Selon Betty McCollum, membre du Congrès: «L’AIPAC est un groupe haineux»

La puissante commission américaine des affaires publiques israélienne (AIPAC) a tenté de convaincre les Américains qu’une membre du Congrès humanitaire, Betty McCollum du Minnesota, est «pire que l’État islamique» à cause de son projet de loi pour protéger les enfants palestiniens. Des responsables de l’AIPAC ont fait l’objet d’une enquête pour espionnage au nom et au profit d’Israël. L’AIPAC œuvre depuis longtemps pour le seul bénéfice du gouvernement israélien et au détriment du contribuable américain.

 

La représentante BETTY MCCOLLUM (D-MN) a qualifié l’American Israel Public Affairs Committee (AIPAC) de «groupe de haine» après avoir placé des publicités sur Facebook, diffamatoires et insultants disant que McCollum et d’autres membres du Congrès qui ont défendu les droits des Palestiniens étaient pires que le groupe terroriste ISIS.

McCollum a déclaré: «en tant que membre du Congrès et vice-président du Sous-comité des crédits de défense de la Chambre, je pense que la défense des droits de l’homme et de la liberté est fondamentale pour la sécurité internationale et pour notre démocratie. La lutte pour la promotion de la dignité humaine se traduit inévitablement par la confrontation à des forces enracinées déterminées à déshumaniser, rabaisser et diaboliser des individus ou même des populations entières pour maintenir la domination et un statu quo injuste. La haine est utilisée comme une arme pour inciter et faire taire la dissidence. Malheureusement, c’est mon expérience avec l’AIPAC. »

En expliquant pourquoi il ne participait pas à la conférence AIPAC de cette année, le sénateur Bernie Sanders a déclaré: «Le peuple israélien a le droit de vivre en paix et en sécurité. Le peuple palestinien aussi. Je suis préoccupé par la plate-forme que l’AIPAC offre aux dirigeants qui expriment le fanatisme et s’opposent aux droits palestiniens fondamentaux. »

Dans une colonne intitulée «L’AIPAC donne raison à Sanders », la chroniqueuse du Washington Post Dana Milbank écrit: «L’AIPAC et Netanyahou semblaient déterminés à prouver le point de Sanders. Alors que la conférence s’ouvrait… Netanyahu, s’adressant au groupe par satellite… a tourné en dérision les Palestiniens comme «les enfants choyés de la communauté internationale». Le public de l’AIPAC a applaudi…. Netanyahu a déclaré à l’AIPAC qu’il allait de l’avant avec des plans d’annexion du territoire palestinien. Cette décision rendrait la solution à deux États tant recherchée, presque impossible. »

Dans ce que beaucoup considéraient comme un effort direct pour influencer l’élection présidentielle américaine, l’ambassadeur d’Israël aux Nations Unies, Danny Danon, a déclaré: «Nous ne voulons pas de Sanders à l’AIPAC. Nous ne voulons pas de lui en Israël. Quiconque qualifie notre premier ministre de raciste est soit un menteur, soit un idiot ignorant, soit les deux. »

Même Netanyahou considérerait l’AIPAC comme un autre groupe d’intérêt américain de droite. « Nous n’avons plus besoin de l’AIPAC« , aurait déclaré Netanyahou à l’un de ses conseillers. «Nous avons suffisamment de soutien chez les évangéliques aux États-Unis. Je renoncerais volontiers à l’AIPAC si nous n’avions pas besoin de contrer J Street », un groupe libéral pro-israélien.

Écrivant dans The Forward, Batya Ungar-Sargon, dans un article intitulé «Comment l’AIPAC a prouvé que Bernie a raison», note: «Je n’avais jamais été dans la même pièce qu’une personne qui avait défendu le génocide … jusqu’à la conférence politique de l’AIPAC. Des mots comme l’apartheid et le génocide et le nettoyage ethnique sont souvent jetés dans le contexte du conflit israélo-palestinien… Mais ce n’était pas un défenseur des crimes de guerre israéliens, réels ou imaginaires, qui était hébergé par l’AIPAC. C’était quelqu’un d’un tout autre contexte.

«En juillet 1995, 8000 musulmans ont été assassinés à Srebrenica dans ce que le Tribunal pénal international pour l’ex-Yougoslavie a qualifié de génocide. Sous le commandement de Ratko Mladić, une unité paramilitaire serbe a tué des milliers et des milliers… Aleksander Vučić était alors ministre de l’Information. Il a infligé des amendes aux journalistes qui s’opposaient au gouvernement et a interdit les chaînes de télévision étrangères. Les médias serbes qu’il a supervisés ont été accusés de justifier des atrocités et de diaboliser des minorités ethniques…. Vučić s’est réinventé… et est président de la Serbie depuis 2017… L’AIPAC a souhaité la bienvenue au président serbe pour s’adresser à ses 18 000 délégués. »

Au fil des ans, Il y a eu plusieurs appels demandant à inscrire l’AIPAC en tant qu’agent étranger. Dans les années 1970, le sénateur J.William Fulbright (D-AR), alors président de la commission sénatoriale des relations étrangères, a soutenu que cela devrait être fait, comme l’ont fait d’autres analystes de la politique étrangère et du renseignement des États-Unis.

En avril 2005, le directeur politique de l’AIPAC, Steven Rosen, et l’analyste principal de l’AIPAC sur l’Iran, Keith Weissman, ont été licenciés de l’AIPAC dans le cadre d’une enquête du FBI pour avoir transmis des informations classifiées de sécurité internationale à Israël. Ils ont ensuite été inculpés pour complot illégal de collecte et de divulgation d’informations confidentielles au profit d’Israël. L’AIPAC a accepté de payer les frais de justice pour la défense de Weissman, mais les charges ont finalement été abandonnées.

En mai 2005, le ministère de la Justice a annoncé que Lawrence Franklin, un colonel de réserve de l’US Air Force travaillant en tant qu’analyste du ministère de la Défense au Pentagone, avait été arrêté et accusé par le FBI de fournir des informations classifiées de défense internationale à Israël. La plainte pénale de 6 chefs d’accusation a identifié l’AIPAC par son nom. Franklin a plaidé coupable d’avoir remis des documents classifiés à l’AIPAC et à un responsable du gouvernement israélien. Il a été condamné à près de trois ans de prison.

Le commentateur juif respecté Peter Beinart a déclaré à propos de l’AIPAC: «En réalité, ils ne sont pas indépendants du gouvernement israélien. Lorsque Netanyahou s’est prononcé contre l’accord avec l’Iran, l’AIPAC n’avait pas le choix indépendant de le faire ou non. Il doit à peu près se prosterner devant le gouvernement israélien tout le temps. »

Selon la journaliste Connie Bruck, l’AIPAC a pu «apporter le soutien du Congrès» pour empêcher tout président qui veut négocier avec Israël d’utiliser les paquets d’aide militaire de plusieurs milliards de dollars qui vont chaque année en Israël comme levier pour faire passer cette dépense et emporter ce plus gros morceau de négociation.

L’AIPAC a contribué à faire d’Israël le plus grand bénéficiaire cumulatif de l’aide étrangère des États-Unis depuis la fin de la Seconde Guerre mondiale. Il reçoit désormais plus de 3,8 milliards de dollars d’aide par an. Grâce aux efforts de l’AIPAC, cette aide comprend de nombreuses dispositions qui ne sont pas disponibles pour les autres alliés américains.

Selon le Congressional Research Service, ces dispositions prévoient de fournir une aide «comme tous les transferts en espèces sous forme de dons, non destinés à des projets particuliers, et transférés sous forme de montant forfaitaire au cours du premier mois de l’exercice, plutôt qu’en versements. Israël est autorisé à dépenser environ un quart de l’aide militaire pour l’achat en Israël d’articles et de services de défense… plutôt qu’aux États-Unis. »

Source : 

Honest Congresswoman: ‘AIPAC a Hate Group, Should Register as Foreign Agent’ (Betty McCollum, D-MN)

Par Alan C. Brownfeld(If Americans Knew)

 

 

 

 

 

Nouvel Ordre Mondial:La guerre aux Blancs ou comment Exposer le plan du génocide blanc

Une discussion franche sur la guerre contre les Blancs et sur la manière dont les médias, les institutions et l’industrie de la musique font constamment passer le message que le génocide blanc est une évolution positive.

Ce message empoisonné justifie la violence anti-blanche et suggère que le monde serait mieux si tous ceux d’ascendance européenne avaient disparu. Cependant, ce message anti-blanc n’est pas seulement toxique, il est également basé sur des mensonges et de faux récits historiques.

 

http://www.youtube.com/watch?v=IDWIgJzmi0Y

 

 

 

 

 

Réécrire l’histoire:Le génocide « camouflé et oublié  » des Philippines: 3 millions de Philippins tués

 

Le génocide philippin est l’histoire du génocide oublié, vous trouverez dans les livres d’histoire la guerre philippino-américaine de 1899-1902, mais ils ne mentionnent pas le génocide perpétré par les États-Unis d’Amérique contre le peuple philippin.

J’ai découvert pour la première fois le génocide aux Philippines en 2009 et depuis lors, j’ai passé beaucoup de temps à le rechercher. J’en ai discuté avec beaucoup de gens, il semble que les Philippines ne soient pas informés du génocide et très peu d’entre eux ont même entendu parler du génocide aux Philippines.

Le fait qu’il ne soit pas enseigné et que peu de gens le sachent m’a fait me demander si cela s’était réellement passé. J’ai donc creusé beaucoup plus profondément et suis parvenu à la conclusion que cela s’est produit, mais au moment où les vainqueurs écrivent les livres d’histoire, ils ont essayé de le dissimuler parce que c’était tellement horrible,immoral et barbare.

La torture de l’eau

Les chiffres ne s’additionnent pas

Ce qui m’a amené à la conclusion que le génocide aux Philippines s’est réellement produit, ce sont les chiffres des livres d’histoire qui ne correspondent tout simplement pas. Les livres d’histoire écrits par les vainqueurs disent que quelque 200 000 à 300 000 personnes sont mortes au cours de cette période, ce qui est encore un chiffre considérable compte tenu du fait que la population philippine de l’époque ne dépassait pas 9 millions.

 

Une estimation de 200 000 à 300 000 morts ne peut tout simplement pas être correcte. Une histoire populaire des États-Unis (1980) cite 300 000 Philippins tués à Batangas seulement, ce qui prouve à lui seul que les chiffres sont faux, le néo-colonialisme américain de William Pomeroy (1970) cite 600 000

Ramassage des cranes durant le génocide philippin

à  ici à 1902 , qui a déclaré « nous avons estimé que nous avions tué un sixième de la population de la principale  de  quelque 600 000 personnes ».

E. Ahmed a écrit «La théorie et les sophismes de la contre-insurrection», The Nation, 2 août 1971. «La guerre coloniale la plus sanglante (en proportion de la population) jamais menée par un pouvoir blanc en Asie; cela a coûté la vie à 3 000 000 de Philippins. ”

Des prisonnier philippins.

Un des dernier  historienne philippine  qui a travaillé sur cette affaire, Luzviminda Francisco, a mené une enquête approfondie sur le génocide des Philippines et l’a documenté, elle est arrivée au chiffre de 1,4 million de Philippins morts. La fin d’une illusion (Londres, 1973). Cependant, cela ne couvrait que la période de 1899 à 1905, il ne couvrait pas les deux premières décennies de la domination coloniale américaine. À une époque où l’assassinat aurait pu ralentir mais où il était toujours temps de garder la population en ordre, cela n’inclut pas non plus les milliers de Musulmans philippins (Moros) qui ont été brutalement tués.

Chiffres du recensement et génocide aux Philippines

 

Les gens se demanderont souvent pourquoi les chiffres du recensement ne font pas apparaître une baisse de la population pour cette période.

Cela pourrait être dû à plusieurs raisons. Tout d’abord, je doute qu’aujourd’hui encore, les chiffres de la population des Philippines soient exacts, alors que de nombreuses personnes vivent isolées. Imaginez à quel point il aurait été difficile de calculer la population à la fin des années 1890 et au début des années 1900.

Le général philippin Gregorio del Pilar et ses troupes…vers 1898

Les méthodologies utilisées par les Espagnols et les Américains étaient également très différentes. Les Espagnols ont en général laissé les peuples Igorots, Aetas, Lumads et Moro seuls; il est donc peu probable qu’ils aient été inclus dans le recensement.

Vous devez également vous demander que si les chiffres du recensement américain indiquent une baisse de 1,4 million ou plus le publieraient-ils à la vue du monde?

Les vainqueurs de San Juan Hill en 1898

Je suppose cependant que les chiffres des États-Unis n’étaient qu’une hypothèse fondée sur les chiffres espagnols, car c’était en période de guerre et il aurait été presque impossible de collecter ces chiffres. Ou peut-être que les États-Unis se sont chargés de collecter les chiffres, mais plutôt que de se rendre dans des communautés hostiles qui les mettraient en danger, ils les ont inventés en utilisant le recensement espagnol comme guide.

Le massacre

Dans un article publié dans The Philadelphia Ledger en novembre 1901, leur correspondant de Manille écrivait: «La guerre actuelle n’est pas un engagement sans effusion de sang; nos hommes ont été implacables, ont tué pour exterminer des hommes, des femmes, des enfants, des prisonniers et des captifs, des insurgés actifs et des suspects parmi des garçons de dix ans, l’idée qui prévalait que le Philippin en tant que tel n’était guère plus qu’un chien…

« Nos soldats ont injecté de l’eau salée dans les hommes pour les faire parler et ont capturé des prisonniers qui ont levé  les mains hautes et se sont rendus pacifiquement. On les amena sur un pont  pour les abattre un par un, pour  les faire tomber dans l’eau et les faire flotter, afin de servir comme exemples pour ceux qui trouveront leurs cadavres chargés de balles. « 

Le major Littletown Waller est un officier de la marine américaine accusé d’avoir abattu 11 Philippins non armés sur Samar. Un autre officier de marine a décrit son témoignage.

« Le major a déclaré que le général Smith lui avait ordonné de tuer et de brûler, et que plus il tuerait et brûlerait, plus il serait content; que ce n’était pas le moment de faire des prisonniers et qu’il devait faire de Samar un désert hurlant. Le major Waller a demandé au général Smith de définir la limite d’âge pour le meurtre, et il a répondu «tout le monde qui a plus de dix ans».

Les Philippins n’avaient aucune chance face à la puissance de feu supérieure et écrasante des troupes américaines. Lors de la première bataille, l’ amiral Dewey tirait des obus de 500 livres alors qu’il naviguait le long de la rivière Pasig. Les corps des Philippins morts étaient si nombreux que les troupes américaines les utilisèrent comme mur de défense.

Mark Twain

L’écrivain Mark Twain, plus connu pour son livre «Les aventures de Tom Sawyer» a écrit:

«… J’ai vu que nous n’entendions pas libérer, mais assujettir le peuple philippin. nous sommes allés conquérir, pas racheter… et je suis donc anti-impérialiste. Je suis opposé à ce que l’aigle [américain] pose ses griffes sur un autre pays. « 

Le 15  Octobre 1900 Twain  écrivait au  New York Times:

« Nous avons pacifié des milliers d’habitants de l’île et les avons enterrés; détruit leurs champs; ils ont brûlé leurs villages et renvoyé leurs veuves et leurs orphelins; fourni le chagrin par l’exil à quelques dizaines de patriotes désagréables; soumis les dix millions restants par Assimilation bienveillante, qui est le nouveau nom pieux du mousquet; nous avons acquis des biens dans les trois cents concubines et autres esclaves de notre partenaire commercial, le sultan de Sulu, et avons hissé notre drapeau protecteur au-dessus de ce butin. Et donc, par ces providences de Dieu – et la phrase est celle du gouvernement, pas la mienne – nous sommes une puissance mondiale.  » – Mark Twain

Le racisme américain s’exprime dans cette caricature ou l’on suggère que la civilisation est arrivée.

Mark Twain a également parlé du racisme presque universel des troupes américaines blanches et des politiciens qu’il a qualifiés de sans vergogne. Il était profondément troublé par les crimes de guerre sadiques commis par les troupes américaines. Il a suggéré que les étoiles et les rayures sur le drapeau américain soient remplacées par un crâne et des os croisés.

Rentrée Scolaire : Oncle Sam dispense un cours de Civilisation (les élèves sont Philippines, Hawai, Puerto Rico, et Cuba) Puck Magazine 1899

Était-ce la politique américaine que de tuer autant de Philippins que possible? Le brigadier général J. Franklin Bell a écrit: «À de très rares exceptions près, pratiquement toute la population nous a été hostile à cœur» ; il ne fait donc aucun doute que les Américains ont considéré chaque Philippin comme leur ennemi.

Les États-Unis ont mené une campagne de la terre brûlée en brûlant et en détruisant des villages. Ils ont également modifié des villages en camps de concentration. Ils ont ensuite incendié les terres autour d’eux et construit des tours de guet permettant de tirer librement sur les zones occupées. Ils ont appelé ces camps de concentration :reconcentrados.

Exécution d’un prisonnier philippin .

Les reconcentrados (camps de concentration) étaient pleins de maladie qui a provoqué une très forte mortalité dans certains camps:le taux  était aussi élevé que 20%. Un camp faisait 2 miles de long sur 1 mile de large et c’était la prison pour 8 000 Philippins. Les hommes étaient souvent arrêtés pour être interrogés sous la torture s’ils donnaient aux Américains les informations qu’ils souhaitaient ou non importait peu, car ils étaient toujours abattus.

Soldats américains en manœuvres près de Manille,1899.

Un soldat de New York a écrit:

« La ville de Titatia nous a été livrée il y a quelques jours, et deux compagnies occupent le terrain. La nuit dernière, l’un de nos garçons a été retrouvé blessé par balle et son estomac ouvert. Immédiatement, le général Wheaton a ordonné de brûler la ville et de tuer tous les autochtones en vue; qui a été fait pour finir. Environ 1 000 hommes, femmes et enfants auraient été tués. Je suis probablement de plus en plus dur, car je suis dans ma gloire quand je peux voir mon arme sur une peau sombre et appuyer sur la gâchette »

Caricature raciste de l’époque montrant McKinley donnant le premier bain philippin.

Le caporal Sam Gillis a écrit: «Nous faisons rentrer tout le monde chez lui à 19 heures et nous le disons à un homme une seule fois. S’il refuse, on lui tire dessus. Nous avons tué plus de 300 autochtones la première nuit. Ils ont essayé de mettre le feu à la ville. S’ils tirent un coup de feu de la maison, nous incendierons la maison et toutes les maisons voisines, et tirerons sur les indigènes. Ils sont donc assez calmes en ville, maintenant.

Un témoin britannique aux Philippines a déclaré:

«Ce n’est pas la guerre. c’est simplement un  et une boucherie

Ravitaillement de l’armée philippine.Les paysans étaient entraînés sur le champs.

.

Pourquoi le génocide des Philippines est arrivé

Les envahisseurs américains tuent les enfants de 10 ans et plus.

Tout est arrivé à cause d’une prière à Dieu.

Le président McKinley était à la Maison Blanche en train de prier  lorsqu’il affirma qu’il lui était imposé de ne pas rendre les Philippines à l’Espagne car cela lui donnerait un air de lâche.

William McKinley dans son bureau.

McKinley a déclaré qu’il ne voulait pas des Philippines. Mais alors une nuit à la Maison Blanche, alors qu’il était à genoux pour prier Dieu, il lui vin en tête:

Que nous ne puissions pas les rendre en Espagne, ce serait lâche.

Propagande de l’époque.

Il ne pouvait pas laisser la France et l’Allemagne posséder les Philippines, ce qui serait mauvais pour les affaires.

Il ne pouvait pas laisser les Philippins se gouverner eux-mêmes puisqu’il les considérait comme incapables.

Il a donc décidé que les États-Unis devraient s’emparer de toutes les Philippines plutôt que de Manille, ce qui est tout ce qu’ils avaient à l’époque, éduquer et christianiser le peuple, ce que les Espagnols avaient déjà fait à beaucoup d’entre eux.

Ainsi, en 1899, les États-Unis déclarèrent la guerre aux Philippines comme un moyen d’éduquer, de christianiser et de civiliser le peuple et le génocide des Philippines commença.

Conclusion

Bien que nous ne puissions être certains du chiffre de 3 millions selon certains historiens, nous pouvons être assez certains, d’après les recherches, que le chiffre de 1,4 millions de personnes tuées aux Philippines lors du génocide est correct, il est peu probable que les tueries se soient arrêtées subitement, les rapports de l’époque montrent à quel point les troupes américaines étaient devenues racistes à l’égard des Philippins, mais aussi que de nombreuses troupes étaient venues pour apprécier le massacre. Pourriez-vous amener les hommes qui sont devenus des tueurs brutaux à arrêter soudain de tuer .Il est très improbable qu’il ne vous reste plus qu’à regarder les guerres aujourd’hui qui sont loin d’être aussi brutales et à une époque où les gens sont plus instruits pour comprendre à quel point la guerre affecte certaines personnes. Nous savons également que les combats avec les Moros se sont poursuivis longtemps après l’invasion américaine.

Le nombre de personnes tuées a-t-il atteint 3 millions? Nous ne le saurons jamais, mais c’est probablement ce qui s’est passé entre 1899 et 1942 lorsque les Japonais sont arrivés.

 

http://www.youtube.com/watch?v=dLWFF9ycmQs

 

 

http://www.youtube.com/watch?v=gvt0ANhfORg

 

Les médias américains se riaient du peuple des Phillippines.

 

Il ne faut pas oublier que William McKinley était franc maçon de haut niveau et…qu’il fut assassiné par un pseudo anarchiste,tout l’archiduc François Ferdinand.

 

Sermont du grand rabbin d’Israël: Les Noirs sont des «sous-humains, des singes et des nègres

Le grand rabbin israélien Yitzhak Yosef

 

 

Le grand rabbin israélien Yitzhak Yosef a annoncé que les Noirs sont des «sous-hommes, des singes et des négriers» et que les tribunaux israéliens laïques «sont plus mauvais que les tribunaux gentils» – une vague de haine anti-Gentils être occulté par les médias occidentaux contrôlés par le lobby juif.

Les dernières déclarations du grand rabbin Yosef ont été publiées dans l’édition hébraïque du journal israélien Ynet News et ont été partiellement copiées en anglais dans le Times of Israel de Jérusalem – ce dernier, bien sûr, laissant de côté une grande partie de ce qui a été dit. en particulier la référence aux «négres humains».

Selon le reportage original de Ynet, le grand rabbin Yosef «abordait les aspects juridiques juifs de la bénédiction de la floraison des arbres fruitiers» et si les Juifs devaient «bénir un arbre ou au moins deux».

Dans ce contexte, il a cité des exemples de bénédictions supplémentaires, telles que la bénédiction de «Mishnah HaBriot» qui est récitée quand on voit des personnes ou des animaux inhabituels.

«Celui qui voit des créatures étranges bénit la Mishnah des gens», a déclaré le grand rabbin.

Dans les images du sermon – qui est un événement hebdomadaire – diffusé sur le service Ynet, on peut entendre le grand rabbin Yosef en hébreu:

« Vous marchez dans la rue en Amérique, toutes les cinq minutes, vous voyez un nègre, bénissez-le » sous-humain « , mais il doit être un nègre dont le père et la mère sont blancs. Si vous savez, ils ont eu un fils de singe », a déclaré le rabbin Yosef, avant de continuer en soulignant que« tous les Kushi (ni ** ers) ne sont pas bénis ».

Les remarques interviennent seulement deux semaines après que le grand rabbin Yosef ait annoncé que les tribunaux laïques en Israël étaient «pires que les tribunaux des gentils» et qu’ils «donnaient un coup de pied dans les paroles du Dieu vivant».

En mai 2017, le grand rabbin Yosef a déclaré que les femmes laïques se comportent comme des animaux parce qu’elles s’habillent impudiquement. En mars 2016, elles ont déclaré que les non-juifs ne devaient pas vivre en Israël et que

Bien sûr, ces remarques, émanant du plus haut responsable du judaïsme et vénérées comme saints par les juifs, seront noircies et ignorées par les médias occidentaux contrôlés par le lobby juif.

Ceci est en contradiction flagrante avec tout ce que n’importe quel leader européen pourrait dire en matière de race, où même la moindre mention de quelque chose qui est même dérogatoire devient l’actualité principale et est présentée comme une preuve de «racisme».

 


EN COMPLÉMENT

Le 20 mars 2018, l’Anti-Defamation League, une ONG américaine spécialisée dans la lutte contre l’antisémitisme, a réagi sur Twitter aux propos tenus par le grand rabbin séfarade Yitzhak Yosef en relayant un article en anglais de The Times Of Israel acoompagné de ce commentaire :

Les propos à connotation raciste tenus par le grand rabbin d’Israël Yitzhak Yosef, qui compare les personnes de couleur avec « des singes », sont absolument inacceptables.

ADL

@ADL_National

Racially charged comment made by Israeli Chief Rabbi Yitzhak Yosef, comparing people of color to « monkeys », is utterly unacceptable. https://www.timesofisrael.com/chief-rabbi-compares-african-americans-to-monkeys/ 

Chief rabbi calls black people ‘monkeys’

Rabbi Yitzhak Yosef uses pejorative term ‘kushi’ for African Americans in weekly sermon

timesofisrael

En lisant l’article du journal anglophone The Times of Israel, on peut apprendre que lors d’un sermon tenu le 17 mars 2018, le grand rabbin Yitzhak Yosef a employé le terme péjoratif hébreux «kushi», qui est l’équivalent aujourd’hui de «nègre» en français, puis le mot «singe» pour désigner des Afro-Américains.

Voici ce que le grand rabbin a dit lors de son sermon, où il évoquait la bénédiction des arbres fruitiers au cours du mois printanier du calendrier hébraïque, Nissan, selon une traduction en anglais du site britannique Jewish News, que nous traduisons nous-mêmes en français

Vous ne bénissez pas chaque Kushi. Quand vous marchez dans la rue aux Etats-Unis, toutes les cinq minutes vous voyez un Kushi. Allez-vous les bénir à chaque fois ? Il faut que ça soit un Kushi dont la mère et le père sont blancs… Car si vous savez que cet enfant singe est ainsi venu à eux, qu’il est venu d’eux comme ça, alors vous pouvez lui donner une bénédiction car c’est une créature différente. Alors faut-il qu’il ait deux Kushis pour le bénir ? Non !

A la lecture de cette traduction, on comprend donc que le grand rabbin séfarade a vraiment qualifié les personnes noires de «kushi» puis de singe, qui ne doivent pas toujours être bénis. Les commentaires du rabbin Yitzhak Yosef ont été mal accueillis par de nombreuses personnes de la communauté juive à travers le monde. En plus de la condamnation des propos par l’Anti-Defamation League, on peut noter que le rabbin en chef du Royaume-Uni, Ephraim Mirvis, a vivement critiqué son homologue israélien, en déclarant que «la terminologoie employée est profondément injurieuse et totalement inacceptable». La député israélienne, d’origine éthiopienne, Pnina Tamano-Shata a qualifié les propos du grand rabbin de «honte pour la communauté mondiale du droit judaïque».

Contacté par le site d’information Ynet, à l’origine de cette révélations, le bureau du grand rabbin séfarade d’Israël a défendu que Yitzhak Yosef n’avait fait que reprendre un extrait du Talmud. Le site britannique Jewish News conteste cet argument notant que : 

Le passage cité ne compare pas les enfants noirs à des singes. Au lieu de cela, il semble faire la liste de différentes créatures, qui pourraient être bénies, parmi lesquelles les personnes noires, les éléphants et le singes. De plus, si l’emploi du mot Kushi est tout à fait normal dans le Talmud, ce n’est plus le cas dans la manière de parler des Israéliens de nos jours.

En résumé : Le grand rabbin d’Israël Yitzhak Yosef a bien tenu des propos racistes, dans lequels il parle des personnes noires comme étant des «kushis», un terme hébreux qui se traduirait par «nègre» en français, et il a assimilé les enfants noirs à des «singes».

 

 

 

Afrique du Sud: les extrémistes racistes noirs tuent un fermier blanc tous les cinq jours en 2018

Les gangs criminels noirs ont tué un fermier sud-africain blanc tous les cinq jours jusqu’ici cette année, selon de nouveaux chiffres publiés par le syndicat agricole AgriSA à Pretoria.

 

Dans une déclaration publiée par Ian Cameron, chef de la sécurité d’AfriForum, il a été révélé qu’il y avait eu 109 attaques agricoles en moins de 100 jours en 2018. Lors de ces attaques, 15 meurtres sur des fermes avaient eu lieu.

« Nos zones rurales sont piégées dans une guerre criminelle », a déclaré Cameron. « Bien que le gouvernement sud-africain nie qu’une crise de violence plane sur les zones rurales, les chiffres prouvent qu’une violence excessive sévit dans ces régions ».

 

Cameron a ajouté que la torture avec des fers à repasser, des torches, du plastique fondu et de l’eau bouillante se poursuit souvent pendant des heures au cours de ces attaques

Il a également déclaré qu’il y avait eu une augmentation significative de ces types d’attaques dans le nord et le cap occidental.

« Le gouvernement ne peut pas nier les faits – nos gens sont fauchés », a conclu Cameron.

Pendant ce temps, un sondage effectué par le service d’information en ligne Afuskaans Nuus24 – qui dessert la communauté afrikaans en Afrique du Sud – a révélé que plus de 85% des Blancs quitteraient le pays immédiatement si l’occasion se présentait.

Le sondage, créé à la suite de l’annonce par le ministre australien des Affaires intérieures, Peter Dutton, que le pays envisageait de donner aux fermiers sud-africains blancs l’accès aux visas de réfugiés, a offert à ses participants trois réactions à l’offre australienne:

1. C’est une excellente nouvelle! Où puis-je remettre mon nom pour émigrer en Australie?
2. Je suis mal à l’aise avec cela. L’Australie devrait-elle plutôt ne pas négocier avec notre gouvernement avant de faire une telle annonce?
Je ne comprends pas du tout pourquoi quelqu’un voudrait émigrer en Australie. Nous vivons au pays du lait et du miel.
3. Au moment de la rédaction (20 mars), 85% avaient choisi la première option, 4% avaient choisi l’option 2 et 10% avaient choisi l’option 3.

Certains des commentaires au sondage – ici traduit de l’afrikaans, donnent un aperçu de ce qui est assez commun chez les Blancs en Afrique du Sud:

JJ Lovelock: « Nous sommes fatigués de ce pays avec sa corruption, ses détournements, ses viols et ses meurtres. J’aimerais aller en Australie et emmener mes deux enfants fermiers avec moi. « 

CL: « L’Afrique du Sud est un pays en faillite qui s’effondre progressivement. Le racisme nu du régime ANC, le FEP et d’autres groupes extrémistes n’offrent rien de bon pour l’avenir des Blancs, qui ne peuvent pas travailler, dont les biens seront bientôt saisis sans compensation, et des institutions telles que SAA, fournisseur de services téléphoniques. ] Telkom, [fournisseur de services d’électricité] Eskom, [fournisseur de services ferroviaires] Spoornet, et la plupart des municipalités sont toutes en faillite. Le crime est florissant, l’éducation recule, la police sud-africaine est corrompue et la sécurité personnelle est inexistante, qu’est-ce qui m’encourage à rester?

 

 

 

Israel Announces Plans for New Illegal Settler Units

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Published on Feb 1, 2017 Israel has announced plans to build 3,000 new settler units in the West Bank as Tel Aviv pushes ahead with its settlement expansion in the occupied Palestinian territories. Prime Minister Benjamin Netanyahu and Minister of Military Affairs Avigdor Lieberman have already given a go-ahead to the new settler units. The […]

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France:les actes anti-chrétiens en hausse depuis 2008

En 2016, les actes racistes, antisémites et antimusulmans ont nettement reculé, a annoncé le ministère de l’Intérieur, avec une diminution de 44,7%. Ce qui n’est pas le cas des actes anti-chrétiens. Entre 2008 et 2016, les atteintes aux sites chrétiens, qui comprennent les lieux de culte et sépultures, ont augmenté de 245% ! En 2016, […]

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Les dossiers de Michel Duchaine:Mort d’Élie Wiesel, grand prêtre de la religion de la Shoah et menteur professionnel

Élie Wiesel est mort samedi,le 2 juillet 2016. Élie Wiesel, c’est tout un symbole. Prix Nobel de la Paix, il mérite sans nul doute le titre de plus grand menteur du monde.

Les hommages du système sioniste défendu par le Nouvel Ordre Mondial

 

Elie Weisel,le maître de la falsification sioniste.
Elie Weisel,le maître de la falsification sioniste.

AFP :

Le prix Nobel de la paix et rescapé de la Shoah Elie Wiesel est mort samedi à l’âge de 87 ans, après avoir consacré sa vie à perpétuer la mémoire de l’Holocauste.

Après avoir passé sa vie à propager des bobards au nom des intérêts juifs serait plus exact.

La disparition du célèbre écrivain juif américain a été annoncée à Jérusalem par le mémorial de l’Holocauste Yad Vashem.

Elie Wiesel Elie Wiesel, prix Nobel de la paix en 1986, « s’est éteint il y a quelques heures », a indiqué le porte-parole du mémorial, Simmy Allen.

Selon le New York Times, il est décédé à son domicile à Manhattan.

Le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu a salué sa mémoire, estimant dans un communiqué qu’il était « un rayon de lumière et un exemple d’humanité qui croit en la bonté de l’Homme ».

« Elie, maître des mots, a exprimé par sa personnalité unique et ses livres fascinants la victoire de l’humanité sur la cruauté et le mal », ajoute le Premier ministre.

Élie Wiesel : « Chaque juif, quelque part en lui, devrait garder à part une zone de haine – une haine saine, virile – pour ce que l’Allemand personnifie et pour ce qui persiste chez l’Allemand. »

« L’Etat d’Israël et le peuple juif pleurent avec amertume la mort d’Elie Wiesel », a dit M. Netanyahu.

« Durant les années sombres de l’Holocauste, au cours desquelles ont péri six millions de nos frères et soeurs, Elie Wiesel était un rayon de lumière et un exemple d’humanité (…) », a souligné M. Netanyahu à propos de celui qui a sillonné le monde pour perpétuer la mémoire de la Shoah.

Vous avez bien lu. « Durant les années sombres ». En 1943 avait-on déjà des conférences d’Élie Wiesel se plaignant du prétendu Holocauste ? Non, mais à écouter Netanyahou, on pourrait le croire ! Est-ce le traducteur qui est un incapable ou Netanyahou qui délire ?

Il était un « héros du peuple juif », a dit le président israélien Reuven Rivlin.

Un menteur de première classe comme héros juif, j’ai envie de dire que c’est assez approprié.

Et bien sûr les politiciens pourris s’empressent de rendre hommage :

« Elie n’était pas seulement le plus célèbre survivant de la Shoah, il était un mémorial vivant », a déclaré le président américain Barack Obama. « Sa vie et la force de son exemple nous poussent à être meilleurs ».

Le président français Francois Hollande a salué « la mémoire d’un grand humaniste, inlassable défenseur de la paix ».

Inlassable défenseur du peuple juif serait plus exact. Ce qui, puisqu’il est juif, est assez normal, mais son emploi systématique du mensonge va – et c’est tant mieux – détruire son oeuvre.

Rescapé des camps de la mort nazis, Elie Wiesel a consacré sa vie à la mémoire de la Shoah et à la lutte contre l’indifférence, l’intolérance et l’injustice.

Ah, ces fameux rescapés. Ils n’étaient vraiment pas efficaces ces camps de la mort pour laisser autant de survivants, y compris de nombreux inaptes au travail

« L’oubli n’est pas une maladie individuelle mais collective », estimait-il. Pour « empêcher l’oubli » de la Shoah et favoriser la compréhension entre les peuples, ce « messager de l’humanité », comme l’a qualifié le comité Nobel, a créé la Fondation Elie Wiesel pour l’Humanité, avec son épouse, et l’Académie universelle des cultures.

Oui, humanité… au sens talmudique du terme.

 

 

Elie Wiesel a souvent dénoncé la responsabilité des dirigeants qui « savaient » le sort des juifs déportés, notamment Roosevelt et Churchill. En 1979, le président Carter lui avait montré les photos prises, fin 1942, par des avions militaires américains survolant Auschwitz.

Mince alors ! Il s’avère justement que les photographies aériennes d’Auschwitz ne prouvent rien du tout.

Né le 30 septembre 1928 à Sighet, en Roumanie (alors Transylvanie) dans une famille pauvre, Elie Wiesel est déporté à 15 ans à Auschwitz-Birkenau où sa mère et sa plus jeune soeur sont assassinées. Son père meurt devant lui à Buchenwald où ils ont été transférés.

Selon les mémoires d’Elie Wiesel, « si nous avions choisi de rester à l’infirmerie [d’Auschwitz], mon père ne serait pas mort de faim et de honte dix jours après, à Buchenwald ».

Citoyen américain depuis 1963, Elie Wiesel a occupé longuement la chaire en Sciences Humaines de l’Université de Boston et partagé sa vie entre les Etats-Unis, la France et Israël.

Elie Wiesel […] en 2006, avait refusé la présidence de l’Etat d’Israël, soulignant qu’il n’était « qu’un écrivain ».

Après le plagiaire Albert Einstein, les Juifs avaient envie de mettre comme président Élie Wiesel. Ils ont un goût pour les escrocs, semble-t-il.

Un menteur pathologique

Aujourd’hui est, je crois, la meilleur occasion pour reproduire le résumé d’Hervé Ryssen sur l’escroc intégral que fut Élie Wiesel.

 

Il a reçu le prix Nobel de la Paix, il est payé 25 000 dollars pour faire des discours et il est reçu avec les honneurs un peu partout, pourtant Elie Wiezel ne s’avère être en fin de compte qu’un menteur pathologique qui fait du business avec la Shoah.
C’est une pièce majeure du système de culpabilisation des sionistes, il ne faut donc pas compter sur les médias pour faire la lumière sur ce sinistre individu.

La gloire internationale d’Elie Wiesel, prix Nobel de la Paix, est largement fondée sur le succès des récits de sa douloureuse expérience concentrationnaire.

Son talent de conteur fut d’ailleurs rapidement reconnu par l’écrivain François Mauriac, qui le prit sous son aile bienveillante, ainsi qu’il le relate dans ses Mémoires : « Sans Mauriac, dit-il, que serais-je devenu ? Il veilla sur ma “carrière”. Lors de chacun de mes voyages en France, je venais lui rendre visite. » La rencontre entre les deux hommes eut lieu dans une réception mondaine : « Mauriac, je l’ai aperçu en 1955 lors d’une célébration de la fête de l’Indépendance à l’ambassade d’Israël… Surpris, il insista : “Je suis heureux que vous m’ayez invité. Israël me tient à cœur. J’aime participer à sa fête. »(Mémoires, tome I, Seuil, 1994, pp. 338, 326).

Elie Wiesel, guide touristique

A ses débuts, après la Seconde Guerre mondiale, Elie Wiesel dut travailler dur pour gagner sa vie. Installé à Paris, il servait de guide touristique à ses coreligionnaires de passage en France. Voici une anecdote qui montre de manière assez éloquente son aptitude à enrichir la vérité :

« Miriam me demande des explications sur Paris, et je les lui fournis volontiers. Pas besoin d’effort. J’improvise avec un aplomb dont j’ai encore honte aujourd’hui… À cette époque-là, il m’arrive assez souvent de broder, d’inventer des détails piquants sur l’histoire de Paris qu’on ne trouverait dans aucun ouvrage, fût-il romancé. Pourquoi ? Par fatigue. »

« Trop de visiteurs israéliens insistent pour que je leur montre le Louvre et la Concorde, Montmartre et les cabarets russes. Au début, je fais mon métier de guide consciencieusement : je ne dis que ce que je sais. »

« Et puis je m’aperçois que les touristes dont j’ai la charge sont insatiables en ce qui concerne la culture parisienne : ils en veulent davantage. Des récits plus pittoresques. La façade de Notre-Dame avec ses Juifs au chapeau pointu, avec sa synagogue aveugle et misérable, ne leur suffit pas. [Elie Wiesel confond avec la cathédrale de Strasbourg]. “Tout cela, disent-ils, nous l’avons appris à l’école. Ici, c’est autre chose qui nous intéresse.” Bon, qu’à cela ne tienne : je me mets à inventer une anecdote pour chaque statue, une histoire pour chaque monument. Réarranger le passé de la capitale pour une heure, une matinée, en quoi cela nuirait-il à la France ? »

« Or, un jour, l’inévitable se produit : un guide, malheureusement professionnel, se trouve place de la Bastille près du petit groupe (francophone) qui m’écoute bouche bée lui décrire les journées de 1789 ; je suis en forme, je connais le nom de l’officier qui, le premier, ouvrit les portes de la prison ; et celui du prisonnier qui, à genoux, implora sa miséricorde. »

« Dans la cellule voisine, une princesse se préparait à la mort ; elle souhaitait mourir, mais la vue de l’officier la fit changer de philosophie, et la voilà qui, au scandale de ses amies, clame son amour de la vie et des vivants… Je pourrais continuer à broder ainsi jusqu’à la prochaine révolution, n’était le cri d’animal blessé qu’un bonhomme inconnu pousse à côté de moi… Il se jette sur moi, prêt à me déchiqueter : “Comment… comment osez-vous ? Moi qui connais cette ville, l’histoire de chaque pierre, comment osez-vous mentir en ma présence et faire mentir l’histoire ?” »

« Nous le quittons plutôt précipitamment. “Ne fais pas attention, me console l’un de mes invités de passage. C’est un fou furieux.” Un autre le corrige : “Mais non, il est jaloux, c’est clair comme le jour.” Mais Miriam, elle, adore les histoires. Vraies ou imaginaires, elles la divertissent. Et puis, elle est belle, Miriam.” (Mémoires, tome I, Seuil, 1994, pp. 271, 272). »

Nous avons ici un bel exemple de fuite précipitée. Mais, une fois n’est pas coutume, l’auteur semble admettre que la colère de son agresseur pourrait être ici éventuellement justifiée, quand bien même ses coreligionnaires sont déjà prêts à le défendre mordicus contre pareille injustice.

Élie Wiesel journaliste

Le métier de journaliste permit à Elie Wiesel de rencontrer nombre de gens intéressants. C’est ainsi qu’il fit la connaissance d’un personnage extraordinaire, un certain Joseph Givon, introduit dans les cercles du pouvoir. Notre journaliste est alors fortement impressionné par cette personnalité mystérieuse et influente. Son correspondant est expéditif dans ses communications téléphoniques : « “Je passe te chercher demain à midi pile.” Je n’ai même pas le temps de dire ouf ; il a déjà raccroché. Téléphoner à Dov ? Une toute petite voix me conseille la prudence. Avec Givon, on ne sait jamais. Demain peut signifier la semaine prochaine ou l’an prochain. »

L’homme est mystérieux, un brin farfelu, et terriblement manipulateur : « Il me tend sa main invalide (je n’ai jamais su pourquoi il me tendait parfois la droite et d’autres fois la gauche), me dit au revoir et s’en va en clopinant. » Son influence secrète sur la politique est néanmoins bien réelle, ainsi que le petit journaliste peut s’en rendre compte : « C’est donc lui, et pas le président du Conseil qui a décidé du lieu de l’entretien. Mendès France n’a qu’à obéir ! Je ne me suis pas encore remis de ma stupeur que Givon enchaîne : “J’ai demandé qu’on déjeune ensemble. C’est mieux. Et plus intime”… Malheureusement, il doit quitter Paris. L’actualité internationale le réclame ailleurs. L’Histoire aussi. Hô Chi Minh ? Giap ? Khrouchtchev ? »

« Je déverse sur lui une avalanche de questions qui lui font hausser les épaules : “désolé, mais…” Cela ne fait rien, je comprends : zone interdite, défense absolue d’y pénétrer. Une affaire d’espionnage, sans doute. Croire ou ne pas croire ? Ne m’a-t-il pas conduit jusque chez les Mendès France ? S’il connaît le président du Conseil, il peut très bien fréquenter d’autres grands de ce monde, pas vrai ? Le fait est qu’il disparaît de Paris… Désormais, nos contacts se feront exclusivement par courrier : cartes et lettres de Varsovie, de Pékin, de Prague et de Moscou où il deviendra producteur de cinéma… Les Izvestia publieront un article pour dénoncer ses activités de contrebande : arrêté comme trafiquant, il sera condamné à dix ans de prison. “Je suis innocent, me confiera-t-il dans une lettre pathétique. La vérité finira par triompher.” »

« La vérité ? Sous la plume de Givon, elle paraît tremblotante. Mais elle triomphera malgré tout. Libéré ─ “grâce à l’intervention de plusieurs ambassadeurs occidentaux” ─ il recevra des excuses du tribunal. Dégoûté du système soviétique, il retournera à Prague, refera surface à Paris… avant d’aller s’installer définitivement en Israël. Il y mourra d’une crise cardiaque. Les journaux et revues de Tel-Aviv lui consacreront de nombreux articles, insistant sur le côté pittoresque, rocambolesque et manipulateur du personnage… Incrédule, fasciné mais amusé, le public tentera d’éclaircir le mystère qui l’entourait. »

« Comment distinguer chez lui la vérité du fantasme, étant admis qu’il ne pouvait pas tout inventer ? Souvent, je songe à lui avec affection. Grâce à lui, j’ai presque vécu quelques-unes de ses aventures. Réelles ou imaginaires ? Qu’importe. Les aventuriers ne disent pas toujours la vérité : ils l’inventent d’abord. D’ailleurs, n’ai-je pas déjeuné avec les Mendès France ? » (pp. 313-319).

Agent de renseignement, producteur de cinéma, contrebandier, trafiquant international au carnet d’adresses bien rempli, Joseph Givon était manifestement un homme aussi influent que discret et mystérieux. Les plus puissants moteurs de recherche sur internet ne donnent en effet que cinq réponses à son nom, et qui paraissent correspondre à des homonymes. Et à la page 325 de son livre, c’est-à-dire six pages plus loin, Elie Wiesel écrit : “Mendès France ? J’ai fini par le rencontrer à New York, lors d’une réception à l’Institut Weizmann”.

Elie Wiesel renouvelle la Torah

Mais d’autres personnages intéressants et pittoresques, réels ou imaginaires, ont croisé la route d’Elie Wiesel, tel ce Mané Katz, avec qui il semble avoir quelques affinités :

« Petit pétillant, d’une agilité étonnante pour son âge, il sautillait en marchant, en parlant. Il aimait raconter des anecdotes (vraies ou fausses) sur sa vague ressemblance avec Ben Gourion. Une femme se serait éprise de lui parce qu’elle le confondait avec le Premier ministre israélien. Un espion lui aurait proposé des secrets militaires arabes contre un certificat de bonne conduite adressé à… au bon Dieu qui, comme chacun sait, habite quelque part à Jérusalem. Un voleur lui aurait offert une importante somme d’argent pour les caisses de l’État juif. “Dès que je révèle ma véritable identité, on me tourne le dos”, ajoutait-il en s’esclaffant. »

Ce Mané Katz offrit un jour à Elie Wiesel un de ses tableaux, que celui-ci refusa en trouvant astucieusement une « porte de sortie », en puisant dans la Torah : « Citant sources anciennes et références qui n’avaient rien à voir, puisées dans l’Ecriture aussi bien que dans ma fantaisie, je parlai vite, pendant une heure ou deux, peut-être jusqu’à l’aube… : “Or un juge qui accepte des cadeaux, la Bible le traite de tous les noms”. L’ai-je convaincu ? »

« Je n’en sais rien. La véritable raison de mon refus, la voici : j’étais trop pauvre pour posséder des œuvres d’une telle valeur. Et puis, ses tableaux, je n’aurais pas su où les mettre. Vagabond par goût et par profession, déraciné, je ne possédais qu’une machine à écrire et une valise. On ne met tout de même pas des œuvres d’art dans une valise ! » (pp. 321, 322.).

Elie Wiesel échappe a une catastrophe aérienne

C’est encore dans ses Mémoires qu’Elie Wiesel a raconté comment il a échappé de peu à la mort. Ainsi, en 1955, il a bien failli être la victime d’une terrible catastrophe aérienne : “Pour me remettre et me changer les idées, je partis pour Israël, écrit-il. J’avais réservé une place dans un avion El Al mais l’offris à une amie de Béa qui, venue de Montréal avec ses deux enfants, n’arrivait pas à obtenir trois sièges sur ce vol. L’avion fut abattu au-dessus de la Bulgarie. Je pris la voie maritime.” (p. 345). L’auteur, qui ne fournit aucune autre précision, ne paraît pas plus bouleversé par cette terrible épreuve. Il faut dire que nos recherches d’informations sur cette catastrophe aérienne sont restées tout aussi infructueuses. Peut-être s’agissait-il d’un petit avion, d’un tout petit avion ?

Les aventures d’Elie Wiesel en URSS

Elie Wiesel eut aussi l’occasion de se rendre en URSS. Sous le régime communiste, depuis que Staline avait évincé les dirigeants « sionistes » du pouvoir après la guerre, les juifs n’étaient plus libres d’émigrer librement en Israël. La « Communauté médiatique internationale » clamait alors à cor et à cri son indignation et réclamait pour les juifs le droit de sortir d’Union soviétique.

Elie Wiesel s’était rendu sur place afin d’en savoir davantage. A l’aéroport de Moscou, au moment même de quitter la place avec ses deux gardes du corps, survint un autre épisode rocambolesque de la vie bien remplie du grand écrivain :

« Voici l’appareil d’Aeroflot. Au bas de la passerelle, comme toujours, deux ultimes vérifications : à droite, l’hôtesse de l’Intourist prend ma carte d’embarquement ; à gauche, un officier examine mon passeport. La jeune fille me fait signe de monter, mais l’officier crie quelque chose à quelqu’un. Brusquement, les événements se précipitent. En un clin d’œil, mes deux Israéliens surgissent à mes côtés. L’un d’eux s’empare de mon billet d’avion, l’autre arrache mon passeport des mains de l’officier ; je me sens soulevé comme un malade, comme un colis ; ils courent, je cours. Coups de sifflets, ordres rauques, bousculades. Je ne sais comment nous parvenons à franchir toutes les portes, tous les barrages, nous sautons dans la voiture de l’ambassade et déjà nous roulons à tombeau ouvert. Pourquoi la police ne nous barre-t-elle pas la route ? Je n’en sais rien. [Nous non plus !] Je resterai trois jours et trois nuits à l’ambassade avant de recevoir le feu vert. Comment David s’est-il débrouillé ? Il ne me l’a jamais révélé, et à vrai dire, je ne l’ai pas interrogé, même si le journaliste en moi aurait bien aimé savoir. L’important, c’était de quitter Moscou. De retrouver la liberté. Toujours accompagné de mes deux gardes du corps israéliens, je retourne à l’aéroport. Tout se passe comme si j’étais un touriste ordinaire. » (Mémoires, tome I, pp. 495, 496).

Elie Wiesel, rescapé de la guerre du Golfe

Il est certain en tout cas que la chance a toujours souri à Elie Wiesel. Dans le tome II de ses Mémoires, il raconte l’épisode extraordinaire qui lui est arrivé pendant la guerre du Golfe en 1991.

Il partit alors en Israël pour soutenir sa communauté pendant la dure épreuve où l’Irak, bombardé par les Américains, envoyait par vengeance ses vieux missiles Scuds sur l’État hébreu :

« Mon cousin Eli Hollender est content que je sois venu : “Viens à la maison me dit-il. Viens dîner. Nous attendrons les Scuds ensemble.” Drôle d’invitation, drôle d’idée, écrit Elie Wiesel… J’accepte son invitation. Nous fixons un rendez-vous. A la dernière minute, je décommande. Empêchement imprévu. Le soir même, chacun de son côté, nous écoutons à la radio les informations sur l’attaque des missiles qui vient de se déclencher… Un mois plus tard, je reçois une lettre d’Eli dans laquelle il remercie Dieu de mon empêchement : “Si tu étais venu, nous serions restés chez nous au lieu d’aller passer la nuit chez nos enfants. Et qui sait ce qui nous serait arrivé. Un Scud est tombé sur notre maison et l’a entièrement démolie. C’est un miracle que tu ne sois pas venu.” » (Elie Wiesel, Mémoires 2, Editions du Seuil, 1996, p. 148).

 

Elie Wiesel est donc incontestablement un rescapé de la guerre du Golfe. Son aventure est d’autant plus extraordinaire que, ainsi qu’il le reconnaît lui-même, « les Scuds n’ont fait aucune victime. L’homme qui est mort à Bnei Brak ? Crise cardiaque. Ailleurs, une femme s’est enfermée dans une armoire et a récité des psaumes. La pièce s’est effondrée, mais l’armoire est restée intacte. » On vous le dit : Israël est le pays des miracles !

Elie Wiesel et les enfants dans les flammes

Elie Wiesel a aussi connu évidemment personnellement l’expérience des camps de la mort. C’est avec beaucoup d’émotion qu’il relate les atrocités qu’il a pu voir de ses yeux : « C’est en rêve, un mauvais rêve de Dieu, que les êtres humains lancent des enfants juifs vivants dans les flammes des fosses béantes. Je relis ce que je viens d’écrire, et ma main tremble, tout mon être tremble. Je pleure, moi qui pleure rarement. Je revois les flammes, et les enfants, et je me répète qu’il ne suffit pas de pleurer. Il m’a fallu du temps pour me convaincre que je ne m’étais pas trompé. » (Mémoires, tome I, Seuil, 1994, p. 102).

Elie Wiesel et les geysers de sang

Ce qu’il a vu est tout simplement inouï ; mais ce qu’il a entendu dire l’est peut-être plus encore. Dans Paroles d’étranger, il relate les massacres de Babi-Yar, en Ukraine, où les Allemands avaient exécuté des Soviétiques, dont de nombreux juifs : « Plus tard, j’appris par un témoin que, pendant des mois et des mois, le sol n’avait cesser de trembler ; et que, de temps en temps, des geysers de sang en avaient giclé. » (Paroles d’étranger, Seuil, 1982, p. 86).

On peut rapprocher ce témoignage avec celui qu’a laissé un prix Nobel de littérature, Isaac Bashevis Singer, qui relate, dans l’un de ses romans intitulé L’Esclave, les atrocités innommables commises par les Cosaques au XVIIe siècle : « Les Cosaques avaient presque rasé la ville, écrit Singer ; ils avaient tué, égorgé, brûlé, pendu ; mais il y avait eu quelques survivants… Les assassins avaient même retourné les tombes. Pas un seul chapitre des rouleaux sacrés, pas une seule page des livres de la maison d’étude ne restaient intacts… “Pourquoi ceci nous est-il arrivé ? demanda l’un des hommes. Josefov était un foyer de la Torah. ─ C’était la volonté de Dieu, répondit un autre. ─ Mais pourquoi ? Quels péchés les petits enfants avaient-ils commis ? Ils les ont enterrés vivants… ─ Quel mal leur avions-nous fait ?… Le Créateur avait-il besoin des Cosaques pour révéler sa nature ? Était-ce une raison suffisante pour enterrer vivants des enfants ?” »

L’antisémitisme est décidément incompréhensible, aujourd’hui comme autrefois.

« Les puissances du Mal » ne cesseront-elles donc jamais leur œuvre de destruction ? Comme toujours, les bourreaux rivalisaient de cruauté envers leurs victimes, faibles et désarmées. À lire le romancier Isaac Bashevis Singer, le raffinement des Cosaques dans ce domaine n’a rien à envier à celui des Allemands : « Ils ont empalé Moishe Bunim et il ne cessa pas de gémir de toute la nuit. ─ Vingt Cosaques ont violé ta sœur Leah et puis ils l’ont coupée en morceaux… On ne pouvait concevoir qu’en ce monde, on massacrait des enfants, on les enterrait vivants et que la terre s’imbibait de sang, comme au temps de Caïn. » (Isaac Bashevis Singer, L’Esclave, 1962, Stock, 1993, pp. 100, 103, 120).

Il faudrait tout de même vérifier si cette image récurrente n’est pas déjà dans le Talmud ou l’Ancien Testament.

Elie Wiesel doit choisir

« 18 janvier 1945 : l’Armée rouge se trouve à quelques kilomètres d’Auschwitz… Berlin décide d’évacuer les détenus vers l’intérieur de l’Allemagne. Une agitation fébrile règne dans toutes les barraques… Mon père vient me voir à l’hôpital. Dans le désordre général, on le laisse entrer. Je lui dis : “les malades peuvent rester au KB, mais… ─ Mais quoi ? demande mon père. ─ Il y a que… je ne veux pas me séparer de toi.” J’ajoute : “Mais tu pourrais rester avec moi, tu sais. ─ Est-ce possible ? demande-t-il. ─ Oui, c’est possible.” Il y a de la place. Aujourd’hui, la surveillance se relâche. Dans le va-et-vient, tout est possible. Idée tentante, mais nous la repoussons. Nous avons peur. Les Allemands ne laisseront pas de témoins derrière eux ; ils les tueront. Tous. Jusqu’au dernier. C’est dans la logique de leur monstrueuse entreprise. Ils feront tout sauter pour que le monde libre n’apprenne pas la nature et l’étendue de leurs crimes. »

Voilà comment Elie Wiesel et son père choisirent de partir avec les Allemands, plutôt que d’attendre l’Armée rouge. Ceux des malades qui étaient restés, contrairement aux prévisions des Wiesel, père et fils, n’avaient finalement pas été exterminés : « Que serait-il advenu de nous si nous avions choisi de rester ? Tous les malades, ou presque tous, ont survécu. Libérés par les Russes neuf jours plus tard. Autrement dit, si nous avions choisi de rester à l’infirmerie, mon père ne serait pas mort de faim et de honte dix jours après, à Buchenwald. » (Mémoires, tome I, Seuil, 1994, p. 119).

On soignait donc les gens à Auschwitz, et même les pauvres juifs.

Comment Elie Wiesel a stupéfié le médium

Lors d’un voyage de jeunesse en Inde, Elie Wiesel raconte encore une de ses histoires stupéfiantes : « Un Sage m’aborde à la sortie de mon hôtel à Bombay : “Pour cinq roupies je te dirai ton avenir.” Je lui réponds : “Je vous en donne dix si vous me dites mon passé.” Interloqué, il me demande de noter ma date de naissance et une date quelconque sur un bout de papier. Il le saisit d’un geste rapide, me tourne le dos pour faire ses calculs, et reste un moment figé. Quand il se retourne, il semble effrayé : “Je vois des cadavres, dit-il. Beaucoup de cadavres.” Là, il m’étonne. Il ne peut pas savoir ce que le 11 avril 1945 signifie pour moi. Et pourtant. » (Mémoires, tome I, Seuil, 1994, p. 287).

Elie Wiesel invente un langage

Elie Wiesel a fortement incité les survivants d’Auschwitz à témoigner, pour ne pas oublier. « En vérité, dit-il, mon principal souci a toujours été les rescapés. En écrivant, j’ai essayé de les convaincre de la nécessité et de la possibilité du témoignage : “Faites comme moi, leur disais-je. Déposez, racontez, même s’il vous faut inventer un langage.” » (Mémoires, tome I, Seuil, 1994, p. 443).

Elie Wiesel et la bénédiction du rabbi

Se rendant « à Bnei Brak, le faubourg le plus religieux de Tel-Aviv », il y rencontre le vieux Rabbi Israël : « Il me fait parler de mes travaux. Il veut savoir si les histoires que je raconte dans mes livres sont vraies, c’est-à-dire si elles sont vraiment arrivées. Je lui réponds : “Rabbi, en littérature, c’est ainsi : il y a des choses qui sont vraies, et pourtant, elles ne sont pas arrivées ; et d’autres qui ne le sont pas, alors qu’elles sont arrivées.” J’aurais tellement souhaité recevoir sa bénédiction. » (Mémoires, tome I, Seuil, 1994, p. 347).

Elie Wiesel vole dans les airs

Dans L’Industrie de l’holocauste, paru en 2000, Norman Finkelstein a lui aussi relevé les multiples contradictions d’Elie Wiesel.

Ainsi, Wiesel raconte dans ses Mémoires qu’à sa sortie de Buchenwald, à l’âge de 18 ans, il a « lu la Critique de la raison pure, ne riez pas, en yiddish ». Et Norman Finkestein rappelle que Wiesel avait pourtant affirmé qu’à cette époque-là, il ignorait tout de la grammaire yiddish. Mais surtout, ajoute malicieusement Finkelstein, « la Critique de la raison pure n’a jamais été traduite en yiddish ». Et il poursuit : « Wiesel se souvient aussi, de la façon la plus détaillée, d’un “mystérieux érudit talmudiste” qui “apprit le hongrois en quinze jours, juste pour m’étonner”. Il a raconté à un hebdomadaire juif qu’il avait souvent “la voix enrouée ou même aphone” à force de se lire ses propres livres “à haute voix en lui-même”. »

Il a raconté à un reporter du New York Times qu’il avait été heurté par un Taxi à Times Square : « J’ai parcouru la distance d’un bloc en vol plané. J’ai été heurté au coin de Broadway et de la 45e rue, et l’ambulance m’a ramassé à la 44e. Je présente la vérité sans fard, dit Wiesel. Je ne peux pas faire autrement. »

Sources : Elie Wiesel, All Rivers, pp. 121 à 130, 139, 163-164, 201-202 et 236. Jewish Week, 17 septembre 1999. New York Times, 5 mars 1997, in Norman Finkelstein, L’Industrie de l’holocauste, La vieille Taupe, 2000, p. 84.

Elie Wiesel indigné

Dans ses Mémoires, Elie Wiesel s’indigne de l’incrédulité de certains membres de la communauté juive concernant les témoignages des « survivants ». Il en est ainsi par exemple de cet Alfred Kazin, critique « inconnu en France, mais écouté en Amérique », qui se permet d’émettre des doutes concernant la sincérité de la douleur des rescapés :

« Au début, poursuit Wiesel, nous nous voyons ou nous téléphonons régulièrement. Il fait partie d’un jury littéraire fondé par les survivants de Bergen-Belsen dont un certain Yossel est le président : Kazin nous accompagne à Belsen, puis à Jérusalem, et Yossel le comble : chambre d’hôtel plus que confortable, argent de poche, cadeaux pour lui et sa femme. Il l’invitera même chez lui. Et tout ce que cet intellectuel new yorkais a trouvé à dire de cette visite, dans un article pompeux et suffisant, c’est que l’épouse de Yossel était propriétaire non seulement d’un appartement luxueux mais aussi d’un numéro démesurément grand tatoué sur le bras : comme si elle se l’était fait faire exprès chez Cardin… »

« Pire que tout le reste : dans un texte où il essaie de rappeler “ce qu’il doit” à Primo Levi et à moi-même, il écrit qu’il ne serait pas surpris d’apprendre que j’ai inventé l’épisode de la pendaison dans La Nuit. » (Mémoires, tome I, Seuil, 1994, p. 436).

Une centaine de pages plus haut, à la page 342 du tome premier de ses Mémoires, Elie s’était déjà vu obligé de rectifier une note de Mauriac dans un de ses Blocs-notes, en 1963, dans laquelle celui-ci citait les « quatre romans » d’Elie Wiesel : La Nuit, L’Aube, Le Jour, La Ville de la chance : « La Nuit n’est pas un roman », tient à préciser Elie Wiesel, pour ceux qui en douteraient encore.


Le mensonge sur  le  tatouage  d’Auschwitz

Qui ne connaît pas Elie Wiesel ? Véritable conscience vivante de la Shoah, il est l’un des survivants des camps, sinon le survivant le plus connu et reconnu mondialement. Prix Nobel de la paix en 1986, plus de 10 millions d’exemplaires de son livre La nuit ont été écoulés dans le monde entier depuis sa sortie en 1958, docteur honoris causa de plus d’une centaine d’universités dans le monde, Grand-croix de la Légion d’honneur en France, il a également reçu la Médaille d’or du Congrès américain. Or, notre enquête démontre et confirme qu’Elie Wiesel n’a pas le tatouage d’Auschwitz qu’il prétend avoir (dans son livre La nuit, qui n’est pas une fiction selon lui, et dans d’autres déclarations publiques, y compris certaines sous serment), le numéro A-7713. Le premier à l’avoir révélé, dans un silence médiatique total, fut Nikolaus Grüner, survivant d’Auschwitz lui aussi, qui a écrit un livre où il le révèle, ainsi que bien d’autres choses sur Elie Wiesel. Ne pouvant vérifier tout ce qu’il affirme dans son livre, Stolen Identity(Identité volée), nous avons voulu vérifier le fait le plus accablant, en contactant Auschwitz d’abord par mail, puis par téléphone. C’est le responsable des archives du musée, M. Plosa, qui a confirmé que le numéro A-7713, revendiqué par Elie Wiesel sans jamais l’avoir montré, avait été attribué à Lazar Wisel, né 15 ans avant lui, et qui ne peut donc par conséquent pas être confondu avec lui.

 

 

 

 

http://www.youtube.com/watch?v=Mr8_JaKde2Q


Claude Lanzmann accuse Elie Wiesel de n’être resté que 4 jours à Auschwitz

Pour nous parler d’Elie Wiesel qui vient de décéder, France Inter avait invité ce dimanche 3 juillet 2016 un invité incontournable quand il s’agit de la Shoah, à savoir Claude Lanzmann. Manque de chance, au lieu de lui tresser des lauriers, Lanzmann a exprimé en direct son mépris pour feu le prix Nobel de la paix. Et France Inter, en bonne pravda, décide de censurer la diffusion du podcast de cette interview. Heureusement des bloggeurs en ont fait état.

Sur la grille des programmes du jour , vous ne trouverez pas l’interview de Claude Lanzmann à 7h50, mais vous aurez deux fois “les pelouses des stades” diffusées à 7h42. Quelle erreur malencontreuse, et qui arrive à point nommé pour censurer une voix dissidente et irréprochable sur la Shoah à propos de l’imposteur Elie Wiesel… Celui-ci étant devenu un demi-dieu, il est désormais interdit de le critiquer, sous peine d’accusation en négationnisme, antisémitisme, nazisme, etc. 

Qu’a dit Lanzmann ?

Cet article  confirme bien que Lanzmann était l’invité de France Inter pour parler d’Elie Wiesel, et qu’il n’a pas été très gentil. Il ne rentre toutefois pas dans le détail de ce que Lanzmann a effectivement dit.

Mais dans cet article (4) indigné d’un site pro-israélien on apprend que Claude Lanzmann “a accusé Elie Wiesel de n’être resté « que 4 jours et 4 nuits à Auschwitz »”, ce qui en effet ne va pas dans le sens de l’idole que les fans de Wiesel veulent adorer. Ni dans le sens que les médias veulent imposer au petit peuple, invité à croire ce qu’on lui dit, tout ce qu’on lui dit, dès lors que c’est à la télévision ou dans les grands médias.

Il a été  démontré que Wiesel n’a jamais mis les pieds à Auschwitz de sa vie, donc Lanzmann ment et va jusqu’au maximum de ce qu’il peut aller sans accuser Wiesel d’être un faux déporté. Mais son mensonge ne peut être pris que pour une vérité selon les défenseurs de Wiesel, qui se trouvent également être des défenseurs de Lanzmann. Or, s’ils croient Lanzmann, Elie Wiesel n’a pas pu écrire “La Nuit”, dans lequel Wiesel prétend être resté plusieurs mois à Auschwitz, et en avoir tiré son récit.

Qui sait ? Avec la mort du menteur, les langues vont peut-être finir par se délier ?

Naturellement, France Inter ayant censuré le podcast de cette interview, il va être beaucoup plus difficile, mais pas forcément impossible, de pouvoir réécouter cette interview, qui aurait été diffusée en boucle un peu partout dans le cas contraire.

 


 

Depuis 1983, Elie Wiesel prétend être un des déportés de la fameuse photo prise à Buchenwald le 11 avril 1945, dont voici un agrandissement de cette personne cerclée par du rouge :

 

La  fameuse phpto de buchenwald.
La fameuse photo de Buchenwald.

 

L'agrandissement.
L’agrandissement.

 

Cette information est acquise pour tout le monde, jusqu’à ce jour elle n’a jamais été mise en doute, malgré la différence d’âge et d’apparence potentielle entre Elie Wiesel à 15 ans et cet homme supposé avoir un an et demi de plus. Nous avions là une nouvelle occasion de lever les doutes qui planent depuis trop longtemps sur l’identité d’Elie Wiesel. Nous allions enquêter pour découvrir si les professionnels du domaine biométrique (cette science qui désigne l’étude quantitative des êtres vivants) confirmeraient ou infirmeraient cette déclaration d’Elie Wiesel. S’ils confirmaient la version d’Elie Wiesel, ce serait une sérieuse brèche dans la thèse de Nikolaus Grüner (le rescapé de la Shoah qui a le premier mis en doute l’authenticité du témoignage d’Elie Wiesel, voir notre premier article pour les détails) et la suspicion autour d’Elie Wiesel. S’ils l’infirmaient, ce serait un élément à charge de plus contre la véracité du témoignage d’Elie Wiesel (mais en AUCUN CAS de la Shoah, qui n’est à aucun moment mise en doute dans cette histoire, comme expliqué notamment ici).

Photo du jeune Élie  Weizel.
Photo du jeune Élie Weisel.

Parcours du combattant

Nous commençons ainsi nos recherches auprès de différentes institutions scientifiques françaises et étrangères spécialisées dans ce domaine : le Laboratoire d’Informatique en Image et Systèmes d’information (voir leur site), le laboratoire Reconnaissance de Formes et Vision (voir leur site), Télécom Sud Paris, Imagine (école centrale de Lyon), Biometric Recognition Group – ATVS à Madrid (voir leur site), le NIST aux États-Unis, l’Université de Bologne (voir leur site), l’Unité Biostatistique et Processus Spatiaux à Avignon (voir leur site), Kurt Kindermann (expert agréé près des tribunaux pour l’identification biométrique expertise, qui avait travaillé notamment sur l’affaire Al Dura), et Daniel Thérien (expert judiciaire des visages au Québec, voir son site).

Après plusieurs semaines d’attente, et malgré de nombreuses relances mails et téléphoniques, nous n’avons reçu qu’une seule réponse, celle de Daniel Thérien. Après avoir vérifié qu’il est bien expert judiciaire des visages, nous décidons de lui confier les trois photos que nous avons en notre possession afin qu’il les analyse. La première, c’est celle d’Elie Wiesel qui prétend être sur la photo de Buchenwald, reproduite ci-dessus. Nous la nommons “EW”, sans révéler à M. Thérien qu’il s’agit d’Elie Wiesel afin de ne pas influencer son travail. La seconde, c’est la photo d’Elie Wiesel à 15 ans (donc un an et demi avant la photo de Buchenwald), telle que reproduite par les sites sérieux (voir ci-contre). Nous la nommons “young”, pour jeune en anglais, toujours sans indiquer à M. Thérien de qui il s’agit. Enfin, nous transmettons une troisième photo de Wiesel que nous a transmis l’orphelinat où il a été recueilli après la guerre, la photo datant d’octobre 1945, soit 6 mois après la photo de Buchenwald. Nous la nommons “orphelinat”. L’orphelinat ne nous a pas autorisé à reproduire cette photo, et nous a même menacé de poursuites judiciaires si nous le faisions. Cette réaction est surprenante, mais nous nous y plions. Toutefois, nous publions les conclusions de l’expert judiciaire qui a pu voir cette photo et l’analyser au même titre que les deux autres, car c’est le plus important.

Rapport de Daniel Thérien

Nous précisons que nous avons l’autorisation de M. Thérien pour reproduire ce rapport intégralement ici.

“Analyse physionomique Monsieur EW Vs Monsieur Orphelinat et Monsieur Young
Table des matières
Page 3 : Curriculum Vitæ de M. Daniel Thérien
Page 4 : Mandat
Documents de référence
Page 5 : Méthodologie du montage photographique
Page 6 : Expertise et analyse
Page 7 : Conclusion
Page 8 : Montage photographique

Curriculum Vitae
Natif de Montréal, Daniel Thérien se passionne pour les visages dès l’âge de 16 ans (1971). Que ce soit par le dessin, la peinture à l’huile ou la sculpture sur bois, il explore le monde des physionomies. Son désir de maîtriser les expressions faciales le dirige vers des livres traitant de morphologie humaine et de morpho-psychologie. Au début des années 1990, il approfondit sa recherche sur de nombreuses théories : les « quatre tempéraments » d’Hippocrate, les « trois étages » de Lavater, « le dilaté et le rétracté » du Dr Louis Corman, les découvertes sur les muscles peauciers du Dr Roger Ermiane, les 4 stades de développement avec Brigitte Guthmann et bien d’autres. Au cours de la dernière décennie, son intérêt s’est porté vers les micros expressions du Dr Paul Ekman et vers les neurosciences et les sciences du comportement sur lesquelles des chercheurs de renommée internationale font des recherches. Ce n’est qu’en 1997, après avoir participé à des évènements corporatifs, que germe en lui l’idée de monter une formation sur l’interprétation des visages en se fondant sur les connaissances acquises. En 2002, Daniel Thérien édite son premier livre intitulé « 180 célébrités ». Une fois les stocks de ce livre épuisé, il édite, trois ans plus tard, un second ouvrage intitulé « Un visage vaut 1 000 mots ». En 2005, il commence à donner des formations et il participe à l’enregistrement de l’émission « SOS Beauté » avec Chantal Lacroix, qui sera suivi d’une entrevue en direct avec Louise Deschatelets, ainsi qu’au bulletin de nouvelles de TVA lors d’un évènement au Musée des Civilisations à Gatineau. Avec ses 41 années d’expertise, Daniel Thérien détient une solide connaissance des visages. En plus d’être expert judiciaire, il détient également un certificat de niveau « Expert Avancé » sur les micros expressions faciales du Dr Paul Ekman et une accréditation du Barreau du Québec pour les Unités de Formation Continue (Formation 10040170).

Mandat
J’ai reçu le mandat de M. Jean Robin de vérifier si la personne sur la photographie nommée EW est la même que celle sur les photographies nommées Orphelinat et Young.
Documents de référence
Les trois photographies, Orphelinat, EW et Young, proviennent de M. Jean Robin, propriétaire du site Web Enquête & Débat. Ces photographies m’ont été envoyées par courriel sous forme numérique.
Voici les dimensions des photographies en question (largeur X hauteur) ainsi que leur résolution et leur format :
EW : 8,04 X 7,9 cm – Résolution de 72ppp – Format .bmp
Young : 24,08 X 27,43 cm – Résolution de 100ppp – Format .jpg
Orphelinat : 3,12 X 3,94 cm – Résolution de 300ppp – Format .jpg
Veuillez noter que les photographies ont été converties en format .tif afin d’éviter toute compression subséquente et de rester fidèle aux fichiers sources reçus.
Pour la provenance, la datation ou l’authentification des photographies, veuillez vous référer à M. Jean Robin.
Le montage photographique est une compilation des trois photographies, Orphelinat, EW et Young, que j’ai mises à l’échelle pour en faciliter l’analyse, la comparaison et l’évaluation des visages. Ainsi, il est possible de reproduire ce montage et d’arriver à une conclusion similaire.
Montage photographique : 8 ½ par 11 pouces – Résolution 300 ppp – Format .tif

Méthodologie du montage photographique
Pour avoir des visages de dimension similaire, j’ai aligné la hauteur des visages en fonction de la distance entre les hauts des crânes et le bas des mentons. Dans le cas d’Orphelinat, l’imprécision que la chevelure apporte est largement compensée par la ressemblance évidente des traits faciaux ainsi que par les proportions biométriques analogues à Young.
Cette méthode facilite la comparaison visuelle en donnant la possibilité d’évaluer les proportions faciales à l’aide de mesures biométriques. Les lignes parallèles tracées sur les trois photographies mettent en évidence les similitudes ou les discordances entre les visages. La possibilité de comparer visuellement les trois photographies facilite donc l’observation oculaire en soulignant des subtilités
autrement non perceptibles. Pour augmenter votre capacité à voir les différences, il est fortement suggéré de balayer du regard les trois photographies de droite à gauche et de gauche à droite, et ce, de manière répétitive.
Important : La hauteur du visage sur le montage photographique mesure 7,6 cm de hauteur, ce qui représente plus ou moins 1/3 de la dimension réelle du visage.
Une différence de 0,12 cm dans les proportions faciales sur le montage photographique équivaut donc à plus ou moins 0,36 cm de différence entre les deux points, ce qui est non négligeable.
Le montage des photographies a été exécuté à l’aide du logiciel Photoshop CS6, en prenant soin de respecter les proportions des documents sources. Les images ont été recadrées à l’aide d’une technique dite « vectorielle », tout en gardant la même précision que l’image de départ. Les lignes parallèles ont été tracées en grossissant l’image à 300 %, ce qui assure ainsi une plus grande précision d’exécution et d’analyse. Les mesures prises sur le montage photographique ont été obtenues à l’aide d’un outil de précision inclus dans le logiciel Photoshop.

Expertise et analyse
A- Ce qu’il y a de commun entre Orphelinat, EW et Young? Un strabisme oculaire et l’alignement du haut de l’oreille gauche.
B- La mise à l’échelle du visage de Young et d’Orphelinat montre une similitude importante dans les cheveux, les sourcils, le front, le nez, la bouche, le menton et les proportions faciales.
J’arrive à la conclusion que la personne dans Orphelinat et celle dans Young ont de très fortes probabilités, proches de la certitude, d’être une seule et même personne.
C- Lorsque je compare EW avec Young et Orphelinat, j’arrive à des discordances importantes dans les yeux, le nez, la bouche, et les proportions faciales qui sont différentes.

Discordances entre EW avec Orphelinat et Young
(Voir montage photographique)

 

final

(1) La distance entre le coin de l’oeil et le menton est plus haute de +0,12 cm chez EW que chez Young et Orphelinat, ce qui modifie les proportions faciales.
(2) La distance entre la base du nez et le menton est plus haute de +0,17 cm, ce qui démontre à nouveau une différence entre les proportions faciales.
(3) La distance entre le centre des deux lèvres et le menton est plus haute de +0,09 cm. Ceci confirme une différence supplémentaire dans les proportions faciales.
(4) Le nez d’EW est plus étroit que celui de Young et celui d’Orphelinat.
(5) La courbure du nez d’EW ne se retrouve pas chez Orphelinat dont le nez est rectiligne. Young est photographié perpendiculairement, ce qui ne donne aucune information sur la courbure du nez.
(6) Les ailes du nez d’EW sont minces et charnues chez Young et Orphelinat.
(7) Les lèvres de Young et d’Orphelinat s’amincissent au centre de la bouche, contrairement aux lèvres d’EW qui sont plus pulpeuses. L’épaisseur de la lèvre inférieure d’EW est aussi plus volumineuse, bombée et convexe que celles d’Orphelinat et de Young. Il s’agit d’une discordance importante avec Young et Orphelinat, dont la lèvre inférieure est amincie, creuse et concave.

N.B. : Il est impossible de se prononcer avec certitude au sujet des sourcils d’EW. En effet, ceux-ci pourraient être dans leur position naturelle et présenter une différence notable avec ceux d’Orphelinat et de Young. Par contre, si EW était accablé de tristesse, la position naturelle (neutre) de ses sourcils en serait modifiée. Or, si Orphelinat et Young étaient également accablés de tristesse, leurs sourcils ressembleraient peut-être à ceux d’EW. L’incertitude apportée par la position des sourcils m’oblige donc à omettre leur utilisation dans cette étude.

 

Conclusion négative
Après avoir analysé le montage photographique et comparé minutieusement les profils physionomiques, j’arrive à la conclusion suivante : il y a de très fortes probabilités que la personne sur la photographie nommée EW ne soit pas la même que celle sur les photographies nommées Orphelinat et Young.”

Notre conclusion

Cet expert judiciaire québécois, qui ignorait tout de l’identité de la personnalité connue que nous lui soumettions, a donc la quasi-certitude que les deux photos de Wiesel avant et après celle de Buchenwald sont celle de la même personne, et la quasi-certitude que celle de Buchenwald ne correspond pas à cette personne. Il semble donc avéré qu’un élément supplémentaire vient contredire la version donnée par Elie Wiesel, ce qui est naturellement grave.

Nous invitons donc les médias à faire leur travail, comme nous le faisons avec nos modestes moyens, et à contre-enquêter sur cette histoire, afin de découvrir la vérité et de lutter contre l’antisémitisme. Nous continuerons notre enquête sur Elie Wiesel jusqu’à ce que la vérité soit faite. Il s’agit de la mémoire de la Shoah, ce génocide des juifs sans aucune commune mesure, et de la mémoire des déportés. L’ironie du sort veut qu’une partie de ma famille juive soit morte à Auschwitz, et que mon arrière-grand-père non-juif ait été déporté à Buchenwald pour faits de résistance, et soit mort à Dora qui dépendait de Buchenwald, comme je l’explique dans mon livre La judéomanie, elle nuit aux juifs, elle nuit à la République, paru en 2006. Je leur ai rendu hommage en visitant ces deux camps au début des années 2000.

Notre devoir est de transmettre la vérité à nos enfants et éliminer les   doutes légitimes sur Elie Wiesel.Comme nous l’expliquions, plus une cause est importante, moins le doute est permis. Après le numéro de tatouage d’Auschwitz, le conflit d’intérêt du prix littéraire remis par son préfacier François Mauriac, le refus d’Elie Wiesel de répondre aux questions, et maintenant la photo de Buchenwald, il  est terminé le  temps que M. Wiesel s’explique publiquement sur tout cela, le silence de sa part ajoutant du doute au doute, et nourrissant désormais clairement l’antisémitisme. Son silence est d’autant plus incompréhensible qu’il est devenu, à tort ou à raison, le symbole de la mémoire de la Shoah, qui s’exprimait d’ailleurs en 2009 à Buchenwald avec Barack Obama et Angela Merkel, sa responsabilité devant l’Histoire et son devoir de transparence sont donc d’autant plus importants.

 

Conclusion finale

Bon débarras !

 

 

 

 

 

20 EXTRAITS CHOQUANTS DU TALMUD +18!! ( livre saint des sionistes d’israel – ce n’est pas la Torah des vrais Juifs…)

 

Dieudonné et vidéo

 

http://www.youtube.com/watch?v=mLqWP9iGnuE

1– “Il est autorisé d’avoir des rapports sexuels avec une fille de trois ans et un jour », Sanhedrin 55b

2– « Jésus était un bâtard né dans l’adultère », Yebamoth 49b

3– « Il est permis de divorcer avec votre femme si vous voyez une plus jolie fille-vierge et attirante, même si elle n’est âgée que de 3 ans », Gittin 91a

4– « Jésus a été envoyé en enfer, où il est puni en étant bouillit dans des excréments”, Gittin 56b

5– « Marie était une prostituée », Sanhedrin 106a

6– « Les disciples de Jésus méritent d’être tués », Sanhedrin 43a

7– « Même le meilleur des Goyim (non juif) devrait être abattu », Abhodah Zarah 26b T

8– « Les femmes Juives sont contaminées par la simple rencontre de Non-juifs », Iore Dea 198, 48

9– « Il n’est pas bon de parler aux femmes, pas même votre propre femme », Aboth 1.5

10– « Un Non-juif est comme un chien », Ereget Rashi Erod.22 30

11– « Mangez en présence d’un non-juif c’est comme manger avec un chien », Jebamoth 94b.

12 « Vous pouvez tuer un incroyant avec vos propres mains », Abhodah Zarah 4b

13– « Si un goyim (non-juif) frappe un juif, il faut le tuer, car c’est comme frapper Dieu« , Sanhedrin 58b

14– « L’usure(le taux d’intérêt) peut être pratiquée sur les Non-juifs », Abhodah Zarah 54a

15– « Si un juif trouve un objet appartenant à un goyim, il n’est pas tenu de le lui rendre », Babha Mezia 24a.

16– « La propriété d’un Non-juif appartient au premier juif qui la réclame », Babha Bathra 54b

17– « Ce qu’un juif vole d’un non-juif, il peut le garder », Sanhedrin 57a

18 « Les goyims (non juifs) qui chercheraient à découvrir les secrets de la Loi d’israël, commettent un crime qui réclame la peine de mort », Sanhedrin 59a

19– « Ordre est donné de modifier et de ridiculiser les textes religieux des goyims (non juifs) », Iore Dea 147.5

20– « Tous les juifs sont vertueux », Sanhedrin 11.1

SVP pas de commentaires antisémites…les juifs non sionistes d’adhèrent pas à cette idéologie, bien au contraire!

 

N’oubliez pas de partager cet article…

.►►► Pensez à regarder la VIDÉO PRINCIPALE de la page (âmes sensibles s’abstenir…)◄◄◄.

Cliquez ici: Vidéo contre Valls

VOICI LES SOURCES DE CET ARTICLE (vérifiez par vous même…):

1- http://www.egaliteetreconciliation.fr/Quelques-extraits-du-talmud-7020.html

2-http://www.codeig.net/Pranaitisfr.pdf

3-http://renefouquet.e-monsite.com/pages/franc-maconnerie-n-o-m/extraits-choquants-du-talmud.html

4-http://www.thelogician.net/5_other_writings/Le_raisonnement_talmudique.pdf

5-http://books.google.fr/books/about/Le_Talmud_de_Babylone.html?id=WEsVAAAAYAAJ

6-http://pekeles.over-blog.com/pages/EXTRAITS_DU_TALMUD_LES_LOIS_CONTRE_LES_NONJUIFS-1747613.html

7- etc…

Source directe de cet article:  La page Facebook de la Vidéo que Manuel Valls veut supprimer

Le gouvernement du Québec comparé à la Russie de Poutine

Je ne rebloggerai pas un article aussi outrageant.Je vais juste vous le traduire pour vous donner une bonne idée du racisme  véhiculé par le National Post contre le Québec,sa langue,son drapeau et ses droits.

Le National Post  y va à fond de train contre le peuple québécois ,par la même occasion.Un commentaire stipule même que nous , le peuple québécois,n’aurions plus  le droit d’exposer notre drapeau fleurdelysé à cause de la « croix blanche » au centre.

En 1995,Lucien Bouchard était comparé à Adolph Hitler  et le Parti québécois au Parti nazi. En 2013, on ose comparé Pauline Marois à Vladimir Poutine  et le Québec est devenu la Russie.C’est une insulte grave,car jamais Vladimir Poutine  n’ira manifester avec  les gais et les lesbiennes…jamais Poutine ne fera de lois anti-corruption,car c’est grace à la Mafia russe qu’il a pris et garde son pouvoir.Par contre,à Toronto ,on n’a pas hésité à frapper sur des manifestants anti-capitalistes jusqu’à les blesser gravement,devant les caméras.Au Québec, les policiers  essayent de se cacher avant de frapper.

En 2013,la rage qu’exprimait jadis Félix Leclerc…monte en moi…,malgré moi!

N’oubliez jamais mes ami(e)s que dans le mot « Révolution »,il y a le mot »Évolution »!

Voici le torchon :

«Comme  dans la  Russie de Poutine»:  le «plan impensable»  du Parti québécois «d’interdire les signes religieux dans le secteur public

 Baltej Singh Dhillon, the RCMP constable who fought to wear his turban.
Baltej Singh Dhillon, the RCMP constable who fought to wear his turban.

MONTRÉAL – Lorsque le philosophe Charles Taylor lu le titre tabloïd mardi que le gouvernement du Parti québécois a l’intention d’interdire le port de tout symbole religieux dans les institutions publiques, il a supposé qu’il s’agissait d’une erreur par l’excitable Journal de Montréal.

« Je ne pensais  pas que le gouvernement irait si loin « , a-t-il déclaré à un journaliste de Radio-Canada.

Dire aux  travailleurs dans le secteur public, à partir des garderies  jusqu’aux hôpitaux, qu’ils ne peuvent pas porter le hijab, la kippa, le turban ou le crucifix en vue sur le travail serait « un acte absolument terrible d’exclusion», a déclaré M. Taylor, un professeur de l’Université McGill qui a servi en tant que co-président d’une commission gouvernementale pour  étudier les accommodements religieux en 2007-2008.

« C’est quelque chose que l’on s’attendrait à voir dans la Russie de [Vladimir] Poutine. C’est exactement la même chose, que les gens ne peuvent pas être vu en public d’être gay, ils ne peuvent pas avoir un défilé de la fierté gaie, parce que c’est contre la loi. Dans ce type de société, nous nous attendons à ce que, si nous protestons fermement et correctement. Mais dans une société libérale comme la nôtre, il est presque impensable.  »
Relatif

Mais comme la journée se passa sans que personne du gouvernement niant le rapport avant de page du Journal, il semblait que le « presque impensable» est de gagner les politiques publiques dans les yeux du PQ.

En fait, les détails divulgués sont en ligne avec ce que le parti a promis pendant la campagne électorale de l’an dernier, lorsque le premier ministre Pauline Marois a déclaré que ces mesures étaient nécessaires pour préserver «notre identité, notre langue, nos institutions et nos valeurs. »

Son gouvernement minoritaire prévoit de présenter ses propositions pour une charte des valeurs du Québec lorsque l’Assemblée nationale reprendra ses travaux le mois prochain. Retardé par rapport au printemps, la charte a été décrit par le ministre responsable, Bernard Drainville, comme la «loi 101 de notre ère » – une référence à la Charte de la langue française adoptée par le premier gouvernement péquiste en 1977.

«La société québécoise est de plus en plus multi-ethnique et multi-religieuse, qui est une richesse exceptionnelle. Mais si nous voulons être en mesure de bien gérer cette diversité, nous aurons à nous donner des règles et des valeurs communes « , a dit M. Drainville Le Devoir au printemps dernier.
Ian Smith / Vancouver Sun
Ian Smith / Vancouver 1992 Sun fichier photo de Baltej Singh Dhillon, l’agent de la GRC qui se sont battus pour porter son turban.

Avec son projet de souveraineté au point mort, le PQ espère  qu’en mettant l’accent sur la protection des valeurs du Québec  qu’il va gagner le soutien (des électeurs)  avant une élection qui pourrait venir l’année prochaine.

En mai, il a commandé un sondage pour demander l’opinion des gens sur l’accommodement des minorités religieuses, et a constaté que la majorité des répondants appuient l’interdiction des signes religieux dans la fonction publique.

Citant des sources anonymes, le Journal a rapporté que la charte de M. Drainville interdirait les travailleurs du secteur public de porter des signes religieux ostensibles.

La commission dirigée par M. Taylor et Gérard Bouchard a recommandé l’interdiction des symboles pour les salariés en situation d’autorité – des policiers, des juges et des gardiens de prison. Mais le PQ a l’intention d’aller beaucoup plus loin, couvrant les travailleurs de garderie, les enseignants des écoles publiques et les employés de l’hôpital, ainsi que tous les fonctionnaires. En outre, les personnes qui reçoivent des services du gouvernement devraient avoir le visage découvert.

 » Je n’ai pas encore l’avoir expliqué comment mon port d’un symbole religieux a affecté mes capacités à représenter mes citoyens. »

Les nouvelles est sortie  le jour même Lionel Perez, maire de Montréal pour l’arrondissement multi-culturel de la Côte-des-Neiges-Notre-Dame-de-Grâce, a rencontré M. Drainville pour discuter de ses préoccupations au sujet de la charte proposée. En mai, M. Drainville avait fustigé contre la politique de l’arrondissement de ne pas  donner des billets d’infractions aux  voitures autour de synagogues juives sur les séjours élevés. Il avait également critiqué la politique de longue date de l’arrondissement de désigner deux heures par semaine, à la piscine municipale, pour les femmes seules.

M. Perez, qui est juif et porte une kippa, a dit qu’il a tenté en vain d’influencer M. Drainville sur la question des symboles religieux.

«Si quelqu’un commence à faire du prosélytisme au travail, c’est évidemment un comportement inacceptable», M. Perez a déclaré dans une interview. « Mais quelqu’un qui porte un hijab et est un professeur de l’école, ils peuvent communiquer, ils peuvent transmettre l’information à la fois verbale et non-verbale, et  il n’y  a aucune façon que  cela affecte la capacité de la personne à accomplir leurs responsabilités.

« En tant qu’élu au cours des quatre dernières années, j’ai porté une kippa, et je n’ai pas encore  eu à avoir expliqué comment mon port d’un symbole religieux a affecté mes capacités à représenter mes concitoyens. . . Je pense que c’est un exemple de la nouvelle réalité québécoise que nous avons, les nouvelles données démographiques du Québec ».

M. Taylor a déclaré qu’il est faux pour  le PQ  de penser la laïcité exige la neutralité religieuse de tous les représentants de l’Etat.

« Ce qui est important, c’est que ces institutions soient neutres», a-t-il dit. « Mais le fait qu’ils sont neutres ne signifie pas que les personnes qui  y travaillent soient neutres. »

M. Perez espère que la charte proposée reste un travail en cours et que les têtes froides prévaudra. « La question est si inflammatoire que nous devons être responsables et modérés dans nos vues », at-il dit. « Nous devons démontrer que c’est un débat d’idées et non pas faire de la petite politique sur le dos des citoyens. »

Pour voir l’article en anglais  htt:p://fullcomment.nationalpost.com/2013/08/20/like-putins-russia-parti-quebecois-unthinkable-plan-to-ban-religious-symbols-in-public-sector/

 

 

Vive la République nationale du peuple québécois!