Dévoilement inattendu:La CIA publie enfin des documents secrets sur les OVNI

La CIA vient de déclassifier et quelques 930.000 documents secrets datant de sa création à aujourd’hui et a rendu le tout accessible avec un moteur de recherche dédié. Parmi ces documents, on trouve des photographies de soucoupes volantes, ou plus précisément d’OVNI, et des détails sur le projet d’expériences psychiques nommés « Stargate » entre autres perles. 

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En 1995, Bill Clinton signait un document qui allait permettre d’accéder à une montagne d’archives secrètes datant de plus de 25 ans. « Normalement », car la CIA s’est immédiatement exécutée, mais, volontairement, on imagine, avec la pire des volontés du monde : ces archives n’étaient accessibles qu’entre 9h et 16h30 sur 4 ordinateurs d’une salle des archives nationales. Alimentant tout un tas de théories du complot…

Alors en 2014, une association américaine, Muckroach, a trainé l’agence de renseignement américaine en justice pour que celle-ci publie enfin ses « x-files ». L’association a eu le soutien de la NSA et d’un journaliste qui souhaitait lui aussi obtenir une copie de ces documents, Michael Best. Et cette année, victoire : l’agence les a enfin mis en ligne, et on peut librement les consulter avec un moteur de recherche dédié.

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En tout ce sont plus de 12 millions de pages qui sont disponibles. N’espérez cependant pas y trouver de vrais secrets d’Etat : les documents ont été dument relus et expurgés de contenu trop sensible. Alors on y trouve pêle-mêle des observations d’OVNI supposés avec des photos de piètre qualité, des documents au sujet d’un tunnel secret entre Berlin Est et Ouest construit par la CIA durant la guerre, et un mystérieux programme Star Gate entre autres perles.

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Ce dernier programme ne révèle pas l’existence d’une vraie porte des étoiles mais plutôt des expériences de télépathie (oui oui!). Evidemment, ce contenu est à prendre avec des pincettes, et il est important de lire les textes des documents pour vraiment comprendre ce dont il est question. On vous a mis pour le plaisir des yeux quelques photos d’OVNI d’un document faisant partie de ces fichiers.

 

Le même document donne à chaque fois des explications rationnelles à ces phénomènes, et montre aussi un étonnant véhicule estampillé US Air Force dont la forme évoque une soucoupe volante ! Pour naviguer dans les méandres de ces fichiers, suivez tout simplement le lien Via en bas de cet article.

 

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VIA

 

 

Nouvel Ordre Mondial:La CIA entrouvre ses dossiers OVNIs

*Je dédie cet article à Richard Glenn ,en hommage  des 40 longues années  qu’il a consacré à nous informer sur les ovni et nombre d’autres sujets variés,dont les activités paranormales et l’ésotérisme.

 

Ovni,la CIA dispose d'imposants fichiers.
Ovni,la CIA dispose d’imposants fichiers.

Sous le titre « Jetez un coup d’oeil sur nos ‘X-Files, l’agence américaine de renseignement présente quelques dossiers que « les sceptiques comme Scully et les croyants comme Mulder pourront trouver intéressants ». Suivent cinq dossiers « qu’adorerait avoir Mulder » et cinq autres destinées à l’agent Scully, censés la confirmer dans son scepticisme. Contrairement à ce qui est affirmé ici ou là dans la presse, ces dossiers ne sont nullement inédits. Ils ont été déclassifiés en 1978, sous le mandat de Jimmy Carter, président d’autant plus sensible à cette question qu’il avait lui-même observé un OVNI en 1969. Les documents « Mulder » n’en sont pas moins intéressants car ils rappellent que même au début des années 50, les observations d’OVNIs n’étaient pas réservés aux seuls Etats-Unis. Les rapports proposés par la CIA concernent l’Allemagne de l’Est, l’Espagne, l’Afrique du Nord et même le Congo belge, avec le survol d’une mine d’uranium par des objets non identifiés en août 1952 .


HORS TEXTE

Ceci est un rapport concernant un article de presse Allemand, déclassifié et publié récemment sur le site web de la CIA. A cette époque, la CIA collectait toute information à propos des OVNIS provenant de l’étranger, y compris des articles de journaux, qui étaient résumés dans des rapports tels que celui-ci.

Ce rapport porte le numéro 00-W-23602, il a été distribué le 16 Août 1952, et sa diffusion publique a été approuvée le 6 November 1978.

Bien que non-vérifiée, ce récit est plutôt intéressant.

PUBLIE Vienne DATE DE PUBLICATION 29 Mar 1952 LANGAGE Allemand CETTE INFORMATION N'A PAS ETE EVALUEE SOURCE La Presse SOUCOUPES VOLANTES AU-DESSUS DE MINES D'URANIUM AU CONGO BELGE Récemment, deux disques ardants furent observés au dessus de la mine d'uranium située au sud du Congo Belge, dans le district de Elisabethville. Les disques glissaient dans des courbes élégantes et ont changés de positions à de nombreuses reprises, c'est pourquoi ils sont apparus comme plats, ovales, ou simplement comme des lignes pour les observateurs. Soudainement, les deux disques firent du sur-place en une position fixe, puis partirent en zig-zag vers le nord-est. Un sifflement pénétrant et un bourdonnement furent audibles par les témoins. L'observation complète dura 10 à 12 minutes. Le commandant Pierre du petit terrain d'aviation d'Elizabethville parti immédiatement avec son avion de chasse. A son premier passage il s'approcha à 120 métres d'un des deux disques. D'après ses estimations, la "soucoupe" avait un diamétre de 12 a 15 métres et avait la forme d'un disque. La partie centrale interne semblait absolument stable, une protubérance sortait du centre et plusieurs petites ouvertures furent nettement observées. L'anneau extérieure était complètement voilé par un feu et devait avoir une vitesse de rotation énorme. La couleur du métal était similaire a celle de l'alumimium. Les disques se déplaçaient de manière precise, aussi bien verticalement qu'horizontalement. Des changements d'altitudes, de 800 a 1000 pieds, pouvait être fait en quelques secondes. Les disques sont souvent descendus a une hauteur de 20 métres au dessus de la cime des arbres. Pierre ne pense pas que le disque puisse être occupé, car, d'après lui, sa vitesse irrégulière et sa chaleur interdiraient a quelqu'un de se tenir dans la partie centrale. Pierre poursuivit ces disques pendant 15 minutes quand il entendit un sifflement, malgré le bruit de son avion. Les disques disparurent en direction du lac Tanganyika. Il estima leur vitesse à 1500 kilomètres/heures. Pierre est un officier digne de confiance et un aviateur zélé. Il a donné un rapport détaillé a ces supérieurs, qui, étrangement, ont été d'accord de bien des manières avec plusieurs des résultats de recherches. ARCHIVAL RECORD PLEASE RETURN TO AGENCY ARCHIVES, [CENSORED]
PUBLIE Vienne
DATE DE PUBLICATION 29 Mar 1952
LANGAGE Allemand
CETTE INFORMATION N’A PAS ETE EVALUEE
SOURCE La Presse
SOUCOUPES VOLANTES AU-DESSUS DE MINES D’URANIUM AU CONGO BELGE
Récemment, deux disques ardants furent observés au dessus de la mine d’uranium située au sud du Congo Belge, dans le district de Elisabethville. Les disques glissaient dans des courbes élégantes et ont changés de positions à de nombreuses reprises, c’est pourquoi ils sont apparus comme plats, ovales, ou simplement comme des lignes pour les observateurs. Soudainement, les deux disques firent du sur-place en une position fixe, puis partirent en zig-zag vers le nord-est. Un sifflement pénétrant et un bourdonnement furent audibles par les témoins. L’observation complète dura 10 à 12 minutes.
Le commandant Pierre du petit terrain d’aviation d’Elizabethville parti immédiatement avec son avion de chasse. A son premier passage il s’approcha à 120 métres d’un des deux disques. D’après ses estimations, la « soucoupe » avait un diamétre de 12 a 15 métres et avait la forme d’un disque. La partie centrale interne semblait absolument stable, une protubérance sortait du centre et plusieurs petites ouvertures furent nettement observées. L’anneau extérieure était complètement voilé par un feu et devait avoir une vitesse de rotation énorme. La couleur du métal était similaire a celle de l’alumimium.
Les disques se déplaçaient de manière precise, aussi bien verticalement qu’horizontalement. Des changements d’altitudes, de 800 a 1000 pieds, pouvait être fait en quelques secondes. Les disques sont souvent descendus a une hauteur de 20 métres au dessus de la cime des arbres. Pierre ne pense pas que le disque puisse être occupé, car, d’après lui, sa vitesse irrégulière et sa chaleur interdiraient a quelqu’un de se tenir dans la partie centrale. Pierre poursuivit ces disques pendant 15 minutes quand il entendit un sifflement, malgré le bruit de son avion. Les disques disparurent en direction du lac Tanganyika. Il estima leur vitesse à 1500 kilomètres/heures.
Pierre est un officier digne de confiance et un aviateur zélé. Il a donné un rapport détaillé a ces supérieurs, qui, étrangement, ont été d’accord de bien des manières avec plusieurs des résultats de recherches.
ARCHIVAL RECORD
PLEASE RETURN TO AGENCY ARCHIVES, [CENSORED]

 


 

 

 

 

J. Allen Hynek, membre de la Commission Blue Book, ancien « Scully » métamorphosé en « Mulder »

Les cinq mémorandums qui devraient ravir l’agent Scully valent eux-aussi le détour. Car, loin de fournir une explication convaincante aux innombrables observations d’OVNIs durant cette période, ils montrent l’embarras et l’inquiétude des services de renseignement américains face aux soucoupes volantes. Alors qu’un document évoque un peu légèrement l’hypothèse d’une « folie de l’été », un mémo rédigé par le directeur de la CIA le 2 octobre 1952 souligne que, quelle que soit leur nature, les OVNIs présentent « deux éléments de danger dans une situation internationale tendue »: la possibilité qu’ils soient utilisés par un Etat ennemi comme une arme psychologique, et, surtout, les risques de confusion avec une « véritable alerte », autrement-dit une attaque de l’URSS. 

Les dix documents exhumés par la CIAdatent tous de 1952 et 1953, années particulièrement riches en « incidents » comme le mémorable carrousel de Washington. 1952 est surtout l’année de création du projet Blue Book,  la commission d’enquête sur les OVNI mise en place par l’US Air Force qui cessa ses activités en 1969 sur le constat que les OVNIs n’existent pas et que les cas résiduels inexpliqués ne le sont que par manque d’informations… Mais, comme le soulignait l’astronome J. Allen Hynek, membre démissionnaire de la Commission Blue Book, ancien « Scully » métamorphosé en « Mulder » en cours de route, les conclusions du Livre Bleu sont en contradiction flagrante avec son contenu: des dizaines de cas retenus par la commission sont irréductibles à des phénomènes connus, même avec toutes les « informations complémentaires » imaginables. 

La CIA n’avait que l’embarras du choix pour sélectionner ses mémos OVNIs

Pour quelle raison la CIA ressort-elle maintenant ces vieux dossiers, outre la volonté évidente d’améliorer son image en se faisant mousser sur le come-back d’« X-Files » ? L’agence se garde bien de trancher d’un côté ou de l’autre, renvoyant sceptiques à la Scully et croyants façon Mulder dos à dos. De plus, la CIA n’avait que l’embarras du choix pour sélectionner ses mémos OVNIs. Elle aurait pu aussi présenter aussi ce mémo d’août 1952 rédigé par le directeur de la Scientific Intelligence, Marshall Chadwell, et adressé au patron de la CIA, Walter Bedell Smith où l’on peut lire:

« En ce moment, les rapports d’incidents nous ont convaincus que quelque chose se déroule qui exige notre attention immédiate. Les observations d’objets inexplicables qui volent à haute altitude et à grande vitesse dans l’espace aérien des Etats-Unis sont de telle nature qu’ils ne peuvent être attribués à aucun phénomène naturel ou type de véhicule aérien connus. » 

Enfin, la CIA n’a pas toujours été aussi partageuse avec ses dossiers OVNIs. La plupart l’ont été par des particuliers tenaces qui ont fait valoir le loi sur la liberté de l’information pour obtenir des documents que l’agence rechignait à déclassifier. 

Mais voici ce qu’ils obtiennent parfois…

Mulder comme Scully seraient sans doute un peu agacés… 


IL Y A 1 AN,DÉBUT DE LA DIVULGATION

La presse internationale a annoncé récemment,en 2015,  la déclassification des 11 107 cas d’observations d’OVNIs étudiés par le projet Blue Book entre 1952 et 1969, sous l’égide de l’US Air Force. En réalité, ces documents étaient en accès libre depuis 2007 avant d’être convertis fin janvier en fichiers PDF, plus lisibles, par un ufologue, John Greenwald. Qui a dû les retirer presque aussitôt de son site sous peine de poursuites judiciaires…

La fameuse vague ovni des années '50 aura été marquée par le survol du Capitole en juillet 1952.
La fameuse vague ovni des années ’50 aura été marquée par le survol du Capitole en juillet 1952.

Le Projet Blue Book (Livre Bleu) est la plus vaste enquête officielle jamais lancée sur les OVNIs. Mais, pour certains, elle n’est qu’une opération de couverture destinée à masquer la réalité du phénomène. L’année de la création du Projet Blue Book coïncide avec un évènement ufologique qui a fasciné l’Amérique.

En 1952, le Pentagone ne sait plus où donner de la tête: les OVNIs sont partout. Cinq ans plus tôt l’observation du pilote Kenneth Arnold près du mont Renier a fait entrer les « soucoupes volantes » dans l’actualité et dans le vocabulaire courant. Depuis, les autorités sont débordées par les témoignages quotidiens qui suscitent autant d’enthousiasme que d’inquiétude dans la population. Les Etats-Unis sont-ils menacés par ces étranges objets dont les performances dépassent celles de tous les engins connus ? Le point d’orgue est atteint le soir du 19 juillet 1952. avec l’évènement dit du « carrousel de Washington »: jusqu’à 5 heures du matin, des objets lumineux se livrent à un incroyable ballet aérien au dessus de la Maison Blanche, du Pentagone et de la base de l’US Air Force de Andrew !

Les témoins visuels se comptent par centaines, quelques photographies sont prises et il existe même un film de cette « invasion ».

Les objets sont détectés par des radars civils et militaires. Les accélérations et les vitesses enregistrées sont hallucinantes: les intrus passent de 160km/h à plus de 10000 km/h en quelques secondes. Des avions de chasse décollent pour intercepter les appareils. Sans succès. La nuit du 26 juillet, les OVNIs sont de retour, survolant toujours le coeur du pouvoir civil et militaire américain. Là, encore les observations visuelles sont confirmées par les radars. Le Pentagone est sur la sellette. Le 29 juillet, l’US Air Force organise un conférence de presse et fournit l’explication que tout le monde attendait : aucun engin n’a survolé Washington. Les échos radars ont été provoqués par de banales inversions de température, phénomène météorologique bien connu: une couche d’air chaud prise en sandwich entre deux couches d’air froid aurait créé des mirages par réfraction lumineuse et des tracés radars fantômes.

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Cinq photos de l’écran radar du National Airport où apparaissent distinctement les objets qui ont survolé Washington. DR

Cette explication parvient à convaincre les journalistes et le grand public mais plusieurs scientifiques restent sceptiques comme le physicien et météorologue James E. McDonald qui a vérifié les données météos des 19 et 26 juillet et conclu que les conditions climatiques excluaient la formation d’inversions de températures. Quant aux techniciens radars, ils ont tout bonnement le sentiment d’être pris pour des idiots: en bons professionnels, ils savent identifier les faux échos radars qui sont des tâches floues et peu distinctes. Elles sont immobiles ou se déplacent lentement mais jamais ces blips fantômes ne se livrent aux extraordinaires prouesses aériennes enregistrées par les radars : accélérations fulgurantes, virages en épingle à cheveu, brusques changements d’altitude.

Gerald Ford: « Le public américain mérite une meilleure explication que celle fournie par l’US Air Force »

Ce carrousel de Washington a fourni à la commission d’enquête sur les OVNIs nouvellement créée par le gouvernement américain l’occasion de se faire les dents sur ce cas sans précédent et de peaufiner une méthodologie qui sera, par la suite, très critiquée. Le projet Blue Book, lancé en avril 1952 par l’US Air Force, a trois objectifs formulés par l’US Air Force : « Trouver une explication pour l’ensemble des témoignages d’observations d’ovnis, déterminer si les ovnis représentent une menace pour la sécurité des Etats-Unis ; déterminer si les ovnis présentent une technologie avancée que les États-Unis pourraient exploiter. » Mais au cours de ses 17 années d’existence jusqu’à sa dissolution en 1969, le projet Blue Book s’est surtout acharné à remplir son premier objectif: trouver une explication rationnelle et scientifique à tous les cas qui lui sont soumis, quitte à prendre quelques libertés avec les données brutes et les témoignages.

Cette volonté d’expliquer à tout prix  les observations par des méprises avec Vénus, la lune ou un avion finit par lasser certains membres du conseil scientifique qui quittent le projet Blue Book avec plus ou moins de fracas. Le départ le plus mémorable est celui de l’astrophysicien J. Allen Hynek, entré dès 1948 dans le projet Sign, premier avatar moins ambitieux de la commission Blue Book. Sceptique à l’origine, il déclare en 1948 que le sujet des « soucoupes volantes » est « ridicule »,  un « phénomène de mode qui s’éteindra bientôt ». Vingt ans plus tard, son opinion a bien changé : « Il conviendrait que l’US Air Force admette que le phénomène OVNI est un problème scientifique de dimension mondiale qui peut avoir une grande portée » écrit-il en 1968 dans une lettre furieuse adressée au colonel Raymond S. Sleeper, l’un des responsables du projet, où il déplore, entre autres, le manque de moyens alloué aux enquêteurs, les investigation bâclées et le peu de considération accordée aux témoins. J. Allen Hayek lui-même s’en est longtemps voulu d’avoir « expliqué » une observation très détaillée d’atterrissage d’OVNI en 1966 dans des marécages du Michigan par des « gaz des marais », des feus follets. L’hypothèse d’Hynek était si insuffisante, comme il l’a reconnu par la suite, que le futur président Gerald Ford, à l’époque représentant du Michigan au Congrès, avait protesté : « Le public américain mérite une meilleure explication que celle fournie par l’US Air Force ».

« L’US Air Force ne donnait pas aux OVNIs une chance d’exister, même s’ils survolaient une rue en plein jour »

 

Après avoir quitté la galère Blue Book, J. Allen Hayek, sans renoncer à sa carrière d’astrophysicien, est devenu l’un des ufologues les plus respectés et compétents d’un champ d’étude hélas délaissé par les scientifiques de haut niveau. Il a notamment mis au point la célèbre classification des observations d’OVNIs étalonnée entre Rencontre rapprochée du 1er type (RR1)  et Rencontre rapprochée du 3e type (RR3), qui a donné son titre au film de Steven Spielberg dont J. Allen Hayek était le conseiller scientifique.

Quand l’US Air Force a mis fin au projet Blue Book, le major Quantanilla, directeur de la commission, a déclaré : « 676 seulement des 11 107 observations signalées depuis 1947 sont inexpliquées… Il n’existe aucune preuve que les OVNIs encore inexpliqués constituent des créations technologiques ou des principes situés au-delà de notre connaissance scientifique actuelle ».

Bien différente est la conclusion de J. Allen Hayek qui en 1985, un an avant son décès, déplorait « l’attitude complètement fermée de l’Air Force. Ils ne donnaient pas aux OVNIs une chance d’exister, même s’ils survolaient une rue en plein jour. Tout doit avoir une explication. Je commençais à m’énerver, même si, à l’origine, je ressentais la même chose qu’eux, je savais maintenant qu’ils n’étaient pas sur la bonne voie. Vous ne pouvez supposer qu’une chose n’existe pas si vous n’avez pas de preuve. Deuxièmement, la qualité des témoins a commencé à me troubler. Quelques cas ont, par exemple, été rapportés par des pilotes militaires, et je savais qu’ils avaient été bien entraînés, c’est donc là que pour la première fois, j’ai pensé que peut-être, il y avait quelque chose derrière tout cela. »

Les 11 107 cas étudiés par le projet Blue Book et les quelque 100 000 documents (photos, dessins, manuscrits, films etc) sont en réalité en accès libre depuis 2007 sur le site des archives militaires américaines, Fold3. L’ufologue et militant de la déclassification, John Greenwald a converti ces documents difficiles à consulter en fichiers PDF plus simples d’accès sur son site Black Vault. Malheureusement, pour de sombres histoires de copyright, Fold3 a sommé John Greenwald de retirer les documents sous peine de poursuites judiciaires. Dommage : l’occasion était belle de vérifier de visu si le projet Blue Book est une banale compilation de méprises et de supercheries ou, comme le disait en privé, le colonel Raymond S. Sleeper, « a great big pain in the ass », « un truc qui fait très mal au c…»

…une histoire à suivre et que nous suivrons!


Quelques photos de la Grande Vague Ovni de 1952

 

La une du journal de Washington du 29 juillet 1952.
La une du journal de Washington du 29 juillet 1952.

 

La célèbre photo de Coltons Point montrant les ovni au-dessus de Washington.
La célèbre photo de Coltons Point montrant les ovni au-dessus de Washington.

 

La circulation des ovnis sur l'écran radar surveillant la ville de washington en ce 28 juillet 1952.
La circulation des ovnis sur l’écran radar surveillant la ville de washington en ce 28 juillet 1952.

 

Photo prise de la Station des Gardes-côtes de Salem en 1952.
Photo prise de la Station des Gardes-côtes de Salem en 1952.

 

Même l'aviation militaire pris cette photo au-dessus de la Corée du Nord en 1952.
Même l’aviation militaire pris cette photo au-dessus de la Corée du Nord en 1952.

 

Le 19 juillet 1952,on prit cette photo  d'un cigare volant au-dessus de puerto Maldonaldo au Pérou.
Le 19 juillet 1952,on prit cette photo d’un cigare volant au-dessus de Puerto Maldonaldo au Pérou.

 

Au nord de l'Italie,un témoin prit cette photo qui nous montre un humanoïde...pour une première fois.
Au nord de l’Italie,un témoin prit cette photo qui nous montre un humanoïde…pour une première fois.

 

Ovni photographié à Atlantic City,au New Jersey le 28 juillet 1952.
Ovni photographié à Atlantic City,au New Jersey le 28 juillet 1952.

 

 

Le 13 décembre 1952,Georges Adamsky prit cette photo près du mont Palomar. Cette ovni correspond parfaitement au dessin d'un ovni nazi du nom de Hanebu développé sous les bons services deMaria Orsic.Il  sagit de technologie pléadienne.
Le 13 décembre 1952,Georges Adamsky prit cette photo près du mont Palomar.
Cette ovni correspond parfaitement au dessin d’un ovni nazi du nom de Hanebu développé sous les bons services deMaria Orsic.Il sagit de technologie pléadienne.

 

Comparaison entre l'ovni photographié par Adamsky et  un dessin des archives du Troisième Reich.
Comparaison entre l’ovni photographié par Adamsky et un dessin des archives du Troisième Reich.

 

Au-dessus du brésil...1952.
Au-dessus du brésil…1952.

 

Roland hugues ,pilote de l'US Air Force ,fit dessiner l'ovni qu'il prit en chasse au-dessus de Washington,en juillet 1952.
Roland Hugues ,pilote de l’US Air Force ,fit dessiner,sur son chasseur, l’ovni qu’il prit en chasse au-dessus de Washington,en juillet 1952.

 

Keffel et martins,2 chercheurs de l'époque,examinent les  négatifs des photos de l'ovni prises au-dessus de Barra da  Tijuca ,au Brésil.
Keffel et martins,2 chercheurs de l’époque,examinent les négatifs des photos de l’ovni prises au-dessus de Barra da Tijuca ,au Brésil.

 

Agrandissement de la photo  principale de l"ovni aperçu le 7 mai 1952 au-dessus de barra  da tijuca au brésil.
Agrandissement de la photo principale de l »ovni aperçu le 7 mai 1952 au-dessus de barra da tijuca au brésil.

 

 

cet appareil est issu de la technologie extraterrestre mise au point par les allemands durant la Deuxième guerre mondiale...sous le nom de Horten.
cet appareil est issu de la technologie extraterrestre mise au point par les allemands durant la Deuxième guerre mondiale…sous le nom de Horten.

 

Le 25 juillet 1952,cet ovni fut photographié au-dessus de Portsmouth,Massachusetts.
Le 25 juillet 1952,cet ovni fut photographié au-dessus de Portsmouth,Massachusetts.

 

Sources:le site de la CIA sous ce lien: Disclosure

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Les ovnis du 27 octobre 1954 lors du match de football de la Fiorentina

Les ovnis du 27 octobre 1954 lors du match de football de la Fiorentina

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Ci-dessus, ces joueurs se souviennent toujours des ovnis du 27 octobre 1954…

 

Lire l’article et voir la photo des joueurs mis en ligne le 04 janvier 2013 sur le site ici. La photo aussi ci-dessus… :

 

http://www.bbc.co.uk/sport/0/football/20917594

Source:Le blog de Christian Macé : lien sur Ovni-paranormal

Technologie extraterrestre: Maria Orsic et la Société du Vril

 

 

 

Le logo de la Société du Vril
Le logo de la Société du Vril

 

 

 

La Société Vril « Alldeutsche Gesellschaft für Metaphysik » de son nom original, fut fondée par une bien mystérieuse jeune femme, du nom de Maria Orsic. Maria était une femme très belle et charmante, nous ne connaissons que très peu de choses sur elle. Nous savons qu’elle est née le 31 octobre 1895 à Zagreb, d’un père croate et d’une mère autrichienne. On pense que leurs noms seraient Tomislav et Sabine. Elle et ses parents quitteront Zagreb pour aller vivre à Vienne, ou on dit qu’elle rejoindra le Mouvement National Allemand. Maria finira par aller vivre à Munich en 1919, ou elle entra en contact avec la Société Thulé. C’est durant cette année qu’elle décidera de fonder son propre cercle, qu’elle nommera donc « Alldeutsche Gesellschaft für Metaphysik » le nom de « Société Vril » vint plus tard.

L’organisation était un petit cercle uniquement composée de jeunes femmes qui furent nommées « Vrilerinnen ». Une caractéristique marquante chez ces femmes après leur beauté était leurs chevelures ; elles étaient particulièrement longues. C’était pour elles un moyen de montrer leur rejet de la modernité et de la mode féminine de l’époque qui consistait à avoir des cheveux plutôt assez courts et coupés en carré. Mais il y aussi une signification plus spirituelle au sujet du pourquoi ces très longues chevelures. La Société Vril se basait spirituellement sur les croyances d’une autre organisation encore plus secrète ; DHvSS – Die Herren vom Schwarzen Stein, en français les « Seigneurs de la Pierre Noire ». Cette organisation remonte au XIII ème siècle, elle fût fondée par des templiers allemands qui quittèrent l’ordre après avoir découvert certains secrets sur la création du monde. Ces Seigneurs de la Pierre Noire auraient eu l’apparition d’une déesse complètement inconnue, s’étant présenté à eux sous le nom d’Isais. Cette dernière aurait eu en sa possession une pierre noire, d’ou le nom « DHvSS », cette pierre serait selon eux la matérialisation de la force et de l’esprit divin inconscient féminin. Par la force divine on entend donc bien sûr l’énergie Vril, qui, si vous la maniez, fait de vous un être similaire à un dieu. Comme DHvSS, cette Isais fût donc au centre de la spiritualité des Vrilerinnen. La très longue chevelure de ces dernières vient des représentations originales faites d’Isais. Isais enseigna que la principale partie vibratoire du corps des femmes sont les cheveux, et que plus ils sont longs, mieux les vibrations sont captées. Maria fût en assez grande partie initiée par la « Societas Templi Marcioni » qui avait hérité du savoir des Seigneurs de la Pierre Noire. Mais les croyances de la Société Vril ne s’arrêtent pas à là, on ne peut pas dire qu’une religion à part entière fût adoptée. Mais la spiritualité des Vrilerinnen était composée de croyances venant de diverses sources, notamment de chez les germains, les hindouistes, les perses, les sumériens, les assyriens, et dans une moindre mesure, dans le mysticisme chrétien.

Maria Orsic,une femme qui ne vieillit pas.
Maria Orsic,une femme qui ne vieillit pas.

 

Pour ce qui est du symbolisme de la Société Vril, il est aussi très lié à ces derniers. Le symbole principal de l’emblème des Vrilerinnen est l’éclair Vril, la toute puissante énergie spirituelle. La première représentation connue de ce symbole nous vient du moyen-orient, on peut le retrouver sur la lance du roi de Babylone Sargon II qui fût d’ailleurs aussi roi des Assyriens. DHvSS a aussi utilisé l’éclair Vril pour l’intégrer à leur emblème au moyen-âge, ils utilisèrent aussi les couleurs noire et violette. Couleurs qui, lorsqu’elles sont combinées représentent la fameuse pierre noire d’Isais, l’esprit divin féminin. Le violet étant la couleur de la lumière divine générée par cette même pierre. Ces couleurs sont donc une manière de symboliser la déesse Isais. La fusion de toute cette symbolique nous donne donc : la force Vril féminine. On peut s’apercevoir qu’elles utilisèrent aussi le Soleil Noir, producteur d’énergie Vril, mais elles le nommèrent sous le nom de « Soleil Magique » ou « Ilum ». Le terme Ilum étant dérivé de « Ilu » qui est un autre nom pour désigner le Vril.

Des racines lointaines...
Des racines lointaines…

La lance du roi Sargon II.

Un jour, Maria entra subitement en transe et elle capta télépathiquement des informations dans une langue qui lui était totalement étrangère. Dans son état second elle rédigea de nombreux textes dans ces deux langues mystérieuses. D’après elle, ces messages télépathiques lui avaient était transmis depuis… Le système solaire d’Aldébaran… Aldébaran est une étoile qui forme « l’oeil » de la constellation du taureau, elle située à 68 années-lumière de la Terre, et est 44,2 fois plus grande que notre Soleil. Elle est d’ailleurs l’une des quatre étoiles sacrées des Perses. Les habitants de ce système solaire, seraient des hommes-dieux aryens, qui, pour certains d’entre-eux seraient venus sur notre planète, afin de s’y installer suite à l’expension de leur étoile, rendant temporairement inhabitable leur planète. Ce serait grâce à leur venue sur Terre que notre race aurait ensuite été créée, . Ils seraient donc nos lointains descendants. Des empreintes fossilisées de pas humains vieilles d’environ 500 millions d’années retrouvées dans l’Utah aux USA, pourraient peut-être être une preuve physique de cette très lointaine colonisation. Un trilobite fossilisé du même âge est piétiné avec le talon. Le trilobite est une écrevisse primitive qui vivait à cet âge la et qui a disparu il y a 400 millions d’années. De plus, l’empreinte prouve que la personne qui l’a faite possédait des chaussures, or l’homme porterait des chaussures depuis à peine seulement quelques milliers d’années. Vous pensez bien que cette extraordinaire découverte fût réfutée, pourtant, les preuves parlent d’elles-mêmes. La théorie de la colonisation terrestre par des êtres supérieurs dotés d’une technologie possédant des milliers d’années d’avance ne peut en aucun cas être jetée, compte-tenu des centaines de preuves existantes au sujet d’un probable lointain passé technologique sur Terre.

 

Empreintes 001

 

Les traces de pas en question.

En décembre 1919, une maison forestière fut louée près de Berchtesgaden, pour y organiser une réunion ou se rencontrèrent quelques personnes des Sociétés Thulé, Vril et de la Societas Templi Marcioni. Parmi elles, Maria et Sigrun. Sigrun, dont le nom vient d’ailleurs Valkyrie, était la seconde figure de proue de la Société Vril, elle travaillait beaucoup avec Maria. Elles se rendirent donc tout deux à cette réunion pour discuter des étranges messages qui avaient été envoyés à Maria. Cette dernière présenta ses textes, et la langue étrange fût tout de suite reconnue par les hommes de la Societas Templi Marcioni. Ceux-ci affirmèrent qu’elle avait déjà été utilisé au moyen-âge par les Seigneurs de la Pierre Noire et d’autres Templiers, pour leur permettre de dissimuler leurs secrets mystiques et scientifiques. Ils se mirent donc en collaboration et travaillèrent ensemble à la traduction de ces textes, et il s’avère que les informations transmises contenaient des précisions techniques très précises pour construire… Des disques volants… Si vous vous mettez à chercher des informations sur la Société Vril, et sur ce qui gravite autour de celle-ci, vous tomberez souvent sur cette forme d’écriture.

écritures 001

 

 

Vrill 004

 

Vous pouvez voir les mêmes écritures autour de ce Soleil Noir.

Une fois entièrement traduits, les plans de construction et les renseignements techniques reçus par Maria étaient si précis que naquit l’idée la plus fantastique qui soit : la construction de disques volants. Le concept d’une « autre science » une science alternative, mûrit alors dans les esprits. La Société Thulé accepta de financer le projet, il fallut trois ans pour qu’il soit mis en place. Mais pari réussi, durant l’été 1922 la construction du premier prototype de soucoupe volante débuta, on baptisa cet engin « Jenseitsflugmaschine » ou la machine volante vers l’au-delà. On ne connaît pas les performances de ce premier disque volant. Il fut expérimenté pendant deux ans avant d’être démonté et entreposé dans les ateliers de Messerschmidt à Augsbourg. Par la suite plusieurs scientifiques se joignirent aux projets de construction de soucoupes volantes. Mais je tiens à dire fermement qu’aucun de ces chercheurs, malgré ce que tout le monde dit (sans d’ailleurs savoir quoi que ce soit) ne fit partit de la Société Vril en elle-même. Elle était uniquement composés de femmes et jamais aucun homme n’y entra, ils n’y étaient même pas admis. Et de plus l’organisation n’avait pas un but scientifique mais spirituel et mystique. Voici ci-dessous des photos relatives à l’engin en question.

 

Ovni 001

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Le physicien Winfried Otto Schumann, inventeur des « résonances de Schumann » qui travaillait désormais sur les plans de constructions de de soucoupes volantes, fit un exposé à la Faculté des sciences de Munich au sujet de cette nouvelle « autre science ». En voici un extrait sortit des archives secrètes de la SS :

« Dans tous les domaines, il y a deux principes qui déterminent les événements : la lumière et l’ombre, le bien el le mal, la création et la destruction, comme le plus el le moins en électricité. Il s’agit toujours de : d’une façon d’une façon ou d’une autre ! Ces deux derniers principes – désignons-les concrètement comme les principes créateurs et destructeurs – déterminent aussi nos moyens techniques. ( … ) Le principe destructeur qui est l’oeuvre du diable, le principe créateur l’oeuvre de Dieu. ( … ) Toute technique basée sur le principe de l’explosion ou de la combustion peut être cataloguée de technique satanique. La nouvelle ère qui arrive sera l’ère d’une technique nouvelle, positive et divine ! (…) »

Le scientifique et inventeur Viktor Schauberger, dont nous je vous parlais dans mon article sur l’énergie Vril, travaillait à la même période sur un projet similaire. Cela concernait la « science de l’implosion » cela signifie l’utilisation du potentiel des mondes intérieurs dans le monde extérieur. Il découvrit cette science en étudiant les enseignements de Johannes Kepler qui était en possession de la doctrine secrète des pythagoriciens, qui fût reprise et tenue secrète par les Templiers. Adolf Hitler et les membres des Sociétés Thulé et Vril savaient que le principe divin est toujours créateur, une technologie qui par contre repose sur l’explosion, comme la nôtre actuellement, est destructrice et donc par cela opposée au principe divin et à la nature. On voulut donc créer une technologie reposant sur l’implosion. Avec cette technique, on pourrait dissoudre la pesanteur.

En 1934, Schauberger fut présenté à Hitler et aux scientifiques qui travaillaient en partenariat avec la Société Vril. A la suite d’un entretien ils décidèrent de collaborer ensemble à la construction de disques volants. Au mois de juin de la même année, sous la direction du Dr.Schumann, le second engin volant circulaire fut construit, il fut baptisé RFZ-1. RFZ est l’abréviation de « RundFlugZeug » la série d’avions ronds. Cet engin doté d’une propulsion à antigravitation électro-magnétique. Il fit son premier vol conduit par le pilote Lothar Waiz. Ce premier essai failli mal se terminer, son premier vol sera aussi le dernier ; il s’éleva à une hauteur d’environ 60 m et se mit alors à tournoyer et à danser dans l’air pendant plusieurs minutes. C’est avec beaucoup de peine que Lothar Waiz réussit à le poser au sol, à s’en échapper et à s’en éloigner en courant car l’appareil se mit à tourner comme une toupie avant de capoter et d’être complètement mis en pièces. Ce fut la fin du RFZ-1. Mais fin 1934, un autre appareil, le RFZ-2, muni d’une « propulsion vril » et d’un pilotage « à impulsion magnétique » vola enfin. Voici comment le vol fut décrit : « Les contours de l’appareil s’estompaient quand il prenait de la vitesse. Il s’illuminait de différentes couleurs. Suivant la force de propulsion, il passait successivement du rouge à l’orange puis jaune, vert blanc, bleu ou violet ». Cette description ressemble aux témoignages des témoins visuels des apparitions d’ovnis après guerre.

 

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Dessous d’un RFZ-2

Le 17 décembre 1938 eut lieu une expédition allemande en Antarctique menée par le porte-avions Schwabenland. Les Allemands s’attribuèrent 600 000 km² de terres qu’ils baptisèrent « Neuschwabenland » (Nouvelle Souabe). Des flottes entières de sous-marins allemands prirent plus tard la route de l’Antarctique. Jusqu’à ce jour, plus de cent sous-marins allemands y disparurent. Ils étaient tous équipés du « tube Walter » qui leur permettait de rester plusieurs semaines sous l’eau. Ils y emportèrent probablement des soucoupes volantes en pièces détachées et un grand nombre d’archives de la Société Vril.

En août 1939 décolla le premier RFZ-5. Il était équipé d’armes moyennement lourdes et on fini par le nommer sous le nom bien connu de « Haunebu ». Il avait un équipage composé de huit hommes, avait 25m de diamètre, sa vitesse au départ était de 4.800km/h pour atteindre, plus tard, jusqu’à 17.000km/h. Elle était équipée de deux « canons à rayons forts » (KSK) de 60mm, montés sur tourelles rotatives, et de quatre MK106 et avait une aptitude moyenne à voler dans l’espace. On ne connaît rien sur les deux précédents modèles.

En 1941 sortit le Vril-1, qui fut le premier engin vraiment fiable. Il avait 11,5 mètres de diamètre, possédait un siège et une « propulsion à lévitation Schumann ». Il atteignait des vitesses de 2.900 à 12.000km/h, pouvait accomplir en pleine vitesse des changements de vol à angle droit sans préjudice pour le pilote, il n’était pas soumis aux conditions atmosphériques et était parfaitement apte à voler dans l’espace. Puis la série Vril se poursuivit avec plusieurs autres prototypes, ils gardaient en fait les mêmes caractéristiques au niveau de la propulsion, mais ils étaient toujours plus grands, plus rapides et mieux équipés. Les deux plus prometteurs furent le Vril-7 et le Vril-8. Ces deux modèles subirent toutes sortes de modifications au cours des essais. Apparemment les américains parvinrent à photographier un Vril-7 décollant de Prague. Ce modèle fût testé pour la première fois par Sigrun. Le Vril-8 quant à lui ne fût créé qu’en un seul exemplaire que l’on nomma Odin. Un Vril-9 aurait aussi du voir le jour, mais jamais il ne fût construit, il resta à l’état de croquis.

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Le Vril-7.

Au début de l’année 1943, on lança même le projet d’un énorme astronef en forme de cigare, long de 139 mètres, qui devait être construit dans les chantiers de Zeppelin, c’était l’Appareil Andomeda. Il devait transporter plusieurs soucoupes pour des vols interstellaires de longue durée.

En décembre 1943, eu lieu une importante à Kolberg en Pologne, sur la côte de la mer du Nord à laquelle Maria et Sigrun assistèrent. Le sujet de cette réunion concernait le projet Aldébaran. Les Vrilerinnen avaient reçu de nouvelles informations ; deux planètes habitables tourneraient autour de l’étoile. Elles avaient aussi appris qu’un « Wormhole » (trou de ver) existait entre notre système solaire et celui d’Aldébaran. Les trous de ver sont des connexions spatio-temporelles indépendantes de la vitesse de la lumière, reliant différents points de l’univers à d’autres. Ce sont des trous dans l’espace-temps.  Un voyage à bord d’un disque volant modèle Vril-7 fut donc programmé pour s’y rendre. Le 2 janvier 1944, Hitler, Himmler, Künkel et Schumann se rencontrèrent pour en parler. A son retour, d’après des photos du Vril-7, on aurait dit qu’il avait voyagé pendant plus d’un siècle, le revêtement extérieur de l’engin paraissait très usagé et il était abimé en de maints endroits. Mais quoi qu’il en soit, l’opération fût une réussite.

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Fin mars 1945, des disques volants Vril-7 et le Vril-8 Odin décollèrent de Brandebourg après avoir fait sauter tout le terrain d’essais et en emmenant tout les membres de la Société et une partie des scientifiques. Aucune Vrilerinnen ne fut retrouvée, ni Maria, ni aucune autre, toutes disparurent subitement de la surface de la Terre. Il ne fait aucun doute que la destination prévue était Aldébaran. Des gens qui travaillent sur le sujet et qui ont eu accès à plusieurs documents ont affirmé qu’il s’agissait bien de ça, et qu’Aldébaran n’était pas un nom de code pour un quelconque lieu sur Terre. Nous espérons de tout coeur qu’elles s’en soient sortis. Une lettre écrite par une vrilerin nommée Gudrun a pu être retrouvée. On sait que Gudrun fût une des membres les plus importantes de la Société. Voyant la défaite de l’Allemagne venir à grands pas, elle annonce le départ. Le début commence bien avec « le voyage d’Odin » programmé entre fin mars et avril. La fin quant à elle se termine avec « Personne ne reste ici. Avec courage, vers de nouveaux horizons ». Ci-dessous la lettre en question, vous pouvez l’agrandir, il n’existe pas de meilleur modèle .

 

La lettre d'adieu de Maria Orsic.
La lettre d’adieu de Maria Orsic.

 

A la fin de la guerre l’Amérique lança une opération d’envergure « High Jump » qui visait la saisie de tout les documents sur les technologies secrètes de l’Allemagne, et l’enlèvement des scientifiques ayant travaillés dessus. C’est comme ça que fût recruté dans la NASA Wernher von Braun, l’inventeur du missile V2. Ce dernier joua un très grand rôle dans l’invention du système de fuselage. Viktor Schauberger fût aussi amené aux Etats-Unis, ou il du travailler pour la CIA, il fut obligé de livrer tout son savoir à ces vipères. Il mourra cinq jours après avoir été relâché… Les soviétiques auraient fouillé son appartement de Vienne, en emportant des documents et plans, qui auraient été ensuite détruits. Les forces spéciales américaines se serait emparé de tous les appareils présents à son domicile et l’aurait placé en détention durant 9 mois, afin qu’il établisse un bilan de ses recherches. Les russes seraient parvenus quant à eux à trouver des documents techniques sur le Vril-7.

En 1947, L’opération « High Jump » est lancée, les américains se rendent en Antarctique sous les ordres de l’Amiral Byrd qui avait à sa disposition 5000 hommes, un navire de guerre, un porte-avions entièrement équipé et tout un système complet de ravitaillement. La raison officielle pour laquelle eu lieu cette opération d’envergure fut « l’exploration de l’Antarctique ». Byrd disposait de huit mois de réserves mais fut mystérieusement obligé d’interrompre toute l’opération au bout de seulement huit semaines, et ce après avoir subi de grandes pertes d’avions, le nombre exact de disparus ne fut jamais communiqué. Durant son séjour, il dit avoir découvert quelque chose d’extraordinaire : le passage de la terre creuse et le peuple d’êtres supérieurs qui y vivent (voir journal de bord l’Amiral Byrd). Ces êtres souterrains utilisaient des « flugelrads » des disques volants sur lesquels étaient marqués des Svastikas. Il expliqua plus tard : « c’est dur à entendre mais dans le cas d’une nouvelle guerre il faudra s’attendre à des attaques d’avions qui peuvent voler d’un pôle à l’autre ». Il laissa entendre qu’il y avait là-bas une civilisation avancée qui se servait, en accord avec les SS, d’une technologie nettement supérieure. Tout ce qu’il a pu écrire dans son journal de bord concorde étonnamment bien avec « Vril, the Power of the Coming Race » le roman d’Edward Bulwer-Lytton. Si vous prenez le temps de lire le temps de lire le petit journal de Byrd, à première vue cela vous paraîtra probablement complètement irréel. Mais au moment ou vous vous direz que ce sont de folles élucubrations, posez-vous cette question : pourquoi un amiral renommé, prendrait le risque de se faire passer pour aliéné ou terrible menteur ?

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Le physicien Wilhelm Reich, que j’ai cité dans mon précédent article sur l’énergie Vril, disait, comme Schauberger, qu’il était possible, par le biais d’une certaine énergie cosmique, de créer des système de propulsion pour ovnis. Il nommait cette énergie « Orgone » qui n’est rien d’autre que le Vril. Virgil Armstrong, un ex membre de la CIA et ancien officier des services secrets de l’US Air Force, déclara que les engins volants allemands pendant la seconde guerre pouvaient atterrir et décoller à la verticale et faire instantanément des virages à 90°. La CIA et les services secrets britanniques étaient au courant en 1942 de la construction et de l’emploi de tels objets volants et d’ailleurs plusieurs rapports datant des années 50 en témoignent. Le physicien allemand Hermann Oberth, l’un des pères du vol spatial déclara un jour, après la fin de la guerre. On raconte aussi qu’existent des photos d’un disque volant ayant atterrit en RDA dans les années 60 pour repartir aussitôt ensuite. Une Balkenkreuz et une Svastika étaient peintes dessus… Et voici deux témoignages qui ont était fait à monsieur Jean-Marc Roeder un docteur en physique et spécialiste de l’antigravitation, suite à une conférence sur les soucoupes volantes Allemandes :

« Il y a environ deux ans, à la fin d’une petite conférence que je donnais au Lion’s club de Strasbourg sur les soucoupes nazies, deux messieurs très âgés vinrent me trouver. Le premier m’expliqua que, alsacien enrôlé de force dans la wermacht, il avait observé une soucoupe de couleur rougeâtre survolant sa position à basse altitude (environ 60 mètres) lors de la bataille de Koursk sur le front russe. Il estimait la taille de l’engin à environ 20 à 30 mètres de diamètre. Il m’affirma aussi que la soucoupe qu’il avait vue ressemblait à s’y méprendre à un des modèles de Vril dont j’avais montré les photos durant la conférence. De plus, l’officier commandant leur position d’artillerie leur dit de ne pas s’inquiéter car il s’agissait d’une nouvelle arme de vengeance ultrasecrète testée sur le front. L’autre monsieur, alsacien engagé volontaire dans les Waffen SS, me donna un témoignage encore plus impressionnant. Il m’expliqua que, alors qu’il était basé à Augsbourg en 1944, il fut convoqué avec une vingtaine de ses camarades par son commandant SS. Le commandant leur annonça qu’ils se rendraient le jour même à l’aéroport militaire d’Augsbourg pour sécuriser celui-ci durant un test ultra secret. Il leur précisa aussi que la moindre révélation sur ce qu’ils verraient serait sanctionnée par une exécution immédiate. Le témoin m’expliqua qu’il vit sortir d’un hangar, à 100m de sa position, une soucoupe d’environ trente mètres de diamètre et quinze mètre de hauteur, en forme de cloche et surmontée d’un petit dôme. Elle émettait un faible sifflement ainsi qu’un bourdonnement d’abeilles. L’engin semblait flotter à deux mètres du sol en oscillant lentement.  Il se dirigea lentement vers la piste de décollage puis s’éleva doucement verticalement jusqu’à cent mètres d’altitude en oscillant comme une feuille morte. Détail intéressant, l’engin de couleur noire devint lumineux en s’élevant, passant d’une luminosité bleue électrique à une couleur rouge grenat sur le côté et orange vif sous le dessous. Il accéléra ensuite à une vitesse foudroyante et disparu à l’horizon en deux seconde en émettant un « son d’orgue ». L’engin réapparu dix minute plus tard au dessus du hangar et chuta en feuille morte devant celui-ci avant de se plaquer au sol avec un bruit métallique sourd. Dès l’atterrissage, le témoin et ses camarades furent immédiatement rembarqués en camion vers leur caserne et ne purent approcher le prototype. Bien sûr, il ne s’agit que d’un témoignage qui n’a pas valeur de preuve mais il m’a parut sincère, d’autant plus que cet ancien combattant avait les larmes aux yeux en me racontant son aventure. Il me remercia même en m’affirmant qu’il attendait depuis cette époque de comprendre ce qu’il avait vu. Je pense que ces témoins ont vu le prototype antigravitationnel Vril 8 « Odin ».»

J’ai aussi pu constater que selon plusieurs sources, un retour de la Société Vril sur Terre, accompagnés des hommes-dieux d’Aldébaran devrait avoir lieu au XXI ème siècle. Un lien avec le Troisième Sargon/Avatar qui doit faire irruption sur le monde pour écraser le mal qui dirige la terre ? Qui sait…

« Nous avons déjà les moyens de voyager vers les étoiles, mais ces technologies sont gardées secrètes au sein de « projets noirs » et il faudrait une acte divin pour qu’elles soient utilisées au bénéfice de l’humanité… »

Ben Rich – Membre de la Fraternité…

vril de retour

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Les Chroniques ufologiques -partie 1 (tableau chronologique des ovni)

Voici répertoriés,les cas les plus connus des apparitions d’ovni sur notre Terre.Au fil des jours,nous l’améliorerons.

1/QUELQUES MISES AU POINT EN GUISE D’INTRODUCTION

 Annales des cas d’OVNI avant 1947 Excursion au dessus du plateau de Nazca (Pérou) Constatation de phénomènes électriques pouvant passer pour des OVNI.

 diskmayaufo1

2/LA PRÉHISTOIRE DES OVNI

 Graffitis dans les grottes évoquant des vaisseaux spatiaux

 

En Chine,de nombreux témoignages de visiteurs venus du ciel sont redécouverts.
En Chine,de nombreux témoignages de visiteurs venus du ciel sont redécouverts.

3/LES   « CLIPEI ARDENTES » : LES  BOUCLIERS VOLANTS DE L’ANTIQUITE

 Inde : Les Vimana du Samarângana-Soutradhâra, les chars de feu du Râmâyana, les engins du Mahâbhârata Tibet : Le Kantjouaet le Tantjara, livres sacrés et leurs engins aériens Chine : Les manuscrits Chuang-Tsu, Liu-Shi-Ch’un-Ch’iu et Hua-non-Tsu Le papyrus Tulli : un faux ? et le comité Condon Quelques passages de l’Enéide de Virgile, Plutarque, Pline l’Ancien, Sénèque, Dion Cassius, julius Obsequens, Tite-Live, Cicéron

 

Les visiteurs du ciel ...de l'époque de St-Agobard de Lyon.
Les visiteurs du ciel …de l’époque de St-Agobard de Lyon.

4/LES OVNI D’AVANT L’AN MILLE 

Le Speculum Regale (Irlande), Otis Imperiala (Gervais de Tilbury), plusieurs versions Agobard et la cas Sioux City (Iowa 1897) Lycosthenes ’Prodigiorum ac ostentorum chronicon’ Cas en 384, 393, 394, 398, 457, 577 Grégoire de Tours « Historia Francorum (quelques cas 584-585-587) Bède le Vénérable « Historia Ecclesiastica Gentils Anglorum (731). (quelques cas 678-729) Hixeda-no-are « Kojiki » (712) (quelques cas 692) Fabius « Chroniques latines » Henri de Huntingdon « Annales ou Historia Anglorum » Laurence « Annales laurissenses » Eginhard « Annales Eginhardi », « Vita Karoli » Flodoard « Annales » Plusieurs cas rapportés

 

5/LES OVNI DU MOYEN-AGE

 Geffroy Gaimar « Lestorie des Engles solum Maistre Geffrei » Geffroy de Breuil, Frères Grimm « Deutsche Sagen » Nicholas Trevet « Annales » Benedict de Peterborough « Gestas Regis Henrici Secundum » Archives de l’abbaye de Dunstable, William de Newburg, Robert de Reading Robert de Graystanes « Historia de Statu Ecclesiae Dunelmensis » Henry Knighton « Chronicon Monachi Leycenstrensis » Jérôme Cardan « De Subtilitate Rerum »

 

6/LES OVNI DE LA RENAISSANCE

 1509 au Mexique, 1517 au Yucatan et en Roumanie, 1528 à Utrecht, le 20 avril 1535 à Stockholm, en 1547 près de Rome, le 28 juin 1548 en Bavière, en 1553 au Pérou, en 1540 à Florence, le 15 mars 1554 près de Salon de Provence, le 13 juin 1554 à Iéna, le 4 avril 1561 à Nuremberg (en parallèle avec le 17 octobre 1952 Oloron), le 7 août 1566 à Bâle, dans les Flandres en 1566, en 1575 à Louvain, le 5 décembre 1557 à Tübingen, le 29 septembre et le 17 octobre 1571 à Bâle, en 1586 à Tors, le 21 septembre 1587 à Sarlat (Dordogne), en mai 1593 à Londres, en 1608 en Angoumois, en mai 1606 à Kyoto, le 4 mars 1614 à Kinki (Japon), en 1619 à Uri (Suisse), le 12 septembre 1621 à Paris (plusieurs témoignages), le 17 novembre 1623 en Autriche, le 9 avril 1628 à Berkshire (Angleterre), en 1640 à Ypres (Belgique), le 11 mars 1643 en Angleterre, le 21 mai 1646 dans le Norfolk, en mai 1648 à la Haye, en 1653 à Thuin (Belgique), le 15 août 1663 à Bélozéro (Russie), le 10 mars 1672 à Nantes, le 30 décembre 1677 à Grenade, le 21 mars 1676 en Dalmatie, le 9 juillet 1686 à Leipzig, le 6 mai 1692 à Edo (Tokyo), en janvier 1694 au Pays de Galles, le 4 novembre 1697 à Hambourg et en 1699 près d’Avignon

 

7/LES OVNI DU SIÈCLE DES LUMIERES

 Le 4 novembre 1704 en Suisse, le 3 avril 1707 à Upminster (Essex), le 18 mai 1710 à Leeds (Angleterre), en 1716 près des côtes d’Espagne, le 6 mars 1716 à Londres (revu à Dublin et Paris), le 6 mars 1714 à la Martinique, le 19 mars 1718 à Londres, le 19 octobre 1750 à Ath, le 9 décembre 1731 à Florence, le 5 décembre 1737 à Steffield (le lendemain en Roumanie), en mars 1719 et 29 août 1738 en Angleterre, le 11 décembre 1741 près de Hyde Park à Londres (le lendemain dans le Sussex), le 16 décembre 1742 à Londres, le 1er septembre 1743 près de Rome, en 1743 dans le Pays de Galles, le 27 mai 1744 à Londres, le 1er janvier 1751 près de Newry (Irlande), le 3 février 1750 à Valence, le 29 juillet 1750 en Ecosse, le 15 avril 1752 en Norvège, le 8 décembre 1753 en Angleterre, le 15 août 1755 à Londres, le 15 octobre 1755 à Lisbonne, le 2 janvier 1756 à Turin, le 21 janvier 1756 en Ecosse et en Suède, le 26 novembre 1758 à Edimbourg, le 31 décembre 1758 à Colchester, le 10 octobre 1759 à Mendipe, le 10 mai 1760 en Nouvelle-Angleterre, le 2 novembre 1761 en Suisse, le 5 décembre 1762 dans le Devon, le 9 août 1762 à Bâle, en avril 1767 en Allemagne, en septembre 1767 en Ecosse, le 24 octobre 1769 à Oxford, en septembre 1768 près de Leipzig, le 27 janvier 1770 à Helsingör (Danemark), le 8 mai 1775 en Angleterre, le 17 juin 1777 en France, le 7 juin 1779 à Boulogne, le 9 décembre 1779 à Clermont, le 9 décembre 1781 à Florence, le 30 août 1783 à Greenwich, le 18 août 1783 à Edimbourg, le 18 octobre 1783 à Windsor, le 26 décembre 1785 et 21 juin 1787 à Edimbourg, le 5 novembre 1789 à Montevideo, en 1790 à Alençon (Cas d’atterrissage), le 28 novembre 1793 en Roumanie, le 4 et 5 mai 1795 à Lyon, le 10 septembre 1798 et le 19 septembre 1799 en Angleterre, le 12 novembre 1799 à Huncoates (Angleterre)

 

8/LES OVNI DE LA RÉVOLUTION INDUSTRIELLE

 Beaucoup de témoignages de Charles Fort (1874-1932). 500 cas répertoriés. Les roues lumineuses sous-marines. Le 20 juin 1801 en Angleterre, le 14 juillet 1801 à Montgaillard (Ariège), le 19 mai 1803 et le 13 novembre 1803 à Cambridge, le 27 juin 1806 et le 17 juillet 1806, le 14 octobre 1806 et le 22 décembre 1807 en Angleterre, le 2 avril et le 12 avril et le 12 octobre 1808 près de Turin, le 10août 1809 à Londres, le 15 mai 1811 à Genève, en 1812 en Roumanie, le 22 septembre 1813 en France, le 7 septembre 1820 à Embrun, en 1821 chute de soie au Brésil, en 1824 chute d’objets métalliques à Orenbourg (Russie), les Mormons en 1822, le 30 septembre 1828 à Cambridge, le 23 juillet 1830 en Ecoose, le 11 novembre 1832 pluie de météores à Limoges, le 14 novembre 1832 au Tyrol, en 1833 à Toland (Ohio), le 13 novembre 1833 au dessus de Niagara Falls, en 1836 en Hongrie, le 12 janvier 1836 à Cherbourg, le 30 août 1837 en Roumanie, à Londres un « extra-terrestre » le 20 février 1838, le 6 juillet 1838 à Liverpool, le 29 mars 1845 à Londres, le 18 juin 1845 près de la Turquie et au Mont Liban, le 11 mai 1845 près de Naples, le 25 juillet 1845 à Florence, le 2 décembre 1845 en Chine, le 19 mars 1847 à Londres, le 19 septembre 1848 à Inverness (Ecosse), le 5 février 1850 à Sandwich (Angleterre), le 6 juin 1850 sur la côte d’Azur, le 8 décembre 1850 à Aberdeen (Ecosse), le 22 mai 1852 à Swabia (Bavière), le 22 mai 1852 à Holyhead (Angleterre), le 11 septembre 1852 à Fair Oak, le 17 décembre 1852 à Douvres, le 22 mai 1852 3 OVNI en observation, le 9 juillet 1853 en France, le 26 octobre 1853 à Raguse (Sicile), le 28 octobre 1853 à Redford, en 1853 au Japon, le 8 février 1855 des empreintes étranges à Londres, le 11 août 1855 à Petwoth (Sussex), le 6 avril 1856 à Colmar, le 28 juin 1857 à Horton, le 1er septembre 1859 à Redhill (Angleterre), en 1859 au Pays de Galles, au printemps 1860 au Japon, le 6 août 1860 à Norfolk (Virginie), le 12 août 1863 à Madrid, le 20 mars 1864 en Angleterre, le 10 octobre 1864 à Marseille, en janvier 1866 des boules de feu à Vence, le 6 novembre 1866 à Carthagène (Colombie), le 6 juin 1868 à Radcliff (Angleterre), en 1868 au Chili, le 22 mars 1870 au dessus de l’Atlantique, le 1er août 1871 à Marseille, le 20 août 1871 à Meudon, le 23 août 1871 à Jarny (Moselle), le 10 octobre 1871 à Peshtigo (Wisconsin), le 7 décembre 1872 à Banburry (Angleterre), le 7 septembre 1872 de Sioux City (Iowa) vers Chicago et Pittsburgh, début juillet 1873 à Bonham (Texas), le 7 juillet 1873 dans le Kansas, le 30 août 1873 à Prague et à Bruxelles, le 10 avril 1874 à Kuttenberg (Bohème), le 6 juillet 1874 à Oaxaca (Mexique), le 10 février 1874 à Paris, en mi-février 1874 au Pays de Galles, quelques cas en 1876 en France et en Angleterre, le 23 mars 1876 à Vence, le 27 mars 1876 en Angleterre, le 28 avril et le 3 novembre 1877 le retour de Spring Heel Jack à Londres, le 7 septembre 1877 à Bloomington (Indiana), le 26 octobre 1877 8 OVNI à Tomyn (Pays de Galles), 24 janvier 1878 à Denison (Texas) première « soucoupe volante », le 22 mars 1880 à Kattenau (Allemagne), le 26 mars 1880 à Lamy (Nouveau-Mexique), en 1880 à l’est du Vénézuela, le 28 juillet 1880 à Saint Louis et Louisville (Kentucky), le 30 juillet 1880 à St Petersbourg, le 25 août 1880 à Paris et à Bagnières de Luchon, le 8 septembre 1880 à Brooklyn, le 30 novembre 1880 à Palerme, le 11 juin 1881 près de Melbourne, en novembre 1881 à St Joseph (Missouri), décembre 1881 à Montrose (Ecosse), le 16 décembre 1881 à Laredo (Espagne) et le 17 décembre 1881 à Bilbao (Espagne), le 23février 1883 et le 15 avril 1883 en France, le 12 août 1883 à Zacatecas 283 corps inconnus et 116 le lendemain, le 11 et 13 septembre 1883 à Rochester (New York), le 21 septembre 1883 à Yeovil (Somerset), le 2 novembre 1883 à Puerto Rico, le 5 novembre 1883 au Chili, le 21 novembre 1883 à Sulphur Springs (Texas), le 24 février 1885 une boule de feu au dessus de l’océan, le 19 février 1885 près de Cassini, le 21 février 1885 en Uruguay, le 22 août 1885 à Saïgon, le 1er novembre 1885 à Andrinople (Turquie), le 2 novembre1885 à Sartari, le 24 octobre 1886 à Maracaïbo (1er cas avec effets physiologiques), le 19 mars 1887 en plein Océan Atlantique, le 12 novembre 1887 près du cap race (Nouvelle-Ecosse), le 20 novembre 1887 à Berkshire, quelques cas mineurs entre 1888 et 1892, le 24 et 25 février près de Shanghaï, le 20 décembre 1893 en Virginie, Caroline du Nord et du Sud, le 25 janvier 1894 à Llanthomas (Pays de Galles), le 19 juillet 1894 à Boiai (Grèce), le 20 août 1894 près de Phalère (Grèce), le 24 août 1895 à Culdaff, le 31 août 1895 près d’Oxford, le 3 septembre 1895 à Scarborough (Yorkshire), le 16 octobre 1895 près d’Adoua, le 29 décembre 1897 à fribourg, le 3 jancier 1897 à Vannes, le 8 juillet 1898 à Sedbergh, le 4 juillet 1898 à Clermont-Ferrand, le 8 juillet 1898 à Kiel (Allemagne), le 14 septembre 1898 à Lille, le 2 mars 1899 à El Paso (Texas), le 7 mars 1899 à Tonto (Texas) et le 8 mars 1899 à Prescott, le 27 avril 1899 une boule de feu en France, le 11 août 1899 près de Sedan (Ardennes), le 28 octobre 1899 à Luzarches (Seine et Oise), le 15 novembre 1899 à Dourite (Dordogne)

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9/LA PREMIÈRE VAGUE MONDIALE DE 1896 ET 1897

 le 27 mars 1896 à Dragueville (Manche), Aleister Crowley et ses 2 extraterrestres près de Zermatt, le 6 novembre 1896 en Californie, le 15 à San Andreas, le 16 à Sacremento et Oackland, le 17 à Oackland et le 18 à Oack Park et Sacramento, le 21 novembre 1896 à Fontenay le Comte, le 22 novembre à San Francisco, Alameda, Sacramento et Oackland, Chico, Santa Rosa, le 23 à Oackland, Berkley, Antioch et Chico, le 24 à Oackland, Red Bluff, Hanford, Vacaville, San Leandro et San Jose, le 25 à Sacremento, Pasadena, Fresno, Red Bluff, Leesville, Los Angeles, Hayward, Petaluna, San Lorenzo et East Oackland, le 26 à Oackland, San Francisco, Robinson’s ferry, Arno, East San José, Monterey, Modesto, le 27 à Oacklandet Alameda, le 28 à Salinas, le 30 à San Francisco, le 6 décembre 1896 en Californie et Arizona, le 15 mars 1897 au Kansas, Nebraska et Iowa, le 25 et 26 mars 1897 à Belleville. Le 26 mars 1897 à Lincoln, Béatrice, Nebraska, Marysville, Washington et Handham (Kansas). Quelques photos. Le 28 et 29 mars 1897 à Omaha (Nebraska), le 31 mars 1897 à Galesbourg et Decatur (Michigan), à Holland, le 1er avril à Holland, Kansas City, Everest et au Fort Leavenworth (Kansas), le 3 et 4 avril 1897 à Wesley (Iowa), Everest (Kansas), Evanston (Illinois), le 5 avril 1897 à Nashville (Illinois), le 6 avril 1897 à Guthrie (Oklahoma), le 7 avril 1897 à Belle Plaine (Iowa), le 8 avril 1897 à Cedar Rapids, le 9 avril 1897 en Indiana, Illinois, Missouri, Iowa, Wisconsin, Michigan, à Norman et près de Chicago, le 10 avril 1897 à Newton (Iowa), Eldon, Ottumwa, Albia, Wassau, Fort Atkinson, Winemae (Indiana)et Galesburg (Illinois), le 11 avril 1897 à Norman, Niles Center, Schermerville et Kankakee, à Chicago, Mont-Carrol (Illinois), Holland (Michigan), Milwaukee (Wisconsin), le 12 avril 1897 à Nilwood (Illinois), Girard (Illinois), Fontanelle (Iowa), Sherman, Williamsville, Battle Creek (Michigan), à Kalamazoo, le 13 avril 1897 à Pennfield (Michigan), Spooner (Wisconsin), Eau Claire (Wisconsin), Waukegan (illinois), Benton Harbor, Adrian, St Joseph (Michigan), Denton (Texas), le 14 avril 1897 à Weatherford, Corsicana, Fort Worth, Gas (Indiana), Reynolds (Michigan), Cleveland (Ohio), Constantine, Battle Creek, Hillsboro et Springfield (Tennessee), le 15 avril 1897 à Linn Grove (Iowa), Springfield (Illinois), Pine Lake, en Dakota du Sud, à Eureka (Kansas), Washington, Shelby (Michigan), Middeville, Olivet, Charlotte, Perry Springs (Missouri), Paris, Fortworth, Sherman, Burlington, Belle Plaine, le 16 avril 1897 à Saginaw (Michigan), Bay City, Mount Vernon (Illinois), Pittsford, Clayton, Ann Arbor, Cadmus, Farmersville, Granbury, Paris, Downs Township, le 17 avril 1897 à Grands Rapids (Michigan), Three Rivers, Bailey, Childress, Texarkana, Garland, Bonham, Farmersville, Cleburne, Tioga, Mansfield, Forney, Stephenville, Waxahachie, Greenville, Bryan et Aurora (crash d’un OVNI), le 18 avril 1897 à Saline, Saginaw (Michigan), Manitisque, Atlanta. Rencontres avec inventeurs du vaisseau aérien le 24 avril 1897 à Chattanooga, le 17 avril 1897 à Stephenville et à Waxachie (Texas), le 19 avril 1897 à Beaumont (Texas), Leroy (Kansas) avec enlèvement de bétail, Sisterville (Virginie Occidentale), Longview (Texas), Groesbeck et Belton, le 20 avril 1897 à Uvalde (Texas) (et le 23 avril à Kountze) avec l’inventeur Wilson, à Homan (avec dessin du vaisseau), le 21 avril 1897 à Dallas, Belton, Edna, Lovelady, Jackson, Harrisburg, Rockland, le 22 avril 1897 à Hemlock, Josserand (Texas), le 23 avril 1897 à Texarkana, Burton, le 24 avril 1897 à Ome, le 25 avril 1897 à Freeland et Merkel, le 26 avril 1897 à Baring Cross, Dayton, Sidaw, Aquila, le 29 avril 1897 à Holton et Deadwood, fin avril à Nashville, le 6 mai 1897 à Matteawan (New York) et Hot Springs, le 17 juillet 1897 en Suède, à Frontignan (France), à Montpellier, en Angleterre, le 13 août 1897 en Norvège, au Canada, à Vancouver, le 16 août 1897 au Canada, le 17 septembre 1897 à Antsiferona (Sibérie), le 18 septembre 1897 à Ustyug (Russie). Un dirigeable ?

 

1907
1907

10/LES OVNI DE LA BELLE EPOQUE

 En 1900 à Laso (Espagne), en septembre 1901 à Herbignac (Loire), le 9 février 1902 dans le South Devon, le 11 septembre 1902 à Lille, le 28 octobre 1902 dans le golfe de Guinée, en 1904 à Rolling Prairie (Indiana), le 28 février 1904 en mer, le 13 février 1905 à Egryn (Pays de Galles), le 29 mars 1905 à Cardiff, le 1er avril 1905 à Cherbourg, le 10 avril 1905 à Tunis, en été 1905 à Radauti (Roumanie), le 2 septembre 1905 à Llangollen (Pays de Galles), en décembre 1905 à Boston, Worcester (Massachusetts), le 2 août 1905 à Silshee (Californie), en 1906 dans le golfe d’Oman, des extraterrestres volants en 1906 à Toulx-Sainte-Croix (Creuse), le 2 juillet 1907 à Burlington (Vermont), en début juin 1907 à Bosa (Sardaigne), en 1908 à Mousehead (Norfolk), en 1908 à Sofia, le 1er février 1908 à Kent (Washington), le 3 février 1908 à Takoma, le 1er mai 1908 à Vittel, à fin été 1908 à Duncan (Canada), le 14 septembre 1908 à Gosport (Angleterre), octobre 1908 à Lowestoft (Suffolk), le 25 février 1909 à Bascoup-Anderlues (Belgique). Vague de 1909 en Angleterre : un dirigeable espion allemand vraisemblablement : le 4 mars 1909 à Lambourne, le 23 mars 1909 à Peterborough, le 25 mars 1909 à March, le 2 mai 1909 à Lowestoft, le 7 mai 1909 à Clacton-on-Sea (Essex), le 9 mai 1909 à Wisbech, Northampton, Stamford, Southen-on-Sea (Essex), le 12 mai 1909 à Terrington March (Norfolk), le 13 mai 1909 à Kelmarch, Sandringham et Peakirk, le 14 mai 1909 au large de Blyth, le 15 mai 1909 à Yarmouth (Norfolk), Newport, Northhampton, le 16 mai 1909 à Lowestoft, Broome, Monmouth, le 17 mai 1909 à Belfast, Brecon, le 18 mai 1909 à Caerphilly Mounyain, le 19 mai 1909 à Cardiff, Maindee, Pontypool, Norwich (Norfolk), Wroxham, Thurston, Framlingham, le 20 mai 1909 à Dublin, Dennybrook, le 22 mai 1909 à Maesteq (Glamorgan), Aberystwyth (Cardigan), le 24 mai 1909 à Swansea, le 3 juin 1909 dans le détroit de Malacca, le 16 juin 1909 à Dong Hoi. Vague de Nelle Zélande : Le 10 juillet 1909 à Stirling, le 23 juillet 1909 à Kelso, le 24 juillet 1909 à Kelso, Riwaka, Kaka Point, le 25 juillet 1909 près de Kailangata, fin juillet 1909 à Clinton (Otago), Port Molyneux, le 27 juillet 1909 à Pukepeto, Broken River, le 28 juillet à Dunedin, le 29 juillet 1909 à Mount Rochfort et Christchurch, Timaru, Temuka, Geraldine, Waikaka, Hokitika, le 30juillet 1909 à Timaru, Waikaka, le 31 juillet 1909 à Greendale, Dunedin, Akatore, Gore, le 2 août 1909 à Blenheim, Waipawa, le 4 août 1909 à Wellington, Feilding, à l’été 1909 à Kaikoura, Otago, North Auckland, Hawke’s Bay, Kelso et Wairoa, le 5 août 1909 à Wanganui, le 7 août 1909 à Dandenong, le 9 août 1909 à Waihi, le 1er septembre 1909 à Gore. Fin vague néo-zélandaise Mi-août quelques rapports d’Australie, le 24 août 1909 à Reval (Estonie), le 24 septembre 1909 à Gothenburg (Suède), Grason, Osthammar, le 2 décembre 1909 à Gothenburg, le 12 décembre 1909 à Long Island, le 13 décembre 1909 à Mabelvale (Arkansas), le 19 décembre 1909 près de Boston, Little Rock (Arkansas), le 20 décembre 1909 à Boston, le 21 décembre à Pawtucket (Rhode Island), Potowomut et Providence, le 22 décembre 1909 à Marlboro (Massachusetts), Worcester, le 23 décembre 1909 à Marlboro, North Crafton, Hopedale, Milford, Natick, Northboro, Ashland, Upton, Framingham, Willimantic, Lynn, Limerick (Irlande), le 31décembre 1909 à Huntington, le 5 janvier 1910 à Chattanooga (Tennessee), Huntsville (Alabama), le 13 janvier 1910 à Chattanooga, le 14 janvier 1910 à Chattanooga, Knoxville, le 20 janvier 1910 à Memphis, fin janvier 1910 à Invercargill, le 5 février 1910 à Everette (Washington), le 4 mai 1910 à Cernauti (Russie), en été 1910 aux Etats-Unis, à Gloucesteret à Porto Principal (Pérou), le 10 juillet 1910 au large de la Normandie, le 17 août 1910 à Dessau (Allemagne), le 30 août 1910 à Madison Square, le 21 septembre 1910 à New York, le 22 septembre 1910 à Dunkirk, le 27 janvier 1912 et le 6 mars 1912 à Warmley (Angleterre), le 8 avril 1912 à Chisbury (Wiltshire), le 24 décembre 1912 à Lough Erne (Irlande), le 24 octobre 1912 à Sheernes (Angleterre), le 3 décembre 1912 à Portsmouth, le 4 janvier 1913 à Bristol, le 17 janvier 1913 à Cardiff, le 18 janvier à Cardiff, Newport, Neath et Liverpool, le 9 février 1913 au Canada, Etats-Unis et Bermudes, le 10 février 1913 à Toronto, le 21 février 1913 à Portsmouth, Hornsea et Hull, du 21 au 24 février 1913 à Ipswich et Hunstanton, le 24 février 1913 à Portsmouth, le 25 février 1913 à Hull, les 26, 27 et 28 février 1913 à Portland, Burcleaves, St Alban’s Head, Pappelwich et Orkneys, le 8 avril 1913 à Cardiff et à Fort Worth, fin 1913 en Moravie (Tchécoslovaquie), en 1913 à Winfield (Kansas), en juin 1914 à Hambourg (Allemagne), août 1914 à Georgia Bay (Canada) avec humanoïdes, le 13, 16 et 17 août 1914 à Elstree (Hertshire), Vague d’Afrique du Sud : le 14 août 1914 à Williston et Fraserburg, le 18 août 1914 à Vryburg, le 19 août 1914 à Wredenburg et Hopefield, le 20 août 1914 à Cape Town, le 29 août 1914 à Vryburg et Graaf-Reinet, le 2 septembre 1914 à Vryburg, le 3 septembre 1914 à Taungs et Pokwani, le 6 septembre 1914 à Warmbaths (Transvaal), le 11 septembre à Utrecht, le 13 septembre 1914 à Vryburg et le 27 octobre 1914 à Port Sheptone. Le 9 septembre 1914 en Angleterre, en septembre 1914 à Mons (Belgique), le 2 septembre 1914 à Falticeni (Roumanie), en automne 1914 (ou 1915) à Bujoreanca (Roumanie), un homme volant pendant l’été 1915 à Gallipoli (Turquie), le 19 juillet 1916 à Huntington (Virginie), le 31 juillet 1916 à Ballyshannon (Irlande), le 13 septembre 1917 et le 13 octobre 1917 à Fatima (Portugal), en octobre 1917 à Youngstown (Pennsylvanie) et début 1918 près de Waco (Texas)

 

11/LES OVNI DE L’ENTRE-DEUX-GUERRES

 En janvier 1919 à Salisbury Plain (Angleterre), le 22 janvier 1919 à Shuttlewood (Derbyshire), dans les années 20 à Beddes (Berry) et au Texas, en juillet ou août 1920 à Brest, le 22 février 1922 à Hubbell (Nebraska), le 9 septembre 1922 à Barnmouth (Pays de Galles), le 15 février 1923 et 27 janvier 1924 à Fenny Compton (Warwickshire), en 1925 à Brown Mountain (Caroline du Nord), en été 1923 à Sao Ja (Brésil), en 1923 à Greencastle (Indiana), en janvier 1924 dans l’Oklahoma, en novembre 1925 à Londres, en 1925 à la Mancha (Espagne), le 5 août 1926 à Koukounor (Himalaya), en 1926 à Colun (Roumanie), fin 1926 à Paces (Virginie), en 1927 à Sausalito (Californie), juillet 1927 en Roumanie, en 1927 en Loire Atlantique, novembre 1928 à Milton (Dakota du Nord), le 15 juin 1929 à Fermeneuve (Canada), juillet 1929 près de Robsart, août 1929 au large de Virginie, à l’été 1929 à Coselli du Capannori (Italie), en 1930 à Mouzaci (Grèce), en Loire-Atlantique, à Fontenay (Vendée), à Toulx Sainte Croix (Creuse) à la fin de l’automne, le 1er janvier 1931 à Cobden (Canada), fin mars 1931 à Cannes, en mai 1931 en Sardaigne et en juin 1931 près de Melle (Belgique), le 29 décembre 1931 au Groënland, en 1931 en mer de Tasmanie, le 9 avril 1932 à San Martino (Italie), en mai 1932 à Durham (Angleterre) et Dublin (Irlande), en octobre 1932 un extraterrestre à Joliette (Québec), en mai 1932 sur l’Everest, en été 1933 en Pennsylvanie et à Oakland (Californie). Vague de 1933 : le 24 décembre 1933 à Kalix (Suède), le 26 décembre 1933 à Manhattan (New York), le 28 décembre 1933 à Tarnaby et Langmo (Norvège), le 30 décembre 1933 à Gällivare (Suède), le 31 décembre 1933 à Sorsele (Suède), le 8 janvier 1934 à Grasundet (Suède), le 20 janvier 1934 à Tarna et Arjeplog (Suède), à Kvalog (Norvède) et Gleslingen (Norvège), le 10 janvier 1934 à Rortrask (Norvège), le 11 janvier 1934 à Bykullen et Tyndero (Suède), le 13 janvier 1934 à Sleipskar (Suède), Rorvick (Norvège), Isfjorden (Suède), Vikna (Suède), Oksbosen, le 22 janvier 1934 à Vindeln, Viriajam, Bengtsforsen, Jamtland, Indal, Boden (Suède), Repvag (Norvège), le 23 janvier 1934 à Tromsö (Norvège), à Laitakaro et Kuivakangas (Finlande). Le 2 février 1924 ) Londres, en juillet 1934 à Ringwood (Angleterre), au printemps 1935 à Malines (Belgique), en mars 1935 dans le sud de la Norvège et au Danemark, en décembre 1935 à Cruz Alta (Brésil), début avril 1935 à Aznalcazar (Espagne), en été 1935 à Timaru (Nelle Zélande), en octobre 1935 à Addis Abeba, en 1936 au Nord de l’Aveyron, en juillet 1936 à Croydon (Angleterre), le 2 octobre 1936 à Biarritz, le 10 octobre 1936 à Moklinta (Suède), le 21 novembre 1936 en Norvège, le 11 février 1937 près de Kvalsik (Norvège), le 12 février 1937 à Vienne, en février et avril 1937 à Boden (Suède), en juin 1937 près de Chassenon (Vendée), à l’été 1937 à Anderlues (Belgique), en septembre 1937 à Karlskrona (Suède), fin 1937 à Quarta Legua (Brésil), le 25 juillet 1938 à Londres, à l’automne 1938 un extraterrestre à Juminda (Estonie) et dans le Vercors, en 1939 dans l’Himalaya.

 

Les foo fighters
Les foo fighters

12/LES OVNI DE 1940 A 1947

 En 1940 à Toul Sainte Croix (Creuse), le 16 mai 1940 à Herstal (Belgique), en juin 1940 à Oak Ridge (Tennessee), en juillet ou août 1940 au Jutland (Danemark), le 18 août 1940 des extraterrestres à Bata (Hongrie), en 1940 à Dalesville (Québec), le 15 septembre 1940 à Brugine (Italie), en 1941 des empreintes d’enlèvements d’alpinistes, à fin novembre 1940 à Stanleyville (Zaïre), en automne 1941 à Chungking (Chine), le 26 février 1942 au large des Pays-Bas et en février 1942 dans la mer de Timor, le 14 mars 1942 à Banak (Norvège), le 25 mars 1942 à Essen, le 4 avril 1942 à Ouallen (Afrique du Nord), en fin juin (ou début juillet) 1942 près de Cussey-sur-l’Ognon, à l’été 1942 au détroit de Bass, à la fin de l’été 1942 à Newbiggin-on-Sea (Northumberland), fin août 1942 près de Coblence, le 29 août 1942 à Colombus (Mississipi), à mi-novembre 1942 à Bergame (Italie), en octobre 1942 à Radway Green (Angleterre), en 1942 à Rasanac (Yougoslavie) et près de la côte Sud des Etats-Unis, en 1943 les premiers foo-fighters, en été 1943 à Herseaux, août 1943 à Montpellier, en septembre 1943 à Oncativa (Argentine), en septembre 1943 à Pouchkine (Russie), en octobre ou novembre 1943 à Washington, le 14 octobre 1943 à Schweinfunt, le 18 décembre 1943 à Helgoland, Hambourg, Wittenberg et Neustrelitz, en décembre 1943 près d’Oslo, le 12 janvier 1944 à Kummersdorf, en mars 1944 à Arlsbad (Nouveau-Mexique), fin mai 1944 à Pincota (Roumanie), en 1944 à Ploiesti, en juillet 1944 à Charlotte (Caroline du Nord), le 17 juillet 1944 à Bourg en Bresse (Ain), à l’été 1944 près de Queens (New York) et à Toulon sur Arroux, en juillet 1944 à Brest, en août 1944 entre Ceylan et Paloumbang (Sumatra), fin août 1944 Spring Heel Jack à Mattoon (Illinois), entre le 10 et le 20 septembre 1944 à Schaarbeeck (Belgique), en septembre 1944 en Normandie, à la fin de l’été 1944 à Blovice (Tchécoslovaquie), en septembre 1944 à Oliver Springs (Tennessee) et à Anvers, près d’Epinal, à la mi-août 1944 à Mittainvilliers (Eure et Loire), le 20 octobre 1944 à St Paul (Minnesota), en octobre 1944 à Milan et dans le sud-est de la Hollande, le 23 octobre et le 27 novembre 1944 au sud de Manheim, en décembre 1944 à Klagenfurt (Autriche), le 22, le 24 décembre 1944 et en janvier 1945 à Hagenau. En 1945 au nord-est de Habbebishopsheim (Allemagne) à Downey (Californie), à Kingsport (Tennessee), à Livourne (Italie), à Mons (Belgique), à Tongres, à la Cavalerie (Aveyron), en mars 1945 au large des iles Aléoutiennes, près de Belfast (Maine), au col de Brenner, le 20 avril 1945 près de Renève (Côte d’Or), le 1er mai 1945 à Lönnebarga (Suède),en été 1945 à Vetis (Roumanie), en août 1945 près de Craïova (Roumanie), le 10 août 1945 à East Paterson (New Jersey), en août 1945 à Minneapolis, fin août 1945 à Langelmavesi (Finlande), le 20 août 1945 près de l’île d’Ulithi (îles Carolines), entre le 20 et le 27 septembre 1945 à Draguignan (Var), à l’automne 1945 à Waterville (Maine), le 5 mars 1946 à Araçarigama (Brésil), le 14 mars 1946 à Havana (Illinois), en mai 1946 à la Grange (Floride), en mai 1946 en Suède à Angelholm, le 2 juillet 1946 à Gevle (Suède), le 8 juillet 1946 à Norrköping, le 9 juillet 1946 à Norrby et Bjorklund, le 10 juillet 1946 à Orebro et Stockholm (Suède), le 11 juillet 1946 à Orebro et Njurunda, Otterslettan, Lindköping (Suède), le 12 juillet 1946 à Rasunda, le 19 juillet 1946 au lac Mjösa (Norvège), 300 rapports entre le 9 et le 12 juillet 1946, le 12 août 1946 à Göteborg, le 13 août 1946 à Karlskrona, Udeevalla et Stockholm. Le 19août 1946 à Laxa. D’autres cas en Suisse, Belgique, France et Waterford (Irlande), en été 1946 près de Washington, à Oakville (Ontario), le 1er août 1946 à Tampa (Floride), en août 1946 près de Vrouweneekhoek-Saint-Niklaas (Belgique), fin août 1946 à Oklahoma City, le 1er septembre 1946 en Grèce, à Edessa, Ptolemais, Kastoria, Grevena, Katerini, Eginion, Salonique, Paranestion et Drama, le 11 septembre 1946 à Srinagar (Inde), le 14 septembre 1946 à Alemtejo (Portugal), le 16 septembre 1946 au dessus de Porto et Douro. Le 27 septembre 146 à Ostende (Belgique), le 28 et 29 septembre à Verviers. Le 9 octobre 1946 à San Diego (Californie), en octobre 1946 à Preakness (New Jersey), le 30 décembre 1946 à Morrow Bay (Californie) Le 24 juin 1947 observation de Kenneth Arnold qui fit date Réf : J.P Delarge « Des soucoupes volantes aux OVNI » éditions SOBEPS

 

13/UNE HYPOTHESE EN GUISE DE CONCLUSION

 Montrer que la date du 24 juin 1947 était arbitraire Faire une chronologie de base. Hypothèses : 1/ Les OVNI produit de l’imagination avec formes évoluant avec les connaissances 2/ Les OVNI sont contrôlés par une forme d’intelligence L’hypothèse 1 a été infirmée (réalité physique : voir Jean Claude Bourret « Le nouveau défi des OVNI ») Quelle est leur mission ? 1/malveillance ? 2/brouillage de piste ? 3/mission pédagogique ?

 

Mon  AVIS : L’inventaire des cas d’OVNI de l’Antiquité au 24 juin 1947, date officielle du premier cas. Complet, référencé et dénué de toute extrapolation douteuse ou hasardeuse. Une référence