Après l’Australie, le Canada et la Nouvelle-Zélande, la variante Omacron prévoit d’enfermer les non vaxxés dans des Goulags nasitaires. Après avoir terrorisé et éliminé les syndicats, les gilets jaunes, et tous ceux qui osent contester ou discuter les oukases de la fiotte élyséenne, voilà le must de l’arnaque pandémique : le goulag nasitaire.

Le « placement » des non-vaccinés, c’est-à-dire leur installation forcée dans un lieu qui ne serait pas leur domicile, fait partie des mesures prévues par le projet de loi nº 3714 instituant un régime pérenne de gestion des urgences sanitaires. Ce texte hallucinant, déposé le 21 décembre à l’Assemblée Nationale, utilise le prétexte sanitaire pour transformer ce pays en véritable dictature. Il autoriserait le gouvernement à prendre des décrets qui nous font basculer dans un régime qui ne s’appelle plus la démocratie. Le texte sur le passe sanitaire devrait être un leurre pour cacher des dispositions qui constituent une rupture majeure avec la logique républicaine.
Installer des non-vaccinés dans des lieux d’hébergement loin de leur domicile ? Oui, ce sera possible avec le projet de loi instituant un régime pérenne de gestion des urgences sanitaires, que le gouvernement a déposé au Parlement selon le dispositif de la procédure accélérée, qui limite les débats parlementaires.
Il faut absolument lire ce texte pour comprendre quelle rupture il introduit dans nos traditions démocratiques.
Un projet de loi préparé de longue date
Bien entendu, ce texte n’est pas né avec le variant O Micron [O Macron] et la panique simulée qui l’entoure. Il est préparé de longue date, et cherche à inscrire dans les textes les pouvoirs d’exception que le gouvernement a demandé depuis un an et demi pour gérer la crise avec le brio que l’on connaît.
L’essentiel du texte, qui tient en cinq articles, vise à créer un régime de “crise sanitaire” et un autre “d’urgence sanitaire” qui donneraient des pouvoirs exceptionnels au gouvernement.
Dans ces pouvoirs exceptionnels, il faut surtout comprendre qu’il s’agit d’autoriser le gouvernement à violer gravement les libertés sans aucun contrôle parlementaire.
Nous vous proposons ici une présentation “panoramique” de ce texte pour en comprendre les enjeux.
Un régime pérenne d’urgence…
Premier point qui en dit long sur les véritables intentions du texte : il s’agit de créer un “régime pérenne” en matière d’urgences sanitaires. Sous-entendu : d’autres épidémies sont à venir, et il faut désormais disposer d’un appareil juridique qui permette d’y faire face.
Ceux qui accusaient le gouvernement de vouloir faire durer les épidémies pour s’arroger des pouvoirs exceptionnels ont été régulièrement taxés de complotisme.
Ce texte qui comporte 92 pages avec son intéressante étude d’impact montre qu’ils étaient plutôt fine mouche.

L’invention burlesque de l’état de crise sanitaire
Première innovation estomaquante : le gouvernement propose de créer un “état de crise sanitaire”.
Cet état serait proclamé de la façon suivante :
L’état de crise sanitaire peut être déclaré sur tout ou partie du territoire métropolitain ainsi que du territoire des collectivités mentionnées à l’article 72‑3 de la Constitution en cas de menace ou de situation sanitaire grave aux fins de prévenir ou de limiter les conséquences de cette menace ou de cette situation. Il peut également être déclaré, à l’issue de l’état d’urgence sanitaire prévu à l’article L. 3131‑5, afin de mettre fin à la catastrophe sanitaire ou d’en réduire les conséquences sanitaires.
« L’état de crise sanitaire est déclaré par décret motivé pris sur le rapport du ministre chargé de la santé.
Autrement dit, lorsque le gouvernement considérerait qu’il existe une crise sanitaire, il prendrait un décret pour s’arroger des pouvoirs exceptionnels.
Mais qu’est-ce qu’une crise sanitaire “grave” ? Le texte ne le dit pas, et prend bien garde de ne surtout pas le définir.
Voilà qui s’appelle un chèque en blanc donné au gouvernement pour prendre le prétexte de n’importe quelle grippe pour suspendre les libertés.
Les pouvoirs exceptionnels en cas de crise sanitaire
En cas de “crise sanitaire”, des pouvoirs exceptionnels sont confiés au gouvernement :
- le Premier Ministre peut fixer les prix
- le Premier Ministre peut réquisitionner des biens et des personnes
- le ministre de la Santé peut décider “le placement et le maintien en isolement des personnes affectées ou contaminées, au sens de l’article 1er du règlement sanitaire international de 2005, ou la mise en quarantaine des personnes susceptibles d’être affectées ou contaminées“
- le ministre de la Santé peut prendre “toute mesure permettant la mise à la disposition des patients de produits de santé”
- le ministre de la Santé peut prendre “toute autre mesure relative à l’organisation et au fonctionnement du dispositif de santé”
On mesure ici l’étendue des pouvoirs exceptionnels accordés au Premier Ministre et au ministre de la Santé.
On notera en particulier que celui-ci aura la faculté de “placer” toute personne susceptible d’être contaminée… Cette violation sans contrôle des libertés est tout simplement hallucinante.
L’état d’urgence sanitaire…
L’état d’urgence sanitaire est une sorte de degré supérieur dans la crise sanitaire. Il est prononcé “en cas de catastrophe sanitaire mettant en péril, par sa nature et sa gravité, la santé de la population”.
Cet état d’urgence serait déclaré par décret en conseil des ministres… “Les données scientifiques disponibles sur la situation sanitaire qui ont motivé la décision sont rendues publiques.”
On ne pouvait imaginer de forme plus simple et plus “dépouillée” pour prendre des décisions de ce genre.
Rappelons que, en l’état actuel des choses, l’urgence sanitaire suppose une loi. On comprend quelle dégradation démocratique le projet gouvernemental introduit.
Les pouvoirs exceptionnels en cas d’urgence sanitaire

En cas d’urgence sanitaire, le gouvernement dispose des pouvoirs exceptionnels de la “crise sanitaire”, et de quelques pouvoirs supplémentaires :
- le Premier Ministre peut “réglementer ou interdire la circulation des personnes et des véhicules et réglementer l’accès aux moyens de transport et les conditions de leur usage”
- le Premier Ministre peut aussi “interdire aux personnes de sortir de leur domicile, sous réserve des déplacements strictement indispensables aux besoins familiaux ou de santé”
- le Premier Ministre peut “ordonner la fermeture provisoire et réglementer l’ouverture, y compris les conditions d’accès et de présence, d’une ou plusieurs catégories d’établissements recevant du public ainsi que des lieux de réunion, en garantissant l’accès des personnes aux biens et services de première nécessité”
- le Premier Ministre peut encore “limiter ou interdire les rassemblements sur la voie publique ou dans un lieu ouvert au public ainsi que les réunions de toute nature, à l’exclusion de toute réglementation des conditions de présence ou d’accès aux locaux à usage d’habitation”
- le Premier Ministre peut aussi “prendre toute autre mesure limitant la liberté d’entreprendre”…
- le Premier Ministre peut enfin “subordonner les déplacements des personnes, leur accès aux moyens de transports ou à certains lieux, ainsi que l’exercice de certaines activités à la présentation des résultats d’un test de dépistage établissant que la personne n’est pas affectée ou contaminée, au suivi d’un traitement préventif, y compris à l’administration d’un vaccin, ou d’un traitement curatif”
On mesure là encore l’étendue des pouvoirs exceptionnels que le gouvernement peut s’accorder sur simple décret lorsqu’une “catastrophe sanitaire” survient, dont on ne mesure pas bien la définition ni les éléments objectifs de déclenchement.
Des mesures définitivement liberticides
Le chapitre sur les “dispositions communes” concernant la crise sanitaire et l’urgence sanitaire en disent long sur l’implosion prévisible de la démocratie une fois ce texte adopté.
Ainsi, la loi prévoit cette mesure scélérate : “Sous réserve des obligations résultant du droit international et du droit de l’Union européenne, les projets d’actes réglementaires pris sur le fondement des dispositions du présent chapitre sont dispensés de toute consultation préalable obligatoire prévue par une disposition législative ou réglementaire, à l’exception de celles prévues par ce chapitre”.
Autrement dit, les corps intermédiaires ne sont plus consultés lorsque la crise sanitaire arrive. Le gouvernement décide seul.
En outre, les Préfets sont autorisés à prendre eux-mêmes les mesures liberticides que le gouvernement est autorisé à prendre au niveau national.
Les éléments d’une véritable dictature sous couvert de menace sur la santé publique sont posés.
L’inquiétant “placement” des dissidents
Un paragraphe mérite d’être lu très attentivement. Il s’agit du futur article L 3131-12 du Code de la Santé Publique, qui précise le régime du “placement” des personnes.
Cette mesure est prononcée “par décision individuelle motivée du représentant de l’État dans le département sur proposition du directeur général de l’agence régionale de santé”.
Le texte précise que le placement peut “se dérouler, au choix des personnes qui en font l’objet, à leur domicile ou dans des lieux d’hébergement adaptés.”
Le texte apporte deux précisions importantes sur les interdictions qui peuvent être faites aux personnes placées :
« 1° Ne pas sortir de son domicile ou du lieu d’hébergement, sous réserve des déplacements qui lui sont spécifiquement autorisés par l’autorité administrative. Dans le cas où un isolement complet de la personne est prononcé, il lui est garanti un accès aux biens et services de première nécessité ainsi qu’à des moyens de communication téléphonique et électronique lui permettant de communiquer librement avec l’extérieur ;
« 2° Ne pas fréquenter certains lieux ou catégories de lieux.
Enfin, la loi ajoute :
“Lorsque la mesure impose à l’intéressé de demeurer dans le lieu où la quarantaine ou l’isolement se déroule plus de douze heures par jour, elle ne peut se poursuivre au‑delà d’un délai de quatorze jours sans que le juge des libertés et de la détention, préalablement saisi par le représentant de l’État dans le département, ait autorisé cette prolongation.”
Autrement dit, le gouvernement s’arroge le droit de “confiner” strictement les personnes susceptibles d’être contaminées dans des lieux d’hébergement, pendant deux semaines, sans que le juge des libertés ne soit saisi.
Pouvoirs “informatiques” exceptionnels
Enfin, le texte du gouvernement a cette formulation curieuse dont on finit par se demander ce qu’elle vise au juste :
En cas de situation sanitaire exceptionnelle ou pour tout événement de nature à impliquer de nombreuses victimes, notamment les accidents collectifs, les informations strictement nécessaires à l’identification des victimes et à leur suivi, notamment pour la prise en charge de leurs frais de santé, sont recueillies dans un système d’identification unique des victimes.
Mais quels accidents collectifs le gouvernement a-t-il en tête ?
En tout cas, on voit que “l’urgence sanitaire” a bon dos. Elle constitue un véhicule idéal pour faire passer des mesures de fichage très variées, que la CNIL refusait jusqu’ici.
Une rupture avec la démocratie
Dans le principe, utiliser la crise sanitaire pour créer le précédent d’un régime où le gouvernement peut décider, sans autorisation du Parlement (même si nous avons bien conscience de la faiblesse de ce Parlement), de s’octroyer des pouvoirs liberticides de cette importance, en dit long sur l’instrumentalisation du COVID.
Beaucoup, depuis mars 2020, répètent en boucle (et c’est notre cas), que le COVID est le prétexte à autre chose, en particulier à une marginalisation du processus démocratique au profit de la caste mondialisée.
Ce texte en constitue la meilleure illustration et la meilleure preuve.
Source: Le Courrier des Stratèges
EN COMPLÉMENTAIRE
Camp de concentration australien de Covid…en rappel
Réétablissement de quarantaine de Howard Springs à Darwin pour les Australiens revenant de l’étranger porte plusieurs noms. Le gouvernement l’a surnommé – sans ironie intentionnelle – le « Center for National Resilience » et le « Golden Standard », rapporte The Conservative Woman .
Le terme le plus précis est « quarantaine surveillée obligatoire ». En d’autres termes, nous ne sommes pas convaincus que les compatriotes de retour, qui ont probablement payé une fortune aux compagnies aériennes pour revenir ici, se comporteront avec honneur et se mettront en quarantaine dans un lieu de leur choix. D’autres n’ont pas été aussi gentils dans leurs descriptions de l’établissement de Howard Springs, alors que de nouvelles histoires continuent de faire surface sur le traitement cruel des « prisonniers » pour mauvaise conduite.
Les rapports d’abus dans les installations de quarantaine australiennes ne sont pas nouveaux. Beaucoup d’entre nous ont récemment été amusés par l’article de Katie Hopkins sur le nouveau style australien d’hospitalité envers les visiteurs. Cela n’inclut pas les différents ministres qui l’ont expulsée du pays. (Je crois qu’elle se porte bien actuellement en Floride, où le traitement d’un récalcitrant au Covid est légèrement plus humain que dans ces colonies pénitentiaires du XXIe siècle).
Il y a eu les horribles rapports du fiasco de la quarantaine de Melbourneen 2020, ce qui a conduit à une commission d’enquête, mais malheureusement aucune sanction des auteurs politiques et bureaucratiques. (L’enquête a été qualifiée de « blanchiment d’argent). En effet, personne au gouvernement n’a admis avoir pris la décision d’embaucher des entrepreneurs privés pour sécuriser le système de quarantaine de l’hôtel, et le comité n’a pas été en mesure de prouver qui avait pris la décision. La Commission n’a pas été en mesure de prouver qui avait pris la décision. Le contrat a été attribué au personnel du tristement célèbre Premier ministre de Victoria, Daniel Andrews, dont on a découvert plus tard qu’il avait eu des relations sexuelles avec des prisonniers, ce qui a entraîné une série de problèmes, notamment des atteintes à la sécurité et un manque de formation appropriée.
Les plus de 700 personnes décédées de Covid à Melbourne à l’hiver 2020 constituent toujours la grande majorité des décès australiens attribuables à Covid. C’était l’année dernière. Cette année, malgré la hausse actuelle en Nouvelle-Galles du Sud, le nombre de décès est en baisse, touchant principalement les personnes de plus de quatre-vingts ans . Des conditions de quarantaine strictes restent en place et des histoires effrayantes circulent sur les réseaux sociaux sur les conditions dans les hôtels de quarantaine.
Un « prisonnier » a décrit son expérience pour cairnsnews.org : « Pas d’air, pas hors de la pièce pendant 338 heures, la deuxième fois en 11 jours ici, quelqu’un a complètement détruit sa chambre en hurlant des bébés. Je pense que ce type pensait qu’il partait aujourd’hui, mais en fait il partait ce soir à 23h59. Tu deviens fou quand tu es tout seul. Est-ce vraiment nécessaire? J’ai moi-même eu 9 tests négatifs avant d’être mis en quarantaine à domicile, et j’ai été vacciné. Mais pourquoi? Quel est le prix de la santé mentale pour les Victoriens… est-ce que quelqu’un s’en soucie ? Cet homme est menacé par les autorités d’être « gazé » s’il ne se calme pas.
Un autre a répondu sur Twitter à propos d’Howard Springs.
Howard Springs CV Quarantine Camp en Australie pour toutes les personnes « dangereuses » pour la société. Des rapports font maintenant surface selon lesquels des détenus (ce n’est pas une erreur) se voient refuser de la nourriture pour avoir enfreint des règles mineures. Puis-je vous demander. Cela vous rappelle-t-il une partie de notre histoire? Pouvez-vous déjà le voir?
https://twitter.com/Graham333888/status/1436602247887077377
« J’ai bien peur que ce soit un camp d’internement et si vous ne le voyez pas, vous êtes condamné. Il y avait une femme de 33 ans qui a fait ses valises, s’est dirigée vers la porte, a jeté ses bagages par-dessus, a escaladé la barrière et s’est éloignée, tandis que des personnes abasourdies la filmaient sur leurs téléphones portables. La police l’a rattrapée 15 minutes plus tard et elle a été condamnée à une amende de près de 4 000 $.
https://twitter.com/AwakenedLegal/status/143671406006006349826
Il est extrêmement difficile d’aller au fond de ces rapports, car les médias et les radiodiffuseurs publics ne publient jamais de telles histoires ni n’enquêtent sur des allégations d’agression qui pourraient saper l’histoire officielle de Covid. Et bien sûr, vous ne trouverez jamais ces histoires sur un moteur de recherche qui fait taire si efficacement les dissidents. Ce que vous pouvez faire, c’est vous demander si les histoires sur les installations de quarantaine sont plausibles compte tenu de ce que nous savons d’autre. Et nous en savons beaucoup. Nous savons que:
- – La police a tiré des balles en caoutchouc sur des manifestants et utilisé du gaz poivré dans les rues de Melbourne ;
- – Le commissaire de police de Victoria, Shane Patton, a annoncé que deux commandos Covid distincts avaient été mis en place pour fonctionner au moins jusqu’à la fin de 2022, et peut-être indéfiniment ;
- – Victoria est en train de construire une installation de quarantaine, ainsi que le Queensland (une installation de 1 000 lits à l’aéroport de Wellcamp à l’ouest de Brisbane) ;
- – Les résidents des immeubles à appartements de Sydney qui ont été enfermés par NSW Health sont surveillés pour leur approvisionnement en alcool dans le cadre d’une politique visant à limiter les consommations par jour, c’est-à-dire six bières ou des quantités équivalentes de vin et de spiritueux, tout excès d’alcool étant confisqué;
- – Des couvre-feux ont été mis en place à Melbourne et à Sydney pour enfermer les gens chez eux après 21 heures ;
- – Des militantes telles que Monica Smit de Reignite Democracy Australia ont été arrêtées et emprisonnées pour avoir organisé des manifestations ;
- – À Sydney, des écoliers ont été « pilotés » vers des stades sécurisés par la police pour se faire vacciner après que des pressions eurent été exercées sur eux pour leurs prochains examens du diplôme d’études supérieures ;
- – De lourdes amendes sont infligées pour non-respect de diverses réglementations en matière de santé publique ;
- – Le gouvernement de la Nouvelle-Galles du Sud licencie ses propres enseignants pour ne pas se faire vacciner, dans un État où le Premier ministre a déclaré que « ceux d’entre vous qui choisissent de ne pas se faire vacciner sont votre choix, mais ne vous attendez pas à ce qu’ils fassent tout ce qu’ils peuvent faire que font les vaccinés, même lorsque nous atteignons 80 pour cent [double vacciné] » ;
- – Des gardes armés et l’armée ont sécurisé des bâtiments de verrouillage dans la banlieue de Sydney ;
- – Selon la feuille de route NSW récemment publiée sur les blocages, les personnes non vaccinées ne sont pas autorisées à rendre visite aux vaccinés.
Compte tenu de toutes ces violations flagrantes des droits de l’homme et du processus démocratique, pourquoi ne pas croire les histoires qui sortent des installations de quarantaine ? Compte tenu de ce que notre police criminelle est prête à faire en public, rien ne devrait nous surprendre de ce qu’elle fait à huis clos. Je trouve ces messages tout à fait plausibles.
C’est bien beau que les chouchous des médias comme Claire Lehman de Quillette se moquent et accusent ceux d’Australie et des États-Unis qui craignent pour notre avenir et nous comparent (à juste titre) à des régimes totalitaires avec des camps armés de l’hyperbole. Selon elle, nous restons « une nation toujours fière de ses citoyens et rayonnante d’un sens communautaire ». La vraie histoire de nos banlieues hantées, de nos villes fantômes, de ces misérables tours d’appartements où les incarcérés silencieusement ou bruyamment deviennent fous, et des camps de quarantaine clairement brutaux, font allusion à une nation très différente de celle que Lehman imagine. Je suppose qu’elle considère ces développements comme un prix à payer pour un faible taux de mortalité de Covid par rapport à d’autres pays (dans l’hémisphère Nord). Un résultat qui n’a rien à voir avec nos interventions non médicales extrêmes. Peut-être n’est-elle pas au courant de l’impressionnante littérature internationale sur la futilité médicale des blocages et des diverses explications du faible taux de mortalité de Covid en Australie.
Le comportement de la classe politique ressemble à de la violence domestique et des abus. Il a toutes les caractéristiques et les tactiques d’un comportement abusif, la peur suscitée par l’agressé n’étant que le signe le plus clair de ce qui se passe. Cela a conduit à un déclin rapide de la vie civile en Australie, Daniel Andrews déclarant que « seuls les vaccinés pourront participer à l’économie du futur ». Ce qui semble se passer derrière des portes de quarantaine fermées a tout à voir avec un État policier devenu incontrôlable.
Qui détruit notre dignité pour nous garder en sécurité.
L’AGHENDA 21 INSCRITE DANS LA GEORGIA GUIDESTONE

On peut s’attendre à ce que l’Agenda 21 des Nations Unies commence à être mis en œuvre, résultant en :
- Une prise de contrôle mondiale par un gouvernement mondial unique
- Abrogation des libertés individuelles et des droits de propriété et asservissement de l’humanité
- L’incapacité d’acheter ou de vendre, à moins que vous ne receviez une puce électronique dans votre corps (main ou tête), obtenue uniquement en prêtant allégeance aux nouveaux dirigeants (alimentés par le mal).
- Beaucoup de morts et de sang qui coule
- La liberté et la paix ne reviendront sur terre qu’après l’ultime bataille entre le bien et le mal. (Indice : Dieu gagne.)
SUPPORTEZ VOTRE SITE WEB FAVORI EN VISITANT NOTRE BOUTIQUE EN LIGNE
Sur ce lien:VintageParMichel