Civilisations disparues en Antartique:un vaisseau extraterrestre découvert en Antarctique grâce à Google Earth

C’est à l’aide de Google Earth qu’un  russe du nom de Valentin Degteryov a fait une découverte incroyable : il aurait trouvé un OVNI vieux de plusieurs millions d’années enfoui en Antarctique. Pour appuyer ses propos, il a décidé d’uploader une vidéo et de partager quelques-unes de ses théories.

Valentin Degteryov, est comme quelques autres ce que l’on appelle un chasseur d’OVNI. Passionné de la vie extra-terrestre, il s’aide de Google Earth dans ses recherches et pense avoir trouvé des traces de la présence d’aliens en Antarctique. Connaissant la suspicion que chacun peut avoir concernant ce sujet, il a décidé de prouver ses dires en vidéo.

Un OVNI en Antarctique : Google Earth montre une forme dépassant de la neige

Il y a quelques mois déjà, des internautes pensaient avoir trouvé une soucoupe volante en Antarctique. Il serait davantage question ici d’une structure étendue sous la surface, et dont un « bout » dépasserait. Pour expliquer le fait que personne n’ait décelé ceci avant lui, Valentin Degteryov évoque la fonte des neiges.

Le potentiel vaisseau, situé à cet endroit, reste difficile à identifier et il pourrait ne s’agir que d’un amas rocheux ou de toute autre structure similaire. Valentin Degteryov n’est bien sûr pas du tout de cet avis et semble au contraire persuadé qu’il s’agit là d’un vaisseau spatial présent depuis des millions d’années, qui s ‘étendrait sur plusieurs centaines de mètres sous la surface…

Pour se défendre face aux sceptiques, le russe a tenu à partager sur Youtube une vidéo « explicative ». Elle est en fait constituée d’une suite de screenshots Google Earth et des coordonnées du site mystérieux censés prouver ses dires, afin que tout le monde puisse aller voir par lui-même de quoi il en retourne. Mais il est peu probable que ces images convaincront les sceptiques.

Les dossiers de Michel Duchaine:La vie sur Terre ne serait pas née uniquement dans les océans

La vie sur Terre vient-elle des océans ou d’ailleurs ? Alors que la question paraissait aller dans ce sens, la plus ancienne forme de vie sur Terre vient d’être découverte sur le continent Australien. Des dépôts issus de vie microbienne ont en effet été retrouvés près d’une source chaude hydrothermale très éloignée des océans. De quoi nous aider à chercher les preuves éventuelles de vie sur Mars.

Des sources chaudes auraient pu donner naissance à la vie.

Des chercheurs australiens de l’Université de Nouvelle-Galles du Sud viennent de découvrir près d’une ancienne source chaude, des dépôts très anciens qui ne peuvent avoir été créés que par des microbes. Des dépôts tellement anciens que cela remet en question ce que nous pensions de l’émergence de la vie sur Terre. Les plus anciennes preuves connues jusqu’ici ont en effet été datées à 3 milliards d’années.

Elles provenaient de dépôts près de sources hydrothermales sous-marines, dans les océans. Ce qui laisse penser que les océans qui recouvrent plus de 70,8% de la surface de la planète ont été le berceau de la vie. Ce qui a du sens, lorsque l’on sait qu’entre 50% et 80% de la biodiversité s’y trouve de nos jours. Mais ce nouvel élément du puzzle trouvé par les chercheurs est encore plus ancien d’environ 580 millions d’années.

La vie sur Terre a aussi pu émerger près de sources chaudes hors des océans

Et alors même que la physionomie des continents a beaucoup changée entre temps, les chercheurs en sont sûrs : cette région n’a jamais été en contact direct avec les océans. L’une des scientifiques partie de l’étude, Tara Djokic, explique les implications de cette découverte :

« La découverte de signatures biologiques potentielles dans ces anciennes sources chaudes dans l’ouest australien nous fournit une perspective géologique qui pourrait donner du poids à une origine de la vie terrestre. »

Ironie de l’histoire, Charles Darwin, l’inventeur de la sélection naturelle et de l’évolution des espèces, imaginait une origine de la vie dans « une petite mare chaude ». Qui semble correspondre à la description de l’endroit où les empreintes de vie ont été trouvées. On parle en effet ici de vie microbienne. Et dans les dépôts ne subsistent que des formes rondes caractéristiques.

Cette découverte pourrait avoir des implications particulièrement importantes dans l’exploration de la planète Mars. Et surtout dans la recherche de traces de vie. Les scientifiques pourraient opter pour des prélèvements près d’anciennes sources chaudes pour tenter de savoir si oui ou non la vie, au moins microbienne, s’est développée à un stade du développement de la planète.

 

 

 

 

Preuve de la fin prévisible de notre civilisation:il faudra trouver $44 trillions pour seulement suivre les besoins énergétiques

Tous ces rapports proviennent de l’industrie capitaliste pétrolière américaine  qui comme vous le verrez à la lecture,est profondément en crise et frôlant l’hystérie.Les $44 trillions nécessaires représentent le double de la dette américaine et prouvent la folie de vouloir bâtir un empire financier qui promettait  des profits illimités dans un monde fini,bordé par des limites naturelles existentielles.L’esprit de compétition étant au centre du coup de Mort que la civilisation américaine s’apprête à recevoir.

La forêt boréale est la première victime de la ruée vers l’or noir
Certains sables bitumineux reposent à seulement quelques mètres sous terre. Des millions de sapins, ­mélèzes et thuyas sont abattus avant l’arrivée des pelleteuses, qui creuseront de gigantesques carrières pour récupérer les sables gorgés d’hydrocarbures. Les ­gisements de l’Alberta s’étendent sur 142.000 kilomètres carrés, une surface ­supérieure à celle de l’Angleterre.

Jusqu’à présent en 2017 un certain nombre d’observateurs experts mondiaux de l’énergie et des matières premières ont regardé au-delà de la période de déclaration en cours et ils voient une demande à long terme de plus en plus pour le pétrole et le gaz.

Chevron PDG John Watson , le lundi a averti que seule l’ huile de schiste des États – Unis ne peuvent pas répondre à l’appétit croissant du monde pour le pétrole brut, CNBC a rapporté cette semaine .

« Shale peut aider. Certes, entre maintenant et la fin de la décennie, il sera un grand contributeur à atteindre cet million de barils-de-demande pétrolière croissance qui est là-bas, » Watson dit CNBC « Power Lunch » en marge de la Conférence Milken mondiale en Los Angeles.

« Mais en fin de compte des champs de pétrole diminuent, et nous allons avoir besoin de toutes les sources d’approvisionnement, y compris les shales, mais aussi des sources en eau profonde et d’autres à travers le monde, » Watson a dit CNBC.

2 tonnes de schiste pour obtenir un baril de 159 litres de pétrole
A l’état brut, le sable bitumineux a la forme d’une ­galette dure. Pour séparer les ­hydrocarbures du sable et de l’argile, on les chauffe à 500 °C dans une ­enceinte privée d’air. La vapeur, ­distillée, devient un pétrole, dit «non conventionnel», très visqueux. Pour le transporter, on ajoute de l’hydrogène ou des sous-produits du raffinage. Ainsi pour sortir l’équivalent de cinq barils de pétrole, il faut consommer 159 litres de pétrole, 10 tonnes de schiste et environ 5.000 litres d’eau.

Watson miroir commentaires sur les perspectives du marché pétrolier mis en avant en Janvier 2017 par Jeff Currie , directeur mondial de la recherche Commodities, Goldman Sachs. Currie adéclaré que son groupe croit schiste américain a marqué le début d’une nouvelle ère de lavolatilité des prix , mais que les fondamentaux de la demande l’ offre globale exigent une perspective haussière pour le pétrole. «C’est que la prime de rareté qui est le moteur de nos perspectives positives sur le pétrole et les matières premières, les prix plus élevés non », a déclaré Currie.

Avec plus de gens: les grandes villes vont devenir beaucoup plus grosses: des mégalopoles.

Chez ExxonMobil ,sur leur EnergyFactor blog cette semaine,on  a présenté  quelques faits sur la population mondiale qui pourrait vous faire demander s’il va avoir assez de pétrole ou de gaz naturel dans les formations du monde pour faire face aux immenses besoins énergétiques qui rôdent à l’horizon, surtout pour les 37 plus grandes  « mégalopoles » décrites dans un nouveau rapport de Demographia.Les mégapoles sont en tête en ce moment par Tokyo-Yokohama au Japon à près de 38 millions de personnes. Cela fait trois millions de personnes de moins que la population totale  du Canada, tous ceux qui vivent dans une région métropolitaine géographique.

« Il y a vingt-cinq ans , il n’y avait que 10 zones urbaines dans le monde qui pouvait se vanter plus de 10 millions d’ habitants. Maintenant , il y a plus de 35 soi-disant « mégapoles » dans le monde entier, et en 2040 les Nations Unies estiment que près de 65 pour cent de la population mondiale appellera les villes d’ accueil, »selon  Exxon .

Selon les dernières Demographia de zones urbaines mondiales 13e édition annuelle , 37 zones urbaines constituent un habitat pour au moins 10 millions de personnes en 2016. Les plus grandes des  12 régions métropolitaines abritent près de 300 millions de personnes dans ces 12 villes seulement. Et ils vont grossir selon le rapport .

Exxon prévoit que  la demande d’énergie sera  en hausse de 25 pour cent d’ici 2040, mais les gouvernements se tournent vers… l’économie

Référençant ses perspectives pour l’ énergie , Exxon prévoit que la demande mondiale d’énergie augmentera de 25 pour cent sur la même période. Mais si jusqu’à 65 pour cent de la population humaine vit dans les villes d’ ici 2040 du monde, il devrait y avoir une criante croissance de la demande pour les carburants, l’électricité et le transport de toutes sortes.

Dans son blog sur  l’énergie Exxon se penche sur cinq des petits-des métropoles habitées par  7,5 millions d’humains jusqu’à 12 millions, où il dit que les gouvernements interviennent pour changer le mix énergétique. « L’urbanisation croissante signifie que les gouvernements changent déjà leur empreinte énergétique. » Voici comment:

– Shenzhen, en Chine (12 millions de personnes): l’installation de technologies efficaces dans les immeubles de bureaux

Shenzhen, en Chine

Selon Exxon, « Shenzhen était un peu plus d’un village de pêcheurs endormi la frontière deHong Kong où le gouvernement chinois a fait l’une des premières zones économiques spéciales du pays en 1979. Le mouvement débloqué des investissements étrangers et la population a grimpé en flèche à plus de 12 millions . Aujourd’hui , les usines de Shenzhen produisent 90 pour cent des produits électroniques du monde , y compris l’ iPhone d’Apple.Toutes ces usines consomment beaucoup d’énergie, mais le gouvernement local travaille avec diverses entreprises privées pour installer des technologies efficaces dans les immeubles de bureaux. L’ un des meilleurs exemples contemporains sont les bureaux de l’Institut Shenzhen bien nommé de la recherche du bâtiment, où la ventilation naturelle utilise 30 pour cent moins de climatisation d’un bâtiment comparable dans la ville, et la lumière du jour pour les espaces de bureau réduit le besoin d’éclairage artificiel. De plus, la ville a un programme qui permet aux propriétaires de bâtiments d’utiliser les coûts des économies de consommation d’énergie réduite à payer pour les mises à niveau d’efficacité « .

– Tianjin, Chine (11 millions de personnes): codes de construction écologiques ciblent l’efficacité énergétique

Tianjin, Chine

Selon Exxon, « Tianjin, une ville fortifiée fondée au 15ème siècle, a une population de 11 millions. En 2005, le gouvernement local a commencé à appliquer de nouveaux codes de construction difficiles d’efficacité énergétique, notamment augmenter la rétention de chaleur dans les bâtiments pendant les hivers froids de la ville et l’ ombrage naturel pour les étés chauds de Tianjin. Selon la Fondation énergie de la Chine , d’ici 2020 , plus de 75 pour cent des nouveaux bâtiments répondra aux normes d’efficacité énergétique. D’ici 2030 , le gouvernement local prévoit plus de 90 pour cent des nouveaux bâtiments à être « bâtiments verts ». Même les résidents des bâtiments anciens bénéficient d’exigences afin d’ améliorer leurs systèmes d’isolation ou de chauffage. Le logement Tianjin Commission et dudéveloppement urbain-rural estime que 60 pour cent des résidents d’un programme pilote d’efficacité énergétique payé moins en frais de chauffage qu’ils ne le faisaient avant que les codes du bâtiment est entré en vigueur « .

– Hyderabad, en Inde (10 millions de personnes): codes de construction économes en énergie, les incitations solaires pour arrêter les pannes

La force démographique d’Hyderabad peut se mesurer dans cette photo.

Selon Exxon, « D’ici 2020 Hyderabad aura 10 millions d’ habitants , soit près de 2,5 millions de sa population actuelle. Cette croissance rapide est livré avec sa part de défis, y compris lespannes de courant régulières qui menacent la croissance de l’ industrie informatique de la ville. Pour résoudre leurs problèmes d’énergie, les dirigeants de la ville ont adopté une économie d’énergie code du bâtiment en 2012. En outre, les incitations à l’ installation depanneaux solaires sur le toit adopté en 2015 coupe à travers ce qui était auparavant un processus bureaucratique suffocante, garantissant que les demandes de panneaux solaires sur le toit sont traités semaines. »

– Bangalore, Inde (10 millions de personnes): le gouvernement peut rendre obligatoire le toit solaire

Bangalore,la place du marché

Selon Exxon, « Avec une scène technologique en plein essor, Bangalore est l’ une des villes à lacroissance la plus rapide du monde. Cependant, l’infrastructure de la ville a du mal à suivre sa population en plein essor, soit une moyenne de plus de 50 pannes d’électricité par jour.Beaucoup à Bangalore utilisent des générateurs diesel comme secours, mais le centre de l’Inde pour la science et l’ environnement (CSE) estime que le fait sur le toit des panneaux solaires obligatoires pourraient aider à limiter l’utilisation des générateurs, fournissant uneautre source d’électricité des ménages et l’ amélioration de la qualité de l’ air « .

– Onitsha, Nigeria (7,5 millions de personnes): L’utilisation d’appareils ménagers économes en énergie

Onitsha, Nigeria

Selon Exxon, « Peu de gens en dehors de l’ Afrique occidentale ont entendu parler de Onitsha, mais la ville portuaire sur les rives du fleuve Niger bénéficie d’ une population de près de 7,5 millions . Les habitants de cette ville en pleine expansion utilisent un mélange de pétrole, gaz naturel, solaire, l’ énergie éolienne et la biomasse pour produire de l’ énergie. Onitsha est moins développée que de taille similaire villes en Chine et en Inde, mais la classe moyenne montante de la ville a faim de faire le passage aux appareils électroménagers modernes, économes en énergie, un changement que l’ USAID et le soutien de l’ énergie du Nigeria estimation du programme pourrait réduire la consommation d’énergie jusqu’à 40 pour cent. »

La demande d’énergie augmentera de 30 pour cent: AIE

Dans son World Energy Outlook 2016 , l’Agence internationale de l’ énergie (AIE) atteint 25 pour cent l’augmentation de la demande d’Exxon, prédisant à la place une augmentation de 30 pour cent de la demande mondiale d’énergie d’ ici 2040.

D’énormes grues récoltent les hydrocarbures
Avec son godet capable d’arracher d’un coup jusqu’à 100 tonnes de sables bitumineux, cette grue charge en quelques pelletés les camions Caterpillar. En Alberta, la moitié des hydrocarbures sont récupérés de la sorte, comme dans une mine à ciel ouvert.

L’Agence internationale de l’énergie a déclaré que 30 pour cent augmentation de la demande énergétique mondiale signifie une augmentation de la consommation pour tous les carburants modernes, mais « les agrégats globaux masquent une multitude de tendances diverses et commutation significative entre les carburants. »

Pour 2016, le Rapport sur le marché du pétrole de l’ AIE prévoit que la demande mondiale moyenne de près de 96 millions de barils de pétrole et de combustibles liquides par jour. Mais l’agence dit la consommation est beaucoup plus élevé à l’horizon.

Le gaz naturel voit une consommation plus élevée, en tête de l’huile 103 MMBOPD, le charbon enraye: IEA

– tarifs de gaz naturel parmi les meilleurs combustibles fossiles, avec une consommation enhausse de 50 pour cent.
– La croissance de la demande de pétrole ralentit au cours de la période de projection, mais arrive en tête 103 MMBOPD par 2040.
– L’ utilisation du charbon est durement touché par les préoccupations environnementales et, après l’expansion rapide de ces dernières années, la croissance broie essentiellement à l’arrêt.
– Une augmentation de la production nucléaire est principalement stimulée par le déploiement en Chine.

La valse des énormes camions Caterpillar
Les énormes camions Caterpillar, capable de transporter jusqu’à 400 tonnes de matières premières dans leur bennes, attendent d’être chargés dans une carrière de sables bitumineux. En arrière fond, un bassin de décantation où stagnent les résidus boueux de l’exploitation des hydrocarbures.

Dans la demande de l’énergie des pays développés est en baisse; mais les pays en développement d’Asie consomment plus de pétrole que l’ensemble de l’OCDE: AIE

Avec la demande totale dans les pays de l’OCDE sur une trajectoire décroissante, la géographie de la consommation mondiale d’énergie continue de se déplacer vers industrialise urbanisent Inde, Asie du Sud et en Chine, ainsi que certaines régions d’Afrique, d’Amérique latine et au Moyen-Orient, selon l’agence.

Chine et l’Inde voient la plus grande expansion de l’énergie solaire photovoltaïque (PV); tandis que vers le milieu des années 2030 les pays en développement en Asie consommeront plus de pétrole que l’ensemble de l’OCDE.

Construction d’une unité de traitement du bitume
Une fois nettoyés et séparés du sable et de l’argile, les hydrocarbures y sont chauffés à 500°C dans une enceinte privée d’air. La vapeur distillées, devient une pétrole dit “non conventionnel” très visqueux. Pour le rendre plus fluide afin de le transporter, on y ajoute de l’hydrogène ou des sous produits du raffinage.

Même dans son scénario de +30 pour cent, des centaines de millions manqueront de services énergétiques de base en 2040: AIE

L’agence estime que « des centaines de millions de personnes sont encore présents dans 2040 sans services énergétiques de base … de larges pans de la population mondiale sont fixés à rester sans énergie moderne », selon la projection de l’AIE. Cela conduirait à la nécessité d’une accumulation sur l’infrastructure plus long avec beaucoup plus de carburant pour répondre à la demande dans les pays en développement après 2040.

« Plus d’un demi-milliard de personnes, de plus en plus concentrée dans les zones rurales de l’Afrique sub-saharienne, seront toujours sans accès à l’électricité en 2040 (contre 1,2 milliard aujourd’hui). Environ 1,8 milliard restent tributaires de la biomasse solide comme combustible de cuisson (par un tiers aujourd’hui sur 2,7 milliards); cela signifie l’exposition continue aux environnements intérieurs de fumée qui sont actuellement liés à 3,5 millions de décès prématurés chaque année, » selon les rapports de l’AIE.

Les boues résiduelles
Les boues résiduelles issues de la transformation du bitume sont stockées dans des bassins de décantation. L’eau y présente une salinité très élevée et contient de nombreuses substances toxiques (acides, métaux lourds, dilluants…) visibles en surface, sous forme d’inquiétantes taches de couleur.

44000000000000 $ nécessaires pour combler les besoins à venir de l’énergie du monde: AIE

Selon l’AIE, le monde a besoin 44000000000000 $ en investissements dans l’approvisionnement énergétique mondial pour combler les besoins énergétiques à venir. Voici comment l’agence brise it out:

– 60 pour cent – 26000000000000 $ – va à l’huile, le gaz et l’extraction du charbon et de l’offre, y compris les centrales électriques utilisant ces combustibles;

– 20 pour cent – 8800000000000 $ – va aux énergies renouvelables.

En plus de cet investissement, l’agence demande une somme supplémentaire de 23 billions $ pour l’amélioration de l’efficacité énergétique.

En 2000- 2015, près de 70 pour cent de l’investissement total de l’offre va aux combustibles fossiles. La projection de l’AIE jusqu’en 2040 ,les gouttes combustibles fossiles monteront  à 60 pour cent et « représente une importante redistribution du capital, en particulier étant donné l’attente d’une baisse continue des coûts pour les technologies des énergies renouvelables clés », explique l’AIE.

Resserrement de l’offre mondiale d’hydrocarbures: les courbes de déclin ne disparaissent pas

Des bassins de décantation stockent les boues résiduelles
Les boues résiduelles issues de la transformation du bitume sont stockées dans des bassins de décantation. L’eau y présente une salinité très élevée et contient de nombreuses substances toxiques (acides, métaux lourds, dilluants…) visibles en surface, sous forme d’inquiétantes taches de couleur. Ces réservoirs insalubres couvrent déjà plus de 170 kilomètres carrés de l’Alberta. Dans certains cas, comme ici, ils finissent par être comblés.

Le stimulus principal pour l’investissement pétrolier et gazier en amont est la baisse de la production des champs existants, l’AIE dit, ce qui confirme le sentiment souvent exprimé par les directeurs généraux de la compagnie pétrolière et gazière, y compris David Demshur, PDG de la technologie d’amélioration globale de production du réservoir chef de base des laboratoires.

Au cours d’un appel de base de résultats de laboratoire, l’été dernier, Demshur a fait quelques prédictions basées sur huit décennies d’étude des réservoirs mondiaux du pétrole de son entreprise. « Core croit que l’approvisionnement en pétrole brut dans le monde et les marchés demande sont proches de l’équilibrage et équilibreront cette deuxième moitié de 2016. Du côté de l’approvisionnement en pétrole brut, la production américaine non conventionnelle a atteint un sommet de 5,5 millions de barils de pétrole par jour en Mars 2015, et a depuis chuté de plus d’un million de barils par jour en raison de taux de courbe élevés de déclin associés à ces réservoirs de pétrole serrés.

« Compenser ces baisses de production nettes ont été d’environ 160 000 ajouts de barils par jour de plusieurs Golfe d’eau profonde du Mexique des projets existants qui ont été et a commencé il y a commandé plusieurs années à porter ses fruits à la fin de 2015-2016. Ces ajouts en aucune manière compenseront ce qui vient des déductions qui se produiront sur la terre tout au long de cette année et en 2017.

« Les fortes baisses de production des terres des États-Unis se poursuivent en 2016, et Core estime que ces baisses pourraient atteindre 1,1 million de barils de pétrole par jour ou plus en fin d’année. Les niveaux inférieurs de nouveaux puits et retardé l’entretien de la production vont exacerber la baisse de la production des terres des États-Unis d’entrer dans 2016/2017.Rappelez-vous, les courbes de déclin de la production sont linéaires dans le temps mais suis une  logarithmique baisse de la production.

Une barge tente de récupérer les boues d’hydrocarbures
Cette barge est équipée de pompes qui tentent de récupérer une partie des hydrocabures dans les boues issues du traitement des sables bitumineux. Mais, ce genre d’intervention ne permet nullement de lutter contre la pollution qui atteint des niveaux phénoménaux. Il aurait ainsi plus de 1.000 milliards de mètres cubes de boues nausébondes dans la province de l’Alberta.

« Il y a un an, mois après mois, les baisses de production des États-Unis étaient des dizaines de milliers de barils par jour, par mois. Maintenant, ce mois après mois par des pertes de jour atteignent assez souvent 100.000 barils de pétrole par jour ou plus. Alors que chercher à élargir et continuer à se développer dans la fin de 2016 et en 2017. A partir de ces analyses, nous prendrions le plus de la baisse de 1,1 million de barils par jour en fin d’année, » Core a déclaré l’appel Juillet dernier.

L’AIE estime que la baisse de la production mondiale de pétrole grâce à des courbes de déclin naturel est « équivalent à la perte de la sortie actuelle de l’ Irak de l’équilibre mondial tous les deux ans. »

La croissance projetée de la population mondiale et la demande d’énergie des pays industrialisés et leurs mégalopoles, ainsi que les courbes baisse du pétrole et du gaz, le monde pourrait se pencher sur plusieurs décennies de cycle de croissance E & P.

« Lorsque la demande des produits de base est au-dessus offre des produits de base, les déficits résultent, les stocks sont tirés vers le bas et les primes de pénurie commencent à surgir et c’est ce qui motive nos attentes haussières, » Goldman Global Head of Commodities Research Jeff Currie.

Les réservoirs insalubres
Les réservoirs insalubres, grands comme de véritables lacs, couvrent plus de 170 kilomètres carrés de l’Alberta. Dans certains cas, comme ici, ils finissent par être comblés. Le coût de la remise en état de l’ensemble des surfaces souillés dépasserait les 10 milliards de dollars selon le ministère de l’Environnement de l’Alberta.

 

 

 

 

 

 

Alerte réchauffement climatique : les forêts nous ont déjà sauvé mais nous avons atteint un point de non-retour

Le réchauffement climatique résisterait à l’emballement grâce au plantes qui absorbent tant bien que mal une quantité croissante de dioxyde de carbone. De quoi souligner leur importance alors que la déforestation continue. Selon une étude parue dans Nature, la photosynthèse des plantes a augmenté de 30% au cours du siècle dernier. Sans elles, la planète ne serait peut-être plus habitable. 

 

L’humanité rejette toujours plus de CO2 dans l’atmosphère, la température augmente, les glaciers fondent, le niveau des océans augmente… tout cela peut donner l’impression d’aller très vite. Et pourtant, la situation pourrait être bien pire si nous n’avions pas les plantes et les forêts. Une nouvelle étude du Global Carbon Project parue dans Nature révèle que les plantes tentent de limiter les conséquences de notre activité en absorbant davantage de CO2.

Les forêts sont avec les océans les deux puits de carbone qui permettent d’éviter que la catastrophe d’un emballement ne se produise trop vite. Ces deux puits parviennent en effet à encore absorber 50% des émissions humaines. Les plantes terrestres absorbent ainsi 10 milliards de tonnes de CO2 par an. Selon l’étude du GCP, au cours du siècle dernier, l’ensemble de la couverture végétale aurait absorbé 30% de CO2 supplémentaire.

Contre le réchauffement climatique, les forêts absorbent davantage de CO2

Le carbone dans l’atmosphère favorise en effet la photosythèse, avec des plantes qui ont tendance à pousser plus vite et donc à amplifier l’absorption de CO2. En parallèle, le réchauffement des températures permettrait aux plantes de mieux pousser dans les latitudes élevées, ce qui permet à l’ensemble de capter encore plus de CO2. Le problème c’est que les activités humaines favorisent la déforestation.

Sans laquelle cet effet pourrait être encore plus marqué. Pour le prouver, les scientifiques ont analysé la concentration d’un gaz particulier, l’oxysulfure de carbone. Ce qui est intéressant avec ce gaz c’est qu’il est présent en quantité infime dans l’atmosphère et que les plantes l’absorbent via les stomates des feuilles. Il a surtout pour origine les océans, mais il est également corrélé à l’activité humaine.

Les scientifiques ont pu constater une hausse de la concentration de ce gaz jusque dans les années 1990, puis une baisse soudaine alors que les activités humaines le rejetant n’ont pas faibli. La seule explication, c’est que la capacité du puits de carbone généré par les plantes a énormément augmenté, suffisamment pour absorber toutes les émissions d’oxysulfure de carbone.

Grâce à une simulation, ils ont ensuite pu montrer que les végétaux se sont donc mis à absorber 30% de CO2 supplémentaire au cours du siècle dernier. Un signal encourageant, bien que le réchauffement climatique continue d’être une réalité, et que d’autres phénomènes agissent de façon contradictoire et concurrent à la réduction de la biodiversité.

Moralité de l’histoire, dans la lutte contre le réchauffement climatique, mieux vaut prendre grand soin de nos forêts !


HORS TEXTE

Le taux de CO2 dans l’atmosphère vient de passer un point de non-retour depuis septembre 2016

Quand la désintégration rapide de la Banquise de Larsen sera terminée,la vitesse de circulation d’eau autour de l’Antartique va s’accélérer…faisant croître la température et la fonte

Le taux de CO2 a passé le seuil symbolique de 400 ppm dans l’atmosphère. Un taux élevé pour un mois de septembre. Les climatologues estiment que nous ne connaîtrons plus jamais de niveaux inférieurs à 400 ppm au cours de notre vie. L’augmentation de CO2 dans l’atmosphère pourrait, en outre, causer une accélération du réchauffement climatique.

Attention ça chauffe ! Au mois de septembre 2016, le CO2 a dépassé une concentration de 400 ppm dans l’atmosphère. La mesure a été faite au sommet du volcan Mauna Loa (Hawaii). Une étude britannique du UK Met Office (équivalent de Météo France outre-Manche) révèle que cette concentration restera supérieure à 400 ppm toute cette année.

Le phénomène est en outre aggravé par El Niño qui a pour effet de rendre les tropiques plus arides. Cette anomalie climatique prend de l’ampleur à mesure que le réchauffement climatique se poursuit, avec des conséquences dramatiques pour les populations vivant dans les zones plus touchées par le phénomène.

Or c’est justement dans la zone des tropiques que la végétation est la plus prompte à absorber le dioxyde de carbone de l’atmosphère. En plus du phénomène d’aridification provoqué par la montée des températures, la déforestation, particulièrement de la forêt amazonienne, n’arrange pas les choses.

Le réchauffement climatique pris dans un effet d’entrainement à cause des émissions de CO2

L’analyse de carottes dans la glace des pôles montre que la planète n’a jamais connu de niveaux de CO2 aussi élevés depuis au moins trois millions d’années. En outre, le Met Office s’attend cette fois-ci également à un autre record : une hausse de la concentration de CO2 de 3.15 ppm là où la concentration n’augmente en général que de 2 ppm de CO2 dans l’atmosphère par an.

Cela peut paraître peu lorsqu’on parle de partie par million. Mais lorsqu’on sait les effets sur le climat de ce gaz à effet de serre, ce n’est forcément pas une bonne nouvelle. Le Pr Richard Betts du Met Office, cité par la BBC, explique :

« Il est important de relever que la hausse de CO2 de cette année est plus importante que celle relevée lors d’El Niño en 1997/8, tout simplement parce que les émissions humaines ont augmenté de 25% depuis. Donc on a un effet naturel qui s’ajoute à un effet d’augmentation causé par l’homme. »

EST-IL DÉJÀ TROP TARD?

Est-il déjà trop tard ? Condamne-t-on la planète à une nouvelle extinction de masse ?Voici deux visions qui s’opposent:

Vision rationaliste:Impossible de le dire pour le moment, mais il semble clair que les pays industrialisés doivent faire davantage pour réduire leurs émissions. Il existe en la matière certains succès, comme l’Ecosse qui a pris six ans d’avance sur son objectif de réduire ses émissions de 42% d’ici 2020.

Au pays du Haggis, des chardons, de la cornemuse, du whisky et du poète Robert Burns, les émissions sont déjà de 45.8% inférieures à celles de 1990, lorsque les objectifs de réduction avaient été décidés. Reste à voir si en France,au Québec  et d’autres pays, nous sommes ou non capables d’atteindre des objectifs aussi ambitieux !

Vision  réaliste-fantastique:Oui,il est déjà trop tard depuis 1992 environ.À toutes les savantes études commandées par les politiciens « écolo-sceptiques américains »,il faut ajouter  les changements opérés depuis l’arrivée récente de Donald Trump,comme président américain.Celui-ci a en effet déployé d’immenses efforts financiers  pour revaloriser et sur-développer l’industrie du charbon fossile.Cela devrait donner un coup de Mort à la planète entière.

Devant l’augmentation rapide du taux de  CO2 ,le climat,l’atmosphère de la Terre va devenir hostile aux humains ainsi qu’à un  nombre considérable d’espèces animales et pourrait affecter toutes les formes de vie.

 

 

 

 

 

 

 

 

Ce dinosaure vieux de 125 millions d’années ressemble étrangement à une poule

Une équipe internationale de paléontologues, menée par des chercheurs de l’Université de Hong Kong vient de découvrir le fossile d’une nouvelle espèce de dinosaure. Datée de 125 millions d’années environ, celle-ci ressemble étrangement à une poule et pourrait jeter un faisceau de lumière sur les origines lointaines des oiseaux volants. 

Jianianhualong tengi

 

Baptisée Jianianhualong tengi, cette nouvelle créature découverte dans le nord-est de la Chine est de type Troodontidae, une famille de dinosaures proches de l’origine des oiseaux. Les scientifiques le datent de 125 millions d’années environ, avec une fourchette marginale située entre 100 à 145 millions d’années.

Jianianhualong tengi : il portait des plumes asymétriques

C’est l’un des détails les plus importants qui ressortent de l’étude du fossile. Haut d’environ 1 mètre, ce dinosaure est le plus ancien Troodontidae daté à porter des plumes asymétriques. Ces longues et rigides plumes sont plus longues d’un côté du rachis que l’autre.

« L’asymétrie des plumes est considérée comme étant étroitement liée à la capacité des oiseaux à voler. (…) L’apparition d’aubes asymétriques chez les espèces représente donc l’un des événements majeurs dans l’évolution des plumes« , écrivent les auteurs de cette étude, dirigée par Michael Pittman, du Département des sciences de la Terre de l’Université de Hong Kong.

 

Cette asymétrie a peut-être permis au dinosaure de contrôler le flux d’air au niveau de ses plumes. Cela lui aurait éventuellement servi à se déplacer dans les airs, ce qui suggère que Jianianhualong était sans doute un dinosaure volant, même si ses plumes asymétriques comme seul facteur ne suffisent pas à l’établir formellement.

Une découverte importante

Comme décrit dans la revue Nature Communications où ont été publiés les détails de l’étude, ce dinosaure à plumes est maintenant le troodontidae le plus découvert à ce jour à présenter des plumes asymétriques. Cette famille est considérée comme l’ancêtre le plus proche des oiseaux avec des capacités aérodynamiques.

La découverte de plumes asymétriques sur le Jianianhualong tengi, une espèce aussi ancienne, indique que l’ancêtre commun le plus proche entre les oiseaux et les dinosaures de ce genre présentaient déjà cette caractéristique. Pour faire simple, grâce à cette découverte, on peut considérer que l’apparition des capacités aérodynamiques chez ces espèces remonte bien plus loin dans le temps qu’on pouvait penser.

 

 

 

 

 

 

 

 

D’étranges bactéries apparaissent de nulle part après une éruption volcanique

Des bactéries sont apparues de nulle part après l’éruption du volcan sous-marin Tagoro, dans l’archipel des Canaries. Ces bactéries, surnommées « les cheveux de Vénus » à cause de leur ressemblance frappante avec des cheveux blancs, sont pour le moins inattendues. En effet, les éruptions volcaniques sous-marines éliminent en général toute forme de vie sur environ neuf kilomètres carrés.

La résistance de ces bactéries à l’environnement hostile que constitue un volcan en éruption a beaucoup étonné les scientifiques qui se sont penchés dessus. L’analyse de leur ADN a mis en lumière des propriétés surprenantes.

Des bactéries étranges se développent suite à l’éruption du volcan sous-marin Tagoro

Le volcan Tagoro est entré en éruption en 2011. Une équipe de chercheurs italiens et espagnols a commencé à effectuer des recherches sous-marines 3 ans après, en 2014. A leur grande surprise, ils ont retrouvé le volcan entièrement recouvert d’étranges bactéries.

Ces bactéries ont été surnommées les cheveux de Vénus, en référence à une peinture de Botticelli. Ces filaments, mesurant 3 centimètres de long sur 50 micromètres de large en moyenne, ont beaucoup interpellé les chercheurs. A titre d’information, un cheveu humain mesure entre 17 et 180 micromètres de largeur. Combien de temps après l’éruption ces bactéries se sont-elles développées ?

Les chercheurs l’ignorent, mais considèrent qu’elles ont commencé à apparaître quand la température est passée en dessous des 100°C. Selon Roberto Danovaro, professeur à l’Université Polytechnique de Marche, en Italie, a déclaré que ces bactéries étaient fascinantes de par leur structure métabolique. En effet, l’analyse de leur ADN a délivré un résultat surprenant : leurs propriétés leur ont permis d’apparaître de nulle part.

Et de survivre dans un environnement aussi hostile. L’éruption d’un volcan est toujours un phénomène incroyable. Il y a presque trois mois, le Piton de la Fournaise était entré en éruption à la Réunion, ce qui nous avait offert des images éblouissantes. Aujourd’hui, les scientifiques se demandent si la vie microbienne peut survivre dans les profondeurs de la Terre. Cette découverte pourrait lever un coin de voile sur cette question.

Pour le reste, des scientifiques japonais espère parvenir à confirmer cette question en creusant un puits énorme de 7 kilomètres dans les entrailles de la planète.


HORS TEXTE

Le puits le plus profond du monde va être bientôt creusé par des scientifiques

 

Des scientifiques japonais veulent creuser un puits, le plus profond du monde, pour atteindre le manteau terrestre d’ici 2030. Avec plusieurs objectifs dont mieux comprendre les séismes mais aussi déterminer si la vie microbienne existe dans les entrailles de la Terre. Pour parvenir à leurs fins, les scientifiques vont creuser en pleine mer, là où le croûte terrestre est la plus fine. 

L’agence japonaise pour les sciences et les technologies marines et de la terre (JAMSTEC) veut creuser d’ici 2030 un puits de 7km qui doit pénétrer jusque dans le manteau terrestre, c’est à dire sous la croûte. S’ils réalisent leur exploit, ce serait une première mondiale. Même le forage profond de Kola en Russie, n’est pas parvenu, malgré ses 12 292 mètres de profondeur à atteindre le Moho, cette frontière entre la croûte terrestre et le manteau supérieur.

Les scientifiques soviétiques avaient à l’époque butté sur de nombreuses difficultés, notamment les températures plus élevées que prévu au fur et à mesure que la profondeur augmentait. Mais aussi les contraires énormes de torsion de l’axe de forage, ou encore la pression feignant à cette profondeur et bien sûr la fin de la guerre froide. Les roches qu’ils ont remonté ont néanmoins permis beaucoup de découvertes.

Un puits immense pour mieux comprendre le manteau terrestre

Notamment leur étonnante saturation en eau, et la présence de beaucoup de dihydrogène. Ce qui a permis de nombreuses révélations sur la plasticité des roches de la croûte terrestre. Pour parvenir à leurs fins, les scientifiques japonais prévoient, eux, de pratiquer leur forage en pleine mer. Sur des sites où la croûte est nettement moins épaisse qu’à Kola (Mourmansk) où elle faisait quand même 35 km.

Une meilleure compréhension de ses interactions avec les autres couches terrestres permettrait, peut-être, de trouver de nouveaux moyens de prédire les tremblements de terre. En prime, puisque l’on sait que les roches, sont en profondeur très saturées en eau, les scientifiques veulent savoir si la vie microbienne survit dans de telles conditions.

 

 

 

 

Insolite:Des araignées prolifèrent sur le continent de plastique du Pacifique-Nord

La concentration de minuscules déchets plastiques flottant à la surface du Pacifique nord a été multipliée par cent au cours des quarante dernières années, une pollution qui pourrait avoir des conséquences écologiques insoupçonnées, révèle une étude publiée récemment. 

Les déchets de plastiques viennent de partout,dans le Pacifique…résultat de notre négligence.

Selon des chercheurs de l’Université de Californie à San Diego, durant la période comprise entre 1972 et 1987, les microparticules de plastique (d’un diamètre inférieur à 5 mm) étaient relativement rares dans le gyre subtropical du Pacifique nord, une zone où les déchets s’amalgament au point de rencontre de courants océaniques.

Selon eux, plus de la moitié des échantillons prélevés à cette époque étaient ainsi totalement exempts de déchets plastiques. Or, d’après les analyses effectuées dans la même zone de 1999 à 2010, la concentration de microplastiques a été multipliée par cent, souligne l’étude publiée par la revue Biology Letters.

 
L’Halobates sericeus est en train 

de proliférer dans le Pacifique nord

Or la gigantesque plaque de déchets flottant sur le Pacifique, épaisse par endroits de plusieurs dizaines de mètres, constitue un milieu propice à la reproduction d’une espèce d’araignée d’eau, l’Halobates sericeus. Si cet insecte est capable de vivre dans un milieu marin, il a en effet besoin d’un terrain ferme pour y pondre ses oeufs, et ce continent de plastique lui fournit un incubateur de rêve.

Résultat, alors qu’il était jusqu’alors réduit à pondre sur de rares débris flottants, comme des branches ou des coquilles vides, l’Halobates est en train de proliférer dans le Pacifique nord, avertissent les océanologues. L’Halobates est en effet un prédateur qui affectionne le zooplancton et les oeufs de poisson. « Si la densité de ces microplastiques continue à augmenter, les espèces qui leur sont associées pourraient elles aussi continuer à se multiplier, peut-être au détriment de leurs proies », au risque de déséquilibrer l’ensemble de l’écosystème du Pacifique, mettent en garde les chercheurs.

Le continent de plastique s’étend sur une surface d’environ 3,4 millions km2. Son poids se compterait en dizaines de millions de tonnes.

Des preuves photographiques du réchauffement climatique en cours: images à intervalle temporaire de glaciers en retrait

 

Une équipe de scientifiques a mis en place une «preuve» photographique du changement climatique, révélant des couplets de photométrie ou des images avant / après, des glaciers en retraite. Leurs recherches et leurs photos sont publiées en ligne le 30 mars 2017 dans la revue GSA Today .

« Nous avons des preuves photographiques non retournées de glaciers fondant partout dans le monde », a déclaré Gregory Baker, géologue de l’Université du Kansas, dans un communiqué. « Cela inclut les couches de glace du Groenland et de l’Antarctique – ils sont de taille réduite. Ce ne sont pas des modèles informatiques de fantaisie ou des images satellites où vous devriez faire toutes sortes de corrections pour l’atmosphère. Ce sont simplement des photos, certaines prises Il y a plus de 100 ans, et mes co-auteurs sont retournés et ont réapprovisionné des photos dans plusieurs de ces endroits. C’est donc simplement une preuve directe de la perte de glace à grande échelle dans le monde entier.

Regardez vous même.


Mendenhall Glacier - After

 

Mendenhall Glacier – Après

Ici, le Glacier Mendenhall d’Alaska, vu en 2015, révélant que le glacier avait reculé d’environ 1 800 pieds (550 mètres) depuis 2007.

 

Glacier Mendenhall - Avant

 

Glacier Mendenhall – Avant

Cette image de Mendenhall Glacier, en Alaska, a été cassée en 2007. Vérifiez ce qui s’est passé en seulement huit ans.

Glacier Solheimajokull - Avant

 

Glacier Solheimajokull – Avant

Le glacier de Solheimajokull en Islande peut être vu dans cette image de 2007. Le glacier est situé sur le bord sud de la calotte glaciaire de Myrdalsjokull. Voyez à quoi ressemble le glacier maintenant.


Solheimajokull Glacier - Après

Solheimajokull Glacier – Après

Entre 2007 et 2015, le glacier de Solheimajokull (montré ici en 2015) a reculé d’environ 2 050 pieds (625 mètres), selon l’article du journal GSA Today.

Stein Glacier - Avant

 

Stein Glacier – Avant

Stein Glacier en Suisse ressent également la chaleur. Ici, vous pouvez voir le glacier tel qu’il est apparu en 2006.

Stein Glacier - Après

 

Stein Glacier – Après

Le glacier Stein de Suisse a reculé d’environ 1 800 pieds (550 mètres) entre 2006 et 2015. Le glacier est présenté ici en 2015.

Trift Glacier - Avant

 

Trift Glacier – Avant

Un autre délice suisse, le Glacier Trift est présenté ici en 2006.

Trift Glacier - Après

 

Trift Glacier – Après

Entre 2006 et 2015, le glacier de Trift a reculé plus d’un kilomètre (1,7 kilomètre), ont découvert les chercheurs. Le glacier est présenté ici en 2015.

Glacier du Pérou - Avant

 

Glacier du Pérou – Avant

Le glacier Qori Kalis, un glacier de sortie de la calotte glaciaire de Quelccaya, au Pérou est montré ici en 1978.

Glacier du Pérou - Après

 

Glacier du Pérou – Après

Entre 1978 et 2016, le glacier Qori Kalis péruvien a reculé à près des trois quarts de mile (1,14 kilomètre).

Columbia Glacier - avant

Columbia Glacier – avant

Le glacier de Columbia, situé sur la côte sud-est de l’Alaska, s’appelle un glacier d’eau de mer, ce qui signifie qu’il s’écoule directement dans la mer, selon l’Observatoire de la Terre de la NASA. En 1794, les explorateurs britanniques ont interrogé le glacier, montrant son nez (appelé terminus), se situaient au bord nord de l’île Heather, près de l’ embouchure de la baie Columbia, a rapporté l’Observatoire de la Terre . « Le glacier a occupé ce poste jusqu’en 1980, quand il a commencé une retraite rapide qui se poursuit aujourd’hui », a déclaré l’Observatoire de la Terre. Cette image montre le glacier en 2009.

 

Columbia Glacier - Après

 

Columbia Glacier – Après

Entre 2009 et 2015, le glacier de Columbia a reculé par une énorme 4 milles (6,5 kilomètres), ont indiqué les chercheurs de l’étude.

…et la dernière photo est la pire:elle nous démontre que c’est le réchauffement climatique qui détruira à coups surs ,notre civilisation nord-américaine,car le continent américain se réchauffe rapidement…comparé à la Sibérie,vers ou avance le pôle nord magnétique.

Cela survient au moment le  président Donald Trump vient de décider de promouvoir l’industrie du charbon.Il s’agit du président le plus irresponsable de l’histoire américaine. 

 

 

 

 

 

 

Sources: Geological Society of America / James Balog et l’enquête Extreme Ice

Les plantes médicinales: Le plantain, Boadleaf Plantain (Plantago Major)

 

 

Le plantain, Boadleaf Plantain (Plantago Major)
Cette mauvaise herbe très commune dans les Amériques s’est répandue dans le monde entier. Le plantain est une plante “aspirante” ce qui veut dire qu’elle peut faire sortir d’une blessure de la peau ou des muqueuses échardes, saletés et infections. C’est aussi un excellent traitement contre les piqures d’insectes. Le grand plantain a une action sur le gros intestin et peut être utilisé comme laxatif, mais aussi pour soigner une diarrhée ( les plantes fonctionnent souvent sur des affections opposées).

Je recherche des alternatives  à la pharmacopée du Nouvel Ordre mondial!Je crois  qu’en prenant conseil auprès des Premières nations du Québec et du canada,nous pouvons  guérir de nombreux maux!

Les dossiers de Michel Duchaine:Une fille sauvage trouvée dans la jungle indienne

Une fille sauvage trouvée dans la jungle indienne

 

LUCKNOW, Inde – Les autorités indiennes tentent d’identifier une «fille sauvage» qui a été retrouvée vivant dans la jungle en compagnie d’une bande de singes.

L’enfant âgée d’une dizaine d’années était entièrement nue, très maigre et incapable de parler quand elle a été découverte en janvier, avant d’être conduite à un hôpital de Bahraich, une ville de l’État d’Uttar Pradesh, dans le nord du pays.

Elle se comportait comme un animal, courait sur ses bras et ses jambes, et mangeait sa nourriture à même le sol, a dit le docteur D.K. Singh. Elle a toutefois maintenant commencé à marcher et à se nourrir normalement.

Le docteur Singh a ajouté qu’elle ne peut toujours pas parler, mais qu’elle comprend ce qu’on lui dit et qu’elle sourit.

La fille a tout d’abord été repérée par des villageois et semblait très confortable en compagnie des singes. Ces derniers ont même attaqué les villageois qui ont voulu la secourir.

Un policier appelé sur place a subi le même sort, mais il a réussi à s’emparer de l’enfant, à la placer dans sa voiture et à prendre la fuite pendant que les singes le pourchassaient.

Les policiers tentent maintenant de déterminer qui est cette enfant et qui sont ses parents. Elle a temporairement été confiée à un orphelinat.

Sources: Presse Canadienne

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LES ENFANTS SAUVAGES DANS L’HISTOIRE RÉCENTE

 

Perdus ou kidnappés, ces jeunes enfants ont été élevés parmi des poules, loups, singes et sont devenus comme eux Nous avons tous vu le dessin animé Disney le Livre de la jungle, mais pour quelques personnes extraordinaires être élevées par une meute de loups n’est pas seulement d’un conte de fées mais une réalité !

 

 

Kamala et Amala – les enfants-loups

 

L’un des cas les plus connus d’enfants vivant à l’état sauvage était ces deux filles découvertes dans la jungle indienne dans les années 1920. Sauvées à l’âge de trois et huit ans, Kamala et Amala vivaient avec une louve et sa meute qui les défendaient au péril de sa vie au même titre que ses louveteaux.

La réadaptation de Kamala et Amala.

 

 

 

Le révérend J. A. L. Singh a essayé de les aider à s’adapter à la vie humaine. Les filles auraient fait quelques progrès, mais finalement sont toutes deux décédées de maladies infantiles. Dans une interview, le révérend a dit plus tard qu’il se demandait s’il aurait été préférable de laisser ces enfants dans la nature où il les avait trouvés plutôt que de les ramener. Cette histoire a cependant fait l’objet de nombreuses controverses….


Shamdeo,le garçon élevé par les loups

 


L’enfant sauvage de sept ans Ramu (1947-1968), connu dans les médias comme «Wolf Boy», ronge sa viande crue peu de temps après sa découverte à Lucknow, en Inde, au début de 1954. Ramu avait apparemment été élevé par des loups après avoir disparu de Sa maison environ six ans plus tôt. (Photo de Hulton Archive / Getty Images)

 

 

Photo de Shamdeo

 

 

 

Shamdeo a été trouvé dans la forêt en Inde en 1972, alors qu’il était âgé de quatre ans environ. Il vivait avec les loups, jouait avec les petits, se nourrissait et dormait avec eux. Sa peau était sombre et ses dents étaient aiguisées aux pointes. Il avait des ongles très longs semblables à des griffes et les cheveux emmêlés ainsi que des callosités sur les paumes de ses mains, de ses coudes et de ses genoux.

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Marina Chapman – kidnappée et élevée avec des singes

 

Marina Chapman a été enlevée en 1954 alors qu’elle avait à peine cinq ans dans un village d’Amérique du Sud et plus tard abandonnée dans la jungle. Elle a vécu pendant cinq ans avec une famille de singes capucins avant d’être découverte par des chasseurs. Elle s’est nourrie exclusivement de baies, de racines et de bananes, dormait dans des trous dans les arbres et marchait à quatre pattes comme sa famille de singes.

 

Aujourd’hui

 

Marina n’a pas reçu d’aide spéciale de la part des singes pendant sa captivité, elle devait trouver sa propre nourriture. Finalement, ils ont accepté de lui enlever les poux des cheveux comme si elle était l’une d’entre eux. Elle a réussi à être complètement réintégrée dans la société humaine et vit maintenant dans le Yorkshire avec son mari et ses deux filles.

 


Le garçon poulet

 

Surnommé le ‘garçon poulet’, Sujit avait huit ans quand il a été découvert à Fidji en 1978. Il se trouvait alors au milieu de la route gloussant et battant ses bras comme un poulet. Ses parents l’avaient enfermé dans un poulailler tout au long de son enfance alors il avait appris à picorer sa nourriture et à s’accroupir comme s’il couvait. Sa mère se suicida après que son père ait été assassiné et Sujit a été laissé à la garde de son grand-père qui a continué de le confiner avec les poules.

 

Évolution 

 

Après avoir été secouru, il a été emmené dans une famille d’accueil avec des personnes âgées où il est devenu agressif et a donc été attaché à un lit, où il est resté pendant 20 ans. Depuis, il a été sauvé par Elizabeth Clayton qui a mis en place une prise en charge avec un organisme de charité pour les enfants dans le besoin..

 


OXANA MALAYA,LA FILLE-CHIEN

 

Oxana Malaya a été retrouvéé dans une niche de chiens en Ukraine en 1991 où elle a été vivait avec plusieurs roquets. Elle avait huit ans quand elle a été trouvée et avait vécu avec les chiens pendant les six dernières années. Étant bébé, ses parents alcooliques l’avaient laissée à l’extérieur alors elle s’était glissée dans le chenil de la ferme pour chercher de la chaleur et un abri.

PROGRÈS

Elle avait l’habitude de courir à quatre pattes, haletant avec sa langue et aboyant comme ses homologues canins. Elle vit maintenant dans une clinique à Odessa, une ville dans le sud de l’Ukraine où elle aide les animaux de la ferme de l’hôpital.

 


John Ssebunya,élevé par des singes


John Ssebunya s’est enfui de son domicile en Ouganda en 1988 après avoir été témoin de l’assassinat de sa mère par son père. Il a couru dans la jungle où il est resté et aurait été adopté par les singes. Il a été retrouvé en 1991 à l’âge de six ans et placé dans un orphelinat..

 

Depuis, il a appris à parler et même rejoint une chorale d’enfants africaine !