

Tout le monde attend le témoignage de Frank Costello, le plus présentable des parrains, le plus généreux donateur des caisses électorales, un habitué des réunions politiques et l’héritier de la famille de Luciano. Mais son avocat obtient que les caméras de télévision ne filment pas son visage. C’est une erreur. Normalement ennuyants comme la pluie, les auditions défoncent les cotes d’écoute.

Elles sont retransmises par les trois chaînes de télévision, les magasins se vident pendant les «Kefauver hours»; des dizaines de millions d’Américains voient le ballet nerveux des mains de Costello qui se nouent et se dénouent pendant qu’il tente d’expliquer qu’il ne s’intéresse qu’à l’immobilier et un peu au pétrole. Et ses amis politiciens? On a beaucoup exagéré ses liens. Et ses parts dans des casinos à la Louisiane, à Saratoga, ses machines à sous sa longue amitié avec Frank Erickson, le plus gros bookmaker de la côte est? Costello patine, esquive, souffre d’une mémoire défaillante. Finalement, au deuxième jour de témoignage, il se lève et quitte la salle.

«Never before had the attention of the nation been riveted so completely on a single matter», écrit  Life magazine qui fait sa couverture avec Kefauver.

Kefauver n’en était pas vraiment certain au début au début, mais à la fin des audiences, il déclare: «Un syndicat national du crime existe aux États-Unis d’Amérique.» La pègre est en fait un «deuxième gouvernement». «La Mafia… n’est pas un conte de fée.»

 

Edgar Hoover

J. Edgar Hoover

J. Edgar Hoover

Le Procureur General J. Howard McGrath ne voit aucune preuve d’une conspiration centralisée; J. Edgar Hoover a la même opinion que les mafiosi: la Mafia est une pure fantaisie. Mais la plupart des journalistes, des policiers, sont maintenant convaincus: le crime organisé existe. De là à connaître les détails…

Il n’y a pas de conséquences immédiates à la Commission; la guerre de Corée, Staline, la guerre froide vont rapidement obliger les Américains à passer à autre chose. Mais le public a quand même appris beaucoup sur le crime organisé et il ne sera jamais plus aussi ignorant et passif. Le Syndicat continue comme si rien n’était arrivé; mais à l’interne il y a une conséquence immédiate. Costello perd beaucoup de poids.

Tous les Américains connaissent maintenant Costello. Il fait fuir les politiciens qui aimaient bien son argent mais encore plus son anonymat.

Le ministère du Revenu, le sida de la Mafia, s’intéresse à ses finances. Évidemment, l’avisé Costello a toujours bien caché sa fortune, mais il a un talon d’Achille : son épouse. Plus précisément, sa jalousie. À chaque fois qu’elle découvrait que Frank avait une maîtresse, elle allait magasiner. 570 000 $ en six ans. Costello fait 11 mois de prison avant de faire casser le jugement. Mais le Ministère le tient désormais à l’oeil.