Le grand nettoyage dans le domaine financier:Un autre banquier froidement abattu, avec sa femme et son neveu

C’est la 28è personne à mourir de façon dramatique et mystérieuse dans le domaine de la finance depuis plusieurs mois.

police

Il y a quelques mois, nous avons été averti par ‘V the Guerrilla Economist’ que les banquiers donneraient un coup de balais dans la maison, de se préparer à ce que des banquiers meurent de plus en plus. Nous apprenons maintenant qu’un autre banquier éminent a été «liquidé», un directeur de 37 ans pour la banque BNP Paribas Fortis en Belgique a été tué avec sa femme et son neveu de 9 ans. Alors que dans un premier temps les premières morts des banquiers étaient des suicides, Before It’s News a rapporté en Février que ces banquiers ont été effectivement «suicidés» et ce récent assassinat montre que ceux ‘qui ont une dent’ contre les banquiers ont mis les bouchées doubles. Ci-dessous vous trouverez plusieurs reportages vidéo, y compris l’avertissement « de V » qui nous a été adressé il y a plusieurs mois de cela. Ce dernier assassinat brutal ne peut que signifier que la fin est proche pour le système financier actuel. […]

 

 

 

 

 

Une famille victime de la lutte interne des banques et de son univers obscur.
Une famille victime de la lutte interne des banques et de son univers obscur.

 

La scène qui s’est déroulée à Visé vendredi soir a tout d’une véritable exécution. Un couple de banquiers et leur filleul (de Dolhain) ont été abattus froidemeuse.

Vendredi soir vers 23 heures, nt par un ou des tueurs qui n’ont rien volé. Le couple était honorablement connu dans la région et la police n’a toujours aucune piste série sérieuse.Benoît Philippens et son épouse Carol Haid revenaient tranquillement d’un dîner au restaurant, accompagné du petit filleul de Carol, Esteban Counet, un jeune garçon de 9 ans domicilié à Dolhain. À peine sortis de leur auto stationnée dans l’allée de leur habitation, située rue de Berneau à Visé, juste en face du hall omnisports, ils se sont fait tirer dessus par une (ou plusieurs) personne(s) qui les attendait(en)t, tapis dans l’ombre. La police n’a toujours aucune piste sérieuse.

Dans nos éditions du Dimanche, le papa de Benoît Philippens, Louis Philippens, s’exprime : «On les a abattus, exécutés. Une balle dans le cœur et une dans la nuque pour mon fils. Trois balles pour Carol qui est morte sur la table d’opération. Et le pauvre petit gamin, qui était vraiment là au mauvais endroit au mauvais moment… »

L’enquête se dirige du côté du milieu bancaire dans lequel travaillait Benoît Philippens. Une de ses amies croit aussi qu’il faut aller chercher là.

« Je connais Benoît depuis 15 ans », raconte une de ses amies, encore chamboulée par le drame. « Il a d’abord travaillé à l’agence d’Ans, puis est devenu directeur de celle de Welkenraedt, puis de Herve-Battice, avant de revenir comme directeur ici à Ans. Et quand il est revenu, il a constaté que l’agence avait beaucoup changé. « Pas tant au niveau du personnel que des clients. Il m’a raconté avoir dû mettre beaucoup d’ordre à ce niveau-là.

Et il y a six mois, il m’a expliqué qu’il avait eu une grosse altercation avec un client étranger qui se croyait tout permis. Il l’a mis à la porte devant tout le monde et ce dernier a proféré des menaces. Je ne dis pas que c’est lui bien sûr, mais c’est pour vous dire que le métier de banquiers n’est pas toujours facile».

Source : La Meuse, via les Chroniques de Rorschach

 

 

 

 

 

 

 

 

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