L’éventuelle destitution de Trump fera s’effondrer le billet vert

Le prix du dollar américain reposant sur la stabilité politique du pays, toute tentative de destitution du Président américain conduira à une chute du billet vert.

Toute aggravation de l’instabilité politique aux États-Unis se répercutera d’une manière négative sur la devise nationale américaine, considère l’économiste John Williams. Ce dernier prévient en outre que l’éventuelle tentative pour destituer le Président Donald Trump conduira à l’effondrement du billet vert.

Le temps est compté: Que se passera-t-il le jour où le dollar s’effondrera ?

Cette fiction-réalité, produite et réalisée par la National Inflation Association (Association Nationale sur l’Inflation Américaine), anticipe sur le futur économique des États-Unis, et par extension celle du monde.

Cela peut vous paraître délirant mais petit à petit, certains pays commencent à délaisser voire abandonne le dollar comme monnaie d’échange. Et cette tendance semble s’accélérer puisque la BCE échange pour la première fois des dollars contre des yuans.

 

«L’instabilité politique aux États-Unis aggravera à l’avenir les problèmes économiques. Mais il y a un aspect qui aura un effet immédiat: la tentative de destitution de Donald Trump. Si elle a lieu, cela portera un coup dur au dollar», a-t-il déclaré dans un entretien à l’édition en ligne USA Watchdog.

Et d’expliquer que la stabilité politique, au moins en apparence, est un des piliers sur lesquels repose la valeur du billet vert. Or, actuellement on note à Washington des divergences politiques très sérieuses, explique-t-il. «Autant que je m’en souvienne, rien de tel ne s’est jamais produit aux États-Unis. Le Président américain n’a en fait aucune possibilité d’agir sur la situation économique. Je m’attendais à ce que Trump soit élu en raison la situation économique vulnérable. Trump a gagné, car les électeurs n’étaient pas contents de la situation économique dans le pays. Ils voulaient qu’elle s’améliore. Or, s’il est destitué, il est peu probable que la situation économique américaine s’améliore», a-t-il expliqué.

Il rappelle que l’animosité de la part du Parti démocrate était présente dès l’arrivé de Donald Trump au pouvoir. Toutefois, ces derniers temps, sur fond d’absence de progrès sur un certain nombre de fronts, le Président a commencé à critiquer Mitch McConnell, chef de la majorité républicaine au Sénat. Comme l’indique John Williams, à cause du pressing permanent de l’establishment médiatique qui est exercé sur lui, le 45è Président des États-Unis entre de plus en plus souvent en confrontation avec des représentants des élites politiques du pays.

Est-ce le début de la fin des Etats-Unis d’Amérique ? Comme le disait Abraham Lincoln le mercredi 16 Juin 1858 à Springfield dans l’Illinois: « Une maison divisée contre elle-même ne peut tenir debout », et nous vivons aujourd’hui au sein d’une union brisée.

Depuis mes plus jeunes années, je n’ai jamais vu autant de conflits, de discorde, d’amertume et de ressentiment dans ce pays. Tout le monde peut voir ce qui se passe, mais personne semble être en capacité de stopper ce processus.

Sur le plan politique, vous avez des dizaines de millions d’américains qui tentent de tirer l’Amérique dans un sens, et en même temps, vous avez des dizaines d’autres millions d’américains qui essaient de la pousser dans l’autre sens. Comme je l’ai déjà expliqué dans un précédent article, le terme « guerre civile » est maintenant lancé par certains experts même si personne n’a encore vu un tel scénario se matérialiser. L’Amérique est une nation profondément divisée et brisée, et si elle ne trouve pas rapidement le moyen de résoudre ses problèmes alors ce pays tel que nous le connaissons depuis tant d’années n’existera plus.

Tous les sondages et enquêtes d’opinion qui ont été réalisées récemment confirment ce que je dis. Par exemple, l’enquête de l’institut de sondage américain Gallup menée après l’élection en Novembre montre que 77% des Américains pensent que leur pays est profondément bipolarisé.

En conclusion:mêmes les républicains veulent reverser Donald Trump

Mark Cuban n’est pas prêt à lancer une campagne officielle, en bravade contre le président américain, Donald Trump.

Mais M. Cuban, un milliardaire texan qui se décrit comme «férocement indépendant» sur le plan politique, croit que l’occasion se présente de renverser le président républicain, qui est de plus en plus perçu comme incompétent au sein de son propre parti.

«Sa base (électorale) ne se retournera pas contre lui, mais s’il y a quelqu’un avec qui ils peuvent connecter en qui ils peuvent faire confiance, ils pourraient se détourner de lui», a-t-il avancé, en entrevue avec l’Associated Press.

«La porte est grande ouverte. Il est juste question de qui pourra réussir.»

Après seulement sept mois avec Donald Trump en tant que président, les républicains et les indépendants de droite contemplent la possibilité d’écarter le président sortant en 2020. Il s’agit d’une tâche herculéenne, certains diront même d’un fantasme: aucun président de l’histoire moderne n’a été défait par un membre de son propre parti et d’imposants obstacles politiques se dressent sur la route.

Le Comité national républicain, maintenant dirigé par des sympathisants de Trump, travaille de concert avec la Maison-Blanche afin de mettre la table pour un processus favorable au président.

Or, la réaction de Trump au rassemblement meurtrier de suprémacistes blancs à Charlottesville, en Virginie, a enhardi ses détracteurs à suggérer ce qui était auparavant impensable.

Des responsables républicains commencent à se demander à voix haute s’ils pourraient présenter un autre candidat aux primaires présidentielles de 2020. Personne n’est venu de l’avant pour l’instant, et la liste de potentiels intéressés demeure courte.

Le gouverneur républicain de l’Ohio, John Kasich, n’a pas écarté la possibilité de briguer l’investiture républicaine à nouveau en 2020.

Un autre républicain critique de Trump, le sénateur du Nebraska, Ben Sasse, s’est rendu le mois dernier en Iowa — où se tiennent les premiers caucus présidentiels.

Une poignée d’autres personnalités bien nanties sont encouragées à se jeter dans la mêlée, dont le lutteur devenu acteur, Dwayne «The Rock» Johnson.

Après les dérapages de la manifestation de Charlottesville, Donald Trump avait condamné le racisme, mais il avait aussi tenu à dénoncer «les deux camps».

Avant même d’avoir tenu ces propos controversés, ses cotes de popularité n’avaient pas fière allure. Selon un sondage Gallup tenu à la mi-août, seulement 34 pour cent des électeurs disent l’apprécier, contre 79 pour cent des républicains. Ces deux statistiques constituent des points bas pour Donald Trump.

 

2 commentaires sur “L’éventuelle destitution de Trump fera s’effondrer le billet vert

  1. L’espoir avec Donald Trump et il l’a dit dans sa campagne c’est qu’il touche au monopole de la reserve fédérale Banque, cette institution crée en 1913 par les rothschild,Morgan etc…et qui a permis à un groupe de banquiers privés de mettre la main sur la machine à imprimer le billet vert.Cela a été la fin de la liberté du peuple américain et le début de l’endettement des Etats-Unis.Les présidents Adams,Lincoln,Kennedy se sont battus contre cette oligarchie financière et deux l’ont payés de leurs vies.

    Un établissement qui appartient au gouvernement américain et qui bat monnaie, de réindustrialiser le pays,de réevaluer les barrière douanières face au pays comme la chine et l’inde etc..

    L’un des premiers objectifs du dernier Bildenberg est de destituer Trump avec l’ensemble des moyens financiers politiques et l’arsenal des médias à leur disposition.

    Les dernières infos nous disent que Trump essaye de négocier avec cette oligarchie financière.L’acte de bombardment en Syrie en est un exemple et n’est pas la volonté de Trump.

    Alors quelles conséquences si Trump est destituer?La seule réponse est dans la parole du citoyen américain mais il peu probable qu’il puisse faire quelque chose tant le controle sur les médias est important..Les présidents américains qui se sont succédés après Kennedy était juste des fonctionnaires « aux ordres » comme l’a dit Bill Clinton.Reste à savoir si Trump va continuer mais cet homme n’a rien à perdre.

    On parle , et cela va dans le sens du nouvel ordre mondial de la création d’une monnaie regroupant l’ensemble du continent américain.C’est donc juste une étape;

    Par contre j’ai une demande Michel;Quel était le nom de l’établissement du gouvernement américain qui battait la monnaie américaine avant la création de la Réserve Fédérale Banque en 1913?

    Merci de me répondre

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