Aux frontières de l’inexplicable et de l’impossible

La Voix de la Russie et d’autres sources russes font état que d’une pièce d’équipement en aluminium ,évalué à plus de  300 millions d’années  qui a été trouvé près de  Vladivostok. Les experts affirment qu’il s’agit d’ un rail de vitesse qui semble avoir été  fabriqué, et non le résultat de forces naturelles.

Une pièce d'aluminium particulière.
Une pièce d’aluminium particulière.

Selon Ioulia Zamanskaya, quand un résident de Vladivostok allumait un  feu lors d’une froide soirée d’hiver, il a trouvé un dispositif de métal en forme de rail qui  était  enfoncé dans l’un des morceaux de charbon que l’homme utilisait  pour chauffer sa maison. Hypnotisé par sa découverte, le citoyen responsable a décidé de demander l’aide des scientifiques de la région de Primorye.

Après que l’objet métallique a été étudié par les experts de premier plan, l’homme a été choqué d’apprendre l’âge théorique de sa découverte. L’artefact métallique était soi-disant vieux de 300 millions d’années, et les scientifiques ont suggéré qu’il n’a pas été créé par la nature, mais a plutôt été fabriqué par quelqu’un d’intelligent.

Un engrenage ...préhistorique?
Un engrenage …préhistorique?

La question de savoir qui aurait pu faire un engrenage en aluminium ,à l’époque dite préhistorique,reste sans réponse.

La découverte ressemble à un rail métallique denté, créé artificiellement. C’est fabriqué  comme  les parties qui sont souvent utilisés dans les microscopes, divers dispositifs techniques et électroniques.

Aujourd’hui, trouver un étrange artefact dans le charbon est relativement fréquent. La première découverte de ce genre a été faite en 1851, lorsque les travailleurs de l’une des mines du Massachusetts ont  extrait un vase d’argent incrustés de zinc à partir d’un bloc de charbon, qui date de  l’ère cambrienne, qui était il y a environ 500.000.000 années .

Découverte en 1851.
Découverte en 1851.

Soixante et un ans plus tard, les scientifiques américains de l’Oklahoma ont découvert un pot de fer qui a été pressé dans un morceau de charbon âgé de  trois cent douze millions d’années (312.000.000 années).

Un pot incrusté dans le charbon.
Un pot incrusté dans le charbon.

Puis, en 1974, une partie d’assemblage d’aluminium d’origine inconnue, a été retrouvé dans une carrière de grès, en Roumanie.

Réminiscence d’un marteau ou un pied de support d’un vaisseau spatial(?), la pièce remonte à l’ère jurassique, et n’aurait pas pu être fabriqué par un être humain.

Une pièce   très ancienne...trop pour les scientifiques!
Une pièce très ancienne…trop pour les scientifiques!

Toutes ces découvertes laissent non seulement perplexes les experts, mais aussi ont sapé les doctrines les plus fondamentales de la science présumée moderne.La science « officielle et rationaliste »!Cette science-là nous dit que ces découvertes sont tout simplement impossibles,parce qu’elles dérangent l’ordre établi.Actuellement,il y a beaucoup de professeurs d’université qui ne servent plus à rien,parce qu’ils répètent uniquement ce qui est accepté comme vrai et écrit dans les « livres qu’ils tiennent,dans leurs mains ».

Une origine inconnue,indéfénissable.
Une origine inconnue,indéfinissable.

Une autre question qui intéresse les scientifiques russes est de savoir si l’alliage d’aluminium est d’origine terrestre . Il est connu qu’ à partir de l’étude des météorites qu’il existe de l’aluminium -26 extra- terrestre qui se modifie  ensuite au fil du temps, pour le magnésium -26 .

La présence de deux pour cent (2%)  de magnésium dans l’alliage peut également signaler  l’origine étrangère de l’artefact d’aluminium. Il pourrait également être la preuve d’ un certain passé , d’une civilisation inconnue sur Terre . Néanmoins , des études  supplémentaires sont nécessaires pour confirmer cette hypothèse .

Il s’agit de la première découverte du genre ,faite à partir de  charbon ,en Russie , selon la  chercheuse et biologiste  Valery Brier , qui a pris des échantillons microscopiques d’ aluminium pour les tests. Valery a exécuté  les analyses aux rayons X ,afin d’évaluer le dégré de diffraction du métal .

Elle a démontré qu’il s’agit d’ aluminium très pur avec des microimpuretés de magnésium de seulement 2 à 4 pour cent  (2 à 4%). Une analyse a également été réalisée par  une sommité  de l’Institut Saint-Pétersbourg de  physique nucléaire, Igor Okunev qui a confirmé l’âge du matériau ,selon Natalia Ostrovsky.

Tout en explorant des échantillons de carottes (échantillons de roche) qui ont été prélevés à une profondeur de 9 mètres pendant le forage des fonds marins, pour soutenir un  pont sur ​​une île russe près du Cap Nazimova , ils ont découverts des alliages métalliques étranges qui ont été  » conservées  » dans le grès préhistorique ,vieux de  deux cent quarante millions d’années (240.000.000 d’années ) .

Les pièces d’alliages spéciaux ont une composition inhabituelle , et elles n’étaient manifestement pas utilisées dans les machines de forage .

Il n’y a pas si longtemps en Russie un dispositif mécanique a été trouvé dans la roche volcanique qui a été daté de quatre cent millions d’années (400.000.000 d’années) avant l’ère actuelle ( BCE ).

Quelles explications nous fournira la science officielle sur ces engrenages préhistoriques?
Quelles explications nous fournira la science officielle sur ces engrenages préhistoriques?

Ce paquet d’engrenages fossilisés a  été trouvé sur la péninsule de Kamchatka à  une distance de  150 miles du village de Tigil, par les archéologues de l’Université de Saint-Pétersbourg, entre quelques fossiles très étranges. La fiabilité des découvertes a été certifiée.Les fossiles et les engrenages faisant partie du même ensemble,il est impossible de fabriquer ce genre de faux.

Selon l’archéologue Yuri Golubev, cette découverte  fossilisée proche  d’autres ossements d’animaux préhistoriques a étonné et embarrassé les  experts , car c’était une sorte de machine prise dans le même environnement que les fossiles d’animaux.(1)

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La coexistence des humains (?) avec les dinosaures

Théorie officielle sur l’évolution de l’homme

Depuis plus de 150 ans, les théories officielles sur l’évolution de l’espèce humaine nous ont permis d’aboutir sur le schéma suivant :

Les premiers représentants des hominidés étaient les australopithèques apparus il y a environ 4,5 millions d’années puis notre arbre généalogique a été bouleversé avec la découverte en 2002 de Toumaï âgé de 6 à 7 millions d’années. L’homme moderne est issu d’une lente évolution.

Cette évolution a donc produit une suite d’espèces d’hominidés dont nous sommes l’ultime et la plus aboutie de toute la lignée.
Partant de ce schéma, aucun homme moderne n’a pu vivre avant le quaternaire.

Tous les paléontologues sont d’accord sur un point et tous les livres nous le disent : L’homme moderne (homo sapiens) est apparu il y a entre 300 000 et 100 000 ans.

D’une manière très schématique :

Toumaï • Australopithecus • Paranthropus • Homo habilis • Homo ergaster • Homo erectus • Homo sapiens

Ce schéma est en fait beaucoup plus complexe et ne cesse de bouger en fonction des dernières découvertes et théories.

Résumé des périodes clefs

Avant de rentrer dans le vif du sujet, il est important de se souvenir de quelques dates clefs. Les scientifiques ont déterminé quatre périodes :

Ère primaire • ère secondaire • ère tertiaire • ère quaternaire

Ère primaire : de la formation de la Terre au Permien soit de 4 600 Ma à 250 Ma. Au tout début, la vie n’existait que dans l’eau. Apparition pendant cette ère des premiers nautiloïdes, plantes, arachnides terrestres, reptiles et insectes terrestres.

Ère secondaire : Du Trias au Crétacé soit de 250 Ma à 65 Ma. Apparition des premiers dinosaures, mammifères, oiseaux. Extinction des dinosaures.

Ère tertiaire : Du Paléocène au Pliocène soit de 65 Ma à 1,75 Ma. Apparition des premiers chevaux, félins, singes. Les mammifères se diversifient et deviennent prédominants. De l’avis général, l’homme moderne ne peut en aucun cas exister.

Ère quaternaire : Notre ère actuelle. Apparition des premiers hominidés qui déboucheront sur l’homme moderne.

Élément de cohabitation No.1:

Les crânes humains fossilisés:

Actuellement, on recherche des fossiles d’hominidés dans des lieux géologiques dont les sédiments correspondent aux dates en accord avec la théorie officielle.

Si d’autres hominidés ont existé auparavant, on les trouvera dans des couches plus anciennes, dans un état fossile plus avancé.

Mais si on trouve effectivement des fossiles encore plus anciens, cela veut dire, soit qu’il faut ajouter une partie plus ancienne à l’histoire de l’homme et donc également revoir son évolution, soit, si l’on continue à proclamer que les premiers hominidés n’ont que 4 millions d’années au mieux,qu’il faut revoir toute la géologie.

C’est sur ces ambiguïtés que, dans certains états américains, les créationnistes ont obtenu le droit d’enseigner à l’école leur théorie, en la présentant comme plus fiable que celle née du Darwinisme.

Nous devons ce retour à l’obscurantisme moyen-âgeux au fait que les scientifiques refusent même d’étudier ces fossiles impossibles sous prétexte qu’ils servent les vues créationnistes.

Une fois de plus, comme pour la parapsychologie, ou bien le phénomène OVNI, le serpent se mord la queue et la place est laissée vacante aux charlatans de tout poil.

Les scientifiques se défendent en nous expliquant qu’une bonne théorie repose sur un vaste éventail de preuves contre quelques exceptions de-ci de-là.
C’est une attitude dogmatique, anti-scientifique car c’est à partir des exceptions que naissent de nouvelles théories.


Voici donc quelques-unes de ces exceptions, ces fossiles impossibles, qui mériteraient une étude sérieuse, même si c’était pour les invalider !


  • Crâne de lignite de Freiberg En 1842, un crâne humain, mal préservé, est trouvé dans du lignite  vieux de 15 à 50 millions d’années.
    Cet objet fait partie de la collection de l’Académie Minière de Freiberg en Allemagne.
    •  
    • A partir de 1850, divers fossiles de mammifères ( du mammouth au bison ) ont été remontés d’une mine d’or de Table Mountain près de Needles en Californie.
      En 1863, un disque en pierre ( à meuler ?) ainsi qu’un morceau de crâne humain sont découverts par le Dr R. Snell. 
      En 1866, M. Mattison, propriétaire d’une mine, dégagea sous une couche de basalte, un crâne humain complet qui fut étudié par le Dr L. Wyman du Collège de Harvard.
      Ce crâne âgé de 12 millions d’années est d’un type moderne, son authenticité ne fait aucun doute à cause de l’imbrication naturelle des gravats.
    • Relaté dans le Saturday Herald of Iowa City, le 10 avril 1867, des os humains et des pointes de flèches en cuivre ont été trouvés dans un filon d’argent à une profondeur de 400 mètres au fond de la mine de Rocky Point à Gilman ( Colorado ).
      La veine où ces objets reposaient est âgée de 135 millions d’années.
    • En juillet 1877, à Spring Valley près d’Eureka ( Nevada ), quatre prospecteurs trouvèrent ce qui ressemblait à un os humain carbonisé pris dans une roche de quartzite brune.
      Une fois la roche enlevée, ils découvrirent une partie du fémur, les os du genou, de la jambe et du pied, d’un hominidé qui devait mesurer 3,5 mètres.
      La roche où ces restes étaient enserrés est estimée à 185 millions d’années.
    • Un article du Scientific American, en 1880, rapporte la découverte d’un crâne humain, de morceaux de côtes, de vertèbres et d’une clavicule, dans une mine de fer près de Dry Branch, dans le comté de Franklin ( Missouri ), à une profondeur de 50 mètres, avec deux pointes de flèches en silex ainsi que du charbon de bois. En les manipulant, les os se brisèrent.
      Deux semaines et demi plus tard, 1,5 mètre plus bas, le Dr Booth trouva d’autres restes ( un fémur, des vertèbres et d’autres morceaux de bois carbonisés ), sur une couche de minerai de fer qui portait des marques de tissage.
      L’âge estimé de ce minerai est de 425 millions d’années.
    • En novembre 1926, dans le puits n° 3 de la mine de charbon de Bear Creek, à 80 kilomètres au sud-ouest de Billings ( Montana ), l’archéologue J.C.F. Siegfriedt trouva une dent humaine ( seconde molaire inférieure ) dont l’émail s’était transformé en carbone et les racines en fer. 
      Cette dent fut trouvée dans une couche datant de 30 millions d’années.
      Cette découverte ne suscita l’intérêt d’aucun autre spécialiste et, comme les autres, tomba dans l’oubli.
    • En 1958, le Dr J. Huerzeler du Muséum d’Histoire Naturelle de Bâle, trouva à 180 mètres de profondeur, dans une mine de charbon en Toscane ( Italie ), la mâchoire écrasée d’un enfant de 5 ou 7 ans de type moderne.
      De plus, les strates dont elle a été extraite datant de 20 millions d’années, cette découverte impossible fut classée sans suite.
    • En 1973, un collectionneur de roches, Lin Ottinger, en arpentant un plateau rocheux dégagé par les bulldozers pour préparer une exploitation minière, aux alentours de la mine de cuivre de Big Indian, au sud-ouest de Moab ( Utah ), trouva des morceaux d’os et des dents.
      Soucieux de sa découverte, il fit appel au Dr J.P. Marwitt, professeur d’anthropologie à l’Université de l’Utah à Salt Lake City, pour fouiller plus avant.
      Devant plusieurs observateurs, des photographes, des reporters munis de caméras, ils mirent à jour les moitiés inférieures de deux squelettes humains d’apparence moderne, disposés naturellement dans une couche âgée de plus de 100 millions d’années.
      Les fossiles furent ramenés à l’université pour une datation, non révélée jusqu’à présent, et le professeur Marwitt fut muté…
    • Oreopithécus En Italie, dans les années 1870, dans une mine de charbon, on a retrouvé le fossile d’un hominidé âgé de 12 millions d’années, baptisé Oreopithécus.
  • Au début des années 1980, en explorant une mine de charbon désaffectée à ciel ouvert, près de Mahanoy ( Pennsylvanie ), Ed Conrad fit plusieurs découvertes troublantes.
    Sa première trouvaille fut un rocher contenant une inclusion dont les contours ressemblaient à un crâne vu de dessous.

Découverte de Conrad 001

Sa deuxième trouvaille fut une pierre ressemblant étrangement au crâne d'un grand anthropoïde
Sa deuxième trouvaille fut une pierre ressemblant étrangement au crâne d’un grand anthropoïde
Sa troisième trouvaille fut une autre inclusion dans un rocher, cette fois d'un crâne vu de profil, avec les mêmes protubérances qu'un crâne d'hominidé.
Sa troisième trouvaille fut une autre inclusion dans un rocher, cette fois d’un crâne vu de profil, avec les mêmes protubérances qu’un crâne d’hominidé.

D’autres fossiles pétrifiés d’os de fémur et de tibia furent également mis à jour.
Ed conrad décida de soumettre ses découvertes au « Smithsonian Institute » qui refusa de faire une étude poussée. Des os d’hominidés pétrifiés de 280 millions d’années, c’est impossible donc… sarcasmes, moqueries… Attitude classique des scientifiques devant une découverte impossible, qui a poussé Ed Conrad à se ranger du côté des créationnistes.
C’est avec des fonds privés que ces objets furent étudiés, analysés au microscope électronique, aux rayons X, infra-rouge, etc.
Ainsi, le crâne a un palais et une prémolaire à double racine ; c’est à dire que, selon la science officielle, « Dame Nature » aurait eu non seulement la malice de faire un rocher à forte teneur en phosphate ressemblant à un crâne d’hominidé mais y aurait ajouté une cavité à l’emplacement du palais et une prémolaire, ainsi que la structure cellulaire des canaux Haversiens ( visibles seulement au microscope ).
Ce fameux Dieu Hasard est décidément un sacré farceur !

L’HOMO-ALAOUITE

En juillet 2005 M. Mohammed Zaraouit a découvert dans une carrière de marbre à Tafilalet ( Maroc ), dans une couche géologique du dévonien un petit crâne fossilisé d’un primate qui devait être bipède et âgé de 360 millions d’années !

Une nouvelle espèce d'humains non-reconnue par la science officielle. Le  pofesseur Mahommed Zarouit  lui donnant le nom de homo-alaouite .
Une nouvelle espèce d’humains non-reconnue par la science officielle.
Le pofesseur Mahommed Zarouit lui donnant le nom de homo-alaouite .
Une petitesse remarquable.
Une petitesse remarquable.

 Le minuscule crâne de Tafilalet, nouvellement découvert dans le désert du Tafilalet au Sud-Est du Maroc, se caractérise par son faible volume crânien ( 30 fois moindre que l’homo sapiens ), et par sa morphologie de type humain.

  Ce crâne singulier présente toutes les caractéristiques morphologiques du genre Homo :

 

      • Position du trou occipital : centrée, tête en équilibre.

 

 

      • Mâchoire : courte, parabolique.

 

 

      • Angle symphysaire : obtus, se positionne en retrait.

 

 

      • Front : haut et bombé, comme l’arrière crâne.

 

 

      • Formule dentaire : estimée à 32 dents, insérées verticalement

 

 

  Les paramètres crâniens de ce fossile humain sont absolument étonnants :

 

      • Circonférence : 18,4 cm

 

 

      • Angle facial : 81 º

 

 

      • Hauteur : BP = 3,9 cm

 

 

      • Longueur : NQ = 6,1 cm

 

 

    • Rapport hauteur sur longueur : ± 0,639

  Il s’agit, bel et bien, d’un petit Homo bipède adulte, à en juger par les dents de sagesse bien présentes.

  Cependant, l’homme de Tafilalet présente des caractéristiques très particulières :

 

      • Une petite capacité crânienne de ± 45 cm³, c’est à dire 30 fois moins que l’homo sapiens. Pourtant, par rapport au volume crânien, cela paraît indiquer une grande encéphalisation.

 

 

      • Une taille atypique : estimée comprise entre 30 et 40 cm de hauteur !

 

 

  Bien que, l’homme de Tafilalet soit d’aspect moderne, sa petite capacité crânienne et sa taille évaluée à 40 cm au plus, nous empêchent de le classer parmi les Homo sapiens. Nous sommes donc, en face d’une nouvelle espèce humaine ( Homo alaouite ) et non d’un Homo sapiens souffrant de microcéphalie.

  Dans le monde de la paléoanthropologie, Il y a un précèdent : l’homme de Flores ( Homo floresiensis ), découvert sur l’île de Flores ( Indonésie ), dont la taille est estimée à un mètre seulement et sa capacité crânienne à trois fois moins que l’Homo sapiens ( 380 cm3 ).

 

Rarissime : une mandibule en parfaite connexion !

  L’excellent état de conservation, la mandibule en parfaite connexion, les fosses nasales intactes, les orbites sans traces de sédiments, tous ces éléments m’amènent à formuler l’hypothèse suivante justifiant en même temps ces faits : 
  La tête de l’Homo alaouite fut enlevée et enterrée à part. En effet, on peut partir de l’idée qu’après la mort, la tête a été mise dans un sarcophage particulier et en position verticale avant l’inhumation. 
  Le squelette post-crânien devrait être enterré à proximité. Il serait nécessaire d’effectuer d’autres fouilles minutieuses sur le site et les zones avoisinantes.

  Ce rite d’enterrement est d’ailleurs connu des historiens et archéologues :

  En 2005, sur le site archéologique de Téouma à l’Est de l’île d’Efate ou Vaté, île principale de l’archipel de Vanuatu, une équipe archéologique conduite par le professeur australien Matthew Spriggs a découvert séparément des ossements humains et un crâne enfoui dans un pot.

  Le professeur Spriggs avait alors déclaré que : « … Sur ce site, le crâne n’est pas avec les autres ossements. Cela signifie que la tête de chaque individu fut enlevée et mise à part. Le crâne que nous venons de découvrir dans un pot laisse penser que ses origines sont ici en Asie. A l’Est de l’Asie jadis, à la mort d’un être humain, on enlevait la tête et on la mettait dans un pot avant de l’enterrer à part. C’est exactement ce que les archéologues ont découvert dans des sites archéologiques en Asie orientale. »

  On a toujours contesté au petit crâne de Tafilalet le fait que la mandibule soit encore adhérente. Sous prétexte que ce n’est le cas d’aucun des hominidés découverts jusqu’à présent sur le globe. Et avec l’arrivé de Dikika ( Sélam 3,3 millions d’années ) et sa mâchoire encore associée au crâne, l’impossible est devenu possible. Ce qui a obligé Monsieur J-L Le Quellec, Directeur de recherches au CNRS, à confesser son erreur avec courage et honnêteté de chercheur. 

À côté de la petite pièce de monnaie:la comparaison est sans équivoque.
À côté de la petite pièce de monnaie:la comparaison est sans équivoque.

Authenticité

  Sur l’image on dirait un faux crâne sculpté dans la pierre, toutefois en présence de ce spécimen, on est frappé de stupeur : la conservation étant parfaite, le crâne bien proportionné, et les traits dessinés dans les moindres détails ; tout cela fait douter de son authenticité. 
  C’est ce qui m’a amené à faire faire des radios X. Bien que ces résultats soient positifs, il était nécessaire de procéder à d’autres examens plus poussés pour avoir plus de certitude. Pour ce faire, j’ai dû demander une expertise médicale. Le Dr Alaoui Abdelkader, radiologue et directeur de CHP Moulay Ali Chrif d’Errachidia, que je tiens à remercier vivement, a bien accepté ma demande et par suite un rapport m’a été délivré, ainsi qu’une copie sur CD-Rom des différentes coupes TDM sous format DICOM.

Le professeur Zaraouit et sa découverte.
Le professeur Zaraouit et sa découverte.

« Les résultats sont fascinants et je suis vraiment étonné devant la plasticité biologique de ce crâne », avait affirmé le Dr Alaoui dans une déclaration à la MAP ( Maghreb Arabe Presse ), soulignant que « les informations numériques ( densités ) issues du scanner sont conformes aux valeurs de densité osseuse ».

 

Détails du crâne
Détails du crâne

Sutures crâniennes

  Sur les images de l’Homo alaouite, on peut remarquer que le profil droit est légèrement différent du profil gauche. En fait, le profil droit est couvert par un dépôt sédimentaire, tandis que le profil gauche est presque nu. 
  Sachant que le petit crâne n’a pas été nettoyé par précaution afin de ne pas laisser de traces qui auraient pu être interprétées comme traces d’usinage. La seule explication logique que je puisse formuler est que ce dépôt sédimentaire est le résultat de l’infiltration de l’eau par le haut du sarcophage juste au niveau de profil droit, sachant que la tête est en position debout.

LA DÉCOUVERTE

 C’est dans un remblai de sable mélangé avec de la terre riche en fossiles du dévonien que l’Homo alaouite a été retrouvé. Ce remblai qui reposait au fond d’une fosse de 2 à 3 mètres de profondeur, est né à la suite des travaux du dégagement des blocs de marbre à l’aide des machines.

  Le lieu de la découverte est l’une de ces multiples petites carrières à ciel ouvert, qui s’étalent dans la région d’Erfoud, le long d’un filon de marbre qui, alternativement, fait surface puis replonge en profondeur.

  Les marbres calcaires du désert du Tafilalet contiennent de nombreux fossiles marins, comme les Orthocères et les Goniatites. On y trouve aussi des fossiles de poissons très primitifs, les poissons cuirassés du Dévonien. Ces fossiles qui font la particularité des marbres d’Erfoud, se trouvent aussi dans le sable, en dehors de toute connexion géologique et même dans les strates de terre friable séparant les couches de marbre.

  Il est difficile de savoir de quand date exactement ce crâne. Il n’y a pas de preuve absolue, comme par exemple une empreinte en creux dans la roche. Cependant, le crâne a été découvert sur un terrain de Dévonien, ce qui donne une idée sur son âge qui pourrait biochronologiquement dater de 360 millions d’années !

  J’aurais bien aimé faire une datation absolue mais je ne vois, malheureusement pas de technique non destructive applicable à ce fossile.

  La technique du carbone 14, par exemple, en plus de son caractère destructif est inopérationnelle car, on a besoin d’environ 1 g de carbone pur, soit 200 g d’ossements ; et le crâne de Tafilalet ne pèse que 100 g ( os + sédiments ).

  De plus, la technique  » potassium-argon 40K/40Ar  » est aussi inapplicable. En effet, si elle a permis de dater Lucy, c’est parce que les os de ce fossile ont eu la chance d’être enrobés dans une roche éruptive ; ce n’est pas le cas pour le petit crâne du Tafilalet.

  D’autres fouilles, dans le désert du Tafilalet et les régions avoisinantes doivent être entreprises afin de découvrir d’autres ossements ou des outils en miniature. Si l’on aboutit, ce serait la preuve qu’une tribu d’hommes en miniature vivait dans la région. Et cela nous aiderait à mieux dater l’Homo alaouite
  En l’absence momentanée de datation précise, on se trouve devant deux et uniques possibilités avantageuses :

 

 

      • Soit le crâne est très vieux et dans ce cas l’Homo alaouite serait notre ancêtre avec ses 40 cm de hauteur.

 

 

      • Soit le crâne est récent et dans ce cas l’Homo alaouite serait témoin de l’existence d’hommes miniatures qui vivent parmi nous, sans qu’on s’en aperçoive !

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  Le livre de l’Histoire de l’Espèce Humaine n’est pas encore achevé. 
  Peut-être que l’homme est bien plus vieux qu’on le croit, et qu’il y avait eu des civilisations qui se sont éteintes… comme on risque de le faire… 
  Cette chronologie étonnante ferait apparaître l’homme à plus de 130 millions d’années avant les premiers dinosaures ! 
  Il est probable que les ancêtres humains étaient petits à l’origine ( les australopithèques ne faisaient qu’un mètre environ ) et que des petits hommes de 40 cm pouvaient donc être issus d’une humanité déjà en miniature ( comme celle des hominidés de l’île de Flores ).

  Cette hypothèse va dans le sens de ce qu’a déclaré Pascal Tassy, professeur au Muséum ( MNHN ) au Figaro à propos de la découverte au Maroc en juin 2005, d’un mini éléphant dont la taille corporelle ne devait pas dépasser celle d’un renard : 
  « Cela signifie que même les éléphants ont commencé petits ». 

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LES EMPREINTES  D’HUMAINS COEXISTANTS AVEC LES DINOSAURES

Traces dites "homologuées", car elles cadrent parfaitement avec le dogme ; elles ont été trouvées dans le site de Laetoli en Tanzanie et datent de 3,8 millions d'années. Ce sont les pas laissés dans la boue par un(e) adulte et un enfant, qui ont ensuite été recouverts par des cendres volcaniques et que l'érosion a finalement découverts.

Traces dites « homologuées », car elles cadrent parfaitement avec le dogme ; elles ont été trouvées dans le site de Laetoli en Tanzanie et datent de 3,8 millions d’années. Ce sont les pas laissés dans la boue par un(e) adulte et un enfant, qui ont ensuite été recouverts par des cendres volcaniques et que l’érosion a finalement découverts.

Celles-ci font l'objet d'une grande controverse outre-Atlantique. Découvertes en 1908, près de Glenn Rose ( Texas ), elles montrent des traces humanoïdes de géants de 4 mètres de hauteur ( selon les standards modernes ), mêlées avec des traces de dinosaures ! ( de 120 à 130 millions d'années )  Même si les traces que l'on aperçoit au premier plan sur la photo du haut  ( à droite ) ont sans doute été laissées par les membres antérieurs ou les métatarses de ces dinosaures, on a du mal à croire que l'érosion ait pu les transformer en celles que l'on peut voir dans la photo en dessous.

Celles-ci font l’objet d’une grande controverse outre-Atlantique. Découvertes en 1908, près de Glenn Rose ( Texas ), elles montrent des traces humanoïdes de géants de 4 mètres de hauteur ( selon les standards modernes ), mêlées avec des traces de dinosaures ! ( de 120 à 130 millions d’années )
Même si les traces que l’on aperçoit au premier plan sur la photo du haut ( à droite ) ont sans doute été laissées par les membres antérieurs ou les métatarses de ces dinosaures, on a du mal à croire que l’érosion ait pu les transformer en celles que l’on peut voir dans la photo en dessous.

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On ne s’étendra pas ici, dans les détails de cette controverse virulente, où :

  • comme à Glozel, un scientifique, farouchement opposé à l’authenticité du site, a été surpris muni d’une barre de fer en train de détériorer ces traces, sans doute pour prouver qu’elles avaient été gravées par l’homme,
  • comme à Ica, l’exploitation commerciale du site a entraîné son pillage et la fabrication de nombreuses empreintes, vendues aux touristes et servant d’alibi à la communauté scientifique pour invalider cette découverte.

D’autres empreintes d’hominidés ont été trouvées, notamment en Arizona à Tuba city, également à proximité de traces de dinosaures, mais elles sont moins nettes car fortement érodées.


Voici une liste non exhaustive d’autres empreintes impossibles :

    • Au XIXsiècle, l’écrivain américain Josiah Priest, dans son ouvrage « American Antiquities » page 150, rapporte la découverte près des sources de la rivière Tennessee, à quelques kilomètres au sud de Braystown ( Caroline du nord ), d’un véritable carnaval d’empreintes de chevaux, d’ours, de dindes et d’hominidés à six orteils !
    • En 1822, le scientifique H. Schooleraft, rapporta l’observation d’empreintes humaines dans du calcaire sur les berges du Mississippi à 5 kilomètres au sud de St Louis. 
    • Pendant l’été 1882, des détenus de la prison de Carson city ( Nevada ) en travaillant dans une carrière, mirent à jour une couche de grès dans laquelle, parmi les traces d’animaux fossiles comme les mammouths, se trouvaient six séries d’empreintes d’hominidés géants. Un rapport fut envoyé á l’Académie des Sciences de Californie le 27 août 1882. Certaines de ces empreintes ( de 50 centimètres ) montraient que ces hominidés portaient même des sandales.
    • En 1884, Earl Flint, un géologue représentant le musée de Peabody et de l’université de Harvard, a découvert dans une carrière près de Managua ( Nicaragua ), au bord du lac Gilva, à 60 centimètres de profondeur, des empreintes d’hominidés, certaines avec sandales, d’autres indiquant l’usage d’une canne. Les plus grandes mesuraient 40 centimètres de longueur. Leur âge est estimé à 200 000 ans.
    • En 1885, au sommet de Big Hill dans les monts Cumberland, dans le comté de Jackson ( Kentucky ), une série de traces ont été découvertes dans du grès carbonifère d’environ 300 millions d’années. Parmi les traces d’ours et celles d’un animal ressemblant à un grand cheval, il y avaitdeux empreintes d’hominidés de bonne taille, aux orteils bien écartés. Ces traces furent examinées par le Professeur J. F. Brown, du collège de Borea. 
    • En 1896, une pierre portant une empreinte parfaite de pied humain de 37 centimètres de long fut montrée aux membres de l’Académie des Sciences de l’Ohio. Cette pierre fut trouvée 20 ans plus tôt aux alentours de Parkesbourg ( Virginie ), son âge a été estimé à 150 millions d’années. 
    • En 1930, le Dr W. Burrough, chef du département de géologie du collège de Berea ( Kentucky ), annonça la découverte de dix empreintes d’hominidés dans du grès carbonifère sur les collines au nord du comté de Rockcastle. Les empreintes mesuraient 24 centimètres de long sur 15 de large. Les photos micrographiques et infra-rouges qui furent prises ne montrèrent aucun signe de sculpture artificielle sur et autour des marques. De plus, l’analyse microscopique indiqua que les empreintes étaient bien dues à un impact suite à la pression du pied d’un hominidé. La roche de ces traces est estimée à 250 millions d’années.
      Des années plus tard, ces empreintes furent totalement détruites par des vandales, sans doute choqués que l’on puisse étudier des preuves qui remettraient en cause ce que l’on croit savoir de l’histoire de l’homme…  
    • En 1959, une mission paléontologique sino-russe dirigée par le Dr Chou Ming Chen, découvrit dans le désert de Gobi, l’empreinte fossilisée d’une semelle striée, parfaitement régulière dans une couche de grès datant de 15 millions d’années. 

    • En 1961, en France, sur le plateau de Daüs de la commune d’Ailhon situé en Ardèche, une empreinte d’humanoïde a été découverte à proximité d’empreintes de dinosaures dans du grès du trias moyen ( environ 220 millions d’années ).
      Selon l’Abbé Albert F. de Lapparent, la déformation serait due à une surface portante abondamment imbibée d’eau, une boue trop liquide.
      Relevé effectué par M. P. Bellin
    • Sandale de Meister En 1968, un minéralogiste amateur W.J. Meister, à la recherche de fossiles de trilobites et de brachiopodes, vieux de 500 millions d’années, à Antelope Spring ( Utah ), trouva, à sa grande surprise en brisant une roche, ce qui ressemble à une empreinte de chaussure. Sur cette empreinte apparaît un trilobite écrasé.
    • En 1969, Troy Johnson, un géologue de trente ans d’expérience de terrain, trouva une couche de grès pleine d’empreintes fossiles au sommet d’une colline à l’est de Tulsa ( Oklahoma ). Parmi les empreintes d’espèces animales disparues depuis 3 millions d’années, certaines semblaient parfaitement humaines avec 5 orteils. Il montra des moulages de ces empreintes à plusieurs experts qui le rejetèrent à cause des implications de sa découverte. 
    • Dans les années 1970, le Dr Rex Gilroy, directeur du musée d’Histoire Naturelle de Mount York ( Australie ), a découvert une empreinte géante au mont Victoria âgée de 200 millions d’années.D’autres empreintes de pieds nus et de chaussures, mêlées à celles de dinosaures, datées de 100 millions d’années ont été trouvées dans la vallée de Carrizo dans le nord-ouest de l’Oklahoma.

  • En 1984, le professeur Kourban Amanniazov, directeur de l’Institut de géologie de l’Académie des Sciences deTurkménie, a dirigé une expédition dans les montagne de Kouguitang-Taou au sud-est du pays. Parmi les nombreuses traces de dinosaures, ils ont trouvé également une empreinte, pas très nette mais assez distincte, vieille de 150 millions d’années, qui ressemble à la trace d’un pied d’humanoïde.
  • Empreinte de Ramona C’est en février 2002 que James Snyder, un habitant de la région de Ramona, a fait cette découverte étonnante lors d’une balade dans la forêt nationale de Cleveland.En sortant des sentiers battus à la recherche d’or dans le massif de Gowers, Snyder est tombé sur une empreinte géante de pied fossile dans la roche granitique de ce qui a sans doute été un cours d’eau il y a longtemps… très longtemps…Snyder, qui pense qu’il pourrait s’agir de l’empreinte d’un « Bigfoot », aimerait que des scientifiques fassent l’effort de se déplacer dans ce coin perdu, à plus d’une heure et demi de marche dans des montagnes difficiles d’accès pour étudier sérieusement cet empreinte…

    Il attend toujours…

    Et nous aussi…

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MAIS D’OU VIENNENT CES HOMMES ET CES DINOSAURES?

Les dinosaures sont apparus sur Terre il y a environ 240 millions d’années, pratiquement en même temps que les premiers mammifères ( ce que l’on oublie souvent ! ). Et l’on nous raconte qu’ils ont régné sans partage jusqu’à leur disparition brutale( * ) et totale il y a 65 millions d’années.

Différentes théories se sont succédées pour tenter d’expliquer cette soudaine extinction mais aucune ne semble totalement satisfaisante.

EXTINCTION DES DINOSAURES

Une grande question demeure :
pourquoi tous les dinosaures auraient-ils disparu et pas les crocodiles par exemple…?
Ne serait-il pas plausible d’envisager que, lors de cette dernière extinction massive – comme lors des précédentes – de nombreuses espèces aient disparu mais quelques spécimens aient pu survivre en nombre réduit, plus ou moins longtemps…

Si c’était le cas on en retrouverait quelques traces…


Pratiquement toutes les mythologies font état de dragons légendaires, de griffons et autres créatures fantastiques. Aucun lien ne peut être clairement établi entre ces dragons mythiques et les dinosaures tels que nous les connaissons aujourd’hui. Du moins, c’est la thèse officielle.
On peut tout au plus supposer que la découverte occasionnelle de restes pétrifiés ou bien d’empreintes fossiles ait pu être à l’origine ces légendes. Il existe des indices sérieux appuyant cette thèse, comme par exemple le fameux vase du Monstre de Troie.

On peut voir sur ce vase le crâne fossile d'un dinosaure émergeant d'un affleurement érodé.  L'historienne américaine Adrienne Mayor affirme que cela fait des grecs les premiers paléontologues de notre civilisation.
On peut voir sur ce vase le crâne fossile d’un dinosaure émergeant d’un affleurement érodé.
L’historienne américaine Adrienne Mayor affirme que cela fait des grecs les premiers paléontologues de notre civilisation.

La première découverte moderne d’os de dinosaure pétrifié eu lieu en 1677, en Angleterre. On l’attribua alors à un éléphant, et ce n’est que près d’un siècle plus tard qu’il fut identifié comme appartenant à un reptile géant, pas encore un dinosaure

On connaît bien maintenant les difficultés qu’ont éprouvées les premiers paléontologues modernes quand il s’agissait d’extrapoler, à partir des rares fossiles, les animaux qui ont jadis dominé la planète. Ils ont commis un grand nombre d’erreurs.
Comment expliquer dès lors, ces représentations fidèles de nos ancêtres ?
Etaient-ils plus compétents que nos paléontologues modernes ou bien ont-ils simplement décrit ce qu’ils ont vu ?
Tout autour du globe…
Et à différentes époques…

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LES PIERRES D’ICA:

Représentation éloquente...
Représentation éloquente…

Pierre d'ica002

Sur ces pierres découvertes au Pérou, témoignages d’une civilisation très ancienne disparue, on peut voir de nombreux dinosaures, certains chassés, d’autres chevauchés… 

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LA GROTTE DE BERNIFAL:

Représentation d'un mammouth.
Représentation d’un mammouth.

La grotte de Bernifal, située en Dordogne ( France ), est mondialement renommée pour ses 110 gravures et peintures rupestres, notamment ce magnifique mammouth tracé à l’argile ( figure du haut  ). Mais on montre moins l’image en dessous  qui semble montrer un dinosaure affrontant un mammouth…

Mammouth et...dinosaure?
Mammouth et…dinosaure?
Détails agrandis.
Détails agrandis.

 

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LES FIGURINES D’ACAMBARO:

M.Julsrud,archéologue allemand.
M.Julsrud,archéologue allemand.
En 1923, Waldemar Julsrud, commerçant d’origine allemande, et le « padre » Fray José Marie Martinez découvrirent le site archéologique de Chupicuaro datant de l’époque pré-classique et contenant des vases, des bols et des figurines de la plus ancienne culture indienne connue, nommée d’après le site et datant jusqu’à 1 000 ans avant J.C., ( antérieure aux indiens Tarascans, la plus vieille culture indiennne connue à cette époque ).
Cette découverte « classique » ne souleva d’autre polémique que sa paternité contestée par un collectionneur rival.

Quelques années plus tard, en juillet 1944, Waldemar Julsrud, alors âgé de 69 ans fit une découverte retentissante à Acambaro, petite ville mexicaine située à moins de 300 km au nord-ouest de Mexico, dans la province de Guanajuato.

Alors qu’il se promenait à cheval le long d’un fossé près de la colline du taureau, en compagnie d’un de ses employés, un fermier nommé Odilon Tinajero, son attention fut attirée par un morceau de céramique émergeant du sol. C’était une figurine en terre cuite d’un style qui lui était inconnu.

Il demanda à son employé de creuser et de lui ramener toutes les pièces similaires qu’il pourrait trouver. Tinajero se présenta quelques jours plus tard avec une brouette remplie de ces artefacts. Julsrud était stupéfait par le style et la diversité des figurines. Il passa un marché avec son employé : il lui payerait 1 peso pour toutes les figurines entières rapportées mais rien pour celles abîmées, qu’il devait quand même lui remettre ( et qu’il a conservées ). 
Son but visait non pas à encourager son fermier à en fabriquer ( il n’en aurait de toute façon eu, ni le temps, ni l’art et le prix était trop bas pour une éventuelle fabrication ) mais à le contraindre à fouiller avec la plus extrême précaution.

Les figurines furent découvertes par groupes de 20 à 40 à l’intérieur de puits à une profondeur allant d’environ 1m 20 à 1m 80.
Ce n’étaient pas des puits funéraires, on a seulement retrouvé 6 crânes lors des fouilles. Il semble, c’est tout au moins l’hypothèse émise par M. Julsrud, qu’elles aient été ensevelies à la hâte pour les protéger du pillage des premiers colons espagnols.

Ce sont plus de 33 500 (!!!) objets en céramique ( dans une très grosse majorité ), pierre, jade et obsidienne qui ont été retrouvés. Ils sont tous uniques, aucun n’est dupliqué. Ils sont de taille variable, de quelques centimètres à moins d’un mètre. Différents types d’argile ont été utilisés ( leur étude serait une précieuse indication de leur provenance ), mais tous ont été fabriqués par la méthode du « feu ouvert » ( la fabrication de faux ne serait donc pas passée inaperçue par la fumée dégagée et les grandes quantités de bois -rare et cher dans cette région- nécessaires ).
En dépit de leur grande diversité, on peut les regrouper, par leur design, par centaines voire par milliers, comme issus de différentes cultures.

Tout comme le Dr Cabrera ( décédé en décembre 2001 ), conservateur des  pierres d’Ica, M. Julsrud n’a jamais fait commerce de sa découverte. Leur but était scientifique et leur volonté de protéger un patrimoine qu’ils estimaient unique pour l’humanité n’a jamais été prise en défaut. C’est toujours avec plaisir qu’ils ont montré leurs pièces à ceux qui le désiraient et ils n’ont cessé de se battre pour que les scientifiques s’intéressent à leur découverte et viennent juger sur place… Peine perdue… Pourquoi ?

L’une des principales raisons >voir historique et argumentaire ) du rejet de cette découverte tient aux représentations de ces figurines.
Elles représentent entre autre, des dinosaures, des animaux inconnus, des reptiles, certains aux traits aviaires ; certaines semblent indiquer une forme de domestication de petits reptiles et de petits dinosaures, des grands singes, d’autres montrent clairement des actes zoophiles avec des reptiles, enfin, beaucoup représentent des divinités inconnues, la vie courante et ses objets usuels ( pipes, instruments de musique, etc.. ) …
( voir quelques exemples de ces figurines )

Des hommes avec des dinosaures ? Tout le monde sait bien que c’est impossible !

Un homme, un hérétique bien sûr, a fait l’effort de s’intéresser à cette découverte : Charles Hapgood, professeur d’histoire et d’anthropologie à l’Université du New Hampshire ( voir ses travaux sur les cartes antiques ). Il a été sur place pour enquêter, rencontrer et interroger les protagonistes de cette histoire. De son voyage, il a ramené quelques échantillons afin de les analyser selon les méthodes les plus modernes -et toutes récentes- de l’époque ( à la fin des années 60 ).

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Les mesures ( au carbone 14 ) données en 1968 par le Laboratoire d’Isotopes Inc. du New Jersey s’échelonnent de 1 110 av. J.C. à 4 530 années av. J.C.!
En 1972, les datations par thermoluminescence constatées par l’Université de Pennsylvanie sur 2 figurines furent de 2 500 ans av. J.C.!

Il faudra donc bien qu’un jour, les détracteurs de Glozel ( 1924 ) et d’Acambaro ( 1944 ) nous expliquent comment l’on peut fabriquer des faux qui passeront les tests scientifiques rigoureux de datation ( thermoluminescence et Carbone 14 ) qui étaient inconnus à l’époque de leur découverte !

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YARRU:

Un plésiosaure au Queensland...?
Un plésiosaure au Queensland…?

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ET PARTOUT DANS LE MONDE:

…Au Zimbabwé:

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Au Zimbabwe, près de Salisbury, on a découvert des peintures rupestres dans des grottes situées dans les collines de Gorozomzi. Ces dessins représentent de façon très précise des éléphants, des hippopotames, des girafes et d’autres animaux dont un brontosaure !

L’image ci-haut, représentant 3 animaux à long cou et à longue queue, provient de la grotte de Nachikufu près de Mpika au nord du Zimbabwe.

Au Ghana:

Ghana dino

Bien avant que nous ne connaissions les dinosaures, au Ghana et dans sa région, on se transmettait, de génération en génération, des poids à peser l’or. 
Ces poids représentaient l’animal totémique de leur propriétaire. 
De quel animal les négociants Ashantis se sont-ils inspirés ?

Ghana dino 2

À Sumatra:

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Les anciens habitants de Sumatra ont décrit des animaux à long cou, à longue queue avec une crête sur la tête. 
Au Musée Ethnographique de Budapest, on peut admirer cette planche décrivant la chasse d’un animal qui pourrait être de la famille des corythosaures.

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Amérique du Nord:

Au Natural Bridges National Monument

Amérique Nord 01

Amérique Nord 02

Dans le canyon Havasupai en Arizona:

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Mésopotamie:

Les animaux figurant sur ce sceau cylindrique mésopotamien de 3 300 ans av. J.C. ressemblent singulièrement à des dinosaures...
Les animaux figurant sur ce sceau cylindrique mésopotamien de 3 300 ans av. J.C. ressemblent singulièrement à des dinosaures…

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En 1902, Robert Koldewey, archéologue allemand, mit au jour la Porte d’Ishtar dans les ruines de Babylone. 
Alternant avec des lions et des aurochs, se trouve cet étrange animal, le sirrush ( dragon ).
Cette porte, construite 600 ans av. J.C. par le roi Nabuchodonosor, a été reconstituée au Musée Pergamon de Berlin.

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Haute-Égypte:

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Ces deux palettes votives en ardoise proviennent d’Hierakonpolis en Haute-Egypte et datent de l’époque prédynastique de l’ancienne Egypte, soit environs 3 300 ans av. J.C..
Chiens ou dinosaures ? 

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Parmi les nombreux sceaux égyptiens de la célèbre collection Philip Mitry, certains décrivent des animaux que l'on pourrait rapprocher des dinosaures. Par exemple, ce sceau ( environ 1400 ans av. J.C. ) orné d'un animal ressemblant à un plésiosaure sous le cartouche de Tutmosis III.
Parmi les nombreux sceaux égyptiens de la célèbre collection Philip Mitry, certains décrivent des animaux que l’on pourrait rapprocher des dinosaures.
Par exemple, ce sceau ( environ 1400 ans av. J.C. ) orné d’un animal ressemblant à un plésiosaure sous le cartouche de Tutmosis III.

Israel:

Ce sceau, ( daté entre 1300 et 1150 av. J.C. ) conservé à l'Institut d'archéologie de l'université de Tel Aviv, décrit un ptérodactyle attaquant une gazelle.
Ce sceau, ( daté entre 1300 et 1150 av. J.C. ) conservé à l’Institut d’archéologie de l’université de Tel Aviv, décrit un ptérodactyle attaquant une gazelle.

Turquie:

Cette urne trouvée à Caria en Turquie ( datée de 530 av. J.C., environ ) décrit un animal ressemblant à un mosasaure au milieu d'autres animaux marins parfaitement connus et identifiés.
Cette urne trouvée à Caria en Turquie ( datée de 530 av. J.C., environ ) décrit un animal ressemblant à un mosasaure au milieu d’autres animaux marins parfaitement connus et identifiés.

Empire Romain:

On retrouve également des descriptions de dinosaures sur des mosaïques romaines du deuxième siècle.
On retrouve également des descriptions de dinosaures sur des mosaïques romaines du deuxième siècle.
La mosaïque du Nil de Palestrina  attribuée à Demetrius le géomètre,  représente des éthiopiens chassant  un "Crocodile-Léopard".
La mosaïque du Nil de Palestrina
attribuée à Demetrius le géomètre,
représente des éthiopiens chassant
un « Crocodile-Léopard ».
Ces artefacts romains ont été découverts près de Tucson, Arizona, en 1924. Mais, comme il est "bien connu" que l'Amérique a été "découverte" par Christophe Colomb en 1492, ces artefacts pourtant déterrés par des archéologues professionnels, sont évidemment très controversés.  Ils sont datés entre 560 et 900.  Sur l'une des épées a été gravé un dinosaure.
Ces artefacts romains ont été découverts près de Tucson, Arizona, en 1924. Mais, comme il est « bien connu » que l’Amérique a été « découverte » par Christophe Colomb en 1492, ces artefacts pourtant déterrés par des archéologues professionnels, sont évidemment très controversés.
Ils sont datés entre 560 et 900.
Sur l’une des épées a été gravé un dinosaure.
Dinosaure dessiné sur une épée.
Dinosaure dessiné sur une épée.

Empire maya ,sud du Mexique:

Peinture rupestre du "dragon" de la grotte d'Oxtotitlan  au sud du Mexique.
Peinture rupestre du « dragon » de la grotte d’Oxtotitlan
au sud du Mexique.
Cette peinture murale Maya de Bonampak montre la tête d'un dinosaure
Cette peinture murale Maya de Bonampak montre la tête d’un dinosaure
Le 25 avril 1977, au large de la Nouvelle-Zélande un bateau de pêche japonais a remonté dans ses filets cette étrange créature marine à l'allure d'un plésiosaure. Cette carcasse était dans un tel état de décomposition qu'après une étude sommaire par l'équipage et les quelques scientifiques qui étaient à bord, elle dut être rejetée à la mer...  Dommage...
Le 25 avril 1977, au large de la Nouvelle-Zélande un bateau de pêche japonais a remonté dans ses filets cette étrange créature marine à l’allure d’un plésiosaure. Cette carcasse était dans un tel état de décomposition qu’après une étude sommaire par l’équipage et les quelques scientifiques qui étaient à bord, elle dut être rejetée à la mer…
Dommage…

Cambodge:

Angkor Vat fut construit au Cambodge par le roi Suryavarman II dans la première moitié du XIIe siècle.
Angkor Vat fut construit au Cambodge par le roi Suryavarman II dans la première moitié du XIIe siècle.
Comment peut-on expliquer cette représentation étrange semblable à un Stégosaure ?
Comment peut-on expliquer cette représentation étrange semblable à un Stégosaure ?

EN CONCLUSION:

La version officielle veut que, puisqu’il a été établi que tous les dinosaures se sont éteints il y a 65 millions d’années, toutes ces découvertes sont impossibles !

Ce ne sont que des descriptions d’animaux mythiques et
toute ressemblance avec des animaux ayant déjà existé n’est que pure coïncidence !!!

Si quelques dinosaures ont survécu, ils n’étaient de toute évidence pas très nombreux.
On n’en a pas encore retrouvé d’ossements récents, officiellement. Ne peut-on attribuer cela au fait que l’on prêtait à ces animaux un « pouvoir magique » tel celui qui était attribué aux os de dragons ou encore de nos jours aux cornes de rhinocéros et qui met gravement en péril la survie de cette espèce…

En dépit des certitudes scientistes, on a pourtant découvert des animaux que l’on croyait éteints à tout jamais comme les Dragons de Komodo, le Caelacanthedu dévonien, et le Sphenodon du mésozoïque en Nouvelle-Zélande.

Seuls les cryptozoologues continuent les recherches…

Donc ,si vous continuez à croire aveuglément tout ce qui est écrit dans les livres d’histoires et tout ce que vous racontent vos professeurs d’université,tout ce qui vient d’être débattu ici,ne sont que des faussetés…seule la « science officielle » prétend tout expliquer!

Nous continuons à vivre dans le scénario bien décrit du film « La planète des singes »!

l’intérêt du Nouvel Ordre Mondial est de continuer à maintenir l’humanité dans l’ignorance des découvertes extraordinaires qui attendent sous nos pieds!

Michel Duchaine

Citoyen du Monde

Chercheur et Diseur de Vérités

*…À suivre ,je suis à terminer un vidéo sur ce sujet.Je l’ajouterai  à l’article ,une fois terminé!

Ce vidéo pourrait  être fait en plusieurs parties,du à la longueur du texte et les très nombreuses photos à triées qui sont rattachées au projet!

Merci de nous appuyer.

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SOURCES

(1)-Université de St-Pétersbourg.

AUTRES SOURCES:

The American Journal of Science, vol.5, 1822,The American Antiquarian, 7:39, Janvier 1885,Anthropologist, fevrier 1896, P.66,Science Newsletter, 29 octobre 1938, Soviet journal 1961, Archéologia N°196 de novembre 1984, courrier des lecteurs, M. P. Bellin

9 commentaires sur “Aux frontières de l’inexplicable et de l’impossible

  1. Bravo très bien expliqué j’attends la vidéo avec impatience. merci beaucoup d’avoir fait un si beau travail

  2. J’ai beaucoup apprécié ce document et je trouve dommage que les scientifiques restent dans leur secte et ne veulent pas faire l’effort de voir l’évidence. C’est important qu’il y ait des personnes comme vous pour briser les vieilles formes pour faire avancer la science. Un grand merci à vous d’avoir rassemblé tous ces données, c’est très enrichissant.

  3. Bonjour, il y a de cela trois ans, entre les vans et joyeuse, ya un type qui a crée un musée à cause de traces de pas de dinosaures, je dirai normal (trias..) mais le gars vous montre une trace de pas dans son arrière boutique, alors là! vous repartez en forme de point d’interrogation….encore merci!

  4. Bonjour!
    Et si la formation du charbon et des empreintes fossiles, se faisait dans des conditions bien plus rapide? Les grands bouleversements terrestre d’Immanuel Velikovsky apporte des éclairage intéressant à cette idée. Très bon article, en espérant que tous soit exacte! merci à vous!

  5. Merci à vous pour ce travail, que j’aimerai avoir en livre pour le montrer à mes élèves afin de réveiller leur curiosité…

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