Christine Anderson, députée européenne (Alternative pour l’Allemagne) : partout en Europe, les gouvernements font pression sur les citoyens pour qu’ils se fassent vacciner. Ce n’est qu’ainsi que la « pandémie » serait contenue, alors seulement nous retrouverions notre liberté. Mais rien de tout de cela ne s’est réalisé, malgré le taux de vaccination élevé. Les personnes vaccinées peuvent être infectées et aussi tomber malades malgré la vaccination. Seul Big Pharma en a profité ici.
La prudence est de mise lorsque les élites politiques parlent du bien-être du peuple. Il faut se poser la question, à qui est-ce bon au final ? Les méthodes actuellement observées des dirigeants sont celles d’États oppressifs. Je m’y oppose de toutes mes forces !
« En ce qui me concerne, je ne serai jamais vaccinée avec un produit qui n’a pas été testé et qui ne me montre pas que la balance bénéfice/risque est positive, sans effet secondaire à long terme, ce qui n’est à ce jour pas garanti avec ces vaccins. Je ne serai pas réduite à un cobaye de laboratoire et je ne me vaccinerai pas sous prétexte que mon gouvernement me l’impose contre la liberté. PERSONNE N’ACHÈTE MA LIBERTÉ, CAR JE SUIS UNE PERSONNE LIBRE. Je mets au défi la Commission européenne et le gouvernement allemand de me jeter en prison. Mais vous ne pourrez jamais me contraindre à votre vaccination, si le citoyen libre que je suis, décide de ne pas l’être”.
Le 20 octobre 2021, les membres du Parlement européen, à savoir Christine Anderson (Allemagne, AfD), Francesca Donato (Italie, NI), Ivan Vilibor Sinčić (Croatie, NI) et Cristian Terheş (Roumanie, ECR) se sont réunis pour donner une voix à tous les citoyens européens qui sont de plus en plus confrontés à des représailles étatiques en lien avec le Covid, entre autres par le biais du « certificat numérique covid » de l’Union européenne (certificat vert numérique).
Transcription :
« Oui, eh bien, le plus gros problème que je vois en rapport avec cette crise du covid est que les droits civils fondamentaux sont de plus en plus restreints, et je ne peux pas expliquer pourquoi les citoyens des États membres laissent faire.
Je pense qu’une explication à cela pourrait être que — et c’est un grand désavantage des sociétés démocratiques libres — elles atteignent un moment donné où elles croient que la démocratie, l’état de droit et la liberté sont en quelque sorte quelque chose de divin et ont toujours existé. Et on ne se soucie plus du tout du fait que, non, ces choses ont dû être arrachées dans le sang aux dirigeants. Il n’y a donc plus du tout de compréhension de la valeur de la liberté elle-même. Et c’est ce que nous voyons maintenant dans cette crise. En principe, les droits fondamentaux — en Allemagne, ils sont constitutionnellement ancrés dans la Loi fondamentale — sont simplement distribués par les gouvernements comme des privilèges ou retirés à nouveau. Et on a l’impression que les droits fondamentaux ne peuvent être revendiqués que par ceux qui se comportent bien. Et je dois le dire très clairement : je n’ai pas peur du covid. Ce dont j’ai réellement peur, c’est des gouvernements qui exploitent de telles “crises” pour restreindre les libertés civiles et les accorder ou non, tels des privilèges. Et cela doit cesser, c’est ce que nous défendons en Europe, la liberté, la démocratie et l’État de droit. Et aucun gouvernement ne devrait, ne peut ou ne pourra jamais les restreindre sous quelque prétexte que ce soit. Et c’est là le grand problème, et nous devons nous y attaquer, et nous devons le faire comprendre aux Européens : qu’ils ne laissent pas cela durer plus longtemps. Merci beaucoup. »
Le Media en 4-4-2
EXPLIQUEZ MOI L’ERREUR OU LE MYSTÈRE:

Mais le CAVID-19 n’a été découvert qu’en 2019 et n’a été NOMMÉ que le 11 février 2020.
Expliquez moi cela si ce n’est pasd un complot contre le peuple?
Ça se passe ici ,au Québec!
Pascal Légitimus regrette d’être vacciné : “La troisième dose, ce sera sans moi”

[…] Le 6 novembre prochain, France 3 diffusera un téléfilm intitulé Meurtres à Marie-Galante. En tête d’affiche : Pascal Légitimus qui interprète le personnage d’un commandant de police. Ce dernier est en charge d’une enquête sur la noyade d’un éducateur spécialisé. Pour l’occasion, le comédien a accordé une interview à Télé Star à paraître ce lundi 1er novembre. Il a indiqué que malgré le fait que le téléfilm soit une enquête policière sur un meurtre, « c’est un film qui fait du bien ». L’acteur assure avoir apporté sa touche d’humour à son personnage.
L’acteur en a également dit plus sur ses projets à venir. Il a révélé être en train de travailler sur l’écriture d’un long-métrage qui traitera des erreurs médicales.
« Mais il ne sera pas question de la Covid-19 », assure-t-il. Pascal Légitimus a d’ailleurs confié qu’il s’était fait vacciner contre le coronavirus. Une décision qu’il semble avoir prise à contre cœur, regrettant « qu’on n’ait pas fait le choix des médicaments pour soigner cette maladie ». S’il a fait les deux doses indispensables pour obtenir son pass sanitaire, l’humoriste ne compte pas se faire injecter une troisième dose de vaccin : « Ce sera sans moi », lâche-t-il. Avant d’ajouter : « Je la donne volontiers aux petits Africains. »
Ice Cube refuse de jouer dans un film où la vaccination est obligatoire et s’assoie sur 9 millions de dollars

Ice Cube ne jouera pas dans la comédie Oh Hell No dans laquelle il aurait joué avec Jack Black. Selon Hollywood Reporter, la légende du hip-hop de 52 ans de la côte Ouest – de son vrai nom O’Shea Jackson Sr. – a décliné une demande des producteurs de se faire vacciner contre le covid-19. Le vaccin étant le passage obligé pour travailler, nous passons de « no pain, no game » à « no jab, no job ». Ice cube devait toucher pour ce film 9 millions de dollars.
Sony n’a fait aucun commentaire. Un représentant personnel de la star a refusé de commenter. WME, son agence, a refusé de commenter. Oh Hell No est produit par Matt Tolmach et Black, qui n’ont tous deux fait aucun commentaire.
Ice Cube et Black se sont associés sur le projet en juin. Le film de Sony devait être tourné cet hiver à Hawaï (premier État des États-Unis à administrer des vaccins covid-19 à 90 % de la population) avec Kitao Sakurai. Les producteurs de Oh Hell No ont demandé à ce que les acteurs du projet soient vaccinés.
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