Nouvel Ordre Mondial:La CIA entrouvre ses dossiers OVNIs

*Je dédie cet article à Richard Glenn ,en hommage  des 40 longues années  qu’il a consacré à nous informer sur les ovni et nombre d’autres sujets variés,dont les activités paranormales et l’ésotérisme.

 

Ovni,la CIA dispose d'imposants fichiers.
Ovni,la CIA dispose d’imposants fichiers.

Sous le titre « Jetez un coup d’oeil sur nos ‘X-Files, l’agence américaine de renseignement présente quelques dossiers que « les sceptiques comme Scully et les croyants comme Mulder pourront trouver intéressants ». Suivent cinq dossiers « qu’adorerait avoir Mulder » et cinq autres destinées à l’agent Scully, censés la confirmer dans son scepticisme. Contrairement à ce qui est affirmé ici ou là dans la presse, ces dossiers ne sont nullement inédits. Ils ont été déclassifiés en 1978, sous le mandat de Jimmy Carter, président d’autant plus sensible à cette question qu’il avait lui-même observé un OVNI en 1969. Les documents « Mulder » n’en sont pas moins intéressants car ils rappellent que même au début des années 50, les observations d’OVNIs n’étaient pas réservés aux seuls Etats-Unis. Les rapports proposés par la CIA concernent l’Allemagne de l’Est, l’Espagne, l’Afrique du Nord et même le Congo belge, avec le survol d’une mine d’uranium par des objets non identifiés en août 1952 .


HORS TEXTE

Ceci est un rapport concernant un article de presse Allemand, déclassifié et publié récemment sur le site web de la CIA. A cette époque, la CIA collectait toute information à propos des OVNIS provenant de l’étranger, y compris des articles de journaux, qui étaient résumés dans des rapports tels que celui-ci.

Ce rapport porte le numéro 00-W-23602, il a été distribué le 16 Août 1952, et sa diffusion publique a été approuvée le 6 November 1978.

Bien que non-vérifiée, ce récit est plutôt intéressant.

PUBLIE Vienne DATE DE PUBLICATION 29 Mar 1952 LANGAGE Allemand CETTE INFORMATION N'A PAS ETE EVALUEE SOURCE La Presse SOUCOUPES VOLANTES AU-DESSUS DE MINES D'URANIUM AU CONGO BELGE Récemment, deux disques ardants furent observés au dessus de la mine d'uranium située au sud du Congo Belge, dans le district de Elisabethville. Les disques glissaient dans des courbes élégantes et ont changés de positions à de nombreuses reprises, c'est pourquoi ils sont apparus comme plats, ovales, ou simplement comme des lignes pour les observateurs. Soudainement, les deux disques firent du sur-place en une position fixe, puis partirent en zig-zag vers le nord-est. Un sifflement pénétrant et un bourdonnement furent audibles par les témoins. L'observation complète dura 10 à 12 minutes. Le commandant Pierre du petit terrain d'aviation d'Elizabethville parti immédiatement avec son avion de chasse. A son premier passage il s'approcha à 120 métres d'un des deux disques. D'après ses estimations, la "soucoupe" avait un diamétre de 12 a 15 métres et avait la forme d'un disque. La partie centrale interne semblait absolument stable, une protubérance sortait du centre et plusieurs petites ouvertures furent nettement observées. L'anneau extérieure était complètement voilé par un feu et devait avoir une vitesse de rotation énorme. La couleur du métal était similaire a celle de l'alumimium. Les disques se déplaçaient de manière precise, aussi bien verticalement qu'horizontalement. Des changements d'altitudes, de 800 a 1000 pieds, pouvait être fait en quelques secondes. Les disques sont souvent descendus a une hauteur de 20 métres au dessus de la cime des arbres. Pierre ne pense pas que le disque puisse être occupé, car, d'après lui, sa vitesse irrégulière et sa chaleur interdiraient a quelqu'un de se tenir dans la partie centrale. Pierre poursuivit ces disques pendant 15 minutes quand il entendit un sifflement, malgré le bruit de son avion. Les disques disparurent en direction du lac Tanganyika. Il estima leur vitesse à 1500 kilomètres/heures. Pierre est un officier digne de confiance et un aviateur zélé. Il a donné un rapport détaillé a ces supérieurs, qui, étrangement, ont été d'accord de bien des manières avec plusieurs des résultats de recherches. ARCHIVAL RECORD PLEASE RETURN TO AGENCY ARCHIVES, [CENSORED]
PUBLIE Vienne
DATE DE PUBLICATION 29 Mar 1952
LANGAGE Allemand
CETTE INFORMATION N’A PAS ETE EVALUEE
SOURCE La Presse
SOUCOUPES VOLANTES AU-DESSUS DE MINES D’URANIUM AU CONGO BELGE
Récemment, deux disques ardants furent observés au dessus de la mine d’uranium située au sud du Congo Belge, dans le district de Elisabethville. Les disques glissaient dans des courbes élégantes et ont changés de positions à de nombreuses reprises, c’est pourquoi ils sont apparus comme plats, ovales, ou simplement comme des lignes pour les observateurs. Soudainement, les deux disques firent du sur-place en une position fixe, puis partirent en zig-zag vers le nord-est. Un sifflement pénétrant et un bourdonnement furent audibles par les témoins. L’observation complète dura 10 à 12 minutes.
Le commandant Pierre du petit terrain d’aviation d’Elizabethville parti immédiatement avec son avion de chasse. A son premier passage il s’approcha à 120 métres d’un des deux disques. D’après ses estimations, la « soucoupe » avait un diamétre de 12 a 15 métres et avait la forme d’un disque. La partie centrale interne semblait absolument stable, une protubérance sortait du centre et plusieurs petites ouvertures furent nettement observées. L’anneau extérieure était complètement voilé par un feu et devait avoir une vitesse de rotation énorme. La couleur du métal était similaire a celle de l’alumimium.
Les disques se déplaçaient de manière precise, aussi bien verticalement qu’horizontalement. Des changements d’altitudes, de 800 a 1000 pieds, pouvait être fait en quelques secondes. Les disques sont souvent descendus a une hauteur de 20 métres au dessus de la cime des arbres. Pierre ne pense pas que le disque puisse être occupé, car, d’après lui, sa vitesse irrégulière et sa chaleur interdiraient a quelqu’un de se tenir dans la partie centrale. Pierre poursuivit ces disques pendant 15 minutes quand il entendit un sifflement, malgré le bruit de son avion. Les disques disparurent en direction du lac Tanganyika. Il estima leur vitesse à 1500 kilomètres/heures.
Pierre est un officier digne de confiance et un aviateur zélé. Il a donné un rapport détaillé a ces supérieurs, qui, étrangement, ont été d’accord de bien des manières avec plusieurs des résultats de recherches.
ARCHIVAL RECORD
PLEASE RETURN TO AGENCY ARCHIVES, [CENSORED]

 


 

 

 

 

J. Allen Hynek, membre de la Commission Blue Book, ancien « Scully » métamorphosé en « Mulder »

Les cinq mémorandums qui devraient ravir l’agent Scully valent eux-aussi le détour. Car, loin de fournir une explication convaincante aux innombrables observations d’OVNIs durant cette période, ils montrent l’embarras et l’inquiétude des services de renseignement américains face aux soucoupes volantes. Alors qu’un document évoque un peu légèrement l’hypothèse d’une « folie de l’été », un mémo rédigé par le directeur de la CIA le 2 octobre 1952 souligne que, quelle que soit leur nature, les OVNIs présentent « deux éléments de danger dans une situation internationale tendue »: la possibilité qu’ils soient utilisés par un Etat ennemi comme une arme psychologique, et, surtout, les risques de confusion avec une « véritable alerte », autrement-dit une attaque de l’URSS. 

Les dix documents exhumés par la CIAdatent tous de 1952 et 1953, années particulièrement riches en « incidents » comme le mémorable carrousel de Washington. 1952 est surtout l’année de création du projet Blue Book,  la commission d’enquête sur les OVNI mise en place par l’US Air Force qui cessa ses activités en 1969 sur le constat que les OVNIs n’existent pas et que les cas résiduels inexpliqués ne le sont que par manque d’informations… Mais, comme le soulignait l’astronome J. Allen Hynek, membre démissionnaire de la Commission Blue Book, ancien « Scully » métamorphosé en « Mulder » en cours de route, les conclusions du Livre Bleu sont en contradiction flagrante avec son contenu: des dizaines de cas retenus par la commission sont irréductibles à des phénomènes connus, même avec toutes les « informations complémentaires » imaginables. 

La CIA n’avait que l’embarras du choix pour sélectionner ses mémos OVNIs

Pour quelle raison la CIA ressort-elle maintenant ces vieux dossiers, outre la volonté évidente d’améliorer son image en se faisant mousser sur le come-back d’« X-Files » ? L’agence se garde bien de trancher d’un côté ou de l’autre, renvoyant sceptiques à la Scully et croyants façon Mulder dos à dos. De plus, la CIA n’avait que l’embarras du choix pour sélectionner ses mémos OVNIs. Elle aurait pu aussi présenter aussi ce mémo d’août 1952 rédigé par le directeur de la Scientific Intelligence, Marshall Chadwell, et adressé au patron de la CIA, Walter Bedell Smith où l’on peut lire:

« En ce moment, les rapports d’incidents nous ont convaincus que quelque chose se déroule qui exige notre attention immédiate. Les observations d’objets inexplicables qui volent à haute altitude et à grande vitesse dans l’espace aérien des Etats-Unis sont de telle nature qu’ils ne peuvent être attribués à aucun phénomène naturel ou type de véhicule aérien connus. » 

Enfin, la CIA n’a pas toujours été aussi partageuse avec ses dossiers OVNIs. La plupart l’ont été par des particuliers tenaces qui ont fait valoir le loi sur la liberté de l’information pour obtenir des documents que l’agence rechignait à déclassifier. 

Mais voici ce qu’ils obtiennent parfois…

Mulder comme Scully seraient sans doute un peu agacés… 


IL Y A 1 AN,DÉBUT DE LA DIVULGATION

La presse internationale a annoncé récemment,en 2015,  la déclassification des 11 107 cas d’observations d’OVNIs étudiés par le projet Blue Book entre 1952 et 1969, sous l’égide de l’US Air Force. En réalité, ces documents étaient en accès libre depuis 2007 avant d’être convertis fin janvier en fichiers PDF, plus lisibles, par un ufologue, John Greenwald. Qui a dû les retirer presque aussitôt de son site sous peine de poursuites judiciaires…

La fameuse vague ovni des années '50 aura été marquée par le survol du Capitole en juillet 1952.
La fameuse vague ovni des années ’50 aura été marquée par le survol du Capitole en juillet 1952.

Le Projet Blue Book (Livre Bleu) est la plus vaste enquête officielle jamais lancée sur les OVNIs. Mais, pour certains, elle n’est qu’une opération de couverture destinée à masquer la réalité du phénomène. L’année de la création du Projet Blue Book coïncide avec un évènement ufologique qui a fasciné l’Amérique.

En 1952, le Pentagone ne sait plus où donner de la tête: les OVNIs sont partout. Cinq ans plus tôt l’observation du pilote Kenneth Arnold près du mont Renier a fait entrer les « soucoupes volantes » dans l’actualité et dans le vocabulaire courant. Depuis, les autorités sont débordées par les témoignages quotidiens qui suscitent autant d’enthousiasme que d’inquiétude dans la population. Les Etats-Unis sont-ils menacés par ces étranges objets dont les performances dépassent celles de tous les engins connus ? Le point d’orgue est atteint le soir du 19 juillet 1952. avec l’évènement dit du « carrousel de Washington »: jusqu’à 5 heures du matin, des objets lumineux se livrent à un incroyable ballet aérien au dessus de la Maison Blanche, du Pentagone et de la base de l’US Air Force de Andrew !

Les témoins visuels se comptent par centaines, quelques photographies sont prises et il existe même un film de cette « invasion ».

Les objets sont détectés par des radars civils et militaires. Les accélérations et les vitesses enregistrées sont hallucinantes: les intrus passent de 160km/h à plus de 10000 km/h en quelques secondes. Des avions de chasse décollent pour intercepter les appareils. Sans succès. La nuit du 26 juillet, les OVNIs sont de retour, survolant toujours le coeur du pouvoir civil et militaire américain. Là, encore les observations visuelles sont confirmées par les radars. Le Pentagone est sur la sellette. Le 29 juillet, l’US Air Force organise un conférence de presse et fournit l’explication que tout le monde attendait : aucun engin n’a survolé Washington. Les échos radars ont été provoqués par de banales inversions de température, phénomène météorologique bien connu: une couche d’air chaud prise en sandwich entre deux couches d’air froid aurait créé des mirages par réfraction lumineuse et des tracés radars fantômes.

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Cinq photos de l’écran radar du National Airport où apparaissent distinctement les objets qui ont survolé Washington. DR

Cette explication parvient à convaincre les journalistes et le grand public mais plusieurs scientifiques restent sceptiques comme le physicien et météorologue James E. McDonald qui a vérifié les données météos des 19 et 26 juillet et conclu que les conditions climatiques excluaient la formation d’inversions de températures. Quant aux techniciens radars, ils ont tout bonnement le sentiment d’être pris pour des idiots: en bons professionnels, ils savent identifier les faux échos radars qui sont des tâches floues et peu distinctes. Elles sont immobiles ou se déplacent lentement mais jamais ces blips fantômes ne se livrent aux extraordinaires prouesses aériennes enregistrées par les radars : accélérations fulgurantes, virages en épingle à cheveu, brusques changements d’altitude.

Gerald Ford: « Le public américain mérite une meilleure explication que celle fournie par l’US Air Force »

Ce carrousel de Washington a fourni à la commission d’enquête sur les OVNIs nouvellement créée par le gouvernement américain l’occasion de se faire les dents sur ce cas sans précédent et de peaufiner une méthodologie qui sera, par la suite, très critiquée. Le projet Blue Book, lancé en avril 1952 par l’US Air Force, a trois objectifs formulés par l’US Air Force : « Trouver une explication pour l’ensemble des témoignages d’observations d’ovnis, déterminer si les ovnis représentent une menace pour la sécurité des Etats-Unis ; déterminer si les ovnis présentent une technologie avancée que les États-Unis pourraient exploiter. » Mais au cours de ses 17 années d’existence jusqu’à sa dissolution en 1969, le projet Blue Book s’est surtout acharné à remplir son premier objectif: trouver une explication rationnelle et scientifique à tous les cas qui lui sont soumis, quitte à prendre quelques libertés avec les données brutes et les témoignages.

Cette volonté d’expliquer à tout prix  les observations par des méprises avec Vénus, la lune ou un avion finit par lasser certains membres du conseil scientifique qui quittent le projet Blue Book avec plus ou moins de fracas. Le départ le plus mémorable est celui de l’astrophysicien J. Allen Hynek, entré dès 1948 dans le projet Sign, premier avatar moins ambitieux de la commission Blue Book. Sceptique à l’origine, il déclare en 1948 que le sujet des « soucoupes volantes » est « ridicule »,  un « phénomène de mode qui s’éteindra bientôt ». Vingt ans plus tard, son opinion a bien changé : « Il conviendrait que l’US Air Force admette que le phénomène OVNI est un problème scientifique de dimension mondiale qui peut avoir une grande portée » écrit-il en 1968 dans une lettre furieuse adressée au colonel Raymond S. Sleeper, l’un des responsables du projet, où il déplore, entre autres, le manque de moyens alloué aux enquêteurs, les investigation bâclées et le peu de considération accordée aux témoins. J. Allen Hayek lui-même s’en est longtemps voulu d’avoir « expliqué » une observation très détaillée d’atterrissage d’OVNI en 1966 dans des marécages du Michigan par des « gaz des marais », des feus follets. L’hypothèse d’Hynek était si insuffisante, comme il l’a reconnu par la suite, que le futur président Gerald Ford, à l’époque représentant du Michigan au Congrès, avait protesté : « Le public américain mérite une meilleure explication que celle fournie par l’US Air Force ».

« L’US Air Force ne donnait pas aux OVNIs une chance d’exister, même s’ils survolaient une rue en plein jour »

 

Après avoir quitté la galère Blue Book, J. Allen Hayek, sans renoncer à sa carrière d’astrophysicien, est devenu l’un des ufologues les plus respectés et compétents d’un champ d’étude hélas délaissé par les scientifiques de haut niveau. Il a notamment mis au point la célèbre classification des observations d’OVNIs étalonnée entre Rencontre rapprochée du 1er type (RR1)  et Rencontre rapprochée du 3e type (RR3), qui a donné son titre au film de Steven Spielberg dont J. Allen Hayek était le conseiller scientifique.

Quand l’US Air Force a mis fin au projet Blue Book, le major Quantanilla, directeur de la commission, a déclaré : « 676 seulement des 11 107 observations signalées depuis 1947 sont inexpliquées… Il n’existe aucune preuve que les OVNIs encore inexpliqués constituent des créations technologiques ou des principes situés au-delà de notre connaissance scientifique actuelle ».

Bien différente est la conclusion de J. Allen Hayek qui en 1985, un an avant son décès, déplorait « l’attitude complètement fermée de l’Air Force. Ils ne donnaient pas aux OVNIs une chance d’exister, même s’ils survolaient une rue en plein jour. Tout doit avoir une explication. Je commençais à m’énerver, même si, à l’origine, je ressentais la même chose qu’eux, je savais maintenant qu’ils n’étaient pas sur la bonne voie. Vous ne pouvez supposer qu’une chose n’existe pas si vous n’avez pas de preuve. Deuxièmement, la qualité des témoins a commencé à me troubler. Quelques cas ont, par exemple, été rapportés par des pilotes militaires, et je savais qu’ils avaient été bien entraînés, c’est donc là que pour la première fois, j’ai pensé que peut-être, il y avait quelque chose derrière tout cela. »

Les 11 107 cas étudiés par le projet Blue Book et les quelque 100 000 documents (photos, dessins, manuscrits, films etc) sont en réalité en accès libre depuis 2007 sur le site des archives militaires américaines, Fold3. L’ufologue et militant de la déclassification, John Greenwald a converti ces documents difficiles à consulter en fichiers PDF plus simples d’accès sur son site Black Vault. Malheureusement, pour de sombres histoires de copyright, Fold3 a sommé John Greenwald de retirer les documents sous peine de poursuites judiciaires. Dommage : l’occasion était belle de vérifier de visu si le projet Blue Book est une banale compilation de méprises et de supercheries ou, comme le disait en privé, le colonel Raymond S. Sleeper, « a great big pain in the ass », « un truc qui fait très mal au c…»

…une histoire à suivre et que nous suivrons!


Quelques photos de la Grande Vague Ovni de 1952

 

La une du journal de Washington du 29 juillet 1952.
La une du journal de Washington du 29 juillet 1952.

 

La célèbre photo de Coltons Point montrant les ovni au-dessus de Washington.
La célèbre photo de Coltons Point montrant les ovni au-dessus de Washington.

 

La circulation des ovnis sur l'écran radar surveillant la ville de washington en ce 28 juillet 1952.
La circulation des ovnis sur l’écran radar surveillant la ville de washington en ce 28 juillet 1952.

 

Photo prise de la Station des Gardes-côtes de Salem en 1952.
Photo prise de la Station des Gardes-côtes de Salem en 1952.

 

Même l'aviation militaire pris cette photo au-dessus de la Corée du Nord en 1952.
Même l’aviation militaire pris cette photo au-dessus de la Corée du Nord en 1952.

 

Le 19 juillet 1952,on prit cette photo  d'un cigare volant au-dessus de puerto Maldonaldo au Pérou.
Le 19 juillet 1952,on prit cette photo d’un cigare volant au-dessus de Puerto Maldonaldo au Pérou.

 

Au nord de l'Italie,un témoin prit cette photo qui nous montre un humanoïde...pour une première fois.
Au nord de l’Italie,un témoin prit cette photo qui nous montre un humanoïde…pour une première fois.

 

Ovni photographié à Atlantic City,au New Jersey le 28 juillet 1952.
Ovni photographié à Atlantic City,au New Jersey le 28 juillet 1952.

 

 

Le 13 décembre 1952,Georges Adamsky prit cette photo près du mont Palomar. Cette ovni correspond parfaitement au dessin d'un ovni nazi du nom de Hanebu développé sous les bons services deMaria Orsic.Il  sagit de technologie pléadienne.
Le 13 décembre 1952,Georges Adamsky prit cette photo près du mont Palomar.
Cette ovni correspond parfaitement au dessin d’un ovni nazi du nom de Hanebu développé sous les bons services deMaria Orsic.Il sagit de technologie pléadienne.

 

Comparaison entre l'ovni photographié par Adamsky et  un dessin des archives du Troisième Reich.
Comparaison entre l’ovni photographié par Adamsky et un dessin des archives du Troisième Reich.

 

Au-dessus du brésil...1952.
Au-dessus du brésil…1952.

 

Roland hugues ,pilote de l'US Air Force ,fit dessiner l'ovni qu'il prit en chasse au-dessus de Washington,en juillet 1952.
Roland Hugues ,pilote de l’US Air Force ,fit dessiner,sur son chasseur, l’ovni qu’il prit en chasse au-dessus de Washington,en juillet 1952.

 

Keffel et martins,2 chercheurs de l'époque,examinent les  négatifs des photos de l'ovni prises au-dessus de Barra da  Tijuca ,au Brésil.
Keffel et martins,2 chercheurs de l’époque,examinent les négatifs des photos de l’ovni prises au-dessus de Barra da Tijuca ,au Brésil.

 

Agrandissement de la photo  principale de l"ovni aperçu le 7 mai 1952 au-dessus de barra  da tijuca au brésil.
Agrandissement de la photo principale de l »ovni aperçu le 7 mai 1952 au-dessus de barra da tijuca au brésil.

 

 

cet appareil est issu de la technologie extraterrestre mise au point par les allemands durant la Deuxième guerre mondiale...sous le nom de Horten.
cet appareil est issu de la technologie extraterrestre mise au point par les allemands durant la Deuxième guerre mondiale…sous le nom de Horten.

 

Le 25 juillet 1952,cet ovni fut photographié au-dessus de Portsmouth,Massachusetts.
Le 25 juillet 1952,cet ovni fut photographié au-dessus de Portsmouth,Massachusetts.

 

Sources:le site de la CIA sous ce lien: Disclosure

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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