Certains secrets militaires doivent être bien gardés pour la propre sécurité des populations (ou pour garder un contrôle dessus). Les secrets concernant les aéronefs militaires sont d’une importance capitale pour éviter que l’ennemi reprenne à bon compte des connaissances qui lui permettraient de construire ses propres modèles. Dans certains cas, ces prototypes volants peuvent se révéler technologiquement très supérieurs à tout ce qui existait auparavant. Mais heureusement pour nous, il arrive que des secrets militaires soient levés et révélés au grand public. Voici plusieurs aéronefs militaires secrets dont vous ignorez sans doute tout.
Beaucoup d’avions militaires volent à des vitesses incroyables. Le Falcon Hypersonic Test Vehicle 2 est l’aéronef militaire américain le plus rapide jamais conçu. Le Falcon reste néanmoins au stade expérimental. Cet aéronef est un avion-fusée sans pilote contrôlé à distance grâce à des instruments de navigation automatisés. Le but d’un tel appareil est de prendre l’air afin d’administrer des attaques explosives sans que les radars ennemis aient le temps de le détecter.
Le Northrop XB-35 illustre parfaitement l’idée qu’en essayant de nouvelles choses on peut réaliser des objectifs scientifiques spécifiques. L’idée derrière le bombardier Northrop XB-35 était de créer un avion qui fonctionnerait non pas contre, mais en symbiose avec les facteurs environnementaux et les courants aériens. Dans les années 40, le XB-35 faisait si bien l’affaire qu’on lui donna le nom d’aile volante. La conception de l’avion permettait de réduire la traîne et d’en faire un appareil énergétiquement très efficient, ce qui est un avantage indéniable lors de longues missions. Cependant, des problèmes rencontrés avec les hélices ont finalement mis un terme au projet.
Pour ce prototype, l’armée de l’air voulait un appareil capable d’atteindre des vitesses incroyables. Le Boeing X-51 Waverider répond parfaitement à cette attente. L’idée était d’atteindre des vitesses supérieures Mach 6 et les ingénieurs ont réalisé cet objectif avec succès. Son statoréacteur utilisant un combustible hydrocarboné permet au X-51 d’atteindre des vitesses hypersoniques après s’être fait larguer dans l’atmosphère par un B-52.
Le concept du Boeing X-37B est de créer un appareil volant capable de survivre dans l’espace. Fruit d’une collaboration entre le ministère de la défense américain et la NASA, personne ne sait exactement ce qu’il en est du Boeing X-378. Nous savons simplement qu’il peut rester dans l’espace pendant un mois et qu’il peut ensuite se poser sur la Terre comme un avion ordinaire. La mise en orbite s’effectue à l’aide d’un réacteur de fusée à usage unique.
Dans les années 90, Lockheed-Martin a sorti un prototype d’avion furtif sans pilote. Le concept du RQ-3 Darkstar est identique à celui des drones d’aujourd’hui. L’idée était d’utiliser le Darkstar pour effectuer des missions de reconnaissance. Certaines rumeurs disent que le projet fut abandonné en 1998, alors que d’autres pensent qu’il a servi à l’invasion de l’Iraq en 2003.
Pendant la Deuxième Guerre mondiale, un avion d’aspect inhabituel baptisé Vought V-173 a fait son apparition. En raison de sa forme originale, les gens l’ont surnommé «?Pancake Volant?». Le V-173 possède deux énormes hélices et s’apparentait plus ou moins à une aile ronde. Malgré une manœuvrabilité incroyablement simple, l’armée n’a pas su trouver d’usage légitime pour cet avion.
Le Sukhoi SU-47 fut le fruit de l’ingénierie russe. Ce prototype d’avion de combat supersonique a vu le jour pendant la guerre froide. Le SU-47 était un avion véloce pouvant atteindre des vitesses supérieures à Mach 1. Son design incomparable avec son aile en flèche inversée lui permettait d’atteindre des vitesses très élevées.
Pour complémenter les manœuvres d’appui aérien et les missions de reconnaissance, quelqu’un a décidé de créer le De Lackner HZ-1. Le pilote contrôlait les déplacements de cette plateforme volante en penchant son corps dans la direction souhaitée. Malgré l’achat de nombreux modèles, l’armée avait fait le choix de ne pas utiliser le De Lackner en raison de divers problèmes comme son pilotage difficile.
Le Tupolev TU-95LAL était un bombardier conçu par l’Union soviétique en 1961. Le bombardier était propulsé par un réacteur VVRL-100. Le TU-95 était un prototype d’avion destiné à tester la viabilité des avions à propulsion nucléaire. Après une quarantaine de vols d’essai, le projet fut abandonné pour différentes raisons de sécurité.
Le Sikorsky UH-60 modifié et transformé en Stealth Black Hawk. Selon la propagande américaine,deux de ces hélicoptères ont été capables de s’infiltrer dans la pseudo cache de Ben Laden sans être détectés par les radars, avec à leur bord 25 U.S. Navy Seals. Les hélicoptères étaient si silencieux que personne ne s’était rendu compte de leur présence avant qu’ils ne soient au-dessus de leurs têtes. Pendant le raid, un des hélicoptères s’est écrasé.Fait à noter:lea totalité des Seals ayant réussi la soi-disante mission,sont tous morts de mort violente rapidement.
Les avions traditionnels ont besoin d’une piste de décollage et d’une piste d’atterrissage. Dans le monde, certaines pistes sont particulièrement courtes et comportent donc beaucoup de risques. Pour contourner les contraintes liées au besoin de longues pistes d’atterrissage et de décollage, en 1953 la marine américaine décida d’entreprendre la création d’un appareil capable de décoller à la verticale. Ryan Aeronautical créa deux prototypes du X-13 avant que le projet ne soit abandonné.
On ne sait que très peu de choses à propos de l’Aurora. La plupart des informations rassemblées ne sont que spéculations. Dans les années 80, un rapport du budget de la défense fait référence à des dépenses s’élevant à 455 millions de dollars pour la production d’un avion noir. Or, un avion noir a été observé dans le ciel et des bangs supersoniques ont été enregistrés par l’U.S.G.S. (l’institut de recherches géologiques américain) au sud de la Californie, ce qui nous pousse à penser que cet avion a existé ou existe toujours. De plus,de nombreuses observation d’ovni semble pointer du doigt cet appareil.
L’armée de l’air américaine a disposé dans sa flotte du Lockheed U-2 «?Dragon Lady?» pendant plus de 50 ans. Le U-2 est un appareil-espion possédant un moteur unique et qui se pilote avec une seule personne à son bord. Il est capable de s’élever à plus de 70,000 pieds et peut voler sans encombre dans presque toutes les conditions météorologiques. Pour éviter les accidents de décompression, le pilote devait respirer de l’oxygène pur pendant une heure afin d’éliminer le nitrogène de son corps une heure avant le décollage.
Le D-21, conçu par Lockheed, était un drone de reconnaissance impressionnant. Il pouvait s’élever à plus de 90,000 pieds et atteindre Mach 3,5. Les D-21 étaient des appareils à usage unique qui s’autodétruisait une fois leur mission accomplie, et après avoir éjecté la caméra contenant les précieux renseignements collectés. Ils furent en service seulement deux ans, de 1969 à 1971.
L’A-12 Oxcart est également un appareil conçu pour des vitesses et altitudes extrêmes. La CIA a eu recours à cet avion pour des missions impliquant Cuba et l’URSS. L’A-12 n’a cependant pas servi longtemps à la CIA, ses missions n’ont duré que de 1963 à 1968. Après son retrait du service, il fut remplacé par un autre appareil.
Le F-117 Nighthawk est un avion impressionnant. Il affiche une envergure de 13 m pour 20 m de longueur. Le F-117 est le tout premier avion de combat furtif au monde. Grâce à sa conception et son revêtement, seulement 0,001 m2 (la taille d’un bourdon) de sa surface est détectable par les radars.
Lorsqu’on parle d’avions impressionnants, on ne peut pas omettre le SR-71 Blackbird. Ce dernier pouvait s’élever à plus de 70,000 pieds et atteindre Mach 3. Sa vitesse incroyable lui permettait d’échapper aux missiles antiaériens. L’armée américaine l’a retiré du service dans les années 90.
Le RQ-170 Sentinel est un appareil de reconnaissance sans pilote conçu par Lockheed-Martin. Très peu d’informations ont été publiées sur sa conception et ses fonctionnalités. On spécule qu’il est utilisé par l’armée de l’air américaine et la CIA.
Le Tacit Blue est un appareil particulièrement original. Il a été conçu pour démontrer l’efficacité des technologies furtives de l’époque. Surnommé «la Baleine», il n’a jamais été mis en service par l’armée de l’air américaine. Lors de son retrait en 1985, il avait 250 heures de vol à son actif.Il aurait coûté une fortune aux contribuables américains,ce qui explique le secret tenu autour de cet appareil.
Le Vril-7 ou RFZ-7 développé par la société du Vril,en Allemagne. La photo que vous voyez aurait été prise en 1939,selon les archives allemandes.Il serait issu de la technologie extraterrestre.
L’aile volante Horten fut en développement durant la Deuxième Guerre Mondiale.Les américains s’emparèrent des plans de plusieurs prototypes durant l’opération Paperclip,en 1945. C’est cet appareil que Kenneth Arnold aurait aperçu en vol et qui fit naître le surnom de « soucoupe volante »,en 1947.
L’Arado 555 était le bombardier le plus secret et possédant la technologie la plus sophistiquée de la Deuxième Guerre Mondiale.Les allemands n’ont pas eu le temps de le fabriquer,mais il aurait pu emporter la bombe atomique jusqu’à New York.Cet appareil semble avoir 20 ans d’avance sur son temps,car un ingénieur en a fait un modèle réduit qui fonctionne.
Le TR-3b serait l’un des derniers appareils ultra-secrets sans pilote développé par les américains. L’origine de cette technologie est douteuse et serait extraterrestre. L’appareil utiliserait un « coussin magnétique » pour ses déplacement. Les responsables américains nient totalement l’existence de cet appareil qui aurait été vu dans…la zone 51.
*Je dédie cet article à Richard Glenn ,en hommage des 40 longues années qu’il a consacré à nous informer sur les ovni et nombre d’autres sujets variés,dont les activités paranormales et l’ésotérisme.
Ovni,la CIA dispose d’imposants fichiers.
Sous le titre « Jetez un coup d’oeil sur nos ‘X-Files, l’agence américaine de renseignement présente quelques dossiers que « les sceptiques comme Scully et les croyants comme Mulder pourront trouver intéressants ». Suivent cinq dossiers « qu’adorerait avoir Mulder » et cinq autres destinées à l’agent Scully, censés la confirmer dans son scepticisme. Contrairement à ce qui est affirmé ici ou là dans la presse, ces dossiers ne sont nullement inédits. Ils ont été déclassifiés en 1978, sous le mandat de Jimmy Carter, président d’autant plus sensible à cette question qu’il avait lui-même observé un OVNI en 1969. Les documents « Mulder » n’en sont pas moins intéressants car ils rappellent que même au début des années 50, les observations d’OVNIs n’étaient pas réservés aux seuls Etats-Unis. Les rapports proposés par la CIA concernent l’Allemagne de l’Est, l’Espagne, l’Afrique du Nord et même le Congo belge, avec le survol d’une mine d’uranium par des objets non identifiés en août 1952 .
HORS TEXTE
Ceci est un rapport concernant un article de presse Allemand, déclassifié et publié récemment sur le site web de la CIA. A cette époque, la CIA collectait toute information à propos des OVNIS provenant de l’étranger, y compris des articles de journaux, qui étaient résumés dans des rapports tels que celui-ci.
Ce rapport porte le numéro 00-W-23602, il a été distribué le 16 Août 1952, et sa diffusion publique a été approuvée le 6 November 1978.
Bien que non-vérifiée, ce récit est plutôt intéressant.
PUBLIE Vienne DATE DE PUBLICATION 29 Mar 1952 LANGAGE Allemand CETTE INFORMATION N’A PAS ETE EVALUEE SOURCE La Presse SOUCOUPES VOLANTES AU-DESSUS DE MINES D’URANIUM AU CONGO BELGE Récemment, deux disques ardants furent observés au dessus de la mine d’uranium située au sud du Congo Belge, dans le district de Elisabethville. Les disques glissaient dans des courbes élégantes et ont changés de positions à de nombreuses reprises, c’est pourquoi ils sont apparus comme plats, ovales, ou simplement comme des lignes pour les observateurs. Soudainement, les deux disques firent du sur-place en une position fixe, puis partirent en zig-zag vers le nord-est. Un sifflement pénétrant et un bourdonnement furent audibles par les témoins. L’observation complète dura 10 à 12 minutes. Le commandant Pierre du petit terrain d’aviation d’Elizabethville parti immédiatement avec son avion de chasse. A son premier passage il s’approcha à 120 métres d’un des deux disques. D’après ses estimations, la « soucoupe » avait un diamétre de 12 a 15 métres et avait la forme d’un disque. La partie centrale interne semblait absolument stable, une protubérance sortait du centre et plusieurs petites ouvertures furent nettement observées. L’anneau extérieure était complètement voilé par un feu et devait avoir une vitesse de rotation énorme. La couleur du métal était similaire a celle de l’alumimium. Les disques se déplaçaient de manière precise, aussi bien verticalement qu’horizontalement. Des changements d’altitudes, de 800 a 1000 pieds, pouvait être fait en quelques secondes. Les disques sont souvent descendus a une hauteur de 20 métres au dessus de la cime des arbres. Pierre ne pense pas que le disque puisse être occupé, car, d’après lui, sa vitesse irrégulière et sa chaleur interdiraient a quelqu’un de se tenir dans la partie centrale. Pierre poursuivit ces disques pendant 15 minutes quand il entendit un sifflement, malgré le bruit de son avion. Les disques disparurent en direction du lac Tanganyika. Il estima leur vitesse à 1500 kilomètres/heures. Pierre est un officier digne de confiance et un aviateur zélé. Il a donné un rapport détaillé a ces supérieurs, qui, étrangement, ont été d’accord de bien des manières avec plusieurs des résultats de recherches. ARCHIVAL RECORD PLEASE RETURN TO AGENCY ARCHIVES, [CENSORED]
J. Allen Hynek, membre de la Commission Blue Book, ancien « Scully » métamorphosé en « Mulder »
Les cinq mémorandums qui devraient ravir l’agent Scully valent eux-aussi le détour. Car, loin de fournir une explication convaincante aux innombrables observations d’OVNIs durant cette période, ils montrent l’embarras et l’inquiétude des services de renseignement américains face aux soucoupes volantes. Alors qu’un document évoque un peu légèrement l’hypothèse d’une « folie de l’été », un mémo rédigé par le directeur de la CIA le 2 octobre 1952 souligne que, quelle que soit leur nature, les OVNIs présentent « deux éléments de danger dans une situation internationale tendue »: la possibilité qu’ils soient utilisés par un Etat ennemi comme une arme psychologique, et, surtout, les risques de confusion avec une « véritable alerte », autrement-dit une attaque de l’URSS.
Les dix documents exhumés par la CIAdatent tous de 1952 et 1953, années particulièrement riches en « incidents » comme le mémorable carrousel de Washington. 1952 est surtout l’année de création du projet Blue Book, la commission d’enquête sur les OVNI mise en place par l’US Air Force qui cessa ses activités en 1969 sur le constat que les OVNIs n’existent pas et que les cas résiduels inexpliqués ne le sont que par manque d’informations… Mais, comme le soulignait l’astronome J. Allen Hynek, membre démissionnaire de la Commission Blue Book, ancien « Scully » métamorphosé en « Mulder » en cours de route, les conclusions du Livre Bleu sont en contradiction flagrante avec son contenu: des dizaines de cas retenus par la commission sont irréductibles à des phénomènes connus, même avec toutes les « informations complémentaires » imaginables.
La CIA n’avait que l’embarras du choix pour sélectionner ses mémos OVNIs
Pour quelle raison la CIA ressort-elle maintenant ces vieux dossiers, outre la volonté évidente d’améliorer son image en se faisant mousser sur le come-back d’« X-Files » ? L’agence se garde bien de trancher d’un côté ou de l’autre, renvoyant sceptiques à la Scully et croyants façon Mulder dos à dos. De plus, la CIA n’avait que l’embarras du choix pour sélectionner ses mémos OVNIs. Elle aurait pu aussi présenter aussi ce mémo d’août 1952 rédigé par le directeur de la Scientific Intelligence, Marshall Chadwell, et adressé au patron de la CIA, Walter Bedell Smith où l’on peut lire:
« En ce moment, les rapports d’incidents nous ont convaincus que quelque chose se déroule qui exige notre attention immédiate. Les observations d’objets inexplicables qui volent à haute altitude et à grande vitesse dans l’espace aérien des Etats-Unis sont de telle nature qu’ils ne peuvent être attribués à aucun phénomène naturel ou type de véhicule aérien connus. »
Enfin, la CIA n’a pas toujours été aussi partageuse avec ses dossiers OVNIs. La plupart l’ont été par des particuliers tenaces qui ont fait valoir le loi sur la liberté de l’information pour obtenir des documents que l’agence rechignait à déclassifier.
Mais voici ce qu’ils obtiennent parfois…
Mulder comme Scully seraient sans doute un peu agacés…
IL Y A 1 AN,DÉBUT DE LA DIVULGATION
La presse internationale a annoncé récemment,en 2015, la déclassification des 11 107 cas d’observations d’OVNIs étudiés par le projet Blue Book entre 1952 et 1969, sous l’égide de l’US Air Force. En réalité, ces documents étaient en accès libre depuis 2007 avant d’être convertis fin janvier en fichiers PDF, plus lisibles, par un ufologue, John Greenwald. Qui a dû les retirer presque aussitôt de son site sous peine de poursuites judiciaires…
La fameuse vague ovni des années ’50 aura été marquée par le survol du Capitole en juillet 1952.
Le Projet Blue Book (Livre Bleu) est la plus vaste enquête officielle jamais lancée sur les OVNIs. Mais, pour certains, elle n’est qu’une opération de couverture destinée à masquer la réalité du phénomène. L’année de la création du Projet Blue Book coïncide avec un évènement ufologique qui a fasciné l’Amérique.
En 1952, le Pentagone ne sait plus où donner de la tête: les OVNIs sont partout. Cinq ans plus tôt l’observation du pilote Kenneth Arnold près du mont Renier a fait entrer les « soucoupes volantes » dans l’actualité et dans le vocabulaire courant. Depuis, les autorités sont débordées par les témoignages quotidiens qui suscitent autant d’enthousiasme que d’inquiétude dans la population. Les Etats-Unis sont-ils menacés par ces étranges objets dont les performances dépassent celles de tous les engins connus ? Le point d’orgue est atteint le soir du 19 juillet 1952. avec l’évènement dit du « carrousel de Washington »: jusqu’à 5 heures du matin, des objets lumineux se livrent à un incroyable ballet aérien au dessus de la Maison Blanche, du Pentagone et de la base de l’US Air Force de Andrew !
Les témoins visuels se comptent par centaines, quelques photographies sont prises et il existe même un film de cette « invasion ».
Les objets sont détectés par des radars civils et militaires. Les accélérations et les vitesses enregistrées sont hallucinantes: les intrus passent de 160km/h à plus de 10000 km/h en quelques secondes. Des avions de chasse décollent pour intercepter les appareils. Sans succès. La nuit du 26 juillet, les OVNIs sont de retour, survolant toujours le coeur du pouvoir civil et militaire américain. Là, encore les observations visuelles sont confirmées par les radars. Le Pentagone est sur la sellette. Le 29 juillet, l’US Air Force organise un conférence de presse et fournit l’explication que tout le monde attendait : aucun engin n’a survolé Washington. Les échos radars ont été provoqués par de banales inversions de température, phénomène météorologique bien connu: une couche d’air chaud prise en sandwich entre deux couches d’air froid aurait créé des mirages par réfraction lumineuse et des tracés radars fantômes.
Cinq photos de l’écran radar du National Airport où apparaissent distinctement les objets qui ont survolé Washington. DR
Cette explication parvient à convaincre les journalistes et le grand public mais plusieurs scientifiques restent sceptiques comme le physicien et météorologue James E. McDonald qui a vérifié les données météos des 19 et 26 juillet et conclu que les conditions climatiques excluaient la formation d’inversions de températures. Quant aux techniciens radars, ils ont tout bonnement le sentiment d’être pris pour des idiots: en bons professionnels, ils savent identifier les faux échos radars qui sont des tâches floues et peu distinctes. Elles sont immobiles ou se déplacent lentement mais jamais ces blips fantômes ne se livrent aux extraordinaires prouesses aériennes enregistrées par les radars : accélérations fulgurantes, virages en épingle à cheveu, brusques changements d’altitude.
Gerald Ford: « Le public américain mérite une meilleure explication que celle fournie par l’US Air Force »
Ce carrousel de Washington a fourni à la commission d’enquête sur les OVNIs nouvellement créée par le gouvernement américain l’occasion de se faire les dents sur ce cas sans précédent et de peaufiner une méthodologie qui sera, par la suite, très critiquée. Le projet Blue Book, lancé en avril 1952 par l’US Air Force, a trois objectifs formulés par l’US Air Force : « Trouver une explication pour l’ensemble des témoignages d’observations d’ovnis, déterminer si les ovnis représentent une menace pour la sécurité des Etats-Unis ; déterminer si les ovnis présentent une technologie avancée que les États-Unis pourraient exploiter. » Mais au cours de ses 17 années d’existence jusqu’à sa dissolution en 1969, le projet Blue Book s’est surtout acharné à remplir son premier objectif: trouver une explication rationnelle et scientifique à tous les cas qui lui sont soumis, quitte à prendre quelques libertés avec les données brutes et les témoignages.
Cette volonté d’expliquer à tout prix les observations par des méprises avec Vénus, la lune ou un avion finit par lasser certains membres du conseil scientifique qui quittent le projet Blue Book avec plus ou moins de fracas. Le départ le plus mémorable est celui de l’astrophysicien J. Allen Hynek, entré dès 1948 dans le projet Sign, premier avatar moins ambitieux de la commission Blue Book. Sceptique à l’origine, il déclare en 1948 que le sujet des « soucoupes volantes » est « ridicule », un « phénomène de mode qui s’éteindra bientôt ». Vingt ans plus tard, son opinion a bien changé : « Il conviendrait que l’US Air Force admette que le phénomène OVNI est un problème scientifique de dimension mondiale qui peut avoir une grande portée » écrit-il en 1968 dans une lettre furieuse adressée au colonel Raymond S. Sleeper, l’un des responsables du projet, où il déplore, entre autres, le manque de moyens alloué aux enquêteurs, les investigation bâclées et le peu de considération accordée aux témoins. J. Allen Hayek lui-même s’en est longtemps voulu d’avoir « expliqué » une observation très détaillée d’atterrissage d’OVNI en 1966 dans des marécages du Michigan par des « gaz des marais », des feus follets. L’hypothèse d’Hynek était si insuffisante, comme il l’a reconnu par la suite, que le futur président Gerald Ford, à l’époque représentant du Michigan au Congrès, avait protesté : « Le public américain mérite une meilleure explication que celle fournie par l’US Air Force ».
« L’US Air Force ne donnait pas aux OVNIs une chance d’exister, même s’ils survolaient une rue en plein jour »
Après avoir quitté la galère Blue Book, J. Allen Hayek, sans renoncer à sa carrière d’astrophysicien, est devenu l’un des ufologues les plus respectés et compétents d’un champ d’étude hélas délaissé par les scientifiques de haut niveau. Il a notamment mis au point la célèbre classification des observations d’OVNIs étalonnée entre Rencontre rapprochée du 1er type (RR1) et Rencontre rapprochée du 3e type (RR3), qui a donné son titre au film de Steven Spielberg dont J. Allen Hayek était le conseiller scientifique.
Quand l’US Air Force a mis fin au projet Blue Book, le major Quantanilla, directeur de la commission, a déclaré : « 676 seulement des 11 107 observations signalées depuis 1947 sont inexpliquées… Il n’existe aucune preuve que les OVNIs encore inexpliqués constituent des créations technologiques ou des principes situés au-delà de notre connaissance scientifique actuelle ».
Bien différente est la conclusion de J. Allen Hayek qui en 1985, un an avant son décès, déplorait « l’attitude complètement fermée de l’Air Force. Ils ne donnaient pas aux OVNIs une chance d’exister, même s’ils survolaient une rue en plein jour. Tout doit avoir une explication. Je commençais à m’énerver, même si, à l’origine, je ressentais la même chose qu’eux, je savais maintenant qu’ils n’étaient pas sur la bonne voie. Vous ne pouvez supposer qu’une chose n’existe pas si vous n’avez pas de preuve. Deuxièmement, la qualité des témoins a commencé à me troubler. Quelques cas ont, par exemple, été rapportés par des pilotes militaires, et je savais qu’ils avaient été bien entraînés, c’est donc là que pour la première fois, j’ai pensé que peut-être, il y avait quelque chose derrière tout cela. »
Les 11 107 cas étudiés par le projet Blue Book et les quelque 100 000 documents (photos, dessins, manuscrits, films etc) sont en réalité en accès libre depuis 2007 sur le site des archives militaires américaines, Fold3. L’ufologue et militant de la déclassification, John Greenwald a converti ces documents difficiles à consulter en fichiers PDF plus simples d’accès sur son site Black Vault. Malheureusement, pour de sombres histoires de copyright, Fold3 a sommé John Greenwald de retirer les documents sous peine de poursuites judiciaires. Dommage : l’occasion était belle de vérifier de visu si le projet Blue Book est une banale compilation de méprises et de supercheries ou, comme le disait en privé, le colonel Raymond S. Sleeper, « a great big pain in the ass », « un truc qui fait très mal au c…»
…une histoire à suivre et que nous suivrons!
Quelques photos de la Grande Vague Ovni de 1952
La une du journal de Washington du 29 juillet 1952.
La célèbre photo de Coltons Point montrant les ovni au-dessus de Washington.
La circulation des ovnis sur l’écran radar surveillant la ville de washington en ce 28 juillet 1952.
Photo prise de la Station des Gardes-côtes de Salem en 1952.
Même l’aviation militaire pris cette photo au-dessus de la Corée du Nord en 1952.
Le 19 juillet 1952,on prit cette photo d’un cigare volant au-dessus de Puerto Maldonaldo au Pérou.
Au nord de l’Italie,un témoin prit cette photo qui nous montre un humanoïde…pour une première fois.
Ovni photographié à Atlantic City,au New Jersey le 28 juillet 1952.
Le 13 décembre 1952,Georges Adamsky prit cette photo près du mont Palomar. Cette ovni correspond parfaitement au dessin d’un ovni nazi du nom de Hanebu développé sous les bons services deMaria Orsic.Il sagit de technologie pléadienne.
Comparaison entre l’ovni photographié par Adamsky et un dessin des archives du Troisième Reich.
Au-dessus du brésil…1952.
Roland Hugues ,pilote de l’US Air Force ,fit dessiner,sur son chasseur, l’ovni qu’il prit en chasse au-dessus de Washington,en juillet 1952.
Keffel et martins,2 chercheurs de l’époque,examinent les négatifs des photos de l’ovni prises au-dessus de Barra da Tijuca ,au Brésil.
Agrandissement de la photo principale de l »ovni aperçu le 7 mai 1952 au-dessus de barra da tijuca au brésil.
cet appareil est issu de la technologie extraterrestre mise au point par les allemands durant la Deuxième guerre mondiale…sous le nom de Horten.
Le 25 juillet 1952,cet ovni fut photographié au-dessus de Portsmouth,Massachusetts.
Sources:le site de la CIA sous ce lien: Disclosure
Des documents du FBI récemment déclassifiés prouvent que le gouvernement savait que le Führer Adolph Hitler était bel et bien vivant dans les Andes,en Amérique du Sud, peu de temps après la Seconde Guerre mondiale.
Le 30 Avril 1945, Adolf Hitler se suicide dans son bunker souterrain. Son corps a été découvert et identifié par les Soviétiques avant d’être précipité en Russie. Est-il vraiment possible que les Soviétiques ont menti tout ce temps, et que l’histoire a délibérément été réécrit?
Personne ne pensait jusqu’à ce que la publication des documents du FBI. Il semble qu’il est possible que l’homme le plus détesté de l’histoire échappé déchiré par la guerre en Allemagne et a vécu une vie bucolique et paisible dans les magnifiques contreforts de la Cordillère des Andes.
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HORS TEXTE
Dans le prochain article,j’expliquerai comment fut organisé le faux suicide du Führer.J’ai souvent parlé de son évasion du FÜhrerbunker et de Berlin,le 26 avril 1945,en soirée…à destination de la Norvège.
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Ces documents du FBI récemment libérés commencent par montrer que non seulement le suicide d’ Hitler et d’Eva Braun était truqué, mais que le couple aurait pu avoir reçu l’aide du directeur de l’OSS lui-même, Allen Dulles.
Dans un document du FBI venant de Los Angeles, il est révélé que l’agence était bien consciente qu’un sous-marin mystérieux avait fait son chemin jusqu’à la côte argentine pour y déposer des dignitaires nazis de haut niveau. Ce qui est encore plus étonnant est le fait que le FBI savait qu’Hitler était en fait vivant dans les contreforts de la Cordillère des Andes,depuis de nombreuses années.
Qui est ce mystérieux informateur?
Dans une lettre Los Angeles au Bureau en Août 1945, un informateur non identifié avait convenu d’échanger des informations pour obtenir l’asile politique. Ce qu’il a dit avait surpris et étonné les agents du FBI.
L’informateur savait non seulement qu’Hitler était en Argentine, il a confirmé que l’un des quatre hommes qui avaient abordé le sous-marin allemand. Apparemment, deux sous-marins ont débarqué sur la côte argentine, et Hitler ( avec Eva Braun) était à bord de la seconde expédition.
Le gouvernement argentin a accueilli non seulement l’ancien dictateur allemand, mais l’a aussi aidé dans sa cachette. L’informateur a continué à donner non seulement des indications détaillées sur les villages que Hitler et son escorte avaient traversé, mais aussi des détails physiques crédibles concernant Hitler.
Bien que pour des raisons évidentes l’informateur n’est jamais nommé dans les documents du FBI, il était suffisamment crédible pour être cru par certains agents.
Le FBI a tenté de dissimuler le lieu où Hitler était caché.
Même avec une description physique détaillée et des directions prises, le FBI n’a toujours pas donné suite à ces nouvelles pistes. Même avec des preuves découvertes sur le sous allemand U-530,arrivé sur la côte argentine peu après, en août 1945, et beaucoup de comptes rendus de témoins oculaires sur les fonctionnaires allemands déposés sur la côte: que personne n’a jamais enquêté.
Encore plus de preuves ont été retrouvées:
Avec les documents du FBI ,un compte rendu détaillé provenait d’ un témoin oculaire sur la localisation d’Hitler en Argentine, plus de preuves vient à la lumière pour aider à prouver que Adolf Hitler et Eva Braun ne meurent pas dans ce bunker.
En 1945, l’attaché naval à Buenos Aires a informé Washington qu’ il y avait une forte probabilité qu’Hitler et Eva Braun venaient d’arriver en Argentine. Cela coïncide avec les observations du sous-marin U-530. La preuve ajoutée vient sous la forme d’articles de presse détaillant la construction d’une maison de maître de style bavarois dans les contreforts de la Cordillère des Andes.
Une preuve supplémentaire vient sous la forme de l’architecte Alejandro Bustillo qui a écrit sur sa conception et la construction de la nouvelle maison de Hitler qui a été financé par des immigrants allemands riches antérieures.
Preuve irréfutable que Hitler s’est échappé:
Peut-être bien que la preuve la plus fantastique qu’Hitler a pu survivre à la chute de l’Allemagne se trouve en Russie. Avec l’occupation soviétique de l’Allemagne, les prétendus restes d’Hitler ont été rapidement cachés et envoyés en Russie, pour ne jamais être revu. C’est jusqu’en 2009, quand un archéologue de l’État du Connecticut, Nicholas Bellatoni a été autorisé à effectuer des tests d’ADN sur l’un des fragments de crâne récupérés que la vérité est sortie…enfin .
Ce qu’il a découvert a déclenché une réaction dans le monde des et celui des communautés scolaires universitaires. Non seulement l’ADN ne correspond à aucun des échantillons enregistrés et pensés pour être celui d’ Hitler, ils ne correspondent pas au courant de l’ADN Eva Braun soit. Donc la question à $1 million est: qu’est-ce que les Soviétiques découvrent dans le bunker, et où est Hitler? (1)
Même l’ancien général et président Dwight D. Eisenhower a écrit une mise en garde, à Washington.
Ce n’était pas seulement le général Eisenhower qui était préoccupé par la disparition du Führer Adolph Hitler, Staline a également exprimé ses préoccupations. En 1945, le journal Stars and Stripes avait cité alors le général Eisenhower que de croire que la possibilité réelle existait qu’ Hitler puisse vivre en toute sécurité et confortablement en Argentine.
Est-il possible que nous lisions ,ici,la Vérité?
Avec tous les nouveaux éléments de preuve trouvés et montés à la lumière, il est possible et même probable que non seulement Hitler a pu s’échapper de l’Allemagne; il a eu l’aide de la communauté internationale du renseignement.Documents du FBI publiés prouvent que non seulement ils étaient au courant de la présence de Hitler en Argentine; ils ont également aidé à couvrir sa retraite.
Ce ne serait pas la première et seule fois que l’OSS a contribué à protéger un haut fonctionnaire nazi pour échapper au châtiment et la capture. Regardez l’histoire d’Adolf Eichmann qui se trouvait en Argentine dans les années 1960.
Hitler s’est -il échappé en Argentine? La réponse est oui!
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