Dictature Sanitaire Mondiale en formation:En France,Jean Castex dépose un projet de loi autorisant le “placement” des non-vaccinés

Après l’Australie, le Canada et la Nouvelle-Zélande, la variante Omacron prévoit d’enfermer les non vaxxés dans des Goulags nasitaires. Après avoir terrorisé et éliminé les syndicats, les gilets jaunes, et tous ceux qui osent contester ou discuter les oukases de la fiotte élyséenne, voilà le must de l’arnaque pandémique : le goulag nasitaire. 

De nombreux camps ont déjà été bâti en Australie depuis le début de l’année!

 

Le « placement » des non-vaccinés, c’est-à-dire leur installation forcée dans un lieu qui ne serait pas leur domicile, fait partie des mesures prévues par le projet de loi nº 3714 instituant un régime pérenne de gestion des urgences sanitaires. Ce texte hallucinant, déposé le 21 décembre à l’Assemblée Nationale, utilise le prétexte sanitaire pour transformer ce pays en véritable dictature. Il autoriserait le gouvernement à prendre des décrets qui nous font basculer dans un régime qui ne s’appelle plus la démocratie. Le texte sur le passe sanitaire devrait être un leurre pour cacher des dispositions qui constituent une rupture majeure avec la logique républicaine.

Installer des non-vaccinés dans des lieux d’hébergement loin de leur domicile ? Oui, ce sera possible avec le projet de loi instituant un régime pérenne de gestion des urgences sanitaires, que le gouvernement a déposé au Parlement selon le dispositif de la procédure accélérée, qui limite les débats parlementaires. 

Il faut absolument lire ce texte pour comprendre quelle rupture il introduit dans nos traditions démocratiques

Un projet de loi préparé de longue date

Bien entendu, ce texte n’est pas né avec le variant O Micron [O Macron] et la panique simulée qui l’entoure. Il est préparé de longue date, et cherche à inscrire dans les textes les pouvoirs d’exception que le gouvernement a demandé depuis un an et demi pour gérer la crise avec le brio que l’on connaît. 

L’essentiel du texte, qui tient en cinq articles, vise à créer un régime de “crise sanitaire” et un autre “d’urgence sanitaire” qui donneraient des pouvoirs exceptionnels au gouvernement. 

Dans ces pouvoirs exceptionnels, il faut surtout comprendre qu’il s’agit d’autoriser le gouvernement à violer gravement les libertés sans aucun contrôle parlementaire. 

Nous vous proposons ici une présentation “panoramique” de ce texte pour en comprendre les enjeux. 

 

Un régime pérenne d’urgence…

Premier point qui en dit long sur les véritables intentions du texte : il s’agit de créer un “régime pérenne” en matière d’urgences sanitaires. Sous-entendu : d’autres épidémies sont à venir, et il faut désormais disposer d’un appareil juridique qui permette d’y faire face.

Ceux qui accusaient le gouvernement de vouloir faire durer les épidémies pour s’arroger des pouvoirs exceptionnels ont été régulièrement taxés de complotisme. 

Ce texte qui comporte 92 pages avec son intéressante étude d’impact montre qu’ils étaient plutôt fine mouche. 

Des centaines de manifestants à Sydney,Australie,le 24 juillet5 2021

L’invention burlesque de l’état de crise sanitaire

Première innovation estomaquante : le gouvernement propose de créer un “état de crise sanitaire”. 

Cet état serait proclamé de la façon suivante : 

L’état de crise sanitaire peut être déclaré sur tout ou partie du territoire métropolitain ainsi que du territoire des collectivités mentionnées à l’article 72‑3 de la Constitution en cas de menace ou de situation sanitaire grave aux fins de prévenir ou de limiter les conséquences de cette menace ou de cette situation. Il peut également être déclaré, à l’issue de l’état d’urgence sanitaire prévu à l’article L. 3131‑5, afin de mettre fin à la catastrophe sanitaire ou d’en réduire les conséquences sanitaires.

« L’état de crise sanitaire est déclaré par décret motivé pris sur le rapport du ministre chargé de la santé.

Autrement dit, lorsque le gouvernement considérerait qu’il existe une crise sanitaire, il prendrait un décret pour s’arroger des pouvoirs exceptionnels. 

Mais qu’est-ce qu’une crise sanitaire  “grave” ? Le texte ne le dit pas, et prend bien garde de ne surtout pas le définir. 

Voilà qui s’appelle un chèque en blanc donné au gouvernement pour prendre le prétexte de n’importe quelle grippe pour suspendre les libertés. 

Les pouvoirs exceptionnels en cas de crise sanitaire

En cas de “crise sanitaire”, des pouvoirs exceptionnels sont confiés au gouvernement :

  1. le Premier Ministre peut fixer les prix
  2. le Premier Ministre peut réquisitionner des biens et des personnes
  3. le ministre de la Santé peut décider “le placement et le maintien en isolement des personnes affectées ou contaminées, au sens de l’article 1er du règlement sanitaire international de 2005, ou la mise en quarantaine des personnes susceptibles d’être affectées ou contaminées“
  4. le ministre de la Santé peut prendre “toute mesure permettant la mise à la disposition des patients de produits de santé”
  5. le ministre de la Santé peut prendre “toute autre mesure relative à l’organisation et au fonctionnement du dispositif de santé”

On mesure ici l’étendue des pouvoirs exceptionnels accordés au Premier Ministre et au ministre de la Santé. 

On notera en particulier que celui-ci aura la faculté de “placer” toute personne susceptible d’être contaminée… Cette violation sans contrôle des libertés est tout simplement hallucinante. 

L’état d’urgence sanitaire…

L’état d’urgence sanitaire est une sorte de degré supérieur dans la crise sanitaire. Il est prononcé “en cas de catastrophe sanitaire mettant en péril, par sa nature et sa gravité, la santé de la population”.

Cet état d’urgence serait déclaré par décret en conseil des ministres… “Les données scientifiques disponibles sur la situation sanitaire qui ont motivé la décision sont rendues publiques.”

On ne pouvait imaginer de forme plus simple et plus “dépouillée” pour prendre des décisions de ce genre. 

Rappelons que, en l’état actuel des choses, l’urgence sanitaire suppose une loi. On comprend quelle dégradation démocratique le projet gouvernemental introduit. 

Les pouvoirs exceptionnels en cas d’urgence sanitaire

Jean Castex,premier-ministre de France

En cas d’urgence sanitaire, le gouvernement dispose des pouvoirs exceptionnels de la “crise sanitaire”, et de quelques pouvoirs supplémentaires :

  1. le Premier Ministre peut “réglementer ou interdire la circulation des personnes et des véhicules et réglementer l’accès aux moyens de transport et les conditions de leur usage”
  2. le Premier Ministre peut aussi “interdire aux personnes de sortir de leur domicile, sous réserve des déplacements strictement indispensables aux besoins familiaux ou de santé”
  3. le Premier Ministre peut “ordonner la fermeture provisoire et réglementer l’ouverture, y compris les conditions d’accès et de présence, d’une ou plusieurs catégories d’établissements recevant du public ainsi que des lieux de réunion, en garantissant l’accès des personnes aux biens et services de première nécessité”
  4. le Premier Ministre peut encore “limiter ou interdire les rassemblements sur la voie publique ou dans un lieu ouvert au public ainsi que les réunions de toute nature, à l’exclusion de toute réglementation des conditions de présence ou d’accès aux locaux à usage d’habitation”
  5. le Premier Ministre peut aussi “prendre toute autre mesure limitant la liberté d’entreprendre”…
  6. le Premier Ministre peut enfin “subordonner les déplacements des personnes, leur accès aux moyens de transports ou à certains lieux, ainsi que l’exercice de certaines activités à la présentation des résultats d’un test de dépistage établissant que la personne n’est pas affectée ou contaminée, au suivi d’un traitement préventif, y compris à l’administration d’un vaccin, ou d’un traitement curatif”

On mesure là encore l’étendue des pouvoirs exceptionnels que le gouvernement peut s’accorder sur simple décret lorsqu’une “catastrophe sanitaire” survient, dont on ne mesure pas bien la définition ni les éléments objectifs de déclenchement. 

Des mesures définitivement liberticides

Le chapitre sur les “dispositions communes” concernant la crise sanitaire et l’urgence sanitaire en disent long sur l’implosion prévisible de la démocratie une fois ce texte adopté. 

Ainsi, la loi prévoit cette mesure scélérate : “Sous réserve des obligations résultant du droit international et du droit de l’Union européenne, les projets d’actes réglementaires pris sur le fondement des dispositions du présent chapitre sont dispensés de toute consultation préalable obligatoire prévue par une disposition législative ou réglementaire, à l’exception de celles prévues par ce chapitre”.

Autrement dit, les corps intermédiaires ne sont plus consultés lorsque la crise sanitaire arrive. Le gouvernement décide seul. 

En outre, les Préfets sont autorisés à prendre eux-mêmes les mesures liberticides que le gouvernement est autorisé à prendre au niveau national. 

Les éléments d’une véritable dictature sous couvert de menace sur la santé publique sont posés. 

L’inquiétant “placement” des dissidents

Un paragraphe mérite d’être lu très attentivement. Il s’agit du futur article L 3131-12 du Code de la Santé Publique, qui précise le régime du “placement” des personnes. 

Cette mesure est prononcée “par décision individuelle motivée du représentant de l’État dans le département sur proposition du directeur général de l’agence régionale de santé”.

Le texte précise que le placement peut “se dérouler, au choix des personnes qui en font l’objet, à leur domicile ou dans des lieux d’hébergement adaptés.” 

Le texte apporte deux précisions importantes sur les interdictions qui peuvent être faites aux personnes placées :

« 1° Ne pas sortir de son domicile ou du lieu d’hébergement, sous réserve des déplacements qui lui sont spécifiquement autorisés par l’autorité administrative. Dans le cas où un isolement complet de la personne est prononcé, il lui est garanti un accès aux biens et services de première nécessité ainsi qu’à des moyens de communication téléphonique et électronique lui permettant de communiquer librement avec l’extérieur ;

« 2° Ne pas fréquenter certains lieux ou catégories de lieux.

Enfin, la loi ajoute :

“Lorsque la mesure impose à l’intéressé de demeurer dans le lieu où la quarantaine ou l’isolement se déroule plus de douze heures par jour, elle ne peut se poursuivre au‑delà d’un délai de quatorze jours sans que le juge des libertés et de la détention, préalablement saisi par le représentant de l’État dans le département, ait autorisé cette prolongation.”

Autrement dit, le gouvernement s’arroge le droit de “confiner” strictement les personnes susceptibles d’être contaminées dans des lieux d’hébergement, pendant deux semaines, sans que le juge des libertés ne soit saisi. 

Pouvoirs “informatiques” exceptionnels

Enfin, le texte du gouvernement a cette formulation curieuse dont on finit par se demander ce qu’elle vise au juste :

En cas de situation sanitaire exceptionnelle ou pour tout événement de nature à impliquer de nombreuses victimes, notamment les accidents collectifs, les informations strictement nécessaires à l’identification des victimes et à leur suivi, notamment pour la prise en charge de leurs frais de santé, sont recueillies dans un système d’identification unique des victimes.

Mais quels accidents collectifs le gouvernement a-t-il en tête ?

En tout cas, on voit que “l’urgence sanitaire” a bon dos. Elle constitue un véhicule idéal pour faire passer des mesures de fichage très variées, que la CNIL refusait jusqu’ici. 

Une rupture avec la démocratie

Dans le principe, utiliser la crise sanitaire pour créer le précédent d’un régime où le gouvernement peut décider, sans autorisation du Parlement (même si nous avons bien conscience de la faiblesse de ce Parlement), de s’octroyer des pouvoirs liberticides de cette importance, en dit long sur l’instrumentalisation du COVID. 

Beaucoup, depuis mars 2020, répètent en boucle (et c’est notre cas), que le COVID est le prétexte à autre chose, en particulier à une marginalisation du processus démocratique au profit de la caste mondialisée. 

Ce texte en constitue la meilleure illustration et la meilleure preuve. 

Source: Le Courrier des Stratèges


EN COMPLÉMENTAIRE

Camp de concentration australien de Covid…en rappel

 

établissement de quarantaine de Howard Springs à Darwin pour les Australiens revenant de l’étranger porte plusieurs noms. Le gouvernement l’a surnommé – sans ironie intentionnelle – le « Center for National Resilience » et le « Golden Standard », rapporte The Conservative Woman .

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Le terme le plus précis est « quarantaine surveillée obligatoire ». En d’autres termes, nous ne sommes pas convaincus que les compatriotes de retour, qui ont probablement payé une fortune aux compagnies aériennes pour revenir ici, se comporteront avec honneur et se mettront en quarantaine dans un lieu de leur choix. D’autres n’ont pas été aussi gentils dans leurs descriptions de l’établissement de Howard Springs, alors que de nouvelles histoires continuent de faire surface sur le traitement cruel des « prisonniers » pour mauvaise conduite.

Les rapports d’abus dans les installations de quarantaine australiennes ne sont pas nouveaux. Beaucoup d’entre nous ont récemment été amusés par l’article de Katie Hopkins sur le nouveau style australien d’hospitalité envers les visiteurs. Cela n’inclut pas les différents ministres qui l’ont expulsée du pays. (Je crois qu’elle se porte bien actuellement en Floride, où le traitement d’un récalcitrant au Covid est légèrement plus humain que dans ces colonies pénitentiaires du XXIe siècle).

Il y a eu les horribles rapports du fiasco de la quarantaine de Melbourneen 2020, ce qui a conduit à une commission d’enquête, mais malheureusement aucune sanction des auteurs politiques et bureaucratiques. (L’enquête a été qualifiée de « blanchiment d’argent). En effet, personne au gouvernement n’a admis avoir pris la décision d’embaucher des entrepreneurs privés pour sécuriser le système de quarantaine de l’hôtel, et le comité n’a pas été en mesure de prouver qui avait pris la décision. La Commission n’a pas été en mesure de prouver qui avait pris la décision. Le contrat a été attribué au personnel du tristement célèbre Premier ministre de Victoria, Daniel Andrews, dont on a découvert plus tard qu’il avait eu des relations sexuelles avec des prisonniers, ce qui a entraîné une série de problèmes, notamment des atteintes à la sécurité et un manque de formation appropriée.

Les plus de 700 personnes décédées de Covid à Melbourne à l’hiver 2020 constituent toujours la grande majorité des décès australiens attribuables à Covid. C’était l’année dernière. Cette année, malgré la hausse actuelle en Nouvelle-Galles du Sud, le nombre de décès est en baisse, touchant principalement les personnes de plus de quatre-vingts ans . Des conditions de quarantaine strictes restent en place et des histoires effrayantes circulent sur les réseaux sociaux sur les conditions dans les hôtels de quarantaine.

Un « prisonnier » a décrit son expérience pour cairnsnews.org : « Pas d’air, pas hors de la pièce pendant 338 heures, la deuxième fois en 11 jours ici, quelqu’un a complètement détruit sa chambre en hurlant des bébés. Je pense que ce type pensait qu’il partait aujourd’hui, mais en fait il partait ce soir à 23h59. Tu deviens fou quand tu es tout seul. Est-ce vraiment nécessaire? J’ai moi-même eu 9 tests négatifs avant d’être mis en quarantaine à domicile, et j’ai été vacciné. Mais pourquoi? Quel est le prix de la santé mentale pour les Victoriens… est-ce que quelqu’un s’en soucie ? Cet homme est menacé par les autorités d’être « gazé » s’il ne se calme pas.

Un autre a répondu sur Twitter à propos d’Howard Springs.

Howard Springs CV Quarantine Camp en Australie pour toutes les personnes « dangereuses » pour la société. Des rapports font maintenant surface selon lesquels des détenus (ce n’est pas une erreur) se voient refuser de la nourriture pour avoir enfreint des règles mineures. Puis-je vous demander. Cela vous rappelle-t-il une partie de notre histoire? Pouvez-vous déjà le voir?

https://twitter.com/Graham333888/status/1436602247887077377

« J’ai bien peur que ce soit un camp d’internement et si vous ne le voyez pas, vous êtes condamné. Il y avait une femme de 33 ans qui a fait ses valises, s’est dirigée vers la porte, a jeté ses bagages par-dessus, a escaladé la barrière et s’est éloignée, tandis que des personnes abasourdies la filmaient sur leurs téléphones portables. La police l’a rattrapée 15 minutes plus tard et elle a été condamnée à une amende de près de 4 000 $.

https://twitter.com/AwakenedLegal/status/143671406006006349826

Il est extrêmement difficile d’aller au fond de ces rapports, car les médias et les radiodiffuseurs publics ne publient jamais de telles histoires ni n’enquêtent sur des allégations d’agression qui pourraient saper l’histoire officielle de Covid. Et bien sûr, vous ne trouverez jamais ces histoires sur un moteur de recherche qui fait taire si efficacement les dissidents. Ce que vous pouvez faire, c’est vous demander si les histoires sur les installations de quarantaine sont plausibles compte tenu de ce que nous savons d’autre. Et nous en savons beaucoup. Nous savons que:

  • – La police a tiré des balles en caoutchouc sur des manifestants et utilisé du gaz poivré dans les rues de Melbourne ;
  • – Le commissaire de police de Victoria, Shane Patton, a annoncé que deux commandos Covid distincts avaient été mis en place pour fonctionner au moins jusqu’à la fin de 2022, et peut-être indéfiniment ;
  • – Victoria est en train de construire une installation de quarantaine, ainsi que le Queensland (une installation de 1 000 lits à l’aéroport de Wellcamp à l’ouest de Brisbane) ;
  • – Les résidents des immeubles à appartements de Sydney qui ont été enfermés par NSW Health sont surveillés pour leur approvisionnement en alcool dans le cadre d’une politique visant à limiter les consommations par jour, c’est-à-dire six bières ou des quantités équivalentes de vin et de spiritueux, tout excès d’alcool étant confisqué;
  • – Des couvre-feux ont été mis en place à Melbourne et à Sydney pour enfermer les gens chez eux après 21 heures ;
  • – Des militantes telles que Monica Smit de Reignite Democracy Australia ont été arrêtées et emprisonnées pour avoir organisé des manifestations ;
  • – À Sydney, des écoliers ont été « pilotés » vers des stades sécurisés par la police pour se faire vacciner après que des pressions eurent été exercées sur eux pour leurs prochains examens du diplôme d’études supérieures ;
  • – De lourdes amendes sont infligées pour non-respect de diverses réglementations en matière de santé publique ;
  • – Le gouvernement de la Nouvelle-Galles du Sud licencie ses propres enseignants pour ne pas se faire vacciner, dans un État où le Premier ministre a déclaré que « ceux d’entre vous qui choisissent de ne pas se faire vacciner sont votre choix, mais ne vous attendez pas à ce qu’ils fassent tout ce qu’ils peuvent faire que font les vaccinés, même lorsque nous atteignons 80 pour cent [double vacciné] » ;
  • – Des gardes armés et l’armée ont sécurisé des bâtiments de verrouillage dans la banlieue de Sydney ;
  • – Selon la feuille de route NSW récemment publiée sur les blocages, les personnes non vaccinées ne sont pas autorisées à rendre visite aux vaccinés.

Compte tenu de toutes ces violations flagrantes des droits de l’homme et du processus démocratique, pourquoi ne pas croire les histoires qui sortent des installations de quarantaine ? Compte tenu de ce que notre police criminelle est prête à faire en public, rien ne devrait nous surprendre de ce qu’elle fait à huis clos. Je trouve ces messages tout à fait plausibles.

C’est bien beau que les chouchous des médias comme Claire Lehman de Quillette se moquent et accusent ceux d’Australie et des États-Unis qui craignent pour notre avenir et nous comparent (à juste titre) à des régimes totalitaires avec des camps armés de l’hyperbole. Selon elle, nous restons « une nation toujours fière de ses citoyens et rayonnante d’un sens communautaire ». La vraie histoire de nos banlieues hantées, de nos villes fantômes, de ces misérables tours d’appartements où les incarcérés silencieusement ou bruyamment deviennent fous, et des camps de quarantaine clairement brutaux, font allusion à une nation très différente de celle que Lehman imagine. Je suppose qu’elle considère ces développements comme un prix à payer pour un faible taux de mortalité de Covid par rapport à d’autres pays (dans l’hémisphère Nord). Un résultat qui n’a rien à voir avec nos interventions non médicales extrêmes. Peut-être n’est-elle pas au courant de l’impressionnante littérature internationale sur la futilité médicale des blocages et des diverses explications du faible taux de mortalité de Covid en Australie.

Le comportement de la classe politique ressemble à de la violence domestique et des abus. Il a toutes les caractéristiques et les tactiques d’un comportement abusif, la peur suscitée par l’agressé n’étant que le signe le plus clair de ce qui se passe. Cela a conduit à un déclin rapide de la vie civile en Australie, Daniel Andrews déclarant que « seuls les vaccinés pourront participer à l’économie du futur ». Ce qui semble se passer derrière des portes de quarantaine fermées a tout à voir avec un État policier devenu incontrôlable.

Qui détruit notre dignité pour nous garder en sécurité.


L’AGHENDA 21 INSCRITE DANS LA GEORGIA GUIDESTONE

Le Georgia Guidestone Monument, également connu sous le nom d’American Stonehenge, a été érigé en 1979 près d’Elberton, en Géorgie, le long de l’autoroute 77.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

On peut s’attendre à ce que l’Agenda 21 des Nations Unies commence à être mis en œuvre, résultant en :

  • Une prise de contrôle mondiale par un gouvernement mondial unique
  • Abrogation des libertés individuelles et des droits de propriété et asservissement de l’humanité
  • L’incapacité d’acheter ou de vendre, à moins que vous ne receviez une puce électronique dans votre corps (main ou tête), obtenue uniquement en prêtant allégeance aux nouveaux dirigeants (alimentés par le mal). 
  • Beaucoup de morts et de sang qui coule
  • La liberté et la paix ne reviendront sur terre qu’après l’ultime bataille entre le bien et le mal. (Indice : Dieu gagne.)

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Pandémie et migrations : un monde « fermé »

 

 

 

Pour limiter la propagation du coronavirus, de nombreux pays ont fermé leurs frontières et multiplié les restrictions de circulation. Effet notable de cette dynamique de fermeture, un grand nombre d’Européens se retrouvent dans une position (certes temporaire) d’immobilité, alors que leurs passeports leur permettaient il y a peu de visiter près de 180 pays sans autorisation préalable. Rarement, sauf en temps de guerre, les citoyens européens ont-ils connu de telles restrictions à leur mobilité, non seulement à l’extérieur mais aussi à l’intérieur de l’Europe. Cette restriction des mouvements revêt une dimension inédite : elle s’applique désormais aux populations du nord, alors qu’elle s’impose en temps normal aux « migrants » du sud.

 

La protection des frontières comme protection des vies 
Toutefois, si la crise sanitaire a momentanément modifié les modalités du contrôle des frontières européennes, l’essence de sa rationalité, fondée sur la  « protection » des populations des pays du nord vis-à-vis de celles du sud, demeure largement intacte. Ces restrictions s’inscrivent tout d’abord dans une logique de protection de (certaines) vies, et non pas dans une logique traditionnelle de la souveraineté de l’Etat, sécuritaire, économique ou encore identitaire, associée souvent à une incompatibilité culturelle fantasmée. En vertu de cette protection, et en particulier de l’impératif de préserver la santé, les gouvernements britannique, français ou allemand, entre autres, ont mis des millions d’euros à disposition pour rapatrier leurs citoyens
En outre, cette logique de protection de la vie des Européens se manifeste dans la reconfiguration des catégories de migrants considérés comme utiles. Les personnes exerçant des professions liées à la protection des vies sont devenues désirables et leur mobilité comme leur résidence dans les pays du nord ont été facilitées. Ainsi, les États-Unis ont levé des restrictions en matière de visa pour les professionnels de santé étrangers tout en maintenant, voire en limitant, le déplacement d’autres migrants. Au Royaume-Uni, en Espagne et en Allemagne, des processus accélérés de reconnaissance des diplômes étrangers pour les métiers du secteur médical ont été mis en place pour mobiliser les migrants médecins. Dans le secteur agricole, l’Allemagne, le Royaume-Uni ou encore les Pays-Bas ont également fait appel à des migrants d’Europe de l’Est pour travailler à la récolte des fraises et des asperges, afin d’assurer la continuité alimentaire des populations. Jusqu’à 80.000  « saisonniers » pourraient venir en Allemagne, et 90.000 au Royaume-Uni, pour ces récoltes.   
Des réfugiés nigériens en Italie..c’était juste avant les événements actuels!
Les migrants comme menace biologique ?
En même temps, comme dans tous les contextes de fermeture des frontières, les traversées illégales vers l’Europe représentent toujours un danger mortel. Les autorités italiennes et maltaises ont officiellement fermé leurs ports début avril à toute arrivée de bateaux de migrants. Après l’arrivée en Sicile d’un groupe de 276 Africains sauvés par une ONG, dont aucun n’était infecté par le coronavirus, l’ancien ministre de l’Intérieur italien Matteo Salvini a demandé la démission du Premier Ministre au nom de la protection de la population italienne, en affirmant « qu’il n’était pas capable de défendre l’Italie et les Italiens ». A l’image des discours sur la « menace terroriste », le Covid-19 est construit en tant que danger provenant de « l’extérieur » et véhiculé par les corps migrants [1]. Le Président des États-Unis, Donald Trump, a même procédé à une racisation de la maladie, en parlant d’un  « virus chinois », afin de justifier et de renforcer son agenda sécuritaire envers les migrants. En 2015, alors candidat à l’élection présidentielle, Trump présentait déjà les migrants mexicains comme des prédateurs et des agresseurs et comme porteurs de maladies infectieuses.  
L’accusation selon laquelle les migrants importent bactéries, virus et maladies et mettent en danger la vie des natifs n’est pas nouvelle. C’est cette lecture des migrations comme menace biologique qui a été prôné lors de la première conférence internationale de santé globale entre les puissances coloniales britannique, ottomane, française, néerlandaise et belge à Istanbul en 1865, à la suite de l’épidémie de choléra qui avait débuté pendant le pèlerinage à la Mecque. Cette association a également mené à la création du centre de rétention et de tri d’Ellis Island en 1892 à New York après une autre épidémie mondiale de choléra.  
Au nom de cette association avec les maladies, les migrants sont accusés de faire peser une charge sur les systèmes de santé des pays du nord. En période de pandémie plus que jamais, on insiste sur une pénurie des ressources. Selon cet argument, les États européens disposeraient de capacités de soins limitées, ce qui les empêcherait de recevoir et de prendre soin des migrants. Ils se réfèrent à un point de basculement imaginaire au-delà duquel les sociétés européennes passeraient de la cohésion sociale au chaos. Cette notion de « basculement » justifie alors l’exclusion des migrants.
Dans certains contextes, les migrants sont ainsi livrés à eux-mêmes. Non seulement les frontières leur sont fermées mais les procédures d’asile sont souvent suspendues – comme en Espagne, en Grèce, aux Pays-Bas et en Hongrie – ou fortement ralenties, dans toute l’Europe. Privés non seulement de l’accès aux soins mais aussi aux démarches juridiques ainsi qu’à d’autres ressources et services vitaux tels que le soutien des associations, le confinement pour un migrant exacerbe souvent la précarité. Certains camps deviennent des lieux de quarantaine sous le prétexte d’éviter une contamination des populations européennes. En Grèce, une campagne d’information du gouvernement intitulée « StayInCamps » a été orchestrée à l’attention des résidents des camps et des hotspots du pays, sur le modèle de l’appel à rester chez soi adressé aux citoyens et aux résidents. En Serbie, la quarantaine a été imposée à toutes les structures de rétention. Ces mesures de confinement ont été élargies à des groupes sociaux présentés comme dangereux, notamment les populations roms.  
La précarité affecte souvent plus fortement les migrants travaillant dans certains secteurs tels que celui du care, qui dans de nombreux pays repose sur le travail des femmes étrangères employées à domicile comme nounous, aides ménagères ou badante (aides à domicile, en italien) qui s’occupent des personnes âgées et dépendantes. Si dans quelques pays, comme en France, le gouvernement a annoncé qu’il remboursera les employeurs des heures non travaillées (qui seront payées à hauteur de 80%), dans la plupart des pays, ces migrants, qui sont surtout des migrantes, ne disposent d’aucune protection sanitaire et sociale. Les travailleurs les plus exposés, tels les caissières, le personnel d’entretien ou les livreurs des plateformes, sont par ailleurs souvent les plus précaires en termes de statut et d’emploi.
Une troisième voie universaliste ?
Au-delà des deux régimes exposés ici – l’un qui vise à filtrer les migrants selon leur capacité à protéger et guérir les populations, et l’autre fondé sur une exclusion généralisée de tous les migrants présentés comme une menace biologique pour le corps national – une troisième réponse s’esquisse également. Dans certains pays, la crise sanitaire portée par le Covid-19 a été l’occasion de mettre en œuvre des mesures inclusives envers les migrants. Le Portugal a ainsi commencé la régularisation temporaire des étrangers en situation irrégulière le 30 mars. Le gouvernement italien a annoncé quant à lui vouloir prendre des mesures similaires pour les sans-papiers, notamment ceux qui travaillent aux champs, les quelques « 600.000 personnes sous-payées et exploitées de façon souvent inhumaine » selon la ministre de l’Agriculture. 
Ces mesures relèvent-t-elles d’une stratégie d’incitation pour augmenter la productivité des migrants, ou bien témoignent-elles d’une solidarité envers les migrants, dans une logique humanitaire de protéger les plus vulnérables ? Selon une autre perspective, elles pourraient être un moyen de protéger la population, en soignant tous les malades sur place afin d’éviter une future contamination. Ces mesures pourraient-elles, enfin, être l’expression d’une vision cosmopolite, au sein de laquelle le corps social n’est plus divisé par les frontières ? 
En somme, la crise sanitaire révèle non seulement la pluralité des régimes de maintien de la vie mais aussi, au sein d’un même régime, des stratégies et des cartes mentales disparates. L’issue « migratoire » de cette crise sanitaire demeure donc incertaine, à l’instar de la pluralité et des antagonismes de ces régimes frontaliers.
*Source : SciencesPo.fr

NOTE

[1] Coronavirus = Virus de Destruction Massive (VDM)

 

 


Comme le montre la carte ci-dessus, qui date de ce jour, ce sont l’Europe et les États-Unis qui contaminent le reste du monde. Ce sont les immigrés qui reviennent de ces pays qui ramènent le Covid avec eux. C’est ce que l’on constate partout en Afrique, en Amérique du Sud et au Moyen-Orient.
En Amérique,le Québec est devenu le centre chaud de l’épidémie au Canada,suite à la négligence volontaire des autorités fédéralistes..
En regardant cette carte,nous avons l’impression d’y voir un plan de dépopulation massive.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Humanité en danger:Les nouveaux cavaliers de l’apocalypse

Si le livre de l’Apocalypse du Nouveau Testament symbolisait par quatre cavaliers les grands maux annonciateurs de la fin des temps, des scientifiques singapouriens ont revu le concept pour les temps actuels.

Les fléaux qui menacent maintenant l’humanité sont, selon eux, la surpopulation, la mondialisation, l’hyperconnectivité, et la diminution du nombre des chaînes d’approvisionnement.

Les Quatre Cavaliers de l'Apocalypse originaux (de gauche à droite) : Mort, Famine, Guerre et Conquête dans un tableau de 1887 par Viktor Vasnetsov
Les Quatre Cavaliers de l’Apocalypse originaux (de gauche à droite) : Mort, Famine, Guerre et Conquête dans un tableau de 1887 par Viktor Vasnetsov

« Il existe actuellement quatre conditions systémiques générales, et facilement observables, qui forment un réseau pathologique qui pousse la civilisation vers une autodestruction potentielle », affirment les scientifiques Kang Hao Cheong et Michael Jones de l’Université de technologie et de design de Singapour dans leurs travaux publiés dans la revue BioEssays (en anglais).

Ces travaux sont basés sur des observations empiriques, c’est-à-dire des données issues de l’observation. Ils ont fait l’objet d’un examen complet par des pairs.

« La pandémie actuelle dévoile de graves problèmes dans la dynamique mondiale du commerce, de la gouvernance et de la santé publique. » – Kang Hao Cheong, SUTD

1. La surpopulation

La planète compte presque 8 milliards d’humains, et leur nombre augmente particulièrement vite depuis la révolution industrielle. La population mondiale a atteint un premier milliard d’humains autour de 1800, un deuxième milliard en seulement 130 ans vers 1930, puis un troisième milliard en 30 ans, vers 1960. Le quatrième milliard en 15 ans, en 1974, et le cinquième milliard en seulement 13 ans, en 1987.

La Chine et l’Inde comptent à eux seuls, respectivement, 19 % et 18 % de la population mondiale.

 

Au cours du siècle dernier, la population est ainsi passée de 1,7 milliard à 6 milliards. Des humains qui vivent de plus en plus dans des villes. De nos jours, plus de 55 % de la population mondiale vit dans les zones urbaines. Un pourcentage qui devrait passer à 66 % en 2050, estiment les Nations unies.

2. L’hyperconnectivité

L’explosion démographique a mené à une urbanisation importante et à l’apparition de mégapoles partout sur la planète. Ces villes où vivent des millions de personnes sont desservies par des systèmes de transport très connectés : bus, métro, avions et voitures.

Vue aérienne d’autoroutes dans la ville de Shanghai.

 

Les chercheurs expliquent que l’hyperconnectivité au sein des villes, mais aussi entre elles, facilite la transmission des maladies contagieuses et favorise l’émergence de crises sanitaires majeures.

3. La mondialisation

Les activités humaines, qu’elles soient économiques, sociales, sanitaires ou politiques, se déroulent de plus en plus à l’échelle planétaire. Elles sont liées et interdépendantes. Cette réalité découle de l’évolution technologique des transports, des communications et du commerce, et a mené à la création d’organisations telles que l’ONU et le Fonds monétaire international (FMI).

 

Les activités humaines se déroulent de plus en plus à l’échelle planétaire.

 

Le duo de chercheurs estime que la crise de la COVID-19 est fondée en grande partie sur la mondialisation. Selon eux, la pandémie met en évidence un manque important de préparation à l’échelle internationale.

4. Des chaînes d’approvisionnement fragiles

La mondialisation a favorisé l’apparition d’entreprises multinationales. De nos jours, les grands ensembles démographiques sont alimentés par des chaînes d’approvisionnement concentrées et moins nombreuses, dont les produits se trouvent rarement en quantités excédentaires. Si la survie d’une partie de la population nécessite une ressource en particulier pour sa survie, comme des respirateurs, la situation peut rapidement entraîner une catastrophe.

L’apocalypse 2.0

La pandémie ne serait, selon les chercheurs, qu’un exemple des catastrophes qui pourraient potentiellement frapper l’humanité en raison de la dynamique des quatre nouveaux cavaliers de l’apocalypse qui poussent la civilisation vers l’autodestruction.

Dans l’avenir, ces quatre facteurs pourraient se propager à d’autres domaines vitaux, en déstabilisant davantage l’économie et la géopolitique, mais aussi en entraînant d’autres effets multiplicateurs de deuxième et troisième ordres, et provoquer une catastrophe sans précédent.

Les chercheurs singapouriens comparent même le mode de vie d’une majorité d’humains à celui de poulets dans les mégafermes d’élevage.

Vue aérienne de la ville d’Hong Kong.

 

« La douloureuse vérité est que les grandes villes ressemblent aux gigantesques élevages en milieu confiné », expliquent les auteurs.

« Comme les poulets de l’industrie agroalimentaire, les humains sont entassés dans des cages climatisées (des tours d’habitation) et nourris avec des aliments transformés et des antibiotiques. » – Extrait de leurs travaux

Selon eux, comme dans le cas de ce type d’élevage industriel, des maladies épidémiques peuvent frapper du jour au lendemain et frapper l’humanité.

La pointe de l’iceberg

La présente crise, expliquent les chercheurs, devrait mener à une prise de conscience collective et à une remise en question du système afin d’empêcher que des catastrophes encore plus graves ne se produisent.

« Ces quatre conditions peuvent être inversées par une action collective pour commencer à créer un monde post-COVID-19 durable et prospère. » – Extrait de leurs travaux

Le principe de précaution

Les actions recommandées par les deux chercheurs sont basées sur l’application du principe de précaution.

Ce principe, avancent les chercheurs, exige que les décisions prises donnent la priorité à la prévention proactive d’une catastrophe, même si la probabilité de sa survenue ne peut être établie avec précision.

Ils estiment qu’il n’est possible de prévoir ni le moment ni les déclencheurs d’une catastrophe fatale pour l’humanité, mais pensent que pour assurer sa survie celle-ci doit s’y préparer.

« Même si la COVID-19 n’est pas l’iceberg qui a coulé le Titanic pour l’humanité, elle est certainement un avertissement important qui devrait nous sensibiliser au fait que nous naviguons dans une mer dangereuse qui est de plus en plus encombrée d’icebergs », explique Michael Jones.

« Bien cerner les risques de la navigation dans de telles conditions devrait mener à un changement de cap mondial fondé sur le principe de précaution. » – Kang Hao Cheong

Pour relever ce défi, l’humanité devra entreprendre des transformations majeures en se basant sur nos connaissances en biologie et sur la compréhension des systèmes complexes qui interagissent les uns avec les autres.

Outre les transformations politiques, sociales, et culturelles qu’ils devront réaliser, les humains devront aussi revoir la relation qu’ils entretiennent avec la planète, une relation que les chercheurs qualifient de maligne et pathologique .

« Nous devrons construire des institutions durables et revoir nos comportements sociaux pour qu’ils s’inspirent de la vie, plutôt que de vivre dans des systèmes qui défient les principes d’un état vivant », affirme Michael Jones.

« Nous pensons qu’il est extrêmement urgent de comprendre les conditions systémiques qui ont mené à une telle pandémie. » – Extrait de leurs travaux

« Il faut comprendre pourquoi ces conditions doivent être modifiées afin de prévenir des événements semblables encore plus graves, plus complexes et qui pourrait menace la survie même de l’humanité », concluent les chercheurs.

MA CONCLUSION

Ces chercheurs ont certainement mis de côté  le message de la Georgia Guidestone qui veut ramener l’humanité à une population de 500 millions d’habitants!

…ou bien ,ils  connaissent trop bien  ce projet illuminati!

Il est possible ,mais j’espère que non,que ce projet de dépopulation de la Terre soit très avancé ,plus avancé qu’on ne le pense  et qu’après la période actuelle de « pandémie manigancée  » nous allons être placé devans  deux choix: survivre en  esclave obéissant ou …être pret à mourir l’arme à la main pour conquérir notre liberté!

J’ai choisi de me battre…et vous?

Orson Wells disait jadis que l’on pouvait faire  inverser de mauvaises prédictions sur l’avenir de l’Humanité en prenant de bonnes décisions à temps!Il disait cela en faisant référence aux prophéties de Nostradamus!

Aussi je suis certain qu’avec un peu de courage et d’unité entre nous ,nous pouvons abolir le Nouvel Ordre Mondial illuminati ,détruire la puissance des Triades Chinoises et commencer un nouvel âge d’or….une Ère Nouvelle pour toute l’humanité!

Nous sommes déjà ,mais nous deviendrons davantage les Héritiers de l’Ère Nouvelle!