Courte opinion du jour:Message D’Espoir d’Alejandro Jodorowsky :

Message d’espoir d’Alejandro Jodorowsky :

 

 

« Leur plus grosse erreur : ils savaient que le collectif humain atteignait une vibration très élevée, mais ils n’étaient pas conscients de la quantité d’âmes éveillées.
Ils ont réalisé une erreur de jugement.
Et ils ont eu peur.
Maintenant, ils ne se cachent plus.
Ils sont maintenant pressés de lancer officiellement un « nouvel ordre mondial ».
Maintenant, leurs attaques sont directes et frontales.
Et les attaques vont augmenter.
Ils vont essayer par tous les moyens d’empêcher les gens de se réveiller.
Ils essaieront par tous les moyens que les personnes « éveillées » ne puissent pas communiquer afin de ne pas réveiller les autres.
Ils tenteront par tous les moyens de faire en sorte que les éveillés soient considérés comme des fous ou des criminels.
Quoi qu’ils fassent, ça n’a pas d’importance.
Le saut quantique a déjà eu lieu.
Il est inarrêtable.
L’humanité considère déjà les plantes et les animaux comme des âmes qui les animent.
L’humanité respecte déjà la Terre Mère.
L’humanité comprend déjà qu’il n’y a pas de séparation.
Les âmes qui s’incarnent maintenant arrivent déjà en tant qu’enseignants.
Il ne s’agit plus d’expérimenter.
Ils ne s’incarnent que pour enseigner comment aimer.
Nous pourrons ou non assister à ce changement total.
La transition peut prendre une semaine ou 300 ans.
Mais elle est inarrêtable.
Quoi qu’il arrive pendant la transition, n’oubliez pas une chose : c’est vous qui vous êtes proposé.
Pour être ici et maintenant.
Quoi qu’il arrive.
Tout ce que vous voyez.
Vous êtes les moteurs du changement.
Une seule chose est requise de vous.
Une seule.
Ne soyez pas de la nourriture.
C’est la seule chose que vous devez faire.
Une chose simple.
Ne soyez pas de la nourriture.
L’être humain est l’un des générateurs les plus puissants qui soient.
Nous sommes des vortex.
En fonction de la polarité vers laquelle vous vous alignez, vous créez des fréquences hautes ou basses. De
Ces entités sombres se nourrissent de basses fréquences, nous les nourrissons depuis des millénaires.
L’éveil de l’humanité a fait basculer le vortex collectif vers les hautes fréquences.
C’est pourquoi ils attaquent avec une telle férocité.
Ils sont affamés.
Connectez-vous avec votre âme.
Et observez-vous.
Si votre âme résonne avec ces mots, ne donnez pas une seconde de plus de votre existence pour être de la nourriture.
Éliminez les passions de base de votre vie.
Haine, ressentiment, envie, peur, vices, malbouffe, mensonges, ambition, égoïsme, tristesse, méfiance.
Tout cela génère une énergie dense.
De la nourriture pour les sombres.
Soyez conscient de vos émotions.
Écoutez-vous.
A vous.
Et si, à une occasion quelconque, vous vous sentez dans l’une de ces basses vibrations, changez ipso facto votre énergie.
Mettez de la musique qui vous soulève.
Chantez pour elle.
Dansez.
Respirez.
Allumez de l’encens.
Embrassez vos chats.
Embrassez votre ami.
Embrassez votre chien.
Embrassez votre mère.
Embrassez votre famille animale.
Faites une promenade dans la Nature.
Méditez.
Faites de l’exercice.
Faites ce que vous devez faire, mais changez cette énergie immédiatement.
Parce que vous servez de nourriture.
Soyez toujours conscient.
Et la seule chose qui vous est demandée est de ne pas nourrir les hordes sombres.
Nourrissez votre âme de tout ce qui vous aide à vous élever.
Si vous vous habituez à vivre dans la fréquence de l’amour, votre réalité se transformera à votre volonté sans effort.
Vous êtes un être puissant.
Vous êtes inarrêtable.
Ne craignez rien.
Libérez votre esprit de la Matrice.
Concentrez votre attention sur ce que vous désirez.
Mais surtout, amusez-vous, soyez heureux, souriez, chantez, dansez.
L’amour.
Nous sommes vivants en aimant le tout.
Et vous en faites partie.
Avec les étoiles et le Soleil.
Et toutes les galaxies de l’Univers.
Vous êtes l’Amour. »



 

Source: https://t.me/alliancehumainegalactique20

La Nouvelle Société du Vril:comprendre la personne de Maria Orsic

Afin de donner un côté humain à la Grande Prêtresse de la Société du Vril (celle d’origine) voici un article que j’ai monté à partir des messages et informations de mon ami en Europe.Ce texte commence véritablement les enseignements sur le Vril.Dans ce texte et dans les prochains,l’AZP désigne un organisme secret du gouvernement allemand chargé d’étudier les sociétés secrètes allemandes .Ces documents sont traduit d’archives qui sont resté secrètes…jusqu’à aujourd’hui!

La « cheville ouvrière du Vril » Maria Orschitsch, cette belle femme blonde et directrice de la société Vril Antriebstechnische Werkstätten, est entourée d’un flair à la fois historique et personnel. Elle était considérée comme une personnalité stricte et volontaire qui lui subordonnait tout.Elle était déterminée et aussi égocentrique. Cela l’a grandie, mais pas particulièrement sympathique. Elle a développé une grandeur purement humaine peut-être seulement dans la dernière phase de l’histoire de Vril, mais ensuite elle devient extrêmement agréable.

En règle générale, le chapitre Vril n’est pas du ressort de l’AZP, même s’il devrait le rester. Puisqu’il y a ici beaucoup d’expérience dans la recherche de traces de femmes disparues, et que l’AZP est tombée sur la piste de la  Vrildamen Traute A.  par hasard , nous voulons faire une exception aujourd’hui. Ces femmes sont un sujet passionnant et attrayant.

Si vous essayez de vous renseigner sur l’une des Vrildamen, comme avec l’AZP sur Traute A., vous apprendrez forcément quelque chose sur les autres. Traute s’est particulièrement intéressée à l’AZP, et elle semble mériter d’être particulièrement mise en valeur, du moins en tant que femme. Elle avait certainement un comportement plus agréable que Maria Orschitsch, qui était certes plus forte en leadership mais aussi vaniteuse et capricieuse, sur laquelle beaucoup plus a été publié jusqu’à présent, ce qui doit être compris, car Maria Orschitsch était à la tête de la communauté Vril, depuis sa fondation en tant que société entièrement allemande pour la métaphysique jusqu’aux ateliers d’ingénierie d’entraînement de l’entreprise. C’était sans aucun doute une femme d’une intelligence extrêmement élevée. Et il ne fait aucun doute que la « boss du Vril »

Maria Orschitsch avait des qualités atypiques pour une femme. Elle « pensait comme un homme » (écrit Angelika) et possédait ce qu’on appelle aujourd’hui des qualités de leadership dans les affaires. Apparemment, elle avait un talent ingénieux pour l’organisation. De nos jours, elle pourrait probablement aussi succéder à Josef Ackermann à Deutsche. Son manque de compétences en langues étrangères seule l’aurait empêchée, car elle ne parlait qu’un peu de français, presque pas d’anglais et, d’ailleurs, pas non plus de croate, la langue maternelle de son père. Son allemand était poli, elle pouvait le formuler avec brio. pourrait plus tard facilement apprendre le suédois  qui est étroitement lié.

 

 

 

 

 

Quelles traces de Maria Orschitsch peut-on encore trouver aujourd’hui, notamment en ce qui concerne sa vie future à partir du printemps 1945 ?

L’appartement de ses parents existait au-delà de la fin de la guerre (Seilerstätte, dans le 1er arrondissement de Vienne, une très bonne adresse). Aucun courrier de sa part n’y est arrivé, pas depuis 1940 environ. Avec ses grands-parents maternels (près de Zwettl, Basse-Autriche), elle a entretenu une correspondance sporadique et sans signification jusqu’en 1944. Elle ne semble pas du tout avoir été une grande écrivaine de lettres. Elle ne répondit aux lettres relativement nombreuses d’Erika B. que sous forme de télégramme, de sorte qu’à partir de 1941, elle ne lui écrivit plus. Par conséquent, il n’y a pratiquement pas de lettres de Maria, contrairement aux autres Vrildamen. De toute évidence, Maria O. n’était pas particulièrement émotive par nature. Ça n’avait pas l’air cool, mais ça pourrait l’être. Elle était probablement tellement impliquée dans les affaires du Vril qu’il n’y avait de place dans sa vie pour rien d’autre. C’était sans doute une grande idéaliste, soucieuse dans les années de guerre de contribuer le plus possible à la victoire, d’autant plus qu’elle reconnut très tôt la difficulté de la situation. Certains pensent que toute leur puissance émotionnelle a été investie dans leurs tâches. Cela semble tout à fait envisageable.

D’un point de vue humain, Maria Orschitsch n’était pas seulement sympathique. Elle était autoritaire, elle ne supportait pas la contradiction. De plus, elle était considérée comme trop vaniteuse et elle était sujette à des sentiments de rivalité avec d’autres belles femmes. Cela aurait conduit à certaines décisions que d’autres considéraient comme injustes. Sauf avec Traute, Maria s’entendait mieux avec Gudrun (même si elle violait systématiquement la règle des cheveux longs). Maria ne s’entendait pas avec Sigrun, qu’elle a elle-même gagnée pour la cause du Vril en 1941, cela a été maintes fois attesté. Malgré cette disparité personnelle, les deux femmes ont bien travaillé ensemble sur le sujet. Tous deux placent le patriotisme, particulièrement nécessaire à la guerre, au-dessus du personnel.

Contrairement à ce qu’on prétend souvent, Maria O. n’a jamais été particulièrement encline au spirituel. Elle laissa les choses magiques à d’autres, notamment Traute puis Sigrun. Maria O. était la gestionnaire idéale si vous définissez la gestion comme la capacité de bien déléguer. Ses capacités de réflexion analytique devaient être excellentes, de sorte qu’elle pouvait étonner même les officiers de haut rang, dont elle connaissait bien certains. Maria O. avait également une compréhension des questions militaires. Par exemple, elle a qualifié l’ordre d’Hitler de prendre des mesures contre Stalingrad et le Caucase en même temps qu’une grave erreur stratégique (le GFM Erich von Manstein le mentionne également). Elle semble avoir remis en question la compétence d’Hitler en tant que général, alors qu’elle pensait qu’il était un bon chancelier. Elle ne l’a jamais vu coupable du déclenchement de la Seconde Guerre mondiale. Contrairement à Erika, par exemple, qui en 1935 exprimait sa crainte dans une lettre (que Leonie / Leona a également signée) que la politique d’Hitler puisse conduire l’Allemagne à mener une guerre qui manquait victorieusement de moyens. Maria ne partageait pas initialement cette préoccupation. De plus, elle avait une aversion personnelle pour Léonie et Erika, d’autant plus qu’il s’agissait de deux très jolies femmes qui – contrairement à l’épouse toujours renfermée – aimaient aussi briller. La querelle de coiffure de 1922 n’a pas non plus été oubliée par Maria. 

Deux magnifiques portraits de Maria Orsic sur un mur de mon ami ,en Allemagne.

 

 

 

 

 

 

 

 

Depuis 1934, date à laquelle Maria est devenue directrice de l’entreprise, elle faisait rarement sa coiffure en fer à cheval, elle préférait désormais un nœud de cou. On dit que cela lui va très bien. Tous ceux qui la connaissaient rapportent que Maria Orschitsch était particulièrement attirante lorsqu’elle avait la mi-trentaine. Il y a des femmes qui ne développent leur plus grande beauté qu’à l’âge mûr et, lorsqu’elles ont plus de 30 ans, rayonnent plus qu’elles ne l’étaient lorsqu’elles étaient jeunes filles. Cela semble avoir été le cas de Maria Orschitsch. Bien que Maria O. attirait les hommes et sache utiliser cela pour atteindre ses objectifs, on ne sait pas qu’elle a jamais trompé son fiancé, qui était un soldat à partir de 1939.

Pour les agendas du Vril, les dix années les plus importantes de la vie de Maria sont probablement celles de 1935 à 1945. Pendant ce temps, elle change souvent de lieu de résidence, mais reste inscrite à la police à son ancienne adresse munichoise, Augustenstrasse. Maria était toujours là où le « projet Vril » était en cours d’exécution. Elle a donc vécu un certain temps dans le « Hauneburg », cette ferme adaptée près d’Osnabrück où les choses Vril étaient temporairement travaillées, puis, puisque le site de Brandebourg était occupé, à Berlin, et temporairement aussi dans la banlieue berlinoise de Hoppegarten. Comme sa résidence officielle est restée à Munich, bien qu’elle ait depuis longtemps renoncé à l’appartement de l’Augustenstrasse (elle n’y gardait qu’une chambre pro forma),

On ne sait pas du tout où Maria O. est allée à la fin de la guerre. Il est extrèmement possible qu’elle se soit envolée pour Aldebaran à bord d’un astronef de type  Vril Odin. Il y a des indications que ce projet a réellement existé, mais même s’il existait, cela ne signifierait pas que Maria doit avoir participé à ce vol. Après tout, Traute est resté sur terre, et nous ne savons pas quelles relations de pouvoir ont prévalu pour la dernière fois dans les affaires du Vril. Les critiques répétées de Maria sur l’art supposé général du « Führer » ne l’avaient certainement pas rendue populaire auprès des dirigeants nazi. La jeune Sigrun aurait pu facilement accéder à la première place dans la hiérarchie des Vrildamen (Dames du Vril). Les nazis ont essayé partout, par exemple, toujours dans la Wehrmacht, pour faire avancer les jeunes, les gens qui manquaient de maturité et de capacité de critique. En revanche, Maria O. n’était certainement pas une opposante au Parti Nazi, pas plus que Traute, qui critiquait aussi beaucoup de choses. Dans tout l’environnement Vril, ce n’est définitivement qu’Erika B, elle, qui avait initialement ouvertement sympathisé avec les nazis, qui est devenue une opposante clairement positionnée au système nazi (on ne sait pas pour Léonie). En ce qui concerne Maria, il est seulement certain qu’elle a reconnu des erreurs et les a également mentionnées par leur nom. Compte tenu de sa grande confiance en elle, elle pensait pouvoir se le permettre. Et même si elle n’a pas fait face à l’emprisonnement alors peut-être la déresponsabilisation de votre fonction de chef de projet Vril ? Cela ne semble pas du tout impossible ! Peut-être que la mission risquée sur laquelle elle a envoyé sa plus proche collègue, Traute, était même une dernière tentative pour renverser la vapeur sur cette affaire ? (Voir aussi notre article sur « La  Mission Secrète des Dames du Vril » qui sera publié parallèlement à cet article).

 

 

 

 

 

 

 

Si l’on suppose que c’était le cas, Maria O. n’était plus en charge du projet Vril, du moins pas seule, mais que d’autres instances se seraient massivement resserrées. Puis, connaissant son caractère, il est concevable que Maria ait refusé de jouer du second violon car elle était habituée au premier. Il est concevable que Maria aurait alors suivi son propre chemin, semblable à Traute. Et réfléchit plus loin : peut-être que Maria et Traute avaient déjà arrangé cela dans le Brandebourg au cas où la mission de Traute n’aurait pas le plein succès espéré (par exemple avec Kammler) ?

Le fiancé de Maria avait été sur le front de l’Est et avec l’une de ces unités allemandes qui voulaient échapper à la captivité soviétique via la Suède. La Suède a malheureusement extradé ces Allemands, ce qui n’est pas un papier glorieux dans l’histoire de l’État suédois. La majorité des Suédois pensaient que c’était mal en l’honneur de leur nation. Et Maria avait des contacts en Suède. Avant la guerre, elle s’était rendue deux fois en Suède avec Traute et son fiancé Hannes. Hannes y avait des amis. Peut-être que grâce à ses relations de défense, Maria a réussi à établir des contacts là-bas afin de sauver son fiancé de l’extradition vers les Soviétiques ?

 

 

 

 

 

 

Cet homme, Heinz H., était l’amour de sa vie pour Maria O. Elle le suivit à Munich en 1919. Et maintenant que tout le reste semblait perdu, elle aurait dû enfin régler sa vie privée. Cela aurait été son droit en tant que femme !

Tout ce qui suit n’est que spéculation, mais mérite réflexion : supposons qu’un arrangement avec Traute ait existé, comme on vient de le supposer hypothétiquement. Traute aurait eu l’occasion d’informer Maria des résultats de ses conversations (supposées) avec Canaris dans le camp de concentration de Flossenbürg et avec Kammler à Prague, comme elle les a elle-même évalués. En fin de compte, il s’agissait probablement d’arracher l’influence continue de Kammler dans le projet Vril. En tout cas, les contacts des Vrildamen étaient toujours bons. C’est pourquoi Traute a pu commencer le voyage en Uruguay. Maria avait certainement des gens fidèles qui ont pu l’aider en Suède. Peut-être même par le biais d’une visite spéciale du Vril 7, sinon avec l’une des machines spéciales, dont disposaient les organisations secrètes. Il ne fait aucun doute que Maria O. pourrait le faire. Elle serait donc arrivée en Suède à la fin du mois d’avril 1945. Soit d’abord aux officiers de liaison de l’Abwehr là-bas, soit directement aux amis de Hannes. Et – on peut aussi supposer que – Maria a de nouveau rencontré son fiancé en Suède. On sait de lui qu’il a été blessé à plusieurs reprises dans les combats en retraite sur le front de l’Est, mais il était vivant. Et – on peut aussi supposer que – Maria a de nouveau rencontré son fiancé en Suède. On sait de lui qu’il a été blessé à plusieurs reprises dans les combats en retraite sur le front de l’Est, mais il était vivant. Et – on peut aussi supposer que – Maria a de nouveau rencontré son fiancé en Suède. On sait de lui qu’il a été blessé à plusieurs reprises dans les combats en retraite sur le front de l’Est, mais il était vivant.

 

 

 

 

 

 

 

Pensons plus loin dans cette direction et supposons que Maria s’est remise ensemble heureusement avec son Heinz. Les bonnes relations en Suède, éventuellement complétées par de telles organisations secrètes allemandes, ont permis à Maria et à son fiancé d’obtenir des papiers suédois sous un nouveau nom. Et puis ils se seraient mariés là-bas – enfin. Et enfin Maria aurait retrouvé un petit bonheur intime, dont elle avait dû se passer si longtemps et qu’elle avait bien mérité.

Rien de tout cela n’a encore été prouvé, mais c’est hautement logique,mais c’est une histoire pleine d’humanité !


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La Criminelle Arnaque du COVID-19:L’Autriche déclare la guerre aux non-vaccinés quelques jours seulement après la visite de Soros

Le chancelier autrichien Schallenberg a été le dernier dirigeant autrichien à accueillir chaleureusement un membre de la famille Soros. La famille Soros a toujours apprécié de se rendre en Autriche et de serrer la main des principaux responsables politiques du SPÖ et de l’ÖVP – et plus particulièrement, ces jours-ci, de ceux qui sont chargés de la politique vaccinale.

Alexander, le fils de George Soros, dirige aujourd’hui la Fondation Open Society. Il a récemment rencontré le chancelier autrichien Alexander Schallenberg (ÖVP) et le nouveau ministre des affaires étrangères Michael Linhart (ÖVP).

 

 

 

 

 

 

 

 

Ces dernières années, la famille Soros a compté parmi ses amis spéciaux l’ex-chancelier fédéral Christian Kern (SPÖ), l’ex-chancelier fédéral Sebastian Kurz (ÖVP), l’ex-maire de la ville de Vienne Michael Häupl (SPÖ) et, enfin, le maire en exercice de Vienne Michael Ludwig (SPÖ). Ce dernier a même remis à George Soros la médaille d’or de l’Ordre du Mérite pour services rendus à l’État de Vienne en 2019.

Le 8 novembre, Alexander Soros a rencontré le chancelier fédéral et selon Soros Junior, sur son profil Twitter, les deux hommes ont discuté de la détérioration de la situation dans les Balkans occidentaux et de l’avenir de l’UEC – l’Université d’Europe centrale.

En 2017- après que la Hongrie a banni l’UEC de Soros du pays en raison de ses constantes intentions de déstabilisation (il a déjà plongé plusieurs États dans des crises profondes et en a souvent profité économiquement) – l’ex-chancelier Christian Kern (SPÖ) a plaidé pour la relocalisation de l’UEC à Vienne.

Le contrat a été conclu avec l’ex-maire Michael Häupl. Aux frais des contribuables, l’hôpital Otto Wagner a également été reconstruit à cette fin. Les universitaires de Soros ont désormais accès à une université privée luxueuse et coûteuse à Vienne.

 

 

 

 

 

L’ex-chancelier Sebastian Kurz et patron de l’ÖVP, ne communique plus depuis quelque temps qu’en anglais sur Twitter, peu importe si le public autrichien y comprend quoi que ce soit ou non. Il a été « formidable » de « reprendre contact » avec son « ami de longue date » Alexander Soros. D’après les images de la rencontre, les deux hommes se sont rencontrés dans une chambre d’hôtel confortable. Les Autrichiens doivent se demander pourquoi leur « vie académique » sera désormais en anglais, d’autant plus que leur propre langue leur a déjà bien servi pendant plusieurs siècles.

Si les Autrichiens ne savent pas grand-chose de leur nouveau ministre des affaires étrangères, Michael Linhart (ÖVP), celui-ci connaît bien Alexander Soros. Il est « bon » de rencontrer le nouveau ministre autrichien des Affaires étrangères, a expliqué Alex Soros sur Instagram.

Un mauvais timing pour un nouveau confinement ?

Quelques jours seulement après cette visite prétendument destinée à discuter de « questions frontalières », le gouvernement autrichien a annoncé son intention d’appliquer un confinement strict aux 3,1 millions d’Autrichiens qui ne sont pas entièrement vaccinés. Le chancelier Alexander Schallenberg s’est plaint du taux de vaccination « honteusement bas ». Le Covid-19 est en effet devenu la pandémie des coïncidences.

« Selon le plan progressif, nous n’avons en fait que quelques jours avant de devoir introduire le verrouillage pour les personnes non vaccinées », a annoncé M. Schallenberg lors d’une conférence de presse jeudi. Ces restrictions signifient « qu’on ne peut pas quitter son domicile, sauf pour aller travailler, faire des courses (pour les produits de première nécessité), se dégourdir les jambes – à savoir exactement ce que nous avons tous dû subir en 2020. »

Mais l’Autriche a un taux de vaccination plus élevé que celui des États-Unis. « Avec un taux de vaccination de 62,7 %, l’Autriche a non seulement un taux plus élevé que les États-Unis, mais la plupart de la population a été vaccinée relativement récemment, ce qui devrait donner à ces personnes une meilleure protection. Pourtant, le pays connaît l’épidémie la plus prolifique de son histoire, comme nous le constatons dans le monde entier, avec une relation inverse quasi parfaite entre les taux de vaccination et les taux de cas de Covid« , note Daniel Horowitz.

Mais au lieu de remettre en cause la vaccination, les dirigeants autrichiens redoublent d’efforts.

À partir de lundi, le gouvernement de Haute-Autriche prévoit un confinement pour les personnes non vaccinées, y compris celles qui ne sont que partiellement vaccinées. Le gouverneur de Haute-Autriche, Thomas Stelzer (ÖVP), a qualifié la situation de « dramatique ».

Le ministre de la Santé, Wolfgang Mückstein (Verts), a également demandé le confinement des personnes non vaccinées en Haute-Autriche. Les déclarations de la ministre du Tourisme Elisabeth Köstinger (ÖVP) sont également claires et parlent d’un verrouillage des personnes non vaccinées : « Le temps de la solidarité avec ceux qui ne veulent pas se faire vacciner pour des raisons futiles est révolu. Nous ne pouvons pas et les personnes vaccinées ne vont pas renoncer à leurs libertés parce qu’une minorité refuse systématiquement et sans raison médicale les mesures de protection et les vaccinations. Ce serait injuste et manquerait également de solidarité avec tous les autres. »

Les piqûres expérimentales enfreignent le code de Nuremberg

Ces dernières semaines, le président du FPÖ, Herbert Kickl, s’est montré de plus en plus critique à l’égard des mesures Corona, notamment en ce qui concerne le confinement des personnes non vaccinées. Michael Schnedlitz, membre du FPÖ, a même appelé à un soulèvement contre les mesures prévues dans une vidéo. Sous le slogan « Bienvenue dans la dictature », il s’oppose aux restrictions et qualifie le gouvernement de dictatorial. La vaccination reste un choix personnel, a-t-il déclaré.

Les détracteurs de la politique de vaccination obligatoire du gouvernement affirment régulièrement qu’elle viole le code de Nuremberg. En août 1947, le tribunal militaire américain a énuméré dix points dans son jugement sur les médecins nazis allemands, dans la section intitulée « Tentatives médicales autorisées », qui sera plus tard connue sous le nom de « Code de Nuremberg ».

Alors que les partisans de la politique de vaccination affirment que les vaccins sont des préparations approuvées et qu’il ne s’agit donc pas d’une expérience, les critiques ont souligné que même le futur chancelier allemand Olaf Scholz ou des virologues pro-gouvernementaux comme Alexander Kekulé ont parlé d’une « expérience » mondiale.

 


EN COMPLÉMENTAIRE

« Le gouvernement autrichien manipule les mots pour reconfiner » selon le Dr Christian Fiala

Au moment même où se déroulait une manifestation devant l’ambassade d’Autriche à Paris, jeudi 18 novembre, notre invité était le Dr Christian Fiala, vice-président de MFG-Österreich (Menschen Freiheit Grundrechte). Ce nouveau parti politique autrichien vient d’obtenir plus de 6 % des voix et de faire élire des représentants au Parlement régional en Haute-Autriche.

Médecin généraliste et obstétricien, Christian Fiala détient un doctorat de la Karolinska en Suède, en méthodologie de travaux scientifiques dans le domaine médical. Pour lui, il n’existe aucune justification médicale ou scientifique pour les mesures prises par les différents gouvernements occidentaux, telles que le confinement des non-vaccinés ou le premier confinement. Tout ce qui a été fait – masques, distanciation sociale, campagnes de vaccination – est délétère et il faut y mettre fin tout de suite.

Dr Christian Fiala

Le but inavoué serait de diviser la société : « la monarchie, les dictatures doivent nécessairement diviser la société. La « crise » est un prétexte pour soumettre la population à une vie digitalisée », dont les livreurs à bicyclette des plateformes digitales, les nouveaux esclaves, sont l’emblème.

Diplômé en médecine tropicale de l’IFRSS Houphouët Boigny Marseille, il a 30 ans d’expérience clinique, et a exercé en Guadeloupe, en Afrique et en Asie avant d’ouvrir son cabinet à Vienne. Selon Christian Fiala, il n’y a plus de « crise sanitaire » et tout ce dispositif liberticide n’a rien à voir avec la santé publique. C’est par la seule propagande que l’on a créé de toutes pièces une « crise”.

Qui plus est, le Covid-19 est désormais une maladie rare en Autriche. La prévalence de tests positifs est désormais dix fois moindre qu’il y a un an. Pour arriver à faire peur, on pratique en novembre 2021 un nombre inouï de tests (jusqu’à 440 000 par jour pour une population d’environ 9 millions d’habitants), entre 10 et 20 plus de tests qu’en novembre 2020, ce qui permet de présenter des chiffres absolus et d’arriver à 10 à 15 000 tests « positifs ».

Quant aux unités de soins intensifs, elles sont tout sauf surchargées – entre 30 et 36 % des lits sont libres ; pour voiler cette réalité, le gouvernement ne souhaite plus publier les statistiques journalières de l’AGES (Agence pour la sécurité sanitaire et alimentaire).

Pour le Dr Fiala, les gouvernements devraient arrêter de s’immiscer dans une affaire aussi personnelle que la santé. Si la santé publique était vraiment leur souci, il y a belle lurette que l’on aurait interdit la cigarette. Or, dans l’affaire Covid-19, il y a des arrière-pensées que l’on comprendra mieux en suivant les flux d’argent. Pourquoi ces mesures telles le confinement, qui ne peuvent que ruiner les PME et qui sont de fait une campagne en faveur des GAFAM ? Pourquoi les autorités ne parlent-ils que d’un virus depuis 18 mois plutôt que de l’intérêt fondamental des populations, de leurs besoins ?

Au sujet des nouvelles injections, le Dr Fiala revient sur son article publié dans France Soir « Friendly Fire ». Dès qu’il a entendu parler de ces produits, il s’est posé les mêmes questions qu’il se poserait concernant tout traitement ou acte médical qu’il pourrait proposer à ses patients. Il est arrivé à la conclusion que la nouvelle plateforme technologique utilisée par les fabricants pour ces injections est programmée pour déclencher un processus d’autodestruction de nos cellules qui, porteuses désormais de la protéine Spike, seront attaquées comme corps étranger.

« Ce n’est pas compatible avec la vie », dit-il, en donnant l’exemple de l’impact de la troisième dose en Israël, où la mortalité des anciens repart en flèche depuis le mois d’août. Il faut s’attendre au même phénomène partout et à une explosion d’effets secondaires.

Allant plus loin, le Dr Fiala considère qu’il est permis de s’interroger sur les motifs qui ont poussé les autorités politiques à sciemment choisir d’imposer une technologie « vaccinale » dont l’effet primaire – et il souligne que c’est bien l’effet primaire et non secondaire – est l’autodestruction des cellules du corps, plutôt que d’opter pour une ancienne technologie de virus désactivé. « C’est comme si à l’armée, pour s’entraîner, on s’amusait à tirer sur nos propres soldats » pour voir si nous savons faire.

Christian Fiala s’interroge aussi sur l’état d’esprit des peuples européens face à leur intégrité physique : si les autorités avaient cherché à vendre des voitures utilisant les méthodes coercitives mises en œuvre actuellement pour « vendre » ces injections, personne n’en aurait acheté, car ils auraient compris qu’il y a anguille sous roche.

Avec près de 6 % des voix le 25 septembre en Haute-Autriche, le phénomène électoral qu’est devenu MFG-Österreich en quelques petites semaines est indépendant, dit-il, de questions de financement : il estime que MFG aurait obtenu 10% des voix s’ils avaient eu quelques semaines de plus pour faire campagne. L’exemple des Gilets jaunes en France a été une inspiration pour nombre d’électeurs MFG, qui disent « jamais je n’aurais pensé faire de la politique » ; ces gens paient le prix très lourd de toutes ces mesures et ont compris qu’il faut un changement profond dans la société. Il espère qu’il y aura très rapidement des élections anticipées, ce qui est tout à fait possible, car le gouvernement de Von Schallenberg est très faible.

Quant à la transformation temporaire, cet été, de la Cathédrale Saint-Etienne à Vienne, symbole de l’Autriche, en vaccinodrome, avec la bénédiction des hauts dignitaires ecclésiastiques, le Dr Fiala regrette que l’Église catholique en Autriche se soit toujours rangée du côté de la monarchie pour laquelle elle a bien voulu contrôler la population. Elle a su s’arranger plus ou moins avec le NSDAP après l’annexion de l’Autriche par Hitler – quoique certains religieux se distinguent en ce moment par leur opposition aux mesures liberticides.

Ce n’est donc pas là qu’il faille chercher le salut. Pour le Dr Fiala, la « crise » est un prétexte pour soumettre la population à une vie digitalisée qui sera une vie d’esclave. Il nous faut revenir à une vie analogue ; l’homme est une créature de l’analogue. Il lui faut parler avec les autres, les toucher, les voir dans la vraie vie. Pour l’instant, les gens s’imaginent encore que le digital est positif.

Parole d’obstétricien dans la mission est de mettre au monde nos semblables : « arrêtons d’imaginer que c’est en jouant avec des gadgets électroniques que l’on arrêtera le fascisme et revenons à la vie réelle. »


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L’Horrible et sanguinaire Arnaque de la COVID-19 : Un holocauste secret ou des millions de victimes du vaccin disparaissent-elles dans des fosses communes ?

Dans le but  d’enquêter sur l’émergence de la Folie Actuelle du COVID-19,je vous présente aujourd’hui une théorie qui mérite la lecture…certains l’appellent la nécropolitique:

 

Nous avons maintenant une nouvelle théorie inquiétante qui est en train d’émerger et qui mérite une véritable enquête. Je remercie Michael Snyder de The Economic Collapse Blog, qui a demandé dans un article récent, “Where Did All The People Go?” (« Où sont passés tous les gens ? »)
Vérifiez votre propre cercle de famille et d’amis : n’êtes-vous pas au courant d’au moins une personne décédée à la suite du vaccin covid ?
Comme je l’explique dans le podcast d’aujourd’hui, si seulement 1 de vos amis sur 20 mourait après la vaccination covid, cela se traduirait par un taux de mortalité de 5% dans la population, ce qui représenterait plus de 16 millions de décès en Amérique.

Comme le souligne Snyder, la pénurie mondiale de travailleurs – désormais largement signalée à travers le monde – ne peut vraiment s’expliquer que si un grand nombre d’adultes en âge de travailler ne sont plus avec nous. Aux États-Unis, avec la Cour suprême des États-Unis qui a annulé le moratoire inconstitutionnel sur les expulsions décrété par le CDC, les gens doivent travailler pour payer un loyer (le loyer gratuit a cessé). Et avec la fin des paiements pour inciter les gens à se faire vacciner covid dans la plupart des États, les gens ne peuvent pas subvenir à leurs besoins en restant à la maison et en ne travaillant pas… en particulier avec l’inflation alimentaire qui fait grimper énormément les prix.

Comme le souligne Snyder :
Il n’y a pas assez d’ouvriers d’usine, il n’y a pas assez de chauffeurs de camion, il n’y a pas assez d’employés au port, il n’y a pas assez d’employés pour bien doter nos magasins, et la pénurie de médecins et d’infirmières devient une crise majeure dans certains domaines. En temps normal, on nous a toujours dit que l’économie mondiale ne produisait pas assez d’emplois pour tout le monde, mais maintenant, pour la toute première fois, nous sommes confrontés à une énorme pénurie de main-d’œuvre mondialement. C’est presque comme si des millions et des millions de personnes disparaissaient soudainement du système.

Dans le podcast d’aujourd’hui (ci-dessous), j’ai posé le reste de cette question : est-il possible que les hôpitaux assassinent systématiquement des personnes et se débarrassent secrètement de leurs corps afin de couvrir les décès massifs dus au vaccin contre le covid ?
Il n’est plus incroyable que les hôpitaux puissent être impliqués dans la dissimulation des décès massifs de patients vaccinés
Au cours de n’importe quelle année précédente, j’aurais pensé qu’une telle idée était une théorie du complot sauvage, mais après avoir vu des administrateurs d’hôpitaux et des spécialistes du marketing admettre dans une récente vidéo zoom qu’ils allaient modifier le nombre de patients covid afin de «faire peur» au public pour qu’il réclame plus de vaccins, je sais maintenant que les hôpitaux sont des usines à meurtre dirigées par des fous anti-humains se faisant passer pour des médecins et des administrateurs. Ils n’ont aucun intérêt à aider les gens ou à prévenir les décès. Au contraire, ils s’efforcent maintenant ouvertement de maximiser le nombre d’hospitalisations et de décès par Covid parmi les non vaccinés, et il semble qu’ils ne reculeront devant rien pour y parvenir.

Logiquement, ils feraient aussi n’importe quoi pour couvrir la mort des patients vaccinés. Avez-vous le moindre doute qu’ils mentiraient et commettraient une fraude en matière de soins de santé afin de cacher au public la vérité sur les décès dus aux vaccins ?
Une vidéo récente en provenance d’Australie montre un homme local accusant des hôpitaux de traiter des patients vaxxés avec de l’ivermectine afin de leur sauver la vie, tout en mettant simultanément des patients non vaxxés sous ventilateurs afin de les assassiner et d’augmenter le nombre de décès parmi les « non vaccinés ». Regardez-le ici :
Brighteon.com/d39bd385-15c0-470f-9643-4a15b03e3db1
Nous n’avons pas la preuve que les affirmations faites dans cette vidéo sont vraies à 100 %, mais je vous pose cette question : est-ce que cela vous surprendrait si elles l’étaient ?
La réponse pour la plupart des gens est maintenant : « Non, pas du tout. »
Il est maintenant évident que de nombreux médecins, infirmières et administrateurs d’hôpitaux ont mépris total pour la vie humaine et essaient simplement de faire avancer leur programme de culte covid, quel qu’en soit le coût… même si cela signifie assassiner des êtres humains innocents et jeter leurs corps dans une benne à ordures (ou un incinérateur) sur le parking de l’hôpital.

Big Tech fait taire toute personne mentionnant des blessures ou des décès liés au vaccin covid
Pour renforcer davantage la dissimulation, Big Tech fait taire ou même supprime toute plate-forme qui parle de quelqu’un qui a été blessé ou tué par des vaccins. Ainsi, le canal par lequel les décès dus aux vaccins seraient normalement partagés a été complètement fermé. Vous n’êtes autorisé à dire que de bonnes choses sur les vaccins contre le covid, pas des choses critiques.

Il est donc tout à fait plausible que des millions d’Américains soient déjà morts des vaccins contre le Covid et qu’il n’y ait presque aucune mention publique à ce sujet. Les médias sont entièrement contrôlés par Big Pharma, et les géants de la technologie répriment tout discours de ce type. Ce sont les deux façons dont la plupart des gens obtiennent leurs informations.
Pendant ce temps, les hôpitaux et les responsables du comté pourraient facilement recevoir l’ordre de truquer les chiffres et de couvrir tous les décès dus au vaccin contre le covid, exactement de la même manière qu’ils ont truqué tous les chiffres l’année dernière et ont affirmé que tout le monde mourait de covid (tout en affirmant que tous les lits d’hôpital étaient pleins) alors que rien de tel ne se produisait.

Le seul domaine qu’ils ne contrôlent pas entièrement est la section des commentaires pour les histoires publiées
Si cet « holocauste secret » avait lieu, nous devrions en trouver des preuves quelque part, peut-être dans des coins d’Internet qui ne sont pas entièrement contrôlés par Big Pharma et les responsables de l’application des vaccins. Les sections de commentaires pour les histoires publiées pourraient fournir précisément un tel lieu.

Que voyons-nous dans les commentaires pour les histoires sur les vaccins contre le covid ?

Comme LifeSiteNews l’a récemment rapporté, « la chaîne de télévision demande des histoires de décès des non vaxxés, mais est inondée d’histoires de morts vaxées et de blessures vaxées« .

Alors que l’affilié d’ABC News essayait de promouvoir un récit de personnes non vaccinées mourant de covid, ils ont obtenu à la place plus de 180.000 commentaires de personnes partageant des histoires de blessures et de décès liés au vaccin.

Si personne ne mourait des vaccins, comment cela serait-il possible ? Exemple d’histoire :
« Je ne connais personne qui est mort du covid mais je connais un homme de 37 ans qui a été vacciné et qui est décédé d’un anévrisme cérébral 8 jours plus tard« , a écrit un utilisateur de Facebook sous le nom de Maximilien Robespierre.

Immédiatement ci-dessous, Richard Smother a partagé: « La fille de mes collègues (12 ans) a dû être transportée d’urgence aux urgences après s’être effondrée une heure après sa deuxième piqûre. »

Krista Evans a partagé: «Je connais personnellement 3 personnes qui sont décédées peu de temps après avoir été complètement vaxxées. Toutes les personnes que je connais qui ont eu le covid, ont eu des symptômes pseudo-grippaux très légers, alors pourquoi diable quelqu’un se ferait-il piquer avec ce poison ??? »
Becky Burch a commenté : « Une tante est décédée une semaine après la piqûre. La famille n’y a jamais beaucoup réfléchi jusqu’à ce qu’elle rende visite à un autre cousin dont la famille est décédée après la piqûre avec le même problème « étrange »… pas sûr des détails. Maintenant, ils pensent que c’était la piqûre vax ».
Outre les décès, les témoignages d’effets secondaires de l’injection couvrent un large éventail de blessures et de symptômes, allant des crises cardiaques et des caillots sanguins aux problèmes digestifs en passant par la perte de la vue et de mouvements.
« Ma mère a eu une crise cardiaque 4 jours après avoir reçu son premier vaccin. Elle a maintenant un caillot de sang dans les poumons », a commenté Jessica Mauldin.
Juli Smith a écrit : « Mon voisin est mort de la vax, les funérailles ont lieu la semaine prochaine. Ma mère ne sent pas ses bras et ses jambes. Ma meilleure amie a été plusieurs fois aux urgences avec des maux de tête débilitants. Ma mère et les médecins de BFF ne font pas de corrélation entre les deux, mais le timing le rend suspect. Le médecin de mon mari a refusé de le laisser tester les anticorps covid. Ces médecins sont complices. »

Si seulement 1 personne sur 20 est déjà décédée d’un vaccin contre le covid, cela équivaudrait à plus de 16 millions de décès à travers l’Amérique
Vérifiez votre propre cercle de famille et d’amis : n’êtes-vous pas au courant d’au moins une personne décédée à la suite du vaccin contre le covid ?

Comme je l’explique dans le podcast d’aujourd’hui, si seulement 1 de vos amis sur 20 mourait après la vaccination contre le covid, cela se traduirait par un taux de mortalité de 5% dans la population, ce qui représenterait plus de 16 millions de décès en Amérique.
Nous ne prétendons pas que le vaccin contre le covid a tué plus de 16 millions de personnes (pour l’instant), mais si presque tout le monde connaît quelqu’un qui est décédé des suites du vaccin, le nombre réel se chiffre presque certainement déjà en millions.
Il serait également très facile de couvrir ces décès si une institution financière liée au gouvernement achetait toutes les maisons précédemment occupées par des victimes du vaccin aujourd’hui décédées. Effectivement, c’est exactement ce que fait BlackRock, comme l’écrit NOQreport :
… un article du WSJ d’avril qui relate que BlackRock et d’autres institutions financières achètent des maisons mono-familiales aussi rapidement que possible à des taux supérieurs à ceux que l’acheteur moyen est prêt à payer. Ils les achètent à un prix plus élevé, et cela devrait concerner tout le monde, que vous soyez sur le marché pour acheter une maison ou non.

Il semble que BlackRock rachète les stocks excédentaires de maisons afin de maintenir une demande élevée alors que tant de propriétaires meurent et disparaissent. Un fil Twitter de @CulturalHusbandry ajoute :
Blackrock achète toutes les maisons unifamiliales qu’ils peuvent trouver, en payant 20 à 50 % au-dessus du prix demandé et en surenchérissant sur les acheteurs normaux de maison. Pourquoi les entreprises, les fonds de pension et les groupes d’investissement immobilier rachètent-ils des quartiers entiers à la classe moyenne ? Nous allons jeter un coup d’oeil. Des maisons apparaissent sur MLS et passent sous contrat en quelques heures. Blackrock, entre autres, achète des milliers de nouvelles maisons et des quartiers entiers.

Le directeur des funérailles John O’Looney dénonce les décès en masse dus à la covid

Une interview très importante avec John O’Looney de Milton Keynes Family Funeral Services au Royaume-Uni se répand comme une traînée de poudre à travers le « net ». Il révèle des informations vraiment choquantes et troublantes sur les hôpitaux assassinant en masse des patients au nom du « covid » et transportant un flux constant de corps vers les services funéraires.
Regardez-le ici :
Brighteon.com/ff7c79ce-367e-478d-aa74-76868f454e4b
Et bien sûr, les plateformes vidéo sur le net diffusent depuis longtemps des vidéos révélant des cercueils de la FEMA empilés en grand nombre à divers endroits à travers l’Amérique. Voici une de ces vidéos, via Brighteon.com :
Une vidéo similaire sur les sites de charniers de la FEMA au Texas est également disponible sur Bitchute.
Il est assez évident que la FEMA prévoit des décès de masse et que cette planification est en cours depuis de nombreuses années. Ainsi, il existe déjà une infrastructure pour faire disparaître des millions de cadavres dans des cercueils et des fosses communes, le tout sous l’œil vigilant du gouvernement américain qui mène une guerre biologique contre le peuple américain. Ce n’est pas une preuve absolue que de tels événements se produisent, mais cela montre qu’ils sont plausibles et que l’infrastructure est déjà en place.
Dans le podcast Situation Update d’aujourd’hui, je discute de la prise de conscience croissante que des millions de personnes semblent disparaître de notre économie, laissant les petits employeurs au sec sans plus personne pour pourvoir les plus de 10 millions d’offres d’emploi qui sont nécessaires pour gérer les entreprises pour maintenir l’Amérique à flot.
Écoutez et décidez par vous-même si vous pensez que les vaccins contre le covid tuent déjà des millions de personnes à travers l’Amérique tandis qu’un gouvernement corrompu et traître couvre tout et fait taire ceux qui essaient de s’exprimer. Et posez-vous ces questions importantes : si les vaccins contre le covid étaient parfaitement sûrs et efficaces, pourquoi Big Tech devrait-il censurer autant de personnes qui ont vu des personnes blessées ou tuées par ces mêmes vaccins ?

Brighteon.com/87e3c4f5-7e7e-4b96-ad46-37ece66e17e6

Source : SECRET HOLOCAUST: Are millions of vaccine victims disappearing into mass graves?

En souvenir de Wuhan,au-début de l’année 2020.

Partant des chiffres américains, nous pouvons estimer le nombre de décès provoqués par les « vaccins » covid pour les pays suivants :

Pays Million de
vaccinés
Millions de
tués par les
vaccins
Population
totale
% décès de la
population
USA 180 16 333 4,8%
France 43 3,8 65,4 5,8%
GB 44,2 3,9 68,2 5,8%
Israël 5,57 0,5 8,8 5,6%
Algérie 4,17 0,4 44,6 0,8%
Tunisie 3,05 0,3 11,9 2,3%
Maroc 16,9 1,5 37,3 4,0%
Monde 5570 495,1 7875 6,3%

Globalement, le Grand Reset a déjà liquidé 6% de la population mondiale. Les USA, La France, la Grande Bretagne et Israël suivent le quota global. Les pays du Maghreb semblent être en retard sur le programme du Grand Reset. L’Algérie et la Tunisie utilisent partiellement les vaccins russes et chinois, qui ne sont pas à ARNm, donc moins tueurs.

 


EN COMPLÉMENTAIRE

Le mensonge à propos de Covid grandit comme le nez de Pinocchio

 

Prenez 15 minutes et écoutez cette interview avec une infirmière hospitalière — https://www.lewrockwell.com/2021/09/no_author/whistleblower-nurse-destroys-delta-narrative-vaccinated-patients-fill-hospital/
Elle dit que ce qu’on appelle les «cas de percée» et les cas de variante Delta affectent principalement les vaccinés et sont en fait des réactions indésirables aux vaccinations. Elle dit que les hôpitaux et les médecins hospitaliers ne reconnaîtront pas le fait des effets indésirables et ne signaleront pas les effets indésirables du vaccin en tant que nouveaux cas de Covid. Plus il y a de cas de Covid et de décès de Covid, plus l’hôpital gagne d’argent, donc signaler les réactions indésirables aux vaccins en tant que nouveaux cas de Covid est la façon dont les hôpitaux maximisent leurs profits. De toute évidence, un médecin hospitalier qui n’est pas d’accord est sans emploi. Autrement dit, la vérité sur le Covid et le vaccin coûte trop cher à l’hôpital pour être reconnue.
L’infirmière interrogée dit que la moitié des infirmières de l’hôpital où elle travaille sont sur le point de perdre leur emploi, car elles refusent de se faire vacciner. Nous avons vu, dit-elle, les terribles effets de la vaccination sur les patients et nous ne voulons pas nous le faire nous-mêmes. De nombreuses infirmières veulent arrêter malgré tout, car elles ne peuvent empêcher les médecins de rendre les gens malades en les vaccinant. La médecine, semble-t-il, a cessé d’être une question de santé.
La politique de cet hôpital est essentiellement la politique de tous les hôpitaux. Il convient au NIH, au CDC et à la FDA, car il protège la réputation du vaccin et celle des régulateurs qui ont approuvé son utilisation d’urgence, et il protège les bénéfices de Big Pharma, dont certains reviennent aux régulateurs.
Comme Stew Peters résume l’interview, c’est un meurtre pour de l’argent.
L’infirmière dit que le seul traitement que l’hôpital donne aux patients de Covid est le Remdesivir et met les patients sous respirateurs. Le remdesivir a ses propres effets indésirables graves, et les ventilateurs sont des tueurs connus des patients Covid.
Interrogés sur l’ivermectine, les hôpitaux refusent de l’utiliser même si un médecin la prescrit à un patient. Comme je l’ai signalé, dans un autre hôpital, une femme a dû obtenir une ordonnance du tribunal ordonnant à l’hôpital de donner au mari mourant un traitement à l’ivermectine. Mais l’hôpital a traîné des pieds, et apparemment Big Pharma est allé voir le juge et il a retiré son ordre. Le patient a probablement été assassiné par le refus d’un traitement à l’ivermectine. Pour les hôpitaux, c’est le protocole Big Pharma sur la vie.
Comparez cela avec l’utilisation généralisée réussie de l’ivermectine en Inde pour contrôler Covid, et la décision de la Tokyo Medical Association de recommander que tous les médecins traitent les patients Covid avec de l’ivermectine. https://www.paulcraigroberts.org/2021/09/07/the-powerful-case-against-covid-mrna-vaccine/
La conclusion est qu’en matière de traitement Covid, le système médical américain est le plus arriéré au monde.
Malheureusement, les préstitués ne rapporteront rien de tout cela, et malheureusement la plupart des Américains sont trop occupés à perdre leur temps comme ils le font pour sauver leur vie en regardant une interview de 15 minutes.
Le mensonge de Covid a commencé avec le test PCR exécuté à des cycles élevés qui rendaient le test peu fiable et générateur d’un taux élevé de faux positifs. C’est ainsi que la « pandémie » a été créée. Des millions de personnes qui n’avaient pas de Covid ont été signalées comme ayant Covid en raison des faux positifs générés par le test PCR. Ce mensonge intentionnel a été utilisé pour créer la peur qui a conduit les gens à être des cobayes pour un « vaccin » expérimental dangereux.
La peur était également motivée par les incitations financières accordées aux hôpitaux. Les décès de Covid signifiaient des paiements de bonus. Cette habileté a incité les hôpitaux à déclarer tous les décès possibles comme des décès de Covid. La saison de la grippe, les crises cardiaques, le cancer, la pneumonie, tous sont devenus des décès de Covid. Le chiffre très exagéré a été utilisé pour augmenter le facteur de peur.
En vérité, les personnes qui mouraient étaient des personnes atteintes de Covid et de comorbidités, et elles mouraient parce qu’elles n’étaient traitées qu’avec des ventilateurs, ce qui s’est avéré ne pas être un traitement qui s’attaque à Covid.
Les traitements connus et sûrs ont été suspendus, car sinon l’utilisation d’urgence ne pourrait pas être accordée aux vaccins en attente. L’autorisation d’utilisation en urgence est conditionnée à l’absence de traitements curatifs. C’est pourquoi aux États-Unis et en Europe, l’HCQ et l’ivermectine, tous deux approuvés depuis longtemps, utilisés depuis longtemps et si sûrs qu’ils sont disponibles en vente libre dans la plupart des pays du monde, ont été diabolisés comme « dangereux », « non approuvés,  » et c’est pourquoi de fausses histoires financées par Big Pharma se répandent, comme celle-ci – https://www.rt.com/usa/534011-ivermectin-horse-dewormer-doctor-debunked/ – qui convainquent les gens qu’il existe pas d’alternative au « vaccin ».
Le vaccin n’est pas un vaccin. Il s’agit d’un effort pour substituer la technologie expérimentale de l’ARN à un vaccin, et il a largement échoué. Ce qui était hier « complètement vacciné » est aujourd’hui non vacciné. Un rappel est nécessaire, Un rappel est nécessaire, et Fauci dit maintenant qu’il en faudra un tous les 8 mois ou malgré de nombreux vaccins, vous ne serez pas vacciné. En Israël où 84 % sont « vaccinés », la pandémie parmi les vaccinés est si importante que le tsar israélien de la santé a déjà des Israéliens sous un deuxième rappel. Il semble que l’humanité est en train de devenir une pelote d’épingles pour les aiguilles vaccinales.
Non seulement le soi-disant vaccin ne protège pas, mais il produit des effets indésirables graves et mortels. En effet, le cas probable est que la grande majorité de ce que l’on dit être de nouveaux cas de Covid sont en fait des réactions indésirables au vaccin. Cela expliquerait pourquoi la grande majorité de ceux qui sont étiquetés de nouveaux cas de Covid sont parmi les « entièrement vaccinés » et pourquoi les nouveaux cas augmentent avec la vaccination. Voir le tableau israélien par exemple—https://www.paulcraigroberts.org/2021/09/07/the-powerful-case-against-covid-mrna-vaccine/
S’il existe déjà des variantes, il est fort probable qu’il s’agisse de résultats du vaccin qui, selon les scientifiques de haut niveau, permet au virus d’échapper à la réponse immunitaire. Autrement dit, plus il y a de vaccination, plus il y a de variantes, plus le Covid se propage.
Il serait impossible de concevoir un plus grand échec ou une plus grande menace pour la santé publique et la liberté civile que les vaccins à ARNm et la campagne de propagande derrière eux. De nombreux experts distingués sont arrivés à cette conclusion et en parlent, mais ils sont censurés. Pourquoi? Est-ce seulement parce qu’ils menacent les bénéfices des Big Pharma vaccins ?
Malgré l’échec total indéniable et massif du vaccin Covid, il y a une énorme pression de partout pour une vaccination universelle. Biden veut qu’il soit mandaté par le ministère du Travail que chaque entreprise de 100 employés exige la vaccination comme condition d’emploi. Les hôpitaux et les HMO l’exigent de leurs médecins et de infirmières. Les universités refusent même aux étudiants non vaccinés de suivre des cours en ligne ! https://www.globalresearch.ca/rutgers-university-freezes-accounts-several-non-vaccinated-students/5755319 Il y a des appels pour refuser aux personnes non vaccinées l’accès aux restaurants, hôtels, transports en commun, événements sportifs, hôpitaux et même visites à leur propre médecin et dentiste. Un passeport Covid qui doit être mis à jour tous les 8 mois signifie une paperasse sans fin. Chaque fois que vous vous retournez, il est temps d’obtenir un nouveau passeport.
La pression est incessante. Si vous effectuez un achat dans une pharmacie de l’État de Géorgie, il vous sera remis un sac rouge et blanc sur lequel est écrit  en lettres géantes : « J’ai dit oui au vaccin pour aider à mettre fin à la pandémie ». « Le vaccin Covid est sûr »,  « Les effets secondaires sont légers et durent un jour ou deux. » « Faites maintenant votre part pour contrôler la pandémie : faites-vous vacciner. Département de la santé publique, gouvernement de Géorgie. »
Ceci vient d’un service de santé publique malgré le fait que la vaccination ne protège pas, nécessite des rappels sans fin, et provoque une pandémie d’effets indésirables et de nouvelles variantes !
La seule conclusion possible est que soit les fonctionnaires, les employeurs et les administrateurs universitaires sont si complètement stupides qu’ils ne peuvent pas comprendre les preuves claires, soit ils veulent plus de réactions vaccinales indésirables, plus de nouvelles variantes et plus de cas de Covid.
Source : The Covid Lie Grows Like Pinocchio’s Nose
by Paul Craig Roberts | Sep 13, 2021

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20ème ANNIVERSAIRE DU MENSONGE OFFICIEL: Le 11 septembre 2001 était un coup d’État straussien

Avec le retour des talibans aux commandes en Afghanistan, je pense que nous entendrons bientôt parler du 11 septembre, le prétexte fabriqué de leur renversement il y a vingt ans. Ils n’ont jamais eu la chance de se défendre. Lorsque le moment sera venu de faire une déclaration publique, nous pourrons peut-être apercevoir des responsables chinois en arrière-plan. Ils pointeront du doigt les États-Unis, qui réagiront par une propagande anti-chinoise intensifiée. De nouveaux développements sont à prévoir de toute façon. Voici ma contribution pour ce vingtième anniversaire plein d’espoir.

 

James Hepburn a conclu son livre Farewell America de 1968 par ces mots :  » L’assassinat du président Kennedy était l’œuvre de magiciens. C’était un tour de scène, avec des accessoires et de faux miroirs, et quand le rideau est tombé, les acteurs et même le décor ont disparu.« 
Le 11 septembre était aussi un tour de scène de magiciens – la même compagnie, je crois. Non seulement ils ont fait disparaître les plus hauts gratte-ciel de New York dans un nuage de fumée avec le mot magique « Oussama Ben Laden ». Ils ont également fait apparaître puis disparaître des avions [1]. Pas seulement UA93, avalé par la terre, ou AA77, vaporisé dans le Pentagone. Je veux dire aussi UA175, qui s’est soi-disant écrasé sur la tour sud (laissons de côté AA11, dont l’unique image fantomatique a été capturée surnaturellement par les frères Naudet deux fois récompensés aux Emmy Awards).
Un Boeing 767, essentiellement un tube creux en aluminium, peut-il couper des colonnes d’acier massives, des ailes et tout, sans même ralentir ? Si vous n’y avez pas sérieusement pensé, voici un bon point de départ : https://911planeshoax.com/ . Pour ma part, j’étais d’abord convaincu qu’aucun avion réel n’était impliqué dans le 11 septembre par le film d’Ace Baker de 2012 9/11 The Great American Psy-Opera (commencer par le chapitre 6 à 2:27). J’ai fait la collation suivante de 18 minutes des extraits les plus révélateurs :
Richard Hall a étudié toutes les vidéos de l’accident d’avion dans la tour sud et a également conclu qu’il n’y avait pas eu d’accident d’avion [1]. Cependant, il a pointé une lacune dans la théorie d’Ace Baker : elle ne peut expliquer pourquoi, dans la cinquantaine de vidéos montrant l’UA175 s’écrasant sur la tour sud, la trajectoire de l’avion est conforme aux données officielles fournies par la National Transport Safety Board dans son rapport « Radar Data Impact Speed ​​Study ». Quelque chose de plus que la composition vidéo est impliqué. En 2012, Hall a donc proposé une théorie alternative dans cette vidéo de 23 minutes :
Tout comme la question de la technologie utilisée pour faire tomber les tours, la question de la technologie utilisée pour truquer les avions n’est toujours pas complètement résolue. Pourtant, je pense que, sur la base de ce que l’on sait, l’inexistence des vols AA11 et UA175 (y compris leurs passagers, bien sûr) est une hypothèse bien plus raisonnable que leur existence.
La question est importante, car l’arme du crime est souvent l’indice le plus sûr menant au meurtrier. S’il n’y avait pas d’avions, nous n’avons pas besoin de gaspiller de l’énergie à chercher de quel type d’avion il s’agissait et qui ou quoi les a pilotés. Nous avons juste besoin de demander : qui contrôle ce que nous voyons à la télévision ? Et nous connaissons la réponse à cette question, n’est-ce pas ? [2]
Je ne vais pas prétendre que le 11 septembre était essentiellement un coup d’État sioniste. Je suppose que la plupart des lecteurs d’ Unz Review sont déjà arrivés à cette conclusion. Je renvoie ceux qui ne l’ont pas fait au travail de Christopher Bollyn (son dernier livre est une bonne introduction) ou à ma propre contribution, « Le 11 septembre était un travail israélien ». Ce que je veux faire ici, c’est faire la lumière sur l’âme sombre qui a comploté cette opération incroyablement audacieuse.

Nous comprenons tous que le 11 septembre a été conçu par un réseau de conspiration qui comprenait les crypto-israéliens qui se sont appelés néoconservateurs – de manière trompeuse, car ils n’ont rien de « conservateur ».[3] Ce qu’ils voulaient, c’est déclencher la « 4ème guerre mondiale » (ils considèrent la guerre froide comme la troisième guerre mondiale, car elle a fourni le contexte de la guerre des six jours qui a doublé la taille d’Israël). La « quatrième guerre mondiale » a été proclamée pour la première fois le 20 novembre 2001 par le néoconservateur Eliot Cohen dans un article pour le Wall Street Journal. Puis, en février 2002, Norman Podhoretz a écrit un article pour Commentary intitulé « Comment gagner la quatrième guerre mondiale », plus tard développé dans le livre World War IV: The Long Struggle Against Islamofascism(2007). En 2004, le sujet d’une conférence à Washington d’Eliot Cohen à laquelle ont assisté Podhoretz et Wolfowitz était : « La quatrième guerre mondiale : pourquoi nous combattons, qui nous combattons, comment nous combattons ».
La 3ème Guerre mondiale était définitivement le but du 11 septembre. Derrière leur image publique, les néocons sont une Cabale comparable aux «Parushim» qui ont intrigué pour la Première Guerre mondiale, avec des membres influents comme le juge de la Cour suprême Louis Brandeis (1856-1941) et son patron Samuel Untermeyer (1858-1940). Sarah Schmidt , professeur d’histoire juive à l’Université hébraïque de Jérusalem, a documenté que les initiés de l’Ordre des Parushim devaient se déclarer « soldats de l’armée de Sion » et jurent :  » Je me promets par la présente moi-même, ma vie, ma fortune , et mon honneur à la restauration de la nation juive« . Après avoir récolté la Déclaration Balfour du sang et des cendres de la Première Guerre mondiale, la même cabale a poussé pour la Seconde Guerre mondiale, avec le même objectif sioniste annoncé de manière presque transparente à la une du British Daily Express., 24 mars 1933 : « La Judée déclare la guerre à l’Allemagne » (la Judée était l’un des noms envisagés pour leur nouvel État). Après la Seconde Guerre mondiale, ils ont tout mis en œuvre pour souffler sur les braises de la guerre froide au Moyen-Orient, et ont assassiné Kennedy qui voulait y mettre fin.

Comme Seymour Hersh l’a souligné dans The New Yorker du 12 mai 2003 , les membres principaux des Neocons sont d’anciens étudiants de Leo Strauss ou des étudiants de ses étudiants (le New York Times les a renommés « Leo-Cons » ) . Il y a donc de fortes chances que la connaissance de la pensée de Strauss puisse nous aider à donner un sens au 11 septembre. Et il y a autant de tromperie dans ce qui est dit à propos de Strauss qu’il y en a à propos du 11 septembre.

Leo Strauss (1899-1973)

Leo Strauss (1899-1973) était un universitaire juif allemand qui a déménagé à New York en 1937 et a enseigné les sciences politiques à l’Université de Chicago de 1949 à 1969. Il existe des interprétations divergentes de sa philosophie politique : dans Leo Strauss : Man of Peace (Cambridge UP, 2014), Robert Howse prétend que les néocons sont de mauvais élèves de Strauss, et qu’ils interprètent mal leurs propres fantasmes guerriers entre les lignes de Strauss. Catherine et Michael Zuckert, deux étudiants de Strauss, font de lui un amoureux passionné de la démocratie américaine dans The Truth about Leo Strauss : Political Philosophy and American Democracy (University of Chicago Press, 2008). Les titres de ces deux livres me rappellent en quelque sorte l’autobiographie d’Arlen « Magic Bullet » Spectre, Passion for Truth.Il y a autant de chances de trouver « la vérité sur Leo Strauss » dans un livre écrit par les Chicago Straussiens qu’il y en a de trouver « la vérité sur le 11 septembre » dans le rapport de la Commission sur le 11 septembre .
Un autre apologiste de Strauss, Benjamin Wurgaft , a absous Strauss de l’héritage désastreux des néocons en affirmant que « le Strauss que nous connaissons grâce à ses écrits a mis en garde contre l’application directe de la philosophie politique aux politiques publiques. . . . Les vrais penseurs, pensait Strauss, devraient éviter ce monde et sa tendance à compromettre la quête de la vérité philosophique« . C’est risible : quel genre de philosophe politique découragerait ses étudiants de s’engager dans la politique ? Même si Strauss l’a fait, il est évident que ses disciples pensaient que non, et ce qui nous intéresse ici, c’est ce que les Strauss ont appris de Strauss.
Si Strauss n’est pas un juif épris de paix, il doit nécessairement être un nazi belliqueux. C’est ainsi que William Altman, un autre auteur juif, le dépeint dans The German Stranger : Leo Strauss and National Socialism (Lexington, 2012). C’est l’équivalent des efforts de John Hankey pour imputer l’assassinat de JFK aux nazis dans son film d’animation Dark Legacy (2009).
Je n’ai lu que des fragments de ces livres. Ma compréhension de Strauss doit davantage à Leo Strauss and the American Right (1999) de Shadia Drury, dont les arguments sont commodément résumés dans son interview en ligne par Danny Postel . J’ai trouvé que l’analyse de Drury était un bon point de départ (je n’ai pas lu son livre précédent, The Political Ideas of Leo Strauss,qui semble n’avoir guère plus à offrir), mais, avec une seule entrée pour « Israël » dans son index, il souffre d’un énorme angle mort, déjà évident à partir de son titre et de sa couverture. Je me suis tourné vers la lecture de certaines des œuvres clés de Strauss dans l’espoir d’apprendre ce que Drury cache. J’ai, avec beaucoup de difficulté, parcouru une demi-douzaine de livres de Strauss. Ma conclusion générale est que Strauss est un pan-sioniste super-machiavélique, quelque chose qu’aucun érudit, pas même Drury, n’oserait dire, mais qui contribue largement à expliquer le 11 septembre. C’est ce que je souhaite illustrer ici.
Ce que Drury a correctement saisi, je pense, c’est la nature secrète et élitiste de l’enseignement de Strauss. Dans la presse écrite, Strauss n’a exprimé ses opinions les plus controversées que de manière cryptique en les attribuant aux philosophes du passé, souvent à tort, selon ses détracteurs. Il ne partageait ouvertement sa véritable philosophie qu’oralement avec ses étudiants proches, qui se trouvaient être exclusivement juifs (comme Drury ne le remarque pas). Il s’est inspiré de Moïse Maïmonide, dont les « secrets », écrit-il, « ne peuvent être expliqués qu’en privé et uniquement à des individus possédant à la fois la sagesse théorique et politique ainsi que la capacité de comprendre et d’utiliser un discours allusif ». Dans Qu’est-ce que la philosophie politique ? (1959), Strauss explique que la philosophie ou la science recherchent la « connaissance », et donc « mettent en danger la société », dont l’élément est « l’opinion ». « Par conséquent, la philosophie ou la science doivent rester l’apanage d’une petite minorité ».
Les philosophes ou les scientifiques qui ont ce point de vue sur la relation entre la philosophie ou la science et la société sont amenés à employer une manière d’écrire particulière qui permettrait de révéler ce qu’ils considèrent comme la vérité à quelques-uns, sans mettre en danger l’engagement inconditionnel du plus grand nombre envers le opinions sur lesquelles repose la société. Ils distingueront entre les vrais enseignements comme l’enseignement ésotérique et l’enseignement socialement utile comme l’enseignement exotérique ; alors que l’enseignement exotérique est censé être facilement accessible à chaque lecteur, l’enseignement ésotérique ne se révèle qu’aux lecteurs très attentifs et bien entraînés après une étude longue et concentrée.
Dans Persécution et l’art d’écrire, Strauss insiste sur la nécessité pour les sages de dissimuler leurs opinions, afin de protéger les masses de la laideur de la vérité (oui, la vérité straussienne est laide) et de se protéger des représailles.

L’« élitisme secret » de Strauss pourrait sans doute être une bonne chose si les élites qu’il avait en tête étaient vraiment les « sages ». Strauss le pensait probablement, mais il pensait aussi, évidemment, que seuls les Juifs devaient postuler, car le cercle de ses disciples était exclusivement juif. Il a probablement estimé, comme Samuel Untermeyer en 1933 , que « les Juifs sont les aristocrates du monde ».
Dans plusieurs livres sur Platon, Strauss a abusé du concept de « noble mensonge » de Platon ( La République ) pour approuver l’utilisation de la tromperie de masse en politique. « Il ne fait aucun doute », a déclaré Shadia Drury , « que la lecture de Platon par Strauss implique que les philosophes retournent dans la grotte et manipulent les images (sous la forme de médias, de magazines, de journaux). » Citant l’ argument de Strauss et l’action des lois de Platon, Drury dit que « la vraie solution platonicienne telle que la comprend Strauss est la règle secrète des sages. » Comme l’a écrit Abram Shulsky, étudiant de Strauss, dans « Leo Strauss and the World of Intelligence »(1999), pour Strauss, « la tromperie est la norme dans la vie politique » – une règle que Shulsky a appliquée en tant que directeur du Bureau des plans spéciaux, responsable de la fabrication de faux renseignements sur les « armes de destruction massive » de Saddam.
L’insistance de Strauss sur la nécessité pour les élites dirigeantes d’utiliser des mensonges et des mythes afin de contrôler les masses est une leçon bien apprise par les néocons. C’est sous l’inspiration de Strauss que Philip Zelikow, avant d’être nommé directeur exécutif de la Commission du 11 septembre, s’est spécialisé dans l’art de forger des « mythes publics » en « ‘saisissant’ ou ‘formant’ des événements [qui] prennent une importance ‘transcendante’ et, par conséquent, conservent leur pouvoir même lorsque la génération expérimentatrice quitte la scène » (ses propres mots, tels que cités dans Wikipédia ). En décembre 1998, il a cosigné un article pour les Affaires étrangères intitulé « Terrorisme catastrophique », dans lequel il spéculait sur ce qui se serait passé si l’attentat du WTC de 1993 (déjà imputé à Ben Laden) avait été fait avec une bombe nucléaire :
Un tel acte de terrorisme catastrophique serait un événement décisif dans l’histoire américaine. Cela pourrait entraîner des pertes de vies et de biens sans précédent en temps de paix et saper le sentiment fondamental de sécurité de l’Amérique, comme l’a fait l’essai de la bombe atomique soviétique de 1949. Comme Pearl Harbor, cet événement diviserait notre passé et notre avenir en un avant et un après. Les États-Unis pourraient réagir par des mesures draconiennes, réduisant les libertés civiles, permettant une surveillance plus large des citoyens, la détention de suspects et le recours à la force meurtrière.
Selon les mots de Drury, « Strauss pense qu’un ordre politique ne peut être stable que s’il est uni par une menace extérieure ; et à la suite de Machiavel, il a soutenu que si aucune menace extérieure n’existe, alors il faut en fabriquer une. Cela a fourni la justification de l’invention par les néocons du « choc des civilisations » pour remplacer la guerre froide.

Strauss considérait les nations comme entièrement façonnées par leurs « régimes », et est à l’origine de l’obsession des néocons pour le « changement de régime », considérée comme un moyen de transformer une nation en une nation totalement différente – les peuples n’étant guère plus que des morceaux informes d’argile. D’après les Straussiens Catherine et Michael Zuckert (lire ici), « la plus grande menace vient des États qui ne partagent pas les valeurs démocratiques américaines. Changer ces régimes et faire progresser les valeurs démocratiques constitue [selon les mots d’Irving Kristol] « la meilleure méthode pour renforcer la sécurité (des États-Unis) et la paix« .


 

EN COMPLÉMENTAIRE

 

Depuis septembre 2001, l’humanité a franchi une porte où l’on voit se dessiner deux routes en sens contraire. Le 11 septembre avec son spectacle stupéfiant de tours pulvérisées fut le rite de passage vers une nouvelle époque. Le monde entier fut averti du tournant brutal avec les effets spéciaux d’un grand spectacle à l’américaine. La mise en scène, grandiose et stupéfiante, était à la mesure du message que les producteurs du film voulaient transmettre. A ceux qui n’ont toujours rien compris, que peut-on encore ajouter?

Si devant le spectacle effarant des plus hautes tours du monde s’effondrant sur elles-mêmes, on n’a pas vu l’extraordinaire manipulation en direct, et qu’on s’est laissé bercer par les explications officielles, c’est que la conscience a perdu sa faculté de voir le mensonge, ou bien, plus grave encore, qu’elle a abdiqué devant l’imposture en s’en faisant complice.

C’est là le signe d’un clivage radical entre deux types d’humanité: ceux qui aiment la vérité et ceux qui la nient et la combattent, activement ou passivement. C’est pourquoi nous disons que l’ humanité s’est scindée en deux.

Derrière le caractère invraisemblable des événements de septembre 2001, ne pas ressentir de doute, c’est déjà avoir perdu son libre-arbitre. Il est admissible de ne pas savoir interpréter ces événements rocambolesques car tout cela est trop compliqué – et qui comprend vraiment? – mais croire dans la thèse du complot ourdi par un Ben Laden fantôme, par ailleurs formé par la CIA, c’est montrer à l’évidence qu’on a basculé dans le camp des victimes des super-menteurs.

Deux directions s’offrent à nous: l’une est largement ouverte vers l’emprisonnement dans l’ordre mondial de l’élite, et l’autre s’élève dans la lumière d’une conscience éveillée.

Les deux humanités 

Septembre 2001 est une date qui a été enregistrée dans les annales occultes comme la fin de notre cycle de civilisation et le début d’une nouvelle période. La civilisation humaine en tant que telle n’existe plus, et nous sentons bien que quelque chose d’autre est en train d’apparaître.

Cette date est très précisément indiquée dans la chronologie gravée dans la pierre de la grande pyramide de Giseh. Les anciens sages égyptiens, experts dans la science des cycles cosmiques et planétaires, n’étaient pas des dilettantes, et s’ils font cesser le cycle actuel en septembre 2001, c’est que telle est la vérité. Ils ont voulu nous indiquer que l’histoire s’arrête là. Après cette date, mystère…

Depuis 2001, tout est caricatural et factice, sauf les morts et les bénéfices qui vont multiplier la fortune des banques qui prêtent l’argent de l’armement au gouvernement américain, dont le peuple est dépossédé de lui-même à cause de la dette.

Revenons au problème, c’est-à-dire à notre état de conscience face à la situation présente et aux perspectives d’avenir. Il s’agit pour nous d’un enjeu de conscience et le fracas du monde est secondaire, comme un bruit de fond, dont on peut faire abstraction jusqu’à l’oublier. Moins on se branche sur les médias de masse, et plus on préserve son intégrité.

Nous avons parlé des deux directions en sens contraire où s’est engagée l’humanité. D’abord le grand nombre, qui depuis la date fatidique du passage initiatique de septembre 2001, a plus ou moins délibérément choisi de suivre aveuglément ce que ses dirigeants lui ordonnent. On objectera que les gens se méfient souvent de l’information officielle, mais s’ils doutent un court instant, le matraquage finit par emporter leur adhésion aux thèses officielles. Ils écoutent mais n’entendent pas. Ils regardent mais ne voient pas. Ce n’est pas nouveau, mais c’est devenu effrayant. Observez comment les gens peuvent admettre certains faits en privé, mais combien ils acceptent l’instant d’après la pensée dominante sécuritaire. C’est une loi physique, et nous avons tous à fournir un effort pour ne pas nous faire happer par la puissance émotionnelle collective.

En ce qui concerne le groupe majoritaire conformiste, on lui met sous les yeux des mystifications inimaginables, et il ne capte rien, ou préfère ne rien voir.

Sans rancune, mais nos chemins se séparent. Vouloir les convaincre est inutile. Intéressons-nous plutôt à l’autre groupe, certes très minoritaire, et qui se gratte encore la tête avec perplexité en se disant: «Il y a quelque chose qui cloche!» En faisant preuve d’optimisme, disons qu’ils représentent 10 % de la population mondiale. Cette minorité est en train de muter dans un sens tout à fait nouveau. C’est plutôt réjouissant. Et même si ce n’était que 1 % du total, soyons de ceux là.

La minorité de conscience 

Cette minorité dissidente, si l’on peut la nommer ainsi, est répartie sur toute la Terre, à travers toutes les races, les classes, les cultures et les religions. Progressivement, sous la pression des événements mondiaux, ces êtres vont se reconnaître, et se découvrant appartenir à la même «fraternité spirituelle», ils mettront en pratique la parole: «Aime ton prochain comme toi-même».

Ayant passé avec succès le test de conscience de 2001, ceux-là se découvriront unis dans une fraternité qui ne doit rien au simulacre humanitaire de l’ordre mondial. Quant aux innombrables ayant abdiqué devant ce qu’il faut bien nommer la «puissance du mal», non par méchanceté, mais par ignorance et lâcheté, ils prendront la voie de l’endurcissement qui les transformera en des êtres robotiques, dangereux et immoraux. Non qu’ils soient mauvais, mais parce qu’ils croient devoir obéir à leurs bergers qui les conduiront là où ils n’iraient pas. En termes spirituels, c’est ce qu’on nomme un «jugement». C’est un processus cyclique entre deux périodes qui permet de soustraire du collectif un groupe de pionniers dont la mission est de devancer la marche collective afin de l’accélérer. En l’absence de pionniers, tout le monde reste en arrière. Il n’y a rien d’injuste ou de cruel dans ce processus qui s’est déroulé maintes fois depuis l’origine des civilisations. Il est nécessaire de sauver les germes de conscience du flot régressif qui risque de l’emporter. Il n’y a rien de personnel ou d’égotique, et nul ne doit interpréter cette sélection comme un privilège donné à quelques uns, car c’est une lourde responsabilité. La conscience implique un devoir plus grand. Il faut des pionniers, sinon tout se perd.

Notre compassion va vers l’humanité qui est retenue par la psychose sécuritaire. Mais notre amour doit se tourner vers ceux qui désirent la libération de l’homme au sens spirituel.

Il faut sauver l’amour du naufrage, et pour cela, il est indispensable de garder la tête hors du noir courant de l’inconscience où sont plongées nombre de personnes que nous aimons. Elles démontrent déjà de l’animosité à notre égard lorsque leurs croyances sont ébranlées par les faits. Mais le phénomène le plus inquiétant est la manifestation d’une mauvaise foi d’un genre redoutable. Elle se résume par cette attitude: «Je sais bien que c’est mauvais mais je le fais quand même».

Il faut appliquer un critère de lucidité qui consiste à ne plus accueillir l’information d’où quelle provienne sans la filtrer par notre décodeur interne et notre raison aux aguets. La minorité consciente qui ne gobe plus les bobards de l’establishment est la cible d’attaques subtiles car on connaît ses points faibles, particulièrement son idéalisme et son goût pour les belles espérances.

D’un côté, ceux qui nous flattent avec leurs « messages » célestes pour nous maintenir dans une douce inconscience, et de l’autre ceux qui nous effraient pour nous vendre des systèmes de protection coûteux et dérisoires.

Les gens disent parfois: «Cela ne nous laisse aucun espoir», et cette remarque nous renseigne sur l’attente d’un miracle qui est dans l’air. Nous répondons: «Puisque vous désirez un miracle, attendez-vous à ce qu’on vous en propose! Vous devriez plutôt devenir votre propre lumière, et réaliser en vous-même le seul miracle qui compte, à savoir devenir conscient, fort et libre.» Mais pour celui qui a reçu «l’implant» de l’attente messianique, ce sont là des paroles peu satisfaisantes.

Perspectives pour l’avenir

Parlons donc des perspectives d’avenir, pour autant que nous puissions voir quelque chose dans ce brouillard. En réalité, le cours de l’histoire extérieure est déjà tracé de longue date, et c’est pourquoi les dirigeants de la planète – usurpateurs au demeurant – n’ont plus de pudeur à étaler leurs trafics. Les masses sont devenues si apathiques qu’elles iront dans le sens qu’on leur indique. C’est une affaire entendue. Dès lors, pourquoi les maîtres tergiverseraient-ils? La crise du Proche-Orient doit permettre d’allumer un incendie contrôlé. La chaotisation actuelle est orchestrée de main de maître.

Intuitivement, nombre de gens simples ressentent que quelque chose ne tourne pas rond, mais au final, ils se conforment aux ordres des médias, en portant au pouvoir des bandits doublés de super-menteurs dont la religion avérée est le satanisme. Ce fait révèle l’affaissement de la conscience morale. Les gens légitiment le mensonge dès l’instant où ils se sont laissés irradier par les messages subliminaux de la télévision.

C’est elle qui gouverne la volonté des masses et des classes moyennes. Seule une faible minorité échappe à l’embrigadement.

Quant aux événements actuels, selon toute vraisemblance, le lobby américano-sioniste, après avoir inventé le «complot terroriste international» cherche à énerver un peu les masses musulmanes, sachant qu’elles sont sous contrôle, plus intéressées par les rêves de Dallas que par le revival islamique. Et si elles descendent dans la rue au lieu de regarder le match en buvant du Coca, c’est qu’on les a poussées par un féroce bombardement d’ondes capable de déclencher une crise de fanatisme.

Le but de la crise au Proche-Orient est de focaliser l’angoisse du monde sur une région hautement magique qui fut le berceau du cycle des civilisations occidentales. Le serpent se mord la queue. Tout retourne au point de départ. Cette manœuvre pour tendre le fil jusqu’à son degré de résistance maximal permet d’amener progressivement une crise planétaire.

Les organisateurs savent où ils vont et comment ils vont y arriver. Cela demeure pour nous très tortueux et surréaliste. La crise finale s’alimente entre ces deux extrêmes: la menace de guerre d’un côté et l’espoir de paix de l’autre. La manipulation consiste à réguler ces deux courants par une propagande amplifiant les pulsions de révolte et de violence d’un côté, tout en stimulant le désir de paix et de sécurité de l’autre. Ces paroles sont sans doute pénibles aux oreilles des idéalistes qui sont tombés les yeux fermés dans la deuxième attitude, respectable au demeurant, mais qui témoigne d’une absence de lucidité. Voulons-nous être des billes dans le flippeur des maîtres du monde? Alors, continuons à prendre parti en faveur du bien ou du mal.

La menace d’un conflit généralisé débouchant sur une crise mondiale amènera une confusion et une détresse dont on ignore l’ampleur. S’agit-il de déclencher un véritable déluge générant des catastrophes naturelles qui mettront les populations à genoux ? On ne sait jusqu’où le seuil de tolérance de l’humanité peut aller, mais un effondrement économique devrait suffire à inciter les masses à implorer le ciel.

Il ne sera pas difficile de lancer à la télévision le slogan «paix et sécurité!» pour que plusieurs milliards de poitrines le reprennent en chœur. Tout cela sera suggéré au bon moment, et c’est pourquoi les maîtres de la guerre entretiennent un mouvement pacifiste international et ont conservé jusqu’à ce jour les structures religieuses qui seront jetées après usage.

Lorsque l’humanité sera plongée dans la crainte d’une chaotisation, alors les dirigeants de l’Ordre Mondial présenteront leur sauveur providentiel. Il faudra que l’humanité l’appelle de ses vœux, sinon cela ne pourra pas fonctionner. Vous voulez la paix et la sécurité? Vous voulez un miracle? Vous voulez le Messie? Et bien, vous l’aurez voulu!

* * *Attendons le bouquet final en ne cédant pas à la séduction émotionnelle comme nos frères humains dont le test du 11 septembre 2001 a prouvé que la barrière immunitaire psycho-spirituelle est très endommagée.

C’est pourquoi il y a deux groupes humains en présence sur la Terre, et ils se séparent l’un de l’autre à grande vitesse presque de jour en jour. La minorité consciente est face à la multitude qui pourrait devenir hostile lorsqu’on la suggestionnera dans ce sens. Il va falloir se préparer à une longue résistance et peut-être à des persécutions. C’est pourquoi il est temps de développer notre force intérieure. Nous sommes devant une occasion de mutation exceptionnelle.

 


 

 

C’est, bien sûr, le sermon exotérique straussien pour la consommation de masse américaine. Même les Zuckert doivent admettre : « L’une des questions très difficiles soulevées par la vision composite de Strauss que nous venons de résumer concerne la relation entre le côté idéaliste wilsonien et le côté réaliste machiavélique. Il y a, pour le moins,une tension entre les deux.
Strauss s’est émerveillé du pouvoir de la télévision et du cinéma pour façonner l’opinion publique et l’émotion. C’était un critique amateur du cinéma « occidental », un genre qu’il considérait comme un cas réussi de construction mythique nationale fondée sur une distinction nette entre les bons (nous) et les méchants (eux). Selon son élève Stanley Rosen (s’exprimant dans le documentaire d’Adam Curtis sur la BBC, The Power of Nightmares, premier épisode à 8h49), l’émission télévisée préférée de Strauss était Western Gunsmoke. Cette émission « a eu un effet salutaire sur le public américain, car elle montrait le conflit entre le bien et le mal d’une manière qui serait immédiatement intelligible pour tout le monde ». Ce n’est pas un hasard si en 1980, les néoconservateurs ont misé tous leurs jetons sur l’acteur occidental d’Hollywood Ronald Reagan, un homme qui a un jour résumé sa vision politique en ces termes :  » La différence entre le bien et le mal semble aussi claire que les chapeaux blancs (ou noirs ou des sombreros) que les cow-boys à Hollywood portaient toujours pour que vous sachiez dès le début qui était le bon gars et qui était le vilain.« 
Strauss était bien conscient, comme Neal Gabler, que la culture hollywoodienne en général était la création d’émigrés juifs d’Europe de l’Est [4]. Dans le documentaire Hollywoodism: Jews, Movies and the American Dream (1998), Gabler dit que « la grande ironie de tout Hollywood est que les Américains en viennent à se définir par « l’Amérique de l’ombre » qui a été créée par les immigrants juifs d’Europe de l’Est ».
L’attachement de Strauss au judaïsme est probablement la partie la plus ésotérique de son enseignement, en ce sens qu’elle est la moins publique. Même Drury reste très insaisissable à ce sujet : elle s’en tient à la fiction selon laquelle les néocons sont des impérialistes de droite américains. Elle prend le « nationalisme » américain autoproclamé d’Irving Kristol pour argent comptant, et elle ignore que certains des rédacteurs ou des proches collaborateurs du Projet pour un nouveau siècle américain ont également écrit des rapports secrets à Benjamin Netanyahou recommandant une politique agressive d’expansion territoriale.
Drury cite Harry Jaffa, l’un des premiers doctorants de Strauss. étudiants, en disant que « l’Amérique est la Sion qui illuminera le monde entier ». L’ironie et le sens cryptique lui manquent définitivement : l’Amérique mettra le feu au monde pour Sion. C’est ce que les néocons ont vraiment fait.
Nous avons ici une illustration du mensonge à deux étages, une technique familière à ceux que Schopenhauer appelait « les grands maîtres du mensonge » (cité par son disciple autrichien le plus célèbre). Ayant levé le voile du mensonge « exotérique » des Straussiens (le mythe de l’Amérique contre le Mal), Drury est convaincue qu’elle voit leur vérité « ésotérique » (l’Amérique a besoin du mythe), alors qu’en fait il ne s’agit que d’un mensonge plus sophistiqué. La vérité est encore un niveau en dessous.
Avec son documentaire de la BBC The Power of Nightmares, Adam Curtis est un autre exemple d’intellectuel qui effleure à peine la mince surface de la propagande néoconservatrice et croit à l’épaisse couche de mensonges sous-jacente. Curtis pense que, pendant la guerre froide, Strauss et les Straussiens voulaient fournir aux Américains un ennemi mythique et maléfique, comme moyen « de sauver le pays de la décadence morale, . . . de réengager le public dans une vision grandiose du destin de l’Amérique, qui donnerait un sens et un but à leur vie ». Bien sûr, Curtis doit alors expliquer pourquoi, sous cette noble justification patriotique, les néocons ont entraîné les États-Unis dans des guerres illégitimes causant des dommages irrémédiables à la nation. Curtis n’arrivait pas à se convaincre que les néocons déclenchent des guerres mondiales juste pour remonter le moral des Américains. Il spécule donc plutôt que les néocons sont si stupides qu’ils sont tombés dans le piège de leurs propres mensonges :« Ce qui avait commencé comme le genre de mythe que Leo Strauss avait dit être nécessaire pour le peuple américain est devenu de plus en plus considéré comme la vérité par les néoconservateurs. Ils ont commencé à croire à leur propre fiction » (épisode 1). Et encore dans l’épisode 2 :  » dans les années 1970. . . Paul Wolfowitz, Richard Perle et d’autres néoconservateurs avaient entrepris de réaffirmer le mythe de l’Amérique comme un pays unique, dont le destin était de lutter contre le mal à travers le monde. Maintenant au pouvoir, ils en étaient venus à croire à ce mythe. Ils se considéraient comme des révolutionnaires qui allaient transformer le monde, à commencer par la défaite de l’Empire du Mal. »

Dans les années 70, Paul Wolfowitz, Richard Perle et d’autres néoconservateurs avaient entrepris de réaffirmer le mythe de l’Amérique comme un pays unique, dont le destin était de lutter contre le mal à travers le monde. Maintenant au pouvoir, ils en étaient venus à croire à ce mythe. Ils se considéraient comme des révolutionnaires qui allaient transformer le monde, à commencer par la défaite de l’Empire du Mal.
Selon Curtis, les néocons se font tellement d’illusions qu’ils ont été trompés par leur propre mensonge une seconde fois, finissant par croire à la fausse « guerre contre le terrorisme » qu’ils avaient inventée initialement dans le seul but de garder le moral américain.  Ils avaient décidé de créer le fantasme d’un « puissant réseau du mal, contrôlé depuis le centre par Ben Laden depuis son antre en Afghanistan. . . parce que cela correspondait à leur vision du destin unique de l’Amérique de mener une bataille épique contre les forces du mal à travers le monde. Mais encore une fois, selon Curtis, les néoconservateurs ont commencé à croire à leur propre mensonge, ce qui les a conduits à détruire innocemment le Moyen-Orient et la démocratie américaine dans le processus : « les néoconservateurs étaient maintenant de plus en plus enfermés dans ce fantasme,et ensuite, ils ont entrepris de découvrir le réseau en Amérique même.
Je me demande si Curtis lui-même croit ce qu’il dit, ou fait semblant de le croire. Quoi qu’il en soit, cela montre l’efficacité du mensonge à deux étages. C’est une stratégie dialectique : les menteurs de premier niveau doivent pouvoir compter sur les menteurs de second niveau et leurs idiots utiles – l’opposition contrôlée – pour les couvrir en feignant de les exposer. Par exemple, les Israéliens d’abord ont besoin d’un Chomsky pour les protéger de l’accusation de trahison et dire aux Américains avec un demi-cerveau que, quel que soit le mal d’Israël, elle le fait parce que l’Amérique l’oblige à le faire (théorie « The Fateful Triangle ») .

Dans le cas du 11 septembre, Israël se cache derrière deux faux drapeaux : sous le mensonge de premier niveau – « Al-Qaïda l’a fait » – a été planté le mensonge de deuxième niveau (ou demi-mensonge) – « L’Amérique l’a fait » —, comme l’ expliquait le regretté et bienheureux Victor Thorn en 2011 :
En substance, le « mouvement pour la vérité sur le 11 septembre » a été créé avant le 11 septembre 2001 comme un moyen de supprimer les informations relatives à la complicité israélienne. En 2002-2003, des « vérités » ont commencé à apparaître lors de rassemblements avec des pancartes indiquant « le 11 septembre était un travail de l’intérieur ». Au départ, ces signes ont donné de l’espoir à ceux qui ne croyaient pas aux couvertures absurdes du gouvernement et des médias grand public. Mais ensuite, une terrible prise de conscience a émergé : le slogan « Le 11 septembre était un travail de l’intérieur » était probablement le plus grand exemple de propagande israélienne jamais conçu. »
La règle de base de toutes ces astuces peut être formulée comme ceci : mentir gros aux masses, mais avoir un plus petit mensonge prêt pour quelques-uns. Soit dit en passant, la raison pour laquelle le grand mensonge fonctionne le mieux pour les masses a été expliquée en 1925 par un célèbre antisémite autrichien :

Dans la simplicité primitive de leur esprit, ils [les grandes masses] seront plus facilement victimes d’un gros mensonge que d’un petit mensonge, puisqu’ils disent parfois eux-mêmes de petits mensonges, mais auraient honte de dire un mensonge trop gros. Ils n’envisageraient jamais de dire eux-mêmes un mensonge d’une telle ampleur, ou sachant que cela exigerait une telle impudence, ils ne considéreraient pas qu’il soit possible qu’il soit raconté par d’autres. Même après avoir été éclairés et avoir montré que le mensonge est un mensonge, ils continueront à douter et à vaciller pendant longtemps et continueront de croire qu’il doit y avoir une part de vérité derrière cela, et qu’il doit y avoir une autre explication. Pour cette raison, une partie du mensonge le plus audacieux et le plus effronté est sûre de rester. C’est un fait que tous les grands menteurs et sociétés de menteurs de ce monde ne connaissent que trop bien et qu’ils utilisent régulièrement.
La déception straussienne doit être comprise comme à deux étages. Quiconque pense que les fantasmes exotériques des Straussiens sont motivés par une forme de préoccupation pour l’Amérique (ses valeurs, son empire, etc.) est victime de leurs mensonges ésotériques. La clé pour comprendre l’essence du straussianisme est le mot que Curtis ne prononce jamais dans son documentaire de trois heures sur les straussiens : Israël.

Pour avoir un aperçu du sionisme de Strauss, nous devons nous tourner vers une source primaire (que Drury, à son honneur, mentionne) : sa conférence de 1962 à la Fondation Hillel, « Pourquoi nous restons juifs » , l’une de ses communications orales enregistrées rendues accessibles à le public dans les années 90. Strauss commence sa conférence en déclarant que, pour une fois, « je ne tournerai pas autour du pot à tous égards ». Puis il révèle que, « depuis très, très tôt le thème principal de mes réflexions a été ce qu’on appelle la ‘question juive’ », ce qui en surprendra beaucoup. Son message principal à son auditoire juif américain est : « Retournez à la foi juive, retournez à la foi de nos ancêtres.
Drury considère la défense de Strauss de la « foi juive » comme une forme de tromperie ou d’hypocrisie, puisque Strauss est un athée déclaré et appelle ouvertement le judaïsme une « illusion héroïque » et « un rêve » (comme « aucun rêve plus noble n’a jamais été rêvé ») . Mais l’accusation est injuste, je pense, parce qu’elle néglige les qualifications de Strauss de « foi » et de « rêve ». Tout d’abord, Strauss précise que, par « foi », il n’entend pas nécessairement « croyance », mais « fidélité, loyauté, piété au sens latin ancien du mot pietas.» Deuxièmement, immédiatement après avoir qualifié le judaïsme de « rêve », Strauss ajoute que « le rêve s’apparente à une aspiration. Et l’aspiration est une sorte de divination d’une vision énigmatique. Bien qu’il n’élabore pas, c’est assez clair : pour Strauss, la judéité n’est pas un choix de Dieu, mais un choix de soi. C’est un point de vue très courant parmi les intellectuels juifs, apparenté à la notion kabbalistique selon laquelle Yahweh est comme l’âme collective du peuple juif. Dans un « Essai sur l’âme juive » (1929), par exemple, Isaac Kadmi-Cohen écrit que « la divinité dans le judaïsme est contenue dans l’exaltation de l’entité représentée par la race ». C’est pourquoi les Juifs peuvent être des non-croyants en Dieu tout en croyant en la promesse de Yahweh. Lorsque Drury reproche à Strauss de ne s’intéresser qu’aux avantages politiques de la religion,« Elle doit savoir qu’il ne s’agit pas forcément d’une trahison de la tradition juive. L’idée que la prophétie a une « mission politique » (Strauss,Philosophie et droit ) est une évidence pour de nombreux sionistes laïcs.
Le passage central de la conférence de Strauss « Pourquoi nous restons juifs » est une longue citation de l’ aphorisme 205 de l’Aube du jour de Nietzsche , dans lequel Nietzsche prédit que les Juifs deviendront « les seigneurs de l’Europe ». Après dix-huit siècles de formation en Europe, dit Nietzsche, « les ressources psychiques et spirituelles des Juifs d’aujourd’hui sont extraordinaires. Entre autres atouts, « ils ont compris comment créer un sentiment de puissance et de vengeance éternelle à partir des métiers mêmes qui leur étaient laissés ». Pour cette raison, dit Nietzsche (cité par Strauss) :
à un moment donné, l’Europe peut tomber comme un fruit parfaitement mûr dans leur main, qui ne tend la main que par hasard. En attendant, il leur faut se distinguer dans tous les domaines de distinction européenne et figurer parmi les premiers, jusqu’à ce qu’ils soient assez avancés pour déterminer eux-mêmes ce qui distingue. On les appellera alors les inventeurs et guides des Européens.
Strauss note que « l’Europe » devrait maintenant être remplacé par « l’Occident » dans l’aphorisme de Nietzsche, et commente que c’est « la déclaration la plus profonde et la plus radicale sur l’assimilation que j’ai lue ». Il pourrait bien être, en fait, la clé de l’agenda straussien. L’assimilation comme dissimulation et comme stratégie à long terme pour le suprémacisme juif est la seule assimilation que Strauss approuve.

Dans cette même conférence, Strauss critique le sionisme politique comme appartenant au mauvais type d’assimilation, puisqu’il cherchait à créer une nation comme les autres. Si Israël devenait une nation comme les autres, l’identité juive périrait, car l’identité juive est fondée sur la persécution inhérente à la dispersion. Strauss appelle à un « sionisme religieux » qui transcende le projet national. Il croit que les Juifs doivent continuer à être une nation dispersée parmi d’autres nations. Pourtant, Strauss félicite l’État d’Israël d’avoir donné l’exemple avec son interdiction des mariages mixtes, accomplissant « un acte de nettoyage ou de purification nationale », « une réaffirmation de la différence entre Juifs et non-Juifs ». Strauss a également défendu le racisme d’État d’Israël dans la National Review :Le sionisme politique, écrit-il, « a rempli une fonction conservatrice » en enrayant la « marée de nivellement « progressif » des vénérables différences ancestrales ».
L’accent mis par Strauss sur l’endogamie va au cœur même de la Torah, qui insiste sur la stricte égalité entre le monothéisme et la pureté raciale ; commettre l’idolâtrie (« servir d’autres dieux ») et épouser des non-juifs sont une seule et même chose (par exemple Deutéronome 7 :3-4 et Nombres 25 :1-2). Toutes les lois juives sont essentiellement des murs construits autour du devoir sacré : garder le sang ! « Tout est race, il n’y a pas d’autre vérité », a écrit un autre juif « assimilé ».
Ce que Strauss dit des autres nations en relation avec la nation juive prouve également la compréhension et l’approbation pénétrantes de Strauss de l’idéologie biblique : se référant à « l’antijudaïsme de l’Antiquité classique tardive, lorsque nous… . . ont été accusés par les païens romains d’être convaincus de haine de la race humaine », ajoute-t-il :
Je soutiens que c’était un très grand compliment. Et je vais essayer de le prouver. Cette accusation reflète un fait indéniable. Car la race humaine se compose de plusieurs nations ou tribus ou, en hébreu, goyim. Une nation est une nation en vertu de ce qu’elle admire. Dans l’antiquité, une nation était une nation en vertu de son respect pour ses dieux. Ils n’avaient pas d’idéologies à l’époque ; ils n’avaient même pas d’idées à l’époque. Au sommet, il y avait les dieux. Et maintenant, nos ancêtres affirmaient a priori, c’est-à-dire sans regarder aucun de ces dieux, que ces dieux étaient des riens et des abominations, que les plus hautes choses de toute nation étaient des riens et des abominations.
L’adhésion de Strauss au programme biblique de domination juive du monde est la moins mentionnée, mais sans doute la caractéristique la plus importante de l’enseignement ésotérique de Strauss. La deuxième caractéristique la plus importante est son machiavélisme.

Strauss admirait beaucoup Machiavel, le philosophe politique du XVe siècle qui rejetait la notion classique selon laquelle la vertu devrait être le fondement du pouvoir, et affirmait que seule l’apparence de la vertu compte, et que le prince qui réussit doit être un « grand simulateur » qui « manipule et contre l’esprit des gens. Dans ses Réflexions sur Machiavel, Strauss se démarque de la tendance à vouloir minimiser l’immoralité de l’auteur du Prince, et est plutôt d’accord avec la « simple opinion » qui considère sa théorie politique comme immorale. Relativiser l’immoralité de Machiavel, dit Strauss, « empêche de rendre justice à ce qui est vraiment admirable chez Machiavel ; l’intrépidité de sa pensée, la grandeur de sa vision et la gracieuse subtilité de son discours. La pensée de Machiavel est si révolutionnaire, croyait Strauss, que ses implications ultimes ne pouvaient être précisées : « Machiavel ne va pas jusqu’au bout du chemin ; la dernière partie du chemin doit être parcourue par le lecteur qui comprend ce qui est omis par l’écrivain. Pour cela, Strauss est le guide, car « découvrir à partir des écrits [de Machiavel] ce qu’il considérait comme la vérité est difficile ; ce n’est pas impossible. » La vérité de Machiavel n’est pas une lumière aveuglante,mais plutôt un abîme sans fond que seul le philosophe accompli peut contempler sans se transformer en bête : il n’y a pas d’au-delà, et ni bien ni mal, et donc l’élite dirigeante n’a pas besoin d’être inhibée par la moralité. Machiavel, selon Strauss, est un patriote d’un genre supérieur parce qu’« il se soucie plus du salut de sa patrie que du salut de son âme ». Pour Strauss, seules les nations peuvent être éternelles, puisque les hommes n’ont pas d’âme individuelle ; par conséquent, il n’y a pas de limites morales à ce qu’un patriote (sioniste) peut faire pour sa nation.est un patriote d’un genre supérieur car « il est plus soucieux du salut de sa patrie que du salut de son âme ». Pour Strauss, seules les nations peuvent être éternelles, puisque les hommes n’ont pas d’âme individuelle ; par conséquent, il n’y a pas de limites morales à ce qu’un patriote (sioniste) peut faire pour sa nation.est un patriote d’un genre supérieur car « il est plus soucieux du salut de sa patrie que du salut de son âme ». Pour Strauss, seules les nations peuvent être éternelles, puisque les hommes n’ont pas d’âme individuelle ; par conséquent, il n’y a pas de limites morales à ce qu’un patriote (sioniste) peut faire pour sa nation.
Le sionisme et le machiavélisme sont des concepts si jumeaux dans la perspective straussienne que le disciple de Strauss, Michael Ledeen, membre fondateur de l’ Institut juif pour les affaires de sécurité nationale (JINSA), a émis l’hypothèse que Machiavel était un juif secret. « Écoutez sa philosophie politique, et vous entendrez la musique juive », a écrit Ledeen, citant le mépris de Machiavel pour l’éthique non violente de Jésus et son admiration pour le pragmatisme de Moïse, qui a pu tuer des milliers de personnes de sa propre tribu afin de établir son autorité.
Le caractère crypto-juif de Machiavel est plausible : son nom pourrait provenir de l’hébreu Mashiah bé El, « Messie de Dieu ». Dans tous les cas, sa compréhension que la peur est le moyen le plus efficace de gouverner est exactement ce que vous attendez d’un Lévite. La menace de destruction en cas de non-respect de la loi mosaïque est un leitmotiv de la Torah :
Et si, malgré cela, vous ne m’écoutez pas mais allez contre moi, j’irai contre vous avec fureur et vous punirai sept fois pour vos péchés. Tu mangeras la chair de tes propres fils, tu mangeras la chair de tes propres filles. Je détruirai vos hauts lieux et briserai vos autels d’encens ; J’empilerai vos cadavres sur les cadavres de vos idoles immondes et je vous rejetterai. Je réduirai vos villes en ruines, etc. (Lévitique 26:27-31).
La peur de la colère de Yahweh a été profondément intériorisée par le peuple juif, car elle a toujours été le moyen par lequel les élites juives contrôlent leur troupeau. La religion de l’Holocauste est une version laïque du Yahvisme.

Si l’esprit d’une nation résulte de la menace – réelle ou imaginaire – de son ennemi, comme le croit Strauss, alors Israël a l’esprit le plus fort, car elle considère le reste du monde comme ses ennemis. Les Juifs sont « le peuple choisi pour la haine universelle », comme l’a écrit le proto-sioniste Leo Pinsker dans sa brochure Auto-Emancipation (1882). Il existe une complémentarité dialectique entre la menace perçue d’extermination et la lutte pour la domination du monde, car cette dernière est le seul moyen de surmonter la première. C’est l’essence de la paranoïa juive inoculée par la Bible.

Larry Silverstein,
Larry Silverstein,

En conclusion, Strauss a une vision très claire d’Israël comme une nation unique destinée – par le rêve le plus noble – à régner sur d’autres nations, et même à les détruire spirituellement, par tous les moyens immoraux possibles. On peut appeler sa vision pansionisme machiavélique, ou simplement suprémacisme juif. Quel que soit son nom, il est profondément biblique, aussi biblique que la philosophie politique de David Ben Gourion, le « père de la nation juive ». En 1962, la même année que la conférence de Strauss « Pourquoi nous restons juifs », Ben Gourion se plaignait au président Kennedy de la destruction imminente de sa nouvelle nation par les nazis égyptiens, mais en même temps il prédisait dans le magazine Lookque, dans 25 ans, Jérusalem « sera le siège de la Cour suprême de l’humanité, pour régler toutes les controverses entre les continents fédérés, comme prophétisé par Isaïe ». En effet, Isaïe a prophétisé : « Car la loi sortira de Sion et la parole de Yahvé de Jérusalem. Alors il jugera entre les nations et arbitrera entre plusieurs peuples » (2 :3-4). En d’autres termes, Israël gouvernera le monde.
Isaïe, le prophète préféré des sionistes, a également déclaré : « La nation et le royaume qui ne vous serviront pas périront, et . . . sera entièrement détruite » (60 :12) ; « Vous sucerez le lait des nations, vous sucerez les richesses des rois » (60 :16) ; « Tu te nourriras de la richesse des nations, tu les supplanteras dans leur gloire » (61 :6). C’est le plan biblique de l’ordre mondial sioniste, également promis par le diable jaloux d’Israël dans le Deutéronome : « dévore tous les peuples que Yahvé ton dieu met à ta merci, ne leur montre aucune pitié » (7 :16) ; « il vous élèvera plus haut que toutes les autres nations qu’il a faites » (28:1); « Vous ferez de nombreuses nations vos sujets, mais vous ne serez soumis à aucune » (28 :12).
Si nous ne creusons pas dans les racines bibliques du sionisme, nous ne pouvons pas comprendre le sionisme. Ben Gourion disait souvent : « Il ne peut y avoir aucune éducation politique ou militaire valable sur Israël sans une connaissance approfondie de la Bible. Cette déclaration doit être prise au sérieux. Si c’est vrai pour les dirigeants israéliens – et Benjamin Netanyahu ne s’y opposerait certainement pas -, alors c’est également vrai pour tous les analystes sérieux : il ne peut y avoir de réelle compréhension d’Israël et de son objectif de longue date, sans la connaissance de la Bible hébraïque. La conspiration sioniste pour la suprématie mondiale y est écrite en langage clair.
Yahweh est un dieu sociopathe, et Yahweh est le dieu d’Israël, donc Israël est une nation sociopathe. C’est la simple vérité du sionisme, l’équation dont dérive finalement le 11 septembre.
Remarques
James Hepburn, Farewell America : Le complot pour tuer JFK, Penmarin Books, 2002, p. 269.
Stephen Sniegoski, The Transparent Cabal: The Neoconservative Agenda, War in the Middle East, and the National Interest of Israel, Édition Enigma, 2008, p. 193.
Sarah Schmidt, « The ‘Parushim’: A Secret Episode in American Sionist History », American Jewish Historical Quarterly 65, no. 2, décembre 1975, pp. 121-139, sur ifamericansknew.org/history/parushim.html .
Benjamin Wurgaft, « A Cabal We Deserve : Leo Strauss, the Straussians, and Public Intellectual Culture », document de la réunion annuelle de l’APSA 2011, disponible sur https://ssrn.com/abstract=1900150
« Essai d’introduction » de Strauss à Moïse Maïmonide, Le guide des perplexes, vol. 1, University of Chicago Press, 1963, p. xiv-xv. Sur l’ésotérisme de Strauss, lisez Nicholas Xenos, « Leo Strauss et la rhétorique de la guerre contre le terrorisme » . Selon Xenos, Strauss a appris de Maïmonide que les vrais philosophes « écrivaient pour au moins deux publics différents. A un auditoire s’adressait le sens dit exotérique de leurs textes, qui était le niveau édifiant et superficiel, tandis qu’à un autre auditoire s’adressait un sens ésotérique, qui est enchâssé dans le texte mais que seules certaines personnes sont capables de tirer. « 
Leo Strauss, « Sur une écriture oubliée », dans Qu’est-ce que la philosophie politique ? (1959), p. 221-222.
Interview de Drury en 2003 sur http://www.opendemocracy.net/en/article_1542jsp/
« Leo Strauss and the World of Intelligence (By Which We Do Not Mean Nous) », dans Kenneth L. Deutsch et John Albert Murley, éd., Leo Strauss, the Straussians, and the American Régime, Rowman & Littlefield, 1999.
Ashton Carter, John Deutch et Philip Zelikow, « Catastrophic terrorism: Tackling the new danger », Foreign Affairs, 77 (1998), p. 80.
Shadia Drury, Leo Strauss et la droite américaine, St. Martin’s Press, 1999, p. 23.
Extrait des pages 1 à 20 de The Truth about Leo Strauss, sur press.uchicago.edu/Misc/Chicago/993329.html
Cité dans David Hamilton Murdoch, The American West: The Invention of a Myth, Welsh Academic Press, 2001, p. 100.
Neal Gabler, Un empire à part : Comment les Juifs ont inventé Hollywood, Anchor, 1989.
Patrick J. Buchanan, « La guerre à qui ? Une clique néoconservatrice cherche à piéger notre pays dans une série de guerres qui ne sont pas dans l’intérêt de l’Amérique », The American Conservative, 24 mars 2003, sur https://www.theamericanconservative.com/articles/whose-war/
2003 interview de Drury sur www.opendemocracy.net/en/article_1542jsp/
La transcription complète est disponible ici : http://aireform.com/wp-content/uploads/200410..-The-Power-of-Nightmares-The-Rise-of-the-Politics-of-Fear-aall-three -épisodes-combinés-A.Curtis-53p.pdf
Leo Strauss, « Pourquoi restons-nous juifs : la foi et l’histoire juives peuvent-elles encore nous parler ? dans la philosophie juive et la crise de la modernité : essais et conférences dans la pensée juive moderne, éd. Kenneth Hart Green, State University of New York Press, 1997, pp. 311-356, en ligne ici . Un enregistrement audio est également accessible ici .
Isaac Kadmi-Cohen, Nomades : Essai sur l’âme juive, Félix Alcan, 1929 (archive.org), p. 143.
Drury, Leo Strauss et la droite américaine, op. cit., p. 56.
Leo Strauss, « L’État d’Israël », National Review, vol. 3, n°1, 5 janvier 1957, p. 23, cité dans Drury, Leo Strauss and the American Right, op. cit., p. 41.
Sidonia, à Coningsby de Benjamin Disraeli.
Leo Strauss, Réflexions sur Machiavelli, University of Chicago Press, 1995, pp. 10-13.
« What Machiavelli (A Secret Jew?) Learned from Moses », Jewish World Review, 7 juin 1999, sur www.jewishworldreview.com
Leon Pinsker, Auto-Emancipation: An Appeal to His People by a Russian Jew (1882) , sur http://www.jewishvirtuallibrary.org/jsource/Zionism/pinsker.html .
David Ben Gourion et Amram Ducovny, David Ben Gourion, Dans ses propres mots , Fleet Press Corp., 1969, p. 116.
Dan Kurzman, Ben Gourion, Prophète du feu , Pierre de touche, 1983, p. 26.

Source : 9/11 Was a Straussian Coup


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Histoire et numismatique: le 8 avril 217 …la mort de Caracalla

 

Son père, l’empereur romain Septime Sévère, a initié la dynastie Severan, une dynastie d’empereurs militaires. Le nom de naissance de Caracalla était Septimius Severus Bassianus, mais est devenu connu par l’agnomen Caracalla parce qu’après les guerres du Danube, il a commencé à porter une tunique gauloise à capuche appelée «caracallus».

Septime Sévère a régné sur Rome pendant 18 ans avec une poigne de fer et a décidé de partager le pouvoir entre ses deux fils, Geta et Caracalla, ce qui s’est avéré être une énorme erreur, étant à la fois corrompu et maléfique. Caracalla a finalement tué Geta en février 212 et a inventé une histoire dans laquelle une bande d’assassins a réussi à se rendre dans les quartiers de Geta et il avait essayé de le défendre héroïquement mais a finalement été vaincu et son frère tué. Bien sûr, personne ne le croyait, mais comme il était désormais le seul empereur, personne ne pouvait rien lui faire. Caracalla était si méchant, il a fait croire à tout le monde que son frère corrompu Geta était bon. Sa mère, Julia Domna, détestait Caracalla pour avoir tué son fils préféré.

Caracalla était un membre de la dynastie Severan, le fils du fondateur et empereur romain Septime Sévère. Caracalla est probablement le plus connu pour sa haine et son dédain envers son jeune frère Geta. Cette aversion était si forte qu’il fit tuer Geta par des centurions dans les bras de sa mère Julia Domna. Il a ensuite effacé littéralement l’existence de Geta des archives historiques. Il a promulgué une damnatio memoriae dans laquelle l’image de Geta a été détruite allant des statues aux pièces de monnaie.

 

Caracalla n’a pas vécu beaucoup plus longtemps que son frère mourant à l’âge de 29 ans. Sa plus grande contribution au peuple romain a été la Constitution Antonine, mieux connue sous le nom de Caracalla Edict de 212 qui a permis la citoyenneté romaine à presque tous les hommes libres de l’Empire romain. . D’autres réalisations notables ont été la construction des célèbres thermes de Caracalla, ainsi que l’introduction d’une nouvelle dénomination, l’Antoninianus, qui pesait environ un double denier.

 

Caracalla, connaissant cette haine qui l’entourait, a commencé à tuer les amis, les partisans, la famille et même les animaux de compagnie de son frère afin d’effacer toute trace de sa lignée. Ceci, bien sûr, ne fit qu’accroître l’aversion et grandir autour de lui, alors il quitta Rome avec l’excuse de visiter tous ses domaines.

Quand il est arrivé à Alexandrie voulant visiter la tombe d’Alexandre, les citoyens de la ville l’ont reçu avec de grandes attentes, car ils voulaient le voir en personne. Caracalla est devenue petite et chauve, portant une perruque blonde, rien à voir avec les sculptures idéalisées qui avaient été distribuées dans la ville pendant son règne. Cela a provoqué un éclat de rire parmi la population et Caracalla a ordonné à ses légions de massacrer et de raser toute la ville.

Ces actes ont entraîné une détérioration lente du pouvoir de Caracalla. Parmi sa garde prétorale, Macrin (préfet de la garde) était constamment ridiculisé et méprisé par l’empereur, et se lassait de ces fautes continues.

Lors d’un voyage pour visiter un temple près de Carrhae dans la province d’Anatolie (aujourd’hui la Turquie), Caracalla a été approché par un soldat, dont le frère avait été exécuté par l’empereur sans justification, et après avoir parlé avec Macrin, a poignardé l’empereur à mort.

Macrin se proclama empereur trois jours plus tard avec le soutien de l’armée.


MONNAIES RELATIVES AUX ÉVÉNEMENTS

 

Caracalla (198-217 après JC), avec Septime Sévère et Julia Domna, aureus d’or. Mint of Rome, AD 202. ANTON P AVG PON TR PV COS, buste lauré, drapé et cuirassé face à droite, rév. CONCORDIAE AETERNAE, bustes conjoints de Septime Sévère, rayonnants et drapés, et Julia Domna, diadémés et drapés, sur un croissant, tournés vers la droite, 7,34 g., 6h (RIC 59a; Calicó 2850; C 2). Quelques légères marques sur le bord, trois excellents portraits, à propos extrêmement fins et très rares, dalle et notés par NGC Ch AU Strike 5/5 Surface 2/5.Valeur de $103,500 can.

 

 

 

 

 

 

 

 


Monnaie, Septime Sévère, Aureus, 202-210, Roma«  Or, RIC: 278a
SEVERVS PIVS AVG Buste lauré de Septime Sévère à droite
LIBERA LI TAS AVG VI La Libéralité debout à gauche, tenant un abacus et une corne d’abondance.Valeur  de $25,000 can.

 

 

 

 

 

 

 

 


Caracalla. 205-207 AD. Laodicea ad Mare. AR Tetradrachm
Caracalla. 205-207 AD. Laodicée ad Mare. Tétradrachme AR, 12,34 g (28 mm, 12 h). AVT KAI ΑΝΤΩΝΕΙΝΟC C, buste lauré, drapé et cuirassé à droite / .ΔΗΜΑΡΧ ΕΞ VΠATOC B, aigle debout face, tête droite, ailes déployées; étoile entre les jambes.
Pedigree: Collection Ex Michel Prieur. Ex Robert Gait Coll, Auctiones AG 15, 18 sept 1985, lot 379. Ex M&M AG, FPL 279, août 1967, no. 42. Publié dans Revus Belge de Numismatique in MN 29 (1984)
Références: Prieur & Amandry Groupe I, 9 (cette pièce, illustrée au pl. XIV); McAlee, Severan, Groupe I, 5 (cette pièce); Prieur 1130
Grade: Argent plus brillant grâce au nettoyage professionnel. Magnifique frappe et bien centrée. FDC
Prix: 5500 $

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 


Caracalla. 198-217 AD. Rome, c. 216. AR Denarius.Valeur de $315

 

 

 

 

 

 

 

 


Geta, 209 – 212 AD, Tetrassarion of Tomis, Rare & Inédite
Geta, 209 – 212 AD
AE Tetrassarion, Moesia Inferior, Tomis Mint, 29 mm, 12,05 grammes
Avers: Tête lauréate de Geta à droite.
Revers: Hommonia debout à gauche tenant la patera sur l’autel éclairé et la corne d’abondance, D dans le champ gauche.
Varbanov 5088-92 var.
Comme Varbanov mais une légende avers différente et pas de kalathos sur Hommonia. Aucun exemple dans le dossier de vente. Inédit et peut-être unique.Valeur de $188.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 


 

Denier d’argent  de Julia Domna 194-217 AD., Vénus Genetrix assis, Cupidon sur son genou, extrêmement bien, RIC IV 389b
Règne
Julia Domna Augusta 194-217 AD., Épouse de Septime Sévère
Dénomination
AR Denarius
Date de frappe
215-217 AD., ( Sous Caracalla )
menthe
Rome
Face
IVLIA PIA FELIX AVG , buste drapé à droite
Sens inverse
VENVS GENETRIX, Vénus Genetrix assise à gauche, tenant la pomme et le sceptre , devant elle, Cupidon debout à droite, sa main sur son genou
Poids
2,53 grammes
Diamètre
20/19 millimètre
Référence
RIC IV 389b ( Caracalla ); RSC 205
Noter
Surfaces extrêmement fines et brillantes
commentaires
Julia Domna était une mère de Caracalla et Geta .Valeur de $350 env

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 


Macrinus SESTERTIUS 217 AD PONTIF MAX TR PPPSC RARE
Empire romain germanique (anciens Monnaies impériales romaines) / RÖMISCHE KAISERZEIT (Kaiserliche Prägungen / RÖMISCHE MÜNZEN KAISERREICH) / Римская империя (Rimskaïa imperiya) / Romeinse Keizerrijk / Imperio Romano / Empire Romain / Impero Romano , Macrinus / Marcus Opellius Macrinus / Марк Опеллий Макрин / Marco Opelio Macrino / Macrin / MACRINO, 217-218 AD, ORICHALCUM SESTERTIUS / SESTERCE / SESTERZ / Сестерций (sestertsiy) / Sestertie / SESTERCIO / SESTERZIO , Numéro : 217 AD, D / IMP CAES M OPEL SEV MACRINVS AVG, busto laureato con corazza a destra (buste lauré et cuirassé r.), R / PONTIF MAX TR PPP, SC, la Fides stante di fronte volta a destra tra due insegne poggia il piede destro su di un elmo ( Fides debout face, tête droite, tenant deux signa), Zecca di Roma / Mint of Rome (Rom / Рим / Rim) , Rif. bibl. / Références : RIC, 141 / S; Cohen, 61 ans; Métal : AE / Bronze / Бронза / Brons / Bronce / Bronzo, Poids : gr . 21,93 , (MR7881), Diam . Mm . 32,03 , QSPL / près de EF , (R )Valeur de $5,530 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 


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Réseau pédophile de l’Élite Mondiale:voici 3 vidéos sécurisées sur notre site mettant en vedette Joe Biden

Première vidéo:

Joe Biden dit qu’il veut voir des filles danser quand elles auront 4 ans de plus

Dans une autre déclaration étrange, Joe Biden a dit à certaines filles qu’il voulait les voir danser quand elles auront 4 ans de plus.

“La bonne nouvelle pour moi, c’est que je suis là”, a déclaré Joe Biden à certaines de ses victimes à Miami lundi. “La mauvaise nouvelle pour vous, c’est que je reviens. Et je veux voir ces belles jeunes filles, je veux les voir danser quand elles auront quatre ans de plus”.


Deuxième vidéo:

UNE COMPILATION D’ATTOUCHEMENTS DE JOE BIDEN SUR DE JEUNES FILLES

 

Il semble que Biden ait un souci, probablement à cause de divers rituels auxquels il participe et qui impliquent la danse de petits enfants.

Quoi que vous pensiez de cela, vous devez penser au fait que cet homme touche constamment des enfants.

Les Etats-Unis sont évidemment dirigés par des dégénérés.

 


TROISIÈME VIDÉO:

LES PIRES GAFFES DE TOUS LES TEMPS COMISES PAR JOE BIDEN

 

Comment peut on être assez imbéciles pour élire un pareil danger public?

 

 

 

 

Le peuple algérien se réveille et remet en jeu le système capitaliste fortement touché

L’ALGÉRIE SE LIBÈRE SOUS NOS YEUX!

VIVE LE PEUPLE ALGÉRIEN!

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La situation politique qui prévaut actuellement en Algérie a sérieusement impacté les entreprises françaises qui n’arrivent visiblement pas à faire fructifier leurs affaires, selon l’hebdomadaire français L’Express qui a consacré un dossier de 14 pages à l’Algérie. Le silence règne partout, y compris chez les fleurons français qui ont pignon sur rue à Alger, dont le Medef qui a observé “un silence gêné” après une demande d’interview formulée par cet hebdomadaire.

Idem dans les états-majors des grands groupes français qui se sont donné “un seul mot d’ordre : la discrétion”, indique encore la même source, affirmant qu’“il n’y a pas que sur le terrain de la géopolitique que les relations entre les deux pays sont minées. Sur le front du business aussi, le climat est tendu”. Selon Ruben Nizard, économiste de la Coface, “en une quinzaine d’années, la part des produits français dans le total des importations algériennes a été divisée par deux, tombant à moins de 10% l’an passé contre près de 25% en 2004”.
Autrement dit, analyse-t-il encore, derrière les annonces fracassantes, les investissements français en Algérie ont fondu. Interrogé par ce magazine, un haut dirigeant d’un fleuron français, ayant pignon sur rue à Alger, a répondu : “Il n’est pas question que le nom de l’entreprise apparaisse dans un dossier sur l’Algérie.” Tétanisées par la perte des parts de marché, les entreprises françaises se plaignent du climat des affaires qui prévaut en Algérie et évoquent “la froideur des statistiques qui racontent une autre histoire”. Le magazine cite les exemples de Renault et de PSA qui ont construit des unités d’assemblage de voitures, qu’il qualifie d’“usines tournevis”, et la même source évoque Alstom et la fabrication du matériel ferroviaire. “Le gouvernement a imposé que les trams qui sortent de notre usine intègrent 30% de pièces fabriquées localement”, a expliqué Raphaël Bernardelli, le responsable Afrique de l’entreprise. Ce dernier déplore que les sous-traitants locaux ne soient pas au rendez-vous. Une situation que le président de la Chambre de commerce franco-algérienne, Michel Bisac, qualifie de cauchemardesque. “Ce cauchemar administratif a fait fuir bon nombre de PME”, a reconnu M. Bisac. Mais pour l’hebdomadaire, la corruption constitue le frein majeur dans le traitement des affaires et le partenariat. “À cela s’ajoute une corruption endémique, notamment pour toutes les commandes publiques. Alors que les règles d’éthique se sont durcies dans les grands groupes français, les Bouygues, Vinci ou Bolloré ont quitté le pays”, relève-t-il. Ce magazine révélera que “Vinci aurait même refusé de s’aligner récemment sur un appel d’offres pour la construction de gazoducs.

De fait, tous les grands chantiers d’infrastructures (ports, autoroutes, aéroports) sont trustés par des groupes chinois, plus compétitifs et surtout bien moins regardants sur l’origine des fonds ou les conditions de travail des salariés”. La même source regrette que l’ex-président du FCE, Ali Haddad—qu’il cite par ailleurs—soit “l’interlocuteur préféré des patrons français (…) Il y a mieux comme carte de visite. Il reste que les intérêts économiques entre les deux pays sont considérables”. En revanche, rapporte cet hebdomadaire, “dans l’autre sens, près de 400 entreprises françaises regroupent près de 40 000 salariés en Algérie, faisant de la France le premier employeur privé étranger du pays (…). Quant au géant de la pharmacie, Sanofi, il a annoncé cet automne la construction à Sidi Abdallah de la plus grosse usine de fabrication de médicaments d’Afrique. Montant du projet : 85 millions d’euros”. Tout en déplorant “un protectionnisme ravageur” (règle 51/49, ndlr), l’interdiction d’importation de milliers de produits étrangers et l’instauration de droits de douane prohibitifs, cet hebdomadaire conclut : “Seule solution : plier bagage ou fabriquer sur place.”


L’Algérie, un pays marqué par les crises politiques depuis son indépendance

En Algérie, le climat politique pourrait changer après la démission du président Abdelaziz Bouteflika. Son départ, provoqué par la pression de la rue algérienne, pourrait clore une longue période de crise qui, comme le soulignent nos archives, a commencé pratiquement dès l’indépendance du pays en 1962.

Car si l’Algérie est sortie du joug colonial français en 1962, c’est pour retomber presque immédiatement dans les griffes d’une « clique militaire corrompue ».

Peu après l’indépendance algérienne, le pouvoir est confisqué par un clan qui dirige le pays comme si c’était sa propriété privée.

L’incompétence de cette clique fait sombrer l’économie alors que l’Algérie possède pourtant d’immenses ressources naturelles et humaines.

Pour le peuple algérien, à la misère matérielle s’ajoutent bientôt la guerre civile et la terreur provoquée par l’État et des milices islamistes.

En 1990 et en 1991, les élections municipales et législatives sont remportées par le Front islamique du salut.

Plutôt que de leur céder la place, « le Pouvoir », comme appellent les Algériens le régime, préfère voir le pays s’enfoncer dans une vague de violence et de terrorisme.

Cette flambée de fureur, qui durera presque une décennie, provoquera la mort de 60 000 à 200 000 Algériens, auxquels s’ajoutent des milliers de disparus et près d’un million de réfugiés.

Cet épisode dans l’histoire de l’Algérie a profondément traumatisé les Algériens. Le régime utilise la commotion pour justifier son maintien au pouvoir.

Le président Bouteflika, symbole d’un régime corrompu

Par sa trajectoire, en raison de ses politiques, l’ex-président Abdelaziz Bouteflika est un puissant symbole des tares du régime qui gouverne l’Algérie.

Sa première élection, le 16 avril 1999, fait l’objet d’un reportage de la journaliste Danielle Levasseur au Montréal ce soir qu’anime Christine Fournier.

Élu avec 74 % des voix lors d’un scrutin que ses opposants qualifient de frauduleux et qu’ils boycottent, Abdelaziz Bouteflika promet de revitaliser l’économie et de combattre la corruption.

Du même souffle, il fait cette déclaration surprenante.

Je donnerais des garanties internationales, même à l’argent illicite, s’il devait créer des emplois, faire faire à l’Algérie une épargne de devise.

 Le président Abdelaziz Bouteflika

Pouvait-on croire à la lumière de cette annonce que l’éthique serait placée au cœur du mandat du nouveau président? On peut en douter.

Les milliers d’Algériens qui manifestaient contre l’élection d’Abdelaziz Bouteflika à cette époque-là ne s’illusionnaient guère sur cette question.

Un président muet

En 2011, dans la foulée des printemps arabes tunisien, égyptien et libyen, l’Algérie s’enflamme. Place du 1er-mai à Alger, 10 000 manifestants exigent que le président Bouteflika « dégage ».

La journaliste Émilie Dubreuil relate dans un reportage présenté au Téléjournal du 11 février 2011 qu’anime Pascale Nadeau le soulèvement dans la capitale algérienne.

Mais après quelques jours, l’Algérie retourne dans le silence.

Elle n’est pas la seule.

En 2013, le président Bouteflika est terrassé par un accident vasculaire cérébral.

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Cloué dans un fauteuil roulant, il disparaît de la scène publique. Cela ne l’empêche pas de se représenter pour un quatrième mandat en 2014.

Une nouvelle tentative de décrocher un cinquième mandat fait déborder le vase. La rue exige, et obtient, la démission présidentielle.

Le plus difficile reste maintenant à faire…et la jeunesse algérienne  vient de commencer le « travail »!

 

 

 

 

Facebook interdit officiellement le nationalisme blanc

Facebook commencera à interdire le contenu « nationaliste blanc ou séparatiste blanc » sur sa plate-forme à partir de la semaine prochaine, a annoncé mercredi le géant des médias sociaux.

 

 

Les responsables de Facebook ont ​​officiellement décidé d’interdire le « nationalisme blanc » et le « séparatisme blanc » sur la plate-forme appartenant à des Juifs lors d’une réunion de modération du contenu mardi, selon Motherboard.

La censure grandissante intervient un an après que Motherboard, un journal d’informations techniques, ait rapporté que l’idéologie de modération juive-libérale de Facebook avait permis le « nationalisme blanc et le séparatisme » sur la plate-forme, bien qu’elle interdisait une « suprématie blanche » explicite, alors qu’elle n’était jamais vraie.

Dans les documents de formation destinés aux modérateurs de l’année dernière, Facebook a écrit que le nationalisme blanc « ne semble pas toujours être associé au racisme (du moins de manière non explicite) », ce qui entraîne des réactions immédiates de la part de groupes de défense des droits civiques et d’experts alors nationalisme. 

Brian Fishman, directeur de la politique de lutte contre le terrorisme chez Facebook, a déclaré à la carte mère cette semaine qu’après avoir discuté avec de nombreux experts, Facebook avait conclu que « le chevauchement entre le nationalisme blanc, le séparatisme [blanc] et la suprématie blanche est si vaste que nous distinction entre eux. « 

« Notre propre analyse des personnalités et des organisations haineuses – telle que définie par notre politique sur les personnes et organisations dangereuses – a en outre révélé le chevauchement entre nationalisme blanc, séparatisme et suprématie blanche », a déclaré Facebook dans le blog annonçant le changement. « À l’avenir, même si les gens pourront toujours faire preuve de fierté vis-à-vis de leur héritage ethnique, nous ne tolérerons ni les louanges ni le soutien du nationalisme blanc et du séparatisme. »

Des « experts » ont déclaré au géant des médias sociaux que le nationalisme blanc et le séparatisme blanc étaient liés à la violence, a déclaré Facebook.

Facebook va maintenant interdire les contenus qui « louent ou soutiennent le nationalisme blanc et le séparatisme ». Et lorsque les utilisateurs tentent de publier ou de rechercher des contenus nationalistes ou séparatistes blancs explicites, ils sont redirigés vers le site Web de Life After Hate, une organisation de défense des droits et d’assistance qui s’efforce d’aider les personnes à sortir des « groupes haineux ». Le groupe Life After Hate, parrainé par des juifs, a été fondé par des nationalistes blancs traîtres.

«Si les gens explorent ce mouvement, nous voulons les mettre en contact avec des personnes capables de fournir une assistance hors ligne», a déclaré Fishman à Motherboard. «C’est le genre de travail qui, à notre avis, fait partie d’un programme complet visant à mener ce type de mouvement.»

Fishman a déclaré que l’interdiction ne s’étendrait pas au « nationalisme blanc implicite ou codé et au séparatisme blanc », soulignant que ces messages sont plus difficiles à identifier et à supprimer, selon Motherboard.

 

 

De l’incendie de Notre-Dame et la destruction de l’Occident chrétien…J’accuse!

  • À peine une heure après que les flammes aient commencé à s’élever au-dessus de Notre-Dame – à un moment où personne ne pouvait donner aucune explication – les autorités françaises se sont empressées de dire que l’incendie était un « accident » et que « l’incendie criminel avait été exclu.  » Les propos ressemblaient à toutes les déclarations officielles du gouvernement français après les attentats perpétrés en France au cours de la dernière décennie.
  • L’incendie de Notre-Dame s’est également produit à un moment où les attaques contre des églises en France et en Europe se sont multipliées. Plus de 800 églises ont été attaquées en France rien qu’en 2018.
  • Les églises en France sont vides. Le nombre de prêtres est en baisse et les prêtres actifs en France sont soit très âgés, soit africains ou latino-américains. La religion dominante en France est maintenant l’islam. Chaque année, des églises sont démolies pour laisser la place à des parkings ou à des centres commerciaux. Des mosquées sont construites partout et elles sont pleines.
L’incendie qui a détruit une grande partie de la cathédrale Notre-Dame au cœur de Paris est une tragédie irréparable. Même si la cathédrale est reconstruite, elle ne sera plus jamais comme avant.

 

L’incendie qui a détruit une grande partie de la cathédrale Notre-Dame au cœur de Paris est une tragédie irréparable. Même si la cathédrale est reconstruite, elle ne sera plus jamais comme avant. Les vitraux et les principaux éléments architecturaux ont été gravement endommagés et la charpente en chêne totalement détruite . La flèche qui s’élevait de la cathédrale était une œuvre d’art unique. Il a été dessiné par l’architecte qui a restauré l’édifice au XIXe siècle, Eugène Viollet-le-Duc, qui avait fondé son travail sur des documents du XIIe siècle.

En plus de l’incendie, l’eau nécessaire pour éteindre les flammes a pénétré dans le calcaire des murs et de la façade et les a affaiblies , les rendant cassantes. La toiture est inexistante : la nef, le transept et le choeur sont maintenant en plein air, vulnérables aux intempéries. Ils ne peuvent même pas être protégés avant que la structure n’ait été examinée de manière approfondie, une tâche qui prendra des semaines. Trois éléments principaux de la structure (le pignon du transept nord, le pignon situé entre les deux tours et la voûte) sont également sur le point de s’effondrer.

Notre Dame a plus de 800 ans. Il a survécu aux turbulences du Moyen Âge, au règne de la terreur de la Révolution française, aux deux guerres mondiales et à l’occupation nazie de Paris. Il n’a pas survécu à ce que devient la France au 21 èmesiècle.

 

La cause de l’incendie a jusqu’à présent été attribuée à  » un accident « ,  » un court-circuit  » et, plus récemment, à  » un problème informatique « .

Si l’incendie était vraiment un accident, il est presque impossible d’expliquer comment il a commencé. Benjamin Mouton, ancien architecte en chef de Notre-Dame, a expliqué que les règles étaient exceptionnellement strictes et qu’aucun câble ou appareil électrique ni aucune source de chaleur ne pouvaient être placés dans le grenier. Il a ajouté qu’un système d’alarme extrêmement sophistiqué était en place. La société qui a installé l’échafaudage n’a pas utilisé de soudure et s’est spécialisée dans ce type de travail. L’incendie s’est déclaré plus d’une heure après le départ des travailleurs et aucun d’entre eux n’était présent. Il s’est propagé si rapidement que les pompiers qui se sont précipités sur les lieux dès qu’ils ont pu y arriver ont été choqués . Rémi Fromont, l’architecte en chef des monuments historiques français a déclaré: « L’incendie ne peut pas partir de l’élément où il a commencé. Une véritable charge calorifique est nécessaire pour déclencher un tel désastre ».

Une enquête longue, difficile et complexe sera menée.

La possibilité que l’incendie soit le résultat d’un incendie criminel ne peut être écartée. À peine une heure après que les flammes aient commencé à s’élever au-dessus de Notre-Dame – à un moment où personne ne pouvait donner aucune explication – les autorités françaises se sont empressées de dire que l’incendie était un « accident » et que « l’incendie criminel avait été exclu .  » Les propos ressemblaient à toutes les déclarations officielles du gouvernement français après les attentats perpétrés en France au cours de la dernière décennie.

En novembre 2015, le soir du massacre au théâtre Bataclan à Paris, au cours duquel des djihadistes ont assassiné 90 personnes, le ministère français de l’Intérieur a déclaré que le gouvernement ne savait rien , si ce n’est qu’une fusillade s’était produite. La vérité a été révélée seulement après que l’Etat islamique a revendiqué la responsabilité du massacre.

À Nice, après l’attaque d’un camion en juillet 2016, le gouvernement français a insisté pendant plusieurs jours pour que le terroriste qui a écrasé 86 personnes à mort soit un  » homme souffrant de dépression nerveuse « .

En 2018, le meurtrier de Sarah Halimi, qui avait récité des versets du Coran tout en torturant sa victime, a été déclaré « perturbé mentalement » et placé en détention dans un établissement psychiatrique immédiatement après son arrestation. Il ne sera probablement jamais devant un tribunal. Le 8 avril, Alain Finkielkraut et 38 autres intellectuels ont publié un texte disant que son meurtrier ne devait pas échapper à la justice. Le texte n’a eu aucun effet.

L’incendie de Notre-Dame a eu lieu moins de trois ans après qu’une « unité commando » composée de femmes djihadistes, plus tard arrêtée, ait tenté de détruire la cathédrale en faisant exploser des bouteilles de gaz naturel. Trois jours avant l’incendie de la semaine dernière, le 12 avril, la chef des djihadistes, Ines Madani, une jeune française convertie à l’islam, a été condamnée à huit ans de prison pour avoir créé un groupe terroriste affilié à l’État islamique.

L’incendie de Notre-Dame s’est également produit à un moment où les attaques contre des églises en France et en Europe se sont multipliées. Plus de 800 églises ont été attaquées en France rien qu’en 2018. Beaucoup ont subi de graves dégâts : bris, statues décapitées, tabernacles brisés, excréments jetés aux murs. Dans plusieurs églises, des feux ont été allumés. Le 5 mars, la basilique Saint-Denis, où sont enterrés tous les rois de France, sauf trois, a été vandalisée par un réfugié pakistanais. Plusieurs vitraux ont été brisés et l’orgue de la basilique, trésor national construit entre 1834 et 1841, a failli être détruit. Douze jours plus tard, le 17 mars, un incendiea éclaté à Saint Sulpice, la plus grande église de Paris, causant de graves dommages. Après des jours de silence, la police a finalement admis que la cause était un incendie criminel .

Pendant des mois, des organisations djihadistes ont publié des déclarations appelant à la destruction d’églises et de monuments chrétiens en Europe. Notre Dame a été nommée à plusieurs reprises comme cible principale. Malgré tout, la cathédrale n’était pas suffisamment protégée. Un couple de jeunes hommes, entrés de nuit dans la cathédrale, ont grimpé sur le toit en novembre dernier et ont tourné une vidéo qu’ils ont ensuite diffusée sur YouTube.

De nombreux messages ont été postés par des personnes portant des noms musulmans sur les médias sociaux – Twitter, Facebook, le site Web d’Al Jazeera – exprimant la joie de voir détruit un symbole chrétien important. Hafsa Askar , une migrante marocaine et vice-présidente de l’Union nationale des étudiants de France (UNEF), la principale organisation étudiante de France, a publié un tweet qui disait: « Les gens pleurent sur de petits morceaux de bois … c’est une illusion. des déchets blancs « .

Le président français Emmanuel Macron, qui n’avait jamais mentionné les attentats de Saint-Denis ou de Saint-Sulpice, s’est rapidement rendu à Notre-Dame et a déclaré : « Notre-Dame est notre histoire, notre littérature, notre imagination ». Il a totalement laissé de côté la dimension religieuse de la cathédrale.

Le lendemain soir, il a déclaré que Notre-Dame serait reconstruite dans cinq ans: c’était une déclaration audacieuse. De nombreux commentateurs ont interprété ses paroles comme dictées par sa volonté désespérée d’essayer de regagner la confiance des Français après cinq mois de manifestations, d’émeutes et de destructions résultant de son inefficacité à gérer le soulèvement des « Gilets jaunes ». (Le 16 mars, une grande partie des Champs-Élysées a été endommagée par des émeutiers ; les réparations ont à peine commencé.) Tous les experts s’accordent pour dire qu’il faudra presque certainement plus de cinq ans pour reconstruire Notre Dame.

Macron a étrangement ajouté que la cathédrale serait  » plus belle  » qu’avant – comme si un monument gravement endommagé pourrait être plus beau après sa restauration. Macron a poursuivi en disant que la reconstruction serait un « geste architectural contemporain ». La remarque a suscité l’ inquiétude , voire la panique, des défenseurs des monuments historiques, qui craignent maintenant qu’il veuille ajouter des éléments architecturaux modernes à un joyau de l’architecture gothique. Encore une fois, il a totalement laissé de côté la dimension religieuse de la cathédrale.

L’attitude de Macron n’est pas surprenante. Depuis qu’il est devenu président, il s’est tenu à l’ écart de toute cérémonie chrétienne. La plupart des présidents qui l’ont précédé ont fait de même. La France est un pays où règne une laïcité dogmatique . Un leader politique qui ose se dire chrétien est immédiatement critiqué par les médias et ne peut que nuire à une carrière politique naissante. Nathalie Loiseau – ancienne directrice de l’École nationale d’administration de France et principale candidate sur la liste électorale du parti de Macron, « Republic on the Move », aux élections européennes de mai 2019 – a récemment été photographiée en train de sortir d’une église après la messe, ce qui a conduit à un débat dans les médias sur la question de savoir si sa présence à l’église était un « problème ».

Les résultats de la laïcité française sont visibles. Le christianisme a été presque complètement éliminé de la vie publique. Les églises sont vides . Le nombre de prêtres est en baisse et les prêtres actifs en France sont soit très âgés, soit africainsou latino-américains. La religion dominante en France est maintenant l’ islam . Chaque année, des églises sont démolies pour laisser la place à des parkings ou à des centres commerciaux. Des mosquées sont construites partout et elles sont pleines . Des imams radicaux prosélytent . L’assassinat, il y a trois ans, de Jacques Hamel, un prêtre âgé de 85 ans qui a été massacré par deux islamistes alors qu’il disait la messe dans une église où seulement cinq personnes (dont trois vieilles religieuses) étaient présentes, raconte.

En 1905, le parlement français adopta une loi décrivant la confiscation de tous les biens de l’Église catholique en France . Les églises et les cathédrales sont devenues la propriété de l’État. Depuis lors, les gouvernements successifs ont dépensé peu d’argent pour les entretenir. Les églises qui n’ont pas été vandalisées sont en mauvais état et la plupart des cathédrales sont également en mauvais état. Même avant l’incendie dévastateur, l’archidiocèse de Paris a déclaré qu’il « ne peut pas se permettre toutes les réparations » dont Notre Dame a besoin « , estimées à 185 millions de dollars ». Selon CBS News, dans un rapport du 20 mars 2018:

« Le gouvernement français, propriétaire de la cathédrale, a promis environ 50 millions de dollars au cours de la prochaine décennie, laissant une facture de 135 millions de dollars. donateurs en France et outre-Atlantique.

« Nous savons que les Américains sont riches, alors nous allons dans les endroits où nous pensons pouvoir trouver de l’argent pour aider à la restauration de la cathédrale », a déclaré Picaud.

Le soir de l’incendie de Notre-Dame, des centaines de Français se sont rassemblés devant la cathédrale en flammes pour chanter des psaumes et prier. Ils semblèrent soudain comprendre qu’ils perdaient quelque chose de précieux.

Après l’incendie, le gouvernement français a décidé de commencer à collecter des dons de particuliers, d’entreprises et d’organisations pour la reconstruction. plus d’un milliard d’euros ont été dépensés. Les milliardaires français ont promis de débourser de grosses sommes: la famille Pinault (les principaux propriétaires du conglomérat de distribution Kering) a promis 100 millions d’euros, la famille Arnault (les propriétaires de LVMH, la plus grande société de luxe du monde ), 200 millions d’euros, la famille Bettencourt (propriétaires de l’Oréal), elle aussi 200 millions. Beaucoup de « partis » français ont immédiatement déclaré que les familles riches avaient trop d’argent et que ces millions seraient mieux utilisés pour aider les pauvres que pour prendre soin de vieilles pierres.

Dans un avenir prévisible, le cœur de Paris portera les terribles cicatrices d’un incendie qui a dévasté bien plus qu’une cathédrale. Le feu a détruit une partie essentielle de ce qui reste de l’âme presque perdue de la France et de ce que la France pourrait accomplir lorsque les Français croyaient en quelque chose de plus grand que leur existence quotidienne.

Certains espèrent que la vue de la cathédrale détruite incitera de nombreux Français à suivre l’exemple de ceux qui ont prié le soir de la catastrophe. Michel Aupetit, archevêque de Paris, a déclaré le 17 avril, deux jours après l’incendie, qu’il était convaincu que la France connaîtrait un « réveil spirituel ».

D’autres, moins optimistes, voient dans les cendres de la cathédrale un symbole de la destruction du christianisme en France. L’historien de l’art, Jean Clair, a déclaréqu’il voyait dans la destruction de Notre-Dame un signe supplémentaire d’une « décadence irréversible » de la France et de l’effondrement final des racines judéo-chrétiennes de l’Europe.

Un éditorialiste américain, Dennis Prager, a écrit :

« Le symbolisme de l’incendie de la cathédrale Notre-Dame, l’édifice le plus renommé de la civilisation occidentale, symbole emblématique de la chrétienté occidentale, est difficile à manquer.

« C’est comme si Dieu lui-même voulait nous avertir de la manière la plus évidente que le christianisme occidental soit en feu – et avec lui la civilisation occidentale. »

Un autre auteur américain, Rod Dreher, a déclaré :

« Cette catastrophe à Paris aujourd’hui est un signe pour nous tous, chrétiens, et un signe pour tous les peuples de l’Ouest, en particulier ceux qui méprisent la civilisation qui a construit ce grand temple pour son dieu sur une île de la Seine où les rites religieux ont été célébrée depuis les jours de la Rome païenne. C’est un signe de ce que nous perdons et de ce que nous ne récupérerons pas si nous ne changeons pas de cap maintenant. « 

Pour le moment, rien n’indique que la France et l’Europe occidentale vont changer de cap.


AU QUÉBEC

 

 

L’égise des Patriotes ,à St-Eustache est un monument historique formidable pour les nationaliste québécois.
C’est ici , le 14 décembre 1838 que les Patriotes se réfugièrent devant l’assaut de l’armée britannique supérieure en hommes et en armes.
Voici l’impact d’un boulet de canon britannique sur la façade de l’égise de St-Eustache.
Les cicatrices de l’église rappellent la véritable histoire du Québec:celle ou à une époque ,les Patriotes avaient une colonne vertébrale et du courage!
Peinture rappelant l’événement…Nous voyons l’église à l’arrière-plan.
En 2019,les citoyens doivent se battre encore contre les autorités politique afin de sauvegarder cette majestueuse église située au centre d’une communauté francophone et fière d’être québécoise.

 

Au Québec,nous avons remarqué qu’un nombre croissant d’églises sont menacées de destruction ou de changement de vocation!Au Québec,au fil des ans de nombreuses églises et édifices religieux catholiques sont devenus des condominiums à appartements,ont été démolis ou pire,sont devenus des mosquées ou lieux de cultes sectaires.Peu d’efforts sont  fait pour préserver notre patrimoine culturel  religieux.C’est devenu raciste que de dire que nous sommes chrétiens:ce n’est plus à la mode que de dire que nous sommes spirituels ou religieux,mais athées…oui!Le Québec est devenu un bûcher ou brûle l’héritage français de notre jeunesse en Amérique!La gauche bolchevique du parti Québec Solidaire préfère défendre les islamistes,les femmes voilées et Addil Charkaoui dans sa mosquée du centre-ville de Montréal!

Triste époque que la nôtre,pour paraphraser Maurice Druon!

Adil Charkaoui

 

Le logo de l’État Islamique apparut au dessus de la mosquée de Montréal en…2014!