Des djihadistes de l’Etat islamique en Afrique de l’Ouest (Iswap)/
Mardi soir, les djihadistes de l’État islamique en Afrique de l’Ouest (Iswap) sont arrivés en hors-bord sur l’île de Bulgaram, une localité camerounaise du lac Tchad, depuis leur enclave du côté nigérian de la frontière, et ont commis des exécutions ciblées, ont annoncé des sources sécuritaires nigérianes.
“Ils sont arrivés à 18H30 (18H30 GMT) pendant que les gens se préparaient pour les prières du soir, et ils ont abattu 14 chefs de la communauté”, a précisé une source. Certaines victimes ont été assassinés dans leur maison tandis que d’autres ont été tuées dans la mosquée où elles étaient venues prier, a détaillé une autre source.
L’attaque est survenue après que cette localité, importante pour la logistique de l’Etat islamique, ait banni l’approvisionnement en vivres des terroristes à destination de zones sous leur contrôle de l’autre côté du lac, en territoire nigérian.
Quelques jours auparavant, les chefs locaux avaient invoqué le Coran lors d’une réunion, et lancé une malédiction contre tout habitant qui ravitaillerait les djihadistes, une décision interprétée par les islamistes comme une trahison.
Plusieurs frappes aériennes nigérianes la semaine dernière ont touché des bastions de l’Iswap, faisant plusieurs dizaines de morts, dont des chefs militaires d’importance, selon des sources locales et militaires.
Source: AFP
EN COMPLÉMENTAIRE
La région du Sahel en Afrique de l’Ouest est devenue la dernière zone de combats djihadistes, après que le groupe d’État islamique (IS) a révélé qu’il combattait des groupes affiliés à Al-Qaïda au Mali et au Burkina Faso.
L’IS a fait cette révélation le 7 mai dans un rapport détaillé de son hebdomadaire Al-Naba.
L’organisation a accusé la filiale d’Al-Qaïda au Sahel, le Jamaat Nusrat al-Islam wal-Muslimin (JNIM), d’avoir commencé le combat et d’avoir mobilisé des forces importantes pour attaquer les positions de l’IS dans les deux pays.
Le scénario est familier. L’IS et les affiliés d’Al-Qaïda ont déjà pris d’assaut d’autres points chauds du djihadisme, comme le Yémen, la Somalie et la Syrie, en se disputant les zones d’influence, les recrues et les ressources.
L’article de l’IS contredit les rapports du début de l’année qui suggéraient que les deux groupes collaboraient dans la région.
Les combats internes pourraient avoir un impact sur les opérations djihadistes contre les troupes locales et étrangères dans le Sahel, où les deux groupes ont considérablement intensifié leurs attaques depuis l’année dernière.
Que dénonce l’État islamique ?
Dans son rapport, IS a dénoncé les récentes attaques d’Al-Qaïda contre des militants d’IS au Mali et au Burkina Faso, où les deux groupes sont actifs.
Le JNIM, sur ordre de ses dirigeants Iyad Ag Ghaly et Amadou Koufa, a rassemblé des forces importantes pour cibler les l’État islamique à plusieurs reprises dans les deux pays depuis avril.
Il s’est également plaint que le JNIM bloquait l’approvisionnement en carburant de ses militants et détenait des locaux soupçonnés de le soutenir.
Cette action du JNIM, a déclaré l’IS, coïncide avec une intensification des opérations contre ses combattants par les troupes régionales africaines et françaises dans le Sahel.
Le JNIM selon l’État islamique, a utilisé ces conditions comme une opportunité pour cibler ses troupes à ce moment précis.
Il a affirmé que les événements étaient le seul obstacle auquel est confronté le JNIM aujourd’hui, puisque ce dernier a accepté de tenir des discussions avec le gouvernement du Mali et a prétendument fait la paix avec toutes les forces pro et anti-gouvernementales et les tribus du nord du Mali, y compris les milices d’autodéfense Dogon « païennes ».
L’IS a précédemment cherché à utiliser la volonté du JNIM d’ouvrir le dialogue avec les autorités maliennes comme un moyen de saper les références djihadistes du groupe Al-Qaida.
Pourquoi maintenant ?
On ne sait pas très bien pourquoi l’IS et le JNIM n’ont pas discuté publiquement des affrontements jusqu’à ce dernier rapport de l’IS, d’autant plus que, selon l’IS, les combats sont intenses depuis le 17 avril.
La révélation de l’IS, cependant, fait suite à une déclaration non vérifiée attribuée au JNIM et partagée en ligne le 5 mai par des témoignages djihadistes non officiels, dans lesquels le groupe Al-Qaida a fermement rejeté une prétendue proposition de cessez-le-feu de l’IS.
Si la déclaration est authentique, elle peut expliquer pourquoi l’État islamique a décidé de rendre publique l’histoire maintenant.
La prétendue déclaration du JNIM est venue en réponse à un message audio non vérifié partagé en ligne en avril et attribué à un commandant malien de l’IS identifié comme Abdel Hakim al-Sahraoui.
Le prétendu message de l’IS proposait une trêve si le JNIM acceptait de payer le prix du sang des combattants de l’IS tués et de libérer les prisonniers de l’IS.
Aucun des deux groupes n’a officiellement fait référence aux messages non vérifiés qui leur ont été attribués.
L’Etat Islamique a récemment publié un « documentaire » qui condamne Al-Qaïda comme « apostat » et comme « vendu »
Les derniers combats au Sahel coïncident également avec le renforcement de la rhétorique du SI contre la branche d’Al-Qaïda au Yémen, AQAP. Les deux groupes se battent depuis juillet 2018.
Au Mali comme au Yémen, le SI accuse ses rivaux d’Al-Qaïda de collaborer secrètement avec des forces et des milices « laïques » ou liées au gouvernement pour combattre le SI.
L’IS est également engagé dans la lutte contre les Talibans en Afghanistan. L’IS a utilisé les pourparlers de paix des talibans avec les États-Unis et la volonté du JNIM de parler au gouvernement du Mali comme arguments clés pour saper ces groupes, dans l’espoir de gagner la confiance de leurs membres les plus intransigeants.
Les djihadistes ont considérablement intensifié leurs attaques dans les pays du Sahel depuis l’année dernière, suscitant de nouvelles alliances régionales et internationales et des campagnes militaires pour tenter de faire face à cette menace croissante.
Le JNIM est certainement devenu l’une des deux branches les plus meurtrières d’Al-Qaïda, avec Al-Shabab en Somalie.
Entre-temps, l’IS du Sahel – qui s’appelle officiellement « Province de l’Afrique de l’Ouest » mais qui est largement connu sous le nom d’État islamique du Grand Sahara (ISGS) – a rapidement pris pied dans les pays du Sahel malgré le fait qu’il n’y ait eu des activités révélatrices qu’en mars de l’année dernière.
Le groupe a revendiqué un certain nombre d’attaques qui ont fait de nombreux morts dans les armées du Mali, du Niger et du Burkina Faso.
Les derniers combats djihadistes internes pourraient distraire les deux groupes et affecter leur capacité à continuer à planifier et à organiser des attaques contre les armées locales et leurs bailleurs de fonds étrangers.
Le rapport du SI a brossé un tableau des graves affrontements entre le SI et le JNIM impliquant des attaques mortelles et un grand nombre de combattants. Il suggère également que le SI est numériquement désavantagé par rapport au JNIM.
Les combats internes peuvent également nuire à la réputation de djihadiste des deux groupes et à leur capacité de gagner des recrues dans la région.
Il est plus difficile de convaincre les habitants de la région de se joindre à un combat contre leurs camarades djihadistes plutôt que contre le gouvernement ou des troupes étrangères.
Les djihadistes eux-mêmes attribuent souvent l’affaiblissement des efforts djihadistes en Syrie aux combats internes entre les différents groupes.
C’est peut-être une autre raison pour laquelle l’IS et le JNIM n’ont pas parlé publiquement des combats jusqu’à présent.
L’Etat Islamique a révélé les affrontements avec le JNIM par le biais de son journal hebdomadaire al-Naba
Souvenons nous de Boko Haram,groupe qui s’est uni au calife de l’État Islamique depuis 2014. Avant cela,ces terroristes avaient enlevés des centaine de jeunes filles étudiantes dont la plupart sont devenues enceintes plusieurs fois depuis.
49 soldats ont été tués dans une « attaque terroriste » contre un camp militaire.
Des soldats du califat ont attaqué une base militaire où sont stationnés des éléments de l’armée malienne apostate dans le village d’Indelimane, dans la région de Ménaka, a indiqué samedi l’État islamique dans un communiqué signé « Province Afrique de l’Ouest » et publié sur ses chaînes Telegram.
Avec la mort de 49 soldats, le bilan de l’attaque, annoncé samedi par l’armée sur sa page Facebook, est l’un des plus importants enregistrés depuis l’invasion djihadiste dans le nord du pays, en 2012, qui s’est progressivement étendue vers le centre et les États voisins.
Les terroristes ont mené une attaque-surprise à l’heure du déjeuner. Des véhicules de l’armée ont été détruits, d’autres emportés, a précisé samedi un officier de l’armée malienne présent à Indelimane. Une vingtaine de rescapés ont été retrouvés après l’assaut, selon les forces maliennes qui ont aussi fait état de trois blessés et de dégâts matériels.
Au lendemain de cette attaque, un soldat français a également trouvé la mort près de la frontière du Niger.
Les soldats du califat ont pris pour cible un convoi de véhicules des forces françaises, près d’Indelimane, dans la région de Ménaka, en déclenchant un engin explosif, a écrit l’EI dans un second communiqué.
L’explosion de l’engin artisanal est survenue à 20 km d’Indelimane pendant une mission de sécurisation prévue de longue date, mais n’aurait « aucun lien » avec l’attaque de vendredi dans cette localité, a affirmé le porte-parole de l’état-major français, le colonel Frederic Barbry.
Les deux communiqués ont été publiés une semaine après l’annonce de la quatrième mort du chef de l’EI, Abou Bakr al-Baghdadi, supposément tué lors d’un raid américain en Syrie.
Avec l’attaque de vendredi, l’armée malienne subit une de ses plus lourdes pertes depuis plusieurs années. (photo d’archives)
Une « mobilisation africaine » contre les djihadistes
La Mission de l’ONU au Mali (Minusma) a condamné très fermement l’attaque terroriste et affirme que des opérations de sécurisation sont en cours dans la région avec l’appui de Casques bleus.
Cette saignée que le Mali vit ne peut plus continuer. Voulez-vous qu’on se résigne à ce calvaire?, a déclaré samedi à Bamako l’imam Mahamoud Dicko, influente figure religieuse malienne.
De son côté, le Sénégalais Alioune Tine, défenseur des droits de l’homme, a appelé samedi à une mobilisation africaine.
«Si l’Afrique ne se mobilise pas pour le Mali et le Burkina, elle ne sera pas épargnée par le feu de brousse qui va vite gagner les pays côtiers de l’Afrique de l’Ouest, les prochaines cibles de choix des djihadistes.» – Alioune Tine, défenseur des droits de la personne
Le premier ministre burkinabè, Christophe Joseph Marie Dabiré, s’est quant à lui déclaré meurtri à la suite de cette barbarie inqualifiable.
La nébuleuse terroriste dans la région
L’attaque de vendredi à Indelimane suscite également des interrogations sur les capacités d’action de l’armée malienne dans cette région où se trouvent les frontières de plusieurs pays, notamment le Niger et le Burkina Faso, touchés eux aussi par les attaques djihadistes.
Elle fait notamment écho aux attaques meurtrières survenues le 30 septembre à Boulkessy et le 1er octobre à Mondoro, dans le sud du Mali, près du Burkina Faso. Quarante soldats avaient alors été tués dans ces deux attaques, selon un bilan d’un responsable du ministère de la Défense. Plusieurs sources estiment que ce bilan officiel de 40 morts a été sous-évalué.
Voisin du Mali, le Burkina Faso est pris depuis près de cinq ans dans une spirale de violences attribuées à des mouvements djihadistes, certains affiliés à Al-Qaïda et d’autres au groupe État islamique.
Depuis 2016, 204 militaires burkinabè sont « tombés pour la défense de la patrie » lors d’attaques djihadistes, qui ont fait au moins 630 morts civils et militaires, selon un comptage de l’AFP. Depuis début 2015, les attaques, de plus en plus fréquentes et meurtrières, en particulier dans le Nord et l’Est, ont occasionné près de 500 000 déplacés internes et réfugiés, d’aprè l’ONU.
Ces attaques au Sahel sont d’abord parties du nord du Mali, tombé en mars-avril 2012 sous la coupe de groupuscules liés à Al-Qaïda, à la faveur de la déroute de l’armée face à la rébellion à dominante touareg, d’abord alliée à ces groupes, qui l’ont ensuite évincée.
Les djihadistes en ont été en grande partie chassés ou dispersés à la suite du lancement en janvier 2013, à l’initiative de la France et d’une intervention militaire, qui se poursuit toujours.
Or, les violences ont non seulement persisté, mais elles se sont propagées du nord vers le centre du Mali, puis au Burkina Faso et au Niger voisins, se mêlant souvent à des conflits intercommunautaires ayant fait des centaines de morts.
Ahmed Shah Massoud, fréquemment appelé le commandant Massoud, était le commandant du Front uni islamique et national pour le salut de l’Afghanistan, du Jamiat-e Islami et le chef de l’Armée islamique, une armée ayant combattu contre l’occupation soviétique puis le régime des talibans de 1996 à 2001.
En Allemagne, quatre églises distinctes ont été vandalisées et / ou incendiées uniquement en mars. « Dans ce pays », a expliqué PI-News, un site d’informations allemand, « une guerre rampante se poursuit contre tout ce qui symbolise le christianisme: attaques sur des sommets de montagnes, des statues sacrées au bord du chemin, des églises … et récemment également sur les cimetières « .
Dans presque tous les cas d’attaques dans l’église, les autorités et les médias occultent l’identité des vandales. Dans les rares cas où l’identité musulmane (ou « migrante ») des destroyers est divulguée, les profanateurs sont alors présentés comme souffrant de problèmes de santé mentale.
« Rares sont les personnes qui écrivent et parlent des attaques croissantes contre les symboles chrétiens. En France comme en Allemagne, le silence scandaleux des profanations et l’origine des coupables sont éloquents … Pas un mot, pas la moindre allusion. pourrait en aucun cas donner lieu à des soupçons de migrants … Ce ne sont pas les auteurs qui risquent d’être ostracisés, mais ceux qui osent associer la profanation de symboles chrétiens à des importations immigrées: ils sont accusés de haine, de discours de haine et de racisme . » – PI News, 24 mars 2019
En février, des vandales ont profané et brisé des croix et des statues à la cathédrale Saint-Alain de Lavaur, en France, et ont mutilé d’une manière moqueuse les bras d’une statue du Christ crucifié. De plus, une nappe d’autel a été brûlée. (Source de l’image: Eutrope / Wikimedia Commons)
D’innombrables églises de l’Europe occidentale sont vandalisées, déféquées et incendiées.
En France, deux églises sont profanées chaque jour en moyenne. Selon PI-News , un site d’informations allemand, 1 063 attaques contre des églises ou des symboles chrétiens (crucifix, icônes, statues) ont été enregistrées en France en 2018. Cela représente une augmentation de 17% par rapport à l’année précédente (878). ont été enregistrés – ce qui signifie que ces attaques ne font que s’aggraver.
Parmi les profanations récentes en France, les suivantes ont eu lieu en février et mars seulement:
Des vandales ont pillé l’église Notre-Dame des Enfants à Nîmes et ont utilisé des excréments humains pour y tracer une croix . du pain consacré a été retrouvé jeté dehors parmi les ordures.
En février, l’ église Saint-Nicolas de Houilles a été vandalisée à trois reprises. une statue de la Vierge Marie du XIXe siècle, considérée comme » irréparable« , était » complètement pulvérisée « , a déclaré un membre du clergé; et une croix pendante a été jetée au sol.
Des vandales ont profané et brisé des croix et des statues à la cathédrale Saint-Alain de Lavaur et ont mutilé les bras d’une statue d’un Christ crucifié de manière moqueuse. De plus, une nappe d’autel a été brûlée.
Des incendiaires ont incendié l’église Saint-Sulpice à Paris peu après la messe de midi du dimanche 17 mars.
Des rapports similaires sortent d’Allemagne. Quatre églises séparées ont été vandalisées et / ou incendiées en mars seulement. « Dans ce pays », a expliqué PI-News , « il existe une guerre rampante contre tout ce qui symbolise le christianisme: attaques sur les sommets des sommets des montagnes, sur les statues sacrées le long du chemin , sur les églises … et récemment sur les cimetières. »
Qui est principalement derrière ces attaques continues et croissantes contre des églises en Europe? Le même rapport allemand suggère: « Les croix sont cassées, les autels brisés, les bibles incendiées, les fonts baptismaux renversés et les portes de l’église maculées d’expressions islamiques du type » Allahu Akbar « . »
Selon un autre rapport allemand du 11 novembre 2017, quelque 200 églises ont été attaquées et de nombreuses croix brisées dans les Alpes et la Bavière: «La police profite à maintes reprises de profanations religieuses. Les auteurs sont souvent de jeunes émeutiers issus de l’immigration. » Ailleurs, ils sont décrits comme des » jeunes islamistes « .
Parfois, malheureusement, dans les régions européennes à forte population musulmane, il semble y avoir une augmentation concomitante des attaques contre les églises et les symboles chrétiens. Avant Noël 2016, dans la région de Rhénanie du Nord-Westphalie en Allemagne, où résident plus d’un million de musulmans , une cinquantaine de statues chrétiennes publiques (y compris celles de Jésus) ont été décapitées et des crucifix cassés.
En 2016, à la suite de l’arrivée en Allemagne d’un autre million de migrants, pour la plupart musulmans, un journal local a annoncé que, dans la ville de Dülmen, « il ne se passe pas un jour » sans que des statues religieuses de moins de 50 000 habitants soient attaquées, et environs immédiats «
En France, il semble également que les attaques contre les églises augmentent également lorsque le nombre de migrants musulmans augmente. Une étude de janvier 2017 a révélé que les « attaques extrémistes islamistes contre des chrétiens » en France avaient augmenté de 38%, passant de 273 attaques en 2015 à 376 en 2016; la majorité s’est produite pendant la période de Noël et « de nombreuses attaques ont eu lieu dans des églises et autres lieux de culte ».
À titre d’exemple typique, un homme musulman a commis en 2014 des » actes majeurs de vandalisme » au sein d’une église catholique historique à Thonon-les-Bains. Selon un rapport (avec des images), il « aurait renversé et cassé deux autels, les candélabres et les lutrins, détruit des statues, démoli un tabernacle, tordu une croix en bronze massive, brisé une porte de sacristie et même brisé des vitraux. » Il a également « piétiné » l’Eucharistie.
Pour des exemples similaires dans d’autres pays européens, voyez ici:
Une église en Espagne.
Les assaillants ont brisé des statues en bois de la Vierge Marie et de Jésus sur la croix lors de l’attaque choquante qui a eu lieu plus tôt cette semaine. Ils ont pris d’assaut l’église de Notre-Dame de Carmen dans la ville espagnole de Rincon de la Victoria, en Andalousie
Dans presque tous les cas d’attaques dans l’église, les autorités et les médias occultent l’identité des vandales. Dans les rares cas où l’identité musulmane (ou « migrante ») des destroyers est révélée, les auteurs sont alors présentés comme souffrant de problèmes de santé mentale . Comme le récent PI-Nouvelles rapportdit:
« Rares sont les personnes qui écrivent et parlent des attaques croissantes contre les symboles chrétiens. En France comme en Allemagne, le silence scandaleux des profanations et l’origine des coupables sont éloquents … Pas un mot, pas la moindre allusion. pourrait en aucun cas donner lieu à des soupçons de migrants … Ce ne sont pas les auteurs qui risquent d’être ostracisés, mais ceux qui osent associer la profanation de symboles chrétiens à des importations immigrées: ils sont accusés de haine, de discours de haine et de racisme . «
« Le 23 mars 2015, le président Obama a lui-même pris la décision inhabituelle de publier un message vidéo directement aux Nigérians, leur indiquant simplement comment voter. Dans cette vidéo, Obama a exhorté les Nigérians à ouvrir le » chapitre suivant « par leurs votes. » – Goodluck Jonathan, ancien président du Nigeria, dans son nouveau livre, My Transition Hours .
« Le christianisme est au bord de l’extinction au Nigeria. » – Bosun Emmanuel, secrétaire du Forum national des aînés chrétiens , le 23 juin 2018.
« Des centaines de Chrétiens autochtones de Numan dans l’Etat d’Adamawa ont été attaqués et tués par des pasteurs djihadistes Fulani. Quand ils ont essayé de se défendre, le gouvernement Buhari a envoyé l’armée de l’air pour en bombarder des centaines et protéger les agresseurs Fulani. » – Femi Fani-Kayode, avocat nigérian, auteur et ancien ministre de l’aviation, Daily Post , 6 décembre 2017.
En mars 2014, après que l’Institut américain pour la paix ait convoqué une conférence aux gouverneurs des États du nord du Nigéria, le département d’État a bloqué le visa du seul gouverneur chrétien de la région, Jonah David Jang, ministre ordonné.
Goodluck Jonathan, l’ancien président du Nigeria, a accusé l’administration Obama de s’immiscer dans la politique de son pays afin de le remplacer par son président actuel, Muhammadu Buhari. Sur la photo: Goodluck Jonathan en 2012.
Dans une révélation explosive , Goodluck Jonathan, ancien président du Nigeria (2010-2015), a accusé l’administration Obama de s’immiscer dans la politique de son pays afin de le remplacer par son président actuel, Muhammadu Buhari, accusé de nombreuses personnes pour avoir facilité la poursuite Les chrétiens. Dans son nouveau livre, My Transition Hours , Jonathan écrit :
« Le 23 mars 2015, le président Obama a lui-même pris la décision inhabituelle de publier un message vidéo directement aux Nigérians, leur indiquant simplement comment voter … Dans cette vidéo, Obama a exhorté les Nigérians à ouvrir le » chapitre suivant « par leurs votes. Ceux qui comprenaient le langage subliminal ont compris qu’il incitait l’électorat à voter pour que l’opposition [dirigée par les musulmans] forme un nouveau gouvernement « .
La vague actuelle d’émeutes [musulmanes] a été déclenchée par l’annonce [de la Commission électorale nationale indépendante (INEC)] lundi [18 avril 2011] que le président sortant, M. Goodluck Jonathan, avait remporté le premier tour de scrutin. Qu’il y ait eu des émeutes dans les États du Nord peuplés en grande partie de musulmans où la défaite du candidat musulman Muhammadu Buhari était intolérable, n’était pas surprenant. Les habitants du Nord [musulmans] estimaient avoir droit à la présidence du président déclaré vainqueur, Jonathan, après la mort du président musulman Umaru Yar’Adua l’année dernière et la mort de groupes radicaux dans le nord [Boko Haram] son ascension [de Jonathan] est une question temporaire à corriger lors de l’élection de cette année. Maintenant, ils sont en colère malgré les experts et les observateurs reconnaissant qu’il s’agit de l’élection la plus juste et la plus indépendante de l’histoire récente du Nigéria.
Que l’administration Obama ait imposé sa volonté à la politique d’un pays étranger et que des élections soient loin d’être sans précédent. Rappelons la partialité de l’administration envers les Frères musulmans pendant et après les élections présidentielles de 2012 en Égypte; ou ses efforts infructueux pour renverser le Premier ministre israélien Netanyahu avec l’argent des contribuables américains; ou ses efforts – avec un « dossier » certes non vérifié – pour empêcher le candidat à l’élection présidentielle Donald J. Trump d’être élu, ou en discutant d’une » police d’assurance » au cas où Trump l’emporterait. De plus, des textes de Peter Strzok ont révélé qu’Obama « veut savoir tout ce que nous faisons . «
Ainsi, au Nigéria, l’administration Obama, semble-t-il, a cherché à réparer le tort apparemment intolérable d’un président chrétien dûment élu dans une nation à plus de 50% de chrétiens.
Deux questions se posent: 1) Existe-t-il des preuves extérieures corroborant les allégations de Jonathan contre l’administration Obama? 2) Buhari facilite-t-il vraiment le djihad à ses compatriotes chrétiens?
La politique pro-islamique / anti-chrétienne de l’administration Obama
Les accusations récemment publiées par l’ancien président nigérian Jonathan semblent correspondre à la politique de l’ancien gouvernement américain concernant les musulmans et les chrétiens au Nigeria.
Pour commencer, l’administration Obama a insisté sur le fait que la violence et les effusions de sang au Nigeria – presque toutes commises par des musulmans contre des chrétiens – n’avaient aucun rapport avec la religion . Ceci malgré le fait que Boko Haram – qui commettait des atrocités de type ISIS : massacre, enlèvement, viol, pillage, esclavage, torture avant même la naissance de l’Etat islamique – a présenté son terrorisme comme un djihad. Dans un cas, il a même appelé le président Jonathan à » se repentir et à abandonner le christianisme » et à se convertir à l’islam comme prix de la paix. L’administration Obama a toutefois refusé de désigner Boko Haram en tant qu’organisation terroriste étrangère jusqu’en novembre 2013 – des années après la pression grandissante des législateurs, des défenseurs des droits de l’homme et des lobbyistes.
Par exemple, après la destruction d’une église nigérienne lors d’un attentat à la bombe du Jour de Pâques 2012 qui a coûté la vie à 39 fidèles – l’un des nombreux attentats à la bombe meurtriers perpétrés au Nigéria au cours de ces dernières années – a déclaré Johnnie Carson, secrétaire d’État adjoint aux Affaires africaines , « Je souhaite saisir cette occasion pour souligner un point essentiel, à savoir que la religion n’est pas le moteur de la violence extrémiste » au Nigeria.
Au lieu de cela, « inégalité » et « pauvreté » – pour citer Bill Clinton – sont « ce qui alimente tout cela » (une référence au massacre jihadi de milliers de chrétiens).
Apparemment, pour prouver qu’il croyait ce qu’il disait, l’administration Obama a même accepté d’allouer 600 millions de dollars à une initiative de l’USAID pour déterminer les « véritables causes » des troubles et de la violence au Nigéria, supposés être du ressort socio-économique, jamais religieux.
Il est également révélateur que, même si l’administration Obama n’a formulé que des regrets génériques chaque fois que des chrétiens ont été massacrés par dizaines – sans reconnaître l’identité religieuse du persécuteur ou de la victime -, ils ont vivement protesté contre le ciblage de terroristes islamistes. Lorsque, par exemple, les forces nigérianes sous la présidence de Jonathan ont tué 30 terroristes Boko Haram lors d’une offensive en mai 2013, le secrétaire d’État américain John Kerry (qui est également mentionné en termes peu flatteurs dans les mémoires de Jonathan) « a publié une déclaration ferme » à Jonathan, Reuters adéclaré : « Nous sommes … profondément préoccupés par les allégations crédibles selon lesquelles les forces de sécurité nigérianes commettent des violations flagrantes des droits humains », a averti Kerry au président nigérian.
En mars 2014, après que l’Institut américain pour la paix ait convoqué une conférence aux gouverneurs des États du nord du Nigéria, le département d’État a bloqué le visa du seul gouverneur chrétien de la région, Jonah David Jang, ministre ordonné. Selon l’avocat des droits de l’homme, Emmanuel Ogebe:
« Après que le [gouverneur chrétien] leur a dit qu’ils ignoraient les 12 États de la charia qui ont institutionnalisé la persécution … il a soudainement développé des problèmes de visas … La question demeure: pourquoi les États-Unis minimisent-ils ou nient-ils les attaques contre les chrétiens? »
Plus récemment, Ogebe , du groupe de droit américain Nigeria Law basé à Washington, a déclaré dans une interview, que le « département d’Etat » avait en fait déclaré qu’ils préféraient un pays à « majorité musulmane » pour expliquer pourquoi Obama avait choisi de visiter le Sénégal plutôt que le Nigeria. , Jonathan s’est rangé du côté des États-Unis sur Israël à l’ONU tandis que Buhari a voté contre les États-Unis / Israël à l’ONU. «
Le rôle de Muhammadu Buhari dans le djihad sur les chrétiens
Selon Jonathan, les indicateurs selon lesquels Muhammadu Buhari – que l’administration Obama a contribué à faire du président du Nigéria – renforce le génocide des chrétiens suivent.
Après que Goodluck Jonathan soit devenu président, des milliers de chrétiens vivant à proximité de centres musulmans au Nigeria ont été tués . Depuis qu’ils ont obtenu ce qu’ils veulent – un président musulman, Muhammadu Buhari – en 2015 – les musulmans ont attaqué les chrétiens d’une manière qui est qualifiée de » génocide pur « .
Comme l’Association chrétienne du Nigéria, un groupe de coordination composé de diverses confessions chrétiennes, a déclaré dans un communiqué récent :
« Il ne fait aucun doute que le seul but de ces attaques est de purifier ethnique, d’accaparer des terres et de chasser de force les indigènes chrétiens de leurs terres et de leur patrimoine ancestraux »
Pour commencer, beaucoup plus de chrétiens sous Muhammadu Buhari ont été massacrés que son prédécesseur chrétien – principalement par des bergers Fulani musulmans, qui lancent régulièrement des raids sur des villages chrétiens. Au cours des six premiers mois de cette année, 6 000 chrétiens ont été massacrés au nom du jihad. Il a fallu trois fois plus de temps aux Fulani pour tuer seulement 1 484 chrétiens sous la présidence de Jonathan.
Un certain nombre d’éminents Nigérians ont accusé Buhari de fermer les yeux sur les atrocités des Fulani. Il « est lui-même de la tribu des Foulani des djihadistes », a déclaré Ogebe .
Selon le révérend Musa Asake, secrétaire général de l’Association chrétienne du Nigéria:
« Sous le président Buhari, les gardiens de troupeaux Fulani meurtriers bénéficiaient d’une protection et d’un favoritisme sans précédent … Plutôt que d’arrêter et de poursuivre les bergers Fulani, les forces de sécurité généralement contrôlées par des musulmans du Nord leur offrent une protection, libérant la terreur en toute impunité contre le peuple nigérian. »
De même, selon Femi Fani-Kayode, avocat et avocat nigérian réputé, auteur et ancien ministre de l’aviation:
« … le président musulman [Buhari] n’a accordé aux meurtriers que l’impunité plutôt que la justice et a doté son gouvernement de responsables islamiques, sans rien faire pour que les chrétiens du pays, qui représentent la moitié de la population, soient dûment représentés. »
Comme l’administration Obama, Buhari attribue également la persécution des Chrétiens par les Fulani à « la pauvreté, à l’injustice et au manque de possibilités d’emploi ». Comme l’Association chrétienne du Nigeria rétorque cependant:
« Comment peut-il s’agir d’un affrontement [laïque ou économique] lorsqu’un groupe [de musulmans] attaque, tue, mutile, détruit, et que l’autre groupe [de chrétiens] est continuellement tué, mutilé et ses lieux de culte détruits? »
Le Forum national des aînés chrétiens est plus direct en ce qui concerne la source de la violence:
« JIHAD a été lancé au Nigeria par les islamistes du nord du Nigeria dirigés par le groupe ethnique Fulani. Ce Jihad est basé sur la doctrine de la haine enseignée dans les mosquées et les madrasa islamiques du nord du Nigeria, ainsi que sur l’idéologie suprémaciste des Fulani. Jihad conventionnel (violent) et furtif (civilisation) Jihad, les islamistes du nord du Nigéria semblent déterminés à transformer le Nigéria en sultanat islamique et à remplacer la démocratie libérale par la charia comme idéologie nationale … Nous voulons un Nigéria où les citoyens sont traités également devant la loi à tous les niveaux … «
Le gouvernement Buhari a même été accusé de participer au djihad. Par exemple , une attaque particulièrement sauvage des Fulani « a détruit plusieurs villages [chrétiens] dans le sud de l’État [faisant 100 morts], et un avion de combat a bombardé une église luthérienne et d’autres cibles », indique un rapport, avant d’ajouter: « Certains les gens soupçonnent les jets ont été déployés en collaboration avec les terroristes parce que leurs bombes ont visé des villageois. «
Fani-Kyode a été encore plus direct dans son accusation contre Buhari:
« Des centaines de Chrétiens autochtones de Numan dans l’Etat d’Adamawa ont été attaqués et tués par des éleveurs Fulani djihadistes. Quand ils ont essayé de se défendre, le gouvernement Buhari a envoyé l’armée de l’air pour en bombarder des centaines et protéger les agresseurs Fulani. Est-ce juste? WORLD TAKE NOTE ! «
Le pasteur Bosun Emmanuel,un grand leader chrétien a prédit la mort du dernier chrétien au Nigéria pour 2043 …au plus tard!
Il convient également de noter que, bien que les chrétiens ne représentent que récemment la majorité de la population nigériane, le génocide en cours à leur encontre a entraîné une chute de leur population – au point que le christianisme au Nigéria « est sur le point de disparaître », prévient Bosun Emmanuel. , secrétaire du Forum national des aînés chrétiens. L’été dernier, il a déclaré que Muhammadu Buhari « poursuivait ouvertement un programme anti-chrétien qui avait entraîné d’innombrables meurtres de chrétiens dans tout le pays et la destruction de communautés chrétiennes vulnérables ». En conséquence, « l’Eglise a été affaiblie et incapable de se tenir devant ses ennemis. De manière réaliste, le christianisme est sur le point de disparaître au Nigeria. L’ascendant de l’idéologie de la charia au Nigeria sonne le bilan des morts pour l’Eglise nigériane.
De nombreux massacres de chrétiens ont commencé au Nigéria depuis 1989.
Boko Haram a développé de terribles et sanguinaires leaders en se faisant le mouvement islamiste rassembleur.
Les milices islamistes patrouillent partout au Nigéria.
La majorité de ces 6 000 chrétiens massacrés cette année étaient « pour la plupart des enfants, des femmes et des personnes âgées … Ce qui se passe dans … le Nigéria est un pur génocide et doit cesser immédiatement. » – Association chrétienne du Nigéria.
« Il ne fait aucun doute que le seul but de ces attaques est de purifier ethnique, d’accaparer des terres et de chasser de force les indigènes chrétiens de leurs terres et de leur patrimoine ancestraux ». – Association chrétienne du Nigéria.
« De manière réaliste, le christianisme est sur le point de disparaître au Nigéria. L’ascendant de l’idéologie de la charia au Nigeria sonne le bilan des morts pour l’Église nigériane. » – Association chrétienne du Nigéria.
« Seulement un réfugié syrien sur 400 ayant obtenu l’asile au Royaume-Uni l’année dernière était chrétien alors qu’il était soumis à une » persécution épouvantable « . » – Express, UK.
Un prêtre catholique de la grotte du lait à Bethléem (photo) a été légèrement blessé le 1er juin lorsqu’un homme l’a frappé avec ce qui semblait être un couteau.
Chej d’Al Qaeda au Mali
Le djihad sur les chrétiens nigérians
Dans ce que l’Association chrétienne du Nigeria a appelé un « génocide pur , » 238 plus chrétiens ont été tués et des églises profanées par des musulmans tout au long du mois de Juin. Cela porte le nombre de morts de chrétiens à plus de 6000 entre janvier et juin 2018 seulement. Selon une déclaration commune de l’association chrétienne, un groupe de coordination composé de diverses confessions chrétiennes, « il ne fait aucun doute que ces attaques ont pour seul but de purifier ethnique, d’accaparer des terres et d’expulser par la force les indigènes chrétiens de leurs terres ancestrales et patrimoine. » Lors de l’une des attaques, « plus de 200 personnes ont été brutalement tuées et nos églises détruites sans aucune intervention des agences de sécurité en dépit de plusieurs appels de détresse qui leur ont été adressés.
Boko Haram et les jeunes filles enlevées
La majorité de ces 6 000 chrétiens massacrés cette année étaient « pour la plupart des enfants, des femmes et des personnes âgées … Ce qui se passe dans … le Nigéria est un pur génocide et doit cesser immédiatement. » Les détails du meurtre de ces milliers de personnes, bien que rarement rapportés, sont souvent effroyables; beaucoup ont été battus à mort ou décapités à la machette; d’autres ont été brûlés vifs (y compris dans des églises ou des maisons verrouillées); et les femmes sont souvent agressées sexuellement ou violées avant d’être massacrées.
Bosun Emmanuel, secrétaire du Forum national des aînés chrétiens, a averti Bosun Emmanuel, en raison de ces attaques incessantes perpétrées par les islamistes. Le 23 juin, il aurait déclaré que l’administration actuelle du président Muhammadu Buhari au Nigeria « poursuit ouvertement un programme anti-chrétien qui a entraîné d’innombrables meurtres de chrétiens dans tout le pays et la destruction de communautés chrétiennes vulnérables ». En conséquence, « l’Eglise a été affaiblie et incapable de se tenir devant ses ennemis. De manière réaliste, le christianisme est sur le point de disparaître au Nigeria. L’ascendant de l’idéologie de la charia au Nigeria sonne le bilan des morts pour l’Eglise nigériane ».
Attaques musulmanes contre des églises chrétiennes
Bosnie : des inconnus ont incendié une église orthodoxe serbe dans la ville à majorité écrasante musulmane de Visoko. L’incendie criminel a eu lieu aux premières heures de la matinée du dimanche 24 juin. Selon le rapport , « une majorité d’objets à l’intérieur de la Nativité de Theotokos – y compris des icônes et des livres saints – a été détruite, ainsi qu’une partie du toit … La partie principale de l’autel a également été brisée. » Le fait que l’église ait été « récemment réparée sur une période de deux ans » peut être significatif: selon les conditions d’Omar, qui consiste en des stipulations discriminatoires auxquelles les chrétiens doivent adhérer pour exister sous le régime islamique, ils sont tenus « de ne pas construire une église dans notre ville – ni un monastère, un couvent ou une cellule de moine dans les environs – et ne pas réparer ceux qui tombent en ruines ou sont dans des quartiers musulmans « .
Indonésie : des musulmans locaux ont forcé la fermeture d’une autre église chrétienne à Banjarmasin. « Les musulmans ont affirmé que l’approbation donnée à l’église par les autorités locales n’était pas valide et devrait être annulée », indique le rapport.en relation. « En raison de la tension accrue, l’église a dû suspendre ses services, laissant la congrégation de 100 personnes sans aucun lieu de rencontre. » La loi indonésienne exige la signature d’au moins 60 ménages locaux et non chrétiens, c’est-à-dire musulmans, avant que les demandes d’adhésion à des églises chrétiennes soient acceptées. En raison de ces exigences, une autre église établie en 1995 dans la même ville a dû changer de lieu de réunion sept fois. « Les chrétiens représentent au moins 15% de la population indonésienne et, jusqu’à il y a une génération, chrétiens et musulmans vivaient paisiblement sur un pied d’égalité », indique le rapport.. « Cependant, les chrétiens sont confrontés à une discrimination et à une violence grandissantes. Plusieurs églises ont été attaquées, y compris les attentats-suicides à la bombe commis par des membres de la même famille le dimanche 13 mai 2018. »
Pakistan : Après des mois de harcèlement local – y compris se dit « pour supprimer tous les signes visibles du christianisme de leur église » – chrétiens ont finalement ordonné de démolir leur église parce que « les musulmans sont majoritaires dans le village, [et] nous ne pouvons pas autoriser une église ici « , citeun dirigeant musulman local. Il a ajouté que les quarante familles chrétiennes auraient besoin de construire une église en dehors du village. « Quand cela sera fait, nous ferons en sorte que les chrétiens écrivent un accord stipulant qu’ils vont vendre l’actuel bâtiment de l’église ou au moins démanteler la structure de l’église et les traverser », a-t-il déclaré. « L’église appartient à Full Gospel Assemblies, un groupe évangélique travaillant au Pakistan, et a été construite sur une terre appartenant à [un] chrétien âgé de 70 ans »le rapport indique. Selon Rafaqat Masih, qui représente la cause chrétienne: « La construction a commencé en 2012 et nous organisons des services de culte depuis. Mais en décembre 2016, les musulmans de la localité s’y sont opposés et ont déposé une requête contre nous au poste de police local. À cette époque, un compromis a été trouvé et nous avons de nouveau commencé à organiser des services. Mais, en décembre 2017, ils ont déposé une demande au poste de police, après quoi nous avons été appelés à signer un accord, « mettant un terme à toute utilisation du le bâtiment comme une église. Après la convocation des chrétiens à une autre réunion le 2 juin, Masih a déclaré:
« Nous sommes obligés de démolir la structure d’église existante et, au lieu de cela, ils nous laisseraient construire une église sur un terrain du gouvernement situé à l’extérieur du village qui est déjà dédié à une école. Ils n’ont même pas fourni de documentaire. la preuve que ce terrain serait transféré aux chrétiens. Un autre problème est que nous avons travaillé pendant plusieurs années à la construction de cette église. Maintenant, qui va payer pour la construction à partir de rien? «
« La plupart des chrétiens sont de pauvres ouvriers », ajoute le rapport.
Le mépris extrémiste et le mauvais traitement des chrétiens
Bethléem : un homme de la région a frappé un prêtre catholique avec un objet non identifié – décrit de diverses manières comme un couteau, une clé et un objet contondant. Selon un rapport :
« À la grotte du lait de Bethléem, le révérend Fadi Shallufi a ouvert les portes de la chapelle aux touristes étrangers, y compris les femmes harcelées par deux hommes, vendredi après-midi [1] … Les hommes à travers les barreaux des portes fermées. Un des hommes tire ce qui semble être un couteau de sa poche et frappe Shallufi alors que le clergyman franciscain recule, indique le film. «
Le prêtre a subi des blessures mineures. La police palestinienne aurait arrêté deux hommes alors qu’ils prenaient « de tels incidents au sérieux, car ils peuvent nuire au tourisme. Environ 80 à 85% de la population de la Cisjordanie est musulmane sunnite ». En parlant de cet incident, un activiste des droits de l’homme a déclaré :
« Bien que nous soyons reconnaissants que personne n’ait été sérieusement blessé lors de cet incident, les chrétiens du Moyen-Orient vivent constamment dans la crainte de telles attaques. Malheureusement, l’escalade de l’intimidation, du harcèlement et de la violence à l’égard des chrétiens est un phénomène trop courant Ramadan. »
Pakistan: un chrétien handicapé reconnu coupable de blasphème a été battu par des détenus musulmans pour avoir prié le 22 juin. Trois ans plus tôt, Yaqoob Bashir, 25 ans, avait été accusé par un religieux musulman d’avoir brûlé des pages d’un livret contenant des versets coran. Il a été arrêté et emprisonné. Selon un activiste des droits de l’homme local au courant du cas:
« Bashir devait se présenter devant le tribunal le 23 juin et avant de comparaître, le jeune chrétien voulait prier le soir. Cependant, les prisonniers qui l’accompagnaient ne lui ont pas permis de prier devant eux. Lorsque Bashir a poursuivi, quatre d’entre eux s’est énervé et l’a frappé très fort. Il a été blessé au visage, aux yeux, au menton et à la tête. «
« Il est triste d’entendre que les chrétiens ne sont pas sûrs même en garde à vue, » évêque Samson Shukardin du diocèse de Hyderabad a dit .
« Il est du devoir de l’État d’assurer la protection de tous les citoyens. Si un jeune chrétien est confronté à la violence et à la torture en prison, alors on ne peut qu’imaginer le nouveau sommet de la persécution … À ce stade, je m’inquiète pour Autoriser une attaque contre un détenu handicapé mental montre que les autorités pénitentiaires ne cherchent pas sincèrement à protéger les citoyens, pas plus que le gouvernement n’a de politique claire pour juguler les mouvements extrémistes. «
Tadjikistan : des musulmans locaux ont tenté d’ empêcher un chrétien d’enterrer le cadavre de sa femme jusqu’à son retour à l’islam. « Quand une femme chrétienne âgée d’origine musulmane est décédée la semaine dernière », explique le rapport du20 juin .
« … son mari Mihrab et ses enfants – tous chrétiens – ont organisé une cérémonie funèbre et invité des personnes de leur église. Mais les parents musulmans de Mihrab ont également invité des musulmans locaux, y compris un religieux, qui a exigé que Mihrab se reconvertisse refuserait de tenir la cérémonie et les empêcherait d’enterrer la femme chrétienne dans le cimetière local. Mihrab a répondu que le pasteur de son église pourrait tenir la cérémonie, mais les musulmans présents ont juré qu’ils ne laisseraient pas le corps de la femme être enterré, disant Mihrab et sa famille étaient des « traîtres à l’islam ». «
Après avoir fait appel à un responsable local, la famille chrétienne a finalement été autorisée à laisser reposer sa femme et sa mère. « Les enterrements sont un exemple de la manière dont les chrétiens sont mis sous pression en Asie centrale », indique le rapport .
« La tradition veut que les cadavres reviennent dans la communauté du village d’origine de la famille, mais les convertis sont perçus comme apportant de la honte à la communauté. souvent empêché d’y être enterré « .
Maroc : Bien que jugés nettement moins radicaux que les autres nations musulmanes, les chrétiens du royaume musulman d’Afrique du Nord sont toujours considérés et traités comme des citoyens de seconde zone. toute expression publique de la foi leur crée des difficultés. Par exemple, « [b] ien loi, seuls les chrétiens étrangers sont autorisés à adorer collectivement dans des églises, dont beaucoup ont été érigées pendant la période coloniale française, et le prosélytisme est puni de trois ans de prison », selon un rapport du 8 juin . De même, deux convertis au christianisme ont dû:
« … se marier lors d’une petite cérémonie dans la salle de réunion d’un groupe de défense des droits de l’homme dans la capitale marocaine, en ignorant les menaces proférées par des habitants de sa ville natale conservatrice … Ils font partie d’une infime minorité convertie au christianisme et exigeant des conseils juridiques. reconnaissance de leur mariage. L’islam est la religion d’État dans le Maroc à majorité sunnite, où seuls les mariages entre musulmans et juifs sont légaux. «
« A partir de maintenant, je dois porter le niqab [voile sur le visage] si je veux me promener dans les rues de ma ville natale », a déclaré la nouvelle épouse après la cérémonie. « Nous voulons être reconnus en tant que citoyens chrétiens marocains et jouir du droit aux mariages et aux cérémonies d’inhumation légaux, conformément à notre religion », a déclaré un représentant local des droits de l’homme. Un autre couple chrétien à qui ils ont refusé de se marier dans un cadre charia et, par conséquent, leur mariage chrétien reste non reconnu, a déclaré :
« Nous courons le risque d’être accusés de fornication punissable par le code pénal (…) Nous sommes victimes de discrimination de la part d’autorités qui ne nous reconnaissent pas comme chrétiens marocains, ainsi que de pressions sociales et de harcèlement en raison de notre choix de foi. »
Selon la VOA, « la communauté chrétienne autochtone est estimée à plus de 50 000 par les dirigeants locaux, mais il n’existe aucune statistique officielle ».
Abus extrémistes de chrétiens en Égypte
Après que les chrétiens eurent objecté qu’un groupe d’hommes musulmans nageait complètement nus devant leurs maisons, tandis que les femmes chrétiennes étaient assises à l’extérieur: en criant ‘Allahou Akbar’ [Allah est plus grand] et en scandant des slogans contre les Coptes « , a déclaré un habitant de la région, Nashaat Ezzat . « Ils ont brisé les fenêtres et les portes de certaines maisons, pillé et détruit des propriétés. » Six chrétiens ont été blessés et ont eu besoin de points de suture dans la tête. La police est arrivée trois heures plus tard et a arrêté sept chrétiens et deux musulmans. Selon le rapport« Des chrétiens locaux ont déclaré que la police les avait arrêtés afin de faire pression sur la communauté chrétienne pour qu’elle se réconcilie avec ses assaillants musulmans en échange de la libération des coptes détenus ». Ils ont tous été libérés cinq jours plus tard.
Bien que les chrétiens ne soient pas légalement tenus de respecter le ramadan, y compris en se joignant aux musulmans pour le jeûne pendant la journée, un chrétien a été arrêté et deux chrétiens battus pour ne pas avoir observé la fête musulmane. Quand Hani George, 31 ans, est arrivé à la gare de Gizeh, un officier de police lui a demandé son identité. Une fois que l’officier s’est rendu compte que Hani était chrétien, il a commencé à fouiller dans son sac: « Il y avait une bouteille d’eau dans mon sac et, pendant qu’il le cherchait, il regardait cette bouteille avec colère », a déclaré George . « Il m’a pris ma carte d’identité et m’a demandé de le suivre. Quand j’ai résisté et demandé où il m’emmenait, il a commencé à m’insulter et m’a ordonné de cesser de parler – comme si j’étais un criminel. »
« L’officier m’a dit: ‘Pourquoi avez-vous eu cette bouteille d’eau pendant que nous sommes en Ramadan?’ Je leur ai dit que je ne jeûnais pas parce que j’étais chrétien, mais ils m’ont insulté et ont dit que je resterais là jusqu’au coucher du soleil et que je ne pouvais pas m’asseoir … J’ai été détenu au poste de police pendant plus de deux heures. et a été traitée de façon très humiliante pour n’avoir rien fait. Quand je suis au travail, je ne mange pas et ne bois pas devant mes collègues musulmans, en signe de respect. «
Par ailleurs, le 6 juin, un agriculteur, Adel Ayoub, âgé de 52 ans, buvait de l’eau à l’extérieur lorsqu’il a été approché par un groupe de jeuneshommes. « Ils m’ont demandé : » Pourquoi rompez-vous le jeûne du Ramadan? » Je leur ai dit que j’étais chrétien. Dès qu’ils ont entendu le mot «chrétien», ils m’ont attaqué et frappé avec leurs mains jusqu’à ce que je m’évanouisse presque. «
Dans un autre incident survenu le 1er juin, un chauffeur de bus chrétien a été battu pour avoir bu du thé. En attendant à un arrêt de bus, un témoin oculaire a vu un groupe d’hommes attaquer un bus et en briser les vitres. « J’ai approché le microbus et découvert que le chauffeur avait été attaqué parce qu’il buvait une tasse de thé à l’intérieur et aussi parce qu’il était chrétien. Il portait un tatouage représentant une croix sur son poignet droit », a-t-il ajouté . Selon le rapport :
« La maison égyptienne Fatwa, un centre de recherche islamique présidé par le gouvernement, a déclaré en 2016 que manger ou boire pendant les heures de jeûne du Ramadan » ne fait pas partie de la liberté personnelle des gens « , mais plutôt d’une agression contre l’Islam. »
Enfin, discutant de ce qu’il appelle « une flambée des enlèvements et des disparitions de femmes et de filles chrétiennes dans les zones rurales d’Égypte et dans certaines villes », un rapport du 13 juin a expliqué qu’il existe une « stratégie en matière de traite qui cible les jeunes filles chrétiennes coptes et les contraint à convertissez-les en Islam, puis vendez-les soit pour des soins domestiques dans d’autres pays, soit pour le commerce du sexe. » C’est « une tactique pour démoraliser les femmes et humilier la communauté chrétienne ».
« Il y a eu sept enlèvements de femmes coptes chrétiennes au mois d’avril [seul] et un huitième le 2 mai … Une des filles qui a été kidnappée, Mirna Malak Shenouda, une chrétienne copte de 16 ans Une fille a échappé à ses ravisseurs… Il a été enlevé par deux femmes et un homme à Assouan. Elle avait été assommée, mais s’était réveillée dans un train. À l’un des arrêts, elle a sauté et a appelé ses parents. La fuite et le sauvetage de Shenouda sont rares. «
Les familles chrétiennes se plaignent du fait que la police ne fait souvent rien.
Dans un cas , « après que la famille eut signalé à la police, ils sont retournés au poste pour des mises à jour et la police a déclaré que la femme était entrée dans le poste, qu’elle ne manquait pas et qu’elle s’était volontairement convertie à l’islam. Je crois qu’elle adorerait jamais se convertir volontairement à une religion différente, car elle aime Dieu. Cependant, la police locale n’enquêtera plus sur cette affaire ou sur des affaires similaires. «
Facilitateurs occidentaux du suprématisme religieux contre les chrétiens
Irak : un dirigeant de la communauté chrétienne a déploré que « l’accent mis par le pape [François] sur une plus grande tolérance et compréhension de l’islam ait laissé la minorité chaldéenne profondément persécutée [chrétiens irakiens] se sentir insécurisée et vulnérable », selon un rapport. Dans une interview, Aziz Emmanuel al-Zebari, 68 ans, candidat politique chaldéen et professeur à l’Université catholique d’Erbil, a déclaré« Nous avons en fait été affaiblis par la position prise par le Vatican. Le Vatican enseigne à la communauté à se soumettre. Cela ne nous aidera pas à obtenir nos droits. » Zebari a qualifié l’approche du pape de « naïve et à courte vue … Il ne peut pas y avoir de dialogue quand une partie est en panne et que l’autre partie a le dessus … Il n’y a pas de terrain égal ici. » Les Chaldéens d’Irak, a-t-il déclaré, « ont payé le prix fort pour être chrétiens, et nous ne pouvons pas triompher sans protection. Quand je suis déplacée, quand ma famille est menacée de violences sexuelles, on me dit alors de prier et d’être tolérant. » Nous n’attendons aucun soutien du Vatican. Nous sommes dans une situation désespérée. «
On se rappellera les chrétiens crucifiés sur des poteaux de téléphone par l’État Islamique.
Royaume-Uni: « L’année dernière, seulement un réfugié syrien sur 400 ayant obtenu l’asile au Royaume-Uni était chrétien alors qu’il faisait l’objet d’une » persécution épouvantable « », selon un rapport du 23 juin . « Le nombre de chrétiens ayant obtenu l’asile de Grande-Bretagne a considérablement diminué depuis 2016, alors que 1,5% d’entre eux étaient chrétiens. » Les critiques de ces statistiques affirment que, comme les chrétiens représentent 10% de la population syrienne, 10% des réfugiés syriens devraient être chrétiens. Pourtant, si tant est que ce soit le cas, « ce pourcentage n’a baissé que de 0,23 l’an dernier, soit 11 des 4 832 Syriens qui ont été réinstallés au Royaume-Uni ». La grande majorité de ces près de 5 000 réfugiés sont des musulmans sunnites, la seule secte non ciblée par l’État islamique, qui est lui-même sunnite.
Canada: au cours d’une session parlementaire, le député Garnett Genius a demandé au Premier ministre Justin Trudeau s’il accepterait, comme d’autres chefs de pays, de reconnaître que l’État islamique persécutait les chrétiens. Trudeau n’a pas donné de réponse claire. Genius a écrit plus tard dans un post Facebook :
Justin Trudeau en prière
« Aujourd’hui, au cours de la période des questions, j’ai demandé au Premier ministre de reconnaître la persécution des chrétiens au Moyen-Orient et de reconnaître que les chrétiens étaient victimes du génocide commis par Daesh / ISIS. Le Premier ministre n’a pas du tout répondu à la question et Il n’a même pas utilisé le mot « chrétien » dans sa réponse. La réponse du gouvernement à la persécution des minorités dans le monde a été décevante, mais sur les questions qui touchent les chrétiens en particulier, ils ont fermement refusé de s’engager. «
Justin Trudeau:un islamiste converti et dangereux
De même, Andrew Scheer, un autre député canadien, a déclaré: « L’échec de Justin Trudeau à lutter contre la persécution des chrétiens et d’autres minorités dans le monde est totalement inacceptable. » À propos de cet incident, un rapport a noté:
« Lorsqu’il s’agit de critiquer l’islamisme radical, Justin Trudeau le dénonce immédiatement comme étant » l’islamophobie « , cherchant à mettre un terme à toute discussion. Mais lorsqu’il s’agit de persécution contre d’autres religions, en particulier le christianisme, Trudeau reste silencieux. »
Autriche: « Des enfants catholiques forcés d’apprendre des chansons islamiques à [une] école primaire autrichienne », est le titre d’un rapport du 20 juin . « Dans une école primaire de Linz, les enfants catholiques doivent mémoriser et réciter des chants islamiques dans le cadre du festival islamique du Ramadan. Ils ont été forcés de participer et punis s’ils refusaient. » Après avoir récupéré son jeune fils à l’école, une mère catholique a été choquée de l’entendre crier « Allah, Allah ». Il lui a dit que pendant deux mois, toute la classe avait été contrainte de chanter des chansons sur l’islam ou risquait d’être punie. « C’était comme une gifle au visage! » dit la mère. Selon le rapport, « L’instituteur religieux islamique est venu voir les enfants de la classe et leur a ordonné d’apprendre les chansons appropriées pour le ramadan, car toute la classe doit célébrer ce festival. »
L’école en Autriche
De tels incidents liés à l’ « islam d’abord » se multiplient autour des écoles autrichiennes. Un professeur d’école primaire de Vienne avait déclaré plus tôt qu’il devenait impossible d’intégrer les enfants musulmans. « La charia est supérieure à beaucoup de mes étudiants », a-t-elle averti.
« La musique et la danse sont rejetées pour des raisons religieuses. De plus en plus de discussions et de luttes ont lieu de plus en plus confessionnelles … De nombreuses écoles deviennent de moins en moins incontrôlables » et « les problèmes dans les salles de classe sont presque impossibles à résoudre . «
Bien que tous, voire la plupart des musulmans ne soient pas impliqués, la persécution des chrétiens par des extrémistes se développe. Le rapport postule que cette persécution n’est pas aléatoire, mais plutôt systématique, et se produit sans distinction de langue, d’ethnie ou de lieu.
CC0 Un rapport du Middle East Forum (MEF) affirme que l’un des plus grands organismes de bienfaisance islamiques, indirectement financé par les contribuables états-uniens d’Amérique et européens, est lié à des groupes terroristes dans le monde entier. Islamic Relief (IR), l’un des plus grands organismes de bienfaisance islamiques au monde, est empêtré dans des liens […]
Malgré les attaques meurtrières dans le nord du pays, les groupes Eni et Anadarko comptent bien exploiter les immenses réserves découvertes au large des côtes. Des rues parsemées de nids-de-poule, des bâtiments officiels décrépis, un seul hôtel défraîchi : Mocimboa da Praia, dans l’extrême-nord du Mozambique, est une bourgade sans grand intérêt. Si ce n’est la […]
Petites filles issues des minorités vendues ou échangées comme esclaves sexuelles, petits garçons embrigadés de force pour devenir d’impitoyables soldats mis en scène dans des vidéos de propagande… Daech instrumentalise systématiquement les enfants. Qu’adviendra-t-il d’eux ?
Petites filles issues des minorités vendues ou échangées comme esclaves sexuelles, petits garçons embrigadés de force pour devenir d’impitoyables soldats mis en scène dans des vidéos de propagande… Daech instrumentalise systématiquement les enfants. Qu’adviendra-t-il d’eux ? Un reportage d' »Envoyé spécial ».
Depuis l’instauration de ce que le groupe terroriste appelle son « califat » en juin 2014, Daech mène une politique systématique d’embrigadement d’enfants soldats. Les « Lionceaux du califat », parfois de très jeunes enfants, sont contraints de rejoindre ses rangs, formant une nouvelle génération de jihadistes mis en scène dans les vidéos de propagande. En Irak, Sofia Amara, journaliste à l’agence Capa, en a rencontré certains, sortis de l’enfer de l’embrigadement. Ils racontent leur vie de jeunes combattants enrôlés de force, traumatisés par la violence des actes qu’ils ont commis.
Des réseaux s’organisent pour sauver ces petits prisonniers
Ce reportage réunit des témoignages bouleversants montrant comment l’organisation terroriste traite les enfants issus des minorités, entre asservissement et exploitation sexuelle. Vendues ou échangées, des petites filles alimentent un marché aux esclaves au cœur de Daech. Des réseaux de résistants s’organisent et tentent de sauver ces enfants prisonniers. Sofia Amara les a rencontrés et a suivi leurs opérations d’exfiltration. Qu’adviendra-t-il de cette génération perdue ? Doit-on traiter les enfants soldats comme des victimes ou des bourreaux ? Comment ramener ces enfants meurtris à la vie ?
Société 7 juillet 2016 A LIRE: Révélation de 135 documents secrets Les milieux du renseignement extérieur israélien estiment qu’un coup d’Etat militaire en Algérie est inévitable. Bienvenue à…
Bienvenue à tous et à toutes:Nous venons de lancer une nouvelle boutique indépendante du site afin de nous aider à rentabiliser notre site Michelduchaine.com
Vous trouverez de nombreux articles vintage et de collection diverses au fil des jours.
Elle vous permettra d'acquérir des articles venant directement de Michel...D'aille elle s'appelle "Vintage par Michel que vous trouverez sur ce lien:https://www.etsy.com/ca-fr/shop/VintageParMichel?ref=seller-platform-mcnav Ignorer