Stephen Hawking participait à une conférence à l’Oxford Union le 14 novembre 2017.
Stephen Hawking : “il ne nous reste plus que 100 ans pour échapper à l’extinction!”
Dans le cadre d’un documentaire diffusé par la BBC, le physicien et cosmologiste Stephen Hawking a déclaré qu’il ne restait plus qu’un siècle à l’humanité sur Terre pour échapper à l’extinction.
Un siècle pour quitter notre planète et trouver une existence viable dans une autre planète. C’est le défi qui s’impose à l’homme, à en croire Stephen Hawking. L’astrophysicien a déclaré, dans un documentaire réalisé pour la chaîne de télévision BBC, qu’il ne nous restait plus que cent ans avant de voir la pollution mondiale disparaître pour toujours, sauf si un autre lieu viable pour vivre était trouvé à temps. D’où l’intérêt d’aller explorer l’univers dans l’espoir d’y trouver un nouveau refuge.
Le documentaire, appelé Expedition New Earth, est prévu pour septembre 2017.
Grand adepte des prédictions apocalyptiques, Stephen Hawking pariait pourtant l’année dernière sur une espérance de vie plus longue : « Bien que le risque de catastrophe qui pèse sur la planète à une année donnée semble faible, il s’additionne avec le temps et deviendra quasi certain dans 1 000 ou 10 000 ans », disait-il lors d’une conférence à l’université d’Oxford .
Quelles solutions ?
En seulement une année, les choses se seraient donc empirées au point d’accélérer l’extinction de l’humanité? Qu’il s’agisse d’un simple coup communication ou d’une prédiction sincère, le problème est posé : il va falloir trouver un refuge habitable au cas où l’homme serait vraiment destinée à devoir quitter notre planète.
Elon Musk souhaitaitait conquérir Mars dès 2018, elle s’impose donc comme la première des solutions possibles. Pourtant, la vie sur cette planète pourrait s’avérer très nocive à cause des particules radioactives de son atmosphère. Sans parler de son sol toxiques, des températures glaciales et de son air irrespirable. Il serait possible de terraformer la planète rouge pour qu’elle soit vraiment habitable, mais cela prendrait des centaines de milliers d’années ( source Popular Science.)
Il faudrait donc commencer à explorer au-delà de notre système solaire dans l’espoir de trouver, un endroit avec un peu d’eau, de la terre et de l’air respirable.
Sinon, pour échapper à l’extinction, on peut toujours se remettre en question sur notre mode de vie, de production et de consommation. Si nous n’arrivons pas à changer, ils continueront à détruire l’environnement, sur la planète rouge, comme n’importe où ailleurs.
Voici les 2 vidéos de Expedition New Earth pour vous aider à y penser:
Les derniers cœlacanthes menacés par l’exploitation pétrolière
Au large de l’Afrique du Sud, les derniers spécimens de ces poissons plus vieux que les dinosaures pourraient bientôt disparaître, selon « The Guardian
Ce sont des témoins de l’histoire. Les cœlacanthes n’ont presque pas évolué depuis 420 millions d’années. Plus vieux que les dinosaures et pesant autant qu’un être humain, ils n’ont pourtant été découverts que très récemment. Mais ces poissons sont les plus menacés en Afrique du Sud et font partie des plus rares au monde.
Un fossile du coelanthe datant du jurassique.
L’espèce a été découverte quand le premier spécimen vivant a été capturé dans un port anglais en 1938. Plusieurs autres ont ensuite été attrapés dans les Comores, permettant de confirmer que l’espèce n’est pas éteinte. Selon les estimations, il n’en resterait plus aujourd’hui qu’une trentaine, au large de l’Afrique du Sud. Une colonie découverte en décembre 2000 près de la baie de Sodwana. L’existence de ces derniers survivants pourrait bien être remise en question, explique le quotidien britannique The Guardian. En effet, le groupe italien Eni veut forer plusieurs puits sous-marins dans la zone.
Le risque d’une nappe de pétrole
Les forages ne sont pas prévus dans la zone d’habitat des cœlacanthes, située à presque 200 kilomètres. Mais, pour les organisations environnementales, cela pourrait ne pas être suffisant, une nappe de pétrole pouvant se répandre loin très rapidement. « Le déversement d’hydrocarbures de Deepwater Horizon dans le golfe du Mexique en 2010 a décimé les populations de poissons. Donc, si un déversement d’hydrocarbures se produisait au large d’iSimangaliso, il est fort probable qu’il pourrait éliminer ces cœlacanthes », explique le docteur Andrew Venter, responsable de Wildtrust, un groupe qui milite pour une augmentation des zones maritimes protégées en Afrique du Sud. Les spécialistes soulignent également que ces animaux sont très sensibles à une modification de leur environnement.
Eni a commandé l’an dernier une étude sur l’impact environnemental des forages. Celle-ci concluait qu’il était très improbable de trouver des cœlacanthes à proximité des puits. Mais cela ne serait pas suffisant selon Mike Bruton, un expert en cœlacanthes interrogé par The Guardian. « Le risque doit être soigneusement évalué avant que ce projet n’ait progressé trop loin et qu’il soit trop tard. Les marées noires ne respectent pas les limites des aires marines protégées. »
EN CONCLUSION
Nous faisons face ici a un summum de la bêtise humaine : une créature splendide va s’éteindre parce qu’on a tellement besoin de pétrole pour faire avancer nos petits bolides,fabriquer des niaiseries inutiles avec du plastique et permettre au néolibéralisme de survivre un petit peu plus.
Nous avons perdu totalement le sens des valeurs et personnellement je préfère de plus en plus la présence des animaux qu’a celle des humains.
Quand il ne restera que ceux-là, les humains.
Lorsque toute vie aura disparu par la faute des Hommes qui ne font que croître et se multiplier, ce sera à leur tour de disparaître. Homo Sapiens est décidément un prédateur, tueur et qui détruit tout ce qui n’est pas lui.
Nous vivrons donc à crédit pour les cinq prochains mois. Si nous poursuivons à ce rythme, nous aurons besoin de deux Terres en 2030, avertit le Global Footprint Network.
Notre Terre …souveraine!
Selon les calculs de l’organisme international Global Footprint Network (GFN), nous avons déjà épuisé les ressources naturelles de la Terre pour l’année. L’humanité a utilisé plus d’arbres, d’eau, de sols et de poissons que notre planète ne peut en fournir en un an, et nous avons émis plus de carbone que les forêts et océans ne peuvent en absorber.
L’organisme fait ce calcul depuis plusieurs années et, chaque fois, la date avance. Le 1er août est la date la plus précoce depuis que l’humanité a basculé dans le déficit écologique, dans les années 1970.
GFN estime qu’il nous faudrait désormais 1,7 Terre pour combler nos besoins annuels.
Une date symbolique
« C’est un indicateur pour tirer la sonnette d’alarme et dire aux gens que l’on consomme plus de ressources que la planète en produit », soutient Élisabeth Robinot, professeure à l’École des sciences de la gestion de l’Université du Québec à Montréal et membre de l’Observatoire de la consommation responsable.
« Ça souligne qu’il est vraiment urgent que tous les pays changent de comportement et adoptent des pratiques plus vertueuses », ajoute-t-elle.
Pourquoi c’est important?
À mesure que l’économie se développe et que la population grandit, la pression sur les ressources s’accroît. Mais la biocapacité de la Terre n’est pas extensible.
Le dépassement écologique n’est possible que pour une courte période avant que les écosystèmes ne s’écroulent, soutient GFN.
Nous empruntons les ressources futures de la Terre pour faire fonctionner nos économies actuelles.
Mathis Wackernagel, PDG de Global Footprint Network
Si nous continuons à vivre de la même manière, nous aurons besoin de deux Terres en 2030, calcule l’organisme.
Qui sont les pires pollueurs?
Tous les pays ne sont pas égaux en ce qui concerne l’abus de ressources. Certains pays consomment bien plus que leurs capacités, tandis que d’autres, peu développés ou mieux nantis en ressources naturelles, sont encore bien en deçà.
Les Canadiens sont loin d’être les meilleurs élèves.
« Si la planète consommait autant que les Canadiens, la journée du grand dépassement serait le 18 mars plutôt que le 1er août », affirme Sophie Paradis, directrice pour le Québec du Fonds mondial pour la nature. « On aurait besoin de 4,8 planètes si tout le monde vivait comme nous. »
Les pays en développement consomment généralement beaucoup moins de ressources que les pays industrialisés. La situation risque-t-elle donc de se détériorer encore plus à mesure que ces États voudront emprunter notre mode de vie?
« C’est à nous de changer rapidement et de leur offrir de l’aide pour qu’ils évitent les erreurs de notre passé et puissent se développer de la façon la plus vertueuse possible », pense Élisabeth Robinot.
Développement n’égale pas nécessairement abus des ressources, croit aussi Sophie Paradis, donnant en exemple le Costa Rica, « un pays qui protège son territoire, ses forêts naturelles et qui promeut la réduction de l’empreinte écologique des citoyens. »
Comment ralentir ou arrêter le processus?
Il est urgent de revoir nos façons de consommer et cette réflexion doit venir d’en haut, croit Élisabeth Robinot. « Il y a des changements au niveau des consommateurs, mais si on veut aller plus vite, il faut que ça vienne des gouvernements », croit-elle.
Mme Robinot pense notamment qu’il est important de légiférer contre l’obsolescence programmée et pour imposer aux entreprises d’offrir des services de réparation à un prix inférieur au prix d’achat.
Les gouvernements pourraient également favoriser la mobilité durable en développant le réseau du transport en commun et en baissant les prix.
« On ne peut pas obliger les gens à faire des choses, mais on peut les y inciter d’une façon positive avec des allégements fiscaux », avance-t-elle aussi.
C’est un système où tout le monde gagne.
Élisabeth Robinot, professeure à l’École des sciences de la gestion de l’Université du Québec à Montréal
« Ce n’est pas d’arrêter de consommer, c’est de mieux consommer », explique pour sa part Sophie Paradis, du Fonds mondial pour la nature.
Choisir des produits certifiés, employer des tasses et des contenants réutilisables plutôt que jetables, éviter le gaspillage alimentaire ,limiter l’utilisation du plastique et emprunter les transports en commun sont autant de manières de réduire notre empreinte écologique.
Il y a beaucoup de choses qu’on peut faire au quotidien qui vont réduire notre impact sur l’environnement.
Sophie Paradis, Directrice pour le Québec du Fonds mondial pour la nature
Un signe encourageant, souligne le GFN, est que la détérioration a été plus lente au cours des cinq dernières années. Le Jour du dépassement avance environ d’un jour par année dans le calendrier , plutôt que de trois par année, comme c’était le cas depuis les années 70.
L’astrophysicien Stephen Hawking a expliqué à l’occasion d’un livestream pourquoi l’humanité doit quitter selon lui la Terre le plus vite possible. Et quelles sont nos destinations les plus réalistes. Le scientifique s’alarme régulièrement des actions de l’être humain qui mènent, selon lui, l’ensemble de l’humanité à sa perte. Cette fois-ci il explique que « l’humanité manque de place » et que se « disperser » est peut-être la seule façon de nous sauver.
Stephen Hawking a donné un livestream cette semaine à l’occasion du Starmus Festival à Tenerife, dans les Îles Canaries (Espagne). Le thème de cette 4e édition du Starmus était la vie et l’univers. Et c’est tout naturellement que l’astrophysicien a exposé son point de vue sur la question. Selon lui, il ne reste qu’assez peu de temps à l’humanité pour survivre sur Terre.
Stephen Hawking : « l’humanité doit quitter la Terre le plus vite possible »
Et nous pourrions même être contraint de fuir notre planète d’ici 100 ans. Cette fois-ci,, il précise néanmoins sa pensée quelque peu alarmiste. En faisant un peu de perspective historique. Selon lui, il y a deux choses qui concurrent à notre départ de la planète bleue. D’abord le fait que nous « existons en tant qu’espèce depuis 2 millions d’années », mais qu’en 10000 ans de civilisation, notre développement n’a cessé de s’accélérer :
“Si l’humanité peut exister encore un million d’années, notre futur repose sur la possibilité d’aller là où personne n’est allé jusqu’ici […] nous n’avons plus d’espace, et le seul endroit où aller c’est vers d’autres mondes. C’est le moment d’explorer d’autres systèmes solaires. Se disperser pourrait être la seule chose qui nous sauve de nous-mêmes. Je suis convaincu que les humains ont besoin de quitter la Terre.”
Pour Stephen Hawking, l’humanité aura disparu sur Terre d’ici 1000 ans
Stephen Hawking avertit : il va falloir se trouver une autre planète et vite. Selon lui notre planète est bien trop fragile pour supporter la véritable torture permanente qu’est l’humanité. Et d’ici un millier d’années, selon lui, on ne pourra éviter un grosse catastrophe qui rayera l’humanité de la carte. En cela, Stephen Hawking reste, vous allez le voir, fidèle à sa pensée.
Et si aller sur une autre planète, Mars, voire hors de notre système solaire, était la condition sine qua none de notre survie ? Stephen Hawking théoricien britannique de la physique s’est exprimé devant la Oxford Union Society, une vénérable société de débats animée par les meilleurs étudiants d’Oxford. Ce qu’il dit s’inscrit probablement un peu dans le climat post-élections US sur fond d’incertitudes dans le financement des programmes de la Nasa.
Mais ce n’est pas nouveau non plus – le théoricien paraplégique a déjà exprimé mot pour mot la même chose durant un discours de 2013 :
“Je ne pense pas que nous survivrons 1000 années supplémentaires sans nous échapper de notre fragile planète […] nous devons continuer d’explorer l’espace afin d’améliorer notre connaissance de l’humanité. Nous devons aller au-delà de notre humble planète.”
Pour bien comprendre ce à quoi Stephen Hawking fait directement référence, il faut peut-être revenir à une interview qu’il avait donnée en 2010 à Big Think. Dans celle-ci, il explique qu’il va devenir de plus en plus « difficile d’éviter des désastres sur la planète Terre » et que « la race humaine ne devrait pas mettre ses oeufs dans le même panier, ou sur une planète ».
Et d’enfoncer en une phrase le clou : « espérons simplement que l’humanité ne fasse pas tomber le panier avant que l’on puisse distribuer son contenu ». Bien que cela attire moins l’attention que les projets d’Elon Musk, Stephen Hawking est également très impliqué dans la recherche de moyens d’aller vivre sur une autre planète.
Selon lui, le réchauffement climatique, l’épuisement des ressources, et la surpopulation sont les risques principaux qui peuvent mettre en péril immédiat notre survie. Le seul hic, c’est que pour l’heure, aller explorer d’autres systèmes solaires paraît technologiquement impossible. Il recommande donc de coloniser dans un premier temps des corps plus proches : la Lune et Mars.
“La Terre est menacée dans tellement de domaines qu’il est difficile pour moi d’être positif.”
Selon lui on peut construire une colonie sur la Lune « dans les 30 ans » et atteindre Mars « dans les 15 prochaines années » avec une base permanente « quelques décennies plus tard ». Il appelle les Etats à collaborer à cet effort. Comme un écho aux ambitions de Stephen Hawking, l’ESA européenne et la Nasa américaine prévoient d’établir un « village sur la lune » ou une colonie sur Mars dans les prochaines années.
Il y a aussi des initiatives privées comme celle d’Elon Musk et de SpaceX qui veut réduire le coût du voyage entre la Terre et Mars.
En septembre 2016,Elon Musk dévoilait ses plans pour coloniser Mars et explorer le système solaire
En septembre 2016,Elon Musk n’avait pas été avare d’annonces en dévoilant son système de transport à destination de Mars. L’entrepreneur souhaite y envoyer un million de personnes en cassant le prix du billet. Son lanceur réutilisable pourrait servir à explorer d’autres planètes que Mars. En revanche Elon Musk ne dit pas comment les futurs colons vivront sur la planète rouge.
C’est un projet vertigineux ! Elon Musk avait dévoilé ses plans pour coloniser la planète rouge et y envoyer un million de personnes en espérant rendre la colonie autonome d’ici 40 à 100 ans. Et surtout, c’est d’ailleurs la grosse surprise de la soirée d’hier, comment nous pourrions utiliser le même lanceur pour explorer l’ensemble du système solaire !
Elon Musk l’a rappelé lors de la conférence : le coeur de métier de SpaceX, c’est le transport. Il est resté évasif quant aux conditions dans lesquelles les futurs colons devront vivre sur la planète rouge. Mais parle tout de même d’une ville, et de la promesse d’une autonomie vis à vis de la Terre dans le siècle. Voici un condensé de 5 minutes de la conférence :
La pièce maitresse du projet, c’est le système de lanceur réutilisable. Celui-ci est basé sur une fusée géante qui reprend les lignes de la Falcon 9 et surtout sa technologie de récupération du premier étage. La fusée elle-même sera plus haute que la plus grosse des fusées jamais construite par l’homme (de deux mètres) : la Saturn V. Elle sera propulsée par les nouveaux moteur-fusées Raptor.
Elon Musk propose un voyage planétaire confortable et à prix cassé
L’engin, qui avait emmené le premier homme sur la Lune, faisait déjà 110,6 mètres de haut. Sa version revisitée par Elon Musk en fait donc plus de 112, pourra emporter pas moins de 100 passagers dans une navette de 17 mètres de large et 50 mètres de haut. Navette qui peut emporter en prime jusqu’à 450 tonnes de cargo !
La clé de cette prouesse réside dans la technologie de récupération du premier étage développée pour la Falcon 9. La navette est dans un premier temps mise sur un orbite de parking. Le premier étage redescend sur Terre, et est alors immédiatement coiffé d’un réservoir avant de repartir pour fournir le carburant nécessaire au voyage à la navette. Cette vidéo devrait vous aider à vous faire une idée du système :
Le voyage sera long mais « fun » assure Elon Musk
La navette peut alors dévoiler des voiles solaires qui lui fournissent toute l’électricité nécessaire, puis commence un long voyage compris entre 80 et 150 jours, soit au minimum presque trois mois de vie en apesanteur et dans un espace clos. Elon Musk assure que ce temps sera mis à partie pour se divertir de diverses manières et faire du sport. Il a insisté sur l’aspect « fun » du voyage.
Dès son arrivée, les passagers descendent et le cargo est déchargé. Puis la navette revient à vide vers la Terre où elle pourra être réutilisée. Ces cycles de réutilisation couplés à la capacité de la navette font descendre le coût du trajet par passager en dessous de 100.000 euros. « Une condition » de la réussite du projet pour Elon Musk.
Après Mars, d’autres objets du système solaire pourraient être explorés
Mais là où ça devient vraiment barré, c’est que l’entrepreneur propose d’utiliser son système de lanceur pour aller sur d’autres objets du système solaire. Par exemple permettre à un équipage d’explorer Europe où la Nasa a révélé la présence d’eau liquide et n’importe quel autre objet. Un projet qui offre des perspectives assez vertigineuses comme le montre cette série de représentations d’artiste :
Evidemment, dans un premier temps qui pourrait d’ailleurs être assez long, le voyage retour ne sera pas possible. Il faudrait pour cela réussir à synthétiser du carburant directement sur Mars. Elon Musk pense le faire à partir du CO2 de l’atmosphère. Un prix à payer qui n’effraiera pas tout le monde.
Pour parvenir à ses fins dans des délais raisonnables, le calendrier de l’entrepreneur est serré. Il pense pouvoir faire un premier voyage à vide avec sa nouvelle fusée pas plus tard que 2018. Les premiers passagers pourraient monter à bord dès 2024.
Le pachyderme a été tué par des braconniers. Désormais, il ne reste plus que 25 éléphants “aux défenses géantes” dans le monde.
La majesté de ces animaux incompables sera chose du passé d’ici peu. Les braconniers sont des exterminateurs capitalistes sans scrupule qui ne méritent que la peine de mort.
Un des plus vieux et plus grands éléphants d’Afrique a été tué par des braconniers dans un parc du sud du Kenya, d’après une organisation de protection de la faune sauvage, soulignant qu’il ne reste désormais plus que 25 pachydermes “aux défenses géantes” dans le monde.
Flèche empoisonnée.Satao II, nommé d’après un autre éléphant géant tué en 2014, a été retrouvé mort lundi dans le parc national de Tsavo, a indiqué Richard Moller, de l’organisation Tsavo Trust. Il suspecte une flèche empoisonnée à l’origine de la mort de l’animal ; une technique appréciée des braconniers car silencieuse.
“Heureusement, grâce au travail que nous réalisons en collaboration avec le Service kényan de la faune sauvage (KWS), nous avons trouvé la carcasse avant que les braconniers ne puissent lui arracher son ivoire”, a-t-il précisé, ajoutant que deux braconniers présumés avaient été arrêtés dans cette affaire.
100 kilos de défenses. Âgé d’environ 50 ans, Satao II était doté de deux défenses pesant plus de 50 kilos chacune, et qui étaient tellement longues qu’elles touchaient pratiquement le sol. “Il avait survécu à de nombreuses sécheresses et probablement à d’autres tentatives de braconnage”, a regretté Richard Moller.
Il ne reste que 15 éléphants identiques au Kenya.La mort de Satao II signifie qu’il ne reste plus que 25 éléphants dotés de telles défenses à travers le monde, dont 15 au Kenya, a-t-il ajouté. “Ce sont des icônes, de véritables ambassadeurs des éléphants”.
Un kilo de défenses d’éléphant vendu 2.000 euros. Les défenses, entre autres parties du corps des éléphants, sont très utilisées en médecine traditionnelle au Vietnam. Elles sont utilisées, comme en Chine, pour faire des objets ou comme porte-bonheur. Le Vietnam a interdit le commerce de l’ivoire en 1992, mais le marché noir reste très actif. Un kilogramme de défenses d’éléphant s’y vend plus de 2.000 euros. Début décembre 2015, en France, les douaniers de l’aéroport de Roissy ont découvert dans les bagages d’un couple vietnamien venant d’Angola 95 kilos d’ivoire, une “saisie record” chez des voyageurs. Jusqu’à 50.000 éléphants sont tués par an en raison du braconnage de l’ivoire. La population d’éléphants d’Afrique est passée de 550.000 bêtes en 2006 à 470.000 aujourd’hui.
Tués pour leurs défenses en ivoire, qui alimentent principalement le marché asiatique, les éléphants sont décimés par le braconnage. Et leur protection, notamment par des rangers de mieux en mieux armés, est compliquée par l’immensité des zones à surveiller.
Jusqu’à 7.000 euros le kilo. La Côte d’Ivoire a lancé à la mi-avril 2016, une opération de protection du Parc national du Mont Peko, dans l’ouest du pays, qui abrite les derniers éléphants nains, une espèce fortement menacée par la déforestation, du fait notamment de la cacaoculture. Le commerce illégal d’ivoire est la troisième forme de trafic le plus rentable après le trafic de stupéfiants et d’armes. Il est alimenté par la demande en Asie et au Moyen-Orient, où les défenses d’éléphants sont utilisées dans la médecine traditionnelle et en ornementation. Il peut être revendu jusqu’à 7.000 euros le kilo. Il reste aujourd’hui environ 450.000 éléphants sur le continent africain, et on estime à plus de 35.000 le nombre de ces animaux tués chaque année. Leur survie est menacée par le braconnage aussi bien que par l’expansion démographique et l’urbanisation galopante qui empiète sur l’habitat naturel.
La population des éléphants d’Afrique au plus bas depuis 25 ans
Plus de 100.000 éléphants de moins en dix ans. Selon l’Union internationale pour la conservation de la nature (UICN), la population des éléphants d’Afrique vient d’enregistrer sa plus importante chute depuis 25 ans: le continent compte environ 415.000 éléphants, soit 111.000 de moins que lors de la dernière décennie. Et le massacre continue au rythme vertigineux d’environ 30.000 éléphants par an. Sur le dernier mois écoulé, deux rangers kényans ont été tués par des braconniers, dont un samedi à Tsavo, selon le KWS.
Les braconnage et la disparition des zones naturelles d’habitation est en cause.
La population des éléphants d’Afrique est au plus bas depuis 25 ans, principalement en raison du braconnage, selon un rapport de l’Union internationale pour la conservation de la nature publié dimanche.
Une forte hausse du braconnage. L’Afrique compte environ 415.000 éléphants, soit 111.000 de moins que lors de la dernière décennie, selon ce rapport basé sur 275 mesures à travers le continent. “La forte hausse du braconnage, qui a débuté il y a une dizaine d’années, est la principale cause du déclin” de la population d’éléphants, explique l’UICN dans un communiqué. Les braconniers chassent les éléphants pour revendre à prix d’or leurs défenses en ivoire, principalement sur les marchés asiatiques.
Un rapport alarmant. La disparition croissante des zones naturelles d’habitation des pachydermes menace aussi l’espèce, précise l’UICN. Ce rapport alarmant a été divulgué devant les délégués de la CITES, la Convention internationale sur le commerce d’espèces sauvages menacées d’extinction qui s’est ouverte samedi à Johannesburg, et qui doit débattre de nouvelles mesures de protection. Le débat sur les mesures de protection en faveur des éléphants, animaux emblématiques des savanes, est un des plus attendus.
En cas d’extinction massive, toutes les espèces seraient menacées
Le phénomène d’extinction massive bouleverserait tellement les règles de survie que même les espèces répandues pourraient disparaître.
Les plus fragiles ne sont pas forcément ceux qu’on croit. Voilà comment pourrait-on résumer une étude de deux universitaires britanniques parue mardi dansNature Communications. Selon eux, en cas de phénomène d’extinction de masse, toutes les espèces animales sont menacées de disparition, les plus répandues comme celles étant en voie d’extinction.
Des règles de survie bouleversées. Généralement, les espèces présentes dans une large zone géographique ont plus de chances de survie en cas de catastrophe naturelle locale, que les espèces qui occupent des zones plus restreintes. Mais ça, c’est en temps normal. Car, selon l’étude d’Alex Dunhill et Matthew Wills, deux chercheurs des universités de Leeds et Bath, quand une extinction de masse apparaît, tous les animaux sont logés à la même enseigne. “Notre étude montre que les ‘règles’ de survie, dans des périodes d’extinction massive, sont très différentes de celles qui prévalent en temps ‘normal'”, soulignent les auteurs.
Des animaux très répandus ont déjà disparu. C’est en étudiant des fossiles de vertébrés terrestres, y compris de dinosaures, datant de 145 à 252 millions d’années qu’ils sont parvenus à ces conclusions. Ainsi, il y a 200 millions d’années, un phénomène d’extinction de masse associé à des éruptions volcaniques massives et un changement climatique rapide a provoqué la disparition d’environ 80% des espèces de la planète dont certaines étaient pourtant largement répandues. “De nombreux groupes d’animaux ressemblant à des crocodiles se sont éteints après ce phénomène d’extinction massive à la fin du Trias alors qu’ils étaient vraiment diversifiés et largement répandus”, a expliqué Alex Dunhill. “Au contraire, les dinosaures, qui, en comparaison, étaient relativement rares et pas aussi répandus, ont échappé à l’extinction et ont dominé les écosystèmes terrestres pendant les 150 millions d’années suivantes”, a-t-il ajouté.
Pour Matthew Wills, souvent, les extinctions massives “bouleversent le statu quo et permettent à des groupes qui étaient précédemment secondaires de devenir dominants”. “Quelque chose de similaire est arrivé beaucoup plus tard, avec l’extinction des dinosaures, qui a ouvert la voie à des mammifères et finalement à nous-mêmes”, a-t-il ajouté.
“Changement climatique rapide”. Selon les deux chercheurs, les “mêmes conditions” sont aujourd’hui réunies pour une nouvelle extinction de masse, “par l’activité humaine” et “à un rythme plus rapide”. La Terre a connu jusqu’à présent cinq extinctions de masse, la dernière en date remontant à 66 millions d’années. Selon une étude parue en juin dans la revue Science Advances, “nous entrons dans la sixième”. Les extinctions passées étaient “généralement associés à un changement climatique rapide”, a expliqué Alex Dunhill, “les organismes ne sont pas capables de s’adapter assez rapidement au changement et donc disparaissent”. Les hausses ou les baisses de températures expliquent notamment en partie les disparitions du mammouth ou de l’homme de Neandertal.
Pour tenter de préserver les éléphants,il faut chasser les braconniers.Il est inutile de les mettre en prison,leur coller une amende,etc.Le mal est dans l’air…l’éléphant n’a pas de code-barre,donc sa vie ne vaut rien pour les capitalistes assoiffés de profits.
La seule voie est de condamner à mort les braconniers et de mettre en prison pour un minimum de 15 ans les trafiquants d’ivoire.
http://planeteviable.org/ampleur-sixieme-extinction-massive-des-especes-en-question/ Les activités humaines sont à l’origine d’une inquiétante disparition des espèces vivantes. Cette extinction progressive est menaçante car les services que nous rend la nature reposent sur la diversité biologique. L’estimation du nombre d’espèces qui disparaissent a conduit les scientifiques à dénommer cette crise sixième extinction massive, en référence aux cinq extinctions massives qu’a […]
Ce constat a été réalisé alors que depuis le Sommet de la Terre à Rio de Janeiro en 1992 le nombre de zones protégées a presque doublé dans le monde. REUTERS/Mariana Bazo
En vingt ans, la planète a perdu 10% de ces espaces “libres de toute perturbation humaine”. Une catastrophe écologique irréversible qui pourrait mener à la destruction de tous les espaces sauvages d’ici la fin du siècle.
Trois millions de km². C’est la superficie d’espaces sauvages que la Terre a perdu en vingt ans, relève une étude australienne publiée jeudi dans la revue Current Biology. Les chercheurs James Watson et James Allan ont découvert que 10% des espaces sauvages de laplanète avaient disparu au cours des vingt dernières années.
Dans la majorité des cas, ces zones “libre de toute perturbation humaine” sont situées en Amérique du Nord, dans le nord de l’Asie, en Afrique du Nord ou encore sur le continent australien, explique Le Monde. La carte des zones sauvages souligne l’importance des disparitions (en rouge) depuis le début des années 1990.
Les régions les plus impactées sont l’Amazonie et l’Afrique centrale, avec des pertes respectives de 30% et de 14%.2016 Elsevier Ltd. Published by Elsevier Inc
“Aucune parcelle de nature vierge d’ici à la fin du siècle”
Ce constat a été réalisé alors que depuis le Sommet de la Terre à Rio de Janeiro en 1992 le nombre de zones protégées dans le monde a presque doublé. Sauf que cela ne suffit plus. En vingt ans, 2,5 millions de km² ont été déclarés zones protégées quand 3,3 millions de km² disparaissaient.
“Aujourd’hui, les milieux sauvages se dégradent à une vitesse supérieure à celle de leur protection, s’alarme James Allan dans Le Monde. Si on continue à ce rythme, il ne restera aucune parcelle de nature vierge d’ici à la fin du siècle.”
D’autant plus, souligne son collègue, que la situation est irréversible: “Ces milieux ne peuvent pas retourner à l’état sauvage s’ils ont été occupés par l’Homme, insiste James Watson. Une fois érodés, les processus écologiques qui maintiennent ces écosystèmes ne reviennent jamais à leur état initial.”
Le Barrage de Belo monte au Brésil aura été l’une des pires décisions humaines…pour rentabiliser la nature …
Hubert Reeves raconte dans ses livres, ses spectacles et ses chroniques la naissance de l’univers, celle de la Terre et de la vie, la belle histoire, et la moins belle …
Astrophysicien à la renommée internationale, président de l’association « Humanité et biodiversité », Hubert Reeves a délaissé, avec le temps, l’univers au profit de la Terre. Il alerte sur l’urgence à sauver la planète, plus menacée par l’homme que par d’hypothétiques prophéties mystiques.
Vous avez consacré une bonne partie de votre vie à l’étude de la naissance de l’univers. Quel regard portez-vous sur sa fin annoncée ?
Ces annonces de fin du monde, de catastrophes cosmiques sont assez régulières. Cela incarne une espèce de peur chez les gens et ça prend des proportions gigantesques. Cette histoire à Bugarach a débuté à partir de rien et a fini par créé un buzz qui s’auto-entretient. Tout cela manifeste une angoisse humaine à grande échelle.
Mais les dangers cosmiques réels sont marginaux. Les « space watch » (les sondes observatrices, ndlr) ne prévoient rien à l’horizon immédiat. Aucune météorite frappant la terre ou explosion d’étoiles ne sont à prévoir dans un temps court. Le seul élément cosmique important réellement imprévisible c’est l’arrivée de comètes. On peut les détecter sur une année ou deux, pas plus.
Peut-on l’interpréter, selon vous, comme une envie de se faire peur ?
Peut-être. Ça remplit un besoin récurrent en tout cas, les faits sont là. On annonce une fin du monde, cela n’arrive pas mais ça ne dissuade personne d’y croire à nouveau quelques temps plus
Peut-on l’interpréter, selon vous, comme une envie de se faire peur ?
Peut-être. Ça remplit un besoin récurrent en tout cas, les faits sont là. On annonce une fin du monde, cela n’arrive pas mais ça ne dissuade personne d’y croire à nouveau quelques temps plus tard. C’est une espèce d’inconscient collectif qui se manifeste autour d’un événement quelconque, comme ce calendrier maya.
Ce n’est pas grand-chose un calendrier. Cela n’a rien de nouveau dans l’histoire de l’humanité. Et c’est souvent une excellente affaire économique.
« Nous sommes dans une période de changement profond »
Les scientifiques ont établi plusieurs scenarii de fin du monde, de la chute d’un astéroïde géant à une invasion extraterrestre. Lequel vous semble le plus crédible?
Le plus probable, c’est celui qui est déjà là, ce qui est en train de se passer. Le réchauffement climatique, la pollution généralisée, l’érosion de la biodiversité. Nous sommes déjà plongés dedans. La question est de savoir jusqu’où cela va aller ? Ce qui est terrifiant aujourd’hui c’est l’augmentation de la température terrestre. Pourtant les gens vivent comme si tout cela n’existait pas. Si je me pose la question de savoir comment sera la Terre dans trente ans, et son habitabilité, je ne peux vous le dire.
Nous sommes dans une période de changement profond de tout ce qui touche la vie terrestre. Je crois que la vie continuera. La vie est très riche. Nous ne sommes pas en mesure d’éliminer la vie sur le globe. Mais quelles seront les adaptations, quelle sera celle de l’être humain ? C’est cela la vraie question. Les espèces qui durent sont celles qui savent s’adapter.
Dans quelle arche de Noé doit-on se mettre dès lors? Quel espoir peut-on avoir lorsqu’on a 15 ou 20 ans ?
Je ne suis pas prophète. Je ne sais pas à quoi nos enfants seront soumis mais nous sommes déjà en sursis. Nous avons une espèce d’épée de Damoclès au-dessus de nos têtes. Il faut essayer d’aider ceux qui oeuvrent pour la prise de conscience et le changement. Ne scions pas en chantant la branche sur laquelle nous somme assis.
Permafrost :ci – dessous les lacs peu profonds comme ceux – ci sur la plaine côtière de l’ Alaska sont la résultante de la décongélation à la suite de l’ évolution du climat d’hiver. Image: Christopher Arp, Université de l’ Alaska Fairbanks
Les chercheurs avertissent que les sols en dégel dans le pergélisol de la toundra arctique vont libérer des quantités croissantes de dioxyde de carbone et de méthane dans l’atmosphère.
LONDRES, le 27 Juin, 2016 – Les scientifiques du climat ont froidement mis en place le mécanisme par lequel un réchauffement de l’ Arctique va accélérer le réchauffement global du monde entier. C’est simple: que le réchauffement du pergélisol et que celui-ci sèche.Cela va libérer toujours de plus grandes quantités de dioxyde de carbone des sols arctiques.
Et si ces parties de toundra chaudes dégelent et deviennent de plus en plus détrempées,il en sortira de plus grandes quantités de méthane, un gaz à effet de serre (GES) de plus courte durée , mais aussi un piège à chaleur beaucoup plus puissant que le CO 2 .
L’impact du dioxyde de carbone, disent-ils, pourrait être dominant dans l’accélération du changement climatique mondial. Étant donné que la région arctique est déjà l’endroit le plus rapide de réchauffement de la planète, et que les sols du pergélisol sont calculés pour tenir deux fois plus de carbone que ce qui est déjà dans l’atmosphère, les enjeux sont élevés – et mettent donc la pression sur les scientifiques du climat pour obtenir plus de détails .
Christina Schädel, une scientifique de l’ écosystème à la Northern Arizona University aux États – Unis, et 23 collègues de la Nouvelle -Zélande,de la Finlande, de la République tchèque, du Royaume – Uni, Australie, Canada, Allemagne, Singapour et d’ autres institutions US,ont sorti un rapport global sur le changement climatique ( rapport Nature Climate Change ).Ensemble,ils ont fait un méta-analyse de 25 expériences d’incubation séparées avec des sols de la zone de pergélisol pour établir la finesse des détails de ce qui se passe lorsque le sol depuis longtemps congelé est réchauffé par 10 ° C.
La rétroaction du carbone
Ils ont constaté que la température et l’humidité étaient importantes – et la plus grande source potentielle des gaz à effet de serre est venu avec le mélange des microbes, le carbone du sol, et de l’oxygène.
“Nos résultats montrent que l’augmentation des températures ont un effet important sur les émissions de carbone du pergélisol, mais que les changements dans les conditions d’humidité du sol ont un effet encore plus grand», dit le Dr Schädel. “Nous concluons que les évaluations du pergélisol de carbone seront plus fortes quand un pourcentage plus élevé de la zone de pergélisol subira le dégel dans un environnement sec et riche en oxygène.”
Les températures de fonds de lac (le lit) prises à une profondeur d’un mètre ou moins ont réchauffé de 2,4 ° C au cours des trois dernières décennies , et pour cinq des sept dernières années, la température moyenne annuelle du lit des lacs est resté au- dessus de zéro.
Donc, le réchauffement est inexorable – et, avec elle, la libération potentielle d’énormes quantités de carbone enterré depuis des millénaires et préservé dans la tourbe et le matériel végétal congelé dans les sols.
Question de topographie
L’étude Nature Climate Change prend au sérieux les recherches sur les détails du processus, et l’étape suivante des recherches consiste à déterminer si le dégel des sols polaires deviendra plus humide ou plus sec en général. Cela pourrait se résumer à une question de topographie.
“A few centimetres can make the difference in whether the ground slumps and becomes wetter or ends up high and dry, by separating more from the water table,” says Colleen Iversen, an ecosystem scientists at the Oak Ridge National Laboratory in the US and a co-author of the report.
(“Quelques centimètres peuvent faire la différence à savoir si les glissements de terrain et devient plus humide ou se termine en haut et sec, en séparant plus de la nappe d’eau» , explique Colleen Iversen, un des scientifiques de l’ écosystème au Oak Ridge National Laboratory aux États – Unis et un co-auteur du rapport.)
“Il y a aussi de grands étangs qui pourraient s’assécher sur de grandes surfaces , ainsi que les sols superposés par un réseau de coins de glace (ice wedges) où le réchauffement pourrait conduire à une thermokarst, ou un affaissement, de la surface de la terre lorsque le permafrost et les coins de glace fondent.
“Donc , le mouillage et le séchage de l’Arctique est important d’observer et modèle à des échelles allant d’un mètre à plusieurs kilomètres.”
Il a été rapporté récemment à mon attention ,par un correspondant brésilien que des bûcherons ont eu tort de détruireu ce que les experts prétendent être le plus vieil arbre du monde après avoir prétendument affirmé ne pas avoir remarqué qu’ils venaient de pénétrer profondément dans le territoire des Matsés (réserve indigène), une zone où l’exploitation forestière est illégale et protégée.
L’Arbre Mère,un arbre sacré,aurait été coupé intentionnellement par des ouvriers d’une entreprise capitaliste brésilienne.
L’arbre Samauma géant récemment abattu s’est révélé être âgé de plus de 5800 années après une étude de ses anneaux concentriques et estimé à près de 40 mètres de hauteur.Il était une partie importante de la vie communautaire des tribus indigènes et était le point central du paysage culturel local.Il faut souligner que d’innombrables générations d’indigènes ont été des témoins vivants de la longue durée de l’arbre et l’ont inclus dans leur propre culture.
Le leader de la tribu locale ,Taahuastep de la tribu Matsés dit:
“Il est l’esprit de la Mère de la forêt tropicale. Ils ont détruit Aotlcp-Awak, ils ont apporté des ténèbres sur non seulement notre peuple, mais le monde entier.”
Un autre homme de la tribu a dit:
“Depuis des générations, l’arbre mère a apporté à mon peuple la santé et la bonne fortune. Les racines de l’arbre Mère sont répartis dans la forêt tropicale et apportent son esprit de vie au monde.”
“Ils ont assassiné l’esprit de la Mère sciemment, ils ont fait cela pour tuer notre peuple et afin de prendre les dépouilles de la terre”,a-t-il ajouté, visiblement ébranlé par la destruction de l’arbre Samauma plusieurs fois millénaire.
Les communautés autochtones ont alarmés les médias et les groupes de conservation locale lorsque Aotlcp-Awak, ou l’arbre Mère dans les dialectes locaux, a été signalé scié par une machinerie lourde.
Barbra Silver, une chercheuse locale pour la protection Coalition Rainforest (RPC), de l’ Université de Berkeley en Californie, estime que l’ «incident» était « intentionnel» et dit:
Il y a de grandes portions de cette réserve nationale qui sont riches en pétrole et en gaz naturel. Il y a eu une action engagée par les sociétés d’énergie pour faire pression sur le gouvernement afin d’exploiter la région depuis des années. Les zones protégées ont été réduites de moitié au cours de la dernière décennie, ce qui est seulement leur dernière tentative pour se débarrasser des populations locales qui se battent pour préserver leur patrimoine culturel et leur mode de vie.
L’exploitation forestière illégale en Amazonie est hors de contrôle en prenant souvent une forme d’éviction. La gouvernance dans le secteur du bois est faible et ouverte à l’exploitation, ce qui permet des criminels qui blanchissent du bois illégal comme étant légal avec la documentation officielle. On estime que, dans l’État de Para ,le plus grand producteur et exportateur de bois au Brésil a 78% de son exploitation forestière produite, comme étant illégale.
Il semble que l’exploitation forestière illégale est clairement commise avec le consentement des autorités locales et le gouvernement corrompu. Si cela n’a pas été le cas, pourquoi les organismes locaux d’application de la loi ne vont pas poursuivre ces sociétés? Pourquoi ces destructeurs de la nature sont-ils libres de continuer à faire ce qu’ils font?Telle est la grande question.
Entre 1991 et 2014, la superficie totale de la forêt perdue en Amazonie a plus que triplée, avec la plupart de la forêt perdue devenant des pâturages pour le bétail. Les forêts tropicales sont les plus riches endroits sur terre détenant la majorité de la biodiversité de la planète, encore 100 acres de forêts tropicales sont effacées à chaque minute, estime un récent rapport de 2015 de la World Resources Institute.
Allons -nous finir par réagir avant de mourir?
Comment se fait-il que les laboratoires privés,à la solde du Nouvel Ordre mondial,reçoivent des millions de dollars en subventions pour faire ressuciter des animaux disparus,mais que l’on sympathise avec les destructeurs de la nature actuelle?
Oui,je le sais:le plan illuminati de dépopulation mondiale!
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