Article et vidéo:Ré-écrire l’histoire de la recherche sur l’Atlantide

Voici un dossier  concernant l’une des plus grandes légendes qui nous a jamais été contée : L’Atlantide.

Platon a écrit il y a plus de deux mille ans au sujet d’une civilisation préhistorique atlante qui existait plus de neuf mille ans avant son époque, ou il y a plus de onze mille ans. Platon décrit une civilisation au niveau de la technologie du Bronze, centrée sur ce qui était une grande «île de l’Atlantique» située à l’extérieur de la Méditerranée dans l’océan Atlantique.

Platon a écrit deux ouvrages ou « dialogues » appelés le Timeo et les Critias autour de 360 ​​avant notre ère et ils sont les seuls objets connus qui décrivent en détail la civilisation d’Atlantis. Ils décrivent les voyages en Egypte vers 570 avant J.-C. de l’homme d’Etat athénien Solon (638-558 avant notre ère). Alors que Solon était en Egypte, certains prêtres du temple égyptiens de haut rang lui ont parlé de l’empire de l’Atlantide et de sa guerre contre les nations de la Méditerranée orientale, y compris les Athènes préhistoriques. La guerre méditerranéenne a eu lieu 9 000 ans avant l’heure de Solon. Une fois la guerre terminée, l’île de l’Atlantique a coulé et il y avait destructions d’Athènes préhistoriques. Platon a basé ses dialogues de l’Atlantide sur la traduction de Solon de l’histoire égyptienne.


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Qu’une civilisation grandiose ait pu exister et disparaître subitement, voilà qui a de quoi fasciner. Un nom, l’Atlantide, résume cette histoire ou ce rêve. Le mot évoque une île mystérieuse, baignée par les rayons d’un chaud soleil, et un peuple, fondateur d’une culture brillante et éphémère.
Au IVe siècle avant notre ère, le philosophe grec Platon est le premier à mentionner l’existence de l’Atlantide. Par la suite, la cité fabuleuse inspire divagations et utopies.

Nous allons développer le sujet sur la légende. Les causes climatiques probables de sa disparition. Les découvertes qui ont été faites depuis quelques temps.

C’était le jeudi 20 septembre 2001 – 15h38 heure de Paris PARIS (AFP) Un géologue français vient de localiser l’île engloutie de l’Atlantide à l’ouest du détroit de Gibraltar, à l’endroit précis où Platon, au IVe siècle avant notre ère l’avait située. Reportons nous 11500 ans en arrière… Aujourd’hui une autre découverte… ?

Des quatre coins du globe, l’Atlantide, un continent perdu il y a 11.500 ans n’a eu de cesse d’être recherché. Mille et une théories, souvent délirantes, ont exposé le lieu de sa cachette. De nouvelles prospections, effectuées par une équipe française, la situent au large des côtes marocaines. Des fouilles sont imminentes.

 

Voici une entrevue récente:

• Maroc Hebdo International: Des fouilles archéologiques sous marines pourraient-elles apporter la preuve que les îles du Cap Spartel étaient bel et bien occupées, il y a plus de 10 000 ans?
– Jacques Collina-Girard: C’est possible mais difficile sous cent mètres d’eau ! On ne sait pas faire des fouilles à de telles profondeurs mais on pourrait peut-être repérer des grottes immergées susceptibles de contenir encore des dépôts continentaux. Nous devrions d’ailleurs mener une expédition sous marine dans ce secteur, cet été, mais même si l’on ne trouvait rien de spectaculaire, cela ne changerait rien au fait que, situées à 8 Km de côtes habitées, les îles étaient certainement peuplées. Il n’y a même pas besoin d’y aller voir pour avoir cette certitude. Il ne faut pas non plus éliminer la possibilité de trouver ce que l’on ne cherche pas. Les vraies découvertes viennent par la tangente…
• MHI: N’êtes-vous pas en train d’attribuer des qualités surhumaines à des hommes préhistoriques lorsque vous dites qu’ils auraient conservé depuis 9 000 ans avant notre ère l’histoire de l’engloutissement des îles du détroit de Gibraltar? Même si, comme vous le rappelez, cette histoire a pu être écrite en Égypte vers – 3 000 (apparition de l’écriture), le temps écoulé demeure extrêmement long.

– Jacques Collina-Girard: L’homme d’il y a 30 000 ans était en tout point identique à nous sur le plan des capacités intellectuelles. On connaît en outre de nombreux exemples d’histoires qui ont traversé des millénaires par la parole uniquement. En Afrique, l’océanographe André Capart rapporte que lors d’une de ses campagnes sur le lac Tanganyika un pêcheur lui avait confié une légende locale qui racontait qu’il n’y avait pas un mais trois lacs. André Capart eut par la suite la surprise de vérifier cette tradition. Ces études ont prouvé que le lac Tanganyika comportait trois cuvettes bien distinctes reliées entre elles par des détroits aujourd’hui noyés. Le souvenir des 3 lacs avait traversé sans faiblir plus de trois millénaires !
La dernière histoire dont j’ai eu connaissance ramène à des événements qui ont eu lieu au nord du Canada relatés dans les mythes des indiens Gitksans. Ceux-ci faisaient état de glissements de terrain, d’éruptions volcaniques, d’assèchements de lacs, qui ont pu être vérifiés et datés par des études géologiques entre – 4 000 et -8 000 avant notre ère.
Propos recuillis par F. Lorel
* Jacques Collina-Girard est Maîtres de Conférences à l’Université d’Aix Marseille 1, il travaille au Laboratoire de la Maison Méditerranéenne des sciences de l’Homme associé au Centre National de la Recherche scientifique (CNRS)

Il y a 11500 a débuté une nouvelle glaciation suite à une fonte de très grands glaciers et le déversement de très grands lacs d’eau douce du Canada et du lac qui était la mer Baltique. Mais les océans ont probablement connu une grande remontée de plus de 130 m noyant tous les rivages, il y a 10000 ans.

Cette épreuve climatique ne fut pas sans conséquence sur la vie de ces hommes de l’âge de pierre. Mais qui peut dire que ces hommes vivaient réellement à « l’âge de pierre ».

Des preuves tentent à prouver que d’autres légendes vont dans le sens de civilisations disparues. Mais regardons plutôt les faits. Quelles ont été les autres découvertes ?

La recherche de l’Atlantide a donné ses fruits. D’année en année, on trouve de plus en plus de traces et preuves de l’existence même de cités englouties. “Une firme canadienne, Advanced Digital Communications, est en train d’explorer le fond de l’océan pour le compte du gouvernement cubain et ils ont découvert une région bien étrange. Une zone d’environ 20 kilomètres carrés située à quatre kilomètres à l’ouest de la pointe occidentale de Cuba où il y aurait des blocs bien équarris et des formes pyramidales. L’ensemble est trop régulier pour que ce soit un phénomène naturel, nous assure-t-on; ce serait probablement une cité engloutie sous la mer, à environ 700 mètres de profondeur.” On vient également de trouver des ruines d’une cité engloutie près de Chypre (on la nomme Atlantis comme toutes ces cités perdues “ce qui nous avons ici est une ville entière, une civilisation antique, les emplacements mégalithiques a emballé complètement des objets façonnés. Nous pouvons compter trouver les bâtiments, les ponts, les routes, les canaux et les temples colossaux de pierre. Sans la lumière du soleil, la chaleur, l’oxygène ou le vent pour dégrader ses restes”

“Récemment une découverte incroyable a été faite par l’intermédiaire d’un satellite de ce qui semble être une énorme plateforme triangulaire sous l’eau au loin des îles de la baie des Bahamas.” Il y a 1 an, n’a t-on pas découvert une pyramide engloutie à Okinawa près du Japon, au large de l’île Japonaise de Yonaguni il y a des vestiges cyclopéens colossaux datés au moins de – 12.000 ans par les professeurs d’une université japonaise qui ne doutent pas qu’il s’agisse de constructions humaines. En septembre 1968, l’équipe du professeur MANSON VALENTINE a également trouvé au large de Bimini des pavés au fond de la mer avec des angles plus qu’étrange. N’a t’on pas trouvé le Lundi 4 Avril 1977: Agence-France-Presse relayée par France-Antilles 11è année n°2132 Découverte d’une pyramide immergée dans le fameux Triangle des Bermudes

On parle des açores… mais également de l’Afrique. “En juillet 1999, le professeur Martin Claussen et ses collègues de l’Institut climatologique de Potsdam (Allemagne) ont publié des données tendant à prouver que l’actuel désert du Sahara a été créé il y a 5 500 ans seulement: un basculement du climat a transformé de vastes étendues de verts pâturages en terres arides et détruit d’antiques civilisations.” Tout se recoupe, et le point commun de tout ceci : l’Epoque. Tous ces vestiges passés datent de -12000 ans. Il est à peu près certain que d’autres découvertes vont avoir lieu. L’Hommo Sapiens Sapiens qui existe depuis plus de 150000 ans nous a montré qu’il pouvait créer une civilisation en 6000 ans ! La notre ! Mais avant ? et encore ?

Le Pléistocène est l’époque géochronologique qui s’étend du début du Quaternaire, il y a environ 1,6 millions d’années à environ il y a 10.000 ans. Cette époque est caractérisée par une succession de changements climatiques brusques et de forte amplitude qui engendrèrent une alternance de périodes glaciaires et interglaciaires. La dernière glaciation du Pléistocène, celle du Würm (Eurasie) ou du Wisconsinien (Amérique du nord) a duré d’il y a 100 000 ans à il y a 10 000 ans, et atteint son extension maximale il y a environ 18 000 ans, époque à laquelle de vastes régions des latitudes hautes et moyennes étaient recouvertes de glace. À l’inverse, les périodes interglaciaires ont été l’occasion d’épisodes de transgression, c’est-à-dire d’invasion des continents par l’eau de mer. La fonte des glaces entraîna une élévation du niveau de la mer d’une centaine de mètres ou plus et donc l’inondation de vastes zones continentales…

 

Des calottes glaciaires recouvraient le nord de l’Europe, l’ouest de la Sibérie et une large part de l’Amérique du nord. Le climat était plus sec et plus froid qu’actuellement dans les régions situées au-dessous de la limite glaciaire mais pouvait cependant assurer des conditions de vie suffisantes à une population assez importante de grands herbivores (mammouths) , de grands carnivores (ours), et même d’hommes. A de plus basses latitudes les conditions climatiques étaient plus humides que maintenant et favorables à l’élevage et à l’agriculture. Le Sahara, en particulier, était un vaste pâturage, ses montagnes étaient couvertes par la forêt, de grands lacs remplissaient ses dépressions et de grandes rivières y coulaient. En Asie centrale et occidentale le climat était également favorable en raison de la présence d’une très grande mer intérieure englobant la Mer Noire, la Mer Caspienne et probablement la Mer d’Aral. Enfin, la région Caraïbe, l’Afrique centrale et les régions bordant le Pacifique étaient recouvertes d’une épaisse végétation. On peut remarquer que durant la glaciation, l’étendue de terrain rendue inhospitalière par la couverture glaciaire était plus que compensée par la disponibilité de bons pâturages et de bonnes terres cultivables dans des régions aujourd’hui désertiques ou couvertes par la jungle.

Si l’on retient, en parfait accord avec le récit platonicien, comme l’hypothèse la plus vraisemblable la localisation de l’Atlantide dans l’aire des Caraïbes on doit se demander à l’aide de quels vaisseaux les Atlantes d’il y a cent vingt siècles pouvaient naviguer aussi aisément dans l’Atlantique nord. Pour les trajets qui nous intéressent (Caraïbes – Gibraltar) nous disposons d’une aide remarquable: le Gulf Stream! “En ce temps-là”, pendant la dernière glaciation, l’océan Atlantique était couvert de glaces au nord d’une ligne Nouvelle-Angleterre/Irlande et le Gulf Stream avait une direction différente et passait

Mais aujourd’hui qu’attend nous découvert ?

Les îles d’une des baies des Bahamas se composent d’approximativement 12 milles carrés de superficie au nord de l’île d’Andros. Récemment une découverte incroyable a été faite par l’intermédiaire d’un satellite de ce qui semble être une énorme plateforme triangulaire sous l’eau au loin des îles de la baie. Ce dispositif triangulairesemble avoir été artificiellement créé, en raison de de sa forme artificielle. Est-ce que ceci pourrait être la preuve d’une civilisation perdue ? On estime que le dispositif triangulaire sur la gauche sur la photo de 24 milles de long et plus de 13 milles de long pour le coté le plus court. Pour cette plateforme triangulaire…très au sud des zones qu’il parcourt actuellement. Diverses recherches paléoclimatiques et océanographiques ont montré que le système de courants de l’Atlantique nord bouclait au niveau du détroit de Gibraltar permettant ainsi un aller-retour entre les colonnes d’Hercule et l’aire Caraïbo-Atlante par simple dérive.

Mais aujourd’hui qu’avons nous découvert ?

Les îles d’une des baies des Bahamas se composent d’approximativement de 12 milles carrés de superficie au nord de l’île d’Andros. Récemment,en 2004, une découverte incroyable a été faite par l’intermédiaire d’un satellite de ce qui semble être une énorme plateforme triangulaire sous l’eau au loin des îles de la baie. Ce dispositif triangulaire semble avoir été artificiellement créé, en raison de de sa forme artificielle. Est-ce que ceci pourrait être la preuve d’une civilisation perdue ? On estime que le dispositif triangulaire sur la gauche sur la photo de 24 milles de long et plus de 13 milles de long pour le coté le plus court. Pour cette plateforme triangulaire…

 

 

Quel est la raison de son existence ? Des théories sont avancées comme quoi c’était un réservoir ou un secteur artificiel d’un lac, ou un secteur agricole colossal. On suppose fortement que ce secteur était au-dessus de l’eau du fait que créer une telle plateforme sous l’eau aurait été une entreprise impossible. Et pourtant la construction de ce triangle sur la terre serait déjà un accomplissement incroyable. L’image ci-dessous a été acquise par la NASA et montre l’île nordique d’Andros avec les îles de la baie du nord. Après avoir observé de nombreuses images du secteur entourant les îles de la baie, il est devenu évident que le sable, au-dessous de la surface de l’eau, se décale parfois nettement d’année en année. A quelle époque cette région des Bahamas pourrait-elle avoir été au-dessus de l’eau pour la construction de tels terrassements cyclopéens? Une évidence scientifique est avancée. En effet, les secteurs de l’arête atlantique étaient au-dessus de la surface de l’eau …il y a entre 10.000 et 12.000 ans! En 1948, une expédition suédoise, travaillant sur l’arête atlantique à 500 milles de la côte de l’Afrique, a remonté des échantillons provenant d’une profondeur de presque deux milles. Les carottes contenaient plus de soixante espèces d’algues d’eau douce. Les tests sur les algues indiquent que la dernière période où la région était en surface c’était il y a de 10.000 à 12.000 ans,encore.

 

Depuis 1948, les scientifiques ont extrait beaucoup d’échantillons semblables contenant des coquilles d’animaux d’eau douce recueilli au fond de l’Océan Atlantique sur l’arête atlantique jusqu’au plateau des Açores. Le point d’altitude le plus élevé sur les îles des Bahamas est bâti à Alvernia sur l’île de Cat qui est 60m au-dessus de niveau de la mer. L’altitude de l’arête atlantique s’étend de 1500m à plus de 3000m au-dessous du niveau de la mer. Si les parties de l’arête atlantique étaient au-dessus de la surface il y a 10.000 ans, alors il est fortement probable que les dispositifs triangulaires des Bahamas aient été également au-dessus de niveau de la mer dans ce lontain passé. Pourquoi ces triangles sont-ils demeurés non découverts pendant si longtemps ? L’immensité des dispositifs triangulaires semble les avoir cachés pendant des années de la vue étant donné que nous vivons dans le royaume microcosmic de ces constructions macroscopiques. Il devient évident que la seule manière pour voir ces dispositifs est de les voir d’une altitude élevée. Ces dispositifs pourraient-ils être à l’évidence la résultante d’une culture technologique très avançée qui a existé il y a 10.000 ans ?

 

Une équipe d’explorateurs dit avoir découvert des ruines de ce qui pourrait être une cité engloutie depuis des millénaires à l’ouest de Cuba. Les Chercheurs d’une société Canadienne ont utilisé un équipement sonar très sophistiqué qui aurait trouvé des monuments de pierre par 650 mêtres de la surface…

Ils disent qu’ils ne comprennent pas encore la nature de leur découverte et ont planifié comment analyser le site de la péninsule de Guanahacabibes.

Advanced Digital Communications est une firme qui travaille en collaboration avec le gouvernement cubain  pour la recherche des trésors englouties des galions espagnols perdus.

 

Les premières explorations ont débuté l’année dernière quand les équipements ont commencé à reproduire des formes symétriques et des pierres alignées typique d’une cité organisée.

En juillet dernier, la firme est revenue sur le lieu. C’est réellement une cité engloutie et c’est une très grande place urbaine.

Les images du robot chercheur confirme la découpe des blocs de granit. Ils pensent que la formation daterait de 6000 ans,soit 1500 ans avant les grandes Pyramides Egyptiennes.


EN COMPLÉMENT:

Guanahacabibes

Une équipe cubaino-canadienne a rapporté, en 2000, la découverte de ce qui pourrait être les ruines d’une ville d’environ 6 mille années ou plus, ce qui a sombré au large de la côte de la pointe ouest de Cuba, comme il a été signalé.

Intégré par des scientifiques canadiens et cubains travaillant dans le projet « Exploramar », dédié à la recherche d’épaves, l’expédition a trouvé des preuves de l’établissement humain. La découverte a eu lieu à 650 m. au fond de la mer des Caraïbes, entre la péninsule de Guanahacabibes de Cuba et la région du Yucatan au Mexique. Dans la recherche d’un robot sous-marin équipé de caméras, les lumières et le sonar, il a été utilisé.

Pour vraiment faire en sorte qu’il est une ville submergée, des enquêtes sont menées à bord du navire « Ulysse » par l’Académie des Sciences de Cuba. Cela a récemment été équipé de la dernière technologie par Advanced Communications numériques (ADC), et l’une des améliorations techniques qui intègre la recherche sont des caméras champ plus large. L’emplacement de ces restes appartenaient à une ville submergée depuis des milliers d’années, il promet une grande découverte archéologique d’expliquer le passé américain.

Guanahacabibes2

La découverte a été faite depuis 2000, mais très peu d’informations l’a. L’auteur de cette découverte est l’ingénieur de l’océan Paulina Zelitsky un Canadien – nacionalizada expert soviétique pendant la guerre froide a été consacrée à la construction de bases sous-marines secrètes, et travaille actuellement la réalisation du génie civil et l’arpentage du lit océanique. Il y a quelques années, Zelitsky atteint une certaine notoriété dans les médias pour localiser les restes du Maine, dont l’effondrement a déclenché la guerre hispano-américaine de 1998. Le navire était à environ cinq kilomètres de la côte de La Havane et près d’un millier de mètres profondeur. L’équipe de  Zelitsky a pu ainsi montrer des images impressionnantes de l’épave.

En 2000, cette équipe de recherche a rapporté la découverte d’un grand plateau de terre avec des traces claires de ce qui semble être d’énormes structures architecturales partiellement couvertes par l’homme en sable. D’en haut, les formes ressemblent à des pyramides, des routes et des bâtiments. Comme prévu, cette constatation a suscité l’imagination de ceux qui croient en l’existence de l’Atlantide.

Il a été confirmé que les pierres trouvées ont été coupées, sculptées et polies pour les adapter ensemble et elles forment des structures plus grandes. A propos des inscriptions étranges, certains d’entre elles sont  semblables à des hiéroglyphes égyptiens, on en sait très peu, sauf qu’elles sont très abondantes et dans presque toutes les parties du site. Les archéologues ont également trouvé des symboles et des dessins dont la signification est inconnue.Guanahacabibes4

La plupart des grands réseaux de télévision dans plusieurs pays attendent de leur fournir ce matériel sans précédent.Heureusement, Paulina Zelitsky a fourni le journaliste et chercheur Luís Mariano Fernández et les médias  avaient publicisés les premières images enregistrées par la caméra vidéo sous-marine.

LES PYRAMIDES  ET LA  VOIRIE À 600 mètres SOUS L’EAU

« En fait, ce sont des  structures particulières ….qui ont capturé l’imagination de tous,  m’a dit le géologue Manuel Iturralde après avoir enquêté pendant un certain temps le site de la découverte. « Je trouve qu’il est très difficile d’expliquer cela du point de vue géologique », a-t-il ajouté, après une longue entrevue concertée avec lui dans la ville de La Havane. L’examen et l’analyse des échantillons de roches à recueillir dans un proche avenir offrira plus de lumière sur la formation, rappelez-vous qui se trouve au large de la péninsule de Guanahacabibes à l’extrémité ouest de Cuba.

 

Les fameuses pyramides de la cité engloutie.

 

C’est une superficie de plus de 20 kilomètres carrés, où l’on retrouve des cubes,des  parallélépipèdes et des pyramides . Ce complexe a été appelé Mega pour sa taille.

Ceci est la première image de la découverte, avec des équipements sonar capturé. Elle a été prise en l’an 2000, alors que l’équipe Exploramar effectuait différents types de recherches menées pour la sécurité de la marine cubaine. L’image capturée montre clairement ce qui semble être la structure d’un bâtiment:

Iturralde, qui travaille au Musée national d’histoire naturelle de La Havane, a rejoint le projet Exploramar – le seul organisme habilité par Fidel Castro pour le suivi des fonds marins de l’île – dans les efforts pour dénouer l’énigme des rochers, de type granitique, ils ont une forme géométrique et polie. Ces structures, rappelant les pyramides égyptiennes, des routes et d’autres bâtiments se trouvent plus de 600 mètres de profondeur dans une zone de plus de 20 kilomètres carrés.

Le projet Exploramar a suggéré que ceci  pourrait appartenir à une civilisation qui colonisa les Amériques,il y a  des milliers d’années.Ces structures étaient probablement installés sur une île qui a sombré profondément par un cataclysme naturel, peut-être un tremblement de terre.

scepticisme scientifique

Cette théorie, et ses parallèles inévitables avec la ville mythique perdue de l’Atlantide, a été accueillie avec scepticisme par la communauté scientifique internationale, qui considèrent cette datation  peu convaincante et crédible,( estimée à au moins 6000 ans par Exploramar).

Certains archéologues européens ont indiqué que les pierres trouvées en Juillet 2000, alors que Exploramar recherchait des trésors de  galions espagnols qui avaient sombré,  ces structures sont une formation de calcaire naturel (conclusion curieuse quand personne n’avait pu accéder aux images enregistrées par l’ingénierie océanique ). Mais l’étude et la conclusion du géologue Iturralde qu’il n’y a pas d’explication naturelle évidente ont renforcé l’hypothèse de l’équipe Zelitsky.

Ces images correspondent au deuxième balayage de la surface de la mer, prises avec un sonar en 2001. En eux, ils retournent aux mêmes structures géométriques, semblable à un bâtiment :

Ici, vous pouvez voir les premières images prises par le projet sous-marin robot Exploramar, les différentes structures présentes sur le fond marin. Ces photographies datent, vous le savez, le mois de Juin et Juillet 2002:

Sur cette photographie, on peut voir clairement un détail linéaire dans une extrémité de ce megalithe, un aspect arrondi.

Mais il existe de nombreux types et les classes de structures, non seulement pyramidaux. Il y a même un énorme piédestal avec une structure autour d’elle qui pourrait bien être un grand cadran solaire.


 

Il y a quelques semaines une nouvelle cité engloutie a été découverte près de Chypre. Le Chercheur dit avoir trouvé l’Atlantide. Nous avons déjà apporté ici même des éléments qui tentent à prouver que l’on ne peut pas parler d’une seule Atlantide. Mais plutot d’un ensemble de cités englouties qui datent toujours de la même époque. Quand est il ici ? Quelle est cette nouvelle cité ? Mais d’où viendrait le terme Terre du milieu ? Quelles étaient les terres habitables en ces temps reculés ? D’où viennent ces légendes ?

Un chercheur américain indépendant, Robert Sarmast, a dit  avoir trouvé la preuve de l’existence de l’Atlantide et a affirmé que les vestiges de cette cité engloutie évoquée par Platon étaient enfouis sous le fond de la mer Méditerranée, entre Chypre et la Syrie. M. Sarmast aindiqué que son équipe avait localisé des traces d’installations humaines à environ 1,5 km sous le niveau de la mer, à 80 km de la côte sud-est de Chypre. “La route a été longue pour en arriver là, mais aujourd’hui, nous sommes récompensés. Qu’est que cela, si ça n’est pas l’Atlantide?”, a déclaré M. Sarmast lors d’une conférence de presse tenue dans sa base de recherche dans la ville portuaire de Limassol, dans le sud de l’îlr de Chypre. M. Sarmast, qui a commencé sa quête de l’Atlantide il y a une dizaine d’année est certain de toucher au but. “Nous ne pouvons pas fournir aujourd’hui de preuve tangible (de ce que nous affirmons) sous la forme de briques ou de mortiers, dans la mesure ou ceux-ci sont enfouis sous plusieurs mètres de sédiments, mais nous avons désormais des preuves indirectes irréfutables”, a dit M. Sarmast, sans s’étendre. “Nous espérons que les expéditions à venir permettrons de fouiller les sédiments et de ramener des preuves matérielles”, a-t-il ajouté, indiquant avoir désormais besoin de 250.000 dollars supplémentaires pour transformer ces expéditions en succès. M. Sarmast a publié en 2003 un livre intitulé “La découverte de l’Atlantide: les surprises de l’île de Chypre”, dans lequel il affirme que Chypre est la partie immergée de l’île des Atlantes. Selon lui, ses découvertes recoupent en tous points les indices donnés par Platon dans ses dialogue de “Timée” et “Critias”. Ces deux textes sont les deux premières sources écrites mentionnant l’existence de l’Atlantide et la dépeignant comme le siège d’une civilisation florissante, qui aurait été engloutie dans la seconde moitié du deuxième millénaire avant Jésus-Christ. L’hypothèse la plus communément retenue pour localiser l’Atlantide est que que celle-ci se trouvait à l’ouest de ce que les Anciens appelaient les “colonnes d’Hercule”, c’est à dire le détroit de Gibraltar. Diverses autres théories l’ont néanmoins située en Crimée, en Amérique, au Sahara, voir dans l’Antactique.

Cette nouvelle cité proche de Chypre n’est pas la première d’autant que celle ci semble très profonde : 1.5 km sous le niveau de la mer. La dernière remontée des océans était de 120 mètres. Alors que s’est il passé pour que cette cité se retrouve à un niveau si profond. On pourra envisager un affaissement de terrain. Il faudra également faire une étude de datation des ruines découvertes. Cette datation déterminera certainement une époque précise. Mais toutes les cités précédentes englouties date toujours d’environ 12000 ans.

Platon aurait probablement aimé vivre à notre époque pour simplement étudier toutes ces cités disparues d’un temps révolu et pour prouver qu’il avait raison.

Voici un témoignage troublant :

Je suis marin de métier, plus précisément officier de la marine marchande, et il y a peu j’ai découvert sur une carte marine des noms biens familiers : Fangorn bank, Eriador seamount, Rohan seamount, Lórien knoll, Edoras bank, Isengard ridge.

Les photos jointes sont prises sur les cartes marines anglaises (dont Admiralty chart 4015) et couvre une partie du plateau de Rockall. Les fonds marins sont très mal connus, on n’en connaît peut-être que 5% et en général près des côtes. On trouve toujours des récifs et des hauts fonds, par exemple dans le pacifique on trouve pas mal de rochers à fleur d’eau découverts il y a peu ; dans l’ouest de la nouvelle Calédonie je me souviens d’un récif isolé à fleur d’eau alors que les fonds environnants sont de 3000 mètres, repéré dans les années 80 et dont la position exacte n’a toujours pas été confirmée. Mais les navires suivent tous les mêmes routes
commerciales qui elles sont bien connues.

Pour la petite histoire, le plateau de Rockall tire son nom d’un îlot situé à 200 miles à l’ouest des Hébrides ; il fait 25m à la base pour 19m de haut, c’est un pic abrupt qui sort de l’eau et qui n’est accessible qu’après une période de calme prolongé (rare dans ce coin). Il y a un petit phare souvent en panne (à cause du mauvais temps et de la difficulté de faire le dépannage, 2 ou 3 jours par an).
Le premier atterrissage sur l’îlot a eu lieu en 1811, et sa position exacte fut obtenue en 1831.En 1955, des commandos britanniques y débarquent en hélico et plante leur pavillon, réclamant la possession de Rockall qui sera incorporé au Royaume-Uni en 1972.

Pour terminer, Nicolas nous explique aussi l’existence en Irlande d’une grotte visitable « Crag Cave » près de Tralee. Rien d’extraordinaire jusque là, sauf que nombre de salles ont reçu des noms issus de la Terre du Milieu, comme Hall of Gondor.

On pourra faire le parallèle avec le seigneur des anneaux :

David Day, auteur de plusieurs livres sur l’œuvre du professeur nous dit : ” Avec sonSeigneur des Anneaux, Tolkien a réveillé un sentiment profondément enfoui dans la conscience humaine. Il l’a fait en usant du langage universel d’images mythiques tirées de l’ère primaire de l’humanité. On sait que Tolkien avait l’habitude de regretter que la mythologie anglaise ne soit pas à la hauteur des immenses épopées grecques ou nordiques. Son but en écrivant Le Seigneur des Anneaux était de rendre à la Grande Bretagne une mythologie perdue à cause de multiples invasions. Les peuples de la Terre du Milieu ont donc leurs racines dans les plus grandes civilisations du monde. “

Ainsi les rudes et solides nains qui creusent leurs mines sous les montagnes peuplaient déjà les légendes vikings. La plupart des noms nains du Hobbit et du Seigneur des Anneaux viennent d’ailleurs tout droit d’un texte islandais du XIIIème siècle, Prose Edda.

Dans la très longue histoire d’Arda, depuis le Silmarillion jusqu’à la fin du Seigneur des Anneaux, on trouve des rappels d’histoires transmises à travers les âges : l’Atlantide, royaume détruit par la soif de pouvoir de ses habitants devient Numenor, l’île engloutie par un cataclysme d’où vient la plus grande race des hommes (Tolkien précise même qu’en haut elfe, on appelait l’île Atalante). Les héros Castor et Pollux, deux frères dont l’un était simple mortel et l’autre dieu prennent ici les traits d’Elrond et Elros, fils d’un homme et d’une elfe. Quand ils doivent choisir entre les deux races, Elros choisit d’être un homme alors qu’Elrond préfère l’immortalité des Elfes et devient maître de Rivendell. Quant à l’anneau magique il semble présent dans toutes les légendes et croyances du monde, des vikings aux romains en passant par Venise et l’Angleterre, on le retrouve même dans la bible où le démon Asmodée s’en serait servi pour corrompre le roi Salomon et causer sa chute.

Ainsi Le Seigneur des Anneaux n’est pas qu’une simple histoire aux accents de conte de fées pour enfants. Il est un écho des légendes des civilisations passées et donc directement lié à l’histoire de l’humanité. Tolkien s’est inspiré des traditions qu’il aimait étudier mais en y apportant un nouveau souffle grâce à sa propre imagination. Cette combinaison subtile est probablement un des éléments qui font que cette histoire ait une telle résonance en nous.

Mais d’où viennent les légendes de ces pays : L’Atlantide oui bien sur, ou bien un empire de cités portuaires disparus il y 10000 ans.

Si l’on se base sur l’étude des fossiles, quelques scientifiques pensent que les activités sociales et la culture n’ont pas émergé avant l’Holocène, il y a prés de 12000 ans, durant le déclin et la fin du dernier âge glaciaire. Donc, durant les 7000 années suivantes, ces cultures n’auraient apparemment pas évolué davantage et seraient demeurées à l’Age de Pierre. Les traces d’écrits et les symboles sont apparus pour la première fois il y a prés de 5000 ans. On se réfère à l’ère précédant cette époque comme à la période préhistorique.

Pourtant, au grand étonnement des scientifiques, de plus en plus de reliques préhistoriques découvertes au fond des océans remettent en cause ce point de vue. Les architectes de ces vestiges sous marins avaient non seulement des connaissances architecturales et artistiques ingénieuses, mais ont aussi montré des signes de civilisation avancée. De plus, ils avaient leur propre forme d’écriture et étaient capables de construire des structures pyramidales. La technologie courante indique que cette région était sous le niveau de la mer depuis 10,000 ans ou plus. Il est ainsi manifeste que cette civilisation avancée a existé pendant la période préhistorique, longtemps avant la Période Néolithique. Pour des raisonsinconnues, ces civilisations ont disparu et n’ont laissé derrière elles, sous la mer, que quelques vestiges de ce qu’elles furent un jour . Voici certaines preuves de leur existence

Une Ville Immergée Sous l’Océan- Des Ruines Aux Alentours de L’Ile Yonaguni au Japon

A la pointe sud de l’Ile Yonaguni dans les Iles Ryukyu, il y a approximativement un demi-siècle, des plongeurs ont trouvé des ruines de constructions artisanales dans l’océan. Le site comprenait une structure de forme carrée couverte de corail, une plate-forme géante avec des bords et des coins, ainsi que des rues, des escaliers, et une construction en voûte. On pourrait dire que les ruines ressemblaient à un autel dans la vieille ville. Cela couvrait prés de 200 mètres d’ouest en est, et prés de 140 mètres du nord au sud. Son point le plus haut s’élevait à prés de 26 mètres.

Si l’on regarde du dessus, il y a des rues et des terres arables entourant les ruines. La ruine la plus grande était de 100 mètres de long, et de 25 mètres de haut, et était construite avec des rochers géants. D’après le UAET de l’Université de Ryukyu, un modèle produit par ordinateur a montré que l’endroit aurait été l’autel d’un temple, ou les anciens se rassemblaient et tenaient des cérémonies cultuelles. Il y avait deux grottes entourées à moitié de piliers au nord du temple. Les archéologues pensent qu’elles pourraient être un endroit où l’on se baignait avant une cérémonie. Il y avait une porte voûtée à l’est du temple avec deux rochers géants se chevauchant l’un l’autre. Le haut montrait des trous rectangulaires faits par l’homme dans les rochers. Sans doute, les rochers ont été façonnés par des machines et utilisés comme des pièces angulaires de la ville.

De plus, sous l’océan, aux alentours de la très connue « Lishenyan » du sud- est de L’Ile Yunaguni, une statue de tête humaine de plusieurs pieds de haut fut découverte. Les caractéristiques faciales peuvent être clairement discernées. Plus tard, prés de la statue de tête humaine géante, des groupes de hiéroglyphes furent trouvés. Ceci indique que les constructeurs des ruines sous-marines appartenaient à une civilisation hautement avancée.

Des civilisations ont donc disparu il y a 10000 ans, mais d’autres ont probablement suivi le pas rapidement.

,,,et que dire du Sahara

A Mertoutek, dans le sahara central à 2000 mètres d’altitude, on a découvert des peintures comparables à celles dévouvertes en Egypte. Ce qui tenterait à prouver qu’il existe un lien fondamental. Cela prouverait également qu’il y avait une civilisation il y a plusieurs milliers d’années dans cette partie de l’Afrique Occidentale. Le berceau fut le Hoggart. La découverte d’une tombe d’une mystérieuse reine Ti Hinan qui est toujours vénérée par les touaregs pose d’énormes questions. Le squelette féminin découvert était couvert d’or et ressemblait à celui de cro magnon. Le style très européen était très différent du style actuel. Mais à cette époque les glaciers décendaient jusqu’à Lyon. L’Afrique Saharienne était verdoyante. Les fleuves y coulaient. On a même trouvé une ancienne mer de 400 km au sud de l’Algérie. Des silhouettes, vieilles de 6000 ans, participent à une cérémonie rituelle. Les hommes portent de grandes coiffures qui évoquent l’Egypte. Les changements climatiques ne sont pas nécessairement lents. De récentes études prouvent que des «basculements» se sont déjà produits en moins d’une décennie…

Le professeur Martin Claussen et ses collègues de l’Institut climatologique de Potsdam (Allemagne) ont publié des données tendant à prouver que l’actuel désert du Sahara a été créé il y a 5 500 ans seulement: un basculement du climat a transformé de vastes étendues de verts pâturages en terres arides et détruit d’antiques civilisations. A l’aide d’un modèle informatique sophistiqué de la terre, de la mer et de l’atmosphère, ces chercheurs ont vu à quel point peuvent être subtils certains des phénomènes susceptibles de transformer des variations du type de celles relevées par Milutin Milankovitch (dans l’orbite de la Terre) en bouleversements climatiques majeurs. Ils ont déterminé qu’au cours des 9 000 dernières années, l’attraction gravitationnelle des planètes a modifié l’inclinaison de l’axe de la Terre d’environ un demi-degré, et déplacé d’environ cinq mois le moment où elle est le plus près du Soleil. En eux-mêmes, des changements aussi limités n’auraient pas dû avoir d’effets climatiques importants. Mais, quand Martin Claussen et ses collègues ont inclus l’effet végétation dans leur modèle informatique, ils ont découvert qu’il provoquait l’effondrement des précipitations sur la région du Sahara. Ils ont expliqué ce phénomène par une «boucle de rétroaction»: une légère diminution de la végétation permet à la surface de la terre de refléter légèrement mieux la lumière du soleil, ce qui diminue la pluviosité, ce qui réduit davantage la végétation, etc. Selon Martin Claussen, c’est cette boucle qui a fait de l’immense Sahara verdoyant une étendue désolée en quelque 300 ans: «Ce fut le plus grand changement du couvert terrestre dans les 6 000 dernières années», estime-t-il.” Tout démontre qu’il a bien existé une civilisation antique plus évoluée que ce que l’on imagine dans cette partie “oubliée” de l’Afrique. La civilisation de l’Atlantide n’aurait elle pas débordée sur l’Afrique luxuriante ? En tout cas, tout porte à le croire.

 

EN COMPLÉMENT

Le Sahara était «vert» il y a plus de 6000 ans et avait 10 fois plus de pluie qu’aujourd’hui

Selon une nouvelle étude publiée récemment dans la revue Advances Sciencemag, il est prouvé que les humains occupaient une grande partie du Sahara au cours de la «période humide» d’il y a environ 8000 ans.

Grâce à une analyse des sédiments marins, des chercheurs de l’Université de l’Arizona ont établi des modèles de précipitations dans le Sahara sur une période de 6000 ans obtenant des résultats fascinants. L’équipe UA-Led a identifié le modèle climatique qui a généré un «Sahara vert» il y a entre 5.000 à 11.000 ans. La région comptait 10 fois plus de précipitations qu’aujourd’hui.

Aujourd’hui c’est le désert du Sahara mais c’était le lieu où habitaient autrefois des chasseurs-cueilleurs qui vivaient d’animaux et de plantes présentes dans des savanes, des régions de prairies boisées il y a 5.000 et 11.000 ans.

“C’était 10 fois plus humide qu’aujourd’hui”, a déclaré la principale auteur Jessica Tierney de l’Université de l’Arizona. Les précipitations annuelles du Sahara se situent actuellement entre environ 10 à 35 mm par an.

Bien que d’autres recherches ont déjà identifié l’existence d’une période de «Sahara vert», Tierney et ses collègues ont réussi à compiler un enregistrement continu de précipitations dans la région qui existait il y a 25.000 ans.

Fait intéressant, les preuves archéologiques montrent que les humains ont occupé une grande partie du Sahara au cours de la période humide, mais peu à peu, ils se sont retirés il y a quelque 8000 ans.

Selon la nouvelle étude, les relevés pluviométriques recueillies par l’équipe indiquent une période qui a duré mille ans, il y a environ 8.000 ans, dans laquelle le Sahara est devenu plus sec, ce qui coïncide avec la période où les gens ont migré ailleurs.

“Il semble que cette période sèche de mille ans  a provoqué le départ des gens”, a déclaré Tierney.

“Ce qui est intéressant, ce que les gens qui sont revenus après la période de sécheresse étaient différents. Cette période sèche sépare deux cultures différentes. Notre dossier fournit un contexte climatique de ce changement d’occupation et du mode de vie dans le Sahara occidental ».

Selon UA ​​News, le lieu de sédiments lacustres, Tierney et ses collègues ont utilisé des carottes de sédiments marins prélevés au large de la côte de l’Afrique de l’Ouest sur quatre sites différents. Les carottes ont été prélevées sur une distance nord-sud d’environ 1.300 km – du Cap Ghir, au Maroc, à l’angle nord-ouest de la Mauritanie – les noyaux ont révélé à la fois les anciens modèles de précipitations et l’étendue géographique du Sahara vert.

Le Sahara était couvert de prairies voici plus de 4.900 ans, durant la période humide africaine. Des poussières emportées par des vents, et déposées dans l’Atlantique, viennent de préciser l’histoire de cet épisode marqué par d’abrupts changements climatiques.

Le nord de l’Afrique émet chaque année plus d’un million de tonnes de poussières dans l’atmosphère, mais il n’en a pas toujours été de même. Nombre de ces particules minérales sont emportées vers l’Ouest, et voyagent alors au-dessus de l’Atlantique. Avec le temps, elles se déposent progressivement à la surface de cet océan, avant de couler. En d’autres termes, les sédiments marins renferment, au large de l’Afrique du Nord, de précieuses informations sur les flux de poussières sahariennes de ces derniers milliers d’années.

Or, l’importance de ces flux est directement proportionnelle à l’aridité de la région source, et donc à son climat. Un sol sec libère en effet plus de poussières qu’un sol humide. Ainsi, les conditions climatiques ayant affecté un territoire par le passé, comme la Mauritanie ou le Sénégal, peuvent être étudiées en quantifiant le nombre de particules minérales d’origine terrestre présentes dans des sédiments marins.

Grâce à cela, David McGee du Massachusetts Institute of Technology (États-Unis) vient de préciser l’histoire de la dernière période humide africaine de l’Holocène. Il y a plus de 5.000 ans, le Sahara était recouvert de prairies qui s’étaient étendues depuis le Sahel, et non de savanes ou de déserts comme aujourd’hui.

Des changements climatiques abrupts et simultanés

La période humide africaine doit son existence à la survenue de deux changements climatiques brutaux. Le premier lui a donné naissance, tandis que le deuxième y a mis fin. Les informations actuelles ne permettent pas de savoir si ces changements ont affecté l’ensemble de l’Afrique du Nord simultanément et avec la même importance. Pour combler ces lacunes, David McGee et ses collaborateurs ont analysé les quantités de poussières présentes dans cinq carottes de sédiments, prélevées sur la pente océanique située au nord-ouest de l’Afrique et ce, entre le 31e et le 19e degré de latitude Nord. Ils ont en plus, pour compléter leurs informations, daté des minéraux par la méthode uranium-thorium. L’analyse des sédiments prélevés a ainsi révélée que ces derniers se sont agglutinés durant ces 20.000 dernières années.

La nature brutale des changements climatiques survenus dans le nord de l’Afrique a été confirmée. Toutes les régions composant cette zone géographique ont été touchées simultanément et avec la même importance, ce qui a permis une datation précise de la période humide africaine (à 200 ans près). Elle aurait ainsi débutée voilà 11.800 ans, et se serait terminée il y a 4.900 ans, en donnant naissance au Sahara tel que nous le connaissons. Par comparaison, les flux de poussières étaient 5 fois plus faibles voilà 6.000 à 8.000 ans, par rapport au flux moyen de ces 2.000 dernières années. Ce chiffre, qui est nettement inférieur aux précédentes estimations, sera bientôt présenté dans la revue Earth and Planetary Science Letters (EPSL).

Cette étude est importante pour plusieurs raisons. Elle permet notamment de mieux comprendre les relations unissant la présence de poussières dans des sédiments et le climat de la région dont elles sont issues. Par ailleurs, elle fournit de précieuses références historiques auxquelles pourront être confrontés les résultats de divers modèles climatiques. Ce détail n’est pas négligeable, puisque la plupart d’entre eux n’arrivent pas à reproduire de manière satisfaisante l’évolution du climat au Sahara. Quoi qu’il en soit, et selon certains experts, cette région aurait connu, il y a 5.000 ans, l’un des plus abrupts changements climatiques de l’histoire humaine.


LA DESCENDANCE DES ATLANTES

Un bassin en pierre de granit de quatre-pieds dans le coté  oriental de Knowth (Irlande) a peut être été gravé d’une carte de la ville d’Atlantis, comme Platon l’avait décrite. Les trois cercles concentriques sont assortis par trois lacs intérieurs d’Atlantis. Une copie de la pierre est montrée aux visiteurs au centre de la vallée de Boyne (voir la photo ci-dessous). Une similitude a été notée par le Dr. Ulf Erlingsson, qui a visité Knowth le mois dernier. Son livre sur Atlantis de la perspective d’un Geographe : La carte a été montrée en septembre. Platon a décrit 5 stades intérieurs, entouré par un stade circulaire séparé par un lac. A l’extérieur, il y avait une île circulaire et un lac différent… de ce bassin, une légende revient…

Enfin il y avait une île et un lac différent, puis 3 stades au loin. Un stade égale 100 brasses, ou 200 yards. Le DR Erlingsson suggère dans son livre que le yard mégalithique  devait être employé, qui se traduit par  un stade de 166 m.

Le bassin en pierre de Knowth, avec la carte superposée de Platon

Le Dr. Erlingsson dit : “la similitude est presque parfaite, mais seulement de près : Une des 6 lignes ne s’assortit pas vers le haut de la carte et le bassin en pierre. Je voudrais certainement examiner l’original”.

Le bassin original en pierre est inaccessible pour les visiteurs, à l’intérieur du monticule gravé où il y est depuis plus de cinq mille ans.

Même si cela n’était pas une carte de l’Atlantide, ces cercles sont insolites, ce lieu reste mythique. La ville de Tara est associée dans le mythe avec un hippodrome, et Platon a décrit l’Altantide avec un hippodrome. Mais il n’y a pas d’eau à Tara, comment expliquer tout cela ? On peut spéculer ? dit le Dr. Erlingsson. Quand Tara, aussi, a une carte, une copie, d’un autre endroit, indique-t-il, créé par le mythique peuple des  Thuata De Danaan ?

Dans le mythe, les Thuata de Danaan sont venu en Irlande avec quatre trésors, parmi eux la pierre du destin qui s’élève toujours chez Tara. Un autre trésor était le chaudron de Dagda.

Dessin représentant les Thuata de Danaan.
L’Irlande était à l’origine habité par le Fir Bolgs. Mais alors le Tuatha De Danann est arrivé le 1er mai (Belthane) de la côte cachée sous un débris de brume. Le Morrigu a créé du brouillard, des pluies et de la lave pour tomber sur le Fir Bolgs et ils ont dû se réfugier pendant 3 jours, tandis que leurs propres druides ont compris comment surmonter les sorts.
Enfin, les deux côtés se sont rencontrés et les Fir Bolgs ont été vaincus dans une bataille sanglante. Les survivants Fir Bolgs ont reçu Connaught pour vivre et les Tuatha De Danann ont pris le contrôle de l’Irlande.
Après l’arrivée des Gaels, les Tuatha De Danann ont été conduit sous terre. Ils étaient habiles en magie et ont créé un royaume merveilleux sous les collines de Tir Na Nog, la terre de l’éternellement jeunesse. Dans le Sidhe (collines de fées), il y a l’immortalité, la beauté sans âge, la fête continue, la chasse et la fête. Ces collines sont parfois naturelles, mais plus souvent les monticules mégalithiques de l’âge néolithique et du bronze.
C’est le monde des fées, les Tuatha De Danann, le peuple de la déesse Danu. C’est là que le surnaturel est contrôlé, la magie est dans l’air et le temps reste immobile. Méfiez-vous si vous entrez dans Sidhe car vous ne pouvez reparaître qu’en quelques centaines d’années.
Le symbole du Tuatha De Danann est le cercle croisé (la croix celtique) représentant l’union des énergies masculine et féminine. La croix représente les quatre éléments et les quatre coins de la terre, le cercle est l’ensemble et l’utérus terrestre.
On dit qu’ils viennent encore jouer parfois, mais ne sont visibles que par les innocents et les jeunes de cœur.

Qu’elle belle idée si c’était le bassin en pierre de Knowth qui était le chaudron de Dagda ? La science ne pourra jamais avérer ou réfuter cette découverte, mais nous ne devons pas être envahie par notre imagination.

Représentation du chaudron de Dagda:Le chaudron d’abondance du dieu-druide irlandais Dagda aiguise depuis longtemps la curiosité des Celtisants. La rareté, tout autant que le caractère tardif et christianisé des sources mythologiques le mentionnant, ont fait qu’aucune étude d’envergure n’avait été consacrée jusqu’ici à cet attribut divin et à la signification qu’il recouvrait dans la pensée religieuse gaélique préchrétienne.
Il faut tenter de combler cette lacune à l’aide de la méthode structurale et comparative dumézilienne. Relevant la qualité de la source de référence sur ce chaudron, une notice tenant lieu à la fois de théogonie, de sociogenèse divine, et de récit étiologique sur l’origine de la souveraineté irlandaise, il restitue la place de ce chaudron à l’intérieur du système panthéiste goïdélique et met en lumière le réseau complexe d’éléments symboliques codifiant le motif mythologique de cet attribut divin. L’authenticité et l’ancienneté de la tradition transmise tardivement est démontrée à la fois par la concordance de la codification du chaudron du Dagda avec les autres accessoires connus du dieu, et par sa relation directe avec une conception archaïque de l’organisation du panthéon et de la souveraineté relevant de l’idéologie trifonctionnelle indo-européenne.
On a  identifié aussi une application rituelle du chaudron du Dagda survivant dans une institution majeure de l’Irlande alto-médiévale, celle du ‘chaudron de répartition’ propre à l’aristocratie gaélique. Et il traque les avatars du chaudron mythique dans l’épopée, dans l’hagiographie, mais aussi dans la toponymie et les légendes qui s’y rattachent. Il discute la fidélité des avatars débusqués au schéma mythologique décalqué et examine leurs éventuels apports à l’approfondissement de la compréhension du chaudron du Dagda. Ainsi assiste-t-on au lever du mystère sur deux des aspects les plus énigmatiques de cette marmite : son rapport aux eaux marines et l’origine de son pouvoir génésique extraordinaire.

Mais alors qui était Thuata de Danaan ? Une fête a été créée pour honorer son arrivée :

Le 1er mai chez les celtes: Les Feux de Beltane

 

– BELTAINE : qui signifie le ” feu de BEL “, ou BELEN, le soleil. C’est le début de l’été, le mois de MAI. Fête sacerdotale qui serait censée marquer l’arrivée en Irlande des Thuata DE Danaan ( c’est à dire : les Dieux) fondateurs de la CELTIE.

C’est une fête particulière. On dit que ce sont les richesse de BELTAINE qui font tourner la tête ! Bière, choux, lait doux et lait caillé sont des dons pour les Dieux.
Cette 3ème fête Celtique est associée à BELENOS, appelé aussi GRANOS ou MAPONOS, (qui représente la lumière solaire) donc en MAI puisque c’est le solstice d’été, le jour où le soleil est le plus haut dans le ciel ! C’est le complément de LUG. Le 1er mai a toujours été vénéré, car ce fut en ce jour que les THUATA DE DANAAN (souvenez-vous du nom, il dirige toute la mythologie Celte  prirent pied sur le sol d’Irlande et qu’ils brûlèrent leurs vaisseaux afin de ne pas avoir la tentation de repartir !

Les 2 symboles de cette fête sont le FEU et le CHÊNE. Les Druides affirmaient que le feu du ciel et de la terre ne font qu’un. Dans une société pastorale, c’est le moment où les troupeaux sortent des abris et vont paître dans les campagnes.
Afin de purifier le bétail, les fermiers faisaient passer les animaux entre 2 grands feux. Le peuple se joignait aux festivités pour danser autour du brasier, reproduisant ainsi la ” course du soleil dans l’univers “. La ” danse de l’arbre de mai ” dérive de cette course solaire et du Chêne qui célèbre la résurgence de l’énergie primordiale.

 

Fragment authentique nous montrant le dieu Dagda celtique.
Dagda, une des principales divinités pré-chrétienne qui répond au modèle typologique du dieu souverain de type Mitra des Indo-européens. Il est Possesseur d’un chaudron, l’un des quatre objets magiques rapportés des Îles du Nord, insignes de la souveraineté qui permirent aux Tuatha De Danann de conquérir l’Irlande. Son pouvoir essentiel est de faire apparaitre une infinité de nourriture de ses eaux marines matricielles.
Selon une lecture trifonctionnelle de ces talismans, la Pierre de Fal (le seul des objets à ne pas se voir accolé le nom d’un propriétaire) désigne chaque nouveau roi par un cri (Fonction 1 : souveraineté magico-sacerdotale).La Lance de Lug apporte la victoire au combat, et l’Épée de Nuada était fatale aux adversaires rencontrés (Fonction 2 : guerrière). Le Chaudron quant à lui, est capable de rassasier n’importe quelle compagnie ce qui en fait un réservoir inépuisable participant de la sphère étendue de la 3ème fonction d’abondance.
Le Chaudron est comparable à une sorte de corne d’abondance, une cornucopia, mais s’en distingue par son caractère civilisationnel qui s’exprime 1)dans sa forme (c’est un objet manufacturé), 2)dans son contenu (de la nourriture bouillie principalement carnée), 3)dans sa fonction : Son obligation nourricière s’entend envers l’ensemble de la population aux quatre grandes fêtes d’ouverture des saisons et légitime sa souveraineté.
Parmi les autres objets possédés par le Dagda figure l’ arme/outil qu’est la massue dont la présence est tout à fait cohérente puisque, en tant qu’ autre insigne de souveraineté, elle donne la vie comme la mort, de la même manière que le Chaudron jamais ne se vide, jamais ne déborde, et s’inscrivent donc tous les deux autour de deux pôles: la stérilité et la fécondité.Il en va de même pour sa rote qui dispense le refrain de sommeil, le refrain du sourire et le refrain de la lamentation, faisant ainsi passer les individus d’un état à l’autre.
Il faut faire une étude comparative avec les dieux d’autres panthéons, montrant ainsi la concordance typologique, symbolique, fonctionnelle et physique entre le Dagda irlandais et notre Sucellos gaulois. Avant de dresser une rétrospective des avatars épiques du Chaudron du Dagda, dont la présence était obligatoire dans toutes les demeures royales, sorte de matérialisation concrète du mythe du chaudron dans la vie sociale de l’ancienne Irlande, du moins tant qu’eurent lieu les banquets publics qui célébraient les quatre fêtes principales.
En ouvrant ces pistes,nous apprenons que le Chaudron qui est tout à la fois un chaudron de souveraineté, un chaudron d’abondance, un chaudron de répartition, et un chaudron de vérité, ne pourrait-il pas recouvrir un champ bien plus large encore et s’avérer être, à l’image du maëlstrom, fureur conjuguée de l’eau et de l’air, une véritable matrice, créatrice et destructrice du monde lui même, un véritable omphalos marin du monde, maëlstrom des eaux cosmiques d’où sortent et retournent toute vie et richesse ?…
Il ne faut pas hésiter à employer le terme « païen » là où ses prédécesseurs auraient usé de vocables beaucoup plus détournés. C’est un bonheur que de voir sa lecture émaillée d’expressions telles que « héritage culturel païen », « sciences et techniques du paganisme », « conceptions théologiques païennes », « croyances et mythes du paganisme », etc.

La Mythologie :

Les Tuatha de Danann

Après leur défaite contre les Milésiens, une partie des Tuatha de Danann décidèrent  de rester en Irlande.

Ils s’installèrent dans les collines creuses, les Raths, et on les appela les Daoine Sidhe.

A l’origine les Tuatha De Danann étaient des géants. Les siècles et surtout l’implantation du Christianisme affaiblirent leur puissance en même temps que se réduisait leur taille.

Goïbniu, le dieu forgeron irlandais était un artisan et un armurier exceptionnel. Il répara, sur les champs de bataille, les armures des Thuatha Dé Danann à une vitesse miraculeuse (illustration anonyme)

L’Ecriture qui n’était pas la panache des celtes est largement découverte avant eux. Leurs dieux n’étaient ils pas des hommes dont le savoir ne pouvait que surprendre. Mais la légende n’explique pas d’où venaient Tuatha De Danann. Ainsi le chaudron de Dagda semble bien être un des trésors apportait par Tuatha de Danan, qui pourrait avoir une seule origine : celle de l’Atlantide.

Les reliques sous-marines fournissent des témoignages clairs de l’existence de civilisations préhistoriques. Cependant, il est difficile de trouver de telles découvertes dans les manuels. Les archéologues et les historiens modernes n’aiment pas mettre en cause les connaissances historiques existantes puisque ce serait incompatible avec les théories habituelles. Cependant, nous pensons que ce n’est qu’ une question de temps pour que les anthropologues et les historiens changent leurs notions acquises pour accepter les vérités historiques.

Ainsi le climat pourrait bien être responsable de ce cataclysme que connu l’humanité en ces temps reculés. Notre civilisation actuelle et notre société est réellement très récente. On oublie très souvent le passé qui pourrait bien se renouveler. Mais cette fois ci, c’est l’Homme qui en sera responsable. Il est probable, qu’après, de nombreuses légendes resteront de notre civilisation qui fut ! Il est également probable qu’une nouvelle civilisation verra le jour.

 

 

 

 

…à suivre,mes ami(e)s!

 

 

 

Découverte fantastique: une cité engloutie depuis 11,000 ans au sud de la Suède

La découverte a été faite tout près du rivage.
La découverte a été faite tout près du rivage.

 

Une équipe de plongeurs dirigé par le  professeur d’archéologie Björn Nilsson,de l’Université Södertörn, a découvert des artefacts de ce qui pourrait être la plus ancienne colonie connue dans la région, surnommée  « l’Atlantide de la Suède »  par les publications locales la semaine dernière . Pendant plus de 11 000 ans ,des objets au fond de la mer Baltique ont été conservés exceptionnellement bien par les sédiments de gyttja et le manque d’oxygène. Il y a de nombreux objets organiques, non seulement des objets de pierre,qui ont été conservés à cet endroit rare près Hanö, au large de la côte sud de la Suède. Les artefacts de l’ âge de pierre ont été laissés par les nomades, et ils pourraient être la première preuve d’une installation temporaire avant que des  colonies  plus  permanentes se soient établies,dans cet environnement nordique. Nilsson décrit les objets comme « de classe mondiale » et « d’uniques  » dans une entrevue à un journal suédois . Une des découvertes les plus impressionnantes, dit Nilsson, était un harpon sculpté d’os d’animaux. Sur le site sont également été découverts des os d’aurochs, un animal de bétail ,disparu au 17ème siècle. 

Un plongeur examine un tronc d'arbre  qui a été  estimé à 11,000 ans.Ces  petites découvertes ont permis de dater l'Atlantis suédoise.
Un plongeur examine un tronc d’arbre qui a été estimé à 11,000 ans.Ces petites découvertes ont permis de dater l’Atlantis suédoise.

 

De nombreux artefacts  de l’âge de pierre laissés par les nomades suédois ,il y a 11.000 ans, ont été découverts par des plongeurs dans la mer Baltique, ce qui incite certains à prétendre que l’Atlantide de la Suède venait d’être trouvé.

« Ce que nous avons ici est peut-être l’une des plus anciennes colonies des premiers sites plus permanents dans Scania et en Suède ,s’étant installée  complètement », a déclaré le chef de projet et professeur d’archéologie à l’Université Södertörn Björn Nilsson .

L’équipe de Nilsson a été  faire des plongées  dans la baie d’ Hanö, une baie de sable au large de la côte de Scanie, et il lui  a été donné les ressources, par le Conseil national suédois du patrimoine (Riksantikvarieämbetet), nécessaires  à une excavation de trois ans d’une zone de 16 mètres sous la surface de l’eau.

Jusqu’à présent, ils ont découvert un certain nombre de vestiges que l’on croit avoir été jeté dans l’eau par les Suédois nomades de  l’âge de pierre, ce sont des objets qui ont été préservés grâce à l’absence d’oxygène et de l’abondance de gyttja sédiments. 

 

Dessin d'artiste reproduisant les aurochs de l'époque.
Dessin d’artiste reproduisant les aurochs de l’époque.
 

Une des plus grandes découvertes a été ce que Nilsson croit être  une sculpture de harpon abandonnée,faite   à partir d’os d’animaux, qui a été jeté dans l’eau avec une foule d’autres objets.

« Il y a beaucoup de bois   et d’autres outils qui ont été jetés là-dedans», a-t-il poursuivi. « Il y a environ 11000 années, il y a eu une accumulation ou un effondrement de terrain  dans la région, une lagune ou toutes sortes  de choses inimaginables … et tous les arbres ,débris ou os se sont conservés en elle. Si l’événement  était arrivé  sur la terre ferme, nous ne pourrions découvrir  les choses  que sur la base de pierre, rien d’organique. « 

Les objets  en matières textiles, comme la corde, peuvent survivre où il y a une forte présence de gyttja, qui sont des  sédiments riches en matière organique au fond d’un lac eutrophe. L’équipe a également récupéré des morceaux de bois, des outils de silex, des cornes d’animaux, et les os des aurochs, l’ancêtre des bovins domestiques, dont la dernière morts essor au début des années 1600. Ils archéologues sont également gardent un œil attentif sur pour tous les sites d’enfouissement potentiels.

Nilsson a admis que « tabloïds suédois moche » avaient soufflé l’histoire de l’eau par l’étiquetage de la découverte « de la Suède Atlantis », même si les restes n’ont jamais appartenu à un véritable village. Les gens étaient tous des nomades à l’époque, at-il expliqué, il n’y avait donc pas de village. Il claironné, cependant, que les découvertes jusqu’ici étaient «de classe mondiale» et «one-of-a-kind ». Il a ajouté que c’était extrêmement rare de trouver des preuves de l’âge de pierre ainsi intacte.

« Ce que nous avons trouvé ici est totalement nouveau pour nous – toute l’équipe de plongée est vraiment ravis Ils ont le temps de leur vie à travailler  là-bas.».

 

Mais pourquoi donc certains Suédois sont-ils convaincus que l’Atlantide ou quelque chose d’approchant dormirait quelque part sous les eaux de leurs régions ?

Voici un petit article pouvant expliquer cet engouement local pour un mystère conté par les anciens Grecs… :

L’Atlantis de Olof Rudbeck

Olof Rudbeck

Dans le cadre de sa première catastrophe globale , Immanuel Velikovsky a daté l’inondation de l’Atlantide vers environ 1.500 Avant JC. Il pensait que l’événement devait avoir eu lieu seulement 900 ans (au lieu de 9000 ans) avant le voyage dSolon en Egypte, comme décrit par Platon. 1.500 ans  avant JC est également la date à laquelle Olof Rudbeck (basée sur des preuves archéologiques) a affecté l’inondation de son emplacement proposé pour Atlantis en Suède (voir ci-dessous) .

Le physicien suédois Olof Rudbeck devenu Archéologue (1630-1702) est connu détenir l’opinion que la Suède était l’ancienne Atlantide et a publié ses recherches archéologiques et historiques qui ont soutenu cette opinion dans son livre en plusieurs volumes, Atlantica.

Le site de Hanö se trouve au sud de la Suède.
Le site de Hanö se trouve au sud de la Suède.

Selon David King, « En 1702, Atlantica était passé à quatre volumes et demi colossaux, et de nombreux chercheurs pensaient que ce travail avait révolutionné la compréhension du passé antique… »  » des lecteurs avides comme Leibniz, Montesquieu, et le célèbre sceptique Pierre BayleMême Sir Isaac Newton a écrit pour demander une copie personnelle. »

King a fait un excellent travail pour informer juste le lecteur de ce que Rudbeck avait fait (et payé cher), mais il semble être du même avis que les détracteurs de l’université de Rudbeck en concluant que l’homme était devenu fou dans sa quête. (Cela dit, je recommande fortement encore le livre de King.)

Les attaques sur Rudbeck par beaucoup de ses contemporains (Ils posaient une histoire suédoise plus docile, basée sur des écrits plus récents.) auraient été suffisantes pour conduire la plupart des hommes en colère, mais je ne vois rien à redire à sa thèse, et jusqu’à présent, aucune contradiction avec ce qui est connu de l’histoire ancienne suédoise et la géographie de la Baltique.

Un météore était tombé dans cette région.
Un météore était tombé dans cette région.

 

Le cratère de la météorite Siljan est localisé à 121 miles (198 km) au nord-ouest de Uppsala. Le physicien Thomas Gold (3) a décrit le forage dans le cratère Siljan, à la recherche d’hydrocarbures abiogenic profonds

Rudbeck a trouvé d’extrêmement hauts (géants) corps humain dans des tumulus à Old Uppsala, aussi il était devenu convaincu que c’était la capitale de l’Atlantide. Aujourd’hui, les monticules sont d’environ la moitié de la hauteur que ceux figurant dans l’image ci-dessous…

Les tertres de l'époque .
Les tertres de l’époque .

 

 

Situation du site.
Situation du site.

 

Les tumulus, situés juste à l’ouest de Gamla Uppsala sont à 2,7 miles (4,3 km) au nord de la cathédrale d’Uppsala. Ils peuvent aussi avoir été réhaussés quand l’eau s’est élevée. Le contour rouge dans l’image de premier plan correspond aux limites approximatives d’Uppsala au 17ème siècle. (Voir le schéma de la ville sur la page 8 dans le livre du roi.)

Voir l’excellente revue de Lars Walker du livre du roi à: http://brandywinebooks.net/?post_id=1899

Il serait intéressant de savoir si le détroit du Danemark a déjà été rendu non navigable à cause de la boue, de retour autour de 1500 avant notre ère. Si oui, y a-t-il des documents historiques sur le fait que les rivières et les précipitations qui alimentent la mer Baltique ont éclaté à travers les hypothétiques vasières ?

 

Y aurait-il une seule ou...plusieurs Atlantide?
Y aurait-il une seule ou…plusieurs Atlantide?

 

 

Les légendes partent toujours d'éléments de réalité.
Les légendes partent toujours d’éléments de réalité.