Hitler vit?: Un document de la CIA de 1955 affirmait que cela était très possible

 

Un document sur le site Web de la Central Intelligence Agency fait une affirmation explosive, bien que bizarre: Adolf Hitler a survécu à la Seconde Guerre mondiale.

Les Soviétiques, puis la Fédération de Russie, ont prétendu pendant des années avoir des restes d’Hitler, bien que les corps de lui et d’Eva Braun, son amante de longue date devenue épouse, aient été incinérés à la hâte. Pourtant, Moscou affirme avoir récupéré des restes partiels.

«CIMELODY-3 [un nom de code] a été contacté le 29 septembre 1955 par un ami de confiance qui a servi sous son commandement en Europe et qui réside actuellement à Maracaibo», a envoyé le chef du renseignement par intérim à Caracas, au Venezuela, à son supérieur quelques jours plus tard le 3 octobre 1955. «L’ami de CIMELODY-3 a déclaré que pendant la dernière partie de septembre 1955, Phillip CITROEN, ancien soldat SS allemand, lui a déclaré confidentiellement qu’Adolph HITLER est toujours en vie. dix ans se sont écoulés depuis la fin de la Seconde Guerre mondiale, les Alliés ne pouvaient plus poursuivre HITLER en tant que criminel de guerre.

De plus en plus ,avec le temps,la vérité sort de la nuit, et un jour on ne pourra voir la Lumière Éclatante de la Vérité sur la vraie vie du Führer après le 2 mai 1945…jusqu’à sa mort en Argentine!

«La source a pensé qu’il valait la peine d’être envoyé au QG, ce qui est remarquable», me dit une source du ministère de la Défense. «Même à l’époque, ces gars-là ont dû faire beaucoup pour séparer le bon grain de l’ivraie.»

De plus, il y a une prétendue photo. «Le 28 septembre 1955, l’ami de CIMELODY-3 obtint subrepticement la photographie CIMELODY-3 mentionnée. Le 29 septembre 1955, la photo a été montrée à CIMELODY-3 dans le but d’obtenir sa réaction à la véracité possible de cette histoire fantastique.

 

Dans le mémo déclassifié, la photo est jointe, montrant un «Adolf Schrittelmayor» à Tunga, Colombie en 1954, assis à côté d’un compagnon. «La personne de gauche serait CITROEN et la personne de droite est sans aucun doute la personne que CITROEN prétend être HITLER. Le verso de la photographie contenait les données suivantes: «Adolf Schrittelmayor, Tunga, Colombie, 1954». « 

Le personnage de la prétendue photographie ressemble clairement au dirigeant national-socialiste qui s’est suicidé le 30 avril 1945, dans son bunker à Berlin, pour éviter d’être capturé par l’Armée rouge. Les théories du complot ont fleuri pendant des années selon lesquelles de hauts fonctionnaires du haut commandement national-socialiste se sont enfuis en Amérique du Sud, y compris le plus célèbre de tous.

Ces théories, pour Hitler, se sont généralement concentrées sur l’Argentine, pas sur la Colombie, et il était largement présumé qu’il serait lourdement déguisé – ne gardant pas son prénom et ressemblant exactement à son apparence de renommée mondiale pendant le conflit le plus sanglant de l’histoire de l’humanité. Les services secrets des États-Unis ont publié des images en 1944 sur la façon dont il pourrait essayer de se déguiser.

Les Soviétiques, puis la Fédération de Russie ont prétendu pendant des années détenir des restes d’Hitler, bien que les corps de lui et d’Eva Braun aient été incinérés à la hâte. Pourtant, Moscou affirme avoir récupéré des restes partiels. Mais les Russes ont été embarrassés en 2009 lorsqu’un scientifique américain a été autorisé à examiner le crâne pendant une heure, affirmant que le crâne était définitivement une femme, et non un homme, et d’une personne âgée de 20 à 40 ans, et non de 56 ans, l’âge de la mort déclaré par Hitler. Le FSB russe a férocement nié ce compte de Nick Bellantoni de l’Université du Connecticut.

«L’histoire soviétique de leur gestion peu de temps [après les suicides] est pleine d’incohérences», soutient le responsable de la Défense. «Il semblerait que l’URSS et les États-Unis aient sérieusement considéré qu’il n’était pas mort. C’était le Far West quand Berlin est tombé. Certains hauts responsables nationaux-socialistes ont donné de faux noms et ont survécu en tant que soldats réguliers inaperçus dans les camps soviétiques, certains auraient habillé des cadavres d’apparence similaire dans leurs uniformes, certains ont utilisé les réseaux d’exfiltration préexistants pour sortir. … Il y a des photos d’Hitler à un âge avancé, publiées par les services de renseignement américains. Pourtant, lorsqu’il a été pressé, le fonctionnaire a estimé à 5% la chance qu’Hitler ait effectivement échappé en Amérique du Sud. «Bien que suspecte et hors de son caractère, l’histoire du KGB est beaucoup plus simple et plausible que lui vivant depuis des années en Amérique du Sud.»

Pourtant, au cours de la semaine où l’administration a traîné la déclassification de tous ses dossiers d’assassinat JFK pendant encore six mois, des documents comme cette curiosité historique feront encore couler beaucoup d’encre dans le futur.


EN COMPLÉMENTAIRE

La preuve anatomique de la mort d’Hitler n’a jamais été établie

Lors d’une conférence de presse le 9 juin 1945, le maréchal Joukov, chef de l’armée soviétique et parmi les premiers sur la scène berlinoise, a déclaré qu’ils n’avaient pas identifié le corps d’Hitler, et qu’il s’était peut-être échappé. Staline était d’accord.

 

Même le général Dwight D. Eisenhower, commandant suprême des forces alliées en Europe occidentale, a déclaré à un journal néerlandais le 7 octobre 1945 qu’il y avait «des raisons de croire» qu’Hitler était toujours en vie.

Les livres d’histoire standard nous disent qu’Hitler et sa compagne de longue date, Eva Braun, se sont suicidés entre 14 et 15 heures l’après-midi du 30 avril 1945. On pense qu’elle est morte en avalant du cyanure, et lui par un coup de feu auto-infligé à la tête.

Leurs corps ont été ramenés du bunker sous Berlin, où Hitler et Braun vivaient depuis janvier 1945, aspergés de 200 litres d’essence et brûlés au-delà de toute reconnaissance. Personne n’a vu leurs visages.

Comment est-ce possible? Comment la personne la plus recherchée du monde aurait-elle pu échapper à la découverte? Parce que le monde européen était en plein chaos. Adolf Eichmann et Josef Mengele, presque aussi reconnaissables qu’Hitler et presque aussi recherchés par les Alliés, se sont échappés sans être détectés en Argentine. Il en a été de même pour des milliers d’autres nationaux-socialistes.

Peut-être que l’histoire de la mort d’Hitler doit être réécrite, comme le montre le livre «Grey Wolf: The Escape of Adolf Hitler». Dans cette histoire, Hitler et Braun se sont échappés pour vivre une belle vie en Amérique du Sud. Hitler s’est rasé la moustache, a subi une petite chirurgie plastique et a vécu jusqu’au 13 février 1962, date à laquelle il est décédé paisiblement à 72 ans.

Comment cela a-t-il pu arriver? Grey Wolf explique:

Le samedi 28 avril 1945 – jour où Benito Mussolini fut capturé et exécuté par des partisans italiens – Hitler et Braun, dirigés par le chef de la Gestapo Heinrich Müller, quittèrent le bunker par un tunnel caché pour le Hohenzollerndamm, un large boulevard traversant le centre de Berlin, improvisé comme une piste. L’avion d’Hitler, Tante Judy — Tante Ju — un Junkers-52, l’attendait, piloté par le capitaine Peter Baumgart de la Luftwaffe.

Alors que Hitler et Braun s’enfuyaient, leurs sosies, employés comme remplaçants pour les défilés et autres événements auxquels Hitler ne voulait pas assister, ont été escortés dans le bunker. Les sosies se sont «mariés» le lendemain, dimanche 29. Müller a drogué le couple le lundi 30 avril et les a vêtus des vêtements d’Hitler et de Braun, a enfoncé une pilule de cyanure dans la gorge de la femme et a tiré sur l’homme à la tête à bout portant pour qu’il se soit auto-infligé. Les corps, les visages couverts, ont été transportés dans le jardin pour être brûlés immédiatement. Personne ne se doutait de rien.

Hitler et Braun se sont envolés pour l’Espagne, où le général Franco leur a fourni un nouvel avion pour les îles Canaries. Un sous-marin attendait, gracieuseté de l’amiral Karl Dönitz, cerveau des U-boot et commandant en chef de la marine allemande. Il a promis «une forteresse imprenable pour le Führer au paradis». Après 10 000 kilomètres qui ont duré deux mois, ils ont atterri à Necochea, une ville portuaire sur la côte argentine, à 500 kilomètres au sud-ouest de Buenos Aires.

Initialement, Hitler a vécu en Patagonie pour jeter les bases du Quatrième Reich, le fondement du Reich millénaire. Comme je l’ai détaillé dans mon roman historique, «Pas seulement un jeu», et mes mémoires, «Damn the Naysayers», Hitler est resté de nombreuses années dans sa maison, Estancia Inalco, à Ville la Angostura, en Argentine, une ville à quelques kilomètres de Bariloche , Argentine, foyer connu des nazis d’après-guerre.

Les historiens soutiendront pour toujours l’issue de l’après-guerre d’Hitler. 

Que les lecteurs croient ou non qu’Hitler a survécu à la Seconde Guerre mondiale, une vérité incontournable est que le national-socialisme l’a fait, avec ou sans son fondateur. 

Prochain article sur le sujet:Les relations entre le Führer et la population locale en Argentine…après le 2 mai 1945

 

 

 

 

 

 

 

 

Ré-écrire l’histoire:Adolph Hitler ,théoricien de la guerre du futur …et visionnaire du 11 septembre 2001

Extrait des notes d’un journaliste nazi prises un an avant la prise du pouvoir par le Fuhrer.Les personnes ayant assisté à l’entrevue avec le journaliste sont deux jeunes membres des S.A. de Bavière et le gauliter de Dantzig,Albert Forster,lui-même accompagné de Linsmayer, le jeune fuhrer  des S.A. de Dantzig,…sans oublier Rudolph Hess ,sans qui ces notes seraient probablement disparues à jamais.Ces jeunes personnes sont fascinées et en extase devant la présence imposante du « Guide du Peuple Allemand »!

Photo du Fuhrer Adolph Hitler  prise en 1932...durant la campagne électorale.Nous le voyons ici en compagnie d'un industriel allemand et du  baron de l'acier ,Fritz Thyssen qui servira d'intermédiaire entre des industriels américains et le Reich allemand (dont Howard Bush ,le grand-père de George Walter Bush).
Photo du Fuhrer Adolph Hitler prise en 1932…durant la campagne électorale.Nous le voyons ici en compagnie d’un industriel allemand et du baron de l’acier ,Fritz Thyssen (à droite)  qui servira d’intermédiaire entre des industriels américains et le Reich allemand (dont Howard Bush ,le grand-père de George Walter Bush).

La guerre du futur

 

La conversation se poursuivit encore sur certains détails de la future guerre des gaz et des microbes. Nous nous trouvions chez Hitler, dans la véranda exiguë de la villa Wachenfeld, sur l’0bersalzberg. Le chien loup d’Hitler, une bête magnifique, était couché aux pieds de son maître. Les pics des montagnes brillaient de l’autre côté de la vallée, couronnant une pente de riantes prairies. C’était par une féerique matinée d’août, baignée de la lumière un peu crue, annonciatrice de l’automne, qui se renouvelle constamment dans les montagnes bavaroises. Hitler fredonnait un air d’un opéra de Wagner. Il me parut distrait, versatile. Loquace au début, il sombra presque aussitôt dans un silence renfrogné. C’était, il faut le rappeler, l’époque où le national-socialisme approchait de sa crise la plus grave. Le parti se trouvait alors dans une situation presque désespérée, ce qui n’empêchait pas que dans chaque parole du Führer, on sentît l’accent de la conviction absolue d’arriver bientôt au pouvoir et de conduire le peuple allemand vers un destin nouveau. Nous parlions de la guerre, de son issue et du tour tragique qu’avaient pris en 1918 toutes les victoires allemandes.

 

Le Führer en compagnie du magnifique chien-loup que nous parlons dans cet article.
Le Führer en compagnie du magnifique chien-loup que nous parlons dans cet article.

– « Nous ne capitulerons jamais, s’écria Hitler. Nous succomberons peut-être, mais nous entraînerons un monde dans notre chute… » Il fredonna quelques mesures caractéristiques du Crépuscule des Dieux. Notre jeune ami des S.A. rompit le silence en suggérant que c’était la supériorité du matériel ennemi qui avait été la cause de l’issue. malheureuse de la guerre, ce à quoi Hitler répliqua : « Là décision d’une guerre ne dépend pas du matériel, .elle dépend toujours des hommes. « 

En 1932,les SA formaient l'ossature du parti nazi.Cette photo de 1932 nous montre le Führer en uniforme SA. C'était avant la nuit des Longs Couteaux.
En 1932,les SA formaient l’ossature du parti nazi.Cette photo de 1932 nous montre le Führer en uniforme SA.
C’était avant la nuit des Longs Couteaux.

– « Pourtant, les découvertes nouvelles et la supériorité des armements décident du sort de peuples entiers et de classes sociales. Et n’est-ce pas cela que vous entendiez, mon Führer, quand vous disiez, il y a un instant, que la guerre future revêtirait un aspect totalement différent de celui de la dernière guerre. Les nouvelles armes, les inventions techniques modifieront totalement la conduite de la guerre. Elles bouleverseront toute la stratégie d’autrefois. Aujourd’hui, l’Allemagne a la supériorité des armes et des découvertes techniques, « 

–  » Non, la stratégie ne varie pas, en tous cas pas du fait des découvertes techniques. C’est une erreur absolue. »

Hitler s’anima. « Dites-moi quelles modifications ont eu lieu depuis la bataille de Cannes, L’invention des armes à feu, au moyen âge, qu’a-t-elle donc changé aux, lois de la stratégie ? » Je reste sceptique en ce qui concerne la valeur des découvertes techniques. Quelle est l’invention qui, jusqu’à présent, a pu révolutionner les lois de la conduite de la guerre d’une manière durable ? Chaque invention est elle-même suivie presque immédiatement d’une autre, qui neutralise les effets de la précédente. Certes, la technique des armements progresse continuellement, et il est certain qu’elle innovera encore beaucoup avant d’avoir atteint la perfection absolue en matière de puissance destructive. Mais tout cela ne confère qu’une supériorité momentanée. ». Rudolph Hess, le secrétaire privé d’Hitler à cette époque, s’était tenu à l’écart au début de la conversation, Il intervint à ce moment :

– « Ces Messieurs ne semblent pas très bien comprendre la façon dont l’Allemagne, étant donné la faible valeur des nouveautés techniques pour la conduite de la guerre, pourrait échapper à l’inéluctable nécessité d’une nouvelle guerre de positions, qui durera plusieurs années

– « Et qui dit que je songe à faire une guerre comme celle qu’ont entreprise les insensés de 1914 ? Est-ce que tous nos efforts ne tendent pas, au contraire, à l’éviter ? La majorité des hommes manque décidément d’imagination. » Le visage d’Hitler se contracta en une grimace méprisante. « Ils sont tout juste capables de se représenter l’avenir d’après leur pauvre petite expérience personnelle. Ils n’entrevoient ni le nouveau, ni le surprenant. Les généraux ont le cerveau aussi stérile que les autres. Ils restent encroûtés dans leur technique professionnelle. C’est toujours ailleurs que dans les milieux de techniciens qu’on rencontre le génie créateur, Moi, j’ai le don de simplifier et de ramener les problèmes à leur donnée essentielle. On a voulu faire de la guerre une science hermétique et c’est pourquoi on l’a entourée d’un appareil solennel. Comme si la guerre n’était pas la chose la plus naturelle du monde. Elle est de tous les temps et de tous les lieux, elle est quotidienne, elle n’a pas de commencement, pas plus qu’il n’y a jamais de paix. La vie est une guerre, chaque lutte que nous menons est une guerre, la guerre c’est l’état naturel de l’homme. Retournons en arrière, remontons, si vous voulez, jusqu’à l’époque de l’homme non civilisé. Qu’est donc la guerre sinon ruse, tromperie, stratagèmes, attaque et surprise ? Les hommes n’ont commencé à s’entretuer qu’à partir du moment où ils ne pouvaient plus faire autrement. Les marchands, les brigands, les guerriers… A l’origine, tout cela ne faisait qu’un. Mais il existe une stratégie plus haute, une guerre employant des moyens d’un ordre plus spirituel(1). Que cherche-t-on à obtenir à la guerre, Forster ? La capitulation de l’adversaire. Dès l’instant où l’ennemi capitule, je sais que je puis l’anéantir complètement. Pourquoi, dans ces conditions, chercherais-je à le démoraliser militairement, si je puis obtenir un résultat identique par des moyens moins onéreux et plus sûrs ? « 

…Hitler nous exposa ensuite les grandes lignes de sa guerre à lui, telle qu’il devait maintes fois la mettre en pratique par là suite. Mais à cette époque, ce n’était encore qu’une vision insolite et manquait quelque peu de clarté. Cependant on sentait qu’il s’était longuement occupé de ces questions et à fond, qu’il avait la conviction d’être un nouveau grand stratège, une sorte de futur « Seigneur de la Guerre », dans un sens jusqu’alors inconnu.

 

Rudolph Hess que nous parlons dans cet article.
Rudolph Hess que nous parlons dans cet article.

– « Si je fais la guerre, Forster, j’introduirai peut être en pleine paix, des troupes dans Paris. Elles porteront des uniformes français. Elles marcheront, au grand jour, dans les rues où personne n’aura même l’idée de les arrêter. J’ai tout prévu dans le moindre détail. Elles marcheront sur le siège de l’État-major, elles occuperont les Ministères, le Parlement. En quelques minutes, la France, la Pologne, l’Autriche, la Tchécoslovaquie seront privées de leurs dirigeants. Les armées décapitées de leurs états-majors, tous les gouvernants liquidés, il régnera une confusion inouïe. Mais je serais depuis longtemps en relation avec des hommes qui formeront un nouveau gouvernement, un gouvernement à ma convenance. De tels hommes, nous en trouverons partout. Nous n’aurons même pas besoin de les acheter. Ils viendront nous trouver d’eux-mêmes, poussés par l’ambition, par l’aveuglement, par la discorde partisane et par l’orgueil. Et la paix elle sera signée avant même que les hostilités aient éclaté. Je vous en donne l’assurance, Messieurs, c’est toujours l’impossible qui réussit et c’est le plus invraisemblable qui est le plus certain. Nous trouverons assez de volontaires, assez d’hommes comme nos S.A., silencieux et prêts à tous les sacrifices. Nous leur ferons franchir la frontière dès le temps de paix, par petits groupes, et tout .le monde s’imaginera que ce seront de pacifiques voyageurs. Aujourd’hui, Messieurs, vous ne me croyez pas, pourtant je ferai comme je vous le dis, je les introduirai section par section. Peut-être atterrirons-nous sur les champs d’aviation car nous serons en mesure, à ce moment, de transporter par air, non seulement des hommes, mais encore des armes, et il n’y aura pas de ligne Maginot pour nous arrêter. Notre stratégie, Forster, consistera à détruire l’ennemi par l’intérieur, à l’obliger à se vaincre lui même(2).

 

– « Qu’en dites-vous ? Me demanda Forster à mi voix. Il y a quelques semaines, il a développé devant les généraux qui commandent en Prusse Orientale, un plan entièrement nouveau pour la défense de cette région contre une attaque éventuelle des Polonais. Et les généraux l’ont adopté. Hitler est un génie, c’est un spécialiste universel… »

 

 

(…plus loin dans la conversation:)

 

Ce fut Hitler qui renoua l’entretien : « Bien entendu, nous dominerons en matière d’aviation. L’arme aérienne offre d’innombrables possibilités. Notre supériorité sur tous les autres sera écrasante. Dans ce domaine, nous n’avons qu’un seul concurrent sérieux à redouter : les Anglais. Les Slaves eux, ne comprendront jamais rien à la guerre aérienne, c’est une arme virile, une forme germanique du combat. Je ferai construire la plus grande flotte aérienne du monde. Nous aurons les pilotes les plus intrépides. Évidemment, nous aurons aussi une forte armée de terre. »

– « Établirez-vous le service militaire obligatoire ? » demanda Linsmayer.

–  » Certainement. J’établirai même l’obligation généralisée du travail auprès de laquelle la Hilfsdienstpflicht de Hindenburg n’existe pas. Il nous faut des armées, non seulement des formations spécialisées de haute qualité, mais encore des armées de masses. Mais nous ne les ferons pas intervenir comme en 1914. Ce que la préparation d’artillerie représentait à cette époque pour l’attaque d’infanterie, dans la guerre des tranchées, sera remplacé dans l’avenir par la dislocation psychologique de l’adversaire au moyen de la propagande révolutionnaire, et ce, avant même que les armées entrent en jeu. Il est indispensable que la nation ennemie soit démoralisée, qu’elle soit préparée à capituler, qu’elle soit moralement contrainte à la passivité avant même que l’on songe à une action militaire. Obtiendrons-nous la défaite morale de l’adversaire avant la guerre ? Voilà la question qui m’intéresse. Celui qui a fait la guerre au front ne peut vouloir de nouveaux sacrifices sanglants, s’il est possible de les éviter. Tous les moyens permettant d’épargner le précieux sang allemand, seront bons. Nous n’hésiterons pas à fomenter des révolutions chez l’ennemi. Rappelez-vous Sir Roger Casement et les Irlandais, pendant la guerre mondiale. Partout, en plein pays ennemi, nous aurons des amis qui nous aideront, nous saurons nous les procurer. La confusion des sentiments, les conflits moraux, l’indécision, la panique, voilà quelles seront nos armes. » Hitler se tourna de mon côté: « Vous connaissez, n’est-ce pas, l’histoire des révolutions ? C’est toujours la même chose. Les classes dirigeantes capitulent. Pourquoi ? « Par défaitisme, parce qu’elles n’ont plus aucune volonté. Les enseignements de la révolution, voilà tout le secret de la stratégie nouvelle. Je l’ai appris, des bolcheviks et n’ai pas honte de le dire, car c’est toujours de ses ennemis qu’on apprend le plus. Connaissez-vous la théorie du coup d’État ? Étudiez-la, et vous saurez alors ce que vous aurez à faire. »

– « Jamais je ne commencerai une guerre sans avoir auparavant la certitude que mon adversaire démoralisé succombera sous le premier choc. » Le regard d’Hitler devint fixe, sa voix s’enfla. « Quand l’ennemi est démoralisé à l’intérieur, quand il est au bord de la révolution, quand les troubles sociaux menacent d’éclater, alors, le moment est arrivé, et un seul coup doit l’anéantir. Des attaques aériennes massives, des coups. de main, des actes de terrorisme, le sabotage, des attentats perpétrés à l’intérieur, l’assassinat des dirigeants, des attaques écrasantes sur tous les points faibles de la défense adverse, assénées comme des coups de marteau, simultanément, sans se soucier des réserves ni des pertes, telle est la guerre future. Un martelage gigantesque et qui broie tout, je ne vois que cela et je ne pense pas à la suite… Je ne jouerai pas au soldat et je ne m’en laisserai pas imposer par les stratèges. La guerre, c’est moi qui la mènerai. Le moment favorable à l’attaque, c’est moi qui le déterminerai. Ce moment, le plus favorable de tous, je l’attendrai, avec une détermination de fer et je ne le laisserai pas échapper. Je mettrai toute mon énergie à le provoquer. Ceci sera ma tâche. Et lorsque j’aurai réussi, j’aurai le droit d’envoyer la jeunesse à la mort, car, alors j’aurai épargné autant de vies humaines qu’il aura été possible de le faire. Messieurs, nous ne nous amuserons pas à jouer aux héros. Ce que nous voulons, c’est anéantir l’adversaire. Les généraux, malgré les enseignements de la guerre passée, veulent continuer à se comporter comme des chevaliers d’autrefois. Ils se croient obligés de conduire les guerres comme des tournois du moyen âge. Je n’ai que faire de chevaliers.

Ce qu’il me faut, ce sont des révolutions. J’ai fait, de la doctrine de la révolution, la base de ma politique. ».

Hitler s’arrêta quelques instants : « Je ne reculerai devant rien. Il n’y a pas de droit international, il n’y a pas de traité qui m’empêchera de profiter d’un avantage lorsqu’il se présentera. La prochaine guerre sera terriblement sanglante et cruelle. Mais la guerre la plus cruelle, celle qui ne fait aucune différence entre les militaires et les civils, sera aussi la guerre la plus douce, parce qu’elle sera la plus courte. En même temps que nous interviendrons avec toutes nos armes, nous démoraliserons l’adversaire par la guerre des nerfs. Nous provoquerons une révolution en France. J’en suis aussi sûr. que je suis sûr que cette-fois-ci, il n’en éclatera pas en Allemagne, Vous pouvez m’en croire. J’entrerai chez les Français en libérateur. Nous nous présenterons au petit bourgeois français comme les champions d’un ordre social équitable et d’une paix éternelle. Ces gens-là ne veulent plus rien savoir de la guerre et de la grandeur. Mais moi, je veux la guerre, et tous les moyens me seront bons. Évitez surtout de provoquer l’ennemi! ce n’est pas là ma devise. Ce que je veux, c’est l’anéantir par tous les moyens. La guerre sera ce que je veux qu’elle soit. La guerre, c’est moi ! « 

 

(notes du rédacteur nazi sur le magnétisme du Fuhrer:)

 

Le magnétisme personnel est un phénomène tout à fait particulier. J’ai éprouvé sur moi et sur d’autres que s’y laisse prendre uniquement celui qui le veut bien. J’ai remarqué qu’Hitler produisait la plus forte impression sur des personnes facilement influençables et chez qui l’élément féminin domine, ou encore sur des gens portés au byzantinisme et au culte de l’individu, soit par suite de leur éducation, soit à cause de leur position sociale.

 

 

 

Le 27 février 1933, à Berlin, le Reichstag prend feu.

 

Le 27 février 1933, à Berlin, le Reichstag prend feu. Dans l'immeuble du Parlement allemand, la police se saisit d'un Hollandais communiste à moitié fou, Marinus van der Lubbe. Il sera considéré comme responsable de l'incendie et exécuté.Georges W. Bush s'inspirera de l'événement en désignant Osama Ben Laden ,comme bouc émissaire et les musulmans,comme ennemis de la démocratie!
Le 27 février 1933, à Berlin, le Reichstag prend feu. Dans l’immeuble du Parlement allemand, la police se saisit d’un Hollandais communiste à moitié fou, Marinus van der Lubbe. Il sera considéré comme responsable de l’incendie et exécuté.Georges W. Bush s’inspirera de l’événement en désignant Osama Ben Laden ,comme bouc émissaire et les musulmans,comme ennemis de la démocratie!

Lorsqu’il accepte le poste de chancelier du Reich, le 30 janvier 1933, Adolf Hitler exige que de nouvelles élections législatives soient organisées, afin de renforcer le poids du parti nazi : celui-ci ne dispose que de deux ministres au sein du gouvernement2,N 1 et le résultat desélections législatives de novembre 1932 a confirmé la chute du vote en faveur des nazis par rapport au deuxième tour de l’élection présidentielle du 10 avril 1932 ou aux élections législatives de juillet 1932. Le 1er février, le président du Reich, Paul von Hindenburg signe le décret de dissolution des chambres, qui fixe la date des élections au 5 mars.

La campagne électorale se déroule dans un climat d’intimidation. Utilisant les nouveaux pouvoirs dont il dispose en tant que chancelier, Hitler fait cesser la parution de journaux qui critiquent le gouvernement et les rassemblements publics sont prohibés dans plusieurs localités par les autorités ; les membres de la SA perturbent les réunions des adversaires politiques des nazis et passent à tabac nombre d’opposants. Cette « brutalisation » de la campagne électorale est favorisée par le décret présidentiel du 4 février 1933 pour la protection du peuple allemand qui donne pleins pouvoirs au gouvernement pour interdire réunions et publications, et qui est largement utilisé par Hitler contre les communistes, les socialistes et les membres du Zentrum ; elle est également facilitée par la décision d’Hermann Göring, en tant que ministre de l’Intérieur de Prusse, de recruter 50 000 membres de la SA, de la SS et du Stahlhem comme auxiliaires de police, ce qui leur assure une totale impunité.

Disque 78 tours sur lequel était enregistré un des meilleurs discours  du Führer durant la campagne électorale de 1932. Cet enregistrement permit énormément au Parti nazi de se populariser en Allemagne.
Disque 78 tours sur lequel était enregistré un des meilleurs discours du Führer durant la campagne électorale de 1932.
Cet enregistrement permit énormément au Parti nazi de se populariser en Allemagne.

Une intense campagne de propagande, soutenue par un apport de fonds considérable venant des milieux industriels, est orchestrée par Joseph Goebbels. Un de ses points culminants est le discours prononcé par Hitler au palais des sports de Berlin, le 10 février, devant une foule immense et enthousiaste, discours rediffusé à travers toute l’Allemagne par la radio.

Le 27 février 1933, vers 21h15, un étudiant en théologie passant devant le Reichstag entend le bruit d’une vitre brisée. Il alerte le gardien du parlement qui aperçoit une silhouette courant à l’intérieur du bâtiment en y boutant le feu. Les pompiers et la police arrivent rapidement sur les lieux où ils constatent de nombreux départs de feu. « Dans la salle Bismarck, située au nord de l’édifice, un homme jaillit soudain, torse nu, ruisselant de sueur, l’air égaré, avec un regard halluciné. ».

Marinius van der Lubbe:l'accusé principal...juif,socialiste et homosexuel en plus!Que demander de plus?
Marinius van der Lubbe:l’accusé principal…juif,socialiste et homosexuel en plus!Que demander de plus?

« Les nazis utilisèrent pour la première fois l’homophobie populaire lors de l’incendie du Reichstag en accusant van der Lubbe, un fragile jeune homme manipulable, d’être un sympathisant communiste mais aussi, on l’a moins lu à l’heure de la récente ouverture du Reichstag, d’être homosexuel. Lequel Reichstag, s’il n’eut été incendié, aurait, comme l’indiquait son calendrier parlementaire, eu à débattre quelques mois plus tard de l’abrogation de cette loi homophobe, le paragraphe 175, héritée du code prussien, elle qui avait été effacée au milieu du xixe siècle par le code Napoléon qui avait aboli toute condamnation pénale pour sodomie. Cette double accusation de la chancellerie nazie – imaginez : un incendiaire du parlement à la fois communiste et homosexuel – permit, par une sorte de « tétanisation » de l’indignation populaire ainsi interloquée, rumeurs comprises, de faciliter la suspension des libertés publiques, des syndicats, des associations et des partis politiques. »

Erich Muhsam,arrêté quelques heures après l'incendie du Reichstag!Un accusé parfait pour un procès!
Erich Muhsam,arrêté quelques heures après l’incendie du Reichstag!Un accusé parfait pour un procès!

 

L’affaire est enclenchée et la chasse aux juifs va commencer!

 

Plus de 68 ans plus tard,un certain Georges W. Bush s’en souviendra,mais cette fois-çi on chassera le musulman avec l’aide des sionistes!

 

L’incendie du Reichstag sera médiatisée fortement par les journeaux…et les procès!La propagande bien orchestrée contre les juifs  bolchéviques aura un grand succès,tout comme celle de Bush ,contre les musulmans!

Le 11 septembre 2001, pour la première fois, un attentat majeur est montré en direct à la télévision. Quand l’avion s’encastre dans la deuxième tour, il est même filmé sous six angles différents. Dans les quelques heures qui suivent les attaques terroristes, un nombre astronomique d’images tragiques et spectaculaires ont été produites, par des amateurs comme par des professionnels, marquant un tournant dans l’histoire de la production et de la diffusion des images de propagande.

Les gens,tels un troupeau de moutons ,vont arrêter de réfléchir et subir le stress de l’horreur en direct!Personne,à ce moment-là,ne va se poser de questions sur le pourquoi et le comment de l’écrasement des 2 tours et du fameux WTC-7!

On ne retrouvera aucun morceau de cadavres,ni d’avion en Pennsylvanie,sur le lieu du crash du vol 93,mais personne ne se posera de questions!Les Tours Nord et Sud du World Trade Center sont les premières tours érigées en acier structurel à s’écrouler après quelques minutes d’incendie,…mais personne ne se pose de question,à ce moment-là!

Conséquences de l’incendie du Reichstag

Les lois de Nuremberg.
Les lois de Nuremberg.

Le 15 septembre 1935, la loi civile du Reich et la loi « pour la protection du sang et de l’honneur allemand » interdisent les unions et les relations sexuelles entre Juifs et « non-Juifs », « génératrices de souillures ». 

Les Juifs sont privés de leur citoyenneté et deviennent des sujets de statut inférieur, auxquels il est même interdit de « pavoiser aux couleurs nationales allemandes. » Parallèlement, le décret d’application du 14 novembre 1935 définit qui est juif : « est juif celui qui est issu d’au moins trois grands-parents juifs ; est juif celui qui appartient à la communauté religieuse juive. » Le critère racial et l’appartenance religieuse sont donc l’un et l’autre pris en compte. Des ordonnances d’application, des dispositions relatives au cas desMischlinge (métis) ou demi-Juifs, suivent quelques semaines plus tard. Ces lois déclenchent une série de dénonciations(3) : dans la seule ville de Hambourg, environ 5 000 personnes sont arrêtées puis interrogées tandis que 1 150 procédures d’instruction sont ouvertes. Après avoir purgé une peine pour infraction à la loi sur la protection du sang, ces personnes sont généralement internées dans des camps de concentration.

 

 

 

Pensez aux conséquences du Complot du 11 septembre 2001!Imaginez le futur de nos enfants vivant dans pareils mensonges!

Nous sommes devenus La Planète des Singes!

Étrange,mais lisez bien  ce qui a été écrit là-dessus…et la date!

 

« Quel était à Berlin, le 27 février au soir, l’homme qui détenait les clés du Reichstag?

Quel était l’homme qui en commandait la police?

Quel était l’homme qui pouvait en activer ou en arrêter la surveillance?

Quel était l’homme qui détenait la clé du souterrain par lequel on semble avoir pénétré?

Cet homme, c’était à la fois le ministre de l’Intérieur de Prusse et le président du Reichstag : c’était Hermann Göring »

— M. de Moro-Giafferi, Londres, 11 septembre 1933.

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(1)Retenez bien ce mot:…spirituel,car il a toute sa signification ,ici!

(2)Intéressante cette phrase;diviser de l’intérieur un pays,pour mieux l’anéantir,avec de dévoués collaborateurs…de l’intérieur!

(3) Récemment le Canada en 2011,par la bouche de son ministre de l’immigration,annonçait qu’il va encourager les dénonciations pour arrêter ou freiner l’immigration illégale!