Jeudi dernier marquait le troisième anniversaire de la tristement célèbre campagne « 15 jours pour ralentir la propagation ». Au 16 mars 2020, les données s’étaient déjà accumulées indiquant que cette contagion ne serait pas plus mortelle qu’une épidémie de grippe.
Ce qui m’a le plus surpris, c’est que les « experts » désignés n’étaient rien de plus que des mathématiciens ratés, des médecins du gouvernement et des professeurs d’université qui étaient plus intéressés par la politique par le biais de prévisions universitaires de mauvaise qualité que par l’observation de la réalité.
Le 16 mars, votre humble serviteur en avait déjà assez de la «réponse» gouvernementale et sociétale à ce qui était sans fondement classé comme la pire pandémie en 100 ans, malgré l’absence de données statistiques à l’appui d’une affirmation aussi grave.
Je vivais à l’époque à Washington, DC Beltway, et il était pratiquement impossible de trouver une personne partageant les mêmes idées dans un rayon de 50 miles qui ne mordait pas non plus à l’appât. Après avoir lu les nouvelles en provenance de Wuhan en janvier, j’ai passé une grande partie des deux semaines suivantes à rattraper mon retard et à lire à quoi une réponse moderne à la pandémie était censée ressembler.
Ce qui m’a le plus surpris, c’est qu’aucune des « mesures » n’a été mentionnée, et que ces « experts » désignés n’étaient rien de plus que des mathématiciens ratés, des médecins du gouvernement et des professeurs d’université qui étaient plus intéressés par la politique par le biais de prévisions universitaires de mauvaise qualité que par l’observation de la réalité.
Quelques jours après avoir continuellement entendu leurs jappements aux presseurs de la Maison Blanche, il est rapidement devenu clair que les Deborah Birx et Anthony Fauci du monde ne s’engageaient dans rien de plus qu’une expérience géante. Il n’y avait aucune approche fondée sur des preuves pour gérer Covid. Ces personnalités se penchaient sur l’hystérie collective et brandissaient leurs références en tant qu’experts en santé publique pour exiger des approches descendantes pour éradiquer le WuFlu.
Pour le dire franchement, ces bureaucrates gouvernementaux de longue date n’avaient aucune idée de ce qu’ils faisaient. Fauci et ses cohortes n’étaient pas des scientifiques établis ou réputés, mais des autoritaires, des charlatans, qui avaient des antécédents de piratage et de corruption de plusieurs décennies. Ce groupe de travail sur le coronavirus n’avait pas l’intellect collectif ni la sagesse de prendre ces décisions générales.
À l’époque, il n’y avait littéralement qu’une poignée de personnes qui tentaient de sensibiliser le public à la vague de tyrannie, d’hystérie et de politiques anti-science qui se dirigeait vers nous. Nous étions si peu nombreux en mars 2020 qu’il était impossible de former une sorte de résistance structurée significative à la folie qui se déroulait devant nous. Ces structures se formeront plus tard, mais pas avant que l’infrastructure de l’autoroute vers l’enfer de l’hystérie Covid n’ait déjà été cimentée.
Pour aggraver les choses, la réalité était que la grande majorité de la population – amis, collègues, pairs et famille inclus – convenait que les dissidents n’étaient rien de plus que des extrémistes imprudents, des bioterroristes, des négationnistes de Covid, des agitateurs anti-science, etc.
Pourtant, nous avions raison, et nous avions les preuves et les données pour le prouver. Il n’y avait aucune preuve pour soutenir une telle série d’initiatives gouvernementales visant à « ralentir la propagation ».
Au 16 mars 2020, les données s’étaient déjà accumulées indiquant que cette contagion ne serait pas plus mortelle qu’une épidémie de grippe.
L’épidémie de février 2020 sur le bateau de croisière Diamond Princess a fourni un signal clair que les modèles d’hystérie fournis par les organisations financées et gérées par Bill Gates étaient incroyablement hors de propos. Sur les 3 711 personnes à bord du Diamond Princess, environ 20 % ont été testées positives au Covid. La majorité de ceux qui ont été testés positifs n’avaient aucun symptôme. Au moment où tous les passagers ont débarqué du navire, 7 décès ont été signalés sur le navire, l’âge moyen de cette cohorte étant au milieu des années 80, et il n’était même pas clair si ces passagers sont morts de ou avec Covid .
Malgré les étranges photos et vidéos provenant de Wuhan, en Chine, il n’y avait aucune preuve objective d’une maladie une fois par siècle approchant les côtes américaines, et l’ épidémie de Diamond Princess l’a clairement montré.
Bien sûr, ce n’est pas la contagion virale qui est devenue le problème.
C’est la contagion de l’hystérie qui a fait ressortir les pires qualités d’une grande partie de la classe dirigeante mondiale, laissant les dirigeants mondiaux enlever leurs masques proverbiaux à l’unisson et révéler leur véritable nature de fous ivres de pouvoir.
Et même les dirigeants mondiaux les plus décents ont été emportés par la peur et le chaos, remettant les clés du contrôle gouvernemental aux supposés experts en santé publique omniscients.
Ils ont rapidement fermé des milliards de vies et de moyens de subsistance, faisant exponentiellement plus de ravages qu’un nouveau coronavirus ne pourrait jamais le faire.
Aux États-Unis, 15 jours pour ralentir la propagation est rapidement devenu 30 jours pour ralentir la propagation. Quelque part en cours de route, la date de fin des « mesures » a été entièrement supprimée de l’équation.
3 ans plus tard, il n’y a toujours pas de date de fin…
Anthony Fauci est apparu sur MSNBC jeudi matin et a déclaré que les Américains auraient besoin de rappels annuels de Covid pour compléter leurs vaccins contre la grippe.
Une grande partie de l’ère de l’hystérie Covid était motivée par la pseudoscience et le non-sens pur et simple, et pourtant, très peu de dirigeants mondiaux, voire aucun, ont pris l’initiative de rétablir la raison dans leurs domaines. Maintenant, sans surprise, tant d’élus qui ont été complices de cette tragédie humaine de plusieurs milliards de personnes n’oseront pas y réfléchir.
Dans une lettre de 1775 de John Adams à sa femme, Abigail, le père fondateur américain écrit :
« La liberté, une fois perdue, est perdue à jamais. Lorsque le peuple renonce une fois à sa part de la législature et à son droit de défendre les limitations imposées au gouvernement et de résister à tout empiètement sur lui, il ne peut jamais le récupérer. »
L’hystérie de Covid et le 3e anniversaire de 15 jours pour ralentir la propagation constituent la période de début d’une cicatrice permanente résultant des prises de pouvoir du gouvernement et de la portée excessive du gouvernement fédéral.
Alors que la vie est revenue à la normale dans la majeure partie du pays, la fenêtre d’Overton d’une politique acceptable a glissé encore plus loin dans la direction de la tyrannie par bouton-poussoir. Espérons qu’une grande partie du monde se soit éveillée à la réalité que la plupart des responsables ne font pas réellement ce qui est le mieux pour leurs populations respectives.
Imaginez que tous les contrats passés entre Pfizer et l’Union Européenne n’ont qu’une seule et même destination, l’incinérateur.
Ce sont des milliards de doses qui sont incinérées ou données aux pays pauvres (afin de réduire leur population) puisque personne ne veut se faire vacciner. La supercherie du confinement a été actée par les révélations du journal anglais The Telegraph et les fameux Lockdown Files.
L’eurodéputé croate Mislav Kolakušić : « Aujourd’hui, nous assistons à l’incinération de milliards de doses de vaccins covid dans le monde entier parce que personne n’en veut…. …Il aurait été préférable de les brûler immédiatement et de sauver ainsi la santé et la vie de nombreux citoyens » ! La position de l’eurodéputé va encore plus loin puisqu’il demande aussi la création d’un fond d’indemnisation pour les victimes des effets secondaires du vaccin.
Selon une dépêche de l’agence Reuters, on apprend que l’UE pourrait payer plus cher les injections COVID de Pfizer en échange d’un plus petit volume de vaccin.
Des milliards partent en fumée pour engraisser les laboratoires pharmaceutiques par la corruptin des gouvernements.
PROPOSITION DE RÉSOLUTION visant à créer un fonds européen d’indemnisation des victimes des vaccins contre la COVID-19 :
Le 17.3.2022 déposée conformément à l’article 143 du règlement intérieur – Comirnaty (Pfizer, BioNTech) – Vaccin COVID-19 Janssen – Spikevax (vaccin Moderna) – Vaxzevria (vaccin AstraZeneca)
B9‑0169/2022 Proposition de résolution du Parlement européen visant à créer un fonds européen d’indemnisation des victimes des vaccins contre la COVID-19
Le Parlement européen,
– vu l’article 143 de son règlement intérieur,
considérant que l’Agence européenne du médicament répertorie déjà plus d’un million de cas d’effets indésirables à la suite d’une injection de vaccin contre la COVID-19 :
– 582 074 pour le vaccin Pfizer BioNTech,
– 244 603 pour le vaccin AstraZeneca,
– 150 807 pour le vaccin Moderna,
– 40 766 pour le vaccin Janssen[1] ;
considérant que ces effets indésirables sont parfois sévères – ainsi, un enfant de 13 ans aurait perdu la vue à 90 % après une première dose du vaccin Pfizer[2] ;
considérant que l’Agence européenne des médicaments affirme que les vaccins contre la COVID-19 ont eu, dans l’Union européenne, une issue fatale pour environ 10 000 personnes :
– 7 023 pour celui de Pfizer,
– 1 447 pour celui d’AstraZeneca,
– 834 pour celui de Moderna,
– 279 pour celui de Janssen ;
considérant que la Commission européenne a négocié les contrats d’achat et qu’elle n’a pas souhaité que les laboratoires pharmaceutiques engagent leur responsabilité ; considérant de plus que les députés européens n’ont pas eu accès aux contrats pendant les négociations ;
demande à la Commission européenne de créer un fonds d’indemnisation pour les victimes des vaccins contre la COVID-19 ;
charge son Président de transmettre la présente résolution à la Commission et aux États membres.
Selon un rapport de presse[1], la Commission a confirmé qu’elle est en train de renégocier avec Pfizer et BioNTech son troisième et plus gros contrat afin de réduire le nombre de doses de vaccin contre la COVID-19 que l’Union s’est engagée à acheter cette année (jusqu’à 500 millions de doses) en échange d’un prix plus élevé.
Nous supposons que la Commission renégocie son contrat sur la base des informations qu’elle a recueillies auprès des 27 États membres sur le nombre de doses reçues par chaque pays l’année dernière et le nombre de ces doses périmées inutilisées dans leurs stocks.
Un virologue chinois qui a tiré la sonnette d’alarme au début de 2020 sur l’origine du coronavirus a déclaré lundi que les États-Unis avaient atteint une « réalisation importante » après qu’un rapport de renseignement classifié du département de l’énergie aurait découvert que le virus provenait très probablement d’un laboratoire chinois.
Le Dr Li Meng Yan a déclaré à « Tucker Carlson Tonight » en septembre 2020 que le gouvernement chinois avait intentionnellement fabriqué et libéré le virus COVID-19 , entraînant des fermetures et des décès à l’échelle nationale.
L’hôte Tucker Carlson a demandé à Yan lundi si elle croyait toujours que le virus avait été intentionnellement libéré près de trois ans après le début de la pandémie.
« Bien sûr, ce n’était pas un accident », a-t-elle répondu.
« Peut-être que pour les personnes qui n’ont pas ce genre d’expérience de laboratoire de biosécurité 3 ou 4 sur le coronavirus, il leur est peut-être facile d’accepter la fuite du laboratoire d’accident. Cependant, je suis un scientifique, travaillant dans [un] laboratoire de recherche utilisant le coronavirus . Et je peux vous dire, sur la base du protocole d’impression et aussi de l’autre système de surveillance, il serait impossible que la fuite du laboratoire [to] se produise accidentellement dans un tel [a] laboratoire et provoque l’épidémie de Wuhan et aussi la pandémie « , Yan a dit.
« Donc, maintenant, nous venons d’atteindre la première étape. Cela venait du laboratoire chinois, et nous devons rechercher la vérité sur l’origine, et nous devons continuer. »
Carlson a suggéré que le gouvernement chinois a déclenché le COVID pour détruire les économies occidentales et élever sa propre position à l’échelle mondiale.
Yan a déclaré que sur la base des preuves qu’elle a vues et de la source à laquelle elle a parlé, le virus a été « intentionnellement sorti de ce laboratoire strict et libéré dans la communauté ».
« Cependant, je ne pense pas que l’épidémie à Wuhan était intentionnelle. Je dirais que c’est parce que [le] gouvernement du PCC et les scientifiques militaires ont sous-estimé la transmissibilité », a-t-elle ajouté. « C’est pourquoi finalement il est devenu incontrôlable et le coût [était] une épidémie locale. Cependant, nous devons savoir que [le] gouvernement du PCC l’a intentionnellement laissé aller partout dans le monde pour tuer des millions de personnes partout dans le monde plus tard. »
Yan était un médecin respecté qui s’est spécialisé en virologie et en immunologie à l’ École de santé publique de Hong Kong avant de fuir en avril 2020 après avoir commencé à enquêter sur le nombre croissant de cas en provenance de Chine continentale qui impliquaient une transmission interhumaine.
Des résidents font la queue pour leur test de routine COVID-19 sur un site de test de coronavirus à Pékin, le 7 décembre 2022. (AP Photo/Andy Wong)
Elle a dit avoir rapporté ses découvertes à son superviseur le 16 janvier, mais c’est à ce moment-là qu’il lui aurait dit « de se taire et d’être prudente ».
« Comme il m’a prévenu auparavant, ‘Ne touchez pas à la ligne rouge' », a déclaré Yan en se référant au gouvernement. « Nous aurons des ennuis, et nous serons disparus. »
Le fait que les National Institutes of Health (NIH) concluent des accords avec des laboratoires chinois témoigne d’un certain degré de corruption, car ces laboratoires sont certainement affiliés au Parti communiste chinois (PCC), explique Natalie Winters, journaliste d’investigation pour The National Pulse.
« Je pense que cela montre à quel point la corruption est profonde, n’est‑ce pas ? Il y a quelque chose de très pourri aux NIH puisqu’ils soutiennent le transfert de fonds publics pour financer la recherche du Parti communiste chinois », déclare Mme Winters durant l’émissionAmerican Thought Leaders [Maîtres à penser américains] d’Epoch Times.
« Et vous pouvez le voir, un grand nombre des groupes qu’ils financent sont des branches de l’Armée populaire de libération. Je ne parle pas simplement d’entités liées à l’armée, mais d’entités explicitement militaires. »
Mme Winters s’est penchée sur les liens entre les NIH et les laboratoires liés au PCC, tel que l’Institut de virologie de Wuhan (WIV). Selon elle, un des liens les plus inquiétants est le contrat entre le laboratoire chinois et l’Université du Texas‑Galveston, qui a été rendu possible grâce au financement des NIH.
Le laboratoire P4 sur le site de l’Institut de virologie de Wuhan à Wuhan, dans la province de Hubei, en Chine, le 13 mai 2020.
Il y a bien eu une certaine opposition, mais « le fait que le contrat de [l’Université du Texas]Galveston ait été conclu avec cette clause de confidentialité et que pas une seule personne dans toute l’agence n’ait émis de mise en garde à ce sujet (…) nous amène à croire qu’il s’agit à la fois d’un problème de personnel et d’un problème politique », explique‑t‑elle à propos des protocoles d’accord et des ententes avec la Chine.
Le Galveston National Laboratory, (GNL) de l’University of Texas Medical Branch (UTMB), a conclu un protocole d’accord avec le WIV, qui oblige chacun des deux laboratoires à supprimer les « fichiers confidentiels » ou les matériaux à la demande de l’autre partenaire.
« Chaque partenaire est autorisé à exiger de son homologue la destruction et/ou la restitution de fichiers, de matériaux et d’équipements classés confidentiels sans aucune sauvegarde », indique le protocole d’accord obtenu en vertu de la Loi d’accès à l’information (FOIA) par l’organisation U.S. Right to Know, un groupe de recherche à but non lucratif spécialisé dans la santé publique.
Tout comme le WIV, le laboratoire de Galveston (GNL) est un laboratoire P4. C’est un des deux laboratoires universitaires de niveau de biosécurité maximale financés par le gouvernement des États‑Unis. Il a été construit grâce à des subventions accordées par l’Institut national des allergies et des maladies infectieuses (NIAID) dirigé par le Dr Anthony Fauci. Le NIAID est un des 27 instituts rattachés aux NIH.
Cinq ans après la signature de l’accord entre le GNL et le WIV chinois, le directeur adjoint du NIAID a élargi les clauses du partenariat, il était désormais permis au WIV de demander au GNL de supprimer les fichiers, les agents pathogènes, les matériaux et les sauvegardes des recherches menées en collaboration, explique Mme Winters : « [Ce qui ]donnait donc [au PCC] une totale liberté d’action et lui permettait de dicter ce qui se passe dans les laboratoires américains. »
En réponse à une demande de commentaires de la part d’Epoch Times, envoyée par courriel, l’UTMB a répondu : « Bien que les protocoles d’accord ne soient pas contraignants et ne servent en aucun cas d’accords contractuels, dès qu’il a été informé de l’erreur, le University of Texas System a immédiatement demandé à l’UTMB de résilier tout protocole d’accord contenant un langage contraire à la loi et au règlement. »
« Le University of Texas System a récemment lancé un examen des protocoles et pratiques de l’UTMB et est en train de mettre en place de nouveaux seuils de surveillance des protocoles. L’UTMB confirme qu’aucun document ou information confidentielle n’ont été détruits, et qu’il n’a jamais reçu aucune demande pour le faire. »
Le Dr Francis Collins à Washington le 9 septembre 2020.
Outre le partenariat des NIH avec le WIV, le Dr Francis Collins, directeur des NIH récemment retraité, faisait partie du comité consultatif de l’International Conference on Genomics, parrainée par la société BGI Genomics, basée en Chine.
Mme Winters a relevé que le FBI a émis une mise en garde à l’endroit de BGI Genomics, signalant que la société « essaye de voler les informations génétiques des Américains et de récolter leur ADN ». Le FBI a recommandé aux gouvernements locaux de ne pas utiliser les produits de BGI pour les tests de dépistage du Covid‑19. Malgré cela, le gouvernement fédéral n’a pas tenu compte de ce risque de sécurité national étant donné que le Dr Collins avait un rôle « fondamentaldans l’équipe consultative [de la Maison Blanche] ».
Ainsi, Mme Winters questionne : ces partenariats avec des organisations scientifiques soutenues par le PCC résultent‑elles de l’ignorance des NIH ou « y a‑t‑il quelque chose de plus dangereux en jeu ? »
« Sommes nous entré dans le domaine du compromis et de la collusion [avec] des groupes d’influence étrangers qui viennent de Chine et qui ciblent certaines des voix les plus puissantes des États‑Unis ? »
Les organisations scientifiques alignées sur le PCC
En février 2020, une des plus grandes revues médicales du monde, The Lancet, publiait une déclaration officielle sur l’origine du virus responsable du Covid‑19, dont le contenu s’alignait complètement sur les déclarations du PCC. Cette déclaration a eu une « influence maximale » pour étouffer le débat sur l’origine du virus, selon Mme Winters.
La déclaration du Lancet« rejetait catégoriquement [la théorie de la fuite du laboratoire] (…) si vous osiez prononcer le mot ‘laboratoire’, vous [étiez] catalogué complotiste », rappelle Mme Winters.
Parmi les signataires de la déclaration du Lancet du 19 février : Charles Calisher, Dennis Carroll, Rita Colwell, Ronald B. Corley, Peter Daszak et Christian Drosten. Un certain nombre avait des relations professionnelles avec le PCC. Peter Daszak a d’abord déclaré qu’il n’avait pas de conflit d’intérêts, puis il a corrigé sa déclaration pour dire qu’il avait des liens avec le laboratoire de Wuhan. Il a ensuite été retiré du comité d’enquête sur les origines du Covid‑19 menée par l’Organisation mondiale de la santé.
Le Dr Daszak dirige EcoHealth Alliance, une société à but non lucratif basée à New York qui a travaillé avec le WIV et a largement été financée par les NIH.
Peter Daszak et d’autres membres de l’équipe de l’Organisation mondiale de la santé (OMS) chargée d’étudier les origines du Covid‑19, arrivent à l’Institut de virologie de Wuhan le 3 février 2021.
L’article du Lancet aurait dû être impartial, soutient Mme Winters.
« Mais au lieu de cela, c’était un jugement prématuré, un rejet prématuré de la théorie de la fuite de laboratoire. »
« Tous les grands médias ont en quelque sorte repris ce texte. Ils l’ont utilisé pour leur couverture du Covid‑19, ils l’ont utilisé comme excuse pour censurer les personnes qui soutenaient la théorie de la fuite d’un laboratoire »
« Donc selon moi, c’est vraiment intriguant quand on voit toutes ces Big Tech qui ont des liens avec tellement de personnes ayant signé cette déclaration, mais aussi [quand on examine] les liens de tous ces personnes avec le PCC. »
Selon Mme Winters, il est important de se demander pourquoi les organisations américaines déploient tant d’efforts pour étouffer le débat sur les origines du virus et valider le narratif du PCC. « Si ces idées n’avaient aucun bien‑fondé, si elles étaient si tirées par les cheveux, si ridicules (…) pourquoi y a‑t‑il eu autant d’efforts pour les supprimer ? »
Les médias grand public influencés par le PCC
Selon Mme Winters, la plupart des preuves montrent que la pandémie a été causée par une fuite de laboratoire mais les médias grand public ont globalement étouffé le débat sur les origines du virus.
« Ca fait réfléchir, il est plus probable qu’un agent pathogène se soit échappé [d’un laboratoire] intentionnellement ou par accident, [plutôt que] [d’un] marché où on ne vendait même pas ces prétendus pangolins, chauves‑souris ou je ne sais quel autre animal mis en avant par le Parti communiste chinois. »
Selon Mme Winter, cette théorie d’un coronavirus provenant du marché de Huanan est absurde. Le PCC a émis cette théorie sans aucune véritable preuve, et au lieu d’essayer de rechercher la vérité sur l’origine du virus, les médias grand public l’ont relayée et qualifié de complotiste quiconque soupçonnait une fuite de laboratoire, ajoute‑t‑elle.
Le narratif du régime a été étayé par des organisations scientifiques qui fonctionnaient pour le compte du PCC, puis « les médias grand public occidentaux l’ont repris, sans le remettre en question, et l’ont diffusé ».
Selon la journaliste, au lieu d’aider la population chinoise à connaître la vérité, les médias grand public occidentaux leurs ont porté un coup fatal en reprenant le narratif mensonger du PCC.
« Vous savez, le fait que ces médias grand public aient simplement suivi la ligne du Parti communiste chinois, et ce, de manière indéfectible, et que concrètement, ils ont traité les personnes qui les critiquaient de complotistes, ça nous amène vraiment, selon moi, à devoir nous demander pour qui travaillent ces médias. »
Conflits d’intérêts des fact‑checkers
Pour la grande majorité, ni les organisations, ni fact‑checkers n’ont rectifié le biais pro‑PCC évident dès les premiers reportages couvrant les origines du virus. Selon Mme Winters, ces entités se sont révélées très partisanes et il s’avère qu’elles ont souvent des liens avec les Big Tech ou le PCC.
« Je pense que les fact‑checkers des médias sociaux sont vraiment au premier rang dans la guerre de l’information à laquelle nous assistons en ce moment même dans ce pays et, soyons franc, dans le monde entier. »
Durant ses investigations indépendantes, Mme Winters a découvert que la société pharmaceutique Pfizer finançait l’associé de Facebook chargé de fact‑checking, ce qui constitue un conflit d’intérêts évident. Par ailleurs, parmis les société de Fact‑cheking elle a repéré le groupe Lead Stories, dirigé par un ancien employé de CNN et financé par des sociétés telles que Facebook, Google et la plateforme chinoise TikTok.
« Aucune entreprise recevant des fonds de TikTok ne peut être un arbitre neutre en ce qui concerne les origines du Covid‑19. (…) Je pense donc que les gens doivent vraiment comprendre que ces fact‑checkers ne vérifient en aucun cas les faits – ils se tiennent exactement à l’opposé [de ceux qui le font]. Ils sont là pour renforcer un narratif. Ce qu’ils ont fait concernant les origines du Covid constitue selon moi l’exemple le plus flagrant, avec leur prétendues preuves pour supprimer un maximum de publications. »
Justin Trudeau avec l’une de ses idoles:le chef communiste chinois Xi Jin Pin. Les Trudeau ont toujours aimé les dictateurs communistes.
Un écran à Pékin a montré Xi Jinping, le leader chinois, lors d’une visite cette semaine dans la ville de Wuhan, où le coronavirus a émergé.C’était en mars 2020.
TALLAHASSEE (FLV) – La Cour suprême de Floride a accordé la demande du gouverneur Ron DeSantis de constituer un grand jury à l’échelle de l’État pour enquêter sur les fabricants de vaccins à ARNm. Le gouverneur Ron DeSantis visite Saint-Augustin, évaluant les dommages causés par l’ouragan Ian, le 1er octobre 2022. DeSantis a annoncé plus tôt en […]
Depuis le premier jour de l’apparition de l’arnaque Covid, nous avons soutenu que (1) aucun virus n’a été isolé , (2) l’origine de cette arme biologique mortelle est américaine, et (3) cette arme a été initialement testée sur l’Iran (plusieurs milliers de morts) et la Chine. Avec plus de 2 ans de retard, Ron Unz confirme tout cela et plus encore.
Ron Unz
Il arrive que la trajectoire de l’histoire humaine puisse être déviée par une petite étincelle, lorsque celle-ci met le feu à un baril de poudre idéologique. Tombant à point nommé pour la fête nationale des États-Unis du quatre juillet, une énorme explosion dans l’attention du grand public vient de submerger les origines de l’épidémie de Covid, et de relancer le débat sur les causes de l’épidémie globale qui a emporté plus d’un million de vies aux États-Unis et a perturbé le monde entier.
Wow Prof. Jeffrey Sachs: « J’ai présidé pendant 2 ans la commission du Lancet sur le Covid. Je suis convaincu que ce virus est sorti d’un laboratoire de biotechnologie étasunien […] Nous n’en avons pas la preuve, mais nous disposons de suffisamment d’éléments. [Pourtant] aucune enquête n’est menée, ni aux États-Unis, ni ailleurs »
Le professeur Jeffrey Sachs est l’universitaire de haut niveau qui a présidé la commission Lancet sur le Covid, et il y a quinze jours, il a fait des déclarations publiques qui semblent indiquer que le virus aurait été fabriqué aux États-Unis. Le 1er juillet, j’ai republié un bref article produit par RT faisant part de ces déclarations, et le lendemain, un petit clip faisant état de ses remarques est devenu ultra-viral sur les réseaux sociaux : il a été retweeté plus de 9000 fois et la vidéo a été vue 800 000 fois, avec une croissance qui s’est constatée de minute en minute. En toute fin de compte, nos médias occidentaux vont peut-être se retrouver confrontés au problème qu’ils ont mis tant de soin à éviter d’évoquer depuis plus de deux ans.
Wow😯Prof. Jeffrey Sachs:
« J’ai présidé pendant 2 ans la commission du Lancet sur le Covid. Je suis convaincu que ce virus est sorti d’un laboratoire de biotechnologie étasunien […] Nous n’en
avons pas la preuve, mais nous disposons de suffisamment d’éléments. [Pourtant] aucune enquête n’est menée, ni aux États-Unis, ni ailleurs ». pic.twitter.com/IYvSJnlv1q
La suggestion incendiaire émise par Sachs tombe un mois après qu’il a co-signé un article universitaire au sein du prestigieux journal Proceedings of the National Academy of Sciences, indiquant les éléments importants qui laissent à penser que le Covid était le produit fabriqué génétiquement dans un laboratoire, et demandant une enquête indépendante sur le rôle possible des États-Unis dans la fabrication du virus qui a tué plus de 20 millions de gens dans le monde entier.
Il y a deux ans, la commission qu’il a présidée sur le Covid avait conclu que le virus était sans doute d’origine naturelle, un verdict rapidement adopté de manière uniforme par les médias des États-Unis, et Facebook en était même venu à censurer les opinions contraires. Le retournement public de Sachs sur cette question centrale représente donc une bombe gigantesque, mais à l’exception d’un seul article paru dans the Intercept, l’événement est resté totalement ignoré par les médias, malgré mes propres efforts pour le mettre en lumière.
Mais un Tweet bien rédigé a désormais attiré un tel niveau d’attention qu’il va sans doute devenir très difficile désormais pour les médias de continuer à ignorer ce sujet.
En parcourant l’énorme fil Twitter, la seule réfutation substantielle que j’ai trouvée venait du professeur Richard H. Ebright de Rutgers, un virologue influent très impliqué dans le débat sur le Covid, qui prétend que les propos de Sachs ont été mal interprétés. À en croire Ebright, Sachs ne faisait que suggérer que c’était la biotechnologie étasunienne, et non concrètement un laboratoire étasunien, qui avait été responsable du Covid :
Il s’agit d’une mauvaise interprétation de l’affirmation et de la conclusion de Sachs.
Sachs a parlé d’une « biotechnologie de laboratoire des États-Unis », pas d’« un laboratoire de biotechnologie des États-Unis. » (les articles « un » et « de » sont des interpolations erronées faites par l’auteur du Tweet). Sachs conclut que le virus provient d’un laboratoire chinois faisant usage de biotechnologie étasunienne.
Les mots employés par Sachs sont certes un peu indistincts et peut-être quelque peu ambigus, et je les avais personnellement interprétés de la même manière et j’avais pensé qu’il induisait purement et simplement que le virus aurait pu être produit aux États-Unis, mais sans l’affirmer explicitement. Mais l’autre principal candidat à constituer la source du virus a toujours été le laboratoire de Wuhan, et Sachs n’a jamais fait ne serait-ce que mention de cette possibilité, ce qui reflète possiblement ses doutes à ce sujet. Quoi qu’il en soit, l’affirmation d’Ebright que « Sach[s] conclut que le virus est sorti d’un laboratoire chinois faisant usage de biotechnologie étasunienne » est un résumé totalement erroné de ce qu’affirme Sachs.
Cette étrange et fallacieuse affirmation émise par Ebright peut enfin attirer l’attention sur son implication personnelle étrange et plutôt détournée dans le débat sur les origines du Covid, un sujet que j’avais traité en détail dans un article que j’ai publié il y a presque un an, dont certains extraits méritent d’être cités.
Alors que le coronavirus commençait peu à peu à se répandre hors des frontières de la Chine, un autre développement s’est produit, qui a grandement multiplié mes soupçons. La plupart de ces premiers cas s’étaient produits exactement là où on pouvait les attendre, dans les pays d’Asie de l’Est jouxtant la Chine. Mais à la fin du mois de février, l’Iran était devenu le second épicentre de l’épidémie globale. Plus surprenant encore, les élites politiques de ce pays avaient été très fortement touchées, avec pas moins de 10% des membres du parlement iranien rapidement infectés, et au moins une douzaine de dirigeants du pays tués par le virus, parmi lesquels des hommes plutôt âgés. De fait, les activistes néo-conservateurs se réjouissaient sur Twitter de voir leurs ennemis iraniens détestés tomber comme des mouches.
Examinons les implications de ces faits. Dans le monde entier, les seules élites politiques qui ont jusqu’ici subi des pertes humaines significatives ont été celles de l’Iran, et ils sont morts très tôt, avant que l’épidémie n’ait significativement éclaté où que ce soit dans le monde, hormis la Chine. Aussi, nous voyons les États-Unis assassiner le plus haut commandant militaire iranien le 2 janvier, puis, quelques semaines plus tard, de vastes franges des élites dirigeants iraniennes subitement infectées par un nouveau virus mystérieux et mortel, qui a tué un grand nombre d’entre eux. Est-ce qu’une personne dotée de raison peut considérer ces événements comme une simple coïncidence ?
Les Iraniens avaient tout à fait conscience de ces éléments, et leurs hauts-dirigeants politiques et militaires ont accusé publiquement les États-Unis de mener une attaque biologique interdite contre leur pays et contre la Chine, leur ancien président allant jusqu’à émettre une plainte officielle auprès des Nations Unies. Mais bien que ces accusations explosives aient été largement couvertes par la presse iranienne, elles sont restées totalement ignorées des médias étasuniens, si bien que presque aucun habitant des États-Unis n’en a quasiment entendu parler.
Et le rôle central pour réfuter ces accusations explosives en provenance d’Iran a été joué par Ebright, dont très tôt les positions publiques sur le virus ont été strictement opposées à celles qu’il a ensuite affirmé avoir tenues depuis le départ. Comme je l’ai écrit :
Je pense que cette reconstruction des événements est soutenue par les positions publiques remarquablement contraires entre elles adoptées par le professeur Richard H. Ebright, un biologiste moléculaire et expert en sûreté biologique très réputé de Rutgers, qui s’est récemment positionné comme soutien scientifique le plus cité de la théorie du virus-ayant-fuité-du-laboratoire-de-Wuhan.
Au mois de janvier, Nicholson Baker avait cité Ebright, qui affirmait que des années durant il avait été préoccupé par le laboratoire de Wuhan et des travaux qui y étaient menés en vue de créer des coronavirus de chauve-souris de type SARS « chimériques »« présentant une infectivité humaine améliorée ». Au sein d’un e-mail, le scientifique avait en outre déclaré que « Dans le présent contexte, la nouvelle d’un nouveau coronavirus à Wuhan ***criait*** à la fabrication en laboratoire. »
Peu de temps après, Ebright est devenu l’un des signataires de premier-plan de la lettre ouverte du mois de mars, critiquant vertement le rapport de l’OMS, et appelant à une nouvelle enquête internationale sur le laboratoire de Wuhan, et a soutenu ses opinions dans une longue interview accordée à Independent Science News. Selon l’article de Vanity Fair, lorsque les tous premiers rapports d’épidémie de Covid étaient apparus, ses soupçons à l’encontre d’un virus artificiel fuité du laboratoire de Wuhan avaient été immédiats, en l’espace d’« une nanoseconde ou une picoseconde. » Les affirmations d’Ebright ont également constitué une pièce maîtresse de l’article fondateur de Wade :
Il est clair et limpide que l’Institue de Virologie de Wuhan s’employait de manière systématique à fabriquer de nouveaux coronavirus chimériques, et évaluait leur capacité à infecter des cellules humaines ainsi que des souris ACE2 exprimant des gènes humains. Il est également clair que, selon les contextes génomiques constants choisis pour les analyses, ces travaux auraient pu produire le SARS-CoV-2 ou un progéniteur proche du SARS-CoV-2… Il est clair que tout ou partie de ces travaux étaient réalisés suivant un standard de biosécurité… qui allait provoquer des risques inacceptablement élevés d’infection du personnel du laboratoire. Il est également clair que ces travaux n’auraient jamais dû être financés, et n’auraient jamais dû avoir lieu.
Pourtant, de manière tout à fait étrange, Ebright, durant les premiers mois de l’épidémie, avait semblé tenir une position publique absolument contraire. Dans son interview du 29 janvier 2020 au Washington Post, il avait déclaré : « Sur la base du génome et des propriétés du virus, il n’existe aucune indication d’aucune sorte qu’il puisse s’agir d’un virus fabriqué [artificiellement]. Et selon un article du Post paru quelques semaines plus tard, il avait également ajouté : « La possibilité qu’il puisse s’agir d’une arme biologique délibérément déclenchée peut être nettement exclue. »
Les affirmations radicales d’Ebright avaient pour objet de réfuter les allégations très répandues selon lesquelles le Covid était une arme biologique chinoise qui avait été propagée par accident, mais bientôt, elles se sont avérées très utiles à notre propre RFE/RL1, sponsorisé par notre gouvernement, dénonçant l’accusation de guerre biologique lancée par l’Iran comme « affirmation infondée » soutenue par « aucune preuve » et citant les affirmations radicales d’Ebright pour réfuter cette thèse. Cet apparent consensus scientifique selon lequel le virus était naturel garantissait que toute nouvelle accusation iranienne serait sommairement rejetée comme totalement irrationnelle par les médias internationaux, contraignant Téhéran à abandonner ses vaines tentatives.
Que ma propre analyse des motivations d’Ebright soit correcte ou non, la réalité indéniable est que la voix scientifique ayant affirmé haut et fort en premier que le Covid était naturel est devenue la voix que l’on entend le plus pour affirmer que le virus est sorti d’un laboratoire, une thèse qu’il maintient désormais avoir soutenue depuis le tout début. Au sein des médias, nul ne paraît avoir commenté ou même remarqué ce changement de position radical.
Aussi, lorsque début 2020 les Iraniens ont accusé les États-Unis d’avoir lancé une attaque de guerre biologique contre leur pays et la Chine en utilisant le virus du Covid, les déclarations du professeur Ebright selon lesquelles le virus était absolument naturel avaient été utilisées pour repousser les accusations portées contre le gouvernement des États-Unis. Mais plus tard la même année, après que ces accusations iraniennes furent oubliées, Ebright s’est mis à affirmer que depuis le tout début, il avait estimé que le virus était artificiel, très probablement un produit chinois sorti du laboratoire de Wuhan. Dans chacun des cas, sa position a parfaitement servi à soutenir les intérêts de propagande immédiats de l’establishment de sécurité des États-Unis, et dans nos médias, il ne s’est trouvé absolument personne pour lui demander d’expliquer ces positionnements totalement contradictoires. Peut-être que des personnes actives sur Twitter devraient à présent commencer à lui poser des questions sur ces sujets.
Les laboratoires militaires secrets de Wuhan,vus du ciel.
Le sous-texte absolument tabou du débat en cours est la possibilité évidente que le virus du Covid ait pu être créé dans un laboratoire des États-Unis, puis délibérément déployé contre la Chine et l’Iran, exactement comme dénoncé à l’époque par le gouvernement iranien, pour finir par se répandre et dévaster les États-Unis et le reste de l’Occident.
Au cours des deux dernières années, je suis resté pratiquement seul à soutenir cette hypothèse controversée, qui est restée presque totalement exclue à la fois des médias dominants et des médias alternatifs. On peut lire ma longue suite d’articles sur mon site, qui ont été assemblés dans un eBook disponible librement, déjà téléchargé plus de 110 000 fois :
Les interviews filmées au cours desquelles j’ai présenté mes analyses sur les origines du Covid ont déjà été vues presque 600 000 fois ; en voici les trois plus populaires et importantes. Je m’attends à ce que ces nombres de visionnages augmentent fortement si les commentaires émis par Sachs portent le sujet au cœur du débat public.
De la scopolamine trouvée dans les vaccins Covid pour enfants !
L’armée américaine a trouvé la drogue scopolamine dans des vaccins Covid-19 destinés à atteindre les bras des enfants, ont déclaré des sources du bureau du général David H. Berger à Michael Baxter.
La scopolamine est connue sous plusieurs noms, notamment hyoscine, burandanga, « Haleine du diable » et « la drogue des zombies ».
Dérivée des plantes de la morelle, elle a acquis une certaine notoriété en Colombie où les criminels l’utilisent pour droguer les touristes naïfs et imprudents.
Sur Internet, les histoires abondent de touristes qui font la tournée des bars, discutent avec les femmes du coin, s’évanouissent et se réveillent trois jours plus tard pour découvrir qu’ils ont été volés et que leurs comptes bancaires ont été vidés.
Certains ne reprennent jamais conscience. La drogue, soluble, inodore et sans saveur, est censée priver une personne de son libre arbitre et la zombifier.
L’effet est si puissant que des victimes de la scopolamine ont aidé leurs agresseurs avant de tomber inconscientes.
Elles remettent volontairement leurs portefeuilles, leurs cartes de crédit et leurs codes pin, et ont même aidé leurs agresseurs à vider leurs appartements ou leurs chambres d’hôtel de leurs objets de valeur. La puissance de cette drogue n’a pas échappé aux services de renseignement américains : la CIA ajouterait de la scopolamine à diverses formules de « sérum de vérité ».
Il est incompréhensiblement effrayant de croire que des fabricants de produits pharmaceutiques incluraient ce mélange dans des vaccins conçus pour des enfants particulièrement jeunes, mais l’armée prétend que c’est vrai. Après que la FDA a donné à Pfizer et Moderna la permission d’injecter des vaccins aux enfants, et que des sites de vaccination de masse pour les enfants ont commencé à apparaître dans les bastions libéraux, l’armée américaine a commencé à s’infiltrer subrepticement dans ces lieux pour collecter des flacons pour des analyses chimiques.
Mais ils ne cherchaient pas de scopolamine.
En mai, Michael Baxter a rapporté que les Chapeaux Blancs avaient trouvé et détruit un entrepôt de Moderna ; les ampoules de vaccins obtenues dans l’entrepôt contenaient des pesticides. « Big Pharma a des centaines d’entrepôts discrètement cachés à travers le pays.
Les trouver tous était impossible.
Lorsque nous avons trouvé des pyréthroïdes dans des ampoules à un seul endroit, nous avons su que ce n’était pas un incident isolé.
Ils voulaient empoisonner des enfants.
Maintenant il est évident que le complot est plus profond.
Je ne peux pas dire comment exactement nous avons obtenu les vaccins contaminés – nous les avons trouvés à New York et en Californie. » Il a déclaré que les Chapeaux Blancs avait confisqué une douzaine de flacons Moderna sur un important site de vaccination d’enfants à Massapequa, dans l’État de New York, et davantage sur un site similaire à San Bernadino, en Californie.
Les flacons ont été expédiés aux alliés des Chapeaux Blancs à l’U.S. Army Medical Research.
Cinquante pour cent contenaient des quantités appréciables de Scopolamine. A San Bernadino, 25% des vaccins contenaient des quantités significatives de la drogue. « C’est une information horrible », a dit notre source.
« Nous n’avons vraiment aucun moyen de savoir combien d’enfants ont été injectés avec cette merde. »
Les vaccinateurs en folie
Les Chapeaux Blancs, dit-il, craignent que la scopolamine, lorsqu’elle est administrée à de jeunes enfants impressionnables et malléables, les tue purement et simplement ou les contraigne à obéir aux ordres. « Nous ne parlons pas ici de nourrissons, d’accord.
Mais si un enfant de cinq ans est drogué et qu’un pédophile lui dit d’enlever ses vêtements, vous voyez le tableau ?
Il est possible que des milliers, des dizaines ou des centaines de milliers d’enfants aient reçu cette substance.
Nous n’en connaissons pas encore l’ampleur », a déclaré notre source.
Luc Boileau ,le responsable de la Santé Publique au Québec,était tout fier d’annoncer que les petits enfants pourront tous être vaccinés à partir d’aujourd’hui!Espérons que ce criminel politique finira en prison un jour!
Un moustique a été découvert à l’intérieur d’un flacon dans un centre de vaccination de Malaga, en Espagne. Invoquant la « présence d’un corps étranger », l’Agence espagnole des médicaments et des produits de santé (AEMPS) a annoncé le retrait, le 8 avril, de lots du vaccin Moderna, rapporte le quotidien El Pais. Le laboratoire Moderna a dû procéder au rappel de 764 900 doses de vaccin.
Le lot dont était issu le flacon avait été produit dans une usine située à San Sebastian de los Reyes, près de Madrid, où sont réalisés le remplissage des flacons et leur conditionnement. Le contenant est, lui, produit en Suisse.
Moderna fait face à un autre problème : depuis la mi-janvier 2022, les fioles ont été distribuées dans plusieurs pays en dehors de l’Espagne : la Norvège, la Suède, la Pologne et le Portugal. Tous sont concernés par le rappel annoncé par le laboratoire. Les autorités norvégiennes sont d’ailleurs à l’origine du dévoilement de la raison de ce retrait.
Pour autant, le laboratoire a voulu se montrer rassurant en publiant un communiqué commun avec l’entreprise responsable de la fabrication (Rovi) : « Le flacon impacté […] n’a pas été administré », assurent-ils, ajoutant qu’une enquête est en cours. Moderna soutient par ailleurs qu’« aucun problème de sécurité n’a été signalé chez les personnes ayant reçu un vaccin […] de ce lot », faisant valoir les 900 millions de doses de leur vaccin injectées à travers le monde.
EN COMPLÉMENTAIRE
Au Japon,en 2021, Moderna était contraint de retirer 1,63 million de doses de vaccins
Août 2021-Le Japon a retiré du marché 1,63 million de doses du vaccin Moderna après qu’une alerte venue de plusieurs centres de vaccination a signalé des lots contenant des impuretés. Après consultation avec le ministère de la Santé japonais, le groupe pharmaceutique nippon Takeda qui distribue le vaccin au Japon a décidé de suspendre l’utilisation des doses et demandé à Moderna de mener l’enquête.
La production du vaccin Moderna s’inscrit dans une longue chaîne de fabrication, une chose qui ne lui est pas propre puisque tous les fabricants de vaccins ont fait appel à des sous-traitants pour produire en quantité et répondre le plus rapidement possible à une demande mondiale très élevée.
Concernant le vaccin Moderna et les lots défectueux japonais, le principe actif composé d’ARN messager est fabriqué en Suisse tandis que son conditionnement est sous-traité en Espagne, près de Madrid par la société Rovi. Le problème viendrait du conditionnement et la société Rovi aurait, selon le quotidien El Pais « reconnu dans une lettre que le problème a pu survenir dans une de ses lignes de production et qu’il ne concerne qu’un lot, bien que les autres lots soient analysés à titre préventif ».
Ce problème sanitaire vient s’ajouter à une situation sanitaire déjà critique dans un pays, qui malgré le programme de vaccination de masse mis en place depuis mai, connaît un taux d’infections record depuis l’arrivée du variant Delta, plus contagieux.
une plainte pour crime d’empoisonnement déposée au Tribunal judiciaire de Paris
Une plainte criminelle contre X pour crime contre l’humanité, empoisonnement et tentative d’empoisonnement, rédigée par un collectif de juristes et d’avocats, est envoyée cette semaine au Tribunal judiciaire de Paris par l’association BonSens.org, l’Association internationale pour une médecine scientifique indépendante et bienveillante (AIMSIB) et des citoyens victimes d’effets secondaires des vaccins contre le Covid-19.
Au cours des dernières semaines, la campagne présidentielle et la guerre en Ukraine ont subitement puis totalement pris le pas sur la politique sanitaire du gouvernement, qui avait envahi nuit et jour l’espace médiatique au cours des deux dernières années. Marquée par l’obligation indirecte de prendre un vaccin à l’efficacité contestée et aux effets secondaires de plus en plus avérés (Voir : Le Sénat à l’écoute des victimes présumées d’effets secondaires graves du vaccin et « Il y a une volonté de ne pas savoir » : le collectif « Où est mon cycle » au Parlement européen), la crise du Covid-19 a jeté le doute sinon franchement mis en cause dans les esprits des Français, la probité de l’action du gouvernement et de son chef. Dernièrement, les affaires McKinsey et du Rothschild Gate sont venus renforcer au sein de la population ce sentiment de dichotomie entre l’intérêt général et les intérêts privés de la caste dirigeante. C’est pourquoi des associations poursuivent, malgré les embûches, la bataille judiciaire en vue d’obtenir au pénal réparation pour les victimes des conséquences de la politique vaccinale. C’est dans ce cadre que nous avons interviewé Maître Jean-Pierre Joseph, avocat au barreau de Grenoble, qui représente les plaignants.
Pourraient être impliqués, et par la suite, mis en examen : Jean Castex, Premier ministre ; Edouard Philippe, ancien Premier ministre ; Olivier Véran, ministre des Solidarités et de la Santé ; Frédérique Vidal, ministre déléguée à l’Enseignement supérieur et à la Recherche et membre de la « task force » vaccin ; Agnès Pannier-Runacher, ministre déléguée à l’Industrie, responsable de la « task force » vaccin ; Jérôme Salomon, directeur général de la santé ; Alain Fischer, coordonnateur de la stratégie vaccinale de l’État ; Louis-Charles Viossat, ancien responsable de la « task force » interministérielle vaccination Covid-19 ; Laetitia Buffet, responsable de la « task force » interministérielle vaccination covid-19 ; Bernard Celli, responsable de la « task force » interministérielle vaccination Covid-19 ; Patrick Bouet, président du Conseil national de l’Ordre des médecins.
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Les membres du conseil scientifique constitué à titre de l’urgence sanitaire en application de la loi n°2020-290 du 23 mars 2020 d’urgence pour faire face à l’épidémie de Covid-19 (ci-après conseil scientifique, créé par le décret du 3 avril 2020) : Jean-François Delfraissy, président du Conseil scientifique Covid-19 ; Laetitia Atlani-Duault, anthropologue ; Daniel Benamouzig, sociologue ; Lila Bouadma, réanimatrice ; Simon Cauchemez, modélisateur ; Catherine Chirouze, infectiologue ; Angèle Consoli, pédopsychiatre ; Pierre Louis Druais, médecine de ville ; Arnaud Fontanet, épidémiologiste ; Marie-Aleth Grard, milieu associatif ; Olivier Guérin, gériatre ; Aymeril Hoang, spécialiste des nouvelles technologies ; Bruno Lina, virologue ; Denis Malvy, infectiologue ; Yazdan Yazdanpanah, infectiologue ; la Haute Autorité de santé (HAS) ; Dominique Le Guludec, directrice générale de la HAS ; l’Agence nationale de sécurité du médicament (ANSM) ; Christelle Ratignier-Carbonneil, directrice générale de l’ANSM ; l’Agence européenne du médicament ; Emer Cooke, directrice de l’Agence européenne du médicament ; la Commission européenne ; Ursula van der Leyen, présidente de la Commission européenne ; la société Pfizer SAS ; Henriette Rosenquist, présidente de la société Pfizer SAS ; Franck Le Breguero, pharmacien responsable et directeur général de la société Pfizer SAS ; la société Pfizer Holding ; Florence Petelet, gérante de la société Pfizer Holding ; Marie-Gabrielle Laborde-Rayna, pharmacien responsable et gérante non-associée de la société Pfizer Holding ; la société Pfizer inc. ; Albert Bourla, PDG de la société Pfizer inc. ; la société BioNtech AG ; Helmut Jeggle, président de la société BioNtech AG.
Et toutes autres personnes à déterminer.
FranceSoir : Me Joseph, quel est l’intérêt de cette plainte pour les victimes des conséquences des injections ?
Me Joseph : Pour les victimes et les proches de victimes, l’intérêt est double. D’une part, il est de se voir reconnues comme victimes d’un acte que le juge qualifiera, mais qui, selon les plaignants, réunit les conditions du crime d’empoisonnement.
Ainsi, les fabricants doivent répondre des substances qu’ils ont conçues et mises sur le marché, nous y reviendrons. Les ministres en charge et les différentes agences et commissions qui sont intervenues pour administrer ces substances aux Français (HAS, ANSM, Conseil scientifique) engagent également leur responsabilité. Tout comme la Commission européenne, sa présidente et l’Agence européenne du médicament, ils ne pouvaient ignorer que tout indiquait, avant leur mise sur le marché, qu’elles étaient mal évaluées, donc potentiellement dangereuses. Ceci, d’autant plus que depuis près d’un an, de nombreux scientifiques les en informent et que de nombreux citoyens ont attiré leur attention sur une des dispositions du contrat signé entre la Commission européenne et Pfizer, précisant (p. 48 et 49) que les parties au contrat reconnaissent ignorer l’efficacité et les effets indésirables du « vaccin » et trouvent étranges que ces « vaccins » ne protègent soi-disant que pendant 4 mois, n’empêchent pas de contracter la maladie et rendent les « vaccinés » potentiellement contagieux, ce qui a justifié que l’on oblige pendant plusieurs mois, les « vaccinés » à porter le masque, qui reste obligatoire, même pour eux, dans les transports.
J’ajouterai qu’à un tel niveau de responsabilité, il est impossible de se prévaloir de son ignorance, surtout si, au lieu de vérifier ce que leur expliquaient de nombreux médecins, biologistes, virologues, statisticiens de renommée internationale, ils ont dénigré ces derniers, se campant dans une certitude méprisante et suffisante, les qualifiant de « complotistes », plutôt que de « lanceurs d’alerte ». Dans ce cas, les responsables publics sont tenus de s’informer de la façon la plus précise, surtout s’agissant de la santé de la population. Si, malgré tout, on ne sait pas, le simple bon sens ou même l’application du principe de précaution doivent conduire à ne pas faire prendre un risque aussi inconsidéré aux Français, femmes enceintes et enfants compris, pour une maladie dont on sait qu’elle tue peu, qu’elle tue essentiellement les personnes les plus âgées et, surtout, que de nombreux traitements existent pour la combattre. Malheureusement, tous les traitements prescrits par des médecins, faisaient l’objet de poursuites de la part du Conseil de l’Ordre pour qui « Il n’y avait pas de traitement… »
D’autre part, les victimes, fortes de la faute pénale ainsi reconnue pourront se tourner vers les responsables et, singulièrement les fabricants, pour voir les préjudices qu’ils ont subis indemnisés. Ces derniers espéraient probablement, de ce que l’on sait des contrats d’achat avec la Commission européenne, échapper à leur responsabilité civile en incluant dans ces contrats des clauses exonératoires. En d’autres termes, les fabricants et la Commission européenne, représentée par sa présidente, Ursula von der Leyen, auraient convenu que ni la Commission ni les États membres ne pourraient se retourner contre les fabricants.
La loi du 25 juillet 2021 sur la gestion de la crise sanitaire a d’ailleurs choisi d’intégrer la vaccination contre le Covid-19 au dispositif de l’Office national d’indemnisation des accidents médicaux, des affections iatrogènes et des infections nosocomiales (ONIAM), qui propose une indemnisation amiable des victimes d’accidents médicaux et se charge, le cas échéant, de poursuivre le responsable en remboursement. Mais cela signifie aussi que, s’agissant d’une procédure amiable, l’intégralité des préjudices ne sera pas réparée. Et, surtout, l’indemnisation des victimes relèvera de la Solidarité nationale. Si ce financement est, en soi, défendable, il l’est moins dans le contexte actuel.
En effet, le contribuable qui aura financé la recherche, avec les fonds d’urgences attribués par la Commission européenne aux fabricants, puis l’achat de ces substances doit maintenant assumer l’indemnisation des conséquences des injections… Pendant le même temps, le groupe Pfizer, par exemple, annonce un chiffre d’affaires, pour 2021, de 81,3 milliards de dollars, en augmentation de 95% par rapport à l’année précédente et un bénéfice record de 22 milliards de dollars.
Toutefois, on peut penser que la reconnaissance par la justice de la faute pénale des fabricants permettra, ensuite, aux victimes de se retourner directement contre eux pour obtenir l’indemnisation de leur préjudice, puisque la voie de l’ONIAM n’est qu’optionnelle et ne ferme pas la voie juridictionnelle aux victimes.
Cette plainte peut être téléchargée en fin d’article afin d’être communiquée par les victimes à leurs avocats.
FS : En quoi consiste l’empoisonnement qui fait l’objet de cette plainte ?
JPJ : Dans cette affaire, l’empoisonnement, qui est un crime consistant à donner la mort par administration d’une substance mortelle, prend plusieurs formes.
D’abord, le professeur Jean-Michel Claverie, professeur émérite de médecine, PU-PH de l’université d’Aix-Marseille, a récemment évalué la quantité d’ARNm de la protéine Spike qui pénètre le corps humain à chaque injection de l’une des substances géniques expérimentales, abusivement nommées « vaccin ». Il est parvenu à la conclusion suivante :
– Une dose du produit Pfizer délivre autant d’ARNm de la protéine Spike que ce qui est contenu dans 6,75 m³ de fluide nasal infecté par le virus. – Le même constat peut être fait à propos du produit Moderna, qui délivre autant d’ARNm de la protéine Spike que ce qui est contenu dans 23 m³ de fluide nasal infecté par le virus.
Le professeur Claverie évoque une quantité « véritablement astronomique » d’ARNm de la protéine Spike ainsi injectée dans le corps humain.
Une de ses conclusions est que « l’injection de ces vaccins ne mime absolument pas le processus d’infection naturel par le SARS-CoV2, mais constitue une modification locale de la concentration en ARNm totalement non-physiologique pour les cellules qui l’incorporent. Même au cours d’une infection virale très virulente, on estime que le nombre de molécules d’ARN messager ne dépasse pas une centaine d’exemplaires par cellule infectée, pour les gènes viraux les plus fortement exprimés ».
L’inquiétude augmente encore lorsqu’on lit, toujours d’après le professeur Claverie, que ces produits contiennent des « impuretés totalement inattendues ».
Ainsi, « une publication récente, par le laboratoire Moderna lui-même, décrit la présence d’impuretés totalement inattendues dans le principe actif même du vaccin, dans lequel une partie de l’ARNm injecté est modifiée par une réaction chimique avec l’enveloppe lipidique des nanoparticules chargées de le véhiculer à l’intérieur des cellules. S’agissant d’une modification chimique inconnue à ce jour, dont la toxicité éventuelle n’a pas été évaluée, cette découverte aurait dû poser la question de la suspension éventuelle de l’autorisation conditionnelle de mise sur le marché, ce qui n’a pas été fait. La même modification chimique a probablement lieu également dans le vaccin BNT-162b2 de BioNTech/Pfizer (dont la composition est proche de celle de la préparation de Moderna), mais à ma connaissance, aucune vérification n’a été publiée ».
Le rapport du professeur Claverie est en téléchargement avec la plainte, au pied de l’article.
Ensuite, et c’est une information particulièrement inquiétante révélée par des travaux de recherche de mai 2021, confirmés en février 2022 : les cellules humaines auraient la capacité de transformer l’ARNm des substances géniques expérimentales en ADN et, donc, de l’intégrer à leur propre génome, entraînant des modifications du génome humain. Bien entendu, les conséquences de telles modifications, qui auront nécessairement des effets sur la descendance des personnes concernées, sont à ce jour totalement imprévisibles.
Cette découverte est d’autant plus choquante que le mécanisme de la transcriptase inverse (qui permet la transformation d’un ARNm en ADN) au sein des cellules humaines est connu depuis 1970. Les derniers travaux de 2021 et de 2022 ne font que confirmer la possibilité d’intégration de l’information délivrée par l’ARNm vaccinal injecté, dans le génome humain. Il n’y a donc plus de doute possible : les substances géniques expérimentales peuvent modifier, voire endommager le génome humain.
Que doit-on penser, lorsque le professeur Claverie ajoute que « la possibilité d’une intégration génomique, longtemps considérée comme improbable vient d’être démontrée (…) avec des quantités expérimentales d’ARNm largement inférieures à celles (…) découvertes dans les injections ARNm » ? On ne peut qu’en déduire que le risque de modification du génome est d’autant plus considérable, vu les quantités injectées aux Français.
Enfin, les travaux de Christine Cotton, biostatisticienne pour l’industrie pharmaceutique pendant 23 ans, ont révélé un autre fait scandaleux. Les essais cliniques préalables comportent d’importants biais méthodologiques, rendant peu fiables les conclusions d’efficacité. Il apparaît également que la baisse de l’immunité et les effets secondaires potentiellement dangereux pouvaient être anticipés. Ces faits étaient connus des fabricants, tout comme les autorités européennes et françaises au moment de l’autorisation en vie réelle.
Malheureusement, les chiffres vertigineux des décès et des blessures consécutifs à l’injection provenant des organismes de pharmacovigilance des pays concernés sont la preuve de cette désinvolture criminelle.
Par ailleurs, avec maintenant une année de recul, les chercheurs observent, dans tous les pays qui ont eu recours aux injections, une surmortalité inexpliquée, spécialement marquée chez les personnes de 15 à 44 ans. Or, la courbe de la surmortalité épouse parfaitement celle des campagnes vaccinales. La corrélation est telle que l’hypothèse d’une surmortalité de la population due à la vaccination est désormais avancée.
Ces éléments sont d’une extrême gravité, puisqu’ils touchent à la santé des Français, mais aussi à celle des enfants à naître, pour les femmes enceintes qui auraient reçu l’injection, et à l’espèce humaine, elle-même, dont le génome pourrait être modifié de façon aléatoire, inconnue et incontrôlée. Or, les autorités françaises ne peuvent ignorer les informations que je viens d’exposer et qui sont consignées dans la plainte.
Pourtant, les campagnes de vaccination se poursuivent aveuglément. Le chantage à l’emploi continue, la ségrégation et la discrimination sont toujours d’actualité (on rappellera qu’un passe sanitaire est toujours exigé pour entrer à l’hôpital), les menaces et les insultes ne sont qu’en sourdine. Doit-on rappeler que de nombreux responsables publics et personnalités médiatiques n’ont pas été en reste pour proférer insultes et menaces publiques contre les personnes non-injectées. Ainsi, Laurent Alexandre ou Gilbert Deray voient en elles « des criminels », à qui, renchérissent Christian Estrosi ou François Sauvadet, il faut supprimer chômage et aides sociales. Olivier Véran impute lui, sans autre procès, la responsabilité du Covid dans un Ehpad à une soignante non-injectée. Emmanuel Lechypre déclare vouloir les faire « emmener de force par des policiers », tandis que Gabriel Attal n’y voit qu’une « frange capricieuse », à qui le gouvernement promet une « vie de merde ». Dans cette ambiance délétère, CNews a dû trouver vendeur de titrer « Antivax : comment s’en débarrasser ? »
C’est pourquoi, face à des constats aussi alarmants, BonSens.org, l’AIMSIB et les autres plaignants ont décidé de déposer une plainte criminelle pour les chefs d’accusation d’empoisonnement, de complicité d’empoisonnement et de crime contre l’humanité contre tous ceux qui ont incité ou forcé, selon les cas, les Français à se faire injecter une substance, toujours au stade de l’essai clinique, mal évaluée, dont la dangerosité pouvait être anticipée et qui continue à tuer et à blesser chaque jour. Il s’agit donc d’actes criminels.
FS : Pensez-vous que les faits soient suffisamment graves pour que l’on puisse parler de crime contre l’humanité ?
JPJ : Oui. Le crime contre l’humanité est rarement invoqué devant les juridictions françaises. Il l’a été pour des crimes commis sous l’occupation nazie (Touvier, Barbie) ou pour des crimes commis à l’étranger pour lesquels la juridiction française est compétente (par exemple, le juge pénal peut poursuivre les crimes commis au Rwanda et en ex-Yougoslavie, si les responsables vivent en France).
Cependant, les faits sont là et les qualifications pénales également. Or, il ne fait pas de doute que la campagne de vaccination que nous subissons, relève de la définition du crime contre l’humanité, spécialement maintenant qu’on en mesure mieux les conséquences psychologiques, sociales, économiques et en termes de santé.
Ce qu’il importe de comprendre, c’est que le crime contre l’humanité, ce ne sont pas seulement des actes criminels isolés (forcer les Français à se faire injecter une substance potentiellement mortelle). Ce sont des actes criminels, commis de façon coordonnée par un groupe criminel, contre une population ou un groupe de population, inscrits dans un plan exécuté au nom d’un « État pratiquant une politique d’hégémonie idéologique », pour reprendre les termes de la Cour de cassation.
Ces actes, et c’est ce qui caractérise un crime aussi terrible que le crime contre l’humanité, dépassent la simple intention de tuer. Ils visent à déshumaniser les victimes, à nier leur nature humaine, à les rejeter en dehors de la communauté des Hommes, ceci, pour des motifs purement idéologiques.
Or, nous sommes bien, avec « l’idéologie vaccinale » actuelle, dans le cadre d’une politique d’hégémonie idéologique. En effet, la finalité des politiques discriminatoires, de ségrégation, de persécution et, finalement, d’empoisonnement, pratiquées depuis plus de deux ans est bien de dénier leur humanité aux personnes réfractaires. Elle a, d’ailleurs, trouvé sa synthèse dans les propos du président de la République, selon lequel, un « irresponsable », ce terme désignant une personne non-injectée, « n’est plus un citoyen ».
Comment mieux dire qu’il s’agit de retirer à cette partie de la population ce qui est le plus intimement attaché à sa personne, au sens juridique comme au sens politique : sa citoyenneté, son appartenance à la nation française, laquelle constitue son identité et, non, un artefact dont on pourrait se débarrasser. Porter atteinte à la qualité de citoyen revient ainsi à porter atteinte à la personne même, dans son identité et dans sa dignité. On rappellera, à cet égard, dans un domaine très proche, que la perte de nationalité est une sanction infamante, réservée à certaines infractions particulièrement graves.
Il y a pire encore. Nous savons désormais que les substances géniques expérimentales pourront avoir des effets sur la descendance des personnes injectées dont l’ADN aura été endommagé. En d’autres termes, les faits que dénoncent les plaignants sont, non seulement une attaque généralisée et systématique contre une population, pour reprendre les termes du code pénal, mais ils constituent également une attaque contre l’espèce humaine, elle-même, dès lors qu’existe la possibilité de modification du génome humain.
FS : Cette plainte intervient dans un contexte particulier ?
JPJ : En effet. La question des effets indésirables de ces substances a, enfin, été saisie par le Parlement, dont l’Office parlementaire d’évaluation des choix scientifiques et technologiques (Opecst) a été chargé, selon son vice-président, Gérard Longuet, de « rassembl(er) les éléments techniques et scientifiques sur les effets du vaccin ».
On remarquera d’emblée que la création de cette commission d’enquête est due à l’initiative des citoyens et non à celle des parlementaires ou d’autres responsables publics. C’est ainsi une pétition citoyenne, déposée par le docteur Devilleger, cardiologue, sur le site du Sénat qui, ayant recueilli plus de 33 600 signatures en quelques semaines, a incité les sénateurs à saisir l’Opecst. Ainsi, « constatant la forte dynamique des signatures », le Sénat « a décidé d’y donner suite sans attendre » pour « répondre aux inquiétudes qui s’expriment ». Le cycle d’auditions, qui a débuté le 28 mars, est prévu pour durer trois mois. Souhaitons que, comme l’annonce Gérard Longuet, les parlementaires « prendront (leurs) responsabilités » sur une question aussi importante pour les Français.
Par ailleurs, un colloque scientifique international s’est tenu à l’Institut hospitalo-universitaire Méditerranée, dirigé par le Pr Didier Raoult, les 30 et le 31 mars dernier et à Massy, les 1er et 2 avril, l’International Covid Summit (ICS), intitulé « Covid-19, premier bilan des connaissances et controverses scientifiques », qui a réuni de nombreux experts du monde entier. La science progresse donc, envers et contre tout a-t-on envie de dire, sur la maladie, son traitement et sur les effets des « vaccins ».
Dans ce sens, on ne peut qu’espérer que l’épisode dramatique que nous vivons nous ramènera à ce qu’est la science : le doute, la controverse, la remise en question. Lorsqu’on entre dans le monde des certitudes, comme nous l’observons avec le tout vaccinal que l’on tente d’imposer aux Français, on est dans l’idéologie, plus dans la science. Malmener la science, l’instrumentaliser ne peut, l’histoire nous l’avait pourtant déjà enseigné, que mener à des catastrophes, telle celle que nous expérimentons. Et, face à l’incurie, pour le moins, de nos responsables politiques, sourds aux souffrances que leurs politiques ont créées, la seule arme qui reste au citoyen pour mettre un terme à cette situation et pour rendre justice aux victimes, est la juridiction pénale. Nous ne doutons pas de la diligence du juge pénal, car, dans le droit humaniste qui était le nôtre avant la crise sanitaire, de tels actes sont des crimes.
Le CDC poursuivi pour fraude massive : des tests dans 7 universités de TOUTES les personnes examinées ont montré qu’elles n’avaient pas de Covid, mais seulement la grippe A ou B – Statistiques de l’UE : « Corona » a pratiquement disparu, même en cas de mortalité.
Un scientifique clinicien et immunologiste-virologue d’un laboratoire du sud de la Californie affirme que lui et ses collègues de 7 universités poursuivent le CDC pour fraude massive. La raison : pas un seul des 1.500 échantillons de personnes testées « positives » n’a pu trouver le Covid-19. Il a été découvert que TOUTES les personnes étaient simplement atteintes de la grippe A et, dans une moindre mesure, de la grippe B. Ceci est cohérent avec les découvertes précédentes d’autres scientifiques, dont nous avons fait état à plusieurs reprises. Dr Derek Knauss : « Lorsque mon équipe de laboratoire et moi avons soumis les 1.500 échantillons de Covid-19 supposés positifs aux postulats de Koch et les avons placés sous un SEM (microscope électronique), nous n’avons trouvé AUCUN Covid dans les 1.500 échantillons. Nous avons constaté que les 1.500 échantillons étaient principalement de la grippe A et de la grippe B, mais aucun cas de Covid. Nous n’avons pas utilisé le test PCR des taureaux***.
Dans 7 universités, pas une seule fois le COVID détecté
«Lorsque nous avons envoyé le reste des échantillons à Stanford, Cornell et quelques laboratoires de l’Université de Californie, ils sont arrivés au même résultat: PAS de COVID. Ils ont trouvé la grippe A et B. Ensuite, nous avons tous demandé au CDC des échantillons viables de Covid. Le CDC a dit qu’ils ne pouvaient pas les donner, car ils n’avaient pas ces échantillons. «Nous sommes donc arrivés à la dure conclusion de toutes nos recherches et travaux de laboratoire que Covid-19 était imaginaire et fictif. La grippe ne s’appelait que « Covid », et la plupart des 225.000 décès étaient dus à des comorbidités telles que les maladies cardiaques, le cancer, le diabète, l’emphysème pulmonaire, etc. Ils ont attrapé la grippe qui a encore affaibli leur système immunitaire, et ils sont morts. »
« Ce virus est fictif »
«Je dois encore trouver un échantillon viable avec Covid-19 avec lequel travailler. Nous qui avons effectué le test de laboratoire avec ces 1.500 échantillons dans les 7 universités poursuivons maintenant le CDC pour fraude au Covid-19. Le CDC ne nous a toujours pas envoyé d’échantillon viable, isolé et purifié de Covid-19. S’ils ne peuvent pas ou ne veulent pas, alors je dis qu’il n’y a pas de Covid-19. C’est fictif. «Les quatre articles de recherche décrivant les extraits du génome du virus Covid-19 n’ont jamais réussi à isoler et à purifier les échantillons. Les quatre articles ne décrivent que de petits morceaux d’ARN qui ne font que 37 à 40 paires de bases. Ce n’est PAS un VIRUS. Un génome viral compte normalement entre 30 000 et 40 000 paires de bases. «Maintenant que Covid-19 est censé être si mauvais partout, comment se fait-il qu’aucun laboratoire au monde n’ait complètement isolé et purifié ce virus? C’est parce qu’ils n’ont jamais vraiment trouvé le virus. Tout ce qu’ils ont découvert, ce sont de petits morceaux d’ARN qui n’ont de toute façon pas été identifiés comme étant le virus. Nous n’avons donc affaire qu’à une autre souche de grippe, comme chaque année. Le Covid-19 n’existe pas et est fictif .’ «Je crois que la Chine et les mondialistes ont mis en place ce canular Covid (la grippe déguisée en nouveau virus) pour établir une tyrannie mondiale et un État policier de contrôle totalitaire. Cette intrigue comprenait (également) une fraude électorale massive pour renverser Trump.
Le CDC lui-même admet n’avoir aucun virus identifiable
Profondément dissimulé dans un document officiel sur le Covid-19, le CDC admettait avec regret dès l’été 2020 qu’il n’avait pas de virus mesurable : ‘Comme aucun objet viral isolé quantifié (= mesuré) du 2019-nCoV n’est disponible à l’heure actuelle… ‘ (page 39 du ‘CDC 2019-Novel Coronavirus (2019-nCoV) Real-Time RT-PCR Diagnostic Panel’ (13 juillet) En d’autres termes, le CDC, en tant que l’une des principales autorités médicales au monde, ne pouvait pas , et ne peut toujours pas , démontrer un virus. À propos du test PCR à cette fin scientifiquement totalement démystifié, mais toujours abusé sans vergogne, le CDC a écrit sous la rubrique « limites » : « La détection de l’ARN viral ne peut pas démontrer la présence d’un virus infectieux, ni que le 2019-nCoV est l’agent causal. des symptômes cliniques. » Et en plus: « Ce test ne peut pas exclure d’autres maladies causées par d’autres pathogènes bactériens ou viraux. » En d’autres termes, nous ne pouvons pas prouver que les personnes qui tombent malades et sont hospitalisées, et meurent très occasionnellement, ont été rendues malades par un nouveau coronavirus appelé SARS-CoV-2, et nous ne pouvons pas non plus prouver qu’il les a amenées à développer une nouvelle maladie appelée « Covid19 ». Il pourrait tout aussi bien s’agir d’un virus différent et d’une maladie différente. (Et puisque tous les symptômes, y compris les pneumonies sévères, correspondent parfaitement à ce que la grippe peut provoquer historiquement chez les personnes vulnérables… « si ça ressemble à un canard et marche comme un canard, c’est un canard ».
Récompense de 1.800.000 $ pour avoir démontré le coronavirus
L’année dernière, l’équipe allemande de Samuel Eckert et le Isolate Truth Fund ont promis une récompense d’au moins 265.000 $ pour tout scientifique qui peut fournir une preuve irréfutable que le virus SARS-CoV-2 a été isolé et existe donc. Ils ont également souligné qu’aucun laboratoire au monde n’a encore été en mesure d’isoler ce virus corona. Ce montant est passé à 1.800.000 $ . Oui, les scientifiques des systèmes prétendent qu’ils l’ont fait, mais cet « isolement » ne consiste qu’en un échantillon du corps humain, qui est une « soupe » pleine de différents types de cellules, de restes de virus, de bactéries, etc. À l’aide de produits chimiques (toxiques), on recherche ensuite des particules (résiduelles) qui peuvent indiquer un virus qui a existé ou peut encore exister, après quoi cela est désigné comme «preuve».
L’équipe canadienne n’a également reçu aucune preuve malgré 40 demandes de loi sur l’accès public
Fin décembre 2020, il y avait une initiative similaire à celle en Allemagne. Une équipe autour de la journaliste d’investigation canadienne Christine Massey a soumis pas moins de 40 demandes de loi sur l’accès public aux autorités médicales du monde entier avec la simple demande de preuve que le virus SARS-CoV-2 a été isolé et que son existence peut donc être objectivement prouvée. Aucune des agences et autorités auxquelles nous avons écrit n’a été en mesure de fournir cette preuve.
« Impossible de démontrer que le SRAS-CoV-2 provoque une maladie appelée Covid-19 »
Le Dr Tom Cowan, le Dr Andrew Kaufman et Sally Fallon Morell ont récemment publié une déclaration sur « la controverse persistante sur la question de savoir si le virus SARS-CoV-2 est isolé ou purifié. Mais sur la base de la définition officielle d’ »isolement » d’Oxford (« le fait ou la condition d’être isolé ou isolé, une séparation d’avec d’autres choses ou personnes, debout seul »), le bon sens, les lois de la logique et les règles de la science dictent que toute personne impartiale doit arriver à la conclusion que le virus SARS-CoV-2 n’a jamais été isolé ou purifié. En conséquence, aucune confirmation de l’existence du virus ne peut être donnée. «Les implications logiques et scientifiques de ce fait sont que la structure et la composition de quelque chose dont l’existence ne peut être prouvée ne peuvent pas être connues, y compris la présence, la structure et la fonction d’un pic hypothétique ou d’autres protéines. La séquence génétique de quelque chose qui n’a jamais été trouvé ne peut pas être connue, ni les « variantes » (mutations) de quelque chose dont l’existence n’a pas été démontrée. Il est donc impossible de démontrer que le SRAS-CoV-2 provoque une maladie appelée Covid-19.’
Un test PCR combiné pour corona et grippe « parce qu’il n’y a pratiquement aucune différence »
Sans surprise, la plus grande société de biotechnologie au monde, la chinoise BGI, a récemment lancé un nouveau test PCR qui peut tester simultanément la grippe A, B et corona. Outre le fait avéré, reconnu par divers procès, qu’un test PCR ne peut pas prouver l’infection par quelque virus que ce soit, l’explication de BGI selon laquelle les deux maladies sont si difficiles à distinguer l’une de l’autre et qu’ils n’ont donc fait qu’un seul test, en dit plus que suffisant . Peut-être qu’il n’y a aucune différence, « Covid » n’est qu’un autre nom pour les virus de la grippe « vieux familiers », et c’est juste une autre astuce marketing intelligente ?
La plupart des gens ont été trompés par la propagande de la peur
Avec la propagande mondiale de la peur contrôlée par le gouvernement 24 heures sur 24, 7 jours sur 7, par les médias de masse, la plupart des gens en sont venus à croire qu’il existe en effet un virus potentiellement mortel qui rend les gens malades beaucoup plus rapidement et plus gravement que la grippe saisonnière. Cependant, même ce dernier n’est manifestement pas le cas. La grippe A est depuis des années la principale cause de décès par pneumonie dans le monde développé. Mais envoyez des personnes désignées comme des patients atteints de Covid sévères dans quelques unités de soins intensifs, mettez constamment des caméras dessus, dites à quelques médecins qu’ils ne doivent discuter que des pires cas, et vous avez votre « pandémie télévisée ». L’argument « nous le faisons parce que sinon les soins seront surchargés » a été sapé par les gouvernements eux-mêmes il y a quelque temps, en rejetant les offres de lits ou de personnel de soins intensifs supplémentaires, car « ce n’est pas nécessaire ». (Était-ce peut-être la première et la seule fois où la vérité était dite ?)
Chiffres officiels : rien d’inquiétant (mais ça ne revient jamais à la normale)
Maintenant que les chiffres officiels montrent également qu’après la saison normale de la grippe traditionnelle, tout va bien, et selon les statistiques de l’UE (EuroMOMO), il y a même une baisse significative de la mortalité, la société – s’il s’agissait vraiment d’un virus et de la santé publique – devrait revenir immédiatement à la normale pour commencer à réparer les énormes dégâts causés par les politiques gouvernementales. Cependant, comme vous le savez, cela ne se fera jamais, et c’est parce que ce canular pandémique soigneusement planifié poursuit un programme idéologique, le « Grand Reset », qui vise à démolir en grande partie la société et l’économie de l’Occident, puis à soumettre à une dictature technocratique communiste mondiale des vaccins climatiques, dans laquelle toutes nos libertés, droits civils et droits à l’autodétermination seront supprimés une fois pour toutes. C’était du moins leur plan.
EN COMPLÉMENTAIRE
Mais où est ce satané virus ? Personne ne l’a vu ou isolé !
L’appel à l’autorité est une erreur logique. Pourtant, au cours de cette longue simulation Covid-19 de l’autoritarisme mondial, on nous dit encore et encore de faire confiance au CDC, qui s’est trompé tout au long du chemin. La clé d’une république saine est de remettre continuellement en question l’autorité. Et la question la plus importante à poser à cette autorité autocratique est la suivante : le virus Sars-CoV-2 a-t-il déjà été vraiment isolé ? Et si oui, montrez-nous la preuve.
Les Centers for Disease Control (CDC) des États-Unis à Atlanta ont confirmé par écrit qu’ils n’avaient aucun échantillon réel, isolé et purifié du virus SARS-CoV-2 et ne pouvaient fournir aucun enregistrement sur ce virus, qui aurait causé COVID-19. Au cours des derniers mois, des demandes de Freedom of Information Act (FOIA) ont été adressées aux Centers for Disease Control (CDC) pour demander des preuves que le CDC a isolé ou purifié le virus SARS-CoV-2. Le 7 juin 2021, le CDC a confirmé (à nouveau) par écrit qu’il n’avait aucun dossier montrant qu’il avait déjà isolé ou purifié le virus qui serait à l’origine de la maladie appelée COVID-19.
Ces demandes écrites ont été faites par Mme Christine Massey au directeur général du CDC/ATSDR FOIA, M. Robert Andoh, pour localiser et fournir TOUS les enregistrements, recherches et/ou résultats pour TOUT isolement et purification « virale » (par quiconque, n’importe où, n’importe quand dans le Monde) à partir d’un échantillon de patient, par macération, filtration et/ou l’utilisation d’une ultracentrifugeuse . . . ce qu’on appelle le « Gold Standard » pour isoler et identifier un micro-organisme pathologique ou nana organisme. Le « Gold Standard » pour l’isolement et l’identification des microbes sont appelés postulats de Koch et Rivers, qui ont été établis il y a de nombreuses années pour isoler les postulats de bactéries (Koch) ou de virus (Rivers). Voici une comparaison côte à côte des postulats de Koch et des postulats de Rivers :
Statement On Virus Isolation (SOVI)
Isolation: The action of isolating; the fact or condition of being isolated or standing alone; separation from other things or persons; solitariness.
– Oxford English Dictionary
La controverse sur la question de savoir si le virus du SRAS-CoV-2 a déjà été isolé ou purifié se poursuit. Cependant, en utilisant la définition ci-dessus, le bon sens, les lois de la logique et les préceptes de la science, toute personne impartiale doit arriver à la conclusion que le virus SARS-CoV-2 n’a jamais été isolé ou purifié. En conséquence, aucune confirmation de l’existence du virus ne peut être trouvée. Les conséquences logiques, de bon sens et scientifiques de ce fait sont :
la structure et la composition de quelque chose dont l’existence n’a pas été démontrée ne peuvent pas être connues, y compris la présence, la structure et la fonction de tout spike hypothétique ou d’autres protéines ;
la séquence génétique de quelque chose qui n’a jamais été trouvée ne peut pas être connue ;
les « variantes » de quelque chose dont l’existence n’a pas été démontrée ne peuvent pas être connues ;
il est impossible de démontrer que le SARS-CoV-2 provoque une maladie appelée Covid-19.
En termes aussi concis que possible, voici la bonne façon d’isoler, de caractériser et de démontrer un nouveau virus. Tout d’abord, on prélève des échantillons (sang, crachats, sécrétions) de nombreuses personnes (par exemple 500) présentant des symptômes suffisamment uniques et spécifiques pour caractériser une maladie. Sans mélanger ces échantillons avec AUCUN tissu ou produit contenant également du matériel génétique, le virologue macère, filtre et ultra-centrifuge, c’est-à-dire purifie l’échantillon. Cette technique de virologie courante, utilisée depuis des décennies pour isoler les bactériophages1 et les virus dits géants dans chaque laboratoire de virologie, permet ensuite au virologue de démontrer en microscopie électronique des milliers de particules de taille et de forme identiques. Ces particules sont le virus isolé et purifié.
L’uniformité de ces particules identiques est ensuite vérifiée par des techniques physiques et/ou microscopiques. Une fois la pureté déterminée, les particules peuvent être davantage caractérisées. Cela comprendrait l’examen de la structure, de la morphologie et de la composition chimique des particules. Ensuite, leur constitution génétique se caractérise par l’extraction du matériel génétique directement des particules purifiées et l’utilisation de techniques de séquençage génétique, telles que le séquençage de Sanger, qui existent également depuis des décennies. Ensuite, on fait une analyse pour confirmer que ces particules uniformes sont d’origine exogène (extérieure) conformément au concept de virus, et non les produits de dégradation normaux des tissus morts et mourants.2 (En mai 2020, nous savons que les virologues ont aucun moyen de déterminer si les particules qu’ils voient sont des virus ou simplement des produits de décomposition normaux de tissus morts et mourants.)3
Si nous sommes arrivés jusqu’ici, nous avons complètement isolé, caractérisé et séquencé génétiquement une particule virale exogène. Cependant, nous devons encore montrer qu’il est causalement lié à une maladie. Ceci est réalisé en exposant un groupe de sujets sains (des animaux sont généralement utilisés) à ce virus isolé et purifié de la manière dont la maladie est supposée se transmettre. Si les animaux tombent malades avec la même maladie, comme le confirment les résultats cliniques et d’autopsie, on a maintenant montré que le virus provoque en fait une maladie. Cela démontre l’infectiosité et la transmission d’un agent infectieux.
Aucune de ces étapes n’a même été tentée avec le virus SARS-CoV-2, et toutes ces étapes n’ont pas été non plus réalisées avec succès pour un virus dit pathogène. Notre recherche indique qu’aucune étude montrant ces étapes n’existe dans la littérature médicale.
Au lieu de cela, depuis 1954, les virologues ont prélevé des échantillons non purifiés sur un nombre relativement restreint de personnes, souvent moins de dix, atteintes d’une maladie similaire. Ils traitent ensuite cet échantillon de manière minimale et inoculent cet échantillon non purifié sur une culture tissulaire contenant généralement quatre à six autres types de matériel – qui contiennent tous un matériel génétique identique à ce qu’on appelle un « virus ». La culture tissulaire est affamée et empoisonnée et se désintègre naturellement en de nombreux types de particules, dont certaines contiennent du matériel génétique. Contre tout bon sens, logique, utilisation de la langue anglaise et intégrité scientifique, ce processus est appelé « isolement du virus ». Ce breuvage contenant des fragments de matériel génétique provenant de nombreuses sources est ensuite soumis à une analyse génétique, qui crée ensuite dans un processus de simulation informatique la séquence présumée du virus présumé, un soi-disant génome in silico. A aucun moment un virus réel n’est confirmé par microscopie électronique. A aucun moment un génome n’est extrait et séquencé d’un virus réel. C’est de la fraude scientifique.
L’observation que l’échantillon non purifié – inoculé sur une culture tissulaire avec des antibiotiques toxiques, du tissu fœtal bovin, du liquide amniotique et d’autres tissus – détruit le tissu rénal sur lequel il est inoculé est donnée comme preuve de l’existence et de la pathogénicité du virus. C’est de la fraude scientifique.
À partir de maintenant, lorsque quelqu’un vous remet un article suggérant que le virus SARS-CoV-2 a été isolé, veuillez consulter les sections méthodes. Si les chercheurs ont utilisé des cellules Vero ou toute autre méthode de culture, vous savez que leur processus n’était pas l’isolement. Vous entendrez les excuses suivantes pour lesquelles l’isolement réel n’est pas fait :
Il n’y avait pas assez de particules virales trouvées dans les échantillons de patients pour être analysées.
Les virus sont des parasites intracellulaires ; ils ne peuvent pas être trouvés en dehors de la cellule de cette manière.
Si le numéro 1 est vrai et que nous ne pouvons pas trouver le virus dans les crachats des personnes malades, alors sur quelles preuves pensons-nous que le virus est dangereux ou même mortel ? Si le numéro 2 est correct, alors comment le virus se transmet-il d’une personne à l’autre ? On nous dit qu’il sort de la cellule pour infecter les autres. Alors pourquoi n’est-il pas possible de le trouver?
Enfin, remettre en question ces techniques et conclusions de virologie n’est pas un problème de distraction ou de division. Faire la lumière sur cette vérité est essentiel pour arrêter cette terrible fraude à laquelle l’humanité est confrontée. Car, comme nous le savons maintenant, si le virus n’a jamais été isolé, séquencé ou montré comme provoquant une maladie, si le virus est imaginaire, alors pourquoi portons-nous des masques, prenons-nous des distances sociales et mettons-nous le monde entier en prison ?
Enfin, si les virus pathogènes n’existent pas, alors qu’est-ce qui se passe dans ces dispositifs injectables appelés à tort « vaccins », et à quoi servent-ils ? Cette question scientifique est la plus urgente et la plus pertinente de notre époque.
1 Isolement, caractérisation et analyse des bactériophages du lac halo-alcalin Elmenteita, KenyaJuliah Khayeli Akhwale et al, PLOS One, publié le 25 avril 2019. https://journals.plos.org/plosone/article?id=10.1371/journal. pone.0215734 — consulté le 15/02/21
2 « Vésicules extracellulaires dérivées de cellules apoptotiques : un lien essentiel entre la mort et la régénération », Maojiao Li1 et al, Frontiers in Cell and Developmental Biology, 2 octobre 2020. https://www.frontiersin.org/articles/10.3389/fcell. 2020.573511/complet — consulté le 15/02/21
3 « Le rôle des vésicules extracellulaires en tant qu’alliés des virus du VIH, du VHC et du SRAS », Flavia Giannessi, et al, Virus, 2020 mai
La piqûre de vax Covid-19 a été impliquée dans 93% des décès de personnes autopsiées. Le point le plus intéressant à noter est que le coroner ou le procureur général a affirmé qu’ils n’étaient pas dus aux piqûres du génocide. Au départ, quinze corps ont été examinés, âgés de 28 à 95 ans. Ils étaient décédés de 7 jours à 6 mois après la « vaccination ». Cependant, un examen plus approfondi a révélé que la piqûre ayant provoqué un caillot était la cause du décès de 14 des 15 patients. L’organe le plus attaqué était le cœur, mais d’autres organes étaient touchés comme les poumons et le foie. La signification de ces découvertes est déconcertante, car cela signifie qu’il existe un potentiel de millions de décès.
Dr Sucharit Bakdi
Le Dr Sucharit Bhakdi et le Dr Arne Burkhardt ont fait un travail merveilleux pour sensibiliser le public à ces dangereux piqûres de vax Covid-19. Les membres des familles ont demandé que les corps de ces victimes soient minutieusement examinés. Le Dr Bhakdi a consacré toute sa vie à la pratique, à l’enseignement et à la recherche en microbiologie et en maladies infectieuses. Le Dr Burkhardt est un pathologiste et virologue de renommée mondiale qui a publié plus de 300 articles dans les domaines de l’immunologie, de la bactériologie et de la virologie. Les deux hommes travaillent actuellement en Allemagne. Ironiquement, le Dr Bhakdi envisage de quitter le pays parce que les autorités sanitaires veulent que son enfant de 4 ans soit piqué par vax Covid.
Le Dr Bhakdi et le Dr Burkhardt ont tous deux remarqué que chez 14 des 15 patients témoins, il y avait de nombreuses preuves de l’attaque du corps contre lui-même, ce qu’ils n’avaient jamais vu auparavant. Ces patients étaient des personnes décédées à la maison, lors d’événements sportifs, dans la voiture ou au travail. Le Dr Burkhardt a pu ajouter 55 patients supplémentaires à ses examens, portant le nombre total à 70. Chez plus de 90 % des personnes décédées, le Dr Burkhardt a découvert une auto-attaque auto-immune dans les tissus de ces organes par des lymphocytes T tueurs, dans la plage d’âges de 28 à 90 ans. Dans tous les décès, ils ont trouvé les mêmes résultats pathologiques. Le seul dénominateur commun à toutes ces personnes était le vax génocidaire Covid, une thérapie génique, qui a causé des dommages aux protéines de pointe aux tissus. Quatre des victimes du vax Covid-19, n’ont reçu qu’une seule dose. À chaque piqûre de Covid, le système immunitaire s’aggrave progressivement. Le Dr Bhakdi décrit les injections comme «fuyantes», produisant des protéines de pointe qui préparent les organes à l’attaque des lymphocytes tueurs. Il a également noté que ces lymphocytes du système lymphatique sont en train de mourir. Ces cellules sont responsables de la destruction des virus et des bactéries déjà présents dans notre corps, tels que la mononucléose infectieuse, le cytomégalovirus, le virus de l’herpès, le virus d’Epstein-Barr, la tuberculose, la toxoplasmose et tout autre virus dormant. Le Dr Bhakdi a également noté qu’il y a « une explosion de tumeurs et de cancers parmi les vaccinés que personne ne peut expliquer« . Les lymphocytes sont les cellules responsables du contrôle des cancers dans notre corps.
Le Dr Hoffe avait découvert plus tôt cette année dans ses propres recherches que 60% des patients qui avaient reçu la piqûre de génocide Covid avaient des niveaux élevés de D-dimères, ce qui est un indicateur de coagulation sur les parois des petits vaisseaux sanguins. Le Dr Ryan Cole, un autre pathologiste, constate une multiplication par vingt du cancer de l’utérus, ainsi que d’autres tumeurs. Le Dr Cole a noté que les « vaccins » n’incitent pas les patients à produire suffisamment d’IgA sécrétoires. L’immunoglobuline A est la première ligne de défense contre les microbes nocifs, tout en maintenant une réponse immunologique équilibrée. Enfin, le Dr Cole reconnaît que les infiltrats de lymphocytes T dans la population piquée sont destructeurs de tissus. Il veut faire une étude pour voir comment la protéine de pointe se dépose dans les organes au site des infiltrats.
CONCLUSION
Le fameux docteur Bhakdi a été nominé pour un prix Nobel en 2021.Il est actuellement le scientifique le plus censuré de la planète!
Le travail de l’équipe Bhakdi/Burkhardt est une bombe. C’est la première fois qu’une étude explique comment les piqûres du vax du génocide tuent les lymphocytes dans le système lymphatique, ce qui équivaut à une station d’épuration du corps. Cela conduira par conséquent à l’émergence d’agents pathogènes dormants infectant l’hôte. Je connais personnellement une infirmière praticienne en Pennsylvanie qui a contracté le zona et une infection au Covid-19, après sa troisième injection de rappel. L’une des questions que je me pose et sur laquelle je pense que nous avons besoin de plus de recherches est la suivante : la mort des lymphocytes est-elle une conséquence permanente de l’injection de Covid ? Nous savons par des études antérieures que chaque injection semble détruire l’immunité. Les piquants se préparent-ils à une facilitation de l’infection par des anticorps (Antibody–dependant enhancement ou ADE en anglais), ce qui conduirait à des infections percées ? [Une infection percée est un cas de maladie dans lequel un individu vacciné devient infecté par la maladie, en raison du fait que le vaccin n’a pas réussi à fournir une immunité complète contre l’agent pathogène]
Le travail de l’équipe Bhakdi/Burkhardt, ainsi que du Dr Hoffe et du Dr Cole, peut être décrit comme suit. – Premièrement, les événements inflammatoires dans les petits vaisseaux sanguins sont caractérisés par une abondance de lymphocytes T et de cellules endothéliales mortes, qui à leur tour peuvent conduire à des caillots sanguins. – Deuxièmement, il y a une accumulation importante de lymphocytes T dans les tissus entourant les vaisseaux sanguins. – Troisièmement, il y a une infiltration massive des organes et des tissus avec ces cellules tueuses. D’après les travaux de tous ces scientifiques, nous voyons que le cœur est le principal organe impliqué, mais la coagulation peut se produire n’importe où avec ces piqûres Covid, du cerveau aux vaisseaux sanguins. Ces « injections de caillots » doivent être stoppées immédiatement !
Source Réseau d’actualités Nemos – 11 janvier 2022
La gestion pandémique est sous le joug de la doctrine mondialiste qui n’est rien d’autre que la politique au service de l’oligarchie des milliardaires. Tout s’achète, tout se contrôle avec le pouvoir de l’argent: l’OMS, les gouvernements et les médias. Le monde de la recherche et de la médecine aussi. Tout peut s’acheter et se vendre. La mise en marché est simple. Envelopper le merveilleux «produit/l’idéologie/la couleuvre/etc.» avec un bel emballage. Mais en premier lieu, créer un besoin, amplifier une crise. La pandémie du covid-19 apparaît de plus en plus comme une opportunité d’affaires. Heureusement, de plus en plus de scientifiques et de médecins se font entendre au-delà de la censure et du lynchage médiatique. Et il y a encore une lueur d’espoir en ce qui concerne le monde des médias.
Un résumé de l’article en lien: -les contaminations surviennent par vagues qui s’estompent d’elles-mêmes. -Le dépistage de masse est inefficace. -La guérison est plus protectrice qu’un vaccin. -Les vaccinés sont contagieux. -La maladie est des dizaines de fois plus dangereuse pour les groupes à risque et les personnes âgées que pour les jeunes qui ne font pas partie des groupes à risque. -Pas de pas mis en place de système efficace pour signaler les effets secondaires des vaccins, les rapports sur les effets secondaires ont même été supprimés de Facebook. -Des données ont été cachées. Des données qui permettraient de conduire des recherches objectives et préféré publier des articles non objectifs, en partenariat avec des cadres supérieurs de Pfizer, sur l’efficacité et la sécurité des vaccins. On peut être en accord ou pas ou en partie d’accord avec certains des précédents énoncés. C’est ça la science. Un débat qui inclut toutes les données et les hypothèses. Un débat qui fait suite à un véritable consensus. Ledit consensus constamment révisé et remis en question. Un exercise qui pour le covid-19 a été arnaqué par la machine politico-médiatique au service du mondialisme financier. Il n’y a actuellement aucune urgence médicale, mais, au Québec, Legault et ses non-scientifiques appliquent la feuille de route de l’agence mondialiste McKinsey. Bien sûr, les «sévices» que cette agence de lobbyists a été payés avec notre argent.
La démission récente d’Horacio Arruda devient un sérieux aveux d’échec très gênant pour François Legault qui continue de rêver à trois mandats successifs.Il ne s’agit plus,depuis le début,d’une crise sanitaire mais d’un opportunisme politique pour le système corrompu à la merci de ces malades mentaux!
Legault a entretenu soigneusement cette illusion depuis deux ans maintenant à cause de sa soif de pouvoir, d’argent et de contrôle. L’article a été écrit par Ehud Qimron, chef du département de microbiologie et d’immunologie de l’Université de Tel Aviv et l’un des principaux immunologistes israéliens, a écrit une lettre ouverte critiquant vivement la gestion israélienne – et même mondiale – de la pandémie de coronavirus. Prenez le temps de le lire dans son intégralité et à partager notre article,svp!
TRIBUNE — Monsieur le ministre de la Santé, il est temps d’admettre votre échec.
En fin de compte, la vérité finit toujours par éclater. La vérité sur votre politique sanitaire commence à apparaître au grand jour. Lorsque les concepts destructeurs s’effondrent les uns après les autres, il ne reste plus qu’à dire aux experts qui ont supervisé la gestion de la pandémie : nous vous avions prévenus.
Ehud Qimron est au centre de la photo.
Deux ans trop tard, vous réalisez enfin qu’un virus respiratoire ne peut être stoppé et que toute tentative de ce type est vouée à l’échec. Vous ne l’admettez pas, parce que vous n’avez admis pratiquement aucune erreur au cours des deux dernières années. Pourtant, rétrospectivement, il est clair que vous avez lamentablement échoué dans presque toutes vos entreprises. Même les médias ont désormais du mal à camoufler votre humiliation.
Malgré des années d’observations et de connaissances scientifiques, vous avez refusé d’admettre que les contaminations surviennent par vagues qui s’estompent d’elles-mêmes. Vous avez insisté pour attribuer chaque déclin de vague uniquement à vos mesures, et ainsi, grâce à des actions de propagande, vous avez pu revendiquer que « vous aviez vaincu la peste », encore, encore et encore.
Vous avez refusé d’admettre que le dépistage de masse est inefficace, malgré vos propres plans d’urgence le soulignant explicitement (« Plan de préparation du système de santé en cas de pandémie de grippe, 2007 », p. 26).
Vous avez refusé d’admettre que la guérison est plus protectrice qu’un vaccin, malgré les connaissances et les observations antérieures montrant que les personnes vaccinées non guéries sont plus susceptibles d’être infectées que les personnes qui ont contracté le virus et développé des anticorps.
Vous avez refusé d’admettre que les vaccinés sont contagieux malgré les observations. Vous espériez coûte que coûte obtenir une immunité collective par la vaccination – mais là aussi, vous avez échoué.
Vous avez persisté à ignorer le fait que la maladie est des dizaines de fois plus dangereuse pour les groupes à risque et les personnes âgées que pour les jeunes qui ne font pas partie des groupes à risque, malgré les connaissances venues de Chine dès 2020.
Vous avez refusé d’adopter la « Déclaration de Barrington », signée par plus de 60 000 scientifiques et professionnels de santé, ou toute autre mesure de bon sens.
Vous avez plutôt préféré les ridiculiser, les décrier, les déformer et les discréditer.
Au lieu de choisir les bons programmes et les bonnes personnes, vous avez choisi des professionnels qui manquent d’une formation appropriée en matière de gestion des pandémies (des physiciens en tant que conseillers en chef du gouvernement, des vétérinaires, des agents de sécurité, des journalistes, etc.)
Vous n’avez pas mis en place de système efficace pour signaler les effets secondaires des vaccins, les rapports sur les effets secondaires ont même été supprimés de votre page Facebook.
Vous avez ignoré de nombreux rapports faisant état de changements dans l’intensité et la durée des cycles menstruels.
De peur que vous ne les persécutiez comme vous l’avez fait avec certains de leurs collègues, les médecins évitent de lier les effets secondaires au vaccin.
Vous avez caché des données qui permettraient de conduire des recherches objectives et préféré publier des articles non objectifs, en partenariat avec des cadres supérieurs de Pfizer, sur l’efficacité et la sécurité des vaccins.
Par votre action, vous avez causé des dommages irréversibles à la confiance du public.
Cependant, du haut de votre arrogance, vous avez oublié que la vérité finirait par éclater. Et elle commence à percer. La vérité, c’est que vous avez ramené la confiance que le public à en vous, à un niveau ridiculement bas et sans précédent, et que vous avez érodé votre statut de source d’autorité.
La vérité, c’est que vous avez jeté par les fenêtres des centaines de milliards de shekels [monnaie israélienne], en vain, pour le contrôle de la couverture médiatique, pour des tests inefficaces, pour des fermetures destructrices et pour la mise en œuvre de politiques qui ont perturbé la routine de la vie quotidienne au cours des deux dernières années.
Vous avez détruit l’éducation de nos enfants et leur avenir. Comme l’attestent les directeurs d’école à travers le pays, à cause de vous, les enfants se sentent coupables et effrayés. Ils se mettent à fumer, boire, développer des addictions, arrêter leurs études et se disputer entre eux. Vous avez nui à l’économie, aux droits de l’homme, aux moyens de subsistance des Israéliens, à leur santé mentale et physique.
Vous avez calomnié vos collègues qui ne se sont pas soumis à vous, vous avez monté les gens les uns contre les autres, divisé la société et polarisé le débat. Vous avez qualifié, sans aucune base scientifique, les personnes qui ont choisi de ne pas se faire vacciner, d’ennemis du public et de propagateurs de maladies.
Comme jamais auparavant, vous faites la promotion d’une politique draconienne de discrimination, de déni des droits et de sélection des personnes, y compris des enfants, sur la base de leur choix médical. Une sélection qui ne repose sur aucun fondement épidémiologique.
Lorsque vous comparez les politiques destructrices que vous mettez en œuvre aux politiques sensées de certains autres pays, vous pouvez clairement voir que les dommages que vous avez causés n’ont fait qu’ajouter des victimes au nombre des personnes qui ont été touchées par le virus.
L’économie que vous avez ruinée, le nombre de chômeurs que vous avez engendré et les enfants dont vous avez détruit l’éducation, il s’agit là de victimes de trop, qui résultent de vos mesures.
Il n’y a actuellement aucune urgence médicale, mais vous entretenez soigneusement cette illusion depuis deux ans maintenant à cause de votre soif de pouvoir, d’argent et de contrôle.
Il n’y a désormais qu’une seule urgence : que vous puissiez toujours prendre des décisions politiques et que vous allouiez un budget faramineux pour vos actions de propagande et d’ingénierie des consciences, au lieu de les diriger vers un renforcement du système de santé.
Cet état d’urgence doit cesser !
Une fausse pandémie qui sert bien un régime totalitaire,comme au Québec!
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