Imaginons le futur à partir de 100 voir 1,000 ans vers l’infini du temps… et de l’espace

Le futur est difficile à prévoir en ce qui concerne les événements et évolutions dans les domaines sociaux, culturels, ou politiques. Mais dans d’autres domaines, il existe des futurs absolument certains ou au moins très probables, même en se projetant très loin dans le temps.

Voici donc le futur tel qu’on sait qu’il sera, dans 1000 ans et bien au-delà, jusque dans 100 millions de milliards d’années…

Pour commencer:d’ici 120 ans maximum,les événements climatiques extrêmes vont se multiplier,la calotte glaciaire antartique va continuer à fondre,plus de 50 % de la biodiversité aura disparue si le Nouvel Ordre Mondial et le néolibéralisme continuent de polluer la Terre,sans retenue.

On peut imaginer  qu’une partie importante de l’humanité sera menacée dans sa survie.

Une nouvelle éruption du supervolcan de Yellowstone est à prévoir.

 

+1000 ans
– Si la civilisation disparait, la plupart des buildings, ponts et barrages existants se seront effondrés.
– Du fait de l’évolution rapide des langages, pas un seul des mots utilisés aujourd’hui n’aura survécu.
– L’étoile Gamma Cephei remplace l’étoile polaire pour indiquer le nord.
– 29% du dioxyde de carbone rejeté avant 2100 est toujours là.

+2000 ans
– La glace du Groenland aura complètement fondu en cas de réchauffement climatique extrême (+8%). Le niveau des mers est monté de 6 mètres.

+2372 ans
– Retour de la comète Hale-Bopp (précédent passage en 1997, passage suivant en 4385)

+3200 ans
– L’étoile Iota Cephei devient l’étoile de référence pour indiquer le nord.

+5125 ans
– Nouvelle fin des grands cycles du calendrier Maya.

+10.000 ans
– 14% du dioxyde de carbone est toujours là.

+13.000 ans
– Les pôles magnétiques de la Terre s’inversent.

+18.846 ans
– Les calendriers grégorien et musulman coïncident et indiquent la même année: 20.860


L’explosion du réacteur de Tchernobil,en 1986.

+20.000 ans
– La zone de Tchernobyl est enfin sans danger.

Autre aperçu de l’explosion.
Une lave radioactive s,échappe du coeur de la centrale en fusion…surnommée « Le Pied d’Éléphant ».
C’est l’endroit le plus radioactif de la planète.

+25.000 ans

À gauche le message envoyé en 1974 et à droite,ce qui semble être une réponse reçue récemment.

– Le message envoyé par le radiotélescope d’Arecibo le 16 novembre 1974 atteint l’amas globulaire M13 à l’autre bout de la galaxie.

+50.000 ans
– Une éventuelle réponse au message d’Arecibo peut parvenir à la Terre.
– La glace du Groenland aura complètement fondu en cas de réchauffement climatique modéré (+2%).
– Disparition des chutes du Niagara du fait de l’érosion.

+100.000 ans
– Le titane de votre MacBook commence à se corroder.
– Les étoiles du ciel nocturne n’ont plus les mêmes positions du fait du déplacement du système solaire dans la galaxie. Les constellations que nous connaissons aujourd’hui n’existent plus.
– Une catastrophe globale causée par un supervolcan ou un astéroïde aura probablement eu lieu.
– L’étoile hypergéante rouge VY Canis Majoris (à 4890 années-lumière, une des plus grandes étoiles connues avec un rayon estimé entre 600 et 2100 fois celui du Soleil) aura probablement explosé en hypernova.


+296.000 ans
La sonde Voyager 2 passe à 4,7 années-lumières de l’étoile Sirius.


+500.000 ans
– La Terre aura probablement été frappée par un astéroïde massif (de 1 km ou plus).
Le plutonium produit par les réacteurs nucléaires actuels ne sera plus radioactif.
– Date limite à laquelle nous pouvons nous attendre à un nouvel âge glaciaire après avoir relâché le CO2 de l’ensemble des combustibles fossiles.

 

+1 million d’années
– Explosion de Bételgeuse en supernova. L’étoile devient tellement lumineuse qu’elle est visible en plein jour.
– Les structures massives de pierres comme la pyramide de Kheops ou les sculptures du mont Rushmore existent encore. Tout le reste a disparu.
– Le verre produit à notre époque est enfin dégradé.

+ 1.450.000 ans
– L’étoile Gliese 710 passe à 1,1 année-lumière du Soleil, suffisamment près pour perturber le nuage de Oort et précipiter des dizaines de comètes vers l’intérieur du système solaire.


+4 millions d’années
La sonde Pioneer 11 passe dans le système de Lambda Aquilae à 125 années-lumière de la Terre.

La plaque emportée par la sonde va-t-elle tomber dans des mains extraterrestres?


+5 millions d’années
Extinction des hommes du fait de la disparition du chromosome Y. La procréation humaine naturelle devient impossible.

+7,2 millions d’années
– L’érosion a effacé les statues du Mont Rushmore.

+10 millions d’années
– Le système binaire T Pyxidis situé à 3260 années-lumière explose en nova.

+50 millions d’années
– La Méditerranée n’existe plus, la dérive des continents ayant fait se rejoindre l’Afrique et l’Europe.
– Le continent Antarctique est remonté vers le nord et n’est plus recouvert de glace, faisant monter le niveau des mers de 75 mètres.
– L’ensemble de la galaxie aura eu le temps d’être colonisée, même en voyageant à des vitesses sub-luminiques.

+60 millions d’années
– L’orbite de la Terre devient imprévisible. Les effets de la gravitation sur de longues périodes rendent les orbites chaotiques et impossibles à prévoir.

+150 millions d’années
– L’océan Atlantique rétrécit, l’Amérique et l’Afrique se rapprochant à nouveau.

+240 millions d’années
– Le Soleil a accompli un tour complet de la galaxie par rapport à sa position actuelle.Ce qui  a exposé la Terre  à recevoir une seconde fois  l’énergie du centre de la galaxie.

 

+250 millions d’années
– Tous les continents sont à nouveau réunis en un continent unique.

+600 millions d’années
– L’éclipse totale de Soleil devient impossible, l’augmentation constante de l’éloignement de la Lune l’ayant rendu trop petite vue de la Terre.
– La photosynthèse de type C3 (l’un des 3 types de photosynthèse) n’est plus possible. Disparition de 99% de l’ensemble des espèces.

+800 millions d’années
– La photosynthèse C4 n’est plus possible. Fin des formes de vie multicellulaires.

+1 milliard d’années
– La luminosité du Soleil a augmenté de 10%, la température moyenne à la surface de la Terre atteint 47°, les océans s’évaporent. Des poches d’eau pourront encore exister aux pôles, permettant l’existence de formes de vie élémentaires.

+1,3 milliards d’années
– Fin des cellules à noyau (eukaryotes). Seules les cellules sans noyau (prokaryotes) survivent encore.

+2,3 milliards d’années
– Disparition du champ magnétique terrestre, la rotation du fer dans le noyau de la Terre ayant cessé. Il n’existe plus de protection contre les radiations solaires.

 

+2,8 milliards d’années
– Fin de la vie sur Terre. La température de surface atteint 147°.

+3,5 milliards d’années
– Les conditions à la surface de la Terre ressemblent à celles de Vénus.

 

+4 milliards d’années
– Collision entre notre galaxie et celle d’Andromède qui ne forment progressivement plus qu’une.

+5,4 milliards d’années
– Le Soleil a épuisé ses réserves d’hydrogène et devient une géante rouge.

+7,9 milliards d’années
– Le Soleil atteint son diamètre maximum, 256 fois plus grand qu’aujourd’hui, absorbant Mercure Vénus et la Terre.

+8 milliards d’années
– Le Soleil devient une naine blanche faisant environ 54% de sa masse actuelle.

+14,4 milliards d’années
– Le Soleil devient une naine brune. Sa température et sa luminosité s’effondrent, le rendant invisible à l’oeil nu pour un humain qui existerait encore à une distance équivalente à celle avec laquelle nous le regardons aujourd’hui.

+100 milliards d’années
– Toutes les galaxies du Groupe Local commencent à fusionner. Le processus peut prendre 1000 milliards d’années.

+150 milliards d’années
– Le rayonnement rémanent du Big Bang s’est refroidi, passant des -270° actuels au zéro absolu, le rendant indétectable avec les technologies connues.

+1000 milliards d’années
– Fin de la formation des étoiles d’après les prévisions les plus basses, les nuages de gaz nécessaires à leur formation ayant disparu des galaxies.

+1.100 milliards d’années
– Les galaxies du Groupe Local ont fini de fusionner.

+100.000 milliards d’années
– Fin de la formation des étoiles d’après les prévisions les plus hautes.

 

 

+110.000 milliards d’années
– Toutes les étoiles ont épuisé leur carburant. Il ne subsiste que des naines blanches ou brunes, des étoiles à neutrons et des trous noirs.

+1 million de milliards d’années à +100 millions de milliards d’années
(100.000.000.000.000.000 ans)
– L’univers est un vaste espace de désolation, rendu de plus en plus sombre par des sources de lumière de plus en plus rares et de plus en plus faibles.

 

 

 

Astronomie:Cet astéroïde a 1 chance sur 7 000 de frapper la terre cet automne

 

 

Cet automne, la Terre a environ 1 chance sur 7 000 d’obtenir un visiteur extraterrestre non invité: l’astéroïde 2006 QV89.

Le 9 septembre 2019, notre planète devrait siffler le rock spatial, selon la liste d’objets de l’espace susceptibles de se heurter à la Terre, établie par l’Agence spatiale européenne (ESA) . Cette liste a été mise à jour en ligne le 6 juin. Sur 10 objets, 2006, QV89 s’est classé quatrième.

Comparé à l’astéroïde de 10 km de long qui a tué les dinosaures non-aviens il y a environ 66 millions d’années, le QV89 2006 est plutôt sombre, mesurant seulement 40 mètres de diamètre, soit environ la longueur de deux pistes de bowling de bout en bout.

L’ESA surveille le trajet de l’astéroïde, mais il est peu probable que la roche spatiale pénètre dans la Terre. Selon la modélisation de l’ESA, le QV89 2006 se rapprochera probablement d’environ 6,7 millions de km de la planète. Pour mettre cela en perspective, la Lune se trouve à 384 400 km (238 900 milles).

Cela dit, il y a une chance sur 7,299 que le QV89 2006 atteigne la planète, a annoncé l’ESA.

Comme son nom l’indique, l’astéroïde 2006 QV89 a été découvert le 29 août 2006; il a été repéré par le Catalina Sky Survey, une organisation basée dans un observatoire près de Tucson, en Arizona. L’astéroïde est en fait un visiteur assez fréquent de notre planète. Après son survol  de 2019, l’objet devrait fondre vers la Terre en 2032, 2045 et 2062, l’ ESA a rapporté .

La NASA, qui suit également des objets proches de la Terre, a collaboré avec l’ESA le mois dernier pour publier  des tweets en direct sur la manière dont le gouvernement et les scientifiques devraient gérer une véritable attaque d’astéroïdes. Cependant, les fans du film « Armageddon » devraient oublier de faire sauter de gros astéroïdes avec des bombes. Une étude publiée en mars dans la revue Icarus a révélé que plus l’astéroïde est gros, plus il sera difficile de l’exploser .

 

 

 

 

La NASA diffuse des photos du grand météore que personne n’avait vu

La NASA a diffusé vendredi des photos prises par l’un de ses satellites du météore très puissant qui est apparu au-dessus de la mer de Bering le 18 décembre, et qu’aucun témoin direct n’avait vu.

L'instrument MISR (Multi-angle Imaging SpectroRadiometer) du satellite Terra de la NASA a capté une grosse boule de feu - ou un météore - au-dessus de la mer de Béring le 18 décembre 2018.
L’instrument MISR (Multi-angle Imaging SpectroRadiometer) du satellite Terra de la NASA a capté une grosse boule de feu – ou un météore – au-dessus de la mer de Béring le 18 décembre 2018. Photo: NASA/GSFC/LaRC/JPL-Caltech, MISR Team

Dans ces images prises quelques minutes après la désintégration du gros rocher spatial dans l’atmosphère, on distingue parfaitement l’ombre laissée par la traîne du météore sur les nuages en dessous.

On observe également un nuage orangé : c’est le nuage de particules consumées à très haute température, et laissé par la boule de feu déclenchée par l’explosion.

C’est le satellite Tera qui a pris les clichés. Un instrument a pris une photo à 23 h 50 heure locale. Cinq des neuf appareils d’un second instrument à bord du même satellite ont pris cinq photos à 23 h 55 heure locale, que le Jet Propulsion Laboratory de la NASA a rassemblées dans un gif animé qui montre la diffusion du nuage orangé de poussières.

Le gif animé en question

La NASA estime que la désintégration du météore s’est produite à 23 h 48 heure locale.

 

 

 

Alerte dans l’espace:Un météore échappe à la détection terrestre et explose avec la force de 10 bombes atomiques

Le 18 décembre 2018, un météore de la taille d’un autobus scolaire a explosé au-dessus de la Terre avec une énergie d’impact d’environ 10 bombes atomiques. Selon la NASA , l’explosion est le deuxième plus gros impact de météore depuis que l’organisation a commencé à les localiser il y a 30 ans, battu uniquement par l’infâme boule de feu qui a explosé sur Tcheliabinsk, en Russie , en février 2013.

En dépit de cela, presque personne ne l’a remarqué – et personne ne l’a vu venir.

L’un des plus gros impacts de météores de l’histoire récente vous a peut-être complètement dépassé, probablement parce que la roche spatiale en question s’est brisée au-dessus de la mer de Béring , une étendue froide de l’océan Pacifique entre la Russie et l’Alaska, à des kilomètres de terres habitées. 

La NASA a appris l’impact de décembre grâce à l’US Air Force, dont les satellites de surveillance des missiles ont été parmi les premiers à détecter l’explosion. La rumeur de l’impact a également été enregistrée sur les détecteurs d’infrasons – stations qui mesurent les ondes sonores basses fréquences inaudibles pour les oreilles humaines – dans le monde entier, donnant aux scientifiques suffisamment de données pour tirer des conclusions de base sur le météore sournois.

Selon la NASA, ce météore pesait environ 1 500 tonnes (1 360 tonnes), avait un diamètre d’environ 10 mètres (32 pieds) et voyageait dans l’atmosphère à une vitesse d’environ 115 200 kilomètres à l’heure (71 582 mph) quand il a explosé. L’explosion a eu lieu à environ 25 km au-dessus de l’océan et a dégagé une énergie équivalente à 173 kilotonnes de TNT, soit environ 10 fois plus que l’énergie de la bombe atomique que les États-Unis ont déclenchée au-dessus de Hiroshima pendant la Seconde Guerre mondiale.

Les groupes de surveillance des astéroïdes du monde n’ont pas réussi à voir la roche se diriger sur notre chemin probablement en raison de sa petite taille. Alan Fitzsimmons, astronome à la Queen’s University de Belfast, en Irlande du Nord, a déclaré au New Scientist que la plupart des télescopes modernes sont les mieux à même de détecter des objets de plusieurs centaines de mètres de diamètre ou plus, ce qui permet de les rater facilement. Les chasseurs d’astéroïdes de la NASA s’inquiètent le plus d’identifier des objets proches de la Terre mesurant 140 mètres de large qui pourraient effacer des États entiers s’ils sont autorisés à traverser l’atmosphère, a rapporté Live Science.

L’impact de décembre 2018 n’a été remarqué que cette semaine, en partie grâce à une présentation donnée par Kelly Fast, responsable du programme d’observation des objets situés à proximité de la Terre, à la Lunar and Planetary Science Conference, au Texas. Fast a déclaré à BBC News que l’événement de décembre avait explosé avec « 40% de la libération d’énergie de Chelyabinsk », mais n’a pas été mentionné dans les nouvelles en raison de l’emplacement relativement éloigné de l’impact.

Le météore de Chelyabinsk, qui mesurait 19 mètres de large, a survolé la Russie continentale et a été enregistré par de nombreux automobilistes. Les ondes de choc qui en ont résulté ont blessé plus de 1 200 personnes.

 

 

 

 

Une météorite aurait-elle chuté dans la mer de Mayotte?

Lundi 18 février, 21h30, inquiétudes, bruit impressionnant dans le ciel et boule de feu sont au rendez-vous à Mayotte. Le pays doit faire face aux nombreux séismes qui se déroulent et tout le monde a retenu son souffle.Même si cela n’est pas encore certain, la résonance d’un bruit d’explosion serait la chute en mer d’une météorite. Les recherches continuent actuellement.

Des habitants en panique

Mayotte subit depuis plusieurs années des séismes : on en compte 99 de magnitude supérieure à 3,5. Lorsque le bruit retentit dans le ciel à 21h30 les habitants sont inquiets puisque le retour d’un séisme inquiète sans cesse. Certaines personnes auraient aperçu une boule de feu dans le ciel.

Une météorite aurait-elle chuté dans la mer de Mayotte ?

Une chute de météorite ?

Selon la préfecture de Mayotte il s’agirait d’une météorite tombée dans la mer. L’ensemble des remontées d’informations laisse à penser que le phénomène observé serait éloigné des côtes mahoraises.

Pour le moment l’événement de ce lundi 18 février reste un mystère. En effet, les autorités et les experts n’ont pas encore identifié la cause de l’explosion. Mais l’explosion a suscité de nombreuses réactions sur les réseaux sociaux. Les internautes témoignent de ce qu’ils ont vu ou entendu. Pour beaucoup il s’agirait bien d’une météorite.

L’hypothèse n’est pas encore confirmée par les experts

Actuellement la préfecture de Mayotte et les scientifiques tentent de comprendre mais ne peuvent répondre aux multiples interrogations des habitants. Dans la soirée de lundi, le préfet a déclaré qu’aucune explication n’a pu être fournie.

Pour résoudre le mystère la préfecture compte sur le travail des chercheurs et des scientifiques qui se trouvent dans les observatoires astronomiques de la zone. Malgré tout, les services de secours n’ont constaté aucun événement particulier. Alors chute de météorite ou séisme ? Le mystère reste entier.

 

 

OVNI en Russie ? Poutine a déployé l’armée après l’”effondrement” d’une montagne en Sibérie

VLADIMIR Poutine a enrôlé des soldats pour enquêter sur une “montagne effondrée” dans une région reculée de Sibérie à la suite de suggestions selon lesquelles l’effondrement a peut être été provoqué par l’atterrissage forcé d’un OVNI ou par la chute d’une météorite.

Quelle qu’en soit la cause, l’événement a entraîné un éboulement massif qui a bloqué la rivière Bureya toute proche, et laissé plusieurs villages en proie à des inondations. Tellement de roches ont été déplacées qu’elles rempliraient 13.600 piscines de taille olympique, disent les experts. Pendant ce temps, la chute de 34 millions de mètres cubes de débris a laissé une entaille dans une montagne qui aurait pu emmagasiner toute l’eau utilisée si tous les Américains prenaient une douche au même moment.

 

L’armée russe a été dépêchée sur les lieux pour tenter de déterminer la cause de la catastrophe et déplacer un monticule de roches de 160 mètres de haut, qui a considérablement bloqué la Bureya, avec un village dans les régions de Khabarovsk et d’Amour en danger d’inondations.

L’armée a été chargée de “déplacer la montagne”, en utilisant des explosifs et de l’équipement pour permettre à l’eau de s’écouler à nouveau.

Mais les experts ont averti que la roche voisine est fracturée et qu’un deuxième glissement de terrain gargantuesque n’est pas exclu.

Selon une source du ministère de la Défense, un groupe de spécialistes est en route “pour effectuer des travaux de reconnaissance” sur le site, où les rochers sont tombés à environ 390 pieds sur le fond de la vallée.

La source a ajouté : “Compte tenu de l’ampleur du glissement de terrain, des unités du génie civil et des forces ferroviaires dotées d’équipements spéciaux, ainsi que l’armée et l’aviation et les transports, participeront au nettoyage du rocher.

Des plans sont en cours d’élaboration pour l’évacuation de 400 personnes des villages de Chekunda, Ust-Urgal et Elga .

Les inondations pourraient également perturber la liaison ferroviaire Baïkal-Amur, longue de 4.345 kilomètres, qui est un lien vital entre l’intérieur de la Sibérie et la côte Est de la Russie, à moins que l’armée ne puisse débloquer rapidement le fleuve.

Pour compliquer encore les choses, une centrale hydroélectrique est également menacée car l’eau s’assèche dans le réservoir hydroélectrique de Bureyskaya situé en aval.

La Russie a également envoyé des équipes de géomorphologues, de géologues, d’hydrologues et d’arpenteurs pour évaluer le carnage, qui semble s’être produit le 11 décembre, a rapporté The Siberian Times.

Alexey Maslov, chef du district de Verkhnebureinsky où l’incident s’est produit, a déclaré :Nous essayons de trouver une explication à cet incident.”

“J’insiste que c’était une météorite.”

Cependant, un sondage local dans l’Est de la Russie a suggéré que si 27 pour cent étaient d’accord avec son évaluation, plus de 33 pour cent pensaient qu’un OVNI – en était la cause.

Le professeur Dave Petley, vice-président pour la recherche et l’innovation à l’Université de Sheffield et expert en science des glissements de terrain, a rejeté ces deux idées, expliquant que le flanc de la montagne au-dessus du Bureya présentait une “fissure de tension ou dépression préexistante” à une altitude d’environ 579 mètres.

Il a dit : “Nous pouvons dire qu’il s’agit certainement d’une rupture d’une pente rocheuse, et qu’il est très peu probable qu’elle soit associée à un impact de météorite.

  1. Petley admet qu’il est “légèrement” surprenant que le crash ait eu lieu en hiver, lorsque le sol était gelé, plutôt qu’à une période plus chaude de l’année.

Il a averti que les conditions locales montraient “qu’il pourrait y avoir un plus grand éboulement à venir”, créant ainsi un potentiel pour un glissement de terrain encore plus important.

 

Les chasseurs qui sont arrivés les premiers sur les lieux – alertés par un changement soudain et inexplicable du débit de la rivière – ont signalé des “roches chaudes” sur lesquelles ils pouvaient se réchauffer les mains.

Leur première supposition était que la destruction avait été causée par une météorite – même s’il n’y avait aucun rapport à l’époque qu’une roche spatiale avait frappé l’Extrême-Orient russe en décembre.

La Sibérie a été le théâtre d’un certain nombre d’attaques de météorites au fil des ans.

 

En 2013, un météore a été illustré au-dessus de la ville de Tchéliabinsk, dans l’ouest de la Sibérie, illuminant le ciel alors qu’il explosait à une altitude de 32 km.

Des décennies auparavant, en 1908, l’événement dit de la Toungouska a détruit 1200 kilomètres carrés de forêt dans une région isolée de la Sibérie centrale.

En 1908,les arbres détruits par l’explosion.

Les théories sur la cause de l’explosion vont d’un météore, d’une comète et, une fois de plus, d’un atterrissage forcé d’un OVNI, le mystère étant aggravé par l’absence de tout cratère d’impact visible.

Source: Express.co.uk

 

 

 

Un cratère gigantesque découvert sous la glace du Groenland

La découverte d’un énorme cratère à 500 mètres sous la glace du Groenland suggère l’impact d’un astéroïde ferreux d’un kilomètre de large il y a plusieurs milliers d’années. Les détails de l’étude sont publiés dans dans Science Advances.

Vous le retrouverez sous le glacier Hiawatha, au nord-ouest du Groenland. Il a été repéré par un système radar à bande ultra-largedéveloppé par le Centre de télédétection des plaques de glace (CReSIS) de l’Université du Kansas (États-Unis). Plus grand que Paris(il est large de 31 km), celui-ci témoigne d’un impact violent survenu à la fin du Pléistocène, il y a environ 12 000 ans

 

Un cratère sous la glace

« Nous avons collecté de nombreuses données de sondage radar au cours des deux dernières décennies, et les glaciologues ont rassemblé ces ensembles de données de sondage radar pour produire des cartes de ce à quoi ressemble le Groenland sous la glace, explique John Paden, principal auteur de l’étude. Des chercheurs danois regardaient la carte et ont vu cette grande dépression ressemblant à un cratère sous la plaque de glace (…). Vous pouvez également voir un motif circulaire ».

 

 

Un impact violent

Pour confirmer les données satellite et radar, les chercheurs ont ensuite récolté des sédiments fluvio-glaciaires de l’une des rivières drainant le cratère. Ils ont alors découvert la présence de « quartz choqué et autres grains de verre liés aux chocs ». Il s’agit de matière produite suite à l’impact d’un objet rocheux, probablement un astéroïde d’un kilomètre de large, estiment les chercheurs. Les preuves suggèrent par ailleurs « que le cratère d’impact Hiawatha s’est formé pendant le Pléistocène, car cet âge correspond le mieux aux conclusions tirées des données actuellement disponibles ».

Impact d’un astéroîde au Groenland

On imagine alors des conséquences importantes, notamment sur le climat local – et pourquoi pas mondial. Un tel impact aurait également fortement influencé le débit océanique de la région : « Il se pourrait que les débris projetés dans l’atmosphère aient affecté le climat et fait fondre beaucoup de glace. Il pourrait donc y avoir eu un apport soudain d’eau froide dans le détroit de Nares, entre le Canada et le Groenland, qui aurait affecté les courants marins de toute la région », poursuit le chercheur, ajoutant que « l’impact s’est probablement produit après la formation de la calotte glacière du Groenland ».

Source

 

 

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La vie a rapidement repris après la chute de l’astéroïde au Mexique

La vie a rapidement repris dans la zone d’impact de l’astéroïde qui est tombé au Mexique il y a 66 millions d’années et qui a mené à l’extinction massive de 75 % des espèces sur Terre, dont les dinosaures.

 

La chute de l’astéroïde de 10 kilomètres de diamètre, qui s’est écrasé à une vitesse de plusieurs dizaines de milliers de kilomètres-heure, a laissé un cratère de 180 kilomètres à Chicxulub Puerto dans la péninsule du Yucatan à la fin du Crétacé.

Le cratère a marqué la terre ferme, mais une grande partie de celui-ci se trouve au fond du golfe du Mexique.

Le paléonto-océanographe Chris Lowery, de l’Institut de géophysique de l’Université du Texas à Austin, et ses collègues ont procédé à l’analyse des sédiments recueillis dans le cratère d’impact submergé, pour constater que la vie y avait rapidement repris.

Selon eux, de minuscules créatures marines s’y sont développées, quelques années seulement après le cataclysme, grâce à la circulation d’eau riche en nutriments.

Ainsi, dans les 30 ans après l’impact, un écosystème s’était déjà recréé dans le bassin. Les chercheurs estiment que cette rapide récupération indique que la proximité de l’impact n’a pas retardé le retour de la vie.

Outre les présents résultats, l’analyse des sédiments extraits a permis de confirmer le modèle numérique selon lequel la force de l’impact aurait affaibli la roche au point de former, en seulement cinq ou dix minutes, des dénivelés importants, un peu à l’image d’une goutte qui tombe dans un verre d’eau.

Cette structure d’impact est la seule liée à un événement d’extinction à l’échelle planétaire. Pour cette raison, elle offre une vitrine exceptionnelle sur la façon dont les écosystèmes marins pourraient se rétablir après des changements dramatiques causés, par exemple, par les changements climatiques.

 Représentation artistique d’un astéroïde qui frappe la Terre.

 

La zone d’impact de l’astéroïde.

 

En s’appuyant sur des équations qui décrivent le temps qu’il faut à de minuscules particules pour se déposer à travers un liquide, les chercheurs ont calculé que les grains se sont déposés sur le fond marin rapidement après l’impact, en quelques années seulement.

Lorsqu’ils ont analysé les couches de calcaire, les scientifiques ont trouvé de nombreux fossiles et terriers, preuves de la présence de petites créatures connues sous les noms de foraminifera et de plancton. La vie était donc de retour.

Selon Chris Lowery, la vie est réapparue rapidement en raison de la forme du cratère. Le flanc nord-est du cratère était ouvert sur le golfe du Mexique, ce qui a permis à l’eau profonde transportant des nutriments de circuler dans tout le cratère.

Une carotte contenant des sédiments

 

Des carottes contenant des sédiments remontés à la surface, le 7 mai 2016.

 

 

 

Un exemple de résilience

Cet impact est certainement une leçon pour la vie océanique actuelle, qui est menacée par l’épuisement de l’oxygène, l’acidification des océans et la hausse des températures.

« C’est probablement le seul événement qui s’est produit plus rapidement que les changements climatiques et la pollution modernes », explique M. Lowery.

 

 

ALERTE:QUELQUE CHOSE DE MASSIF VIENT D’ENTRER DANS L’ATMOSPHÈRE TERRESTRE ET CE N’EST PAS UN MÉTÉORE

 

Les gens derrière la chaîne YouTube BPEarthWatch ont révélé qu’un objet énorme qui n’est pas un météore est entré dans l’atmosphère de la Terre le 2 décembre. BPEarthWatch surveille les données du radar météoritique qui arrivent, puis fournit des informations à ce sujet et jusqu’à présent, ils ont fait du bon travail. Dans la vidéo, l’opérateur de la chaîne explique que lorsque des objets ou des météores frappent l’atmosphère supérieure de la Terre, ils ont des signatures qui sont captées électroniquement par un émetteur VHF et un système de récepteur.

UN VAISSEAU SPATIAL VOILÉ? 

Le système rebondit alors sur un signal de l’ionosphère de la Terre, et il peut identifier la traînée d’ionisation d’un objet entrant, qui peut ensuite être convertie en données tangibles. BPEarthWatch a dit que le signal reçu le 2 décembre n’avait pas Sporadic E, ce qui est un faux signal que l’on trouve seulement dans les mois d’été. Ils ont dit que ce qui était vu était quelque chose de très différent et c’était très grand et était arrivé très lentement. L’opérateur de la chaîne a déclaré que c’était quelque chose qui ne serait pas considéré comme normal et qu’ils n’étaient pas sûrs de ce que c’était. Ils ont continué en disant qu’il n’y avait pas eu de météores autour qui étaient si gros et qui viendraient sur Terre avec un signal qui durerait aussi longtemps. Il y a eu des discussions sur le fait que l’écho radar entendu pourrait avoir été au lancement d’une fusée ou peut-être c’était un OVNI. La vidéo ci-dessous vous permet d’entendre à quoi ressemble l’écho radar, un bruit de fréquence qui continue pendant un certain temps. Le graphique montre les pointes de la fréquence sonore ondulant de haut en bas.

 

 

Une autre vidéo montre le son quelque 30 minutes plus tard de la vidéo précédente, et celui-ci a une narration sur le dessus. Ils continuent en expliquant que les sons et le graphique de cette vidéo sont considérés comme normaux, et que ce sont des météores ou des objets dans la haute atmosphère de la Terre et qu’ils sont montrés comme une traînée d’ionisation. La voix continue en expliquant que l’autre vidéo différait de celle-ci et qu’ils ne l’avaient jamais vue auparavant.