Pandémie et migrations : un monde « fermé »

 

 

 

Pour limiter la propagation du coronavirus, de nombreux pays ont fermé leurs frontières et multiplié les restrictions de circulation. Effet notable de cette dynamique de fermeture, un grand nombre d’Européens se retrouvent dans une position (certes temporaire) d’immobilité, alors que leurs passeports leur permettaient il y a peu de visiter près de 180 pays sans autorisation préalable. Rarement, sauf en temps de guerre, les citoyens européens ont-ils connu de telles restrictions à leur mobilité, non seulement à l’extérieur mais aussi à l’intérieur de l’Europe. Cette restriction des mouvements revêt une dimension inédite : elle s’applique désormais aux populations du nord, alors qu’elle s’impose en temps normal aux « migrants » du sud.

 

La protection des frontières comme protection des vies 
Toutefois, si la crise sanitaire a momentanément modifié les modalités du contrôle des frontières européennes, l’essence de sa rationalité, fondée sur la  « protection » des populations des pays du nord vis-à-vis de celles du sud, demeure largement intacte. Ces restrictions s’inscrivent tout d’abord dans une logique de protection de (certaines) vies, et non pas dans une logique traditionnelle de la souveraineté de l’Etat, sécuritaire, économique ou encore identitaire, associée souvent à une incompatibilité culturelle fantasmée. En vertu de cette protection, et en particulier de l’impératif de préserver la santé, les gouvernements britannique, français ou allemand, entre autres, ont mis des millions d’euros à disposition pour rapatrier leurs citoyens
En outre, cette logique de protection de la vie des Européens se manifeste dans la reconfiguration des catégories de migrants considérés comme utiles. Les personnes exerçant des professions liées à la protection des vies sont devenues désirables et leur mobilité comme leur résidence dans les pays du nord ont été facilitées. Ainsi, les États-Unis ont levé des restrictions en matière de visa pour les professionnels de santé étrangers tout en maintenant, voire en limitant, le déplacement d’autres migrants. Au Royaume-Uni, en Espagne et en Allemagne, des processus accélérés de reconnaissance des diplômes étrangers pour les métiers du secteur médical ont été mis en place pour mobiliser les migrants médecins. Dans le secteur agricole, l’Allemagne, le Royaume-Uni ou encore les Pays-Bas ont également fait appel à des migrants d’Europe de l’Est pour travailler à la récolte des fraises et des asperges, afin d’assurer la continuité alimentaire des populations. Jusqu’à 80.000  « saisonniers » pourraient venir en Allemagne, et 90.000 au Royaume-Uni, pour ces récoltes.   
Des réfugiés nigériens en Italie..c’était juste avant les événements actuels!
Les migrants comme menace biologique ?
En même temps, comme dans tous les contextes de fermeture des frontières, les traversées illégales vers l’Europe représentent toujours un danger mortel. Les autorités italiennes et maltaises ont officiellement fermé leurs ports début avril à toute arrivée de bateaux de migrants. Après l’arrivée en Sicile d’un groupe de 276 Africains sauvés par une ONG, dont aucun n’était infecté par le coronavirus, l’ancien ministre de l’Intérieur italien Matteo Salvini a demandé la démission du Premier Ministre au nom de la protection de la population italienne, en affirmant « qu’il n’était pas capable de défendre l’Italie et les Italiens ». A l’image des discours sur la « menace terroriste », le Covid-19 est construit en tant que danger provenant de « l’extérieur » et véhiculé par les corps migrants [1]. Le Président des États-Unis, Donald Trump, a même procédé à une racisation de la maladie, en parlant d’un  « virus chinois », afin de justifier et de renforcer son agenda sécuritaire envers les migrants. En 2015, alors candidat à l’élection présidentielle, Trump présentait déjà les migrants mexicains comme des prédateurs et des agresseurs et comme porteurs de maladies infectieuses.  
L’accusation selon laquelle les migrants importent bactéries, virus et maladies et mettent en danger la vie des natifs n’est pas nouvelle. C’est cette lecture des migrations comme menace biologique qui a été prôné lors de la première conférence internationale de santé globale entre les puissances coloniales britannique, ottomane, française, néerlandaise et belge à Istanbul en 1865, à la suite de l’épidémie de choléra qui avait débuté pendant le pèlerinage à la Mecque. Cette association a également mené à la création du centre de rétention et de tri d’Ellis Island en 1892 à New York après une autre épidémie mondiale de choléra.  
Au nom de cette association avec les maladies, les migrants sont accusés de faire peser une charge sur les systèmes de santé des pays du nord. En période de pandémie plus que jamais, on insiste sur une pénurie des ressources. Selon cet argument, les États européens disposeraient de capacités de soins limitées, ce qui les empêcherait de recevoir et de prendre soin des migrants. Ils se réfèrent à un point de basculement imaginaire au-delà duquel les sociétés européennes passeraient de la cohésion sociale au chaos. Cette notion de « basculement » justifie alors l’exclusion des migrants.
Dans certains contextes, les migrants sont ainsi livrés à eux-mêmes. Non seulement les frontières leur sont fermées mais les procédures d’asile sont souvent suspendues – comme en Espagne, en Grèce, aux Pays-Bas et en Hongrie – ou fortement ralenties, dans toute l’Europe. Privés non seulement de l’accès aux soins mais aussi aux démarches juridiques ainsi qu’à d’autres ressources et services vitaux tels que le soutien des associations, le confinement pour un migrant exacerbe souvent la précarité. Certains camps deviennent des lieux de quarantaine sous le prétexte d’éviter une contamination des populations européennes. En Grèce, une campagne d’information du gouvernement intitulée « StayInCamps » a été orchestrée à l’attention des résidents des camps et des hotspots du pays, sur le modèle de l’appel à rester chez soi adressé aux citoyens et aux résidents. En Serbie, la quarantaine a été imposée à toutes les structures de rétention. Ces mesures de confinement ont été élargies à des groupes sociaux présentés comme dangereux, notamment les populations roms.  
La précarité affecte souvent plus fortement les migrants travaillant dans certains secteurs tels que celui du care, qui dans de nombreux pays repose sur le travail des femmes étrangères employées à domicile comme nounous, aides ménagères ou badante (aides à domicile, en italien) qui s’occupent des personnes âgées et dépendantes. Si dans quelques pays, comme en France, le gouvernement a annoncé qu’il remboursera les employeurs des heures non travaillées (qui seront payées à hauteur de 80%), dans la plupart des pays, ces migrants, qui sont surtout des migrantes, ne disposent d’aucune protection sanitaire et sociale. Les travailleurs les plus exposés, tels les caissières, le personnel d’entretien ou les livreurs des plateformes, sont par ailleurs souvent les plus précaires en termes de statut et d’emploi.
Une troisième voie universaliste ?
Au-delà des deux régimes exposés ici – l’un qui vise à filtrer les migrants selon leur capacité à protéger et guérir les populations, et l’autre fondé sur une exclusion généralisée de tous les migrants présentés comme une menace biologique pour le corps national – une troisième réponse s’esquisse également. Dans certains pays, la crise sanitaire portée par le Covid-19 a été l’occasion de mettre en œuvre des mesures inclusives envers les migrants. Le Portugal a ainsi commencé la régularisation temporaire des étrangers en situation irrégulière le 30 mars. Le gouvernement italien a annoncé quant à lui vouloir prendre des mesures similaires pour les sans-papiers, notamment ceux qui travaillent aux champs, les quelques « 600.000 personnes sous-payées et exploitées de façon souvent inhumaine » selon la ministre de l’Agriculture. 
Ces mesures relèvent-t-elles d’une stratégie d’incitation pour augmenter la productivité des migrants, ou bien témoignent-elles d’une solidarité envers les migrants, dans une logique humanitaire de protéger les plus vulnérables ? Selon une autre perspective, elles pourraient être un moyen de protéger la population, en soignant tous les malades sur place afin d’éviter une future contamination. Ces mesures pourraient-elles, enfin, être l’expression d’une vision cosmopolite, au sein de laquelle le corps social n’est plus divisé par les frontières ? 
En somme, la crise sanitaire révèle non seulement la pluralité des régimes de maintien de la vie mais aussi, au sein d’un même régime, des stratégies et des cartes mentales disparates. L’issue « migratoire » de cette crise sanitaire demeure donc incertaine, à l’instar de la pluralité et des antagonismes de ces régimes frontaliers.
*Source : SciencesPo.fr

NOTE

[1] Coronavirus = Virus de Destruction Massive (VDM)

 

 


Comme le montre la carte ci-dessus, qui date de ce jour, ce sont l’Europe et les États-Unis qui contaminent le reste du monde. Ce sont les immigrés qui reviennent de ces pays qui ramènent le Covid avec eux. C’est ce que l’on constate partout en Afrique, en Amérique du Sud et au Moyen-Orient.
En Amérique,le Québec est devenu le centre chaud de l’épidémie au Canada,suite à la négligence volontaire des autorités fédéralistes..
En regardant cette carte,nous avons l’impression d’y voir un plan de dépopulation massive.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

La loi britannique sur le blasphème par l’arrière…une stratégie islamiste

Ministre James Bokens

 

 

Quelques jours après que le gouvernement britannique ait rejeté sa définition officielle préférée de l’islamophobie, le Conseil musulman de Grande-Bretagne, la plus grande organisation islamique de Grande-Bretagne, a appelé à l’ouverture d’une enquête sur le parti conservateur au pouvoir pour islamophobie.

Le conflit porte sur un effort du groupe parlementaire multipartite (APPG) sur les musulmans britanniques, une formation multipartite d’une vingtaine de députés au Parlement britannique, visant à institutionnaliser la définition de l’islamophobie en termes raciaux plutôt que religieux.

Dans un rapport de novembre 2018 intitulé  » Islamophobia Defined  » , l’APPG a proposé la définition suivante de l’islamophobie en une phrase:

« L’islamophobie est enracinée dans le racisme et constitue un type de racisme qui vise les expressions du musulman ou du présumé musulman. »

La définition, résultat de six mois de consultations, a été approuvée par des centaines d’organisations musulmanes, le maire de Londres, Sadiq Khan, ainsi que par plusieurs partis politiques, notamment les travaillistes, les démocrates libéraux et les conservateurs écossais.

Les défenseurs de la définition disent que s’il est vrai que l’islam n’est pas une race, mais une religion – un ensemble de croyances et d’idées – et que les musulmans sont un ensemble de croyants de différentes races, ethnies et nationalités, de nombreux musulmans subissent les préjugés, la discrimination et une forme de racisme qui, disent-ils, est structurelle. Le directeur du groupe de réflexion antiraciste Runnymede Trust, Omar Khan, a expliqué :

« Définir l’islamophobie comme un racisme antimusulman place correctement le problème dans lequel des groupes de personnes se voient attribuer des attributs culturels et raciaux négatifs, ce qui peut donner lieu à une vaste gamme d’expériences, qu’il s’agisse d’un préjugé inconscient, d’un préjudice, d’une discrimination directe ou indirecte, inégalité ou incidents de haine « .

Lors d’un débat parlementaire à la Chambre des communes le 16 mai, le secrétaire aux Communautés, James Brokens, a rejeté la définition de l’APPG – qualifiée de « loi sur le blasphème par la porte arrière » – au motif qu’elle est trop vague et qu’elle a « des conséquences potentielles pour la liberté d’expression ». Il a déclaré que la définition n’était pas conforme à la loi de 2010 sur l’égalité, qui définissait la « race » comme comprenant la couleur, la nationalité et les origines nationales ou ethniques – et non une pratique religieuse.

Un porte-parole du gouvernement a déclaré que la définition de l’APPG n’avait « pas été largement acceptée » et nécessitait un « examen plus approfondi ».

De nombreux Britanniques, y compris des musulmans britanniques, se sont opposés à la définition proposée, qui préviennent qu’elle protégerait efficacement l’Islam de tout contrôle et de toute critique valable.

Lors du débat à la Chambre des communes, le député conservateur Sir John Hayes a déclaré :

« Le rapport [APPG] identifie essentiellement l’islamophobie comme un exercice de racisme, qui suppose que les peuples musulmans de ce pays, ou de tout autre pays, sont une race. Étant donné que l’islam est une religion, cette proposition est en soi litigieuse et a été décrits comme tels par certains critiques du rapport.

« Les gens qui attribuent cette religion viennent de toutes sortes d’endroits, de toutes les couleurs et de toutes les croyances, et adoptent toutes sortes de pratiques différentes. Comme les chrétiens, certains ont une vision plus fondamentaliste de leur foi que d’autres. une race est en soi une vision audacieuse, et certains diront même qu’elle est controversée, c’est pourtant ce que fait le rapport en identifiant l’islamophobie comme une affaire de lutte contre le racisme …

« Les dispositions législatives en vigueur concernant l’incitation à la haine, la discrimination et une panoplie d’autres mesures permettent à la police, si elle le souhaite, de poursuivre des personnes qui se comportent de manière inacceptable et, bien plus sérieusement, illégale – un argument parfaitement approprié que la police ne le fasse pas assez, que je ne présente pas cet argument, mais que d’autres pourraient le faire, mais qu’il est tout à fait normal que la police poursuive ces personnes, qui devraient être interrogées, inculpées et, le cas échéant, poursuivies. nous partons d’une feuille de papier vierge pour contredire le fait qu’il existe toutes sortes de lois anti-discrimination et anti-racisme qui nous permettent de protéger ceux qui pourraient être victimes de tels préjugés. « 

Écrit pour The Spectator , David Green, fondateur et chef de la direction de Civitas, un groupe de réflexion non partisan basé à Londres sur les politiques publiques, a averti :

« Si cette définition devient loi, personne ne saura exactement quelles formes de mots pourraient les renvoyer devant les tribunaux. C’est précisément cette incertitude qui fait la différence entre un État policier et une société libre. Historiquement, le terme » État de droit « était utilisé décrire le système politique dans lequel chacun savait à quel moment la loi pouvait être utilisée contre eux et quand ils étaient libres d’agir comme chacun le croyait le mieux. Comme l’a dit John Locke, il existe en Angleterre une « règle permanente à respecter », commune à tous une de cette société « qui signifiait » une liberté de suivre ma volonté en toutes choses, là où la règle ne le prescrit pas, et de ne pas être soumise à la volonté inconstante, incertaine, inconnue, arbitraire d’une autre « …

« L’utilisation de mots dans l’intention d’attiser la haine raciale n’est pas protégée [en droit britannique] et – sans doute pour cette raison – la définition de l’APPG affirme que critiquer l’islam est une forme de racisme. Mais la race et la religion sont très différentes … .

Les mariages coraniques de groupes ou les conjoints sont « choisis » par l’autorité religieuse sont parmi les coutumes qui entrent en conflit avec l’occident chrétien.

« Nous avons ici un conflit entre deux manières très différentes de concevoir une société: l’individualisme au sens large et le collectivisme. L’individualisme considère l’objectif premier de l’État comme étant de faciliter le développement de nos qualités personnelles ….

« Dans une société collectiviste, le but est que les dirigeants déterminent le comportement des individus (…). Les personnes au pouvoir définissent un code détaillé et menacent de sanctionner les contrevenants. Et ils n’apprécient pas les critiques en tant que moyens d’apprentissage et de pouvoir de rendre compte.

« Nous avons rencontré ces idées autoritaires tout au long de l’histoire de l’Europe et nous pensions avoir progressé au-delà d’elles … La définition de l’APPG est une tentative de recréer l’atmosphère du passé …

« Il existe un large soutien de la part de la population pour la liberté d’expression et il est peu probable que cette loi soit officiellement clôturée par une loi du Parlement, mais elle peut être progressivement réduite à néant. La reconnaissance officielle de la définition de l’islamophobie faite par l’APPG sera un pas de géant vers Etat policier arbitraire « .

De hauts responsables de la police britannique ont averti que la définition proposée de l’islamophobie pourrait semer la confusion parmi les policiers et entraver la lutte contre le terrorisme islamique. Dans une lettre au Premier ministre Theresa May qui a été divulguée au Times , Martin Hewitt, président du Conseil national des chefs de police (NPCC), a écrit que la définition de l’AAPPG risquait d’exacerber les tensions avec la communauté musulmane et pourrait saper les pouvoirs et la tactique de la police antiterroriste. :

« Nous sommes préoccupés par le fait que la définition est trop large dans son libellé actuel, pourrait semer la confusion chez les agents chargés de la faire respecter et pourrait être utilisée pour contester la liberté d’expression légitime concernant les actions historiques et théologiques des États islamiques.

« Il existe également un risque que cela sape les puissances de la lutte contre le terrorisme, qui cherchent à lutter contre l’extrémisme ou à prévenir le terrorisme. »

Le premier député musulman d’Angleterre, Khalid Mahmood, a déclaré que la définition de l’APPG conduirait à une ségrégation accrue des communautés musulmanes:

« Je suis pour l’égalité pour tous, mais je m’oppose à cela. En tant que musulmans, nous devrions être fiers de qui nous sommes et essayer de nous écarter de la mentalité de victime. »

En décembre 2017, l’agence d’aide Barnabas Fund a publié une déclaration dans laquelle elle recommandait d’utiliser le mot « Muslimophobia » pour condamner la peur et la haine des Musulmans. Elle a déclaré que le mot « islamophobie » ne devrait être utilisé que pour désigner la peur et la haine de l’idéologie religieuse Islam. La déclaration a également souligné le fait que « l’islamophobie » est couramment utilisé pour inclure également la peur et la haine des personnes musulmanes.

Le 15 mai, plus de 40 universitaires, écrivains et fonctionnaires britanniques ont signé une lettre ouverte au ministre de l’Intérieur Sajid Javid. La lettre appelle le gouvernement, les partis politiques, les conseils locaux et d’autres organisations à rejeter la définition de l’islamophobie donnée par l’APPG:

« Les soussignés condamnent sans équivoque, sans réserve et avec force les actes de violence contre les musulmans et reconnaissent qu’il est urgent de lutter contre la haine anti-musulmane. Nous sommes toutefois extrêmement préoccupés par l’adoption sans réserve et hâtive de la définition de l’APGG par Islamophobia.

« Cette définition vague et expansive est adoptée sans un examen adéquat ni une prise en compte adéquate de ses conséquences négatives pour la liberté d’expression, la liberté académique et journalistique. La définition va également porter atteinte à la cohésion sociale – alimentant le très bigotisme dont elle est conçue à l’encontre des musulmans pour prévenir.

« Nous craignons que les allégations d’islamophobie soient utilisées, de fait, pour protéger efficacement les croyances islamiques et même les extrémistes des critiques, et que, en formalisant cette définition, elle devienne effectivement utilisée comme une loi de blasphème de porte dérobée.

« Manifestement, les abus, les pratiques préjudiciables ou les activités de groupes et d’individus qui défendent des idées contraires aux valeurs britanniques ont bien plus de chances de ne pas être signalés du fait qu’ils craignent d’être qualifiés d’islamophobes. Cela ne fera qu’augmenter si la définition de l’APPG est officiellement adoptée loi.

« Nous craignons que la définition ne soit utilisée pour faire taire les critiques et les enquêtes légitimes. Les auteurs de l’APPG ont assuré qu’ils ne souhaitaient pas porter atteinte à la liberté d’expression, au contenu même du rapport, à la définition elle-même et aux premiers signes de Les libertés civiles ne devraient pas être traitées comme une réflexion après coup dans le but de lutter contre les préjugés antimusulmans.

« Le mélange de race et de religion employé dans le concept confus de » racisme culturel « élargit la définition au-delà de la haine anti-musulmane pour inclure la critique » illégitime « de la religion islamique. permettre au rapport d’affirmer que la critique de l’islam est instrumentalisée pour blesser les musulmans.

« Aucune religion ne devrait bénéficier d’une protection particulière contre les critiques. Comme la haine anti-sikh, anti-chrétienne ou anti-hindoue, nous pensons que l’expression » haine anti-musulmane est plus appropriée et moins susceptible de porter atteinte à la liberté d’expression. Une prolifération de  » Les phobies « ne sont pas souhaitables, comme l’ont déjà indiqué des organisations sikhs et chrétiennes qui reconnaissent l’importance d’une discussion libre sur leurs croyances. »

Le 28 mai, le Conseil musulman de Grande-Bretagne, une filiale des Frères musulmans, a déposé une plainte auprès de la Commission pour l’égalité et les droits de l’homme (EHRC) pour islamophobie au sein du parti conservateur. La plainte indiquait :

« Nous avons pris cette mesure après qu’un nombre sans précédent d’affaires ait été porté à notre attention, suggérant une culture au sein du parti conservateur où l’islamophobie est non seulement généralisée, mais institutionnelle. Nous demandons maintenant à la EHRC d’examiner toutes les preuves et d’enquêter sur cette affaire. » affaire avec une grande urgence « .

Le secrétaire général adjoint du MCB, Miqdaad Versi, a admis que la plainte du groupe auprès de l’EHRC visait à faire pression sur le gouvernement pour qu’il accepte sa définition préférée de l’islamophobie:

« Le gouvernement actuel dirigé par les conservateurs a également décidé de rejeter une définition de l’islamophobie acceptée par le MCB et les principales parties prenantes musulmanes, ce qui nous amène à nous demander quel message les conservateurs veulent-ils envoyer aux communautés musulmanes? »

« Alors que la course à la direction [du Parti conservateur] s’ensuit, l’un des candidats va-t-il donner la priorité à la gestion de l’ampleur de l’islamophobie qui a consumé le Parti conservateur? »

L’appel à une enquête sur l’islamophobie a été lancé le même jour lorsque la EHRC a annoncé l’ouverture d’ une enquête officielle sur l’antisémitisme au sein du parti travailliste. L’enquête déterminera si le parti « a illégalement discriminé, harcelé ou victimisé des personnes parce qu’il est juif ».

La MCB (Conseil Musulman de Grande-Bretagne) a déclaré que le moment de sa plainte – déposé le même jour dans l’enquête antisémitisme – était une coïncidence.

Boris Johnson faisait partie des députés nommés dans la plainte islamiste,
Boris Johnson faisait partie des députés nommés dans la plainte islamiste. M. Johnson a été critiqué pour ses propos comparant des femmes musulmanes voilées à des boîtes aux lettres et à des braqueurs de banque, mais il a été dégagé de toute violation du code de conduite du parti conservateur.

 

Le Conseil musulman de Grande-Bretagne (MCB) a envoyé plus de 20 pages de preuves à la Commission pour l’égalité et les droits de l’homme à la suite du refus du gouvernement d’adopter une proposition de définition de l’islamophobie .

Sa plainte accusait les Tories d’avoir « ignoré » les appels en faveur d’une enquête indépendante sur la haine anti-musulmane et d’avoir omis de prendre des mesures contre les islamophobes dans ses rangs.

Boris Johnson , qui pourrait être le prochain Premier ministre, et des députés comprenant Bob Blackman , Zac Goldsmith , Michael Fabricant et Philip Hollobone ont été nommés dans le dossier.


EN COMPLÉMENT

Les conservateurs sont confrontés à plus d’une centaine d’allégations d’islamophobie et de racisme proférées à l’encontre de membres du parti

Theresa May a été forcé de donner sa démission récemment.

 

Au moins 110 personnes  possèdent une colonne vertébrale en Grande-Bretagne et elles ont eu le culot de s’exprimer!

Plus de 100 personnes prétendant être membres du Parti conservateur ont posté des commentaires islamophobes ou racistes en ligne, a-t-on révélé.

Les allégations, compilées par un chercheur sur les médias sociaux, comprennent des articles décrivant les musulmans comme des «extraterrestres» dont le «plan est de transformer ce pays en un État islamique».

D’autres commentaires incluent: « Nous n’avons pas de politicien assez fort au Royaume-Uni pour nous éloigner de cette infestation » et: « Nous laissons nos enfants tomber en permettant à ce culte de conquérir notre pays »

Il s’agirait de la première collection complète d’allégations formulées à ce jour. Elle contient des messages de 110 personnes, principalement au cours des deux dernières années. Dix-neuf ont été décrites comme de «nouvelles allégations» par ITV News, à qui le dossier a été remis par l’utilisateur de Twitter @MatesJacob.

Le Parti conservateur conteste que certaines des personnes impliquées soient membres du parti et affirme que les autres ont été traités ou font l’objet d’une enquête.

 

 

 

 

Le Danemark dans un état d’effondrement non déclaré

  • La définition statistique officielle de « descendants » n’inclut que la première génération après la personne qui a émigré au Danemark. Donc, les chiffres officiels ne montrent pas la vraie image.
  • Si les statistiques démographiques continuent à suivre cette tendance, les Danois de souche – dont le taux de natalité est bien inférieur à celui des immigrants non occidentaux – deviendront une minorité vers 2065. Selon un rapport publié en 2017 par Statistics Denmark, environ la moitié seulement des immigrés non occidentaux âgés de 16 à 64 ans occupent un emploi (53% d’hommes et 45% de femmes).
  • En 2017, un tiers des personnes couvertes par le système de base de protection sociale du Danemark étaient des immigrés, ce qui représente une augmentation de 82% en seulement sept ans. Ces chiffres montrent que les dépenses publiques liées à l’immigration finiront par mettre un terme à l’État providence.
Contrairement aux informations trompeuses véhiculées par les médias, le Danemark n’oblige pas les réfugiés qui en souffrent à vivre sur une île isolée. Seuls les criminels étrangers « reconnus coupables de crimes et susceptibles d’expulsion aux termes de leur peine » seront logés dans ce lieu. Et on leur offrira même des traversées en ferry vers le continent, sous prétexte que cela est nécessaire en raison de « conventions internationales ».

 

La représentation du Danemark dans les médias comme un pays hostile et inhumain envers les migrants est trompeuse, voire complètement fausse.

L’une des raisons de cette image inexacte est qu’elle est dépeinte par le parti pris politique des journalistes. Une autre est que les statistiques danoises officielles dignes de confiance sur le problème de l’immigration dans le pays sont à la fois difficiles à trouver et à interpréter. Un autre problème est au mieux le manque de recherche fiable; et délibérément déformé les données, au pire.

La ventilation ci-après montre que le Danemark, au lieu d’être relativement moins touché par les conséquences des migrations massives que les autres pays européens en général et les pays scandinaves en particulier, est en train de s’effondrer. En dépit des nombreuses lois de Copenhague qui régissent les migrations et affectent les immigrants, le peuple danois a connu un changement culturel et politique majeur dans sa vie, tel qu’il l’a toujours été.

Projections démographiques

En 1960, le Danemark comptait 4 580 708 habitants. Aujourd’hui, ce nombres’élève à 5 768 712. Cette croissance semble être due en grande partie à l’immigration.

En 2016, Statistique Danemark prévoyait que le pays compterait 507 000 immigrants «non occidentaux» d’ici 2060 et 342 000 « descendants non occidentaux ».

Les « descendants », cependant, n’incluent que la première génération après la personne qui a migré. Donc, les chiffres officiels ne montrent pas la vraie image.

En 1989, une organisation privée, « The Danish Association », a publié une projection alternative dans le cadre d’une édition spéciale du périodique du groupe Danskeren (septembre 1989, p. 3, non disponible sur Internet.) L’article, publié anonymement – révélant le degré de rectitude politique et d’autocensure requis au Danemark même à ce moment-là – prédit que l’immigration resterait relativement statique, indépendamment des tentatives insuffisantes prévisibles de renforcement de la législation. Cette prédiction s’est avérée presque correcte jusqu’à présent.

L’article prévoyait environ 1,1 million d’immigrants vers 2020, conformément à ce que l’on peut voir dans les statistiques actuelles en incluant la troisième génération de nouveaux arrivants ainsi que le nombre probable d’étrangers non enregistrés.

Si les statistiques démographiques continuent de suivre cette tendance, les Danois de souche – dont le taux de natalité est bien inférieur à celui des immigrés non occidentaux – deviendront une minorité vers 2065. Il est en effet fort probable que cela se produise, les immigrés définis comme: les « réfugiés » continuent à entrer dans le pays; et d’autres, tels que les arrivées de membres de la famille et les visites sans rendez-vous, peuvent rarement être renvoyés dans leur pays d’origine.

Emploi et protection sociale

Selon un rapport publié en 2017 par Statistique Danemark, environ la moitié seulement des immigrés non occidentaux âgés de 16 à 64 ans ont un emploi (53% d’hommes et 45% de femmes). Toutefois, une ventilation par pays d’origine a révélé des différences majeures entre les migrants – le taux d’emploi étant particulièrement bas parmi les personnes originaires d’Irak, du Liban, de Somalie et de Syrie.

En analysant les données de Statistics Denmark, la Confédération des employeurs danois a révélé qu’en 2016, 41,5% des immigrants non occidentaux bénéficiaient de l’aide sociale, alors que 17,5% seulement des Danois de souche bénéficiaient des mêmes avantages. En 2017, un tiers des personnes couvertes par le système de base de protection sociale du Danemark étaient des immigrés , ce qui représente une augmentation de 82% en seulement sept ans.

Ces chiffres montrent que les dépenses publiques liées à l’immigration finiront par mettre un terme à l’État providence.

Éducation

Selon le même rapport publié en 2017 par Statistique Danemark , 49% des descendants masculins non occidentaux et 70% des descendants féminins non occidentaux ont terminé leurs études dans un domaine où ils sont employables, contre 73% d’hommes danois et 81% de femmes danoises.

En outre, les enfants d’origine danoise ont obtenu de meilleurs résultats aux examens finaux que les enfants d’immigrés et leurs descendants de première génération (grades de 6,7 pour les garçons et de 7,4 pour les filles, contre 5,3 respectivement pour les descendants de première génération non occidentaux). Les plus défavorisés sont les descendants de première génération de parents d’immigrants turcs et libanais.

Un rapport publié en 2018 par le ministère danois de l’Éducation a révélé une différence similaire, même parmi les descendants de migrants de troisième génération. L’étude a été contestée , mais les résultats factuels sont valables. Ils indiquent qu’un grand nombre des descendants d’immigrants non occidentaux de longue date auront des difficultés à satisfaire les exigences d’une société occidentale moderne et hautement industrialisée.

Malheureusement, les reportages au Danemark finissent de plus en plus comme celui-ci: Si les responsables publient quelque chose qui contredit les contes de fées des bien-pensants, les journalistes vont agir et effrayer le transgresseur – alors il reformulera ce qu’il a dit sans le corriger directement .

L’économie

Selon un rapport du ministère danois des Finances publié en février 2018, les dépenses annuelles nettes du gouvernement en matière d’immigrants non occidentaux en 2015 s’élevaient à 36 milliards de couronnes danoises – environ 5 milliards USD. Comme il y a environ 5 millions de Danois, le coût supporté par chaque contribuable s’élève en réalité à 1 000 dollars par an, soit 4 000 dollars pour une famille de quatre personnes.

Ce chiffre ne concerne toutefois que les budgets publics directement liés aux immigrés. Il n’inclut pas les fonds publics indirects supplémentaires consacrés à l’application de la loi, aux écoles, à l’administration de la sécurité sociale et à d’autres questions connexes, en raison de la présence d’immigrants non occidentaux.

À long terme, il ne sera pas possible de financer ces dépenses en forte croissance.

la criminalité

Selon le rapport de Statistics Denmark , le taux de criminalité en 2017 était 35% plus élevé chez les immigrants masculins non occidentaux et 145% plus élevé chez les descendants d’hommes d’immigrants non occidentaux par rapport à la population masculine danoise en général. Il convient de noter que les chiffres sont trompeurs, car les descendants d’immigrants de troisième génération sont également considérés comme des Danois. Les descendants masculins des immigrants du Liban – dont beaucoup étaient, selon le rapport, des Palestiniens apatrides – suivis des descendants masculins des immigrants originaires de Somalie, d’Irak, du Pakistan, du Maroc et de Syrie – se classaient au premier rang des crimes.

Les sondages

Des sondages ont été effectués parmi les immigrants. Exemples: En 2006, les jeunes musulmans adultes au Danemark se sont montrés plus religieux que leurs parents; La moitié d’entre eux ont même pensé que la liberté d’expression devrait céder le pas à la considération des règles et traditions religieuses (rapporté dans Jyllands-Posten 21/5 2006). Seulement 59% des musulmans pensent que la constitution devrait être la base de la législation danoise. Plus d’un tiers des musulmans au Danemark se sentaient plus liés à leur pays d’origine qu’au Danemark ( Jyllands-Posten 13/5 2006). Quatre garçons sur dix d’origine turque et libanaise s’attendent à ce que leur mère soit à la maison pour s’occuper de la famille et des enfants ( Jyllands-Posten 12/11 2008). Environ la moitiédes musulmans interrogés pensent qu’Israël n’a pas le droit d’exister. D’autres sondages montrent la même image déprimante.

Retombées politiques

Ne vous fiez pas à l’ interdiction très médiatisée de la burqa entrée en vigueur au Danemark en août 2018. Tout d’abord, elle a rarement été appliquée – seulement 13 amendes par demi-an . De plus, ceux qui souhaitent s’opposer à l’idée d’égalité entre hommes et femmes sont libres d’aller dans des pays où de tels codes vestimentaires sont les bienvenus.

« le viol des enfants fait partie de la culture des migrants »Une mosquée danoise de Jutlan, défraie la chronique depuis quelques jours du fait des déclarations de son imam,.

Ne faites pas confiance aux autres reportages des médias qui vont dans le même sens. Les réfugiés qui souffrent ne sont pas obligés de vivre sur une île isolée. Seuls les criminels étrangers « reconnus coupables de crimes et susceptibles d’expulsion aux termes de leur peine » seront logés dans ce lieu. Et on leur offrira même des traversées en ferry vers le continent, sous prétexte que cela est nécessaire en raison de « conventions internationales ».

Les réfugiés ne sont pas « dépouillés » de leurs objets de valeur à la frontière. Des bijoux et des avoirs d’une valeur supérieure à 10 000 couronnes danoises (1 500 USD) doivent être remis aux autorités pour aider à payer les demandeurs d’asile. Tout comme les Danois ne reçoivent pas d’aide sociale s’ils ont des objets de valeur qui leur permettent de subvenir à leurs besoins. Les actions des autorités de contrôle des frontières à ce sujet sont soumises au contrôle des tribunaux.

D’autres exemples de désinformation des médias sur le Danemark abondent.

Le climat politique au Danemark est tel que même le Premier ministre Poul Schlüter (de 1982 à 1993), un conservateur, à une époque où il était question en 1989 de revenir sur la législation en matière d’immigration catastrophique qui avait été adoptée récemment, a été empêché par le secteur privé. l’organisation fortement subventionnée du Conseil danois des réfugiés pour sa rencontre avec un représentant de la plus importante organisation anti-immigration. [1]

Un nouveau projet de loi danois oblige les migrants à serrer la main pour obtenir la citoyenneté du Danemark

Surtout, en grande partie à cause des médias de gauche, la plupart des Danois ne comprennent pas à quel point le problème est sérieux: le pays est confronté à l’afflux de non-occidentaux, dont les enfants et les petits-enfants, en nombre inquiétant, ne semblent pas adopter le danois culture et des valeurs, et qui semblent résister à l’assimilation . Il est donc très peu probable qu’un parti politique opposé à l’immigration obtienne le soutien des électeurs pour influencer suffisamment la législation pour répondre aux besoins urgents du pays.


[1] Divulgation complète: l’auteur actuel qui était alors un fonctionnaire de la Couronne occupant un poste supérieur dans une université; l’histoire complète publiée dans son livre Opgøret , 2001, ISBN 87-90014-73-5, p. 57 avec documentation supplémentaire.

Sources

 

 

 

 

 

Une Mafia nigériane en Allemagne alors que la fausse invasion de réfugiés se poursuit

Le service de renseignement fédéral allemand (BND) a averti le gouvernement de ce pays dans un document secret divulgué sur la croissance du «crime organisé nigérian extrêmement brutal» qui déferle sur l’Allemagne à la suite de l’invasion massive et fictive de faux réfugiés non-blancs dans le pays.

 

Selon le document révélé par le journal Spiegel , le BND a averti que l’afflux croissant de « demandeurs d’asile nigérians » qui ont afflué d’Italie en Allemagne est le principal facteur de la peste criminelle non blanche.

Selon le Spiegel, en 2018, plus de 10 000 Nigérians ont demandé «l’asile» en Allemagne, ce qui représente une augmentation de 30% par rapport à l’année précédente.

Les experts de l’Office fédéral de la migration et des réfugiés (BAMF) et de la police fédérale attribuent principalement cette évolution à la «migration secondaire» au sein de l’Europe.

Selon ces informations, de nombreux envahisseurs nigérians, principalement originaires d’Italie, où plus de 100 000 Africains originaires de ce pays, se dirigent vers le nord, l’un de leurs principaux pays de destination étant l’Allemagne.

Selon le reportage, des bandes criminelles nigérianes portant des noms tels que « Supreme Eiye Confraternity » et « Black Axe » ont déjà créé des structures en Italie et ont déjà remplacé des groupes mafieux locaux dans le sud de l’Italie.

 

Le rapport a ensuite souligné que les forces de police italiennes et espagnoles avaient officiellement reconnu ces gangs de non-Blancs comme des « menaces spécifiques » et que leurs « activités criminelles se développaient maintenant en Allemagne ».

Selon le Spiegel, l’Organisation internationale pour les migrations estime que pas moins de 80% des femmes nigérianes d’origine européenne nigérianes qui se rendent en Europe sont contraintes à la prostitution par leurs concitoyens africains, qui les dominent «en utilisant des rituels vaudous».

Le BND a également déclaré que les trafiquants nigérians empruntaient traditionnellement la route maritime via la Méditerranée occidentale pour envahir l’Europe, mais qu’ils utilisent de plus en plus de papiers de «réfugiés» déjà légalement en Europe pour en faire passer clandestinement d’autres dans les nations blanches. Bien que le rapport de la BND ne l’ait pas admis, cette dernière astuce est possible car les agents des frontières européennes ne peuvent pas différencier les Africains.


EN COMPLÉMENT:

 

La fausse invasion de réfugiés par les non-Européens en Europe a dépassé les 7 millions depuis 2006

 

 

Plus de sept millions d’envahisseurs non-blancs prétendant être des réfugiés ont débarqué en Europe entre 2006 et 2018 – ce qui équivaut à un pays de la taille de la Bulgarie se déplaçant en Europe occidentale, ont révélé des chiffres du Bureau européen d’appui en matière d’asile (EASO) de l’Union européenne.

Selon le dernier «Aperçu des tendances de l’EASO UE + en matière d’asile pour 2018», en 2018, au moins 634 700 «demandes de protection internationale» ont été reçues à l’intérieur des frontières de l’Union européenne.

 

Les résultats de l’année précédente, fournis par les statistiques archivées sur «l’asile» de l’EASO , sont les suivants:

2006: 197 400 envahisseurs.

2007: 222 600 envahisseurs.

2008: 225 200 envahisseurs.

2009: 263 800 envahisseurs.

2010: 259 400 envahisseurs.

2011: 309 000 envahisseurs.

2012: 335 300 envahisseurs.

2013: 431 100 envahisseurs.

2014: 627 000 envahisseurs.

2015: 1 322 800 envahisseurs.

2016: 1 260 900 envahisseurs.

2017: 704 600 envahisseurs.

Ces chiffres, ajoutés aux totaux de 2018, signifient qu’il y a exactement 7 095 190 envahisseurs enregistrés en tant que «demandeurs d’asile» en Europe depuis 2006 – un chiffre qui, bien entendu, n’inclut pas les clandestins.

Selon le rapport 2018 de l’EASO, environ 4% de toutes les demandes en 2018 provenaient de «mineurs auto-déclarés non accompagnés (UAM)» et de «citoyennetés d’origine» avec une «forte concentration de MNA», dont la Gambie et le Vietnam – une indication de la nature de l’invasion massive, non blanche, de l’Europe se déroulant dans le monde entier.

Les dix principaux pays d’origine pour 2018 étaient la Syrie, l’Afghanistan, l’Iraq, le Pakistan, l’Iran, le Nigéria, la Turquie, le Venezuela, l’Albanie et la Géorgie.

Le rapport énumère ensuite les derniers rapports sur l’état des demandes de visa, mais ils n’ont aucune pertinence car aucun État d’Europe occidentale n’a actuellement la volonté politique de déporter ces millions de freelaoders, même si leur demande est rejetée.

Il est clair que cette invasion massive de non-Blanc s’accélère progressivement et, à moins d’être stoppée et inversée, envahira complètement l’Europe occidentale dans les dix ou quinze prochaines années et transformera cette région en une réplique de l’Afrique, de l’Asie et du Moyen-Orient.

 

 

 

Allemagne: un pays qui deviendra non blanc en une génération

L’invasion actuelle de l’Allemagne par le tiers monde créera une majorité non blanche dans le groupe des 20-30 ans d’ici quatre ans et une majorité non blanche dans une génération, a révélé une nouvelle analyse statistique basée sur les chiffres du recensement allemand.

 

 

L’analyse, réalisée par le professeur Adorján F. Kovács du Goethe-Universität de Francfort-sur-le-Main, a été publiée dans le magazine européen allemand sous le titre «Vérités sur la crise des réfugiés» (Wahrheiten zur Flüchtlingskrise).

Le professeur Kovács a déclaré que les défenseurs de « l’immigration sans précédent », comme la chancelière Angela Merkel, affirment que « un, deux ou trois millions ne sont que quelques-uns, par rapport aux 79 à 80 millions de personnes qui vivent actuellement en Allemagne ».

Selon le professeur Kovács, cette affirmation est tout simplement fausse car elle ne tient pas compte de l’âge démographique affecté par l’afflux.

Il ajoute que les chiffres publiés par l’Office fédéral allemand de la migration et des réfugiés (Bundesamt für Migration und Flüchtlinge ou BAMF) montrent que les envahisseurs non blancs se limitent presque exclusivement aux personnes âgées de 20 à 35 ans. encore plus jeune.

Selon le professeur Kovács, on peut obtenir une image beaucoup plus précise de l’afflux comparé à la population allemande déjà existante de ce même groupe d’âge.

 

L’Office fédéral de la statistique officiel compte actuellement quelque 15 millions de personnes dans ce groupe d’âge en Allemagne, a-t-il ajouté, ajoutant que « la proportion de personnes d’origine immigrée dans ce groupe d’âge est d’environ 3,5 millions de personnes ».

En d’autres termes, la population amérindienne actuelle – européenne – allemande âgée de 20 à 35 ans, à l’exclusion de la nouvelle vague d’envahisseurs, s’élève à 11,5 millions de personnes.

Selon un chiffre approximatif d’environ un million d’envahisseurs arrivant chaque année en Allemagne au cours des prochaines années – et le chiffre réel est peut-être supérieur – il est parfaitement raisonnable de s’attendre à une population totale de « demandeurs d’asile » en Allemagne comprise entre trois et quatre millions d’ici 2020.

Ce n’est cependant que la pointe de l’iceberg. Selon le professeur Kovács, si seulement la moitié de ce nombre bénéficiera de l’asile et restera en Allemagne, cela signifie qu’il y aura environ deux millions de candidats retenus d’ici à 2020.

«Le fait que la majorité des prétendus demandeurs d’asile soient des hommes signifie que, dans presque tous les cas, la candidature au regroupement familial sera retenue.

«Cela va ajouter entre trois et huit personnes supplémentaires par demandeur d’asile retenu, ce qui signifie qu’en 2020, le nombre total de personnes appartenant à ce groupe dépassera huit millions».

Le fait qu’il n’ya actuellement que 11,5 millions d’Allemands européens dans la tranche des 20-30 ans signifie qu’en 2020, dans quatre ans, les Blancs seront une minorité totale dans cette catégorie d’âge.

«Sur les 23 millions d’habitants de ce pays qui ont entre 20 et 35 ans, environ 11,5 millions d’habitants ont migré d’ici cinq ans», a déclaré le professeur Kovács.

En outre, le taux de natalité élevé des immigrés « n’a même pas été pris en compte », a-t-il poursuivi.

«Vous devez penser à l’avenir dans 30 ans. Si la majorité, c’est-à-dire que plus de 50% des personnes vivant actuellement en Allemagne sont des personnes âgées et sont décédées dans ce laps de temps, il ne faut pas d’imagination pour avoir une idée de la composition de la future population allemande. « 

La conclusion est inévitable: soit l’Allemagne prendra des mesures politiques pour mettre un terme à l’invasion actuelle du tiers monde, soit l’inverser, soit elle deviendra un pays à majorité non blanche d’ici une génération.


Le génocide blanc s’accélère en Allemagne: trois grandes villes allemandes renversent leur majorité ethnique par des non-blancs

L’immigration massive en provenance du tiers monde en Allemagne provoquera «bientôt» l’entrée des trois villes allemandes d’Augsbourg, Stuttgart et Francfort au statut de majorité non-blanche, a annoncé l’un des plus importants démographes du pays.

 

Lors d’une interview dans le journal Augsburger Allgemeine, « l’expert en intégration », Jens Schneider, a déclaré qu’Augsbourg serait l’une des « premières grandes villes allemandes où les personnes d’origine migrante formeraient la population majoritaire ».

L’interview a révélé que les statistiques officielles montrent déjà que « un sur cinq » (soit 20%) des personnes vivant en Allemagne « ont des racines étrangères ».

Cela est particulièrement vrai dans les zones urbaines, dit Schneider, où la proportion de «personnes d’origine immigrée» augmente de manière exponentielle.

« Les experts estiment qu’Augsbourg, Stuttgart et Francfort sont les premières villes dans lesquelles les immigrés deviendront majoritaires », a-t-il ajouté.

Plus de la moitié de ces « étrangers » sont déjà en possession de la nationalité allemande, a poursuivi Schneider, ce qui signifie que « l’intégration sera donc le plus gros défi des prochaines années ».

Cela signifie que le «pays va changer», a déclaré Schneider, qui est en faveur de l’invasion.

Les statistiques officielles décrivent les personnes «d’origine migrante» comme des personnes non seulement étrangères, mais immigrées en Allemagne depuis 1950 et leurs descendants.

Bien que Schneider ne l’ait pas dit, cela signifie le grand nombre de Turcs qui sont entrés en Allemagne en tant que «gastarbeiters» (travailleurs invités) dans les années 1950, censés travailler en Allemagne puis rentrer chez eux – mais qui ne l’ont jamais fait.

À Augsburg, a-t-il déclaré, le segment de la population «personnes d’origine migrante» représente désormais plus de 43% des habitants de la ville – et est en augmentation.

Cette tendance est particulièrement apparente dans la population préscolaire, où plus de la moitié des enfants de six ans sont issus de «milieux d’immigrants». Ce dernier chiffre, a-t-il ajouté, était répandu dans toute l’Allemagne.

Le seul élément des statistiques pouvant affecter les projections est le nombre exact d ‘«immigrants» originaires d’autres pays européens – y compris, il est intéressant, la Russie.

Bien que Schneider et Augsburger Allgemeine aient mentionné ce facteur, ils n’ont donné aucun chiffre précis à cet égard, mais il est probable qu’il représente moins du quart du total.

Cependant, tout effet de freinage que cela pourrait avoir sur l’équilibre racial de la population aura certainement été plus que compensé par l’actuelle invasion massive de non-Blancs, provoquée par l’invitation d’Angela Merkel en 2015 à inviter l’ensemble du tiers monde à venir en Allemagne.

Depuis lors, environ 1,5 million de non-Blancs sont entrés en Allemagne, mais leur nombre exact est inconnu en raison de la politique de «frontières ouvertes» qui permet à quiconque de n’importe où de pénétrer dans le pays sans être contrôlé ou enregistré.

 

 

 

 

Allemagne: Une nouvelle loi interdisant le mariage des enfants déclarée inconstitutionnelle

  • Cette décision, qui ouvre effectivement la porte à la légalisation des mariages d’enfants fondés sur la charia en Allemagne, est l’un des cas de plus en plus nombreux dans lesquels les tribunaux allemands soutiennent – sciemment ou non – la création d’un système juridique islamique parallèle dans le pays.
  • « L’Allemagne ne peut pas, d’une part, s’opposer aux mariages d’enfants dans le monde entier mais, d’autre part, à de tels mariages dans notre propre pays. L’intérêt supérieur de l’enfant ne peut être compromis dans ce cas. (…) sur la protection constitutionnelle des enfants et des mineurs!  » – Winfried Bausback, législateur bavarois qui a aidé à rédiger la loi contre le mariage des enfants.
  • « Nous devrions considérer une dernière chose: les jugements sont faits » au nom du peuple « . Ce peuple a clairement exprimé par l’intermédiaire de ses représentants au Bundestag qu’il ne voulait plus reconnaître le mariage des enfants.  » – Commentateur Andreas von Delhaes-Guenther.
La Cour fédérale de justice ( Bundesgerichtshof ), la plus haute juridiction allemande, a statué qu’une nouvelle loi interdisant le mariage d’enfants pourrait être inconstitutionnelle car tous les mariages, y compris ceux de la charia, sont protégés par la loi fondamentale allemande. Sur la photo: le Bundesgerichtshof à Karlsruhe, en Allemagne.

 

La Cour fédérale de justice ( Bundesgerichtshof, BGH ), la plus haute juridiction allemande en matière civile et pénale, a statué qu’une nouvelle loi interdisant le mariage d’enfants pourrait être inconstitutionnelle car tous les mariages, y compris ceux de la charia, sont protégés par la loi fondamentale allemande. ( Grundgesetz ).

Cette décision, qui ouvre effectivement la porte à la légalisation des mariages d’enfants fondés sur la charia en Allemagne, est l’un des cas de plus en plus nombreux dans lesquels les tribunaux allemands soutiennent – sciemment ou non – la création d’un système juridique islamique parallèle dans le pays.

L’affaire concerne un couple syrien – une jeune fille syrienne de 14 ans mariée à son cousin de 21 ans – qui est arrivé en Allemagne au plus fort de la crise migratoire en août 2015. Le Bureau d’aide à la jeunesse ( Jugendamt ) a refusé de reconnaître leur mariage et séparé la fille de son mari. Lorsque le mari a engagé une action en justice, un tribunal de la famille à Aschaffenburg s’est prononcé en faveur de l’Office de protection de la jeunesse, qui prétendait être le tuteur légal de la jeune fille.

En mai 2016, une cour d’appel de Bamberg a annulé la décision. Le tribunal a statué que le mariage était valide parce qu’il avait été contracté en Syrie, où, conformément à la charia, les mariages d’enfants sont autorisés. La décision a effectivement légalisé les mariages d’enfants de la charia en Allemagne.

La décision – qualifiée de « cours intensif dans la législation syrienne sur le mariage » – a déclenché une vague de critiques. Certains ont accusé le tribunal de Bamberg d’appliquer la charia au droit allemand pour légaliser une pratique interdite en Allemagne.

« Les justifications religieuses ou culturelles masquent le simple fait que des hommes plus âgés et pervers maltraitent de jeunes filles », a déclaré Rainer Wendt, chef du syndicat de la police allemande.

Monika Michell de Terre des Femmes, un groupe de défense des droits des femmes qui milite contre le mariage des enfants, a ajouté : « Un mari ne peut pas être le tuteur légal d’une femme mariée, car il est impliqué dans une relation sexuelle avec elle – un conflit d’intérêts très évident. »

La ministre de la Justice de Hesse, Eva Kühne-Hörmann, a demandé : « Si les mineurs ne sont pas autorisés, à juste titre, à acheter une bière, pourquoi les législateurs devraient-ils permettre aux enfants de prendre des décisions aussi profondes en matière de mariage? »

D’autres ont déclaré que la décision ouvrirait les portes du conflit culturel en Allemagne, tout comme les musulmans le considéreraient comme un précédent pour faire pression pour la légalisation d’autres pratiques islamiques, y compris la polygamie, dans le pays.

En septembre 2016, le ministère de l’Intérieur allemand, répondant à une demande en vertu de la loi sur la liberté d’information, a révélé que 1 475 enfants mariés – dont 361 enfants de moins de 14 ans – vivaient en Allemagne au 31 juillet 2016.

Dans le but de protéger les filles mariées à l’étranger mais qui ont demandé l’asile en Allemagne, le Parlement allemand a adopté le 1er juin 2017 une loi interdisant les mariages d’enfants. La loi sur la lutte contre le mariage des enfants ( Gesetz zur Bekämpfung von Kinderehen ) fixait à 18 ans l’âge minimum du consentement au mariage en Allemagne et annulait tous les mariages existants, y compris ceux contractés à l’étranger, lorsqu’un participant avait moins de 16 ans à l’âge de 16 ans. l’heure de la cérémonie.

Dans son arrêt rendu le 14 décembre 2018, la Cour fédérale de justice allemande a déclaré que la nouvelle loi pourrait être inconstitutionnelle car elle violerait les articles 1 (dignité humaine), 2 (libre développement de la personnalité), 3 (protection égale) et 6. (protection du mariage et de la famille) de la loi fondamentale , qui sert de constitution allemande.

La cour a également jugé que la nouvelle loi ne pouvait pas être appliquée de manière rétroactive et ne pouvait donc pas s’appliquer au couple syrien, marié en février 2015.

Enfin, la Cour fédérale de justice a demandé à la Cour constitutionnelle fédérale ( Bundesverfassungsgericht ) d’examiner la légalité de l’interdiction générale du mariage des enfants en Allemagne et de déterminer si les autorités allemandes devaient évaluer la validité des mariages d’enfants au cas par cas.

La décision ignore l’article 6 de la loi introductive du code civil allemand ( Einführungsgesetz zum Bürgerlichen Gesetzbuche, EGBGB ), qui stipule :

« Un critère juridique d’un autre État n’est pas appliqué lorsque son application aboutit à un résultat manifestement incompatible avec les principes essentiels du droit allemand. En particulier, il n’est pas applicable si l’application est incompatible avec les droits fondamentaux. »

En protégeant le couple syrien du droit allemand, le tribunal a non seulement légitimé le recours à la charia pour déterminer l’issue des poursuites judiciaires en Allemagne, il a également créé un précédent qui sera certainement utilisé à l’avenir par les défenseurs du mariage d’enfants. et d’autres lois étrangères.

En outre, en insistant pour que la légitimité des mariages d’enfants soit examinée au cas par cas, le tribunal a ouvert la porte aux soi-disant exceptions culturelles, à savoir celles inscrites dans la loi de la charia, qui ne fixent aucune limite d’âge au mariage. .

Winfried Bausback, un législateur bavarois qui a aidé à rédiger la loi contre le mariage des enfants, a été scandalisé par la décision du tribunal:

« En raison de notre Constitution et pour le bénéfice de l’enfant, dans le cas présent, il ne devrait y avoir qu’une seule réponse: ce mariage doit être nul et non avenu depuis le début.

« L’Allemagne ne peut pas d’une part être contre les mariages d’enfants au niveau international, mais d’autre part pour de tels mariages dans notre propre pays. L’intérêt supérieur de l’enfant ne peut être compromis dans ce cas. (…) Il s’agit de la question constitutionnelle protection établie des enfants et des mineurs! « 

Le commentateur Andreas von Delhaes-Guenther a écrit :

« En fin de compte, la mesure dans laquelle l’Allemagne souhaite accepter le droit étranger est une question de principe, ce qui est tout à fait contraire à notre droit sur des questions importantes. Il a fallu des siècles pour supprimer le moyen âge de notre droit; retour pour des raisons de prétendue tolérance ou «prise en compte de cas individuels». Nous devons plutôt dire qu’en Allemagne, le droit allemand s’applique à tous, en particulier à des intérêts juridiques tels que la vie, la santé – ou tout simplement au bien-être de l’enfant, avec une limite d’âge immuable pour les mariages.

« Nous devrions considérer une dernière chose: les jugements sont faits » au nom du peuple « . Ce peuple a clairement exprimé par l’intermédiaire de ses représentants au Bundestag qu’il ne voulait plus reconnaître le mariage des enfants. « 

Les tribunaux allemands et la charia

Les tribunaux allemands ont de plus en plus recours à la loi islamique parce que les plaignants ou les accusés sont musulmans. Les critiques affirment que les affaires – en particulier celles dans lesquelles le droit allemand a été relégué au second plan par la charia – témoignent d’un dangereux empiétement du droit islamique sur le système juridique allemand.

En novembre 2016, par exemple, un tribunal de Wuppertal a statué que sept islamistes ayant formé une patrouille de vigiles pour appliquer la charia dans les rues des villes ne violaient pas la loi allemande et exerçaient simplement leur droit à la liberté de parole.

La « police de la charia » autoproclamée avait suscité l’indignation du public en septembre 2014 en distribuant des tracts jaunes établissant une « zone contrôlée par la charia » dans le district d’Elberfeld, à Wuppertal. Les deux hommes ont exhorté les passants musulmans et non musulmans à se rendre dans les mosquées et à s’abstenir de l’alcool, des cigarettes, de la drogue, des jeux d’argent, de la musique, de la pornographie et de la prostitution.

Le procureur de Wuppertal, Wolf-Tilman Baumert, a affirmé que les hommes, qui portaient des gilets orange ornés des mots « SHARIAH POLICE », avaient enfreint une loi interdisant le port d’uniforme lors de rassemblements publics. La loi, qui interdit notamment les uniformes qui expriment des opinions politiques, avait été conçue à l’origine pour empêcher les groupes néonazis de défiler en public. Selon Baumert, les gilets étaient illégaux car ils avaient un effet « délibéré, intimidant et militant ».

Le tribunal de district de Wuppertal a toutefois estimé que les vestes n’étaient techniquement pas des uniformes et ne constituaient en aucun cas une menace. La cour a déclaré que les témoins et les passants ne pouvaient absolument pas se sentir intimidés par les hommes et que les poursuivre en justice porterait atteinte à leur liberté d’expression. La décision « politiquement correcte », qui a fait l’objet d’un appel, autorise effectivement la police de la charia à continuer de faire respecter la loi islamique à Wuppertal.

Le 11 janvier 2018, toutefois, la Cour fédérale de justice a infirmé la décision du tribunal de Wuppertal et ordonné que les sept personnes soient retentées. La Cour fédérale a déclaré qu’ils avaient effectivement violé la loi interdisant le port d’un uniforme.

La charia empiète sur le système de justice allemand pratiquement sans contrôle depuis près de deux décennies. Quelques exemples incluent:

  • En août 2000, un tribunal de Kassel a ordonné à une veuve de fractionner la pension de son mari marocain décédé avec une autre femme avec laquelle l’homme était simultanément marié. Bien que la polygamie soit illégale en Allemagne, le juge a décidé que les deux épouses devaient partager la pension, conformément à la loi marocaine.
  • En mars 2004, un tribunal de Coblence a accordé à la deuxième épouse d’un Iraquien résidant en Allemagne le droit de rester de manière permanente dans le pays. La cour a statué qu’après cinq ans de mariage polygame en Allemagne, il serait injuste de s’attendre à ce qu’elle retourne en Irak.
  • En mars 2007, un juge de Francfort a cité le Coran dans une affaire de divorce mettant en cause une femme germano-marocaine qui avait été battue à plusieurs reprises par son mari marocain. Bien que la police ait ordonné à l’homme de rester à l’écart de son ex-épouse, il a continué de la maltraiter et a menacé de la tuer à un moment donné. La juge Christa Datz-Winter a refusé d’accorder le divorce. Elle a cité la sourate 4, verset 34 du Coran, qui justifie « le droit du mari d’appliquer un châtiment corporel à une femme désobéissante et d’établir la supériorité de son mari sur sa femme ». Le juge a finalement été retiré de l’affaire.
  • En décembre 2008, un tribunal de Düsseldorf a condamné un Turc à payer une dot de 30 000 € à son ancienne belle-fille, conformément à la charia.
  • En octobre 2010, un tribunal de Cologne a jugé qu’un Iranien devait verser à son ex-épouse une dot de 162 000 euros, soit l’équivalent actuel de 600 pièces d’or, conformément au contrat de mariage de la charia.
  • En décembre 2010, un tribunal de Munich a statué qu’une veuve allemande n’avait droit qu’à un quart des biens laissés par son défunt mari, né en Iran. Le tribunal a attribué les trois autres quarts de l’héritage aux parents de l’homme à Téhéran, conformément à la charia.
  • En novembre 2011, un tribunal de Siegburg a autorisé un couple iranien à divorcer deux fois, d’abord par un juge allemand conformément au droit allemand et ensuite par un clerc iranien conformément à la loi charia. Le directeur du tribunal du district de Siegburg, Birgit Niepmann, a déclaré que la cérémonie de la charia « était un service du tribunal ».
  • En juillet 2012, un tribunal de Hamm a ordonné à un Iranien de payer une dot à son ex-épouse dans le cadre d’un règlement de divorce. L’affaire concernait un couple qui s’était marié conformément à la charia en Iran, avait émigré en Allemagne puis s’était séparé. Dans le cadre de l’accord de mariage initial, le mari a promis de verser à sa femme une dot de 800 pièces d’or payables sur demande. Le tribunal a ordonné au mari de verser à la femme 213 000 € (225 000 $), la valeur actuelle équivalente des pièces.
  • En juin 2013, un tribunal de Hamm a statué que toute personne qui contracte le mariage conformément à la loi islamique dans un pays musulman et qui demande plus tard le divorce en Allemagne doit respecter les conditions initiales établies par la charia. La décision historique a effectivement légalisé la pratique de la « triple-talaq » de la charia, qui consiste à obtenir le divorce en récitant la phrase « je vous divorce » à trois reprises.
  • En juillet 2016, un tribunal de Hamm a ordonné à un Libanais de payer une dot à son ex-épouse dans le cadre d’un règlement de divorce. L’affaire concernait un couple qui s’était marié conformément à la charia au Liban, avait émigré en Allemagne et s’était séparé par la suite. Dans le cadre de l’accord de mariage initial, le mari a promis de verser à son épouse une dot de 15 000 dollars. Le tribunal allemand lui a ordonné de lui payer le montant équivalent en euros.

Dans une interview accordée à Spiegel Online , Mathias Rohe, expert en islam, a défendu l’existence de structures juridiques parallèles en Allemagne en tant qu ‘ »expression de la mondialisation ». Il a ajouté: « Nous appliquons la loi islamique au même titre que la loi française ».

 

Les musulmans sont très visibles à Berlin.

 

 

 

 

 

Le pacte mondial sur les migrations est approuvé à Marrakech

Plus de 150 pays ont adopté lundi ,le 10  décembre 2018,à Marrakech, au Maroc, le pacte mondial sur les migrations des Nations unies, en le défendant par de vibrants plaidoyers face aux critiques des nationalistes et des partisans de la fermeture des frontières.

« Nous ne devons pas succomber à la peur », a exhorté le secrétaire général de l’ONU, António Guterres, avant l’adoption formelle de ce texte destiné à renforcer la coopération internationale pour une « migration sûre, ordonnée et régulière ».

Comme plusieurs dirigeants présents à Marrakech, M. Guterres a aussi dénoncé les « nombreux mensonges » sur le pacte, qui a généré des tensions politiques dans plusieurs pays et fait éclater la coalition gouvernementale en Belgique, avec la démission des ministres issus du parti nationaliste flamand.

Le document doit encore faire l’objet d’un ultime vote de ratification, le 19 décembre à l’Assemblée générale des Nations unies à New York.

Prévue sur deux jours, la conférence intergouvermentale de Marrakech, qui coïncide avec le 70e anniversaire de la Déclaration universelle des droits de l’homme, devait être une étape purement formelle du processus onusien.

Mais, le sujet déchaînant les passions, une quinzaine de pays (Autriche, Australie, Bulgarie, Chili, Estonie, Hongrie, Italie, République tchèque, République dominicaine, Lettonie, Pologne, Slovaquie, Slovénie et Suisse) ont annoncé leur retrait ou le gel de leur décision après avoir approuvé le texte le 13 juillet à New York.

« Gouvernance mondiale »

Les États-Unis, qui s’étaient retirés de l’élaboration du texte en décembre 2017 en le jugeant contraire à la politique d’immigration du président Donald Trump, ont lancé vendredi dernier une nouvelle salve contre le pacte et contre toute forme de « gouvernance mondiale ».


NOUVELLE MISE EN GARDE DE DONALD TRUMP

Donald Trump s’appètant à monter à bord de Air Force One.

Avec le Pacte mondial sur les migrations, dit Pacte de Marrakech, les Nations unies veulent « faire progresser la gouvernance mondiale aux dépens du droit souverain des Etats à gérer leur système d’immigration », ont dénoncé vendredi les Etats-Unis dans un communiqué plein de bon sens et qui met les points sur les i.

Dans un long texte très argumenté, diffusé par la mission diplomatique américaine à l’ONU, les Etats-Unis rappellent qu’ils ont quitté les négociations sur ce Pacte en 2017 car ses objectifs sont « incompatibles avec la loi américaine, la politique et les intérêts du peuple américain ». Ils sont de ce fait, incompatibles avec les intérêts des peuples européens. C’est parce qu’ils savaient que les citoyens diraient non que les instances européennes et les Etats ne les ont pas consulté, et qu’ils vont voter au mépris de la démocratie, et du droit fondamental des peuples à disposer d’eux-mêmes.

 

« Nous ne pouvons soutenir un Pacte qui pourrait s’opposer aux meilleurs intérêts de nos citoyens! »

« Les décisions sur la sécurité des frontières, sur qui est admis à résider légalement ou à obtenir la citoyenneté, figurent parmi les plus importantes décisions souveraines qu’un pays peut faire », soulignent aussi les Etats-Unis dans ce communiqué. Il n’est pas question donc qu’elles fassent l’objet « de négociations, d’un examen, dans un cadre international », ajoute le texte.

Tout en reconnaissant « l’apport de nombreux immigrants à la construction de notre nation, nous ne pouvons soutenir un Pacte ou un processus qui impose ou qui a la potentialité d’imposer des directives internationales, des normes, des attentes ou des engagements qui pourraient s’opposer à notre capacité à prendre des décisions dans les meilleurs intérêts de notre nation et de nos citoyens », affirme avec sagesse le document.

Malgré cette opposition, M. Guterres s’est dit confiant quant à la suite du processus : « la réponse a été donnée par plus de 150 pays qui sont venus ici », a-t-il dit au cours d’un bref point de presse.
Washington anticipe aussi que les pays signataires du Pacte chercheront in fine à imposer un « droit coutumier international » dans le domaine des migrations, c’est à dire transformer ce pacte « non contraignant » en obligation gravée en dur dans le droit international. Le terme de « pacte » induit « des obligations légales », ajoutent les Etats-Unis dans leur communiqué. La formulation du texte « sans caractère contraignant » a également été considéré comme suspecte par les autres pays qui ont décidé de ne pas le signer.

En dépit des crispations sans précédent provoquées par le Pacte, plus de cent pays sont attendus lundi et mardi à Marrakech pour l’entériner formellement avant le vote d’une résolution de ratification à l’Assemblée générale de l’ONU prévue le 19 décembre à New York.

Ni la Suisse, ni Israël, ni l’Amérique du président Trump ne sont tombés dans ce piège immigrationniste.


Angela Merkel

Alors que les nationalistes européens se mobilisent contre le pacte à l’approche des élections européennes de mai 2019, la chancelière allemande, Angela Merkel, est venue le soutenir en personne, comme plusieurs premiers ministres européens : l’Espagnol Pedro Sanchez, le Portugais Antonio Costa, le Grec Alexis Tsipras, le Danois Lars Løkke Rasmussen — qui vient de resserrer la politique migratoire de son pays — et le Belge Charles Michel, qui a donc maintenu son déplacement au prix de l’unité de sa coalition.

Dans un discours très applaudi, Mme Merkel a plaidé avec passion pour le multilatéralisme en rappelant l’histoire de son pays, marqué par le nazisme.

« La réponse au nationalisme pur a été la fondation des Nations unies et l’engagement à trouver ensemble des réponses à nos problèmes communs », a-t-elle dit.

« Ce modèle de coopération est complexe, il comprend parfois des pas en avant et parfois des peaux de banane […] mais c’est le seul moyen pour ceux qui veulent un monde meilleur », a lancé le premier ministre belge. Sans regret face au prix politique à payer, Charles Michel s’est dit « debout, droit et fier des convictions portées par la Belgique ».

Non contraignant, le pacte recense des principes — défense des droits de la personne, des enfants, reconnaissance de la souveraineté nationale — et fait la liste de différentes options de coopération — échanges d’information et d’expertises, intégration des migrants, etc. Il prône l’interdiction des détentions arbitraires, n’autorisant les arrestations qu’en dernier recours.

Présents à Marrakech, les défenseurs des droits de la personne et les ONG l’ont défendu avec ardeur même si certains le trouvent insuffisant, notamment quant aux droits des migrants. Ses détracteurs, eux, le voient comme un encouragement à un flux migratoire incontrôlé.

« Accord historique »selon les chantres du Nouvel Ordre Mondial

« Entre le laxisme inacceptable et le tout sécuritaire insupportable, il y a une voie que nous ouvrons aujourd’hui », a de son côté estimé le roi du Maroc, Mohamed VI, dans un message aux participants. « L’Afrique sera un acteur central » du pacte, a-t-il assuré, rappelant que le Maroc pilote le dossier migratoire de l’Union africaine.

Le Mexique, le Guatemala, le Salvador et le Honduras ont pour leur part salué un « accord historique » et mis en avant leur nouveau « plan de développement » régional destiné à freiner l’émigration depuis l’Amérique centrale, alors que des milliers de migrants se massent à la frontière américaine, placée sous haute surveillance par le président Trump.

Le Mexique prévoit 35 milliards de dollars d’investissements pour ce plan, qui est « la première et la plus importante application du pacte », selon Marcelo Ebrard, le chef de la diplomatie mexicaine, qui s’exprimait au cours d’un point-presse avec ses trois homologues.

Il y a environ 258 millions de personnes en mobilité et de migrants dans le monde, soit 3,4 % de la population mondiale. Plus de 80 % des déplacements entre les pays se font de façon légale. Quant aux migrants clandestins, plus de 60 000 sont morts pendant leur périple depuis 2000, selon les chiffres de l’ONU.

EN CONCLUSION

La submersion migratoire organisée, délibérément… A l’horizon 2025 ils ont prévu l’arrivée de 160 millions de migrants en Europe, soit le tiers de la population actuelle de 520 millions. 160 millions en majorité islamisés…

7 millions pour la seule France ( à l’horizon 2025, ensuite ce sera forcément encore pire puisque les Africains se reproduisent comme des lapins) ; 7 millions soit 10% de la population actuelle, dans laquelle il y a déjà entre 15 et 20 millions de musulmans… 7 millions ,c’est presque la population totale du Québec dont Justin Trudeau s’emploi à nous  diviser et à nous diluer avec 40,000 immigrants par an. Soit un total, sans tenir compte de la reproduction de la propre population musulmane déjà établie en France  de 22 à 27 millions d’étrangers, jeunes pour la plupart… Dans 7 ans ils sont majoritaires en France.Ensuite ce sera le Québec et le reste du Canada!

 

Invasion des migrants en Amérique:Le maire de Tijuana déclare une crise humanitaire

Tijuana: le maire déclare une crise humanitaire

 

 

TIJUANA, Mexique – Le maire de Tijuana a déclaré une crise humanitaire et demandé l’aide des Nations unies en réponse aux quelque 5000 migrants arrivés dans sa ville depuis quelques jours.

Juan Manuel Gastelum affirme n’avoir reçu pratiquement aucune aide du gouvernement fédéral mexicain et prévient qu’il n’utilisera pas les ressources de sa ville pour affronter la situation.

Il a déclaré vendredi sur les ondes de la radio de Grupo Formula que Tijuana ne dispose pas des infrastructures nécessaires pour aider les migrants.

Son administration avait indiqué par voie de communiqué, jeudi, qu’elle demandait l’aide du Bureau de la coordination des affaires humanitaires de l’ONU.

M. Gastelum a prévenu qu’il ne dépensera pas l’argent des contribuables de Tijuana.

Les migrants qui se massent dans sa ville sont à la recherche d’une vie meilleure aux États-Unis….disent-ils!

Le 6 novembre 2018,des centaines de migrants s’emparaient de camions en route vers la frontière américaine.

SELON DIVERSES SOURCES 

Par coïncidence,plus de 5,000 honduriens se sont réveillé un bon matin,avec plus d’un mois à faire  avant les élections américaines de mi-mandat,et…,ils se sont donné collectivement le but d’atteindre la frontière américaine  tout en défiant le président Trump.

Il semble aussi que de « nombreux bienfaiteurs anonymes » leurs ont fourni nourriture,aide,assistance et même de l’hébergement durant leur croisade à travers le Mexique.

À travers tout cela,je crois deviner la main de George Soros,des Clinton …du Nouvel Ordre Mondial afin de nuire à Trump  dans ces élections.

Nous allons assister au début  officiel de la Seconde Révolution Américaine!Il s’avère qu’elle sera très sanglante!

 

Général Gomart : « l’invasion de l’Europe par les migrants est programmée, contrôlée et acceptée »

Le général Gomart, patron du renseignement militaire, qui a quitté l’armée en mai 2017, explique : « Cette invasion de l’Europe par les migrants est programmée, contrôlée et acceptée ».

Et « rien du trafic migratoire en Méditerranée n’est ignoré des autorités françaises, militaires et civiles ».

L’ex-général Christophe Gomart

Le général de corps d’armée (quatre étoiles) Christophe Gomart, patron de la DRM (Direction du renseignement militaire) était chargé de recueillir toutes les informations susceptibles d’aider la France à prendre ses décisions d’ordre militaire.

Il a expliqué, en ouverture du colloque GEOINT (Géospatial Intelligence), qui s’est tenu à la Société de Géographie à Paris, les 11 et 12 septembre 2018, comment le trafic migratoire au Moyen-Orient et en Méditerranée n’échappe au Renseignement français.

  • La Direction du Renseignement Militaire, qui est leader en France sur le renseignement d’origine imagerie (ROIM) fourni par les satellites-espions militaires, a inauguré le 19 janvier dernier un très discret centre d’expertise, le CRGI (Centre de Renseignement Géospatial Interarmées).
  • Pluridisciplinaire, il intègre une trentaine de spécialistes civils, militaires et réservistes de haut niveau dont la principale fonction consiste à fusionner le renseignement recueilli par la DRM à partir d’une multitude de capteurs (interceptions, satellites, sources ouvertes, cybersurveillance, etc.).
  • C’est ainsi que la DRM peut présenter au gouvernement français une situation précise de la présence des migrants subSahariens en Libye, ainsi que les identités exactes, les modes opératoires et les stratégies des « passeurs » de migrants.
  • Ces informations sont transmises par la France à l’état-major de la mission européenne en Méditerranée (Eunavfor Med) lancée en mai dernier.

Le général Gomart a déclaré, lors du colloque, que les militaires français avaient repéré les principaux points d’entrée des filières de trafic humain sur le territoire libyen, notamment à partir de la zone des trois frontières (Libye, Soudan, Égypte).

Point de rassemblement en Lybie.
  • Le renseignement français sait où les passeurs échangent leurs cargaisons humaines, où ils les hébergent.
  • Il les voit préparer les départs vers l’Europe depuis les plages de Tripolitaine et de Cyrénaïque, imposant aux migrants un processus immuable.

Avant tout départ en mer, les passeurs appellent le Centre de Coordination Italien des Secours Maritimes, et c’est ainsi que les bateaux européens vont recueillir directement en mer les masses migratoires, pour les transporter à bon port, de crainte qu’ils ne s’égarent sur les côtes africaines…

Le GEOINT est devenu « l’outil idéal pour valoriser des données massives géo localisées. Il joue le rôle d’un accélérateur de prises de décisions en donnant une vision claire et complète aux chefs militaires et aux décideurs politiques ».

L’invasion n’avance pas au hasard

Il n’y a donc aucun mystère, tout se sait.

  • On sait où les « passeurs » vont s’approvisionner en bateaux.
  • On sait que la Turquie délivre de faux passeports et que les autorités de réception ferment les yeux.
  • Le Renseignement français est capable de voir le trafic migratoire en Afrique jusque dans ses détails, et il pourrait le voir également en Europe.

Mais peut-être regarde-t-il, par ordre, dans d’autres directions !

SourceDreuz.info.