Le Soleil a émisune éruption solaireà mi-niveau, avec un pic à12h48HNEle 16Novembre2014.
Voici une capture d’imagede l’événement. Les éruptions solairessontde puissantes rafalesderayonnement cosmiques .Les rayonnements nocifsd’une éruption ne peuvent pas passerà travers l’atmosphèrede la Terre pour affecterphysiquementl’hommesur la terre, cependant–quand ces rayonnements sont assezintense–ilspeuventperturber l’atmosphèredans la coucheoù circulent les signaux GPSet de communicationde voyage.
Cette éruption a émergéd’unerégion activequi tournaitsur le côtégauchedu Soleille 13Novembre2014.Cetterégion active était déjàtournésur le devantdu soleilau cours des deuxdernières semaines en Octobre, quand c’était la plus grandedes taches solaires vue en 24 ans.Cette fois-ci, elle n’est que d’un tiersdesa taille précédente.
Cette éruption est classée commeune éruption de classe M5.7. Les éruptions de classe Msont undixième de la tailledeséruptionsles plus intenses, leséruptions de classe X. Le nombrefournitplus d’informations sursa force. UnM2est deux fois plusintensecomme unM1, M3est trois fois plusintense, etc.
Il y a des liens sérieux entre sur ce qui se passe maintenant sur notre soleil et les secousses sismique et les événements climatiques extrêmes,sur Terre.
L’image composite que nous vous montrons,est le résultat de 3185 images prises par le télescope spatial Hubble de la NASA avec une exposition totale de 592 heures , a déclaré Rogier Windhorst , un professeur d’astronomie à l’Université d’État de l’Arizona qui a aidé à créer l’image composite .
Il a fallu au télescope 841 orbites , et le résultat montre comment les galaxies se forment.
Avant 2009, Hubble a capturé des images de la lumière visible et proche de l’infrarouge qui nous a montré que les deux galaxies proches et des galaxies très lointaines qui remontent à quelques centaines de millions d’années après le big bang , selon une étude de la NASA .
Les chercheurs manquaient de données sur les galaxies intermédiaires – environ de 5 à 10 billion d’années-lumière – jusqu’à ce qu’ils ont commencé à étudier la lumière ultraviolette , ce qui pourrait être fait seulement avec un télescope spatial parce que les filtres de l’atmosphère de la Terre,sont de lumière plus ultraviolette , selon la NASA .
» Le manque d’information de la lumière ultraviolette s’est fait en étudiant les galaxies … comme essayer de comprendre l’histoire des familles sans connaître les enfants de l’école primaire « , a déclaré l’investigateur principal Harry Teplitz de Caltech à Pasadena , en Californie, dans un communiqué. «L’ajout de l’ultraviolet remplit donc ce rôle dans cette gamme manquante . «
Une fois que les galaxies «moyennes» ont été incluses , les chercheurs pourraient voir comment des galaxies ont augmenté en taille en » formant de petites collections d’étoiles très chaudes « , selon la NASA .
Je tiens à souligner l’énorme travail de notre ami Enrich von Echman qui fait beaucoup de recherches et d’ajouts sur notre grand Réseau.
Souvenez-vous qu’à chaque visite sur notre Réseau Audiologique Mondial,vous nous permettrez de créer une fondation afin de pouvoir démarrer notre expédition en Antartique…vers les bases secrètes allemandes.
Presque en même temps que leslancements dePioneer, les astronomes ont égalementjoué avec l’idée d’utiliser des ondes radioamplifiés afin d’entrer en contact avec des civilisations extraterrestres. Ils savaientque les ondes radioont été moins touchéspar la poussièrecosmiqueà la lumière,et ils ont aussicompris commentdirigerdes ondes radioà des pointsciblésde nombreusesannées-lumièredans l’espace.Pour ces raisons, il leur a semblé que les ondes radio étaient le meilleurmoyen d’atteindre quelqu’un dans les profondeurs del’universet de délivrerunmessage.Un jour, Frank DrakeetCarlSaganse sont associés pourconcocterune tentative de communicationd’humain vers les aliens. Cette fois,leur messageétait composé de septparties, y compris une imaged’un être humain, lastructure de l’ADN, des numéros atomiquesdes éléments communs, etleschiffres de un àdix.Ils onttransmis la communicationenchiffres binaires, avec tous les zéros et de unsreprésentés pardeux fréquences différentes. Par ailleurs,lesimagesont finipar ressembler àquelque chose d’unjeuAtari, donc si les extraterrestresjamaisdécoder le signal, ils peuvent tout simplementpenser que nous sommesde grands fans dejeux vidéodes années 80, etdécider dene pas répondre.En1974astronomes ont utiliséleradiotélescope d’Arecibo ,à Porto Rico pourdiriger le messagevers l’amas d’étoilesM13,qui abriteune abondance d’étoiles et a donc unemeilleure chancede contenirla vie intelligente. Le seul inconvénient del’emplacement deM13, c’est que c’est 21,000 années-lumière, donc si un étranger désire nous envoyer une réponseà la radio,il nous faudraplus de quarante milleans pourl’obtenir…sur les données de la science officielle …et rationaliste.
Plusieurs années après l’envoi du fameux message émis par Arecibo,on remarqua deux énormes crop circles près de l’antenne géante.D’autres crop circle apparurent partout dans le monde dont celui de Chibolton ,en Angleterre en 2002.
LE CROP CIRCLE « ALIEN » DE CHILLBOLTON
Le crop circle »Alien »
En 2002, le Crop Circle Chilboltonau visage d’alien et« Diskmessage » ,apparudans le blé, le 15 Août2002 près de Crabwood, Hampshire Royaume-Uni. Le disque du crop circleavait un messagede codebinaire, le message a étédécodéexactement comme il apparaîtici:
Méfiez-vousdes porteurs de FAUXcadeauxet de leurs Promesses non tenues. Beaucoup de douleurmaisencore temps. Il y a de bonneslà-bas. Nous nous opposonsDECEPTION FERMETUREconduit ( Cloche son …ou son de cloche).
Des messages venus de l’espace…pour nous avertir!
Dans la même année2002,dans l’Himalayatibétain ,24ancienscrânesde cristal–16 de taillehumaine ,8 petitscrânesde cristalet3disques de grande capacitéont été trouvés. Les disquesressemblent à nos CD etontdu êtrefaits desubstances métalliques (cobalt et d’autres substances)etressemblent à cedisque decrop circlede 2002avec des gravures un peu commelescode.Ces disques binaires d’Himalaya et les crânes de cristalont été retrouvésenterrésdans des grottes.Je crois queceux-ci proviennent de l’époque del’Atlantideet sont relié àd’autres systèmes d’étoiles comme Sirius ,par exemple.
Le disque decrop circledécodéci-dessus etle crop circle au visage d’alien de 2002 :je crois qu’ils doivent être reliés auxcrâneset aux disquesde cristal de l’Himalaya.Je crois que c’estla confirmation etl’un des signesde notre temps,de l’Ère Nouvelle dans laquelle nous venons de commencer à vivre,…et que d’autresêtres extraterrestre tentent decommuniqueravec nouset j’espèrepour nous aider en cemoment qui est le plus critiquede l ‘histoire de notre Terre . Le messageà l’humanité, c’est que si nousne nous réveillons pas, afin de vivre dans le respectet l’intégrité, l’amour et l’unité,notre belle Terreetl’humanitépourraient être annihilés comme cela est arrivé auparavant ,à la civilisation de l’Atlantide et de la Terre de Mu.
Aujourd’hui 15 février 2013, un astéroïde pesant 135 000 tonnes et mesurant 45 mètres de diamètre frôlera notre planète à l’incroyable vitesse de 28 000 km/h. On peut toutefois respirer. La Nasa assure qu’il n’entrera pas en collision avec la Terre.
Soulignons que la pluie de météorites qui s’est abattue sur la région de l’Oural, au nord-ouest de la Russie ce matin, a fait plus de 1,000 blessés (dont 200 enfants) selon les autorités russes, mais que ce phénomène naturel n’est pas lié à l’astéroïde qui passera tout près de la Terre ce soir.
Après la pluie de météorites qui s’est abattue sur la Russie en ce vendredi matin, un autre corps céleste est venu nous visiter dans le voisinage de notre planète. L’astéroïde 2012 DA14 est passé très près de la Terre à 14 h 24 (HAE), à seulement 27 700 kilomètres du sol.plus près que les satellites géostationnaires. Ce corps céleste ne représentera cependant aucun danger.
Il n’existerait aucun lien entre les deux événements, selon les scientifiques.
2012 DA14 mesure environ 50 m de long et possède une masse estimée à 130 000 tonnes (l’équivalent de 3 porte-avions). L’astéroïde s’est trouvé à la verticale de l’Indonésie, et quelque 8000 km en dessous de l’anneau artificiel que forment les satellites géostationnaires au-dessus de l’équateur. Certains d’entre eux se trouvent à 36 000 km, mais les risques de collision demeuraient presque inexistants.
L’objet a atteint la vitesse de 28 000 kilomètres/heure.
Observation impossible à l’oil nu
Même s’il est passé très près de la Terre, 2012 DA14 n’était pas visible en raison de sa – relative – petite taille. En fait, il est passé à une distance de 14 fois plus près que la Lune que de notre planète. De plus, il ne réfléchit pas beaucoup la lumière du Soleil. Ainsi, son éclat est demeuré inférieur à celui de la moindre étoile discernable sans instrument.
Les astronomes amateurs équipés de jumelles, de lunettes ou de télescopes ont été capables de le voir dans un environnement favorable, loin des lumières des villes. Il est apparu comme un point mobile, comme un satellite artificiel.
Le saviez-vous? 2012 DA14 est connu depuis moins d’un an. Sa découverte, à l’observatoire de La Sagra, en Andalousie, en Espagne, remonte au 22 février 2012, lors de son passage à 2,6 millions de kilomètres de distance.
Si…
Dans le cas où un astéroïde de cette grosseur heurtait la Terre, il créerait un cratère d’un kilomètre de diamètre et anéantirait toute trace de vie dans un rayon de 20 kilomètres.
2012 DA14 boucle actuellement sa révolution autour du Soleil d’une période de 366 jours. Il appartient au groupe des astéroïdes géocroiseurs Apollos qui croisent régulièrement la trajectoire de la Terre et peuvent à ce titre représenter une menace potentielle de collision.
En juin 2004, Apophis, un astéroïde d’environ 325 m (± 15 m) de diamètre pour une masse de plus de 45 millions de tonnes a été découvert par les astronomes. Dans sa course autour du soleil, cet astéroïde menace directement notre planète d’une collision cataclysmique.
Pour la première fois, un géocroiseur[1], nommé alors 2004 MNA a été classé au deuxième degré sur l’échelle de Turin[2] expliquait Donald Yeomans, scientifique de Jet Propulsion Laboratory de la NASA en 2004.
Ce géocroiseur menaçant été découvert par R. A. Tucker, D. J. Tholen et F. Bernardi via l’observatoire de Kitt Peak, dans l’Arizona, au sud-ouest des Etats-Unis. La NASA a aussitôt alerté son réseau de détection au sol.
Les premières estimations indiquaient alors que l’astéroïde, qui croise deux fois l’orbite terrestre au cours de sa révolution, pourrait rencontrer l’orbite de la Terre en avril 2029, avec une collision peu probable mais pas impossible.
D’autres calculs, datés du 31 octobre 2005, ont repoussé l’échéance d’un croisement avec la Terre à avril 2036 avec un risque évalué alors à 1 sur 5 560 ! Ce qui correspond au degré 1 (sur 10) de l’échelle de Turin. 2004 MNA a alors été renommé 99942 Apophis[3], du nom d’une divinité égyptienne du mal et des ténèbres (Apep).
De nouveaux calculs datés du 6 mai 2008 ont écarté un peu plus le risque de collision. Le géocroiseur avait alors une « chance » sur 45 000 d’entrer en collision avec la Terre le 13 avril 2036 : le niveau de risque sur l’échelle de Turin repassait à 0.
Enfin, les derniers calculs effectués par la NASA le 7 octobre 2009 indiquaient que le risque de collision d’Apophis avec la Terre n’est plus que de 1 sur 233 000 pour le dimanche 13 avril 2036. Si l’on considère l’ensemble des dates où Apophis devrait croiser l’orbite de la Terre, la probabilité d’un impact est de 1 sur 135 000 ; autrement dit, il y a 99,99926 % de chance que l’astéroïde ne touche pas la Terre…
Apophis devrait frôler la Terre le 13 avril 2029
Les astronomes russes ont confirmé cette probabilité, rapporte Ria Novosti. Selon Leonid Sokolov, professeur à la faculté de mécanique céleste de l’université de Saint-Pétersbourg, « le 13 avril 2029, Apophis s’approchera de la Terre à une distance d’environ 37 000 ou 38 000 kilomètres. Il peut entrer en collision avec la Terre le 13 avril 2036« .
En fait, avril 2029 semble plus inquiétant car Apophis devrait passer à seulement 30 000 km de la Terre ! A titre de comparaison, la Lune est distante d’environ 385 000 km de la Terre. Le géocroiseur frôlerait donc la Terre à une distance inférieure à celle de nos satellites communication qui sont en orbite géostationnaire à 36 000 km de la Terre. L’objet devrait être bien visible dans le ciel : de quoi susciter quelques frayeurs.
Heureusement, pour l’instant, d’autres chercheurs, dont les experts de l’Institut d’astronomie appliquée de l’Académie des sciences de Russie, considèrent cette collision comme peu probable.
Ces estimations ne manqueront pas d’être affinées dans les années à venir car la trajectoire de l’astéroïde est soumis à des incertitudes[4] qui pourraient bien confirmer ou infirmer la probabilité de l’impact.
En effet, « la détermination précise de l’orbite d’Apophis est particulièrement difficile en raison de la méconnaissance de « l’effet Yarkovsky », du nom de l’ingénieur russe qui découvrit au début du XXe siècle le phénomène suivant : lorsqu’un corps céleste en rotation s’approche du Soleil, il s’échauffe d’un côté avant de se refroidir lorsqu’il a tourné sur lui-même. Ce refroidissement se produit par émission d’un rayonnement infrarouge qui crée une poussée infinitésimale mais permanente sur l’astéroïde et ainsi en modifie la trajectoire » précise le CNES.
L’astéroïde Apophis est passé près de la Terre le 9 janvier 2013 à environ 14,46 millions de km. Une occasion pour les astronomes d’étudier son orbite et de mieux évaluer le risque d’impact avec la Terre.
Apophis restera observable à l’aide de télescopes terrestres jusqu’en février-mars 2013 puis sera de nouveau hors de portée jusqu’en 2021.
Conséquences d’une collision encore improbable
Les scientifiques indiquent néanmoins que « dans l’hypothèse improbable où il entrerait bien en collision », le bolide qui serait chauffé à plus de 1 600°C en pénétrant dans l’atmosphère, engendrerait des conséquences cataclysmiques : du tsunami (raz-de-marée) si il plonge dans l’océan[5], ou des dégâts massifs sur les terres et les zones habitées.
Un impact avec la Terre dégagerait une énergie de plus de 506 mégatonnes. C’est près de 34 000 fois la puissance de la bombe larguée sur Hiroshima le 6 août 1945 qui avait alors dégagé une puissance d’environ 15 kilotonnes.
La peur que suscite une telle éventualité fait qu’Apophis est déjà surnommé le « destructeur de mondes ».
Comment éviter le pire ?
Si le risque de collision avec la Terre a fortement diminué d’après les nouvelles précisions concernant la trajectoire de 99942 Apophis, il susbiste un doute sur sa trajectoire précise lors de son passage près de la Terre. Ainsi, Patrick Michel, astrophysicien à l’observatoire de la Côte d’Azur indiquait[6] qu’à seulement 600 mètres près, Apophis pourrait s’écraser sur Terre ou continuer sa course dans l’espace lors de son passage à 32 000 km de la Terre en 2036. Cet écart avec la Terre sera fonction des perturbations gravitationnelles qu’il n’est, pour le moment, pas possible de déterminer.
C’est pourquoi, les scientifiques ont insisté pour que des discussions soient engagées sur les moyens d’éviter une catastrophe régionale voire planétaire. Ainsi, un groupe de travail réunissant des experts de plusieurs pays a préparé un projet de traité international qui devait être soumis à l’ONU en 2009.
D’ores et déjà, le CNES étudie une mission spatiale destinée à déterminer la structure interne de cet astéroïde et ainsi permettre de modifier la trajectoire de ce géocroiseur, si il devait devenir vraiment menaçant.
Plusieurs moyens plus ou moins risqués pour dévier Apophis sont déjà envisagés : explosion, déviation, tracteur gravitationnel, satellite parasol…
Certains astéroïdes, comme Apophis, passent régulièrement à proximité de la Terre. Et si les chances de voir l’un d’entre eux percuter notre planète sont quasiment nulles, les scientifiques réfléchissent activement aux moyens de neutraliser ces bolides de l’espace et d’éviter tout cataclysme.
Etudier les moyens de dévier la trajectoire de ce géocroiseur n’est pas vain puisqu’il y a fort à parier que d’autres astéroïdes menaçants seront découverts,entre temps.
Notes
Astéroïde évoluant à proximité de la Terre
L’échelle de Turin qui comprend 10 degrés évalue les probabilités d’impact d’astéroïdes ou comètes avec la Terre
Également connu sous le nom Apep, le Destructeur, Apophis est le dieu égyptien du mal et de destruction qui habitaient dans les ténèbres éternelles.
Apophis peut voir sa trajectoire modifiée par les perturbations gravitationnelles engendrées par les autres corps du système solaire.
Les océans recouvrent 77% de la surface de la Terre
La distance Terre-Lune est d’environ 384 403 km en moyenne.
La grande caractéristique d’une île est son isolement géographique.Vue du ciel,on la voit « coupée du monde ».Nos cartes géographiques ou notre globe-terrestre nous la montrent tel un petit point dans le bleu de l’océan.Pour ses habitants,ce petit point est fondamental.Important tout autant pour les gens qui rêvent de s’étendre sur ses plages.
Notre terre est extrèmement isolée dans l’infinie du cosmos.Vue de l’extérieur de notre système solaire,on ne la voit même pas:on remarque davantage Saturne et Jupiter que le Soleil lui-même.Les photos prises de la lune nous la montrent toute bleue dans l’espace,loin de toutes les autres planètes.
La vision touchante de cette petite planète bleue,porteuse de vie,nous la rend attachante et précieuse.De nos jours,nous pouvons facilement aller d’une île à l’autre,même lointaine ,d’un continent à un autre et vice-versa.
Seulement quelques humains ont pu voyager (?…vrai ou faux!) dans l’espace jusqu’à la Lune et en retourner!
Les voyages intersidéraux sont encore très imaginaires,même si les courts voyages jusqu’à la station ISS en ont banalisés l’information et que l' »émerveillement » de ma jeunesse s’estompe peu à peu!Une mission vers Mars nécessiterait de parcourir quelques centaines de millions de kilomètres…Ce n’est donc pas pour demain,la grande aventure déjà si bien romancée par Hollywood!
Toutes les îles de la planète Terre sont grandement menacées par les conséquences immédiates et ultimes du réchauffement global du climat.Ce qui ,on en est assuré,proquera une hausse rapide du niveau des mers et des océans.Menacées,elles le sont irrémédiablement,car leur altitude est faible.Les belles plages touristiques seront submergées,et des lieux fort prisés,disparaîteront à jamais aux yeux de l’humanité future.Les habitants de certaines îles doivent déjà se replier sur les points les plus éloignés ou s’expatrier.
Les continents de la planète voient leur littoral menacé,chacun n’étant finalement qu’une immense île…De même la Terre n’est qu’une toute petite île,menacée directement par les moindres petits soubresauts de la grande vague spatiale entraînée par le mouvement de notre galaxie:la Voie Lactée!
The Hubble space telescope has detected what scientists believe is the oldest galaxy ever seen before.
Thirteen billion years. That would be the age of the galaxy recently observed by Hubble. It already existed 480 million years after the Big Bang.
The new image, taken by Hubble and published in the journal Nature, was detected using a wide angle camera recently installed on the Hubble Space Telescope. The NASA scientists have observed a rapid growth of this galaxy in a very short time. They then think that there was a period when galaxy formation was intensively activated. About 500 million years after the Big Bang, there would have been a galaxy, while 150 million years later, a dozen others have emerged. The researchers even claim that this account has doubled from 100 million years.
First there were a few stars and clusters, baby galaxies, and finally the majestic galaxies we see today, according to Professor Richard Bouwens, interviewed by the BBC. He compares the galaxy discovered by Hubble in a newborn: it is much smaller than galaxies like our Milky Way, but it grows faster. « We can use these new measures to know how fast the galaxies are formed and grow, » explains Professor Bouwens. They will also get more details about the early days of the Universe at the time of the first stars and galaxies.
Robert Massey of the Royal Astronomical Society (RAS), believes the new image captured by the space telescope will also allow astronomers to adjust their theories about the evolution of the Universe. If this new Hubble observation is yet to be confirmed, scientists remain confident teams.
In all cases, astronomers are eagerly awaiting the launch of the James Webb Space Telescope at NASA in 2014. The resolution of these instruments will be used, inter alia, to observe the first stars and galaxies that formed after the Big Bang.
Le télescope spatial Hubble a détecté ce que les scientifiques pensent être la plus vieille galaxie jamais observée auparavant.
Treize milliards d’années. Ce serait l’âge de la galaxie nouvellement observée par Hubble. Celle-ci existait déjà 480 millions d’années après le Big Bang.
La nouvelle image, prise par Hubble et publiée dans la revue Nature, a été détectée grâce à une caméra grand angle récemment installée sur le télescope spatial. Les scientifiques de la Nasa ont constaté une croissance rapide de cette galaxie en très peu de temps. Ils pensent alors qu’il y aurait eu une période pendant laquelle la formation des galaxies s’est activée intensivement. A environ 500 millions d’années après le Big Bang, il n’y aurait eu qu’une galaxie, alors que 150 millions d’années plus tard, une dizaine d’autres auraient fait leur apparition. Les chercheurs affirment même que ce compte a doublé 100 millions d’années après.
Il y a d’abord eu quelques étoiles, puis des amas, des bébé galaxies, et finalement les galaxies majestueuses que nous connaissons aujourd’hui, d’après le professeur Richard Bouwens, interrogé par la BBC. Il compare la galaxie découverte par Hubble à un nouveau-né : elle est beaucoup est plus petite que des galaxies comme notre Voie Lactée, mais elle grandit plus vite. « Nous pouvons utiliser ces nouvelles mesures pour savoir à quelle vitesse les galaxies se forment et grandissent », explique le professeur Bouwens. Elles permettront également d’obtenir plus de détails sur les premiers temps de l’Univers. à l’époque des premières étoiles et galaxies.
Robert Massey, de la Royal Astronomical Society (RAS), pense que la nouvelle image capturée par le télescope spatial va aussi permettre aux astronomes d’ajuster leurs théories concernant l’évolution de l’Univers. Si cette nouvelle observation faite par Hubble doit encore être confirmée, les équipes scientifiques restent confiantes.
Dans tous les cas, les astronomes attendent avec impatience le lancement du télescope James Webb de la Nasa en 2014. La résolution de ses instruments va être utilisée, entre autres, pour observer les premières étoiles et galaxies qui se sont formées après le Big Bang.
Les astronomes savent depuis longtemps que de nombreuses enquêtes de galaxies lointaines manquez 90% de leurs objectifs, mais ils ne savaient pas pourquoi. Maintenant, les astronomes ont déterminé qu’une fraction importante des galaxies dont la lumière a pris 10 milliards d’années pour nous rejoindre sont allés découvrir. Cela a été trouvé avec une enquête très profonde à l’aide de deux des quatre télescopes géants de 8,2 mètres qui forment l’ESO Very Large Telescope (VLT) et un unique filtre sur mesure. L’enquête a également permis de découvrir quelques-unes des galaxies moindre jamais trouvé à ce stade précoce de l’Univers.
Les astronomes utilisent fréquemment le plus fort, caractéristique de «l’empreinte» de la lumière émise par l’hydrogène connu comme la raie Lyman-alpha, pour sonder la quantité d’étoiles formées dans l’Univers lointain très soupçons Pourtant, il ya longtemps que beaucoup de galaxies lointaines passer inaperçue dans ces enquêtes . Une enquête VLT nouvelle montre pour la première fois que c’est exactement ce qui se passe. La plupart de la lumière Lyman-alpha est emprisonnée dans la galaxie qui émet, et 90% des galaxies ne se présentent pas dans les enquêtes Lyman-alpha.
«Les astronomes ont toujours su qu’ils étaient absents une fraction des galaxies dans les enquêtes Lyman-alpha », explique Matthew Hayes, l’auteur principal de l’étude, publiée cette semaine dans Nature, « mais pour la première fois que nous avons maintenant une mesure. Le nombre de galaxies manquer est importante. »
Pour comprendre comment une grande partie de la luminosité totale a été manquée, Hayes et son équipe ont utilisé la caméra FORS sur le VLT et une bande étroite sur mesure filtre pour mesurer cette lumière Lyman-alpha, suivant la méthodologie des enquêtes Lyman-alpha standard. Puis, en utilisant la nouvelle caméra HAWK-I, rattaché à un autre télescope du VLT, ils ont étudié le site même de l’espace pour la lumière émise à une longueur d’onde différente, également par l’hydrogène incandescent, et connu sous le nom de la ligne H-alpha. Ils ont recherché spécifiquement des galaxies dont la lumière a voyagé pendant 10 milliards d’années (redshift 2,2), dans une zone bien étudiés du ciel, connu comme le domaine des « Good -South ».
«C’est la première fois que nous avons observé un patch du ciel si profondément à la lumière provenant de l’hydrogène à ces deux longueurs d’onde très spécifiques, et cela s’est avéré crucial», a déclaré membre de l’équipe Goran Ostlin. Le sondage a été extrêmement profonde, et découvert quelques-unes des moindre galaxies connues à cette époque, au début de la vie de l’Univers. Les astronomes ont pu ainsi conclure que les enquêtes traditionnelles fait en utilisant Lyman-alpha ne voit qu’une infime partie de la lumière totale qui est produite, car la plupart des photons Lyman-alpha sont détruits par l’interaction avec les nuages interstellaires de gaz et de poussière. Cet effet est nettement plus important pour Lyman-alpha que pour la lumière H-alpha. En conséquence, de nombreuses galaxies, une proportion aussi élevée que 90%, passent inaperçus par ces enquêtes. « S’il ya dix galaxies vu, il pourrait y avoir une centaineau même endroit », a déclaré Mme Hayes. »,
Différentes méthodes d’observation, en ciblant la lumière émise à différentes longueurs d’onde, conduisent toujours à une vision de l’univers qui n’est que partiellement complète. Les résultats de cette enquête donnent un avertissement sévère pour les cosmologistes, que la signature forte Lyman-alpha devient de plus en plus invoqué dans l’examen des premières galaxies de se former dans l’histoire de l’Univers. « Maintenant que nous savons combien la lumière nous a manqué, nous pouvons commencer à créer des représentations beaucoup plus précise de l’univers, mieux comprendre comment les étoiles se sont formés rapidement à différents moments dans la vie de l’Univers », a déclaré le co-auteur Miguel Mas-Hesse.
La percée a été rendue possible grâce à la caméra unique utilisée. HAWK-I, qui a vu sa première lumière en 2007, est un instrument à la fine pointe de l’art. « Il ya seulement quelques caméras d’autres télescopes avec un champ visuel plus large que HAWK-I, et ils sont sur des télescopes moins de la moitié de la taille du VLT. Alors que VLT / HAWK-I, vraiment, est capable de trouver efficacement ce galaxies faibles à ces distances », a déclaré l’équipe, Daniel Schaerer.
Astronomers have long known that many surveys of distant galaxies miss 90% of their targets, but they didn’t know why. Now, astronomers have determined that a large fraction of galaxies whose light took 10 billion years to reach us have gone undiscovered. This was found with an extremely deep survey using two of the four giant 8.2-meter telescopes that make up ESO’s Very Large Telescope (VLT) and a unique custom-built filter. The survey also helped uncover some of the faintest galaxies ever found at this early stage of the Universe.
Astronomers frequently use the strong, characteristic “fingerprint” of light emitted by hydrogen known as the Lyman-alpha line, to probe the amount of stars formed in the very distant Universe Yet there have long been suspicions that many distant galaxies go unnoticed in these surveys. A new VLT survey demonstrates for the first time that this is exactly what is happening. Most of the Lyman-alpha light is trapped within the galaxy that emits it, and 90% of galaxies do not show up in Lyman-alpha surveys.
“Astronomers always knew they were missing some fraction of the galaxies in Lyman-alpha surveys,” explains Matthew Hayes, the lead author of the paper, published this week in Nature, “but for the first time we now have a measurement. The number of missed galaxies is substantial.”
To figure out how much of the total luminosity was missed, Hayes and his team used the FORS camera at the VLT and a custom-built narrowband filter to measure this Lyman-alpha light, following the methodology of standard Lyman-alpha surveys. Then, using the new HAWK-I camera, attached to another VLT Unit Telescope, they surveyed the same area of space for light emitted at a different wavelength, also by glowing hydrogen, and known as the H-alpha line. They specifically looked at galaxies whose light has been traveling for 10 billion years (redshift 2.2), in a well-studied area of the sky, known as the GOODS-South field.
“This is the first time we have observed a patch of the sky so deeply in light coming from hydrogen at these two very specific wavelengths, and this proved crucial,” said team member Goran Ostlin. The survey was extremely deep, and uncovered some of the faintest galaxies known at this early epoch in the life of the Universe. The astronomers could thereby conclude that traditional surveys done using Lyman-alpha only see a tiny part of the total light that is produced, since most of the Lyman-alpha photons are destroyed by interaction with the interstellar clouds of gas and dust. This effect is dramatically more significant for Lyman-alpha than for H-alpha light. As a result, many galaxies, a proportion as high as 90%, go unseen by these surveys. “If there are ten galaxies seen, there could be a hundred there,” Hayes said.
Different observational methods, targeting the light emitted at different wavelengths, will always lead to a view of the Universe that is only partially complete. The results of this survey issue a stark warning for cosmologists, as the strong Lyman-alpha signature becomes increasingly relied upon in examining the very first galaxies to form in the history of the Universe. “Now that we know how much light we’ve been missing, we can start to create far more accurate representations of the cosmos, understanding better how quickly stars have formed at different times in the life of the Universe,” said co-author Miguel Mas-Hesse.
The breakthrough was made possible thanks to the unique camera used. HAWK-I, which saw first light in 2007, is a state-of-the-art instrument. “There are only a few other cameras with a wider field of view than HAWK-I, and they are on telescopes less than half the size of the VLT. So only VLT/HAWK-I, really, is capable of efficiently finding galaxies this faint at these distances,” said team member Daniel Schaerer.
Bienvenue à tous et à toutes:Nous venons de lancer une nouvelle boutique indépendante du site afin de nous aider à rentabiliser notre site Michelduchaine.com
Vous trouverez de nombreux articles vintage et de collection diverses au fil des jours.
Elle vous permettra d'acquérir des articles venant directement de Michel...D'aille elle s'appelle "Vintage par Michel que vous trouverez sur ce lien:https://www.etsy.com/ca-fr/shop/VintageParMichel?ref=seller-platform-mcnav Ignorer