Pendant des années, la vie politique en Occident fut assez simple et se résumait principalement à un affrontement entre la droite et la gauche. Sociologiquement, la bourgeoisie et les personnes pourvues de fortune ou de revenus élevés étaient majoritairement de droite. Les personnes moins riches et notamment les ouvriers votaient à gauche.
Certes, la droite et la gauche n’étaient pas homogènes. En France, on avait essentiellement deux droites et deux gauches. A droite, il y avait la bourgeoisie libérale et atlantiste, d’une part, et les classes moyennes patriotes mais aussi attachées aux libertés, les gaullistes. A gauche, il y avait les socialistes et les radicaux, mélangeant des éléments de libéralisme et de socialisme étatique. Il y avait aussi l’extrême gauche dont la force majeure était le parti communiste français.
Ce paysage a été complètement bouleversé par trois phénomènes sociologiques majeurs, la globalisation de l’économie avec ses bénéficiaires et ses perdants, l’arrivée d’une immigration de masse de culture extra européenne, le développement d’une importante criminalité diversifiée lié à un déclin des valeurs et des institutions traditionnelles : la famille, l’église, les syndicats et partis politiques, le village du monde rural. Les institutions n’ont guère su s’adapter à la nouvelle situation et n’ont pas montré de force de résistance. Le tissu social s’est donc défait et déchiré. Il s’est défait parce que l’individualisme matérialiste et hédoniste est devenu une philosophie dominante. Il s’est déchiré car peu à peu les élites se sont coupées totalement du peuple, le dialogue devenant extrêmement difficile entre les deux nouvelles catégories montantes.
Cette opposition a conduit à l’affrontement entre deux conceptions du monde, celle des jouisseurs privilégiés ( les élites dominantes) et celle des souffrants déracinés. (le petit peuple). L’axe gauche droite s’est inversé et les élites défendent désormais des idées « de gauche » issues de mai 68.

De passage au Québec,cette année,ce pédophile avoué invité les québécois à rallier l’Union Européenne car,Nous,québécois,serions incapable d’être indépendants.
1/ l’idéologie des jouisseurs privilégiés (les élites dominantes).
Reprenant le schéma des quatre causes aristotéliciennes amendé par Heidegger, nous allons tenter de définir l’essence de l’idéologie des jouisseurs privilégiés par quatre pôles complémentaires : la cause matérielle de cette nouvelle classe sociale est indiscutablement le nomadisme. On est dans le cadre d’une idéologie cosmopolite : les hommes doivent être interchangeables pour le profit du système économique et l’attachement à un territoire est considéré comme un obstacle du passé à éradiquer. Les nouvelles élites vont donc diffamer toute attitude patriotique au nom de l’égalitarisme, de la non-discrimination (sauf par l’argent), de l’antiracisme, de la liberté illimitée d’aller et de venir par-delà les frontières.

Ce franc-maçon initié par son père Pierre Elioth Trudeau,pose ici au côté d’une jeune fille dénudée dans une manifestation.
Un bel exemple pour le peuple!
La cause formelle qui va déterminer l’orientation morale de la société est l’argent. L’argent est nomade, c’est le seul critère légitime de discrimination entre les hommes. L’argent va se retourner contre la famille. On est « childfree » (libre par rapport à la fonction parentale) car les enfants ne rapportent pas d’argent mais en coûtent. Le goût de l’argent va inciter à une criminalité croissante. Le sens de l’honneur et du sacrifice personnel est dévalorisé. Les vocations sacrificielles sont méprisées : le clergé et l’armée sont marginalisés car l’acquisition d’argent n’est pas au centre de leurs préoccupations. Le droit prend de l’importance car il convient de l’utiliser à des fins profitables. Le grand romancier russe Boulgakov choisit comme premier assistant du diable le juriste pervers qui transforme le mal en bien et vice versa. Le relativisme devient roi. Ce qui était autrefois considéré comme mal, la débauche illimitée, la désertion face à l’étranger, le mensonge utilisé par les commerçants comme par les politiques, deviennent des qualités : il faut « libérer » ses instincts de base gouvernés par le cerveau reptilien, il faut ne pas défendre sa patrie au nom du pacifisme et de l’amour de l’étranger, il faut masquer la vérité car elle n’est pas « politiquement correcte » et se méfier du peuple insuffisamment éclairé.

Ce médecin multimillionnaire a servi jadis,le gouvernement Harper comme espion et a aussi travaillé pour le régime d’Arabie Saoudite.
Du côté de la cause finale, qui donne du sens à l’existence, on va se contenter de l’utilitarisme, faisant de l’autre un objet à exploiter, on va promouvoir la consommation de masse. Comme l’homme vulgaire du marchand de Venise de Shakespeare, on veut « ce que beaucoup d’hommes désirent » et l’or passe avant tout. On va combattre toute forme de spiritualité organisée socialement, qui risquerait de dériver en institutions contraignantes. On fait cela au nom de belles idées comme « la laïcité » : Lénine avait vu là une idée géniale pour dissoudre la société « bourgeoise ». Mais c’est la bourgeoisie qui la première s’est écartée des valeurs de la religion au profit du nouveau Dieu : Mammon, l’argent !

Du côté de la cause efficiente, c’est-à-dire des hommes, l’idéologie des élites dominantes fait l’éloge de l’oligarchie, masquée sous le nom de la démocratie. Les oligarques considèrent que leurs privilèges de fortune ou de pouvoir sont justifiés par leurs mérites, comme le niais de Shakespeare dans le marchand de Venise. Le niais est suffisant et prétend à la fille du riche vénitien à cause de ses mérites. Il n’est pas question d’amour. Il n’est pas non plus question de se sacrifier à son pays. La première promotion de l’Ecole Nationale d’Administration s’appelait « France combattante ». Cela faisait allusion a combat de la libération face à l’Allemagne nazie. Aujourd’hui, cet idéal n’est plus à la mode. Il faudrait plutôt parler de « carrière méritante ». Le mérite est révéré ce qui est l’aspect positif mais ce mérite a pour seul objectif la satisfaction de l’égo. Dostoïevski dans les frères Karamazov met en scène un personnage à la fois niais, intelligent et suffisant qui déclare :
« Les crétins ont été mis sur terre pour être pillés et utilisés par les gens intelligents. »
C’est Rakitine, qui aujourd’hui aurait sans doute fait carrière de politicien dans les partis oligarchiques de droite ou de gauche.
On obtient ainsi un « monde » de significations qui a sa cohérence propre et est fermé à toute autre vision.
Le monde de l’idéologie des jouisseurs dominants :
L’argent
↑
Utilitarisme de l’égo ← Idéologie des élites → oligarques
↓
Nomadisme
Cette idéologie que l’on appelle souvent « le politiquement correct » permet aux dominants du moment de justifier leur domination et de dévaloriser les visions concurrentes. C’est la forme moderne du pharisaïsme auquel en son temps s’est heurté Jésus Christ.
2/ L’idéologie des souffrants déracinés

Après le terrible tremblement de terre qui a dévasté Haïti en 2010, de nombreux Haïtiens ont quitté leur île pour trouver refuge aux États-Unis. Le président américain de l’époque, Barack Obama, a alors accordé un statut de protection temporaire aux demandeurs d’asile haïtiens. Ce statut leur permet de vivre et de travailler légalement aux États-Unis.Quelque 58 000 réfugiés haïtiens en bénéficient, mais peut-être pas pour bien longtemps. Le nouveau président américain, Donald Trump, a menacé en mai dernier de leur retirer ce statut en janvier 2018. Du coup, ils craignent d’être déportés en Haïti sans plus de formalités.« Ce que les gens nous disent, c’est que même s’ils ont fait une demande d’asile en bonne et due forme, ils craignent d’être arrêtés ou expulsés en Haïti avant même d’être entendus sur le bien-fondé de leur demande aux États-Unis », explique Stéphane Hanfield, avocat en droit de l’immigration, en entrevue à ICI RDI mercredi.L’attrait du QuébecLa menace de l’administration Trump a poussé des centaines d’Haïtiens à passer illégalement la frontière avec le Canada. Ils ont choisi de se rendre au Québec plutôt que dans une autre province canadienne.
Les souffrants deviennent des dissidents face à l’idéologie des élites dominantes car leur souffrance leur fait voir l’évolution sociale d’une façon différente. Ils souffrent du déracinement provoqué par l’immigration, de l’insécurité face au crime mais aussi face au chômage. Ils souffrent de l’effondrement des valeurs traditionnelles qui donnaient du sens à leur existence. Dans le pire des cas, certains vont essayer de retrouver ce sens, dans une autre forme de crime : le terrorisme à prétexte religieux. Certains, de plus en plus nombreux, veulent résister au cancer social qui menace de submerger leur pays et leur civilisation : ce sont les résistants, qui souvent se regroupent dans les partis dit populistes et les associations identitaires.
La cause matérielle qui fait apparaitre l’idéologie des souffrants est le déracinement. Les gens ont quitté leurs villages pour beaucoup pour des raisons économiques et s’entassent dans des banlieues sans âme. Le village avait sa cohérence civilisatrice avec son église, son école, sa mairie, son château, ses petits commerces et exploitations agricoles, son monument aux morts et son cimetière. Ce monde humain a peu à peu disparu. Dans les banlieues sans âme ni religion se sont entassés des millions d’étrangers, à la culture étrangère aux traditions européennes. Ces populations déracinées sont tombées pour une part dans la délinquance ou la criminalité. Les Français d’origine ont entretemps perdu une partie de leur identité : on ne leur a pas enseigné l’histoire du pays ni appris à l’aimer.
La cause efficiente, les hommes est donc composée de victimes : victimes de la mondialisation et du chômage, victimes de l’insécurité, de la perte de l’environnement français habituel, victimes de l’immigration sur laquelle ils n’ont jamais été consultés. Ils s’aperçoivent que la démocratie a été confisquée : ils ne maitrisent plus rien et les puissants ne cessent de vouloir les culpabiliser. La culpabilisation est sociale (des pauvres types), morales (des racistes sans repentances), politiques (leurs choix sont diabolisés) culturelle (ils adhèrent à des valeurs du passé : la famille, leur condition d’homme ou de femme, leur nationalité, leur attachement à la morale des parents), économiques (ils ne sont pas « rentables » ou pas assez).
La cause finale est sentie confusément : les souffrants voudraient conserver leur être, leur identité et le monde nouveau leur oppose les seules valeurs de l’avoir, et veut leur imposer des principes dictatoriaux soit disant au nom des droits de l‘homme. Comme l’a bien vu le philosophe Schiller a propos de la révolution française, les principes servent à détruire les sentiments humains. Le marxisme est mort mais son moule d’origine, le jacobinisme révolutionnaire est toujours vivant avec tout son sectarisme. C’est au nom des principes de la révolution française que l’on impose au peuple le carcan du politiquement correct. La liberté a été dévoyée par la vanité. L’égalité par la férocité (la guillotine physique ou morale) et la fraternité par la vénalité (fraternité entre « frères » de partis sur le dos du peuple).
La cause formelle est alors l’esprit de résistance. Des clubs identitaires se forment, des partis populistes progressent de plus en plus. Certes, ils sont diabolisés, critiqués, calomniés. Ils ont aussi leurs défauts. Mais ils incarnent l’espoir d’un monde nouveau que les élites sont incapables de voir et de comprendre. Elles font appel à des experts pour tenter d’exorciser le mal. Mais ces experts, inconscients de leur rôle social de défense des jouisseurs privilégiés, ne sont que des charlatans.
On a alors le schéma suivant :
Esprit de résistance
↑
Conservation de l’être ← Idéologie des souffrants → victimes du système
↓
déracinement
3/ Un fossé se construit et le dialogue semble impossible

L’Occident est malade politiquement car ses bases sociologiques d’autrefois se sont effondrées. Il a produit lui-même cet effondrement, par sa pensée réductionniste ne voyant que le calcul économique et le droit, les deux alliés pour subordonner les souffrants et empêcher leur révolte. Mais les hommes ne sont pas que des « ressources humaines » (mot ignoble devenu courant dans les entreprises, évacuant le mot de « personnel » dans lequel il y avait encore des « personnes »). Les hommes ont une vie biologique, importante bien sûr, mais ils ont à la différence de l’animal une « existence » porteuse de sens. Or, l’existence de l’homme est tragique car il ne peut échapper à la mort. Mais il peut donner à sa vie le sens d’une mission pour sa famille, sa patrie et son Dieu. Cela, l’idéologie des jouisseurs dominants ne permet pas de le comprendre. Les dirigeants sont desséchés et regardent les souffrants de haut. Leur intelligence se consacre à la technique, au calcul et au droit, non sans succès d’ailleurs. Mais le cœur leur manque. Marx l’avait prédit : la religion est le cœur d’un monde sans cœur. Le monde sans cœur est toujours là mais on lui a retiré son remède spirituel. Pas de cœur donc peu de courage, ce qui est dramatique dans un monde qui reste celui de la lutte, comme le nouveau terrorisme le montre.
La société est divisée et le dialogue semble impossible. Dans les milieux bourgeois, on ne doit même pas parler de Trump ou du Front National. La haine sociale l’interdit : on est bien en présence d’une nouvelle lutte des classes. Pour sortir de cette situation, il faudrait une politique et des idées qui rassemblent : historiquement, cela a existé, cela s’appelle le patriotisme. La Russie de Poutine s’est engagée sur ce chemin, après de cruelles épreuves. Hâtons-nous de faire de même car le temps presse !
N’est-ce pas véritablement un pouvoir masqué qui gouverne les pays occidentaux aujourd’hui ?
Et en s’appuyant sur les loges franc-maçonniques, ne participent-t-il pas à cette confiscation du pouvoir sur les citoyens ? Ils ont des objectifs précis. L’instauration d’ une république avec comme religion la franc-maçonnerie. D’où la nécessité pour eux dedécatholiser les pays occidentaux. Pour y arriver, des opérations false flag sont nécessaires pour leur permettre d’installer leur dictature. Car comment empêcher autrement les gens de jouir de leur liberté de pensée et de l’exprimer ? Le chaos économique qui est volontairement organisé fait partie de ce plan diabolique. La terreur en sera la conséquence. De sombres jours sont devant nous si les Français ne se ressaisissent pas tout de suite !
Warren Buffet ne disait-il pas : « Il y a une guerre des classes, c’est un fait, mais c’est ma classe, la classe des riches qui mène cette guerre, et nous sommes en train de la gagner. » Une nouvelle guerre mondiale a commencé. C’est une guerre sociale et intérieure, une guerre d’élimination menée par une élite dirigeante composée de hauts financiers, de politiciens achetés et des plus grandes corporations, contre une population devenue pour cette élite trop nombreuse et inutilement coûteuse. Cette guerre se caractérise par l’instauration d’un nouvel esclavage appelé « libéralisme », et simultanément, par l’accroissement de la répression contre le citoyen ordinaire afin d’obtenir sa soumission. La « lutte des classes » prônée par Karl Marx était celle des pauvres contre les riches, des exploités contre les exploiteurs. Depuis 1980, la lutte des classes s’est inversée. C’est désormais une guerre des riches contre les pauvres. Son but est d’effacer un siècle de progrès social en occident, de décupler les profits des entreprises, et de permettre un enrichissement sans précédent des élites dirigeantes au détriment de la population ordinaire devenue une simple ressource à exploiter. Ceux qui dirigent actuellement le monde considèrent que la surpopulation menace leur pouvoir. Plus la population est nombreuse, plus elle risque d’échapper un jour au contrôle de la minorité qui gouverne, contre l’intérêt de la majorité. L’un des objectifs stratégiques de l’élite est de parvenir à un contrôle entièrement automatisé de la production de l’énergie et des ressources, en remplaçant progressivement l’ensemble des salariés par des machines. Le document sur les « armes silencieuses » est très clair à ce sujet:
Le document suivant a été publié dans la revue « America’s Promise Newsletter » en 1979, puis en annexe du livre « Behold a pale horse » de William Cooper en 1991.
Daté de Mai 1979, il est présenté par Cooper comme ayant été trouvé par un employé de Boeing le 7 Juillet 1986 dans un photocopieur IBM acheté à une vente de surplus militaire à la base aérienne de McChord.
Le document ne portait pas la mention de l’organisation dont il provenait, mais les dates citées désignaient le Groupe de Bildergerg, un « club de réflexion » qui rassemble des personnes extrêmement puissantes des mondes de la finance, de l’économie, et de la politique.
Le document se présente comme un « manuel de programmation » de la société, apparemment destiné aux nouveaux membres de l’organisation.
L’auteur réel du document est en fait Lyle Hartford Van Dyke, un activiste américain qui a également travaillé à la création de monnaies locales alternatives. Il a écrit le texte en 1979 et distribué quelques exemplaires à des amis. C’est l’un de ces exemplaires qui a été oublié dans la photocopieuse.
Mais l’important est que les stratégies qui sont décrites ici sont très largement appliquées dans les orientations de l’économie et de la société depuis plus de 40 ans, dans tous les pays occidentaux, et avec une remarquable synchronisation.
Voir mon article pour le document intégral complet🙁Livre numérique:William Cooper Armes Silentieuses)
LE NOUVEL ORDRE MONDIAL:UN PLAN SIONISTE FRANC MAÇON
Reste à se demander comment ces mondialistes ont pu s’organiser discrètement et prendre autant d’emprise au dépend des peuples ?
Pour le comprendre il faut relire entre autres la déclaration d’Adolphe Crémieux (1796-1880), Grand Maître du Grand Orient de France et Président de l’Alliance Israélite Universelle, qui fut deux fois ministre de la Justice en France : 1848 et 1870. Elle parut dans le Morning Post de Londres, le 6 septembre 1920 :
« L’union que nous désirons fonder sera une union juive universelle…En aucune circonstance, un Juif ne deviendra l’ami d’un Chrétien ou d’un Musulman avant qu’arrive le moment où la lumière de la foi juive, la seule religion de la raison brillera sur le monde entier. Dispersés parmi les autres nations, qui depuis un temps immémorial furent hostiles à nos droits et à nos intérêts, nous désirons d’abord être et rester immuablement juifs. Notre nationalité, c’est la religion de nos pères et nous ne reconnaissons aucune autre nationalité…L’enseignement juif doit s’étendre à toute la terre. Israélites ! Quelque endroit où le destin vous conduise, dispersés comme vous l’êtes sur toute la terre, vous devez toujours vous considérer comme faisant partie du peuple élu…La foi de vos pères est votre unique patriotisme, si vous reconnaissez qu’en dépit des nationalités que vous avez adoptées, vous restez et formez toujours et partout une seule et unique nation, si vous croyez que le judaïsme est la seule et unique vérité religieuse et politique, si vous êtes convaincus de cela, Israélites de l’univers, alors, venez, entendez notre appel, et envoyez nous votre adhésion. Notre cause est grande et sainte et son succès est assuré. Le catholicisme, notre ennemi de tous les temps, gît dans la poussière, mortellement frappé à la tête. Le filet qu’Israël jette actuellement sur le globe terrestre s’élargit et s’étend et les graves prophéties de nos livres saints vont enfin se réaliser. Le temps est proche où Jérusalem va devenir la maison de prière de toutes les nations et de tous les peuples, où la bannière unique du Dieu d’Israël sera déployée et hissée sur les rivages les plus lointains. Mettons à profit toutes les occasions. Notre puissance est immense : apprenons à adapter cette puissance à notre cause. Qu’avez-vous à craindre ? Le jour n’est pas éloigné où toutes les richesses, tous les trésors de la terre deviendront la propriété des enfants d’Israël. Un messianisme des temps nouveaux va surgir, la Jérusalem d’un nouvel ordre, sainte fondation entre l’Orient et l’Occident, doit se substituer au double empire des papes et des empereurs…A peine a-t-elle commencé son œuvre que l’influence de l’Alliance Israélite Universelle s’est faite sentir au loin. Elle ne se restreint pas seulement à notre culte, elle veut pénétrer dans toutes les religions comme elle a pénétré tous les pays. Les nationalités doivent disparaître, les religions doivent être supprimées. Israël, lui, ne doit pas disparaître car ce petit peuple est l’élu de Dieu. Dans tous les pays nous devons mettre les Juifs isolés en relation avec les autorités pour qu’à la première nouvelle d’une attaque nous puissions nous lever comme un seul homme… »
UNE IMAGE SUR UN RÉSEAU PÉDOPHILE MONDIAL
Cette idée de Nouvel Ordre Mondial sioniste n’est malheureusement pas encore bien perçue par les gens, même si une résistance commence à se faire sentir dans toute l’Europe et dans le monde entier :
Le 24 avril, le député européen d’extrême-gauche Daniel Cohn-Bendit, sioniste notoire, devait participer à un débat sur l’Europe à l’Institut de Politologie de l’université de Wroclaw, en Pologne. Face à la vague de protestations que cela a soulevé, et craignant sans doute d’y être conspué, il préféra annuler sa participation. Les protestataires reprochaient à cet invité d’avoir écrit dans son autobiographie Le Grand Bazar publiée en 1975, avoir eu des attouchements pédophiles avec des enfants de 5 ans d’une école maternelle de Francfort. Des aveux réitérés dans l’émission Apostrophes du 23 avril 1982 : «Vous savez, quand une petite fille de cinq ans et demi commence à vous déshabiller, c’est fantastique parce que c’est un jeu absolument érotico-maniaque… »
http://www.youtube.com/watch?v=0xOl9ok8nHY&feature=player_embedded
LA gauche est en gros sataniste et est relié à un vaste réseau pédophile!