Nouvel Ordre Mondial:La fuite de documents confidentiels américains provoque une chasse à l’homme schizophrénique sur le territoire américain et l’arrestation d’un jeune suspect

Qui est l’Américain de 21 ans accusé d’avoir révélé des documents confidentiels et mis la plus grande puissance militaire mondiale dans l’embarras ?

Le suspect, Jack Teixeira, est accusé d’avoir fait fuiter des documents secrets du Pentagone, notamment sur la guerre en Ukraine.

Jack Teixeira

 

 

 

 

 

 

 

Le Pentagone tient-il le coupable ? Un jeune homme a été arrêté jeudi aux États-Unis dans le cadre de l’enquête sur la fuite de documents confidentiels américains, une affaire posant un risque « très grave » pour la sécurité nationale, selon le Pentagone. Le suspect, Jack Teixeira, employé subalterne de la garde nationale aérienne, « a été interpellé sans incident » et doit comparaître prochainement devant un tribunal de l’État du Massachusetts, a affirmé le ministre de la Justice Merrick Garland lors d’une brève conférence de presse. Le jeune homme, âgé de 21 ans, a été inculpé pour « conservation et transmission non autorisées d’informations relatives à la défense nationale », et « retrait et conservation non autorisés de documents ou de matériels classifiés », selon un document judiciaire.

L’arrestation, annoncée par des médias américains avant d’être confirmée par les autorités, a eu lieu à Dighton, une petite ville rurale au sud de Boston, dans le Massachusetts.

Les télévisions américaines ont diffusé en boucle des images aériennes montrant l’arrestation d’un individu par des agents des forces de sécurité. On pouvait y voir un homme, mains sur la tête et portant un t-shirt gris et un short rouge, reculer lentement vers des soldats avant d’être interpellé, puis escorté vers un véhicule d’allure civile.

Biden « préoccupé »

« Il y a une enquête complète en cours […] et ils se rapprochent » de l’aboutissement, avait déclaré un peu plus tôt le président américain Joe Biden lors d’une visite en Irlande. « Je suis préoccupé que ce soit arrivé », avait-il ajouté. Le ministère américain de la Justice a ouvert une enquête pénale après la fuite de ces documents en ligne, qui détaillent les vues de Washington sur la guerre en Ukraine et semblent indiquer une collecte d’informations sur de proches alliés des États-Unis, notamment Israël et la Corée du Sud.

Le Washington Post a rapporté mercredi que la fuite était l’œuvre d’un jeune homme ayant travaillé sur une base militaire, qui a partagé ses informations sur un groupe privé en ligne du réseau social Discord. Constitué d’environ 24 personnes, dont certaines originaires de Russie et d’Ukraine, ce groupe s’était formé dès 2020 autour de leur passion mutuelle pour les armes à feu, le matériel militaire et la religion. Sous le pseudonyme « OG », le suspect aurait publié pendant des mois des documents issus de la base militaire où il travaille.

OG avait demandé aux autres membres du groupe de ne pas diffuser les documents, assurant qu’il n’avait pas l’intention d’être un lanceur d’alerte, indique le Washington Post en citant l’une de ses sources. Il était critique envers l’État – dont il dénonçait « l’abus de pouvoir » –, les forces de l’ordre et la communauté du renseignement.

La garde nationale a indiqué que Jack Teixeira s’était engagé en septembre 2019, travaillait en tant que spécialiste informatique et communications et avait atteint le rang d’aviateur de première classe, le troisième le plus bas de la hiérarchie.

« Pour la sécurité nationale »

Le groupe, composé d’une vingtaine de personnes, s’est formé dès 2020 autour de leur passion mutuelle pour les armes à feu, le matériel militaire et la religion. La porte-parole de la Maison-Blanche, Karine Jean-Pierre, a déclaré que les États-Unis examinaient les « implications » de cette fuite « pour la sécurité nationale ».

Le ministre de la Défense, Lloyd Austin, a salué dans un communiqué l’« arrestation rapide » du suspect, ajoutant qu’il avait ordonné un « audit des accès à [leur] renseignement […] et des procédures de contrôle au sein du ministère pour mieux orienter [leurs] efforts visant à éviter que ce genre d’incident ne se reproduise ».

Arrestation de Jack Teixeira

Le Pentagone a également décidé de restreindre davantage l’accès à ce type d’informations sensibles, a déclaré Karine Jean-Pierre à la presse, en marge du déplacement de Joe Biden en Irlande.

La porte-parole a ajouté que le gouvernement américain souhaitait que les réseaux sociaux « évitent de faciliter » la distribution de tels documents confidentiels, estimant qu’ils avaient « une responsabilité envers leurs utilisateurs et le pays ».

Risque « très grave »

Un porte-parole de Discord a affirmé à l’Agence France-Presse que la sécurité de ses utilisateurs était la priorité de la plateforme et que tout contenu enfreignant son règlement pouvait aboutir à l’exclusion du contrevenant, à la fermeture de groupes de discussion et à un signalement aux autorités. L’entreprise a également dit coopérer avec les forces de l’ordre concernant les fuites. Le fait que ces documents circulent en ligne représente « un risque très grave pour la sécurité nationale et peut potentiellement alimenter la désinformation », avait indiqué lundi un porte-parole du ministère américain de la Défense, Chris Meagher.

Les documents mis en ligne révèlent notamment les inquiétudes des services de renseignement américains quant à la viabilité d’une contre-offensive ukrainienne contre les forces russes. Un document examiné par l’Agence France-Presse fait aussi état des préoccupations des États-Unis à propos de la capacité de l’Ukraine à continuer à se défendre contre les frappes russes. Des dizaines de photos de ces documents ont été relayées sur Discord, mais aussi Twitter et Telegram, certains ayant sans doute circulé depuis des semaines, sinon des mois, avant d’attirer l’attention de la presse.

Les autorités américaines n’ont toutefois pas publiquement confirmé l’authenticité de ces documents publiés en ligne, et elle n’a pas encore été vérifiée de manière indépendante. Beaucoup de ces documents ne sont plus disponibles sur les sites où ils sont initialement apparus, et les autorités américaines travaillent à ce qu’ils soient tous retirés.


EN COMPLÉMENTAIRE

Washington tente de rassurer ses alliés, dont Kiev

Touchés par une fuite massive de documents, liés notamment à l’invasion russe en Ukraine, les États-Unis cherchent à apaiser les tensions diplomatiques…mais le mal est fait depuis longtemps et tous ceux et celles éveillées par une information réelle …connaissent très bien le secret de Polichinelle que la dictature corrompue de Zelensky va perdre rapidement cette guerre!

 

 

 

 

 

 

Un scandale qui dépasse les frontières. Les chefs de la diplomatie et de la défense américains ont échangé avec leurs homologues ukrainiens mardi 11 avril alors que les États-Unis cherchent à rassurer leurs alliés, dont Kiev, après la fuite de documents classifiés du renseignement américain.

Tout en refusant de commenter l’authenticité ou le contenu de ces documents, le secrétaire d’État Antony Blinken a dit avoir parlé avec le ministre ukrainien des Affaires étrangères Dmytro Kouleba pour lui signaler « le soutien continu » des États-Unis. Le secrétaire à la Défense Lloyd Austin a également dit avoir parlé avec son homologue Oleksiï Reznikov, réitérant que Washington prenait cette fuite de documents classifiés « très au sérieux ».

Selon des informations de presse et des documents consultés mardi par l’Agence France-Presse, le renseignement américain a émis des doutes sur une potentielle contre-offensive ukrainienne qui ne pourrait obtenir que de « modestes gains territoriaux » face aux forces russes. Ces documents classifiés figurent parmi ceux étant apparus en ligne après une fuite révélée jeudi par le New York Times et dont le Pentagone a estimé qu’elle représentait un « risque très grave » pour la sécurité nationale des États-Unis.

Des documents classifiés et sensibles

« J’ai été briefé pour la première fois sur la divulgation non autorisée de ces documents classifiés et sensibles le matin du 6 avril », a déclaré Lloyd Austin, qui s’exprimait lors d’une conférence de presse conjointe à Washington avec les ministres philippins des Affaires étrangères et de la Défense.

« Depuis lors, j’ai convié quotidiennement les responsables du département afin d’examiner notre réponse et ordonné une enquête » interne, a-t-il dit, en rappelant que le département de la Justice avait ouvert de son côté une enquête criminelle.

« Nous prenons cela très au sérieux et nous continuons de travailler étroitement avec nos alliés et partenaires », a-t-il encore dit, en précisant que les documents en question dataient du 28 février et du 1er mars.

De sérieux doutes sur la contre-offensive ukrainienne

Une contre-offensive ukrainienne face aux troupes russes est attendue au printemps. L’Ukraine assure avoir, en amont, formé des brigades d’assaut et stocké des munitions tout en s’efforçant d’épargner ses troupes et d’épuiser celles de son adversaire sur le front. Elle a aussi reçu des chars de combat et de l’artillerie à longue portée de ses soutiens occidentaux.

Mais de robustes défenses russes et « des déficiences persistantes ukrainiennes dans la formation et les réserves de munitions vont probablement mettre à rude épreuve tout progrès et aggraver les pertes durant l’offensive », avance un document du renseignement américain classé secret-défense, selon le Washington Post.

Un autre document, classé « secret » et consulté par l’Agence France-Presse, détaille l’état préoccupant des défenses aériennes ukrainiennes, qui ont jusqu’ici joué un rôle crucial contre les frappes russes, empêchant Moscou de prendre le contrôle de l’espace aérien. Mais ce document affirme que 89 % des défenses de moyenne et longue portée de l’Ukraine étaient constituées de systèmes SA-10 et SA-11 de l’ère soviétique, qui pourraient vite être à court de munitions.

En se basant sur le rythme actuel de consommation de ces munitions, les systèmes SA-11 pourraient être à sec fin mars, et les SA-10 début mai, ajoute le document. La capacité de Kiev à maintenir des défenses aériennes de moyenne portée pour protéger la ligne de front « sera réduite à néant d’ici au 23 mai », conclut le document.

Des roquettes égyptiennes livrées à la Russie ?

Un autre document ayant fuité affirme que le président égyptien Abdel Fattah al-Sissi a ordonné la production de 40 000 roquettes devant être livrées à la Russie, sommant des responsables de garder un tel projet secret « pour éviter des problèmes avec l’Occident », a rapporté le Washington Post dans un article distinct.

Mais le porte-parole du Conseil de sécurité nationale, un organe directement rattaché au président Joe Biden, a démenti l’information, précisant n’avoir « aucune indication que l’Égypte fournisse un armement létal à la Russie ». « L’Égypte est et reste un important partenaire sur les questions de sécurité », a déclaré ce porte-parole, John Kirby.

« L’armée américaine entretient une relation de défense de longue date avec l’Égypte », a-t-il souligné. Le flot régulier de photographies de documents classifiés a été découvert sur Twitter, Telegram, Discord et autres plateformes ces derniers jours, bien que certains aient pu circuler en ligne pendant des semaines avant d’attirer l’attention médiatique. Beaucoup de ces documents ne sont plus disponibles sur les sites où ils sont initialement apparus, et les autorités américaines travailleraient à ce qu’ils soient tous retirés.


QUELS SONT LES DOCUMENTS SUR LESQUELS LE PENTAGONE FAIT -IL UNE CHASSE À L’HOMME DEPUIS  PLUS D’UN MOIS

Ces documents évoquent l’utilisation des munitions, le calendrier des livraisons d’armes ou des formations fournies par l’Occident aux soldats de Kiev.

Le Pentagone cherche à identifier la taupe. Le gouvernement américain a remarqué des fuites de documents classifiés détaillant la stratégie des États-Unis et de l’Otan pour soutenir l’Ukraine face à l’invasion russe, qui ont été publiés cette semaine sur les réseaux sociaux, a révélé jeudi le New York Times. Interrogé, le Pentagone a dit être en train d’enquêter sur le sujet. « Nous sommes au courant des informations de presse concernant des messages publiés sur les réseaux sociaux et le ministère est en train d’examiner la question », a déclaré une porte-parole du Pentagone, Sabrina Singh.

Ces documents, qui datent du début du mois de mars selon le quotidien américain, évoquent par exemple le rythme auquel les forces ukrainiennes utilisent les cruciales munitions des lance-roquettes mobiles Himars, ou encore le calendrier des livraisons d’armes ou des formations fournies par l’Occident aux soldats de Kiev.

Les documents, partagés sur Twitter et Telegram, semblent authentiques, selon des experts cités par le journal new-yorkais, mais certains auraient été altérés de façon à présenter la situation russe sous un jour plus favorable, notamment en minimisant l’ampleur de leurs pertes. Selon ces fuites, 12 brigades ukrainiennes seraient en train d’être constituées, dont 9 entraînées et équipées par les États-Unis, note le New York Times.

Le 27 mars 2023,selon un responsable britannique:les premiers chars lourds britanniques et allemands sont arrivés en Ukraine, un apport de forces souhaité depuis longtemps par Kiev pour faire face à l’invasion russe.

Ces chars de combat Challenger et Leopard, promis à Kiev au début de l’année, arrivent à temps pour l’offensive de printemps que prévoient les forces ukrainiennes.

Dans le même temps, la Russie a confirmé son projet de déployer des armes nucléaires tactiques au Bélarus, son allié voisin de l’Ukraine et de l’Union européenne, malgré les vives protestations des Occidentaux.

Dans un message publié lundi sur Facebook, le ministre ukrainien de la Défense, Oleksiï Reznikov, a annoncé que « des Challengers britanniques, des Strykers et des Cougars américains et des Marders allemands » se sont « ajoutés aux unités ukrainiennes ».

ll est aussi à prévoir que les chars d’assault akllemands (désuets) que le Canada  de Justin Trudeau a promis au dictateur Zelensky…arriveront quant  l’armée russe défilera au centreville de Kiev…comme les bateaux de guerre des années ’50 qui avaient  été envoyé  en Irak,en 1991.

Il a également publié une photo de ces véhicules, sans préciser le jour où ils sont arrivés.

Une porte-parole du ministère ukrainien, Iryna Zolotar, a confirmé à l’AFP que les tanks Challenger « se trouvaient déjà en Ukraine », sans en donner le nombre exact.

Le chancelier allemand Olaf Scholz a pour sa part annoncé lundi que Berlin a fourni des chars de combat Leopard « très modernes » à Kiev, et le ministère de la Défense a déclaré plus tard que 18 chars ont été livrés.

Tout cela,vous l’aurez rapidement compris ,ne sont que de la propagande pourrie!

« Faire la différence » (ne rions pas!)

« Nos chars sont arrivés comme promis et ponctuellement entre les mains de nos amis ukrainiens », a déclaré le ministre de la Défense, Boris Pistorius, dans un communiqué. « Je suis sûr qu’ils pourront faire la différence sur le terrain ».

Le Royaume-Uni avait également annoncé début février qu’il formerait des pilotes de chasse ukrainiens, ouvrant la porte à terme à la fourniture d’avions aux normes de l’Otan.

Les Occidentaux considèrent que l’Ukraine a le droit de se défendre, mais certains sont réticents à livrer des armes qui provoqueraient une escalade du conflit en permettant à l’Ukraine de frapper la Russie.

Donc :on attaque,mais  pas trop fort…car on a peur!

La Slovaquie a livré récemment quatre MiG-29 à l’Ukraine et la Pologne a promis de faire de même.

A Moscou, le porte-parole du Kremlin Dmitri Peskov a affirmé lundi que la Russie ne changerait pas son projet de déployer au Bélarus des armes nucléaires tactiques, malgré les critiques occidentales.

« Bien entendu, une telle réaction ne pourra pas avoir d’impact sur les plans de la Russie », a déclaré à la presse M. Peskov.

Les Etats-Unis ont eux réaffirmé n’avoir aucune raison de penser que la Russie se préparerait à utiliser l’arme nucléaire, tout en condamnant l’annonce russe.

« Rhétorique irresponsable »

« C’est l’un des derniers exemples en date de la rhétorique nucléaire irresponsable que nous avons constaté de la part de la Russie », a déclaré un porte-parole du département d’Etat, Vedant Patel.

« Aucun autre pays n’a évoqué la possibilité d’une utilisation de l’arme nucléaire dans ce conflit », a-t-il ajouté, rappelant qu' »aucun pays (n’avait) menacé la Russie » ou « le président Poutine ».

Sur le terrain, des missiles russes se sont abattus lundi sur la ville de Sloviansk, dans l’est de l’Ukraine, tuant deux personnes dans leur voiture, blessant plus de 30 autres et détruisant des immeubles, selon la police et les autorités locales.

Dans l’après-midi, une casquette maculée de sang reposait dans la rue à côté d’une voiture dont le siège avant était couvert de sang et de bris de glace, ont constaté des journalistes de l’AFP.

Oleksandr, 34 ans, croisé devant un immeuble administratif éventré, le visage recouvert d’un bandage, a raconté à l’AFP qu’il était venu faire une visite médicale « dans un centre d’enrôlement militaire ».

Non loin de lui, plusieurs voitures gisaient, totalement carbonisées, et une pelleteuse était à l’oeuvre pour retirer un imposant bloc de béton qui s’est abattu sur l’une d’elles.

« Je travaille ici et je suis arrivée juste au moment de l’explosion », a déclaré, en larmes, Yelena, une coiffeuse de 42 ans.

Le président ukrainien Volodymyr Zelensky a rencontré lundi le directeur de l’Agence internationale de l’énergie atomique (AIEA) Rafael Grossi, qui doit se rendre cette semaine dans la centrale nucléaire de Zaporijjia, occupée par les forces russes.

« Sans le retrait immédiat des troupes et du personnel russes de la centrale nucléaire de Zaporijjia et des territoires adjacents, toute initiative visant à rétablir la sûreté et la sécurité nucléaires est vouée à l’échec », a déclaré M. Zelensky à M. Grossi, selon un communiqué de la présidence.

Sur Twitter, M. Grossi a indiqué avoir eu avec le président ukrainien « un échange fructueux sur la protection de la centrale nucléaire de Zaporijjia et de son personnel ». « J’ai réitéré le soutien total de l’AIEA aux installations nucléaires ukrainiennes », a-t-il ajouté.

La Slovaquie a livré récemment quatre MiG-29 à l’Ukraine et la Pologne a promis de faire de même.

A Moscou, le porte-parole du Kremlin Dmitri Peskov a affirmé lundi que la Russie ne changerait pas son projet de déployer au Bélarus des armes nucléaires tactiques, malgré les critiques occidentales.

« Bien entendu, une telle réaction ne pourra pas avoir d’impact sur les plans de la Russie », a déclaré à la presse M. Peskov.

Les Etats-Unis ont eux réaffirmé n’avoir aucune raison de penser que la Russie se préparerait à utiliser l’arme nucléaire, tout en condamnant l’annonce russe.

« Rhétorique irresponsable »

« C’est l’un des derniers exemples en date de la rhétorique nucléaire irresponsable que nous avons constaté de la part de la Russie », a déclaré un porte-parole du département d’Etat, Vedant Patel.

« Aucun autre pays n’a évoqué la possibilité d’une utilisation de l’arme nucléaire dans ce conflit », a-t-il ajouté, rappelant qu' »aucun pays (n’avait) menacé la Russie » ou « le président Poutine ».

Sur le terrain, des missiles russes se sont abattus lundi sur la ville de Sloviansk, dans l’est de l’Ukraine, tuant deux personnes dans leur voiture, blessant plus de 30 autres et détruisant des immeubles, selon la police et les autorités locales.

Dans l’après-midi, une casquette maculée de sang reposait dans la rue à côté d’une voiture dont le siège avant était couvert de sang et de bris de glace, ont constaté des journalistes de l’AFP.

Oleksandr, 34 ans, croisé devant un immeuble administratif éventré, le visage recouvert d’un bandage, a raconté à l’AFP qu’il était venu faire une visite médicale « dans un centre d’enrôlement militaire ».

Non loin de lui, plusieurs voitures gisaient, totalement carbonisées, et une pelleteuse était à l’oeuvre pour retirer un imposant bloc de béton qui s’est abattu sur l’une d’elles.

« Je travaille ici et je suis arrivée juste au moment de l’explosion », a déclaré, en larmes, Yelena, une coiffeuse de 42 ans.

Le président ukrainien Volodymyr Zelensky a rencontré lundi le directeur de l’Agence internationale de l’énergie atomique (AIEA) Rafael Grossi, qui doit se rendre cette semaine dans la centrale nucléaire de Zaporijjia, occupée par les forces russes.

« Sans le retrait immédiat des troupes et du personnel russes de la centrale nucléaire de Zaporijjia et des territoires adjacents, toute initiative visant à rétablir la sûreté et la sécurité nucléaires est vouée à l’échec », a déclaré M. Zelensky à M. Grossi, selon un communiqué de la présidence.

Sur Twitter, M. Grossi a indiqué avoir eu avec le président ukrainien « un échange fructueux sur la protection de la centrale nucléaire de Zaporijjia et de son personnel ». « J’ai réitéré le soutien total de l’AIEA aux installations nucléaires ukrainiennes », a-t-il ajouté.

Des soldats de Wagner aux commandes d’un canon,secteur de Bakhut.

« Plus de 100 attaques » repoussées

À Bakhmout, l’épicentre actuel du conflit, Evgueni Prigojine, le patron du groupe paramilitaire Wagner, a revendiqué une nouvelle progression de ses hommes qui s’y battent en première ligne. « C’est le bâtiment de l’administration municipale, le centre administratif de la ville », a-t-il déclaré samedi, pointant du doigt, du toit d’un bâtiment, un autre édifice, en guise d’illustration de cette avancée.

« C’est à un kilomètre deux cents », « C’est la zone, il y a des combats en cours », a-t-il ajouté dans une vidéo diffusée par le service de presse de son entreprise Concord.


CONFIRMATION. 300 morts, l’Otan décapitée à Kiev

Le mercredi 15 mars 2023, nous avions annoncé que  La Russie a détruit le bunker de commandement souterrain profond de l’OTAN à Kiev. Cette annonce est confirmée dans ce qui suit.

Valérie Bérenger nous informait récemment de la destruction du bunker de commandement de l’Otan à Kiev, enterré à 120 m de profondeur et pulvérisé par une frappe hypersonique dévastatrice.

https://ripostelaique.com/exclusif-premiere-frappe-a-grande-echelle-de-la-russie-contre-lotan.html

Le silence radio observé depuis dans les médias occidentaux pouvait laisser planer un doute sur la véracité de cette frappe majeure, qui a décapité le staff de l’Otan mis en place par les faucons de Washington à Kiev.

Mais l’information, bien que cachée tant elle prouve l’écrasante supériorité technologique russe sur l’Otan, et tant elle démontre que les Occidentaux sont bien des cobelligérants à part entière, semble se vérifier.

https://geopolitique-profonde.com/articles/massacre-russie-bunker-otan-kiev?fbclid=IwAR0te5x31pcfvJuvpAtLMDWKNUgBozMlHdCUOeJYhEiaJpZTNqqwWK4bgf0

https://reseauinternational.net/on-reparle-de-la-premiere-frappe-contre-lotan/

À elle seule, cette frappe tuant 300 officiers et conseillers de l’Otan, ainsi que des militaires ukrainiens, a fait plus de dégâts dans le camp ukro-otanien que les 400.000 soldats ukrainiens tués ou blessés depuis un an, pauvres bougres envoyés à l’abattoir et dont tout le monde se fout éperdument, à commencer par Biden et Zelensky.

Il va bien falloir expliquer maintenant aux familles de ces officiers anglais, polonais, américains et peut-être français, pourquoi ils sont morts, alors que la Russie n’est pas en guerre contre les pays de l’Otan ou contre l’UE.

– L’Ukraine est-elle dans l’Otan ? Non

– L’Ukraine appartient-elle à l’Union européenne ? Non

– Ces soldats sont-ils morts pour la défense de la démocratie ? Non. Un régime mis en place en 2014 suite à un coup d’État fomenté par la CIA n’a rien d’une démocratie. Assez de mensonges et d’hypocrisie

– Sont-ils morts pour défendre le droit international ? Non. Le droit international voudrait que Kiev respecte les accords de Minsk. Ce que Washington, Berlin et Paris n’ont jamais exigé de Zelensky, malgré les innombrables demandes de Poutine.

Il faut bien comprendre que Poutine n’a JAMAIS voulu cette guerre et que ce sont les Occidentaux qui ont attisé les braises depuis 2014, semant la mort dans les républiques séparatistes du Donbass, en faisant 14 000 victimes.

C’est à la demande des autorités de Lougansk et de Donetsk que Poutine est venu leur porter secours après huit années d’agression kiévienne et de crimes de guerre ininterrompus. L’offensive russe est donc un modèle de légitimité, parfaitement conforme au droit international, alors que les Occidentaux ne cessent de violer ce droit, en pillant les avoirs de la Russie, en décrétant 11 trains de sanctions économiques et en armant l’Ukraine, pays le plus mafieux et corrompu de la planète.

Mais tout cela ne fonctionne pas. Les sanctions ont échoué et ruiné l’Europe.

Et sur le plan militaire, c’est un désastre otanien sans précédent. Moscou tient tête à 40 nations hostiles en ayant engagé le minimum de son gigantesque potentiel militaire.

Par conséquent, cette frappe dévastatrice contre le commandement otanien devrait interroger Biden et ses valets.

300 morts, stop ou encore ?

Nul ne se réjouit de voir 300 soldats et conseillers pulvérisés à 120 mètres sous terre, quel que soit leur camp. Mais qu’allaient-ils faire dans cette galère totalement illégitime, imposée par Washington ?

Non seulement Poutine ne reculera jamais, mais il a les moyens de faire plier ces têtes brûlées occidentales qui ne savent toujours pas ce qu’est l’âme russe, ni ce qu’est l’armée de Poutine en 2023.

Au-delà de la propagande guerrière prêchant l’escalade sans fin, l’Otan est dans une impasse.

Comment en finir sans perdre la face, après avoir braillé pendant un an que la Russie serait vaincue ?

Bakhmut va tomber. Les armes livrées, chars et avions, sont des rossignols vieux de 40 ans et totalement dépassés face aux armes de dernières génération que possède Poutine.

Kiev n’a guère les moyens de lancer une offensive de grande ampleur. La reprise du Donbass et de la Crimée est une fable.

Côté américain, une nouvelle défaite ukrainienne donnerait des ailes au camp républicain pour 2024, Donald Trump ayant toujours manifesté son opposition à la politique agressive de Biden.

Il va donc falloir négocier en sauvant la face. Pas simple.

Washington peut prétexter un risque d’escalade nucléaire et jouer la sagesse en faisant retomber la pression.

Une défaite de plus ou de moins, après les fiascos du Vietnam, de l’Irak et d’Afghanistan…

Certains pensent que la chute imminente de Bakhmut sera le tournant de la guerre.

Personnellement, je pense que ce tournant, c’est plutôt la destruction du PC enterré de l’Otan début mars.

À mon avis, les naïfs Occidentaux viennent de comprendre qu’ils ne gagneront jamais cette guerre. Ils savent dorénavant ce qui les attend s’ils s’engagent sur le terrain.

L’arme hypersonique est aussi dissuasive que l’arme atomique, sans les ravages de la radioactivité.

Et comme les Américains en sont encore au stade des essais ratés et qu’il leur faudra au bas mot 10 ans pour se doter d’une arme hypersonique opérationnelle, les Russes ont la supériorité technologique pour longtemps.

C’est pour cela que je pense que les va-t-en-guerre de l’Otan, des idiots pour la plupart, vont se calmer et que cette guerre va se terminer en négociant aux conditions de Poutine.

On habillera cette énième déculottée otanienne en prétextant que Poutine est prêt à l’escalade nucléaire et le tour sera joué. L’Otan, par sa sagesse, aura évité une troisième guerre mondiale.

Si 400 000 soldats ukrainiens sont morts pour rien, la désintégration du staff otanien sous un missile hypersonique russe pourrait bien nous ramener la paix.

Ce n’est que mon avis.

1 avril 2023 Jacques Guillemain

 

 

 


 

Comment l’histoire des extraterrestres morts et des crashs d’OVNIS a commencé

La plupart des personnes qui s’intéressent aux OVNIs savent comment les documents controversés de Majestic 12 ont fait surface. Le 11 décembre 1984 était une date destinée à devenir tristement célèbre dans le domaine de l’ufologie. Ce jour-là, un homme nommé Jaime Shandera, qui était producteur de télévision à l’époque, a reçu par la poste une épaisse enveloppe de manille. Elle portait le cachet de la poste d’Albuquerque, au Nouveau-Mexique, et ne comportait pas d’adresse de retour. À l’époque, Shandera travaillait en étroite collaboration avec Bill Moore – un écrivain qui avait passé beaucoup de temps à essayer de découvrir la véritable histoire du “crash d’OVNI” de Roswell en juillet 1947. Greg Bishop dit dans son livre Project Beta de 2005 “deux autres enveloppes étaient à l’intérieur, chacune incluse dans la suivante comme des poupées russes.”

Bishop ajoute : “A partir de la troisième, un rouleau de pellicule de 35 mm est sorti d’une boîte noire. Une fois développé, le film noir et blanc a révélé deux séquences de huit images chacune – des images de quelque chose qui passerait à l’histoire comme le fameux “document MJ-12” ou “documents d’information présidentielle”. Ces documents semblaient n’être rien de moins que des documents vieux de plusieurs décennies et hautement classifiés sur un programme Top Secret du gouvernement américain. Ces mêmes documents portaient sur des crashs de soucoupes volantes, des extraterrestres morts, des autopsies de créatures extraterrestres et une agence secrète/groupe de réflexion connue sous le nom de Majestic 12. Pendant les années qui ont suivi, Moore et Shandera ont fouillé dans les papiers de Majestic 12. Et, en 1987, ils ont rendu les documents publics. La controverse a commencé. Et, plus de trente ans plus tard, on parle toujours de ces documents. Mais voici la question la plus importante de toutes : qu’est-ce qui a amené Shandera et Moore à recevoir ce rouleau de pellicule ? Pour répondre à cette importante question, il faut remonter quelques années en arrière. C’est là que tout a vraiment commencé.

En septembre 1980 – alors qu’il faisait la promotion de son livre nouvellement publié (avec Charles Berlitz) The Roswell Incident – Moore a participé à un certain nombre d’interviews radiophoniques dans tous les États-Unis. À la fin d’une de ces interviews, une secrétaire a dit à Moore qu’il y avait quelqu’un en ligne qui voulait parler en privé avec Moore. La voix à l’autre bout du fil appartenait à un colonel qui était en poste à la base aérienne d’Offutt, qui est située dans le comté de Sarpy, au Nebraska. L’homme a dit à Moore : “Nous pensons que vous êtes le seul que nous ayons entendu qui semble savoir de quoi il parle. Le colonel a souhaité une rencontre. Et bientôt, aussi. Moore a griffonné le numéro du colonel, promettant de reprendre contact dès que possible. Mais le colonel proactif n’a pas attendu que Moore le joigne. Au lieu de cela, il a contacté Moore – pour une deuxième fois. Une fois de plus, l’homme a prononcé ces mêmes mots : “Nous pensons que vous êtes le seul que nous ayons entendu qui semble savoir de quoi il parle.” Moore était maintenant plus qu’intrigué. Une rencontre a rapidement été organisée. Les deux hommes devaient se retrouver dans un restaurant d’Albuquerque, qui se trouvait sur le chemin du retour de Moore, pour une bonne nourriture et – espérons-le – une conversation instructive. Le mystérieux informateur a été décrit par Moore comme étant âgé et maigre. Greg Bishop a déclaré que l’homme avait “un soupçon d’accent d’Europe de l’Est”. À partir de ce jour, le vieil homme amaigri sera connu par Moore sous le nom de “Faucon”.

Greg Bishop dit que “… [la nouvelle connaissance de Moore] lui a dit qu’il représentait un groupe d’agents de renseignement du gouvernement américain qui en avaient assez du secret entourant le sujet des OVNIs et étaient désireux de divulguer des informations plus précises au public. Ils voulaient le faire par l’intermédiaire d’un chercheur de bonne réputation. Il recevrait de petites bribes de l’histoire au fil du temps, et pourrait en faire ce qu’il souhaitait. Moore serait-il intéressé à participer à un tel programme ?” Oui, Moore était intéressé. Tout à fait. Mais, il y avait la question d’une certaine alliance impie que Moore savait qu’il devrait conclure ; que cela lui plaise ou non. Il savait que s’il ne jouait pas à ce jeu, alors sa chance d’aller au cœur de ce que l’Oncle Sam savait sur les OVNIs et les extraterrestres – morts, vivants ou même les deux – lui échapperait de façon irréversible. Moore a donc accepté de faire tout ce qui devait être fait. Tout a rapidement décollé. Au début des années 80, Moore a périodiquement reçu des instructions pour se rendre dans certains endroits des États-Unis, où il rencontrait des personnages anonymes, du type initiés, dont, une fois de plus, le Faucon.

À chaque fois, des documents apparemment très classifiés sur les OVNIs ont été remis à Moore – toujours dans des enveloppes de manille et dans des endroits divers et répandus. Parmi ces endroits, on trouve un motel dans le nord de l’État de New York et un certain bâtiment au cœur de Los Angeles, en Californie. En avril 1983, un ami de Moore, Nic Magnuson, est allé chercher une collection de documents pour Moore à Seattle, à l’aéroport international Sea-Tac de Washington. La remise a été faite par “un homme petit, âgé et chauve” qui a donné à Magnuson un journal qui contenait dans ses pages une de ces inestimables enveloppes de manille. La documentation collective faisait référence à des énigmes telles que le “Projet Verseau”, le “MJ12” (un terme alternatif pour Majestic 12), des “communications avec des extraterrestres”, et même à des décisions prises par des figures d’élite dans le domaine de la collecte de renseignements pour maintenir la Maison Blanche fermement hors de la boucle ufologique. Un secret si étonnant que même le président des États-Unis n’a pas pu dire la vérité ? C’est possible, oui.

 

Pour Moore, il n’y avait aucun doute que les documents étaient de la dynamite absolue. S’ils étaient authentiques, c’est-à-dire. C’était la plus grande question de toutes : étaient-ils authentiques ? Ou bien Moore était-il utilisé par des personnes de la communauté des renseignements, des personnages manipulateurs qui essayaient d’écarter Moore de ses importantes recherches sur Roswell et de le pousser plus loin sur une voie remplie de documents douteux les uns après les autres ? Les questions étaient fondées. Il ne faudra pas longtemps avant que Jaime Shandera ne reçoive les documents de Majestic 12 qui ont suscité tant de controverses – et ce pendant tant d’années.


Les comptes OVNIS sont cohérents avec les documents MJ-12

Je sais je sais.

Il ne fait aucun doute que la validité des documents MJ-12 est fortement contestée.

Certains individus sont convaincus que les documents MJ-12 ont été créés dans le cadre d’une campagne de désinformation contre l’Union soviétique.

Certains nient totalement l’existence du groupe.

Je ne suis d’accord avec aucune de ces conclusions. Et la ou les raisons de ma position seront peut-être reprises dans un prochain article.

Mais peu importe si vous pensez que le MJ-12 était un canular ou non. (Bien que, j’espère, après avoir fait vos propres recherches approfondies, vous constaterez que c’est tout sauf un canular.)

Ce qui compte vraiment, c’est ce qui se trouve dans les documents MJ-12. Beaucoup de descriptions correspondent à ce que nous avons vu récemment dans les nouvelles (c’est-à-dire la vidéo de Nimitz ).

Les documents MJ-12 – authentiques ou non – sont antérieurs à l’incident de Nimitz d’au moins quarante-cinq ans. Si les documents étaient un canular, alors comment quelqu’un pourrait-il prédire à l’époque ce que nous verrions vraiment dans le ciel en 2004 (lorsque le Nimitz s’est produit)?

Cela frôle l’absurdité.

Cette petite description provient de Entités extraterrestres et de la technologie, de la récupération et de l’élimination.

Ceci décrit l’OVNI «en forme de fuselage ou de cigare». Ce n’est qu’une des quatre formes différentes d’OVNIS expliquées dans la brochure.

Cette description est en ligne avec la vidéo Tic Tac, mais il existe plusieurs autres comptes qui correspondent à la forme du cigare.

Considérez cette entrée du livre de Jacques Vallee Wonders in the Sky:

Mars 1828, Mount Wingen, Australie (terres d’objets en forme de cigare)

Un mystérieux objet volant serait descendu sur le mont Wingen dans la réserve naturelle de Burning Mountain. Il était «en forme de cigare et avait une drôle de couleur argent» et faisait un grand bruit de claquement. Selon le rapport, «quand il a atterri, il a mis le feu à toute la végétation et tué le bétail».

Ce cas particulier est antérieur aux documents MJ-12 de bien plus d’un siècle. Mais il ne s’arrête pas là.

Nous allons continuer.

Il s’agit d’un document des archives canadiennes, qui décrit un «… objet cylindrique et ressemblait à un réservoir de propane…»

Encore une fois, c’est très similaire aux documents Tic Tac et MJ-12.

J’aime me demander ce que ces gens pensaient voir à l’époque (surtout dans le cas de 1828). Je ne peux pas m’empêcher de penser que cela a causé une crampe mentale. Peut-être ont-ils simplement essayé de l’omettre de la mémoire.

Que doit-on faire d’autre quand on est confronté à quelque chose qu’il ne peut pas expliquer?

Beaucoup de ces documents ont été classifiés pendant longtemps. Mais on se demande pourquoi ils ont été classés en premier lieu. S’il n’y avait, en fait, aucune preuve d’OVNI ou de corps extraterrestres, alors pourquoi continuer le récit pendant tant d’années? En tant que campagne de désinformation? Il existe des moyens plus convaincants d’induire quelqu’un en erreur que d’inventer un récit sur les extraterrestres et les vaisseaux spatiaux volants. Cela me dit que le récit est tellement incroyable qu’il doit être vrai.

Les informations sur les ovnis sont généralement classées pour deux raisons:

  1. ) Pour garder la confidentialité de l’enquête en cours.
  2. ) Pour masquer l’ignorance.

Jetons un œil à une autre description.

Ce document présente de nombreuses similitudes avec quelques cas.

Tout d’abord, les mots «Flying Barrels» rappelle le Tic Tac.

Deuxièmement, l’expérimentateur a dit que cela ressemblait à une «pastille volante».

Encore une fois, cela ressemble à la description du Tic Tac et du MJ-12.

Un autre petit détail est la vitesse décrite. Ce document décrit la vitesse de l’objet comme étant «à peu près la vitesse du son».

C’est intéressant. La vitesse du son est de 767 miles par heure. C’est assez rapide. L’incident de Lonnie Zamora décrit l’engin là-bas comme ayant eu une accélération maximale de 720 milles à l’heure. Il semble que ces engins voyagent très près de la même vitesse.

Mes recherches sur les similitudes de cas spécifiques sont en cours, mais je voulais juste donner quelques exemples ici.

Oh! Et puis il y a ça!

Ce sont les différents appareils décrits dans les documents MJ-12. Vous n’avez pas à croire que les documents sont authentiques pour voir qu’il existe certainement des similitudes entre les cas d’OVNI.

Je tiens à le réitérer également. Les documents du MJ-12, s’ils ne sont pas authentiques, montrent encore une forme commune dans les engins des années 50 et 60 à ce que nous avons vu dans le ciel depuis les années 80 (à commencer par l’incident des ovnis en Belgique). Cette information est souvent laissée de côté. Et je ne pense pas qu’il y ait suffisamment d’individus pour attirer l’attention sur ce fait.

La seule façon de contourner cela est d’être d’avis que les documents MJ-12 ont été en quelque sorte falsifiés dans les années 90, ce qui n’est tout simplement pas le cas.

Je maintiens que ces documents sont authentiques. Et il y a de nombreux chercheurs qui sont du même avis.

Je suggère de regarder cette vidéo avec Richard Dolan et le chercheur MJ-12, Ryan Wood, pour plus d’informations sur le fonctionnement du processus d’authentification des documents MJ-12.

[videopress VUHChc83]

Hitler vit?: Un document de la CIA de 1955 affirmait que cela était très possible

 

Un document sur le site Web de la Central Intelligence Agency fait une affirmation explosive, bien que bizarre: Adolf Hitler a survécu à la Seconde Guerre mondiale.

Les Soviétiques, puis la Fédération de Russie, ont prétendu pendant des années avoir des restes d’Hitler, bien que les corps de lui et d’Eva Braun, son amante de longue date devenue épouse, aient été incinérés à la hâte. Pourtant, Moscou affirme avoir récupéré des restes partiels.

«CIMELODY-3 [un nom de code] a été contacté le 29 septembre 1955 par un ami de confiance qui a servi sous son commandement en Europe et qui réside actuellement à Maracaibo», a envoyé le chef du renseignement par intérim à Caracas, au Venezuela, à son supérieur quelques jours plus tard le 3 octobre 1955. «L’ami de CIMELODY-3 a déclaré que pendant la dernière partie de septembre 1955, Phillip CITROEN, ancien soldat SS allemand, lui a déclaré confidentiellement qu’Adolph HITLER est toujours en vie. dix ans se sont écoulés depuis la fin de la Seconde Guerre mondiale, les Alliés ne pouvaient plus poursuivre HITLER en tant que criminel de guerre.

De plus en plus ,avec le temps,la vérité sort de la nuit, et un jour on ne pourra voir la Lumière Éclatante de la Vérité sur la vraie vie du Führer après le 2 mai 1945…jusqu’à sa mort en Argentine!

«La source a pensé qu’il valait la peine d’être envoyé au QG, ce qui est remarquable», me dit une source du ministère de la Défense. «Même à l’époque, ces gars-là ont dû faire beaucoup pour séparer le bon grain de l’ivraie.»

De plus, il y a une prétendue photo. «Le 28 septembre 1955, l’ami de CIMELODY-3 obtint subrepticement la photographie CIMELODY-3 mentionnée. Le 29 septembre 1955, la photo a été montrée à CIMELODY-3 dans le but d’obtenir sa réaction à la véracité possible de cette histoire fantastique.

 

Dans le mémo déclassifié, la photo est jointe, montrant un «Adolf Schrittelmayor» à Tunga, Colombie en 1954, assis à côté d’un compagnon. «La personne de gauche serait CITROEN et la personne de droite est sans aucun doute la personne que CITROEN prétend être HITLER. Le verso de la photographie contenait les données suivantes: «Adolf Schrittelmayor, Tunga, Colombie, 1954». « 

Le personnage de la prétendue photographie ressemble clairement au dirigeant national-socialiste qui s’est suicidé le 30 avril 1945, dans son bunker à Berlin, pour éviter d’être capturé par l’Armée rouge. Les théories du complot ont fleuri pendant des années selon lesquelles de hauts fonctionnaires du haut commandement national-socialiste se sont enfuis en Amérique du Sud, y compris le plus célèbre de tous.

Ces théories, pour Hitler, se sont généralement concentrées sur l’Argentine, pas sur la Colombie, et il était largement présumé qu’il serait lourdement déguisé – ne gardant pas son prénom et ressemblant exactement à son apparence de renommée mondiale pendant le conflit le plus sanglant de l’histoire de l’humanité. Les services secrets des États-Unis ont publié des images en 1944 sur la façon dont il pourrait essayer de se déguiser.

Les Soviétiques, puis la Fédération de Russie ont prétendu pendant des années détenir des restes d’Hitler, bien que les corps de lui et d’Eva Braun aient été incinérés à la hâte. Pourtant, Moscou affirme avoir récupéré des restes partiels. Mais les Russes ont été embarrassés en 2009 lorsqu’un scientifique américain a été autorisé à examiner le crâne pendant une heure, affirmant que le crâne était définitivement une femme, et non un homme, et d’une personne âgée de 20 à 40 ans, et non de 56 ans, l’âge de la mort déclaré par Hitler. Le FSB russe a férocement nié ce compte de Nick Bellantoni de l’Université du Connecticut.

«L’histoire soviétique de leur gestion peu de temps [après les suicides] est pleine d’incohérences», soutient le responsable de la Défense. «Il semblerait que l’URSS et les États-Unis aient sérieusement considéré qu’il n’était pas mort. C’était le Far West quand Berlin est tombé. Certains hauts responsables nationaux-socialistes ont donné de faux noms et ont survécu en tant que soldats réguliers inaperçus dans les camps soviétiques, certains auraient habillé des cadavres d’apparence similaire dans leurs uniformes, certains ont utilisé les réseaux d’exfiltration préexistants pour sortir. … Il y a des photos d’Hitler à un âge avancé, publiées par les services de renseignement américains. Pourtant, lorsqu’il a été pressé, le fonctionnaire a estimé à 5% la chance qu’Hitler ait effectivement échappé en Amérique du Sud. «Bien que suspecte et hors de son caractère, l’histoire du KGB est beaucoup plus simple et plausible que lui vivant depuis des années en Amérique du Sud.»

Pourtant, au cours de la semaine où l’administration a traîné la déclassification de tous ses dossiers d’assassinat JFK pendant encore six mois, des documents comme cette curiosité historique feront encore couler beaucoup d’encre dans le futur.


EN COMPLÉMENTAIRE

La preuve anatomique de la mort d’Hitler n’a jamais été établie

Lors d’une conférence de presse le 9 juin 1945, le maréchal Joukov, chef de l’armée soviétique et parmi les premiers sur la scène berlinoise, a déclaré qu’ils n’avaient pas identifié le corps d’Hitler, et qu’il s’était peut-être échappé. Staline était d’accord.

 

Même le général Dwight D. Eisenhower, commandant suprême des forces alliées en Europe occidentale, a déclaré à un journal néerlandais le 7 octobre 1945 qu’il y avait «des raisons de croire» qu’Hitler était toujours en vie.

Les livres d’histoire standard nous disent qu’Hitler et sa compagne de longue date, Eva Braun, se sont suicidés entre 14 et 15 heures l’après-midi du 30 avril 1945. On pense qu’elle est morte en avalant du cyanure, et lui par un coup de feu auto-infligé à la tête.

Leurs corps ont été ramenés du bunker sous Berlin, où Hitler et Braun vivaient depuis janvier 1945, aspergés de 200 litres d’essence et brûlés au-delà de toute reconnaissance. Personne n’a vu leurs visages.

Comment est-ce possible? Comment la personne la plus recherchée du monde aurait-elle pu échapper à la découverte? Parce que le monde européen était en plein chaos. Adolf Eichmann et Josef Mengele, presque aussi reconnaissables qu’Hitler et presque aussi recherchés par les Alliés, se sont échappés sans être détectés en Argentine. Il en a été de même pour des milliers d’autres nationaux-socialistes.

Peut-être que l’histoire de la mort d’Hitler doit être réécrite, comme le montre le livre «Grey Wolf: The Escape of Adolf Hitler». Dans cette histoire, Hitler et Braun se sont échappés pour vivre une belle vie en Amérique du Sud. Hitler s’est rasé la moustache, a subi une petite chirurgie plastique et a vécu jusqu’au 13 février 1962, date à laquelle il est décédé paisiblement à 72 ans.

Comment cela a-t-il pu arriver? Grey Wolf explique:

Le samedi 28 avril 1945 – jour où Benito Mussolini fut capturé et exécuté par des partisans italiens – Hitler et Braun, dirigés par le chef de la Gestapo Heinrich Müller, quittèrent le bunker par un tunnel caché pour le Hohenzollerndamm, un large boulevard traversant le centre de Berlin, improvisé comme une piste. L’avion d’Hitler, Tante Judy — Tante Ju — un Junkers-52, l’attendait, piloté par le capitaine Peter Baumgart de la Luftwaffe.

Alors que Hitler et Braun s’enfuyaient, leurs sosies, employés comme remplaçants pour les défilés et autres événements auxquels Hitler ne voulait pas assister, ont été escortés dans le bunker. Les sosies se sont «mariés» le lendemain, dimanche 29. Müller a drogué le couple le lundi 30 avril et les a vêtus des vêtements d’Hitler et de Braun, a enfoncé une pilule de cyanure dans la gorge de la femme et a tiré sur l’homme à la tête à bout portant pour qu’il se soit auto-infligé. Les corps, les visages couverts, ont été transportés dans le jardin pour être brûlés immédiatement. Personne ne se doutait de rien.

Hitler et Braun se sont envolés pour l’Espagne, où le général Franco leur a fourni un nouvel avion pour les îles Canaries. Un sous-marin attendait, gracieuseté de l’amiral Karl Dönitz, cerveau des U-boot et commandant en chef de la marine allemande. Il a promis «une forteresse imprenable pour le Führer au paradis». Après 10 000 kilomètres qui ont duré deux mois, ils ont atterri à Necochea, une ville portuaire sur la côte argentine, à 500 kilomètres au sud-ouest de Buenos Aires.

Initialement, Hitler a vécu en Patagonie pour jeter les bases du Quatrième Reich, le fondement du Reich millénaire. Comme je l’ai détaillé dans mon roman historique, «Pas seulement un jeu», et mes mémoires, «Damn the Naysayers», Hitler est resté de nombreuses années dans sa maison, Estancia Inalco, à Ville la Angostura, en Argentine, une ville à quelques kilomètres de Bariloche , Argentine, foyer connu des nazis d’après-guerre.

Les historiens soutiendront pour toujours l’issue de l’après-guerre d’Hitler. 

Que les lecteurs croient ou non qu’Hitler a survécu à la Seconde Guerre mondiale, une vérité incontournable est que le national-socialisme l’a fait, avec ou sans son fondateur. 

Prochain article sur le sujet:Les relations entre le Führer et la population locale en Argentine…après le 2 mai 1945

 

 

 

 

 

 

 

 

Divulgation de documents:Quelle était l’information « top secret » transmise à Trump Tower?

 

Le président américain Donald Trump (CR) et le président russe Vladimir Poutine (CL) tiennent une réunion en marge du sommet du G20 à Hambourg, en Allemagne, le 7 juillet 2017.

 

Dans une lettre datée du 15 juillet 2016, le président Charles Grassley du Comité judiciaire du Sénat (la sénatrice Diane Feinstein) a  exhorté  le chef de l’unité d’enregistrement du FARA du département de la justice à ouvrir une enquête sur les activités de lobbying des entités et des individus engagés dans la campagne. d’abroger la loi Magnitski. Grassley écrit: «Ils sont contrôlés / dirigés / influencés par le gouvernement russe en ce qui concerne les activités de lobbying.» Parmi la douzaine d’agents étrangers non enregistrés mentionnés dans la lettre de Grassley figurent Natalia Veselnitskya et Rinat Akhmetshin. Les deux ont assisté à une réunion avec Donald Trump Jr. et des membres de l’équipe de campagne de Trump le 9 juin à Trump Tower.

La loi Magnitski, adoptée par le Congrès en 2012, a sanctionné les individus russes responsables de la mort de l’avocat russe Sergei Magnitski dans une prison de Moscou. La mort de Magnitski a été causée par la suspension de l’assistance médicale. Magnitski avait représenté Hermitage Capital, dirigé par William Browder, qui était autrefois le plus important investisseur de portefeuille étranger en Russie. Magnitski enquêtait sur un stratagème russe de blanchiment d’argent lorsqu’il a été emprisonné. Browder avait mené une campagne contre les pratiques commerciales corrompues en Russie et était une épine dans le pied de Vladimir Poutine. En colère, Poutine a exercé des représailles contre les sanctions imposées par Magnitski en mettant un terme aux adoptions américaines d’enfants russes. La Russie a ensuite condamné Magnitski pour fraude et évasion fiscale dans le cadre d’une procédure judiciaire posthume bizarre.

La campagne de lobbying anti-Magnitski menée par Veselnitskaya, Akhmetshin et al. Elle a notamment inculpé de fraude à l’encontre de Magnitski, affirmé que Browder et Magnitski étaient coupables d’évasion fiscale et d’autres activités criminelles en Russie, et produit un documentaire anti-Magnitski / Browder destiné aux téléspectateurs américains. Dans leurs activités de lobbying, Veselnitskaya, Akhmetshin et al. ont promule 19 mai 2016, le procureur de la République de Russie avait conclu que Browder (et un associé) avait évité 16 millions de dollars en impôts russes et avait peut-être enfreint les lois fiscales américaines. L’évasion fiscale en Russie (l’acte d’accusation de choix du Kremlin contre des ennemis politiques) est à l’origine du « mauvais argent » prêt à être utilisé à des « mauvaises » fins politiques dans la politique américaine. Notez que la première condamnation de Browder par les tribunaux fiscaux russes remonte à quatre ans, bien avant le début de la campagne présidentielle américaine.

 

Le «pistolet fumant» (smoking gun)  de la campagne électorale de Clinton, qui avait été promis à Trump Jr. par Veselnitskaya et Akhmetshin lors de la réunion du Trump Tower du 9 juin, était apparemment une information selon laquelle Browder aurait contribué au fonds de la Clinton Global Initiative. (Browder a contribué entre 10 000 et 20 000 dollars à un événement de CGI). Je suppose que cette contribution était « de l’argent russe » dans la mesure où Browder l’a volée au gouvernement russe via une fraude fiscale. Selon les participants à la réunion du 9 juin du président Trump, la partie russe n’a rien dit de concret sur les contributions de la Russie au parti démocrate; la réunion se serait transformée en adoption et se serait terminée au bout de 30 minutes.

Certains supposent qu’un dossier plastique contenant des documents, que les Russes auraient pu laisser avec la campagne Trump, était en réalité un échange secret de documents «sinistres» plutôt qu’un effort russe visant à enduire Browder de leurs actes anti-Magnitsky campagne de lobbying.

En résumé, la réunion notoire semble avoir été organisée dans le cadre de la Veselnitskaya, Akhmetshin et al. une campagne de lobbying contre les sanctions Magnitski et pour convaincre l’ennemi de Poutine, Bill Browder. Les participants russes n’ont offert aucune recherche d’opposition utile.

La frénésie médiatique a transformé un effort de lobbying inhumain (des deux côtés) de lobbyistes russes non enregistrés en un complot sombre qui consiste à échanger des informations secrètes. Qui se soucie de savoir si Browder a versé une petite somme pour assister à un événement de la Clinton Foundation? Entre-temps, les médias ignorent le fait que les mêmes agents russes étaient fortement  impliqués dans la seule activité qui avait presque fait la différence lors de l’élection de 2016: la création du dossier infâme Steele anti-Trump.


EN COMPLÉMENT

La Russie n’interféra pas dans l’élection américaine pour aider Trump, mais pour déstabiliser l’Amérique

Un donateur du Parti démocrate encore non identifié a payé le dossier contesté qui a presque coulé la campagne de Donald Trump. Le dossier a été créé (et peut-être rédigé) avec le soutien et l’assistance d’ agents étrangers non enregistrés du gouvernement russe, selon la commission judiciaire du Sénat. Comme il est indiqué ci-dessous, l’offre faite par un publiciste amateur de musique à Donald Trump Jr. de partager des informations compromettantes sur la campagne Clinton était vraisemblablement une opération russe. Je conclus que l’ingérence de la Russie dans l’élection de 2016 ne visait pas à aider Trump, mais à jeter le système politique américain dans le chaos et à menacer ses fondements.

La Russie possède l’une des  opérations politiques les plus efficaces et les plus  impitoyables à Washington. Un ambassadeur flamboyant aux environs de la ville est assis à la tête de l’aristocratie politique américaine. Les diplomates russes, des espions et des experts de relations publiques et de lobbying auprès des intérêts russes pour éloigner les  grandes puissances  de l’ influence politique américaine pour plaider leur cause et utiliser des armes engagées pour la saleté fronde et promouvoir la « désinformation » sur les opposants.

Le «gang de Magnitski» en Russie a été créé pour éliminer les sanctions imposées par le Congrès en 2012. L’avocat russe Sergey Magnitsky représentait Hermitage Capital (autrefois principal investisseur en Russie et principal détenteur d’actions de Ioukos). Il est décédé dans une prison russe après s’être vu refuser des soins médicaux, provoquant des sanctions américaines. En colère, Vladimir Poutine a riposté en fermant les adoptions américaines d’enfants russes.

La bande de Magnitski comprend une «ancienne» espionne du GRU, Rinat Akhmetshin, une   avocate liée au Kremlin , Natalia Veselnitskaya, Anatoly Samochornov, Andreï Nekrasov et d’autres ressortissants russes. Ils engagent des lobbyistes américains et des firmes de relations publiques pour représenter les intérêts russes. Ils rassemblent et diffusent de «fausses nouvelles» sur Magnitski et son patron, William Browder, notamment en produisant un documentaire déformé. Aucun n’a signé les documents du FARA en tant qu’agent étranger de la Russie. Au lieu de cela, ils prétendent représenter des  organisations caritativesà  but non lucratif enregistrées aux États-Unis.

Avec l’élection américaine en suspens, les membres de la bande de Magnitski ont élargi leur portefeuille pour inclure l’ingérence dans les élections. En utilisant des fonds donnés par un donateur démocrate encore inconnu, Akhmetshin a  embauché  une société de recherches américaine, Fusion GPS, pour fouiller le candidat Trump. Fusion GPS a embauché une société de renseignement londonienne, Orbis, dirigée par l’ancien espion britannique Christopher Steele. Steele a été chargé d’utiliser ses contacts russes pour recueillir des informations compromettantes sur Trump. Fusion et Orbis n’étaient pas nouveaux l’un pour l’autre. Ils  travaillaient  ensemble depuis janvier 2010, comme le montre leur contrat.

Orbis a produit des rapports  entre  juin et fin octobre 2016 sous la forme d’un dossier qui accusait Trump et ses collaborateurs de méfaits financiers, politiques et sexuels en Russie. Ces rapports auraient été recueillis auprès de hauts responsables du gouvernement russe. Orbis porta le dossier à l’attention du sénateur John McCain, tandis que Fusion informait les médias américains de son contenu. Le dossier a été transmis au FBI, qui peut avoir  demandé à  Steele de poursuivre son enquête. Bien que le dossier Orbis ait été  discrédité en  raison de nombreuses erreurs et d’allégations ahurissantes, la campagne Clinton l’a cité comme étant la motivation de la prétendue faveur de la Russie par Trump.

Nous espérons en apprendre davantage sur le dossier Steele grâce à une action en diffamation en cours devant un tribunal britannique et sur l’opération Fusion GPS, qui est actuellement examinée par le Comité judiciaire du Sénat de Grassley-Feinstein. Grassley souhaite savoir pourquoi Fusion GPS, en tant qu’agent étranger non enregistré de la Russie, a joué un rôle clé dans la création du dossier anti-Trump. Fusion GPS et Orbis esquivent les réponses en citant des accords de confidentialité et en revendiquant le privilège avocat / client  bien que ni est un cabinet d’avocats. Le secret que Steele et Fusion semblent le plus réticent à révéler est l’identité du donneur démocrate, malgré les demandes de réponses de la cour britannique et du comité du Sénat. Le « client » est-il proche de la campagne Clinton?

Outre ses travaux sur les sanctions Magnitsky et le dossier Trump, le groupe de Magnitsky a pénétré dans la campagne Trump le 9 juin, lorsque l’une de ses directrices, l’avocate Natalia Veselnitskaya, a rencontré Donald Trump Jr. et d’autres membres du personnel de campagne à Trump Tower. La réunion a été organisée par Trump Jr. via une chaîne de courrier électronique le 3 juin avec un publiciste de la musique anglaise. Le publiciste a relayé le message d’une rock star russe (connue de la famille Trump) selon laquelle «la Cour de la Couronne russe» (il n’en est rien) était prête à fournir à la campagne Trump des informations incriminantes sur Hillary Clinton, gage que la Russie était du côté de Trump dans l’élection.

Lors de la courte réunion du 9 juin, Veselnitskaya n’a révélé aucune information incriminante sur Hillary Clinton, mais a plutôt évoqué le problème de l’adoption de Magnitski. Lorsque la nouvelle de la réunion a fait surface, plus d’un an plus tard, Veselnitskaya a affirmé ne pas s’associer à des agences russes, mais ses affirmations sont facilement  réfutées  grâce à son travail sur Magnitski et à son lobbying en faveur de blanchisseurs d’argent présumés.

La presse américaine et mondiale célèbrent cette réunion avortée, preuve de la connivence de la campagne Trump avec la Russie. Des médias plus sympathiques appellent le fiasco de Trump Jr. une  farce ou soutiennent que Trump Jr. a été  créé .

À mon avis, toute l’histoire a l’air d’une opération planifiée par la Russie qui nécessitait l’intervention d’un novice en politique. Est-il crédible de penser que la détention par la Russie d’informations top secrètes Hillary Clinton (provenant peut-être de courriels «personnels» piratés) serait communiquée à une rock star russe pour qu’elle passe à la campagne d’un candidat à la présidence américaine? La logique simple nous dit que cette réunion n’était pas destinée par la partie russe à être utile à la campagne Trump. La divulgation d’une telle chaîne de courrier électronique pourrait être utilisée soit pour nuire à la campagne Trump, soit pour revenir le hanter durant sa présidence.

La preuve que  Trump Jr. n’était  pas une opération policière clé et un publiciste obscur dans la musique, c’est qu’un membre influent de l’équipe russe Magnitsky s’est présenté à la réunion et était au courant. Le but de la réunion Trump Tower n’était pas de gagner l’oreille de la campagne Trump. Les récits de lobbying russe contre les sanctions Magnitski suggèrent que les agents russes peuvent organiser des réunions sans ces ruses.

La combinaison du dossier Steele et du piège Trump Jr. réfute le récit selon lequel la Russie avait aidé la campagne Trump. Le dossier Steele était clairement un succès majeur pour Trump, conçu pour détruire sa campagne présidentielle. Il semble avoir été financé par un allié anonyme de Clinton et exécuté par un agent étranger non enregistré de la Russie.

Si l’on en croit le dossier Steele, ces informations ne pourraient provenir que des plus hautes instances du gouvernement russe. Pourquoi des fonctionnaires connaissant le Kremlin à la volée devraient-ils révéler leurs informations à Steele, à moins que le Kremlin ne leur dise de le faire? Compte tenu de ses nombreuses erreurs et de ses affirmations incroyables, une explication plus plausible est que le dossier a été créé par des spécialistes en désinformation des services de renseignement russes, comme le postule l’expert russe David Satter. Compte tenu de son financement et du rôle de Fusion GPS, le dossier semble être un produit commun du gouvernement russe et au moins certains éléments de la campagne Clinton. Une fois que le dossier était entre leurs mains et entre les mains des médias, les partisans de Clinton et des médias favorables n’ont pas hésité à diffuser largement cette information.

Certains diront peut-être que l’affaire Trump Jr. était une ruse inoffensive pour donner à une représentante de confiance du gang Magnitski l’occasion de plaider sa cause contre les sanctions imposées aux initiés de Trump. Je considère que cette explication manque. Le gang savait que la réunion avait été organisée pour discuter de matériel de compromis qu’ils n’avaient pas. En tant que sophistes de la politique américaine, ils comprendraient sûrement que ce serait leur première et dernière réunion. Non, la vraie raison était de noter que Trump Jr. avait rencontré les représentants russes pour lui promettre les marchandises sur Hillary. Si tel est le cas, il s’agira de configurer Trump Jr. pour la révélation éventuelle d’une telle réunion. Il est impossible d’interpréter l’affaire Trump Jr. comme une avancée positive de la Russie en faveur de la campagne Trump – telle qu’elle se joue actuellement dans les grands médias.

Nous avons atteint le stade qu’un grand  chercheur avait   prévenu il y a  environ trois mois. Vladimir Poutine est maintenant en position de détruire la présidence Trump et de causer des ravages indescriptibles sur le système politique américain. Ses spécialistes en désinformation peuvent composer pratiquement tout ce qu’ils souhaitent de la coopération de Trump avec la Russie, et les médias anti-Trump l’accepteront comme une vérité évangélique. Poutine réalisera son souhait d’un président américain affaibli et assiégé et d’un système politique américain en paralysie. Il continuera d’alimenter l’histoire pour s’assurer qu’aucune résolution n’est possible.

Le résultat ironique est que la véritable collusion puisse se produire entre les ennemis de Trump qui font une alliance avec Poutine pour affaiblir leur propre pays, le tout dans le but de renverser un résultat électoral qu’ils méprisent.


Notre politique a donné à Poutine l’arme nécessaire pour créer une crise constitutionnelle (un chroniqueur politique américain)

Le président russe Vladimir Poutine quitte le Conseil après la rencontre avec le président finlandais dans le cadre du Forum international de l’Arctique à Arkhangelsk le 30 mars 2017.

 

Alors que le Sénat commence et que la Chambre poursuit son enquête sur la Russie, je propose une liste de ce que nous savons et que nous ne savons pas sur la participation de la Russie à l’élection de 2016:

Premièrement, nous savons que les médias d’État russes ont mené une campagne visant à discréditer les élections américaines en général. La télévision russe, Internet et la presse écrite ont décrit la politique américaine comme un cloaque corrompu et corrompu dominé par «l’établissement». Dans la mesure où le Kremlin contrôle étroitement le SMI («moyen d’information de masse») principal de la Russie, nous savons que cette campagne a été menée les plus hauts niveaux. Lorsque l’élection a été réduite à deux candidats, le SMI de Russie n’avait d’autre choix que de se prononcer contre la candidate de l’élection présidentielle Hillary Clinton. Trump était décrit comme le « candidat du peuple » qui serait déchiré par l’établissement. Si l’élection générale avait été Clinton-Bush, la Russie n’aurait probablement pas choisi son favori mais serait restée dans le pétrin général de la politique américaine.

À emporter: Il n’est pas rare que les médias d’un pays prennent parti lors d’élections à l’étranger. La télévision allemande était vocalement anti-Trump. Le président Obama s’est injecté dans la campagne britannique sur le Brexit et la plupart des États européens s’opposent au référendum d’Erdogan en Turquie. La position anti-Clinton des médias russes est connue; il ne faut donc pas perdre le temps des comités de la Chambre et du Sénat.

Deuxièmement, des oligarques et des sociétés ukrainiennes russes et pro-russes ont engagé des lobbyistes et des consultants américains pour renforcer leurs images et plaider en faveur de préférences spécifiques à Washington. Un tel lobbying est légal tant que les formulaires de divulgation appropriés sont déposés. Une bonne partie de celle-ci s’est produite avant l’annexion de la Crimée et lors de la réinitialisation Obama / Clinton. La liste des colporteurs d’influence pour la Russie comprend des personnalités importantes des deux côtés de l’allée. Les lobbyistes affirmant avoir des liens avec Trump étaient moins en évidence. En tant qu’étranger et candidat peu probable à de hautes fonctions, les représentants de Trump avaient moins à offrir et étaient moins demandés.

À retenir: Si les comités du Sénat et de la Chambre se penchent sur cet angle, ils doivent veiller à enquêter sur les pressions exercées à la fois sur les chiffres de l’établissement et ceux de Trump. Ils devraient inclure la Clinton Foundation dans leur enquête, compte tenu de la contribution massive d’un magnat des minéraux associé au Canada, associé à la Russie, impliqué dans le tristement célèbre accord Uranium One.

Troisièmement, les pirates informatiques ont pénétré dans les comptes de messagerie de DNC et de Podesta et les ont transmis à WikiLeaks pour publication. Le rapport de « consensus » sur le renseignement non classifié conclut « avec une grande confiance » que Vladimir Poutine a approuvé le piratage, ce qui a été fait par le renseignement militaire. Le but de la «guerre hybride» de la Russie est de maintenir un déni plausible. Il est donc peu probable que Poutine ait laissé des traces de son implication directe. En outre, la cyber-guerre en Russie est menée par des organisations semi-criminellesavec des liens lâches avec les structures officielles. Les politiciens de Washington accusent maintenant pratiquement chaque attaque de hack contre la Russie basée sur des adresses IP russes, des pirates informatiques expérimentés vous diront que vous n’avez guère de sens. (Il semble que notre propre service de renseignement cache son piratage sous les adresses IP russes et chinois).

À emporter: à moins que nous n’ayons le droit de voir la version classifiée, je dois supposer que le consensus sur le renseignement repose sur la compréhension générale selon laquelle une opération de cette ampleur aurait nécessité l’approbation tacite ou directe de Poutine. C’est le même raisonnement utilisé par un tribunal londonien pour conclure que Poutine a « vraisemblablement » approuvé le meurtre au polonium de Litvinenko.

Quatrièmement, les personnes censées représenter Trump sont accusées d’avoir arrangé des quid pro quos avec la partie russe en échange de concessions postélectorales de la part du président Trump. L’une des prétendues compensations était l’assouplissement de la plate-forme républicaine en ce qui concerne les armes pour l’Ukraine en échange d’une aide électorale. Cependant, une comparaison de la plate-forme initiale avec la version finale montre que le langage des armes ukrainiennes n’a pas été assoupli lors de la convention lors de la convention. Un dossier sensationnel de rumeurs aléatoires et non vérifiées est le fondement de la seconde revendication que la Russie a offert à Trump près d’un milliard de dollars pour l’annulation des sanctions en tant que président. L’offre aurait été faite en juillet 2015, alors que les chances de victoire de Trump étaient faibles. En raison de sa taille et de son calendrier, l’accord n’a absolument aucun sens.

À retenir: Aucun comité du Congrès ne devrait perdre son temps avec des accusations facilement réfutées par les archives publiques ou étayées par des recherches sensationnelles de la part de la recherche d’opposition.

Cinquièmement, le consensus de la communauté du renseignement affirme que Poutine est intervenu dans l’élection dans le but d’élire Trump. (Le piratage DNC, selon les fuites, a commencé en juillet 2016, alors que Trump était à peine visible sur le radar politique). La communauté du renseignement n’arrive pas à comprendre le point fondamental selon lequel les actions de Poutine sont principalement destinées à son public national. Le principal pilier de la revendication de pouvoir de Poutine est qu’un État américain menaçant cherche à démanteler la Russie, à faire souffrir le peuple russe et à le contraindre à accepter les mariages homosexuels. La menace «démocratique libérale» est gérée par l’establishment américain (l’administration, la CIA, le FBI et George Soros). Avec sa propre réélection présidentielle dans moins d’un an, Poutine ne peut pas perdre ce récit. Les e-mails de Podesta et de DNC révèlent le ventre sombre de la politique des établissements américains et s’accordent parfaitement au récit de Poutine. Le récit russe, donc, était que Clinton gagnerait après avoir détruit les étrangers favorisés par le peuple, tels que Bernie Sanders et Donald Trump. L’élection de Trump va à l’encontre du scénario de Poutine. Il a élevé la cote de favorabilité de l’Amérique et, pire, a montré qu’en Amérique,on sait faire les choses.

À emporter: nos spécialistes du renseignement ne peuvent absolument pas regarder dans la tête de Poutine. Ils semblent ne pas comprendre comment Poutine dirige la Russie. Affirmer que ses actions étaient motivées à élire Trump – un facteur inconnu – n’est pas conforme à ce que nous savons du mode de fonctionnement de Poutine.

Les supposés relations nauséabondes entre Trump et Poutine jouent 24 heures sur 24, 7 jours sur 7 dans les médias américains, malgré l’absence de toute preuve tangible que Trump et Poutine se soient coordonnés pour « voler » l’élection d’Hillary, comme s’ils le pouvaient. L’hystérie médiatique, à son insu, fait le jeu de Poutine et lui donne un avantage précieux sur les États-Unis. Connaissant Poutine, il attendra le bon moment pour dire sans fournir aucune preuve: «Bien sûr, il a été décidé que j’aiderais M. Trump à gagner. C’est un homme bon et je savais qu’il ferait un travail bien meilleur que Hillary. J’ai fait cela pour aider nos deux pays. « Les journalistes russes spéculent déjà sur les mots qu’il utilisera.

Grâce à notre politique, Poutine a le pouvoir de plonger les États-Unis dans une crise constitutionnelle. Merci,la  classe politique! Rappelez-vous ces paroles lorsque Poutine tire ce lapin de son chapeau.

 

 

 

 

 

 

 

 

Vidéo:La Conspiration nazi :Dernière vidéo montrant le Führer Adolph Hitler inspectant les Jeunesses Hitlériennes le 26 avril

 

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La diffusion de cette vidéo démontre que la guerre que me livrait la fameuse chaîne You Tube est maintenant terminée  et que je vais pouvoir enfin vous en mettre plein la vue!J’ai en main un nombre élevé de vidéo…pas toujours en bon état.mais que je vais pouvoir évaluer pour diffusion,

 

 

http://www.youtube.com/watch?v=G6ued5C-KM8

Nouvel Ordre Mondial:La CIA entrouvre ses dossiers OVNIs

*Je dédie cet article à Richard Glenn ,en hommage  des 40 longues années  qu’il a consacré à nous informer sur les ovni et nombre d’autres sujets variés,dont les activités paranormales et l’ésotérisme.

 

Ovni,la CIA dispose d'imposants fichiers.
Ovni,la CIA dispose d’imposants fichiers.

Sous le titre « Jetez un coup d’oeil sur nos ‘X-Files, l’agence américaine de renseignement présente quelques dossiers que « les sceptiques comme Scully et les croyants comme Mulder pourront trouver intéressants ». Suivent cinq dossiers « qu’adorerait avoir Mulder » et cinq autres destinées à l’agent Scully, censés la confirmer dans son scepticisme. Contrairement à ce qui est affirmé ici ou là dans la presse, ces dossiers ne sont nullement inédits. Ils ont été déclassifiés en 1978, sous le mandat de Jimmy Carter, président d’autant plus sensible à cette question qu’il avait lui-même observé un OVNI en 1969. Les documents « Mulder » n’en sont pas moins intéressants car ils rappellent que même au début des années 50, les observations d’OVNIs n’étaient pas réservés aux seuls Etats-Unis. Les rapports proposés par la CIA concernent l’Allemagne de l’Est, l’Espagne, l’Afrique du Nord et même le Congo belge, avec le survol d’une mine d’uranium par des objets non identifiés en août 1952 .


HORS TEXTE

Ceci est un rapport concernant un article de presse Allemand, déclassifié et publié récemment sur le site web de la CIA. A cette époque, la CIA collectait toute information à propos des OVNIS provenant de l’étranger, y compris des articles de journaux, qui étaient résumés dans des rapports tels que celui-ci.

Ce rapport porte le numéro 00-W-23602, il a été distribué le 16 Août 1952, et sa diffusion publique a été approuvée le 6 November 1978.

Bien que non-vérifiée, ce récit est plutôt intéressant.

PUBLIE Vienne DATE DE PUBLICATION 29 Mar 1952 LANGAGE Allemand CETTE INFORMATION N'A PAS ETE EVALUEE SOURCE La Presse SOUCOUPES VOLANTES AU-DESSUS DE MINES D'URANIUM AU CONGO BELGE Récemment, deux disques ardants furent observés au dessus de la mine d'uranium située au sud du Congo Belge, dans le district de Elisabethville. Les disques glissaient dans des courbes élégantes et ont changés de positions à de nombreuses reprises, c'est pourquoi ils sont apparus comme plats, ovales, ou simplement comme des lignes pour les observateurs. Soudainement, les deux disques firent du sur-place en une position fixe, puis partirent en zig-zag vers le nord-est. Un sifflement pénétrant et un bourdonnement furent audibles par les témoins. L'observation complète dura 10 à 12 minutes. Le commandant Pierre du petit terrain d'aviation d'Elizabethville parti immédiatement avec son avion de chasse. A son premier passage il s'approcha à 120 métres d'un des deux disques. D'après ses estimations, la "soucoupe" avait un diamétre de 12 a 15 métres et avait la forme d'un disque. La partie centrale interne semblait absolument stable, une protubérance sortait du centre et plusieurs petites ouvertures furent nettement observées. L'anneau extérieure était complètement voilé par un feu et devait avoir une vitesse de rotation énorme. La couleur du métal était similaire a celle de l'alumimium. Les disques se déplaçaient de manière precise, aussi bien verticalement qu'horizontalement. Des changements d'altitudes, de 800 a 1000 pieds, pouvait être fait en quelques secondes. Les disques sont souvent descendus a une hauteur de 20 métres au dessus de la cime des arbres. Pierre ne pense pas que le disque puisse être occupé, car, d'après lui, sa vitesse irrégulière et sa chaleur interdiraient a quelqu'un de se tenir dans la partie centrale. Pierre poursuivit ces disques pendant 15 minutes quand il entendit un sifflement, malgré le bruit de son avion. Les disques disparurent en direction du lac Tanganyika. Il estima leur vitesse à 1500 kilomètres/heures. Pierre est un officier digne de confiance et un aviateur zélé. Il a donné un rapport détaillé a ces supérieurs, qui, étrangement, ont été d'accord de bien des manières avec plusieurs des résultats de recherches. ARCHIVAL RECORD PLEASE RETURN TO AGENCY ARCHIVES, [CENSORED]
PUBLIE Vienne
DATE DE PUBLICATION 29 Mar 1952
LANGAGE Allemand
CETTE INFORMATION N’A PAS ETE EVALUEE
SOURCE La Presse
SOUCOUPES VOLANTES AU-DESSUS DE MINES D’URANIUM AU CONGO BELGE
Récemment, deux disques ardants furent observés au dessus de la mine d’uranium située au sud du Congo Belge, dans le district de Elisabethville. Les disques glissaient dans des courbes élégantes et ont changés de positions à de nombreuses reprises, c’est pourquoi ils sont apparus comme plats, ovales, ou simplement comme des lignes pour les observateurs. Soudainement, les deux disques firent du sur-place en une position fixe, puis partirent en zig-zag vers le nord-est. Un sifflement pénétrant et un bourdonnement furent audibles par les témoins. L’observation complète dura 10 à 12 minutes.
Le commandant Pierre du petit terrain d’aviation d’Elizabethville parti immédiatement avec son avion de chasse. A son premier passage il s’approcha à 120 métres d’un des deux disques. D’après ses estimations, la « soucoupe » avait un diamétre de 12 a 15 métres et avait la forme d’un disque. La partie centrale interne semblait absolument stable, une protubérance sortait du centre et plusieurs petites ouvertures furent nettement observées. L’anneau extérieure était complètement voilé par un feu et devait avoir une vitesse de rotation énorme. La couleur du métal était similaire a celle de l’alumimium.
Les disques se déplaçaient de manière precise, aussi bien verticalement qu’horizontalement. Des changements d’altitudes, de 800 a 1000 pieds, pouvait être fait en quelques secondes. Les disques sont souvent descendus a une hauteur de 20 métres au dessus de la cime des arbres. Pierre ne pense pas que le disque puisse être occupé, car, d’après lui, sa vitesse irrégulière et sa chaleur interdiraient a quelqu’un de se tenir dans la partie centrale. Pierre poursuivit ces disques pendant 15 minutes quand il entendit un sifflement, malgré le bruit de son avion. Les disques disparurent en direction du lac Tanganyika. Il estima leur vitesse à 1500 kilomètres/heures.
Pierre est un officier digne de confiance et un aviateur zélé. Il a donné un rapport détaillé a ces supérieurs, qui, étrangement, ont été d’accord de bien des manières avec plusieurs des résultats de recherches.
ARCHIVAL RECORD
PLEASE RETURN TO AGENCY ARCHIVES, [CENSORED]

 


 

 

 

 

J. Allen Hynek, membre de la Commission Blue Book, ancien « Scully » métamorphosé en « Mulder »

Les cinq mémorandums qui devraient ravir l’agent Scully valent eux-aussi le détour. Car, loin de fournir une explication convaincante aux innombrables observations d’OVNIs durant cette période, ils montrent l’embarras et l’inquiétude des services de renseignement américains face aux soucoupes volantes. Alors qu’un document évoque un peu légèrement l’hypothèse d’une « folie de l’été », un mémo rédigé par le directeur de la CIA le 2 octobre 1952 souligne que, quelle que soit leur nature, les OVNIs présentent « deux éléments de danger dans une situation internationale tendue »: la possibilité qu’ils soient utilisés par un Etat ennemi comme une arme psychologique, et, surtout, les risques de confusion avec une « véritable alerte », autrement-dit une attaque de l’URSS. 

Les dix documents exhumés par la CIAdatent tous de 1952 et 1953, années particulièrement riches en « incidents » comme le mémorable carrousel de Washington. 1952 est surtout l’année de création du projet Blue Book,  la commission d’enquête sur les OVNI mise en place par l’US Air Force qui cessa ses activités en 1969 sur le constat que les OVNIs n’existent pas et que les cas résiduels inexpliqués ne le sont que par manque d’informations… Mais, comme le soulignait l’astronome J. Allen Hynek, membre démissionnaire de la Commission Blue Book, ancien « Scully » métamorphosé en « Mulder » en cours de route, les conclusions du Livre Bleu sont en contradiction flagrante avec son contenu: des dizaines de cas retenus par la commission sont irréductibles à des phénomènes connus, même avec toutes les « informations complémentaires » imaginables. 

La CIA n’avait que l’embarras du choix pour sélectionner ses mémos OVNIs

Pour quelle raison la CIA ressort-elle maintenant ces vieux dossiers, outre la volonté évidente d’améliorer son image en se faisant mousser sur le come-back d’« X-Files » ? L’agence se garde bien de trancher d’un côté ou de l’autre, renvoyant sceptiques à la Scully et croyants façon Mulder dos à dos. De plus, la CIA n’avait que l’embarras du choix pour sélectionner ses mémos OVNIs. Elle aurait pu aussi présenter aussi ce mémo d’août 1952 rédigé par le directeur de la Scientific Intelligence, Marshall Chadwell, et adressé au patron de la CIA, Walter Bedell Smith où l’on peut lire:

« En ce moment, les rapports d’incidents nous ont convaincus que quelque chose se déroule qui exige notre attention immédiate. Les observations d’objets inexplicables qui volent à haute altitude et à grande vitesse dans l’espace aérien des Etats-Unis sont de telle nature qu’ils ne peuvent être attribués à aucun phénomène naturel ou type de véhicule aérien connus. » 

Enfin, la CIA n’a pas toujours été aussi partageuse avec ses dossiers OVNIs. La plupart l’ont été par des particuliers tenaces qui ont fait valoir le loi sur la liberté de l’information pour obtenir des documents que l’agence rechignait à déclassifier. 

Mais voici ce qu’ils obtiennent parfois…

Mulder comme Scully seraient sans doute un peu agacés… 


IL Y A 1 AN,DÉBUT DE LA DIVULGATION

La presse internationale a annoncé récemment,en 2015,  la déclassification des 11 107 cas d’observations d’OVNIs étudiés par le projet Blue Book entre 1952 et 1969, sous l’égide de l’US Air Force. En réalité, ces documents étaient en accès libre depuis 2007 avant d’être convertis fin janvier en fichiers PDF, plus lisibles, par un ufologue, John Greenwald. Qui a dû les retirer presque aussitôt de son site sous peine de poursuites judiciaires…

La fameuse vague ovni des années '50 aura été marquée par le survol du Capitole en juillet 1952.
La fameuse vague ovni des années ’50 aura été marquée par le survol du Capitole en juillet 1952.

Le Projet Blue Book (Livre Bleu) est la plus vaste enquête officielle jamais lancée sur les OVNIs. Mais, pour certains, elle n’est qu’une opération de couverture destinée à masquer la réalité du phénomène. L’année de la création du Projet Blue Book coïncide avec un évènement ufologique qui a fasciné l’Amérique.

En 1952, le Pentagone ne sait plus où donner de la tête: les OVNIs sont partout. Cinq ans plus tôt l’observation du pilote Kenneth Arnold près du mont Renier a fait entrer les « soucoupes volantes » dans l’actualité et dans le vocabulaire courant. Depuis, les autorités sont débordées par les témoignages quotidiens qui suscitent autant d’enthousiasme que d’inquiétude dans la population. Les Etats-Unis sont-ils menacés par ces étranges objets dont les performances dépassent celles de tous les engins connus ? Le point d’orgue est atteint le soir du 19 juillet 1952. avec l’évènement dit du « carrousel de Washington »: jusqu’à 5 heures du matin, des objets lumineux se livrent à un incroyable ballet aérien au dessus de la Maison Blanche, du Pentagone et de la base de l’US Air Force de Andrew !

Les témoins visuels se comptent par centaines, quelques photographies sont prises et il existe même un film de cette « invasion ».

Les objets sont détectés par des radars civils et militaires. Les accélérations et les vitesses enregistrées sont hallucinantes: les intrus passent de 160km/h à plus de 10000 km/h en quelques secondes. Des avions de chasse décollent pour intercepter les appareils. Sans succès. La nuit du 26 juillet, les OVNIs sont de retour, survolant toujours le coeur du pouvoir civil et militaire américain. Là, encore les observations visuelles sont confirmées par les radars. Le Pentagone est sur la sellette. Le 29 juillet, l’US Air Force organise un conférence de presse et fournit l’explication que tout le monde attendait : aucun engin n’a survolé Washington. Les échos radars ont été provoqués par de banales inversions de température, phénomène météorologique bien connu: une couche d’air chaud prise en sandwich entre deux couches d’air froid aurait créé des mirages par réfraction lumineuse et des tracés radars fantômes.

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Cinq photos de l’écran radar du National Airport où apparaissent distinctement les objets qui ont survolé Washington. DR

Cette explication parvient à convaincre les journalistes et le grand public mais plusieurs scientifiques restent sceptiques comme le physicien et météorologue James E. McDonald qui a vérifié les données météos des 19 et 26 juillet et conclu que les conditions climatiques excluaient la formation d’inversions de températures. Quant aux techniciens radars, ils ont tout bonnement le sentiment d’être pris pour des idiots: en bons professionnels, ils savent identifier les faux échos radars qui sont des tâches floues et peu distinctes. Elles sont immobiles ou se déplacent lentement mais jamais ces blips fantômes ne se livrent aux extraordinaires prouesses aériennes enregistrées par les radars : accélérations fulgurantes, virages en épingle à cheveu, brusques changements d’altitude.

Gerald Ford: « Le public américain mérite une meilleure explication que celle fournie par l’US Air Force »

Ce carrousel de Washington a fourni à la commission d’enquête sur les OVNIs nouvellement créée par le gouvernement américain l’occasion de se faire les dents sur ce cas sans précédent et de peaufiner une méthodologie qui sera, par la suite, très critiquée. Le projet Blue Book, lancé en avril 1952 par l’US Air Force, a trois objectifs formulés par l’US Air Force : « Trouver une explication pour l’ensemble des témoignages d’observations d’ovnis, déterminer si les ovnis représentent une menace pour la sécurité des Etats-Unis ; déterminer si les ovnis présentent une technologie avancée que les États-Unis pourraient exploiter. » Mais au cours de ses 17 années d’existence jusqu’à sa dissolution en 1969, le projet Blue Book s’est surtout acharné à remplir son premier objectif: trouver une explication rationnelle et scientifique à tous les cas qui lui sont soumis, quitte à prendre quelques libertés avec les données brutes et les témoignages.

Cette volonté d’expliquer à tout prix  les observations par des méprises avec Vénus, la lune ou un avion finit par lasser certains membres du conseil scientifique qui quittent le projet Blue Book avec plus ou moins de fracas. Le départ le plus mémorable est celui de l’astrophysicien J. Allen Hynek, entré dès 1948 dans le projet Sign, premier avatar moins ambitieux de la commission Blue Book. Sceptique à l’origine, il déclare en 1948 que le sujet des « soucoupes volantes » est « ridicule »,  un « phénomène de mode qui s’éteindra bientôt ». Vingt ans plus tard, son opinion a bien changé : « Il conviendrait que l’US Air Force admette que le phénomène OVNI est un problème scientifique de dimension mondiale qui peut avoir une grande portée » écrit-il en 1968 dans une lettre furieuse adressée au colonel Raymond S. Sleeper, l’un des responsables du projet, où il déplore, entre autres, le manque de moyens alloué aux enquêteurs, les investigation bâclées et le peu de considération accordée aux témoins. J. Allen Hayek lui-même s’en est longtemps voulu d’avoir « expliqué » une observation très détaillée d’atterrissage d’OVNI en 1966 dans des marécages du Michigan par des « gaz des marais », des feus follets. L’hypothèse d’Hynek était si insuffisante, comme il l’a reconnu par la suite, que le futur président Gerald Ford, à l’époque représentant du Michigan au Congrès, avait protesté : « Le public américain mérite une meilleure explication que celle fournie par l’US Air Force ».

« L’US Air Force ne donnait pas aux OVNIs une chance d’exister, même s’ils survolaient une rue en plein jour »

 

Après avoir quitté la galère Blue Book, J. Allen Hayek, sans renoncer à sa carrière d’astrophysicien, est devenu l’un des ufologues les plus respectés et compétents d’un champ d’étude hélas délaissé par les scientifiques de haut niveau. Il a notamment mis au point la célèbre classification des observations d’OVNIs étalonnée entre Rencontre rapprochée du 1er type (RR1)  et Rencontre rapprochée du 3e type (RR3), qui a donné son titre au film de Steven Spielberg dont J. Allen Hayek était le conseiller scientifique.

Quand l’US Air Force a mis fin au projet Blue Book, le major Quantanilla, directeur de la commission, a déclaré : « 676 seulement des 11 107 observations signalées depuis 1947 sont inexpliquées… Il n’existe aucune preuve que les OVNIs encore inexpliqués constituent des créations technologiques ou des principes situés au-delà de notre connaissance scientifique actuelle ».

Bien différente est la conclusion de J. Allen Hayek qui en 1985, un an avant son décès, déplorait « l’attitude complètement fermée de l’Air Force. Ils ne donnaient pas aux OVNIs une chance d’exister, même s’ils survolaient une rue en plein jour. Tout doit avoir une explication. Je commençais à m’énerver, même si, à l’origine, je ressentais la même chose qu’eux, je savais maintenant qu’ils n’étaient pas sur la bonne voie. Vous ne pouvez supposer qu’une chose n’existe pas si vous n’avez pas de preuve. Deuxièmement, la qualité des témoins a commencé à me troubler. Quelques cas ont, par exemple, été rapportés par des pilotes militaires, et je savais qu’ils avaient été bien entraînés, c’est donc là que pour la première fois, j’ai pensé que peut-être, il y avait quelque chose derrière tout cela. »

Les 11 107 cas étudiés par le projet Blue Book et les quelque 100 000 documents (photos, dessins, manuscrits, films etc) sont en réalité en accès libre depuis 2007 sur le site des archives militaires américaines, Fold3. L’ufologue et militant de la déclassification, John Greenwald a converti ces documents difficiles à consulter en fichiers PDF plus simples d’accès sur son site Black Vault. Malheureusement, pour de sombres histoires de copyright, Fold3 a sommé John Greenwald de retirer les documents sous peine de poursuites judiciaires. Dommage : l’occasion était belle de vérifier de visu si le projet Blue Book est une banale compilation de méprises et de supercheries ou, comme le disait en privé, le colonel Raymond S. Sleeper, « a great big pain in the ass », « un truc qui fait très mal au c…»

…une histoire à suivre et que nous suivrons!


Quelques photos de la Grande Vague Ovni de 1952

 

La une du journal de Washington du 29 juillet 1952.
La une du journal de Washington du 29 juillet 1952.

 

La célèbre photo de Coltons Point montrant les ovni au-dessus de Washington.
La célèbre photo de Coltons Point montrant les ovni au-dessus de Washington.

 

La circulation des ovnis sur l'écran radar surveillant la ville de washington en ce 28 juillet 1952.
La circulation des ovnis sur l’écran radar surveillant la ville de washington en ce 28 juillet 1952.

 

Photo prise de la Station des Gardes-côtes de Salem en 1952.
Photo prise de la Station des Gardes-côtes de Salem en 1952.

 

Même l'aviation militaire pris cette photo au-dessus de la Corée du Nord en 1952.
Même l’aviation militaire pris cette photo au-dessus de la Corée du Nord en 1952.

 

Le 19 juillet 1952,on prit cette photo  d'un cigare volant au-dessus de puerto Maldonaldo au Pérou.
Le 19 juillet 1952,on prit cette photo d’un cigare volant au-dessus de Puerto Maldonaldo au Pérou.

 

Au nord de l'Italie,un témoin prit cette photo qui nous montre un humanoïde...pour une première fois.
Au nord de l’Italie,un témoin prit cette photo qui nous montre un humanoïde…pour une première fois.

 

Ovni photographié à Atlantic City,au New Jersey le 28 juillet 1952.
Ovni photographié à Atlantic City,au New Jersey le 28 juillet 1952.

 

 

Le 13 décembre 1952,Georges Adamsky prit cette photo près du mont Palomar. Cette ovni correspond parfaitement au dessin d'un ovni nazi du nom de Hanebu développé sous les bons services deMaria Orsic.Il  sagit de technologie pléadienne.
Le 13 décembre 1952,Georges Adamsky prit cette photo près du mont Palomar.
Cette ovni correspond parfaitement au dessin d’un ovni nazi du nom de Hanebu développé sous les bons services deMaria Orsic.Il sagit de technologie pléadienne.

 

Comparaison entre l'ovni photographié par Adamsky et  un dessin des archives du Troisième Reich.
Comparaison entre l’ovni photographié par Adamsky et un dessin des archives du Troisième Reich.

 

Au-dessus du brésil...1952.
Au-dessus du brésil…1952.

 

Roland hugues ,pilote de l'US Air Force ,fit dessiner l'ovni qu'il prit en chasse au-dessus de Washington,en juillet 1952.
Roland Hugues ,pilote de l’US Air Force ,fit dessiner,sur son chasseur, l’ovni qu’il prit en chasse au-dessus de Washington,en juillet 1952.

 

Keffel et martins,2 chercheurs de l'époque,examinent les  négatifs des photos de l'ovni prises au-dessus de Barra da  Tijuca ,au Brésil.
Keffel et martins,2 chercheurs de l’époque,examinent les négatifs des photos de l’ovni prises au-dessus de Barra da Tijuca ,au Brésil.

 

Agrandissement de la photo  principale de l"ovni aperçu le 7 mai 1952 au-dessus de barra  da tijuca au brésil.
Agrandissement de la photo principale de l »ovni aperçu le 7 mai 1952 au-dessus de barra da tijuca au brésil.

 

 

cet appareil est issu de la technologie extraterrestre mise au point par les allemands durant la Deuxième guerre mondiale...sous le nom de Horten.
cet appareil est issu de la technologie extraterrestre mise au point par les allemands durant la Deuxième guerre mondiale…sous le nom de Horten.

 

Le 25 juillet 1952,cet ovni fut photographié au-dessus de Portsmouth,Massachusetts.
Le 25 juillet 1952,cet ovni fut photographié au-dessus de Portsmouth,Massachusetts.

 

Sources:le site de la CIA sous ce lien: Disclosure