Selon la NASA, plusieurs civilisations avancées auraient existé sur Terre avant un grand effondrement

 

Selon la NASA, plusieurs civilisations avancées auraient existé sur Terre avant un grand effondrement

Est-il possible que plusieurs civilisations ultra sophistiquées aient existé par le passé et que la nôtre suivra cette course inévitable d’un effondrement total? L’effondrement de notre société est-il imminent? Voici plusieurs questions que la NASA se posent. L’étude, en partie financée par le Goddard Space Flight Center suggère que les civilisations telles que nous les connaissons, connaissent une fin brutale dû à un grand nombre de facteurs différents.

Si nous nous intéressons à l’histoire, disons il y a 3000 à 5000 ans en arrière, nous découvrirons plusieurs preuves qui prouveront les capacités avancées des civilisations passées, qui étaient aussi brillantes que la nôtre. Ce modèle cyclique a été le sujet de plusieurs questions scientifiques quant à la future existence de la société et de la civilisation telles que nous les connaissons. En revenant encore plus loin en arrière, 10,000 ans avant la naissance de JC, on découvre les restes d’anciennes civilisations qui remontent à une période inconnue de nous autres. Il y a 5000 ans, la civilisation Égyptienne est née. D’où vient la culture égyptienne? Sa religion? Quelles sont ses origines? Apparemment nous ne savons rien mais ce que les archéologues ont exhumé des différentes strates, il semblerait que beaucoup d’objets « impossibles » aient une existence légitime. Que d’anciennes civilisations ont véritablement existé et qu’elles avaient déjà développé tout ce que nous connaissons, prenons pour acquis et apprécions de nos jours. On tombe sur ce genre de découvertes en ancienne Mésopotamie, en Amérique Centrale, en Chine…

Il est difficile de renier ce modèle qui revient sans cesse, et qui est une analyse pure et dur de la NASA financé par le meilleur de l’humanité.. Tout cela pour découvrir les origines des civilisations sur Terre et qui ont mis des milliers d’années à se développer. Plusieurs individus considèrent cela comme la preuve ultime que le cycle des civilisations passe en mode reset assez fréquemment.

 

Ces facteurs n’ont cessé de se reproduire et ont été les coupables de la naissance d’anciennes civilisations avant l’existence même de notre propre civilisation. Dans ce rapport, le mathématicien Safa Motesharri et son modèle « des dynamiques humaines et naturelles » stipule, que le« processus de naissance et de chute de ces cycles récurrents sont à jamais présent dans l’histoire. » « La Chute de l’Empire Romain et celles de Han, Mauryan, et Gupta, ainsi que plusieurs empires mésopotamiens, représentent toutes la preuve que des civilisations à la fois fragiles et impermanentes surgissent de cette terre. »

L’étude est arrivée à la conclusion que plusieurs facteurs sociaux ont contribué à l’effondrement de chacune de ces sociétés avancées: « La demande constante en ressources en raison de la pression exercée sur la capacité de processus écologique, »; et « la stratification économique de la société en élites multiples [donc les riches] et la plèbe [les pauvres] ». Ces phénomènes sociaux ont joué un« rôle considérable dans le caractère ou le processus d’effondrement, » de ces « cinq milles dernières années ».

Bien que notre civilisation est dans une phase technologique avancée, cela ne veut pas dire qu’elle va immédiatement disparaître dans un chaos innommable. Selon l’étude, les « changements technologiques peuvent accroître l’efficacité de l’utilisation des ressources mais peut aussi provoquer une consommation excessive de ces dernières. »

L’exemple majeur de civilisation incroyable qui a disparu par le passé est celle d’Amérique Centrale. Les anciens Mayas étaient hautement sophistiqués et il semblerait qu’une déforestation massive ait été à l’origine de leur déclin et extinction. « Les effondrements de civilisations super puissantes sont inévitables. », « les élites consomment trop et donnent peu en retour et cela mènera inévitablement à la fin de notre société et de cette civilisation. »

Source: Anonymous Mags,Wikistrike

Dossier corruption politique:ce que la Commission Charbonneau cache

La juge France Charbonneau...
La juge France Charbonneau…

Voici ce que la commission Charbonneau n’a pas eu le temps de vous dire….
10 min après l ‘avoir publié  le site était bloqué. Partagez  partagez  partagez..! 
1/2 milliard $ disparu grâce à Blanchette et sa femme matante popo ministre des finance à cette époque.

La Gaspésia :la bévue historique du PQ.
La Gaspésia :la bévue historique du PQ.

Après Gaspésia, Éolia ?

En 2001, le PQ était au pouvoir et on avait sur la planche à dessin un projet ambitieux: le projet Gaspésia. On voulait réouvrir une usine à papier en Gaspésie:

 »Le 17 décembre 2001, l’ex-premier ministre Bernard Landry, Claude Blanchet et le président de Tembec, Frank Dottori, annoncent la relance de la Gaspésia pour 463 millions $. Le Fonds de solidarité de la FTQ possède 50 % des actions de Papier Gaspésia, Tembec et la SGF se partageant le reste. Devant 500 personnes, M. Blanchet loue la présence dans le dossier d’un partenaire « aux poches profondes » comme Tembec. M. Dottori se cache le visage dans les mains, ce qui fait rire la foule. En point de presse, M. Dottori rappelle que « c’est un projet à haut risque ». »

Le projet s’est avéré un fiasco total, les  coûts reliés au projet explosant de 200 millions et l’usine n’ouvrant jamais ses portes, une perte totale de 500 millions. À cette époque la ministre des finances était…Pauline Marois. Le juge Lesage , analysant ce fiasco, met en cause Claude Blanchet et indirectement Pauline Marois:

 » Dans son rapport, le juge Lesage s’en prend certes à Bernard Landry. Mais il écorche violemment Claude Blanchet, l’ex-pdg de la Société générale de financement. À travers eux deux, Pauline Marois n’est pas en reste, qui était ministre des Finances à l’époque. Tout le monde se rappelle aussi de cette conférence de presse où M. Blanchet révélait qu’on avait fait pression sur lui pour qu’il engage la SGF dans ce projet. Les pressions du premier ministre mais aussi celles de sa «chère Pauline», sa conjointe. »

Pour notre grand malheur, il y a des similitudes entre le développement de l’éolien tel que proposé par le gouvernement actuel et ce sinistre projet: Les deux projets prétendent contribuer à créer des emplois dans des régions défavorisés et les deux projets concernent des industries ponctuellement en difficulté, le papier moins nécessaire avec le développement des journaux électroniques pour la Gaspésia, et l’électricité éolienne trop dispendieuse pour pouvoir concurrencer le gaz naturel chez nos voisins du sud.

Encore plus inquiétant voici ce que disait Pauline Marois en août 2012 : »La chef du Parti québécois Pauline Marois souhaite «tourner la page» sur le fiasco de la Gaspésia. Mais elle dit ne pas avoir de regret. »

Sa verdoyante ministre Martine Ouellet ne semble pas au courant des chiffres rendus publics par l’IEDM concernant l’industrie éolienne cette semaine:  »Pour l’Institut économique, il est clair que l’industrie reçoit une subvention implicite de 700 millions de dollars par année, payée par tous les consommateurs québécois à même leur facture d’électricité. » Pour ceux moins au fait du dossier résumons les choses ainsi: le coût de production d’électricité avec l’éolien est de 0,14 $ le KWH et le coût de vente sur le marché de l’exportation (puisque nous sommes en surplus…) est de…0,06 $ le KWH. Pas une compagnie privée n’irait bien sûr de l’avant avec de tels chiffres !Chaque québécois payeur de taxes se trouve donc à donner 180 $ à l’industrie de l’éolienne. Or malgré ces chiffres la ministre Ouellet est persuadé que l’industrie éolienne n’a pas à s’inquiéter pour son avenir !

Un des problèmes rencontrés dans le projet Gaspésia fut l’hypersyndicalisation du chantier qui ajoutait aux coûts. Or, on vient d’apprendre qu’ériger une éolienne au Québec coûte près de 70 % plus cher que n’importe où en Amérique du Nord ce qui ajoute aux similitudes entres les deux projets !

Bernard Landry ,lors de l'annonce du projet Gaspésia.
Bernard Landry ,lors de l’annonce du projet Gaspésia.

Alors que dans tout son temps comme premier ministre, Bernard Landry ne nous a coûté qu’un seul projet aussi malheureux, voilà que Pauline Marois se propose de nous le faire revivre annuellement ! Pire dernièrement son propre parti s’inquiétait plus des pseudos dédoublements avec le fédéral.

Sources:Étude de l’IEDM

Autre article relatif au sujet: le manifeste de la plus haute trahison

L’histoire de la Quête fantastique vers la Terre Creuse .partie 1

Histoire de la Terre Creuse
La disparition prématurée,le 26 juillet 2006, de l’explorateur américain Steve Currey nous amène à faire le point sur l’évolution des recherches sur la Terre Creuse.Depuis l’an passé,mes recherches sur Neu Schwabenland et les bases secrètes allemandes m’ont amené  à m’intéresser  davantage à ce grand mystère qui explique beaucoup de choses.
Mes recherches confirment  que la surface concave intérieure de la croûte terrestre pourrait abriter une civilisation en tous points supérieure à la nôtre, probablement issue des continents disparus de Lémurie et d’Atlantide. Les « soucoupes volantes » ne seraient que l’une des nombreuses inventions de cette civilisation. Mais leur avancée se situe surtout au niveau spirituel. Au moment où notre société s’enfonce dans la décadence matérialiste, nous tirerions sans doute le plus grand bénéfice à contacter ces frères aînés de la race humaine.J’ai la certitude  que la solution pour abattre le néolibéralisme et la menace mortelle du Nouvel Ordre Mondial,se trouve juste en-dessous de notre nez.

Sir Edmund Halley,le grand penseur de la Terre Creuse.
Sir Edmund Halley,le grand penseur de la Terre Creuse.

Le pionnier de la « théorie de la Terre Creuse » fut l’astronome et mathématicien anglais, Edmond Halley (1656-1749). Il fut également le premier à émettre l’idée que les aurores boréales polaires étaient le reflet d’un « Soleil intérieur » qui éclairait le monde souterrain. Ses travaux furent publiés dans « The Philosophical Transactions of the Royal Society of London » et ne firent pas grand bruit. Halley passa surtout à la postérité grâce à la découverte de la célèbre comète portant aujourd’hui son nom.

John Cleves Symmes
John Cleves Symmes

Un autre précurseur fut John Cleves Symmes, ancien capitaine de l’infanterie de la guerre de 1812 contre la Grande-Bretagne, en hommage duquel fut érigé à Hamilton un monument de pierre représentant une sphère percée en deux points symétriques. Le 10 avril 1818, il envoya au Congrès américain, à des directeurs d’université et à des savants, la lettre suivante: « Au monde entier; je déclare que la Terre est creuse et habitable intérieurement… » Selon lui, la Terre était formée de plusieurs sphères concentriques. Aux deux pôles, il y avait d’énormes ouvertures où s’engouffraient l’atmosphère, des terres et des mers.

Symmes joignit à sa lettre un certificat médical confirmant la pleine possession de ses facultés mentales. Il intéressa le sénateur Richard M. Johnson qui déposa devant le Congrès, le 28 janvier 1823, une demande officielle de financement pour le lancement d’une expédition. Mais cette dernière fut repoussée.
En 1826, toutes les notes de Symmes furent publiées dans un livre intitulé « Theory of concentric Spheres. » Sa théorie fut alors reprise par Joseph Reynolds qui réussit à convaincre le président John Quincy Adams.
Une expédition pour le Pôle Sud partit de New York le 29 octobre 1829. Malheureusement, l’opération fut un désastre total. Edward George Bulwer Lytton, politicien, ésotériste et écrivain célèbre, auteur des « Derniers jours de Pompéi », publia en 1873 « The coming Race » dans lequel il raconta que des rescapés de divers cataclysmes avaient trouvé refuge sous la Terre depuis des milliers d’années. Cette race de surhommes entretenait, selon lui, sa forme grâce à un mystérieux fluide, le « Vril ». Elle allait bientôt supplanter l’humanité.
Cette histoire inspira des sociétés secrètes lucifériennes, notamment celle de la « Loge lumineuse » de l’Allemagne nazie, plus connue sous le nom de « Société du Vril « . Parmi ses membres se trouvaient Rudolf Hess et de nombreux partisans du régime nazi qui cherchèrent dans cette théorie une justification à leur idéologie.
Puis la thèse de la Terre Creuse fut reprise par l’écrivain américain William Reed dans un livre désormais « culte » s’appuyant sur des témoignages d’explorateurs polaires, « Fantôme des pôles », jamais traduit en français.

Reed réfuta les conceptions communément admises sur la structure de la Terre et se basa sur des arguments scientifiques. Selon lui, les pôles n’avaient jamais été découverts parce qu’ils n’avaient jamais existé ! À la place, il y avait d’immenses trous, et ces ouvertures conduisaient à l’intérieur de la Terre. Le livre de Reed n’était pas une fiction. Il le précisa d’ailleurs en ces termes : « Ce volume n’a pas été écrit en vue de divertir ceux qui lisent. Ce n’est pas un roman, mais un essai sérieux qui tend à prouver, dans la mesure du possible, certaines vérités importantes jusqu’ici dédaignées. J’y livre la clé de certains mystères. »
Reed estima que la croûte terrestre avait une épaisseur de 1.300 kilomètres et que son intérieur (creux) avait un diamètre de 10.000 kilomètres. Selon lui, l’aurore boréale polaire n’avait rien à voir avec un phénomène électrique ou magnétique mais provenait de la réflexion sur les nuages, sur la glace ou sur la neige, des feux d’un volcan ou des feux de prairies ou de forêts situées sur le bord de la courbure polaire (une théorie probablement fausse). Il s’inspira des description des explorateurs Bernacchi, Nansen, Siemens, Mauch, Hooper, Greely, Henry, Brainard, Rice, Ralston, Gardiner qui tous s’extasièrent devant la magnificence des aurores boréales et s’interrogèrent sur leur origine. Étant donné que le phénomène n’avait aucun effet sur l’aiguille de la boussole, les évaluations de ces explorateurs en déduisirent logiquement qu’il n’avait rien d’électrique ni de magnétique.

Reed évoqua aussi une mer libre s’étendant loin au Nord, s’appuyant sur des observations du Dr Bessels, de Chester, Kane, Me Gary, Morton, Greely, Pavy et surtout de Nansen. Ils constatèrent tous son existence au delà d’une certaine altitude.
Nansen décrivit cette mer d’eau douce en ces termes : « C’est un phénomène singulier, cette eau douce… Ce phénomène se passe quand une couche superficielle d’eau douce surnage sur l’eau de mer salée et cette eau douce glisse avec le bateau sur la mer plus lourde du dessous comme si cette mer constituait une couche fixe.

Le norvégien Nansen fut le premier explorateur moderne à réussir, en 1897, l'exploit scientifique et humain de s'approcher du pôle Nord jusqu’à atteindre la latitude de 86° 15'.
Le norvégien Nansen fut le premier explorateur moderne à réussir, en 1897, l’exploit scientifique et humain de s’approcher du pôle Nord jusqu’à atteindre la latitude de 86° 15′.

« La différence entre ces deux couches liquides était, dans ce cas, si grande que tandis que nous avions de l’eau potable à la surface, nous sommes arrivés à extraire du fond de la salle des machines une eau si salée qu’elle pouvait être employée pour la chaudière. » Il estima sa profondeur entre 3.300 et 3.900 mètres.
« La différence entre ces deux couches liquides était, dans ce cas, si grande que tandis que nous avions de l’eau potable à la surface, nous sommes arrivés à extraire du fond de la salle des machines une eau si salée qu’elle pouvait être employée pour la chaudière. » Il estima sa profondeur dans « A journev to the Earth’s interior : Have the poles really been discovered ? » (« Un voyage à l’intérieur de la Terre : les entre 3.300 et 3.900 mètres.
La théorie de Reed fut reprise en 1920 par un autre américain, Marshall B. Gardner, après vingt ans d’études et sans qu’il ait eu vent de l’oeuvre de son prédécesseur, puis présentée pôles ont-ils vraiment été découverts ?)
L’ouvrage fut publié à compte d’auteur et jamais traduit en français. Gardner figura la Terre avec des ouvertures circulaires aux pôles dans lesquelles s’engouffrait l’eau de l’océan qui adhérait à la croûte, tant au-dessous qu’au-dessus, puisque selon sa théorie, le centre de gravité de la Terre était situé en plein milieu de cette croûte et non au centre du globe. Si un bateau franchissait le trou et se dirigeait vers l’intérieur, il continuait de naviguer (dans une position renversée) sur la paroi interne de la croûte terrestre.
Il révéla que le lieu où la force de gravité était la plus importante se situait à mi chemin de la courbe. Cette force était si puissante à cet endroit que l’eau salée de la mer et l’eau douce des icebergs ne se mélangeaient pas. L’eau de mer demeurait à quelques dizaines de centimètres au-dessous de l’eau douce, ce qui permettait d’obtenir de l’eau potable même en plein océan arctique. M.B. Gardner s’interrogea sur l’origine des icebergs, formés d’eau douce et non d’eau salée. D’où pouvait bien provenir cette énorme quantité d’eau douce ?
Les auteurs du « Livre Jaune n°6 » publié par les Editions Félix, que nous avons consulté à titre informatif, se sont posé la question suivante : « Qui peut dire d’où viennent les icebergs ? Ils ne viennent pas de la mer, car l’eau de mer est salée, et les icebergs ne contiennent que de l’eau douce, sans exception. La pluie ? »
« Comment cinq centimètres de précipitations annuelles peuvent-ils créer de tels monstres de glace, comme nous les trouvons dans l’océan Arctique ? » se demande le chercheur Bernacchi, qui a exploré le pôle Sud avec Borchgrevink, de 1898 à 1900. Il n’y a pas de réponse rationnelle à cette question. Il a vu un iceberg de 80 kilomètres de large sur 650 kilomètres de long, un iceberg qui irait de Paris à Toulouse et qui se serait formé à la suite de cinq centimètres de précipitations annuelles !!!
Si l’on part du fait qu’il existe bien un pôle Nord et qu’il est recouvert de glace, comme tout le monde semble le supposer, d’innombrables explorateurs ont dû être pris d’hallucinations à partir de 80° de latitude Nord. Ou alors, ils étaient en pleine possession de leurs moyens, et la théorie du pôle couvert de glace ne tient plus. Tous ceux qui vivent dans le grand Nord ont pu constater qu’il y a beaucoup de brouillard dans l’Arctique en hiver. Si la banquise avait été entièrement solide, il n’y aurait pas assez d’humidité dans l’air pour la formation de brumes et de brouillards. Un explorateur américain, le Docteur E. Kane, qui a découvert le glacier de Humboldt, a exploré la zone du pôle Nord entre 1833 et 1855. Il a écrit il y a 150 ans : « Il y a des indices qui montrent clairement qu’il doit y avoir un océan dans le Nord. Les brumes et les brouillards que nous avons vus souvent en hiver nous le confirment. »

PhotoReed
Selon Reed et Gardner, cette eau douce provenait des fleuves des régions chaudes situées à l’intérieur de la Terre. Quand ils atteignaient la surface beaucoup plus froide, ils gelaient et se transformaient en icebergs. Durant les mois d’hiver, des millions de mètres cubes d’eau douce en provenance des rivières intérieures émergeaient des ouvertures polaires et formaient de véritables montagnes de glace.
Pour Gardner, les mammouths découverts gelés dans la glace n’étaient pas des animaux préhistoriques mais des animaux vivant toujours actuellement à l’intérieur de la Terre. Car c’est à l’intérieur de ces icebergs que l’on a découvert nombreux mammouths et d’autres espèces disparues que l’on a rapidement qualifiées de « préhistoriques » parce qu’on n’en voyait plus de semblables sur la Terre depuis très longtemps. Certains mammouths avaient encore de l’herbe dans l’estomac et même dans la bouche, ce qui prouve qu’ils avaient été saisis brutalement par un froid intense.
Un certain Robert B. Cook révéla qu’on avait trouvé dans des dépôts glaciaires du Nord des mammouths, des rhinocéros, des rennes, des hippopotames, des lions et des hyènes. Il expliqua que ces animaux, incapables de supporter un climat aussi rude, devaient avoir vécu il y a des millénaires lorsque régnait dans la région polaire une température tropicale. Mais Gardner n’était pas du même avis. Selon lui, il s’agissait d’animaux vivant toujours à l’heure actuelle, faisant remarquer à juste titre que lions et hyènes appartenaient à des espèces récentes et qu’ils n’étaient pas des créatures « préhistoriques » !
Gardner ajouta à la théorie de Reed la présence d’un Soleil central, plus petit que le nôtre, donnant une explication aux températures élevées relevées dans les hautes latitudes polaires. Un astre intérieur, source de chaleur et de lumière, rendrait possible la vie végétale, animale et humaine à l’intérieur de notre globe. Ce cœur irradiant de chaleur bienfaisante expliquait aussi la présence de l’aurore boréale. Reed pensait comme Gardner que l’intérieur de la Terre était habité mais il avait du mal à l’expliquer car sa théorie excluait la présence d’un Soleil central.
L’explorateur Fridtjof Nansen, qui publia « Vers le Pôle » en 1897 affirma avoir vu, aux environs de midi, une « image du Soleil », car selon lui, il ne pouvait être qu’un « mirage. » Il ressemblait à un feu rayonnant qui brillait juste au-dessus du bord le plus éloigné de la glace. Du sommet principal, Nansen aperçut plusieurs lignes horizontales directement l’une sur l’autre, toutes d’égale longueur, comme s’il avait affaire à « un Soleil carré, d’un rouge pâle, avec des rayons sombres horizontaux en travers. » Nansen et son équipe ne s’attendaient pas à observer durant plusieurs jours consécutifs ce « dieu de vie » renaissant après la longue nuit d’hiver polaire, si bien qu’ils pensèrent avoir dérivé vers le Sud.
Mais une simple illusion d’optique pouvait-elle durer plusieurs jours de suite ? De plus, là où se trouvait Nansen, la zone polaire nord était située dans la zone de la nuit polaire totale! Par conséquent, ce n’est pas le Soleil que Nansen vit mais une lumière émanant du centre de notre planète. Gardner fit appel à des données astronomiques pour prouver que non seulement la Terre mais aussi toutes les planètes du système solaire étaient creuses à l’intérieur. Elles possédaient des Soleils centraux et étaient formées à partir d’une nébuleuse tourbillonnante. À l’origine de chaque astre, il y avait une masse en fusion tournant sur elle-même. Ensuite, la force centrifuge projetait les substances les plus lourdes à la périphérie, formant à la surface extérieure de chaque planète une croûte solide. Une partie du feu initial subsistait dans le creux intérieur formant un « Soleil central. »
Des ouvertures se créaient obligatoirement aux extrémités à cause du mouvement de rotation et de déplacement dans l’espace. Gardner évoqua les « lumières polaires » observées sur Mars par le professeur Lowell, sur Vénus par l’astronome français Trouvelet en 1878, et sur Mercure par l’astronome Richard Proctor. Il cita un article paru dans le « Scientific American » du 14 octobre 1916, sous la signature de H. D. Curtis, membre de la Société astronomique du Pacifique, qui révélait: « Cinquante nébuleuses ont été étudiées et photographiées au moyen du réflecteur de Crosly. On a utilisé des temps de pose différents, de façon à faire ressortir les détails de structure de la partie centrale brillante et aussi de la matière périphérique. La plupart des nébuleuses présentent un anneau plus ou moins régulier, une sorte d’écorce ou de coquille, généralement avec une étoile centrale. »
Après la seconde guerre mondiale, en 1947, des bruits coururent que les Nazis avaient envoyé des hommes aux pôles. En 1946, l’amiral Richard Byrd fut chargé d’un programme du nom d’Operation High Jump, avec pour mission de vérifier, entre autres, si des Nazis ne se trouvaient pas dans les parages. Lors d’un vol effectué le 19 février 1947, il rapporta avoir observé des engins resplendissants en forme de disque portant un symbole ressemblant à la swastika qui le forcèrent à atterrir. Deux hommes grands et blonds parlant quelques mots d’allemand vinrent à sa rencontre…
En 1959, F. Amadeo Giannini écrivit son « Worlds beyond the Poles » (Les mondes au-delà des pôles). I1 révéla que, depuis le 12 décembre 1928, les expéditions polaires de la marine US avaient mis en évidence l’existence « d’une terre indéterminée s’étendant au-delà des deux pôles, hors des frontières de notre seul globe déterminées par la théorie copernicienne de 1543. Le 13 janvier 1956, l’unité aérienne de la Marine U.S. pénétra dans une étendue de terre de 2300 miles (3700 kilomètres) au-delà du prétendu pôle Sud de la Terre. Pour de très importantes raisons, ce vol mémorable ne reçut qu’un écho insignifiant dans la presse. »
Mais cette information demanderait à être confirmée. Giannini révéla aussi : « De modernes expéditions ont pénétré dans 5 000 miles d’une extension territoriale, dont l’extrémité ne fut pas atteinte. Quand bien même cette extrémité serait atteinte, une autre de même nature pourra se présenter. Une telle évaluation à répétition pourrait continuer indéfiniment. Il n’y a pas de fin physique à la Terre aux extrémités Nord et Sud. »
En 1959, Ray Palmer évoqua le sujet dans la revue « Soucoupes volantes » dont il était le chef de rédaction. Willis George Emerson, dans un livre intitulé « The Smoky God » (Le Dieu qui fume), titre en rapport avec le Soleil central, aussi intitulé « A voyage to the inner Word » (Un voyage dans le monde intérieur) publié en 1965, raconta une histoire survenue à un norvégien du nom d’Olaf Jansen dont il avait recueilli le témoignage. À bord d’un petit bateau de pêche, Jansen et son fils avaient tenté de trouver la terre légendaire située « au-delà du vent du Nord ». Il parla d’un Soleil central plus petit et moins brillant, donnant l’impression d’être brumeux, comme « entouré d’un nuage de fumée. »
Les deux hommes furent projetés dans l’ouverture polaire et se retrouvèrent à l’intérieur de la planète où ils séjournèrent deux ans avant de ressortir par l’ouverture opposée, celle du pôle Sud. Là, un iceberg coupa en deux le bateau. Le père fut tué. Le fils, sauvé de justesse, passa 24 années dans un hôpital psychiatrique pour déficience mentale… Une fois relâché, il devint pêcheur et après 26 ans, il s’installa en Californie. Il avait près de 90 ans lorsque, « par hasard », l’écrivain Willis George Emerson fit sa connaissance. Le vieillard sentant sa fin prochaine voulut partager son secret et lui raconta sa fantastique aventure, lui montrant les cartes qu’il avait dessinées à l’époque.
Raymond Bernard révéla qu’un certain Docteur Nephi Cottom de Los Angeles avait lui aussi recueilli d’un patient le récit suivant :
« J’habitais près du cercle arctique, en Norvège. Un été, je décidai avec un ami de faire un voyage en bateau et d’aller aussi loin que possible dans le Nord. Nous fîmes donc une provision de nourriture pour un mois et prîmes la mer. Nous avions un petit bateau de pêche muni d’une voile, mais aussi d’un bon moteur. Au bout d’un mois, nous avions pénétré très avant dans le Nord, et nous avions atteint un étrange pays qui nous surprenait par sa température. Parfois il faisait si chaud la nuit que nous n’arrivions pas à dormir. Nous vîmes plus tard quelque chose de si étrange que nous en restâmes muets de stupeur. En pleine mer, devant nous, se dressait soudain une sorte de grande montagne dans laquelle, à un certain endroit, l’océan semblait se déverser!
Intrigués, nous continuâmes dans cette direction, et nous nous trouvâmes bientôt en train de naviguer dans un vaste canyon qui conduisait au centre du globe. Nous n’étions pas au bout de nos surprises. Nous nous rendîmes compte un peu plus tard qu’un Soleil brillait à l’intérieur de la Terre! L’océan qui nous avait transportés au creux de la Terre se rétrécissait, devenait graduellement un fleuve. Et ce fleuve, comme nous l’apprîmes plus tard, traversait la surface interne du globe d’un bout à l’autre, de telle sorte que si on en suivait le cours jusqu’à son terme on pouvait atteindre le pôle Sud. Comme nous le constatâmes, la surface interne de notre planète comprenait des étendues de terre et d’eau, exactement comme la surface externe. Le Soleil y était éclatant, et la vie animale et végétale s’y développait abondamment. Au fur et à mesure que nous avancions, nous découvrions un paysage fantastique. Fantastique parce que chaque chose prenait des proportions gigantesques, les plantes, les arbres et aussi les êtres humains… Oui, les êtres humains ! Car nous en rencontrâmes et c’était des géants ! Ils habitaient des maisons et vivaient dans des villes semblables à celles que nous avons à la surface, mais de taille plus petite. Ils utilisaient un mode de transport électrique, sorte de monorail qui suivait le bord du fleuve d’une ville à l’autre. »
L’homme poursuivit : « Ils nous accueillirent amicalement, nous invitèrent à déjeuner chez eux. Mon compagnon alla dans une maison, moi dans une autre. J’étais complètement désemparé en voyant la taille énorme de tous les objets. On me donna une assiette immense, et la portion qu’elle contenait aurait pu me nourrir une semaine entière ! Le géant m’offrit au dessert une grappe de raisin, et chaque grain était aussi gros qu’une pêche ! Le goût en était délicieux.
À l’intérieur de la Terre, les fruits et les légumes ont une saveur délicate, un parfum subtil. Rien de comparable avec ceux de « l’extérieur ». Nous demeurâmes chez les géants pendant une année, goûtant leur compagnie autant qu’ils appréciaient la nôtre. Nous observâmes au cours de ce séjour un certain nombre de choses aussi étranges qu’inhabituelles, toujours étonnés par l’ampleur des connaissances scientifiques dont faisaient preuve ces gens. Durant ce temps, ils n’affichèrent jamais la moindre hostilité envers nous, et ils ne firent aucune objection quand nous décidâmes de repartir chez nous. Au contraire, ils nous offrirent même courtoisement leur protection au cas où nous en aurions eu besoin pour le voyage de retour. »
Selon le témoignage de Jansen, ces êtres vivaient plusieurs centaines d’années et mesuraient entre trois et quatre mètres de haut ! Ils possédaient une science très avancée. Ils transmettaient leurs pensées en utilisant certains types de radiations et détenaient des sources d’énergie plus puissantes que l’électricité.
Raymond Bernard affirma que ces géants appartenaient à la race antédiluvienne des Atlantes. « Ils s’étaient réfugiés à l’intérieur de la Terre pour échapper au déluge qui submergea leur continent. »
William F. Warren, dans un livre intitulé « Le Paradis retrouvé, ou le berceau de la race humaine », développa l’hypothèse selon laquelle la race humaine avait pris naissance sur un continent tropical situé dans l’Arctique, la fameuse « Hyperborée » des anciens Grecs. Les habitants étaient des « dieux » pouvant vivre des milliers d’années, sans jamais vieillir. Selon lui, les anciens écrits de la Chine, de l’Égypte, de l’Inde, et aussi les légendes des Esquimaux, évoquaient une grande ouverture dans le Nord et une race vivant sous la croûte terrestre dont les ancêtres étaient originaires de cette terre paradisiaque.
Des écrivains émirent l’idée que l’intérieur du globe était habité par une race de petits hommes à la peau brune et que les Esquimaux, dont le type ne ressemblait à aucun autre, provenaient de ce monde souterrain. « Quand on demande aux esquimaux d’où venaient leurs ancêtres » révéla R. Bernard, « ils pointent un index dans la direction du Nord. Leurs légendes évoquent une terre merveilleuse inondée de lumière. Là il n’y a jamais d’obscurité. Là règne un climat tempéré. Les lacs n’y sont jamais gelés, des hordes d’animaux errent dans les broussailles, des oiseaux de toutes les couleurs sillonnent le ciel. C’est une terre d’éternelle jeunesse où les gens vivent des milliers d’années dans la paix et le bonheur. »
À propos de l’origine des Esquimaux, Gardner écrivit: « Les premiers Norvégiens considérèrent ces petits hommes bruns comme des êtres surnaturels. Ne prétendaient-ils pas que leurs ancêtres venaient d’un pays enchanteur situé très loin dans l’extrême Nord ? Or les Norvégiens, pour qui les régions polaires étaient le bout du monde, ne pouvaient croire à l’existence d’un tel pays. Ils en conclurent que les Esquimaux étaient des créatures d’un autre monde, qu’ils sortaient de l’intérieur de la Terre, séjour supposé des gnomes et des fées. »
Nansen remarqua pour sa part : « Le peuplement esquimau s’accroît. Et il s’accroît non seulement par l’augmentation en nombre de l’espèce, mais par une immigration en provenance du Nord. »
Au Moyen-Âge, on pensait qu’il existait une terre ultime située au-delà du Nord à laquelle on donna le nom de Thulé. Cette croyance en un royaume radieux habité par un peuple étrange, était très répandue. Selon les théories officielles, les régions désolées du Pôle conduisent seulement à une terre de glace éternelle… Nous allons voir qu’il n’en est rien. L’Arctique n’est pas le désert que l’on croit.
Gardner cita un passage du journal de l’explorateur Hayes. En 1869, Isaac Israël Hayes fit un voyage au Groenland pour explorer les territoires d’Ellesmere et de Grinnel. Il écrivit dans son journal : « 78°17 de latitude Nord. J’ai vu un papillon jaune et, qui le croirait, un moustique, ainsi que dix mites, trois araignées, deux abeilles et deux mouches ! » Gardner en déduisit que ces insectes provenaient de l’intérieur de la Terre. Les observations de Hayes furent confirmées par l’explorateur Greely dans son livre « Trois années de service dans l’Arctique. » Greely raconta que les merveilles des régions arctiques étaient si extraordinaires qu’il avait été forcé de « minimiser » les notes qu’il avait prises sur le vif, de crainte qu’on ne le soupçonne d’exagération ! Il recensa des espèces inconnues d’oiseaux, deux fleurs différentes de toutes celles qu’il connaissait, sans parler des papillons et des mouches. Il trouva beaucoup de bois de saule pour faire du feu.
L’explorateur Sverdrup vit des lièvres en si grand nombre, aux environs du 81ème degré de latitude Nord, qu’il appela une crique « Le Fjord du Lièvre ». Il nota qu’il y avait suffisamment de gibier pour nourrir toute l’équipe d’exploration.
Le capitaine Beechey observa des oiseaux en si grande quantité sur la côte Ouest du Spitzberg que l’endroit retentissait de leurs cris depuis l’aube jusqu’au soir.
Franklin aperçut des oies qui migraient vers le Nord. Où se rendaient-elles ? Il nota qu’aussi loin que l’explorateur s’avançait dans l’extrême Nord, il rencontrait toujours l’ours polaire devant lui. Cet ours marchant infatigablement vers le Nord, où se rendait-il ?
Le commandant McClure explora la Terre de Banks et découvrit des quantités d’arbres éparpillés dans la glace. De toute évidence, ils avaient été apportés par des courants en provenance du Nord. Une partie de ce bois était pétrifié, mais il y en avait aussi beaucoup d’origine récente. Nansen s’interrogea sur le bois flottant le long de la côte du Groenland.
Selon Gardner, ces observations selon lesquelles plus on s’avançait vers le Nord, plus il y avait de vies étaient la preuve irréfutable qu’il existait dans l’extrême Nord un vaste refuge, une région au climat privilégié, porteuse d’une vie végétale et animale.
Un certain Théodore Fitch écrivit un livre, « Le Paradis intérieur de la Terre », en s’appuyant sur les travaux de Reed et de Gardner. Il prétendit que les océans internes étaient beaucoup plus petits que ceux de l’extérieur et que les étendues de terres y étaient trois fois plus grandes. Fitch posa une série de questions essentielles : « Si aucun fleuve ne coule de l’intérieur vers l’extérieur de notre globe, pourquoi tous les icebergs sont-ils composés d’eau douce ? Pourquoi trouve-t-on des graines tropicales, des plantes et des arbres flottant dans l’eau douce des icebergs ? Si cette eau ne peut logiquement provenir d’aucun endroit sur la Terre, alors par quel mystère se trouve-t-elle là ? Si la face interne de la Terre ne bénéficie pas d’un climat chaud, alors pourquoi rencontre-t-on en plein hiver; dans l’extrême Nord, des oiseaux tropicaux par milliers et des animaux qui ont besoin d’une température douce pour subsister ? D’où vient le pollen qui colore parfois la neige en rouge, en jaune ou en bleu ? »
« Le Livre Jaune n°6 », dont nous faisions référence précédemment, fait allusion lui aussi à ces pollens et à des troncs d’arbres flottant: « Il y a un autre phénomène qui a surpris plus d’un explorateur : subitement, à certains endroits, la neige était colorée, rouge, noire, verte ou jaune. On a pris des échantillons et on a découvert que le noir était dû à des cendres volcaniques, les autres couleurs étaient dues à du pollen de fleurs. Du pollen au pôle Nord ? Personne ne s’étonnait plus de savoir que ce pollen venait de fleurs que personne ne connaissait. D’où venaient les centaines de troncs d’arbres que le commandant Robert McClure avait trouvé sur la Terre de Bank ? McClure était le premier homme blanc à découvrir le passage Nord-ouest dans toute sa longueur. Et là où plus rien ne pousse, là où la neige et la glace sont reines, il voit du bois flottant qui se dirige sur lui ! Les troncs d’arbres semblaient avoir été charriés par les glaciers venant du Nord. Des arbres encore plus au Nord ? Nansen a vu du bois flottant à 86° de latitude nord, à 4° du pôle. Est-ce que les arbres tombent du ciel, comme la neige ? Sans doute pas ! »
En son temps, Reed avait déjà révélé la présence d’une poussière noire colorant la neige. Il en avait déduit qu’elle provenait d’un volcan en éruption. Et comme il n’y avait aucun volcan en surface, il en était arrivé à la conclusion logique qu’il devait se trouver à l’intérieur de la Terre. Un autre auteur américain, William L. Blessing publia un petit livre dans lequel il révéla sa conception de la structure de la Terre. La vieille idée selon laquelle la planète serait une masse solide avec un centre composé de matières en fusion devait être écartée, tout comme l’ancienne croyance selon laquelle la chaleur augmentait au fur et à mesure qu’on s’enfonçait dans la Terre. La Terre était un astre aplati aux pôles. Le pôle représenterait le bord extérieur d’un cercle magnétique, et à ce point, l’aiguille de la boussole pointerait vers le sol. Au-delà de ce cercle, la Terre descendrait en pente douce vers l’intérieur.
Selon Raymond Bernard, les soucoupes volantes proviendraient de l’intérieur du globe et seraient pilotées par une race souterraine, une idée reprise plus tard par plusieurs chercheurs. Le capitaine de frégate Strauss présenta une série de conférences au Brésil où il affirma que les pistes d’envol des soucoupes volantes se situaient dans le royaume souterrain de l’Agartha dont la capitale serait Shambhalla. Ses habitants auraient atteint un très haut degré de civilisation et un niveau scientifique extraordinaires. Ils appartiendraient à une civilisation antédiluvienne qui aurait peuplé les continents disparus de la Lémurie et de l’Atlantide. Lorsque ces continents furent engloutis, les rescapés trouvèrent refuge à l’intérieur de notre planète ainsi que sur certains continents. L’Égypte était une colonie atlante, comme l’étaient les empires aztèque, maya et inca.
Du Brésil, où elle prit naissance, la théorie de l’origine souterraine des soucoupes volantes gagna les États-Unis. Ray Palmer, directeur du magazine « Soucoupes volantes », écrivit en 1959 : « Les résultats d’années de recherches nous permettent d’avancer l’hypothèse que les soucoupes appartiennent à notre propre planète, qu’elles ne viennent donc pas de l’espace, comme on pouvait croire le jusqu’ici. Une accumulation de preuves montre clairement qu’il existe un endroit inconnu de vaste dimension, encore inexploré, autant que nous puissions le savoir, d’où proviennent très probablement les soucoupes volantes…
Notre magazine a réuni une série de preuves indiscutables qui montrent que les soucoupes volantes sont originaires de la planète Terre – ce que plus d’un gouvernement reconnaît comme une réalité – qu’un effort concerté est accompli pour en savoir plus sur ce sujet, que les faits déjà connus sont d’une telle importance qu’ils sont couverts par un secret mondial, que le danger est si grand qu’offrir une preuve officielle risquerait de semer la panique, que livrer ces faits à l’opinion publique pousserait même opinion à exiger actes en rapport, ce qui plongerait les gouvernements dans le plus embarras, que la nature inhérente des soucoupes volantes, due à leur lieu d’origine, est tout à propre à faire éclater le statu quo politique et économique de notre monde. »
Gray Barker, une autre autorité en matière d’ovnis, écrivit dans le « Saucerian Bulletin » du 15 janvier 1960 : « Les adeptes des sciences occultes croient que des êtres habitent à l’intérieur de la Terre et qu’ils en sortent et y retournent grâce à des passages secrets situés au pôle Nord et au pôle Sud… Est-ce qu’il ne pourrait pas exister une race inconnue, dans quelque coin inexploré de la Terre, qui serait responsable des soucoupes volantes ? … Après avoir longuement réfléchi, il me semble que l’explication d’une Terre intérieure devrait pouvoir résoudre la plupart des énigmes que pose le phénomène « soucoupes volantes. » Dans son livre intitulé : « Ils en savaient trop sur les soucoupes volante », il rappela qu’on avait vu une quantité inhabituelle d’ovnis dans la région du pôle Sud.
NOTE D’ÈRE NOUVELLE : Selon toute vraisemblance, si certains ovnis ont bien une origine intraterrestre, la majorité semble plutôt d’origine extraterrestre, car notre planète reçoit depuis des temps immémoriaux de nombreuses visites de Galactiques.
La description faite par Théodore Fitch de la super civilisation souterraine rappelait beaucoup celle de Bulwer Lytton dans son livre : « The Coming Race » (« La Race qui nous supplantera). Lytton était rosicrucien et avait accès à une source d’informations occultes. Il dressa un tableau saisissant d’une race supérieure de petits hommes bruns vivant à l’intérieur de la Terre dans un état d’abondance perpétuelle, ne connaissant ni la cupidité, ni la pauvreté, ni la guerre. Ils connaissaient les secrets de nos gouvernements. Ils étaient experts en télépathie. Ils affirmaient que notre Bible avait été mal traduite, mal interprétée et mal construite. Ils disaient qu’ils appartenaient à une race qui n’avait pas dégénéré, au contraire de la nôtre, et que nous devions mettre un frein à la fabrication des bombes nucléaires et des armements. Le fait que de nombreuses apparitions de soucoupes volantes se soient produites après l’explosion de la première bombe atomique à Hiroshima fut interprété par certains écrivains comme le signe d’une inquiétude galactique mais il serait plus raisonnable de croire que les plus concernés étaient les habitants des mondes souterrains, sachant l’ampleur des essais qui furent réalisés par la suite en Polynésie notamment.
Durant les années soixante-dix, plusieurs photographies du pôle Nord prises par des satellites météorologiques furent publiées. Elles relancèrent la polémique de la théorie de la Terre Creuse. Il s’agissait de clichés pris le 6 janvier 1967 par le satellite de l’US Environmental Science Service Administration (ESSA-3).

Hollow earth 001

Nous pouvons découvrir ci-dessus une photo composite, un montage réalisé à partir de plusieurs photos pour n’en faire qu’une, car généralement, les satellites n’étant qu’à quelques centaines de kilomètres d’altitude au-dessus de la planète, ils ne peuvent pas photographier la Terre dans son ensemble. Le satellite ESSA-3 prit plus d’un million et demi de clichés. Sur cette photographie, nous voyons des nuages autour du pôle, aspirés progressivement dans l’énorme trou qui doit faire 1400 miles de diamètre selon les spécialistes.
Les 2 photographies suivantes proviennent du satellite ESSA-7.

Hollow earth 002

Ensuite, il y a cette superbe série de clichés pris par le satellite de la NASA, l’ATS 3. En 1977, la NASA aurait ordonné la destruction de 4500 photos prises par ce satellite, prétendant que les images « n’avaient aucune valeur météorologique ».

Hollow earth 003

Les clichés présentés ci-dessus, ont été sauvés par miracle de la destruction. On remarque différentes perturbations atmosphériques au-dessus du Pôle Nord. Des nuages tourbillonnent autour de l’ouverture. Il est à noter que les clichés ci-dessous ont été pris en période de nuit polaire.

Hollow earth 004

Le trou du pôle Nord photographié par Apollo XI en 1969 (Cf. image de synthèse ci-dessus et document ci-dessous) est lui aussi fort troublant. Les calculs effectués aboutissent à un diamètre d’environ 900 à 950 kilomètres. Si ce trou correspond à une ouverture dans la calotte polaire, il serait situé à environ 86° de latitude Nord.

Hollow earth 005

Le très sérieux journal canadien « Weekly World News » publia le 14 février 1995 un article qui disait en substance ceci : « Cap Canaveral, Floride – La NASA reçoit des signaux radio qui viennent de l’intérieur de la Terre. Des experts pensent que ces signaux sont émis par une forme de vie intelligente et très développée ! » Un haut responsable de la NASA, qui ne voulut pas décliner son identité, affirma qu’il existait sous terre des êtres qui cherchaient à entrer en contact avec nous. Des scientifiques auraient perçu les premiers signaux le 30 octobre 1994. Les émissions se seraient renouvelées à intervalles réguliers. Selon lui, « les signaux radio seraient composés d’un code mathématique très complexe, qui nous a convaincus que nous étions en contact avec une colonie d’êtres vivants dont l’intelligence est sans doute supérieure à la nôtre. » Il refusa toutefois de révéler le contenu des messages, expliquant : « Je ne dirais pas que les messages sont de nature hostile, mais leur contenu pourrait provoquer des controverses et des inquiétudes. Comme beaucoup d’éléments dépendent de l’interprétation, je suis d’avis d’attendre avant de déclarer quoi que ce soit qui puisse mettre l’opinion publique dans un état d’excitation et d’anxiété. »
L’informateur anonyme expliqua que les scientifiques de la NASA se sentaient frustrés car ils n’avaient pas réussi à localiser cette civilisation souterraine et qu’ils n’étaient pas en mesure, avec leur technologie, de lui répondre. « Ils en savent plus sur nous, que nous sur eux. » avoua-t-il. Selon lui, les scientifiques estimaient que cela pouvait constituer la découverte la plus importante depuis des siècles. La photographie prise au-dessus du Pôle Nord de la Terre par la mission STS75 1996 est elle aussi éloquente.

Hollow earth 006

En juin 1992, le magazine français « Ciel et Espace » consacra un dossier complet sur « Le vrai visage de la Terre », révélant que de vastes régions du globe étaient largement inexplorées, en particulier l’Antarctique. Ces images étaient particulièrement édifiantes puisqu’elles prouvaient que le continent était perforé par un trou béant englobant la totalité du quatre-vingtième parallèle de l’hémisphère Sud !
L’américain Steve Currey, l’un des principaux explorateurs de fleuves dans le monde, a servi de guide à plusieurs dizaines de milliers de personnes dont des sénateurs et des membres du Congrès US, des chefs d’État, des chefs d’entreprise, des célébrités et des investigateurs. En 2005, il avait eu l’idée de mettre sur pied une expédition scientifique dans l’Arctique destinée à résoudre une fois pour toutes l’énigme de la la Terre Creuse.
Suivant la légende des Esquimaux et les observations de nombreux explorateurs, l’endroit le plus plausible pour une éventuelle ouverture polaire menant vers l’intérieur de la Terre aurait été, selon lui, situé à la latitude de 84,4°N et à la longitude de 141°E. Un brise-glace russe se tenait prêt à accueillir les 100 premiers intrépides qui voulaient se joindre à lui, moyennant finance évidemment, puisque le prix demandé avoisinait les 20.000 Dollars US. Le départ avait été programmé pour le 26 juin 2006 et le voyage devait durer 24 jours.

Steve Currey et Marcelo Martorelli
Steve Currey et Marcelo Martorelli

Steve Currey aurait dû être aidé dans sa tâche par Marcelo Martorelli, fondateur et directeur général d’une ONG sud-américaine à vocation culturelle et pacifiste, la fondation P.E.A. Lié depuis des années à celui qu’il nomme « le Mahatma de l’Occident », le Maître Raul J. Albala plus connu sous le nom de « Yaco », il  a publié récemment  un livre, « L’Appel planétaire des Maîtres de la Terre Creuse », dans lequel il explique une partie de ce qui lui a été révélé sur la ville souterraine située sous la région de Cordoba en Argentine.

(Cordoba est une ville reliée directement  à l’existence  des réfugiés nazi en Argentine ,après la guerre .Le Führer Adolph Hitler lui-même y aurait vécu.)
Guidés par des Maîtres cachés sous la surface terrestre, Steve Currev et Marcelo Martorelli étaient persuadés de pouvoir découvrir sous peu une civilisation oubliée dont les habitants vivraient depuis des milliers d’années en totale autarcie et auraient atteint un niveau spirituel et technologique supérieur au nôtre.
Mais le destin vient d’en décider autrement.

Une mort qui  me fait réfléchir

Tout comme le grand écrivain et chercheur Jimmy Guieu,Steve Currey est décédé d’un cancer malin …juste avant de terminer son oeuvre.

La disparition soudaine de l’explorateur américain Steve Currey amène son partenaire, l’argentin Marcelo Martorelli, à redéfinir leur projet commun d’expédition à destination de la Terre Creuse via le Pôle Nord. Steve Currey, explorateur américain, qui avait décidé de monter avec Marcelo Martorelli une grande expédition à destination de la Terre Creuse via le Pôle Nord est décédé le 26 juillet  2006, victime d’un cancer du cerveau à évolution fulgurante.


Il avait été prévenu le 22 mai  que sa maladie était incurable. La famille de Steve a annoncé qu’il était peu probable que l’expédition puisse finalement avoir lieu et que les souscripteurs seraient remboursés.
J’ai personnellement le même rêve que Steve Currey,mais en passant par l’Antartique…,par Neu Schwabenland.
Au moment ou nous lisons ces lignes,le réchaffement global est en train de dégeler  ce qui reste des anciennes bases secrètes allemandes.Pendant des années ,on a masqué Google Earth afin de tenir secrètes …ce qui se dégage des glaces antartiques.Je me souviens qu’en 2007,je cherchais à situer Neu Schwabenland par le moyen de Google Earth et tout était flou.
J’ai d’ailleurs commencé à exposer mon projet sur mon site :  http://Neuschwabenland.onlc.fr
Autre texte pour vous faire réfléchir:

«     Le Western Group , cependant, devait faire une découverte remarquable. En fin de Janvier 1947 le lieutenant-commandant David Bunger de la ville de Coronado, en Californie, pilotait un PBM qui s’était envolé de son navire, le Currituck et il se dirigea vers le continent au delà de la Queen Mary Coast. En atteignant la terre , Bunger vola vers l’ouest, pendant un certain temps temps, et alors, au dessus de l’horizon blanc informe, il vit une étendue dénudée et sombre que Byrd décrira ultérieurement comme « une terre de lacs verts et bleus et de collines brunes dans une zone sans limite, vide de glace« .
Bunger et ses hommes attentivement firent avec attention la reconnaissance de la contrée avant de s’en retrourner à leur base, munis des informations recueillies. La région qu’ils avaient découverte s’étendant sur une superficie d’environ trois cent miles carrés du continent antarctique et on y apercevait trois grands lacs d’eau libre et quelques plus petits lacs. Ces lacs étaient séparés par des monticules de rochers nus rougeâtres, suggérant éventuellement la présence de minerai de fer.

Quelques jours plus tard, Bunger retourna dans la région , et il trouva que l’eau était tiède au toucher (Note du Webmaster: nous supposons donc qu’il a dû poser son hydravion sur un lac) et le lac lui-même était rempli d’algues rouge, bleu et vert lui donnant ainsi une couleur caractérisée. Bunger remplit une bouteille d’ eau qui ulterieurement s’avéra être saumâtre , un indice qui montrait que la zone était réellement un bras de la mer libre.

Cela est important pour deux raisons : les lacs tièdes et intérieurs, étant reliés à l’environnement océanique seraient parfaits pour y cacher des sous-marins , et des lacs similaires avaient été aperçu dans la Neu-Schwabenland, le site (soupçonné étrangé ) allégué de la base allemande.

Bien qu’il n’y n’ait encore de preuve évidente de l’existence d’une base étrangère allemande en Antarctique, il est hors de doute que quelque chose d’ hautement inhabituel s’ est déroulé sur le froid continent. En général, l’éventualité qu’une telle base ait existé et aussi le cas qu’elle puisse continuer à exister de nos jours, sont des faits d’une très haute probabilité.

« 

Photos-Le réchauffement global et la fin accélérée de plusieurs îles

Ce ne sont pas les îles qui coulent,mais bien l'océan Pacifique qui voit son  niveau s'élever davantage.
Ce ne sont pas les îles qui coulent,mais bien l’océan Pacifique qui voit son niveau s’élever davantage.

Comme nous le voyons sur cette photo prise en partie sous l’eau,dans peu de temps,cette maison sera la propriété des poissons,des crustacés et des  animaux marins.Plus de 90% de la petite île se situe sous l’eau actuellement.Son propriétaire a bénéficié du programme de relocalisation des habitants victime du réchauffement global.Il vit actuellement en Nouvelle Zélande,son nouveau pays d’accueil.

L'hotel Eco Resort...ce qui en reste!
L’hotel Eco Resort…ce qui en reste!

 

Le seul hotel de luxe,l’Eco Resort Hotel a vu sa plage diminué constamment du à l’avancé des eaux. Dans quelque temps,elle sera abandonnée à l’océan envahissant.Les huttes que l’on aperçoit  sur la plage ,étaient totalement à sec,l’an passé.

 

 

À Tuvalu,une partie de terrain est perdue constamment,mettant en péril l'avenir de ses habitants.
À Tuvalu,une partie de terrain est perdue constamment,mettant en péril l’avenir de ses habitants.

 

 

De nombreuses habitations ont été abandonnées à Tuvalu et aux Îles Salomon devant la montée des eaux du Pacifique.
De nombreuses habitations ont été abandonnées à Tuvalu et aux Îles Salomon devant la montée des eaux du Pacifique.

 

Malgré tout,on cherche à désinformer les gens que le réchauffement global est une invention.

 

 

Éruption volcanique majeure au Kamchatka

Shiveluch volcano 5 aout 2013
Éruption du 5 aout 2013

KAMCHATKA Le volcan actif le plus septentrional de la Russie a projeté des  cendres à une hauteur de jusqu’à cinq kilomètres (trois miles) dans ce pays d’ Extrême-Orient, a rapporté lundi,le département des Situations d’Urgences  . Un  volcan de L’3,283 mètres (10,771 pieds) ,le Shiveluch  avait donné des signes d’augmentation de l’activité en mai 2009 et a été régulièrement vu  crachant des cendres de trois à dix km. « Le nuage de cendres déplacé dans la direction de l’est du volcan ayant contourné les zones résidentielles à une distance de quelque 50 kilomètres [31 miles]», a indiqué le département dans un communiqué. Bien que l’éruption actuelle ne pose pas de menace immédiate pour les colonies voisines, qui ont suivi ,les retombées de cendres pourraient être dangereuses  pour la santé et l’environnement. Les nuages ​​de cendres volcaniques pourraient également constituer une menace pour le trafic aérien, car les minuscules particules causent des problèmes avec des turbines de moteurs d’avions. Il y a plus de 150 volcans du Kamchatka et jusqu’à 30 d’entre eux sont actifs.

Les lignes telluriques et leurs alignements avec les structures mégalithiques sur Terre

Les lignes telluriques et leurs alignements sur les structures mégalithiques
Les lignes telluriques et leurs alignements sur les structures mégalithiques

La preuve de civilisations plus avancées que la nôtre ainsi que nombres d’éléments d’un savoir scientique perdu existent sous nos yeux.La diffusion de ce savoir est interrompu par l’Élite au Pouvoir,le Nouvel Ordre Mondial lui-même, afin d’éviter que son pouvoir soit concurrencé par le peuple des Humains de la Terre.

La connaissance de la Vérité menace les institutions  du Nouvel Ordre Mondial ,qui s’appuient sur la haute finance,les sociétés secrètes ,le crime organisé et l’exploitation  des énergies fossiles,telles le charbon,le gaz naturel et surtout le pétrole.
L’incroyable vérité  que nous avançons  est que l’humanité a connu au  cours de l’histoire, un réseau énergétique global étendu à toute  la Terre pendant au moins plusieurs milliers d’années. La grille de la Terre a simplement été redécouvert au 21e siècle. Nous avons maintenant la preuve irréfutable que les «cultures dites primitives» du passé, les cultures anciennes qui sont supposées avoir une  «compréhension limitée de la physique», connaissaient les énergies subtiles de la Terre et de son
modèle de grille,telle qu’exposée ici!

Le fait est que la grille de la Terre elle-même est  tracée,parcourue dans la pierre ,tout autour du monde. La grille de la Terre  est un vaste système,un réseau complexe et structuré composé par  les lignes telluriques qui ont été marquées ,pointées et délimitées  par des structures mégalithiques y compris les dolmens, menhirs et cromlechs autour de la Terre. Les structures mégalithiques se trouvent partout dans le monde représentant l’emplacement précis des lignes d’énergie de la Terre. Au Royaume-Uni ,en des endroits comme Avebury et Stonehenge par exemple, elles sont situées sur de puissants courants telluriques.

Les lignes telluriques ont été  retrouvées et redécouvertes  partout dans le monde et de nombreuses cultures dans le passé ont fait référence aux lignes d’énergie de la Terre de diverses manières,.Les Chinois les appelaient les courants de dragon dans l’art ancien du Feng-shui, l’art d’équilibrer et d’harmoniser la Terre. C’est en construisant des pagodes, des temples et des structures de pierres qu’ils croyaient que cela  aiderait  à guérir la Terre. Le Feng-shui est à la terre ce que l’acupuncture est au corps, il régule la circulation du Chi, la force de vie éthérique invisible.

Les aborigènes australiens  nommèrent  lignes de la grille d’énergie  , les lignes de rêve qui pourraient être expérimentées dans leur Dreamtime (temps de rêve ,un état de conscience accrue).

Lorsque la grille de la  Terre était finalement en place, il a été découvert que toutes les pyramides et les ziggourats (pyramides à sommet plat), ensembles de temples sacrés et des cercles de pierres du monde entier ont été placés sur les sommets de la grille de la Terre. Nous mentionnons les temples des Mayas du Yucatan, les pyramides de Gizeh et le plateau de la pyramide blanche au Tibet. La Grande Pyramide sur le plateau de Gizeh, la pyramide de Khufu (Cheops en grec) est le plus important car il est situé exactement sur le pôle nord de la matrice de la grille  de la Terre. La raison pour laquelle les anciens ont choisi le plateau de Gizeh pour l’emplacement de la Grande Pyramide est parce que cet endroit est le centre du plus  puissant  vortex  d’énergie éthérée  dans le monde.

La Grande pyramide et son gardien,le Sphinx. La construction du sPhinx,telle qu'on le connait,remonterait à  au moins 12,000 ans.L'érosion sur son dos provient  de la pluie et non du sable du désert qui n'existait pas,alors
La Grande pyramide et son gardien,le Sphinx.
La construction du sPhinx,telle qu’on le connait,remonterait à au moins 12,000 ans.L’érosion sur son dos provient de la pluie et non du sable du désert qui n’existait pas,alors

La plupart des gens ne connaissent que les  pyramides existantes en Egypte et au Mexique, mais les pyramides sont dispersés partout dans le monde en Chine, au Japon, en Equateur et El Salvador. Au Mexique (Chichen Itza), au Guatemala, et au  Pérou (Machu Picchu). Certains archéologues pensent que les pyramides se trouvent aussi bien en Europe. Ils ont trouvé  des collines anormales  et couvertes par la terre qui ont la forme d’une pyramide ,en Angleterre à Silbury Hill, en Italie, en Montevecchia (3 formes pyramidales possibles),en Serbie,en Bosnie   et en Allemagne.Aussi,mes propres recherches me font avancer   l’idée  que des pyramides ont été photographiées et approchées par des explorateurs en Antartique ,près de la zone connue sous le nom de Neu Schwabenland et ou reposeraient  de nombreuses bases secrètes nazi.

Même en cet endroit...maintenant hostile.Quels secrets conserve-t-elle?
Même en cet endroit…maintenant hostile.Quels secrets conserve-t-elle?

L’endroit où la Grande Pyramide est construite est très spécial, c’est le seul endroit sur Terre où les longues étendues de terres émergées se trouvent par rapport à l’eau. Quand la terre est circonscrite par un cercle tracé à travers la Grande Pyramide, puis la superficie totale des terres sur le cercle dépasse le domaine de l’eau beaucoup plus dans cet endroit que dans n’importe quel autre endroit sur Terre. Ce fait  fut probablement reconnu dans l’Antiquité et c’est pour cette raison que le  méridien zéro ; le méridien a été marqué par l’une des structures les plus étonnantes dans le monde, la Grande Pyramide.

Le grillage de la Terre ...ou Grille de Cathie.
Le grillage de la Terre …ou Grille de Cathie.Terminée par Becker et Hagens.

Le grillage de la Terre

Un certain nombre de scientifiques ont travaillé sur le modèle de la « grille de la Terre », le premier chercheur  était Ivan P. Sanderson. Sanderson a constaté que «les cimetières de diable  » qui sont au nombre de  douze à travers le monde, ont été géométriquement espacés l’une de l’autre. «Les cimetières de diable»   sont les zones triangulaires dans le monde où des anomalies physiques ont été signalés comme les mystérieuses,à cause des  disparitions de navires et d’avions ,et sans  aucune raison apparente. Le plus célèbre d’entre eux est le triangle des Bermudes, le deuxième le plus connu est la mer à l’est du Japon. Il y a eu de nombreux rapports de dilatations  de temps et d’espace  qui ont été accompagnées par la perte du contrôle  de boussole, d’altimètre, d’horizon artificiel, la perte de contact radio et d’autres phénomènes étranges que de nombreux pilotes d’avion ont connu alors qu’il survolait le triangle des Bermudes. Il y a eu des rapports de pilotes d’avions qui à  l’arrivée, semblaient avoir parcouru un fuseau horaire différent puisque toutes les montres à bord étaient en retard ,par rapport  au même temps de référence ,exactement! Sanderson a remarqué qu’il y a cinq «Cimetières du diable» dans l’hémisphère Nord, cinq dans l’hémisphère sud et deux au niveau des pôles, douze au total formant les sommets exacts de l’icosaèdre!

Trois scientifiques russes, Nikolaï Gontcharov, Viatcheslav Morozov, et Valery Makarov ont fait l’étape suivante  dans la construction de la grille de la Terre. Ils ont commencé avec les travaux de Sanderson et ont ajouté le dodécaèdre à la grille.

Bruce Cathie a indépendamment découvert le cube octaèdre et dans les champs d’énergie subtile de la Terre et ce fut plus tard qu’on lui a  donné le nom de la » grille de Cathie ».

Le couple des  scientifiques William Becker et Bethe Hagens qui sont conjoints,ont finalement établis la symétrie complète de la grille de la Terre ensemble. Becker est professeur de design industriel à l’Université de l’Illinois, Chicago et Bethe Hagens est professeur d’anthropologie à l’Université d’Etat  Governors  de l’Illinois. A partir de la grille Icosa (dodécaèdre), ils ont ajouté un polyèdre spécial développé par la géométrie sacrée de l’explorateur R. Buckminster Fuller. Le terme officiel de leur grille de la Terre finale est la géométrie vectorielle Unifiée  120 polyèdre, ou la LAA 120 aussi appelé « Earth Star « .

Nous vivons depuis peu dans une Ère Nouvelle,et si nous sommes patients et attentifs,la science ancienne viendra à nous, naturellement.

Nous sommes les Héritiers des Anciens…nous devons comprendre aussi que nous sommes les Héritiers Vivants de l’Ère Nouvelle!

Respectons toutes les Formes de Vie!

Mystère : le phénomène des boules de feu de Naga et la tradition divine

Naga fireballs 003

 

Le mystère derrière l’apparence des boules de feu Naga sur le Mékong a été finalement résolu en partie par des scientifiques « rationalistes », et il est un phénomène naturel, a dit hier le ministère de la Science . «Le phénomène est causé par le gaz phosphine inflammable(1)« , a déclaré le vice secrétaire permanent Saksit Tridech. Le ministère a lancé une expédition scientifique, dernièrement, pour mesurer et observer la manifestation annuelle à Nong Khai province. Un thermo-scanner a été installé près de la berge dans Rattana Wapee sous-district et cinq équipes de spécialistes étaient stationnés à différents points de vue le long de la rivière, y compris au Temple thaïlandais dans le district de Phisai Phon, où des milliers de curieux s’étaient rassemblés pour assister à l’événement. Les boules de feu Naga apparaissent à la fin du carême bouddhique, qui conduit beaucoup à croire que ce n’est pas le résultat de causes naturelles, mais quelque chose de plus mystique. Mais Saksit a déclaré que le matériel de numérisation ramassé le mouvement du gaz flottant sur ​​la surface de l’eau avant que les gens pouvaient capter  avec leurs yeux les bulles orange éclatant lors de l’ allumage en boules de feu. Leur « timing » dépend de l’accumulation du gaz des marais sur le lit de la rivière, qui souvent atteint un sommet en Octobre. Boules de feu ont été aperçus à plusieurs reprises tout au long de l’année dans le Mékong et ses environs avec une forte concentration de phosphine, at-il dit. Napanisa Kaewmorakot NATION, Nong Khai

Boules de feu Naga,sur le Mékong (2012)
Boules de feu Naga,sur le Mékong (2012)

La tradition millénaire des boules de feu Naga

Les boules de feu Naga sont très célèbres en Thaïlande et au Laos. Le Mékong est l’endroit où la magie s’opère, et l’une des parties les plus intéressantes de celui-ci, c’est qu’il semble se produire à un moment donné de l’année… juste au bon moment. Le Mékong a certains endroits dans la culture pop américaine, car il est le théâtre de nombreux films guerre du Vietnam, le plus célèbre Rambo II. Quoi qu’il en soit, les boules de feu ont été observées par beaucoup de gens pendant des années, certains ont  calculés parfois plus  d’un mille en une seule nuit.

Ils ressemblent à ce qu’ils sont appelés. Elles  sont rougeâtres et varient considérablement en taille. Elles  ont été signalés par des observateurs à être aussi grand que des ballons de basketball , à certains moments, même si la plupart d’entre eux sont plus petits. Elles  s’élèvent  apparemment de la rivière dans le ciel et  voyages entre 100 et 200 mètres avant de disparaître. Ce n’est pas un phénomène nouveau, les habitants disent qu’il s’est passé tout au long de leur vie, et les histoires ont traversé les générations ainsi,remontant à des millénaires dans le passé. Personne n’a jamais été blessé par les boules de feu, aussi ,il n’y a  jamais eu des dommages matériels. Elles  arrivent seulement vers la fin du mois dOctobre de chaque année. Les boules de feu sont si cohérentes dans leur apparition vers la fin d’Octobre qu’il y a effectivement des  festivals qui ‘arrêtent volontairement leurs activités pour les observer.

D’autres explications

Les scientifiques ont admis récemment  qu’ils n’ont aucune explication fiable pour les boules de feu Naga, mais il y a un couple de théories. La première est que les sédiments dans la rivière deviennent  fermentés avec la décomposition des restes d’animaux et des bulles de déchets  remonteraient  à la surface. Théoriquement, les bulles portent tellement d’énergie qu’ils sont capables de faire éclater hors de l’eau et de voyager quelques centaines de mètres dans le ciel. C’est fondamentalement le concept du gaz de passage de la rivière. Alors une théorie intéressante, la plupart des scientifiques s’accordent pour dire qu’il n’y a aucune raison de croire que le Mékong est la seule raison de  la production de bulles de gaz avec des choses  particulières autour de ce phénomène   car  toute rivière sur Terre  produirait le même phénomène. En outre, le problème de ce que se passe à un moment particulier de l’année invalide également cette théorie.

Il a été suggéré que les boules de feu sont un complot  mis en place et que le feu des traceurs de soldats du côté laotien de la rivière sont la véritable cause des boules de feu. Si tel est le cas, alors ils ont fait de grands efforts pour  que ça arrive en octobre, pendant des décennies. Il semble tout à fait difficile  à accepter un tel canular, et là aussi le problème est que des coups de feu n’ont jamais accompagné les boules de feu, comme vous pourrez le voir . La seule autre théorie est celle tenue par la population locale: un énorme serpent dans la rivière,qu’on  a appelé  Naga, incidemment, crache les boules de feu quand il vient à la surface.

Remarquablement, la théorie du  serpent pourrait être la meilleure explication que nous avons en ce moment de ce phénomène.C’est pourquoi le serpent Naga,est déifié depuis l’ancienne tradition de tout le détroit du Mékong.

Le dieu Nâga
Le dieu Nâga

 

La mythologie du Nâga

Le nāga (नाग ou serpent en sanskrit) est un être fabuleux de l’hindouisme, à corps de serpent habituellement représenté avec plusieurs têtes, souvent chimériques et effrayantes : capuchon de cobra, gueule de chien, yeux exorbités et parfois humains.

Dans les légendes de l’Inde et de tout le Sud-Est asiatique, les nâgas sont des habitants du monde souterrain où ils gardent jalousement les trésors de la terre. Ils ont pour ennemi naturel l’aigle géant Garuda, mais nâgas et Garuda ne sont en fait que deux incarnations de Vishnou, les deux aspects de la substance divine, en qui ils se réconcilient.

Le nâga le plus célèbre est Ananta, sur lequel se repose Vishnou dans l’intervalle entre la fin d’un monde et la création d’un nouveau.

 

Le nāga comme sa forme féminine ( nāgī or nāginī ) est un génie des eaux, représenté comme un serpent à tête humaine. Considérés comme étant de grands poètes, ils gardent les trésors de la terre1. Le nāga est donc gardien et protecteur, médiateur entre ciel et terre, intercesseur entre ce monde et l’au-delà, parfois associé à l’arc-en-ciel (Bouddha descend du ciel sur un escalier qui est un arc-en-ciel, dont les rampes sont deux nâgas). À Angkor (Angkor-Thom, Prah Khan, Banteai Chmar), des chaussées à balustrades en forme de nâga symboliseraient2 cet arc-en-ciel, avec Indra à leur extrémité (Dieu de la foudre et de la pluie). Dans l’iconographie khmer, le nâga mâle a un nombre impair de têtes, tandis que les femelles en ont un nombre pair. Sur certains linteaux d’Angkor, pouvant symboliser la porte du ciel sont figurés Indra et la Makara crachant deux nâgas.

Le Nagaraja, mot sanscrit formé de naga (« serpent ») et de raja (roi), désigne le Roi des serpents. Ce terme s’applique à trois déités majeures Ananda (Sheshanaga), Takshaka, et Vasuki. Ananda, Vasuki et Takshaka sont frères, fils de Kashyapa et Kadru, qui sont les parents de tous les serpents3.

Dans les contes et légendes cambodgiens, les nâgas peuvent prendre forme humaine, voyager sous terre, nager dans l’eau et voler dans les airs. C’est aussi au nâga qu’on doit la fertilité du sol et la fécondité des femmes.

Le Nâga,le lien entre le monde divin et le monde  humain

On trouve des légendes à propos du nâga ou serpent dans les mythologies hindoues et bouddhistes. Sa fréquence dans l’art khmer est extraordinaire. Le royaume des nâgas est constitués par les rivières, les lacs et les mers et c’est là que ces créatures royales demeurent dans des palais luxueux, décorés de perles et de pierres précieuses. Le nâga n’est pas seulement le gardien de l’énergie vitale des eaux, mais également celui des coraux, des coquillages et des perles. Il porte un joyau sur la tête. Les formes sinueuses du nâga créent des arches autour des frontons, des balustrades autour des bassins et des chaussées. Ces chaussées sont souvent appelées « ponts de nâgas », mais dans tous ces cas, le corps allongé du nâga symbolise l’arc-en-ciel qui relie le monde divin au monde humain.

La généalogie légendaire de nombreux souverains khmers et arrivée jusqu’à nous grâce à des panégyriques en sanskrit gravés sur de grandes stèles. Beaucoup de ces souverains se réclament de la descendance de l’union d’un brahmine indien et d’une nagini à moitié serpent, à moitié femme, elle même descendante d’un roi serpent. Ayant planté sa lance pour marquer sa prise de possession de la terre, il avait d’autre part la maitrise des eaux à travers son ascendance nâga.

 

Le cycle du monde

Dans la mythologie hindoue, le cycle du monde est divisé en quatre kalpa ou âges. Après la création, 14 périodes mènent inéluctablement vers la destruction. Pendant la sixième période de l’âge actuel, les dieux et les démons combattaient pour la domination du monde, quand une trêve fut conclue pour extraire de l’océan l’amrita, l’élixir d’immortalité. Cet épisode est connu sous le nom de « barattage de l’océan de lait », où le mont Mandara est utilisé comme axe. Le corps du nâga Vasuki est enroulé autour du mont Mandara, les dieux et les démons tirent chacun de leur côté pour baratter l’océan de lait et extraire l’élixir.

À la fin d’un âge, survient la destruction. L’énergie de Vishnou prend d’abord la forme du soleil, et assèche la terre de toute vie. Il prend ensuite la forme du vent, aspire tout l’air met le feu et réduit tout en cendres. Puis, se transformant en nuage, Vishnou déverse sous forme de pluie le lait sucré de l’océan cosmique. Les cendres de la création y sont gardées, et tout est dissous, y compris la lune et les étoiles, dans une immense étendue d’eau. C’est alors l’âge de la nuit, qui dure aussi longtemps qu’a duré le jour. Prenant une forme humaine, Vishnou dort sur le nâga à cinq têtes Ananta (« sans fin ») ou Sesha (« le reste »).

Le Serpent Naga Musée_Guimet

Le nâga apparaît également dans la vie du Bouddha historique. Durant la méditation du Bouddha, s’éleva un orage violent qui fit monter les eaux. Le roi serpent à sept têtes Muchalinda, surgissant d’entre les racines de l’arbre sous lequel Bouddha méditait, s’enroula en sept anneaux et déploya le capuchon de ses sept têtes pour protéger le seigneur Bouddha jusqu’à ce que les flots se retirent. Le Bouddha obtint ainsi la dévotion du nâga et les eaux sur lequel il régnait. Des représentations du Bouddha assis sur le nâga deviennent communes dans l’art khmer à partir du XIe siècle, et surtout à la fin du XIIe siècle, avec l’adoption du bouddhisme par les souverains d’Angkor.

Dans les autres traditions

 

Le nâga représente le cycle du temps, tout comme l’Ouroboros des Grecs.

Il serait peut-être à rapprocher de l’Uraeus, ou cobra en colère, qui orne le front de Pharaon, concentrant en lui les propriétés du soleil, vivifiant et fécondant, mais capables aussi de tuer, en desséchant ou brûlant.

De nombreux mythes évoquent un serpent légendaire, du monde souterrain (la Vouivre, puissant serpent souterrain des celtes ou le dieu serpent-oiseau fréquent en Amérique du sud), qui peut aussi évoquer les interprétations freudienne du serpent.

 

EN RÉSUMÉ

L’histoire de la Naga est en quelque sorte similaire à celle du monstre du Loch Ness, dans la mesure où il s’agit d’une créature mythique qui vit sous les eaux.

Le 15 e jour du 11 e mois dans le calendrier lunaire Lao, à la fin du carême bouddhique, un événement extraordinaire se produit inexpliquée sur un tronçon de 20 km entre le fleuve Mékong Pak-Ngeum et Phonephisai dans la province de Nong Khai.

Le serpent Nâga,selon la tradition...sur le lit du fleuve Mékom.
Le serpent Nâga,selon la tradition…sur le lit du fleuve Mékom.


En ce jour chaque année (c’est le cas depuis plus de 100 ans), une boule de feu roserouge, connu sous le nom Bung Fai Paya Nak, s’élève de la rivière et des flotteurs du Mékong dans le ciel à une hauteur d’environ 20 mètres, puis disparaît. Beaucoup croient que c’est un événement naturel et spirituel qui n’est pas  mis en scène par l’homme. L’événement est appelé » l’aérolithe du Naga ». Beaucoup croient que le Naga tire ces balle en l’air pour célébrer la fin du carême bouddhique, comme Naga sont soupçonnés de méditer pendant la période du Carême.

Le Naga était un serviteur du Seigneur Bouddha dans sa dernière vie, et  est représenté dans les sculptures et les images sous  la fonction Naga dans de nombreux temples bouddhistes. Beaucoup d’entre eux représentent Bouddha méditant sous l’ombre de la tête du Naga, indiquant que le Naga était le garde du corps de Bouddha.

 

 

(1)La phosphine est le nom commun d’un gaz constitué d’ hydrure de phosphore (dont le nom officiel et international (Code IUPAC) est phosphane).

Il s’agit d’un gaz incolore, très toxique et inflammable (utilisé pour ces raisons comme agent de fumigation à des fins biocides). Son point d’ébullition est de -88 °C à 1 atm.
La phosphine pure est inodore, mais la « phosphine technique » a une odeur extrêmement déplaisante évoquant l’ail ou le poisson pourri, à cause de la présence de « phosphine substituée » et de diphosphine (P2H4).

Sa formule est PH3. Elle peut par exemple résulter de l’action d’un acide sur un sel d’aluminium (phosphure d’aluminium) ou de magnésium (phosphure de magnésium) ou tout simplement d’une réaction de ces sels avec l’eau où le sel est hydrolysé.

Ré-écrire l’histoire: la réponse au message d’Arecibo

Le message envoyé depuis l'antenne d'Arecibo
Le message envoyé depuis l’antenne d’Arecibo

 

Presque en même temps que les lancements de Pioneer, les astronomes ont également joué avec l’idée d’utiliser des ondes radio amplifiés afin d’entrer en contact avec  des civilisations extraterrestres. Ils savaient que les ondes radio ont été moins touchés par la poussière cosmique à la lumière, et ils ont aussi compris comment diriger des ondes radio à des points ciblés de nombreuses années-lumière dans l’espace. Pour ces raisons, il leur a semblé que les ondes radio étaient  le meilleur moyen d’atteindre  quelqu’un dans les profondeurs de l’univers et de délivrer un message.Un jour, Frank Drake et Carl Sagan se sont associés pour concocter une tentative de communication d’humain vers les  aliens. Cette fois, leur message était composé de sept parties, y compris une image d’un être humain, la structure de l’ADN, des numéros atomiques des éléments communs, et les chiffres de un à dix. Ils ont transmis la communication en chiffres binaires, avec tous les zéros et de uns représentés par deux fréquences différentes. Par ailleurs, les images ont fini par ressembler à quelque chose d’un jeu Atari, donc si les extraterrestres jamais décoder le signal, ils peuvent tout simplement penser que nous sommes de grands fans de jeux vidéo des années 80, et décider de ne pas  répondre.En 1974 astronomes ont utilisé le  radiotélescope d’Arecibo ,à Porto Rico pour diriger le message vers l’amas d’étoiles M13, qui abrite une abondance d’étoiles et a donc une meilleure chance de contenir la vie intelligente. Le seul inconvénient de l’emplacement de M13, c’est que c’est 21,000 années-lumière, donc si un étranger désire nous  envoyer une réponse à la radio, il nous faudra plus de quarante mille ans pour l’obtenir…sur les données de la science officielle …et rationaliste.

Plusieurs années après l’envoi du fameux message émis par Arecibo,on remarqua deux énormes crop circles près de l’antenne géante.D’autres crop circle apparurent partout dans le monde dont celui de Chibolton ,en Angleterre en 2002.

LE CROP CIRCLE  « ALIEN » DE CHILLBOLTON

Le crop circle"Alien"
Le crop circle »Alien »

 

En 2002, le  Crop Circle Chilbolton au visage d’alien  et « Disk message » ,apparu dans le blé, le 15 Août 2002 près de
Crabwood, Hampshire Royaume-Uni.
Le disque du  crop circle avait un message de code binaire,
le message a été décodé exactement comme il apparaît ici:

Méfiez-vous des porteurs de
FAUX cadeaux et de leurs
Promesses non tenues.
Beaucoup de douleur mais encore temps.
Il y a de bonnes là-bas.
Nous nous opposons DECEPTION
FERMETURE conduit
( Cloche son  …ou son de cloche).

 

Des messages venus de l'espace...pour nous avertir!
Des messages venus de l’espace…pour nous avertir!

Dans la même année 2002, dans l’Himalaya tibétain ,24 anciens crânes de cristal 16 de taille humaine , 8 petits crânes de cristal et 3 disques de grande capacité ont été trouvés. Les disques ressemblent à nos CD et ont du  être faits  de substances métalliques ( cobalt et d’autres substances) et ressemblent  à ce disque de crop circle de 2002 avec des gravures un  peu comme les code.Ces disques  binaires d’Himalaya et les  crânes de cristal ont été retrouvés enterrés dans des grottes. Je crois que ceux-ci proviennent  de l’époque de l’Atlantide et sont  relié à d’autres systèmes d’étoiles  comme Sirius ,par  exemple.

Le disque de crop circle décodé ci-dessus et le crop circle au  visage d’alien  de 2002 :je crois  qu’ils doivent être reliés aux crânes et aux disques de cristal de l’ Himalaya. Je crois que c’est la confirmation et l’un des signes de notre temps,de l’Ère Nouvelle dans laquelle nous venons de commencer à vivre,…et  que d’autres êtres extraterrestre  tentent de communiquer avec nous et j’espère pour nous aider en  ce moment qui est  le plus critique de l ‘histoire de notre Terre . Le message à l’humanité, c’est que si nous ne nous réveillons pas, afin de vivre dans le respect et l’intégrité, l’amour et l’unité, notre belle Terre et l’humanité pourraient être annihilés  comme cela est arrivé auparavant ,à la civilisation de l’Atlantide et de la Terre de Mu.

 

 

 

 

Nous venons de lancer une page dédiée à la jeunesse sur notre Réseau Audiologique Mondial

Que vous soyez né dans les années ’50 ou ’60,que vous ayez actuellement 5 ,10 ou 15 ans maintenant ou dans 20 ans,nous croyons que cette page continuera d’alimenter le bonheur et la joie de vivre.

Nous vous invitons à  prendre contact avec notre Réseau Audiologique Mondial que nous continuerons à développer au fil des jours,en y ajoutant des articles,des vidéo et de la musique.Une section  photo sera aussi ajoutée.

Sur ce lien : Réseau Audiologique Mondial

Merci de nous encourager!

Michel Duchaine

Ré-écrire l’histoire: Gusmâo fait voler un premier avion en 1709

Le seul croquis existant de l'appareil conçu en 1708.Nous le devons aux informations écrites par un  enquêteur de l'Inquisition elle-même.
Le seul croquis existant de l’appareil conçu en 1708.Nous le devons aux informations écrites par un enquêteur de l’Inquisition .

Le secret de l’aviation était bien caché en 1783 quand les frères Montgolfier réinventèrent l’aérostat cette année-là,mais le Vatican qui détenait ce secret ,se tut même si le silence  n’avait plus aucune raison d’être.

Réplique de la Gondole Volante .
Réplique de la Gondole Volante .

Mais qui connait vraiment Bartholomeu Lourenço de Gusmâo …en 2013?

Quand Robert Charroux,un des grands précurseurs du « réalisme fantastique » en parle dans son livre « Histoire inconnue des hommes depuis cent mille  ans »,peu de gens  le connaissent son histoire (en 1963) et beaucoup  disaient que c’était une histoire inventée!

Timbre symbolisant la présentation de son invention au roi.
Timbre symbolisant la présentation de son invention au roi.

Bartolomeu Lourenço naquit le 18 décembre 1685 à Santos, au Brésil. Encore enfant, il devint célèbre pour sa mémoire prodigieuse et pour avoir construit dans le Séminaire de Belém da Cachoeira, à Cachoeira, Bahia, où il étudiait, un « engin faisant monter l’eau à n’importe quelle distance ». L’œuvre fut à l’époque reconnue comme remarquable et comme très utile et il obtint le 23 mars 1707 le privilège de cette invention.

Récemment déménagé à Lisbonne, Lourenço obtient, le 19 avril 1709, un brevet pour une « machine volante » qui peut, d’après lui, parcourir plus de 1 000 km par jour .

Lourenço fut surnommé péjorativement «le Planeur » et son invention, divulguée en Europe par des dessins fantaisistes, qui généralement la présentaient comme un bateau en forme d’oiseau, fut connue sous le nom de Passarola (« Grand oiseau »).

Le 6 mai, l’inventeur commença la fabrication de la mystérieuse machine. Une démonstration publique de l’invention fut prévue pour le 24 juin, le jour de São João – saint homonyme du roi portugais, Dom João V – mais fut retardée, du fait que le monarque était malade.

La Princesse Élisabeth Christine, épouse de Charles III d’Espagne, très intéressée par la nouvelle invention, raconte, dans une lettre du 2 juillet 1709, les nouveautés à sa mère, Christine Louise d’Oettingen-Oettingen., Duchesse de Brunswick :

« Je me souhaiterais seulement un seul jour aupres de Votre Altesse. Que j’aurais de choses à Luy dire! La Reine de Portugal ma feit la proposition de venir la trouvé sitôt qu’un navire volant serai fait, étant a Lisbonne un homme qui se vante de pouvoir faire qui passe par l’air. Se cette invention réussit, je viendrais toutes les semaines un jour trouver Votre Altesse. Ce seroit un charmant moyens et tres aggréable pour moi, mais je doute fort qu’il réussira dans son entreprise. »

En août, Bartolomeu Lourenço organisa finalement, devant la haute noblesse portugaise, quelques démonstrations avec des ballons de petites dimensions, construits de ses mains. Lors de la première démonstration connue, réalisée le 3 dans la Maison du Fort, à l’intérieur du Palais Royal, le prototype utilisé prit feu avant de s’envoler. La seconde démonstration datée, faite le 5 dans la Maison Royale, l’aérostat, pourvu dans le fond d’une écuelle avec alcool en combustion, s’éleva à 4 mètres, quand il fut mis à terre par deux laquais royaux munis de bâtons, craignant que l’engin n’incendiât les rideaux de l’enceinte. À une expérience faite le jour 8 dans la Salle des Audiences, le globe a monté jusqu’au plafond de la salle pour redescendre avec douceur par la suite. À une autre démonstration, non datée, faite au Terrasse du Paço, le ballonnet s’est élevé à grande hauteur, montant lentement durant plusieurs minutes. Le 8 octobre 1709, Lourenço fait une nouvelle démonstration de son invention sur le pont de la Maison de l’Inde, avec un appareil plus grand que les précédents, mais encore incapable de porter un homme. L’expérience est un succès : l’aérostat monte à une grande hauteur et descend quelques minutes plus tard.

Toutes ces expériences avaient été suivies par les autorités de la société portugaise, mais cela ne fut pas suffisant pour rendre l’invention populaire. Les petits ballons montrés, outre de ne pas avoir été considérés comme des innovations importantes ou utiles, n’étaient pas contrôlables. Ils étaient emportés par les courants atmosphériques et furent considérés comme dangereux, pouvant provoquer des incendies. Un modèle plus grand, dirigeable, ne fut donc pas construit.

En 1710, il publie Diverses manières d’expulser sans personnel l’eau des embarcations, dans lequel il décrit un nouvel appareil qu’il a inventé pour expulser l’eau qui submerge les embarcations. Le 27 septembre 1713, il sollicite, en Hollande, le brevet pour un appareil similaire, expédié trois mois plus tard, le 14 décembre, sous le numéro 1.665.

De 1713 à 1715, il vit en Hollande, en Angleterre et en France. Retournant au Portugal, il reprend des études à l’Université de Coimbra. En 1718, il propose le complément « de Gusmão » à son nom, afin de rendre hommage à son précepteur au Séminaire de Bélem da Cachoeira, le Père Alexandre de Gusmão, qui lui avait inculqué le goût pour les sciences.

Il termine ses études universitaires en 1720 retourne à Lisbonne, appelé par le roi à servir dans le Ministères des Affaires Étrangères. Nommé au Secrétariat d’État, il exerce différentes fonctions, s’occupant notamment du déchiffrage de messages codés interceptés de diplomates étrangers. En décembre, il est affecté à l’Académie Royale d’Histoire Portugaise et chargé d’écrire l’Histoire ecclésiastique de l’évêché de Porto, une œuvre qu’il ne parviendra pas à achever.

Dans l’intervalle, il se dédie à de nouvelles inventions. En 1721, il étudie la fabrication du charbon et, en 1724, il crée une machine augmentant le rendement des moulins hydrauliques, reconnue par le brevet portugais du 18 juillet de la même année. Ce sera sa dernière invention officielle. À l’époque, il est sur le point d’être dénoncé par l’Inquisition comme « apostat judaïsant ».

…………………………………………………………………………….

Notes  de l'Inquisition faisant état de l'invention de Gusmâo.
Notes de l’Inquisition faisant état de l’invention de Gusmâo.

Face à face avec l’Inquisition

L’Inquisition jeta l’interdit sur la première machine volante connue de mémoire d’homme,en Occident,celle de Gusmâo,qui avait puisé ses connaissances à bonne source,en Amérique du Sud.

Quand Bartholomeu Lourenço de Gusmâo ,de la Compagnie de Jésus,vint à Lisbonne en 1708,il était bien décidé à mettre en construction une sorte d’avion dont il avait le secret.

En Bolivie,fief des Incas,il avait eu la révélation de la science inconnue d’un très ancien peuple américain dont l’origine se perdait dans la nuit des temps.

Les jésuites,avec l’intelligence et  l’esprit  de recherche qui les caractérisent,avaient tout de suite compris les autochtones des Indes Occidentales pouvaient leur apporter,outre l’or,les émeraudes et le cuivre,les rudiments d’une connaissance ignorée de l’Europe.Ils apprirent ainsi la formule médicale la plus célèbre de tous les temps,celle de la quinine.

Gusmâo,avec stupéfaction,avait découvert le secret d’engins pour soulever,pour détruire,pour voler,le secret de vaisseau servant à voyager d’une planète à une autre planète,mais il n’avait retenu,comme réalisable en ce temps-là,au XVIII ième siècle,que la machine volante athmosphérique.

Timbre commémoratif du Brésil,représentant Gusmâo,celui qu'on surnommait "Padro Voador",le Père Volant.
Timbre commémoratif du Brésil,représentant Gusmâo,celui qu’on surnommait « Padro Voador »,le Père Volant.

Le jésuite commença d’abord par se mettre en règle avec Dieu et avec le pouvoir temporel,en adressant un rapport et une  demande d’autorisation au roi Joâo V.Il analysait les avantages que pourrait aasurer sa machine à la couronne du Portugal:effectuer par air des voyages plus longs et plus rapides que par terre,franchir les mers et les montagnes au-delà de 200 lieues par jour;diriger les armées,secourir les places assiégées;explorer le monde jusqu’aux pôles;transporter les marchandises;enfin ,honorer la nation portuguaise et lui donner dans les airs la suprématie qu’elle avait jadis sur les océans.

Le 17 avril 1709,le roi donna une réponse favorable et mieux encore,une pension de 600,000 reis qui permit à Gusmâo de se mettre aussitôt au travail.

On a beaucoup écrit sur son engin,qui fut admiré par des milliers de personnes.En réalité,le jésuite veilla jalousement à en préserver le secret et seule la Bibliothèque Vaticane en possède » les plans précis ».Il s’agissait,pense-t-on d’un avion pourvu de tubes horizontaux servant de tuyères ou de soufflerie et envoyant un courant d’air dans une voile  disposée en poche renversée.

La machine ressemblait à un oiseau avec une tête,une queue de direction et des ailes battantes.

Un second mécanisme reposant sur un effet  magnétique réalisé par des boules d’ambre et des sphères attractives placées au-dessus de la voile parait avoir joué un rôle assez mystérieux.Le Père Manuel Antonio Gomez,physicien jésuite,parle de ballonnets gonflés à l’hydrogène et d’une génératrice à gaz!

Quoiqu’il en soit,le 5 août 1709,Gusmâo fit voler son appareil devant le roi et toute la cour jusqu’à une hauteur de 20 palmes mais le feu se déclara à bord,le vaisseau aérien redescendit et on eu bien du mal à éteindre l’incendie.

Le jeudi ,30 octobre 1709,nouvel essai  couronné de succès dans la cour de la Casa da India:l’appareil monta très haut  et redescendit intact.

L’invention suscita  l’enthousiasme,un nom lui fut donné,la Passarola ou Gondole Volante ,et Gusmâo ,promu académicien et aumonier royal,fut surnommé le « Voador »!

Ensuite,tout d’un coup,le silence.

L’Inquisition  avait senti le danger de perdre   un certain pouvoir auprès du roi et aussi,avait-elle jugé l’invention dangereuse,voire satanique et Bartholomeu Lourenço de Gusmâo dut  suspendre totalement ses essais et bruler ses plans (version officielle de l’époque,transcrite dans les Annales de l’Inquisition).

Ainsile premier avion de l’histoire « officielle » de l’Occident ,sitôt né ,était brusquement interdit par l’obscurantisme religieux qui règnait en Maître à l’époque.

Gusmâo obéissant ne révéla jamais le secret du mécanisme.

Mais moi je doute que dans cette affaire,en les brassant un peu,les autorités du Vatican pourraient ,au moins ,  faire la lumière sur les nombreux  plans et devis qu’ils ont en leur possession sur cet avion « d’avant le nom »!

……………………………………………………………………………………………………………………..

Les accusations mensongères

Gusmão entretient depuis longtemps des relations amicales avec de nouveaux chrétiens brésiliens surveillés par le  Saint Office. Nouant des relations avec le couple Miguel de Castro Lara et Maria Coutinho, chez qui il restait jusqu’à la nuit tombée, il craint la délation  et s’enfuit de Lisbonne le 26 septembre.

Le 11 octobre, le père Louis Gonzala  le dénonce en attestant l’avoir entendu se prononcer contre l’infaillibilité du Pape et défendre, en la présence du roi, que les enseignements de la Bible ne devaient pas être niés à quiconque, peu importe leur descendance. Bien que ces opinions se rapprochassent davantage à celle de l’Église réformée que de la religion judaïque, le fait est que, depuis 1713, Bartholomé traverse une crise religieuse. Il se convertit au judaïsme en 1722.

Il fuit vers l’Espagne, après avoir dans un premier temps tenté l’Angleterre. À Tolède, Bartolomeu Lourenço de Gusmão tombe gravement malade et est recueilli à l’hôpital da Misericórdia. Il meurt le 18 novembre 1724, à 38 ans. S’étant confessé et ayant reçu le viatique préconisé par le catholicisme, il fut inhumé le jour suivant à l’Église de São Romão, de la ville espagnole de Tolède.

Monument et plaque commémorative à la mémoire de Gusmâo,le grand "redécouvreur" de l'avion.
Monument et plaque commémorative à la mémoire de Gusmâo,le grand « redécouvreur » de l’avion.

………………………………………………………….

Les témoignages

Bartolomeu Lourenço fut incontestablement un précurseur de l’aérostation. Cinq témoignages[réf. souhaitée], découverts successivement en 1843, 1868, 1898, 1913 et 1934, ne laissent aucun doute à ce sujet. Ils procèdent du Cardinal Michelangelo Conti, Nonce Apostolique à Lisbonne de 1697 à 1710 et en 1721 élu Pape sous le nom d’Innocent XIII, de deux membres de l’Académie Royale du Portugal, Francisco Leitão Ferreira et José Soares da Silva, du diplomate José da Cunha Brochado et du chroniqueur portugais Salvador Antonio Ferreira.

Antonio Ferreira a écri:

« Le 3 août 1709 le Père Bartholomeu Lourenço, brésilien, commença une expérience de son appareil à voler. À cet effet il s’établit dans la salle qui est au-dessous de la Salle des Ambassades [du Palais Royal de Lisbonne], mais son essai échoua parce que son appareil, dès le début, prit feu. Le 5 de même mois le même Père apporta un demi-globe de bois mince. Il y avait dedans un autre globe de papier épais. Il alluma au fond de l’appareil une écuelle où il y avait du feu. Le ballon monta plus de 20 palmes, et comme le feu était bien allumé, le foyer incendia le papier, pendant la montée. Et le demi-globe resta par terre sans monter parce que l’expérience échoua. Et comme le globe allait atteindre le plafond de la salle, deux laquais de la Maiseon Royale accoururent avec des bâtons pour empêcher un désastre éventuel. Sa Majesté assista à tout cela avec sa cour et plusieurs autres personnes. Le jeudi 3 octobre, le Père Bartholomeu do Quental (Bartholomeu Lorenço veux-je dire) effectua une autre expérience dans le pont de la Maison d’Inde, avec sa machine à voler. Celle-ci, après avoir monté à une hauteur assez considérable tomba par terre, sans conséquences. »

Le 16 août 1709, le cardinal Conti écrit au secrétaire d’État du Vatican:

« L’individu qui, comme on l’a déjà raconté, prétend construire un appareil pour voler, a réalisé, ces derniers jours, deux essais avec sa machine en présence du Roi, ayant fait un globe sphérique léger. Comme, cependant, la force impulsive ou attractive semble procéder de certains fluides, ces derniers prirent feu et l’appareil brûla sans s’élever du sol. La seconde fois il brûla aussi après avoir monté à une hauteur de deux canne (4 mètres). L’individu en question ayant à cœur de démontrer la réalité de son invention est en train de faire un autre appareil plus grand que celui-ci. »

Ancienne gravure représentant  sa trouvaille.
Ancienne gravure représentant sa trouvaille.