Alexis Cossette-Trudel de Radio-Québec s’entretient avec un représentant de la communauté kabyle au Québec…Vous serez surpris:

Ainsi, l’Ontario s’apprête à avoir un parti islamique en bonne et due forme.
Quand l’islam fait de la politique…
Le Parti islamique de l’Ontario n’est pas encore officiellement enregistré, mais le nom a été réservé sur le site d’Élections Ontario et le parti a publié son programme sur son site internet.
On peut y lire entre autres que « l’islam est la religion de l’Ontario et du Canada » et que l’économie et l’éducation devraient être conformes aux valeurs préconisées par le Coran.
BELGIQUE, ÉTAT ISLAMIQUE
Vous voulez savoir à quoi ça pourrait ressembler, un parti islamique ?
Vous n’avez qu’à regarder du côté de la Belgique.
Le parti belge Islam existe depuis 1999 (il s’appelait Noor à sa fondation, mais a changé de nom en 2012).
Au début, les dirigeants de ce parti disaient : « Ce n’est que pour légiférer dans des histoires de droit familial, pas plus. Avoir des tribunaux coraniques comme il y a des tribunaux rabbiniques… »
Mais avec les années, leur programme s’est étoffé.
Maintenant, les dirigeants du parti Islam parlent d’autoriser le port du voile dans les écoles, de rétablir la peine de mort, de favoriser le mariage dès l’adolescence, de rendre le divorce plus compliqué (pour les femmes, bien sûr) et de réviser la mixité dans les lieux publics.
Séparer les femmes et les hommes dans les transports en commun, par exemple, et dans les piscines publiques.
De dire Redouane Ahrouch, qui a été élu (oui, oui, vous avez bien lu — élu ) lors des élections communales de 2012 : « Il faut sensibiliser les gens en douceur et leur faire comprendre l’avantage d’avoir des dirigeants et des lois islamiques, pour aboutir tout naturellement à un État islamique en Belgique.
« Je suis pour la charia. C’est un combat de longue haleine qui prendra des décennies, voire un siècle, mais le mouvement est lancé… »
SOUMISSION
Et on nous dira ensuite que les islamistes ne s’intéressent qu’à la religion et n’ont aucune visée politique.
Il n’y a que les porteurs de tuque de Québec solidaire pour penser ça…
Quand un député conservateur dit qu’il ressent un malaise en pensant qu’une femme peut avorter à son septième mois de grossesse, la gauche déchire sa chemise et dénonce la montée de l’extrême droite, mais quand des islamistes annoncent qu’ils songent à fonder un parti politique pour instaurer la charia en Ontario, les adeptes du Che haussent les épaules et regardent le bout de leurs souliers.
On se croirait dans un roman de Michel Houellebecq.
« Un parti islamiste ? Ce n’est pas génial, mais c’est quand même mieux que la droite dure… »
Mais que voulez-vous : nos chartes protègent la liberté de religion, Justin est un multiculturaliste zélé et la constitution canadienne reconnaît la suprématie de Dieu, alors…
Dans la lutte au radicalisme religieux, le Canada se bat une main attachée dans le dos.
UN MUR
Tiens, au lieu de construire un mur entre les États-Unis et le Mexique, pourquoi ne pas ériger un mur idéologique entre la politique et la religion ?
Dire haut et fort que le Canada ne veut rien savoir d’un parti religieux, qu’il soit islamique ou catholique.
Mais non, on se fera traiter de méchants laïcards…
Richard Martineau..
*Merci Céline Galipeau pour le lien!
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Source: https://www.journaldemontreal.com/…/quand-lislam-fait-de-la…
Le prix du cannabis a connu une hausse significative depuis sa légalisation. Les produits proposés en vente légale se vendent plus cher que ceux disponibles sur le marché noir, selon une analyse des prix compilée par Statistique Canada.
Statistique Canada a recueilli des données sur les prix du cannabis avant sa légalisation le 17 octobre 2018 et les a comparées au prix moyen à la fin de la même année, c’est-à-dire après la légalisation. Il en ressort une hausse de 17% du prix pour un gramme de cannabis.
Le prix moyen d’un gramme de cannabis médicinal ou autre coûtait 9,70 $, comparativement à 6,51 $ sur le marché noir au cours du quatrième trimestre de l’an dernier, précise l’agence fédérale.
« Il n’est pas surprenant que le prix de l’herbe ait augmenté », affirme David Clement, directeur des affaires nord-américaines du Consumer Choice Centre, un groupe de défense des consommateurs qui fait une veille réglementaire à l’échelle mondiale. Il estime que deux facteurs principaux font augmenter les coûts du cannabis : les taxes et le manque de concurrence.
« Il en coûte un demi-milliard par an pour appliquer les règles et règlements de la Loi sur le cannabis, afin de générer les revenus nécessaires pour couvrir les frais et les licences qu’ils ont imposés aux producteurs autorisés », ajoute M. Clement.
Dans la majorité des provinces et des territoires, l’accès au cannabis est limité aux commerces de détail et aux boutiques en ligne gérés par le gouvernement.
Il n’y a que sept permis de vente au détail du cannabis pour une région de l’Ontario de la taille de la Nouvelle-Écosse.
Les problèmes de prix permettront aux vendeurs illégaux de rester « en affaires », pense Jeffrey Lizotte, un lobbyiste du cannabis et PDG de Next Wave Brands.
Le sujet revient souvent dans les échanges avec Santé Canada et les organismes de réglementation provinciaux pour aider à alléger le fardeau et s’assurer que le cannabis légal puisse faire face à la concurrence du marché noir pour ce qui est des prix. « C’est la seule façon pour nous de déplacer le marché noir », explique Jeffrey Lizotte.
D’après l’enquête, quelque 7,7 % des personnes interrogées ont déclaré avoir acheté du cannabis pour la première fois.
Article tiré du: WASHINGTON POST : LES TERRIBLES NOUVELLES RÈGLES ÉLECTORALES DE JUSTIN TRUDEAU LIMITERONT L’ACTIVISME ET LES DROITS DES CITOYENS
Les médias sont un autre moyen d’influence avec un pot-de-vin de 595 millions de dollars que Trudeau versera aux journalistes qui publient ce qu’il veut, rapporte le journal américain
Le Washington Post a publié cet article le 26 décembre pour dénoncer les priorités régressives du gouvernement Trudeau pour manipuler les élections fédérales de 2019. L’article a été rédigé par J.J. McCullough. Ce sont des pratiques fondamentalement illibérales du pouvoir de l’État pour restreindre davantage les droits des citoyens, dénonce l’auteur.
Selon l’article :
◉ Une saine gouvernance ne peut être maintenue avec des priorités régressives telles que celles-ci.
◉ Le gouvernement de Justin Trudeau a récemment adopté plus de 200 pages de changements spectaculaires dans le fonctionnement des élections au Canada. Les nouvelles règles limiteront davantage la possibilité pour les Canadiens d’exercer leurs droits constitutionnels en matière de liberté de parole politique et d’activisme.
◉ Le projet de loi final de Trudeau ne représente aucune amélioration par rapport au premier projet draconien présenté en avril.
◉ Grâce à ces amendements et à d’autres, la Loi électorale du Canada est maintenant incroyablement longue et effrayante. Les contrevenants peuvent s’attendre à des milliers de dollars d’amende ou même de prison.
◉ Les choses vont presque certainement empirer. Le rêve paradoxal d’une démocratie parfaitement maîtrisée qui a inspiré la Loi sur la modernisation des élections de Trudeau est un projet fondamentalement autoritaire qui trouve toujours une nouvelle justification pour restreindre davantage les droits des citoyens.
◉ Les autres bénéficiaires de tout cela sont les médias. La loi électorale canadienne ne considère pas les journalistes comme des tiers, même s’ils sont des employés de grandes entreprises qui dépensent beaucoup d’argent pour influencer ce que les électeurs pensent de la politique. C’est peut-être parce qu’Ottawa a un plan différent pour eux. Le gouvernement Trudeau a récemment annoncé un nouveau financement de 595 millions de dollars pour subventionner les médias canadiens, ainsi qu’un comité gouvernemental correspondant chargé d’identifier les cas de journalisme dignes de subventions.
◉ Ce sont les tendances actuelles de la démocratie canadienne. Une consolidation d’influence pour ceux qui l’ont déjà, alors que des barrières bureaucratiques toujours plus élevées sont érigées pour limiter l’impact de tous les autres.
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THE WASHINGTON POST | 26 décembre 2018
Par J.J. McCullough
Les histoires d’érosion de la démocratie occupent une place importante dans la presse mondiale ces jours-ci; les coupables présumés sont généralement des hommes forts et flamboyants aux objectifs autoritaires ouverts. Mais la démocratie peut tout aussi bien être affaiblie dans les nations progressistes par ses propres prétendus sauveurs, par des moyens bureaucratiques discrets.
Le gouvernement de Justin Trudeau a récemment adopté plus de 200 pages de changements spectaculaires dans le fonctionnement des élections au Canada. Entre autres choses, les nouvelles règles limiteront davantage la possibilité pour les Canadiens d’exercer leurs droits constitutionnels en matière de liberté de parole politique et d’activisme.
Ces règlements ont été adoptés avec la rigueur progressive habituelle selon laquelle la réglementation des activités et des discours politiques au nom de l’équité et de l’égalité est sans aucun doute vertueuse. Une confiance en soi juste n’empêche pas pour autant les conséquences pratiques de cet exercice fondamentalement illibéral du pouvoir de l’État.
Le dernier projet de loi de Trudeau ne représente aucune amélioration par rapport au premier projet draconien présenté en avril. Selon le ministère des Institutions démocratiques, la nouvelle législation vise à garantir que les «acteurs politiques» opèrent sur un «pied d’égalité», et imposera des «limites raisonnables» à leurs budgets.
En d’autres mots, cela signifie que le gouvernement a trouvé de nouveaux moyens de punir les groupes de Canadiens politiquement motivés, qu’ils soient écologistes, conservateurs sociaux, dirigeants d’entreprise ou des travailleurs, des militants des droits des minorités ou autres, qui se livrent à des activités telles que la publicité porte à porte, téléphoner aux électeurs et organiser des rassemblements sans se conformer préalablement aux règles d’Ottawa.
La «période électorale» officielle du Canada est maintenant plafonnée à 50 jours avant le jour du scrutin, les deux mois ou plus précédant celui-ci constituant également une nouvelle période «préélectorale». Pendant la période «préélectorale» – un concept qui n’a aucune raison démocratique au-delà du désir grandissant du gouvernement de contrôler l’activité politique – les soi-disant tiers sont traités avec autant de suspicion que lors des élections très réglementées.
Les groupes et les individus ne peuvent pas dépenser plus de 700 000 dollars pour des «activités partisanes» et de la «publicité partisane» au cours de cette période, et doivent immédiatement s’inscrire auprès du gouvernement après avoir dépensé leurs premiers 500 dollars. Ottawa s’attend à une liste détaillée de tous les revenus et dépenses engagés, y compris la date et le lieu de chaque tentative de changement d’avis.
Grâce à ces amendements et à d’autres, la Loi électorale du Canada est maintenant incroyablement longue et effrayante.
Tout Canadien qui envisage de faire des dépenses ou des efforts importants pour persuader ses concitoyens de voter d’une manière ou d’une autre lors de l’élection de l’année prochaine devrait immédiatement engager une équipe d’avocats et de comptables, car il n’y a tout simplement aucun autre moyen de naviguer dans les fonds des mauvaises herbes légales qui régissent maintenant la participation démocratique adjacente aux élections au Canada.
Les contrevenants peuvent s’attendre à des milliers de dollars d’amende ou même de prison.
Les choses vont presque certainement empirer. Le rêve paradoxal d’une démocratie parfaitement maîtrisée qui a inspiré la Loi sur la modernisation des élections de Trudeau – et les nombreuses et terribles lois électorales antérieures qu’elle a élaborées – est un projet fondamentalement autoritaire qui trouve toujours une nouvelle justification pour restreindre davantage les droits des citoyens.
Étant donné que la panique morale antérieure avait déjà limité la collecte de fonds des candidats et des partis au strict minimum, attendez-vous à ce que les élections de 2019 déclenchent une nouvelle vague de paranoïa de la part du gouvernement sur toutes les entreprises, syndicats, industries, etc. puisque l’argent est «canalisé» vers des tiers.
Une administration future imposera alors sans aucun doute des restrictions encore plus strictes aux dépenses et aux activités de tiers. Ils suivront peut-être l’exemple de l’Ontario, où les règlements «préélectoraux» régissent maintenant un ridicule six mois avant le jour du scrutin. Quoi qu’il en soit, il est difficile d’éviter de conclure que l’objectif à long terme est de soustraire totalement les «tiers» aux discussions politiques du Canada.
À un rythme de plus en plus rapide, le Canada consolide son statut de pays dans lequel il est extrêmement difficile pour les Canadiens moyens, qu’ils agissent individuellement ou par l’intermédiaire de groupes de revendication, de communiquer légalement leurs idées ou d’organiser des événements pendant ou autour des élections.
Bien que Trudeau soit le dernier auteur, le problème n’est pas partisan. Tous les partis défient également le fléau des Canadiens engagés de manière inappropriée, qui consacrent une part trop importante de leur temps et de leur argent à des questions qui leur tiennent à cœur.
Sans fondement plus solide que des théories spéculatives et égoïstes sur ce qui nuit à leur capacité de se faire élire, la classe politique canadienne a tout intérêt à minimiser l’activisme politique des autres. Après tout, les législateurs ont le droit de parler sans cesse et de se promouvoir eux-mêmes en tant que membres du gouvernement, et ils veillent jalousement sur cet avantage.
Les «tiers» doivent donc être décrits comme des concurrents illégitimes au même titre que les syndicats et les entreprises. Des aspersions doivent être lancées contre ces étrangers, dans l’exercice de leurs droits démocratiques décrits comme dangereux et subversifs. L’homme politique a pour objectif de monopoliser toutes les discussions sur les politiques et les priorités, rendant ainsi son leadership indispensable.
Les autres bénéficiaires de tout cela sont les médias. La loi électorale canadienne ne considère pas les journalistes comme des tiers, même s’ils sont des employés de grandes entreprises qui dépensent beaucoup d’argent pour influencer ce que les électeurs pensent de la politique.
C’est peut-être parce qu’Ottawa a un plan différent pour eux. Le gouvernement Trudeau a récemment annoncé un nouveau financement de 595 millions de dollars pour subventionner les médias canadiens ( www.theglobeandmail.com/…/article-media-sector-gets-595-mi…/), ainsi qu’un comité gouvernemental correspondant chargé d’identifier les cas de journalisme dignes de subventions.
Ce sont les tendances actuelles de la démocratie canadienne. Une consolidation d’influence pour ceux qui l’ont déjà, alors que des barrières bureaucratiques toujours plus élevées sont érigées pour limiter l’impact de tous les autres. Une saine gouvernance ne peut être maintenue avec des priorités régressives telles que celles-ci. »
EN CONCLUSION
Au nom de la loi dictatoriale contrôlante et franc maçonne de Justin Trudeau,les petits partis,les nouveaux partis politiques et ceux que Justin ne veut pas voir vont disparaître afin de ne laisser en place que l’élite politique ancienne qui se perpétuera à jamais!
On appelle cela une dictature inspirée du régime communiste chinois :un système politique « aimé » par la famille Trudeau depuis Pierre Elliott lui-même qui doit jouir dans sa tombe infestée de rats!
L’ annonce récente du gouvernement canadien selon laquelle il fournira plus de 600 millions de dollars canadiens (455 millions de dollars américains) au cours des cinq prochaines années pour venir en aide aux médias en difficulté financière du pays – dans le cadre de la mise à jour financière d’automne du budget fédéral précédant la 2019 élections fédérales – n’est pas aussi innocent que cela puisse paraître.
En réponse à cette annonce, les dirigeants des médias canadiens ont immédiatement ouvert le proverbial champagne et levé leurs verres au premier ministre Justin Trudeau. Unifor , un syndicat national représentant les journalistes canadiens, était encore plus jubilant. Il a estimé que son slogan de » Résistance » – qu’il qualifie de » pire cauchemar » du chef de l’opposition du Parti conservateur Andrew Scheer – avait si rapidement abouti à ouvrir le portefeuille du gouvernement et à distribuer l’argent des contribuables à une industrie qui devrait se battre pour rester fermement indépendant de toute forme de soutien gouvernemental.
C’est ce qu’est une « presse libre » sans doute après tout; pas comme dans les pays dotés de régimes totalitaires, tels que la Russie autrefois tsariste, devenue communiste, l’Union soviétique, la Chine maoïste, le Royaume d’Arabie saoudite, la République islamique d’Iran, Cuba ou encore beaucoup de pays tiers. Etats du monde dans lesquels la presse est simplement un outil de propagande du gouvernement, soumis aux diktats et aux caprices de son chef.
Les récipiendaires du « cadeau » de Trudeau feront valoir que leur indépendance éditoriale ne pourrait être entravée – le paradis derrière eux! – dans une démocratie aussi libérale que le Canada. Leur dos irréprochable montera à la simple suggestion que leur intégrité journalistique pourrait être compromise en concluant un accord financier avec le pouvoir en place.
Quelle que soit la quantité d’encre qu’ils renversent ou d’octets qu’ils gaspillent pour défendre leur vertu, ils ne pourront toutefois pas tromper le public sur la nature de ce marché de Faust , qui revient à être acheté par le parti libéral de Trudeau en échange d’une presse favorable à venir de la prochaine élection fédérale.
Les Canadiens devraient passer de cette « pente glissante » à une version de la société contrôlée par l’État créée par cet accord. Quelle ironie que l’annonce du sauvetage des médias intervienne moins d’une semaine après le 100e anniversairede l’armistice de la Première Guerre mondiale et du jour du Souvenir, durant lesquels les Canadiens honorèrent la mémoire des compatriotes tués et mutilés au cours de guerres pour la liberté contre l’avancée de la tyrannie.
Cependant, cet accord n’aurait sans doute pas dû surprendre, compte tenu de la position affirmée de Trudeau selon laquelle le Canada est un État post-national sans identité fondamentale. En d’autres termes, dans le Canada de Trudeau, il n’y a pas de tradition à vénérer, pas de valeurs sacrées à défendre et pas d’identité à préserver.
Trudeau, semble-t-il, adhère au principe du globalisme selon lequel le monde est sans frontière et l’idée d’États-nations souverains est à la fois réactionnaire et obsolète. Dans ce monde sans frontières, l’organe directeur est l’ Organisation des Nations Unies et ses agences, non élues, non transparentes , irresponsables , corrompues , dotées du pouvoir de légiférer en matière de droit international, qui sont ensuite appliquées par les États membres.
Trudeau semble déterminé à faire du Canada un laboratoire de l’agenda mondialiste. C’est probablement la raison pour laquelle il s’empresse d’adhérer au pacte mondial proposé par les Nations unies pour des migrations sûres, ordonnées et régulières , à adopter lors de la conférence intergouvernementale de Marrakech, au Maroc, du 10 au 11 décembre 2018. La plupart des Canadiens n’en connaissent pas le contenu. du Pacte mondial, que leur gouvernement s’est engagé à signer. Pourtant, c’est dans le cadre de cet accord que diverses décisions prises par le gouvernement Trudeau peuvent être expliquées – décisions sur des questions telles que l’immigration, les changements climatiques, l’islamophobie et le sauvetage des médias par une somme de 600 millions de dollars.
Le Pacte mondial est un document détaillant les exigences que les États membres doivent adopter en tant que politique qui équivaut à une migration mondiale sans entrave. Trudeau a adhéré à ce programme des Nations Unies et a décidé de l’imposer aux Canadiens sans leur consentement préalable.
L’objectif 17 du Pacte mondial stipule :
« Nous nous engageons à éliminer toutes les formes de discrimination, à condamner et à combattre les expressions, actes et manifestations de racisme, de discrimination raciale, de violence, de xénophobie et de l’intolérance qui y est associée, conformément au droit international des droits de l’homme. Nous nous engageons également à promouvoir la transparence et la preuve discours public sur les migrations et les migrants en partenariat avec toutes les composantes de la société, qui génère une perception plus réaliste, plus humaine et plus constructive à cet égard, et nous nous engageons également à protéger la liberté d’expression conformément au droit international, en reconnaissant le débat contribue à une compréhension globale de tous les aspects de la migration. » [Je souligne.]
En vertu de ce qui précède, les États membres sont donc tenus de:
« Promouvoir des reportages indépendants, objectifs et de qualité sur les médias, y compris sur Internet, notamment en sensibilisant et en informant les professionnels des médias sur les questions relatives à la migration et à la terminologie, en investissant dans des normes de reportage éthique et dans la publicité, et en arrêtant l’affectation de fonds publics ou d’un soutien matériel aux médias qui promeuvent systématiquement l’intolérance, la xénophobie, le racisme et d’autres formes de discrimination à l’égard des migrants, dans le plein respect de la liberté des médias. » [Je souligne.]
Traduit du langage ONU, cela signifie que les médias des États membres doivent adhérer aux objectifs adoptés dans le Pacte mondial et s’abstenir de toute discussion critique sur ces objectifs qui serait considérée comme non « éthique « et contraire aux normes de l’ONU ou des normes compatibles avec l’idéologie du mondialisme. Cela aide à expliquer la généreuse contribution du gouvernement Trudeau aux médias canadiens. Dans cette optique, les 600 millions de dollars peuvent être considérés comme une forme de contrôle discret et de censure discrète, garantissant que la presse canadienne respecte les exigences du Pacte mondial.
En acceptant cet argent, l’ensemble des médias canadiens ne diffère pas de celui du radiodiffuseur public national CBC , dont les nouvelles et les opinions sont toutes orientées vers le centre-gauche, épousant les positions politique, économique et culturelle du Parti libéral – avec quelques marques occasionnelles. et une vue conservatrice hautement contrôlée dans le mélange dans le but de maintenir la façade de la liberté d’expression.
L’élimination progressive de la liberté d’expression est une caractéristique du gouvernement Trudeau, qui a adopté l’année dernière la motion parlementaire M-103 , condamnant toute discussion critique sur l’islam et les musulmans en tant qu ‘ » islamophobie « . Selon l’ONU, l’islamophobie est sectaire, raciste et pourrait faire l’objet de censure ou de poursuites pénales aux termes du « discours de haine » des commissions des droits de la personne au Canada. Cela est conforme à la récente décision de la Cour européenne des droits de l’homme , selon laquelle critiquer le prophète de l’islam équivaut à inciter à la haine et ne constitue donc pas une liberté d’expression protégée. Il est également conforme aux efforts de l’Organisation de la coopération islamique – le plus grand groupe de 57 États membres de l’ONU – à déclarer toute critique ou insulte au fondateur de l’islam et à la religion elle-même comme un blasphème conforme à la charia islamique.
Trudeau et son parti libéral tentent de créer un pays sans frontières où le droit international conçu par l’ONU l’emportera sur la législation adoptée par les représentants élus du peuple canadien qui s’y opposerait.
Si ce processus n’est pas inversé, les Canadiens et les québécois – inondés par une migration de masse – deviendront des citoyens du monde; et le Canada deviendra un protectorat multiculturel nord-américain d’un monde émergent du XXIe siècle, sans frontières et administré par l’ONU. Dans un tel monde, il n’y a pas de place pour la liberté d’expression ou une presse libre. Les médias canadiens devraient réfléchir longuement avant de vendre son âme à Trudeau.
S’il-vous plait signez notre pétition:
Le 11 Novembre 2018 , le président français Emmanuel Macron a commémoré le 100 e anniversaire de la fin de la Première Guerre mondiale en invitant soixante – dix chefs d’Etat d’organiser une coûteuse, inutile, grandiloquent « Forum de la Paix » qui ne mènent à rien. Il a également invité le président américain Donald Trump, puis a choisi de l’insulter. Dans un discours pompeux, Macron – sachant que Donald Trump s’était défini quelques jours plus tôt comme un nationaliste voué à la défense de l’Amérique – a invoqué le « patriotisme »; ensuite, étrangement, le définissait comme « l’exact opposé du nationalisme »; alors appelé cela « trahison ».
En outre, peu avant la réunion, Macron n’avait pas seulement parlé de « l’urgence » de la construction d’une armée européenne ; il a également placé les États-Unis parmi les » ennemis » de l’Europe. Ce n’était pas la première fois que Macron plaçait l’Europe au-dessus des intérêts de son propre pays. C’était cependant la première fois qu’il plaçait les États-Unis sur la liste des ennemis de l’Europe.
Le président Trump a apparemment compris immédiatement que l’attitude de Macron était un moyen de maintenir ses illusions de grandeur et de tenter de tirer un avantage politique intérieur. Trump a apparemment aussi compris qu’il ne pouvait pas rester assis là et accepter des insultes. Dans une série de tweets , Trump a rappelé au monde que la France avait besoin de l’aide des États-Unis pour recouvrer sa liberté pendant les guerres mondiales, que l’OTAN protégeait toujours une Europe pratiquement sans défense et que de nombreux pays européens ne payaient toujours pas le montant promis pour leur propre pays. la défense. Trump a ajouté que Macron avait un taux d’approbation extrêmement bas (26%), faisait face à un taux de chômage extrêmement élevé et cherchait probablement à détourner son attention de cela.
Trump avait raison. La popularité de Macron est en chute libre depuis des mois: il est désormais le président français le plus impopulaire de l’histoire moderne à ce stade de son mandat. La population française s’est détournée de lui en masse.
Le chômage en France n’atteint pas seulement un niveau alarmant (9,1%); il a été alarmant pendant des années. Le nombre de personnes en situation de pauvretéest également élevé (8,8 millions de personnes, 14,2% de la population). La croissance économique est en réalité inexistante (0,4% au troisième trimestre de 2018, en hausse par rapport à 0,2% les trois mois précédents). Le revenu médian(20 520 euros, soit 23 000 dollars par an) est insoutenable. Cela indique que la moitié des Français vivent avec moins de 1710 euros par mois. Cinq millions de personnes survivent avec moins de 855 euros (973 dollars) par mois.
Lorsque Macron a été élu en mai 2017, il avait promis de libérer l’économie. Cependant, aucune mesure significative n’a été prise. En dépit de certaines réformes superficielles telles que la limitation du nombre de licenciements abusifs ou la possibilité légèrement accrue que les petites entreprises puissent négocier des contrats de travail à court terme, le code du travail français, qui est toujours l’un des plus rigides du monde développé, bloque habilement le travail. création. La charge fiscale (plus de 45% du PIB) est la plus élevée du monde développé. Même si certaines taxes ont été supprimées depuis que Macron est devenu président, de nombreuses nouvelles taxes ont été créées. Les dépenses publiques représentent encore environ 57% du PIB (16% de plus que la moyenne des pays de l’OCDE) et ne montrent aucun signe de déclin.
Macron a également promis, lors de son élection, de rétablir la sécurité. Le manque de sécurité , cependant, a explosé; le nombre d’agressions violentes et de viols n’a cessé d’augmenter. Les zones interdites sont aussi répandues qu’il ya un an et extrêmement incontrôlables. L’afflux d’immigrants clandestins non contrôlés dans le pays a malheureusement transformé des quartiers entiers en taudis .
En mai, Macron avait averti que dans de nombreuses banlieues, la France avait « perdu la lutte contre le trafic de drogue « .
Lorsque le ministre de l’Intérieur, Gérard Collomb, a démissionné le 3 octobre, il a parlé d’une « situation très dégradée » et a ajouté que, dans de nombreux domaines, « la loi des plus forts – les trafiquants de drogue et les islamistes radicaux – a remplacé le République. » Il a été tout simplement les évaluations confirmant de refroidissement de « la faveur » des commentateurs tels que Éric Zemmour , auteur de Le suicide Français , et Georges Bensoussan , auteur de Une France Soumise ( A Soumise France) .
Les émeutes sont fréquentes. ils indiquent l’incapacité croissante du gouvernement à maintenir l’ordre. Les grèves dans les transports en commun, qui ont duré tout le printemps 2018, ont été accompagnées de manifestations et d’un pillage enthousiaste de banques et de magasins. La victoire de la France à la Coupe du monde de football en juillet a été suivie par une liesse qui a rapidement fait place à la violence de groupes qui ont brisé des vitrines et attaqué la police.
Depuis son entrée dans la vie politique, les remarques de Macron ont non seulement révélé un mépris pour la population française, mais elles se sont également multipliées. Cela n’a pas aidé. Dès 2014, alors que Macron était ministre de l’Économie, il a déclaré que les femmes employées dans une entreprise en faillite étaient » analphabètes « ; en juin 2017, juste après être devenu président, il a distingué « ceux qui réussissent et ceux qui ne sont rien ». Plus récemment, il a confié à un jeune homme qui avait exprimé son désarroi à la recherche d’un emploi qu’il ne devait que se déplacer et « traverser la rue ». Lors d’une visite au Danemark, il a annoncé que les Français étaient « des Gaulois résistants au changement ».
L’un des rares sujets sur lesquels Macron semblait vouloir travailler était l’islam. Il a souligné à plusieurs reprises sa détermination à établir un » islam de France « . Ce qu’il a omis de prendre en compte, c’est la préoccupation du reste de la population face à l’islamisation rapide du pays. Le 20 juin 2017, il a déclaré (pas assez précisément, par exemple ici , ici , ici , ici , ici et ici ), « Personne ne peut faire croire que la foi (musulmane) n’est pas compatible avec la République ». Il semble également avoir omis de prendre en compte les risques du terrorisme islamique, qu’il appelle rarement par son nom. Il semble préférer utiliser le mot » terrorisme« », sans adjectif, et reconnaît simplement qu’il » existe une lecture radicale de l’Islam, dont les principes ne respectent pas les slogans religieux « ).
L’actuel ministre de l’Intérieur, Christophe Castaner, nommé par Macron pour remplacer Collomb, a écarté les préoccupations exprimées par son prédécesseur et a qualifié l’ islam de « religion du bonheur et de l’amour, à l’instar de la religion catholique ».
Un autre domaine dans lequel Macron a agi sans relâche est le « combat contre le changement climatique », dans lequel ses ennemis ennemis sont ciblés. Sur les véhicules de plus de quatre ans, les contrôles techniques obligatoires ont été rendus plus onéreux et le non-respect de ces contrôles plus punitif, dans l’espoir évident qu’un nombre croissant de voitures plus anciennes pourraient être éliminées. Les limites de vitesse sur la plupart des routes ont été abaissées à 80 km / h (50 mi / h), les radars de contrôle de la vitesse se sont multipliés et des dizaines de milliers de permis de conduire ont été suspendus . Les taxes sur l’ essence ont fortement augmenté (30 cents le gallon en un an). Un gallon d’essence sans plomb en France coûte maintenant plus de 7 dollars.
La petite minorité de Français qui soutiennent encore Macron ne sont pas concernés par ces mesures. Les sondages montrent qu’ils appartiennent aux couches les plus riches de la société, qu’ils vivent dans des quartiers riches et qu’ils n’utilisent presque jamais de véhicules personnels. La situation est douloureusement différente pour la plupart des autres individus, en particulier pour la classe moyenne oubliée .
Une décision récente d’augmenter les taxes sur l’essence était la goutte d’eau. Cela a déclenché une colère instantanée. Une pétition demandant au gouvernement d’ annuler l’augmentation des taxes a reçu près d’un million de signatures en deux jours. Sur les réseaux sociaux, des personnes ont discuté de l’organisation de manifestations dans tout le pays et ont suggéré aux manifestants de porter les gilets de protection jaunes que les conducteurs sont obligés de ranger dans leur voiture en cas de panne sur le bord de la route. Ainsi, le 17 novembre , des centaines de milliers de manifestants ont bloqué de grandes parties du pays.
Le gouvernement a ignoré les demandes des manifestants. Au lieu de cela, les responsables ont répété les nombreux impératifs non prouvés du « changement climatique » et la nécessité d’ éliminer l’utilisation des « combustibles fossiles » – mais ont refusé de changer de cap.
Après cela, une autre journée de protestation nationale a été choisie. Le 24 novembre , les manifestants ont organisé une marche sur Paris. Beaucoup, semble-t-il, ont décidé, malgré l’interdiction du gouvernement, de se rendre sur les Champs-Élysées et de continuer vers le palais présidentiel.
Des affrontements ont eu lieu, des barricades ont été érigées et des véhicules incendiés. La police a répondu durement. Ils ont attaqué des manifestants non violents et ont utilisé des milliers de grenades au gaz lacrymogène et de canons à eau, ce qu’ils n’avaient jamais fait auparavant. Bien que de nombreux manifestants aient brandi des drapeaux rouges indiquant qu’ils appartenaient à la gauche politique, le nouveau ministre de l’Intérieur, Castaner, a déclaré que la violence venait d’une « extrême droite » sédentaire et fractionnée. Un membre du gouvernement a attisé l’incendie en comparant les « gilets jaunes » français aux « chemises brunes » allemandes des années 1930. Macron a déclaré que ceux qui essayaient « d’intimider les officiels » devraient être «
Enfin, le 25 novembre, Macron a fini par reconnaître , avec une apparente réticence, la souffrance de la « classe ouvrière ». Deux jours plus tard, Macron a prononcé un discours solennel, annonçant qu’il créerait un « grand conseil pour le climat », composé d’écologistes et de politiciens professionnels, et que son objectif était de sauver la planète et d’éviter « la fin du monde ». Il n’a toujours pas dit un seul mot sur les griefs économiques qui s’étaient exprimés au cours des dix jours précédents.
La républicaine Laurence Saillet, porte-parole du parti de centre-droit, a déclaré : « Les Français disent: » Monsieur le Président, nous ne pouvons pas joindre les deux bouts « , et le président répond: » nous allons créer un Haut Conseil [pour le climat] ] ‘Pouvez-vous imaginer la déconnexion? « .
Marine Le Pen, présidente du Rassemblement national de droite (l’ancien parti du Front national et aujourd’hui le principal parti d’opposition en France), a déclaré : « Il y a une minuscule caste qui fonctionne pour elle-même et la grande majorité des Les Français qui sont abandonnés par le gouvernement et se sentent rétrogradés, dépossédés « .
Les « jaunes » bénéficient désormais du soutien de 84% de la population française. Ils exigent la démission de Macron et un changement immédiat de gouvernement. Ceux qui parlent à la radio et à la télévision disent que Macron et le gouvernement sont désespérément aveugles et sourds.
Pour le moment, les « vestes jaunes » ont décidé d’organiser une troisième manifestation nationale – aujourd’hui samedi 1 er décembre – avec une nouvelle marche vers Paris et le palais de l’Elysée. La révolte dans le pays s’intensifie et ne montre aucun signe de ralentissement.
Le politologue Jean-Yves Camus a déclaré que le mouvement des « vestes jaunes » est maintenant une révolte de millions de personnes qui se sentent asphyxiées par des taxes « confiscatoires » et qui ne veulent pas « payer indéfiniment » pour un gouvernement qui semble « incapable de limiter dépenses ». « Certains ne mesurent pas l’étendue du rejet exprimé par les manifestants », a- t- il ajouté .
Dominique Reynié, professeur à l’Institut d’études politiques de Paris, a déclaréque « Macron et le gouvernement ne s’attendaient pas à ce que leur politique fiscale aboutisse à cela ».
Les élections européennes auront lieu en mai 2019. Les sondages montrent que le parti du Rassemblement national de Le Pen sera en tête, loin devant le parti créé par Macron, La République En Marche! [La République en mouvement!].
En un peu plus d’un an, Macron, élu en mai 2017, a perdu presque tout crédit et légitimité. Il est également l’un des derniers dirigeants européens au pouvoir à soutenir l’Union européenne telle qu’elle est.
Macron, qui a affirmé vouloir vaincre la vague « populiste » qui se répandait sur tout le continent, a également affirmé que les dirigeants qui écoutaient les gens désireux de défendre leur mode de vie étaient la » lèpre » et le » mauvais vent « .
La vague « populiste » frappe maintenant la France; cela pourrait bien signifier la fin du mandat de Macron.
La France – et l’Europe en général – est confrontée à une montée de l’islamisme, c’est désormais bien clair. Mais pourquoi cette montée est-elle apparue ? Voila la bonne question. C’est parce que les mondialistes financiers veulent à tout prix que la finance dirige la politique en remplaçant un peuple rebelle par un peuple soumis. Leur but est de dominer politiquement par la finance et ce, au niveau mondial. Pour cela, ils utilisent les acteurs politiciens corrompus qui en France, veulent instaurer l’islamisme radical. Mais pourquoi l’islamisme et pas autre chose ?
C’est très facile à comprendre parce que cela part d’un constat réel, sans état d’âme particulier, basé sur l’étude ainsi que sur les comportements. D’aucuns affirment que l’islam est une religion. Non, l’islam n’est pas une religion. L’islam est un faux système religieux qui impose et entretient à tout prix l’abaissement humain. En islam, les gens doivent obéir aveuglément aux ordres du coran. Du fait que le coran interdit toute évolution, les islamistes sont privés de cette possibilité depuis l’avènement de cette fausse religion, qui est en réalité un système de négation universelle. Il n’existe aucune possibilité d’élévation dans l’islam appliqué à la lettre. Les preuves se voient tous les jours dans le comportement des personnes islamisées. Tout ce qui est négatif et criminel appartient et est revendiqué par l’islam. L’islam manifeste en permanence la haine et le racisme à l’égard de tous ceux qui ne sont pas de confession musulmane et ces deux notions sont encouragées intensivement par les mondialistes auprès de ces populations. Les humains qui ne sont pas musulmans sont de ce fait les victimes de cette haine et de ce racisme. C’est tellement visible actuellement, à travers les terribles événements qui défraient la chronique, qu’on ne peut s’y tromper.
Quoiqu’on en pense, il existe effectivement deux catégories de personnes islamisées. Ceux qui n’ont jamais appliqué les ordres du coran au pied de la lettre, et ceux qui appliquent ces ordres au iota près. Les premiers sont des apostats, c’est le jugement des islamistes radicaux. Certains emploient le terme : « modérés ». Les seconds sont les radicaux. Les apostats, par crainte ou par respect de leur environnement et des lois de la République, ne pratiquent pas réellement l’islam. Ils évitent, par peur ou par ignorance, d’obéir aveuglément aux ordres du coran. Ils sont donc des traîtres pour les radicaux et doivent payer de leur vie cette désobéissance aux ordres de ce livre. Ce sont les radicaux eux-mêmes qui l’affirment et c’est écrit en toutes lettres dans le livre en question. Il apparaît aussi que pour certaines populations d’apostats, une petite chiquenaude suffirait à les faire changer d’avis et à se rallier aux radicaux. Là encore, la terreur et l’interdiction de l’évolution ordonnée par le coran, font de grands ravages. Pour en être convaincu, il suffit d’observer, entre autres aspects, la condition féminine musulmane.
Les islamistes radicaux n’ont qu’un idée en tête, imposer leurs croyances mortifères partout et obliger le monde entier à respecter le coran et l’islam sans aucune possibilité de retour en arrière. A ce propos, il est extraordinaire de constater à quel point quelques pages de papier peuvent tenir des peuples entiers dans l’immobilité totale de l’esprit pendant aussi longtemps. Vous n’ignorez pas que si vous êtes musulman et que vous quittez l’islam, vous signez votre arrêt de mort. Le mot est lâché. La mort. C’est le maître mot de l’islam. Les apostats n’ont aucune envie de tuer. Ils souhaitent faire un peu comme tout le monde, ne pas trop en savoir sur leur « religion », et ne pas la pratiquer de façon radicale en préservant au mieux leur dignité d’êtres humains. Comparativement, voyez le nombre de fidèles dans les églises et vous aurez compris que les religions n’intéressent plus grand monde aujourd’hui au sein des populations qui ont décidé de sortir de ce carcan. C’est normal du fait que chaque religion a été depuis son avènement, un moyen de domination infernal dont les chefs ont usé et abusé pour maintenir les populations dans la crainte et l’ignorance (pour info, voyez les performances de la « sainte inquisition » et certains « ratés » gênants dont le vatican aimerait qu’ils soient tenus secrets). Cela ne fonctionne plus vraiment de nos jours car heureusement, beaucoup de populations ont évolué.
LES PEUPLES FRANÇAIS DE FRANCE ET D’AMÉRIQUE DU NORD ONT UN COMBAT COMMUN
Le Québec et les canadiens français de l’Ontario et du Nouveau-Brunswick font face à Justin Trudeau qui ne rêve que de mondialisation et de libre-échange.Le gouvernement conservateur de Ford en Ontario a coupé tous les budgets devant permettre de soutenir la francophonie dans sa province,mais il fait face à la mobilisation générale des franco-ontariens.Il faut noter que Ford a même coupé la totalité du projet d’une université francophone en Ontario sous le prétexte de sabrer dans les dépenses…inutiles!
Au Québec,nous avons évité le pire en élisant François Legault de la Coalition Avenir Québec, mais celui-ci va-t-il bloquer l’immigration massive réclamé par Justin Trudeau qui lui réclamait 50,000 immigrants au Québec pour cette année.François Legault s’est fait élire en promettant de baisser ce chiffre à 40,000,mais c’est même trop car qui va payer pour ces envahisseurs qui parfois,ne parlent pas un mot de français?…Nous les travailleurs et travailleuses du Québec!Nous payons de nos impôts pour assurer la disparition assurée de notre peuple pour permettre à l' »ÉLITE » de continuer à engranger les profits capitalistes!
Depuis fin septembre, les Acadiens retiennent leur souffle. La balance du pouvoir est entre les mains des trois députés de l’Alliance des gens du Nouveau-Brunswick, un parti qui s’est positionné ouvertement contre le bilinguisme tel que pratiqué dans la seule province officiellement bilingue du Canada.
S’ils espéraient davantage d’ouverture, les Franco-Ontariens essaient actuellement d’inverser les décisions de leur gouvernement progressiste-conservateur d’abolir le Commissariat aux services en français et d’abandonner le projet d’université franco-ontarienne.
Pour l’avocat spécialiste des droits linguistiques, Michel Doucet, les situations ont quelque chose de similaire.
«Il y a des parallèles à faire. Mais l’approche au Nouveau-Brunswick est beaucoup plus sournoise. On voit depuis de nombreuses années un affaiblissement du Commissariat aux langues officielles du Nouveau-Brunswick avec un budget qui, depuis 2002, n’a augmenté que de 500 000 $ à 514 000 $ [le dernier budget du Commissariat aux services en français en Ontario était de 2,9 millions $]. Si bien que le commissaire n’a pas les ressources de faire son travail.»
Le Québec ,comme l’Ontario ,comme le Nouveau-Brunswick et la France,notre Mère-Patrie,en a ras-le-bol!
Nos quatre états sont actuellement gouvernés par des néolibéraux vendus à l’oligarchie financière rattachée au Nouvel Ordre Mondial et au crime organisé entretenu par les sociétés secrètes qui les contrôle derrière le rideau dont les francs maçons liés au rite écossais et les illuminati qui leur sont associés!
Seule la désobéissance civile peut en venir à bout et rétablir la démocratie du Peuple,par le Peuple et pour le Peuple!
À bas le néolibéralisme du Nouvel Ordre Mondial et vive la Révolution Nationale Universelle !
Les négociateurs canadiens et américains ont conclu un accord-cadre sur la réforme de l’Accord de libre-échange nord-américain (ALENA) tard dimanche soir (vers 22h00 ), selon les médias canadiens.
Selon un rapport de CTV au Canada, une déclaration conjointe des négociateurs américains et canadiens serait publiée dans les heures qui suivent.
L’annonce fait suite à une réunion d’urgence du cabinet du Premier ministre canadien, Justin Trudeau, deux heures avant l’heure limite fixée à minuit pour fournir le texte d’une entente révisée au Congrès américain. Si le Canada avait omis de fournir le document, aurait-il été exclu du pacte?
Cela permettrait à l’ALENA de rester un pacte trilatéral avec le Mexique.
Selon deux sources canadiennes citées par Reuters, le nouvel accord renforcerait l’accès des États-Unis au marché canadien des produits laitiers et protégerait le Canada contre les éventuels tarifs américains sur les voitures.
Selon les sources, le Canada avait accepté un plafond sur ses exportations d’automobiles aux États-Unis si l’administration Trump impose des tarifs commerciaux mondiaux sur les automobiles pour des raisons de sécurité nationale. Le quota négocié permettrait une certaine croissance des exportations d’automobiles en franchise de droits du Canada au-dessus des niveaux de production actuels, a indiqué la source.
En outre, le Canada autoriserait les États-Unis à avoir un accès accru à son marché des produits laitiers hautement protégé, comme ils l’ont fait avec les États membres de l’UE et du Pacifique, selon Reuters.
Donald Trump et ses conseillers ont fustigé le premier ministre Justin Trudeau pour avoir déclaré que le Canada ne se ferait pas «pousser» par le président des États-Unis à régler le différend tarifaire sur l’acier et l’aluminium.
Un M. Trump furieux a qualifié le premier ministre de « très malhonnête et faible » sur Twitter samedi, menacé d’imposer des tarifs sur les automobiles et a dépêché les meilleurs assistants aux émissions du réseau américain dimanche pour qualifier M. Trudeau de « backstabber » qui méritait place en enfer. «
Dans la foulée de la confrontation, les dirigeants du G7, les opposants politiques de M. Trudeau au pays et un certain nombre de politiciens américains se sont rassemblés autour du premier ministre
M. Trudeau a évité les médias dimanche, mais la ministre des Affaires étrangères, Chrystia Freeland, a déclaré aux journalistes à Québec qu’Ottawa ne s’engagerait pas dans une guerre des mots avec l’administration Trump. Mme Freeland s’est entretenue dimanche avec le représentant américain au commerce, Robert Lighthizer, et devrait le rencontrer mercredi à Washington.
« Le Canada ne mène pas sa diplomatie par des attaques ad hominem. Nous ne pensons pas que ce soit une manière utile ou productive de faire des affaires « , a déclaré Mme Freeland.
Mais elle a dit qu’Ottawa ne sera pas victime d’intimidation et qu’elle ripostera avec 16 milliards de dollars de droits de rétorsion si les États-Unis n’annulent pas leurs pénalités sur l’acier et l’aluminium imposées la semaine dernière.
«Nos tarifs de représailles entreront en vigueur – parfaitement réciproques, parfaitement mesurés, une réponse dollar pour dollar – le 1er juillet, qui est la fête du Canada, peut-être pas inapproprié», a-t-elle dit.
M. Trump a poursuivi lundi ses attaques sur Twitter contre le premier ministre, affirmant que «Justin a été blessé lorsqu’il a été appelé.» Le président américain a également prétendu que le Canada s’était vanté de faire «près de 100 milliards de dollars de commerce» avec les États-Unis. pour spécifier quel document il citait.
M. Trump a également ciblé les efforts commerciaux du G7, tweetant lundi « Le commerce équitable doit maintenant être appelé commerce fou s’il n’est pas réciproque », en disant aussi « Désolé, nous ne pouvons plus laisser nos amis, ou ennemis, profiter du commerce . Nous devons d’abord servir le travailleur américain! «
Le conseiller économique de M. Trump, Larry Kudlow, a déclaré à CNN dimanche que le président était furieux après avoir quitté le sommet du G7 et appris que M. Trudeau avait dit lors d’une conférence de presse que le Canada ne serait pas « poussé ».
Dans une attaque extraordinaire contre l’un des plus proches alliés de l’Amérique, M. Kudlow a accusé le Premier ministre de trahir le président américain et de le rendre faible à la veille du sommet historique avec la Corée du Nord.
«Il nous a en quelque sorte poignardé dans le dos», a déclaré M. Kudlow en soulignant que le président «ne laissera pas un premier ministre canadien le repousser. … Il ne permettra aucune démonstration de faiblesse lors d’un voyage pour négocier avec la Corée du Nord. … Kim ne doit pas voir la faiblesse américaine. «
M. Trudeau, avec d’autres dirigeants du G7, avait approuvé le pari du président de dénucléariser la Corée du Nord.
Le conseiller commercial de la Maison Blanche, Peter Navarro, était encore plus sévère, affirmant à Fox News qu’il y avait une place spéciale en enfer pour tout dirigeant étranger engagé dans une diplomatie de mauvaise foi avec Donald J. Trump, puis essayant de le poignarder dans le dos. à la porte et c’est ce que Justin Trudeau a fait. «
Dans son tweet de samedi, M. Trump a menacé d’imposer les mêmes droits rigoureux sur les exportations d’automobiles du Canada et de l’Europe – ce qui paralyserait l’industrie automobile canadienne. Les conseillers de M. Trump ont averti que l’accord de libre-échange nord-américain était également menacé.
«Ce fut l’une des pires erreurs politiques de l’histoire du Canada», a déclaré M. Navarro, tandis que M. Kudlow a ajouté: «Combien de fois le président a-t-il dit:« Si tu me frappes, je te frapperai. «
Un haut fonctionnaire canadien a déclaré que l’éclatement de M. Trump est sorti du champ gauche, puisque M. Trudeau avait déjà annoncé des tarifs réciproques la semaine dernière. Le Canada ne sait pas si le différend pourrait mener à une guerre commerciale et il est particulièrement préoccupé si les États-Unis imposent des droits de douane sur les automobiles canadiennes, ce qui, selon le responsable, serait désastreux pour les deux pays.
Mme Freeland a balayé les tirades de la Maison Blanche et a écarté la menace que l’ALENA soit morte.
M. Trump a déclaré samedi qu’un accord était « proche » d’une clause de temporisation qui rouvrirait l’ALENA après cinq ans, mais M. Trudeau a ensuite réfuté le président, affirmant que le Canada ne pourrait jamais accepter cette disposition.
«Un accord commercial avec une clause de temporarisation n’est pas un accord commercial et, par conséquent, nous n’accepterons pas une clause de temporisation de cinq, dix ou quelque durée que ce soit proposée par le président», a déclaré M. Trudeau.
Le désaccord entre les États-Unis et le Canada a éclaté après que M. Trump ait quitté le sommet du G7 pour se rendre à sa rencontre très attendue avec le dictateur nord-coréen Kim Jong-un.
Lors d’une conférence de presse, M. Trudeau a condamné les actions du président en matière d’acier et d’aluminium comme destructrices et même illégales. M. Trump était sur Air Force One en route pour cette réunion à Singapour samedi quand il a tiré deux tweets torrides.
Il a ordonné aux responsables américains de se retirer d’un communiqué conjoint du G7 qui parlait d’un commerce juste et équilibré et leur a dit d’examiner l’imposition de droits de douane sur les automobiles étrangères entrant sur le marché américain.
«Le premier ministre du Canada, Justin Trudeau, a agi de manière si douce et si douce lors de nos réunions du G7 pour donner une conférence de presse après mon départ en disant que les tarifs américains étaient insultants et qu’il ne serait pas contrarié. « M. Trump a tweeté.
Le haut responsable canadien a déclaré que d’autres dirigeants du G7 se sont ralliés derrière M. Trudeau. Les principaux politiciens américains et les opposants politiques canadiens soutiennent également le premier ministre.
La chancelière allemande Angela Merkel a déclaré que le retrait de M. Trump du communiqué du G7 « via Twitter est bien sûr dégrisant et un peu déprimant » et a averti que l’Europe irait de l’avant avec des tarifs réciproques comme le Canada.
Le bureau du président français Emmanuel Macron a déclaré: « La coopération internationale ne peut pas être dictée par des crises de colère et des remarques inconsidérées ».
La sénatrice démocrate américaine Diane Feinstein a qualifié l’éclatement de M. Trump de « grosse erreur », tandis que le sénateur républicain John McCain a déclaré que le comportement du président à l’égard de ses alliés du G7 était erroné.
Apparaissant sur Fox News dimanche, l’ancien premier ministre Stephen Harper a exhorté M. Trump à cesser de se livrer à des batailles commerciales avec le Canada et à unir ses forces pour pousser la Chine à ouvrir ses marchés.
« Nous nous disputons nos relations commerciales alors que les Chinois ont un déséquilibre de quatre contre un avec nous deux, à mon avis, n’est pas la bonne priorité », a-t-il dit.
Le député néo-démocrate Charlie Angus a qualifié M. Trump d ‘«homme à l’esprit borné et inadapté à la fonction publique». »Le premier ministre conservateur de l’Ontario, Doug Ford, a déclaré qu’il« se tenait côte à côte »avec M. Trudeau, tout comme le chef du Parti conservateur unifié de l’Alberta, Jason Kenney.
M. Trump, qui est arrivé en retard et a quitté le sommet du G7 à La Malbaie, au Québec, tôt, n’a pas été touché par des efforts concertés pour le persuader d’annuler ses tarifs. Il a averti que les tarifs réciproques canadiens et européens visant les biens et services américains seraient assujettis à de nouveaux prélèvements.
« Nous sommes comme la tirelire que tout le monde vole et cela finit », a déclaré M. Trump aux journalistes samedi.
Avant de partir pour Singapour, M.Trump a de nouveau appelé à la réintégration de la Russie dans le G7.
M. Harper, qui a mené l’accusation pour chasser la Russie du G7 en 2014 après son annexion de la Crimée, a déclaré que le président Vladimir Poutine ne devrait pas être autorisé à revenir dans une alliance de démocraties libérales.
« C’est un homme qui tue ses adversaires politiques. Il n’y a pas de place autour d’une table alliée pour un homme comme ça « , a-t-il dit.
EN CONCLUSION
Ce G7 marque le début de la fin du néolibéralisme pur et dur et officialise l’entrée dans la plus grande crise économique de l’histoire moderne!
Un changement démographique massif se produit qui pourrait modifier les systèmes économiques, politiques et éducatifs du Canada et exacerber le fossé entre les collectivités rurales et urbaines.
D’ici 2031, un Canadien sur trois appartiendra à une minorité visible. Un sur quatre sera né à l’étranger, la proportion la plus élevée depuis la fin de la dernière vague d’immigration de masse qui a débuté vers 1910, a déclaré Statscan dans un communiqué mardi .
Jamais auparavant ceux qui s’identifient eux-mêmes comme des minorités raciales ont vu leurs rangs croître à un tel rythme, ce qui a déclenché un débat sur la façon dont le Canada pourrait changer au cours des 20 prochaines années. Certains prétendent que cela ne changera pas grand-chose, que les nouveaux immigrants, comme leurs prédécesseurs, s’adapteront aux normes culturelles établies. D’autres disent que le processus pourrait ne pas être si lisse, qu’il pourrait y avoir des difficultés croissantes à surmonter lorsque des groupes ayant des pratiques culturelles très différentes se frottent les uns aux autres.
Le grand changement démographique a commencé avec la libéralisation de la politique d’immigration dans les années 1960, qui a ouvert une porte fermée aux immigrants non blancs. Le Canada maintient actuellement le taux d’immigration le plus élevé dans le monde développé, en grande partie dans les pays asiatiques.
Même si l’immigration devait être soudainement réduite, les experts disent que les projections ne changeraient pas beaucoup. Les groupes de minorités visibles, dont le taux de natalité est plus élevé et la population plus jeune, devraient croître environ huit fois plus vite que le reste de la population canadienne au cours des deux prochaines décennies.
Leurs effectifs passeront de 5,3 millions aujourd’hui à entre 11,4 millions et 14,4 millions d’ici 2031, dont le tiers sera né au Canada.
Les Sud-Asiatiques, ceux qui ont des origines en Inde, au Pakistan et au Sri Lanka, constitueront le plus important groupe de minorités visibles, soit environ 28% de l’ensemble. La part de la population des minorités visibles en Chine devrait légèrement diminuer, passant de 24% à 21%, en raison d’un taux de natalité très faible chez les femmes sino-canadiennes.
La croissance sera largement concentrée dans les villes, bien qu’il y aura des différences régionales significatives, selon le rapport. Plus de 60% de la population de Toronto appartiendra à une minorité visible dans 20 ans. St. John’s, en revanche, aura moins de 5%. Environ 96% des minorités visibles vivront dans les villes canadiennes.
Ratna Omidvar, directrice exécutive de la Maytree Foundation, a déclaré que la concentration des minorités visibles, en particulier à Toronto, Montréal et Vancouver, pourrait donner naissance à «deux Canadas», où les préoccupations de la moitié n’ont aucune résonance avec l’autre.
«Nous sommes déjà une nation qui semble se diviser en milieu rural ou urbain, québécois ou anglophone, allons-nous maintenant être des villes avec un grand nombre de minorités visibles et d’autres où ce n’est pas le cas? dit-elle.
Jeffrey Reitz, un sociologue de l’Université de Toronto qui étudie l’immigration, a déclaré que le fait que Statistique Canada publie des rapports importants sur la population des minorités visibles est intéressant en soi.
« Cela reflète une sensibilité à la question de la race, nous avons eu des difficultés avec ce sujet en tant que pays », a-t-il déclaré. «C’est intéressant parce qu’il y a 25 ans, ils publiaient des rapports sur la façon dont des villes comme Toronto n’étaient plus majoritairement britanniques … Maintenant, les Italiens et les Polonais sont considérés comme faisant partie de la population dominante, la population d’origine européenne. l’histoire est que nous nous éloignons d’une population dominée par des personnes d’origine européenne. «
Selon le professeur Reitz, il pourrait être considéré comme un signe de la modernité du Canada que sa nouvelle génération de dirigeants, dont beaucoup appartiendront à des minorités visibles, pourrait avoir des racines qui les rattachent autant à Mumbai qu’à Toronto. Il peut ou non s’avérer un avantage économique concurrentiel, a-t-il dit, mais la prédominance des minorités visibles dans les villes canadiennes a fait et continuera de les rendre plus globales.
Les pseudo-sociologues rationalistes
Le démographe David Foot soutient que le changement est progressif, lent et largement sans conséquence. Les inquiétudes concernant le choc des cultures sont largement déplacées, a-t-il ajouté.
«Nous venons au Canada pour devenir Canadiens et c’est ce que feront les nouveaux immigrants», a-t-il déclaré.
Justin Trudeau nous fait passer pour des imbéciles soviétiques partout sur la planète. Il est une vraie honte nationale. Ces valeurs soviétiques ne sont pas les nôtres. La religion soviétique politiquement correcte de Justin Trudeau et de tous les morons soviétiques endoctrinés dans nos écoles ne sont pas Canadiennes ni Québécoises.
Selon des milliers d’experts occidentaux, nos élites « progressistes » nous manipulent criminellement depuis des décennies avec des propandes soviétiques qui sont en réalité des attaques psychologiques pour nous détruire culturellement. psychologiquement, idéologiquement et économiquement. Le but est d’établir une dictature totalitaire.
Réveillons-nous et passons le message avant que ces élites « progressistes » criminelles réusissent à établir leur dictature totalitaire pour de bon.
Notre pleurnichard digne représentent féministe du people kind voit enfin son imbécillité, son incohérence et sa gênante incompétence reconnue à l’international ROFL 😂
🤣
Oui Trudeau est un parfait imbécile, mais il est aussi dangereusement dévoué à l’agenda mondialiste d’islamisation de l’occident et ça c’est franchement moins drôle.
Vous vous demandez comment Trudeau peut concilier le fait d’être Féministe (totalement anti-patriarcal) et être un farouche supporteur de l’islam (totalement patriarcal) en même temps !?!
Vous vous posez la mauvaise question !
Ne cherchez pas à trouver comment il arrivera à faire triompher les deux idéologies haineuses en même temps… car ce qui l’intéresse dans ces idéologies dangereuse, c’est la destruction de la culture traditionnelle occidental.
Deux outils opposé qui ont la même effet sur notre civilisation.
Le vrai but est de détruire tout identité de genre, de tradition et de nationalité.
Le gars travail pour le NWO (Soros entre autre), qui a besoin de citoyens globaux, sans appartenance et sans identité. des gens désuni qui tomberont facilement à genoux comme des esclaves.
Voilà le secret de Trudeau le clown!